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Tu peux soutenir sur le podcast en mettant 5⭐️ sur Apple Podcasts ou Spotify !Benjamin est l'ancien Head of Design de Matera.Dès la sortie du collège, Benjamin se spécialise dans le Design via un CAP puis un Bac pro. Un parcours professionnalisant qui l'amène à découvrir de nombreuses facettes du design à travers ses stages : imprimerie, covering, web... Constatant l'essor du web, il poursuit en DUT, mais décide ensuite de se concentrer sur la gestion de projet et d'équipe plutôt que d'approfondir ses connaissances techniques déjà solides.Pendant ses études, il travaille pour My Witty Games, éditeur de jeux de société en crowdfunding, gérant l'identité visuelle, le site web et la communication. L'entreprise fermera suite à un conflit avec Asmodee, géant du secteur.Chez Criteo, Benjamin commence par créer des bannières publicitaires avant de s'intéresser à la data et aux aspects business. Sa carrière y évolue rapidement :Head of Design France pour le marché retailDesign Director EMEA d'un nouveau produit de retail mediaCe dernier poste s'avère difficile : départs d'équipiers, arrivée du Covid, mais aussi croissance rapide. Benjamin y développe ses compétences en management d'équipe et en Product Design, positionnant le design comme élément stratégique.Après 8 ans, il rejoint Matera (solution de gestion immobilière) comme Head of Design avec trois missions :Faire rayonner la culture design dans l'entrepriseDévelopper l'équipe DesignStructurer cette équipe en croissanceEnfin, Benjamin nous parle de la suite, car il a quitté Matera pour rejoindre Kolecto…Les ressources de l'épisodeMateraCriteoKolectoOverbookés, Rahaf HarfoushLes autres épisode de Design Journeys#38 Théo Kopf, Brand Designer @ Matera#73 Arthur Foliard, Creative Director @ Koto#76 Théo Rivière, consultant, auteur & éditeur de jeux de société Pour contacter BenjaminLinkedInHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Laurent Kretz reçoit Allison Piraud, fondatrice de Élhée, une marque de puériculture qui a repensé le biberon pour offrir une alternative saine, durable et design.Élhée, c'est l'histoire d'une entrepreneuse qui a voulu faire mieux pour les bébés et leurs parents. Constatant les risques des biberons en plastique (perturbateurs endocriniens, microparticules), Allison a imaginé un biberon en silicone médical de haute qualité, une solution saine et résistante.
« Si une trend TikTok ne transforme pas en stream, c'est que le son n'est pas bon »
Dans ce nouvel épisode de #YesWeCare, plongez au cœur de la perma-entreprise avec Sylvain Breuzard, fondateur de Norsys. Sylvain nous présente un modèle révolutionnaire pour un futur viable : la perma-entreprise. Inspirée de la permaculture, cette approche propose un mode de développement d'entreprise plus respectueux des humains et de la nature, basé sur trois principes éthiques indissociables : prendre soin des humains, préserver la planète, se fixer des limites et redistribuer équitablement les richesses.
C'est l'été, on a envie de chaleur
Constatant que les femmes afro-descendantes sont confrontées à des discriminations persistantes, à l'intersection du sexisme et racisme, Aida Aicha Bodian est en train de mettre sur pied la plateforme Afrobloomy. L'objectif de cette entrepreneure italienne d'origine sénégalaise est de favoriser l'épanouissement professionnel des afro-descendantes, via des ateliers et autres accompagnements, en France dans un premier temps.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Quartier d'affaires - le podcast dédié au monde de l'entreprise
Connaissez-vous l'étiopathie ? L'étiopathie est une thérapie manuelle qui soigne la cause des pathologies. Son raisonnement logique permet de trouver l'origine mécanique des douleurs, gènes et dysfonctionnements tels que le mal de dos, les névralgies, les troubles digestifs et ORL, etc. Une manière de soigner encore peu connue du grand public mais qui connait un succès grandissant et c'est précisément la spécialisé de Charlotte Duprè qui a installé son cabinet à Montrouge place Jules Ferry.Constatant que ses patients avaient besoin "d'un accompagnement au quotidien", elle lance les Ateliers Santé Pratique qui se déclinent sous plusieurs formes :- Des vidéos sur YouTube avec des conseils et des exercices pratiques (chaque dimanche, une nouvelle vidéo)- Une Newsletter Santé et bonne humeur (tous les mardis, une dose de santé inspirante en musique dans votre boîte email)- Des Ateliers sur-mesure en Entreprise lors d'interventions régulières ou ponctuelles pour un séminaire.Que ce soit en terme de prévention santé ou pour répondre à 1 problématique spécifique de l'entreprise.- Des Ateliers pour les particuliers, afin de passer un moment sympa tout en prenant soin de soi.Ils ont lieu au sein de l'hôtel MERCURE Paris Porte d'Orléans (1 fois par mois).- Des programmes complets en ligne pour avoir chez soi des solutions clés en main pour améliorer sa santé au quotidien ou résoudre un problème de santé.Retrouvez dès à présent l'interview de Charlotte dans ce nouvel épisode de Quartier d'affaires !Pour retrouver ses conseils ou consulter :https://www.etiopathieparis.com/Vous avez aimé cet épisode ?Soutenez-nous en vous abonnant et en mettant 5 étoiles !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(entretien)Cécile Bertin est journaliste spécialisée dans le running et a couru de nombreux marathons et ultra-trails. Quand elle a commencé la course à 35 ans, elle était déjà mère de famille nombreuse. Constatant les freins qui entravent alors la participation des femmes aux marathons, elle devient féministe et ne cesse de les encourager à chausser leurs baskets, en créant à l'époque le site courir au féminin.Ensemble, nous parlons de son rapport au corps et à la douleur, de la ménopause qu'elle a prise en pleine figure, de la transmission : peut-on à la fois encourager sa fille à s'accepter et envisager de recourir à la médecine esthétique ? De toutes façons, Cécile hésite encore à faire un traitement de cryolipolyse mais reste bien décidée à continuer de courir et de voyager.Son dernier guide, le Tour du monde en 60 courses (éd. Vagnon), témoigne de ses deux passions.@cecilebertinrunfitfunPodcast créé et réalisé par Isabelle SansonettiInstagram : @injonctionsetbistouriJournaliste, j'ai écrit sur la médecine et la chirurgie esthétiques pendant plus de vingt ans au magazine ELLE.Dans ce podcast Injonctions & Bistouri, créé en mai 2022, je reçois des personnes qui ont un jour décidé de corriger ce qui les dérangeait. Leur témoignage peut s'avérer une aide précieuse quand on envisage soi-même une intervention de médecine ou de chirurgie esthétique. J'échange aussi régulièrement avec des spécialistes et personnalités afin de cerner l'impact de ces procédures esthétiques qui embellissent, rajeunissent ou transforment.Je souhaite que ce partage d'expérience et ces échanges ouvrent des pistes pour débusquer les injonctions qui pèsent sur l'apparence et se réconcilier avec son corps, son âge, son image.Mon livre J'y vais, j'y vais pas (Editions Jean-Claude Lattès 2021) est toujours disponible en Livre de poche : https://www.livredepoche.com/livre/jy-vais-jy-vais-pas-9782253238430 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue à toutes et tous sur mon podcast « La pleine conscience du pouvoir » ! Je m'appelle Anne Pioz, je suis psychothérapeute spécialisée dans les troubles alimentaires. Avec ce podcast sur la relation avec l'alimentation, je vous accompagne à retrouver une relation sereine avec la nourriture et avec votre corps. Dans cet épisode 96, je viens vous faire part de mon état d'esprit du moment. Constatant combien la culture des régimes continue d'être omniprésente : dans les médias, sur les réseaux, au travail, dans les conversations en famille ou entre ami.es... comment un podcast comme "La pleine conscience du pouvoir" peut agir réellement ? N'est-ce pas nous battre contre des moulins à vent ? Ecoutez bien l'épisode jusqu'au bout, je vous parle du devenir du podcast, et vous propose un cadeau surprise... qui j'espère vous plaira. On y parle... de régimes... Vous pouvez soutenir le podcast « La pleine conscience du pouvoir » grâce à une contribution ici : https://fr.tipeee.com/la-pleine-conscience-du-pouvoir/. Pour recevoir le livre blanc cité dans l'épisode, c'est par ici : https://annepioz91.systeme.io/dangers-des-regimes Téléchargez le guide des épisodes du podcast ici : https://annepioz91.systeme.io/guide-des-episodes Vous souhaitez en savoir sur mon travail ? ð Vous pouvez me contacter ici : https://pouvoircannelle.com/contact/ ð Et le lien d'inscription à ma newsletter est ici : https://annepioz91.systeme.io/inscription-newsletter.
GESTIONNAIRES EN ACTION. Shopify (SHOP, 79,17$) a conclu le 6 juin la vente de sa division de services logistiques à la société à capital femé Flexport et Steve Bélisle, gestionnaire de portefeuille à Gestion de placements Manuvie, estime qu'il s'agit d'une bonne décision de la part de la société ontarienne. Selon lui, cette division était un frein à la rentabilité de l'entreprise d'infrastructures de commerce électronique. «Shopify pourra rivaliser avec le service Amazon Prime en étant cliente de Flexport sans avoir à investir elle-même dans le projet», dit-il. Constatant le fort rebond du titre de Shopify depuis l'annonce de la transaction survenue le 4 mai, Steve Bélisle estime toutefois que le titre de l'entreprise est à présent surévalué. Ce dernier a aussi voulu revenir sur la saison des résultats des six grandes banques canadiennes au second trimestre. Il est inquiet de la hausse moyenne des dépenses de 10% constatée durant la période, de même que de l'exposition des institutions financières à l'immobilier commercial. Par contre, il voit d'un bon oeil le fait que les banques ont dévoilé des ratios de capitaux de première catégorie supérieurs aux prévisions. Avec le récent recul du titre de Banque TD (TD, 78,99$) et comme le projet d'acquisition de la banque américaine First Horizon pour un montant de 13,4 milliards de dollars américains est tombé à l'eau, Steve Bélisle soutient que la société se retrouve avec d'importantes liquidités qui pourraient servir à des rachats d'actions. Il considère que la TD est un titre à détenir en portefeuille.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
LES BONS SCORES DU NUTRI-SCORE SERGE HERCBERG Épidémiologiste, nutritionniste et inventeur du Nutri-Score Serge Hercberg est épidémiologiste nutritionniste et inventeur du Nutri-Score. Hier, L'UFC-Que Choisir a publié une nouvelle étude qui souligne l'effet bénéfique de ce logo sur les recettes des industriels. Constatant que la qualité nutritionnelle a considérablement progressé dans les seuls rayons où il est largement affiché, l'Association presse la France de se mobiliser pour défendre le Nutri-Score auprès des autorités européennes, et la Commission européenne de le rendre obligatoire dans l'Union. Depuis 2015, l'affichage du Nutri-Score a incité les industriels à modifier leurs recettes et améliorer la valeur nutritionnelle de leurs produits, mais la part des marques nationales refusant toujours de l'afficher couvre encore près des deux tiers des volumes des ventes, a affirmé mercredi 12 avril l'UFC-Que Choisir à franceinfo. "Le caractère facultatif du Nutri-score est un frein à l'amélioration des recettes", déplore l'association. Depuis ce constat, l'UFC-Que Choisir "presse la France de se mobiliser pour défendre le Nutri-Score auprès des autorités européennes, et la Commission européenne de le rendre obligatoire dans l'Union". Pour mener cette étude, l'association a comparé sept familles de produits alimentaires entre 2015 et 2022. Si en 2015, beaucoup d'entre eux affichaient les plus mauvaises notes, entre E et D, l'année dernière, trois de ces groupes avaient une meilleure composition et présentaient moins de sel, de sucre, de graisses saturées. Parmi les fabricants qui ont accepté d'afficher le Nutri-Score sur leurs produits, on retrouve Bjorg, Gerblé, Harry's, Jacquet, La Boulangère, Kellogs ou encore Nestlé. Pour l'UFC-Que Choisir, cette étude prouve qu'il faut rendre obligatoire ce Nutri-Score sur tous les produits alimentaires, en France et en Europe. "Dans la mesure où ce Nutri-Score induit un changement de comportement des consommateurs, ça va inciter les industriels à améliorer leurs recettes pour se rapprocher du A", selon Alain Bazot, président de l'UFC-Que Choisir, à franceinfo. L'inventeur du Nutri-Score Serge Hercberg reviendra sur l'étude de l'UFC-Que Choisir qui souligne l'effet bénéfique du nutriscore sur les recettes des industriels.
On le sait, la cornemuse, au même titre sue le kilt ou le chardon, est l'un des principaux emblèmes de l'Écosse. Les "pipers", le nom donné à ces joueurs de cornemuse, donnaient d'ailleurs, chaque matin, et jusqu'au jour de son décès, une aubade à la Reine d'Angleterre.Mais ils avaient aussi une autre mission, plus martiale. C'est en effet au son nasillard des cornemuses que les soldats britanniques devaient marcher au combat. Ces mélodies entraînantes étaient censées leur donner du courage. Les "pipers" sont encore présents dans les combats de la première Guerre mondiale.Censés entraîner leurs camarades, les joueurs de cornemuse se plaçaient en première ligne lors d'un engagement. On imagine qu'ils constituaient alors des cibles faciles pour le camp adverse.Constatant les très lourdes pertes qui éclaircissaient les rangs de ces musiciens militaires, le "War Office" (le Ministère de la Guerre britannique) interdit alors la présence des "pipers" dans l'armée, du moins dans les premières lignes.Mais lord Lovat, qui commandait l'une des brigades participant au débarquement de Normandie, le 6 juin 1944, ne se sent pas tenu d'obéir à de tels ordres. Comme ils émanaient d'une autorité anglaise, cet aristocrate écossais ne se croyait pas obligé de leur obéir.Or, lord Lovat avait son "piper" personnel, Bill Millin, qui avait 22 ans au moment du débarquement. Selon l'usage, il lui demande donc de se placer au premier rang, lors des opérations, et de jouer des airs traditionnels, pour galvaniser ses camarades.Bill Millin prend donc la tête de la troupe, au sein de laquelle s'élève alors une musique bien connue des soldats. Selon certains témoignages, le tir nourri des Allemands aurait cessé un instant, au moment même où Bill Millin aurait commencé à jouer.Une pause que les Alliés auraient utilisée pour s'emparer de la plage sans coup férir. Plus tard, le "piper" participe à l'attaque d'un pont, dont il ressort encore indemne. Il semblerait, d'après certains témoignages, que les Allemands, le prenant pour un fou, n'aient pas tiré sur lui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On le sait, la cornemuse, au même titre sue le kilt ou le chardon, est l'un des principaux emblèmes de l'Écosse. Les "pipers", le nom donné à ces joueurs de cornemuse, donnaient d'ailleurs, chaque matin, et jusqu'au jour de son décès, une aubade à la Reine d'Angleterre. Mais ils avaient aussi une autre mission, plus martiale. C'est en effet au son nasillard des cornemuses que les soldats britanniques devaient marcher au combat. Ces mélodies entraînantes étaient censées leur donner du courage. Les "pipers" sont encore présents dans les combats de la première Guerre mondiale. Censés entraîner leurs camarades, les joueurs de cornemuse se plaçaient en première ligne lors d'un engagement. On imagine qu'ils constituaient alors des cibles faciles pour le camp adverse. Constatant les très lourdes pertes qui éclaircissaient les rangs de ces musiciens militaires, le "War Office" (le Ministère de la Guerre britannique) interdit alors la présence des "pipers" dans l'armée, du moins dans les premières lignes. Mais lord Lovat, qui commandait l'une des brigades participant au débarquement de Normandie, le 6 juin 1944, ne se sent pas tenu d'obéir à de tels ordres. Comme ils émanaient d'une autorité anglaise, cet aristocrate écossais ne se croyait pas obligé de leur obéir. Or, lord Lovat avait son "piper" personnel, Bill Millin, qui avait 22 ans au moment du débarquement. Selon l'usage, il lui demande donc de se placer au premier rang, lors des opérations, et de jouer des airs traditionnels, pour galvaniser ses camarades. Bill Millin prend donc la tête de la troupe, au sein de laquelle s'élève alors une musique bien connue des soldats. Selon certains témoignages, le tir nourri des Allemands aurait cessé un instant, au moment même où Bill Millin aurait commencé à jouer. Une pause que les Alliés auraient utilisée pour s'emparer de la plage sans coup férir. Plus tard, le "piper" participe à l'attaque d'un pont, dont il ressort encore indemne. Il semblerait, d'après certains témoignages, que les Allemands, le prenant pour un fou, n'aient pas tiré sur lui. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
“Nous sommes agents des services publics. Issu.e.s de milieux d'oùprendre la parole est découragé. Constatant chaque jour une perte de sens. Aujourd'hui nous brisons le silence pour dénoncer lesdysfonctionnements de l'Etat” voilà comment le collectif Nos services publics se présente. Collectif qui est allé chercher dans les chiffres et dévoile que l'État a : soit le projet de baisser le nombre et le salaire des fonctionnaires ; soit a gonflé artificiellement le déficit annoncé ; déficit qui sert à légitimer la réforme des retraites. Les fonctionnaires : ces soignant.es, profs, agent.es des diverses instutions, etc. Toustes celles et ceux qui font nos services publics. Je reçois Arnaud Bontemps, fonctionnaire et co-porte-parole du collectif Nos services publics. Avec lui, on revient sur les chiffres du COR, donné par le gouvernement, qui ont servi à dessiner le déficit prévu pour les années à venir et permet de légitimer la réforme des retraites pour le gouvernement. Il prévoit une diminution de 11% de la rémunération des fonctionnaires sur le quinquennat et une diminution de leur nombre. On revient aussi sur les arguments du gouvernement pour justifier la réforme : est-ce pour financer nos services publics ? L'argent des retraites ne servira-t-il qu'aux retraites ? Le discours a de nombreuses fois changé. Décryptage. ▶ Soutenez Le Média :
Romain Moulin est presque un enfant de la balle. Il est ingénieur. Comme son père. Il dirige une usine. Comme son père. Mais la comparaison s'arrête là : son papa dirigeait une fabrique de moules pour la verrerie, en Seine-Maritime. Lui a cofondé, dans le nord de la France, Exotec qui est devenue la première licorne industrielle française. Ses petits robots soulagent le travail des opérateurs dans les entrepôts de marques et plateformes e-commerce dans le monde entier. De cette enfance, “dans l'odeur de la graisse, dans le ronronnement des machines”, Romain Moulin a conservé un amour de la résolution de problèmes mécaniques. Exotec vient même de créer son propre concours de robots qui se déroulera en 2023. Passionné de science-fiction et de cinéma fantastique, il est admiratif du travail des réalisateurs et scénaristes dont il trouve des points communs avec son métier. Il a d'ailleurs toujours pour projet de finir un scénario. Un jour.Constatant avec tristesse le manque de femmes dans les études d'ingénieurs et donc dans les startups, Romain Moulin n'a pourtant pas choisi une entrepreneure de la tech à mettre en avant. La “Sista” qu'il aimerait écouter au micro de 40 Nuances de Sista se nomme Anne-Sophie Pic, la cheffe étoilée, pour la manière dont elle a trouvé son chemin entrepreneurial.
Dans Historiquement Vôtre, Clémentine Portier-Kaltenbach vous présente Ignace Semmelweis (1818-1865), un médecin obstétricien hongrois qui fit diminuer les cas de fièvres puerpérales chez les jeunes mères. Constatant que le taux de mortalité des parturientes augmentait lorsqu'elles étaient prises en charge par des médecins venant de pratiquer des autopsies, Semmerlweis instaura le lavage de mains à l'eau chlorée. Pour ses idées visionnaires, il fut pourtant rejeté par ses pairs.
Alger, le 13 mai 1958. S'enfonçant de plus en plus dans le chaos, l'Algérie est devenue ingouvernable par une Quatrième République totalement dépassée. Une poignée de pieds-noirs et de militaires décident de prendre les choses en main et tentent un coup de force. Constatant l'apathie et l'incohérence des réactions de Paris, celui-ci pourrait faire tache d'huile en Métropole anticipent même les putschistes. Face à la gravité des évènements, l'Élysée, en accord avec Matignon et l'Assemblée, ne voit qu'un seul moyen pour faire baisser la tension et ramener le calme : appeler le Général De Gaulle à la rescousse. Cet épisode est tiré de la chronique d'Antoine Perroud écrite sur bdgest.com Un Général, des Généraux est une bande dessinée éditée chez Le Lombard.
Les États-Unis d'Amérique regorgent d'histoires aussi étranges que loufoques. En voici une nouvelle : à la fin du XIXe siècle... un fantôme aurait tout simplement aidé à élucider une affaire criminelle ! Une macabre découverte 1897 : le XIXe siècle émet ses dernières lueurs. Dans le comté de Greenbier (en Virginie Occidentale), un couple mène une existence en apparence sans histoires, dans une belle maison qui lui appartient. Il s'agit en fait des époux Shue. Un beau jour, le mari (Erasmus – Edward - Stribbling Trout Shue) envoie un jeune homme (nommé Anderson Jones) faire quelques travaux d'entretiens dans sa demeure, où se trouve ordinairement son épouse Elva Zona Heaster Shue. La pauvre dame (alors enceinte) est alitée depuis quelques semaines et demande donc à être assistée dans son quotidien. Cependant, une fois arrivé sur place, l'émissaire constate avec effroi... que ladite épouse gît inerte sur le sol ! Mémoire d'outre-tombe Plusieurs personnes sont immédiatement averties : parmi elles, le mari d'Elva Shue et le docteur Knapp qui s'occupe ordinairement de tous les habitants du comté. Lorsque celui-ci arrive sur place, il constate toutefois que le veuf est déjà au chevet de sa défunte épouse. Malgré un côté du visage qui semble décoloré, le médecin conclut que la mort a certainement été causée par une grossesse compliquée. Tout aurait pu se terminer sur ce verdict, mais c'était sans compter sur les suspicions d'une mère. Très méfiante vis-à-vis de son gendre, Mary Jane Heasyer conserve en effet le voile qui recouvrait sa fille. Constatant qu'il dégage une odeur étrange, elle le lave... mais, selon ses dires, l'eau de la bassine devient toute rouge ! Advient alors ce qui s'apparente au récit d'un film d'épouvante... Soupçonnant que sa fille avait été assassinée, Mary Jane prétend voir le fantôme de la défunte se manifester à elle (au cours des semaines qui succèdent à son décès). Le spectre lui aurait alors révélé les véritables circonstances du drame : l'épouse Shue aurait, en fait, été étranglée par son mari, ivre de colère. Transmise à un procureur, cette incroyable histoire donnera lieu à une exhumation, puis à une autopsie du corps de la défunte (et ce, malgré les protestations de Mr Shue). Le verdict sera sans appel : présentant des cervicales rompues, Elva Zona avait bel et bien été tuée par strangulation. Jugé puis condamné en conséquence, le veuf fut donc placé derrière les barreaux. Comme une vengeance post-mortem. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Constatant que le droit d'accès à un avocat est malmené depuis un mois à la prison de Saint-Gilles en raison des protestations du personnel liées à la surpopulation carcérale, l'Observatoire International des Prisons (OIP) en appelle ce vendredi à des libérations, comme cela a été fait durant la première vague de la pandémie. La coprésidente de la section belge de l'OIP Marie Berquin défend qu'il pourrait y avoir des placements sous surveillance électronique ainsi que des libérations sans ou sous conditions.Depuis l'émergence de la pandémie en Belgique, les détenus arrivant à la prison de Saint-Gilles sont placés en quarantaine au moins deux semaines dans l'aile E, qui ne dispose que d'un seul local pour les entretiens avec les avocats. Il s'agit de personnes qui viennent d'être placées sous mandat d'arrêt, qui doivent comparaître devant la chambre du conseil dans les 5 jours de leur mise en détention préventive et qui disposent de 15 jours pour former opposition à leur inculpation."En raison de ces délais très courts, il est essentiel que ces détenus puissent communiquer rapidement et sans difficultés avec leurs avocats", souligne l'OIP dans son communiqué. À la suite de la découverte d'un cluster de coronavirus le 31 octobre dans l'aile des travailleurs, des détenus qui se déplacent dans la prison pour exécuter différentes tâches, les agents pénitentiaires ont commencé à s'organiser pour dénoncer la surpopulation carcérale. Le nombre de détenus dépassait alors les 900 pour une capacité maximale fixée à 850 places.Les syndicats CGSP et SLFP ont déposé le 2 novembre un préavis de grève relatif au manque de personnel et à la surpopulation carcérale. Pour les besoins de l'organisation du service minimum, les agents doivent déclarer leur intention de faire grève 72 heures à l'avance. Cependant, l'OIP relève que leurs assemblées générales, réunions avec la direction et autres actions jugées "sauvages" basées notamment sur l'absentéisme empêchent depuis un mois des avocats de voir leurs clients pour préparer leur défense. Il note par exemple qu'en marge de la réactivation du préavis de grève jeudi soir c'est l'accès à toute la prison qui a été refusé à de nombreux pénalistes.Par manque d'effectif, des entretiens ont été effectués par le "guichet" des cellules (la petite ouverture sur la porte permettant la surveillance), et ce en présence des codétenus et du surveillant, ce qui annihile les règles de confidentialité. "Les agents ne sont même pas assez nombreux que pour assurer ce qu'on leur demande comme service minimum en temps normal"; remarque Marie Berquin. Elle ajoute que les mouvements des détenus pour les activités, les soins et les visites sont aussi fortement perturbés depuis un mois. "Les détenus sont victimes au premier chef de la surpopulation carcérale, du manque d'effectifs ou des conséquences de la situation sanitaire", souligne l'OIP dans son communiqué. "Quand les agents militent pour le respect de leurs droits, ce sont les droits des détenus qui sont d'autant plus bafoués".L'amour est un mystère pour ceux qui le vivent, un mystère pour ceux qui le regardent. Nous constatons, mais nous ne comprenons pas. Pourquoi ? Parce que ce qui nous lie à l'autre est inexplicable. Aimer vraiment, c'est aller vers quelqu'un, non pas seulement pour son image (sa beauté, sa ressemblance avec tel ou tel), ni pour ce qu'il symbolise (un père, une mère, le pouvoir, l'argent), mais pour son secret. Ce secret que nous ne savons pas nommer, et qui va rencontrer le nôtre : un manque ressenti depuis l'enfance, une souffrance singulière, indéfinissable. « L'amour s'adresse à notre part d'inconnu, explique le psychanalyste Patrick Lambouley.----------------------------------------------------------------------------------https://linktr.ee/jacksonlibon---------------------------------------------------------------------------------#facebook #instagram #youtube #twitter #tiktok #love #instagood #follow #like #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing #bhfyp
En matière de faits aussi incroyables qu'insolites, le Japon a la carrure d'un champion du monde.Dernières nouvelles en provenance de l'archipel nippon : il est possible de louer... la compagnie d'une "personne obèse"...Un service "positif et valorisant" si l'on en croit l'entreprise à l'origine de cette offre hors-norme...Louer les services d'une escort girl, engager un professeur particulier, faire la rencontre de nouveaux amis : toutes ces prestations paraissent désormais bien communes à côté de ce que propose la société japonaise Debucari.Constatant que les personnes obèses sont rares au sein de l'archipel nippon, celle-ci s'est, en effet, spécialisée dans la location de personnes en surpoids !Avec elle, pour une somme équivalent à 15 euros ( 2000 yens) de l'heure, il est en fait possible de louer une personne majeure pesant plus de 100 kilos ; pour "effectuer des tâches diverses et variées".Dit comme ça, on croirait nager en pleine quatrième dimension... pourtant, l'offre est bel et bien sérieuse.Elle a même germé dans la tête d'un fondateur d'une marque de mode grande taille : Mr Bliss, propriétaire de Qzilla.Après avoir créé une agence de talents pour les personnes en surpoids (en 2017), celui-ci a en fait décidé d'aller plus loin en proposant les services de personnes obèses pour "les besoins d'une publicité", pour "promouvoir un régime", ou simplement pour "rassurer les personnes plus maigres" (sic)...L'obésité rémunéréeTotalement excentrique, le service est déjà disponible dans plusieurs grandes villes japonaises (dont Tokyo et Osaka).Des entreprises comme des particuliers peuvent en bénéficier.Dans le deuxième cas, l'intégralité du cachet perçu est d'ailleurs reversée à la personne obèse qui a proposé ses services.Un argument que met souvent en avant Debucari pour justifier le fait que son business relève d'une initiative "positive et valorisante" pour les personnes en surpoids...Reste maintenant à savoir si les Japonais verront cette offre atypique comme une audace aussi grosse que grossière. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
En fréquentant des milieux transactivistes, Clément a transitionné d'homme à femme pendant quelques mois. Constatant qu'il avait pu être fortement influencé, il a décidé de revenir en arrière en arrêtant ses traitements hormonaux et d'accepter en tant qu'homme la part de féminité de sa personne. Il décrit l'endoctrinement du milieu LGBT sur la question de la transidentité et du manque de jugements de certains médecins face à la dysphorie de genre. #transidentité #LGBT #redpill
Constatant la totale insuffisance des politiques de RSE, mais convaincu que les entreprises, si elles acceptaient d’être lucides, pourraient représenter d’énormes forces de changement, Sylvain Breuzard les invite à se remettre en cause et à adopter un nouveau modèle de développement : La permaentreprise. Cet entrepreneur engagé au sein de Greenpeace France qu’il préside et du Réseau Etincelle qu’il a créé, a mis en œuvre ce nouveau modèle au sein de norsys, son entreprise de services numériques (46,3 millions de CA et 600 collaborateurs) ; d’autres entreprises l’expérimentent également et les mouvements patronaux et les jeunes s’y intéressent déjà. Pour aller encore plus loin, il a souhaité le partager au sein de ce livre et nous partage sa vision sur votre podcast. Bonne écoute
L'opposant nigérien Mahamane Ousmane ne baisse pas les bras. Selon les résultats définitifs de la présidentielle du 21 février, il a été battu au deuxième tour par Mohamed Bazoum. Mais aujourd'hui, l'ex-candidat de la coalition CAP2021 demande à la Cour constitutionnelle de revoir sa copie et appelle encore ses partisans à des marches pacifiques. Sur place, à Niamey, l'ancien président Mahamane Ousmane, qui a gouverné le Niger de 1993 à 1996, répond aux questions de Cyril Payen de France 24 et Christophe Boisbouvier de RFI. RFI : Le 21 mars, la Cour constitutionnelle a rejeté votre recours et a proclamé la victoire de Mohamed Bazoum à l’élection présidentielle. Huit jours après, est-ce que vous acceptez le verdict de la Cour ou est-ce que vous continuez à le rejeter ? Mahamane Ousmane : Je continue à le rejeter, légalement et opportunément. Constatant que, mes arguments, les supports documentés que j’ai eus à soumettre, n’ont pas été pris en compte. Constatant aussi que, les délais ont été écourtés indûment, j’ai cru devoir exercer mon droit de recours en rétraction. Parce que, comme vous savez, les juridictions qui sont de ce niveau, qui tranchent en dernier ressort, ces juridictions qui, une fois qu’elles tranchent, vous n’avez plus d’autre juridiction au-dessus d’elles… Eh bien, il est permis d’exercer un recours, en s’adressant à la même Cour. Ce n’est pas la première fois que la Cour constitutionnelle du Niger revoit sa copie. Cela doit être, je crois, la quatrième ou la cinquième fois. Est-ce que vous l’avez déjà déposé, ce nouveau recours ? Qu’en est-il ? C’est déposé. Vous privilégiez donc les voies légales, comme vous l’avez toujours dit, mais en même temps, le 22 mars, vous avez appelé à une marche pacifique. Qu’en est-il, aujourd’hui ? C’est vrai. J’ai eu l’impression que nous risquions de nous retrouver à la case départ. C’est-à-dire, à nouveau, violer le droit. Parce que, le premier facteur de crise, c’est l’absence d’équité. C’est l’injustice. C’est de la frustration que naît la révolte et c’est de la révolte que naît le trouble à l’ordre public. C’est de là que naît l’insécurité, qui elle-même conduit à l’instabilité. Donc il faut éviter l’injustice, l’iniquité et l’arbitraire. Parce que, tant que ce n’est pas équitable, l’être humain est obligé de réagir ! Ce qui veut dire quoi, concrètement ? Vous appelez, à nouveau, à une marche pacifique ? Oui, absolument. Parce que la Constitution nous en donne le droit. Mohamed Bazoum, le président élu, regrette les troubles qui ont éclaté les 24 et 25 février 2020. Mais il dit qu’en même temps, c’était une agitation superficielle qui s’est très vite essoufflée. C’est son opinion. Ce n’est pas la mienne. Moi, étant directement partie prenante, j’ai tenté de faire en sorte que ces troubles et ces agitations ne viennent pas nous déstabiliser, perturber le fonctionnement démocratique de nos institutions. Mais nous nous sommes rendu compte que, ces troubles sont des deux côtés. Parce que, les amis de mon compétiteur ont également créé des troubles plus menaçants, que les troubles provoqués par mes amis. Oui, ils ont provoqué des troubles, en utilisant même des armes à feu ! ►À lire aussi : Au Niger, l’opposition lance une campagne de contestation M. le président, vous justifiez, donc, les manifestations des 24 et 25 février 2020, à Niamey, mais ces manifestations ont été marquées par des pillages… Et à ce moment-là, on ne vous a pas entendu, pour que cela cesse. Et du coup, le pouvoir vous accuse d’avoir cherché à déstabiliser les institutions, par l’émeute et par le pillage. Mais je ne suis pas du genre à chercher à déstabiliser les institutions de l’État. Je vous rappelle que j’ai moi-même eu à assumer les plus hautes responsabilités dans ce pays. Je ne suis pas du genre des mauvais perdants que l’on voit à gauche, à droite… Cela ne me ressemble pas. J’ai eu, comme je vous l’ai dit, à contribuer pour faire en sorte qu’il y ait l’apaisement, qu’il y ait l’accalmie. Cela ne veut pas dire que c’est une faiblesse. Mais tout de même, le 22 mars, vous avez invité les corps constitués et les Forces de Défense et de Sécurité à ne plus obéir à un ordre donné par une autorité illégale. Est-ce que ce n’est pas un appel à la sédition ? Pas du tout. Ce sont nos dispositions légales, qui prévoient de bannir l’exécution d’un ordre, manifestement illégal. Je n’ai fait qu’un rappel. C’est tout. Les coups d’État militaire sont fréquents dans votre pays. Vous-même, M. le président en 1996 avez été renversé par un coup d’État. Est-ce que demander aux militaires de ne plus obéir aux autorités officielles n’est pas jouer avec le feu ? Je n’ai pas été le premier à le faire. Suivez mon regard… Il est sorti publiquement, pour appeler l’armée à déstabiliser, sans pouvoir disposer de motifs valables. Je ne suis pas allé jusque-là, moi ! Je me suis, tout simplement, référé à nos textes qui sont en vigueur et qui sont, d’ailleurs, mis en œuvre sous sa gestion - même si je ne cite pas son nom ! Donc tout ce que j’ai fait jusqu’ici est parfaitement légal. Depuis un mois, votre allié Hama Amadou est en prison, pour incitation à la violence et à la haine ethnique. À l’appui de cette procédure, le ministre de l’Intérieur a rappelé qu’il a tenu des propos séditieux, depuis six mois. Que répondez-vous aux autorités sur ce point ? Je leur répondrais qu’ils commencent, d’abord, par balayer devant leur propre porte. Mon compétiteur actuel a dit pire que ce que lui a dit. Et les journaux ont relayé cela, y compris des journaux français ! Il y a un mois, à l’annonce des résultats provisoires, Mohamed Bazoum vous a tendu la main pour dialoguer. Qu’est-ce que vous lui répondez ? Cela fait dix ans que - moi - j’ai eu à plaider, pour que, dans ce pays, il y ait le dialogue politique. Mais ce régime n’a rien voulu comprendre ! Donc, voyez-vous, le dialogue aurait dû avoir lieu bien avant. Alors, ce n’est pas maintenant, après que le peuple se soit exprimé clairement, ce n’est pas après la fin du jeu, quand l’arbitre a sifflé, qu’il faut venir dire : « Il faut colmater les brèches ». Pour faire quoi ? Et c’est pour cela, que vous avez constaté, qu’il y a une situation assez tendue dans ce pays. Et tout le monde se pose des questions : « De quoi sera fait demain ? » Donc, pour vous, c’est trop tard pour le dialogue et l’heure est plutôt au bras de fer ? C’est cela ? Ce n’est pas ce que j’ai dit. La Cour ne s’est toujours pas prononcée. Je vous l’ai dit : j’ai suivi les voies légales. J’espère que mes cris du cœur et les faits que j’ai présentés vont être bien compris et pris en compte pour l’intérêt général. Mais si d’aventure il n’en était pas ainsi… Vous savez, comme on a l’habitude de dire dans notre pays, ici, bon… On s’en remet à Dieu ! ►À écouter aussi : Invité international - [Entretien exclusif] Niger: le président élu Mohamed Bazoum demande aux Français de maintenir leur dispositif aérien
L’Allemagne a décrété un confinement partiel à partir de mercredi et jusqu’au 10 janvier avec la fermeture annoncée dimanche par la chancelière Angela Merkel des commerces "non-essentiels", ainsi que les écoles et crèches, face à la deuxième vague de virus. Constatant "les très nombreux décès" dus à l’épidémie de coronavirus et "la croissance exponentielle" des infections, la dirigeante conservatrice a assuré : "nous sommes contraints d’agir et nous agissons maintenant".
Notre critique du film "Marraine ou presque" réalisé par Sharon Maguire avec Isla Fisher et Jillian Bell. Un film disponible sur Disney+. Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : Marraine ou presque Sortie : 4 Décembre 2020 (Disney+) De : Sharon Maguire Avec : Isla Fisher et Jillian Bell. Synopsis : Eleanor est une apprentie bonne fée en proie au doute. Constatant que son métier n’a plus trop d’avenir, elle cherche coûte que coûte le moyen de prouver au monde qu’il a toujours besoin de magie. En découvrant la lettre égarée de Mackenzie - une préado angoissée - l’espoir renaît. Partant à sa recherche, Eleanor découvre que celle-ci a bien grandi et qu’elle est désormais une mère célibataire de 40 ans, journaliste au sein d’une chaîne d’information de Boston. Veuve depuis plusieurs années, Mackenzie a abandonné ses illusions et tout espoir de connaître une vie aussi heureuse que celle décrite dans les contes. Bien décidée à transformer l’existence de sa protégée, Eleanor va tout mettre en œuvre pour lui prouver le contraire… Quitte à provoquer les pires catastrophes ou quiproquos ! Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=nOEPtFoxHY4 #Marraineoupresque #Disney #CINECAST
De la pâte à modeler à la pâte à choux, c'est l'histoire d'Hélène, une entrepreneuse qui se nourrit des gestes et des plaisirs de son enfance pour créer le métier de ses rêves. Vous êtes-vous déjà dit : "Ca sent tellement bon qu'on en mangerait" ? Une idée ingénue à laquelle Hélène Deguen a répondu de toute sa créativité en créant KUBO Pâtisserie. Dans cette conversation enregistrée en début d'année, ultime interview de cette saison 3 du podcast consacrée à l'enfance, Hélène Deguen nous raconte en toute simplicité comment elle a écouté son enfant intérieur pour retrouver le plaisir régressif de goûter les odeurs, jouer de ses mains et voir de ses yeux ses clients se régaler. Premiers pas vers sa passion. Entre Cabourg et Hiroshima, elle nous évoque quelques souvenirs olfactifs surprenants de son enfance avant de nous raconter son parcours de la chimie vers les cosmétiques & parfums, chez Kenzo puis dans des sociétés de création en parfumerie, où elle travaille sur le marketing d'ingrédients cosmétiques et s'initie au travail subtil des odeurs et textures pour les produits de soin. Un univers dans lequel la sensorialité est le maître mot. (NB : L'"ISIPCA", qu'elle cite dans l'entretien, est l'école spécialisée des métiers du parfum, de la cosmétique et des arômes, et SYMRISE une société de production d'arômes et de parfums) 08:38' La pâtisserie comme une évidence. D'un simple blog comme point de départ, imaginant des desserts à partir de parfums connus, elle se prend de passion pour la patisserie, son exigence et sa précision, le plaisir immédiat qu'elle apporte au public. Elle est surtout pour Hélène une utilisation concrète et créative de ses dix doigts. 12:09' La création de Kubo. À l'origine du projet, il y a un travail avec 2 parfumeurs, Pierre Kurzenne et Marine Ipert, autour de quelques matières premières iconiques de la parfumerie comme par exemple la bergamote pour réinterpréter une classique tarte au citron, ou la lavande pour un mariage avec du chocolat. Constatant comme nous le trop peu d'éducation de nos odorats à l'école elle soutient volontiers qu'il n'est jamais trop tard pour s'y mettre! "Quand on entre chez Kubo on sent avant de goûter" (17:44') 20:15' Transmettre aux autres : Hélène organise des ateliers enfants et parents-enfants qui abordent la pâtisserie comme un jeu. Des moments de partage pour “sentir, goûter et fabriquer”, pour découvrir (ou retrouver!) le plaisir simple de toucher la pate, de touiller & patouiller, et la volupté de s'en mettre partout. Et après le citron et la bergamote on espère qu'elle nous fera un jour découvrir ses odeurs chéries du Japon comme la mandarine (mikan) et la verte et croquante poire ronde nashi. (29:00') 31:00' Dans les étoiles d'Hélène, on continue de manipuler la pâte - une "pâte à tout" pour fabriquer des monstres, une pâte aux propriétés futuristes mais pas trop, une pâte... à 6 pattes (!) On a aussi parlé du toucher, des couleurs et de tous les sens qui participent à l'expérience du petit plaisir de s'offrir un gâteau individuel, de l'ouverture d'un emballage précieux (à la japonaise bien-sûr) au croquant sous la dent. Comme pour nombre d'entre nous, c'est souvent dans les situations de la vie courante et en discutant avec des proches qu'Hélène a les idées qui "popent". Le pas franchi de réunir ses deux passions et de se lancer, c'est ensuite le travail et l'expérimentation qui donnent corps à toutes ces petites idées qui la font avancer. En mélangeant savamment les justes doses de surprise et de sucre, avec beaucoup d'application et de soin, Hélène fait ainsi naître de petites merveilles de textures et de saveurs, à déguster sans modération! Écriture, production & réalisation : Marylène Ricci et Hélène Marois Montage : Titouan Dumesnil Générique : "Liberate", Immersive Music
Constatant qu’il est déjà trop tard pour Venus, Luna et Mars, les prophètes tentent de détourner la flotte marsienne pour concentrer le dernier rempart de la Transhumanité autour des Joviens.
Né en 1862 en Angleterre, Joseph Merrick, aujourd'hui plus connu sous le nom d'Elephant Man, découvre rapidement que son existence sera inévitablement différente de celle des autres. Des déformations apparaissent sur l'ensemble de son corps dès ses plus jeunes années, le condamnant aux moqueries et à l'exclusion de la part de ses pairs victoriens, dont les mentalités associent encore trop souvent handicap et animalité.Rejeté de toutes parts, exilé de la société, il décide de prendre son destin en main et devient « monstre humain ». Lors de ses périples, il rencontrera des étrangers bienveillants et des directeurs négligents, des visiteurs moqueurs et des amis aimants. Découvrez son histoire sur Chasseurs de Science !Pour aller plus loin :La différence radicale de la personne handicapéeAux frontières de l'altérité | DossierVoir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.Transcription du podcast:Bienvenue dans Chasseurs de science, un podcast produit par Futura. Je m'appelle Emma, et je serai votre guide temporelle au cours de cette excursion. Aujourd'hui, nous prenons un train pour l'époque victorienne afin d'y rencontrer Joseph Merrick, un homme aujourd'hui plus connu sous le nom d'Elephant Man. Vous écoutez Chasseurs de sciences, si ce podcast vous plaît, n'hésitez pas à nous soutenir en le partageant sur les réseaux sociaux et en nous laissant une note sur les plateformes de diffusion.Joseph Carey Merrick naît le 5 août 1862 dans la ville de Leicester, en Angleterre. Ce beau bébé en pleine santé est le premier de sa fratrie et fait la fierté de ses parents, Mary et Joseph. Malheureusement, après seulement quelques années, des signes inquiétants commencent à se manifester chez lui. Vers l'âge de 2 ans, des gonflements apparaissent sur ses lèvres, puis une bosse prend progressivement forme sur son front. Alors qu'il n'est encore qu'un jeune enfant, sa peau se détend et durcit comme celle d'un éléphant, formant de tristes drapés sur ses membres qui se distordent à mesure qu'il grandit. Ses pieds s'épaississent et son bras gauche s'allonge et se déforme. À l'époque, la croyance selon laquelle les chocs émotionnels vécus par la mère enceinte peuvent influencer profondément l'apparence de son futur enfant est encore fermement ancrée dans les mentalités, et les parents du jeune Joseph sont persuadés que sa difformité est liée à un accident survenu plus tôt durant la grossesse, durant lequel Mary avait été bousculée et effrayée par un éléphant de foire.Durant sa jeunesse, Joseph fait également une mauvaise chute qui endommage irréversiblement sa hanche gauche et le laisse boiteux. En dépit de ses handicaps, il suit une scolarité normale, aidé par sa mère qui est elle-même institutrice les dimanches. Sa relation avec cette dernière ne sera malheureusement que de courte durée car moins de trois années après la mort de son second fils, William, emporté à l'âge de 4 ans par la scarlatine, Mary succombe d'une bronchopneumonie. Merrick père, accompagné de Joseph et de sa sœur Marion Eliza, emménage chez Emma Wood Antill, elle aussi veuve, qu'il épouse un an après.À 13 ans, Joseph a fini l'école mais ne sait comment s'extirper de ce nouveau foyer où il se sent privé d'affection. Il travaille trois ans comme rouleur de cigares dans une fabrique, mais la déformation progressive de ses mains l'oblige finalement à trouver un autre poste. Impatient de se décharger de cette bouche à nourrir, son père lui obtient une licence de marchand ambulant. Une bien mauvaise idée pour le pauvre Joseph dont l'apparence et la diction gênée par son visage toujours plus distordu rebutent les sensibles esprits victoriens. Face à son insuccès, ses employeurs finissent par lui retirer sa licence et, désormais âgé de 17 ans, Joseph intègre une workhouse, dernier asile des pauvres en quête de travail et d'un lieu où dormir. Il y subira une opération du visage, destinée à retirer une partie de la masse qui a envahi sa bouche, l'empêchant de s'exprimer et de manger. En dépit de cette heureuse intervention, les conditions de vie de l'établissement sont insoutenables pour Merrick. Il décide de trouver un nouveau refuge et écrit une lettre au célèbre chanteur Sam Torr, lui demandant de l'embaucher comme monstre humain.Après une première tournée dans les Midlands de l'Est, Joseph rencontre son nouveau manager, Tom Norman, à Londres. Ce dernier l'installe dans l'une de ses galeries populaires, entouré d'affiches horrifiques dépeignant une créature hybride à moitié homme, à moitié éléphant, et une brochure explicative est rédigée et vendue aux visiteurs. Chaque jour, les Londoniens et les étudiants médicaux de l'hôpital de Londres, situé dans un bâtiment non loin, viennent contempler le visage de l'homme qui fait tant parler de lui. Et chaque soir, Merrick s'endort assis dans son lit de camp entouré de minces rideaux, ses jambes repliées sous son menton afin d'éviter que le poids de sa tête ne lui brise la nuque dans son sommeil.C'est par le bouche à oreille que le docteur Frederick Treves entend pour la première fois parler de l'homme-éléphant. Il organise plusieurs examens durant lesquels il n'a guère plus d'estime pour Merrick que pour une simple curiosité médicale. Il en capture des photographies désormais célèbres, le mesure et le présente à ses pairs. Son sujet d'étude est cependant vite excédé par ses manières cavalières et coupe court à leur relation. Mais ne l'oubliez pas, car il refera une apparition dans notre histoire.Le spectacle de l'homme éléphant à Londres est rapidement interrompu par un public de plus en plus soucieux des droits et du traitement de ceux que l'on appelle les monstres humains. Après seulement quelques mois, Norman est contraint de fermer boutique et Merrick doit trouver un nouvel emploi. Après quelques tentatives infructueuses en Angleterre, il s'engage sur les routes d'Europe avec l'espoir de ses impresarios qu'il y sera mieux reçu. Cependant les questionnements éthiques et l'apparence de Joseph, qui semble générer plus d'attention négative que de ventes en billetterie, amènent son dernier directeur à le délaisser. Il lui dérobe au passage les 50 livres qu'il avait économisées, l'équivalent aujourd'hui de près de 6.000 euros. Abandonné et meurtri, Merrick retourne avec difficulté en Angleterre. Sur place, il cherche désespérément de l'aide auprès des étrangers qui croisent sa route, mais son apparence attise le mépris des uns tandis que sa diction le rend incompréhensible aux autres. Un policier recueille finalement le jeune homme épuisé, et contacte le docteur Treves, dont il retrouve une carte de visite dans les affaires de Merrick.De retour à l'hôpital de Londres, le médecin aménage une chambre dans le grenier pour son ancienne connaissance. Joseph, atteint de bronchite, y est nourrit et reçoit les soins requis par sa santé, dont la détérioration n'a fait que s'accélérer. Bien que son état s'améliore progressivement grâce à l'attention du personnel soignant, les auscultations de Treves révèlent que son cœur ne tiendra pas plus de quelques années. Le directeur de l'hôpital, incapable de lui trouver une nouvelle résidence où finir ses jours, redoute que ce patient incurable ne leur coûte plus que l'établissement ne pourrait se le permettre. Mais lorsqu'il adresse une lettre au Times pour demander l'avis des lecteurs, il reçoit une réponse inattendue. Des dizaines de lettres et de dons déferlent de toutes parts, assurant à Merrick une stabilité méritée. Âgé de 24 ans, il déménage au rez-de-chaussée de l'hôpital, dans un appartement de deux pièces adapté à ses besoins, sans miroirs, et équipé d'un lit conçu sur mesure.Une nouvelle amitié se forme alors entre Frederick et Joseph. Le médecin lui rend visite quotidiennement et apprend à décrypter ses paroles. Ravi, Merrick s'engage avec lui dans de longues discussions, en particulier durant les deux heures que lui accorde Treves chaque dimanche. Constatant que son ami peine à établir un contact avec les femmes de la société victorienne, ce dernier décide de lui présenter son amie, Leila Maturin. La gentillesse de la jeune veuve émeut Joseph aux larmes. Submergé par les émotions, il conclut rapidement l'entretien, mais une relation épistolaire s'installe petit à petit entre les deux protagonistes, dont nous restera la seule lettre écrite de Merrick qui nous soit jamais parvenue.Celui que l'on appelle désormais uniquement par son nom de baptême mène une vie relativement heureuse à l'hôpital de Londres. Ses après-midis sont occupées par la fabrication de maquettes et de paniers, et ses soirées par des promenades en solitaire dans le jardin adjacent à sa chambre. Il reçoit de fréquentes visites de plusieurs membres de la haute société et reprend tellement confiance en lui qu'il arpente finalement les couloirs de l'hôpital, au grand dam des infirmières qui redoutent qu'il n'effraie les patients. À l'âge de 27 ans, Joseph Merrick s'éteint, allongé dans son lit, la nuque brisée par le poids de son crâne difforme. Conscient que son ami avait toujours veillé à dormir en position assise, Treves en déduira que le jeune homme aura voulu tenter au moins une fois dans sa vie l'expérience de s'allonger comme une personne normale. David Lynch, qui adaptera la vie de cet individu exceptionnel au cinéma en 1980, offrira une lecture plus ambiguë de cet acte ultime.Des études faites sur les ossements de Joseph Merrick révéleront plus tard qu'il souffrait du syndrome de Protée, une maladie génétique pouvant affecter gravement la croissance des tissus conjonctifs, épidermiques et osseux. Grâce à la bienveillance des personnes qui l'ont entouré durant les dernières années de sa vie, Merrick a pu connaître l'affection et l'attention qui lui ont tant fait défaut durant ses plus jeunes années, révélant un garçon cultivé, aimable et curieux. Son histoire nous rappelle, aujourd'hui plus que jamais, que le respect de la vie de chacun est un devoir fondamental qu'aucune différence d'apparence, de langage ou de couleur de peau ne saurait annuler.Merci d'avoir écouté Chasseurs de science. La musique de cet épisode a été composée par Patricia Chaylade. Au texte et à la narration : Emma Hollen. Si vous appréciez notre travail n'hésitez pas à nous laisser un commentaire et cinq étoiles sur les plateformes de diffusion pour nous soutenir et améliorer notre visibilité. Vous pouvez aussi vous abonner sur Spotify, Deezer et Apple Podcast pour ne plus manquer un seul épisode. Quant à moi, je vous retrouverai pour une future expédition temporelle, dans Chasseurs de science. À bientôt ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Né en 1862 en Angleterre, Joseph Merrick, aujourd'hui plus connu sous le nom d'Elephant Man, découvre rapidement que son existence sera inévitablement différente de celle des autres. Des déformations apparaissent sur l'ensemble de son corps dès ses plus jeunes années, le condamnant aux moqueries et à l'exclusion de la part de ses pairs victoriens, dont les mentalités associent encore trop souvent handicap et animalité.Rejeté de toutes parts, exilé de la société, il décide de prendre son destin en main et devient « monstre humain ». Lors de ses périples, il rencontrera des étrangers bienveillants et des directeurs négligents, des visiteurs moqueurs et des amis aimants. Découvrez son histoire sur Chasseurs de Science !Pour aller plus loin :La différence radicale de la personne handicapéeAux frontières de l'altérité | DossierTranscription du podcast:Bienvenue dans Chasseurs de science, un podcast produit par Futura. Je m'appelle Emma, et je serai votre guide temporelle au cours de cette excursion. Aujourd'hui, nous prenons un train pour l'époque victorienne afin d'y rencontrer Joseph Merrick, un homme aujourd'hui plus connu sous le nom d'Elephant Man. Vous écoutez Chasseurs de sciences, si ce podcast vous plaît, n'hésitez pas à nous soutenir en le partageant sur les réseaux sociaux et en nous laissant une note sur les plateformes de diffusion.Joseph Carey Merrick naît le 5 août 1862 dans la ville de Leicester, en Angleterre. Ce beau bébé en pleine santé est le premier de sa fratrie et fait la fierté de ses parents, Mary et Joseph. Malheureusement, après seulement quelques années, des signes inquiétants commencent à se manifester chez lui. Vers l'âge de 2 ans, des gonflements apparaissent sur ses lèvres, puis une bosse prend progressivement forme sur son front. Alors qu'il n'est encore qu'un jeune enfant, sa peau se détend et durcit comme celle d'un éléphant, formant de tristes drapés sur ses membres qui se distordent à mesure qu'il grandit. Ses pieds s'épaississent et son bras gauche s'allonge et se déforme. À l'époque, la croyance selon laquelle les chocs émotionnels vécus par la mère enceinte peuvent influencer profondément l'apparence de son futur enfant est encore fermement ancrée dans les mentalités, et les parents du jeune Joseph sont persuadés que sa difformité est liée à un accident survenu plus tôt durant la grossesse, durant lequel Mary avait été bousculée et effrayée par un éléphant de foire.Durant sa jeunesse, Joseph fait également une mauvaise chute qui endommage irréversiblement sa hanche gauche et le laisse boiteux. En dépit de ses handicaps, il suit une scolarité normale, aidé par sa mère qui est elle-même institutrice les dimanches. Sa relation avec cette dernière ne sera malheureusement que de courte durée car moins de trois années après la mort de son second fils, William, emporté à l'âge de 4 ans par la scarlatine, Mary succombe d'une bronchopneumonie. Merrick père, accompagné de Joseph et de sa sœur Marion Eliza, emménage chez Emma Wood Antill, elle aussi veuve, qu'il épouse un an après.À 13 ans, Joseph a fini l'école mais ne sait comment s'extirper de ce nouveau foyer où il se sent privé d'affection. Il travaille trois ans comme rouleur de cigares dans une fabrique, mais la déformation progressive de ses mains l'oblige finalement à trouver un autre poste. Impatient de se décharger de cette bouche à nourrir, son père lui obtient une licence de marchand ambulant. Une bien mauvaise idée pour le pauvre Joseph dont l'apparence et la diction gênée par son visage toujours plus distordu rebutent les sensibles esprits victoriens. Face à son insuccès, ses employeurs finissent par lui retirer sa licence et, désormais âgé de 17 ans, Joseph intègre une workhouse, dernier asile des pauvres en quête de travail et d'un lieu où dormir. Il y subira une opération du visage, destinée à retirer une partie de la masse qui a envahi sa bouche, l'empêchant de s'exprimer et de manger. En dépit de cette heureuse intervention, les conditions de vie de l'établissement sont insoutenables pour Merrick. Il décide de trouver un nouveau refuge et écrit une lettre au célèbre chanteur Sam Torr, lui demandant de l'embaucher comme monstre humain.Après une première tournée dans les Midlands de l'Est, Joseph rencontre son nouveau manager, Tom Norman, à Londres. Ce dernier l'installe dans l'une de ses galeries populaires, entouré d'affiches horrifiques dépeignant une créature hybride à moitié homme, à moitié éléphant, et une brochure explicative est rédigée et vendue aux visiteurs. Chaque jour, les Londoniens et les étudiants médicaux de l'hôpital de Londres, situé dans un bâtiment non loin, viennent contempler le visage de l'homme qui fait tant parler de lui. Et chaque soir, Merrick s'endort assis dans son lit de camp entouré de minces rideaux, ses jambes repliées sous son menton afin d'éviter que le poids de sa tête ne lui brise la nuque dans son sommeil.C'est par le bouche à oreille que le docteur Frederick Treves entend pour la première fois parler de l'homme-éléphant. Il organise plusieurs examens durant lesquels il n'a guère plus d'estime pour Merrick que pour une simple curiosité médicale. Il en capture des photographies désormais célèbres, le mesure et le présente à ses pairs. Son sujet d'étude est cependant vite excédé par ses manières cavalières et coupe court à leur relation. Mais ne l'oubliez pas, car il refera une apparition dans notre histoire.Le spectacle de l'homme éléphant à Londres est rapidement interrompu par un public de plus en plus soucieux des droits et du traitement de ceux que l'on appelle les monstres humains. Après seulement quelques mois, Norman est contraint de fermer boutique et Merrick doit trouver un nouvel emploi. Après quelques tentatives infructueuses en Angleterre, il s'engage sur les routes d'Europe avec l'espoir de ses impresarios qu'il y sera mieux reçu. Cependant les questionnements éthiques et l'apparence de Joseph, qui semble générer plus d'attention négative que de ventes en billetterie, amènent son dernier directeur à le délaisser. Il lui dérobe au passage les 50 livres qu'il avait économisées, l'équivalent aujourd'hui de près de 6.000 euros. Abandonné et meurtri, Merrick retourne avec difficulté en Angleterre. Sur place, il cherche désespérément de l'aide auprès des étrangers qui croisent sa route, mais son apparence attise le mépris des uns tandis que sa diction le rend incompréhensible aux autres. Un policier recueille finalement le jeune homme épuisé, et contacte le docteur Treves, dont il retrouve une carte de visite dans les affaires de Merrick.De retour à l'hôpital de Londres, le médecin aménage une chambre dans le grenier pour son ancienne connaissance. Joseph, atteint de bronchite, y est nourrit et reçoit les soins requis par sa santé, dont la détérioration n'a fait que s'accélérer. Bien que son état s'améliore progressivement grâce à l'attention du personnel soignant, les auscultations de Treves révèlent que son cœur ne tiendra pas plus de quelques années. Le directeur de l'hôpital, incapable de lui trouver une nouvelle résidence où finir ses jours, redoute que ce patient incurable ne leur coûte plus que l'établissement ne pourrait se le permettre. Mais lorsqu'il adresse une lettre au Times pour demander l'avis des lecteurs, il reçoit une réponse inattendue. Des dizaines de lettres et de dons déferlent de toutes parts, assurant à Merrick une stabilité méritée. Âgé de 24 ans, il déménage au rez-de-chaussée de l'hôpital, dans un appartement de deux pièces adapté à ses besoins, sans miroirs, et équipé d'un lit conçu sur mesure.Une nouvelle amitié se forme alors entre Frederick et Joseph. Le médecin lui rend visite quotidiennement et apprend à décrypter ses paroles. Ravi, Merrick s'engage avec lui dans de longues discussions, en particulier durant les deux heures que lui accorde Treves chaque dimanche. Constatant que son ami peine à établir un contact avec les femmes de la société victorienne, ce dernier décide de lui présenter son amie, Leila Maturin. La gentillesse de la jeune veuve émeut Joseph aux larmes. Submergé par les émotions, il conclut rapidement l'entretien, mais une relation épistolaire s'installe petit à petit entre les deux protagonistes, dont nous restera la seule lettre écrite de Merrick qui nous soit jamais parvenue.Celui que l'on appelle désormais uniquement par son nom de baptême mène une vie relativement heureuse à l'hôpital de Londres. Ses après-midis sont occupées par la fabrication de maquettes et de paniers, et ses soirées par des promenades en solitaire dans le jardin adjacent à sa chambre. Il reçoit de fréquentes visites de plusieurs membres de la haute société et reprend tellement confiance en lui qu'il arpente finalement les couloirs de l'hôpital, au grand dam des infirmières qui redoutent qu'il n'effraie les patients. À l'âge de 27 ans, Joseph Merrick s'éteint, allongé dans son lit, la nuque brisée par le poids de son crâne difforme. Conscient que son ami avait toujours veillé à dormir en position assise, Treves en déduira que le jeune homme aura voulu tenter au moins une fois dans sa vie l'expérience de s'allonger comme une personne normale. David Lynch, qui adaptera la vie de cet individu exceptionnel au cinéma en 1980, offrira une lecture plus ambiguë de cet acte ultime.Des études faites sur les ossements de Joseph Merrick révéleront plus tard qu'il souffrait du syndrome de Protée, une maladie génétique pouvant affecter gravement la croissance des tissus conjonctifs, épidermiques et osseux. Grâce à la bienveillance des personnes qui l'ont entouré durant les dernières années de sa vie, Merrick a pu connaître l'affection et l'attention qui lui ont tant fait défaut durant ses plus jeunes années, révélant un garçon cultivé, aimable et curieux. Son histoire nous rappelle, aujourd'hui plus que jamais, que le respect de la vie de chacun est un devoir fondamental qu'aucune différence d'apparence, de langage ou de couleur de peau ne saurait annuler.Merci d'avoir écouté Chasseurs de science. La musique de cet épisode a été composée par Patricia Chaylade. Au texte et à la narration : Emma Hollen. Si vous appréciez notre travail n'hésitez pas à nous laisser un commentaire et cinq étoiles sur les plateformes de diffusion pour nous soutenir et améliorer notre visibilité. Vous pouvez aussi vous abonner sur Spotify, Deezer et Apple Podcast pour ne plus manquer un seul épisode. Quant à moi, je vous retrouverai pour une future expédition temporelle, dans Chasseurs de science. À bientôt !
Dans cet épisode, le fondateur de Fisheye, Benoit Baume, nous ouvre les portes de son entreprise en nous présentant ses valeurs et ses convictions et les nombreux projets qui en découlent. Constatant les difficultés de diriger un magazine, il a diversifié les activités de Fisheye en s'adaptant aux évolutions de son époque. Désormais la galaxie Fisheye est composée : d'un magazine lifestyle de photographies, d'un site internet, d'un compte Instagram avec plus de 111 000 abonnés, d'une expertise de curation de comptes Instagram, d'une galerie, d'un incubateur de startups dans la culture, des projets d’ingénierie culturelle etc. Avec humilité, il revient sur l’importance de prendre des décisions collectivement mais aussi de garder confiance en ses projets malgré l'adversité. Il revient également sur l’impact du numérique concernant la diffusion de la photographie, l’émergence de la photographie documentaire et l’explosion de la photo conversationnelle.Bonne écoute !____Vos retours sont très importants pour améliorer ce podcast donc n'hésitez pas à m'envoyer vos questions, remarques et suggestions.Pour me contacter : @lesvoixdelaphoto (instagram) ou marine.lefort.pro@gmail.com Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Comment parler d’applications de rencontres sans parler de celles et ceux qui les créent et dans quel but ? A priori, dans une société capitaliste le but est de faire du profit et donc l’intérêt de Tinder & consorts est de vous faire rester sur leur plateforme aussi longtemps que possible, de vous faire miroiter l’abondance sans jamais qu’elle ne s’incarne réellement. N’est-ce pas là justement l’illusion de la société consommation ? Créer plus d’offres, de biens, de besoin sans que jamais aucun ne nous satisfasse vraiment ? Avoir et ne pas être. Mais pouvons nous vraiment avoir sans être ? Antoine, 26 ans a fait le pari que non. Il est le co-fondateur d’abricot.co, un site et bientôt une application de rencontre qui a vu le jour il y a trois ans, en 2017. Constatant la vacuité de l’incessant swipe, l’insatisfaction crasse qui en résulte, il a voulu remettre la rencontre réelle au coeur du dating en ligne. Dans ce huitième épisode, il nous parle bien sûr d’abricot.co, de sa genèse et de sa vision mais aussi de son rapport personnel à l’amour et à l’engagement. Découvrez le site de rencontre abricot : https://abricot.co/ ainsi que ses articles sur Medium : https://medium.com/@antoine_2228.
Marie Pierre Mury récolte son or en révélant celui des autres. Constatant à quel point les projets de vie ou d’entreprise peuvent s’épuiser sous les obstacles et les tensions, elle choisit de débusquer les potentiels, d’aider ses interlocuteurs à mobiliser le meilleur d’eux-mêmes et à trouver des points d’appui pour garder leur équilibre. Elle a choisi pour cela la méditation de pleine conscience. Fidèle à son exigence, elle va se former à la source, aux Etats-Unis, auprès de Jon Kabat-Zinn fondateur de la Clinique de réduction du stress et le centre pour la pleine conscience en médecine de l'université médicale du Massachusetts... Elle nous explique quels chemins l’ont conduit jusque-là. www.o-present.com Montage, mixage : Magali Grollier Illustration : Marie-Pierre Mury
Constatant que Theresa May, après une série de votes négatifs à la Chambre des communes, n'y arrive décidément pas, les parlementaires britanniques avaient décidé de reprendre en main le dossier Brexit, formulant huit solutions possibles pour sortir de la crise, du "hard Brexit" au retour au référendum. Ils les ont finalement repoussées toutes les huit, s'enfonçant un peu plus dans l'impasse et le ridicule. Dernière chance pour un accord négocié, ils se sont prononcés de nouveau sur le projet d'accord de la Première ministre, qui, pour les appâter, avait promis de démissionner s'ils approuvaient le texte... ce qu'ils n'ont pas fait, pour la troisième fois. Même Marc Epstein, le plus anglais des reporters du journal, s'en arrache les cheveux. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Diplômée de l’ESSEC et d’un Master aux Mines ParisTech, Laura Terriou est une jeune entrepreneure spécialisée dans le secteur de la santé. Constatant que la moyenne des français souffraient de carences alimentaires non palliées, elle a décidé de créer sa start-up Orio en 2015, proposant le premier objet connecté au service de la santé individualisée.Elle intervientau Boma France Festival pour présenter son robot Orio : un objet connecté qui a pour but de calculer et de distribuer une pilule de compléments alimentaires 100% adaptés à l’utilisateur, à domicile.➡️ En savoir plus sur https://fr.boma.global Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Constatant que beaucoup de propriétaires de jardins ne récoltaient pas la totalité des fruits ou des légumes de leur potager ou de leur verger, Ines Bazillier et Benjamin Guibert ont eu la bonne idée de créer Fruit and Food pour mettre en contact ceux qui en ont trop et ceux qui en ont pas assez. Une initiative solidaire qui permet via une plateforme numérique de s’inscrire sur leur site pour donner, troquer , vendre ou acheter à ses voisins, choux, tomates, salades, confitures … et même du bois de chauffage, des herbes aromatiques ou des fleurs sans oublier des conseils et des recettes. Au regard des millions de potagers et de vergers qui couvrent notre territoire, cette nouvelle offre solidaire pour lutter contre le gaspillage alimentaire devrait avoir de beaux jours devant elle. Car si l’idée est née à Cugnaux et Tournefeuille en Occitanie, le projet qui a été lancé début juillet a déjà séduit de nombreux citoyens et se développe désormais dans toute la France avec l’ambition de s’étendre à d’autres pays francophones. https://www.fruitandfood.fr/
William Atlan nous explique les enjeux de Jaccede, un site internet et une application mobile qui permet aux personnes à mobilité réduite d’identifier les lieux accessibles, en fonction de leurs besoins. Une initiative qui fait désormais partie des pionniers du French Impact, un appel à projets lancé par le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire et le Haut-Commissariat à l’Économie Sociale et Solidaire et l’Innovation Sociale pour accompagner et aider les innovations sociales pertinentes à changer d’échelle. Constatant qu’il y avait globalement en France et en Europe un sérieux manque d’informations sur l’accessibilité des lieux pour les personnes à mobilité réduite, l’équipe de Jaccede a eu la bonne idée de créer un guide collaboratif de l’accessibilité. Autrement dit, un site internet et une application mobile qui permet aux personnes à mobilité réduite d’identifier les lieux accessibles en fonction de leurs besoins. Une offre de service qui a permis à ce jour la cartographie de 100 000 lieux détaillés. Car si l’on sait que deux petites marches à gravir suffisent à rendre un lieu inaccessible, c’était important pour l’association de prendre en considération que toutes les personnes n’ont pas le même besoin d’accessibilité. Pour alimenter ce guide collaboratif qui a besoin de contributeurs, l’équipe a lancé le Challenge Jaccede qui a lieu à Paris jusqu’au 30 juin, une bonne façon de sensibiliser le grand public et permettre à chacun de contribuer à cette initiative qui devrait désormais se développer avec l’appui du French Impact. https://www.jaccede.com/fr/
Recyclo'Bat est la première structure de gestion et valorisation de déchets du bâtiment par le réemploi. Constatant que des dizaines de millions de tonnes de déchets sont générés chaque année par le secteur du bâtiment, David Muse et Edouard Baudouin ont eu l’idée de créer Recyclo'Bat. Une association qui proposer un système de collecte, de valorisation et de vente de produits récupérés sur des chantiers. Particuliers et professionnels peuvent désormais aller choisir dans leur magasin, du carrelage, un petit bout de contreplaqué qui manque pour terminer l’étagère, quelques vieilles tuiles canal patinées par le temps sans oublier un choix de mobilier issu d’anciennes palettes sorti tout droit de leur atelier de revalorisation. Une initiative qui s’inscrit aussi dans une démarche environnementale de structuration de la filière pour diminuer la quantité de déchets. https://www.recyclobat.fr/
En première partie d'émission nous recevons Vianney Delourme, membre d'Enlarge your Paris, site d'information consacré à la culture et aux initiatives positives dans le Grand Paris. Il vient nous présenter le Guide des grands parisiens, ouvrage qu'il a co-écrit avec Enlarge your Paris et les Magasins Généraux. Ce guide pratique et utilitaire recense 300 adresses sélectionnées parmi 1500 lieux visités par les auteurs dans le but de mettre en avant la culture du Grand Paris. "Ce qui nous a passionné, nous journalistes de Enlarge your Paris, est de découvrir à quel point l'offre culturelle, le tissu culturel et le dynamisme culturel des deux côtés du périphérique, était riche, et que l'extramuros n'avait rien à envier à Paris." En deuxième partie d'émission, Charlotte Dequevauviller nous présente son association Traceuses de France dédiée au Parkour. Le Parkour est un sport qui consiste à se déplacer d'un point A à un point B le plus efficacement possible. Constatant une représentation médiatique essentiellement masculine, les membres de Traceuses de France entendent ouvrir aux femmes la pratique de ce sport. Un samedi d'initiation est organisé chaque mois sur Paris à toute femme qui le souhaite dès l'âge de douze ans. Pour s'inscrire il suffit de se rendre sur le site du collectif. "Il ne faut pas avoir de préjugés et se lancer. C'est une communauté très sympathique." Côté chroniques, Martin de Radio parleur, est allé à la rencontre des grévistes de l'hôtel Holiday Inn de Clichy, en grève depuis 111 jours, dont la lutte a obtenu gain de cause. Mickaël quant à lui, nous parle de la sélection musicale de février de Radio Campus Paris, la Fraîche Liste. Présentation : Alban Barthélémy / Réalisation : Adel Ittel / Co-interview : Lucas Chateau / Chroniques : Martin Bodrero et Mickaël Bernard / Web : Claire-Anaïs Rigagneau / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
En première partie d'émission nous recevons Vianney Delourme, membre d'Enlarge your Paris, site d'information consacré à la culture et aux initiatives positives dans le Grand Paris. Il vient nous présenter le Guide des grands parisiens, ouvrage qu'il a co-écrit avec Enlarge your Paris et les Magasins Généraux. Ce guide pratique et utilitaire recense 300 adresses sélectionnées parmi 1500 lieux visités par les auteurs dans le but de mettre en avant la culture du Grand Paris. "Ce qui nous a passionné, nous journalistes de Enlarge your Paris, est de découvrir à quel point l'offre culturelle, le tissu culturel et le dynamisme culturel des deux côtés du périphérique, était riche, et que l'extramuros n'avait rien à envier à Paris." En deuxième partie d'émission, Charlotte Dequevauviller nous présente son association Traceuses de France dédiée au Parkour. Le Parkour est un sport qui consiste à se déplacer d'un point A à un point B le plus efficacement possible. Constatant une représentation médiatique essentiellement masculine, les membres de Traceuses de France entendent ouvrir aux femmes la pratique de ce sport. Un samedi d'initiation est organisé chaque mois sur Paris à toute femme qui le souhaite dès l'âge de douze ans. Pour s'inscrire il suffit de se rendre sur le site du collectif. "Il ne faut pas avoir de préjugés et se lancer. C'est une communauté très sympathique." Côté chroniques, Martin de Radio parleur, est allé à la rencontre des grévistes de l'hôtel Holiday Inn de Clichy, en grève depuis 111 jours, dont la lutte a obtenu gain de cause. Mickaël quant à lui, nous parle de la sélection musicale de février de Radio Campus Paris, la Fraîche Liste. Présentation : Alban Barthélémy / Réalisation : Adel Ittel / Co-interview : Lucas Chateau / Chroniques : Martin Bodrero et Mickaël Bernard / Web : Claire-Anaïs Rigagneau / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
Constatant que son aîné fait énormément de colères, parfois pour rien, Geneviève pose la question : « comment gérer au mieux les colères des enfants ? » L’article Les colères est apparu en premier sur BornyBuzz.