Head of state of East Germany (GDR)
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Im Herbst 1989 wächst in der DDR der Protest. Die SED zieht die Notbremse und ersetzt den kranken Erich Honecker an der Parteispitze durch Egon Krenz. Doch dem Regime hilft das nicht mehr, Egon Krenz bleibt nur sieben Wochen an der Spitze der DDR. Treusch, Wolf-Sören www.deutschlandfunk.de, Kalenderblatt
Hallo! Es gibt eine neue Ausgabe der Baywatch Berlin Summerbreeze! Wer ist da? Pierre Brice? Was? Nein Baywatch! Der Podcast mit einer neuen Folge! Was? Baywatch, neue Episode! Wer hat eine scheue Kommode? Niemand. Jedenfalls hatten die drei Podcaster wohl sehr mit Latenz zu kämpfen bei der Aufnahme. Was ist mit Egon Krenz? Die haben sich nicht verstanden! Hatten Versatz. Haben durcheinander geredet! Wer? Bist du es Enkel Balduin? Nein! Die drei! Von Baywatch. Haben durcheinander geredet. Also die sind im Sommer doch immer im Urlaub und hatten wohl schlechtes Internet! Bist du in Not? Nein gar nicht, ich wollte doch nur sagen: es ging um Nacktbaden und ein sehr schlimmes Missverständnis. Ein Missverständnis? „Missverständnis“ verstehst du jetzt oder wie? Ich bin ein Mistvieh? Nein, aber bei Klaas hat jetzt einer fast Schulden! Und Klaas hat dafür ganz viel Kleingeld! Ich kenne keinen Lars. Ach weißewatt? Fick Dich. Die neue Folge Baywatch Berlin Summerbreeze kann Spuren von Latenz enthalten und heißt: Smalltalk-Cringe für Superreiche Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/BaywatchBerlin
"Für Frieden und Sozialismus: Seid bereit!" So lautet die Losung der Pioniere. Und die korrekte Antwort? Das erfahrt ihr in diesem Podcast über die Geschichte der Kinder- und Jugendorganisationen in der DDR.
REDIFFUSIONLa date du 9 novembre 1989 est restée dans l'Histoire comme celle de la chute du Mur de Berlin. Mais pourquoi cette ouverture de la frontière entre les deux secteurs de Berlin, dont les répercussions seront considérables, s'est-elle faite précisément ce jour-là ?Pour le comprendre, il faut rappeler que la contestation ne cessait d'enfler en RDA, où d'imposantes manifestations avaient lieu depuis le mois d'octobre. Egon Krenz venait même de remplacer, à la tête du pays, Erich Honecker, au pouvoir depuis 28 ans.C'est dans ce contexte que, le 9 novembre 1989, en fin de matinée, des mesures de libéralisation des voyages sont annoncées aux instances du parti communiste est-allemand. En satisfaisant l'une des revendications exprimées par les manifestants, on espérait faire retomber la tension.En fin d'après-midi, ce même 9 novembre, le porte-parole du parti annonce à la presse les dernières mesures prises. Dans un premier temps, il n'évoque pas la décision de faciliter les voyages vers l'ouest.Puis il y fait allusion en donnant lecture d'un document traitant des visas nécessaires aussi bien pour voyager que pour émigrer hors du pays. Et il précise que ces visas seront accordés "sans conditions".Cette nouvelle fait sensation. En effet, jusque-là, obtenir un tel visa relevait du parcours du combattant. C'est alors qu'un journaliste demande quand cette mesure doit s'appliquer.Le porte-parole ne semblait pas s'attendre à une telle question. Il lance alors : "mais...tout de suite !". Cette nouvelle sensationnelle est aussitôt répercutée par les médias occidentaux.Aussitôt la rumeur se répand. Les Allemands de l'Est se rendent en masse au point de passage de Bornholmer Strasse, entre les deux secteurs de Berlin. Alors que la presse de l'ouest annonce, avec un peu d'avance, que le Mur est ouvert, la foule réclame, à grands cris, qu'on ouvre la porte du poste-frontière.Les gardes sont décontenancés. Visiblement, ils n'ont reçu aucune instruction sur ce qu'il convient de faire. Après des heures d'hésitation, un officier donne finalement l'ordre de laisser passer les gens. Le Mur de Berlin vient de tomber. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFFUSION La date du 9 novembre 1989 est restée dans l'Histoire comme celle de la chute du Mur de Berlin. Mais pourquoi cette ouverture de la frontière entre les deux secteurs de Berlin, dont les répercussions seront considérables, s'est-elle faite précisément ce jour-là ? Pour le comprendre, il faut rappeler que la contestation ne cessait d'enfler en RDA, où d'imposantes manifestations avaient lieu depuis le mois d'octobre. Egon Krenz venait même de remplacer, à la tête du pays, Erich Honecker, au pouvoir depuis 28 ans. C'est dans ce contexte que, le 9 novembre 1989, en fin de matinée, des mesures de libéralisation des voyages sont annoncées aux instances du parti communiste est-allemand. En satisfaisant l'une des revendications exprimées par les manifestants, on espérait faire retomber la tension. En fin d'après-midi, ce même 9 novembre, le porte-parole du parti annonce à la presse les dernières mesures prises. Dans un premier temps, il n'évoque pas la décision de faciliter les voyages vers l'ouest. Puis il y fait allusion en donnant lecture d'un document traitant des visas nécessaires aussi bien pour voyager que pour émigrer hors du pays. Et il précise que ces visas seront accordés "sans conditions". Cette nouvelle fait sensation. En effet, jusque-là, obtenir un tel visa relevait du parcours du combattant. C'est alors qu'un journaliste demande quand cette mesure doit s'appliquer. Le porte-parole ne semblait pas s'attendre à une telle question. Il lance alors : "mais...tout de suite !". Cette nouvelle sensationnelle est aussitôt répercutée par les médias occidentaux. Aussitôt la rumeur se répand. Les Allemands de l'Est se rendent en masse au point de passage de Bornholmer Strasse, entre les deux secteurs de Berlin. Alors que la presse de l'ouest annonce, avec un peu d'avance, que le Mur est ouvert, la foule réclame, à grands cris, qu'on ouvre la porte du poste-frontière. Les gardes sont décontenancés. Visiblement, ils n'ont reçu aucune instruction sur ce qu'il convient de faire. Après des heures d'hésitation, un officier donne finalement l'ordre de laisser passer les gens. Le Mur de Berlin vient de tomber. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Egon Krenz ist eine umstrittene Persönlichkeit - aber eben auch eine erfahrene. Als eines der letzten noch lebenden Mitglieder des DDR-Politbüros und Kurzzeit-Staatsratsvorsitzendem in Wende hatte er seltene Einblicke von der Kommandobrücke des Landes. Was kann die Forschung davon heute noch nutzen - und wie muss man es aufbereiten? Eine Lesung des neuen Krenz-Erinnerungsbuches "Gestaltung und Veränderung" gibt dazu Aufschlüsse.
Esta edición de EL ATICO DE PEPE, con su conductor Pepe Forte, "¿Cómo sería en CUBA una transición post-castrista?', es una suerte de lógica y necesaria continuación al programa previo, titulado "¿Es viable un NUREMBERG CUBANO Post-Castrista?" —que recomendamos que veas o escuches para que complementes los argumentos de este video, gracias a ustedes fue un éxito—, y lo que hace es explorar cómo sería una transición en Cuba a la democracia, cuando termine la dictadura, tal cual ha pasado en otros países y en otros momentos de la historia, en una diversidad de circunstancias, escenarios, y con distintas características cada vez, aunque a menudo coincidentes en algunas. ¿Qué modelo aplicaría pues en esa eventual circunstancia... Adolfo Suárez tras Franco; Pinochet tras Allende... o el caso caribeño se parecería al de figuras transitorias como Egon Krenz en la Alemania Oriental, o a Jaruzelski en Polonia? A más de 30 años, ¿existirían perfiles comparables en la transición de los países comunistas de Europa del Este a la democracia? Es importante hacer estos análisis ya, para estar preparados con planes de acción y contingencia para cuando el desplome ocurra —fuere como fuere éste—, sobre todo en el exilio, pues dentro de la misma Cuba castro-canelista, es imposible preparar partituras de antemano. Y, como la historia siempre enseña, en esta directa de EL ATICO DE PEPE repasamos cómo fueron algunas transiciones, con lo que este show, además de un análisis, también representa un típico programa pues de historia de estas directas en la cuenta de PEPE FORTE en YouTube.#transicionencuba #ElAticoDePepe #pepeforte Para ver este y otros podcast por YouTube:https://www.youtube.com/c/PepeForte
La date du 9 novembre 1989 est restée dans l'Histoire comme celle de la chute du Mur de Berlin. Mais pourquoi cette ouverture de la frontière entre les deux secteurs de Berlin, dont les répercussions seront considérables, s'est-elle faite précisément ce jour-là ?Pour le comprendre, il faut rappeler que la contestation ne cessait d'enfler en RDA, où d'imposantes manifestations avaient lieu depuis le mois d'octobre. Egon Krenz venait même de remplacer, à la tête du pays, Erich Honecker, au pouvoir depuis 28 ans.C'est dans ce contexte que, le 9 novembre 1989, en fin de matinée, des mesures de libéralisation des voyages sont annoncées aux instances du parti communiste est-allemand. En satisfaisant l'une des revendications exprimées par les manifestants, on espérait faire retomber la tension.En fin d'après-midi, ce même 9 novembre, le porte-parole du parti annonce à la presse les dernières mesures prises. Dans un premier temps, il n'évoque pas la décision de faciliter les voyages vers l'ouest.Puis il y fait allusion en donnant lecture d'un document traitant des visas nécessaires aussi bien pour voyager que pour émigrer hors du pays. Et il précise que ces visas seront accordés "sans conditions".Cette nouvelle fait sensation. En effet, jusque-là, obtenir un tel visa relevait du parcours du combattant. C'est alors qu'un journaliste demande quand cette mesure doit s'appliquer.Le porte-parole ne semblait pas s'attendre à une telle question. Il lance alors : "mais...tout de suite !". Cette nouvelle sensationnelle est aussitôt répercutée par les médias occidentaux.Aussitôt la rumeur se répand. Les Allemands de l'Est se rendent en masse au point de passage de Bornholmer Strasse, entre les deux secteurs de Berlin. Alors que la presse de l'ouest annonce, avec un peu d'avance, que le Mur est ouvert, la foule réclame, à grands cris, qu'on ouvre la porte du poste-frontière.Les gardes sont décontenancés. Visiblement, ils n'ont reçu aucune instruction sur ce qu'il convient de faire. Après des heures d'hésitation, un officier donne finalement l'ordre de laisser passer les gens. Le Mur de Berlin vient de tomber. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La date du 9 novembre 1989 est restée dans l'Histoire comme celle de la chute du Mur de Berlin. Mais pourquoi cette ouverture de la frontière entre les deux secteurs de Berlin, dont les répercussions seront considérables, s'est-elle faite précisément ce jour-là ? Pour le comprendre, il faut rappeler que la contestation ne cessait d'enfler en RDA, où d'imposantes manifestations avaient lieu depuis le mois d'octobre. Egon Krenz venait même de remplacer, à la tête du pays, Erich Honecker, au pouvoir depuis 28 ans. C'est dans ce contexte que, le 9 novembre 1989, en fin de matinée, des mesures de libéralisation des voyages sont annoncées aux instances du parti communiste est-allemand. En satisfaisant l'une des revendications exprimées par les manifestants, on espérait faire retomber la tension. En fin d'après-midi, ce même 9 novembre, le porte-parole du parti annonce à la presse les dernières mesures prises. Dans un premier temps, il n'évoque pas la décision de faciliter les voyages vers l'ouest. Puis il y fait allusion en donnant lecture d'un document traitant des visas nécessaires aussi bien pour voyager que pour émigrer hors du pays. Et il précise que ces visas seront accordés "sans conditions". Cette nouvelle fait sensation. En effet, jusque-là, obtenir un tel visa relevait du parcours du combattant. C'est alors qu'un journaliste demande quand cette mesure doit s'appliquer. Le porte-parole ne semblait pas s'attendre à une telle question. Il lance alors : "mais...tout de suite !". Cette nouvelle sensationnelle est aussitôt répercutée par les médias occidentaux. Aussitôt la rumeur se répand. Les Allemands de l'Est se rendent en masse au point de passage de Bornholmer Strasse, entre les deux secteurs de Berlin. Alors que la presse de l'ouest annonce, avec un peu d'avance, que le Mur est ouvert, la foule réclame, à grands cris, qu'on ouvre la porte du poste-frontière. Les gardes sont décontenancés. Visiblement, ils n'ont reçu aucune instruction sur ce qu'il convient de faire. Après des heures d'hésitation, un officier donne finalement l'ordre de laisser passer les gens. Le Mur de Berlin vient de tomber. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hoewel hij na een gevaarlijke verkeersmanoeuvre weigerde te blazen stelt FvD-Kamerlid Gideon van Meijeren dat hij geheelonthouder is. Bij de FvD-fractie als geheel is daarvan geen sprake, hebben de schoonmakers en beveiligers van de Tweede Kamer vastgesteld.Voor Jaap Jansen en PG Kroeger aanleiding om een aflevering van betrouwbare Bronnen te wijden aan ‘drank & politiek' en eens diep in het glaasje te kijken. Niet al te diep natuurlijk!Zo zorgden in ons land de christendemocraten voor een reeks fameuze en minder bekende innemers van allure. Geliefd en doortastend was Fons van der Stee, pikant was 'de thee-Van der Stee'. Een potje met bruin vocht en Pickwickzakje stond naast hem tijdens overleggen en debatten, maar in plaats van thee zat er Glenfiddich in. Berucht was ook hoe Defensieminister Roelof Kruisinga de mist in ging door zijn drankprobleem.De linkerzijde liet zich evenmin onbetuigd. PG vertelt over de terreinknecht van sportclub VOC in Rotterdam en diens wekelijkse klusje voor PvdA-burgemeester en voetbalcrack Bram Peper. D66-leider Hans van Mierlo was net zo'n geheelonthouder als het FvD-Kamerlid, zo blijkt uit een observatie van Jaap en zijn liefde voor de wijn verbond zich met een van zijn vele amoureuze avonturen.Maar ook buiten ons land zien we epische drinkers. Bijvoorbeeld de man die nog heel even chef was van de DDR, Egon Krenz. De aller kleurrijkste is een Waals socialist, Michel 'Papa' Daerden. Zijn rijk besprenkelde ministeriële speech - in perfect Nederlands - tot de Belgische Senaat over de aanpak van het pensioenvraagstuk is er een voor de eeuwigheid. Geen wonder dat hij bij de kiezers in Luik een stemmenkanon was. Geen wonder ook dat hij uiteindelijk toch roemloos ten onder ging.Ook onder de groten der aarde waren stevige innemers. Winston Churchill natuurlijk! Een beetje sneu was president Richard Nixon. Hij kon zo slecht tegen alcohol dat je op de beruchte tapes van zijn avondlijke gesprekken in het Witte Huis goed hoort wanneer hij in de olie was. Het probleem was dat Nixon graag een man van de wereld wilde zijn, maar dat nimmer werd.Echt episch consument van sterke drank was natuurlijk de eerste president van het democratische Rusland, Boris Jeltsin. De rij incidenten werd allengs langer. Van het vliegveld van Dublin tot een pizzakoerier in Washington DC. Niettemin zorgde hij wel voor een unieke persconferentie met president Bill Clinton. Geen Amerikaans staatshoofd viel ooit zo volledig uit zijn rol tegenover de verzamelde wereldpers.De grootste tiran was ook een van de grootste drinkers. Josef Stalin belegde bacchanalen in het Kremlin die pas decennia later naar buiten kwamen. Die diners waren altijd ook hoogst politiek, want hij benutte ze om collega-politici te testen, te vernederen en uit te horen. En er moest natuurlijk gezongen worden! PG vertelt over de jonge tenor van de Bolsjoi Opera wiens ondergang dat werd en over Stalins lievelingsaria, 'Kuda, Kuda' uit Jevgeni Onegin.Tot slot heeft ChristenUnie-voorman Gert-Jan Segers een stichtelijke boodschap voor FvD's fractievoorzitter Thierry Baudet en al die andere politieke drinkebroers.***Hieronder nog meer informatie. Op Apple kun je soms niet alles lezen. De complete tekst vind je altijd hier***Deze aflevering is mede mogelijk gemaakt met donaties van luisteraars die we hiervoor hartelijk danken. Word ook vriend van de show!Heeft u belangstelling om in onze podcast te adverteren of ons te sponsoren? Dat zou helemaal mooi zijn! Stuur voor informatie een mailtje naar adverteren@dagennacht.nl***Verder kijkenOFFENBACH - La Périchole : "Ah ! Quel dîner je viens de faire" (Valentine Lemercier)***Verder luisteren244 - Frans Timmermans over Jeltsin235 - De ondergang van de Sovjet-Unie: Gorbatsjov strijkt de rode vlag197 - De ondergang van de Sovjet-Unie: Boris Jeltsin, een tragische held164 - Dries van Agt 90 - Eigenzinnig politicus, paradijsvogel, wereldburger161 - Hans van Mierlo, een politieke popster13- PG over liberalen, volkscultuur en Stalin***Tijdlijn00:00:00 – Deel 100:48:49 – Deel 201:35:23 – EindeZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Egon Krenz hat sich im Sommer 2021 auf ein Gespräch mit dem Schüler eingelassen - und Christoph Cyrulies, der in diesem Sommer Abitur in Leipzig gemacht hat, hat sich mit der Geschichte seiner ungewöhnlichen Begegnung an den NDR gewandt. Entstanden ist daraus eine Sonderfolge des Podcasts "Dorf Stadt Kreis - starke Geschichten aus dem Norden" des NDR in Mecklenburg-Vorpommern.
Vor über 30 Jahren fand der Unrechtsstaat DDR sein Ende. Michael und Dominik haben mit Dr. Hubertus Knabe, dem ehem. Direktor der Gedenkstätte Hohenschönhausen über das Erbe der DDR und die Aufarbeitungsarbeit in Deutschland gesprochen.
Über den "Wechselkröten"-Text, mit dem Anna Marwan den Bachmannpreis 2022 gewonnen hat, die Festspiele Wagner 22 in Leipzig und Egon Krenz' Memoiren – Alexander Mayer blickt in die Feuilletons.
Podcasty Radia Wnet / Warszawa 87,8 FM | Kraków 95,2 FM | Wrocław 96,8 FM / Białystok 103,9 FM
Jan Bogatko zauważa, że w Niemczech jest wielu Russlandversteher - rozumiejących Rosję. Politycy niemieccy przez lata bronili swej niegdysiejszej sąsiadki. Nasz korespondent zwraca uwagę na przeszłość Olafa Scholza, który jako działacz młodzieżówki SPD zajmował stanowisko prosowieckie. Późniejszego kanclerza RFN przyjmował wówczas Egon Krenz, sekretarz generalny Socjalistycznej Partii Jedności Niemiec. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radiownet/message
Am 18. Oktober 1989 tritt DDR-Staatsratsvorsitzender und SED-Parteichef Erich Honecker zurück. Zu seinem Nachfolger wird Egon Krenz ernannt.
di Riccardo GazzanigaAlla fine dell'estate 1989, il vento del cambiamento inizia a investire anche il paese dell’Est Europa più ostile alle aperture della Perestrojka di Gorbaciov: la DDR, governata da un regime liberticida come quello di Eric Hoenecker e sottoposta al rigido controllo di una polizia segreta spietata come la Stasi. L’onda cresce a partire dagli unici luoghi dove le persone possono riunirsi liberamente: le Chiese. Per tracimare nelle strade. Ogni lunedì, dalle messe che si celebrano a Lipsia partono manifestazioni contro il regime sempre più coraggiose, mentre a Berlino i ragazzi sfruttano la visita di Gorbaciov per contestare il Governo. Ma il paese, e l’Europa tutta, corrono un grande pericolo, quando Hoenecker ordina di usare qualsiasi mezzo necessario per fermare le proteste. E il capo della Stasi Erich Milke fa aprire le buste che da tempo aveva spedito ai suoi ufficiali e agenti per dare ordini circa il giorno in cui il regime dovrà schiacciare l’opposizione. Il giorno X. Di fronte al montare delle proteste pacifiche, Hoenecker perde però l’appoggio del partito e dell’apparato, che con un clamoroso colpo di scena sconfessano la sua linea e lo costringono alle dimissioni, sostituendolo col suo delfino, Egon Krenz. E mentre centinaia di migliaia di tedeschi dell’est continuano a fuggire nei paesi confinanti, con l’obiettivo di arrivare oltre cortina, per chi resta si apre la strada di un obiettivo che fino a pochi mesi prima sembrava irraggiungibile: abbattere, senza spargimenti di sangue, il muro che da decenni divide la Germania in due nazioni.
Letzte Folge der Miniserie zum Mauerfall. In der letzten Episode der Miniserie “Was wäre Wende!? - Menschen im Osten” im Sachsen-Anhalt Podcast erzählt Dipl. med. Andreas Petri seine Geschichte. Der Facharzt für Allgemeinmedizin studierte von 1976 bis 1981 a der Martin-Luther-Universität (MLU) in Halle Humanmedizin. Seine Facharztweiterbildung absolvierte er von 1982 bis 1987 am Krankenhaus Köthen. Die Prüfung folgte 1987. Bis 1991 praktizierte Petri im Ambulatorium in Gröbzig. Am 1. April 1991 hat er sich mit seiner eigenen Praxis in der Stadt niedergelassen. Andreas Petri ist im weitesten Sinne das, was allgemein als Landarzt bezeichnet werden könnte. Die Romantik, die gleichnamige Fernsehserien vermitteln, kennt er deshalb nicht, weil er diese Sendungen nicht schaut. Dennoch dürfte das Klischee vom freundlichen Doktor, der sich durchaus auch der Probleme der Landbevölkerung annimmt, zutreffen. Trotz Praxis in Gröbzig ist Petri viel auf dem Land unterwegs, macht Hausbesuche, kommt dabei auch mit seinen Patienten über deren Leben ins Gespräch und bekommt kleine Geschenke zugesteckt. Als Arzt im DDR-Ambulatorium hatte er nicht das wirtschaftliche Risiko, wie es heute an der Tagesordnung ist. Für die zeitgemäße Ausstattung und das Personal seiner Praxis muss er jetzt selber sorgen und auch die Mittel dafür bereitstellen. Im staatlichen Angestelltenverhältnis war das anders. “Man ist jetzt mehr dazu bereit, sich selber auszubeuten”, sagt Petri. Zudem stehen fast alle technischen und pharmazeutischen Möglichkeiten zur Verfügung, deren Einsatz vernünftig erfolgen muss. Geld könne er nur einmal ausgeben und darüber hinaus haftet er jetzt auch mit seinem persönlichen Vermögen. An die Wende vor 30 Jahren kann er sich nur in Fragmenten erinnern. “Das waren ja so viele Sachen auf einmal.” Allabendlich schaute er zu jener Zeit zuerst die heute-Nachrichten i ZDF, dann die Aktuelle Kamera im DDR-Fernsehen und zu guter Letzt noch die Tagesschau. Am 18. Oktober befand sich Andreas Petri in den heißen Tagen auf einer Ärzteschulung in Eisenhammer, wo Egon Krenz gerade Erich Honecker als SED-Generalsekretär ablöste. Als auf die Frage eines Kollegen, wer denn Staatsratsvorsitzender sei, die Antwort Krenz kam, wurde gekontert: ach, immer noch? So schnell überschlugen sich die Neuigkeiten! Viele Patienten haben ihm einst in persönlichen Gesprächen Informationen aus dem “sozialistischen Produktionsprozess” verraten. “Arbeit und Material bis um neun, dann die Halle gekehrt bis halb elf, in einer Ecke Skat gespielt …” Petri war klar, dass das nicht gut gehen kann. Wie die Geschichte ausging, weiß jeder. Was sich der Hausarzt von seinem Begrüßungsgeld kaufte, was er im Urlaub macht und vieles weitere mehr verrät Andreas Petri in der letzten Folge der Miniserie “Was wäre Wende!? - Menschen im Osten” mit Reporter Volker Schwenke im Sachsen-Anhalt Podcast. Gute Unterhaltung bei “Was wäre Wende!? - Menschen im Osten“. Wer Meinungen zum aktuellen Thema oder auch Vorschläge für zukünftige Podcast-Inhalte hat, der kann diese gern (auch per Sprachnachricht) senden per E-Mail an redaktion@wochenspiegel-dessau.de, Kennwort Wende. Anfragen, Anregungen und Hinweise zum Podcast gern per E-Mail an: sachsen-anhalt-podcast@outlook.de. Produktion, Redaktion: Stefan B. Westphal, Volker Schwenke, Torsten Waschinski Bearbeitung: Torsten Waschinski Musik: Christian Hoffmann Sprecher: Hans-Jürgen Müller-Hohensee Ein Podcast der Wochenspiegel-Verlags-Gesellschaft mbH & Co. KG Delitzscher Straße 65 in 06112 Halle (Saale) Ein Unternehmen der Mediengruppe Mitteldeutsche Zeitung Sachsen-Anhalt --- Send in a voice message: https://anchor.fm/sachsen-anhalt-podcast/message
18.10.1989 | 18 Jahre lang war Erich Honecker SED-Chef, 14 Jahre lang auch Vorsitzender des Staatsrats der DDR. Am 18. Oktober 1989 endet diese lange Ära. Honecker wird zum Rücktritt gezwungen, nachdem er auf die dramatischen Veränderungen in der DDR keine Antwort hatte. Michail Gorbatschow hatte ihn noch gewarnt mit seinem berühmten Satz: Wer zu spät kommt, den bestraft das Leben. Honecker wird abgelöst von seinem Stellvertreter Egon Krenz – der auch nicht für Reformen und Aufbruch steht.
6.12.1989 | Die Ära von Egon Krenz als Nachfolger von Erich Honecker währt nur 44 Tage. Am 3. Dezember tritt das Zentralkomitee der SED und das Politbüro mit Krenz an der Spitze zurück. Drei Tage später erklärt Krenz auch seinen Rücktritt als Vorsitzender des Staatsrats und des Nationalen Verteidigungsrates. Neues Staatsoberhaupt wird der Liberaldemokrat Manfred Gerlach (LDPD).
Radio 1 Moderationsleiter Marc Jäggi und „persönlich" Verleger Matthias Ackeret besprechen kontrovers Namen aus Politik, Wirtschaft, Gesellschaft, Sport und Kultur, welche für Gesprächsstoff und Schlagzeilen sorgen. Heute mit: Egon Krenz, Erich Vock, Niko Kovac
Für Egon Krenz war der 9. November nicht der Tag der Wende. "Es ging damals noch um eine veränderte DDR." Er selbst habe als neu ins Amt berufener Staatsratsvorsitzender geglaubt, die DDR müsse sich als eigenständiger und nicht als wiedervereinigter Staat reformieren. "Ich war nicht für eine Abschaffung der DDR, sondern für eine Reformierung."
Die Beziehungen zwischen Berlin und Moskau im Herbst 89 Mitschnitt einer Veranstaltung des "Seniorenclub im Karl-Liebknecht-Haus" im Oktober 2019 Referent: Egon Krenz Moderation: Helga Labs Lange bevor Gorbatschow von den Zuspätkommenden sprach, die das Leben strafen würde, zeigten sich Risse zwischen sowjetischer und DDR-Führung. Was lief angesichts der 89er Ereignisse hinter den Kulissen zwischen Berlin, Bonn und Moskau? Die DDR war zwar ein souveräner Staat, hier standen aber eine halbe Million Sowjetsoldaten. Sie griffen nicht ein. Warum? Die DDR-Führung hatte sie gebeten: Bleibt in den Kasernen! Erstmals berichtet das damalige DDR-Staatsoberhaupt, Egon Krenz, über die Absprachen mit Moskau. Zum 30. Jahrestag des Ereignisses rekonstruiert Egon Krenz in dem Sachbuch "Wir und die Russen" die vielfältigen Vorgänge, die damals zwischen den politischen Akteuren abliefen, korrigiert Legenden und belegt mit Fakten, wie es dazu kam, dass aus dem Kalten Krieg am Ende nicht noch ein heißer Krieg wurde. Der Mauerfall, der nunmehr 30 Jahre zurückliegt, leitete das Ende des Ostblocks ein. Aber die Grenzöffnung, die Egon Krenz mit verantwortete, hatte eine lange Vorgeschichte. Zu der gehört das spannungsreiche Verhältnis zwischen Erich Honecker und Michail Gorbatschow. Krenz, Zeuge von Begegnungen und Gesprächen dieser beiden Politiker, des Deutschen und des Russen, berichtet exklusiv von Vorgängen und Ereignissen, die noch nie publiziert wurden und von denen es nur seine persönlichen Aufzeichnungen gibt.
Die Beziehungen zwischen Berlin und Moskau im Herbst 89 Mitschnitt einer Veranstaltung des "Seniorenclub im Karl-Liebknecht-Haus" im Oktober 2019 Referent: Egon Krenz Moderation: Helga Labs Lange bevor Gorbatschow von den Zuspätkommenden sprach, die das Leben strafen würde, zeigten sich Risse zwischen sowjetischer und DDR-Führung. Was lief angesichts der 89er Ereignisse hinter den Kulissen zwischen Berlin, Bonn und Moskau? Die DDR war zwar ein souveräner Staat, hier standen aber eine halbe Million Sowjetsoldaten. Sie griffen nicht ein. Warum? Die DDR-Führung hatte sie gebeten: Bleibt in den Kasernen! Erstmals berichtet das damalige DDR-Staatsoberhaupt, Egon Krenz, über die Absprachen mit Moskau. Zum 30. Jahrestag des Ereignisses rekonstruiert Egon Krenz in dem Sachbuch "Wir und die Russen" die vielfältigen Vorgänge, die damals zwischen den politischen Akteuren abliefen, korrigiert Legenden und belegt mit Fakten, wie es dazu kam, dass aus dem Kalten Krieg am Ende nicht noch ein heißer Krieg wurde. Der Mauerfall, der nunmehr 30 Jahre zurückliegt, leitete das Ende des Ostblocks ein. Aber die Grenzöffnung, die Egon Krenz mit verantwortete, hatte eine lange Vorgeschichte. Zu der gehört das spannungsreiche Verhältnis zwischen Erich Honecker und Michail Gorbatschow. Krenz, Zeuge von Begegnungen und Gesprächen dieser beiden Politiker, des Deutschen und des Russen, berichtet exklusiv von Vorgängen und Ereignissen, die noch nie publiziert wurden und von denen es nur seine persönlichen Aufzeichnungen gibt.
Wann war sie wirklich: die Wende und was wäre, wenn es bei der Wende alles ganz anders gekommen wäre? Frühstückspausen-Gedanken von Jürgen Becker und Didi Jünemann. Autor/-en: Becker/Jünemann.
FAZ Essay – der Podcast für die Geschichte hinter den Nachrichten
Die Frankfurter Allgemeine trat stets für die Wiedervereinigung ein – während andere von einer "Lebenslüge" der Bonner Republik sprachen und das Provisorium für einen Dauerzustand hielten. Ein Essay von Professor Dr. Peter Hoeres.
Talið er að hér á landi séu um hálf milljón örnefna. Það er ótrúlegur fjöldi í landi sem er rétt rúmlega 100 þúsund ferkílómetrar. Það sem meira er, einungis 120 þúsund af þessum örnefnum hbafa verið skráð, og því eru um 380 þúsund örnefni enn óskrár. Landmælingar Íslands eru í kappi við tímann að skrá niður og staðsetja þau áður en vitneskjan um þau glatast. Eydís Líndal Finnbogadóttir, nýr forstjóri Landmælinga Íslands kom á Morgunvaktina og sagði hlustendum frá örnefnum og öðrum verkefnum Landmælinga Íslands. Það vakti athygli þegar þjóðarleiðtogar Evrópusambandsríkjanna lögðu til að Ursula von der Leyen, varnarmálaráðherra Þýskalands, yrði nýr oddviti Evrópusambandsins. Tilnefning þessarar flokkssystur Angelu Merkel féll þó í grýtta jörð hjá forystumönnum þýska jafnaðarmannaflokksins, samstarfsflokki Kristilegra demókrata í ríkisstjórn Þýskalands. Arthur Björgvin Bollason fór yfir þessa misklíð í Berlínarspjalli sínu og hann fjallaði einnig um þýska þjóðhetju, Carolu Rackete, skipsstjóra björgunarskips á Miðjarðarhafi sem bauð ítölskum stjórnvöldum birginn sem og nýja bók eftir síðasta leiðtoga Austur-Þýskalands, Egon Krenz, þar sem ýmislegt forvitnilegt ku koma fram. Yngsta land heims fagnar þjóðhátíðardegi sínum í dag. Það eru átta ár síðan Suður-Súdan lýsti yfir sjálfstæði frá Súdan, 9. júlí 2011. En þar hefur verið nær stöðug styrjöld síðan og margir landsmenn eiga um sárt að binda. Ragnheiður Kolsöe hefur dvalið langdvölum í Suður-Súdan og sagði hlustendum af landi og þjóð. Tónlist: Summer Wine - Lee Hazlewood & Nancy Sinatra Vor í Vaglaskógi - Hljómsveit Ingimars Eydals Don´t You Forget About Me - Simple Minds Nyaruach - Chaap
Egon Krenz weilte auf Einladung der Kommunistischen Partei der Russischen Föderation als Gast beim "Forum linker Parteien" anläßlich des 100. Jahrestages der Oktoberrevolution in St. Petersburg und Moskau. Außerdem war er Teilnehmer einer internationalen Konferenz zum Oktoberjubiläum in China und hatte die Möglichkeit, die Entwicklung des Landes auf einer dreiwöchigen Reise näher kennenzulernen. Im Vortrag schildert er seine persönlichen Eindrücke zur Entwicklung in Russland und China. Referent: Egon Krenz Mitschnitt einer Veranstaltung des „Seniorenklub im Karl-Liebknecht-Haus“ im Februar 2018
We continue the story of Victor Grossman the US Army soldier who defected to East Germany. He tells us of his life in the GDR, his close friendship with Dean Reed “The Red Elvis”, of shortages, his views on Egon Krenz and his first trip back to the US in the 1990s.Thanks to our select band of supporters who are helping us financially for the price of a cup of coffee a month to cover our increasing costs and keep us on the air. They are the proud owners of a CWC coaster- don’t you want one too? Click here. Visit the show notes here. We welcome Victor Grossman back to Cold War ConversationsSupport the show (https://www.patreon.com/coldwarpod)
"Der Sozialismus auf deutschem Boden, er steht nicht zur Disposition"- so Egon Krenz in einer Rede nach seiner Wahl zum Nachfolger von Erich Honecker. Ein Kurzportrait des neuen Generalsekretärs des Zentralkomitees der SED, gezeichnet von DW-Redakteur Hans-Jürgen Pickert (Aufnahmedatum: 19.10.1989)
Am 17. Oktober 1989 wollte Erich Honecker mit der Einleitung zur Tagesordnung der Sitzung des Politbüros beginnen,als ihn Ministerpräsident Willi Stoph unterbrach und eine Änderung der Tagesordnung vorschlug. Der erste Punkt: die Absetzung des Generalsekretärs Erich Honecker. Dieser tat so, als wäre nichts geschehen, doch der Verlauf ließ sich nicht mehr aufhalten. Einstimmig wurde seine Absetzung entschieden. Einen Tag später (am 18. Oktober 1989) bat Erich Honecker das Zentralkomitee der SED, ihn "aus gesundheitlichen Gründen" von den Ämtern des Generalsekretärs und des Staatsratsvorsitzenden zu entbinden (Aufnahmedatum: 2000)
This episode is the first episode of the *Borders Series.* This weeks guest is Loren Balhorn, a contributing editor for Jacobin Magazine & notable German history buff. We talk to him about his experience interviewing Egon Krenz, the last dictator of East Germany & to clarify the story of Germany for all of history. Jacobin Article: https://www.jacobinmag.com/2019/11/east-germany-egon-krenz-berlin-wall Music by Prezz Carter: https://www.youtube.com/watch?v=9dP36GuRXHI
This episode is the first episode of the Borders Series. This weeks guest is Loren Balhorn, a contributing editor for Jacobin Magazine & notable German history buff. We talk to him about his experience interviewing Egon Krenz, the last dictator of East Germany & to clarify the story of Germany for all of history. Jacobin Article: https://www.jacobinmag.com/2019/11/east-germany-egon-krenz-berlin-wallMusic by Prezz Carter: https://www.youtube.com/watch?v=9dP36GuRXHI