Provincial capital and city in Maniema, DR Congo
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Quelle est la vraie cause du retard économique de la République démocratique du Congo ? Ce n'est ni le climat tropical, ni le poids des traditions, ni ce qu'on appelle la « malédiction des ressources naturelles », affirme l'ancien Premier ministre Matata Ponyo Mapon, qui publie Économie politique des malédictions du développement aux éditions Bruylant. Les vraies causes, dit-il, tiennent à des institutions fragiles et à un leadership défaillant. De passage à Paris, l'opposant congolais, qui a dirigé le gouvernement de 2012 à 2016 et qui vient d'être élu député national aux législatives du 20 décembre, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Les évènements meurtriers du 19 mai, à Kinshasa, est-ce qui s'agit, selon vous, d'une tentative de coup d'État ou d'une tentative d'assassinat ?Matata Ponyo Mapon : Il est, pour moi, difficile d'affirmer qu'il s'agit d'une tentative de coup d'État. Une tentative de coup d'État vise à mettre fin au pouvoir d'un chef d'État. Alors que, dans le cas d'espèce, on a vu que cette tentative a visé plutôt la résidence d'un ex-ministre de l'Économie, d'un député devenu président de l'Assemblée nationale depuis la semaine dernière. Je crois que ce n'est pas, au sens propre, un coup d'État.Quand son domicile a été attaqué, Vital Kamérhé n'avait pas encore été élu président de l'Assemblée nationale. Plusieurs partis de la coalition présidentielle de l'Union sacrée espéraient encore pouvoir l'empêcher de prendre le perchoir. Peut-il y avoir un lien entre l'attaque de son domicile et cette compétition pour le perchoir ?Beaucoup de gens spéculent sur cette relation. Mais, moi, en tant que professionnel de la politique, je crois qu'il faut laisser les conclusions de l'enquête pouvoir déterminer quels types de relations existent entre cette tentative d'élimination physique et son élection au perchoir de l'Assemblée nationale.Mais cela ne va pas créer un climat de méfiance au sein de la coalition présidentielle ?Il va sans dire que cela va, effectivement, affecter le climat de confiance. Ce type de situation est de nature à créer des tensions entre les opérateurs politiques, parce que la méfiance va pouvoir s'installer et les gens seront appelés à devenir beaucoup plus prudents. Je pense qu'il y a moyen de pouvoir plaider pour une certaine détente politique.Vous venez de publier, avec Jean-Paul K. Tsasa, Économie politique des malédictions du Développement aux éditions Bruylant. Un livre dans lequel vous partez en guerre contre les idées reçues sur le sous-développement. Quelles sont ces idées reçues ?La première théorie essaye d'expliquer la relation qui existe entre la localisation géographique, ou le climat, et le développement. C'est ce que nous avons qualifié de la malédiction « climat », ou l'explication du sous-développement par la localisation géographique.Et par le climat tropical.Et par le climat tropical.Mais c'est une fausse explication ?Cette thèse, pour nous, n'est pas suffisante. Elle paraît cohérente, mais nous la classons comme étant une analyse qui n'est pas très approfondie. Pourquoi ? Parce que nous voyons, en ce qui concerne le pays à climat tropical, qu'il y en a qui sont avancés : le Brésil, par exemple.Deuxième explication possible du sous-développement, dites-vous, celle que vous appelez le « binôme culture-race ».Là aussi, nous avons essayé d'examiner. Parce qu'il y a des études théoriques et empiriques qui affirment que la culture et la race peuvent expliquer le sous-développement ! Nous prenons le cas des deux Corées, la Corée du Nord et la Corée du Sud. Deux pays qui ont la même culture, qui ont la même race, mais la Corée du Sud est, de loin, plus avancée que la Corée du Nord. Là aussi, la race et la culture ne sont pas en mesure d'expliquer de manière tout à fait fondamentale les différentiels de développement.Troisième explication possible du sous-développement, dites-vous, la malédiction des ressources naturelles, mais, là aussi, vous n'y croyez pas ?Non, c'est ce que l'on appelle le « paradoxe de l'abondance », c'est-à-dire que les ressources naturelles pourraient expliquer un certain sous-développement, comme la République démocratique du Congo qui est un exemple typique. Mais, laissez-moi vous dire qu'il y a beaucoup de pays qui ont des ressources naturelles, comme le Botswana, qui sont avancés. Si nous montons au nord, vous avez la Norvège, qui est un pays qui a beaucoup de ressources. Les États-Unis aussi ont des ressources, le Canada… Mais ces pays ne sont pas pour autant sous-développés.Alors, quelle est, d'après-vous, la vraie cause du sous-développement d'un pays comme le vôtre ?Peut-être, avant d'arriver à la vraie cause, peut-être que je pourrais évoquer cette malédiction du Fonds monétaire international (FMI). Parce que certaines études théoriques et empiriques essayent de dire que tous les pays qui ont été en programme avec le FMI affichent des croissances très faibles. Mais là aussi, l'étude que nous avons développée démontre cette insuffisance, ce n'est pas une cause suffisante !Alors, quelle est la vraie cause ?Les vraies causes, ce sont ce que nous avons appelé les malédictions des institutions et les malédictions de leadership. Ce que nous pouvons considérer comme les vraies causes du sous-développement parce que l'étude, qui a été menée notamment par Douglass North, Daron Acemoglu et James Robinson, montre que les institutions de qualité expliquent le progrès et le développement.C'est ce que disait Barack Obama dans un célèbre discours au Ghana en juillet 2009, « l'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais d'institutions fortes ».Oui, d'institutions fortes ! Les institutions de faible qualité entrainent le sous-développement. Les institutions de qualité, celles dont a parlé Obama, favorisent la bonne gouvernance, l'État de droit, la promotion du secteur privé. Mais, cette malédiction des institutions, elle ne nous paraît aussi pas très fondamentale. La malédiction de leadership, c'est celle qui explique la malédiction des institutions. Pourquoi ? Parce que les institutions sont créées par les hommes. Ce sont les hommes qui produisent les institutions de qualité ou les institutions de faible qualité.Donc, vous allez plus loin qu'Obama, vous dites qu'il ne peut pas y avoir de bonnes institutions sans de bons leaders ?Effectivement. Parce que, avec le temps, le leadership n'a plus la même vigueur. Ce sont les hommes qui produisent les bonnes institutions, qui les consolident et qui les solidifient.Y a-t-il eu, dans l'histoire de votre pays, la République démocratique du Congo, des leaders compétents ?Dans ce livre, nous essayons de démontrer, par rapport à la malédiction du Fonds monétaire international, que, entre 2012 et 2016 – j'étais Premier ministre – un leadership de qualité a permis de produire des institutions de qualité, qui ont permis d'avoir un taux de croissance moyen sur cinq ans de 7,7% contre une moyenne de 3,5% pour l'ensemble du continent africain !Et, en dehors de vous-même, Matata Ponyo Mapon, y a-t-il eu dans l'histoire du Congo un Premier ministre, voire un président compétent ?Bien sûr, le Premier ministre Patrice Lumumba, je crois que c'est un homme de valeur, malheureusement le Premier ministre Lumumba n'a pas eu le temps de travailler longtemps, il est mort, comme vous le savez, lors de l'accès de notre pays à l'indépendance.Y a-t-il, dans l'histoire de l'Afrique, un président ou un Premier ministre qui a montré ses compétences de leader ces dernières années ?Je crois que nous avons plusieurs pays… L'Éthiopie, dont le Premier ministre a reçu le prix Nobel en 2019. Vous avez une entreprise publique de transport aérien comme Ethiopian Airlines qui fait la fierté du continent africain. Cela, c'est le produit d'un leadership de qualité.C'est le seul pays que vous donneriez en exemple sur le Continent ? Parce qu'il est très contesté, vous le savez, sur le plan des Droits de l'homme, notamment depuis la guerre civile avec le Tigré.Vous savez, sur cette question-là, il faut plutôt analyser les choses globalement. Même le meilleur leadership ne manque pas de faiblesses…L'une des conditions d'un bon leadership, c'est, dites-vous, l'intégrité, le refus de toute corruption. Or, vous-même, vous êtes accusé, en ce moment, par la justice congolaise, d'être impliqué dans le détournement de quelque 115 millions d'euros d'argent public, c'était lors du lancement du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. À l'époque, vous étiez le Premier ministre du président Joseph Kabila. Le procès doit s'ouvrir à Kinshasa le 22 juillet. Qu'est-ce que vous répondez à vos accusateurs ?Écoutez, un leader se crée des ennemis et des adversaires farouches. Tout le monde le sait, que ce projet était porteur d'espoir pour le peuple congolais. C'est un projet qui avait l'ambition de révolutionner le secteur agricole, de garantir, pendant dix ans, une certaine autosuffisance alimentaire. Nous avons lancé ce projet de parc agro-industriel dont le point d'inflexion, c'est-à-dire le point où le coût de production devait être égal aux ventes, c'est-à-dire que les recettes devaient équivaloir aux coûts de production, c'était dans les cinq ans. Avant ces cinq ans, ce projet devait être financé par le gouvernement. Et c'est ce que nous avons essayé de faire. Par souci de gouvernance, nous avons confié ce projet, dans un partenariat public-privé, à une entreprise professionnelle sud-africaine, qui a reconnu avoir reçu tous les fonds et qui a témoigné par écrit n'avoir remis aucun dollar à quelqu'un du gouvernement congolais et encore moins au Premier ministre. Ces écrits ont été certifiés par des autorités compétentes sud-africaines. Mais comment pouvez-vous poursuivre un Premier ministre qui n'a jamais été impliqué, ni de loin, ni de près, à la gestion de ce projet ? Pour votre information, ce procès est plutôt politique. Pour avoir refusé d'intégrer l'Union sacrée, c'est-à-dire d'approcher la famille présidentielle, on m'a promis ce procès ! Mais ce procès, c'est quand même un déni de la démocratie dans notre pays, un déni de la justice ! Parce que la Constitution congolaise ne permet pas de poursuivre un ancien Premier ministre ! Mais, malheureusement, la Constitution, qui est au-dessus de tout le monde, est violée systématiquement.Et si ce procès s'ouvre, comme prévu, le 22 juillet, vous serez présent au tribunal ?Je n'ai jamais fui ! Cela fait trois ans que ce procès m'a été intenté pour avoir refusé d'intégrer l'Union sacrée. L'exil m'a été offert, j'ai refusé de m'exiler. Je serai dans mon pays et je demanderai que la Constitution soit respectée. J'espère que ces poursuites vont pouvoir s'arrêter parce que la raison principale, c'est que j'ai refusé d'intégrer l'Union sacrée. Le président a été élu, je crois que ce feuilleton de mauvais augure va pouvoir s'arrêter.À la présidentielle de décembre dernier, vous avez d'abord été candidat. Puis, vous vous êtes ralliés à la candidature de Moïse Katumbi. Aujourd'hui, vous êtes député national, vous avez été élu à Kindu dans le Maniema avec l'un des meilleurs scores enregistrés aux législatives du 20 décembre dernier. Vous allez vous situer où, du côté de l'opposition ou du côté de la majorité ?C'est très bien de le rappeler, je suis l'un des meilleurs élus de la République démocratique du Congo, compte tenu de mon attachement à cette ville natale de Kindu. Je dois vous dire, en toute sincérité, la volonté de ceux qui m'ont élu de rester dans l'opposition. Donc, je vais demeurer dans l'opposition.
Arrivé à Kindu, dans l'est, pour promouvoir son programme, l'opposant Moïse Katumbi a été accueilli par des jets de pierre – une personne est morte, une autre a été blessée dans ces échauffourées qui constituent, note Radio Okapi, « le premier incident grave rapporté depuis le début (…) de la campagne pour les élections générales » prévues dans un peu moins d'un mois.Malgré tout, le site note que le candidat s'est rendu au lieu de son meeting, où il a pu s'exprimer devant « une foule immense » venue pour l'occasion. Un signal de plus, selon Le Congo Libéré, du « démarrage en trombe » de Moïse Katumbi, qui s'est imposé, « au terme de cette première semaine de campagne, comme le principal candidat de l'opposition » et peut-être même, veut croire le journal, « comme le favori de cette élection présidentielle ».Félix Tshisekedi peine à décollerC'est l'analyse qu'en fait Le Congo Libéré, qui qualifie même la campagne de « cauchemar » pour le sortant, malgré, égrène le journal, « les moyens de l'État mobilisés, l'argent public déversé, les fonctionnaires réquisitionnés » et « les violences à l'encontre de ses opposants », référence aux événements hier de Kindu qui auraient, pour certains cadres du parti de Moïse Katumbi, été orchestrés.Malgré les moyens qu'il s'est donnés donc, cette première semaine de campagne aurait, croit savoir Le Congo Libéré, « fait naître le doute dans le camp présidentiel » et « douché [l]es espoirs » d'accéder à un second mandat « en toute sérénité. » En cause, selon le titre : « Félix Tshisekedi n'a pas attiré les foules escomptées » lors de différents événements. Et le journal veut pour preuve de ce malaise le départ inopiné du président sortant pour la COP28 à Dubaï. Déplacement pointé du doigt, aussi, dans les colonnes d'Actualite.cd où une Kinoise, rencontrée par le journal, juge que « ces attitudes laissent à croire qu'il y a anguille sous roche ».Jeune Afrique prend plutôt le contrepied de ce positionnement et évoque au contraire, dans un long article revenant sur le mandat de Félix Tshisekedi, un sortant « convaincu de son avantage » malgré une campagne pouvant « donner l'impression d'être désordonnée » en raison de l'équipe nombreuse qui l'entoure. Qu'importe, le sortant a déjà les yeux sur l'après : « en cas de succès, [il] a déjà en tête d'entamer une réforme constitutionnelle ». Bref, les yeux rivés sur la route devant lui.La présidentielle malgache dans le rétroviseurLa Haute cour constitutionnelle devrait se prononcer d'ici quelques jours sur la victoire du sortant Andry Rajoelina à la récente élection : la date de vendredi a été annoncée, ce qui signifie, relève L'Express de Madagascar, que « la HCC prend de l'avance sur le délai de neuf jours que lui accordent les dispositions légales » et ce malgré les quinze recours déposés depuis la proclamation des résultats samedi.Mais le suspense reste léger : Midi Madagascar prévoit déjà que la cérémonie « qui aura lieu en fin de semaine devrait confirmer la victoire du candidat », puisqu'au cours de la campagne, « les interpellations » de l'opposition « n'ont eu aucun effet ».Et ce, en dépit des critiques sur l'organisation du scrutin. Scrutin vivement contesté par une partie des journaux de la Grande Île, dont Madagascar Tribune qui déplore le choix du « forcing d'une victoire électorale au premier tour, malgré le déficit flagrant de légitimité de la méthode, aggravé par un prévisible taux d'abstention record ».Parmi les griefs de certains membres de l'opposition, listés par L'Express de Madagascar : le « recensement pour la refonte de la liste électorale, en passant par la dénonciation de "faits illégaux" durant la campagne, jusqu'à la publication provisoire ». Une combativité de façade seulement, face à une opinion lassée, qui s'est peu déplacée le jour du scrutin. Et c'est, interprète le journal, exactement le déroulé des événements sur lequel comptait le camp Rajoelina. En somme, un scénario vu, revu, et prévu.
Arrivé à Kindu, dans l'est, pour promouvoir son programme, l'opposant Moïse Katumbi a été accueilli par des jets de pierre – une personne est morte, une autre a été blessée dans ces échauffourées qui constituent, note Radio Okapi, « le premier incident grave rapporté depuis le début (…) de la campagne pour les élections générales » prévues dans un peu moins d'un mois.Malgré tout, le site note que le candidat s'est rendu au lieu de son meeting, où il a pu s'exprimer devant « une foule immense » venue pour l'occasion. Un signal de plus, selon Le Congo Libéré, du « démarrage en trombe » de Moïse Katumbi, qui s'est imposé, « au terme de cette première semaine de campagne, comme le principal candidat de l'opposition » et peut-être même, veut croire le journal, « comme le favori de cette élection présidentielle ».Félix Tshisekedi peine à décollerC'est l'analyse qu'en fait Le Congo Libéré, qui qualifie même la campagne de « cauchemar » pour le sortant, malgré, égrène le journal, « les moyens de l'État mobilisés, l'argent public déversé, les fonctionnaires réquisitionnés » et « les violences à l'encontre de ses opposants », référence aux événements hier de Kindu qui auraient, pour certains cadres du parti de Moïse Katumbi, été orchestrés.Malgré les moyens qu'il s'est donnés donc, cette première semaine de campagne aurait, croit savoir Le Congo Libéré, « fait naître le doute dans le camp présidentiel » et « douché [l]es espoirs » d'accéder à un second mandat « en toute sérénité. » En cause, selon le titre : « Félix Tshisekedi n'a pas attiré les foules escomptées » lors de différents événements. Et le journal veut pour preuve de ce malaise le départ inopiné du président sortant pour la COP28 à Dubaï. Déplacement pointé du doigt, aussi, dans les colonnes d'Actualite.cd où une Kinoise, rencontrée par le journal, juge que « ces attitudes laissent à croire qu'il y a anguille sous roche ».Jeune Afrique prend plutôt le contrepied de ce positionnement et évoque au contraire, dans un long article revenant sur le mandat de Félix Tshisekedi, un sortant « convaincu de son avantage » malgré une campagne pouvant « donner l'impression d'être désordonnée » en raison de l'équipe nombreuse qui l'entoure. Qu'importe, le sortant a déjà les yeux sur l'après : « en cas de succès, [il] a déjà en tête d'entamer une réforme constitutionnelle ». Bref, les yeux rivés sur la route devant lui.La présidentielle malgache dans le rétroviseurLa Haute cour constitutionnelle devrait se prononcer d'ici quelques jours sur la victoire du sortant Andry Rajoelina à la récente élection : la date de vendredi a été annoncée, ce qui signifie, relève L'Express de Madagascar, que « la HCC prend de l'avance sur le délai de neuf jours que lui accordent les dispositions légales » et ce malgré les quinze recours déposés depuis la proclamation des résultats samedi.Mais le suspense reste léger : Midi Madagascar prévoit déjà que la cérémonie « qui aura lieu en fin de semaine devrait confirmer la victoire du candidat », puisqu'au cours de la campagne, « les interpellations » de l'opposition « n'ont eu aucun effet ».Et ce, en dépit des critiques sur l'organisation du scrutin. Scrutin vivement contesté par une partie des journaux de la Grande Île, dont Madagascar Tribune qui déplore le choix du « forcing d'une victoire électorale au premier tour, malgré le déficit flagrant de légitimité de la méthode, aggravé par un prévisible taux d'abstention record ».Parmi les griefs de certains membres de l'opposition, listés par L'Express de Madagascar : le « recensement pour la refonte de la liste électorale, en passant par la dénonciation de "faits illégaux" durant la campagne, jusqu'à la publication provisoire ». Une combativité de façade seulement, face à une opinion lassée, qui s'est peu déplacée le jour du scrutin. Et c'est, interprète le journal, exactement le déroulé des événements sur lequel comptait le camp Rajoelina. En somme, un scénario vu, revu, et prévu.
Hadja Lahbib, ministre fédérale belge des Affaires étrangères, des Affaires européennes et du Commerce extérieur, et des Institutions culturelles fédérales, a été reçue ce vendredi par Félix Tshisekedi. Au cours d'une réunion d'environ une heure, elle a réitéré le souhait de désescalade dans les rapports entre la RDC et le Rwanda. L'autre message porté par la Belgique est le respect de la souveraineté de la RDC. « Je crois que la réunion de demain visera à évaluer l'application du processus de Luanda. C'est aux parties autour de la table à décider de quelle évaluation il s'agit pour l'instant ». « Il y a aussi cette force régionale qui est déployée (…). J'entends de la part du président Tshisekedi qu'il y a une volonté pour que cette force ne soit pas que défensive mais offensive aussi. Je crois que c'est le discours qui va être porté demain ». « Quant à nous, de notre côté. Nous sommes impliqués dans la 31e brigade d'intervention rapide à Kindu. La demande que nous avons faite au niveau de l'UE, c'est de dégager un budget supplémentaire de 20 millions de facilité européenne de la paix pour renforcer la professionnalisation de cette brigade ». « La Belgique est à pied d'œuvre. Elle est aux côtés de la RDC. Elle vise aussi à stabiliser cette région ». Vous pouvez l'écouter ici.
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Au menu de l'actualité : •Mali : l'ONU mets des hélicoptères a disposition pour ravitailler un village assiégé •RDC : l'UNFPA distribue des kits de dignité à Kindu •Édition 2022 du FerMUN, une modélisation des Nations Unies du Lycée international de Ferney-Voltaire Présentation : Cristina Silveiro
La campagne des 16 jours d'activisme de lutte contre toutes les formes de violence à l'égard des femmes et filles, se deroule a travers le globe jusqu'au 10 décembre. Dans la province du Maniema, en République démocratique du Congo, l'ONG Soutien aux actions des femmes indulgentes « SAFI-Maniema », a organisé à Kindu une séance de mobilisation des leaders politiques et sociaux, avec l'appui financier d'ONU Femmes RDC. Lors de la séance Zahera Shami, la Coordinatrice de SAFI-Maniema, a notamment lancé la campagne de Masculinité positive. On l'écoute au micro de Florence Kiza Lunga. (Extrait sonore : Zahera Shami, Coordinatrice de SAFI-Maniema; porpos recueillis par Florence Kiza Lunga, Radio Okapi) Transcrit : « Nous les avons réunis pour une séance de mobilisation contre la lutte pour les violences sexuelles et celles basées sur le genre ainsi que pour lancer la campagne de la MASCULINITÉ POSITIVE, HE FOR SHE. La Masculinité positive c'est lutter contre les inégalités entre les sexes. Nous cherchons leurs implications totale pour lutter contre ces violences là afin que nous puissions éradiquer ce fléau. Effectivement avec les femmes leaders ainsi que les autorités politico- administratives nous sommes convecu que nous allons essayer d'éradiquer ce fléau. Nous comptons aussi continuer à faire la sensibilisation dans les quartier,dans les territoires là où notre projet est entrain d'être exécuter et nous allons aussi réunir les filles leaders d'ailleurs leur représentativité était dans la salle, on va essayer de sensibiliser partout là pour qu'on puisse à tous les niveaux essayer de faire comprendre ce genre là des violences ».
Pour la première fois depuis son entrée en fonction, Evariste Ndayishimiye accepte de donner une longue interview à des médias étrangers. Pour cela, il choisit RFI et France 24. Le président du Burundi est interrogé par l'envoyée spéciale de RFI à Kinshasa, Sonia Rolley, et par le correspondant de France 24 à Kinshasa, Clément Bonnerot. Il s'exprime notamment sur les droits de l'homme au Burundi, sur la reprise du dialogue avec l'UE et sur l'état des relations entre son pays et le Rwanda. RFI : Monsieur le président, vous venez de terminer une visite en République démocratique du Congo. Vous êtes beaucoup sorti de votre pays depuis un an, depuis le 18 juin 2020, une dizaine de fois. C'est une véritable rupture avec votre prédécesseur. En quoi est-ce important aujourd'hui pour le Burundi de s'ouvrir ? Évariste Ndayishimiye : D'abord chaque chose en son temps. Nous avons passé des moments très difficiles, des moments où le pays avait des difficultés parce qu'il lui a été imposé des sanctions injustement. Alors, à ce moment-là, quand le monde extérieur vous enferme, vous essayez de gérer la situation interne. Donc, depuis 2015, on essaie de tisser le tissu interne. Et après, quand nous avons vu la volonté d'ouverture, j'ai décidé d'organiser des dialogues avec nos partenaires extérieurs, mais aussi nous avons des amis que nous devrions visiter pour échanger pour nous harmoniser sur les points de vue de la situation politique de la région et au niveau international et aussi, nous avons des amis que nous devrions visiter pour échanger pour nous harmoniser sur les points de vue de situation politique de la région et au niveau international. Et aussi, s'inspirer de l'expérience des autres. Vous avez rencontré votre homologue Félix Tshisekedi. Vous avez notamment parlé des questions sécuritaires, il y a encore des groupes armés qui sont hostiles à votre régime, qui se trouvent dans l'est de la République démocratique du Congo. De quoi avez-vous parlé avec le président Félix Tshisekedi ? Qu'est-ce que vous avez décidé de faire ? D'abord, je me réjouis que les deux pays ne se reprochent rien. On n'a rien à reprocher au gouvernement congolais, le gouvernement congolais n'a rien à reprocher au gouvernement burundais. Ce sont des défis communs. Il est vrai qu'il y a des forces négatives qui sont même contraires au Burundi, mais nous savons les origines. Et ceux-là, comme je l'ai dit, ce ne sont pas des rejetés, ce ne sont pas des refoulés de la société burundaise, ce ne sont pas des rejetés de la société burundaise, ce sont des gens qui avaient peur d'abord en 2015, et qui ont fui vers le Rwanda, puis le Rwanda les a formés. Puis, comme ils ont échoué trois fois à attaquer le Burundi, ils ont préféré aller dans un endroit où ils sont libres, parce que, quand il y a l'instabilité à l'est du Congo, les forces négatives ont aussi l'opportunité de s'installer là. Parce que personne ne peut les attaquer. Et maintenant, avec la détermination du président congolais, qui est déterminé à ramener la paix à l'est du Congo, nous pensons que ces forces négatives pourront être anéanties et les membres pourront rejoindre leur pays, et se reformer dans leur esprit pour travailler ensemble avec les citoyens burundais. Nous avons espoir. Cela veut dire que vous envisagez une solution militaire, qu'un dialogue politique est possible avec ces groupes armés ? D'abord, ce sont des enfants de la nation. Ils n'ont pas de raisons politiques. Le Burundi est prêt à les recevoir et à les reformer dans l'esprit parce qu'ils ont besoin aussi d'être rééduqués pour avoir le même esprit que les autres citoyens honnêtes du pays. Pour ce qui est d'une solution militaire, est-ce qu'il est envisagé que l'armée burundaise participe à ces opérations ? On sait que le groupe d'experts a pointé en janvier le fait que parfois votre armée faisait des incursions. Dans quel cadre se font ces opérations ? Est-ce qu'il y a un droit de poursuite qui a été négocié ? D'abord, c'est faux, l'armée burundaise n'a jamais fait d'incursions en RDC. Je crois que ce sont des gens qui veulent discréditer le pays, qui veulent s'intercaler dans les bonnes relations entre le Burundais et la RDC. Sinon, avec l'armée burundaise qui a une expérience dans la lutte contre le terrorisme international, nous sommes prêts à aider. Mais vous n'avez pas abordé cette question avec le président Félix Tshisekedi ? On a parlé de cette question de sécurité. Mais, au niveau technique, nous devons étudier ensemble que faire pour anéantir ces forces négatives qui sont là. Sinon, on s'est entendu que nos officiers doivent travailler ensemble pour pouvoir chercher des stratégies afin de stabiliser cette région. Parmi les questions-clé, il y a aussi la question des réfugiés. Vos compatriotes, notamment ceux qui sont au Congo, mais pas seulement, ne souhaitent pas rentrer malgré des conditions qui sont très difficiles dans les camps de réfugiés et malgré des opérations de rapatriement volontaire. Que pouvez-vous faire de plus comme gestes pour restaurer la confiance avec cette population réfugiée ? La question des réfugiés dans la région des Grands Lacs est une question très complexe. Imaginez-vous, des citoyens congolais qui sont des réfugiés au Burundi et des Burundais qui sont réfugiés à l'est du Congo. J'ai vu comment les Burundais fouillaient, ils cherchaient des laisser-passer, des passeports et puis ils allaient en bus. C'est-à-dire que la forme de la question des réfugiés au Burundi n'est pas la forme normale. Ils savent que quand ils veulent retourner, ils savent qu'il n'y a pas de problèmes, comme quand ils sont partis aisément. Quand ils veulent revenir, c'est la même chose. Ce que nous faisons, c'est toujours les appeler à rejoindre leur patrie afin de vivre normalement comme les autres dans le pays. Parmi les mémorandums que vous avez signés avec le président Félix Tshisekedi, il y a celui pour la construction d'un chemin de fer entre Gitega et Kindu, qui doit mener jusqu'à la Tanzanie. Où en est ce projet ? Quand peut-on espérer voir ces travaux débuter ? Combien est-ce que ça va coûter ? Ce chemin de fer est important du fait qu'il faut qu'on désenclave l'est du Congo. Si vous voyez l'instabilité qui s'y trouve, c'est parce qu'il n'y a pas de voies de communication, les forces négatives sont libres de tout faire. S'il y a le chemin de fer, il y a la stabilisation, il y a la facilitation des échanges commerciaux, parce qu'il y a une voie de communication. Comme vous le savez, l'est du Congo depuis l'histoire, Bujumbura c'est comme leur capitale, ils s'approvisionnent à Bujumbura. Donc, ce sera très facile de faciliter ces échanges. Il y aura désenclavement de l'est du Congo, mais aussi le Burundi en profite parce que, nous aussi nous voulons être désenclavés par rapport à Dar es Salam, c'est-à-dire le pays aussi va avoir des facilités de libertés de mouvements des personnes et des biens. Et cela peut commencer quand ces travaux ? Pour les études de Uvinza à Gitega, c'est déjà terminé. Maintenant, on va ensemble finaliser les études de Gitega-Bujumbura-Uvira-Kindu. Quand on va finaliser les études, c'est là où l'on saura alors le chronogramme de mise en œuvre. Alors vous avez visité presque tous vos voisins, sauf le Rwanda. Pourtant, il y a un processus de normalisation entre vos deux pays. Où en est ce processus et quand peut-on espérer avoir une de vos visites au Rwanda ou une visite de votre homologue Paul Kagame au Burundi ? Je crois que nous avançons très bien sur cette question. D'abord, vous le savez, le Rwanda et le Burundi, je le dis souvent, nous sommes des cousins. Dans notre culture, les cousins se dérangent souvent. Alors, j'ai vu qu'il y a une évolution positive, parce que d'abord, à la frontière commune, les officiers, les commandants des unités de défense se sont rencontrés plusieurs fois maintenant. Et sur la question de sécurité, je vois que ça évolue positivement. Le Premier ministre du Rwanda est venu célébrer avec nous la fête d'indépendance nationale. Et j'ai déjà envoyé le ministre des Affaires étrangères qui est allé au Rwanda. Je vois même que les messages sont positifs ; qu'il y a espoir que dans un proche avenir, il pourrait y avoir une solution finale. Il y a un autre partenaire avec lequel vous avez repris le dialogue après cinq années d'interruption, c'est l'Union européenne. Je rappelle que l'Union européenne, c'était le plus grand bailleur du Burundi. Où est-on de ce dialogue ? Nous avons déjà avancé le dialogue avec l'Union européenne. Au niveau des ambassades, de la représentation à Bujumbura, je vois que nous évoluons très bien maintenant. Nous attendons la réunion décisive qui va être organisée en Europe et nous espérons que cela va vite se terminer. Parmi les demandes de l'Union européenne, il y a le fait que la situation des droits de l'homme s'améliore et que la bonne gouvernance s'améliore également. Qu'est-ce que vous faites concrètement pour faire avancer ces deux dossiers ? Le gouvernement a la responsabilité de protéger les droits de l'homme et la bonne gouvernance, c'est notre cheval de bataille. Donc, s'ils disent nous voulons la protection des droits humains, ils vont nous dire où sont les défauts et comme ça, on va étudier ensemble pour voir ; sinon, la vision est commune. Nous voulons tous la protection des droits de l'homme, nous voulons tous la bonne gouvernance. Alors, je ne vois pas d'où peut venir la discordance et les divergences de vue. Je pense que l'Union européenne a pris cette décision unilatéralement et maintenant, il est temps de revoir cette décision sinon je ne vois pas les raisons de ces sanctions contre le Burundi. Il y a quand même des arrestations d'opposants, notamment ceux du parti d'Agathon Rwasa, leader du Congrès national pour la liberté (CNL). Cela inquiète encore beaucoup les organisations de défense des droits de l'homme ? C'est un problème historique. Des criminels veulent toujours se cacher dans des partis politiques. Quand on est criminel, on est criminel. Il n'y a pas de parti politique, il n'y pas quoi que ce soit. Plutôt, il faudrait dire : celui-là a été arrêté, est-ce que c'est politique, ou c'est criminel ? Donc ce que nous faisons, c'est rendre effectivement l'État de droit. Si vous êtes criminel, nous avons l'obligation de protéger les citoyens, de poursuivre et de juger les criminels. Mais parfois, ces opposants disparaissent, parfois pendant plusieurs jours, n'ont pas accès à un avocat pour les assister. C'est ça aussi l'État de droit, c'est de pouvoir être assisté d'un avocat, quand on est accusé de quelque chose. En tout cas, à ce que je sache, il n'y a pas de disparitions au Burundi. Sinon, vous me diriez : « Telle personne est disparue ». Ce que je sais aussi, c'est qu'il y a des criminels, qui, une fois commis leur crime, vont au Rwanda. Et nous n'avons pas le droit d'aller fouiller au Rwanda. Vous savez qu'il y a 19 criminels qui ont saccagé des familles et qui ont tué des personnes à Kayanza, et après, ils ont fui vers le Rwanda. Et jusqu'à présent, ils sont au Rwanda. Les gens disent qu'ils ont disparu, mais je sais qu'ils sont quelque part. D'après les derniers chiffres de la Banque mondiale de 2020, vous héritez d'un pays qui est l'un des plus pauvres. Il y a des pénuries de biens de première nécessité, des pénuries en devises. Que pouvez-vous faire pour lutter contre ces pénuries ? D'abord, je sais que c'est une chanson qui s'inscrit dans une rhétorique pour que les citoyens ne soient pas bien dans leurs esprits. Imaginez un pays qui n'importe jamais de denrées alimentaires. Est-ce un pays très pauvre ? Aujourd'hui, nous avons pu avoir la surproduction de maïs, demain nous aurons la surproduction de riz, etc. Si les gens mangent, si les gens sont soignés, si les enfants vont à l'école, si les gens sont logés, ont de l'eau potable, que nous manque-t-il ? En fait, la Banque mondiale et le FMI comptent l'argent, et nous, nous comptons les besoins. Les citoyens ont-ils des besoins élémentaires ? S'ils n'ont pas d'argent, pourvu qu'ils mangent. Vous avez vu qu'au niveau même de la maîtrise du coronavirus, le Burundi fait partie des meilleurs pays qui ont pu prévenir le Covid-19. Une des critiques des bailleurs, c'est le niveau élevé de corruption. Vous avez pris quelques sanctions, il y a eu des arrestations. Mais la société civile souligne que ces arrestations sont souvent suivies de libérations peu après. Peut-être, et sans doute avec un remboursement. C'est en tout cas ce qui est avancé. Pourquoi ne pas faire tout ça dans la transparence et faire ces procédures de manière publique pour que chacun sache ce qui est rendu ? Je crois qu'il y a des personnes qui se réjouissent quand il y a des tensions dans la société. Quand il y a beaucoup d'arrestations, ceux-là sont contents, quand ils voient que les prisons sont pleines, ceux-là sont contents. Souvenez-vous : la société civile burundaise, ce sont des gens qui ont échoué dans la politique. Qui s'enfuient pour se cacher derrière la société civile, mais ils continuent à faire de la politique, à montrer à la communauté internationale qu'ils sont des hommes honnêtes. Alors que ce sont eux même qui sont corrompus. Je connais des gens qui ont des associations de lutte contre la corruption, qui sont eux-mêmes des gens corrompus qui planifient comment voler, et, ensemble, avec certains cadres (de l'administration). Ce sont la société civile qui volent. Nous avons une histoire propre au Burundi. Nous sommes en train de rétablir la société burundaise, nous sommes en train de réconcilier. Alors dans tout cela, il y avait des mauvaises habitudes au départ. Aujourd'hui, nous sommes en train de mettre tout sur les rails, ce qui fait qu'il y a des gens qui ne sont pas contents, et d'autres qui le sont. Vous pensez vraiment qu'avec cette méthode, d'arrêter temporairement des gens responsables de détournements, et de les forcer à un remboursement, vous allez arriver à mettre fin à ces mauvaises habitudes ? C'est une stratégie qu'on a prise. Avant, les gens disaient : « Je vais détourner, si on me met en prison, à mon retour, je vais consommer ce que j'ai volé ». Mais maintenant, il est puni et il rembourse. Donc ça décourage, parce qu'il sait qu'il ne va rien gagner. Alors maintenant, vous avez vu que j'ai mis en place un système de communication, où les citoyens dénoncent. Et quand ils dénoncent, on doit savoir où ça s'est passé. Quand les gens savent qu'ils n'ont pas d'intérêt à détourner ou à être corrompus, ils vont être découragés, ils vont laisser.
Evariste Ndayishimiye a été reçu ce mardi par Félix Tshisekedi à la Cité de l'Union africaine. Le Chef de l'Etat burundais était arrivé la veille à Kinshasa. Les deux parties ont échangé sur des questions d'intérêt commun sur le plan bilatéral, sous-régional et continental. « C'était un riche entretien. Nos peuples sont liés par la géographie, la culture, la langue et une communauté de destin commun. Nous n'avons pas des reproches à se faire entre nous. J'en suis heureux. Nous avons des défis communs », a dit le président Burundais. L'une des questions fondamentales sur la table, c'est la sécurité. « Nous avons convenu de collaborer sur le plan sécuritaire surtout au niveau des frontières communes pour éradiquer les forces négatives qui endeuillent les pays et sabotent le développement ». Le Chef de l'Etat burundais était notamment accompagné de deux Ministres dont Albert Shingiro des affaires étrangères et de la coopération au développement et de Alain Tribert Mutabazi de la Défense Nationale et des anciens combattants. L'autre volet important concerne les infrastructures. « En construisant le chemin de fer qui reliera la capitale économique du Burundi à Kindu en passant Bujumbura, Uvira, Bukavu, Kamituga, les deux pays auront accompli un grand pas vers le rayonnement socioéconomique, en améliorant la libre circulation des biens et des personnes », a ajouté le président Burundais. Les deux pays ont décidé de relancer la grande commission mixte de coopération pour que les accords signés antérieurement et ceux signés aujourd'hui puissent être mis en application.
IN THIS EPISODE YOU'LL HEAR FROM OUR SPECIAL GUEST KINDU KINTE, WHERE WE TALK ABOUT GOSPEL RAP, AHMAUD ARBERY, HELPING THE COMMUNITY AND MORE! WATCH THE FULL INTERVIEW ON THE RAPPERS IN MY BACKYARD YOUTUBE CHANNEL! https://www.youtube.com/channel/UCgfG5qFhV7A344IyC_SC8IA/featured CHECK OUT OUR OFFICIAL WEBSITE AT www.rappersinmybackyard.com LIKE US ON FACEBOOK! https://www.facebook.com/rappersinmybackyard FOLLOW US INSTAGRAM! https://www.instagram.com/rappersinmybackyard FOLLOW US ON TWITTER https://twitter.com/rappersbackyard SUBSCRIBE. LIKE. COMMENT. SHARE... EVERY SUNDAY AT 2PM (PST) WE RAP ABOUT RELATIONSHIPS, ENTERTAINMENT & MUSIC! YA HEARD!!! #rappersinmybackyard #rimby #lisao #podcast #youtube #spotify #applepodcasts #iheartradio #relationships #entertainment #music --- Send in a voice message: https://anchor.fm/rappersinmybackyard/message
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First Time Doing an Interview Segment In a While. So During Our Live Broadcast, We Had The Honor Of Taking On Two Artist From Two Different Walks Of Life But With The Same Passion. Kindu Kinte Is A Up And Coming Gospel Underground Soul Hip-Hop Artist Outta of Cleveland Ohio And Same Ol G Is a Developed Artist Hailing From Quincy Fl. So Tune In And Enjoy The Show. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app --- Send in a voice message: https://anchor.fm/whodeywantpodcast/message Support this podcast: https://anchor.fm/whodeywantpodcast/support
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Born in Petersburg Va, Baba Kindu joined the US Army which enabled us to travel and live in Kentucky, Germany and before settling in Tacoma Washington. He attended and played football at Wenatchee Valley College in Central Washington state. He also served in the US Army and National Guard from 1990-96. Baba Kindu has been a community and grass-root organizer in the Seattle – Tacoma Washington area (founding the Black Family Foundation, an active participant in Seattle Kwanzaa Planning Committee, Kemet Temple, Nation of Islam 'Muhammad Study Group', Pan-African Youth Student Movement, Tacoma Local Organizing Committee, the Each 1 Teach 1 Study Group, The North West Chapter of the Associate Studies for Classical Afrikan Civilization, Kemetic Warrior Manhood development Training Rites of Passage Program). Baba Kindu currently resides in Gabriel Prosser City (aka Richmond, VA). He is the father to 6 children and married to Okomfo Afia Pomaa Adia Blackmon Shabazz. He is still dedicated to the proper education and liberation of Afrikan children. Since moving to Richmond he still remains active. In September '05 he established the Richmond Kwanzaa Kollective, organized a Black History Month Lecture Series, which involved such prominent Afrikan Centered scholars such as Runoko Rashidi, and Ashra and Merira Kwesi, and Senghor Baye El of U.N.IA., facilitated Hip Hop 101 Forums at Virginia State University, as well as working with For The People Alliance, a Grassroot coalition dedicated to Conscious development of Afrikan people. For 14 years Bro. Kindu and his wife, Adia have facilitated Black Marriage Day RVA an annual program dedicated to celebrating and supporting Black marriages through marriage educational workshops. Baba Kindu along with with his wife, Adia, have established Fahodi Shule Homeschool Cooperative who’s mission to properly educate their children as well as other children and families in the conscious community using an Afrikan Centered curriculum. In 2015 Kindu became a member of the Council of Independent Black Institutions and for the past two years has served as the co-facilitator of the renewed C.I.B.I. Science & Academic Expo. Kindu has also taught Hip Hop Social Studies and culture since 1996. Baba Kindu has co-facilitated Richmond’s first Maafa Kebuka Afrikan Spirituality Ritual and Convocation in 2014. He is also a a member of Ankobea Abusua Society, National Shrine of Afrikans in American (NSAA) and the Richmond Family Collective, Abusua Pa. In this episode Baba Kindu discusses: Growing up in Petersburg, VA Moving to Kentucky and then overseas to Germany The influence of Hip Hop culture Living in Washington state His first marriage and the birth of his son His cultural awakening and activism Returning to Virginia Meeting the woman who would become his wife And much, much more... Baba Kindu's Social media https://maafakebuka.wixsite.com/maafakebuka Support for Speak To After Please consider becoming a monthly supporter of Speak To After. https://anchor.fm/speaktoafter/support Follow Speak To After on social media: Facebook: Speak To After Twitter: @SpeakToAfter Instagram: Speak To After YouTube: Speak To After Podcast --- Support this podcast: https://anchor.fm/speaktoafter/support
Note circulaire N°01/827/CAB/GP-MMA/2019 du 16 Août 2019 Concerne Interdiction formelle de transfert des minerais extrait au Maniema et/ou de leur exportation vers ou à partir des autres provinces.- A l'attention des sociétés minières d'exploitation,- comptoirs agrées,- Entités de traitement,- Négociants,- Coopératives minières et regroupements des creseurs.
Arrêté n°19/082/CAP/GP-MMA/2019 du 10 août portant nomination des quelques membres du personnel d'appoint au cabinet du Gouverneur de la province du Maniema.
Audio : Arrêté n°19/081/CAB/GP-MMA/2019 du 10 août 2019 portant nomination des membres du personnel politique du cabinet du Gouverneur de la province du Maniema.
Kindu - Maniema | 08 Août 2019 - Le Vice-Gouverneur de la province du #Maniema, son Excellence #JeanPierreAmadi a lancé ce jeudi la campagne de sensibilisation contre la maladie à virus #Ebola et le projet hygiène et assainissement des toilettes des établissements scolaires.La cérémonie a eu lieu à l’Ecole Primaire Kindu-ville devant plus de 450 femmes et autres curieux .Ces activités sont menées par le Collectif des Femmes Secouristes Para-Ecclésiastique du Congo sous le haut patronage de Son Excellence #AuguyMusafiri. Pour le Vice-gouverneur, l’organisation de cette campagne de sensibilisation et du lancement de ce projet tombe à point nommé pendant que la province voisine du Nord-Kivu fait face à la maladie à virus Ebola.« Tous sous la houlette du Président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, devons prendre des mesures appropriées pour assainir notre environnement afin de nous prévenir des maladies dont l’insalubrité et les mauvaises conditions d’hygiène sont les principales causes » a dit #JeanPierreAmadi.Le Vice-gouverneur salue l’initiative prise par les 450 femmes secouristes pour assainir les sanitaires des établissements scolaires et leur engagement dans la grande armée de lutte contre la maladie à virus Ebola.« Cette fois-ci, parce que c’est la femme, la maman ou mieux la mère qui prend le devant de la scène, je suis plus que rassuré de remporter le pari de l’assainissement de notre environnement et d’anéantir toute velléité de propagation de la maladie très dangereuse [Ndlr : #Ebola] qui dévaste nos voisins. » s’est rassuré l’autorité provinciale adjointe.Il a à l’occasion annoncé que le Gouvernement provincial va continuer à appuyer et soutenir des telles initiatives. #JeanPierreAmadi a lancé l’appel à toute la population de profiter de cette initiative et travailler chacun en ce qui le concerne améliorer nos cadres de vie.Le Collectifs des Femmes Secouristes Para-Ecclésiastiques du Congo encadre plus de 450 femmes secouristes. Elles sont disponibles pour l’assainissement des toilettes de tous les établissements scolaire de la ville de Kindu.
Kindu - Maniema | 23 Juillet 2019 - Le Vice-gouverneur de la province du Maniema, Son Excellence #JeanPierreAmadi, a présidé ce mardi la cérémonie d’ouverture officielle de l’Assemblée Générale du cadre de concertation provincial de la société civile du Maniema. Ces assises vont se tenir jus qu’au 27 Juillet 2019 dans la salle de réunion du Crongd #Maniema.Au cours de ces travaux, les participants vont faire un état de lieu des cadres de concertation au niveau provincial, recueillir les avis et considérations amendements sur les outils de gouvernance institutionnelle de la Société Civile et du Cadre de Concertation Nationale de la Société Civile Mettre en place les nouvelles équipes des animateurs.Dans son mot, le Vice-gouverneur de la province du #Maniema a remercié l'ensemble des mouvements de la Société civile en RDC pour leur contribution dans l'amélioration des conditions de vie de la population dans la province du Maniema en particulier. Pour #JeanPierreAmadi "le cadre de concertation du mouvement de la société civile dont les travaux démarrent aujourd'hui, à Kindu, est une occasion idéale, j'ose espérer, pour la société civile du Maniema dans sa diversité de nous produire un travail de qualité en fonction des objectifs attendus"C'est ainsi que le Vice-gouverneur a invité tous les participants à ces travaux d'y attacher toute leur attention en transcendant les démons de la division "... étant donné que le Gouvernement provincial qui compte sur la société civile comme partenaire attend voir les résolutions qui seront prises ici contribuer d'avantage à l'amélioration des vécus quotidiens de nos populations." a dit #JeanPierreAmadi
Kindu - Maniema | 22 Juillet 2019 - Le Vice-gouverneur de la province, Son Excellence #JeanPierreAmadi a reçu ce lundi en audience une délégation de la Société Nationale d'électricité.La délégation était composée du Directeur Sud Kivu-Maniema et celui de Kinshasa. Ils sont venus à Kindu sur invitation du Gouvernement provincial pour réparer la panne technique survenue au niveau du grand transformateur qui alimente la ville de Kindu en électricité. Dans leurs échanges avec le Gouverneur, l'équipe de la Société Nationale d’électricité ont rassuré le Gouverneur de la province du Maniema qu'ils sont venus avec une solution palliative en attendant la réparation du Grand transformateur. Deux petits transformateurs de 250 kva chacun soit 500 kva vont être utilisés pour alimenter les points sensibles de la ville de Kindu tels que la Regideso.L'équipe de la Snel est déjà à pied d’œuvre pour remettre l'électricité dans la ville de Kindu.Vous pouvez écouter Monsieur Jolie Mulemangabo dans cet extrait audio :
Kindu - RDC | 18 Juillet 2019 - Le Gouverneur de la Province du Maniema, Son Excellence #AuguyMusafiri a présidé ce jeudi une réunion du Conseil des Ministres à l'Hôtel du Gouvernement Provincial à KinduEtait également présent à cette rencontre, le Vice-gouverneur de province, Son Excellence #JeanPierreAmadi , 10 Ministres Provinciaux, Madame la Commissaire Provinciale du Genre, le Secrétaire Général du Gouvernement provincial et son adjoint ainsi que le Directeur de Cabinet du Gouverneur de Province.Après l'adoption des points inscrits à l'ordre du jour ainsi que le procès verbal du conseil des Ministres du 17 Juin 2019 moyennant quelques amendements de fonds et de forme, cette réunion a traité des points suivants : • Communication de Son Excellence Monsieur le Gouverneur de la province du Maniema; • Etat de province • Dossier des MinistresDans sa communication, le Patron de la province du Maniema a annoncé la publication immnente des arrêtés et nominations des membres des cabinets tout en fustigeant le comportement de certains anciens membres de cabinet, DirCab et Conseillers, qui rendent la vie difficile aux nouveaux Ministres.L'autorité provinciale a également insisté sur le fait d'être attentif aux cris de la population avant de s'attarder sur quelques réalisations d'urgences notamment l'eau, l'électricité et les constructions des ponts.Au cours de cette réunion, le Gouverneur a informé le conseil que l'argent alloué aux indemnités de sorties des anciens députés provinciaux provinciaux sera versé dans le compte du Gouvernement provincial du #Maniema pour servir aux différents projets des territoires étant donné que ces indemnités étaient déjà payées à ces derniers.#AuguyMusafiri a informé les membres du conseil de projet d'effectuer deux missions officielles en dehors du pays, au Brésil et en Afrique du Sud.il sera tenu une réunion de plaidoyer avec les ONG internationale pour que les anciennes qui étaient en province puissent revenir en province.Par rapport à l'état de la province, le Ministre provincial de l'intérieur a fait rapport aux membres du conseil sur la situation politique, sécuritaire, administrative, socio-culturelle, de la justice et criminalité qui est relativement calme et apaisé sur toute l'étendue de la province.Par rapport au dossier des Ministres, quatre d'entre ces dossiers ont été traités. Il s'agit de celui du Ministre du Budget, des Finances et Mines. Faute de temps, le dossier du Ministre de l'agriculture a été renvoyé à une prochaine réunion.La réunion a été suspendu pour permettre au Gouverneur d'aller procéder à la pause de la première pierre pour la construction du marché Mikelenge dans la commune portant le même nom. Ce conseil de Ministre s'est tenu de 10h15' à 13h37'.
L’Honorable Thierry Badisungu optimiste dans le rétablissement de la paix à Salamabila« Nous sommes très satisfait de la manière dont nous venons d’aborder ces discutions ; il y a de quoi à espérer par rapport à la résolution de la situation d’insécurité qui se pose dans ma circonscription électorale » a introduit Thierry Badisungu, député provincial de la circonscription de Kabambare et rapporteur de l’organe délibérant de la province du Maniema. Kinduinfo.net lui a tendu son micro alors que ce dernier sortait de la salle de réunion Saint où s’est déroulé la rencontre de résolution de conflits dans le secteur minier organisé par le Gouvernement provincial du Maniema pendant deux jours.Badisungu très réservé autour de la question du compromis trouvé reste cependant général et optimiste dans la pacification de la zone Sud de la province du Maniema. L’élu de Kabambare pense que la résolution définitive de ce conflit dépendra de la manière dont les choses vont se dérouler sur terrain. « Nous sommes à Kindu et le problème réside à Salamabila. Aujourd’hui nous avons posé le jalon et nous espérons que sur place nous allons trouver définitivement solution à ce conflit » espère Thierry Badisungu.Il annonce qu’une grande rencontre réunion sera organisée à Salamabila pour que le hache de la guerre soit définitivement enterrée.Il se dit convaincu qu’au regard de l’initiative en cours, une solution durable va être trouvée dans le territoire de Kabambare. La société Namoya Mining SA va continuer à exploiter paisiblement et la communauté locale va aussi se retrouver. « Ce qui reste à faire c’est seulement l’atterrissage en douceur ; la paix reviendra dans le territoire de Kabambare. Nous sommes vraiment confiant que nous allons vraiment trouver une solution durable tant attendu par la communauté locale. »Depuis plus de trois ans, le Sud de la province du Maniema fait face à une insécurité causée par la milice locale, les maï-maï malaika, du Seigneur de guerre Cheik Assani Muzaifu. Fin Juin, la pression a beaucoup monté et la milice interdisait ouvertement aux travailleurs de la Société Namoya SA de se rendre à l’usine. Un communiqué était diffusé sur les ondes de la Maendeleo, une chaîne FM locale. La Société Namoya a alerté sur la situation sécuritaire et demander aux autorités provinciales d’intervenir.
Maniema : la Société Namoya SA aurait accepté de céder 20% de sa concession minière aux communautés locales de Kabambare ?Kindu – RDC | 17 Juillet 2019 - Au Maniema, les autorités politiques provinciales ont mis autour d’une table, pendant deux jours, la Société Namoya Mining SA et la communauté locale de Kabambare. Il ressort de ces assises que la société Namoya Mining SA aurait cédé 20 % de sa concession d’exploitation d’or au nom de la paix dans cette zone. Le Ministre ayant en charge les mines dans ses attributions qui l’annonce à la presse à l’issu de ces assises ce mercredi indique que ce compromis va être officialisé d’ici avant deux semaines. L’information n’a pas encore été confirmée par la Société Banro.Kabambare est un territoire du Sud de la province du Maniema qui connait depuis près de trois ans une insécurité provoquée par une milice locale. Elle proteste contre le non-respect du cahier de charge par la Société Namoya Mining qui dispose d’une usine d’exploitation de l’or dans cette zone. Elle exige également que cette société de droit canadien cède une portion des gisements d’or pour l’exploitation artisanale en faveur de la communauté locale.Dans un entretien avec la presse locale, Maître Aloïs Kitinga, le Ministre provincial ayant dans ses attributions les mines indique qu’il s’agit d’un grand geste posé par la société Namoya Mining SA. Le 20% de sa concession seront cédés à une coopérative constituée des creuseurs artisanaux locaux qui vendront à Banro de l’or produit.La rencontre qui a permis d’aboutir à ces conclusions, une initiative du Gouvernement provincial, a réuni les notables de Salamabila, les élus provinciaux de cette circonscription électorale face à la société Namoya Mining sous la facilitation d’un panel des experts techniques de l’administration minière de la province du Maniema.La rencontre a permis d’abord d’actualiser le cahier de charge en intégrant les revendications des miliciens Malaïka, en suite la mise en place du comité local de développement et les membres qui y feront partis, en fin il était question pour les participants de réfléchir ensemble comment l’insécurité qui a élu domicile dans cette zone va prendre fin étant donné que le compromis a été trouvé.Un comité local de suivi a également mis en place pour suivre l’exécution du cahier de charge, annonce le Ministre provincial des mines.« Il s’agit d’un cahier de charge très détaillé qui renseigne non seulement les activités qui seront réalisées, le coût de l’investissement, mais aussi le chronogramme de l’exécution des engagements de la société Namoya Mining SA » indique Aloïs Kitinga.L’Honorable Thierry Badisungu optimiste dans le rétablissement de la paix à Salamabila« Nous sommes très satisfait de la manière dont nous venons d’aborder ces discutions ; il y a de quoi à espérer par rapport à la résolution de la situation d’insécurité qui se pose dans ma circonscription électorale » a introduit Thierry Badisungu, député provincial de la circonscription de Kabambare et rapporteur de l’organe délibérant de la province du Maniema. Kinduinfo.net lui a tendu son micro alors que ce dernier sortait de la salle de réunion Saint où s’est déroulé la rencontre de résolution de conflits dans le secteur minier organisé par le Gouvernement provincial du Maniema pendant deux jours.Badisungu très réservé autour de la question du compromis trouvé reste cependant général et optimiste dans la pacification de la zone Sud de la province du Maniema. L’élu de Kabambare pense que la résolution définitive de ce conflit dépendra de la manière dont les choses vont se dérouler sur terrain. « Nous sommes à Kindu et le problème réside à Salamabila. Aujourd’hui nous avons posé le jalon et nous espérons que sur place nous allons trouver définitivement solution à ce conflit » espère Thierry Badisungu.Il annonce qu’une grande rencontre réunion sera organisée à Salamabila pour que le hache de la guerre soit définitivement enterrée.Il se dit convaincu qu’au regard de l’initiative en cours, une solution durable va être trouvée dans le territoire de Kabambare. La société Namoya Mining SA va continuer à exploiter paisiblement et la communauté locale va aussi se retrouver. « Ce qui reste à faire c’est seulement l’atterrissage en douceur ; la paix reviendra dans le territoire de Kabambare. Nous sommes vraiment confiant que nous allons vraiment trouver une solution durable tant attendu par la communauté locale. »Depuis plus de trois ans, le Sud de la province du Maniema fait face à une insécurité causée par la milice locale, les maï-maï malaika, du Seigneur de guerre Cheik Assani Muzaifu. Fin Juin, la pression a beaucoup monté et la milice interdisait ouvertement aux travailleurs de la Société Namoya SA de se rendre à l’usine. Un communiqué était diffusé sur les ondes de la Maendeleo, une chaîne FM locale. La Société Namoya a alerté sur la situation sécuritaire et demander aux autorités provinciales d’intervenir.
Maniema : marche de soutien à la candidature de Alexis Thambwe Mwamba au sénatKindu – RDC | 17 Juillet 2019 - Le Front Commun pour le Congo a organisé ce mercredi à Kindu une marche de soutien à la candidature de Alexis Thambwe Mwamba à l’élection du président du sénat en RDC. La marche de soutien est partie de la cathédrale catholique Saint Esprit de Kindu pour chuter au rond-point du Joseph Kabila où est érigé un monument en mémoire des actions faites par Joseph Kabila à Kindu.Le Gouverneur de la province du Maniema et son vice, Autorités politico-administratives, militants des partis politiques du FCC et autres curieux ont été par centaines à venir exprimer leur soutien à Alexis Thambwe Mwamba dans sa course à la présidence du sénat de la RDC.Sur le lieu de chute de la cérémonie, une déclaration de soutien a été lu par Ali Lutimba, membre du Front Commun pour le Congo au Maniema. Dans ce message, les marchands disent soutenir Alexis Thambwe Mwamba pour la consolidation de la démocratie en RDC à travers la coalition Fcc-Cas.« Homme constant et discipliné dans sa ligne de conduite politique, le Patriarche Alexis Thambwe Mwamba incarne les valeurs de probité morale et des capacités intellectuelles avérées et draine derrière lui une très longue dans la gestion des entreprises du portefeuille, la diplomatie, au sein du Gouvernement et parlement » peut-on lire dans cette déclaration.A elle de poursuivre que Alexis Thambwe Mwamba est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut « C’est pourquoi nous demandons aux Honorables Sénateurs de lui accorder massivement leur suffrage » conclu la déclaration.
Appearing on this episode of Money Making Conversations is Jonnetta Patton & Kindu Walker, She's the Owner of J's Kitchen Culinary Incubator and CEO at JPat Management. He's the CEO of Walker 360 Sports, LLC.Each Money Making Conversations show hosted by Rushion McDonald is about entrepreneurship and entertainment. We provide the consumer and business owner access to Celebrities, CEOs, Entrepreneurs and Industry Decision Makers. They in turn deliver information about career planning, motivation, financial literacy and how they lead a balanced life. Don't miss Money Making Conversations with host Rushion McDonald streaming LIVE every Monday at 10AM-12PM EST on biz1190 (www.biz1190.com), on our Facebook fanpage at Facebook.com/MoneyMakingConversations, anytime through our iHeartRadio Podcast, which can be found under the Business/Finance Section, Fridays at 10AM ET on SiriusXM Channel 141: H.U.R. Voices and Fridays at 7PM ET on SiriusXM Channel 142: HBCU. We want to keep you Winning with your Career and your Life! #AskMMCThe Money Making Conversations radio talk show shares the “Secrets of Success” experienced firsthand by marketing and branding expert Rushion McDonald. Mr. McDonald is a brand guru and has been a marketer for major national and global brands like State Farm, Ford and Home Depot. He has worked with Kevin Hart, Stephen A. Smith, Jamie Foxx and most notably, Steve Harvey and will provide access to women and multicultural markets to expand the reach of your brand. The show features one-on-one career advice to callers, contributions from corporate leaders, successful entrepreneurs, celebrity interviews regarding their business ventures, social media branding, financial planning and information to empower small businesses to a path of success!“The Kind of Talk that Inspires Change.”https://www.facebook.com/MoneyMakingConversations/https://www.iheart.com/podcast/53-Money-Making-Conversations-28341098/https://www.rushionmcdonald.com/https://www.facebook.com/rushionmcdonald/https://twitter.com/RushionMcDonaldhttps://www.instagram.com/rushionmcdonald/https://www.linkedin.com/in/rushionmcdonaldhttp://biz1190.com/radioshow/5557Learn more about your ad-choices at https://www.iheartpodcastnetwork.comSupport the show: https://www.steveharveyfm.com/See omnystudio.com/listener for privacy information.
Appearing on this episode of Money Making Conversations is Bill Duke, Accomplished Actor, Director, Producer, Writer & Author of “Bill Duke: 40-Year Career on Screen and Behind the Camera”; Jonnetta Patton & Kindu Walker, She's the Owner of J's Kitchen Culinary Incubator and CEO at JPat Management. He's the CEO of Walker 360 Sports, LLC; Rickey Smiley, Star of TV One's “Rickey Smiley for Real”, Syndicated Radio Personality and Host of “The Rickey Smiley Morning Show” & Stand-up Comedian; and Kevin Powell, Author of 14th book, “My Mother. Barack Obama. Donald Trump.Each Money Making Conversations show hosted by Rushion McDonald is about entrepreneurship and entertainment. We provide the consumer and business owner access to Celebrities, CEOs, Entrepreneurs and Industry Decision Makers. They in turn deliver information about career planning, motivation, financial literacy and how they lead a balanced life. Don't miss Money Making Conversations with host Rushion McDonald streaming LIVE every Monday at 10AM-12PM EST on biz1190 (www.biz1190.com), on our Facebook fanpage at Facebook.com/MoneyMakingConversations, anytime through our iHeartRadio Podcast, which can be found under the Business/Finance Section, Fridays at 10AM ET on SiriusXM Channel 141: H.U.R. Voices and Fridays at 7PM ET on SiriusXM Channel 142: HBCU. We want to keep you Winning with your Career and your Life! #AskMMCThe Money Making Conversations radio talk show shares the “Secrets of Success” experienced firsthand by marketing and branding expert Rushion McDonald. Mr. McDonald is a brand guru and has been a marketer for major national and global brands like State Farm, Ford and Home Depot. He has worked with Kevin Hart, Stephen A. Smith, Jamie Foxx and most notably, Steve Harvey and will provide access to women and multicultural markets to expand the reach of your brand. The show features one-on-one career advice to callers, contributions from corporate leaders, successful entrepreneurs, celebrity interviews regarding their business ventures, social media branding, financial planning and information to empower small businesses to a path of success!“The Kind of Talk that Inspires Change.”https://www.facebook.com/MoneyMakingConversations/https://www.iheart.com/podcast/53-Money-Making-Conversations-28341098/https://www.rushionmcdonald.com/https://www.facebook.com/rushionmcdonald/https://twitter.com/RushionMcDonaldhttps://www.instagram.com/rushionmcdonald/https://www.linkedin.com/in/rushionmcdonaldhttp://biz1190.com/radioshow/5557Learn more about your ad-choices at https://www.iheartpodcastnetwork.comSupport the show: https://www.steveharveyfm.com/See omnystudio.com/listener for privacy information.
Appearing on this episode of Money Making Conversations is Bill Duke, Accomplished Actor, Director, Producer, Writer & Author of “Bill Duke: 40-Year Career on Screen and Behind the Camera”; Jonnetta Patton & Kindu Walker, She’s the Owner of J’s Kitchen Culinary Incubator and CEO at JPat Management. He’s the CEO of Walker 360 Sports, LLC; Rickey Smiley, Star of TV One’s “Rickey Smiley for Real”, Syndicated Radio Personality and Host of “The Rickey Smiley Morning Show” & Stand-up Comedian; and Kevin Powell, Author of 14th book, “My Mother. Barack Obama. Donald Trump.Each Money Making Conversations show hosted by Rushion McDonald is about entrepreneurship and entertainment. We provide the consumer and business owner access to Celebrities, CEOs, Entrepreneurs and Industry Decision Makers. They in turn deliver information about career planning, motivation, financial literacy and how they lead a balanced life. Don’t miss Money Making Conversations with host Rushion McDonald streaming LIVE every Monday at 10AM-12PM EST on biz1190 (www.biz1190.com), on our Facebook fanpage at Facebook.com/MoneyMakingConversations, anytime through our iHeartRadio Podcast, which can be found under the Business/Finance Section, Fridays at 10AM ET on SiriusXM Channel 141: H.U.R. Voices and Fridays at 7PM ET on SiriusXM Channel 142: HBCU. We want to keep you Winning with your Career and your Life! #AskMMCThe Money Making Conversations radio talk show shares the “Secrets of Success” experienced firsthand by marketing and branding expert Rushion McDonald. Mr. McDonald is a brand guru and has been a marketer for major national and global brands like State Farm, Ford and Home Depot. He has worked with Kevin Hart, Stephen A. Smith, Jamie Foxx and most notably, Steve Harvey and will provide access to women and multicultural markets to expand the reach of your brand. The show features one-on-one career advice to callers, contributions from corporate leaders, successful entrepreneurs, celebrity interviews regarding their business ventures, social media branding, financial planning and information to empower small businesses to a path of success!“The Kind of Talk that Inspires Change.”https://www.facebook.com/MoneyMakingConversations/https://www.iheart.com/podcast/53-Money-Making-Conversations-28341098/https://www.rushionmcdonald.com/https://www.facebook.com/rushionmcdonald/https://twitter.com/RushionMcDonaldhttps://www.instagram.com/rushionmcdonald/https://www.linkedin.com/in/rushionmcdonaldhttp://biz1190.com/radioshow/5557 Learn more about your ad-choices at https://news.iheart.com/podcast-advertisers
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Tim interviews Tom of Kindu, who shares how he developed a mobile app which attracted hundreds of thousands of users with no previous development or marketing experience.
Time Magazine have honoured the people who spoke out about sexual harassment this year, but what does this mean for the future? We look at the pros and cons of data-gathering sex tech and Rob ruins one of Franki's sexual fantasies by recasting its key protagonist. We also talk about the role of fantasy in sex and discuss the best ways to ask someone to wee on you.LINKSTIME magazine named “The Silence Breakers” as person of the year in this moving feature.We have a look at Mail Online's story about the so-called “smart condom” that can gather data about your sex habits and rate your performance in the bedroom.Writer Nancy Friday has died aged 84. We discuss her work researching and writing about sexual fantasy.Studies into sex offenders suggest that seuxal fantasy does not necessarily guide behaviour.If you find it tricky to talk about sexual fantasies with your partner, we found apps such as Kindu can help.The Second Circle is a sex and gender politics podcast hosted by Franki Cookney. Get in touch @The2ndCircle or via our contact page. If you enjoyed the show today, why not buy me a coffee?Support the show (https://ko-fi.com/frankicookney)
In episode 17, we talk about strategies for discussing trying new things with your partner. And WHAT to try. And WHEN to ask. All of the things! UnderCovers and Kindu are example apps that you can download to explore kinks and see which you and a partner might have in common. And a little starter list from Astroglide https://www.astroglide.com/blog/lighter-shade-of-grey-the-beginner-guide-to-kink/ to put the kink in your step! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
There is no “normal” when it comes to sex. Everyone feels different about their own sexuality. Learn how to achieve the sex life that’s right for you (and be OK with it), with author Rachel Hills.What You’ll Learn in this Episode: All about the Sex Myth. Why societal “norms” just don’t work when it comes to sex and sexuality. How we value ourselves through our sexuality and how to change that thinking. How to start a conversation about intimacy in your relationship. How the Kindu app can help you explore your desires in a fun, flirty kind of way. More from her book, The Sex Myth: The Gap Between Our Fantasies and Reality. High Five Highlights: What lit your spark and passion for feminism and the importance sexual health? My passion for feminism started with books that I read when I was younger. Later, in my early 20s, I had experiences where sex was a subject in which I felt vulnerable and alone. What’s your definition of a great sex life? One that makes you and your partner happy. When parents talk about the birds and the bees with their kids, it seems like this information should be taught as well, right? If they’re 14+, I would give them a copy of the book to read. For younger, kids just have an open, casual discussion so it’s not a scary thing to talk about. Do you have a favorite book you can share? The Beauty Myth, The Whole Woman, and Sex Objects. Finish this sentence: “Throughout my life, the most important thing I’ve learned is…” Life is something that unfolds over the long haul. Things tend to work out, and in the end, good things take a while to come to fruition. Connect with Rachel Share the Show! If you enjoyed this show, please rate it on iTunes and write a brief review. That would help us tremendously in getting the word out and raising the visibility of the show. Sponsors: audible.com - get a FREE audiobook download and 30 day free trial at www.audibletrial.com/whichwayislifeReal Salt - Is Your Salt Real?
There is no “normal” when it comes to sex. Everyone feels different about their own sexuality. Learn how to achieve the sex life that's right for you (and be OK with it), with author Rachel Hills.What You'll Learn in this Episode: All about the Sex Myth. Why societal “norms” just don't work when it comes to sex and sexuality. How we value ourselves through our sexuality and how to change that thinking. How to start a conversation about intimacy in your relationship. How the Kindu app can help you explore your desires in a fun, flirty kind of way. More from her book, The Sex Myth: The Gap Between Our Fantasies and Reality. High Five Highlights: What lit your spark and passion for feminism and the importance sexual health? My passion for feminism started with books that I read when I was younger. Later, in my early 20s, I had experiences where sex was a subject in which I felt vulnerable and alone. What's your definition of a great sex life? One that makes you and your partner happy. When parents talk about the birds and the bees with their kids, it seems like this information should be taught as well, right? If they're 14+, I would give them a copy of the book to read. For younger, kids just have an open, casual discussion so it's not a scary thing to talk about. Do you have a favorite book you can share? The Beauty Myth, The Whole Woman, and Sex Objects. Finish this sentence: “Throughout my life, the most important thing I've learned is…” Life is something that unfolds over the long haul. Things tend to work out, and in the end, good things take a while to come to fruition. Connect with Rachel Share the Show! If you enjoyed this show, please rate it on iTunes and write a brief review. That would help us tremendously in getting the word out and raising the visibility of the show. Sponsors: audible.com - get a FREE audiobook download and 30 day free trial at www.audibletrial.com/whichwayislifeReal Salt - Is Your Salt Real?
Dr Mundenga Mutendi Muller is a young doctor from Kindu province in the Democratic Republic of Congo (DRC), currently training in the Emergency Medcine Residency at Muhimbili National Hospital in Dar es Salaam, Tanzania. He was interviewed in Dar es Salaam by Ellen Weber, EMJ Editor. This is an excerpt of their conversation. An edit of the conversation is also available as a EMJ article: http://emj.bmj.com/content/31/8/611.full
Intuitive spiritual and holistic coach Cathy McLoughlin and comedy author Phil Torcivia discuss opening day at the Padres game, the baseball brawl, and the Kindu app for iPhone that surveys lovers on their preferences. Co-Host: Cathy McLoughlin, M.A. - My Healing Sanctuary Website: MyHealingSanctuary.com Facebook: My Healing Sanctuary Twitter: @Healing4Today Email: cathym@adnc.com Phone: 760-458-3288