Podcasts about ifremer

  • 31PODCASTS
  • 40EPISODES
  • 28mAVG DURATION
  • 1MONTHLY NEW EPISODE
  • May 27, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about ifremer

Latest podcast episodes about ifremer

Sources diplomatiques
Qui gouverne l'océan ? · 2/5

Sources diplomatiques

Play Episode Listen Later May 27, 2025 30:29


Épisode 1. Ces trésors de la mer qu'on voit danser. Notre voyage commence au cœur des abysses, là où les scientifiques étudient et cartographient les trésors marins à des milliers de kilomètres des tables de négociation. Car toute politique de préservation commence par une question simple : que cherche-t-on concrètement à protéger ?  En 2025, l'océan reste largement inconnu : moins d'un quart de ses profondeurs sont cartographiées, et à peine 5 % véritablement explorées. Les premières découvertes éveillent déjà les convoitises, mais sans cadre clair, leur exploitation pourrait menacer des écosystèmes encore méconnus et fragiles. Plongez dans le récit de ceux qui ont arpenté les grands fonds, où chaque découverte réinvente ce que l'on croyait savoir sur le vivant.  Avec : Pierre-Antoine Dessandier, océanographe à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), chef de la mission Eden ; Sébastien Ybert, coordinateur « France 2030 Grands fonds marins » à l'Ifremer ; Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat ; Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement).   PRÉCISION: du discours d'Arvid Pardo, il n'existe qu'une archive écrite, aussi dans cet épisode, la lecture du texte a été réalisée à l'aide du logiciel d'intelligence artificielle, Eleven Labs   ARCHIVES & EXTRAITS : bandes-annonces des films « 20 000 lieux sous les mers » (1955) et « The Abyss » (1989) ; lecture du discours d'Arvid Pardo ; enregistrements réalisés par l'Ifremer sur l'Atalante lors de la mission Eden de novembre 2024 à janvier 2025 ;    POUR ALLER PLUS LOIN : Mission Eden : explorez les grands fonds à travers un retour en images de la mission Eden commenté par Pierre-Antoine Dessandier Discours d'Arvid Pardo aux Nations Unies : découvrez l'intégralité de son appel visionnaire, lancé en 1967, pour faire de l'océan un bien commun de l'humanité (en anglais uniquement). La Convention de Montego Bay : feuilletez cet accord historique, adopté en 1982, qui a posé les bases de la gouvernance internationale des océans    CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy  Direction de production : Julie Godefroy Musique : Tripman, 2050 ; Levitator, Tamuz Dekel ; DKNW, sunwo0o ; March the Machine, Flint ; Deep Water, Adi Goldstein ; Everlasting flower, DaniHaDani ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.

Sur le fil
Bras de fer autour de l'exploitation des grands fonds marins

Sur le fil

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 10:15


Ils sont plongés dans l'obscurité, peuplés d'animaux tous plus étranges les uns que les autres, et se situent à des kilomètres sous le niveau de la mer : les grands fonds marins attisent convoitise et curiosité.D'un côté, l'industrie minière se bat pour obtenir le droit d'exploiter les ressources comme le cobalt ou le nickel, recherchés pour les batteries électriques ou les turbines d'éoliennes indispensables à la décarbonation de nos économies; de l'autre, des ONG et des Etats opposés à ces projets, car ils craignent que cette activité ne ravage les écosystèmes marins.Le mouvement s'accélère, avec une première demande d'exploitation dans les eaux internationales d'une entreprise canadienne attendue en juin.Aucune règle n'encadre les conditions d'exploitation des fonds marins dans les eaux internationales, qui pourraient déséquilibrer des écosystèmes… justement essentiels à la séquestration du carbone.A Kingston en Jamaïque, siège de l'Autorité Internationale des Fonds Marins, d'intenses négociations ont été relancées mi-mars pour tenter de mettre en place un code minier international.Invités: Amélie Bottollier-Depois, correspondante de l'AFP à l'ONU, qui suit les négociations de l'AIFM, et Marjolaine Matabos, chercheuse en biologie marine à l'Ifremer.Archives sonores : Ifremer et AFPTVRéalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Irish Tech News Audio Articles
Durham University scientists unlock secrets of the longest runout sediment flows on earth using seabed seismographs

Irish Tech News Audio Articles

Play Episode Listen Later Dec 18, 2024 4:22


Durham University scientists have made a groundbreaking discovery in marine geoscience, revealing unprecedented insights into the dynamics of Earth's longest-runout sediment flows. By using seabed seismographs placed safely outside the destructive paths of powerful underwater avalanches of sediment, researchers have successfully monitored turbidity currents - a natural phenomenon that shapes deep-sea landscapes, damages telecommunication cables, and transports large quantities of sediment and organic carbon to the ocean floor. The longest runout sediment flows on earth The study recorded two massive turbidity currents that travelled over 1,000 kilometres through the Congo Canyon Channel, moving at speeds of up to 7.6 metres per second. These flows lasted over three weeks and marked the longest runout sediment flows ever directly observed on Earth. This achievement provides critical new data on the duration, internal structure, and behaviour of turbidity currents, advancing our understanding of this powerful geophysical process. This breakthrough opens up new possibilities for studying one of the most significant yet poorly understood processes shaping our planet. By using ocean-bottom seismographs, researchers can now safely and effectively measure these extraordinary events in more detail than ever before. Lead author of the study, Dr Megan Baker of Durham University, said, "This multidisciplinary work brought together geologists, seismologists, and engineers to advance our understanding of powerful turbidity currents through first-of-their-kind observations using ocean-bottom seismographs. "This approach enables the safe monitoring of these hazardous events and will help us learn where and how often turbidity currents occur globally." The research team, which included researchers from Newcastle University, GEOMAR Helmholtz Centre for Ocean Research, National Oceanography Centre, Georg-August-University, Deutsches GeoForschungsZentrum GFZ Potsdam, IFREMER, Université Paris-Saclay, TU Wien, University of Hull, University of Southampton and Loughborough University, successfully used ocean-bottom seismographs - instruments that are placed on the seafloor to record seismic signals generated by the turbidity currents. This innovative approach allowed the researchers to capture detailed information on these flows without risking damage to expensive equipment, as has been the case with previous attempts. The use of these seismographs marks a major step forward in monitoring hazardous seabed events, offering a cost-effective and long-term method for studying turbidity currents and their impacts. The findings also reveal the global significance of these underwater flows. The turbidity currents studied in this research not only shape deep-sea landscapes but also play a crucial role in the transport of organic carbon and sediment to the ocean floor, with significant implications for deep-sea ecosystems and global carbon cycles. The study shows that despite substantial erosion of the seafloor, the front of these massive flows maintains a near-constant speed and duration, efficiently moving organic material and sediment vast distances to the deep sea. The study also challenges traditional models of turbidity current behaviour, suggesting that the flows can maintain a consistent speed and duration even as they erode the seabed. This finding calls for a revaluation of existing models that have been based primarily on shorter, shallower flows. More about Irish Tech News Irish Tech News are Ireland's No. 1 Online Tech Publication and often Ireland's No.1 Tech Podcast too. You can find hundreds of fantastic previous episodes and subscribe using whatever platform you like via our Anchor.fm page here: https://anchor.fm/irish-tech-news If you'd like to be featured in an upcoming Podcast email us at Simon@IrishTechNews.ie now to discuss. Irish Tech News have a range of services available to help promote your business. Why not drop us a line at ...

DeepTechs
Le big data au service de la compréhension des océans

DeepTechs

Play Episode Listen Later Nov 24, 2024 37:22


Benoit Morin est ingénieur en calcul haute performance et intelligence artificielle à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), en charge du projet de renouvellement du centre Datarmor, le supercalculateur de l'institut connu pour sa devise : de l'abysse à la surface et des côtes au large. Originaire du Québec, où il a effectué tout son parcours académique, Denis est un expert en intelligence artificielle et en robotique. Il s'est spécialisé en calcul haute performance, technique informatique qui permet de paralléliser un problème, le découper en petites parties et l'effectuer en simultané. Il l'applique aux missions dévolues à l'Ifremer : la protection des écosystèmes, la gestion des ressources marines et le partage des données marines, collectées par satellites ou grâce à la flotte océanique française. Il a travaillé dans plusieurs centres de recherche au Québec avant de rencontrer son épouse, bretonne d'origine. « Qui prend épouse, prend pays », dit-il. Cap sur le grand large ! Avec Benoit Morin, nous parlons de calcul haute performance et notamment à l'application de ces solutions à l'étude des océans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

InterNational
Ifremer, 40 ans déjà

InterNational

Play Episode Listen Later Oct 7, 2024 4:13


durée : 00:04:13 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - L'Ifremer, l'Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer fête ses 40 ans. 40 ans d'engagement pour l'océan des abysses à la surface, de la côte et au large. François Houllier, le directeur de l'Ifremer présente cette aventure dans les Chroniques Littorales.

Les podcasts du CESM
Echo - Episode 57 | Drone Ulyx de l'Ifremer : le futur de l'exploration sous-marine ?

Les podcasts du CESM

Play Episode Listen Later May 30, 2024 26:11


Les abysses profonds, noirs et inconnus. Voilà ce qu'explore UlyX, le nouvel engin sous-marin de la Flotte océanographique française. Baptisé en 2020 et opérationnel depuis 2022, ce robot va apporter une contribution significative à l'exploration sous-marine. Que ce soit via ses capteurs ou sa capacité de plonger jusqu'à 6000 mètres de profondeurs, les innovations ne semblent pas manquer. Alors comment est né ce projet ? Quels en sont les principales missions ? Et comment ce dernier s'inscrit dans les missions de l'IFREMER ? Aujourd'hui, le CESM vous immerge dans le futur de l'exploration sous-marine en compagnie du commandant Gilles, capitane de l'Atalante, un bâtiment de recherche de l'Ifremer. Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : ⁠Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr)N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : ⁠podcast.cesm@gmail.com

Radio Cité Genève
Entre nos mains - 27/05/24 - Marjolaine Matabos - IFREMER

Radio Cité Genève

Play Episode Listen Later May 27, 2024 55:34


Les abysses, ces fonds marins encore très largement inexplorés, où les rayons du soleil ne passent pas, sont des zones mystérieuses et fascinantes pour le grand public.  Bien que l'homme ne puisse y séjourner que très ponctuellement, les répercussions de l'activité humaine sur son écosystème y sont à la fois visibles et préoccupants ! Pour nous parler de ce que beaucoup nomment : « la dernière frontière » nous recevons Marjolaine Matabos, chercheuse en écologie benthique à l'IFREMER de Brest. Elle va nous aider, entre autres, à mieux comprendre l'impact de l'homme sur les fonds marins.  

Tech&Co
Benoit Morin, responsable des infrastructures HPC d'Ifremer – 22/04

Tech&Co

Play Episode Listen Later Apr 22, 2024 9:28


Benoit Morin, responsable des infrastructures HPC d'Ifremer, était l'invité de Frédéric Simottel, dans Tech & Co, la quotidienne, ce lundi 22 avril. Il s'est penché sur la modernisation de Datarmor, notamment sur la création des jumeaux numériques marins pour anticiper les effets du réchauffement climatique. sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Vida en el Planeta
Científicos buscan los desechos nucleares vertidos en el océano

Vida en el Planeta

Play Episode Listen Later Mar 29, 2024 14:56


¿En qué estado están los desechos radiactivos que las potencias nucleares como Francia, Reino Unido o España arrojaron al Atlántico? Dicha práctica, legal hasta los años 90 suscita inquietudes. Un equipo del Centro de Investigaciones Científicas de Francia explorará las aguas de las costas francesas donde se echaron barriles de desechos radiactivos durante el siglo XX. Estas imágenes filmadas por la ONG ecologista Greenpeace en los años 70 parecen hoy de película de terror: hombres con trajes de protección arrojan desde un barco decenas de bidones metálicos que contiene residuos que permanecerán radiactivos por miles de años.Y sí, desde los inicios de la industria nuclear en los años 1940 hasta los años 1990, los países europeos y Estados Unidos vertieron legalmente miles de toneladas de desechos radiactivos en el océano Atlántico, con la idea de que los fondos oceánicos eran zonas sin vida. Reino Unido por ejemplo tiró entre 1949 y 1982 140.000 bidones en el marco de 34 operativos. A estos desechos se suman submarinos nucleares rusos perdidos en el Ártico y los desechos nucleares japoneses en el océano Pacífico.Medio siglo después, estos desechos están casi olvidados. Pero surgen varias inquietudes sobre la ubicación exacta de los bidones – se tiene un mapa aproximativo, con base en los datos de los estados-, y sobre el estado de estos barriles. ¿Podría haber fugas de material radiactivo en el agua? ¿Hasta qué punto serían tóxicos para los ecosistemas? Es justamente para responder estas preguntas que científicos del CNRS, Centro nacional francés de investigaciones científicas han impulsado un proyecto para mapear los fondos marinos y evaluar el estado de los barriles en la costa atlántica francesa en particular. Una zona que concentraría el 40% de los 250.000 barriles de residuos radiactivos que se vertieron en el mundo.El proyecto, científico es dirigido por el ingeniero especialista en radiactividad Patrick Chardon, que precisa que los desechos arrojados al mar son de mediana y baja intensidad. Se tratan de guantes y material de laboratorios. Su colega, el geólogo marino Javier Escartín quién codirige este programa de exploración marina recuerda que estos vertidos se hicieron legalmente “bajo los auspicios de la Agencia Internacional Atómica”. “ Todos los residuos de media y baja actividad y hablamos de, por ejemplo, material de laboratorio, no hablamos de combustible nuclear, se introdujeron en barriles con cemento para contenerlos y se echaron directamente en el mar durante este periodo de tiempo”, detalla Escartín, quién recibió a RFI en sus oficinas de la Escuela Normal Superior de París.¿Cuál es la peligrosidad de esta basura nuclear?, se le preguntó a Escartín.“Las unidades de radiactividad quizá sea muy, muy abstractas para el oyente. Representan aproximadamente el 50% de lo que hubiese sido, quizás menos el accidente de Chernóbil, pero hay que tener en cuenta que esto se hizo durante varias décadas. No fue un accidente puntual como el caso de Chernóbil. Y el otro aspecto es que todos estos partidos están tirados en una zona enorme. O sea, hablamos de zonas que son de decenas de miles de kilómetros, o sea que los residuos están dispersados. Son unas zonas enormes, no concentradas en un punto como el Chernóbil.”, respondió el geólogo.“Y luego otro aspecto a considerar es que la actividad radiactiva de estos radionúclidos decae con el tiempo. Entonces creemos que desde el momento que se echaron con respecto a los radionúclidos que están en el fondo del mar, la cantidad de actividad radiactiva que hay ahora es probablemente un menos de la mitad, quizás 1/3 o el 25% de lo que es hecho originalmente”, estima Escartín.El científico concede sin embargo que no se tiene idea de la corrosión de los barriles: “A finales de los años 80, se consiguieron hacer algunas fotos de ciertos barriles y ya empezaban a estar dañados. Algunos otros parecían intactos. (…) Uno de los aspectos de este proyecto es evaluar el estado de los barriles y su distribución en estas zonas”, explicó.Para ello, se prevé una misión en 2024 para explorar primero una zona de 6000 kilómetros cuadrados a 600 km de distancia de las costas francesas a la altura de la ciudad de Nantes. Se efectuará primero una tarea de mapeo de los fondos marinos y de localización de los barriles. Luego, un segundo programa consistirá en tomar muestras de agua y de los sedimentos cerca de los bidones de desechos radiactivos para medir su impacto en los micro organismos, mariscos y peces.Y para enfrentar el desafío de bajar a 4000 metros de profundidad donde se encuentran los bidones, los científicos dispondrán del robot submarinos Ulyx de última tecnología, propiedad del Instituto francés del mar IFREMER. Un aparato capaz de tomar videos, fotos, realizar reconstituciones 3D.En cuanto a los desechos de la industria nuclear, desde finales del siglo XX, países como Francia han optado por reciclarlos o almacenarlos en concreto en tierra. El estado francés tiene de hecho un proyecto piloto de cementerio nuclear para sepultar sus desechos de combustible radiactivo a 300 m bajo tierra.Escuchar la entrevista completa con Javier Escartín:Entrevista: Javier Escartín, geólogo marino del CNRS, Centro de Investigación Cientifíca francés.

Le Labo des savoirs
Microbiome : indicateur santé de l'océan

Le Labo des savoirs

Play Episode Listen Later Jan 17, 2024 54:17


Nous connaissons le microbiote de nos intestins… mais beaucoup moins celui de nos océans. Le microbiome, ce grand inconnu qui vit partout autour de nous, est lui aussi un rouage de la bonne santé de notre monde. Mais nous le savons, notre planète a de la fièvre et ses maladies chroniques (pollutions, réchauffement climatique, disparition de la biodiversité) touchent aussi les populations microbiennes.Quels est le rôle véritable du microbiote marin sur l'équilibre des océans ? Comment les scientifiques font-ils pour étudier une masse grouillante invisible à l'œil nu ? notre invité est Anthony Bertucci, chercheur en biologie moléculaire et en éco-toxicologie à Ifremer de Nantes. Il est le premier porteur de la Chaire Bleue Ifremer, sur le thème « Contaminants, mer et santé ». une chronique de Marie Hilary sur le virus de l'herpès chez l'huitre et l'étonnant rôle des algues sur le microbiote de celle-ci. Cette émission a été préparée et réalisée par Sophie Podevin.

Radio Monaco - Monte-Carlo Business Club
Jean-Louis Etienne: "Polar POD est une innovation totale"

Radio Monaco - Monte-Carlo Business Club

Play Episode Listen Later Nov 23, 2023 10:35


Le mercredi 22 novembre 2023, l'Institut océanographique de Monaco a décerné à Jean-Louis Etienne la Grande Médaille Albert Ier dans la catégorie Médiation. Depuis 1949, cette distinction mise en place par l'Institut Océanographique de Monaco récompense les personnalités qui œuvrent en faveur de la protection de l'océan. L'occasion d'un entretien passionnant avec le grand explorateur polaire juste avant la cérémonie organisée au Musée Océanographique.  Le premier homme à avoir atteint le pôle Nord en solitaire nous parle du projet qui occupe toutes ses pensées depuis 12 ans: la construction et le déploiement d'ici 2026 du Polar POD. Dans le cadre d'un programme scientifique mis en oeuvre par le CNRS, le CNES et l'Ifremer, ce navire unique au monde a pour vocation d'étudier l'Océan Austral comme jamais auparavant. Inspirée d'un ancien navire militaire américain, cette station de recherche pourra en effet se dresser à la verticale pour dériver toute l'année autour de l'Antarctique. La découpe de la première tôle est prévue début 2024 pour une première expédition de trois ans dès 2026.  Jean-Louis Etienne répond à Nathalie Michet. 

TẠP CHÍ KINH TẾ
Khai thác đất hiếm dưới đáy đại dương, Nhật Bản trên tuyến đầu

TẠP CHÍ KINH TẾ

Play Episode Listen Later Aug 22, 2023 9:19


Nhật Bản, châu Âu và Hoa Kỳ theo đuổi cùng một mục đích : Không còn phải lệ thuộc vào đất hiếm Trung Quốc, rất cần thiết cho công nghệ số và cho tiến trình chuyển đổi sang một nền kinh tế xanh. Đại dương là một nguồn cung cấp rất lớn. Chinh phục khoáng sản, kim loại hiếm dưới lòng biển sẽ đặt ra nhiều thách thức về kỹ thuật, môi trường và nhất là địa chính trị. Nhật Bản đang dẫn đầu cuộc đua, đã bắt đầu phát triển kỹ thuật và công nghệ để chắt lọc khoáng sản từ bùn đại dương ở độ sâu từ 5 đến 6 ngàn mét. Phụ thuộc đến 60 % vào đất hiếm Trung Quốc, Nhật Bản thông báo bắt đầu khai thác đất hiếm từ đầu năm 2024. Viễn cảnh « thoát Trung » từ 2024 Theo báo tài chính Nhật Nikkei Asia ngày 24/12/2022 Tokyo chuẩn bị khai thác đất hiếm trong lòng đại dương ở khu vực ngoài khơi đảo Minami Torishima, cách thủ đô Tokyo chừng 1.900 km về hướng đông nam, đây là vùng biển xa xôi nhất thuộc hải phận Nhật Bản. Trữ lượng đất hiếm trong khu vực Minami Torishima đủ để bảo đảm nhu cầu tiêu thụ của Nhật Bản cho cả « gần ngàn năm ».Là một trong những nguồn tiêu thu kim loại hiếm hàng đầu thế giới để sản xuất từ ô tô điện đến màn ảnh phẳng, cánh quạt gió … Nhật rất cần đất hiếm với 17 nguyên tố kim loại nặng. Viễn cảnh từng bước « thoát Trung » tự lực về kim loại hiếm quả là một món quà Giáng Sinh đầy ý nghĩa. Song để đạt đến đích, các nhà khoa học Nhật Bản còn phải vượt qua nhiều thách thức.Nikkei Asia giải thích : khó khăn đầu tiên là hải lưu Kuroshio, ở tây Thái Bình Dương chảy ngang qua Nhật Bản, nước chảy rất siết, rất nguy hiểm cho các đội tàu thám hiểm hay khai thác lòng đại dương trong khu vực này. Thách thức thứ nhì là khu vực Minami Torishima thường nằm trên lộ trình của các trận bão lớn. Khó khăn thứ ba là phải có phương tiện để chắt lọc kim loại hiếm từ các mẫu đá, bùn dưới lòng đại dương ở độ sâu 5 hay 6 ngàn mét, đưa bùn đại dương ở độ sâu như vậy lên cạn đã là một kỳ công.Các toán kỹ sư Nhật cũng chưa bao giờ làm việc, khai thác tài nguyên trong những điều kiện « khó khăn như vậy » và phải giải quyết cùng lúc « quá nhiều ẩn số ».Cuối năm 2022 Quốc Hội Nhật Bản đã thông qua ngân sách 45 triệu đô la cho dự án khai thác, đồng thời quy định chỉ có bên bộ Kinh Tế, Thương Mại và Công nghiệp được quyền cấp giấy phép cho các công ty khai thác đất hiếm trên lãnh thổ quốc gia. Riêng Cơ Quan An Ninh Kim Loại và Năng Lượng Nhật Bản JOGMEC đầu tư 75 % vào dự án. Hai năm trước đó JOGMEC thông báo đã tìm thấy nhiều kim loại hiếm như cobalt, kẽm … trong đá trầm tích ở khu vực đảo Minami Torishima thuộc lãnh hải Nhật Bản.Chiến lược mới về an ninh quốc gia Nhật Bản xem việc giảm mức độ lệ thuộc vào đất hiếm của một số quốc gia là một ưu tiên. Đất hiếm là một trong số 11 lĩnh vực thuộc diện « vật liệu thiết yếu đặc biệt » trong bộ luật về an ninh kinh tế vừa được ban hành năm 2023.Tham vọng của Na Uy Chưa tiến xa như Nhật Bản, ở khu vực Bắc Âu, tháng trước Na Uy đệ trình lên Quốc Hội một dự án cho phép khai thác « kim loại nặng » gần quần đảo Svalbard thuộc Bắc Băng Dương. Diện tích khai thác lớn ngang với toàn nước Đức -trên dưới 390.000 km vuông. Đây là một vùng có nhiều kim loại hiếm và có trữ lượng về đồng trên 38 triệu tấn đang ngủ vùi ở độ sâu hơn 4.000 mét dưới đáy biển.Oslo muốn trở thành quốc gia châu Âu đầu tiên cung cấp từ cobalt cho đến lithium để phục vụ công nghiệp sản xuất bình điện cho xe ô tô, cho các cánh quạt sản xuất năng lượng gió. Trong chưa đầy 2 thập niên nữa -đến ngưỡng 2040, nhu cầu tiêu thụ lithium trên thế giới sẽ lớn gấp hơn 40 lần so với hiện tại.ISA và các vùng biển quốc tế Riêng đối với những vùng biển quốc tế, công tác thăm dò, khai thác thuộc thẩm quyền của Cơ Quan Quản Lý Đáy Biển Quốc Tế -ISA, một tổ chức trực thuộc Liên Hiệp Quốc, trụ sở tại Kingston, Jamaica.ISA vừa kết thúc khóa họp trong ba tuần hôm 29/07/2023. Các bên không đạt được đồng thuật về một dự thảo quy định khai thác khoáng sản dưới đáy biển ở độ sâu 4.000 mét trở đi và cũng không đồng ý cho khai thác ngay lập tức các khoáng sản dưới lòng đại dương.Trước mắt ISA mới chỉ đồng ý cho các công tác « thăm dò » và từ khi bắt đầu hoạt động năm 1994 Cơ Quan Quản Lý Đáy Biển Quốc Tế mới chỉ cấp 31 giấy phép cho các công ty thăm dò đáy biển, chủ yếu liên quan đến vùng Clarion-Clipperton trải rộng trên gần 15 triệu km vuông ở Thái Bình Dương, nằm giữa đảo Hawaii của Mỹ và Mêhicô. Giới khoa học chưa thể thẩm định hết tác động của việc khai thác khoáng sản đối với hệ sinh thái biển, nhưng đa phần đưa ra cảnh báo về một sự « mất mát » và nguy cơ « không thể đảo ngược » do còn thiếu kiến thức về sinh học, môi trường và hệ sinh thái cả trên đất liền và đại dương. Một số tập đoàn lớn như Samsung của Hàn Quốc hay hãng xe Đức BMW hưởng ứng kêu gọi tránh sử dụng khoáng sản khai thác từ đại dương.Pháp, Đức, Chilê hay nhiều quốc đảo ở Thái Bình Dương chủ trương nên dừng lại ở khâu « thăm dò ». Ở góc đài bên kia, từ Trung Quốc, Hàn Quốc hay đảo Nauru vận động để bắt đầu khai thác nguồn tài nguyên vô tận này.ISA bế tắc vì Trung Quốc Hãng tin Pháp AFP ghi nhận « dưới áp lực của phái đoàn Trung Quốc chủ đề bảo vệ đáy đại dương ở độ sâu không được đưa vào chương trình nghị sự năm nay mà đã bị đẩy lùi sang năm tới 2024 ».Tuy nhiên, ngay cả trong hàng ngũ các quốc gia chủ trương phải tạm thời đợi thêm kết quả nghiên cứu về tác động của việc khai thác đối với hệ sinh thái biển, cũng có những ý kiến bất đồng như quan điểm của thượng nghị sĩ Teva Rohfritsch, vùng Polynésie : « Khoáng sản và các chương trình thăm dò tìm kiếm khoáng sản nảy sinh từ quyết tâm làm chủ các nguồn tài nguyên dưới lòng đại dương. Chúng ta biết có rất nhiều kim loại hiếm cần thiết để sản xuất điện thoại di động, sản xuất những tấm kính … Có rất nhiều quặng mỏ, tài nguyên trong lòng đại dương. Thực ra thì nếu không có đại dương, thì không thể có sự sống trên bộ. Điều đó được chứng minh hàng ngày ».Kinh tế-môi trường, đề tài tranh luận muôn thủơMột lần nữa tất cả các tranh cãi lại xoay quanh hai mục tiêu kinh tế và môi trường. Trong một phóng sự trên kênh truyền hình châu Âu Euronews, kỹ sư Ian Stewart chủ nhiệm chương trình khai thác tài nguyên dưới lòng biển MIDAS Project giải thích về tiềm năng rất lớn của đại dương khiến nhiều công ty đang vận động ráo riết để được quyền khai thác :« Có rất nhiều khoáng sản trong lòng đại dương mà nhiều quốc gia muốn khai thác về mặt thương mại, thí dụ như là hợp chất phosphat, băng cháy methan hydrat mà chúng ta có thể khai thác như là một loại năng lượng vậy. Hiện có nhiều dự án đầu tư rất lớn trong lĩnh vực này »Về phần nhà địa chất học Erwan Pelletier thuộc–Viện Nghiên Cứu Khai Thác Biển của Pháp IFREMER trong phóng sự trên đài France 24 ông đã xác nhận một số kim loại tìm thấy trong đá trầm tích ngoài khơi Brest miền tây bắc nước Pháp : « Có nhiều khoáng sản sáng bóng trong tảng đá này. Tức là ở đây có nhiều kim loại như là kẽm thì có màu xám, đồng thì có màu hơi vàng. Ngoài ra còn có những chất khác như là nguyên tố cadmi một thứ kim loại mềm để chế tạo pin mặt trời ».Đối với Craig Shesky giám đốc tài chính tập đoàn luyện kim của Canada TMC thì chắc chắn tương lai kinh tế của nhân loại đang được giấu kín dưới lòng đại đương ở những độ sâu hơn 4.000 mét« Trong những khu vực chúng tôi thăm dò có rất nhiều đồng và nickel, tức là kền. Có cả cobalt, hay manganese … Tất cả những kim loại này cho phép chúng ta trang bị bình điện cho 25 % xe ô tô trên khắp thế giới. Điều đó chứng tỏ tài nguyên trong lòng biển phong phú tới mức độ nào đồng thời chúng ta cần các tài nguyên đó trong tiến trình phi các-bon hóa các hoạt động kinh tế hiện nay ».Theo một báo cáo được trình lên chính phủ Pháp đến năm 2030 châu Âu chỉ đủ sức cung ứng 30 % nhu câu tiêu thụ về những « khoáng sản thiết yếu » để sản xuất bình điện ô tô và cho công tác phát triển năng lượng tái tạo. Kết luận đó càng châm thêm củi lửa cho các cuộc chạy đua săn lùng đất hiếm và tài nguyên dưới lòng biển, nhất là khi biết rằng trữ lượng chỉ riêng trong khu vực Clairon Clipperton lớn gấp 6.000 lần so với toàn bộ các dự trữ trên mặt đất ! Đất hiếm được sử dụng chủ yếu trong bốn lĩnh vực then chốt từ công nghệ kỹ thuật số, năng lượng, y khoa và công nghiệp quốc phòng. 

TẠP CHÍ XÃ HỘI
Khai khoáng dưới đáy biển : Mối lợi kinh tế hay thảm họa cho môi trường sinh thái trong tương lai ?

TẠP CHÍ XÃ HỘI

Play Episode Listen Later Jun 28, 2023 10:56


Chỉ đúng một hôm sau khi Liên Hiệp Quốc chính thức thông qua công ước đầu tiên về bảo vệ biển khơi, công cụ pháp lý mang tính bắt buộc để quốc tế có thể bảo vệ và khai thác, quản lý vùng biển khơi, đến ngày 20/06/2023, theo AFP, chính phủ Na Uy đã đề xuất việc khai khoáng ở vùng đáy biển sâu trải rộng 280.000km2 (phân nửa diện tích nước Pháp), để tránh phụ thuộc vào khoáng sản nhập từ các nước, chẳng hạn Trung Quốc. Từ lâu nay, đáy biển khơi vẫn được xem là một vùng giàu khoáng sản. Trên trang web, Liên Hiệp Quốc giới thiệu bài viết của Micheal Lodge, tổng thư ký của AIFM - Cơ quan quốc tế về đáy biển và khai khoáng ở đáy biển khơi, theo đó « đại dương sâu dưới 200 mét là môi trường sống lớn nhất của sinh vật và khó tiếp cận nhất. Đáy đại dương, cũng giống như môi trường trên cạn, được tạo thành từ các dãy núi, cao nguyên, đỉnh núi lửa, vách núi và đồng bằng vực thẳm rộng lớn. Nó chứa hầu hết các loại khoáng chất tương tự như những loại mà chúng ta tìm thấy trên trái đất, thường ở dạng được làm giàu, cũng như các khoáng chất độc nhất, như các lớp vỏ sắt mangan và nốt sần đa kim ».Ngược dòng thời gian, ngay từ năm 1967, trước Ủy ban Một của Đại Hội Đồng Liên Hiệp Quốc, đại sứ Malta Arvid Pardo đã đề nghị xếp các nguồn tài nguyên dưới đáy biển sâu là « tài sản chung của nhân loại » và xây dựng một hệ thống quy chế pháp lý quốc tế để tránh khả năng các nước tiên tiến hơn về công nghệ chiếm hữu đáy biển, độc quyền các nguồn tài nguyên, theo hướng thiệt thòi cho các nước đang phát triển.  Trong khi đó, nhiều tổ chức phi chính phủ và nghiên cứu gia cảnh báo về những rủi ro, dù là chưa được biết đến nhiều, nhưng có thể là sẽ rất lớn đối với môi trường và hệ sinh thái biển. Để hiểu thêm về chủ đề khai khoáng dưới đáy biển , RFI Tiếng Việt đã có cuộc phỏng vấn ông Jean-Marc Daniel, giám đốc bộ phận tài nguyên và hệ sinh thái đáy biển, Viện Nghiên cứu của Pháp về khai thác biển - Ifremer. RFI : Nhiều người gọi vùng đáy biển khơi là một mỏ vàng xanh, bởi khu vực này được biết là chứa nhiều loại khoáng sản. Ông đánh giá thế nào về giá trị tiềm năng của các mỏ khoáng chất nằm sâu dưới đáy biển ?Jean-Marc Daniel : Đó là một cái nhìn rất lạc quan về đáy biển. Đúng là ở một số nơi dưới đáy đại dương, người ta tìm thấy những tài nguyên khoáng sản có trữ lượng khá hấp dẫn, đặc biệt là cobalt, nikel. Chắc chắn là có tài nguyên, nhưng hiện nay chúng ta vẫn chưa thực sự biết cách khai thác chúng, chỉ mới có một số thử nghiệm đã hoặc đang được tiến hành. Thách thức đặt ra hiện nay về chủ đề này liên quan đến, thứ nhất là phải làm chủ được các công nghệ và thứ hai là phải kiểm soát được các tác động đến môi trường. Như vậy, chúng ta nên có cái nhìn hợp lý hơn về chủ đề này, tức là đúng là chúng ta có nguồn tài nguyên tiềm năng nhưng chúng ta chưa biết rõ làm thế nào để khai thác chúng và cũng không biết việc khai thác có thực sự cần thiết hay không. RFI : Từ khi nào và bằng cách nào người ta khám phá ra rằng có khoáng sản ở dưới đáy biển khơi ?Jean-Marc Daniel : Người ta đã bắt đầu quan tâm đến tài nguyên ở đáy đại dương vào nửa cuối thế kỷ trước. Với sự quan tâm đó, cùng với sự ra đời của tàu ngầm, họ bắt đầu đi thám hiểm mọi thứ dưới đáy biển sâu bằng tàu ngầm tự hành và nhận ra đúng là ở dưới đáy biển không chỉ có những vùng trầm tích rộng lớn, mà tại một số vùng dưới đáy đại dương người ta đã tìm thấy các loại đá có chứa khoáng chất. Họ bắt đầu quan tâm từ những năm 1970 và từ gần 20 năm nay thì có một tổ chức quốc tế quản lý về các vấn đề này tại vùng biển khơi. Có một số quốc gia bắt đầu quan tâm đến vấn đề này vì một số lý do : hoặc bởi vì đó chính là những nước có nhu cầu lớn về tài nguyên khoáng sản, chẳng hạn như Trung Quốc, hoặc có những quốc gia có thể có nhu cầu bảo đảm chủ quyền về các nguồn tài nguyên khoáng sản này và tìm kiếm trong các đại dương là một cách đa dạng hóa nguồn cung ứng của các nước này. RFI : Việc khai thác khoáng sản dưới đáy biển sâu phức tạp đến mức nào ?Jean-Marc Daniel : Việc này là phức tạp, trước hết đơn thuần là do những lý do công nghệ : Vì chúng thường nằm ở những nơi sâu, tối thiểu là 2.000m, một phần rất lớn nằm ở độ sâu 5.000m. Đưa thiết bị công nghiệp vào môi trường kiểu như vậy tức là phải chịu những áp lực rất lớn. Dẫu sao thì đó cũng là môi trường khá lạnh, gần 0 độ. Nhiều khi môi trường tương đối khó khăn cho hoạt động khai khoáng, nhìn chung là xa đất liền, cảng biển, khiến chúng ta phải phát triển thiết bị chuyên biệt có khả năng đưa lên từ đáy biển một lượng đá. Đó là những thách thức đơn thuần về công nghệ cần vượt qua. Như vậy, hiện nay, nếu có một số nguồn tài nguyên mà người ta chưa từng tìm cách tiếp cận thì đó là do lý do công nghệ. Vấn đề thứ hai là những điều chúng ta chưa biết về những hệ sinh thái có liên quan đến các tài nguyên khoáng sản ngầm dưới đáy biển. Điều đó có nghĩa là việc cố gắng xác định các biện pháp bảo vệ hoặc các biện pháp khắc phục hệ quả liên quan đến các hoạt động này hiện nay vẫn còn vấp phải nhiều ẩn số, chẳng hạn khi nào chúng ta sẽ tìm cách khai khoáng. Các công ty muốn khai khoáng vẫn chưa hiểu được về những chi phí để cố gắng bảo vệ hoặc không gây thiệt hại quá nhiều cho các môi trường có liên quan. Đây là một vấn đề thực thụ và có thể gây tác động đối với các phương tiện khai thác các tài nguyên này, khiến việc phát triển các phương tiện đó trở nên phức tạp hơn. Đây là những thách thức thực sự về phát triển công nghệ. Ngoài ra thì cũng có những vấn đề mang tính toàn cầu. Hiện nay, chúng ta đã có một thị trường vật liệu thô, chúng ta đã phát hiện ra nhiều nguồn tài nguyên khoáng sản trên trái đất. Do đó, mỗi người chúng ta nên tự đặt câu hỏi liệu có đáng để phải khai thác khoáng sản dưới đáy biển hay không. Hoặc là, nếu tính đến những cái giá về kinh tế và môi trường, liệu thực sự có đáng để khai thác các tài nguyên dưới đáy biển hay không. Tất cả những điều đó khiến chủ đề này trở nên phức tạp, nhìn từ góc độ công nghiệp. RFI : Các hoạt động khai thác đáy biển sâu sẽ tác động thế nào đến môi trường sinh thái ?  Jean-Marc Daniel : Cụ thể thì có những điều mà chúng ta biết rõ, có những điều chúng ta bắt đầu biết rõ và những điều khác thì chúng ta chưa biết rõ lắm. Điều chúng ta biết rõ là khi cho một cỗ máy đi thu thập mẫu tại một nơi nào đó dưới đáy biển, người ta sẽ tạo ra các mảnh vỡ dưới nước hoặc các mảnh đá rất mịn mà họ đã nghiền, khi làm như vậy tức là họ sẽ làm biến đổi đáng kể môi trường ở đó, chẳng hạn khi đào sâu vào các lớp trầm tích ở đáy biển thì sẽ tạo ra các mảnh vỡ trôi lơ lửng trong nước, rồi khi lắng xuống chúng sẽ bao phủ lên hệ sinh thái và khiến sinh vật thiếu dưỡng khí. Như vậy là khi người ta khai thác ở những nơi này thì sẽ phá hủy môi trường sống của sinh vật và cuối cùng thì những giống loài này không thể sống được ở đó nữa. Một điểm khác biệt cần lưu ý so với những gì chúng ta đã biết về các lục địa là, nói chung thì các hệ sinh thái có liên quan đến các môi trường nằm sâu dưới đáy đại dương này có tốc độ phục hồi rất chậm so với ở môi trường ít sâu hơn và gần bờ biển hơn. Như vậy là việc khôi phục các hệ sinh thái sâu dưới đáy biển sẽ rất phức tạp và phức tạp hơn nhiều so với trên đất liền, như khi người ta lấp đầy một mỏ lộ thiên chẳng hạn.  Tác động thứ 3 mà chúng ta biết là khi khai khoáng sẽ gây ra tiếng ồn và ở dưới nước thì tiếng ồn lan đi rất xa, nên có thể tác động đến một số loài sinh vật sống ở tầng đáy và các loài sống ở tầng giữa. Những tác động đó trong môi trường đó, hiện nay chúng ta chưa biết rõ lắm vì chúng ta chưa hiểu biết rõ về các hệ sinh thái có liên quan và chúng ta cũng chưa hiểu rõ tác động của tiếng ồn đối với các quần thể sống ở xung quanh đó, bởi vì khu vực này nằm rất xa đất liền. Chúng ta mới chỉ bắt đầu biết về tác động của tiếng ồn ở các hệ thống gần đất liền hơn. Có một tác động khác mà chúng ta cũng chưa biết bởi chúng phụ thuộc rất nhiều vào cách thức mà các nhà công nghiệp hoạt động, khi đá được đưa từ dưới đáy biển lên thì thường có kèm theo nước ở đáy biển, đó hoặc là nước nằm ở bên trong những khối đá này, hoặc là nước mà họ mang từ đáy biển lên trong quy trình công nghiệp đó. Thường thì nước này sẽ phải được đổ trở lại biển, nhưng tùy vào độ sâu, tùy vào tính chất, thành phần hóa học có trong loại nước này, nó có thể gây ra tác động nghiêm trọng đối với các loài sinh vật trong khu vực. Tác động này chúng tôi mới chủ yếu biết đến thông qua mô hình gián tiếp, bởi vì chúng tôi không biết các quy trình công nghiệp nào sẽ được sử dụng, thành phần hóa học có trong nước và nước lấy từ độ sâu nào, có rất nhiều điều chưa chắc chắn về quy trình khai thác, việc kiểm soát tác động này hoặc định lượng chúng là rất phức tạp, nhưng chúng tôi biết rằng chúng có tồn tại. Tuy nhiên, mô tả chúng một cách chính xác thì chúng tôi vẫn thiếu các phương tiện để thực hiện. RFI : Quốc tế đã có thỏa thuận hay khung pháp lý nào về thám hiểm hay khai thác đáy đại dương ? Jean-Marc Daniel : Tôi sẽ tập trung nói về vùng biển quốc tế, còn thì mỗi nước đều có các hoạt động riêng trong vùng đặc quyền kinh tế của họ. Liên quan đến vùng biển quốc tế thì hiện nay có đạo luật về các hoạt động khảo sát, thăm dò đáy biển, hoạt động này do Cơ quan quốc tế về đáy biển quản lý. Như vậy là hiện nay chúng ta có luật về khảo sát, thăm dò. Nhờ đó, chẳng hạn Ifremer (Viện nghiên cứu của Pháp về khai thác biển) có được 2 hợp đồng khảo sát, thăm dò ở vùng biển quốc tế để phục vụ cho Cơ quan quốc tế về quản lý đáy biển. Các luật về khảo sát, thăm dò đáy biển thì đã có được một thời gian rồi, điều còn thiếu là một bộ luật để quản lý các vấn đề khai thác. Hiện nay đang có một cuộc thảo luận ở Cơ quan quốc tế về quản lý đáy biển. Cơ quan này nghĩ rằng bộ luật này cần được thông qua trong năm nay, nhưng tôi nghĩ không chắc có được. Như vậy là trên thực tế chúng ta vẫn chưa có luật về khai thác, mới chỉ có các cuộc thảo luận quốc tế, và các cuộc thảo luận này thì liên quan đến 2 vấn đề.Thứ nhất là cần có các biện pháp xét theo góc độ môi trường đối với các công ty có giấy phép khai thác, mà hiện nay chúng ta vẫn chưa có. Ngoài ra là câu hỏi về sự tái phân chia, vì trong thực tế các nguồn tài nguyên này được coi là tài sản chung của nhân loại. Nếu các công ty hoặc quốc gia khai thác tài nguyên này ở vùng biển quốc tế, thì sẽ phải có các cơ chế tái phân chia hoặc để bảo đảm là tất cả các quốc gia đều có thể hưởng lợi từ các nguồn tài nguyên này, đặc biệt là các quốc gia đang phát triển và không thể, hay không có các công nghệ cần thiết để tự khai thác và sản xuất các tài nguyên này. Đó là những gì hiện nay đang được thảo luận ở cấp của Cơ quan quốc tế về quản lý đáy biển, chứ chưa có quy định nào. Điểm thứ hai quan trọng nhưng thường bị bỏ quên trong các cuộc thảo luận, đó là ngoài các quy định về khai thác, Cơ quan quốc tế về quản lý đáy biển nghiên cứu, các biện pháp bảo vệ cần thực hiện tùy theo từng khu vực. Ví dụ nếu khai thác ở giữa Thái Bình Dương ở độ sâu 5.000 mét, thì các biện pháp bảo vệ sẽ khác hẳn nếu họ khai thác ở giữa Đại Tây Dương tại các vùng có tuần hoàn thủy nhiệt. Quả thực là tùy theo vùng, tùy theo đại dương, tùy theo các loại tài nguyên được sản xuất mà các biện pháp cần được áp dụng sẽ không giống nhau. Có những cuộc thảo luận được tiến hành căn cứ theo từng khu vực để xác định các biện pháp này. Đó cũng là một điểm quan trọng. Hiện nay, có một số điều mà mọi người đã đồng ý, điển hình là về các khu vực tập trung nhiều khoáng chất ở Thái Bình Dương. Đây là những khu vực mà chúng ta biết rõ nhất và đã có những công trình thăm dò ở đó. Còn ở các khu vực khác của đại dương, giấy phép thăm dò, khảo sát mới đang trong quá trình được Cơ quan quốc tế về quản lý đáy biển thảo luận.  RFI Tiếng Việt chân thành cảm ơn ông Jean-Marc Daniel đã tham gia chương trình !

Ocean Calls
Is it possible to end ocean plastic pollution?

Ocean Calls

Play Episode Listen Later Oct 13, 2022 34:36


There's so much plastic in our seas that we may leave behind a layer of plastic for future archaeologists to study. What can be done to clean up our oceans?In this episode, Euronews science reporter Jeremy Wilks discusses plastic pollution with Pennie Lindeque from Plymouth Marine Laboratory and Francois Galgani from Ifremer. You'll also hear activist Alexandra Cousteau talk about her favourite marine animal. You won't believe what it is. Hosted by Jeremy Wilks. Produced by Naira Davlashyan and Natalia Oelsner. Editing is by Lory Martinez, Chiara Santella and Luis Lopez from Studio Ochenta. The theme music is by Gabriel Dalmasso. Our editor-in-chief is Sophie Claudet. For more from Alexandra Cousteau click here. For more from Pennie Lindeque click here. Follow Plymouth Marine Laboratory. Check out Ifremer's website to learn more about Francois Galgani's work.Created in partnership with the European Commission's Directorate-General for Maritime Affairs and Fisheries and is hosted by Euronews science reporter Jeremy Wilks. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Le billet vert
Les gisements de coquilles Saint-Jacques se portent très bien en France

Le billet vert

Play Episode Listen Later Oct 3, 2022 1:49


durée : 00:01:49 - Le billet sciences - La saison de la pêche aux coquilles Saint-Jacques est officiellement ouverte dans la Manche depuis le 1er octobre 2022, et l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) vient de faire des recensements records.

TV5MONDE - Internationales
François Houllier

TV5MONDE - Internationales

Play Episode Listen Later Sep 24, 2022 52:29


Invité : François Houllier, biologiste français, président-directeur général de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER). Est-il trop tard pour sauver les océans - Réchauffement climatique, pollutions multiples et surpêche menacent la biodiversité et la survie des écosystèmes. Selon les prévisions des scientifiques, si nous continuons sur cette voie, plus de la moitié des espèces marines du monde pourrait disparaître d'ici 2100. Les océans abritent 80 % de la vie dans le monde, produisent plus de la moitié de l'oxygène de la planète et jouent un rôle central dans la régulation du climat. Comment ralentir leur dégradation - Comment préserver cette ressource vitale pour l'humanité - Quels sont les moyens pour retarder, voire stopper la disparition des espèces marines - Une pêche responsable et sélective est-elle la solution - François Houllier répond. Présentation : Antoine Genton (TV5MONDE), Martine Vallo (« Le Monde »).

Vida en el Planeta
Europa apuesta a los mega parques eólicos offshore para solucionar dos crisis

Vida en el Planeta

Play Episode Listen Later May 23, 2022 14:43


En auge en varios países europeos, la energía eólica marina permite descarbonizar la producción eléctrica y reducir la dependencia del continente a los hidrocarburos rusos. Varios países del norte de Europa prometieron multiplicar por diez su capacidad de producción eólica de aquí a 2050. Pero los proyectos offshore no siempre son bienvenidos por los ambientalistas. A unos cientos de kilómetros de las costas británicas en el mar del Norte surgirán en los próximos meses 277 turbinas eólicas con aspas de más de 200 metros de diámetro. Estos gigantescos molinos de viento tendrán una capacidad total de producción eléctrica que rivalizará con una planta nuclear. Dogger Bank, así se llama este faraónico proyecto que será el mayor sitio de producción de energía eólica offshore del mundo, reflejando así el boom del sector. Entre 2019 y 2021, la capacidad de producción eólica offshore en el mundo se duplicó, según datos del centro de análisis Enerdata. China es el líder del sector, seguido por Reino Unido y Alemania. Y el sector es prometedor: a mediados de mayo, los jefes de gobierno de Dinamarca, Alemania, Holanda y Bélgica acordaron por ejemplo multiplicar por diez su capacidad eólica en el mar del Norte en 2050. Permitiría suministrar electricidad a 230 millones de hogares europeos, según este objetivo. Y corresponde a una estrategia para “mitigar dos crisis a las que estamos confrontadas hoy por hoy: la crisis de independencia energética, para sustituir las energías fósiles rusas y mitigar el cambio climático”, constata Maria Eugenia Sanín, economista de la Universidad Paris Saclay y especialista en energías renovables En los últimos años, “el costo de las eólicas en general, y en particular de la eólica offshore ha bajado, lo cual la hace más atractiva. Ha bajado en 15% anual desde 2013. Además, la ‘aceptabilidad' es un poquito más fácil que en tierra”, agrega la economista, entrevistada por RFI. Actualmente, el Reino Unido es líder en energía offshore. Alemania es también un gran productor de energía con aerogeneradores, pero están principalmente ubicados en tierra. Otro país que apostó significativamente a esta energía es Dinamarca. Las turbinas eólicas alimentan el 44% de su demanda de electricidad. Y es que las implantaciones de aerogeneradores marinos presentan varias ventajas desde “no ocupar espacio terrestre donde generan problemas porque no son molinitos chiquitos del siglo XIX. Son mástiles de más de 50 metros", explica Luis Pedrero, ingeniero físico mexicano del Tec de Monterrey y especialista en energías renovables. Además, los generadores offshore son mucho más grandes y se pueden a una altura mayor en el mar lo que permite paliar a la intermitencia del viento, principal límite de la energía eólica. Pescadores y ambientalistas rechazan un parque eólico Francia por su parte llama la atención: tiene  una de las mayores superficies marítimas de la Unión Europea, pero se ha quedado atrás en materia de desarrollo eólico. Pese al objetivo de Emmanuel Macron de dotar Francia de 50 parques eólicos offshore de aquí a 2050, los proyectos avanzan a pasos de tortuga. El primer parque de este tipo apenas está siendo construido en la bahía de Saint-Nazaire. Y el segundo proyecto más avanzado, el de Saint Brieuc, en el norte de Bretaña, fue diseñado para suministrar el equivalente del consumo de electricidad de 835.000 habitantes en 2023, pero suscita un fuerte rechazo de los pescadores y de los ambientalistas. Los pescadores estiman que las 62 turbinas que se prevé instalar amenazarían la reproducción de crustáceos y peces de la bahía. Intentaron anular el permiso de implantación de las turbinas, pero la justicia dio la razón al constructor español Iberdrola responsable del proyecto. A la ofensiva jurídica de los pescadores se ha sumado la ONG de protección del ecosistema marino Sea Shepherd que impugnó el proyecto ante la Comisión Europea. "Seguimos esperando el fallo de la Comisión europea. Pusimos una demanda en contra de las exenciones de protección de especies. Se trata de especies amenazadas, en peligro de extinción, y cuya sobrevivencia no está garantizada si el proyecto eólico se construye”, dice a RFI Lamya Essemlali, presidenta de dicha ONG. La activista ecologista cita el caso “de la pardela balear, en peligro crítico de extinción, una especie en peligro mundial. La bahía de Saint Brieuc alberga 20% de la población mundial de esta especie. Además de las aves, hay 5 mamíferos marinos, delfines, focas...y todo un ecosistema complejo más allá de lo que los humanos explotan comercialmente. Este proyecto causaría una serie de problemas a la biodiversidad a nivel global", afirma. Según Essemlali, "el peligro más evidente es el riesgo de colisión entre los pájaros y las aspas de las turbinas. En tierra es un riesgo muy difícil de evaluar, y en el mar, aún más, porque los cadáveres de aves se hunden. Y lo que preocupa a los científicos es la pérdida de hábitat”. “Y la fase de construcción del parque eólico es muy problemática”, agrega. “Los mamíferos marinos, peces y crustáceos son particularmente sensibles al ruido y a las vibraciones. Los decibelios causados por la perforación rebasan los límites en términos de limites medio ambientales. Iberdrola anuncia un ruido de 160 decibelios. Es un nivel sonoro que puede hacer estallar nuestros tímpanos". Un informe del centro de análisis francés público Ifremer en 2008 afirma sin embargo que los pilares eólicos pueden convertirse en refugios para ciertas especies de crustáceos. Lo cierto es que aún se carece de datos científicos detallados sobre los impactos de los parques eólicos en las aves migratorias y el ecosistema marino. En paralelo al boom de los parques eólicos fijos, los científicos estudian prototipos de turbinas eólicas flotantes. El próximo desafío será también el del almacenamiento de los excedentes de electricidad eólica: podrían servir para fabricar hidrógeno verde, un gas que se puede almacenar y transportar para generar energía según la demanda. Una tecnología respetuosa del medio ambiente pero aún incipiente. Entrevistas: Luis Pedrero, físico, especialista en energías renovables en el Tec de Monterrey en México. Maria Eugenia Sanin, economista, especialista en energía renovables Juan Troncoso, ingeniero especialista en turbinas eólicas offshore Lamya Essemlali, presidenta de la ONG Sea Sheperd Francia, en contra del proyecto eólico de Saint-Brieuc.

Hoisting the sail, a supply chain podcast

On today's episode we welcome Amadeus Beaujolin, director of development for Blue Observer.This low-carbon, maritime science research organization was created in Brest, France in 2021 and aims to better understand and preserve the ocean by collecting data on marine resources and collect specimens for microbiology.Iris, the boat used by Blue Observer relies on sail propulsion so their research expeditions are 100% emission-free. Blue Observer is also on a mission for an international program called Argo where they sail to collect data on the temperature and salinity in the ocean.Before the Argo program was started in 2000 then deployed at a global scale, scientists had only tracked oceanic changes along main maritime roads, which Beaujolin estimates to be only 1% of our oceans. Partnering with Woods Hole Institution and Ifremer, Blue Observer's recent mission on the Atlantic has deployed 97 Argo floats. Argo collects now data on more than 50% of our oceans, a massive step for bettering our understanding of the relationship between oceans and climate change.In addition, there is a sustainable message behind their work: using a sailboat, which is clean and silent, is the most appropriate and ideal tool for studying our oceans and climate change. Blue Observer is also participating in the One Ocean Summit. For a brief moment, Brest, France will be the center of the oceanographic world, where experts will gather at the summit to attempt to heighten global ambitions on solving maritime issues and come up with plans for efficient ocean governance.

france atlantic observer argo brest ifremer one ocean summit
Radio Campus France
Sciences & société au festival Longueur d'ondes

Radio Campus France

Play Episode Listen Later Feb 1, 2022 95:03


Longueur d'ondes, le festival de la radio et de l'écoute fait sont grand retour cette année ! A Brest du 26 au 30 janvier. Les radios Campus seront présentes sur le festival, émission enregistrée en public, accompagnées d'une performance radio en direct vendredi 28 janvier à 17h30. Depuis Brest nous lancerons le coup d'envoi de notre saison thématique "Science & société". Du fait scientifique à celles et ceux qui font les sciences, notre relation avec le monde scientifique évolue. En fonction des contextes politiques, économiques et…sanitaires, la relation entre sciences et société tourne parfois au vinaigre ou se transforme en mayonnaise. De cette question abyssale de la science au service de la société ou de la société au service de la science, nous traiterons du lien qu'entretiennent les médias de proximité - et à fortiori des radios associatives locales - avec les scientifiques, centres de recherche et universités de leurs territoires. Au programme de notre émission en public et en direct, sciences participatives, sociologie narrative, et performance radio. Programme & invité.e.s : Sciences participatives et vulgarisation scientifique Avec Lionel Maillot - Vice-président Culture et lien Sciences-Société de l'Université de Bourgogne-Franche-Comté , Responsable de la Nuit Européenne de Chercheur.e.s Hervé Le Men - Responsable de la mission médiation scientifique pour les bibliothèques universitaires de l'UBO (Université de Bretagne Occidentale) Jozée Sarrazin, chercheure à Ifremer, participicipante scientifique référente et instigatrice de la pièce sonore DONVOR Marjolaine Matabos, chef du projet de sciences participatives "Espion des grands fonds ", chercheure à Ifremer Sciences & société dans les radios nationales publiques Caroline Lachowsky - journaliste à RFI émission « Autour de la question » Lydia Ben Ytzhak - journaliste scientifique indépendante mais pas mal de contributions pour France Culture Science & société dans les radios locales et associatives Lena Rivière & Jean-Baptiste Imbert de Radio Grenouille (Campus Marseille) Xavier Miliner coordinateur de la fédération de radios assos bretonnes la CORLAB La sociologie narrative Performance radio en direct du projet Transmission Transgression Fiction sonore par Sophie Degano, Eric Cervera et Romane Rosser Avec Sophie Hellégouarch - doctorante en sociologie Travail, industries culturelles et créatives, jeux vidéos Toujours en présence de Lionel Maillot et Hervé Le Men - A NOTER AUSSI une journée radio le 29 janvier dédiée au thème "science et société" à découvrir et à écouter sur les webradios communes du www.radiocampus.fr Emissions en replay du samedi 29 janvier diffusée en FM/DAB+ sur le réseau des radios Campus . Infos festival www.longueur-ondes.fr

Radio Campus France
Festival Longueur d'ondes 2022 x Radio Campus

Radio Campus France

Play Episode Listen Later Jan 24, 2022 0:30


Longueur d'ondes, le festival de la radio et de l'écoute fait sont grand retour cette année ! A Brest du 26 au 30 janvier. Les radios Campus seront présentes sur le festival, émission enregistrée en public, accompagnées d'une performance radio en direct vendredi 28 janvier à 17h30. Depuis Brest nous lancerons le coup d'envoi de notre saison thématique "Science & société". Du fait scientifique à celles et ceux qui font les sciences, notre relation avec le monde scientifique évolue. En fonction des contextes politiques, économiques et…sanitaires, la relation entre sciences et société tourne parfois au vinaigre ou se transforme en mayonnaise. De cette question abyssale de la science au service de la société ou de la société au service de la science, nous traiterons du lien qu'entretiennent les médias de proximité - et à fortiori des radios associatives locales - avec les scientifiques, centres de recherche et universités de leurs territoires. Au programme de notre émission en public et en direct, sciences participatives, sociologie narrative, et performance radio. Programme & invité.e.s : Sciences participatives et vulgarisation scientifique Avec Lionel Maillot - Vice-président Culture et lien Sciences-Société de l'Université de Bourgogne-Franche-Comté , Responsable de la Nuit Européenne de Chercheur.e.s Hervé Le Men - Responsable de la mission médiation scientifique pour les bibliothèques universitaires de l'UBO (Université de Bretagne Occidentale) Jozée Sarrazin, chercheure à Ifremer, participicipante scientifique référente et instigatrice de la pièce sonore DONVOR Marjolaine Matabos, chef du projet de sciences participatives "Espion des grands fonds ", chercheure à Ifremer Sciences & société dans les radios nationales publiques Caroline Lachowsky - journaliste à RFI émission « Autour de la question » Lydia Ben Ytzhak - journaliste scientifique indépendante mais pas mal de contributions pour France Culture Science & société dans les radios locales et associatives Lena Rivière & Jean-Baptiste Imbert de Radio Grenouille (Campus Marseille) Xavier Miliner coordinateur de la fédération de radios assos bretonnes la CORLAB La sociologie narrative Performance radio en direct du projet Transmission Transgression Fiction sonore par Sophie Degano, Eric Cervera et Romane Rosser Avec Sophie Hellégouarch - doctorante en sociologie Travail, industries culturelles et créatives, jeux vidéos Toujours en présence de Lionel Maillot et Hervé Le Men - A NOTER AUSSI une journée radio le 29 janvier dédiée au thème "science et société" à découvrir et à écouter sur les webradios communes du www.radiocampus.fr Emissions à écouter samedi 29 janvier de suivre en FM/DAB+ sur vos radios Campus préférées.

Review It Yourself
Titanic Untold Stories (1998 TV Documentary) with LA from Unsinkable: The Titanic Podcast

Review It Yourself

Play Episode Listen Later Jan 18, 2022 78:28


Sean and LA discuss ‘Titanic Untold Stories', the 1998 documentary from the Discovery Channel. They research the story of the Lindells, a newly-married couple from Sweden who tragically lost their lives on Titanic. Sean and LA then talk cultural touchstones, the differences in how each historian approaches history and explore the origins of the debate regarding salvaging objects from the Titanic between Robert Ballard and IFREMER. Extra information: -‘The Last Signals'-An Independent film directed by Thomas Lynskey, about the Marconi operators Jack Philips and Harold Bride. It's absolutely fantastic! -‘Tony Robinson's Titanic Adventure' documentary. -Lynx (Also known as Axe) ‘Soulmates' advert. -Discovery Channel Companion Book: ‘Titanic: Legacy of the world's greatest ocean liner' by Susan Wells (1997). Thank you for listening!

Faux billet France Bleu Breizh Izel
Le Faux Billet de la crème anti acné à base d'algues mise au point par Ifremer

Faux billet France Bleu Breizh Izel

Play Episode Listen Later Dec 15, 2021 2:13


durée : 00:02:13 - Faux billet France Bleu Breizh Izel - Pour se débarrasser de l'acné il n'y a jamais eu de miracle jusqu'à présent, ça va peut-être changer avec la crème de soins aux algues mise au point par Ifremer

Injustices
À flots et à sang 4/5 : On a vidé la mer

Injustices

Play Episode Listen Later Sep 22, 2021 40:29


Dans cette troisième saison d'Injustices, «À flots et à sang», Camille Maestracci s'intéresse au milieu de la mer et se questionne sur la possibilité d'une pêche durable.Dans le quatrième épisode, elle s'interroge sur les conséquences écologiques de la pêche, face au poids d'années de surpêche. Est-il trop tard pour développer un modèle éco-responsable ?"Dans les années 70 et jusque dans les années 80, tous les ans il y avait dans les ports de pêche le ruban bleu. C'est-à-dire le bateau qui rapportait le plus de poissons dans l'année. C'était vraiment une course aux poissons.”Elle interroge Alain Biseau, chargé de mission à Ifremer et responsable des expertises halieutiques à propos des problématiques de la pêche durable et responsable. Elle va aussi à la rencontre de Vincent Ridoux, professeur de biologie et de communication scientifique à l'Université de la Rochelle, Natasha militante chez Sea Shepherd et Thomas Rimaud, chargé de mission à L'OP Pêcheurs de Bretagne.Autrice: Camille Maestracci • Réalisatrice: Anna Buy • Musique originale: Mélodie Lauret et Antoine Graugnard • Mixage: Jean-Baptiste Aubonnet • Illustration : Camille Deschiens.Une production Louie Media. Responsable de production de Louie: Marion Girard • Responsable éditoriale: Maureen Wilson • Direction de production: Mélissa Bounoua • Direction éditoriale: Charlotte Pudlowski. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Radio Campus France
Têtes chercheuses | EP.01 Ensemble dans les abysses avec Jozée Sarrazin

Radio Campus France

Play Episode Listen Later Sep 21, 2021 21:18


"TÊTES CHERCHEUSES" LE PODCAST Radio Campus et les radios partenaires présentent « Têtes chercheuses » voyage au coeur des sciences participatives dans la recherche. Un podcast produit dans le cadre de La Nuit Européenne des Chercheur.e.s. 2021, avec le soutien du Ministère de la Culture. Les sciences participatives sont « des formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non-scientifiques-professionnels — qu'il s'agisse d'individus ou de groupes — participent de façon active et délibérée » wikipedia. Cette année encore Radio Campus continue d'explorer l'usage des sciences participatives dans le territoire de la recherche scientifique et culturelle. Episode 1 : ensemble dans les abysses, rencontre avec Jozée Sarrazin Depuis ses débuts, la vulgarisation de ses recherches, est au coeur de ses préoccupations. Après un Doctorat en Sciences de l'Environnement à l'Université du Québec à Montréal, Jozée est arrivée en tant que Chercheuse au Centre Ifremer de Brest en 2002 où elle travaille sur les environnements profonds. Elle s'est notamment lancée dans deux projets de sciences participatives et recherche culturelle. Le premier donnera comme résultat une pièce de théâtre sonore. C' est le fruit d' une collaboration artistique et scientifique au long court entre Ifremer et Téâtre Piba. Le second, Deep Sea Spy ou Espion des Grands Fonds en bon français est une forme de jeux vidéos dont le but est d'aider les chercheurs et chercheuses à annoter des images provenant des geysers sous-marins localisés à plus de 1700 m de profondeur dans l'Atlantique et le Pacifique. Ce projet est, mené par le laboratoire Environnement Profond du centre Ifremer de Bretagne, celui de Jozée Sarrazin. Il vous invite à découvrir la faune hydrothermale tout en contribuant aux recherches du laboratoire - Nuit Européenne des chercheur.e.s, le 24 sept. 2021 Après une édition 2020 100% numérique, la Nuit Européenne des Chercheur·es renoue avec l'art de la rencontre et vous propose de prendre l'air lors d'un événement sur le thème des Voyages ! Les voyages scientifiques portent-ils le même imaginaire que les voyages culturels ? Qu'est-ce que la découverte d'un « terrain » apporte, aujourd'hui, à la démarche de recherche ? Comment la recherche permet-elle de voyager dans le temps et l'espace ? Les voyages forment-ils la recherche ? Vendredi 24 septembre, plus de 100 chercheuses et chercheurs partageront avec vous leurs recherches via des rendez-vous tout public dans 14 villes en France, mais également en radio et sur le Web ! La Nuit Européenne de chercheur.e.s. c'est toute la journée et la nuit du 24 septembre en direct et en podcast sur le www.nuitdeschercheurs-france.eu et www.radiocampus.fr

TẠP CHÍ KINH TẾ
Tạp chí kinh tế - Giám sát lưu thông hàng hải, thị trường đầy triển vọng

TẠP CHÍ KINH TẾ

Play Episode Listen Later Aug 10, 2021 9:28


Mật độ tàu bè trên biển càng đông, các hoạt động bất hợp pháp trên biển càng lúc càng nhiều, dịch vụ giám sát lưu thông hàng hải càng cần thiết. Theo dõi tàu, thuyền từ vệ tinh đáp ứng nhu cầu về thương mại, về an ninh và cả về mặt chiến lược. Hiện chỉ có ít công ty bảo đảm dịch vụ này mà Pháp là một trong những quốc gia tiên phong.  Tháng 6/2021 hãng CLS vừa được Hải Quân Pháp chọn để cung cấp dữ liệu cho phép giám sát không gian biển. CLS là một hãng tư nhân cộng tác với Trung Tâm Quốc Gia Nghiên Cứu Không Gian CNES. Nhờ các lãnh thổ hải ngoại từ Nouvelle Calédonie đến Guadeloupe, Martinique … Pháp có diện tích biển lớn thứ nhì trên thế giới, chỉ sau có Hoa Kỳ. Ba tháng trước khi ký hợp đồng cho giai đoạn 2021-2025 với Hải Quân Pháp, CLS trúng thầu với Indonesia nhằm hỗ trợ Jakarta « phát triển không gian biển, tăng cường an ninh, bảo đảm mức độ an toàn cho các hoạt động trên biển, hỗ trợ trung tâm thủy văn, đáp ứng nhu cầu của các nhà khí hậu học, địa chất học tại quốc gia với 17.000 hòn đảo lớn nhỏ » này.     CLS có trụ sở tại thành phố Toulouse, miền tây nam nước Pháp và một chi nhánh đặt tại Brest -vùng Bretagne. Công ty có hơn 300 vệ tinh quan sát thu thập các tín hiệu radar, hay tín hiệu phát đi từ Hệ Thống Nhận Diện Tự Động – AIS…  CLS cung cấp hình ảnh vệ tinh, dữ liệu cho phép định vị một cách chính xác nhất ở bất kỳ thời điểm nào về vị trí của tàu thuyền đang hoạt động trên biển. Những dữ liệu mà CLS có được là nhờ vào hai công ty khởi nghiệp của Pháp : một là Preligens sử dụng trí thông minh nhân tạo để phân tích các dữ liệu thu thập được từ không gian về vị trí của các tàu thuyền trên Trái Đất. Công ty khởi nghiệp thứ nhì là Unseelabs, trụ sở tại thành phố Rennes, miền tây nước Pháp. Unseelabs do ba anh em gia đình Gallic sáng lập và đã được quỹ đầu tư của bộ Quốc Phòng Pháp quan tâm. Hiện tại quỹ Definvest là một trong những nguồn tài trợ chính của công ty khởi nghiệp này, còn CLS là một khách hàng quan trọng của anh em gia đình Gallic. Trên đài truyền hình France 24, Clément Gallic, một trong ba nhà sáng lập Unseelbas giới thiệu qua về hoạt động của công ty được thành lập từ 2015 :  « Chúng tôi chuyên phát hiện những tín hiệu sóng điện từ, phát đi trừ không gian có nghĩa là chúng tôi lắp đặt cả một hệ thống ăng -ten qua vệ tinh để định vị các tín hiệu sóng điện từ phát đi từ mặt đất. Dịch vụ này cho phép giám sát các hoạt động trên biển vào bất kỳ thời điểm nào, và qua đó  chúng tôi xác định vị trí của tàu, thuyền trên biển ngay cả trong trường hợp bị mất sóng radio. Chúng tôi có thể xác định một cách chính xác, tại một vùng biển nào đó, có bao nhiêu tàu đang hiện diện và nếu càng có nhiều ăng ten vệ tinh thì mức độ chính xác càng lớn và càng gần với thực tế ».   Tháng 5/2020 công ty khởi nghiệp này vừa huy động được 20 triệu euro tiền vốn. Hoạt động với khoảng 30 nhân viên, doanh thu năm ngoái là 3 triệu euro. 10 khách hàng quan trọng nhất của Unseelabs là các định chế của Nhà nước, như vừa nói trong số này có Pháp, Indonesia. Hãng này cũng vừa ký được một hợp đồng quan trọng với tập đoàn của Nhật Marubeni Corporation. Unseelabs dự trù trang bị thêm nhiều vệ tinh từ nay đến năm 2025 để nâng cao mức độ chính xác trong công việc cung cấp thông tin định vị tàu thuyền trên biển.   Phục vụ mục tiêu an ninh Vậy công nghệ của Unseelabs được sử dụng vào những mục đích nào ? Clément Gallic giải thích : ở cấp quốc gia, mục tiêu nhằm ngăn ngừa các hoạt động đánh bắt, khai thác tài nguyên biển bất hợp pháp, giám sát những hoạt động của một số tàu xả xăng dầu bẩn ra biển làm ô nhiễm đại dương và các khu bảo tồn sinh thái. Ngoài ra khu vực kinh tế tư nhân cũng rất quan tâm đến công nghệ mới Unseelabs sử dụng :  « Cần biết rằng lưu thông hàng hải chiếm đến 80 % các hoạt động di chuyển trên mặt đất. Điều đó có nghĩa là trên biển có hàng trăm ngàn tàu, thuyền cùng hiện diện một lúc và rất khó để theo dõi hoạt động của những chiếc tàu này. Bình thường ra chúng ta quan sát dấu vết phát đi từ Hệ Thống Nhận Diện Tự Động – AIS qua vệ tinh. Nhưng có thể vì một lý do nào đó, như trong các hoạt động đánh bắt hải sản trái phép tại các khu bảo tồn hay ngoài phạm vi được hoạt động chẳng hạn, thuyền trưởng bất kỳ lúc nào cũng có thể quyết định cắt hệ thống AIS. Với công nghệ chúng tôi sử dụng, mình vẫn có thể xác định rõ tàu hoạt động trái phép đó đang ở khu vực nào. Nhưng không chỉ có thế, chúng tôi làm việc với các hãng bảo hiểm để xác định xem tàu có đi vào những vùng nguy hiểm hay không. Chúng tôi cũng rất năng động trong việc bảo vệ an ninh cho các dàn khoan ngoài khơi …  Thoạt đầu đây là một dịch vụ nhằm ngăn chận các các hoạt động phi pháp trên biển và thật ra chúng tôi công tác với bên Hải Quân Quốc Gia, với các toán tuần duyên. Nhưng bên cạnh đó, như vừa nói hãng của chúng tôi chủ yếu phát triển trong lĩnh vực dân sự. Tư nhân, hay các hãng bảo hiểm thường liên lạc với chúng tôi. Mảng bảo vệ các cơ sở hạ tầng ở ngoài khơi chiếm một phần quan trong trong doanh thu của hãng.  Clément Gallic cho biết, hiện tại công ty khởi nghiệp này gần như một mình một chợ :  « Phát hiện những tín hiệu trong không gian  tới nay chưa là một bộ môn được giảng dậy ở các trường đại học. Mới chỉ có một số ít các quốc gia chú trọng đến lĩnh vực này và cũng có khá ít kỹ sư chuyên môn trong ngành. Sự cạnh tranh chưa đến nỗi gay gắt lắm. Trước mắt dường như mới có hai hãng của Mỹ cùng hoạt động như chúng tôi. Nhưng đây là một thị trường có nhiều tương lai. Hãng tôi không kịp đáp ứng nhu cầu của khách hàng và công nghệ chúng tôi sử dụng hiện nay được xem là đang đi trước khá nhiều so với các đối thủ của chúng tôi ».  Thách thức về an ninh hàng hải Theo thống kê của Viện Nghiên Cứu Khai Thác Biển IFREMER của Pháp, trong hai thập niên, từ 1992 đến 2002, mật độ tàu bè trên biển đã tăng lên gấp 20 lần. Còn theo nghiên cứu của Viện Quan Hệ Quốc Tế Pháp IFRI công bố cuối 2020, có tới 90 % các hoạt động mậu dịch trên thế giới được vận chuyển bằng đường biển. Trong giai đoạn từ 1950 đến 2017 khối lượng hàng hóa được vận chuyền bằng đường thủy đã được nhân lên gấp 20 lần. Tác giả bài nghiên cứu này, giám đốc đặc trách khu vực châu Á của IFRI, bà Françoise Nicolas giải thích vì sao các tuyến hàng hải là giải pháp được hiệu quả nhất : đành rằng phải mất nhiều tháng hàng hóa mới đến tay người mua, nhưng « chuyên chở 20 tấn hàng từ châu Á sang châu Âu mới chỉ bằng giá 1 vé máy bay trên cùng một lộ trình ». Thêm vào đó trong « 10 năm trở lại đây, các phí tổn vận chuyển bằng đường biển chỉ còn bằng có 50 % so với trước. Trong khi đó các phí tổn vận chuyển bằng đường bộ và hàng không thì không hề suy suyển ». Lưu thông hàng hải tại các eo biển Malacca hay Ormuz càng lúc càng « nhậy cảm » và kèm theo đó là hiện tượng ô nhiễm đại dương. 60 % khối lượng dầu hỏa xuất nhập khẩu trên thế giới được vận chuyển bằng đường biển mà chủ yếu là để phục vụ các thị trường tại Đông Á. Quan trọng nhất trong số này là thị trường Trung Quốc. Do vậy theo nghiên cứu của IFRI « các tuyến hàng hải đi từ Vịnh Ba Tư đến Đông Á càng lúc càng mang tính chiến lược, và Singapore là một chặng dừng quan trọng ». Năm 2017, trong số 20 hải cảng lớn nhất thế giới, có đến 17 cảng thuộc về châu Á và 14 trong số này là các hải cảng do Trung Quốc quản lý nếu tính luôn cả Hồng Kông. Trong những điều kiện đó, giám sát lưu thông trên biển là một thị trường đầy tiềm năng. Nhìn đến trường hợp của Indonesia, nơi có tới 40 % giao thông hàng hải đi qua, tổng thống Joko Widodo đặt ưu tiên vào chiến lược « phát triển kinh tế biển » bao gồm từ việc khai thác các nguồn tài nguyên đến việc xây dựng cơ sở hạ tầng, nâng cấp các hải cảng của Indonesia, kết nối những hòn đảo lớn bảo đảm an ninh trong các vùng đặc quyền kinh tế của Indonesia. Unseelabs là một trong những đối tác giúp Jakarta thực hiện những tham vọng nói trên.

Reportage - Interview
Dinophysis : la micro-algue toxique pour les humains et pour les animaux marins

Reportage - Interview

Play Episode Listen Later Jun 3, 2021 7:09


Durée : 7:09 - Semaine micro pour le Fil de l'histoire, et pour ce troisième épisode on s'intéresse à quelque chose de microscopique, invisible à l'œil nu... Vous avez sûrement déjà entendu parler de Dinophysis, cette micro-algue toxique pour l'Homme qui engendre chaque année la fermeture de la pêche. Véronique Séchet et Philipp Hess, chercheurs à l'Ifremer à Nantes, ont récemment mis en évidence que Dinophysis affectait en plus la reproduction des huîtres et des poissons. Un vrai problème du point de vue sanitaire, environnemental et économique... Véronique Séchet, chercheuse biologiste à l'Ifremer, nous en dit plus sur cette micro-algue et sur son comportement. 

Le fil de l'histoire
Le fil de l'histoire : Micro ! Episode 3

Le fil de l'histoire

Play Episode Listen Later Jun 2, 2021 57:24


Durée : 57:24 - Le fil de l'histoire voit tout petit cette semaine, aujourd'hui on s'intéresse même à ce qui est microscopique ...  Deux chercheurs du laboratoire de l'Ifremer à Nantes ont récemment mit en évidence que la micro-algue Dinophysis était, en plus d'être toxique pour l'humain, nocive pour la reproduction des huîtres et des poissons. Les conséquences sont importantes : à la fois sanitaire et économique. Véronique Séchet, chercheuse biologiste à l'Ifremer nous parle plus en détails de cette micro-algue qui fait son apparition tous les ans. Et toute l'heure, profitez d'une playlist spécialement concotée pour notre thème...  Bonne écoute !  

Bibliothèque nationale de France - BnF
Débats au cœur de la science #2 Demain, cohabiter avec le vivant : peut-on éviter la 6e extinction ?

Bibliothèque nationale de France - BnF

Play Episode Listen Later Mar 30, 2021 87:09


{Demain, cohabiter avec le vivant : peut-on éviter la 6e extinction ?}Changement climatique, menaces sur la biodiversité, mutation des systèmes agroalimentaires, transition énergétique – autant de sujets abordés par un nouveau cycle de conférences qui fait dialoguer des spécialistes issus de différentes disciplines. La première saison du cycle est intitulée "Demain, la vie ?".Avec Benoît Fontaine, biologiste de la conservation, Muséum national d’histoire naturelle, Vincent Devictor, directeur de recherche, Unité littoral, environnement, télédétection, géomatique, Joëlle Zask, philosophe, auteure de Quand la forêt brûle (Premier Parallèle, 2019), François Galgani, océanographe, chercheur à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER), Sabrina Krief, primatologue, professeure dans l'UMR d'Éco-anthropologie (CNRS, Muséum national d’histoire naturelle, Paris 7), et Baptiste Morizot, auteur de Raviver les braises du vivant (Actes sud, 2020).Débat animé par Caroline Lachowsky, journaliste scientifique à RFI, et enregistrée le 25 mars 2021 à la BnF I François-MitterrandEn partenariat avec RFI Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

InterNational
IFREMER, première édition des Rencontres de la Flotte océanographique française

InterNational

Play Episode Listen Later Mar 29, 2021 4:06


durée : 00:04:06 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Du 29 mars au 1er avril 2021, l’Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer organise trois jours de rencontres pour les scientifiques d’aujourd’hui jusqu’au 1er avril et pour le grand public, demain à 09h30...

Le fil sciences
Une bonne nouvelle : les poissons se portent mieux en France, selon le dernier bilan de l’Ifremer

Le fil sciences

Play Episode Listen Later Feb 20, 2021 4:40


durée : 00:04:40 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - L’Ifremer, l’institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer a présenté il y a quelques jours son bilan annuel de l’état des pêcheries commerciales de France métropolitaine. Il s’améliore mais reste loin des objectifs fixés par l’Europe.

InterNational
b.a ba de l'IFREMER...

InterNational

Play Episode Listen Later Feb 1, 2021 4:12


durée : 00:04:12 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Présent autant en métropole que sur l’ensemble des océans, l’IFREMER, Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer est un fleuron français unique dans le monde dédié aux mers, aux océans et au patrimoine marin mondial.

InterNational
Les dangers pour les tortues marines dans l'océan Indien

InterNational

Play Episode Listen Later Jan 4, 2021 4:18


durée : 00:04:18 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Dans l'océan indien, l’Ifremer étudie la conservation des tortues marines, plus particulièrement deux espèces en danger : les tortues vertes Chelonia mydas et imbriquées Eretmochelys imbricata, surtout les dangers pour ces tortues entre la Réunion et le canal du Mozambique.

Autour de la question
Autour de la question - Pourquoi le corail est un drôle d’animal ?

Autour de la question

Play Episode Listen Later Nov 24, 2020 48:30


Pourquoi le corail est un drôle d’animal ? Végétal et même minéral... Comment mieux comprendre cet écosystème unique en son genre ? Comment préserver ces sublimes et indispensables récifs coralliens ?   Plongeons au cœur d’un écosystème aussi fascinant que fragile : le corail ! Les récifs coralliens, stupéfiants de beauté, abritent 30% de la biodiversité océanique, un réservoir de vie essentiel. À la fois animal, végétal et minéral, il se révèle particulièrement sensible, trop sensible, à nos activités humaines. Comment mieux comprendre cet écosystème unique en son genre pour mieux le préserver ?  Avec Denis Allemand, directeur scientifique du Centre Scientifique de Monaco, nommé au Comité scientifique de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER), spécialisé dans la physiologie comparée des organismes marins, et plus particulièrement la physiologie des coraux L'ouvrage Corail, un trésor à préserver est paru aux Éditions Glénat. Et Pascale Chabanet, docteur en environnement marin et chercheur à l'IRD (Institut de Recherche pour le Développement). Elle est spécialiste des coraux et notamment dans l'étude des impacts d'origine naturelle et anthropique sur les récifs coralliens. Elle est engagée, depuis plusieurs années, dans la préservation de la barrière de corail de Nouvelle-Calédonie et à La Réunion. Pour en savoir plus  → Le livre Récifs coralliens, cœur de l’océan (photographies signés Alexis Rosenfeld, textes de Lambert Wilson et Serge Planes)

BadGeek
La grande bleue n°2 du 02/10/20 - Les océans, des poubelles à ciel ouvert (15min)

BadGeek

Play Episode Listen Later Oct 2, 2020 15:12


Ce que l’on nomme, au début de cet épisode, dans la vidéo publiée par l’AFP en mai 2012 comme 8e continent, est aussi qualifié par certains spécialistes de 5e ou 7e continents. Vous aurez compris qu’il est en grande partie question ici de pollution plastique. C’est ce dont nous avons parlé dans l’épisode précédent. Mais nous allons voir, dans ce 2e numéro de La grande bleue, que la pollution marine ne tourne pas qu’autour du plastique : que nos océans renferment un tas de détritus, qui sont principalement le reflet de notre vie. Environ 10 % des déchets qui sont connus terminent leur vie dans le milieu naturel. Sur ces 10 %, une majorité reste dans le fond des océans. C’est dire la quantité, astronomique, de déchets qui finissent en mer. Revue de détail avec François Galgani, de l’IFREMER, spécialiste européen de la surveillance des déchets marins, et Patrick Deixonne, navigateur/explorateur et chef des expéditions 7e continent.

InterNational
L’Ifremer traque les algues nuisibles depuis l’espace

InterNational

Play Episode Listen Later Jun 8, 2020 4:12


durée : 00:04:12 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Conséquences du confinement, sans possibilité de sortie en mer, la traque de l'algue, Phaeocystis globosa, dont la prolifération est néfaste pour l’environnement, s'est déroulée grâce à des données satellites et une station instrumentée autonome.

Chronique Transports
Chronique transports - La France contre l'excès de vitesse en mer pour réduire la pollution

Chronique Transports

Play Episode Listen Later Dec 28, 2019 2:38


Ce qui fonctionne pour les voitures fonctionne aussi pour les navires ! Réduire la vitesse du moteur pour moins polluer : expérimentée pour des raisons économiques au lendemain de la dernière crise financière de 2008, cette technique du ralentissement des cargos avait fait chuter le taux d'émission de CO2. En 2019, Emmanuel Macron a défendu l'idée à l'ONU puis au G7, le rendez-vous des pays les plus puissants du monde. Devenu l'ambassadeur d'une idée apparemment toute simple, mais pas si facile à imposer ! En coulisses, c'est à un Français, Philippe Louis-Dreyfus, que l'on doit cette idée toute simple (il le dit lui-même) de ralentir la vitesse en mer pour moins polluer. Philippe Louis-Dreyfus a voué sa carrière au transport maritime. Après un mandat à la tête des armateurs européens, il continue de gérer sa société de transport maritime. Autant dire que les navires et leur fuel, beaucoup plus lourd que celui des voitures, n'ont pas de secret pour lui. Cet expert convaincu est tellement convaincant qu'il a réussi à convaincre le président de la République de se faire l'ambassadeur de la vitesse réduite auprès des grandes puissances du monde. Le diesel maritime pollue plus que le diesel des voitures « Effectivement, nous dit-il, j'ai eu la chance de pouvoir en parler à Emmanuel Macron. Il ne faut pas se voiler la face, un navire c'est grand, c'est lourd et extrêmement polluant. Le fuel maritime n'est pas raffiné, et même si les nouvelles normes nous imposent de réduire le taux de souffre dans nos moteurs, il reste encore plus polluant que le carburant du secteur automobile. » « Or, poursuit-il, cette solution efficace de réduction de la vitesse agit comme pour une voiture, moins vous allez vite moins le moteur pollue. Cela fait quatre ans que je suis engagé dans ce combat pour la préservation de la planète. La réussite de cette mesure a été prouvée en 2008 lors de la crise financière et la hausse du prix du carburant. Nous les transporteurs, tous les armateurs, nous avons aussi notre part d'efforts à faire. » 95% des marchandises mondiales sont transportées par la mer, soit 3% de la pollution au CO2 Dans le monde du transport maritime, ce n'est un secret pour personne, le retard pris dans l'équipement de bateaux ou de bornes pour moteurs électriques ou à hydrogène ne permet pas encore une circulation plus propre. C'est pour cela que la France tente de devenir pionnière d'une contrainte si utile et si simple à appliquer. Mais plus facile à dire qu'à faire ! Le président français en a fait les frais lors du dernier G7, la réunion des sept plus grandes puissances du monde l'été dernier, en France. Les produits périssables et les ferrys de voyageurs ne seraient pas concernés Les grands pays exportateurs de pétrole comme l'Arabie saoudite, les États-Unis mais aussi les exportateurs de produits frais comme les fruits pour le Chili ou l'Argentine s'opposent à une telle mesure. Leur poids pèse lourd auprès des instances de l'Organisation maritime internationale. C'est pour cela que la proposition française déposée auprès de cette instance dépendant de l'ONU exempte de contraintes de vitesse tous les ferrys puisqu'en tant que transporteurs de voyageurs, ils ont des distances souvent courtes avec des contraintes de temps. Les porte-containers de produits périssables en seraient aussi exonérés. Le président Macron en appelle aux armateurs de France pour convaincre leurs collègues japonais Le 3 décembre dernier aux assises de la mer, Philippe Louis-Dreyfus a de nouveau rencontré le président Macron. Sur scène, aux côtés d'un panel d'experts, le président l'a félicité pour le travail déjà accompli. La Grèce et la Norvège d'abord opposées ont fini par se ranger du côté français. Mais en même temps que les louanges, Emmanuel Macron n'a pas caché son impuissance : « Tout président de la République que je suis, je ne peux pas faire le travail tout seul auprès des grands de ce monde. Vous avez deux camps, celui du court terme efficace et rapide, le nôtre ! Et l'autre, à long terme mené par les Japonais qui privilégient plus le progrès technique avec la recherche sur de nouveaux matériaux et de nouveaux carburants. » « Pour aller vite et défendre la planète, j'ai besoin de vous, armateurs et professionnels de la mer. En mars prochain, j'ai une nouvelle réunion internationale sur le sujet. D'ici là, je compte sur vous pour en parler et convaincre vos collègues japonais pour qu'ils fassent pression sur leur gouvernement. » Grâce à l’outre-mer, la France possède le deuxième espace maritime mondial Cette année, la France s’est engagée à faire du XXIe siècle un siècle maritime. Les dernières assises de la mer ont confirmé le lancement d’un nouveau programme de recherche océan et climat. Doté d’une enveloppe de 5,5 millions d’euros, il sera ouvert aux scientifiques du CNRS, le Centre national de recherche scientifique et de l’Ifremer, l'Institut national de recherche maritime. Le but est de pouvoir allier activité économique et protection des mers et des récifs coralliens. 5,5 million d’euros pour un nouveau programme océan et climat Si tous les pays du monde, loin s’en faut, ne font pas de l’écologie leur priorité, cette initiative de recherche scientifique française s'inscrit dans les préoccupations de la nouvelle présidente de la Commission européenne. Dans son discours d’entrée en fonction, Ursula Van Der Leyen s’est engagée à réduire les émissions de carbone dans les dix ans à venir. Pour résumer, outre la réduction de la vitesse, appuyée par l’Europe, des solutions durables à court terme comme l’obligation pour les navires de réduire le taux de soufre dans les moteurs ont déjà montré leur efficacité. Les autres défis pour bateaux du futur concernent les carburants moins polluants mais aussi l’équipement des ports pour le passage à l’électrique ou à l’hydrogène. 

Mare latinu
Mare latinu : La Méditerranée en danger, c’est le constat du rapport de l’IFREMER

Mare latinu

Play Episode Listen Later Sep 9, 2019 2:28


durée : 00:02:28 - Mare latinu

Minute papillon!
Minute Papillon! Flash info midi - 12 octobre midi

Minute papillon!

Play Episode Listen Later Oct 12, 2018 2:23


Les titres de 12h20:- E5, B7 : les nouveaux noms des carburants entrent en vigueur ce vendredi. Pas de panique, les stations de service assurent garder les anciennes étiquettes pour ne pas perturber les clients.- Emmanuel Maurel annonce dans Le Monde son départ du PS, avec Marie-Noëlle Lienemann et de nombreux cadres de l’aile gauche. Ils regardent en direction de Jean-Luc Mélenchon et de La France insoumise (LFI).- Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi a été torturé puis tué au sein du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul où il avait disparu le 2 octobre. La Turquie dispose d’enregistrements audio et vidéo le prouvant, rapporte le Washington Post.- Une salle de détente réservée aux seuls salariés méritants, sélectionnés par l’équipe managériale, dans un centre de la SNCF à Asnières (Hauts-de-Seine). La photo avec ces indications a été publiée sur Twitter, et repérée franceinfo.- L’équipe de France a frôlé le drame hier face à l’Islande. Elle a finalement arraché le nul 2-2 en match amical. Kylian Mbappé en forme, a assuré ne pas vouloir penser au Ballon d’Or.- Et si vous êtes demain à Lorient dans le Morbihan, l’Ifremer vous invite à venir à compter les petits poissons qui s’échappent des filets des pêcheurs. Les infos et le but de l’initiative dans notre article…Pour accéder aux précédents flashs de « Minute Papillon ! » sur votre smartphone, c’est par ici :- Vous êtes sur iOS- Vous êtes sur Android- dans l’onglet « 20 Minutes Podcast » sur la page d’entrée de notre site.Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits -Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Le Labo des savoirs
Des algues et des hommes

Le Labo des savoirs

Play Episode Listen Later Sep 3, 2014 59:53


Du varech breton transformé en soude à la célèbre Nori de la cuisine japonaise, les algues entretiennent d'anciennes relations avec l'être humain. Ce n'est qu'un début. Aujourd'hui, dans le monde du centième de millimètre, des algues retiennent l'attention des laboratoires : les microalgues. On estime difficilement entre 200.000 et plusieurs millions la nombre d'espèces de ces micro-organismes. Leurs possibles applications sont en revanche déjà bien connues. Biocarburant, algobitumes, alimentation, captation des pollution : facilement manipulables, cultivables sur peu d'espace, les microalgues sont-elles le moteur d'une industrie nouvelle ? Invité Jean-Paul Cadoret, directeur du laboratoire Physiologie et Biotechnologie des Algues au centre Ifremer de Nantes. Crédits Une émission réalisée avec Alice Anberrée, Aurélie Angot, Claire Douette, Claire Sizorn, Layella Ziyani, dirigée par Guillaume Mézières.

Thèses
Thèse de David Benhaim

Thèses

Play Episode Listen Later Nov 21, 2011 154:44


Characterization of behavioural adaptation in farming teleosts Plasticity and effects of domestication