Dans ce podcast, intitulé Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d’entreprise, je traiterai de tous les sujets liés à l’univers de la cession / transmission d’entreprise. Ce sera LE rendez-vous de tous les acteurs du M&A : Dirigeants d’entreprises, fonds d’investissements, avocats d’affaires, auditeurs etc. Seront interviewés : 👉 Des dirigeants qui ont vendu leur entreprise : Connaître leur parcours, leur entreprise, les raisons de cession, les réussites et les échecs, les conseils qu’ils peuvent donner aux dirigeants qui veulent vendre etc. 👉 Des dirigeants qui ont levé des fonds : A quel moment ont-ils eu besoin de lever des fonds, pourquoi ? Ce qu’ils ont fait avec, le résultat post levée, les conseils quand on veut lever des fonds, les réussites / échecs etc. 👉 Des avocats d’affaires : connaitre leur parcours, les opérations qui ont été marquantes, les points importants dans une opération de M&A, les conseils pour les dirigeants qui veulent vendre / lever des fonds. 👉 Des fonds d’investissements : Les grosses opérations, conseils, les points d’attention, ce qu’ils regardent en priorité etc. L’idée de ce podcast est de démystifier l’univers du M&A, de le rendre accessible et de permettre à tout dirigeant souhaitant vendre leur entreprise ou lever des fonds ou à toute partie prenante d’avoir les clés de réussite pour de telles opérations.Â
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Le Projet de Loi de Finances 2025 vient frapper fort sur les Management packages. Vous êtes dirigeant sous LBO ? Vous bénéficiez de BSPCE, actions gratuites, BSA ?Vous préparez un cash-out, une levée de fonds, une opération de M&A, une transmission, une cession ?Alors ce post est pour vous. Désormais, une partie de vos plus-values pourra être imposée comme un salaire, jusqu'à 59%, contre 34% (flat tax + CEHR) jusque-là. Oui, vous avez bien lu. 59 %. Le nouvel article 163 bis H remet en cause le traitement fiscal des management packages.Il crée une présomption de salaire, impose des conditions strictes pour bénéficier du régime des plus-values, et vise de nombreux schémas jusqu'ici tolérés. Pour bien comprendre ce que ça change, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Philippe Donneaud, avocat fiscaliste associé chez CMS Francis Lefebvre, dans Une Cession Presque Parfaite. Il a répondu, avec clarté, aux questions que beaucoup de dirigeants se posent aujourd'hui. Ce qu'on a vu ensemble : ✅ Pourquoi ce texte marque un tournant dans la fiscalité des dirigeants et des investisseurs✅ Ce que le législateur cherche vraiment : justice fiscale ou reprise en main ?✅ Comment cette réforme s'inscrit dans un mouvement plus large engagé depuis plusieurs années✅ Pourquoi le traitement fiscal des management packages posait autant de problèmes jusqu'à maintenant✅ Ce que le nouvel article 163 bis H change concrètement : codification, présomption, seuil de performance✅ Comment le fisc distinguera désormais un gain salarial d'un gain patrimonial✅ Quelles conditions remplir pour rester en plus-value : performance, risque, absence de lien hiérarchique..✅ Ce qu'il faut penser du seuil de performance fixé à 3 fois la progression de valeur✅ Les schémas classiques (BSPCE, BSA, AGA…) sont-ils encore viables ?✅ Est-ce que ça touche aussi les opérations d'apport-cession, donations, holdings ?✅ Quel impact de l'amendement Charasse et des nouvelles jurisprudences ? En clair :
Quand on parle de transmission, on pense fiscalité, valorisation, juridique. Et c'est normal. Mais quand il s'agit d'une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les émotions.Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le grand plaisir d'échanger avec
Le marché du courtage en assurance est en train de vivre une transformation profonde.Concentration, digitalisation, arrivée des fonds d'investissement, stratégies d'acquisition..Pour en parler, j'ai reçu dans mon podcast Guillaume Rovere, fondateur d'assurdeal, une plateforme digitalisée d'achat-revente de portefeuilles de courtage.Guillaume est un des meilleurs observateurs de ce marché : il accompagne depuis plus de 20 ans les courtiers qui veulent transmettre, se structurer ou grandir par acquisition.Quelques idées fortes à retenir de notre échange :✅ Un portefeuille n'a pas une valeur “générique” : tout dépend de sa compositionUn portefeuille ne vaut plus un multiple, il vaut une logique.Chaque contrat est analysé ligne par ligne.Le type de client, le niveau de fidélité, la solidité de l'assureur, la qualité des données, la spécialisation du cabinet : tout compte.✅ Le courtage en assurance entre dans une nouvelle èreAu Royaume-Uni, les 18 000 courtiers sont devenus 2 000 en dix ans.En France, on en compte encore 26 000, dont une majorité avec moins de 75 000 € de commissions annuelles.Autrement dit : la concentration va s'accélérer, et ceux qui ne se structureront pas seront poussés vers la sortie.✅ Le M&A devient un outil stratégique, pas un simple mécanisme de croissanceLes acheteurs ne cherchent pas du volume.Ils cherchent des portefeuilles stables, spécialisés, digitalisés.Une transaction se pense aujourd'hui comme une vraie cession d'actifs, avec des enjeux de conformité, de risques contractuels et de transfert client.✅ Ce marché attire désormais des acteurs structurés et offensifsCertains consolidateurs ont déjà réalisé 10, 15, 20 opérations en moins de trois ans.Des fonds anglo-saxons investissent massivement.Et des CGP, souvent mieux préparés que les courtiers traditionnels, se lancent dans l'acquisition de portefeuilles.Ce mouvement est en train de redessiner les équilibres du secteur.✅ La digitalisation n'est plus une optionLes courtiers qui préparent leur transmission en structurant leur base client, en se spécialisant, en rendant leur portefeuille lisible et exploitable… multiplient les options à la revente.Guillaume résume tout ça avec une phrase simple mais percutante :
Quand une entreprise passe un cap — fusion, transmission, levée de fonds — on parle beaucoup de valorisation, de structuration financière, d'opportunités de croissance…Mais on parle trop peu de l'essentiel : les humains qui vont faire vivre ce changement.Dans le dernier épisode de mon podcast Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le plaisir de recevoir Matthieu Lerouge, un expert rare, qui accompagne les dirigeants de PME et startups (entre 30 et 250 collaborateurs) à structurer leurs équipes quand il y a un virage stratégique : levée de fonds, cession, transmission, forte croissance.Mathieu a passé 3 ans à faire de la recherche sur les facteurs humains de réussite en entreprise. Résultat : un test de personnalité sur-mesure, et une méthodologie concrète pour structurer les organisations, recruter les bons profils et surtout… garder des équipes engagées et heureuses.Et ce qu'il voit trop souvent, c'est ça :❌ Des dirigeants qui partent sans avoir préparé le terrain❌ Des profils brillants, mais mal utilisés car mal positionnés❌ Des collaborateurs qui ne savent plus à quoi sert leur job❌ Des DG recrutés qui partent au bout de 2 mois faute d'onboarding
Quand on parle de cession d'entreprise, la plupart des discussions tournent autour de la valorisation, des multiples, des négociations et de la fiscalité.Mais un facteur est souvent sous-estimé et pourtant il peut faire échouer une vente : le dirigeant lui-même.J'ai reçu Ana Pușcă, coach de dirigeants, dans Une Cession Presque Parfaite, et elle a mis en lumière une vérité essentielle :Une entreprise ne se vend pas comme un simple actif. Elle se transmet, et pour que cette transmission réussisse, encore faut-il que son dirigeant ait préparé le terrain.Les erreurs classiques des dirigeants qui veulent vendre leur entreprise1️⃣ Tout repose encore sur eux, même au moment de la venteBeaucoup de dirigeants ont passé des années à construire une entreprise à leur image, à être présents sur tous les sujets, à prendre toutes les décisions.C'est souvent une force dans la phase de développement… mais c'est un énorme problème dans la phase de transmission.Un acheteur qui voit que toute l'activité dépend du dirigeant prend peur. Il se demande comment l'entreprise va survivre après son départ. Résultat :❌ Soit il exige une transition longue et contraignante❌ Soit il négocie un prix plus bas, considérant que la boîte est trop risquée❌ Soit il abandonne la discussion2️⃣ Ils ne sont pas psychologiquement prêts à vendreCe point est l'une des causes majeures des ventes qui échouent.Un dirigeant peut passer des mois (voire des années) à structurer son entreprise pour la cession… Mais au moment de signer, le doute s'installe.Vais-je regretter ?
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu Eric Le Poole, entrepreneur et investisseur qui a réalisé un OBO sur sa propre entreprise avant de la vendre avec succès.On a parlé en détail de cette opération qui permet de récupérer des liquidités tout en gardant les commandes.L'OBO (Owner Buy Out) est un mécanisme encore peu connu par de nombreux dirigeants de PME. Pourtant, cette opération permet de réaliser un cash-out (récupérer une partie de la valeur de votre entreprise) tout en conservant le contrôle.Concrètement, comment ça fonctionne ?
La vente d'une entreprise, c'est souvent le projet d'une vie.Des années à construire, développer et structurer.Des nuits à gérer des crises et faire grandir l'activité.Des mois à négocier le meilleur deal, la meilleure valorisation.Puis arrive le jour du closing. Tout est signé. L'argent est sur le compte.Et après ?C'est une question que trop peu de dirigeants anticipent.❌ Ils pensent qu'ils auront le temps d'y réfléchir plus tard❌ Ils se disent que tout viendra naturellement❌ Mais une fois la vente actée, beaucoup se retrouvent sans capParce que ce qu'on ne vous dit pas, c'est que vendre son entreprise, ce n'est pas juste une transaction.C'est un changement radical.C'est un bouleversement mental.C'est une perte de repères.Et c'est ce qui est arrivé à Louis Debouzy quand il a vendu Amabilis - L'aide à domicile qu'il vous faut
Être dirigeant, c'est porter sur ses épaules la croissance, la rentabilité, les transformations, et parfois, la préparation d'une cession. Vous êtes souvent seul face à des décisions importantes qui demandent à la fois du recul, une expertise concrète et une mise en œuvre rapide. Et si vous aviez à vos côtés quelqu'un qui connaît exactement ces enjeux ? L'Operating Partner est encore peu connu en Europe, mais c'est une pratique courante aux États-Unis, où il est devenu un allié indispensable des fonds d'investissement et des dirigeants. Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, je reçois Isabelle Saladin, présidente de I&S Adviser, le premier cabinet européen dédié aux Operating Partners. Isabelle est une pionnière dans ce métier et partage avec nous pourquoi cet acteur discret peut devenir un véritable levier pour votre entreprise.
Vendre ou reprendre une entreprise, ça ne s'improvise pas. Beaucoup de dirigeants ratent leur cession par manque de préparation. À l'inverse, les repreneurs qui cherchent l'entreprise parfaite risquent de passer à côté d'opportunités incroyables.
Votre entreprise est votre plus grande réussite, mais peut-être qu'elle est aussi votre plus grande faiblesse ?SI vous n'êtes plus là demain, il se passerait quoi selon vous ? Votre famille, vos associés, votre entreprise, survivront-elles sans vous ? Seraient-ils prêts ? Parler de décès, d'invalidité ou de transmission patrimoniale, c'est pas ce qu'il y a de plus d'Eliad (sexy, en gros). Mais c'est absolument essentiel. Car si vous ne préparez pas ces moments, ils viendront quand même. Et, surtout, ne pas le faire, c'est risquer de laisser derrière vous des conflits, une fiscalité écrasante, et une entreprise affaiblie.. voire mourante .. Alors, dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le plaisir de recevoir Olivier Pontnau, notaire associé à Paris, connu pour son expertise pointue couplée à une pédagogie remarquable, qualités précieuses pour répondre à 2 grandes questions :1️⃣ Comment protéger son patrimoine quand on est dirigeant ?2️⃣ Comment transmettre son entreprise et ses actifs à titre gratuit sans conflits et en optimisant la fiscalité ? Quelques points-clés de notre échange :
Dans cet épisode de Une Cession Presque Parfaite, Guillaume Jimenez, avocat associé au sein du Cabinet 28 Octobre, et expert en M&A et litiges post-cession, partage des solutions claires et des bonnes pratiques pour éviter que des litiges ne viennent gâcher une opération bien préparée. Quelques points principaux que nous avons développés :Garanties d'actif et de passif : un élément clé pour protéger les deux partiesLes garanties d'actif et de passif servent à protéger les acheteurs des mauvaises surprises, comme des dettes cachées ou des actifs surévalués. Elles sont aussi là pour limiter les responsabilités du vendeur, mais tout repose sur leur rédaction. Une garantie bien construite encadre clairement ce qui est couvert, avec des limites précises.Si elles sont floues ou incomplètes, elles deviennent des leviers pour les acheteurs frustrés. Dans une opération, il faut anticiper tous les risques possibles et les inclure de manière explicite. Plus les garanties sont détaillées, moins elles laissent de place à l'interprétation ou aux contestations.Défauts d'information : tout doit être mis sur la tableL'une des principales causes de litiges post-cession est le manque de transparence. Toute information importante, qu'il s'agisse de contrats en cours, de risques identifiés ou de performances passées, doit être partagée pendant les négociations.Cacher un détail, même involontairement, peut donner lieu à des accusations de dol. Être transparent permet non seulement de protéger le vendeur, mais aussi d'instaurer une relation de confiance entre les parties.Guillaume rappelle qu'une bonne documentation et un effort pour expliquer clairement tous les points sensibles sont essentiels pour éviter les incompréhensions.Ajustements de prix : éviter les conflits avec des critères clairsLes ajustements de prix permettent de lier une partie du prix de vente à des performances futures ou à des obligations contractuelles. Mais pour qu'ils fonctionnent, ils doivent être cadrés avec des critères simples et mesurables.Un ajustement mal défini ou ambigu ouvre la porte aux désaccords. Dans une opération, il est important que les deux parties s'accordent sur des paramètres précis dès le départ. Guillaume explique comment structurer ces ajustements pour éviter tout malentendu après la signatureHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Diriger une entreprise familiale, c'est déjà une chose. Mais transmettre cette entreprise, c'est une autre bataille. Et souvent, les dirigeants reportent, évitent, ou pensent qu'ils ont le temps. Pourtant, chaque année, des milliers d'entreprises familiales disparaissent, non pas parce qu'elles n'étaient pas rentables, mais parce que leur transmission a été mal préparée. Une entreprise familiale, c'est plus qu'un business. C'est une histoire, des valeurs, une fierté. Mais c'est aussi, parfois, une bombe à retardement : un fils qui n'a jamais voulu reprendre l'entreprise, une fille mise à l'écart sans raison, un fondateur qui s'accroche au pouvoir. Tout ça, souvent, dans un silence assourdissant. Bref, failles dans la gouvernance, conflits entre héritiers, rancunes non exprimées… Voilà ce qui peut transformer un héritage en désastre. Lors de mon dernier podcast, j'ai échangé avec Frédéric Lucet et Pierre-Emmanuel Costeux de Family & Co, experts des transmissions transgénérationnelles, qui accompagnent depuis 20 ans les familles dirigeantes. Leur constat ? Transmettre une entreprise, c'est plus dangereux que de la diriger. Car transmettre, ce n'est pas déléguer, c'est co-construire. Et ça ne commence pas à 65 ans, mais bien des années – voire des décennies – avant. Pourquoi ? Parce que transmettre, c'est :1️⃣ Choisir, et donc renoncer. Tous vos enfants ne peuvent pas tout avoir : diriger, détenir, décider. Chaque choix implique un risque, et éviter ces décisions par facilité, c'est semer la discorde pour demain 2️⃣ Accepter de perdre du pouvoir. Pour beaucoup de dirigeants, transmettre, c'est s'effacer. Et c'est terrifiant. Mais refuser de lâcher prise, c'est condamner la génération suivante à échouer. Le courage, ici, n'est pas de rester aux commandes, mais de savoir partir 3️⃣ Transformer au lieu de copier. Une transmission réussie n'est pas une simple continuité. C'est une transformation. La génération suivante doit réinventer l'entreprise pour qu'elle reste pertinente. Ce n'est pas une trahison, c'est une évolution En fin de compte, les entreprises familiales qui réussissent ne sont pas celles qui évitent les conflits. Ce sont celles qui les affrontent, ensemble. Parce que transmettre, c'est aussi avoir le courage d'écouter. Ceux qui survivent sont ceux qui comprennent que transmettre, ce n'est pas déléguer. C'est guider, accompagner, et surtout écouter Et pour aller plus loin, notamment pour les passionnés des sujets de transmissions familiales, Pierre-Emmanuel est également co-auteur, avec Laurent Allard, du livre "Accompagner et pérenniser une entreprise familiale" ! Plus de 40 ans d'expertise cumulée réunie dans un livre, autant d'années que je passe à trouver quel costume mettre aujourd'huiHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dirigeants, comment fixer et sécuriser le prix de cession de votre entreprise pour éviter les mauvaises surprises ?Dirigeants d'entreprises, vous vous apprêtez à vendre votre société et une question essentielle se pose : comment fixer et sécuriser le prix de vente ? Entre ajustement de la dette, maîtrise du BFR, et analyse des flux financiers, choisir la bonne méthode peut faire toute la différence.Locked Box ou Comptes au Closing ? Deux approches, deux logiques, mais un même objectif : éviter les mauvaises surprises.Pour répondre à cette question, j'ai eu le grand de plaisir de recevoir dans ce nouvel épisode d'Une Cession Presque Parfaite, Xavier Trollé, manager pôle conseil, et Jean-Baptiste Barsi, avocat M&A, tous deux au sein de chez IMPULSA.Au programme notamment :
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu le talentueux Stéphane BERGEZ, associé senior chez Andera Partners et qui dirige le fonds de Dette Privée, Andera Acto.Avec une expérience de près de +30 ans dans le Private-Equity, Stéphane est venu partager toute son expertise sur le rôle de la Dette Privée dans les opérations de croissance et de transmission d'entreprises (LBO, OBO..).Alors, durant cet épisode de 1h, Stéphane va notamment évoquer :
Dans ce nouvel épisode, j'ai reçu Patrice Klug, pour qu'il partage son expertise en tant que conseil en cession d'entreprise et LBO depuis 25 ans.
Dans un contexte où le "papy-boom" entraîne une vague massive de départs à la retraite, l'importance de bien préparer la vente de son entreprise n'a jamais été aussi nécessaire.En 2025 seulement, on attend déjà 55 000 transmissions, soit une hausse de 10% par rapport à 2024, et pourtant, un tiers de ces cessions échoue, laissant des entreprises sans repreneur et menaçant des milliers d'emploisPourtant, préparer la transmission de son entreprise c'est aussi une opportunité de pérenniser l'activité. C'est pourquoi chaque dirigeant doit anticiper et structurer le processus de vente pour maximiser ses chances de succès et garantir la continuité de son activité.Et donc, pour vous aider à mieux comprendre comment préparer la vente de son entreprise, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Sandrine Evangelista au micro de Une Cession Presque ParfaiteSandrine a fondé Leaders for a Good Planet, une société spécialisée dans la préparation stratégique et la valorisation des entreprises, en mettant l'accent sur la croissance B2B. Elle aide les dirigeants de TPE/PME à structurer et à optimiser leur entreprise pour maximiser leur potentiel de vente ou de levée de fonds.Dans cet épisode de 1h, Sandrine va notamment évoquer :
Pour répondre à cette question, j'ai invité Solène Niedercorn, fondatrice de Finscale, dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite. Solène, c'est une spécialiste des fonds d'investissement et de la Fintech. Depuis 2019, avec Finscale, elle accompagne des investisseurs dans la création de structures financières comme des sociétés de gestion, des fonds d'investissement, des établissements de crédit ou des véhicules de titrisation. Alors, si vous vous êtes toujours demandé comment se monte un fonds, sans jamais oser poser la question (ou sans avoir eu l'occasion de le faire), cet épisode est pour vous. On y parle de gouvernance, et surtout de son rôle primordial dans le succès d'un fonds. Comment structurer un fonds de manière efficace ? Quels sont les points à ne pas négliger dès le départ pour éviter les erreurs qui coûtent cher ? Et ben, Solène vous explique tout ça avec des explications claires et des conseils pratiques. Elle aborde aussi la question des comités, des réglementations et de la transparence, tout ce qu'il faut maîtriser pour que tout roule. On a aussi parlé de Fintechs. Ces fameuses startups dont tout le monde parle et qui promettent de réinventer la finance. Eh bien, elles ne s'arrêtent pas là. Certaines, comme Qonto ou Alan, sont passées à la vitesse supérieure. Elles rachètent des concurrents, elles se consolident, et elles deviennent de véritables mastodontes. Résultat : la finance telle qu'on la connaît est en train de changer sous nos yeux. Bonne écoute !
Dans ce nouvel épisode de Une Cession presque parfaite je reçois deux invités de marque : Sandrine Hagenbach, avocate fiscaliste, et Samuel Schmidt, avocat spécialisé en M&A Corporate. Ensemble, ils abordent le sujet crucial du financement d'acquisition d'entreprise. Sandrine Hagenbach est une avocate fiscaliste expérimentée, ayant prêté serment en 2000 et fondatrice du cabinet Alliage en 2018. Elle se spécialise dans l'explication de concepts complexes de manière compréhensible, notamment à travers le legal design
C'est la question à laquelle
Comme vous avez pu le lire, l'administration fiscale a apporté des clarifications concernant le prix d'exercice des BSPCE ! Alors, pour la 2ème fois je reçois avec grand plaisir Hugo Michelas au micro de Une Cession Presque parfaite pour apporter son expertise sur les Bons de Souscription de Parts de Créateurs d'Entreprises (BSPCE), et plus spécifiquement sur la récente mise à jour qui vient clarifier certains points essentiels. Hugo Michelas est manager en évaluation chez Groupe Aurys et a cofondé la partie évaluation de l'entreprise. En tant qu'expert en évaluation financière, il est chargé de déterminer la valeur des entreprises et des instruments financiers au sens large. Son domaine d'expertise couvre une large gamme d'instruments, allant des Management Packages aux BSPCE, en passant par les prix de transfert et les attestations de taux. Sa présence sur le podcast pour la 2ème fois me paraissait importante pour comprendre les subtilités de la récente réforme sur les BSPCE et ses implications pour les entreprises. La mise à jour du BOFIP concernant les BSPCE est une clarification attendue par de nombreux acteurs du secteur. Elle touche particulièrement la question du prix d'exercice des BSPCE, qui permet à un salarié d'acquérir des actions de son entreprise à un prix prédéterminé. La réforme précise la méthodologie d'évaluation de ce prix, traite de la différence entre actions ordinaires labellisées et Actions De Préférence (ADP), et clarifie l'application d'une décote d'illiquidité sur le prix d'exercice. Ces changements sont essentiels pour permettre aux salariés de participer à la création de valeur de leur société de manière équitable, et pour les entreprises de mettre en place des plans de BSPCE attractifs. Dans cet épisode vous allez apprendre :
Le MBO est une forme d'acquisition d'entreprise où un dirigeant extérieur (ou équipe de gestion extérieure) décide d'acheter et de diriger une société. Concrètement, ça signifie que des personnes qui ne travaillaient pas auparavant dans l'entreprise, souvent des managers expérimentés, achètent une partie ou la totalité de l'entreprise et en prennent son contrôle pour la diriger. Et souvent avec une grosse part de dette, comme pour un LBO classique. C'est une opération complexe et bien plus risquée que les autres formes de reprises d'entreprises. Et, qui de mieux qu'un expert avec une double casquette d'entrepreneur et d'investisseur pour nous parler de ce sujet ?
La cession d'une entreprise est un moment clé dans la vie d'un dirigeant. C'est une période charnière, souvent chargée d'émotions et de questionnements. Pour éclairer cette étape cruciale, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Fabienne Saugier, présidente de Gemilys et coach expérimentée des dirigeants d'entreprise au micro de Une Cession Presque parfaite. Avec plus de 30 ans d'expérience, Fabienne est entrepreneuse dans l'âme et a occupé différents rôles, de dirigeante d'entreprises à banquière d'affaires, avant de se consacrer au coaching de dirigeants. Sa vision hybride du monde de l'entreprise lui confère une compréhension aiguisée des multiples facettes du leadership et de la gestion d'entreprise. De la cofondation d'une entreprise dans le secteur culturel à la direction générale de grandes entreprises dans des contextes variés (sous LBO, VC, capital familial etc.), Fabienne a bâti son parcours sur une série d'opportunités et de rencontres décisives. Sa transition vers le coaching de dirigeants est le résultat d'une volonté d'accompagner les leaders dans la complexité de leurs activités et les défis personnels qu'ils rencontrent. Notamment quand les dirigeants envisagent de vendre. En tant que coach, Fabienne agit comme un sparring partner pour les dirigeants, les aidant à clarifier leur vision, à identifier leurs motivations profondes et à définir une stratégie claire pour la cession. Elle les soutient dans la gestion de leur temps, le renforcement de leur leadership et la préparation mentale face aux défis de la vente. Alors, dans cet échange passionnant de 1h30, Fabienne va aborder :
Dans ce nouvel épisode de Une Cession j'ai eu le grand plaisir de recevoir Xavier Chouraqui, fondateur de Haveagooday pour nous parler de la cession de sa 1ère entreprise Westborn au géant français Sodexo ! Xavier est un entrepreneur aguerri, et un leader incarné, qui après une carrière dans la communication interne et une année enrichissante à Londres, a décidé de se lancer dans l'entrepreneuriat L'aventure de Westborn a débuté avec une idée simple mais révolutionnaire : apporter dans les entreprises françaises un service jusqu'alors peu répandu, la conciergerie d'entreprise. Xavier nous explique comment il a su convaincre les plus grands groupes de l'utilité de ses services, en insistant sur l'importance de considérer le collaborateur comme un client de l'entreprise. Son objectif ? Améliorer la qualité de vie en entreprise en France. Dans cet épisode de 1h15, Xavier va aborder entre autres :
Aujourd'hui, épisode hors-série pour le Podcasthon (par Altruwe), une superbe initiative lancée par Jeremie Mani
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Sylvain Clavé, avocat fondateur de Clavé Avocat pour nous parler de Club deals et de leur structuration juridique et opérationnelle.Le club deal, cette forme d'investissement qui rassemble des investisseurs autour d'un projet commun, gagne en popularité. Pourquoi ? Parce qu'il offre une alternative aux structures d'investissement traditionnelles, en proposant une flexibilité et un potentiel de rendements attractifs. Mais quels sont les avantages et les risques associés à cette forme d'investissement ?
Avez-vous déjà envisagé de vendre une partie de votre entreprise sans pour autant perdre le contrôle total de votre activité ?Car oui, certains dirigeants vendent une partie et restent actionnaire car souhaitent continuer à travailler tout en levant le pied et en sécurisant une partie de leur patrimoine professionnel. C'est ce que l'on appelle faire un cash-out.Conscient pour certains qu'ils ont la majorité de leur patrimoine au sein de leur entreprise et qu'ils peuvent alors tout perdre si l'activité se retourne, ils optent non pas pour une cession totale mais pour une cession partielle durant laquelle ils vont une pierre deux coups : Faire du cash-out tout en faisant rentrer un partenaire financier ou industriel au capital pour soutenir le développement.Alors, dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Romain Luciani avocat associé de LEXPLUS AVOCATS et fondateur du Réseau GOJI AVOCATS qui est venu partager son expertise et ses précieux conseils pour sécuriser son opération de cession partielle et son cash-out.Durant cet échange de 1h15, Romain va évoquer entre autres :
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite j'ai eu le grand plaisir de recevoir Ilan Elbase, fondateur de Effective Capital, LA boutique M&A cross-border et spécialiste des opérations de levée de fonds/M&A entre la France et les USA. Avec près de 20 ans d'expérience dans le métier, Ilan accompagne les entrepreneurs, les investisseurs et les entreprises à atteindre leurs objectifs de croissance et de création de valeur, en exploitant son réseau transfrontalier et sa compréhension approfondie des marchés américains et européens. Et donc, dans cet épisode de 50 minutes, Ilan va notamment aborder :
La trésorerie est toujours un vaste sujet, au cœur de réflexions et discussions stratégiques. Je le vois de mon côté quand on vend une entreprise.Le constat ? Certains dirigeants ont une trésorerie excédentaire, qui dort et qui n'est pas du tout optimisée. Non seulement, avec l'inflation cette trésorerie est « grignotée » mais cet excès de trésorerie peut être un frein pour une transmission/cession.Notons que la trésorerie d'entreprise est un outil d'optimisation et de réalisation d'objectifs et non une fin en soi. L'optimiser c'est optimiser la cession, optimiser sa transmission, organiser ses années posts activité.Alors, pour répondre à cette question brûlante et importante, j'ai eu le grand plaisir de recevoir au micro de Une Cession Presque Parfaite, Nicolas CAMUT, cofondateur de The Wealth Office, un cabinet de gestion de patrimoine dédié aux entrepreneurs et aux dirigeants. Vous avez certainement vu passer les posts de Camil MIKOLAJCZACK et de Nicolas, très actifs sur LinkedIn et qui partagent toujours du contenu très qualitatif !Dans cet épisode de 1h, Nicolas va notamment évoquer :
Les due diligences financières sont des analyses approfondies visant à examiner en détail les différents aspects d'une entreprise ou d'une transaction. Son objectif est de mettre en lumière les risques potentiels ainsi que les opportunités qui pourraient influencer la valorisation de l'entreprise aux yeux de l'acheteur.Lorsqu'elle est effectuée par ou pour le compte de l'acheteur, cette démarche est appelée "due diligence Acheteur" ou "buy-side due diligence". En revanche, lorsqu'elle est réalisée par la société cible elle-même, elle est appelée "vendor due diligence".Et pour vous apporter des conseils terrain, j'ai eu le grand plaisir de recevoir au micro de Une Cession Presque Parfaite le charismatique Stéphane Dahan, cofondateur et managing partner de Exelmans, cabinet spécialisé dans les due dilligence financières et qui est rapidement devenu un acteur incontournable dans l'univers des transactions.Exelmans, c'est 12 associés et 100 collaborateurs, devenu une référence dans le monde du M&A pour son expertise ultra nichée dans les due dilligence financières sur 4 grands secteurs notamment : Education/formation, santé, IT/digital et FIG.Alors, dans cet épisode de 1h10, Stéphane va notamment évoquer :
Voilà comment les négociations pour le rachat de kid'S cool au Groupe Babilou ont commencé entre ces 2 réseaux de crèches, leaders de leur secteur.Jonathan Cyrot, co-fondateur de Kid's cool, que j'ai eu le grand plaisir de recevoir dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, va nous raconter toute la genèse de Kid's Cool jusqu'à la cession au Groupe Babilou en 2017. Faut dire que le deal est très original. « A l'ancienne ». Pas de formalités, pas de process compétitif mis en place. Pas de banque d'affaires mandatée. Juste une poignée de main, un audit rapide et un une grande confiance mutuelle entre Jonathan Cyrot, son associé Gabriel Ben David, et Rodolphe Carle, PDG de Babilou.Cette confiance, renforcée par leurs antécédents de cessions réussies, ainsi qu'une véritable fidélité entre l'acheteur et le vendeur, ont permis de franchir cette étape sans trop de stress ni de péripéties.Fondé en 2009 par Gabriel Ben David et Jonathan Cyrot, tous deux diplômés de l'Essec, Kid'S Cool se positionnait lors de la cession comme le septième réseau national de crèches privées, comptant près de 600 berceaux répartis dans un réseau de 22 établissements et employant alors près de 200 collaborateurs.Babilou, dirigé par Edouard et Rodolphe Carle est le N°1 français du secteur. Le Groupe qui a fait rentrer le fonds TA Associates emploie, avant le rachat de Kid's Cool, 4200 collaborateurs sur l'Hexagone, loin devant ses rivaux Les Petits Chaperons Rouges et La Maison Bleue.Et donc, dans cet épisode de 1h45, Jonathan va entre autres revenir sur :
Les BSPCE, ou bons de souscription de parts de créateur d'entreprise, font partis des outils du Management Package, et sont utilisés par les jeunes entreprises pour encourager et retenir leurs employés et dirigeants clés. Ils offrent aux salariés la possibilité de souscrire des actions à un prix fixé à l'avance, lors de l'attribution des bons. Très souvent utilisés lors d'une levée de fonds, les BSPCE peuvent aussi être mis en place dans le cadre d'un LBO.Alors, pour bien comprendre toute la subtilité de cet outil, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Hugo Michelas, associé fondateur de Aurys Evaluation (GROUPE AURYS), au micro de Une Cession Presque Parfaite Hugo abordera entre autres :
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite j'ai eu le grand plaisir de recevoir Nadi Bou Hanna, président fondateur de Flore, venu nous parler de l'investissement à impact.
Que ce soit avant une cession, une fusion ou acquisition ou après, la valeur d'une entreprise est au centre des débats.A chaque fois, avec un objectif : comment maximiser la valeur pour les parties prenantes, à la fois pour les actionnaires, pour les clients et pour les collaborateurs ? Nous vivons aussi des moments de grandes ruptures puisque inflation, guerre, confinements, géopolitique, environnement, social changent au quotidien la gestion et l'organisation des entreprises. Mon invité du jour, Antoine Blanchys, que j'ai reçu au micro de Une Cession Presque Parfaite, a été directeur général, consultant et a accompagné plus de 30 entreprises dans une perspective de retournement et d'accélération. C'est du changement, de la transformation.Parce que la valorisation de l'entreprise et le prix de cession sont la conséquence d'une multitude d'actions mises en place pour pérenniser la croissance, développer le chiffre d'affaires les marges, le portefeuille client, la marque etc.Et ça, c'est le métier d'Antoine, coach en accélération et croissance d'entreprise et création de valeur.Antoine va notamment évoquer les points suivants :
Pour ce nouvel épisode du Podcast Une Cession Presque Parfaite et pour bien commencer la nouvelle année, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Fabien Courvoisier et Rui Cabrita, avocats fondateurs de Solegal qui sont venus nous parler de l'imbrication de la fiscalité et du juridique dans la structuration de l'opération de cession d'entreprise ou LBO. Tous deux experts sur des opérations de M&A small cap, Fabien et Rui vont aborder au travers de cet épisode :
Après près de 2 mois sans diffuser de nouvel épisode, j'ai eu le grand plaisir de recevoir au micro de Une Cession Presque Parfaite, François Hiriart, DAF externalisé & Co-fondateur de heelio
C'est la question à laquelle Luc Thilliez a répondu au Micro du Podcast Une Cession Presque Parfaite. (Liens d'écoute en commentaire) Luc a plusieurs casquettes. Il dirige plusieurs entreprises dont le cabinet Priveos, un cabinet d'ingénierie patrimoniale. Fort de son expérience entrepreneuriale, Luc va intervenir chez LearnyBox, comme un manager de transition, dans l'objectif de réorganiser la stratégie globale et de «restructurer» l'entreprise. En 3 ans, la société retrouve pleinement sa rentabilité et sera vendue et valorisée 6M€. Et donc, dans cet épisode de 1h, Luc va notamment évoquer :
Ce sont les deux questions auxquelles Ariane Olive, fondatrice associée du cabinet SPARK AVOCATS, a répondu au micro de mon podcast Une Cession Presque Parfaite. Parce que si vous vendez votre entreprise vous allez, dans la majorité des cas, être confronté à ces deux sujets.
Si vous vous posez la question de vouloir transmettre votre entreprise à vos successeurs familiaux ou en faire une donation, le Pacte Dutreil est une solution qui, bien mise en place, peut être puissante. Et pour évoquer plus en détail ce sujet, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Guillaume Nuttens, directeur associé Paris au sein du Cabinet Fidal au micro de mon Podcast Une Cession Presque Parfaite. Alors, dans cet épisode d 1h, Guillaume va aborder entre autres :
Apparu dans les années 1980 aux États-Unis, la pratique du « search fund » permet à un entrepreneur de réunir des fonds pour rechercher une entreprise à acquérir. Ce concept se développe progressivement en France et, contrairement au modèle classique du private-equity où le fonds identifie une entreprise cible et cherche ensuite un dirigeant pour la gérer (MBI), le search fund fonctionne à l'envers. Il mise d'abord sur la personne (le dirigeant) qui cherche ensuite l'entreprise qui correspond le mieux à ses compétences et à ses objectifs. Alors, pour mettre en avant cette nouvelle forme d'acquisition / reprise d'entreprise, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Thomas Dreyfus au micro de mon podcast Une Cession Presque Parfaite. Thomas, fondateur de Relevia, un search fund regroupant 18 investisseurs va évoquer entre autres :
Parce que la transmission d'une entreprise peut être complexe en raison du contexte de l'opération et, dans le cadre familial, des relations entre les membres de la famille. Alors, j'ai souhaité recevoir Gauthier pour qu'il nous parle du Family Buy Out, cet outil puissant de transmission familiale qui est une forme de LBO mais version familiale dans laquelle se mélange donation-partage et Pacte Dutreil. Gauthier va donc aborder entre autres dans cet épisode de 50 minutes :
L'actionnariat salarié est un mouvement récent qui a des effets importants, à la fois dans les entreprises et pour notre pays. Bien qu'il soit encore trop tôt pour mesurer pleinement ces changements, il est clair que ses conséquences sont et seront significatives, comme l'avait prédit le Général de Gaulle. Et c'est justement l'objet du nouvel épisode du Podcast Une Cession Presque Parfaite dans lequel j'ai eu le grand plaisir de recevoir Vincenzo FELDMANN et Sebastien Delaunay, avocats au sein du Cabinet Mayer Brown. Non seulement ce sont 2 pointures dans leur domaine mais surtout ils sont spécialisés dans les dispositifs d'actionnariat salarié et de Management Package. Et, même si de nombreuses Grandes Entreprises sont engagées dans la démocratisation de l'actionnariat salarié, il reste encore beaucoup à faire dans les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) et les Petites et Moyennes Entreprises (PME). Alors, dans cet épisode de 1h, Sebastien et Vincenzo vont évoquer entre autres :
Ces termes, vous avez déjà dû les entendre. Surtout si vous dirigez un Groupe ou si vous souhaitez faire une opération de LBO. Et, peut-être que vous les trouvez complexes et barbares. Pourtant, tous ces aspects sont importants à comprendre et à assimiler si vous souhaitez créer une holding, optimiser la fiscalité de votre Groupe ou faire une opération de LBO. Et surtout, si vous ne souhaitez pas que l'Administration fiscale toque à votre porte !