Podcasts about duperr

Porteuse d'une mode inclusive et écoresponsable, Jeanne Friot a été révélée au monde entier à l'occasion des Jeux olympiques de Paris, en juillet 2024. Pendant plus d'un an, elle a imaginé et réalisé l'armure, avec l'artisan Robert Mercier, de la cavalière en argent qui traverse la Seine, semblant presque voler sur son cheval métallique. Une des scènes les plus marquantes de la cérémonie d'ouverture.La créatrice, qui a fondé sa propre marque il y a cinq ans, nous donne rendez-vous à La Caserne, une ancienne caserne de pompiers reconvertie en incubateur de mode responsable, dans le 10ᵉ arrondissement de Paris, où sont installés ses bureaux et atelier. Jeanne Friot parle de son enfance, dans une famille « non patriarcale », entre une mère directrice artistique dans la musique et un père artiste-peintre. Mais c'est sa grand-mère paternelle qui l'élève, qui lui apprend « à faire la cuisine, à manger, à se mettre à table ».C'est grâce à elle aussi qu'elle découvre sa vocation : « Je ne comprenais pas pourquoi je voulais le faire, mais c'était une évidence pour moi et j'ai travaillé toute mon adolescence pour pouvoir rentrer dans les bonnes écoles de mode. » Elle étudie à Duperré puis à l'Institut français de la mode, où elle rencontre son mentor, le Néerlandais Josephus Thimister, ancien directeur artistique de Balenciaga, mort en 2019. « Quelqu'un qui m'a montré comment on déconstruit et on reconstruit un vêtement. »Elle revient sur sa découverte des autrices lesbiennes, vers l'âge de 17 ans, qui a agi « comme un boulet de canon ». « Je me suis dit : “Mais si elles ont cette place dans la littérature, ça veut dire qu'elles peuvent avoir une place dans d'autres industries et dans d'autres arts. Et moi, je peux peut-être faire la mode dont j'ai envie.” »Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et de Juliette SavardRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

GO WDW continue de vous accompagner pendant les vacances d'été, avec une série d'épisodes à retrouver en replay ! Aujourd'hui, retour en octobre 2023: à l'occasion des 100 ans des studios Disney, embarquez avec nous dans une machine à remonter le temps pour revivre la belle et grande aventure de l'animation ! D'Oswald à Asha en passant par Mickey, Blanche-Neige, ou Mary Poppins, les studios Disney émerveillent le monde entier de génération en génération. Comment les studios Disney sont-ils nés ? Quelle histoire se cache derrière la création de ces personnages iconiques ? Comment Walt Disney et ses équipes ont-ils réussi à faire de l'animation un art à part entière ? Dans cet épisode, Pierre Lambert nous livre les anecdotes et les petites histoires qui ont fait la grande histoire. Diplômé de l'École Supérieure des Arts Appliqués Duperré, Pierre Lambert est l'auteur de plusieurs ouvrages de référence sur l'animation chez Disney. Il a également organisé l'exposition "il était une fois Walt Disney", présentée au Grand Palais en 2006. Pierre Lambert fut aussi attaché de presse de la Walt Disney Company en France.

La fin de la saison approche, il nous reste quelques diffusions avant la pause estivale, mais avant, j'avais envie de parler de dessin de caractères avec une femme qui m'inspire, Alice Savoie. Alice Savoie est type designer, chercheuse et enseignante, trois activités que nous prenons le temps de décortiquer dans cet épisode. D'abord, la recherche sur l'histoire de la typo et le projet Women in Type puis, son processus créatif avec le dessin du caractère Faune. Son point de vue sur la famille typographique comme système est passionnant. Je lui demande aussi comment elle met un prix sur un dessin de caractères dans le cadre de la commande, comment elle jongle avec ses différentes activités et l'évolution de la place des femmes dans le paysage de la typo. Bonne écoute !➡️ @alice_savoie frenchtype.comLes références citées :- Duperré, Paris- Estiennes, Paris - Florence Euvremer- Hervé Aracil- Zuzana Licko- Emigre- Margaret Gray- Michel Derre- Franck Jalleau- KABK, l'Académie royale des beaux-arts de La Haye- Université de Reading en Angleterre- l'ECAL en Suisse- Monotype- Robin Nicolas- Seb Lester- Patrick Giasson- Deberny & Peignot- Musée de l'imprimerie de Lyon- Women in Type- Fiona Ross- Alphabet- John Hudson, Tiro Typeworks- Patricia Saunders- Bruce Rogers- José Mendoza- le Faune- CNAP, Centre national des arts-plastiques- Ministère de la Culture- Imprimerie Nationale- l'Histoire Naturelle de Buffon 1749-1788- Description de l'Égypte ou Recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'armée française 1809-1830- ATypI- Marine Rivoal- Atelier muesli- Roxane Gataud- Prototypo- Sébastien Morlighem- Julien Priez (EP.- Atelier Baudelaire- Alexandre Bassi- Carol Twombly- Suzan Kare, le Trajan- Sandrine Nugue- Émilie Rigaud- Laura Mesegueer- Veronika Burian, TypeTogether- Brothers, Machinery of Dominants, Cynthia CockburnTypo de la couverture : Lucette dessinée par Alice Savoie, disponible sur FuturefontsPour faire un don et soutenir le podcast, c'est par ici. MERCI ! Pour vous inscrire à la newsletter Graphic Matter, c'est ici !Pour suivre les actualités du podcast sur instagram @graphicmatterpodcastOn se retrouve toutes les deux semaines pour une nouvelle rencontre. Vous voulez m'encourager, me faire un retour, n'hésitez pas à laisser des étoiles et un commentaire, ça aide le podcast à se faire connaître. Merci ❤️Conception, production, curation, graphisme : Louise GomezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

VICTIME, PERSÉCUTEUR OU SAUVEUR: COMMENT S'AFFRANCHIR DE CES RÔLES LIMITANTS?Dans mon Salon Santé Consciente, on jase avec la coach Karine Duperré de nos dynamiques relationnelles, dont les rôles de bourreau/victime/sauveur qu'on endosse en alternance, consciemment ou pas, et comment sortir de ce cercle

Le comédien âgé de 38 ans, césarisé en 2018 pour son interprétation dans « 120 battements par minute » et remarqué récemment dans « Anatomie d'une chute », nous reçoit au sein de l'école Duperré, à l'occasion de la première édition du festival Le Goût de M.Antoine Reinartz évoque son enfance en Lorraine auprès de parents vétérinaires et de six frères et sœurs. Il pratique le judo, écoute Starmania, dévore Agatha Christie et consacre du temps aux jeux de société. Très jeune, il se passionne pour la connaissance et pour le cinéma après sa découverte du magazine « Studio ». A 10 ans, il rêve d'être acteur mais ses études le mène vers la comptabilité et la finance jusqu'au déclic des « Chansons d'amour » de Christophe Honoré. Il se forme au conservatoire des arts dramatiques et obtient un des rôles principaux de « 120 battements par minute » de Robin Campillo. Le cinéma de Pedro Almodovar ou d'Arnaud Desplechin le passionne. Il s'enthousiasme pour les conversations qui ont accompagné la sortie d'« Anatomie d'une chute » et l'intelligence de l'objet qu'a su créer Justine Triet. Et, lui qui déteste faire la cuisine, défend son goût du sucre.Il revient aussi sur son amour pour Diane Keaton : « Elle est géniale dans “Le Parrain 2”. Après j'ai vu “Simples secrets” [1998], que personne ne connaît, avec Meryl Streep, Leonardo DiCaprio et Robert De Niro. Diane Keaton, elle y est bouleversante d'amour et de générosité. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project

Nous allons découvrir ensemble qui est la belle personne qu'est Karine Duperré et pourquoi il est important de se comprendre.

Encore une rencontre coup de coeur avec Karine Duperré !! À chaque fois que je lui parle j'apprends quelque chose et elle a le chic de piquer ma curiosité! Elle m'explique ici les différents langages dans nos communications, comment mieux communiquer pour se faire comprendre et mieux comprendre l'autre dans son type de langage…. Selon l'approche Process Comm, il y en a 6! Vous l'aviez adoré lors de l'épisode #93 sur le Triangle de Karpman, elle vient encore à Mélanie consulte! Faire un coup de circuit avec sa façon extraordinaire de m'expliquer les choses !! Bonnes découvertes! Ça risque fortement de changer des choses dans vos communications! ✨Enjoly! 

A l'occasion des 100 ans des studios Disney, embarquez avec nous dans une machine à remonter le temps pour revivre la belle et grande aventure de l'animation ! D'Oswald à Asha en passant par Mickey, Blanche-Neige, ou Mary Poppins, les studios Disney émerveillent le monde entier de génération en génération. Comment les studios Disney sont-ils nés ? Quelle histoire se cache derrière la création de ces personnages iconiques ? Comment Walt Disney et ses équipes ont-ils réussi à faire de l'animation un art à part entière ? Dans cet épisode, Pierre Lambert nous livre les anecdotes et les petites histoires qui ont fait la grande histoire. Diplômé de l'École Supérieure des Arts Appliqués Duperré, Pierre Lambert est l'auteur de plusieurs ouvrages de référence sur l'animation chez Disney. Il a également organisé l'exposition "il était une fois Walt Disney", présentée au Grand Palais en 2006. Pierre Lambert fut aussi attaché de presse de la Walt Disney Company en France. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/disneyworldlepodcast/message

Grande découverte pour moi, mesdames et messieurs, je vous présente Karine Duperré !  Une rencontre coup de coeur!! À chaque fois que je lui parle j'apprends quelque chose et elle a le chic de piquer ma curiosité, c'est une première rencontre, je suis certaine qu'il y en aura d'autres…mais cette fois-ci, elle vient m'expliquer les jeux de rôle qu'on prend lors de dynamiques relationnelles et en m'expliquant en profondeur, le Triangle de Karpman.  Attachez-vos tuques, je vous aurai averti!!  ✨Enjoly!  Pour en savoir plus:  Passionnée par l'humain et la compréhension des comportements, Karine a toujours cherché à pousser ses connaissances sur le sujet. Elle a cofondé Se Comprendre, un centre de formation axé sur le développement de compétences relationnelles. Formatrice accréditée en Process communication (modèle développé par la NASA)Première formatrice du Karpman process model au Canada Enseignante en programmation neurolinguistique Coach limbique  ⚡️Site web : ⁠www.secomprendre.ca⁠ ⚡️Facebook: ⁠https://www.facebook.com/groups/processcommunication⁠ ⚡️LinkedIn: ⁠https://www.linkedin.com/in/karine-duperre-se-comprendre/⁠ ⚡️La retraite: ⁠https://go.secomprendre.ca/retraite-6527⁠ ⚡️Lien pour nos formations: ⁠https://go.secomprendre.ca/nos_formations⁠ * Mélanie consulte! est un mix entre une consultation et une entrevue, ce n'est pas une consultation professionnelle officielle et à proprement dit. Merci! * #balado #podcast #melanieconsulte #introspection #développementpersonnel #croissancepersonnelle #apprendreaseconnaitre #consciencedesoi #conscience #mélanieghanime #karineduperre #formatrice #conferenciere #triangledekarpman #karpman #personnage #demande #rôle #dynamiquerelationnelle

Last time we spoke about the Gapsin Coup. Li Hongzhang snipped the bud of war before it could bloom after the Imo uprising and the Daewongun stole back power in Korea. The Daewongun was spanked and sent into exile yet again, but now Korea had become greatly factionalized. The progressives and conservatives were fighting bitterly to set Korea on a Japanese or Chinese path to modernization. This led radicals like Kim Ok-kyun to perform the Gapsin coup which was terribly planned and failed spectacularly. Japan and China were yet again tossed into a conflict in Korea, but China firmly won the day for she had more forces to bear. Japan licked her wounds and went home, learning a bitter lesson. That lesson was: next time bring more friends to the party. But today we are going to be taking a side quest, for many events were occurring in China, and one that brought yet again another foreign war.   #41 How France Ended up in Indochina   Welcome to the Fall and Rise of China Podcast, I am your dutiful host Craig Watson. But, before we start I want to also remind you this podcast is only made possible through the efforts of Kings and Generals over at Youtube. Perhaps you want to learn more about the history of Asia? Kings and Generals have an assortment of episodes on history of asia and much more  so go give them a look over on Youtube. So please subscribe to Kings and Generals over at Youtube and to continue helping us produce this content please check out www.patreon.com/kingsandgenerals. If you are still hungry for some more history related content, over on my channel, the Pacific War Channel where I cover the history of China and Japan from the 19th century until the end of the Pacific War. As I said a while back, I wanted to try and hit some events that don't necessarily fit the, something like 4-5 episodes its taking to explain how the First Sino-Japanese war came about. And even as I am writing this, on my personal channel someone commented “hey please don't forget to do a podcast on the Panthay Rebellion”, sigh. I chose to keep the Panthay Rebellion out of the Dungan Revolt episode, though many like to bundle these events up. I will try my best to hit that one, but if it somehow falls through my fingers, perhaps I will cheekily put it on my patreon, www.patreon.com/pacificwarchannel. A bit scumbag perhaps, but honestly its taking forever to get to the first sino-japanese war. Now this one, the Sino-French War is actually something a lot of my Vietnamese audience from my youtube channel have begged me to do an episode on for a long time now. Where to begin. This series focuses on the history of China and as such it fails to mention the experiences of China's neighbors quite often. For example while western nations like Britain were courting the Qing dynasty trying to open up further trade outside the Canton system, nations like France were likewise exploring and trying to exploit places like modern day Vietnam. During the early 17th century, France began to establish relations with Vietnam by sending the Jesuit missionary Alexandre de Rhodes. Alexandre de Rhodes was the first to write a catechism in the Vietnamese alphabet and upon returning to france in 1650 he advised the Catholic church they needed to dispatch bishops over to Vietnam to help development her roman catholic population, estimated to be around 100,000 converts by that point. He also warned that they must not allow what occurred in Japan to happen in Vietnam, referencing the Shimabara rebellion "We have all reason to fear that what happened to the Church of Japan could also happen to the Church of Annam, because these kings, in Tonkin as well as in Cochinchina, are very powerful and accustomed to war... It is necessary that the Holy See, by its own mouvement, give soldierss to these Oriental regions where Christians multiply in a marvelous way, lest, without bishops, these men die without sacrament and manifestly risk damnation." Alexandre de Rhodes efforts helped create the Paris Foreign missions society and soon the French East India company began operating in southeast asia. Throughout the 18th century the Jesuits missionary work and trade were very successful in Vietnam and this even led to military assistance. The French aided Nguyen Anh to retake his lands that had been taken from his family during a rebellion. The French were able to protect Nguyen Anh who became Emperor Gia Long and relations were fairly good with France, until his death whereupon relations fell considerably. The Nguyen dynasty increasingly viewed the catholic missionaries as a threat to their control. The french missionaries were soon being persecuted and then a revolt occurred in Cochinchina known as the Le Van Khoi revolt of 1833-1835. French catholic missionaries, Vietnamese catholics and Chinese settlers revolted against the current Emperor Minh Mang. Minh Mang quelled the revolt in 3 years while simultaneously fighting off a Siamese offensive. The revolt caused a dramatic increase in the persecution of catholics, leading to the execution of many missionaries. France tried to send diplomats to work out a peace deal with Minh Mang, but he would have none of it. In 1825 he made an edict  “"The Westerner's perverse religion confuses the hearts of men. For a long time, many Western ships have come to trade with us and to introduce Catholic missionaries into our country. These missionaries make the people's hearts crooked, thus destroying our beautiful customs. Truly this is a great disaster for our land. Our purpose being to prevent our people from abandoning our orthodox way, we must accordingly completely eliminate these abuses."   Minh Mang unlike his predecessor had no illusions about catholics, missionaries nor the west in general he sought isolationism. He was a very conservative leader and abided by confucianism. During his 21 years of rule he expanded his empire to acquire territory from parts of modern day Cambodia, Laos and Thailand. However after the first opium war saw the Qing dynasty humiliated by Britain, Minh Mang attempted to build an alliance with European powers by sending a delegation out in 1840 led by Ton That Tuong. They were received in Paris by Prime Minister Marshal Soult, but King Louis Philippe shunned the delegation and the Vatican urged a rebuke for “the enemy of the religion”. The delegates tried to offer France a trade monopoly in exchange for military support in the case of being attacked by a western power, but it was all in vain. After this the delegation tried a similar treaty with America, but it also failed. Minh Mang died and was succeeded by his eldest son Thieu Tri, who upheld the anti-catholic stance of the Nguyen dynasty, but did make some efforts to thwart conflicts and handed over to France 5 imprisoned missionaries in 1840. Thieu Tri would be dealt a hard hand of cards, as during in 1840's his empire was hit by a global cholera pandemic that killed roughly 8% of his nations population. Meanwhile his fathers isolationist policies meant the empires economy was hurting. Back over in France, in 1843 the French foreign minister, Francois Guizot sent a fleet to east asia led by Admiral Jean-Baptiste-Thomas Medee Cecille, lol wow to that name, all first names literally imagine someone in English called John, Jacob, Ryan, Jack, Kyle. The reason for the expedition was to respond to the new situation in China, as Britain had just defeated her in 1842 and thus the door was busted wide open so to say. The French thinking was while Britain began exploiting China in the north, perhaps France could counterbalance this by trying to puncture China in the south. Of course France was not openly stating this, officially she sent the mission “to support British efforts with the Qing dynasty and to fight against the persecution of French missionaries within Vietnam”. Admiral Jean-Baptist went to Vietnam in 1845 to try and get the release of one Bishop Dominique Lefebvre who had been condemned to death. Lefebvre had gone to Vietnam in 1835 and it was then illegal to work as a missionary. He was caught performing missionary actions and received the death penalty. A US captain named John Percivil of the USS Constitution attempted to gain his release but failed so he turned to Admiral Jean-Baptiste. Jean Baptiste managed to smooth things over and obtained Lefebvre's release and Lefebvre simply snuck right back into Vietnam and got himself caught yet again and was in the same situation by 1847.  Thus in 1847 Admiral Jean-Baptiste dispatched to Vietnam two warships the 54 gun frigate Gloire and 24 gun corvette Victorieuse under captain Lapierre and Charles Rigault de Genouilly. They went to Touran to try and free Bishop Lefebvre, Bishop Duclos and to try and get the Vietnamese to allow for Catholics to worship again in Vietnam, perhaps they were getting tired of showing up everytime a priest was imprisoned. Negotiations began, but it seems Lefebvre's being a second offender made the Vietnamese believe the French were pulling a fast one thus it fell apart. The negotiations dragged on until april 15th of 1847 while 6 Vietnamese corvettes snuck up and attacked the french warships anchored in the Bay of Tourane. The French retaliated and sank 4 of the Vietnamese corvettes, disabled the 5th and inflicted roughly 1200 casualties, quite a one sided brawl. The French assert, the Vietnamese had deceived them by prolonging negotiations in order to surprise attack them. Colonel Alfred Thomazi a historian who covered this period had this to say about the event;  “Thiệu Trị, indignant with this interference, decided to end the affair with a surprise attack. His plan was to invite the French officers to a banquet, kill them, and then burn and sink the ships. But Commandant Lapierre was on his guard, and declined the invitation. The mandarins, seeing the first part of their programme go astray, passed on to the second. They attacked.”   Thomazi gave the following description of the battle in Tourane Bay: ‘Gradually the Annamese war fleet, consisting of five corvettes with covered batteries, several bricks and a large number of junks, gathered in the bay, and one morning, without prior warning, attacked the French vessels. These, as their armament was far superior, had little difficulty in destroying the entire enemy fleet, but they had to get underway thereafter, abandoning the Christians to the vengeance of their persecutors”. In the end Lefebvre and Duclos were released. The Vietnamese were stunned by the dramatic disparity in firepower between their warships and the French. It showcased to many, the Vietnam's isolationist policies had left them extremely vulnerable to western powers and they began demanding modernization efforts. Things gradually began to get worse for the catholic community in Vietnam. In 1856 the French diplomat Louis Charles de Montigny was sent to asia to secure trade agreements. He first went to the kingdom of Siam where a treaty was signed on August 15th to facilitate trade, religious freedoms in order for Siam to gain access to French warship technology. Then Montigny turned to Vietnam arriving the next year where he demanded they establish a consulate in Hue, allow for free trade and to end their persecution of the catholic community. The Vietnamese court rejected all of these outright.  When Montigny returned to France having failed in Vietnam, Napoleon III decided enough was enough and he dispatched a military force of 3000 men to Vietnam led by Charles Rigault de Genouilly. France actually had a few reasons they were dispatching forces, and it was not exclusive to Vietnam. Do remember the 2nd Opium War was kicking off, so these forces were also sent to deal with China. It also did not help that the Nguyen emperor Tu Duc ordered the execution of 2 Spanish catholic missionaries in 1857 as well. Thus Spain likewise sent a punitive expedition force to join the French. Their first target was to be Tourane. The French force was led by Admiral Genouilly's flagship the 50 gun frigate Nemesis alongside 2 corvettes, 5 steam gunboats and 5 transports carrying 1000 French Marines. The Spanish brought a armed vessel called the El Cano carrying 550 Spanish infantry, 450 Filipino Chasseurs Tagals.  Now Tourane held 5 major forts on the western side of its peninsula which covered the approach to the town. The French called these the Fort de l'Aiguade, Fort de l'obervatoire, Fort du Nord, Fort de l'est and the Fort de l'ouest. They were accompanied by several shore batteries between them. The Vietnamese had a garrison of 2000 bien binh (provincial soldiers) led by Chuongco Dao Tri and the Governor Nam-Ngai tossed in another 2000 cam binh (centre soldiers) led by Do Thong Le Dinh ly. The Franco-Spanish force arrived to Tourane Bay during the night of august 31st and at dawn Admiral Rigault de Genouilly demanded the 5 forts surrender. He received no response and thus ordered his flotilla to bombard them. The forts response were on par with the Qing's performance during the opium wars, none of the western ships received damage. Rigault de Genouilly then landed some marines who quickly seized Fort de L'Aiguade. The charged its defenders chanting “vive l'empereur”. The defenders were overrun and soon the Fort l'est and fort l‘ouest were taken likewise with ease. El Cano had anchored off the entrance of the Da Nang river and aided the forces by bombarding the two forts, causing the defenders to flee. Most of hte vietnamese defenders were able to flee the carnage from the offset of bombardment, but those at the Fort L'observatoire were not quick enough. The French stormed into the fort and inflicted heavy casualties upon them before taking the rest prisoner. With this the Franco-Spanish force were able to occupy Tourane and the Tien Sa Peninsula. However upon occupying Tourane, suddenly the westerners found themselves under a siege.  Admiral Rigault de Genouilly surmised their forces at Tourane could achieve nothing under these circumstances so he pulled them out and decided to try and find a new target. He considered Tonkin first, but ruled it out and instead chose Saigon. Saigon was chosen because of its strategic value, it was one of the main sources of food that fed the Vietnamese army. He left Capitaine de Vaisseau Thoyon at Tourane with two gunboats and a small garrison and took the rest of the force south. The force spent 5 days gathering supplies in Cam Ranh bay and then reached Cape Saint-Jacques on February 10th. They bombarded the forts that defended its harbors into silence before storming them with marines like they had done at Tourane.  From cape saint-jacques they made a 5 day journey upriver, taking time here and there to bombard and storm some riverside forts. The Vietnamese defenders fought them off tenaciously and managed to land some cannonade hits into ships like the Dragonne and Avalanche inflicting hull damage. The defenders also tried to barricade the riverway behind the invaders, but the europeans made sure to dispatch naval forces behind to thwart these efforts periodically. Everytime the europeans attacked a fort or riverforce they made sure to spike the enemies weapons down or take them, thus reducing the enemies materials. By the 15th the Europeans were approaching some forts that defended Saigon's southern part. During the night they snuck 2 armed forces to destroy a barrage the Vietnamese had made using boats tied up together utilizing explosives. Dawn the next day the european warships anchored 800 meters from the forts and began their bombardment. They were so close some of the marine snipers in the warship mastheads were able to pick off Vietnamese gunners as well. The Vietnamese responded as best they could, but like the Qing during the opium wars, their outdated cannons were greatly overmatched. Soon landing companies began to assault the forts and by 8am the French and Spanish seized them. A few hours later, Capitaine Bernard Jaureguiberry took the Avalanche and scouted the Citadel of Saigon, before sending a French-Spanish force to assault it. Once the Europeans entered the citadel, the defenders began fleeing, though they did return with 1000 men to counter attack. The Europeans managed to repel the counter attack and by 10am the French and Spanish flag was raised over the citadel.  The Citadel of Saigon was enormous and the Europeans could not spare the necessary men to man it, so Admiral Rigault de Genouilly decided to simply blow it up. Using 32 mines on march 8th of 1859 the citadel was brought to ruin. Alongside this the europeans set fire to the rice granaries which would burn for several months. The Europeans turned back to Tourane leaving a small garrison to hold Saigon, which would fight a few battles of its own before being forced to pull out. Taking Saigon proved to be a fruitless victory. Admiral Rigault de Genouilly lost favor back home and was replaced in november of 1859 with Admiral Francois page with orders to obtain a treaty to protect catholics in Vietnam, but not to seek territorial gains. Now at the same time this was all occurring, there was the outbreak of the Austro-Sardinian War and this meant the French would require large numbers of forces to go to Italy, which the Vietnamese leadership quickly found out about.  When Page began negotiations in november with the vietnamese they refused his moderate terms, believing the French were no longer in a position of strength because of their troubles in Italy. So in the meantime Page reinforced the garrisons at Saigon and Da Nang awaiting the conclusion of the Italian war so more troops would be available to him. But by 1860 the 2nd opium war broke out requiring the French to send troops to China and Page was forced to relinquish much of his forces for the China expedition. In April Page left Vietnam to go to Canton, leaving the defense of Saigon and the neighboring Chinese town of Cholon under Capitaine de Vaisseau Jules D'Aries. D'Aries was left with 600 French marines and 200 Spanish troops who were led by Colonel Palanca y Guttierez. He also had on hand the corvettes Primauguet, Laplace and Norzagaray. With such forces he could not hope to with stand attacks from the Vietnamese so he was forced to hire some Chinese and Vietnamese auxiliaries who he placed in advanced posts and for patrols.  With his 1000 man augmented force, in March they were attacked by a Vietnamese army roughly around 10,000 men in strength. This led to a long and bitter siege, while simultaneously Tourane faced a similar situation and as I said they were forced to pull out as a result over there. D'aries and his men fought the siege off from March of 1860 to February of 1861. However during this time, the British and French forces had won the battle of Palikao on September 21st of 1860, thus relieving the need for their forces over in China. 70 ships led by Admiral Charner, carrying 3500 soldiers led by General de Vassoigne were quickly dispatched to Saigon. This naval force was then the largest the Vietnamese had ever seen. Admiral Charners forces reached their besieged allies in Saigon to find a Vietnamese army estimated to be around 32,000 men strong led by Nguyen Tri Phuong. The Vietnamese siege forces had their siege lines extending 12 km's long centered around a village called Ky Hoa. As Colonel Alfred Thomazi recounted “The first objective was the capture of the entrenched camp of Ky Hoa. This was a rectangle measuring around 3,000 metres by 900 metres, divided into five compartments separated by traverses and enclosed within walls three and a half metres high and two metres thick. The camp was armed with more than 150 cannon of all calibres. Subsidiary defences were piled up in front of its walls: wolf-pits, ditches filled with water, palisades and chevaux de frise. Bamboo was employed in the defences with consummate art, and the walls were crowned with thorn bushes along their entire length. The number of enemy soldiers both in and around the fortified camp had grown steadily during the previous year. After the victory, we discovered from the muster rolls that there were 22,000 regular troops and 10,000 militiamen. There were also 15,000 men manning the forts along the upper course of the Donnai. All these men were under the command of Nguyen Tri Phuong, the most celebrated general in the Vietnamese army”. The Europeans made their initial assault on February 24th, moving their artillery into firing range of the siege lines. With bombardment support the French and Spanish gradually attacked the fortifications taking heavy casualties in the process. A second assault was made the very next day starting at dawn and again our friend Thomazi has a lengthy account of the days battle “The action resumed at 5 a.m. on 25 February. The artillery advanced, facing east, enclosed by two columns of infantry: to the left, the engineers, the marine infantry and the chasseurs; to the right the Spanish infantry and the sailors. The sun, very low in the sky, was spoiling the aim of the cannons, and Lieutenant-Colonel Crouzat brought them forward by rapid bounds to within 200 metres of the enemy lines and ordered them to fire with case shot at the top of the ramparts. The firing was very heavy and our men, in the open, suffered appreciable casualties. Then the haversacks were laid on the ground, the sailors of the assault force reclaimed their scaling ladders, up to then carried by the coolies, and the admiral ordered the charge to be sounded. The right column, led by capitaine de vaisseau de Lapelin, crossed the wolf pits, the ditches and the chevaux de frise which extended for more than 100 metres in front of the enemy work under an intense fire, and was the first to reach the parapet. Most of the scaling ladders, which were very light, had been broken during the advance. Only three were left, which were placed along the wall, and the sailors of the assault force who could not find a place there climbed on the shoulders of their comrades. This time the fighting was bitter indeed. The first men to reach the summit were killed, but others took their place, throwing grenades inside. Then, using grappling hooks, they breached the perimeter fence and entered the fort. They then found themselves in an enclosed compartment swept by the fire from the neighbouring compartment, to which they could make no reply. It was a critical situation, and they suffered heavy losses. Finally, several resolute men, rallied by lieutenant de vaisseau Jaurès, succeeded in smashing in the gate that gave onto the other compartment with their axes, just as the engineers succeeded in breaking in, while the marine infantry and the chasseurs outflanked the enemy line on the left. The defenders were either killed where they stood or took to flight. The entire complex of the Ky Hoa lines had fallen into our hands.” The casualties for the second day were heavy, 12 dead and 225 wounded and according to the French reports, the Vietnamese lost around 1000 men including commander Nguyen Tri Phuong. By seizing Ky Hoa, the Europeans were able to take the offensive. Their first target was to be the city of My Tho. A smaller expeditionary force led by Capitaine Bourdais aboard the Monge alongside the Alarme, Mitraille and some gunboats took a force of around 230 men to seize My Tho. They ran into two forts defending a creek leading to the city and began to bombard them. After the forts were neutralized they ran continuously into barricades the vietnamese forces made to bar further passage. Then on April the 4th, the Europeans received reinforcements from Saigon in the form of 200 Chasseurs, 200 Sailors, 2 companies of marines and some heavy artillery. Capitaine Bourdais relinquished command to Capitaine Le Couriault du Quilio and he went to work having their expeditionary force fight its way through the barricades which began to become increasingly well defended. By april 8th, the expedition was reinforced a few more times, including more gunboats prompting the Vietnamese to send two fireships against them. The French naval forces were able to hook the two fireships and tow them away. On the 10th a scouting party led by Captain du Chaffault managed to reach the walls of My Tho, exchanging fire with its defenders before returning to report. Quilio decided to press forward his warships to hit more forts defending the passage to My Tho until they finally got in range of My Tho's walls. As the Europeans prepared their assault of the city, suddenly a flotilla led by Admiral Page showed up taking the Mekong river passage and he bombarded My Tho by sea which surrendered on the 12th.  After taking My Tho the French offered peace terms to Tu Duc, but this time demanded the cession of Saigon province, an indemnity of 4 million piastres, free trade rights and freedom of religion. Tu Duc was open to conceding on the religion, but rejected the others outright. Thus the French occupied My Tho and looked for new targets. Meanwhile Tu Duc had lost numerous materials and received many casualties for his efforts against the French-Spanish invaders. His forces simply could not meet the enemy on the open battlefield and thus he now sought to shift towards guerilla warfare. He dispatched men to venture into the enemy held territories and organize resistance groups. Soon Saigon and My Tho provinces were finding themselves in a state of siege. The French and Spanish forces began to fan out into the countryside hunting guerrillas, but as you can imagine this led to terrible violence against the common people.  Admiral Charner was replaced by Admiral Louis Adolphe Bonard in November of 1861. When he arrived he found the forces were being increasingly attacked by guerillas. One band of guerilla forces attacked the French Lorcha Esperance by luring the vessel out and ambushing her. 17 French and Filipino sailors were killed and the ship was burned down. This prompted Bonard to launch a major reprisal campaign against the province of Bien Hoa. Again our dear friend Thomazi has a lengthy passage on the battle and capture of Bien Hoa “"The Annamese had established defence works on all the routes leading to Biên Hòa. They had built an entrenched camp held by 3,000 men at My Hoa, midway between Biên Hòa and Saigon, and obstructed the course of the Donnai with nine solid barrages and a stockade. The admiral decided to attack simultaneously by land and water. He ordered the detached posts to remain on the defensive and to concentrate all disposable forces before Saigon. All being ready, and an ultimatum issued on 13 December going unanswered, the columns set off at daybreak on 14 December. The first column, commanded by chef de bataillon Comte and consisting of two companies of chasseurs à pied, 100 Spaniards and 50 horsemen with four mortars, made for Gò Công, which it captured at 7.30 a.m. A second column, consisting of 100 Spaniards and a battalion of marine infantry with two cannon, under the orders of Lieutenant-Colonel Domenech Diego, placed itself before the camp of My Hao. At the same time capitaine de vaisseau Lebris, with two companies of sailors, advanced on the Donnai, taking in reverse the batteries on the right bank. Finally, a flotilla of armed launches, having followed the creeks as far as Rach Gò Công, cannonnaded the works which were also bombarding the gunboats anchored in the Donnai under the orders of lieutenant de vaisseau Harel of Avalanche. The forts replied energetically, and the gunboat Alarme was hit by 54 balls and had her main mast nearly destroyed. But once the defenders saw themselves threatened by a land attack, they hastily evacuated the forts, one of which blew up and the others were occupied. The sailors toiled throughout the night to demolish the barrages, while the naval hydrographer Manen sounded the passes. The first obstacles having been destroyed, the two infantry columns joined hands in front of the camp of My Hoa on 15 December. The marine infantry attacked the enemy's centre, while the chasseurs menaced his right and the Spaniards his left, and the cavalry made a turning movement to cut off his retreat. The Annamese panicked and took to flight. Admiral Bonard, aboard the dispatch vessel Ondine, ascended the river and exchanged cannon shots with the citadel. On 16 December the troops crossed the Donnai and occupied Biên Hòa, which the Annamese soldiers had evacuated, but not before burning alive numerous Christian prisoners. We took there 48 cannons and 15 armed junks. The operation cost us only 2 men dead and several wounded." Even after taking  Bien Hoa, the guerrillas persisted to amp up their attacks.. The guerilla forces around My Tho began to snipe european columns marching along roads and a French gunboat carrying troops was blown up via sabotage. Bonard believed these actions to be the work of Vietnamese forces operating in Vinh Long so he began a campaign to seize it. On March 20th, his naval forces reached the fortress of Vinh Long and he quickly landed 700 French and 300 Spanish troops led by Lt Colonel Reboul to attack. Thomazi tells us  “On 22 March they crossed two arroyos under fire and advanced into view of the enemy batteries, which had been fighting a violent artillery duel with the gunboats. During the night, after a seven-hour struggle, all the batteries were occupied, and on the following day we entered the citadel, where we found 68 cannon and considerable quantities of materiel” The defenders of Vinh Long had fallen back to some earthwork defenses 20 km's west of My Tho, so Bonard sent forces to attack them while he consolidated Vinh Long. As the forces marched to attack the defenders, the loss of My Tho, Bien Hoa and Vinh Long had severely demoralized the Vietnamese leaders. In April of 1862 Lu Duc announced he sought peace terms. In May, following some preliminary meetings at Hue, the French corvette Forbin went to Tourane to meet with a Vietnamese delegation. As Thomazi, a very faithful source for this entire episode it seems tells us after the French waited 2 days for the Vietnamese to show up. ‘On the third day, an old paddlewheel corvette, the Aigle des Mers, was seen slowly leaving the Tourane river. Her beflagged keel was in a state of dilapidation that excited the laughter of our sailors. It was obvious that she had not gone to sea for many years. Her cannons were rusty, her crew in rags, and she was towed by forty oared junks and escorted by a crowd of light barges. She carried the plenipotentiaries of Tự Đức. Forbin took her under tow and brought her to Saigon, where the negotiations were briskly concluded. On 5 June a treaty was signed aboard the vessel Duperré, moored before Saigon.” The result was the Treaty of Saigon which legalized the catholic faith in Vietnam and the secession of Dinh Tuong, Gia Dinh, Bien Hoa and some islands over to France. The ports of Tourange, Ba Lac and Quang Yen were opened and France was given trade rights. On top of all of that the Vietnamese were to pay an indemnity worth one million dollars to France and Spain over a 10 year period. And thus the colony of Cochinchina with its capital of Saigon was acquired by France, which would start a ongoing conflict only to end with the United States of American pulling out in 1975. I would like to take this time to remind you all that this podcast is only made possible through the efforts of Kings and Generals over at Youtube. Please go subscribe to Kings and Generals over at Youtube and to continue helping us produce this content please check out www.patreon.com/kingsandgenerals. If you are still hungry after that, give my personal channel a look over at The Pacific War Channel at Youtube, it would mean a lot to me. I honestly thought I would be able to do the Sino-French war of 1884-1885 in a single episode, yet again I was mistaken. Thus next time we will continue the story of France and Southeast asia.

Bienvenue sur Aventure Humaine ! Décidemment, bien qu'ayant quitté la cité malouine depuis bientôt deux ans, j'y hisse toujours mes voiles tant mon cœur y est attaché. Aujourd'hui j'ai l'envie de mettre à l'honneur une entrepreneure que j'ai davantage découverte au cours de cette conversation, et je suis certaine que vous aurez, vous aussi, l'envie de franchir la porte de sa boutique et de découvrir son univers. En fait, je vais vous parler d'un duo, un duo créatif et inspirant. Il y a CLAIRE, et il y a OURKA. Vous présenter Claire, c'est comme vous présenter Ourka tellement ces deux noms sont indissociables. Ourka est une marque de vêtements artistiques éco-conçus en lin et Claire est la jeune femme entrepreneure qui a donné naissance en 2018 à Ourka. Dans l'univers de la création et de la mode, Claire a fait ses propres choix en saisissant de belles opportunités. Sa véritable force fut de toujours aller au-delà des déceptions et embûches rencontrées sur son chemin. Très jeune, Claire dessine. Les encouragements et le soutien de ses parents la conforte dans son choix d'orientation. Les années post bac sont marquées par les années parisiennes à l'École Duperré et les stages dans le milieu de la mode, puis par les trois années à l'Académie Royale des Beaux-Arts d'Anvers en Belgique. Rien que ça ! Des années difficiles oui mais tellement enrichissantes. Des années de rencontres surtout, de coups de cœur artistiques notamment avec le milieu du street-art dont elle s'inspire pour ses premières collections de vêtements. Claire cherche un endroit où respirer un endroit authentique, riche d'une identité régionale, et aussi, aimerait apprendre à naviguer. La Bretagne lui ouvre ses ports, et c'est à Saint-Malo qu'elle pose l'ancre avec son conjoint. Claire commercialise sa propre collection de vêtements et d'accessoires et lui donne un nom : OURKA. L'histoire est inspirante tant elle nous invite à se reconnecter avec nos ressentis et notre vérité de femme. Je vous laisse d'ailleurs la découvrir. Ses créations sont à son image, à ce qu'elle est ici et maintenant, naturelle, sauvage, libre. Comme les artistes dits « primitifs » et les graffeurs de rue qui se réapproprient leur environnement qu'elle admire. Parce qu'il s'agit de voir, de toucher, de sensation, je vous invite à découvrir sa collection sur son site internet, et surtout d'aller à la rencontre d'une entrepreneure qui a à cœur de trouver le vêtement dans lequel vous vous sentirez vous-même, dans lequel vous vous direz : « cette femme dans la glace, c'est moi ». Claire nous parle de : découverte de soi courage entrepreneuriat créativité accomplissement joie. J'ai méga hâte de retourner à St Malo et flâner dans la boutique de Claire car il est évident qu'après notre Conversation je vois la collection de Claire de façon bien plus intimiste. Comme j'adore Léa histoires, je lui demanderai de m'en raconter plein

Tiffany Bouelle est une artiste peintre franco-japonaise. Depuis sa plus tendre enfance, l'art lui colle à la peau. Après avoir étudié les arts appliqués à l'école Auguste Renoir puis à l'école Duperré à Paris, elle a navigué entre mode, dessin et peinture avant de trouver le moyen d'expression qui lui correspond. Dans l'intimité de son appartement parisien, Tiffany Bouelle reçoit des femmes de tous horizons. Lors de cette rencontre, elles apprennent à se connaître, échangent et se confient. Tiffany utilise alors la synesthésie pour lier ces vécus avec des formes et des couleurs : elle se définit comme une artiste engagée qui crée pour s'emparer de sujets politiques.Dans cet épisode d'Émotions de Peau, Tiffany Bouelle répond aux questions de la journaliste Laurianne Melierre et retrace avec elle son parcours de vie. Elle questionne son rapport à la beauté, à la féminité et au temps qui passe. Comment se sentir bien dans sa peau lorsque l'on manque de représentations positives en grandissant ? Comment rester soi-même malgré la seconde peau et l'armure qu'on se fabrique pour entrer dans des cases prédéfinies ? Dans cette conversation intimiste, Tiffany Bouelle tente d'apporter des éléments de réponse en mêlant son vécu de femme franco-japonaise et son vécu d'artiste. Elle aborde sans complexe la difficulté de se trouver, l'hypersexualisation des femmes asiatiques, et l'impact de sa culture sur sa relation aux autres. Il est aussi question de corps, de contemplation et de bien-être. Un épisode à fleur de peau, intime et chaleureux, comme un chuchotement au creux de l'oreille.Émotions de Peau est un podcast de My Blend, présenté par Laurianne Melierre et produit par Louie Créative, l'agence de contenus audios de Louie Média. Cet épisode a été enregistré au studio La Fugitive. Karen Lohier en a fait la réalisation et le mix sur une musique de Marine Quéméré. Pour en savoir plus sur My Blend : lien. Pour découvrir le travail de Tiffany Bouelle : lien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Cuisinière, styliste, directrice artistique et auteure culinaire : c'est en véritable passionnée de cuisine, d'écologie, d'art et de mode qu'Alice Roca (plus connue sous le nom d'Alice in Food) nous plonge à travers son blog et son compte Instagram dans un univers champêtre, gourmand et chaleureux où il fait bon vivre. Après avoir travaillé en tant que styliste pour Comptoir des Cotonniers ou encore Paul Ka, Alice s'en va à la campagne et se lance dès 2014 dans la création d'un blog culinaire où elle y partage des recettes inspirées de ses souvenirs d'enfance et des multiples végétaux qui peuplent son potager. C'est donc tout naturellement qu'elle crée en 2016 son compte Instagram @aliceinfood et poursuit sa quête du beau et du bon à travers de multiples projets et collaborations. « De la même manière que j'assemble un tee-shirt avec un gilet, ou bien telle couleur avec telle paire de chaussures, j'ai l'impression que c'est la même chose lorsque je compose une assiette ou que je pense un plat. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Présentation d'Alice Roca Devenir styliste, un rêve d'enfant Ses études à Duperré Son premier job en tant qu'assistante rédactrice au ELLE Son travail chez Comptoir des cotonniers puis Paul KA Son arrivée à la campagne et ses débuts en tant que free-lance Ses collaborations avec Guillaume Henry Le lancement de son blog en 2014 puis de son compte Instagram en 2016 Comment construire sa légitimité lorsqu'on ne vient pas de la food Son livre “À ma table” Les codes de sa cuisine Ce qui fait une bonne recette Ses collaborations avec les marques Comment trouver son équilibre entre vie pro et vie perso Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast « Je pense que c'est en faisant les choses qu'on lutte contre la comparaison et que l'on reste créatif, ce qui ne veut pas dire qu'il faut s'empêcher de regarder ce que font les autres. » « J'ai toujours pensé un produit en me projetant dedans. » « Le travail que je fais avec les marques, c'est de la création de contenu. On vient me chercher pour mon univers et ça, ça change tout : quand j'étais styliste, je travaillais pour une marque et on me choisissait pour ma personnalité et ma créativité, mais je devais me plier à l'univers de la marque, aujourd'hui, c'est l'inverse. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Instagram: https://www.instagram.com/aliceinfood/?hl=fr Son blog : https://www.aliceroca.com/blog Son livre “À ma table” : https://merci-merci.com/products/livre-alice-in-food Duperré : https://duperre.org/ Comptoir des cotonniers : https://www.comptoirdescotonniers.com/ Paul Ka : https://www.pauleka.com/fr_fr SO/Paris : https://soparis.com/ Cheval blanc : https://www.chevalblanc.com Milk magazine : https://www.milkmagazine.net/food-chez-alice-roca/ The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com/familles/verneuil-sur-avre/normandie-chez-alice-roca-styliste-fondatrice-alice-in-food/ Laila Gohar : https://www.instagram.com/lailacooks/?hl=fr Agence La relève : https://www.agence-lareleve.com/ Miss Maggie's kitchen : https://www.missmaggieskitchen.com/

>>>>>>>>>> À l'occasion de la sortie de ma formation “Le Nouveau Modèle™ : Le guide pour créer et lancer sa marque en partant de zéro”, Vous bénéficiez de 200,00 euros offerts jusqu'au 17 novembre 2022 :)

Nous lançons la série “Je vis de mon métier et je vous explique comment” pour parler des sujets qui trop souvent sont tabous : le chiffre d'affaires, le salaire, au bout de combien de temps un artisan d'art vit de son métier ? Nous remercions infiniment Florian Sicard, fondateur de la marque de maroquinerie Établissements Pardi et Juliette Vivien artiste céramiste qui se sont portés volontaires pour ce jeu de questions/ réponses à bâtons rompus ! D'ailleurs si comme eux, vous vivez de votre métier comme artisan d'art, contactez-nous pour des prochains épisodes ! Nous nous ferons une joie de démystifier ces sujets ! Juliette Vivien est une artisane céramiste spécialisée dans les émaux à cristallisation et la miniature. Sensibilisée jeune par son grand-père qui exerçait le même métier, puis formée à l'école Duperré, elle a développé son entreprise qui a trouvé son modèle et son public. Florian Sicard est fondateur de la marque Établissements Pardi qui crée des pièces uniques à partir de cuirs récupérés. Issu de l'art contemporain, Florian a appris le métier de maroquinier auprès d'un atelier qui développe des prototypes pour des grandes maisons. Une appétence pour le fait-main et une belle rencontre ont créé l'opportunité. Très belle écoute ! Si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin). Et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur apple podcast ;) Pour devenir membre de notre association Artisans d'Avenir, c'est par ici ! Cet épisode est produit grâce à l'implication de Ville et Métiers d'Art, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d'exceptions en France.

Aujourd'hui partons à la rencontre de Janaina Milheiro. Janaïna voulait être costumière. Finalement c'est dans la plume qu'elle a trouvé comment créer la magie. Issue d'une formation de design textile, Duperré puis à l'ENSCI, où elle a appris comment la créativité peut être mise au service d'un usage, elle développe son propre savoir-faire plumassier qu'elle consacre au secteur de la mode et de la décoration d'intérieur. Janaïna a été lauréate du prix ELLE des artisanes en 2021. C ‘est dans ce cadre que nous sommes allés à sa rencontre, pour qu'elle nous explique en particulier la façon dont elle aborde son processus créatif, seule, avec d'autres artisans d'art et aussi avec ses clients. Belle écoute ! Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin). Et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur apple podcast ;) Si vous voulez connaître les bénéfices de devenir membre de notre association Artisans d'Avenir, c'est par ici !

Tu as de la difficulté à t'adresser à ta communauté pour que ce que tu dis résonne chez ton prospect et que ça vende facilement ! Karine est une experte qui t'accompagne à dominer les languages afin de connecter de façon percutante avec ton prospect. Pour joindre l'Univers de Karine : Instagram: https://www.instagram.com/secomprendre/ Son Facebook pro: https://www.facebook.com/Secomprendre son site web: https://secomprendre.mykajabi.com/

Trop vedge pour écrire des cartes de Noël / Qu'est-ce que tu veux pour Noël ? / Clic J'aime: Collecte d'articles d'hiver «Donne ta tuque» ce samedi au Bar Laitier Pinocchio de Jonquière. / Humeur de Youcef: Essaye de répondre AVANT Vince et Marie au Quiz Ding Dong ! / Entrevue avec la comédienne Élizabeth Duperré pour le film Au revoir le bonheur !

L'Azuréen Jocelyn Delcasso a créé sa marque de prêt-à-porter et d'accessoires haut de gamme DELCASSO en 2019. Ce jeune entrepreneur, designer de formation diplômé de l'école de design Duperré à Paris, s'amuse à imaginer, dessiner et développer des collections sur-mesure et des accessoires uniques. Tout est conçu dans son atelier niçois. Passionné, Jocelyn Delcasso s'adresse notamment aux hommes avec un regard très artistique sur la mode masculine. Un style qui se veut à la fois sophistiqué et décontracté. L'originalité oui, la qualité aussi! Engagé, Jocelyn Delcasso, confectionne des « collections-convictions »! Chaque étape est aujourd'hui murement réfléchie et inscrite dans une démarche écoresponsable. C'est pourquoi l'entrepreneur niçois s'est entouré de couturiers et tricoteurs indépendants et locaux. Son objectif : revaloriser le savoir-faire local. Les machines à tricoter manuelles des années 70 sont aussi de la partie pour mettre en lumière l'artisanat! Jocelyn Delcasso mise également sur des matières écologiques. En effet, ses tissus sont labellisés GOTS (- pour Global Organic Textile Standard. Ce label international a été créé en 2002 pour le textile biologique.Il garantit un mode de production écologique et socialement responsable.) La toile de store upcyclée et réinventée avec Delcasso Jocelyn Delcasso a imaginé également une ligne d'accessoires conçue à base de toile de store ! Il en a fait sa patte. De l'upcyling pur et dur pour offrir une seconde vie à la toile de store. Elle devient cabas, portefeuille ou sac à dos. Ces chutes d'usines offrent des créations colorées et rayées. Une alternative positive donc aux déchets industriels. Cette démarche a su séduire et éveiller la curiosité des locaux et des touristes. Perfectionniste, Jocelyn Delcasso prend aujourd'hui un nouveau virage. Il a décidé d'améliorer techniquement cette gamme et présente sur Radio Monaco ses nouveaux modèles. Ils sont toujours fabriqués dans un esprit méditerranéen et urbain, mais se veulent plus fonctionnels et toujours aussi durables ! Plongeon dans la Slow Fashion avec Delcasso. Une marque azuréenne «  qui habille et accessoirise les hommes et les femmes de façon créative, artisanale et écologique».

durée : 00:58:03 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Héros pour nombre de citoyens qui ont investi les rues après sa démission du gouvernement, il revient en personnage de BD pour diffuser sa parole et ses projets pour la planète. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Nicolas Hulot Ancien Ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018); Muriel Douru Diplômée de l’école supérieure des Arts appliqués Duperré de Paris, auteure de nombreux livres, illustratrice et citoyenne engagée

durée : 00:58:03 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Héros pour nombre de citoyens qui ont investi les rues après sa démission du gouvernement, il revient en personnage de BD pour diffuser sa parole et ses projets pour la planète. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Nicolas Hulot Ancien Ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018); Muriel Douru Diplômée de l’école supérieure des Arts appliqués Duperré de Paris, auteure de nombreux livres, illustratrice et citoyenne engagée Vous pouvez retrouver "De Cause à Effet" sur le site de France Culture. Écouter cette émission :

Posez moi toutes vos question ici >>> https://reuni.typeform.com/to/HgFRvjD2

Animation For Adults Presents Animation Nights New York's (ANNY) Animator Interviews. AFA and ANNY's Evan Vernon talks with British animator Chris Plimmer, whose short Man's Best Friend Forever is screening at the upcoming Februray virtual screening of Animation Nights New York and French animation Julie Rembauville and Nicolas Bianco-Levrin  whose short Small Sparks is also screening. ANNY's February event takes place Sunday, February 21, 11am - 11pm with, Mixer Events 3pm - 5pm & 8pm - 10pm EST.     SHOW NOTES Man's Best Friend Forever Director: Chris Plimmer   Chris Plimmer is a 4th year MA art student specializing in stop-motion puppet fabrication. His future hopes are to go into directing or puppet fabrication for his future career. He spends much of his free time expanding his online portfolio which is filled with sculpted stopmotion puppets and animations.   Personal Website: https://www.chrisplimmer.com/ Instagram: https://www.instagram.com/chris_plim/  Twitter: https://twitter.com/chris_plim?lang=en   Petite Etincelle / Small Spark Prototypes Productions   Director: Julie Rembauville   Julie Rembauville was born in Paris in 1982. She studied literature and audiovisuals at La Sorbonne University. In 2003, she published her first book for childern, Je ne me laisserai pas faire ! (I won’t let them do it !) working with the artist Nicolas Bianco-Levrin. Then, they realized films and books, working on adaptation principally. The Machino received the award of the best DVD-book for children in 2006, given by the CIELJ (International Center of Litterature for Children) She’s now working on an animated serie project for TV, KROAK, written with Nicolas Bianco-Levrin and produced by Sacrebleu productions and on a short Ombre qui vole.   Writer / Producer: Nicolas Bianco-Levrin After studying applied arts at the Duperré school in Paris, Nicolas Bianco-Levrin publishes about twenty youth albums as an illustrator. At the same time, he co-directed about thirty animated short films with Julie Rembauville for which he designed the graphics. The films then travel to many festivals around the world. http://nicolasbianco.fr/

Bienvenue sur Aventure Humaine ! Décidemment, bien qu’ayant quitté la cité malouine depuis bientôt deux ans, j’y hisse toujours mes voiles tant mon cœur y est attaché. Aujourd’hui j’ai l’envie de mettre à l’honneur une entrepreneure que j’ai davantage découverte au cours de cette conversation, et je suis certaine que vous aurez, vous aussi, l’envie de franchir la porte de sa boutique et de découvrir son univers. En fait, je vais vous parler d’un duo, un duo créatif et inspirant. Il y a CLAIRE, et il y a OURKA. Vous présenter Claire, c’est comme vous présenter Ourka tellement ces deux noms sont indissociables. Ourka est une marque de vêtements artistiques éco-conçus en lin et Claire est la jeune femme entrepreneure qui a donné naissance en 2018 à Ourka. Dans l’univers de la création et de la mode, Claire a fait ses propres choix en saisissant de belles opportunités. Sa véritable force fut de toujours aller au-delà des déceptions et embûches rencontrées sur son chemin. Très jeune, Claire dessine. Les encouragements et le soutien de ses parents la conforte dans son choix d’orientation. Les années post bac sont marquées par les années parisiennes à l’École Duperré et les stages dans le milieu de la mode, puis par les trois années à l’Académie Royale des Beaux-Arts d’Anvers en Belgique. Rien que ça ! Des années difficiles oui mais tellement enrichissantes. Des années de rencontres surtout, de coups de cœur artistiques notamment avec le milieu du street-art dont elle s’inspire pour ses premières collections de vêtements. Claire cherche un endroit où respirer un endroit authentique, riche d’une identité régionale, et aussi, aimerait apprendre à naviguer. La Bretagne lui ouvre ses ports, et c’est à Saint-Malo qu’elle pose l’ancre avec son conjoint. Claire commercialise sa propre collection de vêtements et d’accessoires et lui donne un nom : OURKA. L’histoire est inspirante tant elle nous invite à se reconnecter avec nos ressentis et notre vérité de femme. Je vous laisse d’ailleurs la découvrir. Ses créations sont à son image, à ce qu’elle est ici et maintenant, naturelle, sauvage, libre. Comme les artistes dits « primitifs » et les graffeurs de rue qui se réapproprient leur environnement qu’elle admire. Parce qu’il s’agit de voir, de toucher, de sensation, je vous invite à découvrir sa collection sur son site internet, et surtout d’aller à la rencontre d’une entrepreneure qui a à cœur de trouver le vêtement dans lequel vous vous sentirez vous-même, dans lequel vous vous direz : « cette femme dans la glace, c’est moi ». Claire nous parle de : découverte de soi courage entrepreneuriat créativité accomplissement joie. J’ai méga hâte de retourner à St Malo et flâner dans la boutique de Claire car il est évident qu’après notre Conversation je vois la collection de Claire de façon bien plus intimiste. Comme j’adore Léa histoires, je lui demanderai de m’en raconter plein

Dans cet épisode, nous découvrons les souvenirs culinaires de Maria-Ferrucha, jeune femme Mexicaine formée à la cuisine gastronomique et vivant en France depuis plus de 10 ans. Entre la description des plats de son enfance en famille, sa comfort food quand elle revient à Mexico et les produits qui lui manquent le plus, Maria nous fait vivre une vraie immersion dans sa culture culinaire.  Attention, cet épisode donne particulièrement l'eau à la bouche!   ------------------------------------------------------------------------- A la suite de cet enregistrement, nous avons fait un marathon de Taquerias et avons testé 3 adresses parisiennes. Toutes plus bonnes les unes que les autres et au charme particulier, voici notre classement:  1. ACA : 48 boulevard de Clichy, 75018 Paris 2. EL NOPAL : 5 rue Duperré, 75009 Paris 3. EL GUACAMOLE : 37 rue Yves Toudic, 75010 Paris

J’ai rencontré Anne-Claire Héraud le 9 décembre 2019, chez elle, dans son joli appartement perché sous les toits dans le 18èmearrondissement de Paris. Anne-Claire est photographe et styliste culinaire. Titulaire d'une licence en design culinaire à l'école d'arts appliqués Duperré, Anne-Claire a continué à se former grâce à diverses expériences, tout en affirmant un engagement certain en ce qui concerne la transition alimentaire. Je croise le travail d'Anne-Claire Héraud depuis un moment, que ce soit dans la revue 180°C, dans la presse ou sur les réseaux sociaux. Anne-Claire a photographié plusieurs de mes invité.e.s et j'adore la façon dont elle fait émerger la personnalité des sujets photographiés. Elle sait aussi rendre visible la beauté des lieux, et perceptible l'atmosphère qui s'en dégage. Je pense par exemple à ses photos de la famille Roellinger, de Camille Labro ou encore de Xavier Hamon. Au cours de la discussion, nous avons donc évoqué  son parcours professionnel, qui méritait quelques précisions et explications, puis nous sommes revenues sur ce que lui avait apporté les différentes expériences qui ont ponctué son parcours. Anne-Claire nous a également expliqué en quoi consistait concrètement son métier, et de quelle manière elle effectuait son travail de photographe : reportages, portraits, natures mortes, ses objets sont variés et les médias pour lesquels elle travaille le sont aussi. Nous avons aussi échangé plus spécifiquement sur la façon dont se traduisait son engagement dans son travail et sur l’importance de la question du sens dans sa vie. Enfin, nous avons terminé par ses projets futurs ainsi que sur la façon dont elle envisage son avenir personnel et professionnel. https://www.anneclaireheraud.com

There are some fashion insiders who call Alexandre Mattiussi “a one in a generation” fashion designer. And I would have to agree with that assessment. He is a bit of a fashion unicorn in that, not only is he a down to earth, friendly and gregarious guy who happens to be a very talented fashion designer, he also has a real head for - and a love of - both the business of fashion and the theatricality of it. Born in 1980 in the Normandy countryside, Alexandre studied at the Duperré fashion design school in Paris and decided to specialize in menswear design as he astutely saw that the market was much less saturated than the womenswear market at that time. Early on, back in 2002, he tried his hand at starting his own business, selling t-shirts he had designed but decided to press pause on that adventure to really learn his trade inside the walls of established menswear brands before stepping out on his own. To this end, he worked at Dior’s “30 Montaigne” menswear line and then joined Givenchy where for five years he built up real-world experience as he led the menswear design team before the arrival of Riccardo Tisci at the house. Following that, he had a stint designing for Marc Jacobs Men. It was while at Marc Jacobs, as he was working on some ultra-luxury menswear items, that Alexandre had his sartorial epiphany. The beautiful things he was creating, though he would never be able to afford to buy them, he wanted to create clothing that he would see being worn on the street –clothing that would make people happy as they went about living their lives. And so, in 2011 his brand, AMI, was born. The name, which means friend in French but is also the composition of his initials and the last letter of his last name perfectly encapsulates both the designer and his designs. He seems to be friends with everyone and everyone wants to be friends with him. And his clothing does act like friends for those who wear them. This is a brand filled with staple wardrobe pieces; the perfectly cut pair of trousers, the great chunky sweater and the evergreen outerwear– menswear that was so well done that women wound up flocking to his work, and also wearing his designs. Today, AMI has over 300 stocklists across the globe and online and has freestanding stores in Paris, Tokyo, London, and China. And last year he finally launched a “menswear for women” line in response to the high demand for his designs by women around the world. I caught up with Alexandre at his headquarters in Paris after he and I had both just returned from a whirlwind tour of Asia. I was attending Shanghai Fashion Week and Tokyo Fashion Week and he also happened to be there as well. He was showing his first collection outside of Paris in Shanghai at the same time as its fashion week, and then held an event in Japan during its fashion week. All of it was a way to thank his Asian customers and friends who have become a very big part of his business. What did I tell you, Alexandre, a savvy businessman, but an even better friend.

Bienvenue dans Le Sapping, le podcast du sens de l’habit. Il est produit par Thegoodgoods, le 1er média mode et art de vivre éco-repsonsables. Je suis Victoire Satto et je reçois ici des hommes et des femmes qui agissent pour une mode de bon sens : une mode écologique, socialement engagée, une mode inclusive qui respecte les identités et la diversité, une mode qui innove pour devenir meilleure. Cet épisode est un hors série, un medley réalisé les 21 et 22 septembre 2019, au cours de l’évènement Paris Aime La Mode Qui S’Engage dont nous étions partenaires [http://thegoodgoods.fr/tgg-news/events/paris-aime-la-mode-qui-s-engage]. Au cours de cette journée, l’École Duperré - École de mode historique de Paris classée en 2019 par le Business Of Fashion comme l’une des meilleures au monde -, a ouvert ses portes au grand public. Elle accueillait un week-end de sensibilisation à la mode éthique à l’aide d’un parcours initiatique sur la fabrication des vêtements, des conférences et des films autour des thèmes de l’approvisionnement responsable, de la transparence et l’éducation à l’éthique dans les écoles la mode. Après une immersion chez les professionnels au sein d’un salon du prêt-à-porter, IMPACT x Who's Next [http://thegoodgoods.fr/tgg-news/impact-thegoodgoods-whos-next-podcast] (ré-écouter pour les épisodes du Sapping épisode 21 [http://thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/le-sapping-impact-x-who-s-next-episodes-exceptionnels et épisode 22 [http://thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/le-sapping-impact-x-who-s-next-episodes-exceptionnels-2] on a voulu connaître le point de vue des consommateurs et des jeunes créateurs sur la mode éthique : Quelle est leur définition ? Quel est leur degré d’information ?  Qu’est-ce qui les freine à acheter ?  Quelle confiance ont-ils dans le discours des marques ? On vous emmène à leur rencontre à l’école Duperré.  Au début de cet épisode, vous entendrez trois femmes importantes dans le monde de la mode responsable : ISABELLE QUÉHÉOrganisatrice de l’évènement mais aussi Directrice Artistique, Fondatrice de l’Association Universal Love, Fondatrice du salon Ethical Fashion Show. Et également membre actif de Fashion Revolution France. NATHALIE RUELLEIngénieure, Professeur à l’IFM, chargée des enseignements de fabrication et politiques industrielles. CATHERINE DAURIACFashion Eco-Journalist, co-fondatrice des Fashion Green Days et de La Fabrique Idéale, membre actif de Fashion Revolution. Ce sera ensuite au tour des consommateurs participants à cette journée de s’exprimer. Cet évènement était marrainé par la créatrice Sakina MSa, dernière invitée du Sapping que vous pouvez également entendre raconter son histoire dans l’épisode 23 [http://thegoodgoods.fr/tgg-news/generale/le-sapping-de-sakina-msa-front-de-mode]. Cet épisode est exceptionnellement mené par Renaud Petit [http://thegoodgoods.fr/recherche?searchphrase=all&searchword=renaud%20petit], super star de notre team rédactionnelle, qui était présent aux côtés de Thibault lors de ce week-end et qui a assuré merveilleusement les interviews (tandis qu'aux confins du Jura, Victoire se formait au Reiki... Une true story). BONNE ÉCOUTE !   RÉFÉRENCES L’école Duperré [https://duperre.org/] L’IFM [https://www.ifmparis.fr/fr/] Ethical fashion Show [https://fr.wikipedia.org/wiki/Ethical_Fashion_Show] Universal Love [https://www.universallove.fr/] Fashion Revolution France [https://www.facebook.com/FashionRevolutionFrance/] Hummade [http://www.hummade.fr/] - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  Avant de partir, si vous appréciez le podcast, ce qui nous aide le plus pour le porter aux oreilles d'un maximum de personnes, c'est que vous preniez quelques secondes pour laisser une note étoilée sur Apple Podcast ou sur Itunes. N'hésitez pas également à :

Kader Attia, artiste a lancé depuis deux ans le lieu LA COLONIE (barré) dans le 10ème arrondissement de Paris. Photo by Camille Millerand Kader Attia grew up in Paris and in Algeria. Preceding his studies at the École Supérieure des Arts Appliqués Duperré and the École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs in Paris, and at Escola Massana, Centre d'Art i Disseny in Barcelona, he spent several years in Congo and in South America. The experience of living between different cultures, the histories of which over centuries have been characterised by rich trading traditions, colonialism and multi-ethnic societies, has fostered Kader Attia’s intercultural and interdisciplinary approach of research. For many years, he has been exploring the perspective that societies have on their history, especially as regards experiences of deprivation and suppression, violence and loss, and how this affects the evolving of nations and individuals — each of them being connected to collective memory. His socio-cultural research has led Kader Attia to the notion of Repair, a concept he has been developing philosophically in his writings and symbolically in his oeuvre as a visual artist. With the principle of Repair being a constant in nature — thus also in humanity —, any system, social institution or cultural tradition can be considered as an infinite process of Repair, which is closely linked to loss and wounds, to recuperation and re-appropriation. Repair reaches far beyond the subject and connects the individual to gender, philosophy, science, and architecture, and also involves it in evolutionary processes in nature, culture, myth and history. Following the idea of catharsis, his work aims at Art’s re-appropriation of the field of emotion that, running from ethics to aesthetics, from politics to culture, links individuals and social groups through emotional experience, and that is in danger of being seized by recent nationalist movements In 2016, Kader Attia founded La Colonie, a space in Paris to share ideas and to provide an agora for vivid discussion, that extends his praxis from representation to action. Focussing on decolonialisation not only of peoples but also of knowledge, attitudes and practices, it aspires to de-compartmentalise knowledge by a trans-cultural, trans-disciplinary and trans-generational approach. Driven by the urgency of social and cultural reparations, it aims at reuniting which has been shattered, or drift apart. Kader Attia's work has been shown in group shows and biennials such as the 12th Shanghai Biennial; the 12th Gwangju Biennial; the 12th Manifesta, Palermo; the 57th Venice Biennial; dOCUMENTA(13) in Kassel; Met Breuer, New York; Kunsthalle Wien; MoMA, New York; Tate Modern, London; Centre Pompidou, Paris, or The Solomon R. Guggenheim Museum, New York - just to name a few. Notable solo exhibitions include “The Museum of Emotion”, The Hayward Gallery, London; “Scars Remind Us that Our Past is Real”, Fundacio Joan Miro in Barcelona; “Roots also grow in concrete”, MacVal in Vitry-sur-Seine; „The Field of Emotion“, The Power Plant, Toronto; Museum of Contemporary Art, Sydney; SMAK, Gent; Museum für Moderne Kunst, Frankfurt; Musée Cantonal des Beaux Arts de Lausanne; Beirut Art Center; Whitechapel Gallery, London; KW Institute for Contemporary Art, Berlin. In 2016, Kader Attia was awarded with the Marcel Duchamp Prize, followed in 2017 by the Prize of the Miró Foundation, Barcelona, and the Yanghyun Art Prize, Seoul. Schizophrenic Melancholia, 2018, Exhibition view “The Museum of Emotion”, Hayward Gallery, London, UK, 2019 Courtesy of the artist and Regen Projects, Photo : Marc Domage Shifting Borders, 2018, 3-channel HD digital film on 4 screens, 16:9, colour, sound each, vintage chairs and leg prosthesis. “The Paradoxes of Modernity”, 43:19 min., “Recycling Colonialism”, 32:12 min., “Catharsis: The Living and the Dead are Looking for Their Bodies”, 48:53 min.,

e-flux journal editor Brian Kuan Wood speaks to Kader Attia, artist and founder of La Colonie, a space in Paris for sharing ideas and discussion. Focussing on decolonialisation not only of people but also of knowledge, attitudes and practices, it aspires to de-compartmentalise knowledge by a trans-cultural, trans-disciplinary and trans-generational approach. Driven by the urgency of social and cultural reparations, it aims to reunite which has been shattered, or drift apart. Kader Attia (b. 1970, France), grew up in Paris and in Algeria. Preceding his studies at the École Supérieure des Arts Appliqués Duperré and the École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs in Paris, and at Escola Massana, Centre d’Art i Disseny in Barcelona, he spent several years in Congo and in South America. The experience with these different cultures, the histories of which over centuries have been characterised by rich trading traditions, colonialism and multi-ethnic societies, has fostered Kader Attia’s intercultural and interdisciplinary approach of research. For many years, he has been exploring the perspective that societies have on their history, especially as regards experiences of deprivation and suppression, violence and loss, and how this affects the evolving of nations and individuals—each of them being connected to collective memory. His socio-cultural research has led Kader Attia to the notion of Repair, a concept he has been developing philosophically in his writings and symbolically in his oeuvre as a visual artist. With the principle of Repair being a constant in nature—thus also in humanity—, any system, social institution or cultural tradition can be considered as an infinite process of Repair, which is closely linked to loss and wounds, to recuperation and re-appropriation. Repair reaches far beyond the subject and connects the individual to gender, philosophy, science, and architecture, and also involves it in evolutionary processes in nature, culture, myth and history. Attia's solo exhibition The Museum of Emotion at The Hayward Gallery, London recently closed. Upcoming 2019 exhibitions include a solo show opening in September at Berkeley Art Museum and Pacific Film Archive, and group shows at Rubin Museum of Art, Louisiana Museum of Modern Art, and The Phillips Collection.

Je partage chaque vendredi dans ma newsletter des actus, des outils, des process et des stratégies pour vous aider à monter votre marque. Inscrivez-vous sur www.entreprendredanslamode.comDans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre d’Alexia Aubert, elle est la fondatrice de la marque de chaussures Solovière. Dans cet épisode, elle revient sur son parcours passé chez Christian Louboutin, Pierre Hardy et Oscar de la Renta. Elle nous raconte toute l’épopée de Solovière, de la création à aujourd’hui. J’ai adoré interviewer Alexia, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter.Musiques : Théo DarcelSE RETROUVER DANS L’EPISODE01:05 Alexia se présente et revient sur son parcours jusqu’à son départ de Louboutin16:52 Son arrivée chez Pierre Hardy, son départ pour les Etats-Unis et son arrivée chez Oscar de la Renta29:51 Le processus de fabrication des chaussures37:44 Son retour à Paris, son travail de consulting pour les marques pendant 3 ans et ses débuts avec Solovière47:30 Comment elle finance ses débuts de production, ses différentes milestones58:08 Comment elle est entourée, qu’est-ce qu’elle ferait différemment01:03:25 Comment elle se nourrit sur la partie business, qu’est ce qu’elle ferait si elle avait 20 ans01:07:28 Son rapport avec le sustainability, comment elle voit la mode plus tard, qu’est ce qui la fait avancer, son chiffre d’affaires01:13:17 Qu’est ce qu’elle conseille aux personnes qui veulent se lancer, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcastKEYLEARNINGS Ce que j’aurai différemment, c’est que, quand j’ai monté ma marque, j’étais sur 10 milliards de projets de consulting en même temps, donc ça m’a permis de financier mais cela ne m’a pas permis d’être méga focus. Donc je pense qu’au début où j’avais toute la concentration des bailleurs, toute la concentration de la presse et j’avais un peu les spotlights sur moi etc., j’aurai pu être plus focus sur le produit et la qualité, livrer un produit mieux que ce que j’ai fait à la base. Mon produit était déjà très bien mais il aurait pu être top. En termes de qualité, j’avais un peu sous-estimé l’exigence, et ça, ça m’a un peu joué des tours, et quand on a une prod qui est un petit peu d’une qualité un peu intermédiaire, au prix italien, on peut avoir des conséquences un peu rétroactives sur les saisons suivantes, ça n’a pas des conséquences immédiates après ça se ressent sur les saisons plus tard, on rame un peu plus à vendre son produit mais ce n’est pas dramatique.Pour lancer ma marque, je me serais dégagé plus de temps pour ma marque. J’aurai plus communiqué, je me serais plus concentré sur la communication. Le online direct avec le Eshop et l’Instagram, ça j’aurai fait ça différemment. C’est une vraie communication directe avec son consommateur, c’est un espace de prise de parole directe sans faire de l’annonce papier, cela permet de donner des news de la marque, des insights de la marque de manière totalement libre, et ça je trouve que c’est un produit hyper intéressant et il faut savoir le maitriser.A quelqu’un qui veut se lancer, je conseillerais d’avoir une bonne idée, beaucoup de créativité, mais une créativité hors norme, il faut avoir un angle d’attaque différent créatif, clair et après pour soutenir son angle d’attaque créatif, il faut des compétences, être très couteau suisse, il faut quand même se mettre un peu le nez dans les chiffres, se mettre le nez dans la paperasserie, micromanager de manière humaine, avoir un outil de prod solide, très solide. Ce que je dirais, ce n’est surtout pas se lancer seule, avoir un maximum de partenaire. REFERENCESEcole Estienne http://www.ecole-estienne.paris/Lycée d’Alembert http://lyceedalembert.paris/Christian Louboutin http://eu.christianlouboutin.com/fr_fr/Pierre Hardy https://www.pierrehardy.com/Duperré https://duperre.org/Balenciaga https://www.balenciaga.com/frHermès https://www.hermes.com/fr/fr/Oscar de la Renta https://www.oscardelarenta.com/Mulberry https://www.mulberry.comElie Saab https://www.eliesaab.com/frSarah Andelman https://www.instagram.com/sarahandelman/?hl=frPitti Uomo https://www.pittimmagine.com/en/corporate/fairs/uomo.htmlhttps://www.mariefrance.fr/mode/backstage-mode/en-coulisse/le-pitti-uomo-230194.htmlCaroline Charles https://www.carolinecharlescommunication.com/Sunspel https://www.sunspel.com/euro/Paraboot https://www.paraboot.com/J.Weston https://www.jmweston.com/Repetto https://www.repetto.fr/Church’s https://www.church-footwear.com/fr/fr.htmlCharlotte Chesnais https://www.charlottechesnais.fr/

Marie Cabirou is the talented woman behind the fledgling French fine jewelry house Marie Mas. She has the pedigree and the skills to become a leader in luxury jewelry design. Cabirou studied at the prestigious École Duperré and the IFM (French Fashion Institute) in Paris. And you probably already love her work, if you took a shine to the artistic and asymmetrical jewelry that was a hallmark feature of the Dior shows during the reign of Raf Simons at the house.

Stylisme, design, mannequinat, marketing … À côté des professions associées à l'image des défilés quels sont les métiers qui se cachent dans les coulisses de la mode ? Quel est cet univers qui réconcilie la tradition et l'innovation, l'imaginaire et la réalisation technique ? Faire vivre les ateliers pour faire vivre le podium : qui sont les jeunes optant pour ce secteur professionnel ? Gantiers, brodeurs, dentelliers, plumassiers, chapeliers modistes, bottiers… sont-ils nombreux à vouloir s'épanouir dans l'ombre de la haute couture… pour la beauté du geste ? Avec Hans de Foer, directeur du Programme Postgraduate de Création à l'Institut Français de la Mode, Marion Laporte, auteur de l'ouvrage La Mode aux Presses universitaires de France, Anne-Cécile Sonntag, enseignante du département Mode à l'école Duperré et Stéphane Wargnier, président exécutif de la Fédération Française de la Couture, du Prêt à Porter des Couturiers et des Créateurs de Mode.

Cycle Couture La mode : la beauté du geste ? Stylisme, design, mannequinat, marketing … À côté des professions associées à l’image des défilés quels sont les métiers qui se cachent dans les coulisses de la mode ? Quel est cet univers qui réconcilie la tradition et l’innovation, l’imaginaire et la réalisation technique ? Faire vivre les ateliers pour faire vivre le podium : qui sont les jeunes optant pour ce secteur professionnel ? Gantiers, brodeurs, dentelliers, plumassiers, chapeliers modistes, bottiers… sont-ils nombreux à vouloir s’épanouir dans l’ombre de la haute couture… pour la beauté du geste ? Avec Hans de Foer, directeur du Programme Postgraduate de Création à l’Institut Français de la Mode, Marion Laporte, auteur de l’ouvrage La Mode aux Presses universitaires de France, Anne-Cécile Sonntag, enseignante du département Mode à l’école Duperré et Stéphane Wargnier, président exécutif de la Fédération Française de la Couture, du Prêt à Porter des Couturiers et des Créateurs de Mode. Débats organisés en partenariat avec les Presses universitaire de France et l’Institut Français de la Mode. Modération : Arnaud Laporte, animateur-producteur à France Culture.