Podcasts about Bok

  • 586PODCASTS
  • 1,873EPISODES
  • 33mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • Jul 16, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories



Best podcasts about Bok

Show all podcasts related to bok

Latest podcast episodes about Bok

Babes in Bookland
Childfree by Choice // Maria Coffey's "Instead"

Babes in Bookland

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 59:56 Transcription Available


What happens when you choose a life without children in a world that expects motherhood? Maria Coffey's memoir "Instead: Navigating Adventures of a Childfree Life" explores this question through her extraordinary journey from near-death experiences to global adventures. My friend, Jaime, and I discuss her inspiring conviction to live her life on her own terms. Through vivid storytelling, we travel alongside Maria from her 1950s Catholic upbringing to her daring escape from traditional expectations. Her near-drowning experience at 21 became a pivotal moment, giving her clarity about life's fragility and the courage to chase her dreams despite her mother's disapproval. "I had to make my own life," Maria declares, words that become her north star as she builds an adventurous existence with her husband. What makes this memoir extraordinary isn't just Maria's global kayaking expeditions or her successful travel business, but how she finds meaningful connections with children despite her choice not to have her own. Her relationships with Bok in Vietnam and Agnes in Kenya reveal that motherhood comes in many forms and our opportunities to have a positive effect on another are endless.  "Instead" challenges us to consider what makes a fulfilling life and reminds us that our choices don't require justification, even when they break tradition. Have you ever felt pressured to follow someone else's dream for your life? Maria's story might just give you the courage to follow your own. Subscribe now to hear more thought-provoking discussions about books that explore women's diverse experiences and the courage to live authentically.Support the show:On Patreon Buy us a book Buy cute merchHave you read “The Order of Things"? Share your thoughts with us! Connect with us @babesinbooklandpod or email babesinbooklandpodcast@gmail.com.If you leave a kind review, I might read it at top of show!Buy “Instead” By Maria Coffey Learn more about SOS Children's Villages Transcripts are available through Apple's podcast app—they may not be perfect, but relying on them allows me to dedicate more time to the show! If you're interested in being a transcript angel, let me know. This episode is produced, recorded, and its content edited by me. Technical editing by Brianna Picone Theme song by Devin KennedySpecial thanks to my dear friend, Jaime. Xx, AlexConnect with us and suggest a great memoir!

skrivarpodden - för dig med författardrömmar

Stöd mitt arbete med skrivarpodden genom att swisha till 0722-093 789 eller bli patreon här: https://www.patreon.com/kerstinonnebo   Om du ha mitt stöd i ditt skrivande så kör jag igång två program i min kursplattform Skrivarhjärtat i höst: Skrivarstarten, för dig som inte har något romanprojekt än:  https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeQ5kon8g-Eq5f5_2OMUJe1JlzpNErP8hxyIxgd6XJqVIpTZw/viewform?usp=sharing Skrivarprogrammet, för dig som har ett romanprojekt igång:  https://forms.gle/SeSucmPv43dHte946 Skrivarfrågan, öppen och gratis frågestund med Kerstin Önnebo 8 augusti 2025:  https://forms.gle/78cB3YSJvpLdXtYD7   Skrivarpodden görs av: Kerstin Önnebo, Musik: Maria Eggeling

prosa bok skriva novell bibliotek skrivande bibliotekarier bibliotekarie skrivarpodden
Grand reportage
Simandou: miracle ou mirage pour l'économie guinéenne?

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 19:30


L'exploitation des immenses réserves de fer des monts du Simandou pourrait marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. Estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, ces réserves font l'objet de discussions depuis trois décennies. Les autorités prévoient une entrée en production pour la fin de l'année 2025, présentant ce projet comme la vitrine de leur ambition économique. (Rediffusion) Face au manque de transparence, la population guinéenne, qui a connu les désillusions de l'exploitation de bauxite, oscille entre espoir et scepticisme. Sur le chantier du chemin de fer, la poussière et les boues envahissent les champs, rendant impossible toute culture. Mamoudou Youla, habitant du village de Sounganyia marche sur la terre craquelée qui a envahi sa rizière. « Tout ça, là, c'est le lieu de travail. Depuis que les sociétés minières sont arrivées il y a cinq ans, on ne travaille pas ici, rien, tout est gâté. », se lamente-t-il. Les dédommagements promis par les miniers ne suffisent pas à compenser les pertes subies par les agriculteurs. Mamaseta Camara, une autre habitante, exprime son désenchantement face aux promesses non tenues. « Quand les entreprises sont arrivées ici, j'étais contente, je me suis dit que c'était une opportunité pour nous. Mais ça ne s'est pas passé comme prévu. On subit de nombreux impacts. » Tout se fissure. Les murs des maisons, comme la confiance des habitants envers les sociétés. Il n'y aurait pas eu assez d'emploi pour les jeunes de Soungayah. La corruption autour du chantier est un autre sujet de préoccupation. « Quand vous allez sur le chantier pour du travail, il y a des intermédiaires qui vous demandent de l'argent. Environ 1 million et demi de francs guinéens », témoigne anonymement ce jeune homme. Il a le verbe haut et une profonde colère en lui. « À Conakry, on dit que nous sommes les boss. Qu'il y a un grand projet chez nous, le grand port de la Guinée, et donc qu'on est les rois, mais les gens ne savent pas ce qui se passe réellement ici. Pas d'emploi, pas d'eau, pas d'hôpital. J'en veux aux autorités guinéennes. Parce que depuis que le projet a commencé ici, personne ne s'est déplacé pour voir ce que nous traversons ici. Ils s'en foutent de nous ». Plus de 33 000 emplois ont déjà été créés sur le corridor, avançait Mamadi Doumbouya, le président de la transition, lors de ses derniers vœux à la nation. Des retombées XXL espérées pour l'économie guinéenne Initié en 1997, le projet Simandou a connu de nombreux rebondissements. D'abord attribués à Rio Tinto, les blocs 1 et 2 ont ensuite été confiés à BSGR, avant d'être réattribués à Winning Consortium Simandou en 2019, un partenariat sino-singapourien avec une participation guinéenne. Après le coup d'État en 2021, les travaux ont été interrompus par la junte. Puis, le géant de l'acier Baowu Steel a investi 6 milliards de dollars dans le projet, renforçant l'engagement de la Chine. Les espoirs sont énormes. Les autorités guinéennes misent sur des retombées économiques annuelles de 600 à 700 millions de dollars via des taxes et redevances. « Les ressources générées par les mines du projet Simandou et la transformation locale des minerais par la construction des raffineries nous ouvrent des perspectives heureuses d'avenir. », se réjouissait Mamadi Doumbouya. La construction d'une aciérie permettrait également de transformer une partie du fer sur place. « Nous osons espérer que cela soit la bonne cette fois, explique l'économiste Mohammed Camara. Pour un projet minier, l'important, c'est qu'est-ce qu'on en tire comme fiscalité, quels sont les impôts et taxes que ce projet va payer à l'État ? Il faut voir le projet sur du long terme et s'assurer de l'utilisation efficace des ressources. Le peu que l'on gagne, il faut l'investir où on peut impacter le plus. » Le « pont vers la prospérité » vanté par les autorités guinéennes n'est pas garanti. « Les autorités comptent beaucoup sur le Simandou parce que c'est un projet qui va doubler le produit intérieur brut du pays, mais attention, il ne faut pas croire que cela va régler tous les problèmes d'un seul coup », poursuit Mohammed Camara. Des contrats miniers toujours secrets D'autant qu'un doute subsiste sur les retombées économiques réelles. Les contrats signés entre l'État et les sociétés minières n'ont en effet pas été publiés. Ces trois conventions minières, ferroviaires et portuaires finalisées en 2023 ne sont connues que de quelques-uns dans le pays. « On se demande bien qui les a vues, c'est l'omerta la plus totale », témoigne un ancien proche du ministère des Mines. La publication des contrats est obligatoire selon le code minier guinéen. Or, ces conventions validées par la Cour suprême adoptées par le CNT – l'Assemblée nationale guinéenne – en février 2024 sont introuvables. Manque de transparence flagrant pour certains acteurs de la société civile. Incompréhension pour Oumar Totiya Barry de l'Observatoire des mines et métaux : « Officiellement, le Premier ministre parle de contrat stratégique, donc de secret d'État. Le ministre des Mines évoque le fait que le processus de négociation n'est pas terminé. Mais on sait quand même que ces documents sont passés au niveau du CNT et donc, que le processus est à son terme. On ne comprend pas pourquoi la Guinée ne rend pas encore public ces contrats. Cela aiderait aujourd'hui à améliorer le niveau de compréhension. » À lire aussiGuinée: de Sekou Touré à Mamadi Doumbouya, l'incroyable histoire du gisement de fer de Simandou Même du côté des sociétés minières, on peine à comprendre ce manque de transparence. Mais le gouvernement reste droit dans ses bottes sur cette question. « Quand on négocie avec quelqu'un, il y a toujours des clauses de confidentialité, explique le ministre du plan Ismaël Nabé. Nous sommes en train de discuter avec les partenaires industriels et on publiera au temps opportun. On renégocie parce que la Guinée était perdante. Nous sommes avec des partenaires et on doit avoir un commun accord, et respecter ce que l'on s'est dit. Si on est d'accord, ça sera publié. » Les éléments juridiques des conventions signées ont déjà été publiés dans un numéro spécial du Journal officiel qui n'a pas été rendu public, mais que RFI a pu se procurer. Certains y voient la preuve que tout est déjà négocié et que les autorités n'ont pas envie de dévoiler des contrats qui seraient défavorables à la Guinée. Un des négociateurs nous informe que la plupart des contrats de revente par lesquels les clients achètent le minerai produit ne sont pas encore signés. Le prix de revente du fer de Simandou – élément clé pour le calcul des recettes de l'État – ne serait pas fixé. Djiba Diakité, le président du comité stratégique de Simandou, a récemment expliqué dans une interview à Forbes Afrique que « si on mettait bout à bout tous les documents contractuels de Simandou... ça ferait 14 kilomètres ». Un train pour le minerai et pour les passagers ? La Guinée veut croire à la renaissance de son réseau ferroviaire grâce au gigantesque projet minier. Le gisement de fer, l'un des plus riches au monde, doit être relié au port de Moribayah par une ligne de chemin de fer de 650 kilomètres. Une infrastructure qui cristallise les espoirs de désenclavement de la Haute et Moyenne-Guinée. Pensée comme une double voie, cette ligne doit permettre non seulement l'acheminement du minerai vers la côte, mais aussi, à terme, le transport de marchandises et de passagers. « Le chemin de fer est multi-utilisateur. Une partie va servir aux miniers, une autre aux marchandises, mais aussi aux personnes. L'objectif est de développer plus de 2 000 km de voie ferrée dans le pays », déclare Ismaël Nabé, ministre du Plan à RFI. Cette ambition de désenclaver les régions agricoles, comme la zone de Kankan ou de N'zérékoré, suscite l'enthousiasme. Certains imaginent déjà des trains chargés d'ignames ou de bananes rejoindre plus facilement les marchés urbains. Mais sur le terrain, les observateurs sont plus prudents. « L'idée d'un train passager est séduisante, mais peu réaliste dans l'état actuel du tracé », estime Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire des mines et métaux. Selon lui, la ligne évite les grands centres urbains. « Il y a bien une quinzaine de gares prévues, mais elles sont souvent à des dizaines de kilomètres des villes. Madina Oula, par exemple, se trouve à plus de 80 km de Kindia. Pour Mamou, c'est le même problème avec la gare de Farenta. » En cause, une logique de tracé prioritairement industrielle. Le chemin de fer suit le chemin le plus court et le moins coûteux entre la mine et le port, au détriment d'une intégration fine au territoire. « Le mariage entre aménagement du territoire et conception du chemin de fer n'a pas suffisamment fonctionné », regrette Oumar Totiya Barry. À Kaloum, cœur battant de Conakry, certains commerçants restent sceptiques. Marqués par les promesses non tenues des précédents projets miniers, ils redoutent que Simandou ne soit qu'un mirage de plus. Dans les zones d'exploitation de la bauxite, comme à Boké, l'exploitation a certes rapporté des devises, mais elle a aussi laissé des séquelles : pollution de l'air, raréfaction de l'eau potable, routes dégradées. « Simandou, c'est du vent », tranche un commerçant, dénonçant une richesse qui ne profite toujours pas à la population. En attendant, Simandou creuse son sillon, porté par de grandes ambitions.  

Ransquawk Rundown, Daily Podcast
Europe Market Open: Europe primed for a quiet open with the EU to accept Trump's universal tariff while seeking sectoral exemptions

Ransquawk Rundown, Daily Podcast

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 5:19


APAC stocks began the new quarter mostly higher, albeit with gains tentative; Wall Street closed higher.The Senate vote-a-rama process is ongoing before a final version is sent back to the House to approve the bill, before then sending it to Trump's desk.EU is to accept Trump's universal tariff but seeks key exemptions and wants the US to commit to lower rates on key sectors, according to Bloomberg.European equity futures indicate an uneventful cash market open with Euro Stoxx 50 future +0.1% after the cash market closed with losses of 0.4% on Monday.DXY is steady, EUR/USD briefly ventured onto a 1.18 handle, USD/JPY marginally extended on its downside.Looking ahead, highlights include EZ, UK & US Manufacturing PMIs, German Unemployment Rate, EZ HICP, US ISM Manufacturing, JOLTS Job Openings, ECB SCE & Central Banking Forum, Speakers include ECB's de Guindos, Elderson, Schnabel & Lagarde, Fed's Powell, BoJ's Ueda, BoE's Bailey & BoK's Rhee.Read the full report covering Equities, Forex, Fixed Income, Commodites and more on Newsquawk

Ransquawk Rundown, Daily Podcast
US Market Open: Markets await Powell and US Senate vote-a-rama which Thune suggests is "getting to the end"

Ransquawk Rundown, Daily Podcast

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 3:47


US Senate vote-a-rama is still ongoing, Thune suggests we are "getting to the end", unclear if he has enough votesEU reportedly wants immediate relief in any US deal, said to be accepting universal tariffs but is seeking key exemptionsRisk tone began firmer after strong Chinese data; thereafter, deteriorated into and through the European morningUS futures in the red, ES -0.2%, awaiting updates on the Reconciliation Bill, Chair Powell and a packed data docketUSD continues to fall. JPY and CHF lead, fixed bid, XAU higher.EUR and EGBs unreactive to as-expected flash HICP and numerous ECB speakers who have focused on EUR strengthLooking ahead, highlights include US Manufacturing PMIs, ISM Manufacturing, JOLTS Job Openings, ECB Central Banking Forum, Speakers including ECB's Schnabel & Lagarde, Fed's Powell, BoJ's Ueda, BoE's Bailey & BoK's Rhee. Earnings from Constellation Brands. Holiday closures in Hong Kong & Canada.Click for the Newsquawk Week Ahead.Read the full report covering Equities, Forex, Fixed Income, Commodites and more on Newsquawk

Best of Kfm Mornings with Darren, Sherlin & Sibs
Kfm Mornings Full Show: The kids are not alright

Best of Kfm Mornings with Darren, Sherlin & Sibs

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 88:40 Transcription Available


Chaos erupts at Cape Town malls as social media influencers spark fights between teenagers. Darren makes a bold prediction for the next Springbok rugby captain. And one lucky listener wins R10,000 in our Squid Game cash giveaway. On this episode of KFM Mornings, hosts Darren, Sherlin, and Sibongile discuss the recent incidents of chaos and violence caused by teenagers gathering en masse at Canal Walk and the V&A Waterfront in Cape Town. The hosts examine the role of social media influencers and "fight night" posts in sparking these dangerous meetups. They also discuss solutions like increased security and parental responsibility. In rugby news, Darren makes a bold prediction that Siya Kolisi's time as Springbok captain may be ending soon and names his pick for the next captain. The show wraps up with a fun Squid Game-themed cash giveaway where a listener wins R10,000. Timestamps: 6:45 - Discussion of teenage chaos at Cape Town malls16:30 - Darren predicts next Springbok rugby captain 21:15 - Squid Game cash giveaway winner announced Key Takeaways: - Social media influencers are sparking dangerous meetups and fights between teens at malls - Increased security and parental responsibility are needed to curb this destructive behaviour- Siya Kolisi's tenure as Springbok captain may be ending soon- Darren boldly predicts the next Bok captain will be Siya Kolisi - Lucky listener Kyle Olsen wins R10,000 in a Squid Game cash giveaway CTA: Don't miss the chaos, predictions and cash giveaways! Tune in to KFM Mornings weekdays from 6-9am.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Francois van Rensburg
Lunch Punch: Werner van der Hoven oor 'Hart se Taal' saam met Bok van Blerk en Ricus Nel

Francois van Rensburg

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 29:30


Werner van der Hoven oor 'Hart se Taal' saam met Bok van Blerk en Ricus Nel.

Staantribune
FC Eindhoven #1 'De anekdotes, de stadionspeaker en de posters'

Staantribune

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 41:39


Op 30 mei 2025 was Staantribune te gast in Café De Gouden Bal in Eindhoven. Op een warme vrijdagavond organiseerde het magazine een avond over voetbalcultuur en voetballiefde waar FC Eindhoven centraal stond. In deel één van deze trilogie schuiven schrijver van het boek 'Aalsterweg Anekdotes' Thomas Dal, stadionspeaker Chiel de Bok, supporter Ad Poot en Onno Kortland van FC Eindontwerp aan.Vragen, tips of suggesties over onze podcast zijn altijd welkom: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠podcast@staantribune.nl⁠⁠⁠⁠⁠⁠.Word abonnee van hét magazine over voetbalcultuur: ⁠⁠⁠⁠https://staantribune.nl/word-abonnee.

Nuus
Rassie propvol lof vir Asenathi

Nuus

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 0:19


Die Springbok-afrigter, Rassie Erasmus, het die vaskopstut Asenathi Ntlabakanye se toewyding geloof, wat tot sy insluiting in die nasionale span gelei het. Die 26-jarige Ntlabakanye is een van vier nuwe spelers in die Bok-groep wat die Barbarians Saterdag in Kaapstad pak. Sy ontwikkeling het intensiewe oefeninge ingesluit op die skrumafrigter, Daan Human, se plaas naby Bloemfontein, waar hy op kondisionering en tegniese skrumwerk gefokus het. Erasmus sê Ntlabakanye se toewyding het 'n dramatiese fisieke verandering meegebring:

Tekstbehandlingsprog
På date med Siss Vik!

Tekstbehandlingsprog

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 82:18


God sommer og gledelig lytting til vårt lille private møte med hele Norges litteraturdronning Siss Vik!Hør Siss avsløre bransjens mørkeste hemmeligheter, fortelle om den gangen Knausgaard åpnet slusene sine totalt for henne (da snakker vi om de verbale slusene), og spekulere om Fru Vik og Herr Flink kan bli en barneboksukksess.Vi følger hennes reise fra filmstudie og Radio Nova, innom Morgenbladet og til å ende opp der vi alle vil; hos NRK med Kringkastingssjefens språkpris til å skryte av. Tekstbehandlingsprogrammet gir seg ikke før vi setter Siss i datingstolen der tekstbehandlerne selv stiller med sine kandidaturer med en litterær twist.I studio; Cassandra Caia Berg, Sissel "Siss" Kristin Vik og Tayyeb Jilani (Teknikk)

Convidado
As mulheres também escreveram a história da luta da libertação de Cabo Verde

Convidado

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 20:46


Nos 50 anos da independência de Cabo Verde, a RFI publica várias reportagens sobre o tema. Neste sexto episódio, damos voz às mulheres que também escreveram a história da luta de libertação. “A história da luta armada de libertação nacional tem sido escrita fundamentalmente pelos homens”, adverte Josefina Chantre, avisando que “a participação da mulher na luta foi tão importante como a do homem”. Nesta reportagem também falamos com Amélia Araújo, "a voz da luta" na Rádio Libertação, e com Maria Ilídia Évora, Marline Barbosa Almeida e Ana Maria Cabral.  Esta é uma história de mulheres que lutaram pela independência de Cabo Verde. Uma delas, Josefina Chantre, diz que “a história da luta armada de libertação nacional tem sido escrita fundamentalmente pelos homens” e lembra que “a participação da mulher na luta foi tão importante como a do homem”. Josefina Chantre foi uma das fundadoras da Organização das Mulheres de Cabo Verde, depois de ter estado numa das muitas frentes de batalha da luta liderada pelo PAIGC: a informação. Trabalhou no jornal “Libertação-Unidade e Luta” e na Rádio Libertação, os órgãos de comunicação oficial do partido. “Cabral dizia que toda a frente de luta era uma frente. A minha frente de luta, a minha arma, era a comunicação social”, resume Josefina Chantre. O Jornal Libertação foi criado em 1960 e a Rádio Libertação começou a emitir em 1967 e era o “canhão de boca” da luta, dizia o líder do partido, Amílcar Cabral. A voz da luta era precisamente a de uma mulher, Amélia Araújo, angolana de origem cabo-verdiana, tão conhecida pelo "Programa do Soldado Português" e pelo programa "Comunicado de Guerra". “Durante a guerra, durante a luta, as mulheres tiveram vários postos. Cabral fazia questão de valorizar as mulheres. Então, nós tínhamos camaradas em posições de relevo”, recorda Amélia Araújo, admitindo que não eram muitas, mas que se destacaram, apontando os exemplos de Dulce Almada e Carmen Pereira. Maria Elídia Évora, conhecida como Tutu, foi a única mulher no grupo de 31 cabo-verdianos que receberam formação político-militar em Cuba para um eventual desembarque em Cabo Verde, cujo objectivo seria desencadear a acção armada no arquipélago. Em Cuba, sentiu-se descriminada pelos camaradas, mas contou com o apoio de Amílcar Cabral quando a tentaram excluir do grupo. O projecto de desembarque acabou por não se concretizar e o grupo foi disperso por várias frentes de batalha na Guiné. A maioria dos companheiros de Tutu foram para o mato lutar com armas. Ela foi tentar salvar vidas nos hospitais de Boké e Koundara, depois foi enviada para a ex-República Democrática Alemã estudar enfermagem e obstetrícia. Dos tempos de Koundara, lembra-se da surpresa inicial quando viu as instalações rudimentares e sem condições do hospital. “Fizemos o que era possível fazer, levámos mais de uma semana a limpar aquele lugar para estar mais ou menos. Não é que fosse um grande sítio para fazer as operações, mas a gente fazia, não tinha outro remédio”, lembra Maria Elídia Évora. O líder da luta, Amílcar Cabral, tinha ideais de emancipação e participação das mulheres. Em 1965, o PAIGC instituiu, na Guiné, a equidade de género no respeitante à esfera familiar, profissional e política. A partir de 1967, as mulheres foram integradas nas milícias populares criadas para a protecção da população civil. Em 1970 foi decidido que, pelo menos, dois em cada cinco dos membros dos comités da Tabanca deveriam ser obrigatoriamente mulheres. Em 1972, as mulheres passaram a integrar os júris dos tribunais populares. Por outro lado, na Escola-Piloto de Conacri vigorava a equidade de género a nível dos comités de gestão e da representação dos estudantes. Porém, Amílcar Cabral era uma voz solitária num mundo de guerra dominado historicamente pelos homens, admite Josefina Chantre. “Cabral nunca fez distinção entre homem e mulher. Eu costumo dizer que Cabral foi um grande visionário porque o que agora se diz da igualdade de género, na altura, ele já tinha pensado nisso porque ao criar os comités de tabanca, ele exigia que de cinco elementos, duas pessoas, pelo menos, tinham que ser mulheres. Por outro lado, ele dizia-nos sempre que a nossa emancipação, a verdadeira emancipação da mulher, teria que ser fruto da própria mulher e que não pensássemos que haveria algum homem que viesse realmente lutar pela nossa emancipação. Inculcava-nos sempre esse espírito e ele sempre respeitou as mulheres, ele sempre deu o devido valor porque a mulher é mãe, a mulher é tudo. Eu acho que somos a metade do céu e Cabral tinha na sua mente a verdadeira noção do valor da mulher a nível global”, acrescenta Josefina Chantre. “Nós até hoje ainda estamos a lutar. A mulher foi duplamente explorada durante o regime colonial português, explorada pelo regime colonial e pelo próprio homem. Nós ainda temos resquícios da nossa origem escravocrata, portanto, ainda temos muito machismo na nossa sociedade. Eu penso que na nossa luta já atingimos várias vitórias, mas os nossos desafios ainda são maiores. Nestes 50 anos, o balanço que eu faço é que a mulher ganhou tudo com a independência, mas ainda temos a tal história do machismo. Temos que trabalhar bastante a mentalidade e a mentalidade das coisas é muito difícil de se mudar”, comenta. Com Amílcar Cabral, o PAIGC foi considerado como um movimento político que fez um esforço de promoção da mulher, mas elas estavam, sobretudo, na retaguarda. Marline Barbosa Almeida é outra resistente que combateu duplamente na sombra, por lutar na clandestinidade em Cabo Verde e por ser mulher.   “Eu, como mulher, embora estivéssemos a lutar pela independência, tinha noção de que não valia tanto como os homens naquela altura. Havia sempre aquele recuo em relação às nossas opiniões, principalmente quando metia a igualdade, não nos levavam muito a sério nesse aspecto, mas noutro aspecto procuravam o nosso esforço, o nosso trabalho para que a luta continuasse”, afirma Marline Barbosa Almeida. Ela acrescenta que, aquando do regresso dos cabo-verdianos da Guiné-Bissau, “em conversa com alguns militantes que vieram da luta armada, eles disseram: ‘Nós queremos uma mulher que não nos canse a cabeça'”. No livro “Os Dirigentes do PAIGC, da Fundação à Ruptura [1956-1980]”, Ângela Benoliel Coutinho fala na quase ausência de mulheres na direcção do partido e em “esposas na sombra”. Também no artigo “Militantes Invisíveis: as cabo-verdianas e o movimento independentista (1956-1974)”, ela recorda que, em várias ocasiões, em discursos proferidos para militantes e dirigentes do movimento, Amílcar Cabral mencionou situações em que os homens resistiam à participação activa por parte das mulheres e essa oposição tornava-se ainda mais intensa, apesar de silenciada, quando às mulheres eram atribuídos cargos de responsabilidade. “À medida que se vão fazendo investigações, que têm sido poucas até à data, vai-se descobrindo que as mulheres cabo-verdianas (e aqui abro um parênteses para especificar que me refiro àquelas nascidas em Cabo Verde e que foram educadas lá, mas também a filhas de cabo-verdianos que nasceram noutros territórios, nomeadamente noutros territórios africanos e que se assumiram como cabo-verdianas), vamos descobrindo que estiveram presentes desde a primeira hora e que actuaram desde o início nas diversas frentes. Antes de o PAIGC ter iniciado a frente da guerrilha, actuou a nível diplomático e houve mulheres cabo-verdianas que tiveram uma presença forte nesse âmbito”, explica a investigadora à RFI. Ângela Benoliel Coutinho acrescenta que as mulheres cabo-verdianas também estiveram presentes no sistema de saúde e de educação criado por Amílcar Cabral nas zonas ditas libertadas e que houve comissárias políticas que tinham treino para guerrilha. A historiadora diz, ainda, que tanto as autoridades portuguesas quanto o PAIGC “foram grandemente omitindo a presença e a actuação destas mulheres” e que “essa invisibilização ocorreu já durante o próprio processo”. Ana Maria Cabral cresceu num ambiente familiar de resistência e o seu combate começou bem antes de conhecer Amílcar Cabral, com quem viria a casar. Nascida na Guiné-Bissau, emigra para Angola muito nova porque o pai, médico, tinha sido deslocado para essa ex-colónia. Em Luanda, frequenta a escola portuguesa, onde eram raros os alunos africanos. Depois, foi para Portugal fazer o liceu, foi activista, frequentou a Casa dos Estudantes do Império. Foge de Portugal, foi estudar para a então Checoslováquia, foi vice-presidente da secção daquele país da União Geral dos Estudantes da África Negra. Conacri foi o destino seguinte, onde integrou as fileiras do PAIGC e foi professora na Escola-Piloto, criada para receber os filhos dos combatentes e os órfãos de guerra. Questionada sobre como foi ser companheira de Amílcar Cabral, Ana Maria responde que “não foi fácil” e que hesitou “por causa da diferença de idade e pela responsabilidade de ser companheira de um líder como ele”.  Talvez tenham sido resistentes na sombra, mas as mulheres tiveram um papel activo na luta de libertação de Cabo Verde. De notar que nenhuma delas foi ministra durante o regime de partido único do PAIGC, entre 1975 e 1991. Mulheres e homens estiveram na mesma frente de batalha, no entanto, a emancipação da mulher é um combate que persiste até hoje.

Convidado
Rádio Libertação, Escola-Piloto e hospitais: as outras armas da luta

Convidado

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 24:54


Nos 50 anos da independência de Cabo Verde, a RFI publica várias reportagens sobre o tema. Neste sétimo episódio, falamos sobre outras armas da luta de libertação: a Rádio Libertação, a Escola-Piloto e a rede de cuidados de saúde. Oiça aqui a reportagem com Amélia Araújo, Teresa Araújo, Josefina Chantre, Maria Ilídia Évora, Ana Maria Cabral, Manuel Boal e Sara Boal. Amélia Araújo era "a voz da luta", a locutora das emissões em português da Rádio Libertação. Ela recebe-nos em sua casa, na cidade da Praia, para nos recordar um pouco o papel desta rádio, descrita por Amílcar Cabral como o “canhão de boca” da luta pela independência. O “Comunicado de Guerra” e o “Programa do Soldado Português” eram as produções mais ouvidas. A primeira incitava os militares à resistência e à revolta contra uma guerra que não era deles. A segunda apresentava os combates ocorridos nas várias frentes e divulgava a lista dos soldados portugueses mortos, lida de uma forma muito lenta para tornar o momento mais pesado. A Rádio Libertação era uma importante arma e conseguiu fazer com que alguns soldados portugueses desertassem. “A Rádio Libertação foi um instrumento que nos ajudou a transmitir as nossas opções, os nossos princípios e aquilo que nós queríamos para nós, para os nossos países: liberdade, independência. Nós fazíamos cópias dos programas e mandávamos para Dakar, para o Gana e para Angola também. Era muito divulgado e deu o seu contributo para a luta de libertação da Guiné-Bissau e Cabo Verde”, conta Amélia Araújo, lembrando que os portugueses a chamavam de “Maria Turra” convictos que estavam que ela era portuguesa. Foi a 16 de Julho de 1967 que a “Rádio Libertação” começou a emitir, a partir de Conacri. As primeiras experiências tinham começado em 1964, mas o emissor era muito fraco. Em 1966, Amélia Araújo e outros companheiros foram enviados para uma formação de alguns meses na ex-URSS e regressam a Conacri com um emissor portátil oferecido pelos russos. Mas a rádio era ainda pouco ouvida devido à fraca potência e, em 1967, a Suécia oferece-lhes um estúdio e um emissor moderno. Começavam as emissões e eram em varias línguas: português, crioulo, balanta, fula, mandinga e beafada. Josefina Chantre fazia as emissões em crioulo de Cabo Verde e também trabalhava no Jornal Libertação. “O jornal, a rádio foram uma parte essencial para mobilizar também Cabo Verde. Cabral dizia que não valia a pena lutar se nós não fossemos capazes de divulgar cá para fora a nossa luta. Porque, como sabe, o regime colonial português dizia que éramos um bando de terroristas, que não tínhamos zonas libertadas, etc, etc”, recorda Josefina Chantre. Informar era a arma de Josefina Chantre e de Amélia Araújo, mas a rádio e a cultura também contaminou os mais pequenos. A filha de Amélia, Teresa Araújo, conhecida como Terezinha, tinha três meses quando começou a viagem rumo à independência, ao lado da mãe, com quem foge de Portugal. Iriam juntar-se a José Araújo, dirigente do PAIGC, responsável de propaganda, comissário político na Frente Sul e colaborador da Rádio Libertação e do boletim em francês "PAIGC Actualités". Ajudada pela mãe, Terezinha participou no programa de rádio, "Blufo", dirigido a crianças e jovens e que tinha como locutores alunos da Escola-Piloto do PAIGC. “O programa era para os outros alunos das outras escolas e internatos espalhados nas zonas libertadas. Contávamos a história do que nós fazíamos e também recebíamos alguns depoimentos de alunos do interior da Guiné das zonas libertadas. Também contávamos os episódios que se passavam e nas datas comemorativas, como 1 de Junho, 19 de Setembro, também por altura do Natal, datas de final do ano, fazíamos programas alusivos a essas datas. No início, nós tivemos que ser preparados pela minha mãe, a dicção correcta, como falar para a rádio e aprendemos bastante. Foi muito interessante”, conta Teresa Araújo. Terezinha cresce em Conacri, frequenta a Escola-Piloto desde pequenina - dos tempos em que os pais eram também la professores - e foi aí que começou a cantar e a criar os primeiros espectáculos. “Fidju Magoado” era a morna favorita de Amílcar Cabral, revela a cantora que, anos mais tarde, se tornaria numa voz incontornável de Cabo Verde com o grupo Simentera. Em 2004, gravou o disco “Nôs Riqueza”, com mornas do pai, mas também “Fidju Magoado”. Foi na Escola-Piloto que os palcos se abriram para Terezinha, com as crianças a levarem a mensagem da luta contra o colonialismo e pela emancipação de um povo a outros países. Com o grupo de teatro de crianças e jovens, em que cantava e dançava as danças tradicionais da Guiné e de Cabo Verde, além de participar nas peças de teatro, ela actuou, em 1970, no Palácio do Povo em Conacri, tendo na primeira fila a cantora sul-africana Miriam Makeba. Em 1971,72, grupo vai em digressão a Dacar, Ziguinchor e Teranga, no Senegal, Banjul, na Gâmbia, e Nouakchot, Nouadibou e Attar, na Mauritânia. Em 1973, as crianças ficam três meses na Escola-Piloto de Teranga a prepararem a participação num Festival Internacional da Juventude em Berlim, onde Terezinha canta ao lado de Miriam Makeba. De toda esta época, é com muita ternura que recorda Amílcar Cabral. “A Escola-Piloto era a menina dos olhos dele. Era a referência, então ele levava sempre delegações que vinham visitar o PAIGC. Fazia questão de as levar à Escola-Piloto. Mas, além disso, a presença dele era diária. Só mesmo quando não pudesse ir por causa de algum trabalho é que não ia. Ia cedo de manhã e assistia à nossa preparação física e, às vezes, entrava mesmo na competição. Nós tínhamos um jogo do lenço e ele nunca perdia. Era muito bom. Ele aproveitava esses momentos também para nos ensinar outros jogos. Escutava os alunos, perguntava às crianças se estavam a ser bem tratadas, se estavam a ter comida boa. Ele queria mesmo verificar que as crianças estavam a ser bem tratadas, porque, como ele dizia, as crianças eram as flores da revolução e a razão da luta”, recorda, nostálgica, a cantora. A Escola-Piloto ia até ao 5º ano e para continuar os estudos, como muitas outras crianças e jovens guineenses, Terezinha foi enviada com 12 anos para a Escola Internato Internacional Elena Dimitrievna Stásova, na cidade de Yvanovo, a uns 300 quilómetros de Moscovo. Alguns anos antes, Iva Cabral, filha de Amílcar Cabral, também foi para lá estudar e conta-nos esses tempos. “Eu fui com uns oito, nove anos. Aprendíamos em russo, claro, e aprendíamos tudo que os russos aprendiam. E também tínhamos aulas na nossa língua. Era um internato que tinha teatro todos os meses, que todos os fins-de-semana tinha cinema. Era um grande internato”, começa por contar, admitindo que a formação de quadros era mais uma arma da luta. “Era para isso, para se poder tomar nas próprias mãos o destino do país. Quando a luta começou, havia dois engenheiros agrónomos na Guiné e um deles era o meu pai. Quadros superiores, acho que eram uns 14, se não me engano. Por isso, a luta trouxe conhecimento para os povos da Guiné e Cabo Verde. Na independência, já tínhamos vários quadros guineenses e cabo-verdianos que puderam então iniciar a construção do Estado”, acrescenta. Não valia a pena lutar com armas para liderar um país, se não houvesse quadros para o dirigir. Era o que defendia Amílcar Cabral que abriu várias frentes na luta pela independência da Guiné-Bissau e Cabo Verde. Para além do conflito armado na Guiné, da luta subterrânea na clandestinidade e da actividade diplomática, houve uma revolução sociopolítica nas “regiões libertadas” depois do primeiro congresso de Cassacá, em 1964, quando Amílcar Cabral defendeu a sua teoria da criação do "homem novo", emancipado do sistema de ensino e de valores do colonizador. O líder do PAIGC quis mostrar que a luta era feita por “militantes armados e não militares” e ensaiou todo um novo sistema judicial, de saúde, educativo e económico, com escolas, serviços sanitários e hospitais de campanha. Amílcar Cabral dizia que "se pudesse, fazia uma luta só com livros, sem armas", que “não é com tiros que se liberta uma terra” e que “a maior batalha é contra a ignorância e o medo”. Era assim que nascia, em 1964, a Escola-Piloto, instalada em Conacri, para apoiar os filhos dos combatentes e os órfãos de guerra. Descrita como “a menina dos olhos de Amílcar Cabral”, a Escola-Piloto tinha como professores os próprios combatentes. Um deles foi a segunda esposa do líder do PAIGC, Ana Maria Cabral. “Quando eu cheguei, puseram-me a trabalhar na Escola-Piloto. Já havia áreas libertadas, a direcção do PAIGC criou escolas. Todos os que sabiam ler e escrever deveriam ensinar aos que não sabiam. Portanto, o princípio era esse. Fui professora na Escola-Piloto e fizemos os nossos manuais escolares. Claro, tivemos que dar uma volta por vários países, ir ao Senegal, Conacri, a Cuba, inspirar-nos para conseguir fazer os nossos manuais que mostravam a nossa história, a nossa realidade”, conta Ana Maria Cabral, num café em frente ao mar, na cidade da Praia. A partir de 1969, a Escola-Piloto é dirigida por Maria da Luz Boal, ou Lilica Boal, e a sua filha, Sara, também ali estudou e recorda alguns dos episódios que mais a marcaram. “Todos os dias de manhã, acordávamos cedo, tínhamos ginástica e depois do pequeno-almoço tínhamos as aulas. O programa que nós tínhamos de formação tinha disciplinas como a Língua Portuguesa, a História - que, aliás, era ministrada pelo António Mascarenhas Monteiro, que foi Presidente de Cabo Verde. Tínhamos aulas de Matemática, tínhamos Química e Física, tínhamos Ciências Sociais e tínhamos também trabalhos manuais. As refeições eram confeccionadas por nós. Todos os dias havia um grupo de serviço na cozinha que era composto por uma aluna mais velha, que era chefe de cozinha, digamos assim, por duas meninas mais pequenas e dois rapazes. Cabral ia-nos visitar na escola sempre que ele pudesse. Ele tinha muito orgulho em convidar pessoas para ir visitar a Escola-Piloto. Eu lembro-me de termos recebido, por exemplo, a Angela Davis nos anos 70 ou 71”, recorda Sara Boal. Em Conacri também existia um jardim de infância para os órfãos ou filhos dos trabalhadores do partido que viviam na cidade. Na Guiné, nas chamadas “zonas libertadas”, foi montado todo um sistema de ensino. Remonta ao ano lectivo de 1964-1965 a instalação das primeiras escolas nas regiões sob controlo do PAIGC. Em 1972-73, havia 164 escolas de tabanca, tendo em conta que as crianças tinham de andar longos trajectos e enfrentavam riscos de bombardeamentos. Havia, ainda, quatro internatos: dois na frente Norte, um na frente Sul e um no Leste, inicialmente destinados aos filhos dos combatentes falecidos. Para além dos estudos, havia tarefas domésticas e outras ligadas ao trabalho agrícola. Em 1972, o sistema de ensino do PAIGC tinha 250 professores e 20 mil alunos. No inicio dos anos 70, também se criaram novos livros escolares para as crianças do ensino primário. Os manuais foram feitos pelas equipas de professores e impressos em Conacri e na Suécia. Desde 1966, o partido também tinha começado a formar professores para as suas escolas no Centro de Aperfeiçoamento de Professores da Escola-Piloto e, depois, foi criado o Centro Permanente de Professores. Em 1972, metade dos professores das escolas nas regiões libertadas tinham sido formados pelo PAIGC. O pai de Sara Boal, Manuel Boal, angolano, saiu de Portugal com Lilica Boal, cabo-verdiana, em Julho de 1961, na histórica fuga de estudantes africanos. Passou por Léopoldville, onde acabou o curso de medicina, prestou assistência de saúde a refugiados e militou no MPLA. Em 1963, aderiu ao PAIGC, foi para a Guiné e, como era médico, a sua luta foi a da saúde. Começou por ser responsável por um centro de apoio e tratamento a doentes e feridos de guerra em Ziguinchor, no sul do Senegal, de onde se transferiam para os hospitais senegaleses os casos mais graves. Depois, foi enviado para Conacri para racionalizar o apoio logístico dos postos sanitários e dos hospitais de campanha do interior do país. A seguir esteve no hospital de Boké, na Guiné-Conacri. Ele contou-nos os momentos mais difíceis. “O mais difícil foi socorrer populações das zonas libertadas, bombardeadas pela aviação portuguesa e bombardeadas com napalm, gente queimada E nós sem os meios necessários para fazer o essencial. Segundo aspecto difícil era o transporte ao ombro de macas com doentes em quilómetros e quilómetros de distância, antes de serem transportados em ambulâncias até Buké ou da fronteira até Koundara, estes momentos eram dolorosos e difíceis. Nós temos que fazer uma vénia àqueles que faziam esse trabalho: os socorristas, muitas vezes membros da população, que se ofereciam sem qualquer recompensa para fazer esse duro trabalho. Isso nunca me esqueci, nem nunca me esquecerei desses sacrifícios”, conta Manuel Boal. Também a trabalhar nos hospitais, esteve Maria Ilídia Évora, conhecida como Tutú, que tinha sido a única mulher no grupo de cabo-verdianos treinados em Cuba para um eventual desembarque e inicio de luta armada em Cabo Verde. Mas como isso não aconteceu, a sua luta passou a ser também nos cuidados de saúde. É destacada para os hospitais de Boké e Koundara e, mais tarde, foi para a antiga RDA para uma formação mais completa em enfermagem. “Muito difícil Koundara. Ao que parece era um hospital, mas quando eu cheguei lá e vi, eu disse: ‘Hospital? Isso é hospital?' A gente teve mais de uma semana a limpar aquilo para deixar mais ou menos porque em Koundara nem sequer tínhamos água”, conta Maria Ilídia Évora, em sua casa, no Mindelo. Havia ainda muitas outras frentes de batalha, como a formação de uma nova classe politica que dirigiu a luta armada e tomou o poder após a independência nos dois países. Foi aberta, por exemplo, em Conacri, uma escola de formação política. O povo deveria participar em todas as decisões que lhe dissessem respeito e, na Guiné, foram criados comités de tabanca, órgãos políticos de base do PAIGC, mas também tribunais populares ou lojas Armazéns do Povo, onde se fazia um comércio baseado na troca e a população podia adquirir alimentos enlatados, cigarros, tecidos, cobertores, em troca de animais domésticos e arroz lavrado nas bolanhas, por exemplo. Toda esta revolução sociopolítica nas “regiões libertadas” foi reconhecida a nível internacional com, nomeadamente, a visita da missão da ONU às áreas libertadas em 1972. As próprias eleições para a Assembleia Nacional Popular, entre Agosto e Outubro de 1972, com 83 mil eleitores a participarem, contribuíram para esse reconhecimento internacional, e seria essa Assembleia a proclamar, a 24 de Setembro de 1973, a independência da Guiné-Bissau. Uma primeira vitória do PAIGC a que os cabo-verdianos assistiam à espera da sua hora. E essa hora chegaria a 5 de Julho de 1975. Em conclusão, a historiadora Ângela Benoliel Coutinho, autora de “Os Dirigentes do PAIGC – Da Fundação à Ruptura 1956-1980”, sublinha à RFI que “Amílcar Cabral dizia que se a independência não servisse para melhorar a vida das pessoas, não valia a pena lutar pela independência”, ou seja, “o PAIGC tinha como projecto político revolucionar estas sociedades africanas, não era só libertar-se do jugo colonial”. “O PAIGC criou um sistema de educação que não se limitava às escolas, passava pela criação de jornais, pela criação de uma rádio que emitia programas em diversas línguas da Guiné-Bissau, pela projeção de filmes com debates. Portanto, há toda uma educação militante para preparar as pessoas para uma revolução social”, acrescenta Ângela Benoliel Coutinho.   

Convidado
5 de Julho de 1975: "Grita, povo independente!"

Convidado

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 19:35


Nos 50 anos da independência de Cabo Verde, a RFI publica uma série de reportagens sobre este tema. Neste 11° episódio, damos voz aos que lutaram para que o dia 5 de Julho de 1975 se concretizasse e ouvimos as memórias dos que viveram essa jornada histórica no Estádio da Várzea, na cidade da Praia. “Determinação”, “esforço”, “táctica” são algumas das palavras escritas à mão na fachada pintada do Estádio Municipal da Várzea, na cidade da Praia. Foi há 50 anos, a 5 de Julho de 1975 que aí se escreveu um novo capítulo na história de Cabo Verde, fruto de “determinação”, “esforço” e “táctica” e que se virou a página do colonialismo português. Às 12h40, o presidente da Assembleia Nacional recém-eleita, Abílio Duarte, declarou “solenemente a independência do Estado de Cabo Verde”. Que recordações guardam desse dia os que lutaram para que ele se concretizasse? Fomos conversar com algumas das pessoas que estavam na cidade da Praia nesse momento histórico. Osvaldo Lopes da Silva tinha integrado a luta armada de libertação nacional como comandante de artilharia e assumiria a pasta da Economia e Finanças no primeiro governo de Cabo Verde. Perante a falta de instalações, ele andou de casa em casa a pedir aos amigos para as emprestarem para se instalarem as delegações estrangeiras convidadas para a cerimónia. “Eu estava ocupadíssimo nesse dia. Tinha responsabilidade de algumas delegações que vinham para o 5 de Julho e as dificuldades eram enormes porque não tínhamos instalações. A Praia que vemos hoje não tem nada, absolutamente nada a ver, com a Praia de 1975. Em 1975, a Praia era o Plateau, nada mais. Todas essas casas, esses bairros todos, Palmarejo, Prainha, isso tudo não existia. E não tínhamos instalações, de forma que eu tive que andar de casa em casa, a pedir aos amigos para cederem as casas para instalar as diferentes delegações e resolver os problemas de logística ou o próprio fornecimento de electricidade”, recorda Osvaldo Lopes da Silva. A 5 de Julho de 1975, Cabo Verde não tinha praticamente nada para receber os convidados, admite também Josefina Chantre, que tinha lutado pela independência no secretariado e nos media do PAIGC. Ela conta que até houve barcos enviados de Cuba para alojar as pessoas. Porém, esse dia era o culminar de uma longa luta de libertação. “Eu pude testemunhar realmente esse grande momento, o 5 de julho de 1975, que é um momento indescritível, o hastear da bandeira… Mas também foi um momento um bocado complicado porque quando chegámos a Cabo Verde, Cabo Verde não tinha praticamente nada, inclusivamente para recebermos os nossos convidados que vinham festejar connosco essa data. Tivemos que recorrer aos nossos amigos. Eu lembro-me que Fidel Castro, de Cuba, mandou-nos barcos hotéis porque não havia alojamentos na Praia para receber os nossos convidados. Toda a população disponibilizou as suas próprias casas para receber os visitantes que vinham congratular-se connosco dessa vitória”, conta Josefina Chantre. A noite anterior à cerimónia no Estádio da Várzea foi de festa, mas depois de tantos anos na luta, incluindo com armas na Guiné, o comandante Silvino da Luz, que assumiria a pasta da Defesa e Segurança no primeiro governo, ficou sem se poder mexer na cama. No próprio dia, levantou-se já bem de saúde para participar em mais um momento histórico. “Estranhamente, na noite de 4 para 5 de Julho fui atacado por um mal-estar indescritível que os médicos depois vieram dizer que era uma questão nervosa, um estourar de uma situação que me pôs na cama. Eu ouvia naquela noite todo o barulho na rua, as pessoas a gritarem, a dançarem, a tabanca a passar, os tambores a ecoarem um pouco por todo o lado. Eu estava na cama, não podia nem me mexer. No dia seguinte, 5 de Julho, eu levantei-me perfeito e fui participar a cerimónia de passagem do poder. O arriar de uma bandeira e o içar da outra. Fui um dos chamados para ler uma mensagem e eu li uma mensagem em nome das Forças Armadas”, lembra Silvino da Luz. Ver a bandeira de Portugal a ser arriada e a de Cabo Verde hasteada era o resultado do “sacrifício de muita luta” e o momento mais feliz da sua vida, recorda Alcides Évora, que trabalhava no secretariado do PAIGC, em Conacri, onde era responsável por tratar de viagens, documentação e logística. “O momento mais feliz da minha vida foi o içar da bandeira, no Estádio da Várzea, a bandeira de Cabo Verde a ser hasteada e, simultaneamente, a bandeira de Portugal a ser arriada. É algo que não consigo exprimir. Foi um ganho de muita luta, de muito sacrifício e, infelizmente, muitos não tiveram a ocasião de assistir a esse acto”, conta Alcides Évora. A 5 de Julho, houve lágrimas de alegria pela independência alcançada, mas também de tristeza. Nas bancadas, de pé, a acompanhar delegações convidadas, Maria Ilídia Évora, a única cabo-verdiana que teve treino militar em Cuba e que depois esteve nos hospitais de Boké e Kundara para curar os feridos de guerra, foi confrontada com uma pergunta que a deixou profundamente magoada até hoje. “O que é que você está a fazer aqui? E eu disse ‘O que é que eu estou a fazer aqui? Eu estou a trabalhar, eu estou a acompanhar duas delegações'. Mas eu fiquei ofendida. Veio a raiva e as lágrimas. O Vasco Cabral ouviu e viu. Ele quis levantar-se para me dar o lugar. Eu disse: ‘Não, Vasco, desculpe, você é um convidado que está aqui, não pode-me dar o seu lugar para eu me sentar. Eu vou ficar lá onde eu estou. Mas eu tive uma crise, uma crise bem forte. Senti-me humilhada. Uma humilhação grande que nunca esqueci”, revela. Gil Querido Varela, que tinha estado preso no Tarrafal por lutar na clandestinidade pela causa da independência e contra o regime colonial-fascista, também se encontrava no Estádio da Várzea. Tinha sido eleito deputado e não esquece a cerimónia nem a festa que tinha começado durante a noite. O momento mais marcante foi o hastear da bandeira da independência. “Eu estava no Estádio da Várzea assistindo à cerimónia da independência. Foi um dia maravilhoso. Já na véspera, de noite, era difícil passar na praça da Praia, estava completamente cheia. Música, uma rapariga pegava-te, dançava e assim se passou a noite. Depois, no Estádio da Várzea, houve um episódio com a bandeira: ao subir, trancou-se, mas veio uma ventania e toda a gente disse: ‘Foi Cabral!' Foi maravilhoso o 5 de Julho”, lembra, emocionado, Gil Querido Varela. O vento e a bandeira de Cabo Verde também comovem, 50 anos depois, Marline Barbosa Almeida, que tinha sido uma das pessoas anónimas a lutar na clandestinidade em Cabo Verde e que tinha enfrentado a polícia política portuguesa. “O que mais me emocionou foi que, na altura em que a bandeira ia subindo, um vento que em Julho não era normal começou a balançar essa bandeira. Até me comovo ainda. Até que ela subisse ao topo. Aquilo foi para mim o ponto mais comovente de 5 de Julho”, recorda. Quem participou na criação da "bandeira da independência" foi Érico Veríssimo Ramos. A bandeira foi usada durante a primeira República (1975-1991) e os principais símbolos eram a concha, as espigas de milho, a estrela negra, a roda dentada e o livro. “Optou-se por se projectar um brasão da República em que entrariam elementos fundamentais que retratassem o país. O milho é a base da alimentação do povo de Cabo Verde e as suas folhas abraçam uma roda dentada numa perspectiva do desenvolvimento futuro do país. Tinha, ao centro, um livro aberto que indicava que era absolutamente necessário que ao povo fosse dada a oportunidade de ter uma educação que levasse as pessoas a participarem na construção do país em termos de desenvolvimento cultural. Tinha uma concha no fundo, que representava o mar. Grosso modo, foi essa a base que foi tida para o desenvolvimento do escudo de Cabo Verde que assenta sobre três cores: o verde, o vermelho e o amarelo, que já vinham da bandeira do PAIGC e que foi também aproveitado para a bandeira da Guiné-Bissau, e a estrela negra que ficava no centro”, descreve. Porém, depois da abertura ao multipartidarismo em 1991 e com o fim do regime de partido único do PAIGC, Cabo Verde mudou os símbolos nacionais e a bandeira foi alterada. Também o hino “Esta É a Nossa Pátria Bem Amada", escrito em 1963 por Amílcar Cabral e que era usado nos dois países, foi substituído pelo “Cântico da Liberdade” que se torna oficial em 1996. A música acompanhou toda a luta e o alvorar da independência, mas há uma que perdura até hoje e que é vista como uma espécie de hino à liberdade. “Labanta Braço” foi composta por Alcides Spencer Brito e imortalizada pela banda "Os Tubarões" no seu primeiro disco, "Pépé Lopi". O compositor contou-nos a história desta canção. “A composição musical 'Labanta Braço' surgiu de uma forma simples e sem preparação musical prévia. Na noite de passagem do dia 4 para 5 de Julho de 1975, o comité local do PAIGC organizou um sarau cultural na Praça da Preguiça, nos Espargos, Ilha do Sal, para comemorar a independência de Cabo Verde. Eu e mais quatro amigos que tocavam vários instrumentos, tínhamos criado uns meses antes um grupo musical que foi baptizado com o nome de Abel Djassi, em homenagem ao nosso herói nacional Amílcar Cabral, cujo pseudónimo literário era Abel Djassi. Nessa noite, depois da meia-noite, durante a actuação do nosso grupo musical, na euforia do estalar dos foguetes e gritos de liberdade, veio-me à mente uma melodia e letra que reproduziam a vivência do momento. Meses depois, numa altura em que os Tubarões estavam de passagem pela Ilha do Sal, a caminho da Holanda, o cantor Ildo Lobo convidou o grupo musical Abel Djassi para actuar com eles. Depois de ter cantado a música 'Labanta Braço' ficaram encantados e pediram a devida autorização para ser gravado no seu primeiro trabalho discográfico a ser feito na Holanda. Logicamente, depois dessa interpretação gravada pelos Tubarões, essa música tornou-se uma das bandeiras que simboliza a cultura musical pós-independência nacional”, descreve Alcides Spencer Brito. E assim "gritou", a 5 de Julho de 1975, o povo independente de Cabo Verde. A cerimónia oficial foi no Estádio da Várzea, na cidade da Praia, mas os “gritos da liberdade” ouviram-se em todo o país e na diáspora e ecoam até hoje.   Pode ouvir aqui as entrevistas integrais feitas aos nossos convidados.  

Bibliotekspodden Solen
93. Anna-Karin Palm om Virginia Woolf och Mrs Dalloway

Bibliotekspodden Solen

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 46:37


Den 14 maj 1925 gavs Virigina Woolfs mästerverk Mrs Dalloway ut för första gången, och hundra år senare står den sig fortfarande som en av modernismens verkliga klassiker. Vad är det som är så speciellt med romanen, och hur såg Virginia Woolfs tid och litterära värld ut? Om detta och mycket mer samtalar bibliotekarierna Karin Cellton och Solens Patrik Schylström med författaren, akademiledamoten och Woolf-kännaren Anna-Karin Palm, i detta specialavsnitt av Solen som spelades in inför publik på Tranströmerbiblioteket i Stockholm den 14 maj 2025.

Podcasty skupiny webov Teraz.sk
HRABKO: Ak existuje v prípade exministra podozrenie, treba ho vyšetriť

Podcasty skupiny webov Teraz.sk

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 33:31


250618_18_TYZDEN Celý článok nájdete TU: https://www.teraz.sk/publicistika/hrabko-ak-existuje-v-pripade-exministra-/886804-clanok.html . Ak existuje podozrenie na netransparentné nakladanie s majetkom štátu pri poskytovaní pomoci Ukrajine, je v prvom rade dôležité ho riadne prešetriť a potom bude možné reagovať na výsledky vyšetrovania. V TASR TV to konštatoval publicista Juraj Hrabko. . Úrad boja proti organizovanej kriminalite (ÚBOK) vykonáva v súvislosti s tímom Darca na území Slovenska viaceré zaisťovacie úkony a vo veci bolo začaté trestné stíhanie prokurátorom Európskej prokuratúry (EPPO). Ako informovala strana Demokrati, jej predseda, exminister obrany Jaroslav Naď, je aktuálne v zahraničí, po návrate však bude k dispozícii orgánom činným v trestnom konaní....

Bertcast
Something's Burning: Wrestle Mania + Restaurant Impossible w/ Robert Irvine + Gail Kim | S5 E17

Bertcast

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 96:03


Power couple Robert Irvine and Gail Kim stop by the kitchen to chat about two of my favorite things… wrestling and food. Robert gives me some culinary tips while I serve up one of HIS ramen recipes, and Gail and I geek out on WWE. We also may or may not have a new side-biz with Guy Fieri. Follow Robert Irvine: https://www.instagram.com/chefirvine Follow Gail Kim: https://www.instagram.com/gailkimitsme This episode is brought to you by Shopify. Sign up for a $1 per month trial period at https://shopify.com/burning This episode is brought to you by Cornbread Hemp. Just visit https://cornbreadhemp.com/BURNING and use promo code BURNING at checkout. SUBSCRIBE so you never miss a video https://bit.ly/3DC1ICg Stream LUCKY on Netflix https://www.netflix.com/title/81713944 PERMISSION TO PARTY WORLD TOUR is on sale now: http://www.bertbertbert.com/tour For all things BERTY BOY PRODUCTIONS: https://bertyboyproductions.com For MERCH: https://store.bertbertbert.com/ Follow Me! Facebook: http://www.Facebook.com/BertKreischer Instagram: http://www.Instagram.com/bertkreischer YouTube: http://www.YouTube.com/user/Akreischer TikTok: http://www.TikTok.com/@bertkreischer Threads: https://www.threads.net/@bertkreischer X: http://www.Twitter.com/bertkreischer Text Me: https://my.community.com/bertkreischer CHEESEBURGER RAMEN Cheese Sauce: * 2 cups chicken stock * 1 cup heavy cream * 1 tbsp soy sauce * 1 cup shredded cheddar cheese * 1 tbsp togarashi seasoning * Salt and pepper to taste 1. Add chicken stock, heavy cream, and soy sauce to pot; bring to a boil 2. Remove mixture from heat and whisk in cheddar 3. Season with togarashi, salt, and pepper Cheeseburger Ramen: * 2 tbsp grapeseed oil * 1 onion, sliced * 1 lbs ground beef * 1 tbsp togarashi seasoning * 1 cup Bok choy, chopped * 12 oz bunches ramen * 4 eggs * 2 TBSP grapeseed oil * 3 tbsp kimchi * 1 bunch scallions, sliced * Salt and pepper to taste 1. In a pan, add grapeseed oil and onions and cook over medium heat 2. Add ground beef. Once browned, add Bok choy. Then season with togarashi, salt and pepper. 3. In a separate sauté pan, add grapeseed oil and eggs. Drop heat to low and cook until eggs are fried. 4. Incorporate beef into cheese sauce 5. Add ramen noodles into a pot of boiling water, cooking for 1 minute. 6. Add ramen noodles to cheese sauce and cook another minute. 7. Place ramen on plate and top with kimchi, cooked egg, and scallions Non-Dairy Sweet Chili Ramen: * 2 tsp sweet red chili sauce * 4 ½ tsp toasted sesame oil * 3 tbs tamari * 1 thumb ginger, peeled and minced * 3 garlic cloves, peeled and minced 1. Combine all ingredients 2. Follow all steps above, substituting the sweet chili sauce for the cheese sauce… Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Something's Burning
S5 E17: Wrestle Mania + Restaurant Impossible w/ Robert Irvine + Gail Kim

Something's Burning

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 96:03


Power couple Robert Irvine and Gail Kim stop by the kitchen to chat about two of my favorite things… wrestling and food. Robert gives me some culinary tips while I serve up one of HIS ramen recipes, and Gail and I geek out on WWE. We also may or may not have a new side-biz with Guy Fieri. Follow Robert Irvine: https://www.instagram.com/chefirvine Follow Gail Kim: https://www.instagram.com/gailkimitsme This episode is brought to you by Shopify. Sign up for a $1 per month trial period at https://shopify.com/burning This episode is brought to you by Cornbread Hemp. Just visit https://cornbreadhemp.com/BURNING and use promo code BURNING at checkout. SUBSCRIBE so you never miss a video https://bit.ly/3DC1ICg Stream LUCKY on Netflix https://www.netflix.com/title/81713944 PERMISSION TO PARTY WORLD TOUR is on sale now: http://www.bertbertbert.com/tour For all things BERTY BOY PRODUCTIONS: https://bertyboyproductions.com For MERCH: https://store.bertbertbert.com/ Follow Me! Facebook: http://www.Facebook.com/BertKreischer Instagram: http://www.Instagram.com/bertkreischer YouTube: http://www.YouTube.com/user/Akreischer TikTok: http://www.TikTok.com/@bertkreischer Threads: https://www.threads.net/@bertkreischer X: http://www.Twitter.com/bertkreischer Text Me: https://my.community.com/bertkreischer CHEESEBURGER RAMEN Cheese Sauce: * 2 cups chicken stock * 1 cup heavy cream * 1 tbsp soy sauce * 1 cup shredded cheddar cheese * 1 tbsp togarashi seasoning * Salt and pepper to taste 1. Add chicken stock, heavy cream, and soy sauce to pot; bring to a boil 2. Remove mixture from heat and whisk in cheddar 3. Season with togarashi, salt, and pepper Cheeseburger Ramen: * 2 tbsp grapeseed oil * 1 onion, sliced * 1 lbs ground beef * 1 tbsp togarashi seasoning * 1 cup Bok choy, chopped * 12 oz bunches ramen * 4 eggs * 2 TBSP grapeseed oil * 3 tbsp kimchi * 1 bunch scallions, sliced * Salt and pepper to taste 1. In a pan, add grapeseed oil and onions and cook over medium heat 2. Add ground beef. Once browned, add Bok choy. Then season with togarashi, salt and pepper. 3. In a separate sauté pan, add grapeseed oil and eggs. Drop heat to low and cook until eggs are fried. 4. Incorporate beef into cheese sauce 5. Add ramen noodles into a pot of boiling water, cooking for 1 minute. 6. Add ramen noodles to cheese sauce and cook another minute. 7. Place ramen on plate and top with kimchi, cooked egg, and scallions Non-Dairy Sweet Chili Ramen: * 2 tsp sweet red chili sauce * 4 ½ tsp toasted sesame oil * 3 tbs tamari * 1 thumb ginger, peeled and minced * 3 garlic cloves, peeled and minced 1. Combine all ingredients 2. Follow all steps above, substituting the sweet chili sauce for the cheese sauce… Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

skrivarpodden - för dig med författardrömmar
249 Om arketyper efter klimakteriet

skrivarpodden - för dig med författardrömmar

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 25:18


Stöd mitt arbete med skrivarpodden genom att swisha till 0722-093 789 eller bli patreon här: https://www.patreon.com/kerstinonnebo Av: Kerstin Önnebo, Musik: Maria Eggeling

efter bok litteratur skriva bibliotek klimakteriet skrivande bibliotekarier bibliotekarie skrivarpodden
Nuus
Rugby: Bulle reg vir Leinster, sê Strauss

Nuus

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 0:18


Min mense dink die Bulle gaan vandag in Dublin hond haaraf maak in die Verenigde Rugbykampioenskap-eindstryd teen Leinster, onder leiding van die voormalige Springbok-afrigter Jacques Nienaber. Die Bulle se afrigter, Jake White, het vroeër gesê die gasheerspan bestaan uit Ierse toetsspelers, die All Black Jordie Barrett op senter, met die dubbele Wêreldbekerwenner RG Snyman en die Franse toetsspeler Rabah Slimani op die bank. Die huidige Bok-afrigter, Rassie Erasmus, sê spelers moet onthou hulle kan Bok-erkenning kry as hulle vandag goed speel. Afskop is vanaand om ses-uur. Kosmos 94.1 Nuus het met die Bulle se hoof, Willem Strauss, gepraat:

Tekstbehandlingsprog

Vi snakker om bøker på film og tar utgangspunkt i bok tre av Elling-serien (Brødre i blodet). Det blir et oppgjør med Oslo Kommune, speideren og dårlig poesi. I studio var Thale Rowe, Cassandra Berg og Erik Løveid. Christian Lyng på teknikk

skrivarpodden - för dig med författardrömmar
Tips om att få översikt över sin roman

skrivarpodden - för dig med författardrömmar

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 3:26


Stöd mitt arbete med skrivarpodden genom att swisha till 0722-093 789 eller bli patreon här: https://www.patreon.com/kerstinonnebo Av: Kerstin Önnebo, Musik: Maria Eggeling

Tekstbehandlingsprog
Sommeravslutning 2025

Tekstbehandlingsprog

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 21:58


TBP har hatt sommeravslutning og drukket øl i parken. Dette fører som vanlig med seg forskjellige diskusjoner, alt fra hva vi skal lese i sommer til hvilke instrument som er mest sexy.Hør på dagens episode for å kickstarte din Oslo-sommer

Bibliotekspodden Solen
92. Sommarläsning 2025

Bibliotekspodden Solen

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 67:25


Inför sommaren 2025 samlas Solen-medlemmarna och tipsar om läsning för hängmattan, stranden eller kanske tågresan! Vad har vi läst och gillat under våren, och vilka böcker passar extra bra att läsa på sommaren? Tips utlovas om allt från nutida mammaliv och 1700-talspoeter på Irland till gotik i 1800-talets London, sorg i ett samtida Skogås och en australisk utflykt år 1900. Och mer därtill! Solen är en podcast om litteratur och bibliotek med bibliotekarierna Alice Thorburn, Elias Hillström, Maja Bünger och Patrik Schylström från Stadsbiblioteket i Stockholm. Du hittar tidigare avsnitt samt titellistor på bibliotekets hemsida: biblioteket.stockholm.se/bibliotekspodden-solen

Stormens utveckling
316. Vi utan brist skrattar åt de andra (gratisfeeden)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later May 29, 2025 54:15


Ola om huruvida det överlägsna skrattet trängt ut skrattet som utgår från att vi alla har en brist i vår kärna. Liv om idéhistorikern som trodde att kärlek var en kulturell konstruktion när han var ung och sedan fortsatte ha den uppfattningen genom hela livet. Bok som refereras: Alfie Bown - "Post-Comedy"

Brother Date
Goop Show

Brother Date

Play Episode Listen Later May 29, 2025 139:43


What We Leave Behind | BloodlinesOooooooohhhhhhh, Ezri was a figment of Bashir and Worf's imagination all along. Ooooooohhhhhhhhhhhhhhh...Also, how did Bok know that thing about Picard?Brother Date! It was a real fur ball out there tonight!

The Cashflow Academy Show
Surviving Wall Street With Scott Bok

The Cashflow Academy Show

Play Episode Listen Later May 28, 2025 52:06


In this episode, Andy Tanner sits down with Scott Bok to explore the highs, lows, and hard-won wisdom from over four decades in finance. Bok shares insights from his book Surviving Wall Street: A Tale of Triumph, Tragedy, and Timing, diving into five major market crises, the evolution of M&A, and the psychological resilience required to not just survive—but thrive—on Wall Street.Mentioned In This Episode:- Surviving Wall Street: A Tale of Triumph, Tragedy, and Timing by Scott Bok- Wharton School of Business-you Long-Term Capital Management- The Dot-Com Bust, 2008 GFC, COVID Crash- Buffett, Volcker, Greenspan, Schiller, and moreCall to Action:- Grab Scott's book on Amazon: https://a.co/d/cewwEn6 - Want to make a quantum leap in your investing education? Visit YourInvestingClass.com

BizNews Radio
BizNews Rugby: Nick Mallett on Madiba; iconic Bok moments; European cup finals; and more

BizNews Radio

Play Episode Listen Later May 23, 2025 36:00


In this episode of the BizNews Rugby Show, Springbok icon Nick Mallett joins Rory Steyn to relive iconic rugby moments, from a Mandela-hosted lunch celebrating 17 straight Bok wins to brilliant tries dreamt up by Henry Honiball and Rassie Erasmus. Mallett also shares unmatched insight into this weekend's European finals, backing Bath's power game and Bordeaux's backline magic to light up Cardiff. With passionate praise for rising stars like Fin Smith and Louis Bielle-Biarrey, it's a rugby lover's dream conversation with a man who's seen - and done - it all.

Stormens utveckling
314. Barnmun (teaser)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later May 22, 2025 5:50


Kort smakprov, för att höra detta avsnitt bli prenumerant för 39 kr i månaden på https://underproduktion.se/stormensutveckling Om det uppstår problem mejla support@underproduktion.se Ola om toxiskt ledarskap i en ledarlös organisation.Jonatan om den nya subtila högerhumorn Bok som refereras:Märta Stenevi – ”Andas. Överlev.”

Bertcast
Something's Burning: If We Had $60,000,000, We'd ALL Be Rich | Ed Robertson + Mark McGrath | S5 E13

Bertcast

Play Episode Listen Later May 20, 2025 113:54


Sugar Ray and Barenaked Ladies lead singers, Mark McGrath and Ed Robertson, swing by my kitchen to discuss the music industry, how their songs affected my life, and getting older. I make ‘em Chinese Chicken (of course) and we ALL sing One Week. Because, you have to. Catch them on tour TOGETHER this summer… Last Summer on Earth Tour - https://www.barenakedladies.com/tour-2 Follow Mark McGrath: https://www.instagram.com/therealmarkmcgrath Follow Ed Robertson: https://www.instagram.com/barenakedladiesmusic SUBSCRIBE so you never miss a video https://bit.ly/3DC1ICg Stream LUCKY on Netflix https://www.netflix.com/title/81713944 PERMISSION TO PARTY WORLD TOUR is on sale now: http://www.bertbertbert.com/tour For all things BERTY BOY PRODUCTIONS: https://bertyboyproductions.com For MERCH: https://store.bertbertbert.com/ Follow Me! Facebook: http://www.Facebook.com/BertKreischer Instagram: http://www.Instagram.com/bertkreischer YouTube: http://www.YouTube.com/user/Akreischer TikTok: http://www.TikTok.com/@bertkreischer Threads: https://www.threads.net/@bertkreischer X: http://www.Twitter.com/bertkreischer Text Me: https://my.community.com/bertkreischerDRUNKEN NOODLES W/ CHINESE CHICKENDrunken Noodles:Sauce:* 3 TBS oyster sauce* 2 TBS light soy sauce* 2 TBS dark soy sauce* 1 TBS rice wine vinegar* ½ TBS fish sauce* 1 TBS brown sugar* 2 TBS waterStir-Fry:* 7 ounces dried wide rice noodles* 1 TBS sesame oil* 1 brown onion* 1 TBS grated garlic* 1 carrot, julienned* 1 bunch Bok choy, chopped* 4 scallion stems, sliced* 1 firmly packed cup basil leaves* Chili oil * Crushed roasted peanuts1. Mix together ingredients for sauce.2. Cook rice noodles, then rinse with cold water before draining.3. Heat sesame oil in pan. Add onion and garlic. Add carrot, Bok choy, spring onion, noodles, and stir-fry sauce. Toss well until combined. Remove and serve with basil leaves, topping with chili oil and crushed peanuts.Yu Xiang ChickenChicken Marinade: * ½ tsp kosher salt* 3 tsp potato starch* 4 tsp Rice Wine* 2 TBS light soy sauce* 1 tsp sesame oilSauce: * 2 tsp potato starch* 2 TBS white sugar* Salt* ¼ tsp light soy sauce* 4 TBS Rice Wine* 2 TBS Chinkiang vinegar* 1 tsp dark soy sauce* 2 tsp sesame oil* 2 tsp pure chili oil* ½ cup & 4 TBS waterStir-Fry:* ¼ cup cloud ear mushrooms* ½ cup peanut oil* 4-6 TBS chopped pickled red chilis* 2 spring onions, chopped, white and green parts separated* 4 TBS minced ginger* 12 garlic cloves, minced* 1-10 fresh red chilis * 6-20 dried red chilis, snipped into ½” pieces* ½ cup sliced bamboo shoots1. Slice chicken into thin strips. Combine chicken with salt, potato starch, rice wine, light soy sauce, sesame oil, mixing well, then let marinate.2. Combine all sauce ingredients to make sauce3. Chop spring onion, ginger, garlic, fresh red chilies, and snip the dried red chilis into ½” pieces. Drain and rinse bamboo shoots.4. Bring pot of water to a boil and add sliced mushrooms and bamboo shoots boiling for 1-2 minutes then drain in fine mesh strainer and rinse with cold water.5. Heat peanut oil over high heat then add marinated chicken, stir-frying for 40 seconds. Transfer to strainer and let excess oil drip back into wok. Remove all but 3 TBS of oil from wok.6. Heat oil in wok and add pickled red chilis. Then add spring onion white and light green parts, ginger and garlic. Add fresh and dried chilies cooking for 1 minute, then add sliced mushrooms and bamboo shoots.7. Add chicken and sauce into wok. Serve and garnish with dark green parts of spring onion. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Chrisman Commentary - Daily Mortgage News
5.20.25 Secondary Thoughts; BOK's Chris Maloney on Capital Markets; Volatile Open

Chrisman Commentary - Daily Mortgage News

Play Episode Listen Later May 20, 2025 24:57


Welcome to The Chrisman Commentary, your go-to daily mortgage news podcast, where industry insights meet expert analysis. Hosted by Robbie Chrisman, this podcast delivers the latest updates on mortgage rates, capital markets, and the forces shaping the housing finance landscape. Whether you're a seasoned professional or just looking to stay informed, you'll get clear, concise breakdowns of market trends and economic shifts that impact the mortgage world.In today's episode, we go through day one of MBA's Secondary Conference from New York City. Plus, Robbie sits down with BOK's Chris Maloney on Agency MBS issuance trends, prepayment speeds, and why the money supply still matters. And the podcast concludes with a look at why there was so much volatility to open the week.Xactus is a leading fintech committed to the continued transformation of the mortgage verification industry. Pioneering a new class of technology – Intelligent Verification – Xactus is redefining how the industry originates and services mortgages. With Xactus360, our industry-first Intelligent Verification Platform, we put the full power of the market's leading verification partner into a user-centric technology that harnesses real-time insights to power automated actions enabling clients to make faster, better decisions with the right data at the right time. 

Something's Burning
S5 E13: If We Had $60,000,000, We'd ALL Be Rich | Ed Robertson + Mark McGrath

Something's Burning

Play Episode Listen Later May 20, 2025 113:54


Sugar Ray and Barenaked Ladies lead singers, Mark McGrath and Ed Robertson, swing by my kitchen to discuss the music industry, how their songs affected my life, and getting older. I make ‘em Chinese Chicken (of course) and we ALL sing One Week. Because, you have to. Catch them on tour TOGETHER this summer… Last Summer on Earth Tour - https://www.barenakedladies.com/tour-2 Follow Mark McGrath: https://www.instagram.com/therealmarkmcgrath Follow Ed Robertson: https://www.instagram.com/barenakedladiesmusic SUBSCRIBE so you never miss a video https://bit.ly/3DC1ICg Stream LUCKY on Netflix https://www.netflix.com/title/81713944 PERMISSION TO PARTY WORLD TOUR is on sale now: http://www.bertbertbert.com/tour For all things BERTY BOY PRODUCTIONS: https://bertyboyproductions.com For MERCH: https://store.bertbertbert.com/ Follow Me! Facebook: http://www.Facebook.com/BertKreischer Instagram: http://www.Instagram.com/bertkreischer YouTube: http://www.YouTube.com/user/Akreischer TikTok: http://www.TikTok.com/@bertkreischer Threads: https://www.threads.net/@bertkreischer X: http://www.Twitter.com/bertkreischer Text Me: https://my.community.com/bertkreischerDRUNKEN NOODLES W/ CHINESE CHICKENDrunken Noodles:Sauce:* 3 TBS oyster sauce* 2 TBS light soy sauce* 2 TBS dark soy sauce* 1 TBS rice wine vinegar* ½ TBS fish sauce* 1 TBS brown sugar* 2 TBS waterStir-Fry:* 7 ounces dried wide rice noodles* 1 TBS sesame oil* 1 brown onion* 1 TBS grated garlic* 1 carrot, julienned* 1 bunch Bok choy, chopped* 4 scallion stems, sliced* 1 firmly packed cup basil leaves* Chili oil * Crushed roasted peanuts1. Mix together ingredients for sauce.2. Cook rice noodles, then rinse with cold water before draining.3. Heat sesame oil in pan. Add onion and garlic. Add carrot, Bok choy, spring onion, noodles, and stir-fry sauce. Toss well until combined. Remove and serve with basil leaves, topping with chili oil and crushed peanuts.Yu Xiang ChickenChicken Marinade: * ½ tsp kosher salt* 3 tsp potato starch* 4 tsp Rice Wine* 2 TBS light soy sauce* 1 tsp sesame oilSauce: * 2 tsp potato starch* 2 TBS white sugar* Salt* ¼ tsp light soy sauce* 4 TBS Rice Wine* 2 TBS Chinkiang vinegar* 1 tsp dark soy sauce* 2 tsp sesame oil* 2 tsp pure chili oil* ½ cup & 4 TBS waterStir-Fry:* ¼ cup cloud ear mushrooms* ½ cup peanut oil* 4-6 TBS chopped pickled red chilis* 2 spring onions, chopped, white and green parts separated* 4 TBS minced ginger* 12 garlic cloves, minced* 1-10 fresh red chilis * 6-20 dried red chilis, snipped into ½” pieces* ½ cup sliced bamboo shoots1. Slice chicken into thin strips. Combine chicken with salt, potato starch, rice wine, light soy sauce, sesame oil, mixing well, then let marinate.2. Combine all sauce ingredients to make sauce3. Chop spring onion, ginger, garlic, fresh red chilies, and snip the dried red chilis into ½” pieces. Drain and rinse bamboo shoots.4. Bring pot of water to a boil and add sliced mushrooms and bamboo shoots boiling for 1-2 minutes then drain in fine mesh strainer and rinse with cold water.5. Heat peanut oil over high heat then add marinated chicken, stir-frying for 40 seconds. Transfer to strainer and let excess oil drip back into wok. Remove all but 3 TBS of oil from wok.6. Heat oil in wok and add pickled red chilis. Then add spring onion white and light green parts, ginger and garlic. Add fresh and dried chilies cooking for 1 minute, then add sliced mushrooms and bamboo shoots.7. Add chicken and sauce into wok. Serve and garnish with dark green parts of spring onion. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Startitup.sk
Ševčík: prepustenie Černáka by bol výsmech spravodlivosti / DÍREROV FILTER

Startitup.sk

Play Episode Listen Later May 20, 2025 22:34


Hosťom relácie Dírerov filter bol bývalý policajný vyšetrovateľ Ivan Ševčík. V polícii aktívne pracoval 19 rokov, bol vyšetrovateľom i riaditeľom ÚBOK. Viedol špecializovaný tím vyšetrovateľov, ktorí zohrali kľúčovú úlohu pri zadržaní a usvedčení mafiánskeho bossa Mikuláša Černáka. Šéfoval Sekcii inšpekčnej služby MV SR a bol policajným pridelencom v Prahe. Momentálne je poslancom NR SR.

Bibliotekspodden Solen
91. Stockholm läser Beckomberga

Bibliotekspodden Solen

Play Episode Listen Later May 14, 2025 46:44


2025 års Stockholm läser-bok är "Beckomberga" av Sara Stridsberg, en modern klassiker med teman som sjukdom och friskhet, drömmar och verklighet, barn och föräldrar och vuxenblivande. Varför är den så omtyckt, hur passar den in i författarskapet, och varför är det en så bra Stockholmsskildring? Om detta och mycket mer samtalar bibliotekarierna Karin Cellton och Max Edenborg med Patrik Schylström från Bibliotekspodden Solen. Solen är en podcast om litteratur och bibliotek med bibliotekarierna Alice Thorburn, Elias Hillström, Maja Bünger och Patrik Schylström från Stadsbiblioteket i Stockholm. Du hittar tidigare avsnitt samt titellistor på bibliotekets hemsida: biblioteket.stockholm.se/bibliotekspodden-solen

Asian Cinema Film Club's Podcast
A.C. Film Club #141- Bedevilled

Asian Cinema Film Club's Podcast

Play Episode Listen Later May 6, 2025 71:44


Elwood and Stephen look at the South Korean revenge thriller Bedevilled as bank clerk Hae-won returns to the island she spent her childhood on after a public meltdown at her work put her on enforced leave. Now reconnecting with her childhood friend Bok-nam she slowly starts to realise the backwards nature of the island and how close her friend is to reaching breaking point.Review: 00:34:28---Opening Theme - Coffee DateBeat Provided By https://freebeats.ioProduced By White Hot---⁠⁠Buy us a coffee and support the show⁠⁠Check out our sponsor: ⁠⁠Yes Please Vintage

The Best of the Money Show
Business book review - Boks to Business

The Best of the Money Show

Play Episode Listen Later May 5, 2025 5:22


Stephen Grootes chats with Pieter Geldenhuys about his new book "Bok to Business", exploring the intersection of sports and entrepreneurship. The Money Show is a podcast hosted by well-known journalist and radio presenter, Stephen Grootes. He explores the latest economic trends, business developments, investment opportunities, and personal finance strategies. Each episode features engaging conversations with top newsmakers, industry experts, financial advisors, entrepreneurs, and politicians, offering you thought-provoking insights to navigate the ever-changing financial landscape.Thank you for listening to The Money Show podcast.Listen live - The Money Show with Stephen Grootes is broadcast weekdays between 18:00 and 20:00 (SA Time) on 702 and CapeTalk. There’s more from the show at www.themoneyshow.co.za Subscribe to the Money Show daily and weekly newslettersThe Money Show is brought to you by Absa. Follow us on:702 on Facebook: www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: www.tiktok.com/@talkradio702702 on Instagram: www.instagram.com/talkradio702702 on X: www.x.com/Radio702702 on YouTube: www.youtube.com/@radio702CapeTalk on Facebook: www.facebook.com/CapeTalk CapeTalk on TikTok: www.tiktok.com/@capetalk CapeTalk on Instagram: www.instagram.com/capetalkzaCapeTalk on YouTube: www.youtube.com/@CapeTalk567CapeTalk on X: www.x.com/CapeTalkSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Travelers In The Night
847-Ultra Distant Comet

Travelers In The Night

Play Episode Listen Later May 2, 2025 2:01


My Catalina Sky Survey teammate Hannes Gröller was asteroid hunting in the constellation of Ursa Major with the University of Arizona 90 inch Bok telescope on Kitt Peak when he discovered a faint moving object surrounded by a tiny gas and dust cloud called a coma. May 19, 2028 comet C/2025 D1  (Groeller) reaches its closest point to the Sun some 14.1 times the Earth-Sun distance and thus sets the record for the comet which stays furtherest from the Sun.After rounding the Sun comet C/2025 D1 (Groeller) will head back into truly deep space perhaps never to return.

Lundströms Bokradio
Bokcirkeln: Borde Joan Didions postuma bok aldrig ha getts ut?

Lundströms Bokradio

Play Episode Listen Later May 2, 2025 44:17


Andres Lokko och Ulrika Milles har läst och samtalar om den amerikanska författaren Joan Didions postumt utgivna bok Anteckningar till John. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Den amerikanska författaren och journalisten Joan Didion gick bort 2021. Nu är precis en postum bok av denna legendariska röst utgiven – hundrafemtio sidor som hittades i hennes arbetsrum i New York. Boken heter Anteckningar till John och är översatt till svenska av Erik MacQueen.Boken tar sin början i november 1999 när Joan Didion börjar gå till en psykiater. Hennes make John Gregory Dunne vill inte gå med, så hon går dit själv, mycket för att tala om deras dotter Quintana, som är i trettioårsåldern och kämpar med alkoholism och ångest. Didions utlämnande anteckningar i boken sträcker sig fram till januari 2003.Författaren och musikjournalisten Andres Lokko och författaren och litteraturkritikern Ulrika Milles har läst Anteckningar till John och samtalar med Marie Lundström, som intervjuade Joan Didion i hennes hem i New York, 2005.Skriv till oss! bokradio@sverigesradio.seProgramledare: Marie LundströmProducenter: Nina Asarnoj och Andreas Magnell

Story Pirates
Detective Bok and the Return of the Yellow Snatcher

Story Pirates

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 22:00


Bok bok bok bok bok bok bok. Bok. And THAT is all you need to know about today's episode, written by a 10 year old from China named John.

Stormens utveckling
309. Dansa som om alla tittar (teaser)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 8:12


Kort smakprov, för att höra detta avsnitt bli prenumerant för 39 kr i månaden på https://underproduktion.se/stormensutveckling Om det uppstår problem mejla support@underproduktion.se Ola har läst en bok om internets historia och pratar om huruvida Klas Östergren är vår tids Skunkdagboksskribent. Jonatan pratar om att Arbogakvinnan verkar jobbig. Bok som refereras: Joanne McNeil - Lurking: How a Person Became a User

Vetandets värld
Perfektionism får dig att prestera sämre

Vetandets värld

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 19:34


Perfektionism är inte samma sak som att vara ambitiös och noggrann. Psykologisk forskning visar att det inte får oss att prestera bättre, men däremot kan få oss att må dåligt. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Programmet sändes första gången 20240103.Socialpsykologen Thomas Curran forskar om perfektionism vid London School of Economics. De senaste decennierna har perfektionism ökat, särskilt bland unga. Forskarna oroar sig för att det är kopplat till den psykiska ohälsa bland unga som också ökar.Bok om perfektionismThomas Curran har också skrivit en bok om orsakerna och hur vi ska komma till rätta med det. ”Perfektionsfällan - att omfamna kraften i lagom bra”.Lena Nordlundlena.nordlund@sverigesradio.se

Stormens utveckling
308. Min Peter (gratisfeeden)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 57:59


Ola om hur svårt det är att införa handelstullar när man är lättdistraherad. Jonatan om Centertoppen som kämpar för elallergiker. Bok som refereras: Bob Woodward - Fear: Trump in the White House

Bibliotekspodden Solen
90. Bora Chung and Korean genre literature

Bibliotekspodden Solen

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 45:50


The Korean author Bora Chung is known for her relentless look on humanity and her often grotesque, often scary and sometimes funny short stories. Hear her talk about her book Cursed bunny, just released in Swedish as Förbannad kanin, it´s main theme revenge, and what it´s like to be a woman writer in South Korea, in an interview with Solens Alice Thorburn, Elias Hillström and Maja Bünger. This episode of Bibliotekspodden Solen was recorded live at the Korean Culture Institute in Stockholm in March 2025, and is held in English. Solen är en podcast om litteratur och bibliotek med bibliotekarierna Alice Thorburn, Elias Hillström, Maja Bünger och Patrik Schylström från Stadsbiblioteket i Stockholm. Du hittar tidigare avsnitt samt titellistor på bibliotekets hemsida: biblioteket.stockholm.se/bibliotekspodden-solen

Stormens utveckling
307. Staffan Hildebrand med bättre production values (teaser)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 4:55


Kort smakprov, för att höra detta avsnitt bli prenumerant för 39 kr i månaden på https://underproduktion.se/stormensutveckling Om det uppstår problem mejla support@underproduktion.se Ola om att hyllade tv-serien ”Adolescence” är för Sievert Öholm och att det är bättre att se komikern Conner O'Malley om man vill förstå samtiden. Liv om klagandets njutning. Bok som refereras:Aaron Schuster - The Trouble with Pleasure: Deleuze and Psychoanalysis

Grand reportage
Simandou: miracle ou mirage pour l'économie guinéenne?

Grand reportage

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 19:29


L'exploitation des immenses réserves de fer des monts du Simandou pourrait marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. Estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, ces réserves font l'objet de discussions depuis trois décennies. Les autorités prévoient une entrée en production pour la fin de l'année 2025, présentant ce projet comme la vitrine de leur ambition économique. Face au manque de transparence, la population guinéenne, qui a connu les désillusions de l'exploitation de bauxite, oscille entre espoir et scepticisme. Sur le chantier du chemin de fer, la poussière et les boues envahissent les champs, rendant impossible toute culture. Mamoudou Youla, habitant du village de Sounganyia marche sur la terre craquelée qui a envahi sa rizière. « Tout ça, là, c'est le lieu de travail. Depuis que les sociétés minières sont arrivées il y a cinq ans, on ne travaille pas ici, rien, tout est gâté. », se lamente-t-il. Les dédommagements promis par les miniers ne suffisent pas à compenser les pertes subies par les agriculteurs. Mamaseta Camara, une autre habitante, exprime son désenchantement face aux promesses non tenues. « Quand les entreprises sont arrivées ici, j'étais contente, je me suis dit que c'était une opportunité pour nous. Mais ça ne s'est pas passé comme prévu. On subit de nombreux impacts. » Tout se fissure. Les murs des maisons, comme la confiance des habitants envers les sociétés.Il n'y aurait pas eu assez d'emploi pour les jeunes de Soungayah. La corruption autour du chantier est un autre sujet de préoccupation. « Quand vous allez sur le chantier pour du travail, il y a des intermédiaires qui vous demandent de l'argent. Environ 1 million et demi de francs guinéens », témoigne anonymement ce jeune homme. Il a le verbe haut et une profonde colère en lui. « À Conakry, on dit que nous sommes les boss. Qu'il y a un grand projet chez nous, le grand port de la Guinée, et donc qu'on est les rois, mais les gens ne savent pas ce qui se passe réellement ici. Pas d'emploi, pas d'eau, pas d'hôpital. J'en veux aux autorités guinéennes. Parce que depuis que le projet a commencé ici, personne ne s'est déplacé pour voir ce que nous traversons ici. Ils s'en foutent de nous ». Plus de 33 000 emplois ont déjà été créés sur le corridor, avançait Mamadi Doumbouya, le président de la transition, lors de ses derniers vœux à la nation.Des retombées XXL espérées pour l'économie guinéenneInitié en 1997, le projet Simandou a connu de nombreux rebondissements. D'abord attribués à Rio Tinto, les blocs 1 et 2 ont ensuite été confiés à BSGR, avant d'être réattribués à Winning Consortium Simandou en 2019, un partenariat sino-singapourien avec une participation guinéenne. Après le coup d'État en 2021, les travaux ont été interrompus par la junte. Puis, le géant de l'acier Baowu Steel a investi 6 milliards de dollars dans le projet, renforçant l'engagement de la Chine. Les espoirs sont énormes. Les autorités guinéennes misent sur des retombées économiques annuelles de 600 à 700 millions de dollars via des taxes et redevances. « Les ressources générées par les mines du projet Simandou et la transformation locale des minerais par la construction des raffineries nous ouvrent des perspectives heureuses d'avenir. », se réjouissait Mamadi Doumbouya. La construction d'une aciérie permettrait également de transformer une partie du fer sur place.« Nous osons espérer que cela soit la bonne cette fois, explique l'économiste Mohammed Camara. Pour un projet minier, l'important, c'est qu'est-ce qu'on en tire comme fiscalité, quels sont les impôts et taxes que ce projet va payer à l'État ? Il faut voir le projet sur du long terme et s'assurer de l'utilisation efficace des ressources. Le peu que l'on gagne, il faut l'investir où on peut impacter le plus. »Le « pont vers la prospérité » vanté par les autorités guinéennes n'est pas garanti. « Les autorités comptent beaucoup sur le Simandou parce que c'est un projet qui va doubler le produit intérieur brut du pays, mais attention, il ne faut pas croire que cela va régler tous les problèmes d'un seul coup », poursuit Mohammed Camara.Des contrats miniers toujours secretsD'autant qu'un doute subsiste sur les retombées économiques réelles. Les contrats signés entre l'État et les sociétés minières n'ont en effet pas été publiés. Ces trois conventions minières, ferroviaires et portuaires finalisées en 2023 ne sont connues que de quelques-uns dans le pays. « On se demande bien qui les a vues, c'est l'omerta la plus totale », témoigne un ancien proche du ministère des Mines.La publication des contrats est obligatoire selon le code minier guinéen. Or, ces conventions validées par la Cour suprême adoptées par le CNT – l'Assemblée nationale guinéenne – en février 2024 sont introuvables. Manque de transparence flagrant pour certains acteurs de la société civile. Incompréhension pour Oumar Totiya Barry de l'Observatoire des mines et métaux : « Officiellement, le Premier ministre parle de contrat stratégique, donc de secret d'État. Le ministre des Mines évoque le fait que le processus de négociation n'est pas terminé. Mais on sait quand même que ces documents sont passés au niveau du CNT et donc, que le processus est à son terme. On ne comprend pas pourquoi la Guinée ne rend pas encore public ces contrats. Cela aiderait aujourd'hui à améliorer le niveau de compréhension. »À lire aussiGuinée: de Sekou Touré à Mamadi Doumbouya, l'incroyable histoire du gisement de fer de SimandouMême du côté des sociétés minières, on peine à comprendre ce manque de transparence. Mais le gouvernement reste droit dans ses bottes sur cette question. « Quand on négocie avec quelqu'un, il y a toujours des clauses de confidentialité, explique le ministre du plan Ismaël Nabé. Nous sommes en train de discuter avec les partenaires industriels et on publiera au temps opportun. On renégocie parce que la Guinée était perdante. Nous sommes avec des partenaires et on doit avoir un commun accord, et respecter ce que l'on s'est dit. Si on est d'accord, ça sera publié. »Les éléments juridiques des conventions signées ont déjà été publiés dans un numéro spécial du Journal officiel qui n'a pas été rendu public, mais que RFI a pu se procurer. Certains y voient la preuve que tout est déjà négocié et que les autorités n'ont pas envie de dévoiler des contrats qui seraient défavorables à la Guinée. Un des négociateurs nous informe que la plupart des contrats de revente par lesquels les clients achètent le minerai produit ne sont pas encore signés. Le prix de revente du fer de Simandou – élément clé pour le calcul des recettes de l'État – ne serait pas fixé. Djiba Diakité, le président du comité stratégique de Simandou, a récemment expliqué dans une interview à Forbes Afrique que « si on mettait bout à bout tous les documents contractuels de Simandou... ça ferait 14 kilomètres ».Un train pour le minerai et pour les passagers ?La Guinée veut croire à la renaissance de son réseau ferroviaire grâce au gigantesque projet minier. Le gisement de fer, l'un des plus riches au monde, doit être relié au port de Moribayah par une ligne de chemin de fer de 650 kilomètres. Une infrastructure qui cristallise les espoirs de désenclavement de la Haute et Moyenne-Guinée. Pensée comme une double voie, cette ligne doit permettre non seulement l'acheminement du minerai vers la côte, mais aussi, à terme, le transport de marchandises et de passagers. « Le chemin de fer est multi-utilisateur. Une partie va servir aux miniers, une autre aux marchandises, mais aussi aux personnes. L'objectif est de développer plus de 2 000 km de voie ferrée dans le pays », déclare Ismaël Nabé, ministre du Plan à RFI.Cette ambition de désenclaver les régions agricoles, comme la zone de Kankan ou de N'zérékoré, suscite l'enthousiasme. Certains imaginent déjà des trains chargés d'ignames ou de bananes rejoindre plus facilement les marchés urbains. Mais sur le terrain, les observateurs sont plus prudents. « L'idée d'un train passager est séduisante, mais peu réaliste dans l'état actuel du tracé », estime Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire des mines et métaux. Selon lui, la ligne évite les grands centres urbains. « Il y a bien une quinzaine de gares prévues, mais elles sont souvent à des dizaines de kilomètres des villes. Madina Oula, par exemple, se trouve à plus de 80 km de Kindia. Pour Mamou, c'est le même problème avec la gare de Farenta. » En cause, une logique de tracé prioritairement industrielle. Le chemin de fer suit le chemin le plus court et le moins coûteux entre la mine et le port, au détriment d'une intégration fine au territoire. « Le mariage entre aménagement du territoire et conception du chemin de fer n'a pas suffisamment fonctionné », regrette Oumar Totiya Barry.À Kaloum, cœur battant de Conakry, certains commerçants restent sceptiques. Marqués par les promesses non tenues des précédents projets miniers, ils redoutent que Simandou ne soit qu'un mirage de plus. Dans les zones d'exploitation de la bauxite, comme à Boké, l'exploitation a certes rapporté des devises, mais elle a aussi laissé des séquelles : pollution de l'air, raréfaction de l'eau potable, routes dégradées. « Simandou, c'est du vent », tranche un commerçant, dénonçant une richesse qui ne profite toujours pas à la population. En attendant, Simandou creuse son sillon, porté par de grandes ambitions.

Stormens utveckling
306. Omedelbarhet (gratisfeeden)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 70:23


Utan att det var planerat blev temat för veckans avsnitt: konsekvenser av att arbetarklassen som kollektiv politisk kraft har krossats. Liv pratar om att det har lett till att såväl vänster- som högerpopulism drivs av den lägre medelklassen. Ola pratar om att det har lett till att romaner skrivs i jagform i stället för i tredjepersonsperspektiv. Bok som refereras:Anna Kornbluh - Immediacy, or the style of too late capitalism Dan Evans artikel: https://www.newsocialist.org.uk/is-the-working-class-back/

Stormens utveckling
304. Är vi lyckliga nu? (teaser)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 5:20


Kort smakprov, för att höra detta avsnitt bli prenumerant för 39 kr i månaden på https://underproduktion.se/stormensutveckling Om det uppstår problem mejla support@underproduktion.se Ola om "World Happiness Report" och vad det egentligen betyder att Finland är världens lyckligaste land. Jonatan om Ola - Sveriges mest hatade person. Bok som refereras: Väinö Linna - Högt bland Saarijärvis moar

Plant Based Eating Made Easy | Simple Strategies & Clear Nutrition Guidance to Transform Your Health | Dietitian, Plant Based
97 | What's Bok Choy and How Do You Enjoy It? [Spring Vegetable Highlight]

Plant Based Eating Made Easy | Simple Strategies & Clear Nutrition Guidance to Transform Your Health | Dietitian, Plant Based

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 11:47 Transcription Available


Spring is a great time of year to begin enjoying a greater variety of vegetables. Like Bok Choy. Don't know what this is? If you're completely new to plant-based eating and just stepping into the world of green leafy vegetables, you might find the words ‘Bok choy' not only foreign looking but also strange to pronounce. What IS this vegetable, how does it taste and what can you make with it?   Let's look at that today. In this Ingredient Spotlight episode, we'll take a closer look at this vegetable, what it is and what's in it nutritionally. I'll show you that it is easy to cook and super versatile in the plant-based kitchen too! Ready? Get comfy with your favorite spring-time drink and let's begin!     Join -> www.plantnourished.com/ppltcourse Contact -> healthnow@plantnourished.com Learn -> www.plantnourished.com Connect in the Facebook Community -> www.bit.ly/pbdietsuccess Apply -> Free Rapid Health Transformation Call: https://bit.ly/plantnourished Free Resource -> Quick Start Grocery Guide for Plant-Based Essentials: www.plantnourished.com/groceryguide     Have a question about plant-based diets that you would like answered on the Plant Based Eating Made Easy Podcast? Send it by email (healthnow@plantnourished.com) or submit it by a voice message here: www.speakpipe.com/plantnourished [Plant-Based Diet, Nutrition, Meal Ideas, Ingredient Spotlight, Plant Based Eating, Whole Foods, Get Healthy, Plantbased]

KOREA PRO Podcast
Another potential impeachment, interest rates and trade tensions — Ep. 67

KOREA PRO Podcast

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 12:14


In this episode, John and Joon Ha break down the biggest headlines in South Korean news this week. First, they discuss the main opposition Democratic Party's announcement that it plans to launch impeachment proceedings against Acting President Choi Sang-mok, citing Choi's failure to appoint a Constitutional Court nominee. John and Joon Ha go into how this move could deepen political instability and increase market volatility as the country awaits the Constitutional Court's ruling on President Yoon Suk-yeol's impeachment. Next, they analyze the U.S. Federal Reserve's decision to hold rates steady, which has left the Bank of Korea (BOK) with limited policy options as household debt rises and the U.S.-Korea rate gap widens. John explains why the BOK faces a difficult balancing act between supporting domestic demand and preventing capital flight. Finally, they cover South Korea's decision to tighten anti-dumping measures on Chinese steel imports following the U.S.'s new tariffs on steel and aluminum. John explains how Beijing's muted response reflects a strategic wait-and-see approach amid South Korea's political uncertainty. John and Joon Ha close by noting that the Constitutional Court will issue its ruling on former Acting President Han Duck-soo's impeachment on Monday, which means that Yoon's impeachment ruling may be announced next week. About the podcast: The Korea Pro Podcast is a weekly 15-minute conversation hosted by Editorial Director Jeongmin Kim (@jeongminnkim) and Editor John Lee (@koreanforeigner), diving deep into the most pressing stories shaping South Korea — and dissecting the most complicated ones for professionals monitoring ROK politics, diplomacy, culture, society and technology. Uploaded every Friday. This episode was recorded on Thursday, March 20, 2025. Audio edited by Gaby Magnuson

Stormens utveckling
303. Att ha ett hum om torv (gratisfeeden)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 59:44


Ola om huruvida vi är på väg in i en era av patrimonialism. Jonatan lanserar det nya stående inslaget "Veckans ord" och berättar om vidrig finsk torv-kolonialism i Boråstrakten. Bok som refereras: Ernest Gellner - Plough, Sword, & Book: The Structure of Human History The Atlantic-artikeln: https://www.theatlantic.com/ideas/archive/2025/02/corruption-trump-administration/681794/

Stormens utveckling
302. La Bombalera (teaser)

Stormens utveckling

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 6:36


Ola om att det är både deprimerande och lugnande med amerikanska liberaler som är nostalgiska för Ronald Reagan. Liv har sett "The Baldwins" och pratar om Hilarias rätt att ha en spansk identitet. Bok som refereras: Marshall Berman - Allt som är fast förflyktigas