Start The F Up, studio d'innovation parisien, invite des entrepreneurs à raconter toutes les galères et errances de leurs débuts. Ici, on ne parle pas de levées à 10 chiffres. On parle du "grind" pour trouver son produit, son marché et ses premiers clients. On met en lumière les galères du début, la débrouille et tous ces détails qui font la différence entre le succès et l'échec d’une entreprise.
Polytechnicien, sur le banc d'HEC entrepreneurs, passé par BCG, Renaud Pestre ne suit pas une trajectoire toute tracée.Il hésite entre la physique quantique et le monde des startups avant de rejoindre PJX10, l'antichambre d'entrepreneurs lancée par Pierre Kosciusko-Morizet, où il affine son instinct business et rencontre son futur associé. Puis, il cofonde Pretto.Tout part d'un constat simple : obtenir un crédit immobilier reste une démarche opaque, longue, et souvent décourageante.En 2017, Renaud Pestre et Pierre Chapon décident de s'attaquer au problème. Leur idée ? Tester la faisabilité d'un accompagnement 100 % en ligne, sans agence, mais avec un vrai courtier en coulisses. Ils lancent une première expérimentation sous le nom Mr. Crédit, avec une landing page, quelques campagnes d'acquisition et un partenaire prêt à traiter les dossiers manuellement. Le prototype est sommaire, mais l'intérêt est immédiat.Confortés par ces premiers signaux, ils lèvent 800 000 € avec le soutien de Pierre Kosciusko-Morizet, recrutent une première équipe tech et développent les fondations de Pretto : un simulateur intelligent, capable d'estimer précisément un budget empruntable, en quelques clics.Aujourd'hui, Pretto c'est :
Quand Olivier Le Blainvaux crée Technofounders, il ne cherche pas simplement à lancer une startup mais souhaite bâtir un modèle capable de transformer des travaux de recherches scientifiques en entreprises solides, rentables et utiles à la société.Son constat est simple : la France regorge de chercheurs brillants, mais leurs innovations restent trop souvent confinées dans les laboratoires.Avec Technofounders, il veut accélérer leur passage vers le monde réel, en apportant aux chercheurs les compétences entrepreneuriales et les moyens financiers nécessaires pour développer leurs technos.Mais avant d'en arriver là, Olivier trace un parcours impressionnant : il passe par Polytechnique, rejoint ensuite McKinsey, puis entre chez Rocket Internet, un startup studio international, où il passe près de trois ans. C'est là qu'il co-fonde Jumia, aujourd'hui considéré comme l'équivalent d'Amazon en Afrique. Cette première expérience lui ouvre les yeux sur la puissance d'un modèle capable de mutualiser des ressources — en financement, en stratégie, en développement commercial — pour aider des entrepreneurs à aller plus vite et plus loin.En 2015, il fonde Technofounders.L'idée ? Sourcer les technologies les plus prometteuses, recruter très tôt des profils entrepreneuriaux. Puis, aller tester le plus rapidement le marché pour confronter la techno à des cas d'usage réels et évaluer son potentiel business.Si les signaux sont positifs, la startup est officiellement lancée. Elle bénéficie alors d'un accompagnement structuré, avec des ressources humaines, financières et méthodologiques pour accélérer son développement et maximiser ses chances de succès.Aujourd'hui, Technofounders c'est :12 startups créées dans les secteurs de la santé, l'agriculture, la chimie des matériaux, le spatial, la sécurité, l'IA et les semi-conducteurs.Plus de 50 millions d'euros levésDes succès comme Cerbair, NeoFarm, Ion XMais tout n'a pas été simple et des galères, Olivier en a connu :Entre l'apprentissage de la vente de matériel sensible, un entrepôt brûlé et la recherche du modèle optimal de valorisation, découvrez son parcours !Intrigué(e) ?Arpentez les coulisses de Technofounders dans l'épisode de La Galère. Bonne écoute !
Et si les associations pouvaient lever des fonds sans payer de commission ?C'est le défi que se sont lancés François De Kerret et Thibaut Jaurou avec Zeffy.L'histoire commence en 2015 à Montréal, presque par accident.Alors étudiant en ingénierie, François de Kerret cherche à s'engager dans le bénévolat. Surpris par la difficulté du processus d'inscription il lance une page Facebook pour connecter volontaires et assos. Résultat : des milliers de likes… mais très peu d'actions concrètes.Après de nombreux essais et quelques galères, il comprend : le vrai problème des associations, ce n'est pas de trouver des bénévoles, mais du financement.Quelques années et pivots plus tard, l'idée naît et Thomas et François créent leur plateforme.Aujourd'hui, Zeffy c'est :+ 50 000 associations clientes en Amérique du Nord+ 800 millions de dollars collectés40 millions économisés4 millions levésMais le succès ne s'est pas fait sans sueur (et sans galères).Fraude à 200 000 $ en une nuit, première levée échouée, problèmes de visa, recrutements difficiles… Tout n'a pas été simple.Et maintenant ? François et son équipe voient encore plus grand : révolutionner les services bancaires pour les associations en partenariat avec Stripe. Un pari audacieux qui pourrait bien tout changer… Bonne écoute !
Avant de monter Spendesk et Defacto et de devenir l'entrepreneur à succès que l'on connait, Jordane Giuly ne perd pas de temps. Tout juste diplômé de l'École Polytechnique et de Stanford University et animé par sa soif d'aventure, il crée Reeble, une plateforme d'échange d'articles ayant pour vocation de simplifier et de valoriser les interactions entre éditeurs et auteurs de contenus sur le Web. Si la plateforme est opérationnelle, le problème qu'elle résout ne semble pas être le bon et Jordane décide d'aller de l'avant. Après cette première expérience qu'il qualifie de "startup copain", il rejoint Coorpacademy pendant deux ans, puis entre dans l'univers du "startup studio" en intégrant eFounders. Cette fois, Jordane fait la rencontre de Thibaud Elzière qui l'invite à rejoindre le projet Spendesk en tant que cofondateur, aux côtés de Rodolphe Ardant et Guilhem Bellion. Ensemble, ils contribuent à faire de Spendesk une licorne et Jordane finit par prend son envol pour créer son tout dernier projet, Defacto, une solution de financement rapide et flexible pour les PME, propulsée par des APIs et l'intelligence artificielle. Aujourd'hui Defacto c'est : La solution de référence pour le financement des PME + 10 000 clients + 40 partenaires de prêt intégré + de 600 Millions de prêts accordés à travers l'Europe 25 Millions levés Pour autant, le chemin vers le succès n'a pas été sans embûches et Jordane a rencontré son lot de défis, comme cette fois où un virement perdu de 5 millions d'euros a failli tout faire basculer... Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus ! Plongez dans l'histoire captivante de Jordane, de Spendesk à Defacto, et découvrez ses galères sur le podcast La Galère. Bonne écoute ♥︎
"Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?" Avant de répondre à cette question pourtant centrale dans nos vies, Jacques Édouard a eu le temps de se chercher. D'abord étudiant, il se concentre sur la chimie avant d'intégrer une école de commerce. Puis, il entame sa carrière en tant que consultant dans un cabinet de conseil. Enfin, il se démarque et en vient à diriger les activités digitales de Canal +. De ses "trois vies", comme il les appelle, Jacques tire des enseignements et des pratiques qu'il n'hésite pas à mettre à profit lors de la création de Jow, un service qui permet de programmer ses repas et faire toutes ses courses de la semaine de façon ultra rapide. Jeune papa à cette époque, l'idée prend forme tandis qu'il cherche à résoudre les contraintes de temps et d'argent qui marquent sa vie de famille : "Comment tous les soirs tu fais un truc simple rapide bon équilibré pas cher qui va plaire à ta copine et tes enfants." Une simple interrogation qui mène à : Une app disponible en France comme aux US + de 7 Millions de téléchargements Un volume d'affaire à 9 chiffres +40 Millions levés Pour autant, la route vers le succès n'a pas été de tout repos et des galères Jaques Édouard en a connu. Celui qui invoque la chance pour décrire ses prouesses le dit d'ailleurs lui-même : "Jow a failli mourir trois fois par an tous les ans pendant 5 ans" Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères de Jow, dès maintenant sur le podcast La Galère. Au programme : Développer une culture d'entreprise qui fonctionne Miser sur l'expérience utilisateur S'affranchir de la peur du bricolage (et enfin se lancer) Développer une communauté de confiance Utiliser son influence pour faire le bien Bonne écoute ! ❤️
"Depuis que je suis en maternelle, je veux être entrepreneur."Alors qu'il n'est qu'en cinquième, loin de se douter de son futur succès, Laurent écrit ces mots dans une rédaction. Quelques années plus tard, en 1996, tandis qu'il est encore étudiant, son rêve se réalise.Peu à peu, son quotidien se transforme et le site e-commerce qu'il est en train de créer pour apprendre devient une opportunité à saisir. À l'époque, c'est l'apparition des premiers modems 56k, l'adsl n'est pas encore arrivée, le développement web démarre à peine. De fil en aiguille, la demande s'accélère et Laurent s'entoure. Ses premiers employés sont des passionnés, comme lui, ainsi que des membres de sa famille.Ensemble, ils créent une enseigne de confiance que la première boutique, en 1998, vient consolider. Depuis, ils entrent en bourse et se développent au fil des années. Pourtant, si aujourd'hui LDLC c'est : Le n°1 du high-tech et du matériel informatique en France 1150 collaborateurs 600 Millions de CA 28+ années d'expérience dont 25 années rentables Le chemin pour y parvenir n'a pas été de tout repos et, des galères, Laurent en a connu. Peuvent en témoigner les années 2005 et 2008 où, malgré de nombreux efforts, tout a bien failli s'arrêter... Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères de LDLC, dès maintenant sur le podcast La Galère. Au programme : Les débuts d'un passionné : apprendre avant de vendre Travailler en famille (et rester soudés) Mettre l'humain au coeur de son business Manquer 35 000 commandes, et se racheter Désamorcer les tensions lors d'une acquisition Bonne écoute !
Prédestinée à devenir fonctionnaire à l'issue de ses études à l'IEP d'Aix en Provence, Salomé Géraud décide de prendre la voie de l'entreprenariat. En 2011, alors stagiaire à San Francisco, elle fait la rencontre de Pierre, son futur mari et associé. De leur amour naissent trois enfants et un projet un peu fou. Prenez un drive, retirez les emballages et obtenez "Le Drive tout nu", le seul réseau de supermarchés en drive et en physique zéro déchet au monde. Mais avant d'obtenir le succès qu'on lui connaît aujourd'hui, Le Drive tout nu c'est un pari risqué, qui a réussi grâce à la créativité et à l'énergie débordante de ses fondateurs. Né du constat que la moitié des déchets d'un français (soit 300kg/an) proviennent des emballages, le concept germe en 2012. Malheureusement, faute de temps et d'argent, le jeune couple est forcé d'abandonner le projet. C'est finalement en 2017, à trois semaines de leur mariage qu'ils finissent par se lancer ! Sélectionnés dans la promotion Ticket For Change pour se faire accompagner, Salomé et Pierre abandonnent leurs CDI et se lancent dans l'inconnu. Leur aventure débute ainsi avec une communication forte et engageante et beaucoup d'énergie pour déployer un test très bien rodé de leur concept. S'en suivent des année ponctuées par un buzz incroyable sur Brut, la recherche de financements, de nouveaux lieux, des travaux fait-maison, l'explosion des ventes durant le Covid, le développement de nouvelles filiales ou encore, très récemment, l'ouverture d'un tout premier super-marché zéro-déchets. Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères du Drive tout nu, dès maintenant sur le podcast La Galère.
Ce mois-ci dans la Galère : plongez dans l'épopée captivante de CityScoot, de son lancement jusqu'à sa chute. Avant de devenir un service emblématique de la mobilité avec 7500 scoots et près de 500 000 clients, CityScoot, c'est avant tout le fruit de la pensée de Bertrand Fleurose. D'employé en finance de marché à serial entrepreneur en passant par joueur pro de black jack, Bertrand n'en est pas à son coup d'essai lorsqu'il lance CityScoot.En 2014, alors qu'il revient d'Angleterre profondément marqué par la culture du service, et volontaire d'en créer un nouveau, Bertrand découvre Autolib et sa révolution dans le paysage urbain. Inspiré par l'idée et amoureux du concept, il s'entoure alors de profils tech, et, avec l'aide d'un financement d'un programme de la région, travaille sur l'élaboration d'un prototype de scooter. Du clavier à la connectivité en passant par l'IoT, l'équipe conçoit chaque aspect du produit. Une première levée leur permet de construire à la main leurs 50 premiers scooters et de tester dans Paris la désirabilité de leur produit. Puis, en mai 2015, un coup de poker audacieux au Journal du Dimanche change la donne. Alors qu'il n'a que 30 000€ en banque et pas la moindre idée du futur déploiement, Bertrand tente le tout pour le tout et annonce la mise en place de mille scooters dans Paris avant fin 2016. Cette stratégie risquée porte ses fruits et attire l'intérêt de la mairie de Paris. Le 1000 ème scooter est finalement déployé en mars 2017 après une seconde levée et, de fil en aiguille, le service se développe et commence à s'étendre à d'autres villes.D'abord Nice, puis l'étranger, le temps est au beau fixe pour CityScoot qui observe une croissance de 100% par an depuis l'origine et voit son CA doubler d'année en année. Cependant, l'ombre du Covid s'abat sur la success story de CityScoot, déclenchant une série d'événements qui conduisent à sa chute inattendue. Les dissensions au sein du board et les investissements coûteux contribuent à une détérioration de la situation financière, mettant finalement un terme au projet. Pour en savoir plus sur les hauts et les bas de CityScoot, ainsi que sur les projets palpitants à venir de Bertrand, écoutez dès maintenant le podcast La Galère. Bonne écoute !
Rien ne le prédestinait à devenir entrepreneur et pourtant... Étudiant à Polytechnique, Rémi réalise entre 2009 et 2012, sa thèse dans le domaine de la microfluidique : la physique intrigante des toutes petites gouttes de liquides. Intéressé par ses nombreuses applications industrielles, il se lance dès 2012 dans ce qui deviendra l'aventure de sa vie. Après quatre brevets déposés en seulement deux ans durant sa thèse, savoir comment exploiter cette propriété intellectuelle afin qu'elle sorte du labo et bénéficie au plus grand nombre devient son obsession. Rémi s'entoure alors de différents amis et experts en biologie et, avec leur aide, fonde Stilla Technologies. En quelques mots, c'est une start-up deeptech visant à développer et commercialiser des instruments d'analyse génétique de précision en créant une nouvelle génération de tests PCR beaucoup plus précis et puissants. Une nouvelle génération de ces tests connus du grand public pour leur application contre la Covid mais qui ont de nombreux autres cas d'applications ! Si la startup naît en 2013, il faut attendre 2017 avant l'arrivée de ses premiers clients. Entre-temps, les prototypes et les essais s'enchaînent et le produit évolue peu à peu. Bootstraping dans un premier temps, business Angels dans un second et levées de fonds pour finir, Rémi nous raconte les différentes étapes de financement de Stilla Technologies et les galères auxquelles il fait face durant son parcours (sachant que rien, dans sa formation, ne le prédestinait à entreprendre). Plus de 38 millions d'euros levés en cumulé à aujourd'hui, pourtant, le chemin vers le succès n'est pas sans heurts. Il faut près de 7 ans à la startup pour passer du prototype à un produit industrialisé et une capacité d'adaptation hors pair pour faire face à galères juridiques comme peu de startups ont connu ! Histoire incroyable : une menace juridique d'un concurrent américain prend forme la veille d'un accord d'acquisition potentiel de la startup pour plusieurs dizaines de millions de dollars... et fait malheureusement échouer le deal au dernier moment
Aider les marchands à se faire payer en plusieurs fois par leurs clients ? C'est le défi que s'est lancé Louis Chatriot, fondateur d'Alma, un service de paiement en plusieurs fois.
Lancer une boîte à impact positif ?C'est le défi que s'est lancé Laure Babin en créant Zèta, une marque de baskets vegan entièrement recyclées. Étudiante à l'IAE de Bordeaux, Laure entame un BTS en Commerce International puis un Master en Business Development. Elle voyage pour ses stages et part notamment aux Pays-Bas, au Cambodge puis au Pérou où elle travaille dans une petite entreprise de sacs à main. À peine de retour en France, elle ne rêve que d'une chose : retourner en Amérique Latine. Elle arrête alors ses études et décide de réaliser une année de césure pour mettre de l'argent de côté. A Bordeaux, elle commence à travailler chez EF en tant que commerciale mais 6 mois passent et elle a le déclic : ce qu'elle veut vraiment c'est lancer sa boîte. Elle termine alors ses études en France et trouve l'idée. Si elle imagine dans un premier temps travailler le textile, elle ne met pas longtemps à conceptualiser Zèta, sa marque de baskets entièrement recyclées et recyclables, zéro déchet, et vegan. De la conceptualisation à la commercialisation, elle parvient à se lancer avec succès, dépassant une à une les galères de parcours qu'elle rencontre. Faire du sourcing de matières, trouver une usine, réaliser une campagne de crowdfunding, rédiger les statuts, bien s'entourer, faire face aux aléas de la production... Laure nous raconte tout. Ses erreurs, ses galères, mais aussi ses succès. Succès que la marque affiche fièrement aujourd'hui, car Zèta c'est : 3 ans d'existence 30 000 paires vendues 300 000 euros levés en crowdfunding 3 000 000 de CA cumulés 90 tonnes de déchets recyclés Un partenariat avec Nespresso Un réseau de plus de 50 distributeurs On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir sans plus attendre les prémisses, les galères et la vision future de Laure pour Zèta, disponible dès maintenant sur le podcast La Galère ! Bonne écoute ! ❤️
Rendre la comptabilité plus intuitive ? C'est le pari qu'a fait Arthur, co-fondateur de Pennylane avec lequel on a eu le plaisir d'échanger ce mois ci. Entrepreneur dans l'âme, Arthur se lance rapidement dans la création d'une toute première boite. Alors qu'il étudie à Science Po pour obtenir son diplôme en économie et économétrie, il rejoint l'incubateur de l'école avec des amis qui partagent un même objectif : "monter une boite" Inspirés par un logiciel de pricing dynamique appliqué aux billets de baseball, ils lancent ensemble Price Match, un outil de revenue management pour les hôtels. En mai 2015, le succès est si grand qu'ils revendent leur boite à Booking où tous exercent ensuite pendant 3 ans. Passé ce délai, chacun part vivre de son côté et Arthur décide de voyager à travers le monde. Quelques mois de séparation suffisent et, bientôt, le groupe se réunit avec une seule envie : retenter l'aventure. Cette fois, l'approche est différente et trois critères sont fixés pour trouver une idée. Il faut viser un gros marché. Dans lequel la tech fasse la différence. Qui soit un marché de remplacement. C'est à ce moment que naît Pennylane, un outil de compta gestion tout-en-un qui cible les dirigeants soucieux de mieux gérer leurs données et d'améliorer la qualité de l'échange avec leurs comptables. Une idée plus que pertinente quand on sait qu'aujourd'hui Pennylane c'est : 115 millions d'euros levés Un logiciel "tout en un" pour les entreprises et leurs comptables +300 employés Près de 100 000 clients entreprises On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir sans plus attendre les prémices et les aspirations future
Proposer une solution de mobilité efficace? C'est le défi que s'est lancé Driss Ibenmansour en créant Motto, un service de vélo électrique personnel en abonnement.
Fondée par Grégoire Pigné, un entrepreneur passionné et visionnaire et une équipe d'experts, Pulse Life s'est donné pour mission d'améliorer la qualité de vie des individus en combinant les avancées technologiques avec les besoins fondamentaux de la santé.
Mantu, s'est distinguée dans le domaine des services et du conseil aux entreprises. On a eu le plaisir d'échanger avec Olivier Brourhant sur son parcours personnel ainsi que sur l'aventure de Mantu.
Yves Benchimol - Weward : L'innovation éco-responsable qui récompense chaque pas
Dans le monde des start-ups et de l'innovation numérique, certaines personnalités se démarquent par leur parcours atypique et leur vision avant-gardiste. Vincent Redrado est l'une de ces figures emblématiques, ayant su créer une entreprise prospère dans un secteur en constante évolution.
Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Cette semaine on va vous faire voyager ✈️ On a eu le plaisir de recevoir Alexandre Zurcher, le fondateur de vintage rides
Camille Azoulai - Funky Veggie : La nouvelle ère de la food ! Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Cette semaine sur la galère on se retrouve dans un sujet gourmand et oui puisqu'on a eu le plaisir d'accueillir Camille Azoulai co fondatrice de Funky Veggie
Cette semaine sur la galère on a eu le plaisir d'accueillir Henri pour nous partager la grande histoire D'avizio !
Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Cette semaine sur la galère on se retrouve pour parler de carrière professionnelle
Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Inévitablement vous l'avez déjà utilisé au moins une fois, le seul, l'unique.... Le lecteur multimédia VLC media player
Cette semaine sur la galère nous avons eu le grand plaisir de recevoir Antonin Marin le rédacteur en chef du Crayon le média qui fait débat !
Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Cette semaine au micro de la galère on a eu le plaisir de vous partager la venue d' Augustin charpentier pour nous partager l'histoire de Wavy
Écoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Bonne année et meilleurs voeux à tous ! ⚡️ On se retrouve pour le premier podcast de l'année avec une invitée qui décoiffe !!! Rebecca CATHLINE co fondatrice et CEO de "Ma coiffeuse afro" et de "In Haircare" nous a rejoint pour parler de son aventure démarrée depuis 2016
Ecoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify, ou votre lecteur préféré ! Cette semaine sur la galère on a reçu Edouard Atger et Ugo Annicchiarico les deux fondateurs de Starbolt ! ⚡️ La start up fait ses débuts en 2018 quand deux amis sportifs décident de s'associer pour lancer un projet engagé et urbain.
Ecoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify , ou trouvez votre lecteur préféré ! Cette semaine au micro de la galère on a eu le plaisir de recevoir Sadek Drobi qui nous a raconté le parcours de Prismic.
Ecoutez l'épisode sur Apple Podcast, sur Spotify , ou trouvez votre lecteur préféré ! Cette semaine au micro de la galère on a eu le plaisir de recevoir Sylvain Le Falher. Il est venu nous raconter le parcours progressif d'Hello Watt et de sa vie d'entrepreneur
L'aventure Assessfirst débute en 2002 lorsque David Bernard, psychologue du travail spécialisé dans la prédiction du comportement humain, décide de se lancer dans l'entrepreneuriat 30 jours seulement après l'obtention de sa maîtrise en psychologie quantitative. L'objectif est clair, mais loin d'être simple : David a pour vision de réinventer la façon dont les entreprises recrutent et accompagnent le développement des talents. En effet au début des années 2000 les évaluations de recrutement sont très peu utilisées et proposées au format papier. Cependant David, lui, a une tout autre idée. Il veut, à travers un éditeur de tests psychométriques, proposer des évaluations digitales permettant l'établissement d'un bilan décrivant le candidat. La finalité pour le recruteur est d'analyser ce rapport et de déterminer si le candidat possède les qualités requises ou non pour le poste. C'est ainsi qu'a vu le jour une application innovante d'évaluation du potentiel et du comportement en milieu professionnel avec le but d'un match optimal entre le candidat et l'entreprise. Quelques années plus tard en 2012, l'entreprise prend un tournant décisif. En effet David publie un algorithme prédictif permettant à AssessFirst d'anticiper la capacité des personnes à réussir et à s'épanouir au travail, avec une fiabilité estimée à 85 %.
Hari&co c'est l'histoire d'Emmanuel Brehier et de Benoît Plisson, deux ingénieurs agronomes devenus entrepreneur par conviction. Emmanuel est venu nous raconter au micro de la galère la genèse de Hari&co. Et comment sa sensibilité à la question écologique lui a permis de monter un projet ayant du sens. Tout commence en 2013, à la fin de leur cursus d'ingénieur, lorsqu'ils participent à un concours d'innovation dans le but de développer un produit plus durable. Ils développent une galette de lentilles vertes qui leur permet de remporter ce concours et d'être sollicité par plusieurs acteurs pour gagner en notoriété. L'aventure Hari&co commence ! Ils incubent l'entreprise dans les locaux de leur école et commencent à itérer sur plusieurs recettes afin de développer des produits à base de légumes dans l'optique d'offrir une nouvelle manière de consommer. Petit à petit, ils se rapprochent de la restauration collective pour vendre leurs produits et cette croissance leur permet d'industrialiser leur production. Après plusieurs subventions, emprunts bancaires et 2 levée de fonds, il définissent une plateforme de marque plus claire avec un branding coloré en phase avec les valeurs de l'entreprise. Et c'est à peu près au même moment qu'ils travaillent sur une marque de produits frais pour intégrer les GMS (grande et moyenne surface). Aujourd'hui, Hari&co a pour ambition de proposer une alternative durable à notre manière de consommer et de rentrer définitivement dans les habitudes de consommation des Français ! Au programme :
Christophe Dandois est le cofondateur de Leocare. Une Neo assurance liant flexibilité et simplicité ! Mais Leocare n'est pas la première entreprise de Christophe. Il a commencé l'aventure entrepreneuriale avec Niji, une entreprise de conseil en intégration IT. Avec ses cofondateurs, ils développent une offre sous forme de forfait à destination des opérateurs pour leur transition digitale. Mais après 15 ans chez Niji, Christophe rêve de changement. Il quitte tout pour devenir Patron digitale d'une grande marque, malheureusement son expérience chez Niji n'est pas du tout valorisée pour ce genre de poste à l'époque. Il se retrouve donc dans une boîte de consulting. Il observe une opportunité dans le secteur des assurances. Secteur en pleine transition digitale, il décide de donner un sens "consommable" à ce service en créant une offre simplifiée et plus flexible accessible directement via son téléphone. Avec Leocare, il ne limite pas l'assurance à la gestion des sinistres, mais à un véritable moyen de préventions à l'écoute de ses assurés. Au programme : - Commencer par faire ses armes dans les grands groupes avant de se lancer dans l'entrepreneuriat. - Savoir repérer les grands changements des secteurs pour y trouver une opportunité. - Offrir rapidement de la valeur aux clients pour trouver sa place sur un marché. - L'importance d'être user centric dans le secteur de service, notamment l'assurance. Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Véritable pirate de l'entreprenariat, François est le co-fondateur de pop chef l'entreprise qui révolutionne les cantines en entreprises. Mais avant d'investir le royaume du BtoB, l'histoire de pop chef commence en 2015 durant la dernière année d'études de François à HEC. Le concept original est de livrer un plat fait par un chef en 15 minutes, mais lorsqu'il réalise que d'autres acteurs investissent également ce secteur, François décide d'accélérer sa roadmap et de créer pop chef en 48h. Il fait face à 3 problèmes: Pour la nourriture, il décide d'aller voir le restaurant en face de son stage et de revendre les plats avec une petite marge. Pour les livraisons, il achète un pass vélib et commence à faire toute les livraisons lui même. Pour la tech, il crée un google form où les clients peuvent commander ainsi qu'un Twitter permettant pas la même occasion de faire connaître l'entreprise ! Véritable pirate de l'entrepreneuriat, François est le cofondateur de pop chef l'entreprise qui révolutionne les cantines en entreprises. Mais avant d'investir le royaume du BtoB, l'histoire de pop chef commence en 2015 durant la dernière année d'études de François à HEC. Son astuce pour fidéliser ses clients ? Les chouchouter, en plus d'une petite note manuscrite avec chaque commande, il lui tient à cœur de récolter les retours de ses utilisateurs autour d'un café après chaque repas. Le concept marche bien, il passe de 20 à 40 à 100 puis à 300 commandes ! Après une petite levée, François et ses cofondateurs décident de passer à la vitesse supérieure et décrochent une levée plus conséquente ainsi qu'une promesse de rachat. Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu, le deal ne voit jamais le jour et pop chef se retrouve avec 3 mois de cash restant. Le pivot est la seule solution et entraîne la réduction drastique des employés de l'entreprise. Ils se réorientent vers les plateaux-repas pour optimiser les livraisons : un livreur peut livrer un nombre plus conséquent de repas. Par la suite, il s'intéresse à la restauration en entreprise pour avoir un revenu récurrent. C'est grâce à des frigos connectés et à un système d'abonnement que Pop chef explose et devient l'entreprise que nous connaissons aujourd'hui ! Au programme : L'importance du Bootstrapping pour aller au plus vite se confronter au marché Créer une communauté pour s'assurer des clients réguliers Le pivot, une véritable opportunité pour scale Comprendre sa mission sociétale pour atteindre la réussite
Biloba, c'est l'assistant médical des parents. C'est une messagerie instantanée, sans rendez-vous, avec des équipes médicales pour le suivi de votre enfant. Mais l'histoire de Biloba, c'est avant tout l'histoire de Benjamin Hardy ! Entrepreneur malgré lui, Benjamin lance ses premières boîtes en sortant d'épitech. Il développe des applications avec ses potes d'école pour des petites entreprises, puis des grands groupes. Mais cela ne dure qu'un temps. Benjamin ne cherche pas le confort d'un CDD : ce qu'il veut, c'est se rendre utile. Lorsque ses potes ont leur premier enfant, il remarque qu'ils étaient en permanence à la recherche de l'avis d'un médecin pour répondre à leurs questions. La parentalité développe plein d'angoisses et de questionnements. Les jeunes parents ont besoin de professionnels pour répondre à leurs questions. Il rencontre des jeunes parents, se renseigne, et cherche une manière de faciliter leur vie de parent. Le suivi des vaccins des enfants est par exemple un sujet complexe pour eux. À partir de ce constat, il décide de développer une application de suivis des vaccins avec Baptiste, rencontré quelque temps auparavant pendant un voyage au Brésil. Au départ, l'application est gratuite : c'est Benjamin qui assure lui-même les réponses aux questionnements des parents, s'appuyant parfois sur l'expérience de sa femme, médecin. Puis, face à des questions posées souvent très techniques, Benjamin réalise que les professionnels de santé sont les seuls à pouvoir y répondre. Vous l'aurez compris, c'est le début du pivot vers le Biloba que nous connaissons aujourd'hui. Benjamin profite du confinement pour contacter certains professionnels de santé, médecins d'école par exemple, se retrouvant avec une activité réduite à cause de la crise sanitaire, et leur demande d'assurer les réponses sur le chat de l'application. C'est à la fin du confinement qu'il prend la décision de rendre l'application payante pour pouvoir rémunérer ses professionnels. Mais la théorie est beaucoup plus simple que la pratique : il lui faudra une année entière pour réadapter son offre et son produit pour trouver un équilibre. Aujourd'hui Biloba, c'est une équipe de 80 personnes, un peu moins de 4 millions de levées de fonds, et surtout une histoire inspirante que vous pouvez retrouver dans l'épisode d'aujourd'hui ! Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Il y a 3 ans, Thierry Vignal a créé Masteos. Masteos vous aide à investir intelligemment dans l'immobilier. L'entreprise s'occupe de l'entièreté du process, du sourcing de biens immobiliers à la mise en location de vos biens. Rien ne prédestinait Thierry à investir le milieu de l'immobilier. Après des études à HEC, il commence sa carrière dans la finance de marché... De Hong Kong à Londres, Thierry suit un parcours erratique et décide de rentrer en France. À son retour, il fait face à une véritable traversée du désert et se questionne sur le futur de son parcours professionnel. Pendant cette période, il propose à ses potes des services immobiliers (aller visiter des biens, contacter les artisans, aller chez le notaire). De ce temps libre, naît une révélation ! Après 6 mois d'observation, Thierry se lance sur le marché de l'investissement locatif. Il commence à chercher des clients entre le networking et LinkedIn pendant que son associé, Maxime Hanquier, s'occupe de la partie marketing. Les débuts sont compliqués. Dans le business d'intermédiaire immobilier, les délais sont très longs. Entre l'achat et la mise en location, les premières rentrées d'argent tardent à arriver. Ce qui complique principalement la gestion des salaires. Thierry lance une première levée de fonds auprès de ses employés et de ses clients. Il parvient à récolter 1 million d'euros. Cette première levée leur permet d'être repérés par des VC et de lever 2 millions de plus ! Contrairement aux agents immobiliers traditionnels, Masteos prend en compte tous les enjeux d'un investissement locatif ce qui rend le recrutement beaucoup plus sélectif. Entre victoires & galères (mais surtout des galères), l'histoire inspirante de Masteos vous permettra de dédramatiser l'aventure entrepreneuriale et de comprendre tous les enjeux de l'investissement immobilier. Au programme : ✨Apporter de la valeur aux gens ou comment réussir son networking.
C'est en parallèle de ses études qu'Anaïs Barut s'est lancée dans l'entreprenariat. Elle a cofondé Damae Medical, une medtech qui facilite la prise en charge des cancers de la peau. C'est à l'Institut d'Optique Graduate School qu'Anaïs va commencer son aventure entrepreneuriale. Grâce au programme "Young Entreprise Project" (YEP), elle crée avec un groupe d'étudiants un gadget permettant de faciliter la coupe de parts de pizza. C'est au cours de ce programme qu'elle rencontre David Siret, son futur cofondateur. Ils vont ensuite s'associer avec le Prof. Arnaud Dubois, chercheur reconnu en biophotonique, afin de développer une nouvelle technologie médicale d'imagerie l'optique. Vous l'aurez deviné, cet événement annonce les prémices de Damae Medical. Pendant les 3 années qui vont suivre, Damae va se développer en se finançant grâce à la BPI, à des aides d'innovation et aux concours entrepreneuriaux. Anaïs de son côté travaille main dans la main avec ses collaborateurs pour comprendre le marché et tester la faisabilité de la technologie médicale qu'ils développent. C'est après 6 ans d'itérations, de développements techniques et de validations cliniques de leur solution que l'entreprise va enfin commercialiser son produit auprès des dermatologues hospitaliers, libéraux mais aussi de sociétés cosmétiques et pharmaceutiques. Au programme : La compétition sur un marché, un signe d'opportunité ? Analyser son marché, une étape clé pour le comprendre Connaître les organismes de financement pour accélérer sa croissance Comment définir son projet pour l'intégrer à l'écosystème de santé ? Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Arkhn est une entreprise qui accompagne les hôpitaux à retrouver la souveraineté sur les données de santé qu'ils produisent. Pour y arriver, Arkhn agrège les sources de données existantes dans un hôpital et les standardise pour faciliter la gestion et l'analyse de ces données par la suite. Après une levée de 4M€ en 2021, l'équipe est riche en talents en data et en IA. Le parcours entrepreneurial de Théo Ryffel s'est construit comme une évidence, c'est en écrivant sa thèse sur la protection des données qu'il monte sa première startup : Arkhn. C'est après un cursus scolaire orienté autour des maths et de la santé qu'il s'intéresse à l'intelligence artificielle et se spécialise sur les données sensibles dans le monde de la santé. Son constat est simple, les données de santé sont extrêmement sensibles, si bien que leur traitement est délicat et compliqué. Il décide donc d'explorer ce sujet en écrivant une thèse sur l'ensemble des techniques existantes dans le monde de la sécurité des données et de la cryptographie, en lien avec l'intelligence artificielle. Il s'associe avec 3 autres amis ingénieurs qui souhaitent monter une boite sur le sujet de l'accessibilité des données de santé qui sont aujourd'hui silotées entre les différents logiciels hospitaliers, un sujet qui fait écho aux recherches de Théo ! Ils commencent par créer une association dans le but de faciliter la gestion des données dans les hôpitaux, créent rapidement un algorithme et contactent des organisations de santé pour tester leur solution. La théorie est simple, mais dans les faits cela se complique. Les hôpitaux ne sont pas toujours prêts à partager l'accès à leur données et questionnent la légitimité du projet… A tel point qu'ils finissent par transformer l'association en entreprise en 2019. Avec beaucoup d'échanges et de pédagogie, Arkhn va sensibiliser l'écosystème à la question de la souveraineté des données de santé et va accélérer son déploiement, hôpital après hôpital ! Au programme : Prototyper & tester rapidement sa solution pour comprendre les besoins du marché L'importance du discours commercial dans la vente Comment gérer le statut de son entreprise pour en tirer le maximum d'avantage Comprendre l'écosystème de son marché pour adapter son offre Gagner la confiance de ses prospects pour ouvrir son réseau Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Originaire de Marseille, rien ne prédestinait Cyril Chiche à entreprendre. Après 15 ans d'expérience dans plusieurs entreprises entre le marketing et le commerce dans des entreprises BtoB, Cyril rêve de process plus rapide et réfléchit de plus en plus sérieusement à se lancer dans l'aventure entrepreneuriale. Il observe une réelle opportunité dans les sujets du paiement mobile et s'inspire de ce qui se fait a l'étranger pour proposer une solution. Afin de tester son projet, Cyril décide de se rapprocher des bars pour leur proposer un moyen de paiement directement via leur téléphone. Mais avant de toucher la réalité, Cyril doit s'entourer ! Il rencontre donc Antoine Porte, son cofondateur, spécialisé dans la tech et amateur de bar, le combo parfait ! Ils lancent donc ensemble l'application Drink on me en partenariat avec plusieurs bars pour tester l'appétence de l'offre. Après des résultats positifs, Cyril et Antoine se demandent comment adapter leur solution à d'autres professionnels. Commence alors une longue quête auprès de différents métiers (médecins, chauffeur de taxis ...) qui se révélera sans succès. C'est en se rapprochant des étudiants que le projet pivotera en Lydia et permettra de se transférer de l'argent entre particuliers. Nous utilisons tous Lydia, mais nous n'en connaissons que l'interface. Pour comprendre comment Cyril Chiche a créé l'une des applications mobiles les plus utilisées en France, écoutez cet épisode ! (FYI dans cet épisode, vous saurez pourquoi Lydia s'appelle lydia ;)) Au programme : L'importance de donner du sens à son projet professionnel Évaluer la faisabilité d'un projet Activer son réseau pour tester & améliorer son offre Lever des fonds, plus complexe qu'un simple pitch ? Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Chloe Hermary a fondé ADA tech School, une école de d'informatique sur 21 mois qui favorise l'inclusion dans la tech. Après un parcours scolaire classique, Chloé se pose beaucoup de questions sur son orientation. Elle observe que les étudiants ne sont pas préparés à décider de leur avenir après leurs études. Elle décide donc, après un master HEC dans l'entreprenariat de monter sa première boite basée sur l'orientation des étudiants pour leur vie future. Elle développe un format de cours du soir basé sur les bilans de compétence pour orienter les futurs travailleurs de demain. Elle entame une intense prospection pour démarcher des potentiels prospects. Mais elle réalise après 7 mois que son offre n'est pas vraiment adaptés au marché, les étudiants n'ont pas le temps ni l'énergie d'assister à ses "cours" le soir. Son objectif reste le même, elle veut donner du sens aux études, elle décide donc de se renseigner auprès des recruteurs pour comprendre les enjeux et les demandes actuelles selon les secteurs. Avec cette recherche, elle réalise que le monde de la tech manque terriblement de femme. Chloé décide donc de créer une école d'informatique basé sur l'inclusivité pour créer le monde de la tech de demain dans une logique de parité. Entre les galères de financement, de recrutement ou encore de formations, Chloé nous raconte l'idée d'ADA, l'école d'informatique 2.0. Au programme : L'exécution, le meilleur moyen d'apprendre Les meilleures astuces pour démarcher ses premiers clients Observer son marché pour trouver une opportunité Comment éviter les erreurs de recrutement Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Vous avez sûrement dû entendre parler de Taïg Khris, ce rider aguerri avait réaliser un saut en roller du haut de la tour Eiffel ou peut-être avez vous vu son passage dans Koh lanta en 2010 ! Il a aujourd'hui conquis le monde de la Tech en créant On/ off. L'application qui vous permet de posséder plusieurs numéros de mobile dans votre smartphone. Sans avoir besoin d'avoir une autre carte SIM ou un autre appareil. Champion du monde de Roller à 20 ans, personne ne s'attendait à voir Taïg Khris investir le monde des Télécoms ! C'est après un accident qu'il se retrouve sur son lit d'hôpital à réfléchir à son avenir. Il fait un constat, un numéro de téléphone est toujours associé à un appareil physique contrairement à une adresse mail que l'on peut retrouver simplement avec une connexion internet. Avec la simple idée de mettre un numéro de téléphone sur le cloud, Taïg se renseigne auprès d'expert sur la faisabilité du projet. Il se retrouve à étudier de très près le monde des télécoms pour présenter son projet à des investisseurs. En un mois, il réussit à lever 1 million d'euros et la machine ON / OFF se lance. Mais le parcours ne sera pas sans embûche, entre les problèmes de trésorerie et les contraintes technique, Taïg revient sur son parcours d'entrepreneur ! Au programme :
Issu d'une famille d'entrepreneur, Alexandre était presque destiné à entreprendre ! Il a fondé Cleany, l'entreprise de nettoyage responsable & innovante. Après une école de commerce et un stage de contrôleur de gestion, il quitte le circuit classique pour travailler dans la société de nettoyage de son oncle ! Fort de cette expérience, il décide de monter une boîte concurrente : immonet (immobilier + Nettoyage). Il commence par démarcher des syndicats de copropriété pour proposer ses services, il achète une camionnette, de l'équipement et nettoie les cages d'escalier des copropriétés lui même. Petit à petit, le projet s'agrandit et Cleany commence à devenir le partenaire de nettoyage des bureaux de professionnel. En prenant des locaux dans un coworking, la petite équipe Cleany se familiarise sur le mindset de start up. À partir de ce moment-là, Immonet devient Cleany, une marque plus sexy avec des engagements forts. Basé sur le modèle start up, Cleany valorise l'innovation et les engagements RSE. Après plusieurs levée de fonds, la marque s'affirme et se différencie sur son marché grâce à ces engagements. Alexandre met un point d'honneur à rendre Cleany, toujours plus innovante et toujours plus responsable. Mais ce parcours n'a pas été sans embuche, il nous raconte son histoire dans l'épisode d'aujourd'hui ! Au programme
Bertrand Jelensperger a fait de l'entreprenariat une véritable carrière. Son plus beau succès : La fourchette, la plate-forme française de réservation de restaurants en ligne. Mais il a commencé à faire ses armes dès sa sortie d'HEC. Bertrand crée avec un associé un jeu de simulation boursier (dans les années 2000) dont le business modèle est simple : proposer des espaces publicitaires sur le site et vendre les leads aux plateformes de trading. Après l'effondrement de la bourse en 2001, l'entreprise ne fonctionne plus et l'aventure aurait pu s'arrêter la... Mais il rencontre Patrick Dalsace avec qui il s'associe pour développer Jtech France qui importe des bipeurs pour les restaurants et hôtels. La vente a été l'un des points clé de cette entreprise ! Cette expérience dans la restauration lui a permis de trouver une opportunité ! À ce moment-là, tous les restaurateurs prennent leurs réservations sur papier et il est impossible de réserver un restaurant en ligne.. L'idée de la fourchette est née... Si vous voulez connaitre cette success story, on vous conseille d'écouter l'épisode d'aujourd'hui ! Au programme : La vente, le meilleur moyen de connaître son client. Trouver une opportunité dans le marché de la restauration. Adapter son offre pour donner de la valeur au consommateur. Anticiper ses process pour ne jamais être dépassé. Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Jean-Philippe est le co-fondateur de YZR. Cette startup de la data permet d'automatiser la normalisation des données textuelles. En d'autres termes, cela permet de standardiser de la data et de la trier pour vous éviter de passer vos journées à remplir des Excels quand vous voulez assembler 2 jeux de données différents avec des champs qui se recoupent.
Christophe Pasquier, c'est le CEO & fondateur de Slite ! Et Slite, c'est un outils collaboratif en ligne qui facilite la documentation et les interractions. Mais avant de créer cet outil plutôt cool, Christophe a été entouré entrepreneur ! Après une école d'ingénieurs, il voit beaucoup de ses potes monter des boîtes pendant leurs années de césure. Et ça, ça l'inspire ! Il démarre donc son aventure entrepreneuriale en créant 2 boîtes, une plateforme collaborative asklinks et un site de ventes de sneakers. Mais ses expériences ne sont qu'éphémères. À ce moment là, il ne veut pas créer de boîtes tout seul, ni continuer à travailler en Freelance. Il essaye donc de rentrer dans les boîtes tech qui l'inspire le plus ! Puis un jour, il se retrouve chez EFunders où, on lui pitch l'idée d'une application de prise de notes. Christophe est inspiré par l'idée ! Il rencontre également son associé Pierre chez EFunders et se lance ensemble dans la création de Slite. Cette histoire, il nous la raconte dans l'épisode d'aujourd'hui, entre l'évolution du projet, les tests, les premières ventes ou encore la recherche d'investisseurs. L'histoire de Slite est plus qu'inspirante ! Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast :)
Victor c'est le fondateur d'Urbansoccer puis de le casa coliving. Le concept est simple, proposer des maisons de coliving service tout compris Mais l'aventure entrepreneuriale de Victor a commencé il y a déja plusieurs années lors de la création d'urban soccer. Un concept de foot à 5 sur des terrains adaptés. Après ses galères immobilières du début et un certain engouement pour le concept, Victor décide de revendre ses parts à ses associés pour partir explorer le monde avec sa famille. Lors de ce tour du monde il découvre le coliving aux États unis. En rentrant en France il décide de creuser l'idée du coliving. Son but premier est de créer un produit qui améliore la vie quotidienne. Il lance donc un concept pour répondre à un problème de niveau de vie dans les grandes villes, mais aussi une problématique sociale : quand on déménage dans une nouvelle ville il est toujours difficile de rencontrer de nouvelles personnes. La première casa voit le jour, il propose un mode de vie en communauté avec le moins d'inconvénients possible, chaque habitant conserve son intimité avec chambre et salle de bain privée mais peut aussi profiter de la vie en communauté via les activités proposées par la casa. Le parfait équilibre en somme !
Florent est le CEO et co-fondateur de Brigad. Brigad, c'est l'histoire d'une revalorisation des compétences dans des secteurs oubliés. Cette solution de recrutement 2.0 permet à des métiers dans la restauration et la santé de trouver des missions ponctuelles sans s'occuper des papiers administratifs.
Mathieu Ecollan c'est le co-fondateur de Staycation, c'est une appli qui permet de passer 24h magique dans un hôtel près de chez toi.
Teddy, c'est le cofondateur de de Heetch! Si vous vivez dans une grotte, Heetch c'est une application qui met en relation des VTC et des particuliers (comme uber
Celine c'est la cofondatrice du groupe verona qui rassemble les salle de sport Neoness & episod. Le groupe verona c'est 500 salariés, 50 millions de chiffres d'affaires, 160 000 clients, 37 clubs. Cette semaine elle vient nous raconter ses galères d'entrepreneur lors du lancement de sa première salle de sport et l'évolution du concept Neoness. Les salles Neoness sont fondées sur un modèle d'optimisation des coûts. Grâce à la suppression des équipements coûteux et peu utilisés (piscine, sauna, hammam) et à une gestion simple et efficace, Neoness parvient à proposer à ses clients un abonnement à partir de 15€/mois (le meilleur du marché) tout en gardant une prestation haut de gamme. Au programme :
Jean-David Benichou c'est le fondateur de Via.io, l'un des leader dans l'industrie des communications électroniques. Entrepreneur aguerri depuis ses 20 ans, il a monté 15 boites spécialisées dans la tech à travers 10 pays différents, et ce sans aucune levée de fonds ! Avant-gardiste, il a été le premier en France à lancer le “fax marketing” Celui que l'on surnomme CPS (Chief Problem Solver) nous a raconté son parcours de serial entrepreneur. Comment il a réussi à être précurseur des tendances avec l'idée de faire de la prospection de masse par fax (l'emailing avant l'emailing) et obtenir des taux de conversion impressionnants ! Avec autant de boîtes à son compteur, Jean-david a expérimenté un bon nombre de galères qu'il nous raconte dans l'épisode d'aujourd'hui. Au programme de cet épisode : L'évolution des télécommunications. Ses galères financières à 20 ans ! Pourquoi il n'a jamais levé de fond !? Ses conseils pour les entrepreneurs en devenir. Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast
Nous avons reçu Aude Guéneau, fondatrice de Plume, une application qui permet aux enfants de pratiquer leur expression écrite et d'écrire leur propre livre. Aude a été professeure de lettres modernes. Passionnée par son métier, elle s'est vite rendue compte que l'expression écrite était particulièrement discriminante entre les élèves tout en n'étant pas suffisamment enseignée. Elle considère qu'il y a un réel besoin de personnaliser les apprentissages, de mesurer l'efficacité de ce qui est fait et d'inclure les personnes le plus en difficulté. Elle écrit elle-même les premières histoires à compléter et teste le concept autour d'elle mais la première version web génère à peine trois abonnés... Aude s'associe avec les bonnes personnes et se forme à l'acquisition web et au marketing digital et elle devient Sales de sa boîte. Elle a participé à la Fabrique d'Aviva. Motivée à gagner, elle est allée convaincre des personnes à la sortie des supermarchés et dans le RER de voter pour Plume, et sa persévérance lui permet de remporter le prix ! Aujourd'hui Plume compte plus de 35 000 familles inscrites et 15 000 enseignants et l'application a été labellisée par l'éducation nationale. Au programme : Passer d'enseignante à CEO et Sales Refuser une offre de levée de fonds Harceler son entourage pour trouver un associé Ne plus avoir de quoi payer ses employés Les défis auxquels fait face une femme entrepreneure Bonne écoute ! Pour soutenir le podcast : S'abonner à La Galère pour ne pas rater la sortie du prochain épisode ! Mettre 5 étoiles sur Apple Podcast pour aider d'autres personnes à découvrir le podcast
On ne présente plus Jérémy, l' "infamous" 4ème employé et Head of Growth de Spendesk, la startup qui permet aux PME de résoudre toutes les galères liées à la gestion des dépenses de l'entreprise et des cartes bleues de ses salariés. Arrivé à 20 ans dans une équipe aux personnalités hyper variées, mais tous animés une envie folle d'en découdre, ce bidouilleur autodidacte de l'acquisition sur internet gère aujourd'hui des équipes de dévs et d'experts de l'acquisition digitale en France, et supervise le lancement aux USA (une sacré galère...