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Les combats continuent de faire rage dans les régions du sud et du nord Kivu. « Les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, affirment contenir "l'ennemi", précise Actualité CD, dans les zones de Lubero, Sake et Nyiragongo, tout en reconnaissant des "percées" à Bweremana (Nord-Kivu) et Minova (Sud-Kivu) ».En effet, poursuit le site congolais, « l'armée congolaise reconnaît que les rebelles du M23, appuyés par l'armée rwandaise, ont réussi à s'infiltrer dans Bweremana et à prendre le contrôle de la cité de Minova, une entité stratégique. (…) L'occupation de cette ville a provoqué une hausse des prix des produits de première nécessité et amplifié une crise humanitaire déjà critique, relève encore Actualité CD. Des milliers de déplacés, originaires de Masisi et de Rutshuru, ont fui à nouveau, s'ajoutant aux 700 000 personnes déjà enregistrées dans le groupement de Buzi ».D'après une source humanitaire citée par le site congolais, « la famine risque de toucher un grand nombre de personnes. Les familles de déplacés et celles d'accueil se dirigent désormais vers Goma dans des conditions précaires ».Statu quo…C'est désormais la guerre à outrance dans l'est de la RDC, pointe le site Afrikarabia. « En l'absence de toute perspective diplomatique et d'accord entre la RDC et le Rwanda après l'échec des pourparlers de Luanda, le M23 et les autorités congolaises ont décidé (en effet) de privilégier la solution militaire. Kinshasa refusant toute négociation directe avec le M23, et Kigali conditionnant désormais son retrait à un dialogue entre le gouvernement congolais et la rébellion, faisant par la même occasion voler en éclats un cessez-le-feu qui n'a jamais vraiment été respecté. Malgré les récents succès militaires des FARDC, le rapport de force ne s'est pas vraiment inversé sur le terrain, relève encore Afrikarabia. Sans un retrait des forces rwandaises qui, selon le dernier rapport de l'ONU, apportent un soutien militaire décisif en hommes et en armes sophistiquées, on ne voit pas comment l'armée congolaise peut venir à bout de la rébellion. Du côté du M23, on a également l'impression que les rebelles ne sont plus vraiment en mesure de conquérir de nouveaux territoires sans fragiliser les zones déjà sous son contrôle ».La bataille des communiquésEt cette guerre à outrance sur le terrain se double désormais d'une guerre des mots… C'est ce que relève Jeune Afrique. « Les gouvernements de Kinshasa et de Kigali s'affrontent aussi par médias interposés à mesure que le conflit s'intensifie. Les insultes fusent, de chaque côté de la frontière. Le langage a abandonné la diplomatie ».D'un côté, le président rwandais Paul Kagamé qui traite d'idiots les chefs militaires congolais. De l'autre, les autorités de Kinshasa qui qualifient le président rwandais d'élu de la terreur et qui le comparent à Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande sous Hitler…De plus, souligne Jeune Afrique, « la guerre de communication complique le travail des journalistes. « Il faut éviter de se fier uniquement aux deux camps, met en garde Claude Sengenya, vice-président de l'Union nationale de la presse congolaise à Butembo (dans l'Est). Quand les combattants du M23 prennent une localité par exemple, ils se précipitent sur une pancarte qui mentionne son nom pour tourner une vidéo et la diffuser. Mais quand on passe un coup de téléphone, on se rend compte qu'ils ont juste occupé un petit bout du village », relève-t-il. Et « l'armée congolaise n'est pas en reste, pointe encore Jeune Afrique. L'armée congolaise qui diffuse des images de soldats morts présentés comme rwandais pour signifier sa supériorité ».La guerre des réseauxBref, « chaque partie tente d'imposer son récit », aussi par le biais d'internet et des réseaux sociaux avec des influenceurs dans les deux camps.Récemment, relève le site panafricain, la chaine de télévision qatari Al Jazeera a été suspendue pour 90 jours par les autorités congolaises. Elle avait diffusé une interview du chef politique du M23, Bertrand Bisimwa. Une interview réalisée par Bojana Coulibaly, qui se présente comme chercheuse mais qui est accusée par Kinshasa d'être une influenceuse pro-rwandaise.D'ailleurs, précise Jeune Afrique, les autorités congolaises ont lancé « un avertissement aux médias qui seraient perçus comme complaisants à l'égard du M23. Les autorités congolaises qui durcissent leurs positions sur le front médiatique tout en assurant respecter la liberté de la presse ».
Les combats continuent de faire rage dans les régions du sud et du nord Kivu. « Les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, affirment contenir "l'ennemi", précise Actualité CD, dans les zones de Lubero, Sake et Nyiragongo, tout en reconnaissant des "percées" à Bweremana (Nord-Kivu) et Minova (Sud-Kivu) ».En effet, poursuit le site congolais, « l'armée congolaise reconnaît que les rebelles du M23, appuyés par l'armée rwandaise, ont réussi à s'infiltrer dans Bweremana et à prendre le contrôle de la cité de Minova, une entité stratégique. (…) L'occupation de cette ville a provoqué une hausse des prix des produits de première nécessité et amplifié une crise humanitaire déjà critique, relève encore Actualité CD. Des milliers de déplacés, originaires de Masisi et de Rutshuru, ont fui à nouveau, s'ajoutant aux 700 000 personnes déjà enregistrées dans le groupement de Buzi ».D'après une source humanitaire citée par le site congolais, « la famine risque de toucher un grand nombre de personnes. Les familles de déplacés et celles d'accueil se dirigent désormais vers Goma dans des conditions précaires ».Statu quo…C'est désormais la guerre à outrance dans l'est de la RDC, pointe le site Afrikarabia. « En l'absence de toute perspective diplomatique et d'accord entre la RDC et le Rwanda après l'échec des pourparlers de Luanda, le M23 et les autorités congolaises ont décidé (en effet) de privilégier la solution militaire. Kinshasa refusant toute négociation directe avec le M23, et Kigali conditionnant désormais son retrait à un dialogue entre le gouvernement congolais et la rébellion, faisant par la même occasion voler en éclats un cessez-le-feu qui n'a jamais vraiment été respecté. Malgré les récents succès militaires des FARDC, le rapport de force ne s'est pas vraiment inversé sur le terrain, relève encore Afrikarabia. Sans un retrait des forces rwandaises qui, selon le dernier rapport de l'ONU, apportent un soutien militaire décisif en hommes et en armes sophistiquées, on ne voit pas comment l'armée congolaise peut venir à bout de la rébellion. Du côté du M23, on a également l'impression que les rebelles ne sont plus vraiment en mesure de conquérir de nouveaux territoires sans fragiliser les zones déjà sous son contrôle ».La bataille des communiquésEt cette guerre à outrance sur le terrain se double désormais d'une guerre des mots… C'est ce que relève Jeune Afrique. « Les gouvernements de Kinshasa et de Kigali s'affrontent aussi par médias interposés à mesure que le conflit s'intensifie. Les insultes fusent, de chaque côté de la frontière. Le langage a abandonné la diplomatie ».D'un côté, le président rwandais Paul Kagamé qui traite d'idiots les chefs militaires congolais. De l'autre, les autorités de Kinshasa qui qualifient le président rwandais d'élu de la terreur et qui le comparent à Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande sous Hitler…De plus, souligne Jeune Afrique, « la guerre de communication complique le travail des journalistes. « Il faut éviter de se fier uniquement aux deux camps, met en garde Claude Sengenya, vice-président de l'Union nationale de la presse congolaise à Butembo (dans l'Est). Quand les combattants du M23 prennent une localité par exemple, ils se précipitent sur une pancarte qui mentionne son nom pour tourner une vidéo et la diffuser. Mais quand on passe un coup de téléphone, on se rend compte qu'ils ont juste occupé un petit bout du village », relève-t-il. Et « l'armée congolaise n'est pas en reste, pointe encore Jeune Afrique. L'armée congolaise qui diffuse des images de soldats morts présentés comme rwandais pour signifier sa supériorité ».La guerre des réseauxBref, « chaque partie tente d'imposer son récit », aussi par le biais d'internet et des réseaux sociaux avec des influenceurs dans les deux camps.Récemment, relève le site panafricain, la chaine de télévision qatari Al Jazeera a été suspendue pour 90 jours par les autorités congolaises. Elle avait diffusé une interview du chef politique du M23, Bertrand Bisimwa. Une interview réalisée par Bojana Coulibaly, qui se présente comme chercheuse mais qui est accusée par Kinshasa d'être une influenceuse pro-rwandaise.D'ailleurs, précise Jeune Afrique, les autorités congolaises ont lancé « un avertissement aux médias qui seraient perçus comme complaisants à l'égard du M23. Les autorités congolaises qui durcissent leurs positions sur le front médiatique tout en assurant respecter la liberté de la presse ».
« La réunion tripartite prévue à Luanda entre les présidents congolais Félix Tshisekedi, rwandais Paul Kagame et angolais João Lourenço n'a pas eu lieu hier dimanche », constate le site congolais 7 sur 7. « D'après la présidence congolaise, l'annulation de cette rencontre a été causée, pointe 7 sur 7, par le refus de la délégation rwandaise de prendre part à la réunion ».En effet, précise Beto, autre site congolais, « Kigali a subitement conditionné sa présence, et par conséquent la signature d'un éventuel accord, à l'ouverture d'un dialogue direct entre Kinshasa et le groupe armé M23. Une exigence jugée inacceptable par Kinshasa, qui y voit une manœuvre délibérée pour torpiller le processus de paix de Luanda ».Pour sa part, le New Times à Kigali justifie l'absence de Paul Kagame par les « menaces de changement de régime proférées par les responsables congolais contre le Rwanda et la présence continue dans l'est de la RDC des FDLR, milice fondée par les restes des auteurs du génocide de 1994 contre les Tutsis ».Méfiance réciproqueBref, on en est toujours au même point dans ce conflit qui ravage l'est du Congo depuis plus de 25 ans… « L'échec de cette rencontre illustre le climat de méfiance profonde qui règne entre les deux parties, relève Afrik.com. Kigali exige des garanties fermes sur l'ouverture d'un dialogue avec le groupe rebelle M23. De son côté, Kinshasa insiste sur le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais et l'arrêt du soutien aux rebelles. Ces désaccords rendent tout compromis difficilement envisageable. (…) Avec l'annulation de ce sommet, les perspectives de paix dans l'est de la RDC s'assombrissent. Les habitants de cette région, victimes d'affrontements incessants, espéraient des avancées concrètes pour mettre fin à leur calvaire ». C'est donc raté…« L'échec de Luanda donne l'impression que les points d'achoppement entre le Congo et le Rwanda n'ont pas évolué, pointe pour sa part le site spécialisé sur la RDC, Afrikarabia. Kigali considère toujours la crise du M23 comme un problème congolo-congolais, à l'inverse de Kinshasa qui pense que sans le Rwanda, le M23 est une coquille militaire vide. Le Rwanda défend l'idée que le nœud du conflit se trouve justement entre le M23, qui défend la communauté rwandophone, et les autorités congolaises. Pour Kinshasa, le refus de négocier avec la rébellion est directement lié aux multiples échecs du passé et aux nombreuses intégrations ratées de rebelles au sein de l'armée régulière qui ont systématiquement donné lieu à la création de nouvelles rébellions ».Des centaines de milliers de déplacésEt pendant ce temps, la guerre se poursuit, donc, avec son cortège de souffrances pour les populations civiles. Témoin, ce reportage à lire dans Le Monde Afrique sur les centaines de milliers de personnes déplacées qui sont venues se réfugier aux environs de Goma, dans la province du Nord-Kivu, pour se retrouver dans des camps où règnent l'insécurité et la misère.« L'ouest de Goma est le réceptacle des malheureux fuyant les plateaux et vallées du Masisi et de Walikale, au-delà du versant occidental du volcan Nyiragongo, rapporte l'envoyé spécial du Monde Afrique. Les sites ont pour nom Buhimba, Mulengo, Rusayo, Luchaga, Rego… Partout le même spectacle, une mer de bâches blanches. Combien sont-ils, ces hordes de déplacés ? Au moins 600 000, selon une évaluation effectuée à partir de photos aériennes par plusieurs ONG. Plus d'un million, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU. Nul ne sait précisément, mais trop ».Au moins 600 000 personnes, donc, qui ont besoin de nourriture et de protection… « Dans le camp de Lwashi, par exemple, pointe Le Monde Afrique, c'est le Programme alimentaire mondial qui nourrit les gens. En partie. Débordée, l'agence onusienne subvient aux besoins de base de la moitié des ménages seulement. Les autres tentent de survivre ».Il y a aussi le problème de l'eau potable : au bord du lac Kivu, MSF a installé « 8 pompes qui tournent 24 heures sur 24, reliées à 24 cuves de 10 000 litres dispatchées dans des camions-citernes ou dans le réseau de tuyaux courant sur une dizaine de kilomètres ». Mais cela ne suffit pas…Enfin, l'insécurité permanente, relève encore Le Monde Afrique… Exemple : « les femmes ont demandé qu'il n'y ait pas d'ampoules autour du bâtiment des latrines pour ne pas être vues la nuit. Les chiffres de violences sexuelles, principale forme de violence parmi les déplacés, sont en effet effrayants. Selon une étude MSF, plus de 10 % des femmes adultes, dans les camps de déplacés, ont déclaré avoir été violées ».
« La réunion tripartite prévue à Luanda entre les présidents congolais Félix Tshisekedi, rwandais Paul Kagame et angolais João Lourenço n'a pas eu lieu hier dimanche », constate le site congolais 7 sur 7. « D'après la présidence congolaise, l'annulation de cette rencontre a été causée, pointe 7 sur 7, par le refus de la délégation rwandaise de prendre part à la réunion ».En effet, précise Beto, autre site congolais, « Kigali a subitement conditionné sa présence, et par conséquent la signature d'un éventuel accord, à l'ouverture d'un dialogue direct entre Kinshasa et le groupe armé M23. Une exigence jugée inacceptable par Kinshasa, qui y voit une manœuvre délibérée pour torpiller le processus de paix de Luanda ».Pour sa part, le New Times à Kigali justifie l'absence de Paul Kagame par les « menaces de changement de régime proférées par les responsables congolais contre le Rwanda et la présence continue dans l'est de la RDC des FDLR, milice fondée par les restes des auteurs du génocide de 1994 contre les Tutsis ».Méfiance réciproqueBref, on en est toujours au même point dans ce conflit qui ravage l'est du Congo depuis plus de 25 ans… « L'échec de cette rencontre illustre le climat de méfiance profonde qui règne entre les deux parties, relève Afrik.com. Kigali exige des garanties fermes sur l'ouverture d'un dialogue avec le groupe rebelle M23. De son côté, Kinshasa insiste sur le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais et l'arrêt du soutien aux rebelles. Ces désaccords rendent tout compromis difficilement envisageable. (…) Avec l'annulation de ce sommet, les perspectives de paix dans l'est de la RDC s'assombrissent. Les habitants de cette région, victimes d'affrontements incessants, espéraient des avancées concrètes pour mettre fin à leur calvaire ». C'est donc raté…« L'échec de Luanda donne l'impression que les points d'achoppement entre le Congo et le Rwanda n'ont pas évolué, pointe pour sa part le site spécialisé sur la RDC, Afrikarabia. Kigali considère toujours la crise du M23 comme un problème congolo-congolais, à l'inverse de Kinshasa qui pense que sans le Rwanda, le M23 est une coquille militaire vide. Le Rwanda défend l'idée que le nœud du conflit se trouve justement entre le M23, qui défend la communauté rwandophone, et les autorités congolaises. Pour Kinshasa, le refus de négocier avec la rébellion est directement lié aux multiples échecs du passé et aux nombreuses intégrations ratées de rebelles au sein de l'armée régulière qui ont systématiquement donné lieu à la création de nouvelles rébellions ».Des centaines de milliers de déplacésEt pendant ce temps, la guerre se poursuit, donc, avec son cortège de souffrances pour les populations civiles. Témoin, ce reportage à lire dans Le Monde Afrique sur les centaines de milliers de personnes déplacées qui sont venues se réfugier aux environs de Goma, dans la province du Nord-Kivu, pour se retrouver dans des camps où règnent l'insécurité et la misère.« L'ouest de Goma est le réceptacle des malheureux fuyant les plateaux et vallées du Masisi et de Walikale, au-delà du versant occidental du volcan Nyiragongo, rapporte l'envoyé spécial du Monde Afrique. Les sites ont pour nom Buhimba, Mulengo, Rusayo, Luchaga, Rego… Partout le même spectacle, une mer de bâches blanches. Combien sont-ils, ces hordes de déplacés ? Au moins 600 000, selon une évaluation effectuée à partir de photos aériennes par plusieurs ONG. Plus d'un million, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU. Nul ne sait précisément, mais trop ».Au moins 600 000 personnes, donc, qui ont besoin de nourriture et de protection… « Dans le camp de Lwashi, par exemple, pointe Le Monde Afrique, c'est le Programme alimentaire mondial qui nourrit les gens. En partie. Débordée, l'agence onusienne subvient aux besoins de base de la moitié des ménages seulement. Les autres tentent de survivre ».Il y a aussi le problème de l'eau potable : au bord du lac Kivu, MSF a installé « 8 pompes qui tournent 24 heures sur 24, reliées à 24 cuves de 10 000 litres dispatchées dans des camions-citernes ou dans le réseau de tuyaux courant sur une dizaine de kilomètres ». Mais cela ne suffit pas…Enfin, l'insécurité permanente, relève encore Le Monde Afrique… Exemple : « les femmes ont demandé qu'il n'y ait pas d'ampoules autour du bâtiment des latrines pour ne pas être vues la nuit. Les chiffres de violences sexuelles, principale forme de violence parmi les déplacés, sont en effet effrayants. Selon une étude MSF, plus de 10 % des femmes adultes, dans les camps de déplacés, ont déclaré avoir été violées ».
Kati Jarida la Habari za UN hii leo: Juhudi za WHO kudhibiti Mpox kwa wakimbizi wa ndani mshariki mwa DRC. WHO inasema kugundulika kwa maambukizi ya mpox katika kambi ya wakimbizi wa ndani karibu na Goma kunatia wasiwasi kwani msongamano mkubwa wa watu unaweza kusababisha kuenea zaidi kwa ugonjwa, na mienendo ya watu inaweza kutatiza juhudi za kukabiliana na ugonjwa huo ndio maana shirika hilo kwa kushirikiana na wadau linachukua kila hatua inayowezekana ili kuudhibiti ugonjwa. Kutoka DRC, George Musubao anaeleza zaidi kupitia video iliyoandaliwa na WHO siku chache zilizopita katika Hospitali Kuu ya Nyiragongo, Kivu kaskazini.Leo mashinani tunakwenda kambi ya wakimbizi ya Nduta mkoani Kigoma nchini Tanzania. Karibu!
Join us welcoming Ryan Atkinson, an award-winning hostile environment trained cameraman, back to the World Extreme Medicine podcast. In this thrilling episode, Ryan shares his experience filming the 2016 expedition to the heart of Africa, where he and a team of scientists immersed themselves in the active Nyiragongo volcano to study and discover the warning signs of a potential eruption. Ryan discusses the challenges of filming in one of the most remote and dangerous locations on Earth, the Virunga National Park in the Democratic Republic of Congo. He shares insights on the complex logistics, the ever-present environmental and human risks, and the emotional impact of witnessing the profound hope and resilience of the local communities living in the shadow of the volcano. From navigating the unpredictable weather conditions and noxious gases to managing team dynamics and conflicting goals, Ryan takes you on a captivating journey through the highs and lows of this life-changing expedition. He also emphasises the importance of effective teamwork, shared understanding of risk, and the role of experienced leadership in ensuring the success and safety of the mission. Tune in to this episode for a fascinating look at the world of extreme filmmaking and the power of storytelling to shed light on the complex interplay of nature, conflict, and the human spirit. You can learn more about Ryan's work here.
durée : 00:31:30 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Ce sont deux histoires de volcans, l'un rouge, l'autre gris, dans lesquelles ils sont allés « au bout d'eux-mêmes » : Benoît a cru perdre ses enfants lors de l'éruption du Calbuco au Chili, Patrick est descendu dans le plus grand lac de lave de la planète, le Nyiragongo. Par Elise Andrieu.
durée : 00:31:30 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Ce sont deux histoires de volcans, l'un rouge, l'autre gris, dans lesquelles ils sont allés "au bout d'eux-mêmes" : Benoît a cru perdre ses enfants lors de l'éruption du Calbuco au Chili, Patrick est descendu dans le plus grand lac de lave de la planète, le Nyiragongo. Par Elise Andrieu.
Dans l'est de la RDC, nombreux sont ceux qui ne pourront pas voter le 20 décembre à cause de la situation sécuritaire. Le président Félix Thsisekedi a confirmé en interview sur RFI que le vote n'aura pas lieu dans plusieurs territoires du Nord Kivu. La rébellion du Mouvement du 23 mars, le M23, occupe, contrôle et administre une partie de cette province. Dans la capitale de la région et dans les environs, tous réclament le retour de la paix et la sécurité. Reportage Coralie Pierret. De notre correspondante à Kinshasa, À Kanyaruchinya, dans leur cour d'école, les écoliers côtoient les déplacés. Ils sont près de deux millions et demi à avoir fui la guerre entre M23 et troupes pro-gouvernementales. Ils ont trouvé refuge dans des abris de fortune près de Goma. Parmi eux, Vainqueur, dont le prénom a été modifié. Il vient d'une zone sous contrôle du M23, mais a réussi, malgré l'insécurité, à obtenir une carte d'électeur : « Je suis venu ici à Goma pour m'enrôler parce que je voyais que le futur était sans issue. Je cherchais une carte d'électeur et je l'ai eue. » Dans son village, il n'était pas possible de se faire enrôler : « les machines d'enrôlement n'ont pas pu arriver chez nous, car c'est une zone contrôlée par les rebelles. » Le 20 décembre, il devrait donc pouvoir voter. Mais dans les camps de déplacés, son cas fait figure d'exception.Difficile d'estimer le nombre d'exclus, mais la plupart des habitants de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo n'ont pas reçu de cartes. Qu'à cela ne tienne puisque les préoccupations sont ailleurs, explique sous une pluie battante Innocent Tumaini, chef du site de déplacés CEPAC : « Nous sommes découragés, les dirigeants que nous avons élus ne nous ont pas rendu service. Depuis que nous les avons élus, ces dirigeants restent à Kinshasa et ne font rien pour nous. De ce fait, nous n'avons pas le courage de participer aux élections. »« Ils sont là pour cambrioler »Dans les environs, mais aussi à Goma, tous réclament le retour de la paix. Dans la ville, sous contrôle gouvernemental, le contexte électoral est propice à l'augmentation de l'insécurité, affirme Emmanuel Kubuya Sitatsi chef de quartier adjoint de Ndosho où sévissent régulièrement des bandes armées : « Ce sont des inconnus qui arrivent en bandes et volent. Ils sont en tenue de militaire, bien armés et sont là pour cambrioler. »L'insécurité est l'une des thématiques centrales de cette élection. À Goma, les affiches ont fleuri dans les rues, mais aucun candidat n'est encore venu y faire campagne.À lire aussiRDC: la machine à voter fait à nouveau polémique
This is the author's introduction to this chilling true story: Carl Ethan Akeley is considered the “Father of Modern Taxidermy, a title not lightly earned. I first saw his work in New York's American Museum of Natural History in 1947, a small boy in hot flannel, dripping ice cream over his Buster Browns in the July heat. His bronzes of lion spearing, taken from his adventures with the Nandi of British East Africa, are still my favorite sculptures on earth. Perhaps I always related to Akeley because he was an American who proved that my own dreams of going to Africa were not in vain. Akeley, at heart a sculptor, caught better than anyone else the action and reality of his still-unspoiled Africa. Yet he paid a very high admission fee for his exposure, killing a wounded leopard with his bare hands and being left for dead in the icy heights of equatorial mountains after being savaged by an elephant. At last, in 1926, Carl Akeley paid his final dues for his lifestyle, dying of pneumonia on the high, chillingly wet slopes of the remote Virunga volcanoes of what was then the Belgian Congo, where he had collected specimens of the mountain gorilla for the museum. Should you walk into the Museum of Natural History in New York City, you will see a magnificent diorama of the mountain gorilla, which actually is more than a memory to Akeley. It is an exact depiction of his grave, in the saddle between Mount Karasimbi and Mount Mikeno. The peaks in the background, behind the spot where his wife laid his tired and African-worn bones, are the volcanoes of Nyamlagira and Nyiragongo. In creating his works for the museum, Akeley was the most generous of men, naming the display area after his close friend Theodore Roosevelt. He also dedicated his only book, In Brightest Africa (1920), to the ex-president. The years have a way of saying thanks in kind: the Roosevelt Hall is now the Akeley Hall, and small boys like me from around the world still thank him." -- Peter Hathaway Capstick, Death in a Lonely Land. My website: https://catholic-mens-podcast.pinecast.co/ Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=100090924548838 The following music was used for this media project: Music: The Fragility Of Tenderness by MusicLFiles Free download: https://filmmusic.io/song/6723-the-fragility-of-tenderness License (CC BY 4.0): https://filmmusic.io/standard-license
Mwakilishi wa Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo DRC Bintou Keita amesema kwamba mpango wa Umoja wa Mataifa nchini huomo MONUSCO unasisitiza wito wa Antonio Guterres, Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa kwa makundi yenye silaha yanayoendesha operesheni zao DRC kuweka chini silaha zao mara moja pasi na masharti yoyote.Mwakilishi wa Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo DRC Bintou Keita amesema kwamba mpango wa Umoja wa Mataifa nchini humo MONUSCO unasisitiza wito wa Antonio Guterres, Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa kwa makundi yenye silaha yanayoendesha operesheni zao DRC kuweka chini silaha zao mara moja pasi na masharti yoyote. Mwandishi wetu wa Kinshasa BYOBE MALENGA na tarifa zaidi.Bi Bintou Keita, Mwakilishi Maalum wa Katibu Mkuu nchini DRC ametoa kauli hio wakati wa mkutano na waandishi wa habari wakati ahitimisha ziara yake mwishoni mwa wiki katika majimbo matatu ya Mashariki mwa nchi amambapo amesema amehuzunishwa sana na hali ya wakimbizi wa ndani,“Nilikuja kuona kwa uhakika athari za kuzorota kwa hali ya usalama katika maisha ya mamia kwa maelfu ya watu walio katika mazingira magumu, wakiwemo wanawake na watoto. Nimetembelea maeneo ya Bushagara na mugwera huko Kivu Kaskazini na KISOGE huko Ituri. Nimekutana na wanawake na wanaume walio katika dhiki lakini ambao bado wana matumaini. Wana nia moja tu ya kurejea kwa amani ili warudi majumbani kwao salama. Haya ni matakwa yetu ya pamoja.” Keita amewataka waasi wa kundi la M23 kuheshimu mkataba wa mwisho wa mkutano mdogo wa kilele uliofanyika mjini Launda nchini Angola ambao unaowataka waasi hao kuondoka na kurejea katika nafasi yao ya awali kwenye Mlima Sabinyo kabla ya Jumanne ya Machi 7 mwaka huu bila masharti kabla ya kutaka mazungumzo yoyote na serikali ya DRC, “Ninakaribisha hatua ya mpatanishi wa Umoja wa Afrika, Rais wa Angola Joao Lourenço, ambayo imefanya Ijumaa kutolewa ahadi ya M23 ya kusitisha mapigano mashariki mwa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Kongo kuanzia Jumanne tarehe 7 Machi saa 12 Jioni. Ninatoa wito kwa vuguvugu hili la waasi wa M23 kuheshimu bila masharti au kusita, masharti ya tamko la Luanda la Novemba 23, ambalo linadai wajiondoe katika maeneo yanayokaliwa, kusitishwa kwa mapigano yote, kuwaondoa wapiganaji wao na kurudi katika eneo lao la awali kwenye Mlima Sabino “. Wito huo unakuja wakati waasi wa M23 wakiteka vijiji kadhaa katika maeneo ya Masisi, Rutshuru na Nyiragongo, hali iliyosababisha zaidi ya watu 600,000 kuyahama makazi yao.
Kampeni ya utoaji wa chanjo dhidi ya ugonjwa wa kipindupindu iliyoanza tarehe 25 mwezi huu huko Kivu Kaskazini nchini jamhuri ya Kidemokraia ya Congo, DRC imekunja jamvi jana Jumanne ya tarehe 30 mwezi hu uwa Januari ambapo shirika la Umoja wa Mataifa la afya ulimwenguni WHO lilizindua kampeni hiyo ya chanjo kwa wakimbizi wa ndani katika kambi ya wakimbizi hao ya Kanyaruchinya wilayani nyiragongo katika mji wa Goma jimboni Kivu Kaskazini.Mwandishi wetu wa DRC Byobe Malenga ambaye ameshuhudia uzinduzi huo amesema uliongozwa na Gavana wa jimbo la Kivu Kaskazini Jenerali Ndima Constant, na Mwakilishi wa shirika WHO nchini DRC kwa lengo la kuokoa mamia ya familia hususan za wakimbizi wa ndani ambao tayari makumi kwa makumi wameripotiwa kupata ugonjwa huo na wengine wamefariki dunia.Jean Bruno, ni Mkuu wa Ofisi ya WHO Kivu Kaskazini na anasema ameridhishwa na shauku ya siku ya kwanza na zaidi ya yote amesema,« Tumewalenga watu 364,127 ambao ni wakimbizi wa ndani, pamoja na familia zinazowapokea. Tayari tumepokea dozi 364,150 ambazo zipo na zitatumika. chanjo itafanyika kwa awamu ya dozi moja na tutafanya hivyo kupitia kampeni ya nyumba kwa nyumba kwenye maeneo haya . Tumeridhika na ukweli ni kwamba kumekuwa na dhamira muhimu kwa upande wa serikali kwenye ngazi ya taifa na mkoa, lakini pia tumekuwa na hakikisho kutoka kwa jamii ya watu na wakimbizi wa ndani ambayo imekubali chanjo hiyo ambayo itafanyika kwa wakati».Eneo la Nyiragongo lilipokea idadi kubwa ya watu waliokimbia makazi yao kutokana na mashambulizi yanayofanywa na waaasi wa M23 huku watu 233 elfu waliokimbia makazi yao, zaidi ya 95% yao wamelundikana kwenye makanisa, shule, viwanja vya michezo na maeneo yasio salama kwa afya yao.Gavana wa Kivu Kaskazini, Jenerali Ndima Constant, anakiri kwamba janga la kipindupindu linaathiri sana eneo la Nyiragongo akisema kwamba hadi Jumanne ya Januari 24 wagonjwa 3706 wa kipindupindu walisajiliwa huku kukiwa na vifo 16 na ili kupunguza mlolongo wa maambukizi amewasihi raia kupata chanjo akishukuru WHO kwa msaada wao.« Madhumuni ya kampeni hii ya chanjo ni kulinda idadi ya watu dhidi ya kipindupindu katika jimbo la Kivu Kaskazini na hasa katika maeneo ya watu waliofurushwa ili kupunguza vifo. Mabibi na mabwana, wageni mashuhuri, ili kufunga maoni yangu, ningependa kuwakumbusha kuwa pamoja na chanjo utakayopokea, kufuata hatua za kuzuia maambukizi ni muhimu..”Ametaja njia za kujikunga kuwa ni pamoja na kunawa mikono mara kwa mara kwa maji safi na sabuni au majivu, kunywa maji yaliyotakasishwa tu au yaliyochemshwa. Kupika na kufunika milo yetu, matumizi sahihi ya vyoo huku tukiwa wasafi na kuweka usafi kwenye maeneo yetu ya makazi kila wakati.Waliokimbia makazi yao wanafahamu tishio hilo kwa sababu janga hilo limeathiri zaidi ya 89% ya waliokimbia makazi katika miezi ya hivi karibuni na chanjo inatekelezwa nyumba kwa nyumba.Watu waliohamishwa wanasubiri dozi zao nyumbani. Damaseni Butera ni miongoni mwa watu wa kwanza kupata dozi moja dhidi ya kipindupindu na anashukuru mpango huu wa WHO na anasema, «chanjo ni muhimu sana katika mapambano dhidi ya magonjwa kama kipindupindu, malaria na mengine.Tumejifunza habari kuhusu chanjo hiyo, tumefurahi sana kwa sababu tutakuwa na kinga, asante sana kwa shirika la WHO ambalo lilitufikiria. Asante sana»Kando na hilo, Mweze Shemba, aliyekimbia kutoka kijiji cha Kiwanja, pia alinufaika na chanjo hii. Licha ya njaa,yeye anapendelea kujilinda pamoja na familia yake dhidi ya janga hili akisema, «kilichonifanya nipate chanjo ya leo hapa katika kambi ya wakimbizi ni kwa sababu tunapatwa na magonjwa ya taabu. kama vile kuharana kutapika hasa tunapokunywa maji machafu. Lakini wakati tunapata hii chanjo tunaona kama vile ni kinga kwetu tunashukuru sana »Katika juhudi za kuepusha msongamano wa wagonjwa wa janga hili , WHO ilijenga vitalu 3 kama kitengo cha matibabu ya wagonjwa wa Kipindupindu (UTC) katika eneo la Bushagara na…
Hii leo jaridani tuna habari kwa ufupi, mada kwa kina na jifunze lugha ya kiswahili.Katika Habari kwa Ufupi na Leah Mushi:Kuelekea siku ya kimataifa ya elimu tarehe 24 Januari, Mkurugenzi Mkuu wa shirika la Umoja wa Mataifa la Elimu, Sayansi na Utamaduni, UNESCO Bi. Audrey Azoulay, amesema ametoa heshima ya siku hiyo kuwa maalum kwa wanawake na wasichana wa Afghanistan ambao mamlaka ya Taliban imewanyima fursa ya kupata elimu.Mahakama nchini Afrika Kusini imewaruhusu wataalamu wa Umoja wa Mataifa kushiriki kwenye kesi iliyofunguliwa na wananchi wa wilaya ya Kambwe nchini Zambia walioathirika na uchimbaji wa madini uliofanywa na Kampuni ya madini ya Anglo Amerika.Na leo ni siku ya mwaka mpya wa Kichina ambapo kwa mujibu wa kalenda ya nchi hiyo ni mwaka wa Sungura. Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa Antonio Guterres ametuma salamu za mwaka mpya kwa taifa hilo na kulishukuru kwa ushirikiano wake linaoutoa kwa Umoja wa Mataifa na dunia kwa ujumla.Na katika Mada kwa Kina tunakwenda Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC ambako takriban watu 233,000, wamelazimika kuyahama makazi yao katika wilaya ya Nyiragongo jimboni Kivu Kaskazini kutokana na vita vinavyochochewa na kundi la wapiganaji waasi la M23 na sasa UNHCR imewajengea makazi badala ya kutegemea kuishi tu katika maeneo ya wazi, shuleni au makanisani. Shuhuda ni mwandishi wetu wa DRC, Byobe Malenga.Katika kujifunza lugha ya kiswahili, tunabisha hodi Baraza la Kiswahili la Taifa, Zanzibar, BAKIZA kwake Katibu Mtendaji Dkt. Mwanahija Ali Juma akifafanua methali ACHEKAYE KOVU HAJAONA JERAHA.Karibu na mwenyeji wako ni Anold Kayanda
Hii leo jaridani mada kwa kina tukimulika kampeni ya ‘Afya Na Amani' iliyoanzishwa na walinda amani wa Umoja wa Mataifa wanaotoka Tanzania, TANZBATT 9 huko Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC. Pia tunakuletea Habari kwa ufupi zikiwemo kutoka nchini Tanzania na DR Congo. Katika kujifunza Kiswahili leo tutaungana na mtaalam wetu Onni Sigalla kutoka BAKITA kupata ufafanuzi wa msemo "FANYA ILHAM"Siku chache baada ya Rais wa Tanzania Samia Suluhu Hassan kutangaza kuondoa marufuku ya vyama vya siasa nchini humo kufanya mikutano ya kisiasa, Ofisi ya Kamishna Mkuu wa Umoja wa Mataifa wa haki za Binadamu imezungumzia hatua hiyo kama asemavyo msemaji wa ofisi hiyo Seif Magango.Huko nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC, ujumbe wa Umoja wa MAtaifa wa kulinda amani, MONUSCO umeendelea na jukumu lake la kulinda raia ambapo katika doria ya hivi karibuni zaidi walinda amani kutoka Morocco wameendesha doria katika mji wa Kitchanga jimboni Kivu Kaskazini, eneo ambalo awali ilikuwa vigumu kufikika kutokana na ukosefu wa usalama usababishwao na mashambulizi kutoka kwa waasi.Na tukitamatishia huko huko DRC, shirika la Umoja wa Mataifa la afya ulimwenguni, WHO limeendelea kusaidia harakati za jamii za kuelimishana kuhusu ugonjwa wa kipindupindu ambao umeripotiwa kukumba wakimbizi wa ndani walio kwenye kambi zilizoko ukanda wa afya wa Nyiragongo jimboni Kivu Kaskazini.Na katika kujifunza Kiswahili leo mtaalam wetu Onni Sigalla Mhariri mwandamizi wa Baraza la Kiswahili la Taifa nchini Tanzania , anatufafanulia maana ya msemo "FANYA ILHAM". Mwenyeji wako ni Anold Kayanda, karibu !
En RD Congo, le Rwanda est accusé d'avoir mené des opérations militaires dans l'est du pays. C'est ce qu'affirme un nouveau rapport des experts des Nations unies, un document pas encore publié mais dont le contenu a fuité. Depuis fin octobre, les rebelles du M23 ont repris les armes et occupent de larges parties du territoire de Rutshuru et quelques localités de Nyiragongo. Aurélie Bazzara-Kibangula, correspondante de France 24, a pu consulter ce rapport. Elle détaille ce que qu'il contient.
Dans un communiqué diffusé lundi, la France « condamne » le soutien que le Rwanda apporte aux rebelles du M23 dans l'est de la République démocratique du Congo. Pour la RDC, c'est un succès diplomatique. Mais le président Félix Tshisekedi veut encore pousser son avantage. Patrick Muyaya, ministre congolais de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement de Kinshasa, est l'invité de RFI. RFI : Patrick Muyaya, quelle est votre réaction à la décision de la France de condamner formellement le soutien du Rwanda aux rebelles du M23 ? Patrick Muyaya: Nous saluons évidemment cette décision de la France. Nous aurions voulu que cela arrive plus tôt. Cela aurait peut-être permis d'éviter certaines situations malheureuses sur le terrain, mais maintenant nous espérons que la France ira plus loin, pour que finalement le Rwanda respecte sa part de responsabilité pour le retour de la paix dans cette partie de la République démocratique du Congo. Vous auriez aimé que cela arrive plus tôt. Depuis l'accord entre Emmanuel Macron et Paul Kagame en 2018 pour la désignation de la ministre rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de la francophonie, il y avait, c'est vrai, une vraie complicité franco-rwandaise. Est-ce que le communiqué français de ce 19 décembre est un tournant pour vous ? Peut-être que la France, qui était aussi dans une forme de médiation entre la République démocratique du Congo et le Rwanda, ne pouvait pas, diplomatiquement, prendre une décision aussi ouverte. Mais je crois que le fait que la France le dise publiquement aujourd'hui doit entraîner forcément des conséquences, à commencer par le retrait du M23 de tous les territoires occupés en République démocratique du Congo. Il est établi que le Rwanda est un pays qui agresse la République démocratique du Congo. Cela devrait être aussi pris en compte dans les relations franco-rwandaises. Alors par ailleurs, c'était hier à l'ONU, le Conseil de sécurité vient de lever tous les obstacles administratifs à la vente d'armes à votre pays, notamment cette obligation pour les vendeurs d'armes de s'identifier auprès des Nations unies. Quelle est votre réaction ? Pour nous, c'est une injustice réparée, c'est une bataille gagnée, parce que ces régimes de notification paraissaient, à nos yeux, aux yeux des Congolais, comme un mécanisme qui ne pouvait pas nous permettre d'avoir tous les moyens pour assurer la défense de notre territoire. Et donc nous considérons que c'est un pas significatif, qui nous permettra de défendre notre territoire, principalement dans sa partie est. Est-ce que vous sentez, depuis quelques jours, un déclic international en votre faveur ? Évidemment, ce déclic aurait pu arriver plus tôt, parce que, comme vous le savez, nous avons sorti, publié un livre blanc qui répertorie tous les crimes commis en République démocratique du Congo, et tous les services de sécurité étrangers étaient au courant, notamment, vous avez suivi les rapports du groupe d'experts qui a fuité il y a quelques mois. Ça veut dire que tout le monde savait que le mal se produisait à l'est, mais que personne n'en parlait. Donc aujourd'hui, que tout le monde en parle publiquement, ça nous réjouit. La prochaine étape pour nous en tout cas : condamnation, sanction, justice, réparation. Parce que nous pensons, cette fois-ci, que la composante judiciaire est une garantie qui pourra nous permettre de ne plus voir se répéter ces cycles de violences dans l'est de la République démocratique du Congo. Voilà six mois, Monsieur le ministre, que le M23 opère sur votre territoire. Ce n'est que maintenant, en effet, que la communauté internationale commence à se mobiliser. Mais pourquoi tant de passivité, est-ce qu'il y a des causes externes à la sous-région ? Écoutez, comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Nous espérons que, cette fois-ci, au-delà des mots, il y a des actes qui seront posés pour mettre plus de pression sur le Rwanda pour que la paix puisse revenir dans cette partie du pays. C'est cela le plus important. Est-ce que la guerre en Ukraine n'a pas occulté la guerre au Congo ? Sans doute, mais la situation en République démocratique du Congo, elle est même comme un conflit oublié. Au-delà du nombre de morts, qui rivalise aujourd'hui avec le nombre de morts de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, notre plaidoyer consiste simplement à ce que les populations congolaises qui sont victimes, vous avez suivi le massacre de Kishishe, de ces horreurs, méritent aussi la solidarité de la communauté internationale. Toutes, que ce soient les Ukrainiens ou les Congolais, toutes sont des vies humaines, qui méritent une compassion, qui méritent une action plus grande pour être sûr que les populations déplacées rejoignent leurs familles, et pour éviter tout risque d'épidémie et autres conséquences désastreuses. À Luanda au mois de juillet, à New York au mois de septembre, le président Tshisekedi a accepté de serrer la main du président Kagame devant les photographes, et ce n'est que le mois dernier, au sommet de la francophonie, à Djerba, que les autorités congolaises ont dit stop, fini les photos avec le président rwandais. Est-ce que vous-même, gouvernement congolais, vous n'avez pas manqué d'un peu de fermeté ces derniers mois ? Écoutez, il faut regarder le président Tshisekedi depuis son arrivée à la tête de la République démocratique du Congo, il avait fait le choix clair de construire la paix. Nous n'avons pas oublié le passé, qui est pourtant difficile avec les pays limitrophes, mais on a pensé qu'on pouvait ouvrir un chapitre nouveau. Vous avez vu l'éruption du Nyiragongo en mai 2021 nous rappeler que nous sommes voisins et que nous devons continuer à collaborer. Mais l'attitude du président Kagame aujourd'hui ne nous permet plus d'entretenir le même rapport, parce qu'on ne peut pas s'imaginer une telle insensibilité face à un tel torrent de pleurs, de violences commises sur des populations innocentes. Je reviens encore sur le massacre de Kishishe qui a été commis dans des conditions horribles. Je ne pense pas que nous pourrons continuer à nous serrer la main lorsque nous avons en face de nous quelqu'un qui ne veut pas que vous puissiez vivre en paix finalement, y compris avec les voisins rwandais. Vous parlez du massacre de Kishishe. Fin novembre à Kishishe, dans cette localité du Nord-Kivu, les rebelles du M23 sont accusés d'avoir massacré au moins 131 civils. Est-ce que c'est cela, le déclic, sur la scène internationale ? Ça serait dommage que le déclic vienne après un tel massacre horrible, et pourtant, il y a des signaux d'alerte qui ont déjà été donnés. Mais comme dit tout à l'heure : à quelque chose, malheur est bon. Nous, aujourd'hui ce que nous voulons, c'est la justice pour les âmes qui ont été perdues. Nous voulons que les enquêteurs puissent avoir accès à Kishishe, pour savoir véritablement ce qu'il s'est passé. Nous voulons travailler pour donner des sépultures à ces compatriotes qui ont perdu la vie injustement dans l'est de la République démocratique du Congo. Alors, le M23 commet des crimes, dans votre pays, mais les FDLR également. Le président Kagame n'a-t-il pas raison de souligner que la présence de ces Hutus rwandais FDLR sur votre territoire reste une vraie menace pour le Rwanda ? Écoutez, il est évident que les FDLR constituent d'abord un problème de sécurité pour nos compatriotes. Les FDLR tuent des Congolais, rançonnent des Congolais. Deuxièmement, les forces négatives, toutes, doivent être éradiquées. Les FDLR, ce sont des forces étrangères, qui doivent être éradiquées. Je dois rappeler que, dans le livre blanc que nous avons publié, nous sommes revenus sur toutes les fois où nous les avons combattus. Aujourd'hui, il existe des résidus des forces FDLR que nous devons tous combattre, mais cela ne devrait justifier en rien l'attitude naturellement belliciste du Rwanda qui va aujourd'hui commettre des massacres sous prétexte de combattre les FDLR. Les motivations sont économiques, nous le savons. Il n'y a aucune raison qui justifie l'attitude belliqueuse du président Kagame dès lors qu'à Nairobi, nous avions convenu d'un schéma qui devait permettre de combattre nos groupes armés à la fois locaux et étrangers, y compris les FDLR. Alors, on l'a dit : depuis ce lundi, la France condamne le soutien rwandais au M23, mais elle affirme en même temps vouloir parler à tout le monde, y compris avec le Rwanda, pour trouver une solution. « On ne bâtira pas une paix durable sans le Rwanda », précise à Kinshasa la secrétaire d'État française Chrysoula Zacharopoulou, qui est en visite dans votre pays. Est-ce que vous êtes d'accord avec elle ? Évidemment, nous sommes d'accord. Parce que, quoiqu'il arrive, le Rwanda restera toujours voisin de la République démocratique du Congo. Aujourd'hui, nous avons répondu à tous les rendez-vous pour la paix : à New York, à Luanda, à Nairobi, à Washington, à Charm el-Cheikh. Partout, nous y allons, il faut que le Rwanda commence par respecter ses engagements, parce que c'est le Rwanda qui est responsable du M23. Nous espérons que, cette fois-ci, ils pourront agir, et agir vite pour éviter d'autres drames. Donc, vous attendez beaucoup peut-être d'une prochaine réunion du processus de Luanda. On parle d'un sommet à Bujumbura avant la fin de l'année ? Aujourd'hui, ce que nous attendons, c'est le retrait du M23. Les rencontres, il y en aura sûrement en janvier au niveau des chefs d'État. Aujourd'hui, nous attendons de voir le processus de retrait commencer, parce qu'il ne sert à rien de se rencontrer s'il n'y a pas d'évolution concrète sur le terrain. Donc, d'abord le retrait, et ensuite la rencontre ? Nous ne conditionnons pas la rencontre des chefs d'État par le retrait, sinon nous n'en aurions pas eu. Depuis juillet, nous sommes engagés dans différentes discussions avec le Rwanda, mais il n'y a pas eu de respect de ce qui avait été convenu. Donc aujourd'hui, nous voulons être sûrs que tous les acteurs qui soient impliqués dans la paix, nous voulons qu'ils jouent le rôle qui est le leur dans le cadre des mécanismes qui ont été clairement définis. Et pas de rencontre entre chefs d'État avant le 31 décembre ? Pas à ma connaissance, non. Depuis près de deux mois, Monsieur le ministre, un contingent kényan est arrivé à Goma dans le cadre d'une force est-africaine. Qu'est-ce que vous répondez à vos opposants congolais, comme Martin Fayulu, qui dit que cette force n'a rien à faire à Goma, car le Congo n'est pas un pays de l'Afrique de l'Est, et à l'opposant Moïse Katumbi, qui dit que les Congolais n'ont pas confiance dans des forces étrangères ? Bon écoutez, il y a ceux qui font de la politique-politicienne. Il y a nous qui avons la boussole, la gestion quotidienne du pays. Aujourd'hui, les questions sécuritaires sont des questions qui se gèrent avec les autres, s'il faut parler, par exemple, du cas des ADF. Aujourd'hui, si la République démocratique du Congo a adhéré à la Communauté de l'Afrique de l'Est, c'est parce que la RDC a un rôle central qu'elle doit jouer dans la région, il ne faut pas oublier que notre adhésion à la Communauté de l'Afrique de l'Est a relancé le processus politique. Aujourd'hui, au moment où nous faisons cette interview, les groupes armés de la République démocratique du Congo, qui étaient à Nairobi sous les auspices du président Kenyatta, se sont engagés pour la paix, et j'ai entendu que vous aviez parlé des candidats – de toute façon, des candidats, on en aura beaucoup – aujourd'hui, la principale question, c'est d'être en mesure de pointer le Rwanda, et je n'ai pas entendu cela de Moïse Katumbi. Alors, en effet, nous sommes déjà en pré-campagne électorale - la présidentielle est dans un an – et que répondez-vous à l'opposition qui dit qu'on n'arrivera pas à tenir les délais du 20 décembre 2023, car on ne pourra jamais enrôler toute la population congolaise en 3 mois ? D'abord, la commission électorale nationale indépendante a publié un calendrier en même temps qu'elle a fait part de certaines contraintes. Il y a, évidemment, des contraintes financières pour lesquelles le gouvernement va faire sa part, et nous faisons notre part. Il y a, d'autre part, des contraintes sécuritaires, nous travaillons, y compris diplomatiquement et nous pensons pouvoir y arriver. Et pour ce qui concerne en tout cas le gouvernement, nous tiendrons nos engagements pour que ces élections se tiennent dans les délais, parce que nous avons eu déjà des exemples de glissement. Nous ne pensons pas que le glissement serait une bonne chose, alors que nous, nous voulons consolider notre processus électoral. Et c'est cela, aujourd'hui, l'interpellation qui doit être faite à toute la classe politique : d'accompagner le processus d'enrôlement, qui commence déjà ce 24 décembre. Je pense que le président de la République procédera au lancement à partir de la province de l'Équateur. Et cela va aller dans toutes les aires opérationnelles. On dit que ça ne sera pas possible d'enrôler, mais aujourd'hui, Monsieur Boisbouvier, vous savez qu'il y a des moyens technologiques qui permettent de faire un peu plus vite certaines choses. Nous, nous sommes optimistes, nous ferons notre part pour que ces élections se tiennent dans les délais. C'est ici aussi le lieu de rappeler encore au Rwanda de cesser le soutien aux M23, pour nous permettre, contrairement à eux, de faire des élections libres et transparentes avec des compatriotes de ce pays, qui pourront aussi voter. Des élections « libres et transparentes », contrairement au Rwanda, dites-vous ? Évidemment.
La rébellion du M23 est toujours à l'offensive près de la ville de Goma. Le M23 qui annonce la prise de plusieurs localités autour de la capitale du Nord-Kivu. Notamment la ville de Kibumba. Et ce, note le site congolais Actualité CD, « après plusieurs jours d'affrontements, sur la route nationale 2. » Pour sa part, précise encore le site, « l'armée congolaise n'a pas communiqué officiellement mais, sous couvert d'anonymat, une source militaire a confirmé que les soldats congolais avaient dû 'décrocher de Kibumba' et se positionner à environ 4 km plus au sud. 'Ils ont des armes que des rebelles ne peuvent pas avoir, c'est une armée professionnelle que nous combattons', a estimé cette même source. » En effet, plusieurs autres sources parlent de tirs à l'arme lourde entre les deux camps. Une diplomatie impuissante Avant-hier mardi, relève pour sa part Cas-Info, « le facilitateur, l'ancien président kenyan, Uhuru Kenyatta, était à Goma. L'objectif de cette visite était de constater de visu la souffrance des populations congolaises déplacées de guerre. Le facilitateur du processus de Nairobi s'est rendu (notamment) sur la route de Rutshuru, jonchée de camps de déplacés fuyant les atrocités des groupes terroristes. 'C'est un véritable désastre', s'est exclamé Uhuru Kenyatta, visiblement choqué par l'ampleur de la situation. (…) De nombreuses familles arrivent chaque jour de Rutshuru, note encore le site congolais, particulièrement de Kibumba et Muhumba, et squattent tous les lieux de prières, écoles et autres espaces publics du territoire de Nyiragongo. Au total, environ 40.000 personnes. (…) Uhuru Kenyatta a lancé un appel aux partenaires de la RDC pour aider le pays à éviter une plus grande catastrophe humanitaire. » Au total, précise le quotidien Le Phare à Kinshasa, les combats dans le Nord-Kivu auraient provoqué le déplacement de plus de 230.000 personnes. Un chiffre avancé par l'Organisation internationale pour les migrations. Pour sa part, note le site congolais Politico CD, « la France dit condamner avec 'la plus grande fermeté' la poursuite des offensives du M23 dans l'Est de la RDC. L'Élysée appelle le M23 à se retirer immédiatement de toutes les zones qu'il occupe et tous les groupes armés à cesser les combats et à s'engager dans le processus de désarmement. » Bientôt la chute ? Que va-t-il se passer désormais ? La ville de Goma pourrait-elle tomber ? « Certes, pointe le quotidien Aujourd'hui au Burkina Faso, le gouverneur du Nord-Kivu, le général Constant Ndima a beau être optimiste, il est dans son rôle du reste, tout en invitant ses compatriotes au 'calme', les réminiscences de la brève occupation de Goma en novembre-décembre 2012 sont toujours dans certaines mémoires. Qui ou quoi pour éteindre le brûlot mortel de Goma ? Au sommet du G20 à Bali, on a vu que les grands de ce monde suivaient ce conflit, relève encore Aujourd'hui, même si ce n'est pas avec la même attention que pour celui de l'Ukraine. Nairobi se prépare pour le sommet régional du 21 novembre, et Uhuru Kenyatta frappe à toutes les portes. Mais chacun sait que la bataille de Goma n'est pas une hypothèse d'école. » En effet, s'interroge aussi WakatSéra, « quel sort pour Goma dont les rebelles se rapprochent de plus en plus ? Interrogation sans réponse pour l'instant. (…) Pour entretenir l'espoir, certes bien mince, de dialogue entre les parties en conflit, le négociateur en chef, l'ancien président kényan Uhuru Kenyatta se démène comme un diable dans un bénitier. » Mais « il n'y a plus qu'une vingtaine de kilomètres qui séparent les rebelles du chef-lieu de la province du Nord-Kivu ! Et les affrontements qui se font toujours intenses, nourris à l'artillerie lourde, ne font qu'accentuer le risque que Goma tombe dans l'escarcelle du M23. »
La rébellion du M23 est toujours à l'offensive près de la ville de Goma. Le M23 qui annonce la prise de plusieurs localités autour de la capitale du Nord-Kivu. Notamment la ville de Kibumba. Et ce, note le site congolais Actualité CD, « après plusieurs jours d'affrontements, sur la route nationale 2. » Pour sa part, précise encore le site, « l'armée congolaise n'a pas communiqué officiellement mais, sous couvert d'anonymat, une source militaire a confirmé que les soldats congolais avaient dû 'décrocher de Kibumba' et se positionner à environ 4 km plus au sud. 'Ils ont des armes que des rebelles ne peuvent pas avoir, c'est une armée professionnelle que nous combattons', a estimé cette même source. » En effet, plusieurs autres sources parlent de tirs à l'arme lourde entre les deux camps. Une diplomatie impuissante Avant-hier mardi, relève pour sa part Cas-Info, « le facilitateur, l'ancien président kenyan, Uhuru Kenyatta, était à Goma. L'objectif de cette visite était de constater de visu la souffrance des populations congolaises déplacées de guerre. Le facilitateur du processus de Nairobi s'est rendu (notamment) sur la route de Rutshuru, jonchée de camps de déplacés fuyant les atrocités des groupes terroristes. 'C'est un véritable désastre', s'est exclamé Uhuru Kenyatta, visiblement choqué par l'ampleur de la situation. (…) De nombreuses familles arrivent chaque jour de Rutshuru, note encore le site congolais, particulièrement de Kibumba et Muhumba, et squattent tous les lieux de prières, écoles et autres espaces publics du territoire de Nyiragongo. Au total, environ 40.000 personnes. (…) Uhuru Kenyatta a lancé un appel aux partenaires de la RDC pour aider le pays à éviter une plus grande catastrophe humanitaire. » Au total, précise le quotidien Le Phare à Kinshasa, les combats dans le Nord-Kivu auraient provoqué le déplacement de plus de 230.000 personnes. Un chiffre avancé par l'Organisation internationale pour les migrations. Pour sa part, note le site congolais Politico CD, « la France dit condamner avec 'la plus grande fermeté' la poursuite des offensives du M23 dans l'Est de la RDC. L'Élysée appelle le M23 à se retirer immédiatement de toutes les zones qu'il occupe et tous les groupes armés à cesser les combats et à s'engager dans le processus de désarmement. » Bientôt la chute ? Que va-t-il se passer désormais ? La ville de Goma pourrait-elle tomber ? « Certes, pointe le quotidien Aujourd'hui au Burkina Faso, le gouverneur du Nord-Kivu, le général Constant Ndima a beau être optimiste, il est dans son rôle du reste, tout en invitant ses compatriotes au 'calme', les réminiscences de la brève occupation de Goma en novembre-décembre 2012 sont toujours dans certaines mémoires. Qui ou quoi pour éteindre le brûlot mortel de Goma ? Au sommet du G20 à Bali, on a vu que les grands de ce monde suivaient ce conflit, relève encore Aujourd'hui, même si ce n'est pas avec la même attention que pour celui de l'Ukraine. Nairobi se prépare pour le sommet régional du 21 novembre, et Uhuru Kenyatta frappe à toutes les portes. Mais chacun sait que la bataille de Goma n'est pas une hypothèse d'école. » En effet, s'interroge aussi WakatSéra, « quel sort pour Goma dont les rebelles se rapprochent de plus en plus ? Interrogation sans réponse pour l'instant. (…) Pour entretenir l'espoir, certes bien mince, de dialogue entre les parties en conflit, le négociateur en chef, l'ancien président kényan Uhuru Kenyatta se démène comme un diable dans un bénitier. » Mais « il n'y a plus qu'une vingtaine de kilomètres qui séparent les rebelles du chef-lieu de la province du Nord-Kivu ! Et les affrontements qui se font toujours intenses, nourris à l'artillerie lourde, ne font qu'accentuer le risque que Goma tombe dans l'escarcelle du M23. »
Dans le Nord-Kivu, « la situation sécuritaire demeure encore et toujours confuse dans le territoire de Rutshuru et dans les environs de Goma, relève Le Nouvel Observateur à Kinshasa. Malgré les bombardements de deux avions de chasse Sukhoï-25 jeudi dernier sur les positions des terroristes du M23 appuyés par l'armée rwandaise, il s'observe encore une résistance des hors-la-loi, note le bi-hebdomadaire kinois, qui s'obstinent à attaquer encore les FARDC, les Forces armées de la RDC. (…) Le M23 qui aurait l'intention, relève encore Le Nouvel Observateur, d'attaquer la ville de Goma, et particulièrement l'aéroport, en vue d'empêcher l'aviation congolaise de se mettre en mouvement. » ► À lire aussi : RDC: au Nord-Kivu, le front fixé à une vingtaine de kilomètres de Goma Pour sa part, le site Politico CD annonce qu'une « série d'attaques perpétrée par les terroristes du M23 a été repoussée hier dimanche par les FARDC dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo. (…) Les terroristes du M23 ont sans succès essayé d'effectuer une incursion dans les localités de Kigeri et Kibumba, précise le site congolais. Ensuite, ces mêmes terroristes ont échoué une nouvelle fois en tentant de contourner les positions des Forces armées congolaises afin d'avancer vers Kanyamaroho dans le territoire de Nyiragongo situé à 15 kilomètres de Goma. » La diplomatie en marche ? Situation plutôt confuse sur le terrain alors que le ballet diplomatique se poursuit… « Le facilitateur désigné par la Communauté de l'Afrique de l'Est dans le cadre du processus de paix de Nairobi, l'ancien président de la République du Kenya, Uhuru Kenyatta, est arrivé hier dimanche en début d'après-midi à Kinshasa », note le site congolais Cas-Info. « L'ex-président kényan vient pour préparer, avec les acteurs nationaux, le troisième round (Nairobi III) des pourparlers de paix entre l'État congolais et les groupes armés de l'est du pays qui ont accepté de déposer les armes pour intégrer le processus de Nairobi. Cette rencontre est prévue dans une semaine, le 21 novembre. » ► À lire aussi : RDC: arrivée des premiers soldats kényans à Goma « Les initiatives diplomatiques se multiplient pour tenter de résoudre le conflit, note pour sa part Jeune Afrique. Le président angolais João Lourenço, à la tête de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs, a rencontré vendredi son homologue rwandais Paul Kagame, puis le lendemain le chef d'État congolais Félix Tshisekedi. » Pour l'instant, sans résultat. Incertitudes… Alors, « si toutes les diplomaties des Grands Lacs se déploient, le jalonnement militaire l'est aussi, pointe le quotidien Aujourd'hui, au Burkina Faso, avec l'arrivée samedi d'une centaine de soldats kényans sur le terrain pour aider la RD Congo à bouter hors les spadassins du M23. Un médiateur kényan et des soldats de ce même pays qui combattent aux côtés d'un camp, celui de la RDC, voilà déjà un aspect qui ne facilitera pas cette négociation d'Uhuru Kenyatta, estime Aujourd'hui. Et on ne sait pas si le 21 novembre, le cénacle de Nairobi accouchera même d'un gentleman agreement. » De plus, relève encore Aujourd'hui, « s'il est avéré que le rapport confidentiel de l'ONU et les confidences de dirigeants américains à l'appui, s'il est donc vérifié que le Rwanda soutient le M23, alors il est à craindre que, sans l'aide extérieure militaire, Goma risque de subir le sort qu'elle a connu en novembre-décembre 2012, intermède au cours duquel, le même M23 avait occupé cette bourgade d'un million d'âmes avant d'en être éjecté en janvier par les troupes congolaises. Comment conjurer ce remake du pire d'il y a dix ans ? La RDC n'en dort pas. (…) Donc, de deux choses l'une, conclut le quotidien burkinabé, soit la diplomatie parvient à imposer le silence des armes, soit les forces étrangères aident les Congolais à repousser les rebelles. » ► À lire aussi : «Le pays est en danger»: en RDC, le cri d'alarme des évêques catholiques face au M23 La prison de Makala : « que vous soyez puissant ou misérable… » Enfin, toujours à propos de la RDC, à lire ce coup de projecteur du site Afrikarabia sur la prison de Makala au sud de Kinshasa… Afrikarabia qui s'appuie sur le dernier rapport du GRIP, le Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité, une ONG belge qui œuvre pour un monde moins armé et plus sûr. « Le constat est édifiant, soupire Afrikarabia. Ce qui choque en premier lieu, c'est la surpopulation permanente qui règne dans la prison. Construite pour accueillir 1 500 détenus, elle en compte aujourd'hui un peu plus de 9 000. (…) À Makala, comme un peu partout au Congo, c'est le régime de la débrouille. Que vous soyez puissant ou misérable, vous ne serez pas traités de la même manière. Les détenus ordinaires dorment entassés par dizaines dans une petite pièce ou dans les couloirs, les douches ou les toilettes, voire debout par manque de place pour se coucher ou même s'asseoir. (…) Pour les détenus VIP, le séjour à Makala est nettement plus supportable », moyennant finances bien sûr. Enfin, « étonnant, relève encore le site, la sécurité des détenus est en fait principalement assurée… par les prisonniers eux-mêmes, faute de personnels. »
Dans le Nord-Kivu, « la situation sécuritaire demeure encore et toujours confuse dans le territoire de Rutshuru et dans les environs de Goma, relève Le Nouvel Observateur à Kinshasa. Malgré les bombardements de deux avions de chasse Sukhoï-25 jeudi dernier sur les positions des terroristes du M23 appuyés par l'armée rwandaise, il s'observe encore une résistance des hors-la-loi, note le bi-hebdomadaire kinois, qui s'obstinent à attaquer encore les FARDC, les Forces armées de la RDC. (…) Le M23 qui aurait l'intention, relève encore Le Nouvel Observateur, d'attaquer la ville de Goma, et particulièrement l'aéroport, en vue d'empêcher l'aviation congolaise de se mettre en mouvement. » ► À lire aussi : RDC: au Nord-Kivu, le front fixé à une vingtaine de kilomètres de Goma Pour sa part, le site Politico CD annonce qu'une « série d'attaques perpétrée par les terroristes du M23 a été repoussée hier dimanche par les FARDC dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo. (…) Les terroristes du M23 ont sans succès essayé d'effectuer une incursion dans les localités de Kigeri et Kibumba, précise le site congolais. Ensuite, ces mêmes terroristes ont échoué une nouvelle fois en tentant de contourner les positions des Forces armées congolaises afin d'avancer vers Kanyamaroho dans le territoire de Nyiragongo situé à 15 kilomètres de Goma. » La diplomatie en marche ? Situation plutôt confuse sur le terrain alors que le ballet diplomatique se poursuit… « Le facilitateur désigné par la Communauté de l'Afrique de l'Est dans le cadre du processus de paix de Nairobi, l'ancien président de la République du Kenya, Uhuru Kenyatta, est arrivé hier dimanche en début d'après-midi à Kinshasa », note le site congolais Cas-Info. « L'ex-président kényan vient pour préparer, avec les acteurs nationaux, le troisième round (Nairobi III) des pourparlers de paix entre l'État congolais et les groupes armés de l'est du pays qui ont accepté de déposer les armes pour intégrer le processus de Nairobi. Cette rencontre est prévue dans une semaine, le 21 novembre. » ► À lire aussi : RDC: arrivée des premiers soldats kényans à Goma « Les initiatives diplomatiques se multiplient pour tenter de résoudre le conflit, note pour sa part Jeune Afrique. Le président angolais João Lourenço, à la tête de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs, a rencontré vendredi son homologue rwandais Paul Kagame, puis le lendemain le chef d'État congolais Félix Tshisekedi. » Pour l'instant, sans résultat. Incertitudes… Alors, « si toutes les diplomaties des Grands Lacs se déploient, le jalonnement militaire l'est aussi, pointe le quotidien Aujourd'hui, au Burkina Faso, avec l'arrivée samedi d'une centaine de soldats kényans sur le terrain pour aider la RD Congo à bouter hors les spadassins du M23. Un médiateur kényan et des soldats de ce même pays qui combattent aux côtés d'un camp, celui de la RDC, voilà déjà un aspect qui ne facilitera pas cette négociation d'Uhuru Kenyatta, estime Aujourd'hui. Et on ne sait pas si le 21 novembre, le cénacle de Nairobi accouchera même d'un gentleman agreement. » De plus, relève encore Aujourd'hui, « s'il est avéré que le rapport confidentiel de l'ONU et les confidences de dirigeants américains à l'appui, s'il est donc vérifié que le Rwanda soutient le M23, alors il est à craindre que, sans l'aide extérieure militaire, Goma risque de subir le sort qu'elle a connu en novembre-décembre 2012, intermède au cours duquel, le même M23 avait occupé cette bourgade d'un million d'âmes avant d'en être éjecté en janvier par les troupes congolaises. Comment conjurer ce remake du pire d'il y a dix ans ? La RDC n'en dort pas. (…) Donc, de deux choses l'une, conclut le quotidien burkinabé, soit la diplomatie parvient à imposer le silence des armes, soit les forces étrangères aident les Congolais à repousser les rebelles. » ► À lire aussi : «Le pays est en danger»: en RDC, le cri d'alarme des évêques catholiques face au M23 La prison de Makala : « que vous soyez puissant ou misérable… » Enfin, toujours à propos de la RDC, à lire ce coup de projecteur du site Afrikarabia sur la prison de Makala au sud de Kinshasa… Afrikarabia qui s'appuie sur le dernier rapport du GRIP, le Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité, une ONG belge qui œuvre pour un monde moins armé et plus sûr. « Le constat est édifiant, soupire Afrikarabia. Ce qui choque en premier lieu, c'est la surpopulation permanente qui règne dans la prison. Construite pour accueillir 1 500 détenus, elle en compte aujourd'hui un peu plus de 9 000. (…) À Makala, comme un peu partout au Congo, c'est le régime de la débrouille. Que vous soyez puissant ou misérable, vous ne serez pas traités de la même manière. Les détenus ordinaires dorment entassés par dizaines dans une petite pièce ou dans les couloirs, les douches ou les toilettes, voire debout par manque de place pour se coucher ou même s'asseoir. (…) Pour les détenus VIP, le séjour à Makala est nettement plus supportable », moyennant finances bien sûr. Enfin, « étonnant, relève encore le site, la sécurité des détenus est en fait principalement assurée… par les prisonniers eux-mêmes, faute de personnels. »
**International Day to End Impunity for Crimes against JournalistsToday is the Day to end impunity for crimes against journalists. In his message to mark the Day, the Secretary-General reminds us that a free press is vital to a functioning democracy, to expose wrongdoing, to navigate our complex world, and to advance the Sustainable Development Goals (SDGs).As we mark the tenth anniversary of the UN Plan of Action on the Safety of Journalists, the Secretary-General calls on governments and the international community to take the necessary steps to protect our journalists, to end a common culture of impunity and to enable journalists to do their essential work.And a quick note to add that UNESCO's (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization) report on the safety of journalists is out on the agency's website.Okay. Once more with feeling. Right? What? Yeah. I'll do the first one last… because… all right. Somebody clearly joined us.**Black Sea Grain InitiativeYou saw a bit earlier today we issued a statement in which the Secretary-General warmly welcomes the announcement from the Russian Federation on its resumed participation in the implementation of the Black Sea Grain Initiative to facilitate the safe navigation for exports of grain, foodstuffs and fertilizer from Ukraine. He is grateful for the diplomatic efforts of Türkiye and thanks the UN Coordinator, Amir Abdulla, and his team for their work in keeping this vital food supply line open.The Secretary-General continues his engagement with all actors towards the renewal and full implementation of the Initiative, and he also remains committed to removing the remaining obstacles to the exports of Russian food and fertilizer.**Secretary-General's TravelSpeaking of the Secretary-General, he is, as we speak — hopefully — in the air on his way to New York, and we expect him back later this afternoon.As you know, he was in Algiers yesterday, where he addressed the opening session of the League of Arab States summit. In his remarks he said he looks forward to continuing our work together with the League of Arab States to address the challenges across the region and to advance peace, sustainable development, and human rights. Turning to the issue of climate, the Secretary-General said that COP27 (twenty-seventh Conference of Parties) in Sharm el-Sheikh will be another vital opportunity for restoring trust between developed and developing countries. His remarks are online and shared with you.**Democratic Republic of the CongoQuick update from the Democratic Republic of the Congo, where, as we mentioned before, renewed fighting between the Congolese army and the M23 armed group has forced thousands to flee their homes in Rutshuru Territory in North Kivu.Many of those displaced have been living in schools, hospitals, churches, and other sites, although the majority are living with host families.Despite severe access constraints, humanitarian workers have started helping displaced people in Nyiragongo territory, providing them with water and health care. Our partners were also able to distribute food to some 50,000 people.More than 180 unaccompanied children have been identified and assisted by child protection workers, while some 2,000 others are receiving psychological support.The needs still exceed present capacities, especially in the south of Kayna health zone in Lubero territory, which was already home to some 50,000 displaced people.The most urgent needs include water, hygiene and sanitation, as well as essential household items, shelter, food, health care and protection.For its part, the peacekeeping mission in the country [United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo (MONUSCO)] continues to protect civilians and to work alongside the Congolese army to deter the M23 and other armed groups in the eastern part of the country.To do so, the Mission is maintaining multiple positions, where possible, in the zone of hostilities.Following consultations with national partners, the Mission withdrew peacekeepers from its base in Rumangabo, in North Kivu province, an area where the Congolese army is no longer present.Sadly, we have to report an incident against peacekeepers that took place yesterday. A crowd of people threw stones at a peacekeeping convoy, which was at an army checkpoint near a site for displaced people about 8 kilometres north of Goma. Two peacekeepers were injured and [at least] one Mission vehicle was set on fire. Peacekeepers fired warning shots to ensure safe passage of the convoy. Our colleagues note that this type of violence and destruction of equipment limits the Mission's capacity to carry out its mandate to protect civilians and support the delivery of humanitarian assistance to vulnerable communities.**Central African RepublicJust north of the [Democratic Republic of the Congo] in the Central African Republic, you saw that last night the Secretary-General welcomed the completion of the first trial of the Special Criminal Court in the Central African Republic.The UN mission in that country [United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in the Central African Republic (MINUSCA)] reports to us it's continuing efforts in support of national authorities to protect the population around the country. Over the past week, military peacekeepers conducted over 1,600 patrols, nearly 20 per cent more than the previous week. This included Operation Zangba, on the border with the Democratic Republic of the Congo, that has now covered more than 280 kilometres over one month and is showing results.This week, the peacekeeping Mission repelled armed groups in Gbada in Basse-Kotto prefecture, seizing weapons and materiel. The operation is accompanied by the repairing of roads and bridges, as well as community engagement activities to improve ties with the population and better understand their problems.Meanwhile, in Bangui, peacekeepers are continuing to patrol, providing convoy escorts to help secure the capital and its periphery. Peacekeepers also conducted medical camps this week in Bangui among other places and distributed 47,000 litres of drinking water benefiting 1,500 people.**HaitiMoving on to Haiti: Our human rights colleagues say that at least 243 civilians were killed and another 198 injured in September and October.Regarding cholera, the data collected by authorities shows a continued increase in the number of suspected cholera cases, with close to 3,400 cases recorded as of yesterday. The Pan American Health Organization (PAHO) continues to provide technical assistance to the Ministry of Health, while procuring medical supplies and equipment, including 300 additional beds to increase the capacity of the 15 currently functioning cholera treatment centres.In October, UNICEF (United Nations Children's Fund) and the national water distribution authority distributed over 331,000 litres of safe drinking water at a site for displaced people. UNICEF and their partners have also reached over 11,500 households in Cité Soleil with cholera prevention communication. Our humanitarian and health partners also provided health care to 600 people, including 400 children across Cité Soleil.In the past few days, our colleagues at the World Food Programme (WFP) carried out special food distributions in Cité Soleil, as well as in Cap-Haïtien and in Maissade in different departments. They reached close to 22,000 people, which is nearly double the total number of people reached since the fuel crisis began mid-September.Finally, during the past week, the International Organization for Migration (IOM) provided 29,000 non-food items to health partners working in cholera treatment centres.**LebanonJust a note from Lebanon, the International Support Group for Lebanon, which includes the United Nations, issued a statement today that notes with concern the continued lack of cooperation among Lebanese political actors that has precipitated a presidential vacuum. That vacuum comes at a time when Lebanon most requires quick and decisive action to address its dire economic, financial and [humanitarian] crises.More than ever, the Support Group says, Lebanon needs fully functioning State institutions that can pursue comprehensive reforms with a strategic vision that generates substantive change for the public good.It calls on the Members of Parliament to elect, without delay, a new President of the Republic who will unite the Lebanese people in the national interest.**Ban Ki-moonCouple of notes to share with you. Tomorrow, there will be an event at 3:15 p.m. in the Dag Hammarskjöld Library. It will be done in partnership with City College of New York, and it is to launch the selected papers of former Secretary-General Ban Ki-moon.The collection of selected papers now available online provide a previously unseen look into the work and thoughts of our previous Secretary-General during his 10 years in office. Mr. Ban will be there in person at 3:15 p.m. and he'll be joined by the Deputy Secretary-General; Amina Mohammed will be there to open the event.**JournalistsToday is the International Day to End Impunity for Crimes Against Journalists. The Secretary General reminds us, that a free press is vital to functioning democracy to expose wrongdoing, navigate our complex world and to advance the Sustainable Development Goals.**Guided ToursLastly, big shoutout to our friends the tour guides today who are all in their own way spokespeople for this Organization. They celebrated the seventieth anniversary of the Guided Tours operations, the same day that the doors of the UN Headquarters in New York City were opened to the public in 1952.To mark the occasion, an exhibit on the history and role of the tour guides as “Ambassadors to the Public” is on view in the UN Visitors Lobby. The UN Postal Admini
La tension est montée entre la RDC et le Rwanda. Les deux pays s'accusent mutuellement d'agression. Kigali affirme que des roquettes tirées, selon lui par les FARDC, ont causé des dégâts sur son territoire. Kinshasa, de son côté, a présenté deux militaires rwandais capturés sur le sol congolais. Pour les autorités congolaises, il ne fait l'ombre d'aucun doute, le Rwanda est derrière l'activation du M23 actif dans les territoires du Nyiragongo et de Rutshuru au Nord-Kivu. Les deux pays ont saisi le Mécanisme conjoint de vérification élargi de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL). L'ambassadeur rwandais Vincent Karega a été officiellement convoqué par le gouvernement congolais. Les vols de Rwandair ont été suspendues. L'Union africaine a confié à l'Angola la médiation dans cette crise. Félix Tshisekedi s'est d'ailleurs rendu à Luanda mercredi pour rencontrer son homologue angolais qui a aussi échangé en vidéoconférence avec Paul Kagame le même jour. Une rencontre entre le dirigeant rwandais et son homologue congolais est envisagée. Entre-temps, une relative accalmie se constate sur le terrain militaire dans les territoires du Nyiragongo et Rutshuru, y compris les collines de Tchanzu et Runyoni. Cette situation a provoqué un important déplacement de population. L'ONU et les ONG parlent d'environ 75 000 déplacés internes et 11 000 réfugiés (en Ouganda) depuis environ trois semaines. Quelles clés pour comprendre ce conflit? Quelles sont les revendications du M23? En quoi est-ce que le M23 est-il si différent d'autres groupes armés opérant dans l'Est de la RDC? Que sait-on de la structure dirigeante de l'aile du M23 qui combat les FARDC aujourd'hui? Quel interêt aurait le Rwanda à soutenir le M23 alors que le rapport entre Kagame et Tshisekedi semblait être excellent? En se référant aux dernières sorties médiatiques du Général Muhoozi, fils du Président Museveni et chef de l'Armée de terre Ougandaise, faut-il craindre une alliance RDF-UPDF contre les intérêts congolais dans l'Est de la RDC? Les sanctions économiques comme l'interdiction de Rwandair sont-elles appropriées? Que dire des récents accords signés entre les deux pays dans les domaines sécuritaires et économiques? Faut-il les annuler aussi? Comment analyser l'attitude de la communauté internationale suite à cette situation? Comment sortir de cette situation le plus rapidement possible? Pierre Boisselet, Coordonateur des recherches sur la violence à l'institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence Ebuteli, partenaire de recherche du Groupe d'étude sur le Congo (GEC) de l'Université de New York. Il est invité de ACTUALITE.CD dans cet entretien au ton très pédagogique à suivre ci-dessous:
« La tension actuelle entre la République démocratique du Congo et le Rwanda inquiète au plus haut point la communauté internationale, particulièrement l'Union africaine, relève Le Nouvel Observateur à Kinshasa. Dans une déclaration hier, le président en exercice de l'Union, Macky Sall, s'est dit "gravement préoccupé" et a lancé "un appel au calme". Le président sénégalais a demandé aux deux parties de faire taire les armes sur le terrain, en attendant l'ouverture des négociations directes entre Kigali et Kinshasa. » Depuis près d'une semaine maintenant, « de violents combats font rage à Rutshuru dans le Nord-Kivu entre les FARDC, l'armée congolaise, et les rebelles du M23 », pointe Politico. Le M23 qui serait soutenu par le Rwanda. Ce « groupe criminel, s'insurge le site congolais, bénéficiant de l'appui sans équivoques de certains acteurs régionaux, a décidé de s'attaquer aux Forces de Défense et de Sécurité dans des positions qu'elle occupe dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo. Cette force négative, née de la manipulation, a rencontré l'engagement farouche et infaillible des FARDC à défendre chaque centimètre carré du territoire national (…). » Kinshasa certaine de l'implication des Rwandais « La tension est encore montée d'un cran lorsque les autorités congolaises ont annoncé ce week-end avoir capturé deux soldats rwandais sur le sol congolais, près de Bihumba… à plus de 20 kilomètres de la frontière rwandaise. » C'est ce que pointe le site spécialisé sur la RDC, Afrikarabia. « La présence de forces rwandaises en RDC n'est pas une nouveauté pour les habitants de la zone, relève le site. Régulièrement, les incursions de Kigali au Nord-Kivu sont dénoncées par la société civile, l'opposition politique et les mouvements citoyens. Mais cette fois, Kinshasa a décidé de hausser le ton. Acculés par les coups de boutoir du M23 qui ont menacé Goma, et face à la colère des Congolais, les autorités congolaises ont, pour la première fois, accusé officiellement le Rwanda de soutenir la rébellion. Des uniformes de l'armée rwandaise, et des armes ont en effet été retrouvées sur le terrain. Des preuves irréfutables pour Kinshasa. » Une aide extérieure ? Et Afrikarabia de s'interroger : « sortir ses griffes sur le plan diplomatique peut-il être efficace sur le plan sécuritaire ? Pour le moment, l'armée congolaise peine toujours à mettre un coup d'arrêt aux agissements des groupes armés. Alors, Kinshasa espère une aide extérieure. Sa condamnation très sévère de Kigali commence à porter timidement ses fruits sur la scène internationale. La commission des affaires étrangères du Sénat américain a demandé des comptes à Kigali, et Paul Kagame sera sans doute très sensible à toute évolution de la position américaine sur le Rwanda. Ensuite, Félix Tshisekedi compte sur la Communauté d'Afrique de l'Est pour mettre en place une force militaire offensive contre les groupes armés. Il faudra voir quels seront les pays qui voudront bien y participer. Mais une chose est sûre, conclut Afrikarabia : après les accusations de Kinshasa contre le Rwanda, les pays de la région seront bien obligés de se positionner. C'est du moins ce qu'espère Félix Tshisekedi, qui reste toujours impuissant à résoudre la crise sécuritaire à l'Est depuis son arrivée au pouvoir. » L'opposition congolaise à l'offensive Et sur le plan intérieur, l'opposition congolaise fait monter la pression sur le chef de l'État. « À quelques mois seulement de la présidentielle, cette tension entre la RDC et le Rwanda n'est pas une bonne nouvelle, relève Le Pays au Burkina Faso. Car, ses adversaires pourraient s'en servir pour lui tailler des croupières sur le terrain politique. Et le FCC vient de donner déjà le tempo. » En effet, pour le parti de l'ex-président, Joseph Kabila, « ce qui arrive à la RDC n'est ni plus ni moins que la "triste conséquence" des accords militaires et économiques que Tshisekedi a signés avec ses homologues rwandais, ougandais et kényans. Cela dit, estime Le Pays, il faudra tout faire pour éviter à tout prix une guerre entre la RDC et le Rwanda. Car cela pourrait contribuer à déstabiliser toute la région des Grands lacs. » ► À lire aussi : La montée des tensions entre le Rwanda et la RDC inquiète l'Union africaine
Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo, est connue pour ses particularités géologiques. Cette ville est coincée dans une zone volcanique : entre le lac Kivu au sud et le volcan Nyiragongo au nord. Les deux millions d'habitants s'exposent à plusieurs dangers : une éruption, des tremblements de terre, mais aussi à un risque moins connu : l'asphyxie. Le mazuku, un gaz toxique, fait des victimes chaque année à Goma. Entre les herbes hautes, les roches brunes paraissent inoffensives. Francklin Tumisifu, habitant du quartier Lac Vert est pourtant très prudent. « Le mazuku fait des morts chaque année ». Sans balisage, Impossible de savoir où se situent les zones dangereuses qui surprennent les nouveaux arrivants. C'est le cas d'Esther, dont le prénom a été modifié. Elle vient du territoire de Masisi et s'est réfugiée à Goma après la mort de son mari, victime d'une des nombreuses guerres qui ravagent cette partie du Congo. « Quand je suis arrivée ici, une autorité locale m'a prévenu qu'il y avait du gaz dans ce coin-là. Je n'avais pas le choix, je me suis installée. Alors le chef m'a conseillé de couvrir le trou d'où sort le gaz avec de la paille, raconte la mère de famille. Deux mois après, mon fils est tombé gravement malade, il est devenu anémique je crois que c'est à cause de ce gaz. » ► À lire aussi : Plus de 72 000 personnes déplacées en raison des combats dans l'est de la RDC Ce mazuku émane des fissures de la croûte terrestre causée par des tremblements de terre ou des éruptions. Ce gaz est composé en majorité de dioxyde de carbone, explique Matthieu Yalire de l'Observatoire volcanologique de Goma. « C'est un gaz qui est plus lourd que l'air. Si vous vous asseyez dans un endroit où ce gaz stagne, il ne se passera pas plus de deux minutes avant que vous ne soyez asphyxié. Les victimes, ajoute le chercheur, ce sont des personnes, des animaux, des insectes. Tout ce qui est vivant meurent dans ces zones par manque d'oxygène. » Au quartier lac vert, le niveau de dioxyde de carbone ne varie pas selon le chercheur. Mais dans d'autres zones résidentielles de la ville, le niveau de mazuku change en fonction de l'activité du volcan. Il pourrait être une menace en cas d'éruption. ► À lire aussi : RDC: forte délégation gouvernementale à Goma pour évaluer l'état de siège
Quatre des huit mineurs qui étaient bloqués sous terre depuis plus d'un mois ont finalement été retrouvés morts. Le 16 avril, les pluies diluviennes avaient inondé les voies souterraines de la mine, empêchant les hommes de remonter à la surface. Depuis, des opérations de recherche étaient en cours. Aujourd'hui au Faso estime qu'il faut à présent que soit faite une « autopsie » du drame et demande une « enquête bien circonstanciée pour situer les responsabilités » : « il faudra repartir au jour J du déclenchement de l'éboulement, interroger, examiner ce qui s'est réellement passé jusqu'à cet irréparable constat », préconise Aujourd'hui au Faso. Mais au-delà du drame, Le Pays appelle à aller plus loin : « le premier des enseignements à tirer est que l'État doit mieux assurer son rôle de contrôle de l'activité minière en ouvrant l'œil, et le bon, sur le respect des cahiers de charges par les entreprises minières. Les graves manquements décriés à Perkoa ne sont que la partie visible de l'iceberg des entorses que les sociétés minières font à la législation en vigueur dans le pays ». Deuxième leçon à tirer selon le quotidien, cela concerne « l'absence d'une véritable offre de services sécuritaires et de matériels logistiques adaptés à l'industrie minière. Pour parer à l'urgence à Perkoa, l'on a été, par exemple, contraint d'importer des machines d'Afrique du Sud et du Ghana ; toute chose qui a nécessairement impacté les délais de sauvetage des mineurs. » L'objectif, est-il expliqué un peu plus bas, c'est aussi de faire en sorte que la population ne cède pas à la colère. Car « Le miracle de Perkoa n'a donc pas eu lieu », se lamente WakatSera dans un article titré « ô rage ô désespoir », rappelant toutefois avec que seuls 4 des 8 mineurs ont été retrouvés morts : « les recherches continuent pour essayer toujours de retrouver les quatre autres disparus de la mine de zinc de Perkoa. Sait-on jamais ? » espère le journal. Également à la une de l'actualité au Burkina Faso, la crise du pain Plusieurs médias reprennent un communiqué de la Coordination des boulangeries du Burkina Faso qui annonce la fermeture de toutes les boulangeries du pays, à compter d'hier soir minuit. WakatSera résume les faits : « les boulangers qui disent acheter la farine de blé plus cher que de coutume (…) ont décidé, unilatéralement, affirme le gouvernement burkinabè, de faire passer le coût de la baguette de 150 FCFA à 200 FCFA ». Six boulangeries pratiquant ce prix ont été fermées, annonce le gouvernement. Aujourd'hui au Faso parle de « dossier du pain », expliquant « ce n'est plus un bras de fer mais un jeu de ping-pong ». « Si ma boulangerie est fermée, je vais encourager à fermer toutes les autres », a avancé le ministre du Commerce, espérant toutefois que l'appel à la fermeture ne soit pas suivi. Une rencontre est prévue aujourd'hui entre les différents acteurs du dossier. Inquiétude aussi en République démocratique du Congo, ça concerne des affrontements au Nord-Kivu Le Nouvel Afrik revient sur les faits : « D'intenses affrontements sont signalés à Kibumba, dans le territoire de Nyiragongo, à 20 km à l'est de la ville de Goma. Déclenchés depuis mardi, les combats qui opposent les rebelles du M23 et les Forces Armées de la République Démocratique du Congo se sont intensifiés ce mercredi ». Un communiqué de presse de l'armée est cité, évoquantsa détermination à « ne laisser aucun centimètre du territoire national à qui que ce soit ». Politico cite le bourgmestre de Kibumba pour qui la ville est « sérieusement menacée ». Radio Okapi fait le point sur la situation : « sur le front sud, dans le territoire de Nyiragongo, Kibumba, Buhumba, Kigarama et d'autres localités environnantes seraient déjà entièrement occupés par les rebelles. Dans le territoire de Rutshuru, les villages Kanombe, Nyesisi, Kabaya, Rumangabo, Nk-kwe, dans le groupement de Kisi-gari sont actuellement vidés des leurs habitants ». Un important mouvement de population se dessine Le Bureau de Coordination humanitaire des Nations Unies parle dans un communiqué de plus de 10 000 personnes déplacées. Actualité.cd a d'ailleurs recueilli le témoignage d'un homme ayant fui Kibumba, un infirmier qui évoque des échanges de feu. Réaction devant la presse du député Singoma Mwanza Hamis, élu de Nyirangongo. Il rappelle que se tiennent actuellement à Nairobi « des pourparlers pour justement ramener la paix et la sécurité ». Les autorités militaires de la province du Nord-Kivu exigent qu'une enquête soit menée après des soupçons sur l'implication de l'armée rwandaise.
Shirika la Umoja wa Mataifa la kuhudumia watoto, UNICEF kwa ushirikiano na kituo cha kimarekani cha kudhibiti magonjwa, CDC wamesaidia ujenzi wa tenki za maji kwa ajili ya wakazi wa Kiziba mjini Goma, jimboni Kivu Kaskazini nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC na hivyo kusaidia kuepusha maambukizi ya magonjwa yatokanayo na matumizi ya maji machafu.
Aujourd'hui, avec Exploration du Monde, on va évoquer un volcan qui s'est réveillé depuis le 22 mai dernier, le Nyiragongo C'est parti pour un tour avec Philippe Soreil sur SIS Radio Émission du 04/04/2022 En effet, le 22 mai 2021, le volcan congolais est entré en éruption, la plus forte observée depuis 2002. Au XXe siècle, Haroun Tazieff fut le premier vulcanologue à explorer son cratère et à dévoiler les secrets dissimulés au cœur de sa fournaise. Il explique cela dans des images d'archives datant de 1961. Et dans le film présenté par son fils à Exploration du Monde ? Pour le savoir, il faut aller voir le film présenté en effet en ce moment à Explo et jusqu'au 28 avril par son fils Frédéric Lavachery Bande d'annonce du film documentaire "HAROUN TAZIEFF, le poète du feu" Je vais vous parler de Haroun Tazieff et de son exploit dans le cratère du volcan Nyiragongo Évoqué par son fils dans le film qu'il présente actuellement à Exploration du Monde. Cela se passait en 1948, au Nord-Kivu : le jeune géologue Haroun Tazieff franchit le barrage de feu du volcan Kituro qui venait de naître. Il ne sait pas alors qu'aucun collègue n'a jamais pu jeter un œil dans un cratère en feu. Il est le premier homme à descendre la paroi verticale et instable du cratère voisin, le redoutable Nyiragongo : il y découvre un lac infernal de magma en fusion ... Comment se fait-il qu'il ait été le premier et en soit ressorti vivant ? Le Nyiragongo, c'est à peu près 3.500 m d'altitude. Depuis 1927, les habitants autour du volcan, dans la région de Goma au Congo, observaient un rougeoiement qu'ils assimilaient à l'âme des morts. La curiosité du jeune volcanologue et sa formation d'alpiniste lui permirent de descendre dans le cratère d'où s'échappaient des fumées sulfureuses qui angoissaient tous ceux qui s'y étaient aventurés avant lui et avaient rebroussé chemin. Et lui, ça ne lui faisait rien ? Il s'était habitué à gérer cela pour ne pas dépasser les limites du supportable et du mortel. Cela faisait déjà 6 mois qu'il mettait le nez dans un volcan en éruption et il savait qu'au-delà de l'inconfort que provoquaient ces émanations – fortes toux et picotements des yeux - elles ne représentaient pas un danger mortel ... sauf si on s'approchait à moins de 20 de leurs émissions. Et qu'a-t-il découvert en descendant dans le cratère ? Que le cratère était en réalité formé de 3 puits cylindriques emboités les uns dans les autres ! Arrivé en bas du premier puits d'un diamètre de 1 km environ, une terrasse de 200 m menait au 2e puits et c'est là qu'il vit, 200 m plus bas, un lac en fusion avec des rugissements permanents ... Et depuis, il y a eu d'autres éruptions qui menaçaient les populations ? En 1977 puis en 2002 ... et donc en mai de l'année dernière, les autorités ont fait évacuer les environs. Les spécialistes surveillent l'activité du volcan et sont très inquiets. Les volcanologues sur place multiplient les observations, car le Nyiragongo, situé à 15 kilomètres de Goma, est toujours très actif, On rappelle que le film « Haroun Tazieff le poète du feu » peut être vu jusqu'au 28 avril avec Explo ... Tous les renseignements sur https://explorationdumonde.be/index.php/films/309-haroun-tazieff-le-poete-du-feu Écouter l'émission directement sur Spotify : C'est parti pour un tour l'émission francophone sur S.I.S Radio qui vous parle des plus beaux voyages. En partenariat avec Exploration du monde L'émission de notre explorateur vedette Philippe Soreil est aussi disponible en podcast sur les apps gratuites : Spotify : https://open.spotify.com/show/4LwbgZ2cup5VApfkLLZePl?si=12360fbdc42d44f3 Deezer : https://deezer.page.link/Z5UMxXcL9XG6ymMVA iTunes : https://podcasts.apple.com/be/podcast/cest-parti-pour-un-tour/id1555437980?l=fr Application SiS Radio : Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.icreo.sisradio App Store : https://apps.apple.com/us/app/sisradio/id1547453358 Rejoins-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : @sisradio.officiel Instagram : @sisradio.officiel YouTube : @SISRadioofficiel
Oli France is an adventurer and professional expedition leader.Oli France has led teams through some of the world's most dangerous and least visited countries, including Iraq, Somalia, Yemen, Turkmenistan and D.R. Congo. To date, he has travelled to 70 countries. He has climbed mountains in half of those, including the likes of Mont Blanc, the highest peak in Western Europe, Halgurd, the highest mountain in Iraq, and Nyiragongo, a vast volcano in the jungles of the Congo which contains the world's largest lava lake. Enjoyed the Show? Tag me @johnhorsfall on InstagramJoin the Adventure - https://mailchi.mp/44c55725379d/newsletter-page-ziba-adventuresIn March 2020, Oli completed a solo and unsupported 16-day 405-mile trek/ski across the frozen length of Lake Baikal, Siberia, the world's largest freshwater lake, while dragging a 60kg sledge, becoming one of only a handful of people to do so alone.Oli's adventures have taken him through deserts, jungles, mountains, and war-torn regions. He has faced spies, interrogators, minefields and arrest, along with avalanches, earthquakes, killer snakes and severe dehydration, all while attempting to complete challenging journeys in remote corners of the world, either alone or while leading a team.Today on the podcast, we talk about his expeditions and some crazy experiences growing up in adventure. Subscribe and Review the Podcast if you have enjoyed it so far. A simple review goes a long way to help the podcast grow and your support means everything.Oli's WebsiteOli's InstagramSupport this podcast at — https://redcircle.com/the-modern-adventurer/donationsAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brands
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Covid-19 : raz-de-marée de cas en France. Par Simon Rozé, journaliste au service Sciences de RFI. Gabon - Sport : trois premières mises en examen pour pédophilie. Par Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. RDC: le volcan Nyiragongo toujours très actif. Par Adalbert Muhindo, directeur de l'observatoire volcanologique de Goma. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
Dernier volet de notre série sur l'éruption du volcan de mai dans l'est de la RDC. La ville de Goma vit sous la menace perpétuelle des nouvelles éruptions qui pourraient détruire la capitale de la province du Nord-Kivu. La mission de l'OVG, l'Observatoire volcanique de Goma, est de prévoir les mouvements du volcan. Faute de moyens, l'observatoire a fonctionné difficilement les mois précédant l'éruption du 22 mai 2021. Après l'éruption, le gouvernement a promis de remettre en état de marche cette institution. Qu'en est-il aujourd'hui ? ► À écouter aussi : Volcan Nyiragongo en RDC [3/4]: un projet de l'ancienne première dame pour les sinistrés contesté Le Volcan Nyiragongo en RDC [2/4]: les sinistrés toujours dans l'impasse Le Volcan Nyiragongo en RDC [1/4]: enseigner quand son école est détruite
Aujourd'hui, troisième volet de notre série sur les conséquences de l'éruption du volcan Nyiragongo dans l'est de la RDC. Au lendemain de la catastrophe, quelques personnalités ont aussitôt proposé leur aide. C'est le cas de l'ancienne première dame avec son ONG Initiative Plus. Marie-Olive Lembe Kabila a fait don de 100 hectares à une partie des sinistrés. Mais ce projet est contesté par les habitants de la zone. ► À écouter aussi : Le Volcan Nyiragongo en RDC [2/4]: les sinistrés toujours dans l'impasse Le Volcan Nyiragongo en RDC [1/4]: enseigner quand son école est détruite
Karibu kusikiliza jarida linaloletwa kwako na Flora Nducha ambapo hii leo nisiku ya furaha kwa wazungumzaji wa wa lugha ya Kiswahili kwani Umoja wa Mataifa umetangaza rasmi Julai 7 kila mwaka kuwa siku ya Kiswahili duniani. Kutokea nchini Kenya utakutana na Angela Andia mshindi wa mwaka 2021 wa mradi wa shirika la Umoja wa Mataifa la kuhudumia watoto UNICEF uitwao “wisdom project” au mradi wa busara ambao unashirikisha watoto wa umri wa kati ya miaka 9-14 kila mwaka wakishindana katika kuandaa Habari zinazohusua haki za mtoto. Na huko nchini Sudan utasikia madhila yanayowakumba wananchi waishio White Nile baada ya kutokea mafuriko ambayo wanasema hawajawahi kuona.
Shirika la Umoja wa Mataifa la kuhudumia watoto UNICEF kwa zaidi ya miezi sita sasa limeendelea kuwatafuta na kuwaunganisha wazazi, walezi pamoja na maelfu ya watoto waliopoteza wakati wakikimbia usiku baada ya kutokea mlipuko wa volkano katika mlima Nyiragongo mjini Goma jimboni Kivu Kaskazini nchini DRC. Leah Mushi anasimulia mkasa wa watoto wawili Justin na Justine.
Hujambo na karibu kusikiliza jarida ambapo miongoni mwa ukayosikia leo ni pamoja na;- Kura ya maoni iliyoendeshwa katika nchi 21 ikihusisha watoto na watu wazima zaidi ya 21,000 imeonesha kuwa watoto wanaamini dunia inakuwa bora zaidi huku watu wazima wakiwa na shaka na shuku. Mradi wa WFP kwa wakulima Zambia umekuwa neema Mkulima Mainner na familia yake. Mbali na jukumu la ulinzi wa amani nchini Jamhuri ya Afrika ya Kati CAR, kikosi cha ulinzi wa amani kutoka Tanzania TANBAT 4 kinachohudumu chini ya mpango wa Umoja wa Mataifa ujulikanao kama MINUSCA nchini humo , kimeweka mikakati ya kusaidia na kuinua wananchi wa CAR kielimu kupitia shughuli mbalimbali. Pia kutoka Goma nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC itasikia kisanga cha watoto waliopotea baada ya mlipuko wa volkano ya mlima Nyiragongo jimboni Kivu Kaskazini na hatimaye wamekutana na mama yao.
Mlinda amani wa Umoja wa Mataifa kutoka Nepal Sangya Malla anayehudumu katika ujumbe wa Umoja huo nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Kongo -DRC, MONUSCO ameshinda tuzo ya Afisa Polisi Mwanamke wa Umoja wa Mataifa kwa mwaka 2021. Leah Mushi ana taarifa zaidi. Ni Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa Antonio Guterres “ kwa heshima kubwa napenda kutunuku tuzo ya 11 ya Afisa Polisi Mwanamke wa Umoja wa Mataifa kwa Mrakibu wa Polisi Sangya Malla wa Nepal. Malla umeifanya nchi yako, pamoja na MONUSCO na familia nzima ya Umoja wa Mataifa kujivunia.” Katibu Mkuu amesema hayo kupitia ujumbe wake kwa njia ya video kwa mkutano wa kuadhimisha kuanza kwa wiki ya Polisi wa Umoja wa Mataifa, mkutano unaofanyika kwa njia ya mtandao. Mrakibu Malla mbali ya kuwa polisi pia ana taaluma ya utabibu ambapo kwa kutumia taaluma hizo yeye na timu anaoiongoza wameweza kuhakikisha wanasimamia na kuhamasisha masuala ya afya na mazingira huku wakiendelea na shughuli za kulinda amani nchini DRC. Miongoni mwa yale aliyoweza kufanikisha ni pamoja na kuandaa semina zaidi ya 300 kwa mwaka huu pekee kuelimisha wananchi wa DRC kuhusu ugonjwa wa Corona au COVID-19 na majanga mengine ikiwemo Ebola. Halikadhalika wakati wa mlipuko wa volkano ya mlima Nyiragongo huko Goma mwezi Mei mwaka huu 2021, Mrakibu wa Polisi Malla na kitengo chake ndio haswa walitahadharisha wakazi wa eneo hilo na wafanyakazi wa Umoja wa Mataifa kuhusu hatua za tahadhari na watu wakafanikiwa kuondoka kwenye enoe hatari na kuelekea maeneo salama ikiwemo nchi jirani ili kuokoa maisha yao. “Alisaidia kuanzisha na sasa anaongoza Kitengo cha Afya na Mazingia cha MONUSCO, akiimarisha usalama na ustawi wa walinda amani wetu kwa kupunguza hatari za COVID-19 na vitisho vingine. Anawakilisha kitu kikubwa zaidi, michango mingi ya maafisa wa polisi wanawake katika kuendeleza amani na usalama duniani kote. Kupitia kazi yake, Mrakibu wa polisi Malla anaonesha kazi bora inayofanywa na Umoja wa Mataifa” Akipokea tuzo hiyo Mrakibu Malla ameshukuru na kusema "Nimefurahi kupokea tuzo hii, na ninatumai itawapa moyo wanawake vijana zaidi katika nchi yangu na kote ulimwenguni kufuata taaluma ya polisi, ambayo bado inatazamwa kama kazi ya wanaume". Naye Mshauri wa Polisi wa Umoja wa Mataifa Luis Carrilho amesema “kama walinda amani wengi wakati huu wa changamoto za usalama huku kukiwa na janga hili la Corona, Mrakibu Malla amevuka wito wa kuhudumia jamii, pamoja na timu yake, juhudi zake za kuongeza ufahamu kuhusu afya ya umma na hatari za asili hatimaye zimewafanya wafanyakazi wenzake na watu wa DRC kuwa salama zaidi ambayo ni kazi kuu ya polisi." Kitendo cha polisi wa Umoja wa Mataifa kimefikia lengo la usawa kijinsia katika ngazi zote za wafanyakazi.
Innocent Ishimwe is a full time photographer. His speciality: Nature and landscape. He started off as a photojournalist and later found his niche. In this podcast, he tells the story of his career in general and what is takes to be good at it. Specifically, he tells us about the trip he took to Rubavu and Goma, right after the Nyiragongo volcano eruption. There is a picture that he was looking for. He didn't get it. But he promised he will go back. Innocent leads Image Rwanda, a collective of photographers from Rwanda.
Le 22 mai, le volcan Nyiragongo est entré en éruption entraînant panique et déplacement des populations de Goma. La plupart des familles se sont dirigées vers Rutshuru, Sake, Masisi, voir même Bukavu. Déborah Bahati Esther est étudiante en construction, elle vit à Sake. Elle se souvient de l'arrivée des déplacés dans sa ville.
Binti on Air se veut être un podcast qui raconte le quotidien des femmes en RDC. Dans cette première série nous revenons sur l'éruption du Nyiragongo en mai dernier.
Trois mois après la dernière éruption du volcan Nyiragongo, la vie a repris son cours à Goma. Mais chacun le sait : la menace pèse toujours sur cette ville de quelque deux millions d'habitants située dans l'est de la République démocratique du Congo. Redoutant de voir, un jour, la capitale du Nord-Kivu disparaître sous la lave, chercheurs, autorités et partenaires extérieurs tentent de s'organiser pour gérer au mieux le risque.
Des écoles de référence, des industries de transformation, de vastes plantations… Si la province semble avoir été longtemps abandonnée par le pouvoir central, si elle est sous la menace permanente de bandes armées et des caprices du volcan Nyiragongo, le Nord-Kivu montre une extraordinaire capacité de résilience. Rencontre avec les leaders qui construisent et développent économiquement la région. Avec nos invités : - Singoma Mwanza, député national du territoire de Nyiragongo, directeur général du groupe Shenimed SARL - Yvette Mwanza, présidente du Comité «mines» de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) du Nord-Kivu - John Nsana Kanyoni, président du Conseil d'administration de Metachem SARL, directeur général de Tembo Power et administrateur de Trade Power.
Tichý zabiják pod jezerem Kivu (04:16) – Toussaint Louverture a ústava Haiti (20:10) – Kniha: Tajuplný svět virů a bakterií (23:57) – Alchymisté, 1. část: Živé kovy (27:20)
ก่อ กอง Science ในตอนนี้จะพูดถึงเรื่องที่อาจจะฟังดูไกลตัว แต่ควรรู้เพราะอาจส่งผลถึงเราได้ นั่นคือเรื่องของข่าวสำคัญเรื่อง “การปะทุของภูเขาไฟ Nyiragongo” ภูเขาไฟที่ตั้งอยู่ในประเทศสาธารณรัฐประชาธิปไตยคองโก (คนละประเทศกับสาธารณรัฐคองโก) ในทวีปแอฟริกาใต้ เรามาติดตามกันว่าปัจจัยของการเกิดภูเขาไฟในภูมิภาคนี้คืออะไร ภัยแฝงซ่อนเร้นจากภูเขาไฟระเบิด เช่น การฟุ้งกระจายของก๊าซจากการปะทุ ความดังของเสียง ท้องฟ้าเปลี่ยนสีเนื่องจากฝุ่นควัน รวมทั้งความเร็วของการไหลของลาวาขึ้นอยู่กับอะไรบ้าง ติดตามได้ในพอดแคสต์ตอนนี้ครับ
Nous te présentons le beau témoignage d'un jeune homme au parcours assez particulier. Julien Mukengerwa Bahati est originaire de la République démocratique du Congo. Sa ville natale (Goma) a été durement éprouvée à la suite de l'éruption du volcan Nyiragongo, le 22 mai 2021. Cette même catastrophe naturelle avait déjà touché Julien et sa famille, il y a plus de 15 ans auparavant. Il en parle d'ailleurs, au début de l'épisode. Aussi, il mentionne la raison pour laquelle il a été contraint de rester au Canada et il témoigne du soutien qu'il a reçu de la part du CJEO et de membres de la communauté. Tu pourras même entendre les commentaires de deux personnes importantes dans sa vie. Ses mentors. C'est un épisode empreint de résilience et d'espoir. Julien en profite pour inciter les nouveaux-arrivants à aller chercher de l'aide afin de vivre une intégration plus harmonieuse. Bonne écoute! Notre groupe sur LinkedIn: https://bit.ly/3m9tH1q Notre page Facebook: https://www.facebook.com/CJEO350 Notre site web: www.cjeo.qc.ca
Este cuarto episodio está literalmente on fire! Hablamos de la relación que hay entre los sismos y volcanes: si empieza a temblar cerca de un volcán entonces habrá erupción!? Cómo es la cosa? Nos pegamos un viaje virtual desde el Sur de Chile hasta Islandia para hablar de cómo fue la erupción del Fagradalsfjall (aka Fagradaasdfdsjglhlaajljadajh), después vimos lo que pasó en la RD del Congo con el volcán Nyiragongo para luego volver al Norte de Chile.Ya en el Norte, conversamos con nuestro invitado Pablo Salazar, académico de la U. Católica del Norte e investigador de CKELAR y CIGIDEN, sobre el monitoreo sismológico de volcanes y las nuevas técnicas que se están implementando para ello.Para más preguntas, consultas, sugerencias y demases, recuerda seguirnos en Instagram, Twitter y en nuestro canal de Youtube ! :-)Idea de logo por Bárbara Blanco
L'éruption du Nyiragongo a déclenché une cascade de conséquences indirectes qui vont bien au-delà du bilan en vies humaines. La photojournaliste Esther NSAPU ainsi que l'activiste et avocate Linda BAUMA sont deux femmes de terrains qui ont accepté de partager leur quotidien.
Dans cet épisode en deux parties nous vous proposons un regard croisé sur l'éruption volcanique du Nyiragongo (Goma - RDC). Pour cette 1ère partie, nous avons reçu le Docteur Benoît SMETS, volcanologue à la VUB (Brussels) et expert des volcans Nyiragongo et Nyamulagira.
Namibia: la Germania chiede perdono per il genocidio degli Herero (copertina). Mali: Assimi Goita dichiarato presidente della transizione. Rd Congo: senza assistenza i 400.000 sfollati da Goma a causa del vulcano Nyiragongo. Rwanda: conclusa la storica visita di Macron. Questo e molto altro nel notiziario Africa di Radio Bullets, a cura di Giusy Baioni. Musiche di Walter Sguazzin
UMVA UMUNYAMAKURU WA RBA Saadah HAKIZIMANA --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radio-rwanda/message
週六,位於民主剛果的 Nyiragongo 火山爆發,人口兩百萬的鄰近城市 Goma 陷入恐慌,居民紛紛逃難,政府隨後也下令進行撤離。Nyiragongo 為全世界最危險的火山之一,上一次在 2002 年的爆發造成 250 人死亡,12 萬人無家可歸。 0:00 Intro 0:10 第一遍英文朗讀 (慢) 3:02 單字片語解說 23:37 第二遍英文朗讀 (快) ❤️ 給我繼續錄製 podcast 的能力
The Earth's surface is dappled with more than a thousand volcanoes. They mark the edges of tectonic plates, spewing hot gas and ash, and boiling over with lava. We can detect the warning signs of an eruption, but why is it still so hard to predict? Meet a few currently active hot heads: Mauna Loa, Nyiragongo, Fagradalsfjall, and Soufrière – and find out what gives them individual personalities. Plus, what a newly excavated snack bar in Pompeii, buried and preserved when Vesuvius erupted in 79 AD, can teach us about eruptions. Guests: Christopher Jackson – Chair of Sustainable Geosciences at the University of Manchester Thorvaldur Thordarson – Professor in Volcanology and Petrology at the University of Iceland Maite Maguregui – Professor, Department of Analytical Chemistry at the University of the Basque Country, Spain Silvia Perez-Diez – Researcher in the Department of Analytical Chemistry at the University of the Basque Country, Spain Alia Wallace – Archaeologist with the Bureau of Land Management in Colorado with a PhD from University College London Jazmin Scarlett – Teaching fellow in physical geology, Newcastle University Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices