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Chaque année en France, 140 000 personnes sont frappées par un AVC. Aujourd'hui, l'histoire de l'une d'entre elles : un Français un peu particulier puisqu'au moment où l'AVC s'abat sur lui, Christian Streiff est PDG du groupe PSA Peugeot Citroën, et qu'on est en pleine crise financière de 2008Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:22 - Le brief éco - Le constructeur Stellantis (ex PSA-Peugeot-Citroën) et la start-up française Mistral AI Stellantis travaillent maintenant main dans la main. L'intelligence artificielle va notamment aider à réduire considérablement le temps d'analyse lors de la conception d'un modèle, mais aussi permettre de créer un assistant permanent, actionnable à la voix.
Carlos Tavares a sauvé PSA Peugeot Citroën, il a réussi le rachat et le redressement d'Opel en un temps record. C'est encore lui qui a réussi la fusion entre PSA et Fiat Chrysler. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:27 - L'éco avec - Stellantis s'est effondré hier en bourse. Une chute de plus de 12%. C'est la plus forte baisse de l'histoire de l'entreprise, née en 2021 du rapprochement de Fiat Chrysler et de PSA Peugeot Citroën. Pourquoi cette sortie de route brutale ?
durée : 00:02:22 - Le brief éco - Le constructeur automobile (ex-PSA Peugeot Citroën) a indiqué, mardi, qu'il mettra sa menace à exécution si le gouvernement britannique ne soutient pas suffisamment la voiture électrique.
C dans l'air du 17 avril 2024 - Carlos Tavares : le patron qui valait 36 millions ? 36,5 millions d'euros pour l'année 2023, soit pas moins de 100 000 euros par jour. Ce mardi, le conseil d'administration de Stellantis a validé à 70 % des voix la rémunération en forte hausse du directeur général Carlos Tavares. Une somme colossale jugée totalement indécente par une part importante de la classe politique, notamment à gauche mais que l'intéressé assume. "C'est une dimension contractuelle entre l'entreprise et moi. Comme pour un joueur de foot et un pilote de Formule 1, il y a un contrat", a-t-il justifié auprès de BFM Business. Le chef d'entreprise, habitué des polémiques au sujet de son salaire, s'est d'ailleurs laissé aller à une petite provocation en lançant : "si vous estimez que ce n'est pas acceptable, faites une loi". En 2022 déjà, la rémunération de Carlos Tavares avait relancé le débat sur le salaire des dirigeants du CAC 40. Conscient des risques d'explosion sociale, Emmanuel Macron avait jugé à l'époque "choquants et excessifs" les 19 millions attribués pour l'année 2021 au dirigeant du groupe automobile né de la fusion de PSA Peugeot-Citroën et FCA Fiat-Chrysler. Le chef de l'Etat s'était alors prononcé pour la mise en place d'un plafond contre les rémunérations abusives pour les patrons européens, au niveau de l'Union européenne. Le projet est jusqu'à présent resté lettre morte. Cette fois, c'est l'insoumis Matthias Tavel qui a annoncé le dépôt d'une proposition de loi "pour fixer un salaire maximum dans les entreprises, en limitant à 20 les écarts entre la plus grande rémunération et le plus petit salaire". Idem pour les socialistes qui entendre défendre un texte déposé en 2020 allant également dans ce sens. Pour le président du groupe rose à l'Assemblée Boris Vallaud, le moment est venu pour le législateur de s'emparer de la question de la répartition des richesses. Et ce alors que l'inflation impacte encore fortement le revenu des ménages et que le gouvernement va demander de nouveaux efforts aux Français pour palier au spectaculaire dérapage des comptes en 2023. Lors du Conseil des ministres ce mercredi, l'exécutif a dévoilé la nouvelle feuille de route gouvernementale pour faire revenir le déficit public sous les 3 % du PIB d'ici à 2027. Mais celle-ci est jugée manquer de "crédibilité" et de "cohérence" par le Haut Conseil des finances publiques qui appelle à renoncer aux baisses d'impôts promises pour l'an prochain. La question de la taxation des plus riches est également évoquée dans la classe politique. Dans une tribune publiée dans les colonnes du Monde, un collectif d'économistes plaide, de son côté, pour la désindexation des pensions de retraite et la suppression de l'abattement de 10 % sur leur imposition. LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des Echos - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Aurore GORIUS - journaliste indépendante, spécialiste du lobbying et de l'influence - Emmanuel DUTEIL- Directeur de la rédaction de l'Usine nouvelle
En dix ans à la tête de l'ex PSA Peugeot-Citroën, puis depuis 2019 du groupe Stellantis qui est né de la fusion avec Fiat et Chrysler, l'ex numéro deux de Renault a réalisé un parcours sans faute. Même si Philippe Varin son prédécesseur chez PSA avait préparé le terrain avec la fermeture de l'usine d'Aulnay et l'arrivée de la 3008, Tavares a mis PSA sous tension et il a redressé un groupe à la dérive en un temps record.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque année en France, 140 000 personnes sont frappées par un AVC. Aujourd'hui, l'histoire de l'une d'entre elles : un Français un peu particulier puisqu'au moment où l'AVC s'abat sur lui, Christian Streiff est PDG du groupe PSA Peugeot Citroën, et qu'on est en pleine crise financière de 2008.
Bataille à distance hier entre le patron de Stellantis (l'ancien PSA Peugeot-Citroën) et Bruno Le Maire au sujet de la voiture électrique. Carlos Tavares estime qu'il ne peut pas produire en France une petite citadine 100% électrique. Il a raison ? Les explications de Martial You pour RTL. Ecoutez L'angle éco du 06 juillet 2023 avec Martial You.
Une cinquantaine de grands patrons français accompagnent Emmanuel Macron dans son voyage officiel en Chine. Mais il n'y a pas les PDG de Renault ni de Stellantis (ex PSA Peugeot-Citroën). Pourquoi une telle absence ? C'est malheureusement assez justifié nous explique Martial You pour RTL. Ecoutez L'éco & You du 06 avril 2023 avec Martial You.
Une cinquantaine de grands patrons français accompagnent Emmanuel Macron dans son voyage officiel en Chine. Mais il n'y a pas les PDG de Renault ni de Stellantis (ex PSA Peugeot-Citroën). Pourquoi une telle absence ? C'est malheureusement assez justifié nous explique Martial You pour RTL. Ecoutez L'éco & You du 06 avril 2023 avec Martial You.
durée : 00:02:18 - Le brief éco - Stellantis, ex-PSA Peugeot-Citroën, réorganise son réseau de concessionnaires en Europe et donc en France. Dès le mois de juillet, le groupe automobile va diminuer le nombre de ses points de ventes.
Le Mondial de l'Auto est de retour à Paris après l'interruption des années Covid. C'est le rendez-vous des constructeurs de véhicules en tous genres, de moins en moins thermiques et de plus en plus électriques. La crise énergétique et climatique est dans tous les esprits, dans un contexte plus que compliqué pour l'industrie automobile. Les problèmes de chaînes d'approvisionnement et de pouvoir d'achat pèsent sur le marché. Lors de cette édition 2022, les constructeurs chinois sont venus en force à Paris pour tenter, malgré la conjoncture internationale, de conquérir le marché européen avec des véhicules bardés de technologie et, si l'on en croit leurs dirigeants, plus respectueux de l'environnement, ce qui reste naturellement à prouver. Face aux chinois, beaucoup d'absents chez les européens : ni Volkswagen, ni BMW, ni Mercedes, ni Ferrari. Seuls Renault et Stellantis, 6ème groupe mondial résultant de la fusion entre PSA Peugeot Citroën et Fiat Chrysler, sont présents. Son directeur général Carlos Tavares a accordé un entretien à Éco d'ici Éco d'ailleurs, tenant des propos particulièrement offensifs contre les décisions de l'Union européenne. NOS INVITÉS : - Carlos Tavares, directeur général du groupe Stellantis. - Fei Yao, vice-président du constructeur chinois GWM (Great Wall Motors), chargé du marché européen - Clément Molizon, délégué général de l'AVERE (Association française pour le développement de la mobilité électrique. NOTRE REPORTAGE : Convertir une usine automobile à la production de véhicules électriques ne se fait pas d'un coup de baguette magique. Illustration à l'usine Stellantis de Sochaux (est de la France) avec le reportage de Théo Renaudon, journaliste au service économie de RFI. Écoutez le reportage Dans la seconde partie de l'émission, Éco d'ici, Éco d'ailleurs se penche sur le marché automobile en Afrique où, malgré une industrie seulement naissante, des difficultés de financement et d'approvisionnement, des constructeurs émergent. C'est le cas au Maroc, en Afrique du Sud, mais aussi au Kenya. NOS INVITÉS : - Faouzi Annajah, directeur général de NamX, véhicule fonctionnant à l'hydrogène. - Nicolas Guibert, directeur général de Mobius Motors, start-up implantée au Kenya. NOTRE REPORTAGE : Le Maroc est un des pays africains les plus avancés dans ce secteur automobile. Mais la crise est partout. Comment faire pour vendre des véhicules dans cette période d'inflation, sans oublier les difficultés d'approvisionnement ? Victor Mauriat, notre correspondant à Rabat, est allé à la rencontre des professionnels. Écoutez le reportage Retrouvez-nous sur Facebook et Twitter.
Le Mondial de l'Auto est de retour à Paris après l'interruption des années Covid. C'est le rendez-vous des constructeurs de véhicules en tous genres, de moins en moins thermiques et de plus en plus électriques. La crise énergétique et climatique est dans tous les esprits, dans un contexte plus que compliqué pour l'industrie automobile. Les problèmes de chaînes d'approvisionnement et de pouvoir d'achat pèsent sur le marché. Lors de cette édition 2022, les constructeurs chinois sont venus en force à Paris pour tenter, malgré la conjoncture internationale, de conquérir le marché européen avec des véhicules bardés de technologie et, si l'on en croit leurs dirigeants, plus respectueux de l'environnement, ce qui reste naturellement à prouver. Face aux chinois, beaucoup d'absents chez les européens : ni Volkswagen, ni BMW, ni Mercedes, ni Ferrari. Seuls Renault et Stellantis, 6ème groupe mondial résultant de la fusion entre PSA Peugeot Citroën et Fiat Chrysler, sont présents. Son directeur général Carlos Tavares a accordé un entretien à Éco d'ici Éco d'ailleurs, tenant des propos particulièrement offensifs contre les décisions de l'Union européenne. NOS INVITÉS : - Carlos Tavares, directeur général du groupe Stellantis. - Fei Yao, vice-président du constructeur chinois GWM (Great Wall Motors), chargé du marché européen - Clément Molizon, délégué général de l'AVERE (Association française pour le développement de la mobilité électrique. NOTRE REPORTAGE : Convertir une usine automobile à la production de véhicules électriques ne se fait pas d'un coup de baguette magique. Illustration à l'usine Stellantis de Sochaux (est de la France) avec le reportage de Théo Renaudon, journaliste au service économie de RFI. Écoutez le reportage Dans la seconde partie de l'émission, Éco d'ici, Éco d'ailleurs se penche sur le marché automobile en Afrique où, malgré une industrie seulement naissante, des difficultés de financement et d'approvisionnement, des constructeurs émergent. C'est le cas au Maroc, en Afrique du Sud, mais aussi au Kenya. NOS INVITÉS : - Faouzi Annajah, directeur général de NamX, véhicule fonctionnant à l'hydrogène. - Nicolas Guibert, directeur général de Mobius Motors, start-up implantée au Kenya. NOTRE REPORTAGE : Le Maroc est un des pays africains les plus avancés dans ce secteur automobile. Mais la crise est partout. Comment faire pour vendre des véhicules dans cette période d'inflation, sans oublier les difficultés d'approvisionnement ? Victor Mauriat, notre correspondant à Rabat, est allé à la rencontre des professionnels. Écoutez le reportage Retrouvez-nous sur Facebook et Twitter.
La voiture sera à l'honneur la semaine prochaine à Paris. Le Mondial de l'automobile se tient dans la capitale française du 17 au 23 octobre. Parmi les constructeurs à exposer leurs modèles : Stellantis. À cette occasion, RFI brosse le portrait de Carlos Tavares,directeur général du groupe qui unit PSA Peugeot-Citroën et Fiat-Chrysler. L'automobile, Carlos Tavares, lui a consacré toute sa vie. « C'est vraiment le "car guy", un "type de l'automobile" », juge François Roudier, porte-parole de la filière automobile qui le compare volontiers aux grandes figures du secteur : «Il a un côté un peu Henry Ford et même Citroën. » Cet amour de la voiture nait dès l'adolescence de ce Portugais au français impeccable. Jeune Lisboète, il officie comme commissaire de course sur le circuit d'Estoril. Carlos Tavares part ensuite dans l'hexagone faire ses études supérieures. Diplômé de l'école centrale de Paris, l'ingénieur entre, dans la foulée, non pas chez Peugeot, mais chez son concurrent Renault. Il gravit les échelons chez Renault et Nissan jusqu'à un poste de numéro deux pour la marque au losange, et une déclaration dans la presse en 2013 : il assume publiquement son ambition de devenir numéro 1 d'un groupe automobile. Problème : Carlos Ghosn, alors patron de l'Alliance, n'est pas enclin à céder sa place. « Psychopathe de la performance » Quelques mois après, Carlos Tavares prend la tête d'un groupe PSA en difficulté. Le nouveau patron applique alors «une recette relativement simple mais assez brutale », explique Tommaso Pardi, directeur du Groupe d'études et de recherche permanent sur l'industrie et les salariés de l'automobile (Gerpisa). Sa politique : «Une réduction des coûts tous azimuts, la quête de performances opérationnelles à tous les niveaux de l'entreprise. Il a aussi profité des opérations qu'il a pu mener avec Opel d'abord et plus récemment avec Fiat, pour utiliser ce qu'il appelle les synergies. Il est très fort pour ça. » ► À lire aussi : Malgré la crise des semi-conducteurs, Stellantis réalise un bénéfice record Une obsession de l'efficacité assumée par Carlos Tavares lui-même qui ne rechigne pas à se considérer comme un «psychopathe de la performance ». Et la quête de ce fils de comptable d'une rentabilité toujours plus grande perdure dans le temps, selon Jean-Pierre Mercier. Leporte-parole de la CGT - Stellantis regrette des «méthodes de management de plus en plus violentes, de plus en plus agressives vis-à-vis du personnel. On voit qu'il y a une volonté déterminée de faire baisser les effectifs pour augmenter les profits ». Salaire polémique Carlos Tavares, un chasseur de coûts, sauf peut-être quand il s'agit de son salaire. Il a engrangé 19 millions d'euros l'an dernier. Sa rémunération, qui atteindrait même 66 millions d'euros s'il remplit ses objectifs à long terme, a fait polémique, y compris parmi les actionnaires. Si Carlos Tavares partage le goût de la réduction des coûts de productions avec d'autres patrons, son expérience d'ingénieur automobile, «sa connaissance très fine de l'automobile » aide le centralien dans cette tâche, assure Tommaso Pardi. « Il peut développer un management très intrusif. Il peut lui-même aller voir de près, ce que font les différents directeurs au niveau opérationnel. » Pour autant, les visites dans les usines se font au pas de charge, raconte Jean-Pierre Mercier : « Quand il fait des tournées d'usines, parce qu'il en fait très souvent pour remonter les bretelles des directions locales, une semaine avant, il faut tout nettoyer, on refait les peintures, tout est nickel chrome. Et on le voit passer comme un TGV. » « Quelqu'un qui va très vite » Carlos Tavares est un homme pressé. Prendre des décisions sans lésiner, c'est d'ailleurs l'une des clefs de son succès aux yeux de François Roudier exemple à l'appui : « Au départ, il n'était pas trop fan des voitures électriques, mais quand il a fallu le faire, il l'a fait. Et en 2030, il n'y aura plus que des voitures électriques en vente chez Stellantis. Donc c'est quelqu'un qui va très vite et dans l'industrie automobile, les grands patrons sont des gens qui ont pris des risques et qui sont allés vite »,conclut le porte-parole de la filière automobile qui décrit par ailleurs le directeur général de Stellantis comme un homme qui peut être « dur » mais qui est aussi « très fidèle en amitié ». Carlos Tavares peut s'enorgueillir de bénéfices nets en hausse au premier semestre 2022, tout juste un an après la création de Stellantis. ► À lire aussi : France: le marché de l'automobile toujours au ralenti en juillet « Maintenant, il faut voir si Carlos Tavares, au-delà de Stellantis, est en mesure de jouer aussi un rôle plus important qu'il ne l'a joué jusqu'à présent, dans une stratégie industrielle française »,s'interroge Tommaso Pardi. « On se dit que ce serait très important que Carlos Tavares joue un peu plus collectif et qu'il s'engage un peu plus dans le compromis » pour que la France se rapproche du modèle allemand doté « d'une alliance forte entre constructeurs, syndicats, État et Landers ». Le goût du volant En dépit du fait qu'il chapeaute quatorze marques, Carlos Tavares trouve du temps pour lui. Ses loisirs ? L'automobile, encore. Carlos Tavares est pilote amateur. « Dans son contrat, il avait bien dit qu'il continuerait à courir alors qu'au départ l'employeur hésitait en disant que c'était dangereux », raconte François Roudier. Et de préciser : « Il aime bien courir en voiture ancienne. » Les plans stratégiques lancés à Peugeot-Citroën et désormais à Stellantis ont d'ailleurs des noms liés à cet univers, à l'instar de son premier plan à PSA : « Back in the race » - de retour dans la course.
La voiture sera à l'honneur la semaine prochaine à Paris. Le Mondial de l'automobile se tient dans la capitale française du 17 au 23 octobre. Parmi les constructeurs à exposer leurs modèles : Stellantis. À cette occasion, RFI brosse le portrait de Carlos Tavares,directeur général du groupe qui unit PSA Peugeot-Citroën et Fiat-Chrysler. L'automobile, Carlos Tavares, lui a consacré toute sa vie. « C'est vraiment le "car guy", un "type de l'automobile" », juge François Roudier, porte-parole de la filière automobile qui le compare volontiers aux grandes figures du secteur : «Il a un côté un peu Henry Ford et même Citroën. » Cet amour de la voiture nait dès l'adolescence de ce Portugais au français impeccable. Jeune Lisboète, il officie comme commissaire de course sur le circuit d'Estoril. Carlos Tavares part ensuite dans l'hexagone faire ses études supérieures. Diplômé de l'école centrale de Paris, l'ingénieur entre, dans la foulée, non pas chez Peugeot, mais chez son concurrent Renault. Il gravit les échelons chez Renault et Nissan jusqu'à un poste de numéro deux pour la marque au losange, et une déclaration dans la presse en 2013 : il assume publiquement son ambition de devenir numéro 1 d'un groupe automobile. Problème : Carlos Ghosn, alors patron de l'Alliance, n'est pas enclin à céder sa place. « Psychopathe de la performance » Quelques mois après, Carlos Tavares prend la tête d'un groupe PSA en difficulté. Le nouveau patron applique alors «une recette relativement simple mais assez brutale », explique Tommaso Pardi, directeur du Groupe d'études et de recherche permanent sur l'industrie et les salariés de l'automobile (Gerpisa). Sa politique : «Une réduction des coûts tous azimuts, la quête de performances opérationnelles à tous les niveaux de l'entreprise. Il a aussi profité des opérations qu'il a pu mener avec Opel d'abord et plus récemment avec Fiat, pour utiliser ce qu'il appelle les synergies. Il est très fort pour ça. » ► À lire aussi : Malgré la crise des semi-conducteurs, Stellantis réalise un bénéfice record Une obsession de l'efficacité assumée par Carlos Tavares lui-même qui ne rechigne pas à se considérer comme un «psychopathe de la performance ». Et la quête de ce fils de comptable d'une rentabilité toujours plus grande perdure dans le temps, selon Jean-Pierre Mercier. Leporte-parole de la CGT - Stellantis regrette des «méthodes de management de plus en plus violentes, de plus en plus agressives vis-à-vis du personnel. On voit qu'il y a une volonté déterminée de faire baisser les effectifs pour augmenter les profits ». Salaire polémique Carlos Tavares, un chasseur de coûts, sauf peut-être quand il s'agit de son salaire. Il a engrangé 19 millions d'euros l'an dernier. Sa rémunération, qui atteindrait même 66 millions d'euros s'il remplit ses objectifs à long terme, a fait polémique, y compris parmi les actionnaires. Si Carlos Tavares partage le goût de la réduction des coûts de productions avec d'autres patrons, son expérience d'ingénieur automobile, «sa connaissance très fine de l'automobile » aide le centralien dans cette tâche, assure Tommaso Pardi. « Il peut développer un management très intrusif. Il peut lui-même aller voir de près, ce que font les différents directeurs au niveau opérationnel. » Pour autant, les visites dans les usines se font au pas de charge, raconte Jean-Pierre Mercier : « Quand il fait des tournées d'usines, parce qu'il en fait très souvent pour remonter les bretelles des directions locales, une semaine avant, il faut tout nettoyer, on refait les peintures, tout est nickel chrome. Et on le voit passer comme un TGV. » « Quelqu'un qui va très vite » Carlos Tavares est un homme pressé. Prendre des décisions sans lésiner, c'est d'ailleurs l'une des clefs de son succès aux yeux de François Roudier exemple à l'appui : « Au départ, il n'était pas trop fan des voitures électriques, mais quand il a fallu le faire, il l'a fait. Et en 2030, il n'y aura plus que des voitures électriques en vente chez Stellantis. Donc c'est quelqu'un qui va très vite et dans l'industrie automobile, les grands patrons sont des gens qui ont pris des risques et qui sont allés vite »,conclut le porte-parole de la filière automobile qui décrit par ailleurs le directeur général de Stellantis comme un homme qui peut être « dur » mais qui est aussi « très fidèle en amitié ». Carlos Tavares peut s'enorgueillir de bénéfices nets en hausse au premier semestre 2022, tout juste un an après la création de Stellantis. ► À lire aussi : France: le marché de l'automobile toujours au ralenti en juillet « Maintenant, il faut voir si Carlos Tavares, au-delà de Stellantis, est en mesure de jouer aussi un rôle plus important qu'il ne l'a joué jusqu'à présent, dans une stratégie industrielle française »,s'interroge Tommaso Pardi. « On se dit que ce serait très important que Carlos Tavares joue un peu plus collectif et qu'il s'engage un peu plus dans le compromis » pour que la France se rapproche du modèle allemand doté « d'une alliance forte entre constructeurs, syndicats, État et Landers ». Le goût du volant En dépit du fait qu'il chapeaute quatorze marques, Carlos Tavares trouve du temps pour lui. Ses loisirs ? L'automobile, encore. Carlos Tavares est pilote amateur. « Dans son contrat, il avait bien dit qu'il continuerait à courir alors qu'au départ l'employeur hésitait en disant que c'était dangereux », raconte François Roudier. Et de préciser : « Il aime bien courir en voiture ancienne. » Les plans stratégiques lancés à Peugeot-Citroën et désormais à Stellantis ont d'ailleurs des noms liés à cet univers, à l'instar de son premier plan à PSA : « Back in the race » - de retour dans la course.
In HRchat episode 475, we ask what did the Great Resignation do to place extra emphasis on the need to keep employees happy? Listen too as we consider some lessons businesses can take from good customer experience to improve the employee experience. Our guest today is Lila Nazef, Vice President of Sales & Marketing (North America) at Neocase, a pioneering Saas platform for automating HR Service Delivery. Questions For Lila Include: What are some emerging trends within technology that you are seeing in the HR industry?What do you think are some of the impacts and future implications that these trends will have? What is Neocase doing to prepare and support organizations through these changes? What is the latest product/projects that Neocase is focusing on?You talk a lot about employee experience. Why is employee experience so important at the moment?What did the Great Resignation do to place extra emphasis on the need to keep employees happy? Do you think things could change if we enter a recession?What are some lessons businesses can take from a system that ensures a positive customer experience in order to improve the employee experience?About NeocaseNeocase is the pioneering Saas platform for automating HR Service Delivery. Their clients use Neocase to achieve faster time to value through reduced implementation costs and make real productivity gains by reducing the time spent on administrative tasks through processes automation and workflow efficiencies. Their HR digital platform includes collaborative Case Management, Business Process Automation, Electronic Document Management, Personalized Knowledge Base, Self-Service Portal, Pre/Onboarding, Transitioning, and Off-boarding workflows and Analytics. Delivered in the cloud and leveraging the latest technological innovations, the Neocase® solutions integrate with core HR platforms including Workday (Certified Partner), SAP/SF, Oracle, Talentsoft and other third-party applications to achieve seamless user experience and automation. Recognized by industry analysts and currently supporting over 6 million employees across 180 countries, Neocase is used daily by industry leaders including MGM Resorts, Bank of New York-Mellon, Smiths Group, Merck, Société Générale, Baker Hughes, World Bank, Thales Group, Renault, Air France, Canadian Tire, MAIF, Harrods, UCB, AXA, PSA Peugeot Citroën and many more. Learn more at neocasesoftware.comWe do our best to ensure editorial objectivity. The views and ideas shared by our guests and sponsors are entirely independent of The HR Gazette, HRchat Podcast, and Iceni Media Inc.
Le contexte économique morose lié à la crise sanitaire n'a pas empêché les grands patrons d'enregistrer une sensible augmentation de leur rémunération en 2021. Comment expliquer une telle progression ?La hausse du cours des actionsLa rémunération moyenne des grands patrons du CAC 40 est quasiment passée du simple au double en 2021. En effet, elle se situait à 8,7 millions d'euros, contre 4,5 millions d'euros en 2020.Une telle hausse s'explique par la progression notable de tous les éléments composant la rémunération de ces entrepreneurs. C'est ainsi que le cours des actions, qui représentent une partie notable du salaire de ces grands patrons, a beaucoup grimpé en 2021.En effet, les coures de la bourse ont connu une forte progression, avec, en 2021, une hausse moyenne de 30 % de l'indice du CAC 40. Ainsi, au cours de cette année, les actions ont compté pour 18 millions d'euros dans la rémunération du patron de la première entreprise mondiale de centres d'appel.Primes et salaires fixes : une véritable envoléeCes grands patrons touchent aussi des bonus ou des primes exceptionnelles, qui représentent une part notable de leur rémunération. Ces primes, qui ont également connu une forte progression, sont souvent versées aux entrepreneurs pour les remercier de leur action à la tête de l'entreprise.Carlos Tavares, le patron de Stellantis, a ainsi touché 1,7 million d'euros pour avoir su négocier, en 2021, la fusion de PSA Peugeot Citroën et de Fiat Chrysler à l'origine de la formation du nouveau groupe.Ces chefs d'entreprise touchent également un salaire fixe qui, lui aussi, s'est accru en 2021. On peut citer, entre bien d'autres exemples, le cas du patron de Danone, dont le salaire fixe a connu une progression de 40 % en 2021.D'après certains analystes, cette envolée de la rémunération des grands patrons s'expliquerait en partie par une forme de connivence entre ces entrepreneurs et ceux qui sont chargés de fixer le niveau de leurs salaires.Les premiers, en effet, appartiendraient aux conseils d'administration des seconds, et vice versa. D'où une tendance à défendre leurs intérêts mutuels. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le contexte économique morose lié à la crise sanitaire n'a pas empêché les grands patrons d'enregistrer une sensible augmentation de leur rémunération en 2021. Comment expliquer une telle progression ? La hausse du cours des actions La rémunération moyenne des grands patrons du CAC 40 est quasiment passée du simple au double en 2021. En effet, elle se situait à 8,7 millions d'euros, contre 4,5 millions d'euros en 2020. Une telle hausse s'explique par la progression notable de tous les éléments composant la rémunération de ces entrepreneurs. C'est ainsi que le cours des actions, qui représentent une partie notable du salaire de ces grands patrons, a beaucoup grimpé en 2021. En effet, les coures de la bourse ont connu une forte progression, avec, en 2021, une hausse moyenne de 30 % de l'indice du CAC 40. Ainsi, au cours de cette année, les actions ont compté pour 18 millions d'euros dans la rémunération du patron de la première entreprise mondiale de centres d'appel. Primes et salaires fixes : une véritable envolée Ces grands patrons touchent aussi des bonus ou des primes exceptionnelles, qui représentent une part notable de leur rémunération. Ces primes, qui ont également connu une forte progression, sont souvent versées aux entrepreneurs pour les remercier de leur action à la tête de l'entreprise. Carlos Tavares, le patron de Stellantis, a ainsi touché 1,7 million d'euros pour avoir su négocier, en 2021, la fusion de PSA Peugeot Citroën et de Fiat Chrysler à l'origine de la formation du nouveau groupe. Ces chefs d'entreprise touchent également un salaire fixe qui, lui aussi, s'est accru en 2021. On peut citer, entre bien d'autres exemples, le cas du patron de Danone, dont le salaire fixe a connu une progression de 40 % en 2021. D'après certains analystes, cette envolée de la rémunération des grands patrons s'expliquerait en partie par une forme de connivence entre ces entrepreneurs et ceux qui sont chargés de fixer le niveau de leurs salaires. Les premiers, en effet, appartiendraient aux conseils d'administration des seconds, et vice versa. D'où une tendance à défendre leurs intérêts mutuels. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
David Ambs Il débute ses études d'ingénieur aux Arts et Métiers ParisTech. Puis, il travail 10 ans en temps qu'ingénieur au sein du groupe PSA Peugeot Citroën. En 2008, il se consacre entièrement à son projet,qui se concrétise en 2014 avec la création de son entreprise Culture iN dont il est toujours le président aujourd'hui.... L'article Saison 5 – Growing up & Scaling Up – E3 – David Ambs – Culture In est apparu en premier sur La 1ère chaine académique de podcasts sur l'entrepreneuriat.
On poursuit notre comparatif des programmes d'Emmanuel Macron et de Marine Le Pen. Que disent les candidats sur l'encadrement des gros salaires et notamment ceux des patrons du CAC40. Cela fait suite à la polémique concernant le salaire de Carlos TAVARES qui dirige STELLANTIS, l'ex PSA Peugeot Citroën : un peu plus de 19 millions d'euros en 2021. Ecoutez L'éco and You avec Martial You du 14 avril 2022
durée : 00:02:08 - Le brief éco - Stellantis – nouveau nom de PSA Peugeot-Citroën – va adapter sa production de voitures pour faire face à la pénurie mondiale de semi-conducteurs. Le patron du groupe ne veut pas perdre de temps. Carlos Tavarès prévoit que la crise va se poursuivre jusqu'à l'année prochaine
Parece que la historia de #Citroën comienza con el Traction y el 2 CV y acaba con el primer C5, el último coche con suspensión hidroneumática. ¡Pues no! Antes y después hay muchos modelos que valen la pena, muchas innovaciones y mucha tecnología. Vamos a dar un repaso a la marca, comenzando en 1919 y acabando… hoy mismo por ejemplo. #cochesclasicos #citroen2cv André Citroën nace en 1878 y tenía devoción por las obras de Julio Verne. Esta pasión fue la que le llevo a orientar su formación hacia la ingeniería, pero con una orientación emprendedora muy fuerte. Monsieur Citroën es nombrado administrador de la compañía fabricante de coches Mors… un regalo envenenado, porque estaba al borde de la quiebra. Pero gracias a su invento más reconocido, los engranajes helicoidales, salva la situación. André Citroën era un adelantado a su tiempo, emprendedor y con una solida base técnica. Visita los EE.UU. y conoce a Henry Ford y a su fabrica que ya utilizaba la cadena de producción y vuelve a Francia con muchas ideas nuevas. Decide hacer un coche de calidad, pero a un precio muy bajo el tipo A. Citroën pretende hacer un coche revolucionario, adelantado a su tiempo… y lo consigue. Nace el Traction, primer coche de gran producción con tracción delantera y otros muchos avances, muy superior a sus rivales de la época. Pero los elevados gastos de desarrollo hacen que Citroën incurra en una gran deuda y su principal acreedor se hace con el control. Su nombre os sonará: Michelin. No fue el único cambio de manos, porque en 1970 se crea la sociedad PSA Peugeot-Citroën. En la actualidad Citroën forma parte del poderosa grupo Stellantis que tiene, entre otras, las marcas Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Citroën, Dodge, DS, Fiat, Jeep, Lancia, Maserati, Opel y Peugeot. Y aún me dejo alguna. Pero la historia de las marcas se conoce a través de sus modelos y de su tecnología. Así que vamos a dar un repaso a los modelos e hitos más destacados de la marca: Citroën A (1919) Citroën 5HP (1922) “El crucero amarillo” (1922) Citroën Rosalie (1932) Citroën Traction (1934) Citroën Tipo H (1947) Suspensión hidroneumática (1954) Citroën 2 CV (1948) Citroën DS (1955) Faros orientables (1967) Citroën GS (1970) Citroën SM (1970) Citroën CX (1974) Citroën BX (1982) Citroën XM (1989) Citroën Xantia (1993) Citroën C5 (2000) Citroën C6 (2005) Motores PureTECH (2016) DiéselBlueHDI (2016) Suspensión Hidractiva III+ (2017) Citroën C4 (2021) Citroën C5X (2021) Nuevo AMI (2021) Ya sé lo que me vais a decir: Me he dejado fuera coches como el Mehari, el primer AMI, el AX, Saxo, ZX, la Jumper, C-15, Berlingo, los Picasso, el Cactus… coches todos ellos con una marcada personalidad. A lo mejor tenemos que hacer otro vídeo.
Christelle Grâce ZINNI NGAMANI notre invitée est originaire du Cameroun. Ingénieure brillante, Christelle a débuté ses études supérieures à l'Université Des Montagnes à Bangangté dans la région de l'Ouest au Cameroun, elle s'envole ensuite pour la France où elle obtient un DUT en Génie Électrique et Informatique à l'IUT de Vélizy, et ensuite elle obtient un Diplôme d'ingénieur en Électronique à l'ENSEA, l'Ecole Nationale Supérieure de l'Electronique et de ses Applications de Cergy. Passionnée par l'humain, Christelle est adepte de la communication non violente et prépare actuellement une certification de Coach Professionnel du Groupe MHD Formation, le leader français des métiers de l'accompagnement. Son parcours remarquable et sa personnalité radieuse lui ont ouvert les portes de grands groupes industriels français, elle a successivement travaillé pour FAURECIA, THALES, PSA Peugeot Citroën, et aujourd'hui ALSTOM, le Leader des transports routiers et ferroviaires. Dans son rôle d'ingénieure des systèmes électriques, elle y déploie au quotidien ses compétences pour concevoir des solutions de transport innovantes. Curieuse, entrepreneure, investisseuse, psychologue, maman, épouse et les idées plein la tête, de nombreux qualificatifs sont nécessaires pour cerner le profil de cette femme de challenges. Mais il est clair qu'elle est résolument tournée vers les autres, et c'est avec enthousiasme qu'elle imagine son job de rêve comme « voyagiste particulière », pour accompagner les personnes qui désirent mieux se connaître et réaliser leurs rêves, le cœur léger et une énergie positive. Une aventure qui s'annonce palpitante. Suivez Christelle Grâce sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/gr%C3%A2ce-zinni-ngamani/ Suivez nous sur twitter @talks_diaspora : https://twitter.com/talks_diaspora Interview mené par Stéphane EKOBO @jsekobo : https://twitter.com/jsekobo
Il était le puissant patron du groupe PSA Peugeot Citroën. La vie de Christian Streiff a basculé en mai 2008 quand il s'est retrouvé cloué au sol par un violent AVC. Son histoire, il l'a racontée dans "J'étais un homme pressé" (éd. Cherche Midi, 2014), qui fait l'objet d'une adaptation au cinéma. Dans "Un homme pressé" d'Hervé Mimran on voit Fabrice Luchini inventer des mots suite à son traumatisme, ce qui donne lieu à des situations cocasses. Dans la vraie vie, Christian Streiff ne se souvient pas de cette période-là. L'homme que rencontre Thierry Lyonnet a retrouvé un bon usage du langage. Et plus encore. "Aujourd'hui je suis beaucoup plus riche, j'ai retrouvé toutes les choses merveilleuses de la vie que j'avais laissées tomber et j'en ai trouvé d'autres, et j'en trouve tous les jours, c'est fantastique !" Sa vie d'avant "Qui êtes-vous Christian Streiff ?" Le 10 mai 2008, la veille de son AVC, si on lui avait posé la question il aurait répondu : "Je suis un grand patron et c'est tout." L'homme pressé avait mis de côté sa vie de famille, sa vie de couple, son amour de la nature... "J'étais un grand patron, je n'étais vraiment que ça." "Être patron d'un grand groupe comme ça, ça use terriblement." Nommé le 6 février 2007 à la tête du groupe PSA Peugeot Citroën, Christian Streiff mène la vie des grands patrons : trois rendez-vous par heure, des déplacements en France et à l'étranger... Quand il arrive "tard" au travail, vers 7 heures, c'est qu'il a été nager à la piscine avant. Un métier qu'il juge toutefois "fabuleux". Et plutôt que la soif de pouvoir, ce qui le laisse visiblement indifférent, c'est bien la soif de réussir, de "gagner" qui l'animait. Les étangs et les forêts de Moselle Rien cependant n'indiquait que le petit Christian Streiff, né le 21 septembre 1954 à Sarrebourg (Moselle), allait devenir grand patron. Issu d'un milieu simple, ses parents ont du inoculer le goût de la réussite à leurs trois enfants puisque tous les trois ont toujours été premiers. "Il y a a du avoir quelque chose dans l'éducation de mes parents..." Eux qui désiraient que leur fils devienne avocat ou médecin ne s'attendaient pas à le voir partir à Paris tenter les concours des grandes écoles d'ingénieur. Amoureux de la nature et des camps scouts, Christian Streiff a grandi "entre les étangs et les forêts vosgiennes". Ce bon élève qui réussira brillamment au concours d'entrée à l'École nationale supérieure des mines de Paris. Grand patron, on ne le devient pas du jour au lendemain : il y a eu Saint-Gobain, puis Airbus avant le Groupe PSA. Un "boulot tellement pesant, tellement lourd, tellement envahissant, que c'est diffficle de résister". En 2008, la crise L'arrêt vasculaire cérébral se traduit par "une perte soudaine de la fonction cérébrale provoquée par un arrêt de la circulation sanguine dans le cerveau". En 2008 Christian Streiff doit faire face à des plans de relance, c'est la crise, il y a beaucoup de décisions difficiles à prendre, et notamment mettre des gens au chômage partiel. Lui qui a toujours "énormément travaillé" arrive là à son "maximum". Est-ce la crise qui a causé son AVC ? Lui pense que non, sa famille pense que oui, les médecins ne se prononcent pas. Quand, le 11 mai 2008, son assistante le trouve cloué au sol dans son bureau, il est transporté à l'hôpital par son chauffeur. Trois mois après son AVC, Christian Streiff est déjà au travail : persuadé que petit à petit les mots qu'il avait perdus vont revenir et qu'il pourrait reprendre sa vie d'avant, il présente avec son directeur financier les résultats du semestre du groupe, devant la presse et les actionnaires. Les chiffres qu'il oublie, on les lui écrit discrètement sur des petits bouts de papiers. Puis, Thierry Peugeot l'appelle pour lui annoncer qu'on va le démettre de ses fonctions. "Ça a été terrible, je lui en ai beaucoup voulu, maintenant ça va mieux..." Émission d'archive diffusé een novembre 2018
Show #757 Good morning, good afternoon and good evening wherever you are in the world, welcome to EV News Daily for Thursday 22nd April 2020. It’s Martyn Lee here and I go through every EV story so you don't have to. CHINA CUTS EV SUBSIDIES—TESLA MODEL 3 EXCEEDS PRICE LIMIT "China has announced a cut to its subsidies on new energy vehicles (NEVs), effective immediately. It’s been something of a rollercoaster ride for the subsidies of late. In 2015, the government announced plans to end the subsidies this year. In January, it said there would be “no significant cuts” this year. In March it confirmed they would be extended, but warned of a possible reduction." writes ChargedEVs: "The government has tightened requirements for the driving range, power efficiency and sales prices of cars that qualify for the subsidies. Only passenger cars costing less than 300,000 yuan ($42,376) will be eligible. That excludes some higher-priced EVs sold by BMW and Daimler. It also edges out Tesla’s China-made Model 3, which is currently priced at 323,800 yuan before subsidies." https://chargedevs.com/newswire/china-cuts-ev-subsidies-tesla-model-3-exceeds-price-limit/ POLESTAR’S FIRST ALL-ELECTRIC VEHICLE WILL START AT $59,900 IN THE US "Polestar, the electric performance brand spun out of Volvo, said the base price of its first all-electric vehicle will be $59,900 in the United States, lower than originally targeted." says TechCrunch: "The company believes the vehicle is well-positioned for a successful entry into the U.S. market thanks to its lower pricing, tax incentives and the ability for customers to buy it online, said Gregor Hembrough, who heads up Polestar USA. The U.S. prices are also below incentive thresholds in a few critical markets such as California and New York. The Polestar 2 will likely be held up as a possible competitor to the Tesla Model 3. The pricing on the two vehicles don’t quite match up unless the $7,500 federal tax incentive, for which Polestar still qualifies, is considered." https://techcrunch.com/2020/04/23/polestars-first-all-electric-vehicle-will-start-at-59900-in-the-u-s/ AUDI E-TRON GT SPIED TESTING IN PRODUCTION-READY BODY the flagship E-Tron GT electric sedan is underway and a test prototype of the same was spotted testing in the snow. the production-ready prototype appears to have retained most of the concept’s styling. The four-door sedan has a low-slung nose, with sharp LED headlamps and cascading grille hiding under the camouflage. However, visible on the prototype are the two charging ports positioned on the front fenders on both sides, like the mechanically-related Porsche Taycan." according to CarWale: "We expect the new Audi E-Tron GT to break cover either later this year or in 2021. If rumours are to be believed, the E-Tron GT would be much more affordable than the Porsche Taycan." https://www.carwale.com/news/audi-etron-gt-spied-testing-in-productionready-body/ NEW OPEL MOKKA TEASED WITH ELECTRIC VERSION, MINOR NAME CHANGE "Opel has kicked off the teasing game for its all-new Mokka to signal a vast departure from the outgoing model not just in terms of design, but also as far the underpinnings and even the name." says Motor1: "It is widely believed the revamped model will ride on a platform developed by Opel’s new parent company – PSA Peugeot Citroën. We’re talking about the CMP platform, meaning the second generation will have a lot in common with the Peugeot 2008 and the posh DS3 Crossback. Opel does say a fully electric version is in the works and the company will actually prioritize the EV model as the zero-emissions model will be the first to go on sale early 2021. The EV model will likely rely on a 136-hp electric motor and a 50-kWh battery pack with enough juice for nearly 200 miles (322 kilometers) between charges to mirror the e-2008." https://www.motor1.com/photo/4888216/vauxhall-mokka-2021/ PIVOT POWER DEVELOPING 52MW HYBRID BATTERY "Pivot Power is developing a hybrid 50MW lithium-ion battery and a 2MW vanadium redox flow battery project in Oxford which it says will be the world’s largest." says renews.biz: "Pivot Power, owned by EDF Renewables, said the hybrid system will combine the high-power capabilities of a lithium-ion battery with the heavy cycling, non-degrading characteristics of vanadium redox flow technology to create an “innovative solution which will meet the complex demands of multiple energy applications”. The battery project will be connected directly to the transmission network. Alongside the battery 100 EV charge points are to be installed across the city for council vehicle depots and public use." The project is led by Oxford City Council and Pivot Power, an EDF Renewables UK company. https://renews.biz/59843/pivot-power-developing-52mw-hybrid-battery-1/ OAK RIDGE TESTS INDUCTIVE BI-DIRECTIONAL CHARGING "Researchers at the US Department of Energy’s Oak Ridge National Laboratory (ORNL) have successfully developed and deployed a bi-directional inductive charging system on a UPS PHEV delivery vehicle. Bidirectionality was not the only feature of the experiment." says electrive: "In the test, the ORNL system charged at up to 20 kW over an air gap of eleven inches (28 cm) with an efficiency of over 92 per cent. More impressive than the charging power, however, is the distance between the two coils: At 28 centimetres, vehicles with higher ground clearance can also be charged without the vehicle’s charging plate having to be lowered or the plate on the infrastructure side raised to minimize the air gap. The bidirectionality of the system is also new. This means that the vehicle battery can also be used as a mains buffer. According to the ORNL, the technology used “is fully compliant with grid power quality standards”. At least in the USA, the vehicle could be easily integrated into the grid." https://www.electrive.com/2020/04/23/oak-ridge-is-testing-inductive-bi-directional-charging/ OIL PRICES MAY BE AT ALL-TIME LOWS, BUT IT'S STILL WORTH BUYING AN ELECTRIC CAR "For the first time in 34 years, the price of a barrel of oil has dropped to historic lows — below $0 somehow, confusingly — but that shouldn't erode efforts to go electric, especially for any future car purchases." according to Mashable: "Gas prices will eventually go back up, "refueling" a vehicle with electricity offers more price and availability stability, and climate change is still very much a thing. A month of limited global emissions doesn't change that. In Milan, Italy, city officials are attempting to retain the environmental benefits of a shutdown city. A plan for reopening now includes more walking and cycling space to reduce car use within city limits." https://mashable.com/article/electric-vehicles-pollution-climate-change-oil-prices/?europe=true QUESTION OF THE WEEK Do you prefer to buy new or used EV? And why? I want to say a heartfelt thank you to the 237 patrons of this podcast whose generosity means I get to keep making this show, which aims to entertain and inform thousands of listeners every day about a brighter future. By no means do you have to check out Patreon but if it’s something you’ve been thinking about, by all means look at patreon.com/evnewsdaily [mention for Premium Partners] You can listen to all 756 previous episodes of this this for free, where you get your podcasts from, plus the blog https://www.evnewsdaily.com/ – remember to subscribe, which means you don’t have to think about downloading the show each day, plus you get it first and free and automatically. It would mean a lot if you could take 2mins to leave a quick review on whichever platform you download the podcast. And if you have an Amazon Echo, download our Alexa Skill, search for EV News Daily and add it as a flash briefing. Come and say hi on Facebook, LinkedIn or Twitter just search EV News Daily, have a wonderful day, I’ll catch you tomorrow and remember…there’s no such thing as a self-charging hybrid. PHIL ROBERTS / ELECTRIC FUTURE (PREMIUM PARTNER) BRAD CROSBY (PREMIUM PARTNER) AVID TECHNOLOGY (PREMIUM PARTNER) BRIGHTSMITHGROUP.COM – FOR CLEANTECH TALENT (PREMIUM PARTNER) NEW! PORSCHE OF THE VILLAGE CINCINNATI (PREMIUM PARTNER) NEW! 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durée : 00:02:46 - Histoires économiques - A la rentrée, il n’y aura pas de Mondial de l’auto. Vous ne pourrez pas aller Porte de Versailles début octobre rêver sur les prototypes ou choisir les options de votre voiture. PSA Peugeot Citroën s'est retiré le premier. Paris organisera en revanche un événement Movin On sur la mobilité et la ville.
durée : 00:04:20 - Le Zoom de la rédaction - "LA FABRIQUE DES SONS" - Comment sont fabriqués les sons de notre quotidien ? Aujourd'hui, les constructeurs automobiles font appel à des acousticiens et même des musiciens pour concevoir l'environnement sonore de leurs véhicules. Reportage dans le laboratoire du groupe PSA Peugeot-Citroën à Vélizy dans les Yvelines.
Après l'échec du projet avec Renault au printemps dernier, Fiat Chrysler s'est rapproché de PSA Peugeot-Citroën. Les deux groupes automobiles se sont mis en route vers un projet de méga-fusion entre égaux. Si le projet se concrétise, Carlos Tavares, le patron du groupe français, endossera les habits de directeur général. John Elkann, le président de FCA, deviendrait lui président de la nouvelle entité. John Elkann qui a déjà de multiples casquettes. Portrait. À 43 ans, John Elkann est un cumulard : PDG d'Exor, la holding de la famille Agnelli (fondatrice de Fiat), président de Ferrari, président de Fiat Chrysler Automobile, vice-président du groupe qui édite les journaux La Stampa et La Repubblica et la liste ne s'arrête pas là. En parallèle de ses études, selon Exor, il a multiplié les expériences sur des sites du groupe en Europe. Mais ce n'est pas ce qui l'a fait entrer au conseil d'administration de la Fiat à seulement 21 ans, ni monter sur le trône. Gigi Moncalvo, journaliste et auteur d'Agnelli segreti et de I lupi e gli Agnelli, raconte : « John Elkann doit sa réussite d'un point de vue professionnel à une longue série de morts, parfois prématurées. Par exemple, celle de son cousin Giovani Alberto Agnelli, qui était considéré comme l'héritier de la couronne, victime d'un cancer foudroyant. Il y a eu la mort d'Eduardo Agnelli, le fils de "l'Avocat" [NDLR : le surnom de Gianni Agnelli], celle de Gianni Agnelli lui-même en 2003. Et celle du frère de ce dernier. » Le trône sans le nom Une destinée digne d'un vrai prince héritier, héritier de celle que l'on qualifie parfois de « famille royale » de l'Italie. Et comme un vrai prince héritier, il contracte un beau mariage. Il épouse Lavinia Borromeo, descendante de l'une des plus anciennes familles aristocratiques du pays. Mais l'aîné de huit enfants ne perpétue pas le nom de la dynastie. Il porte celui de son père, Alain Elkann, journaliste-écrivain franco-italien et premier mari de la fille de Gianni Agnelli, figure emblématique de Fiat. John Elkann n'a pas non plus grandi dans le fief Agnelli à Turin. Il n'y est même pas né. C'est peut-être ça aussi qui a mené « Jaki », comme on le surnomme, là où il est. « J'ai passé les 18 premières années de ma vie aux quatre coins du monde, explique l'intéressé lors d'une conférence en 2011. Je suis né aux États-Unis, puis je suis allé en Angleterre, au Brésil et j'ai fini l'école en France. » « J'ai donc choisi, continue-t-il, de faire des études d'ingénieur à Turin pour mieux connaitre l'Italie. Je me suis alors retrouvé plus près de l'univers professionnel de mon grand-père et de la famille. Et j'ai appris petit à petit. Et je me suis retrouvé à être la personne la plus impliquée » à des moments très particuliers pour l'entreprise et la famille. Une vision d'industrie ? De cette enfance, il gardera une bonne maîtrise des langues étrangères (il en parle quatre). Il reste aussi un globe-trotter. Et lien de cause à effet ou pas, les activités économiques de la famille sont désormais moins centrées sur l'Italie. FCA est d'ailleurs une entreprise de droit néerlandais avec un siège à Londres. Exor a aussi diversifié ses secteurs d'activité, avec par exemple le rachat en 2016 de PartnerRe, un réassureur. Gigi Moncalvo voit d'ailleurs en John Elkann plus un homme de finance qu'un industriel de l'automobile : « John Elkann a toujours cherché à faire de l'argent, c'est-à-dire vendre. La vente de l'équipementier Magneti e Marelli montre qu'il ne s'intéresse pas au monde de l'automobile parce qu'à un moment où l'on va vers les voitures hybrides ou électriques, si on se prive d'une figure de proue comme Magneti e Marelli, cela veut dire qu'on ne croit pas dans le futur de l'auto. » Une analyse partiellement partagée par un syndicat, mais pas par tous Mais John Elkann a beau être à la tête du clan Agnelli depuis une décennie environ, il est longtemps resté dans l'ombre de Sergio Marchionne, son mentor, mort l'an dernier. Marchionne, chef d'orchestre de la reprise de Chrysler et du redressement de Fiat. Roberto Di Maulo, secrétaire général du syndicat Fismic-Confsal, devine une implication grandissante de « l'ingegniere » : « Il a pris de plus en plus de responsabilités, même en travaillant avec Sergio Marchionne. Aujourd'hui, il est clair qu'il prend de plus en plus les rênes du groupe FCA. Les choix stratégiques doivent passer par John Elkann. » Voile, ski et football C'est d'ailleurs lui qui était à la manœuvre dans le projet de fusion avec Renault au printemps dernier et a négocié dans la langue de Molière ; lui aussi qui a rompu les fiançailles. Lui encore qui, selon certaines sources, aurait été l'un des protagonistes des discussions avec PSA, alors que d'autres assurent que c'est son directeur général qui a eu les coudées franches. Quoi qu'il en soit, le triple coup d'éclat a braqué les projecteurs sur le quadragénaire discret, loin de son flamboyant grand-père, Gianni Agnelli, et à l'opposé de son frère cadet, l'exubérant Lapo. Néanmoins, malgré sa sobriété apparente et son visage poupin, certains disent de lui qu'il a un caractère d'acier. Un caractère forgé donc dans plusieurs pays pendant son enfance. Mais, John Elkann a beau être un homme du monde, il se sent « Français à Paris », mais avant tout Italien. C'est, raconte-t-il dans Paris-Match en 2012, avec la défaite de l'équipe de foot italienne pendant son enfance en France qu'il s'en est rendu compte. Amateur de voile et de ski, il est aussi évidemment supporter de la Juventus. Évidemment parce que le club de football turinois fait partie des joyaux de la couronne des Agnelli.
Ngay từ khi xuất hiện cách đây 100 năm, Citroën đã trở thành một thương hiệu quá quen thuộc ở Sài Gòn. Ban đầu được độc quyền phân phối thông qua Les Etablissements Bainier d’Indochine Auto-Hall (1), Citroën đã lập ga-ra riêng vào năm 1933, tiếp theo là công ty SAEO (Công ty Xe hơi Viễn Đông), rồi đổi thành Xe hơi Citroën Công ty, và cuối cùng là Saigon Xe hơi Công ty. Năm 1919, cùng lúc xuất hiện tại Pháp, ô tô của Citroën đã được xuất sang Đông Dương, một thị trường tiềm năng. Nếu như năm 1915, tổng trị giá ô tô nhập khẩu vào Đông Dương chỉ ở mức 1 triệu franc, con số này tăng gấp 33 lần, lên đến 33 triệu franc vào năm 1920. Năm 1926, trên khắp Đông Dương có 10.299 chiếc xe được đăng ký, trong đó có 5.678 xe ở Nam Kỳ, 2.866 ở Bắc Kỳ, 966 ở An Nam, 683 ở Cam Bốt và 106 ở Lào (2). Ông Pierre Jammes, tác giả tập sách ảnh song ngữ Anh-Pháp Citroën DS Stories in Asia, Histoire de Citroën DS en Asie (Lịch sử Citroën DS ở châu Á), giải thích với RFI Tiếng Việt : « Citroën, được thành lập năm 1919, đã nhanh chóng xuất khẩu xe hơi ra thị trường thế giới. Ngay từ năm 1919, các nhà nhập khẩu Pháp tại Đông Dương đã nhập xe Citroën về bán. Đông Dương là thị trường hấp dẫn nhất châu Á vì đơn giản là Pháp hiện diện ở đó. Vì vậy, Citroën có lịch sử gắn bó lâu đời với Đông Dương. Đến khi Pháp rút khỏi Đông Dương thì vẫn còn một chi nhánh lớn của Citroën ở Sài Gòn. Đây cũng là chi nhánh duy nhất của Citroën tại châu Á, có nghĩa là không phải các nhà nhập khẩu xe hơi, mà là chi nhánh thực sự của tập đoàn ô tô Pháp và chính họ quản lý việc bán xe tại châu Á ». Citroën : Ưu tiên mẫu mã tân tiến, hạn chế giá bán Ngay từ khi thành lập, nhà sáng lập André Citroën chú ý đến công nghệ, tính sáng tạo cho các dòng xe, nhưng với giá bán không quá đắt. Ông Pierre Jammes cho biết thêm về lịch sử của Citroën : « Citroën đã trải qua nhiều giai đoạn quan trọng. Giai đoạn thứ nhất là thời kỳ phát triển rất mạnh từ năm 1919 dưới sự điều hành trực tiếp của nhà sáng lập André Citroën. Phát minh xe dẫn động cầu trước (Traction avant) đạt được thành công vang dội. Tiếp theo là giai đoạn chiến tranh, hoạt động sản xuất của công ty bị chậm lại, thậm chí là gần như ngừng hoạt động. Sau đó nhà sáng lập André Citroën qua đời, công ty không còn khả năng tài chính và cuối cùng được tập đoàn sản xuất lốp xe Michelin mua lại. Ngay sau Thế chiến II, Citroën có thêm một phát minh mới, 2 CV, cũng đạt được thành công lớn. Khách hàng phải chờ vài tháng, thậm chí vài năm để mua được xe 2 CV mà họ đặt. Thời gian sau, Citroën lại cho ra dòng xe DS, cũng là một phát minh đầy sáng tạo. Citroën lại gặp khó khăn về tài chính và được tập đoàn Peugeot mua lại, trở thành tập đoàn PSA Peugeot-Citroën ». Tiêu chí chất lượng-giá bán phải chăng được áp dụng tại Đông Dương, theo quảng cáo của công ty trên tờ L’Echo annamite (ngày 15/04/1929) : « Citroën là của sản phẩm của Pháp, được sản xuất theo thị hiếu của người Pháp và Citroën biểu tượng cho sang trọng nhưng với chi phí thấp nhất, phù hợp với khả năng của mọi người ». Khi còn hợp tác với Auto-Hall, nhà phân phối độc quyền Emile Bainier đã mở rộng chi nhánh ở Hà Nội ngay năm 1926, tiếp theo là tại Trung Kỳ, Lào và Cam Bốt. Les Etablissements Bainier có xưởng lắp ráp riêng nằm ngay cạnh cảng Sài Gòn, trên mái xưởng in rõ chữ « Citroën ». Emile Bainier về Pháp năm 1930, đến năm 1933, hai bên chấm dứt hợp đồng phân phối, Citroën cử người mở chi nhánh riêng của hãng ở Sài Gòn, SAEO (Société Automobile d’Extrême-Orient, Công ty Xe hơi Viễn Đông). Công lao phát triển ngành ô tô của André Citroën tại Đông Dương được hoàng đế Việt Nam ghi nhận khi trao Đại Nam Long bội tinh (Ordre du Dragon d’Annam) cho ông vào năm 1928. Ông Pierre Jammes giải thích thêm : « Thời kỳ đó, những người mua được xe là những người khá giả, trong đó có một phần là những doanh nghiệp Pháp, như những nhà sản xuất bia, chủ đồn điền cao su, tá điền, các doanh nhân người Hoa… Đến bây giờ vẫn vậy, xe hơi luôn là thước đo xã hội, cho thấy địa vị của chủ sở hữu. Vì thế, chúng ta thấy có rất nhiều tấm hình chụp trước nhà với toàn thể gia đình, hay với một phụ nữ xinh đẹp vì điều này cho thấy họ thành công trong cuộc sống ». Từ Traction Avant, 2CV đến DS hay dòng ID…, sản phẩm của Citroën đã chinh phục được giới tiêu dùng ở Đông Dương. Năm 1933, đầu năm 1934, Citroën xuất xưởng dòng xe Traction Avant, được đánh giá là tiên phong với hệ thống dẫn động cầu trước. Dòng xe này từng được nhập vào Đông Dương với số lượng lớn. Ngoài ra, còn phải kể đến dòng xe Citroën ID19 (1955-1975), độc đáo với thiết kế không có nhíp mà dùng hệ thống giảm xóc bằng thủy lực, mỗi lần vận hành sẽ bơm hơi lên. Cuối cùng, có thể lấy thành công của dòng xe DS (1955-1975) nhờ yếu tố đổi mới, không lỗi thời, theo giải thích của ông Pierre Jammes : « Vào năm 1957, nếu tôi nhớ không nhầm, dòng xe DS của Citroën đã được đưa sang Sài Gòn, chỉ hai năm sau khi được giới thiệu tại Pháp. Đây là dòng xe được cho là một cuộc cách mạng và ngay lập tức thu được thành công lớn ở Sài Gòn, chủ yếu là nhờ những người nước ngoài biết đến thành công của DS tại Pháp. Citroën nhận được vài trăm đơn đặt hàng và dĩ nhiên là khó có thể đáp ứng được hết, nhưng có thể nói là DS đã thu được thành công lớn. DS được xuất xưởng năm 1955 và trong vòng 20 năm, có đến 1,4 triệu xe DS được sản xuất. Đó là dòng xe rất thành công, rất nổi tiếng. Hai mươi năm là một khoảng thời gian dài cho một dòng xe, dù thiết kế có một số thay đổi ». Citroën : Từ nhập khẩu đến tự sản xuất xe hơi ở Việt Nam Kể từ khi Pháp rút khỏi Đông Dương sau năm 1954, miền nam Việt Nam có xu hướng mua xe hơi Mỹ nhiều hơn. Xe Citroën nhập khẩu rất khó bán trong giai đoạn này. Ngoài ra, sau Tuyên bố Phnom Penh của tướng Charles de Gaulle vào cuối năm 1966 lên án Mỹ can thiệp quân sự vào Việt Nam, mọi hình thức nhập xe nguyên chiếc và linh kiện ô tô bị cấm. Chỉ có khoảng 30 xe DS được xét duyệt nhập vào miền nam Việt Nam và tất cả đều được sản xuất tại nhà máy Forest của Citroën tại Bỉ, không bị cấm vận. Chiếc cuối cùng, DS 23 « Prestige », được bán cho tổng thống Nguyễn Văn Thiệu vào năm 1975 và hiện nằm trong một bộ sưu tập tư nhân (3). Ngoài chịu cạnh tranh của xe hơi Mỹ, Citroën cũng phải đối mặt với làn sóng xe Nhật. Vì vậy, tập đoàn Pháp quyết định tự sản xuất mẫu xe Việt. Tác giả tập sách Lịch sử Citroën DS ở châu Á, từng tiếp xúc với Jacques Duchemin, vị giám đốc cuối cùng của công ty xe hơi Citroën ở Sài Gòn, cho biết : « Tôi xin nhắc lại một sự kiện rất quan trọng : chiếc xe hơi đầu tiên được sản xuất tại Việt Nam với thiết kế và phụ tùng từ Việt Nam chính là một chiếc Citroën, vào khoảng năm 1969, ở Đà Lạt. Đó là phiên bản hơi khác mẫu Méhari một chút. Chiếc xe này được thiết kế và lắp ráp tại chỗ, ở Sài Gòn, trong công ty con của Citroën. Có thể nói đó gần như là mác Citroën của Việt Nam. Hiện giờ người ta vẫn có thể thấy một số xe như vậy ở Sài Gòn ». Để sản xuất được chiếc xe Citroën địa phương đầu tiên, Jacques Duchemin, giám đốc của SAEO, đã phải xin phép Bộ Công Nghiệp cho nhập khẩu một số linh kiện để lắp ráp mẫu một chiếc xe nhỏ 2 CV vào năm 1968. Nhờ trợ giúp của Alfred Nicolas, một nhân viên của Citroën ở Đà Lạt, mẫu xe La Dalat 3 CV, phù hợp với điều kiện địa phương và có giá rẻ hơn xe Nhật, đã nhanh chóng được hoàn thiện. Công ty SAEO được đổi tên thành Xe hơi Citroën Công ty. Ngay năm 1969, xe được sản xuất hàng loạt, với quảng cáo là nhằm « khuyến khích Thương mại và Công nghiệp của Việt Nam ». Tổng cộng có khoảng 3.880 xe được sản xuất cho đến năm 1975. Trong suốt quãng thời gian 20 năm sống ở châu Á, ông Pierre Jammes đã gặp gỡ, làm bạn với nhiều nhà sưu tầm xe Citroën DS, trong đó có nhiều người Việt Nam. Ông cho biết : « Bạn bè sưu tập xe DS của tôi là người miền Nam. Họ đam mê dòng xe này, thích xu hướng vintage và những đồ vật đẹp. Một điều đặc biệt khác ở Việt Nam là trình độ kỹ thuật của thợ sửa xe rất cao. Tôi nhận ra điều này khi đi vòng quanh một số nước châu Á. Thợ cơ khí ở Việt Nam có trình độ cao và sửa chữa, trùng tu, làm lại xe rất nhanh. Rất ấn tượng ! » Xe cổ vẫn là một niềm đam mê của giới sưu tầm ở Việt Nam, đặc biệt là tại Sài Gòn. Sau thành công đầu tiên vào năm 2018, Công viên Văn hóa Đầm Sen tiếp tục phối hợp cùng CLB Xe cổ Sài Gòn tổ chức Ngày hội xe cổ lần 2, vào tháng 04/2019. Hai mẫu xe Citroën ID 19 và Citroën Traction Avant cũng được giới thiệu trong dịp này. 1. Số 21, bd Bonard và 100-102 bd Charner, Sài Gòn, (nay là Khách sạn Rex, góc đường Lê Lợi - Nguyễn Huệ, gần UBND TP. HCM). 2. http://belleindochine.free.fr/Automobile.htm trích tạp chí Nature, xuất bản năm 1928. 3. http://www.dsinasia.com/Vietnam/historyfr.html
Sabine Scheunert studied Business Mathematics in Bielefeld, Germany, and European Business Management at the German Business School (FDHW). In 1998, subsequent to graduation, she launched her career in the automobile industry at BMW, where she occupied a number of positions in Germany and France, ultimately in an executive function in product management, before relocation to Eastern Europe for BMW in 2006. In 2010 Sabine Scheunert joined PSA Peugeot Citroën in Paris and worked for the French automobile manufacturer as the worldwide head of Customer Relationship Management for all the brands under the PSA banner. As the first ever female CEO within the PSA Peugeot Citroën Group, Ms. Scheunert managed business activities for the Group’s Citroën brand in Shanghai from the beginning of 2015 until her move to Mercedes-Benz. Since joining Daimler Group Sabine has been heading up the new digital unit at Mercedes-Benz as Vice President Digital & IT Marketing/Sales Mercedes-Benz since July 2016. This newly created function brings with it responsibility for the whole range of associated IT-based marketing, sales and after-sales activities – and for the entire scope of digital customer experiences for the Mercedes-Benz brand. In addition to the continued expansion of the company’s pioneering IT landscape, Sabine Scheunert’s remit also includes the development of new and profitable customer-centric digital services. The digital unit operates on a global scale and cooperates with a wide range of incubators and start-ups – right around the world. Sabine Scheunert is also the CIO of Mercedes me, the Mercedes-Benz personalised customer portal. Sabine Scheunert on Linked In https://www.linkedin.com/in/sabinescheunert/ Daimler on Linked In https://www.linkedin.com/company/daimler/ Daimler website https://www.daimler.com/en/ Twitter https://twitter.com/weekincleantech Facebook https://www.facebook.com/thisweekincleantech/ Instagram https://www.instagram.com/davidhunt2013/
Francia y Alemania anunciaron hace unas semanas, un proyecto a escala europea, para la fabricación de baterías destinadas a los vehículos eléctricos. Iniciativa que busca cerrar la brecha con China. Estos dispositivos son una pieza clave para la nueva generación de vehículos, pero su fabricación está básicamente concentrada en manos asiáticas. Un proyecto de entre 5.000 a 6.000 millones de euros que cuenta con una subvención pública de más de mil millones, aprobada por la Comisión Europea, a la que se agregarían 4.000 millones de fondos privados. Como explica a RFI, Pedro Fresco experto energético y autor del libro "El futuro de la energía en 100 preguntas": "La tecnología de las baterías eléctricas ya es funcional y los coches eléctricos perfectamente viables" Varias empresas europeas y habrían mostrado interés en sumarse al consorcio, entre las cuales el grupo automovilístico PSA (Peugeot-Citroën) y el fabricante francés de baterías Saft, perteneciente al grupo Total. Bruselas podría dar luz verde a las subvenciones públicas antes de que concluya el mandato de la actual Comisión, es decir en octubre próximo. Europa espera recuperar el tiempo perdido, especialmente con los países asiáticos, China fundamentalmente, al parecer Europa se ha dormido un poco sobre sus laureles. Para el experto Jorge Morales el escándalo Diésel fue determinante: Europa es líder en la fabricación de vehículos Diésel y es lo que ha promovido, prácticamente hasta que ocurrió el escándalo Diésel. Nos hemos dormido un poco en los laureles y cuando nos dimos cuenta que el futuro del coche era eléctrico, en China ya estaban fabricando coches y baterías. Entrevistados: Pedro Fresco, experto energético, autor del libro "El futurode la energía en 100 preguntas" y Jorge Morales, ingeniero y director de "Próxima energía".
Francia y Alemania anunciaron hace unas semanas, un proyecto a escala europea, para la fabricación de baterías destinadas a los vehículos eléctricos. Iniciativa que busca cerrar la brecha con China. Estos dispositivos son una pieza clave para la nueva generación de vehículos, pero su fabricación está básicamente concentrada en manos asiáticas. Un proyecto de entre 5.000 a 6.000 millones de euros que cuenta con una subvención pública de más de mil millones, aprobada por la Comisión Europea, a la que se agregarían 4.000 millones de fondos privados. Como explica a RFI, Pedro Fresco experto energético y autor del libro "El futuro de la energía en 100 preguntas": "La tecnología de las baterías eléctricas ya es funcional y los coches eléctricos perfectamente viables" Varias empresas europeas y habrían mostrado interés en sumarse al consorcio, entre las cuales el grupo automovilístico PSA (Peugeot-Citroën) y el fabricante francés de baterías Saft, perteneciente al grupo Total. Bruselas podría dar luz verde a las subvenciones públicas antes de que concluya el mandato de la actual Comisión, es decir en octubre próximo. Europa espera recuperar el tiempo perdido, especialmente con los países asiáticos, China fundamentalmente, al parecer Europa se ha dormido un poco sobre sus laureles. Para el experto Jorge Morales el escándalo Diésel fue determinante: Europa es líder en la fabricación de vehículos Diésel y es lo que ha promovido, prácticamente hasta que ocurrió el escándalo Diésel. Nos hemos dormido un poco en los laureles y cuando nos dimos cuenta que el futuro del coche era eléctrico, en China ya estaban fabricando coches y baterías. Entrevistados: Pedro Fresco, experto energético, autor del libro "El futurode la energía en 100 preguntas" y Jorge Morales, ingeniero y director de "Próxima energía".
Le 12 novembre 2017, le groupe PSA Peugeot Citroën annoncait la fermeture de son usine à Saint-Ouen programmée pour 2021. L'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) a choisi ce site pour construire le futur hôpital Grand-Paris Nord. Depuis plusieurs semaines, les salariés se mobilisent contre la fermeture et contre les conditions de reclassement et de départ présentées par la direction.
Thema heute: 20 Jahre Innovationen für die Automobilindustrie Viele von uns können mit den Namen Faurecia nichts anfangen. Das ist ein guter Grund, mal einen genaueren Blick auf das Unternehmen zu werfen, denn zumindest fast jeder Autofahrer hat mit Produkten dieses Unternehmens Kontakt. Seit seiner Gründung vor 20 Jahren hat Faurecia seine Mitarbeiterzahl und die Anzahl der Länder, in denen der Konzern tätig ist, verdreifacht: Das französische Unternehmen beschäftigt heute rund 109.000 Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter an 290 Standorten in 35 Ländern. Der Konzern erzielte 2017 einen Umsatz von knapp 17 Milliarden Euro und gehört damit zu den Top-10-Automobilzulieferern weltweit. Dabei verfolgt das Unternehmen unablässig das Ziel, als Vorreiter für smarte Fahrzeuginnenräume und nachhaltige Mobilität die Megatrends der Automobilindustrie mitzugestalten. Im Dezember 1997 unterbreitete die PSA-Peugeot-Citroën-Tochter ECIA dem Autositzspezialisten Bertrand Faure ein Übernahmeangebot. Aus dem Zusammenschluss von Bertrand Faure und ECIA entstand der neue Automobilzulieferer Faurecia, der sich 1998 erstmals auf der Pariser Motor Show unter der neuen Firmierung präsentierte. Mit insgesamt 30.000 Mitarbeitern an 100 Standorten und einem Umsatz von 3,5 Milliarden Euro belegte der Konzern damals Platz 17 unter den größten Automobilzulieferern der Welt. In den vergangenen 20 Jahren folgten eine beeindruckende internationale Expansion sowie eine Reihe strategischer Akquisitionen (darunter Sommer Allibert in 2000, EMCON Technologies in 2010, Amminex in 2017 sowie HUG Engineering AB in 2018). Heute nimmt Faurecia eine globale Führungsrolle in seinen drei Geschäftsbereichen Seating, Interiors und Clean Mobility ein. Jedes dritte Auto weltweit enthält Faurecia-Technologie. Zu den Meilensteinen der Faurecia-Geschichte seit 1998 gehören die Entwicklung des weltweit ersten Dieselpartikelfilters gemeinsam mit PSA Peugeot Citroën, dann im Jahr 2007 mit dem Luxus Concept Car „Premium Attitude“ eines der ersten Fahrzeugkonzepte, die auf einer bahnbrechenden Vision für den Innenraum der Zukunft basierten. Zudem konnte Faurecia ab 2012 als weltweit erster Zulieferer die komplette Ausstattung der Mercedes S-Klasse mit von Hand genähten Sitzbezügen aus Echt- und Kunstleder realisieren. Diesen Beitrag können Sie nachhören oder downloaden unter:
Микролитражный городской автомобиль, являющийся совместной разработкой компаний PSA Peugeot Citroën и Toyota. C1 впервые был представлен широкой публике на Женевском автосалоне в 2005 году. В начале июля 2010 года российское представительство Citroën объявило о старте в середине того же месяца продаж модели C1 на нашем рынке. Информационный партнер программы "Тест-драйв" — Doroga78.ru — ресурс, посвященный автомобилям, автомобильным новостям, автоспорту и всему тому, что может быть интересно любому автомобилисту. Обсудить самые актуальные темы в крупнейшем автомобильном клубе "АВТО и ДЕВУШКИ".