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Le prix d'un appartement dans une station de ski en France varie considérablement en fonction de la localisation, de la renommée de la station et des caractéristiques spécifiques du bien immobilier. Voici un aperçu des prix moyens au mètre carré dans différentes stations et massifs français : Stations de ski les plus onéreuses : - Val d'Isère : Cette station prestigieuse affiche des prix moyens d'environ 11 200 € par mètre carré pour un appartement et 16 100 € par mètre carré pour un chalet. - Courchevel et Megève : Ces stations haut de gamme présentent également des prix élevés, bien que légèrement inférieurs à ceux de Val d'Isère. Prix moyens par massif : - Alpes du Nord : Le prix moyen d'un appartement est de 3 574 € par mètre carré, soit environ 232 412 € pour un appartement de 60 m². - Alpes du Sud : Les appartements se négocient en moyenne à 2 340 € par mètre carré, équivalant à 128 400 € pour un 60 m². - Pyrénées : Le prix moyen est de 1 657 € par mètre carré, soit environ 99 441 € pour un appartement de 60 m². Facteurs influençant les prix : - Renommée de la station : Les stations internationales et prisées, comme Val d'Isère ou Courchevel, affichent des prix plus élevés en raison de leur attractivité et de leurs infrastructures haut de gamme. - Altitude et enneigement : Les stations situées à plus haute altitude, garantissant un meilleur enneigement, tendent à avoir des prix plus élevés. - Accessibilité et infrastructures : La proximité des grandes villes, la qualité des remontées mécaniques et des services offerts influencent également les prix de l'immobilier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs communes du Cameroun se sont lancées dans une course à l'enregistrement des naissances. Dans l'Extrême-Nord du pays, dans la commune de Mora, frontalière avec le Nigeria, on enregistrait moins de 9 % des naissances en début d'année. Pour remonter la pente, depuis le début de l'année, la mairie locale a multiplié les points d'enregistrement des naissances et recruté des agents qui se rendent dans les domiciles et les écoles primaires pour enregistrer les nouveau-nés et les élèves. De notre envoyé spécial à Mora, dans l'Extrême-Nord du Cameroun,Assis sur sa moto, Madi Abatchoua parcourt fièrement les rues rocailleuses de Mora, pour enregistrer de nouvelles naissances dans des familles qui peinent à se rendre dans un centre d'enregistrement. « Je sors souvent trois ou quatre fois par semaine pour aller enregistrer les naissances des enfants, je vois au moins 20 ménages par jour », explique-t-il. Cette après-midi, Madi est dans une famille qui vient d'accueillir la naissance de jumeaux. Les bébés sont en forme, rassure Salma, la mère, qui apprécie le fait que les agents recenseurs font désormais le déplacement vers les domiciles : « Avant, c'était tellement pénible. Peut-être le père était occupé, certains parents militaires pouvaient être en brousse... Le temps de partir, d'aller faire enregistrer les enfants à la commune, c'était compliqué. » Elle est donc ravie de ce nouveau système : « Je trouve ça très facile. Et c'est encourageant, vraiment, qu'on vienne identifier les enfants à la maison, les enregistrer à la maison. »Une méthode qui n'a pas tardé à porter ses fruits, car selon le bureau d'enregistrement des naissances de l'arrondissement de Mora, le taux est passé de 9 % d'enregistrement de naissance à plus de 50 % aujourd'hui.À écouter dans l'Invité d'Afrique midiIdentification des populations: «Il faut rendre gratuite la délivrance de l'acte de naissance et rapprocher l'état civil des usagers»« Presque 400 000 élèves n'avaient pas d'actes de naissance »C'est la même dynamique dans plusieurs villes de la région de l'Extrême-Nord. Selon le gouverneur de la région, Midjiyawa Bakari, il s'agit non seulement d'enregistrer les naissances, mais aussi de redonner une identité aux élèves et parents qui ont perdu leurs pièces d'identité en fuyant les exactions des djihadistes de Boko Haram. « Au plus fort de Boko Haram, l'État avait décidé de ramener toutes les écoles dans les centres urbains, le chef-lieu du département, beaucoup plus sécurisé. Vous imaginez ? C'était le sauve-qui-peut, on ne pouvait pas parler des documents. On s'est rendu compte, à la fin, quand il fallait présenter les examens, qu'on avait presque 400 000 élèves qui n'avaient pas d'actes de naissance. J'ai convoqué une réunion élargie avec toute l'élite extérieure. La justice, les chefs de cour ont mis à contribution leurs représentants aux niveaux départementaux. Et tout se passe bien. Les mairies se sont impliquées. »Les mairies de la région de l'Extrême-Nord ont été motivées grâce à une campagne d'enregistrement de naissance « MyName » initiée par l'Unicef et le gouvernement camerounais, afin d'enregistrer les enfants sans identité légale. Selon l'Unicef, 1,5 million d'enfants ne disposent pas d'actes de naissance, parmi lesquels 76 000 qui doivent présenter des examens de fin d'année. À lire aussiDans l'Extrême-Nord du Cameroun, des cas de malnutrition au camp d'Ouro-Dabang
durée : 00:13:55 - Journal de 7 h - Premier point sur les résultats de la nuit aux États-Unis alors que la candidate démocrate et vice-présidente Kamala Harris a reporté sa prise de parole. Le camp Trump est gagné par l'optimisme.
durée : 00:13:55 - Journal de 7 h - Premier point sur les résultats de la nuit aux États-Unis alors que la candidate démocrate et vice-présidente Kamala Harris a reporté sa prise de parole. Le camp Trump est gagné par l'optimisme.
Bienvenue chez les Protagonistes, un podcast où les histoires contées dans les livres trouvent un écho dans celles de la vie. Je suis Joséphine Bonnardot et aujourd'hui, je vous propose de redécouvrir la voix d'Hugo qui raconte sa lecture du célèbre roman de l'écrivain américain John Irving "Le monde selon Garp". Si cet épisode vous a plu ou que vous avez des suggestions ou bien encore que vous souhaitez participer à ce podcast car vous avez un livre dans la peau, n'hésitez pas à me le faire savoir en m'écrivant directement sur les comptes Instagram @josephinebnt_ ou @lesprotagonistes.podcast. Je serai ravie de vous lire et de discuter avec vous. Et puis, si vous ne voulez rien manquer des contenus, pensez à vous abonner au podcast sur votre plateforme d'écoute préférée, à laisser un commentaire et puis 5 ⭐. Musique libre de droit : Générique - Reflect de Ikson / Transitions : Musique Libre de droit de Youtube
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! 3 titres à découvrir ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
En Irlande du Nord, la loi très controversée sur les Troubles devrait être abrogée. La loi Héritage et réconciliation, adoptée en septembre de l'année dernière, vise à mettre un terme à toutes les enquêtes futures sur les meurtres non élucidés commis pendant ces Troubles. Le roi Charles III a récemment promis la révocation de cette loi, une promesse qui ravive l'espoir des familles des victimes de ce conflit sanglant, qui aura duré 30 ans et fait 3 500 morts. De notre envoyée spéciale à Derry,En 1972, Bogside, à Derry, fût le théâtre du tragique Bloody Sunday, manifestation qui s'était soldée par la mort de 14 personnes. Le petit frère de Jean Hegarty faisait partie des victimes. Il s'appelait Kevin : « Il avait 17 ans, c'était un garçon relativement calme et timide. Il avait commencé un travail comme apprenti boucher, explique-t-elle, dans le quartier de Bogside, il participait à certaines des émeutes, là, sur William Street, quand il a été abattu, juste en face d'ici ! Il rampait vers un endroit sûr, quand on lui a tiré dessus, dans le dos. Il a atteint la porte de l'appartement, mais quand ils l'ont fait rentrer, il était mort. »Plus de 25 ans après la signature de l'accord de paix de 1998, 1 200 décès font toujours l'objet d'une enquête policière. Or, la loi Legacy Act a été dénoncée par ses opposants comme une « amnistie » : elle accordait en effet une forme d'immunité aux auteurs de crimes commis pendant cette période. À lire aussiL'Irlande du Nord commémore 25 ans d'une paix fragileC'est dans ce contexte qu'ouvre un tout nouveau musée : le Derry Peacemakers Museum, le musée des artisans de la paix de Derry. Michael Cooper en est le chef de projet. D'après lui, cette loi n'œuvrait pas pour la paix : « Ça empêchait les familles des personnes tuées pendant le conflit de demander justice, de quel côté que ce soit, mais dans le cas des habitants d'ici, ils ont perdu des proches à cause des forces de britanniques, ça allait toujours entraîner un déni de justice ! Donc, je dirais que les proches des victimes ici sont très, très satisfaits que la loi Héritage soit révoquée et remplacée. » L'attente et l'espoir de ce qui pourrait remplacer la loi Legacy ActÀ 5 minutes à pied du nouveau musée, un autre, celui de Free Derry ! Le conservateur, Adrian Kerr, confie : « C'était l'une des très rares choses qui nous a tous unis ces dernières années, tout le monde ici s'opposait [à cette loi]. Même si nous voulons vraiment voir cette loi disparaître, il n'y a pas une grande confiance dans ce que le gouvernement britannique va faire pour la remplacer. Donc, attendons de voir ! »Pour Jean Hegarty, seul le temps dira si les travaillistes au pouvoir tiendront parole : « En vérité, je ne sais pas vraiment ce que signifie cette révocation… Je ne sais pas ce que cela signifiera pour notre famille, pour Kevin, pour les familles du Bloody Sunday et les autres. Je vais devoir attendre et voir ce que ça va donner ! »La balle est désormais dans le camp de Westminster, qui doit décider de la date exacte à laquelle la loi disparaîtra. Il semblerait que ce n'est qu'à ce moment-là que l'Irlande retirera officiellement la procédure judiciaire qu'elle avait entamée contre le Royaume-Uni.À lire aussiIrlande du Nord: la difficile destruction des murs de la paix à Belfast
En Irlande du Nord, la loi très controversée sur les Troubles devrait être abrogée. La loi Héritage et réconciliation, adoptée en septembre de l'année dernière, vise à mettre un terme à toutes les enquêtes futures sur les meurtres non élucidés commis pendant ces Troubles. Le roi Charles III a récemment promis la révocation de cette loi, une promesse qui ravive l'espoir des familles des victimes de ce conflit sanglant, qui aura duré 30 ans et fait 3 500 morts. De notre envoyée spéciale à Derry,En 1972, Bogside, à Derry, fût le théâtre du tragique Bloody Sunday, manifestation qui s'était soldée par la mort de 14 personnes. Le petit frère de Jean Hegarty faisait partie des victimes. Il s'appelait Kevin : « Il avait 17 ans, c'était un garçon relativement calme et timide. Il avait commencé un travail comme apprenti boucher, explique-t-elle, dans le quartier de Bogside, il participait à certaines des émeutes, là, sur William Street, quand il a été abattu, juste en face d'ici ! Il rampait vers un endroit sûr, quand on lui a tiré dessus, dans le dos. Il a atteint la porte de l'appartement, mais quand ils l'ont fait rentrer, il était mort. »Plus de 25 ans après la signature de l'accord de paix de 1998, 1 200 décès font toujours l'objet d'une enquête policière. Or, la loi Legacy Act a été dénoncée par ses opposants comme une « amnistie » : elle accordait en effet une forme d'immunité aux auteurs de crimes commis pendant cette période. À lire aussiL'Irlande du Nord commémore 25 ans d'une paix fragileC'est dans ce contexte qu'ouvre un tout nouveau musée : le Derry Peacemakers Museum, le musée des artisans de la paix de Derry. Michael Cooper en est le chef de projet. D'après lui, cette loi n'œuvrait pas pour la paix : « Ça empêchait les familles des personnes tuées pendant le conflit de demander justice, de quel côté que ce soit, mais dans le cas des habitants d'ici, ils ont perdu des proches à cause des forces de britanniques, ça allait toujours entraîner un déni de justice ! Donc, je dirais que les proches des victimes ici sont très, très satisfaits que la loi Héritage soit révoquée et remplacée. » L'attente et l'espoir de ce qui pourrait remplacer la loi Legacy ActÀ 5 minutes à pied du nouveau musée, un autre, celui de Free Derry ! Le conservateur, Adrian Kerr, confie : « C'était l'une des très rares choses qui nous a tous unis ces dernières années, tout le monde ici s'opposait [à cette loi]. Même si nous voulons vraiment voir cette loi disparaître, il n'y a pas une grande confiance dans ce que le gouvernement britannique va faire pour la remplacer. Donc, attendons de voir ! »Pour Jean Hegarty, seul le temps dira si les travaillistes au pouvoir tiendront parole : « En vérité, je ne sais pas vraiment ce que signifie cette révocation… Je ne sais pas ce que cela signifiera pour notre famille, pour Kevin, pour les familles du Bloody Sunday et les autres. Je vais devoir attendre et voir ce que ça va donner ! »La balle est désormais dans le camp de Westminster, qui doit décider de la date exacte à laquelle la loi disparaîtra. Il semblerait que ce n'est qu'à ce moment-là que l'Irlande retirera officiellement la procédure judiciaire qu'elle avait entamée contre le Royaume-Uni.À lire aussiIrlande du Nord: la difficile destruction des murs de la paix à Belfast
Les bisons américains ont failli disparaître à la fin du XIXè siècle, et avec eux tout un pan de la culture autochtone du continent. Au Canada, ce lourd passé colonial est désormais un véritable moteur pour la réintroduction des bisons, entre réconciliation culturelle, écologique et économique, pour les descendants des colonisateurs et des peuples autochtones. (Rediffusion) Dans les vastes plaines jaunies du sud de l'Alberta balayées par le vent, le bâtiment du centre d'interprétation de Head-Smashed-In est parfaitement intégré dans l'une des falaises des plateaux situés au pied des montagnes des Rocheuses.Quinton Crowshoe, membre de la communauté des Piikani, est guide à Head-Smashed-In, site inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco : c'est là, du haut de cette falaise, que ses ancêtres chassaient le bison. Rassemblés dans un bassin, les bisons étaient attirés jusqu'au bord des falaises au soleil levant. Éblouis et effrayés par des Piikanis, ils se précipitaient dans le vide. Au pied de la falaise, les autres membres de la communauté les achevaient, puis utilisaient l'intégralité des carcasses pour survivre au rude hiver du continent.Le centre de Head-Samshed-In reçoit chaque année plus de 80 000 visiteurs. Pour Quinton, perpétuer cet héritage, c'est aussi reconnaître l'importance des bisons pour les écosystèmes des Grandes Plaines. « Lorsque le Créateur a créé les bisons, il a conçu leurs sabots de manière à ce que, lorsqu'ils se déplacent, ils aèrent naturellement le sol. Ils nourrissent le sol une fois qu'ils ont mangé toute l'herbe, puis se déplacent vers leur prochaine zone de pâturage. Ils laissent derrière eux une formidable fertilisation », explique le petit-fils de Joe Crowshoe Senior, qui a participé à la création de ce centre d'interprétation. Un allié écologiqueLes peuples autochtones connaissent depuis toujours le potentiel écologique du bison, mais il a fallu qu'il manque de disparaître pour que les Blancs réalisent l'importance de leur rôle. Les bisons ont été presque annihilés pour leur cuir, utilisé dans les courroies des machines lors de la révolution industrielle en Europe, et pour chasser les peuples autochtones des plaines que les animaux avaient fertilisées. À la fin du XIXè siècle, il n'en restait plus qu'une poignée, contre des dizaines de millions un siècle plus tôt.Dans le nord de l'Alberta, près du parc national de l'Île aux Élans, Wes Olson, ancien employé de Parc Canada et spécialiste du bison, a établi sa résidence. « Les bisons sont des espèces-clé, et lorsqu'ils ont été retirés des grandes plaines d'Amérique du Nord ou de tout autre endroit où ils vivaient, ces écosystèmes se sont généralement effondrés », explique le passionné. Wes Olson a participé à la réintroduction des bisons dans le parc national canadien de Banff, en 2017, aux côtés de Dillon Watt, toujours employé là-bas.Casquette visée sur la tête, le travailleur de Parc Canada explique : « Aujourd'hui, il y a un peu plus de cent bisons dans le parc national de Banff. Nous avons commencé avec 16 animaux en 2017. On peut parler d'une réussite, même si beaucoup de choses restent à accomplir, notamment pour faire cohabiter l'homme et l'animal sauvage ». Aujourd'hui, le bison n'est plus une espèce en danger. Rien qu'au Canada, on compte plus de 12 000 bisons des plaines et des bois en liberté, et près de 150 000 bisons d'élevage. Une économie écologique ?Dans un café de Calgary, la ville la plus peuplée de l'Alberta, le rendez-vous est pris avec Kelly Long. À la tête de l'entreprise Noble Premium Bison, la femme d'affaires exporte de la viande de bison jusqu'en Europe. Pour Kelly, cultiver le bison permet de promouvoir un élevage plus responsable : en moyenne un producteur canadien détient seulement 150 têtes dans sa harde. « Nous ne pratiquons pas d'insémination artificielle et nous ne donnons pas d'hormones de croissance. La façon dont nous élevons les animaux ajoute de la valeur à la terre, aide l'environnement, aide le sol, aide à séquestrer le carbone, aide le bassin versant, aide la diversité des plantes ».George Briggs est éleveur de bisons depuis une trentaine d'années dans le centre de l'Alberta. Il a une harde qu'il ne touche pas, et des veaux qu'il envoie à la boucherie tous les dix-huit mois. Dans ses champs, une centaine d'animaux profitent d'un terrain de 250 hectares. Le mâle est gigantesque et sa fourrure est encore épaisse de l'hiver. Son garrot atteint la fenêtre de son pickup pourtant bien américain.Pour George, le bison est clairement un allié écologique. « Avant, ce champ était un champ de culture intensive. Quand je l'ai acheté pour y mettre des bisons, le voisinage m'a pris pour un fou. Aujourd'hui, le champ respire, la terre est noire, les oiseaux sont revenus et j'ai pu y planter des arbres », explique l'éleveur, qui habite juste à côté de son champ. Élever le bison, c'est aussi faire sa part pour compenser la lourde responsabilité des Canadiens blancs dans sa disparition. « Ils essayaient de forcer les Premières Nations à se déplacer plus loin. Sans ces quelques personnes qui ont capturé ces animaux pour les placer dans des parcs, nous n'aurions probablement plus de bisons aujourd'hui, n'est-ce pas ? », soupire le rancher.Il y a dix ans, un traité pour les bisons a été signé entre différentes Premières Nations pour encourager leurs réintroductions dans les Plaines. Les réserves autochtones sont de plus en plus nombreuses à en accueillir, même si la mer de bison décrite par leurs ancêtres dans les Grandes Plaines risque de ne jamais revenir.
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Retour de Cisjordanie, où les incursions de l'armée israélienne se multiplient et font de nombreuses de victimes // En Corée du Nord, la visite de Poutine a été l'occasion pour les deux dirigeants de signer un accord de partenariat stratégique, un rapprochement qui inquiète les pays de la région. - invités : Gwenaëlle Lenoir Journaliste indépendante pour Mediapart, spécialiste du monde arabe et de l'Afrique de l'est.; Jean-Yves Colin expert Asie du Nord chez Asia Centre; Valérie Niquet Politologue, responsable du pôle Asie à la Fondation pour la recherche stratégique
En Haïti, le quotidien des enfants alarme les Nations unies. L'Unicef, le fonds de l'Onu pour l'enfance, déplore les écoles détruites ou mobilisées pour l'accueil des déplacés, les structures sanitaires manquantes, tout un système mis à terre à cause des attaques des gangs. Et les gangs n'épargnent pas les enfants, victimes de violences sexuelles, et enrôlés par les groupes criminels. L'Unicef estime que les gangs comptent entre 30 et 50% d'enfants dans leurs effectifs – des enfants recrutés en grand nombre à Port-au-Prince et dans l'Artibonite. Mikaël Ponge a joint Bruno Mass, le représentant de l'organisation en Haïti. Dans un rapport commandité par l'Unicef, explique-t-il, certains enfants se disent contraints de rejoindre les groupes armés pour leur protection, ou en raison de la menace de représailles. D'autres le font pour de la nourriture, ou pour disposer d'un revenu pour leurs familles. Certains disent avoir trouvé dans les gangs un sentiment d'identité et d'appartenance – dans un contexte où la violence devient « normale » pour les enfants.Selon le rapport, les garçons sont utilisés comme espions, pour transporter des munitions, pour surveiller les personnes enlevées… Les filles sont, elles, ciblées par la violence sexuelle pour affaiblir des groupes rivaux ou en échange de « protection ».En tous cas, explique Bruno Mass, certains garçons sont utilisés dès 14 ans comme combattants de première lignes. Enrôler des enfants de tous âges est, rappelle le responsable, « une violation flagrante du droit international ».Plutôt que d'engager des poursuites judiciaires, il est essentiel, insiste-t-il, de se concentrer sur le soutien au rétablissement et la réintégration de ces enfants, « souvent mis au ban de leur communauté et de leurs familles, sans avoir les moyens de surmonter ces expériences traumatisantes ».Le journal Ayibopost publie ce lundi (17 juin 2024) des témoignages d'enfants enrôlés dans les gangs. Un adolescent de 14 ans raconte comment il « fait les courses » pour le gang de Gran-Ravin ; et que des amis lui demandent constamment d'intégrer ce gang et de porter une arme. « Pour ce garçon, la mort représente une possibilité constante », écrit Ayibopost, qui précise que l'adolescent a perdu il y a quelques mois un de ses camarades lors d'une violente altercation avec un troisième ami, lui aussi recruté par les groupes criminels.Dans un éditorialpublié vendredi dernier (14 juin 2024), Le Nouvelliste se demande « qui fait le décompte des droits des enfants qui sont bafoués et violés » ces dernières années depuis le début de la crise sécuritaire.En plus des enfants enrôlés de force dans les gangs, Frantz Duval parle, pour beaucoup d'autres, de l'impossibilité d'aller à l'école ou de jouer en plein air ; de toutes les formes de violence dans le cadre familial à cause des restrictions que vivent les parents ; des violences sexuelles aussi – « dans un milieu normal un enfant est une proie, quand ça va mal les risques augmentent ».À lire aussiHaïti: de la rue aux gangs, le parcours des enfants livrés à eux-mêmesPatricia Bullrich au Salvador La ministre argentine de l'Intérieur Patricia Bullrich a visité ce dimanche (16 juin 2024), au Salvador, la plus grande prison d'Amérique centrale. Prison d'une capacité de 40 000 prisonniers, précise Clarin, qui vivent « sous un régime de contrôle strict et de droits minimums ». Les organisations de défense des droits de l'homme avaient sonné l'alarme lors de sa construction, rappelle La Nacion. Nayib Bukele, qui dirige le pays depuis 2019, a déclaré la « guerre » aux bandes armées, dont il a mis des dizaines de milliers de membres en prison. Le pays est, depuis 2022, sous un régime d'exception qui permet les détentions sans mandat. De nombreuses photos montrent Patricia Bullrich devant les cellules remplies de détenus. La ministre, écrit le quotidien, a assuré qu'un des objectifs du gouvernement argentin est de construire des prisons à Buenos Aires qui copient le modèle salvadorien - particulièrement après l'escalade de violence due au trafic de drogue à Rosario, dans la province argentine de Santa Fe, précise El Cordillerano.Patricia Bullrich doit encore rencontrer plusieurs ministres, le chef de la police et le procureur général… Et le président Bukele, ce sera ce mardi (18 juin 2024) selon Clarin.Le vote difficile des Vénézuéliens installés en Argentine La présidentielle au Venezuela, c'est dans un peu plus d'un mois. Et les craintes sont grandes sur le déroulement du scrutin : sur la manière dont le président Maduro utilise l'État au service de sa campagne, mais aussi sur sa volonté d'exclure du scrutin un certain nombre de Vénézuéliens - ceux qui vivent à l'étranger notamment, plus à même de soutenir l'opposition. Ils sont plus de 7 millions et demi, et rencontrent aujourd'hui de très nombreuses difficultés pour s'inscrire sur les listes électorales. Le correspondant de RFI en Argentine Théo Conscience a ainsi rencontré Armando Noguera, qui s'est installé en Argentine en 2017 pour fuir le marasme économique de son pays. Mais il n'a pas pu s'inscrire pour la présidentielle de juillet : nous ne savons pas quand les inscriptions sur les listes électorales vont s'ouvrir, lui a dit le consulat vénézuélien à Buenos Aires, nous vous préviendrons sur les réseaux sociaux… « Ce qu'ils n'ont jamais fait », déplore le jeune homme de 34 ans. Deux jours avant la date limite, il apprend par un ami que les inscriptions ont finalement été ouvertes, mais il ne peut s'inscrire car son passeport est périmé – sa carte d'identité en cours de validité et nombre d'autres documents ne suffiront pas. Pour beaucoup de Vénézuéliens exilés parfois depuis des années, cette documentation peut s'avérer longue et couteuse à rassembler…Les quelque 150 000 Vénézuéliens en âge de voter résidant en Argentine n'ont finalement eu que 15 jours pour s'inscrire sur les listes électorales, au lieu des deux mois prévus initialement.Selon Alexander Galvis, le président de l'ONG Alianza por Venezuela, ces obstacles sont mis en place par le gouvernement de Nicolas Maduro pour entraver la participation des Vénézuéliens vivant en dehors de leur pays - que ce soit en Argentine ou ailleurs. Donald Trump et le vote noir Aux États-Unis, Donald Trump était en campagne ce week-end sur les terres démocrates à Detroit pour la bataille du vote des Noirs, dans le Michigan – un État-clé qu'il avait remporté en 2016, mais que Joe Biden avait récupéré en 2020. Dans cet État, la victoire se joue sur un écart d'à peine quelques milliers de voix… Et Donald Trump grignote de plus en plus le vote des Afro-Américains qui, depuis les années 60, ont toujours massivement voté démocrates. À Détroit, l'envoyé spécial permanent de RFI David Thomson a rencontré Randy : « Avant, je croyais que Trump était raciste et puis je suis allé dans un de ses meetings et tout le monde était sympa ! ». Randy, qui a longtemps voté démocrate, est maintenant persuadé que le républicain fera mieux que Joe Biden pour les Noirs.Après son meeting dans cette ville à 70% afro-américaine, Trump s'est rendu dans une église noire. Madeleine et Tracy, deux Afro-Américaines sexagénaires ont rencontré l'ancien président, et comptent aussi voter pour lui : « Les Noirs Américains donnent leurs voix aux démocrates depuis des années. Sauf que maintenant on réalise qu'avec eux, on existe uniquement au moment des élections ! » Aujourd'hui, près de 20% des Noirs se disent prêts à voter Donald Trump dans plusieurs États-clés. À lire aussiÉtats-Unis: à Detroit, Donald Trump à la conquête des voix des Afro-Américains Maryland et Marijuana Aux États-Unis, l'État du Maryland va annuler 175 000 condamnations prononcées au cours des dernières décennies pour consommation de marijuana. L'annonce a été faite dans leWashington Post par le gouverneur démocrate de cet État, Wes Moore. Environ 100 000 personnes condamnées pour possession de petites quantités de marijuana vont bénéficier de ce pardon. Le gouverneur le voit comme « une étape pour réparer des décennies d'injustice sociale et économique dont souffrent de manière disproportionnée les Noirs et autres minorités ». Wes Moore souligne que « les casiers judiciaires ont été utilisés pour les empêcher d'avoir un travail, un logement, d'aller à l'école – bloquant les familles longtemps après que les peines ont été purgées. » Le Baltimore Sun, un quotidien du Maryland, parle d'une décision « historique », et rappelle que les habitants de l'État ont voté en 2022 pour autoriser le cannabis récréatif - et que le gouverneur a signé l'an dernier (2023) une loi pour créer et réguler l'industrie du cannabis dans l'État.À lire aussiÉtats-Unis: le gouverneur du Maryland annule 175 000 condamnations pour usage de marijuana Aux États-Unis, le mouvement « Land Back »Le New York Times se penche sur le mouvement « Land Back » de réappropriation de terres par les tribus indiennes – plus particulièrement dans la région d'Owens Valley en Californie. Le quotidien parle d'un mouvement de « retour de terres » en plein essor. Il rappelle que lorsque les Européens sont arrivés, les tribus ont perdu presque toutes leurs terres – puis leur accès à l'eau, quand au début du XXème siècle ceux qui ont bâti la ville de Los Angeles ont construit un gigantesque aqueduc partant du lac Owens.Mais les tribus récupèrent peu à peu quelques terres – c'est aussi le cas dans l'Illinois et en Virginie. À Owens Valley, des groupes de défense de l'environnement travaillent avec les responsables indigènes pour que davantage d'eau reste dans la région – à cause de la demande en eau de Los Angeles, expliquent-ils, l'écosystème de la région survit à peine.À lire aussiEtats-Unis: les Amérindiens manifestent contre le pipeline du Dakota du Nord Le journal de La 1èreC'est la première fois dans l'histoire des JO que la flamme olympique traverse les Outremer : elle est arrivée dimanche soir en Martinique.
Nous vous proposons un nouveau numéro du Podcast du Blog de la Robertsau consacré à l'extension vers le Nord du réseau Tram de l'agglomération. Il vous vous permettra de faire le tri entre les toutes les informations. Ce numéro, très complet, vous permettra de tout savoir sur le tracé, les nouvelles stations, les aménagements et les avantages pour la Robertsau. Avec François Giordani, président de l'association ASTUS (l'Association des usagers des Transports urbains de l'agglomération strasbourgeoise,) Jacques Bresson, l'un des porte-parole du collectif « Mon tram j'y tiens » et Jacques Gratecos, président de l'ADIR (Association de défense des intérêts de la Robertsau).
Les bisons américains ont failli disparaître à la fin du XIXè siècle, et avec eux tout un pan de la culture autochtone du continent. Au Canada, ce lourd passé colonial est désormais un véritable moteur pour la réintroduction des bisons, entre réconciliation culturelle, écologique et économique, pour les descendants des colonisateurs et des peuples autochtones. Dans les vastes plaines jaunies du sud de l'Alberta balayées par le vent, le bâtiment du centre d'interprétation de Head-Smashed-In est parfaitement intégré dans l'une des falaises des plateaux situés au pied des montagnes des Rocheuses.Quinton Crowshoe, membre de la communauté des Piikani, est guide à Head-Smashed-In, site inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco : c'est là, du haut de cette falaise, que ses ancêtres chassaient le bison. Rassemblés dans un bassin, les bisons étaient attirés jusqu'au bord des falaises au soleil levant. Éblouis et effrayés par des Piikanis, ils se précipitaient dans le vide. Au pied de la falaise, les autres membres de la communauté les achevaient, puis utilisaient l'intégralité des carcasses pour survivre au rude hiver du continent.Le centre de Head-Samshed-In reçoit chaque année plus de 80 000 visiteurs. Pour Quinton, perpétuer cet héritage, c'est aussi reconnaître l'importance des bisons pour les écosystèmes des Grandes Plaines. « Lorsque le Créateur a créé les bisons, il a conçu leurs sabots de manière à ce que, lorsqu'ils se déplacent, ils aèrent naturellement le sol. Ils nourrissent le sol une fois qu'ils ont mangé toute l'herbe, puis se déplacent vers leur prochaine zone de pâturage. Ils laissent derrière eux une formidable fertilisation », explique le petit-fils de Joe Crowshoe Senior, qui a participé à la création de ce centre d'interprétation. Un allié écologiqueLes peuples autochtones connaissent depuis toujours le potentiel écologique du bison, mais il a fallu qu'il manque de disparaître pour que les Blancs réalisent l'importance de leur rôle. Les bisons ont été presque annihilés pour leur cuir, utilisé dans les courroies des machines lors de la révolution industrielle en Europe, et pour chasser les peuples autochtones des plaines que les animaux avaient fertilisées. À la fin du XIXè siècle, il n'en restait plus qu'une poignée, contre des dizaines de millions un siècle plus tôt.Dans le nord de l'Alberta, près du parc national de l'Île aux Élans, Wes Olson, ancien employé de Parc Canada et spécialiste du bison, a établi sa résidence. « Les bisons sont des espèces-clé, et lorsqu'ils ont été retirés des grandes plaines d'Amérique du Nord ou de tout autre endroit où ils vivaient, ces écosystèmes se sont généralement effondrés », explique le passionné. Wes Olson a participé à la réintroduction des bisons dans le parc national canadien de Banff, en 2017, aux côtés de Dillon Watt, toujours employé là-bas.Casquette visée sur la tête, le travailleur de Parc Canada explique : « Aujourd'hui, il y a un peu plus de cent bisons dans le parc national de Banff. Nous avons commencé avec 16 animaux en 2017. On peut parler d'une réussite, même si beaucoup de choses restent à accomplir, notamment pour faire cohabiter l'homme et l'animal sauvage ». Aujourd'hui, le bison n'est plus une espèce en danger. Rien qu'au Canada, on compte plus de 12 000 bisons des plaines et des bois en liberté, et près de 150 000 bisons d'élevage. Une économie écologique ?Dans un café de Calgary, la ville la plus peuplée de l'Alberta, le rendez-vous est pris avec Kelly Long. À la tête de l'entreprise Noble Premium Bison, la femme d'affaires exporte de la viande de bison jusqu'en Europe. Pour Kelly, cultiver le bison permet de promouvoir un élevage plus responsable : en moyenne un producteur canadien détient seulement 150 têtes dans sa harde. « Nous ne pratiquons pas d'insémination artificielle et nous ne donnons pas d'hormones de croissance. La façon dont nous élevons les animaux ajoute de la valeur à la terre, aide l'environnement, aide le sol, aide à séquestrer le carbone, aide le bassin versant, aide la diversité des plantes ».George Briggs est éleveur de bisons depuis une trentaine d'années dans le centre de l'Alberta. Il a une harde qu'il ne touche pas, et des veaux qu'il envoie à la boucherie tous les dix-huit mois. Dans ses champs, une centaine d'animaux profitent d'un terrain de 250 hectares. Le mâle est gigantesque et sa fourrure est encore épaisse de l'hiver. Son garrot atteint la fenêtre de son pickup pourtant bien américain.Pour George, le bison est clairement un allié écologique. « Avant, ce champ était un champ de culture intensive. Quand je l'ai acheté pour y mettre des bisons, le voisinage m'a pris pour un fou. Aujourd'hui, le champ respire, la terre est noire, les oiseaux sont revenus et j'ai pu y planter des arbres », explique l'éleveur, qui habite juste à côté de son champ. Élever le bison, c'est aussi faire sa part pour compenser la lourde responsabilité des Canadiens blancs dans sa disparition. « Ils essayaient de forcer les Premières Nations à se déplacer plus loin. Sans ces quelques personnes qui ont capturé ces animaux pour les placer dans des parcs, nous n'aurions probablement plus de bisons aujourd'hui, n'est-ce pas ? », soupire le rancher.Il y a dix ans, un traité pour les bisons a été signé entre différentes Premières Nations pour encourager leurs réintroductions dans les Plaines. Les réserves autochtones sont de plus en plus nombreuses à en accueillir, même si la mer de bison décrite par leurs ancêtres dans les Grandes Plaines risque de ne jamais revenir.
Au Soudan du Sud, les ravages du mystérieux syndrome du hochement de têteLe syndrome du hochement de tête touche les enfants à partir de trois ans. La maladie débute par des épisodes de hochement de la tête accompagnés de perte de connaissance. En l'absence de prise en charge médicale, les symptômes s'aggravent au fil des mois : crises d'épilepsie, retards de croissance, handicap mental... La Tanzanie, le Cameroun, la RDC ou encore la République Centrafricaine sont touchés. Mais c'est au Soudan du Sud que les cas sont les plus nombreux, on en dénombre au moins 6 000 dans la région d'Equatoria-Occidental.Un Grand reportage de Florence Miettaux qui s'entretient avec Patrick Adam. En Amérique du Nord, le retour vital du bison dans les Grandes Plaines Les bisons américains, aussi appelés buffalos, ont failli disparaître à la fin du XIXè siècle et avec eux tout un pan de la culture de Quinton Crowshoe, membre de la communauté Piikani, une Première nation de l'ouest du Canada.Ce lourd passé colonial est désormais un véritable moteur pour la réintroduction des bisons, entre réconciliation culturelle, écologique et économique, pour les descendants des colonisateurs et des peuples autochtones.Un Grand reportage de Léopold Picot qui s'entretient avec Patrick Adam.
durée : 00:04:12 - "Cartel nord", le podcast de La Provence sur le narcobanditisme à Marseille - Cartel Nord est une série de podcasts documentaire en cinq saisons qui décrypte la réalité et les conséquences du trafic de drogue qui gangrène Marseille depuis des années.
Ce soir, "Jour J" s'intéresse à la Corée du Nord. Découvrez dès à présent un extrait de l'émission et rendez-vous ce soir à 20h sur RTL pour écouter la suite de ce nouveau numéro de "Jour J". "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité. Chaque jour, Flavie Flament explore les coulisses et les détails de l'info d'hier et d'aujourd'hui avec un témoin-expert. Une heure d'analyse et d'archives pour comprendre l'actualité.
durée : 00:03:05 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Un accord a été trouvé entre les Unionistes nord-irlandais et le gouvernement britannique. Désormais tous les produits frais en Grande-Bretagne porteront l'étiquette suivante : "Ce produit n'est pas à destination de l'Union européenne". Les distributeurs s'étranglent.
durée : 00:03:05 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Un accord a été trouvé entre les Unionistes nord-irlandais et le gouvernement britannique. Désormais tous les produits frais en Grande-Bretagne porteront l'étiquette suivante : "Ce produit n'est pas à destination de l'Union européenne". Les distributeurs s'étranglent.
Tous les aspects de la vie quotidienne des Européens dans ce magazine réalisé avec les correspondants de RFI et de la RTBF. En Irlande du Nord, le lac du Lough Neagh victime d'une pollution dévastatrice !L'été dernier (2023), ce lac, le troisième plus grand d'Europe occidentale avec ses 392 km2 s'est transformé en gigantesque peinture verte, saturée de cyanobactéries. Depuis, les habitants du lac appellent désespérément la classe politique à agir contre la prolifération de ces algues toxiques. Clémence Pénard. En Azerbaïdjan, la mine d'or de Gedabek suscite de vives tensionsEn Azerbaïdjan, des villageois se mobilisent pour faire cesser la pollution dont ils s'estiment victimes près de la mine d'or de Gedabek. Un consortium de médias européens s'est penché sur les tensions autour de cette mine et leurs répercussions à l'international : une enquête à laquelle s'est associé Corentin Bainier de France 24.Azerbaïdjan, the Baku Connection, une enquête RFI et F24, associée à Forbidden stories. La Catalogne en état d'urgence sécheresseTrois ans qu'il ne pleut pas, ou pas assez dans le nord-est de l'Espagne. La Catalogne vit la pire sécheresse de son histoire et la région vient de déclarer l'état d'urgence dans la plupart des villes. Baisse de la pression dans les foyers et restrictions dans l'agriculture et l'industrie sont au programme, mais la sécheresse affecte déjà des milliers de Catalans depuis des mois. Elise Gazengel.► La chronique musique de Vincent Théval : Cabane, Today.
L'été dernier, ce lac aussi grand que Malte s'était transformé en gigantesque peinture verte, saturée de cyanobactéries. Depuis, les habitants du lac appellent désespérément la classe politique à agir contre la prolifération de ces algues toxiques. « Au moins l'année dernière, quand les cyanobactéries sont apparues, comme elles l'ont fait, ils ont tous écouté, enfin ! On peut dire que c'était positif en quelque sorte, ça a attiré l'attention sur un problème qui existe depuis très, très longtemps. » Dans la famille McErlain, cela fait sept générations qu'on pêche dans le Lough Neagh. Pourtant, Gary McErlain, aux yeux bleus perçants, n'avait jamais rien vu de tel. Le Lough Neagh, cette immense étendue d'eau – qui équivaut, selon lui, à 7 millions de piscines – étouffait, l'été dernier, sous une épaisse couche d'algues vertes.Cette vase gluante n'est peut-être plus visible, mais d'après Gary, la menace existe toujours : « Les cyanobactéries sont-elles toujours là ? Eh bien, vous ne pouvez pas les voir à cette période de l'année, nous sommes en janvier, l'eau est beaucoup plus froide, les températures sont basses. Mais les polluants sont-ils toujours présents ? Absolument, il n'y a aucun doute là-dessus. Et Dieu merci, il semble que le Parlement de Stormont va être restauré. C'est ce dont nous avons besoin. Nous ne pouvons pas résoudre ces problèmes sans gouvernement. Il s'agit d'une catastrophe naturelle. Quel que soit le niveau du gouvernement auquel il faudra frapper à la porte, pour réexaminer la question, je me battrai pour cela ! »La pollution du lac n'est en effet pas nouvelle et n'a fait qu'empirer. Une conséquence du blocage du système politique local. Pendant deux ans, le Parti démocratique unioniste en Irlande du Nord a boycotté le Parlement : ils s'étaient retirés de Stormont pour s'opposer aux règles commerciales post-Brexit. Faute d'exécutif, c'est Londres qui avait alors géré les affaires courantes en Irlande du Nord. Mais mardi, les unionistes ont enfin accepté un accord.Un problème nord-irlandaisLa fin de cette paralysie politique donne aussi un peu d'espoir à Gerry Darby, qui n'est pourtant pas du genre à mâcher ses mots. Gerry est le directeur du Lough Neagh Partnership, une association caritative, qui tente de sauver le lac depuis des années. Mais d'après ce grand gaillard, le principal responsable de la pollution, ce serait d'abord l'accord du Vendredi saint. L'accord historique, signé en 1998, pour mettre fin à trente ans de conflits dans la région, entre autorités britanniques et paramilitaires pro-réunification avec la République d'Irlande.« Lough Neagh n'a jamais été inclus dans l'accord du Vendredi saint. C'est aussi simple que cela, explique Gerry Darby. Vous savez, il n'a pas la même législation que d'autres grands lacs et rivières ont dans tout le reste de l'Irlande. Il n'y a pas de législation sur la navigation sur Lough Neagh, qui faciliterait par exemple les investissements, de la même manière que cela se fait pour la rivière Bann, le Lough Erne ou les rivières du Sud. Le Lough Neagh a complètement été négligé… C'est un peu comme un bébé moche. » Pourtant, l'été dernier, ce « bébé moche » a tué des cygnes. Il a tué des chiens. Et près de la moitié de la population d'Irlande du Nord boit quotidiennement l'eau de ce lac.Le Lock Keeper's Cottage, un petit restaurant sur les rives du lac, On y retrouve Ciara Laverty, ranger du Lough Neagh, pour qui, la cause de la crise est assez évidente : c'est l'accumulation des nutriments. « Il faut regarder ça comme un problème nord-irlandais, pas simplement un problème du Lough Neagh, souligne-t-elle. Six rivières principales alimentent le Lough, et cela draine près de la moitié de l'eau de l'Irlande du Nord. En tant que grand pays agricole, une partie de cela provient du ruissellement des terres agricoles. Les autres causes de la pollution, c'est le traitement insuffisant de l'eau. Et il y a aussi une nouvelle espèce invasive dans le lac : les moules zébrées. Elles filtrent l'eau, mais en fait, ça laisse alors la lumière pénétrer en profondeur, ce qui stimule la croissance des cyanobactéries. En marchant le long du rivage, tout ce que vous pouvez voir, ce sont des coquilles de moules zébrées, c'est assez effrayant quand on voit leur nombre. » Una Johnston, 65 ans, a vécu toute sa vie près du lac. C'est elle qui gère aujourd'hui le Lock Keeper's Cottage. À cause des odeurs de gaz qui s'échappaient du lac, plus personne ne s'aventurait dans son café. Ils ont failli fermer. Mariée à un pêcheur du Lough Neagh, elle a également peur pour lui : « Les pêcheurs ne savent pas ce que cela va entraîner, ils ne savent pas s'ils auront une saison de pêche. Personne ne sait. » Car même si les poissons survivent aux algues, qui voudra consommer ce qui vient d'un endroit si pollué ?Un reportage à écouter dans on intégralité dans Accent d'Europe
L'été dernier, ce lac aussi grand que Malte s'était transformé en gigantesque peinture verte, saturée de cyanobactéries. Depuis, les habitants du lac appellent désespérément la classe politique à agir contre la prolifération de ces algues toxiques. « Au moins l'année dernière, quand les cyanobactéries sont apparues, comme elles l'ont fait, ils ont tous écouté, enfin ! On peut dire que c'était positif en quelque sorte, ça a attiré l'attention sur un problème qui existe depuis très, très longtemps. » Dans la famille McErlain, cela fait sept générations qu'on pêche dans le Lough Neagh. Pourtant, Gary McErlain, aux yeux bleus perçants, n'avait jamais rien vu de tel. Le Lough Neagh, cette immense étendue d'eau – qui équivaut, selon lui, à 7 millions de piscines – étouffait, l'été dernier, sous une épaisse couche d'algues vertes.Cette vase gluante n'est peut-être plus visible, mais d'après Gary, la menace existe toujours : « Les cyanobactéries sont-elles toujours là ? Eh bien, vous ne pouvez pas les voir à cette période de l'année, nous sommes en janvier, l'eau est beaucoup plus froide, les températures sont basses. Mais les polluants sont-ils toujours présents ? Absolument, il n'y a aucun doute là-dessus. Et Dieu merci, il semble que le Parlement de Stormont va être restauré. C'est ce dont nous avons besoin. Nous ne pouvons pas résoudre ces problèmes sans gouvernement. Il s'agit d'une catastrophe naturelle. Quel que soit le niveau du gouvernement auquel il faudra frapper à la porte, pour réexaminer la question, je me battrai pour cela ! »La pollution du lac n'est en effet pas nouvelle et n'a fait qu'empirer. Une conséquence du blocage du système politique local. Pendant deux ans, le Parti démocratique unioniste en Irlande du Nord a boycotté le Parlement : ils s'étaient retirés de Stormont pour s'opposer aux règles commerciales post-Brexit. Faute d'exécutif, c'est Londres qui avait alors géré les affaires courantes en Irlande du Nord. Mais mardi, les unionistes ont enfin accepté un accord.Un problème nord-irlandaisLa fin de cette paralysie politique donne aussi un peu d'espoir à Gerry Darby, qui n'est pourtant pas du genre à mâcher ses mots. Gerry est le directeur du Lough Neagh Partnership, une association caritative, qui tente de sauver le lac depuis des années. Mais d'après ce grand gaillard, le principal responsable de la pollution, ce serait d'abord l'accord du Vendredi saint. L'accord historique, signé en 1998, pour mettre fin à trente ans de conflits dans la région, entre autorités britanniques et paramilitaires pro-réunification avec la République d'Irlande.« Lough Neagh n'a jamais été inclus dans l'accord du Vendredi saint. C'est aussi simple que cela, explique Gerry Darby. Vous savez, il n'a pas la même législation que d'autres grands lacs et rivières ont dans tout le reste de l'Irlande. Il n'y a pas de législation sur la navigation sur Lough Neagh, qui faciliterait par exemple les investissements, de la même manière que cela se fait pour la rivière Bann, le Lough Erne ou les rivières du Sud. Le Lough Neagh a complètement été négligé… C'est un peu comme un bébé moche. » Pourtant, l'été dernier, ce « bébé moche » a tué des cygnes. Il a tué des chiens. Et près de la moitié de la population d'Irlande du Nord boit quotidiennement l'eau de ce lac.Le Lock Keeper's Cottage, un petit restaurant sur les rives du lac, On y retrouve Ciara Laverty, ranger du Lough Neagh, pour qui, la cause de la crise est assez évidente : c'est l'accumulation des nutriments. « Il faut regarder ça comme un problème nord-irlandais, pas simplement un problème du Lough Neagh, souligne-t-elle. Six rivières principales alimentent le Lough, et cela draine près de la moitié de l'eau de l'Irlande du Nord. En tant que grand pays agricole, une partie de cela provient du ruissellement des terres agricoles. Les autres causes de la pollution, c'est le traitement insuffisant de l'eau. Et il y a aussi une nouvelle espèce invasive dans le lac : les moules zébrées. Elles filtrent l'eau, mais en fait, ça laisse alors la lumière pénétrer en profondeur, ce qui stimule la croissance des cyanobactéries. En marchant le long du rivage, tout ce que vous pouvez voir, ce sont des coquilles de moules zébrées, c'est assez effrayant quand on voit leur nombre. » Una Johnston, 65 ans, a vécu toute sa vie près du lac. C'est elle qui gère aujourd'hui le Lock Keeper's Cottage. À cause des odeurs de gaz qui s'échappaient du lac, plus personne ne s'aventurait dans son café. Ils ont failli fermer. Mariée à un pêcheur du Lough Neagh, elle a également peur pour lui : « Les pêcheurs ne savent pas ce que cela va entraîner, ils ne savent pas s'ils auront une saison de pêche. Personne ne sait. » Car même si les poissons survivent aux algues, qui voudra consommer ce qui vient d'un endroit si pollué ?Un reportage à écouter dans on intégralité dans Accent d'Europe
durée : 02:29:59 - Les Matins - par : Guillaume Erner - . - invités : Yuval Noah Harari Historien israélien
Maxime Switek fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée et fait vivre l'info du soir, entouré de chroniqueurs, d'invités et d'éditorialistes.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
Spécial Live à Ham Nord!!------------------------------------------------------------------Pour suivre FAF - http://fafhumoriste.comPour suivre Will - http://willpaq.comPATREON - http://yantheriault.com/PatreonDiscord - http://yantheriault.com/discordTwitter - http://yantheriault.com/twitterInstagram - http://yantheriault.com/instagramFacebook - http://yantheriault.com/facebook
Entre prise de risques et stratégie inédite, la NFC Nord offre des débats importants pour cette draft 2023. Victor Roullier et Alexandre Lauque tranchent dans le vif ! Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Actualités du 3 février : toutes les dernières nouvelles En prenant votre café, c'est ici: https://bit.ly/3WULNot Les grands titres: Actualités: - Vague de froid - Grève fonction publique? - Payer cash à l'épicerie? - Géothermie anyone? - chatGPT payant - La route vers l'industrialisation des pays? Au Québec: - Casino en ligne - Petite créance - La semaine des 4 Julie - Des tableaux de bord Êtes-vous tombé sur la tête? - La FastTV Finance: - META - Début de la désinflation - Les constructeurs américains de 1982 à aujourd'hui - Uranium - FEDEX et les managers Insolite: - Voiture neuve la plus chère - Le café pour nous réveiller? - La fin des trout pout? - Le chat marsupial du Nord - Le parapluie - Les abeilles Reine [00:00] Intro [01:00] Énigme du jour [01:25] Actualités [10:22] Au Québec [16:01] Êtes-vous tombé sur la tête [18:27] Finance [25:00] Insolite [29:40] Pensée du jour [31:00] Réponse de l'énigme [31:45] Conclusion
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités reviennent sur l'attaque au couteau qui a eu lieu ce mercredi matin à la gare du nord à Paris.
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Patrick Kanner, Sénateur du Nord.
Chapitre 19 !!!! Et que du bon comme d'habitude, avec l'histoire d'Ada Blackjack pour commmencer, cette femme connue pour être la seule survivante d'une expedition sur l'île polaire Wrangel. Arthur nous parlera de Franz Steigler, ce pilote allemand qui sauva la vie d'une troupe de soldat du camp adverse ! Vous aurez bien sûr, le droit à un quizz cette fois-ci sur les armes de guerres les plus louffoques et Thomas terminera ce chapitre avec, non pas une, mais deux histoires d'arnaques hallucinantes!!! Le plus incroyable, vous vous en doutez, c'est que dans ce podcast, tout est vrai. Notre page Facebook : https://www.facebook.com/incredibilispodcast/
Gwennyn - BravigMélanie Chauvet et Wenceslas Hervieux - La ridée du petit cordonnierTri Yann - La belle enchantéeSpi et la gaudriole - GrimoireCécile Corbel - ElizabethaVent du Nord - Le dragon de ChimayWipidoup - L'hanterdro des quatre fantastiquesBratsch - L'heureux loup dans la forêt
Le décès d'Elizabeth II va-t-il raviver les tensions en Irlande du Nord entre unionistes et nationalistes ? Après l'Écosse, le roi Charles III était à Belfast pour l'hommage à sa mère la reine. Un déplacement dans un contexte où une grande partie de la population nord-irlandaise conteste la monarchie. Symbole de ce malaise, la vice-présidente du Sinn Fein, Michelle O'Neill, a boycotté la proclamation officielle du roi à Hillsborough. Charles III pourra-t-il maintenir l'unité du Royaume ?
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En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Violette Spillebout, Députée Renaissance du Nord
durée : 00:03:27 - Label Bleu FB Picardie
Deux ans et demi après le début de la pandémie, la Corée du Nord sort enfin de son silence : le régime nord-coréen vient de reconnaître qu'il fait face, lui aussi, à une propagation galopante du virus sur son territoire, avec à ce jour 2 millions de cas recensés, dans un pays dépourvu de minimum vital et qui a refusé les vaccins proposés par le dispositif Covax de l'ONU. État des lieux avec l'expert britannique Aidan Foster-Carter, expert de la péninsule coréenne à l'Université de Leeds.
Élections locales au Royaume-Uni : les Nord-Irlandais élisent les 90 députés de Stormont, le Parlement local qui dispose de pouvoirs étendus en matière de justice, d'éducation ou de santé. Pour la première fois, les Républicains du Sinn Fein pourraient arriver en tête. Lors de ces élections en Irlande du Nord, les Républicains du Sinn Fein pourraient l'emporter sur les unionistes du DUP. Tous les sondages vont dans ce sens. Ce serait historique, vingt-quatre ans après l'accord du Vendredi saint qui a mis fin aux « Troubles », en 1998. Pour les jeunes militants républicains, aujourd'hui, la réunification n'est plus qu'une question de temps. Reportage dans le comté de Newry avec Laura Taouchanov. Flambée de violences en Suède : débat sur la police La Suède votera dans 4 mois pour les élections législatives, avec une campagne dominée par la question de l'insécurité, et des images qui ont fait le tour du monde au moment du week-end de Pâques : des voitures de police en feu, des policiers blessés par les émeutiers... Des violences provoquées par la venue dans le pays de l'extrémiste danois Rasmus Paludan. Sa spécialité : brûler le Coran dans les banlieues. La police, qui lui avait donné une autorisation, est désormais critiquée. Anne-Françoise Hivert, à Malmö. Hausse des violences en Islande La paisible Islande secouée par des violences inédites. Le « pays le plus sûr du monde » d'après l'Indice mondial pour la paix a été perturbé, ces derniers mois, par plusieurs fusillades et attaques à l'arme blanche, des actes liés selon la police à des bandes criminelles. Reportage dans un pays calme d'ordinaire avec notre correspondant à Reykjavík, Jérémie Richard. Varsovie 83 : chronique de l'omnipuissance d'État Pour son deuxième film, le réalisateur polonais Jan Matuszynski revient sur une affaire d'État dans son film Varsovie 83, qui sort cette semaine sur les écrans français. Nous sommes en 1983, le général Jaruzelski dirige la Pologne d'une main de fer après avoir interdit le syndicat Solidarnosc. Varsovie 83 raconte une bavure policière, la mort d'un jeune homme, qui se trouve être le fils d'une opposante, et les services secrets qui essaient d'étouffer l'affaire. Frédérique Lebel a vu le film et rencontré son réalisateur. ⇒ Bande annonce du film. C'est mon Europe : la conférence sur l'avenir de l'Europe Les jeunes Européens et la Conférence sur l'avenir de l'Europe, un exercice inédit de démocratie participative, qui vient de publier ses 325 propositions pour l'Europe de demain. Avec Alice Rouja.
Ecoutez L'histoire qui réveille avec Pierre-Louis Mauger du 30 novembre 2021
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mercredi, il revient sur la montée en puissance militaire de la Corée du Nord qui inquiètent le Conseil de Sécurité de l'ONU. Une réunion exceptionnelle va être organisée suite au nouveau tir d'un missile balistique depuis un sous-marin.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mercredi, il revient sur la montée en puissance militaire de la Corée du Nord qui inquiètent le Conseil de Sécurité de l'ONU. Une réunion exceptionnelle va être organisée suite au nouveau tir d'un missile balistique depuis un sous-marin.
Chaque matin, Martin Lange analyse et décrypte l'actualité sportive.
Pour ce premier épisode de votre nouveau Podcast préféré, nous nous sommes posés cette question : Comment le Brexit du 1er Janvier 2021, a amené des émeutes et des tensions en Irlande du Nord ? C'est donc l'Histoire de l'Irlande du Nord, qui connaît depuis plusieurs semaines un rebond de violence. A travers ce Podcast nous avons essayés de comprendre les raisons pour lesquelles cela à lieu en ce moment en Ulster. Pour en savoir plus, nous vous invitons à écouter notre Podcast N'hésitez pas à commenter, et partager, nous n'attendons qu'une chose : pouvoir échanger avec vous sur le sujet ! Bonne écoute. Nos réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/cestlhistoirelepodcast Instagram : https://www.instagram.com/cestlhistoire.lepodcast/ Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCqPWDZC81XW_1cotfy3OY3A Pour nous contacter : cestlhistoire.lepodcast@gmail.com Quelques sources pour plus d'information sur l'Irlande du Nord : Le monde : https://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/04/10/vingt-ans-apres-l-accord-du-vendredi-saint-l-irlande-toujours-a-fleur-de-peau_5283186_4497186.html https://www.youtube.com/watch?v=vpIPmNrVoak France Infos : https://www.youtube.com/watch?v=6AOP8H1WLes Autres : https://www.guide-irlande.com/ Le parisien : https://www.leparisien.fr/international/brexit-cinq-minutes-pour-comprendre-les-tensions-en-irlande-du-nord-02-02-2021-8422722.php https://www.ouest-france.fr/europe/grande-bretagne/brexit/brexit-a-la-frontiere-irlandaise-un-soulagement-amer-7105051
Le 17 décembre 2010, Mohammed Bouazizi, un marchand de fruits et de légumes de Sidi Bouzid en Tunisie, s'immole sur la scène publique en signe de contestation aux années d'oppression politique et économique qu'endure le peuple tunisien. Un mois plus tard, le mouvement s'est déjà propagé, comme une traînée de poudre, d'abord en Afrique du Nord, puis au Moyen-Orient. L'indignation contestataire des foules réunies chaque soir à Benghazi ou à place Tahrir atteint son paroxysme au printemps 2011. Le Printemps arabe est dès lors bien établi, bien qu'on lui préfère l'expression « révolution de la dignité ». Quelles étaient les causes profondes de cet embrasement ? Étaient-elles uniquement économiques (chômage, crise), politiques (corruption, autoritarisme) ou démographiques (choc des générations et des classes sociales) ? Quelle place pour la religion au lendemain de ce chaos ? Comment expliquer l'émergence de mouvements islamistes radicaux sur la scène politique ? Enfin, mais surtout, que reste-t-il du printemps arabe cinq après ? Ce soir, l'équipe de 3600 secondes d'histoire vous propose de répondre à ces questions, somme toute d'actualité, en compagnie de notre invité, Francesco Cavatorta, professeur de sciences politiques à l'Université Laval et spécialiste des mouvements islamistes et de la démocratisation dans le monde arabe. Première diffusion le 13 juillet 2016 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Oregon, Tennessee, Caroline du Nord… Le modèle d’aménagement de la ville du Saguenay a été repris partout et enseigné dans les manuels de planification urbaine. Elle a beau avoir été créée, construite et administrée par la multinationale Rio Tinto Alcan, elle témoigne d’un réel souci de fournir des conditions de vie agréables aux travailleurs de l’aluminium. Jérôme Gagnon, professeur d’histoire, raconte à Jacques Beauchamp comment, au cœur des années 1920, on a pu construire 270 maisons en 135 jours.
Les filles de l'Aventurine se retrouvent toutes autour du coffre contenant le trésor des mers du Nord... Une histoire de Lucile Petit, co-réalisée par Heloïse Pierre et Suzanne Jolys. Illustration de Marie Briand. Retrouvez-nous sur instagram @envoleescontees
Lilly Wood and the Prick étaient les invités d'Eric Jean-Jean et de Caroline Chimot ce mercredi 20 janvier 2020. Ils ont parlé de leur actualité et ont joué "You Want My Money" leur nouveau titre en direct dans #LeDriveRTL2 ainsi que "Dancing In The Moonlight" une reprise de King Harvest. La nouveauté du jour : Mogwai "Ritchie Sacramento" Le journal de la musique : - Du "nouvieux" pour Roger Waters - Brexit : Elton John et Sting accusent le Royaume-Uni d'avoir laissé tomber les musiciens - Van Morrison va contester en justice l'interdiction de la musique live en Irlande du Nord Le documentaire de la semaine : "La vie de Brian Jones"
Les pirates de l'Aventurine sont sur Svalbard et viennent de trouver un chemin en glace. Elles cherchent le trésor ... Une histoire de Lucile Petit, co-réalisée par Heloïse Pierre et Suzanne Jolys. Illustration de Marie Briand. Retrouvez-nous sur instagram @envoleescontees.
Après avoir quitté les Vikings, l'Aventurine poursuit sa route vers le Nord grâce aux indications découvertes sur la carte au trésor. L'équipage découvre alors le passage des baleines : ces dernières les accompagnent jusqu'à une banquise... Une histoire de Lucile Petit, co-réalisée par Heloïse Pierre et Suzanne Jolys. Illustration de Marie Briand. Retrouvez-nous sur instagram @envoleescontees.
En 2016, 53% des femmes blanches avaient voté pour Donald Trump et contribué à sa victoire. Selon les sondages, ces mères de familles sont lassées des excès du locataire de la Maison Blanche et pencheraient cette année pour Joe Biden. Mais dans la banlieue de Raleigh en Caroline du Nord, rien n'est acquis. Reportage de notre envoyée spéciale permanente aux États-Unis, Anne Corpet. L'humeur est plutôt souriante au quartier général du parti démocrate de Fuquay-Varina, à quelques jours des élections. Devant les bureaux de vote de cette banlieue conservatrice de Raleigh, qui ont ouvert dès le 15 octobre, Beth Bonnard assure avoir vu des signes encourageants pour Joe Biden : « Beaucoup de femmes sont venues me voir pour me dire « Si mon mari savait que j'avais voté pour un démocrate il ne serait pas content du tout » ou alors « Je ne peux pas emporter un autocollant Biden à la maison parce que mon mari saurait que j'ai voté pour Biden » J'ai entendu la même histoire à plusieurs reprises » témoigne la militante. Selon Christine Kelly, qui coordonne les efforts de campagne dans le district, la pandémie de coronavirus est l'un des facteurs qui pourrait pousser les femmes républicaines à voter contre Donald Trump « Nous les femmes, nous nous inquiétons pour nos enfants, pour nos familles, nous sommes celles qui, probablement plus que les hommes, avons vu la douleur provoquée le Covid-19, nous avons vu les gens tomber malades, nous avons besoin de dirigeants qui se soucient de la population » explique-t-elle. Depuis des semaines, Donald Trump courtise le vote des femmes de banlieues. « Femmes des banlieues, je vous en prie, aimez-moi ! » a-t-il même lancé en meeting. Le président affirme qu'en cas de victoire de Joe Biden, ces quartiers résidentiels risquent d'être envahis par des populations moins fortunées, voire ravagés par des émeutiers. Mais ce message n'a pas forcément atteint sa cible : la démographie des banlieues a changé, de multiples origines s'y côtoient désormais et beaucoup de femmes ont été sensibles à la cause défendue par le mouvement Black Lives Matter après le décès de Georges Floyd tué par un policier à Minneapolis. « Quand elles ont entendu Georges Floyd implorer pour sa vie, appeler sa mère, toutes les femmes, toutes les mères, ont été touchées, qu'elles soient républicaines ou démocrates, et cela a changé la donne. » estime Kissandra Flowers, une afro américaine du parti démocrate de Fuquay-Varina. « Il est odieux mais je voterai pour lui » Cary, dans la banlieue de Raleigh, a été désignée par un magazine américain comme la ville où les femmes ont le plus de succès aux États-Unis. Plusieurs critères ont été pris en compte dans le classement : le pourcentage de diplômées, le revenu moyen des salariées, et la proportion de femmes qui ont créé leur propre entreprise. Les rues du centre sont bordées de panneaux électoraux, devant des maisons spacieuses. Un groupe de femmes suit un cours de yoga en plein air sur la vaste pelouse qui s'étend devant la bibliothèque. Rachel surveille ses enfants qui jouent près de la fontaine. Mère au foyer, elle se sait privilégiée, et votera Donald Trump pour éviter une hausse d'impôts. Elle ne croit pas Joe Biden quand il affirme que seuls les ménages dont les revenus sont supérieurs à 400 000 dollars par an seront soumis à une fiscalité plus contraignante. Mais elle n'est pas tendre avec le président : « Est-ce que j'apprécie Donald Trump en tant que personne ? Non. Il est brutal avec les femmes, il dit beaucoup de choses stupides et je pense que c'est un narcissique. Mais ils le sont tous. Est-ce que je le trouve odieux ? Oui. Mais est ce que je peux voter pour quelqu'un d'odieux et qui sait ce qu'il fait ? Oui. On n'a pas besoin de l'aimer en tant que personne pour dire qu'il fait du bon boulot » explique-t-elle. Un peu plus loin, Joy a installé une couverture sur la pelouse pour y installer ses deux jeunes enfants. Elle aussi votera pour Donald Trump, en raison de ses convictions religieuses. « Il est contre l'avortement, c'est essentiel pour moi, tant pis si sa conduite n'est pas forcément vertueuse » tranche-t-elle. Une autre femme, croisée dans les rues de Cary confirme l'antipathie qu'inspire le locataire de la maison blanche aux habitantes de cette banlieue coquette. Mais elle aussi donnera sa voix au président « comme toutes mes voisines » assure-t-elle. « J'ai commandé des antidépresseurs en cas de mauvaise nouvelle le 4 novembre » Devant le bureau de vote de Holly Springs, Erin Paré, candidate républicaine au parlement local tente de convaincre les électeurs. Elle évoque son mari militaire, son engagement dans la communauté, mais ne mentionne pas Donald Trump. Cela agace profondément Lynn Ruck qui tient le stand du parti démocrate. « Ils ont beaucoup de pancartes Trump mais ils ne restent pas à côté et ne les brandissent pas, pour la bonne raison qu'ils ne veulent pas être perçus comme des soutiens de Donald Trump, mais seulement comme des républicains conservateurs » analyse la militante. Très inquiète quant à l'issue du scrutin, Lynn dit ne pas parvenir à surmonter son anxiété malgré des séances de yoga, de méditation, et de longues marches dans la forêt. « Je noie ma peur dans l'action : je téléphone à un maximum d'électeurs pour les pousser à aller voter pour Joe Biden, j'assure des permanences devant les bureaux de vote, je ne peux pas rester les bras ballants en attendant le résultat » commente cette mère de famille quinquagénaire avant d'ajouter « Mais j'ai déjà commandé des antidépresseurs en cas de mauvaise nouvelle le 4 novembre. » Dans sa maison d'un lotissement situé juste à la sortie de Raleigh, Marian Lewin estime fondées les inquiétudes des démocrates. Présidente de la ligue du vote des femmes, une organisation qui milite pour leur implication en politique elle ne croit pas tellement à un renversement massif de tendance au sein de cet électorat en Caroline du Nord : « Beaucoup de femmes soutiennent toujours Donald Trump. Je pense que l'idée qu'elles ne vont pas voter pour lui, en particulier les femmes blanches, est infondée pour la majorité. Cela s'est passé en 2018 et les démocrates espèrent que cela se reproduira mais je ne pense pas que cela sera le cas, l'enjeu est différent pour une présidentielle » annonce-t-elle, « elles rejettent sa personne, mais restent avant tout attachées aux valeurs conservatrices ». Elizabeth, croisée à la terrasse d'un café de Cary, n'a envie de voter pour aucun des candidats. « En toute conscience je ne peux pas voter Donald Trump » lâche-t-elle, mais elle ajoute : « Mais je n'ai pas non plus envie de voter pour Joe Biden… Je ne veux pas d'un homme blanc de plus de soixante-dix ans à la Maison Blanche. Donc honnêtement je ne sais pas si je vais voter. » Comme Elizabeth, un tiers de l'électorat féminin en Caroline du Nord est enregistré sous l'étiquette « indépendante » sur les listes électorales. La clé du scrutin est peut-être entre leurs mains.
durée : 00:06:50 - Journaux d'infos de France Bleu Lorraine Nord
Les escales du bourlingueur avec Stéphane Tellier du FM103,3
On découvre cette semaine le plus grand sentier au monde réparti sur 27000 km de l'est à l'ouest et du nord au sud au Canada. Un sentier unique au monde accessible à pied, à vélo, en sport à pagaie, en ski de fond, motoneige et même à cheval. La grande majorité des sections sont d'ancien chemin de fer cédé par le Canadien National comme le P'tit Train du Nord dans la région des Laurentides. Il y a plusieurs sections du Grand Sentier au Québec à découvrir: La Montérégiade près de Farnham; Les Grandes-Fourches dans la région de Sherbrooke; Sentier Pégase Mauricie où se déroule des activités d'équitation sur ce segment et puis près de nous, il y a le sentier de la ville de Longueuil qui longe entre la 132 et le bord de l’eau! Liens et ressources de l’épisode : https://thegreattrail.ca/fr/ https://www.facebook.com/LeGrandSentier/ Instagram : Stf_Bourlingueur Facebook : Bourlingueur StéphaneTellier Twitter : ST_Bourlingueur
Labneh is the new mozzarella ! Fête Nationale J-3 : Ode à la crevette grise de la Mer du Nord Le petit marché d’Anne Lataillade : la langoustine Un été chez nos producteurs : Découverte ce samedi de la maison Le Zuivelarij, une laiterie fondée en 2014 à Berlare. Emmenée par David De Coster, un enseignant devenu fromager, ses productions font désormais autorité chez les initiés : fromages de type halloumi, célèbre Berloumi ou labneh... 5000 à 6000 pâtes fromagères produites par semaine ! Un peu d’Orient mais Made in Belgium… Découverte emmenée par Carlo De Pascale ! Les recettes de l’été de Myriam Baya, ce samedi, déclinaisons culinaires autour de ces fromages frais de l’été : chaud-froid de tomates cerises au labneh et autres idées faciles… l’été sera gourmand ! A J-3 de la Fête Nationale, de la belgitude on en veut ! Et de la crevette de la Mer du Nord aussi ! Découverte de cette belle danseuse qui envoie valser nos petits plats de l’été. Mise en bouche avec le chef Thomas Algoet de la table canaille « Les petits bouchons » en Région Bruxelloise ! Comme un petit air de littoral belge à notre table du samedi ! Enfin dans le registre maritime toujours, découverte de la reine de l’été : la langoustine. Au fil des étals du marché, Anne Lataillade nous la fera découvrir sous le chant des cigales ! Présentation : Sophie MOENS
durée : 00:22:56 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Institut Pasteur, membre du conseil scientifique sur le Covid-19, est l'invité du grand entretien de la matinale présentée par Hélène Roussel.
Cam&Léo: Chemins croisés + messages Cuarteto Tafi: El canto del Sur Vent du Nord: Le jardinier + message de Nicolas Deskomp: Marzhin en e Gavell https://youtu.be/pLokpyLXmL8 Ronan Le Bars Group: Tapas nocturnes
Chapitre 19 !!!! Et que du bon comme d'habitude, avec l'histoire d'Ada Blackjack pour commmencer, cette femme connue pour être la seule survivante d'une expedition sur l'île polaire Wrangel. Arthur nous parlera de Franz Steigler, ce pilote allemand qui sauva la vie d'une troupe de soldat du camp adverse ! Vous aurez bien sûr, le droit à un quizz cette fois-ci sur les armes de guerres les plus louffoques et Thomas terminera ce chapitre avec, non pas une, mais deux histoires d'arnaques hallucinantes!!! Le plus incroyable, vous vous en doutez, c'est que dans ce podcast, tout est vrai. Pour nous soutenir : https://www.patreon.com/user?u=23627295 Notre page Facebook : https://www.facebook.com/incredibilispodcast/
Viajamos entre músicas populares europeas y norteamericanas, partiendo de géneros estadounidenses como el “bluegrass“, que en este caso nos llega incluso desde Nueva Caledonia, a los sones propios de Quebec, para saltar el charco y disfrutar de músicas escocesas, ibéricas, itálicas y eslovenas. We travel through European and North American peoples' music, from USA genres like bluegrass, that comes to us even from New Caledonia, to the music from Quebec. Then we hop the pond to enjoy fine Scottish, Iberian, Italian and Slovenian music. · 3hattrio – Skeleton tree – Lord of the desert · Leftover Salmon – Game of thorns – Something higher · Rudi Ekstein – Back drag – Carlonia chimes · Jean Luc Leroux – Croquette danse – Mandologie · Yves Lambert Trio – Cousinage / Penchant pour Ti-Jean – Tentation · Le Vent du Nord – Le step à Alexis – Territories · Joanne McIver & Christophe Saunière – Caite bheil – Canty · Rusó Sala – Gusano verde – Desirem · Ester Formosa & Elva Lutza – Tonada d'esterrossar / La fruita mès primerenca – Cancionero · Camilla Barbarito – Kaigomai kaigomai – Sentimento popolare · Collettivo Decanter – Polenta e biorro – Emilia d'Hercole · Wild Strings Trio – Dragon – Lost weekend Imagen / Image: Joanne McIver & Christophe Saunière
En Corée du Nord, le Fonds mondial contre le Sida, la tuberculose et le paludisme a cessé son aide aux populations. En Italie, la dernière campagne de publicité de Benetton fait polémique.
La Fed alza i tassi. L'Europa sente odore di recessione Jerome Powell, governatore della Federal Reserve, ha annunciato l'aumento dei tassi d'interesse dello 0,25% portandoli così in un range compreso tra l'1,75% e il 2%. La notizia era ampliamente prevista data la forza dell'economia americana, anche se alcuni analisti paventano il rischio che le attuali politiche monetarie restrittive porteranno alla lunga gli USA in recessione. Secondo altri invece questa decisione potrebbe sì portare la recessione ma in Europa. Infatti ormai lo spread tra i tassi americani ed europei è molto amplio avendo raggiunto il 2%. Ciò non potrà che obbligare la BCE a studiare una strategia di uscita dal Quantitative Easing che tiene in vita molti pezzi del sistema bancario europeo. Che la preoccupazione serpeggi nei piani alti della torre di Francoforte può essere dedotto anche da un'altra notizia passata praticamente sottotraccia sebbene data dall'Agenzia Bloomberg: la Bce ha chiesto infatti un'analisi e una revisione della valutazione degli assets di Deutsche Bank, Société General e BNP Paribas. A dimostrazione del fatto che non vi è a Francoforte la certezza che i bilanci dei maggiori colossi bancari europei siano corretti e di conseguenza non vi è la certezza che possano resistere alla futura chiusura del Quantitative Easing e ad un possibile aumento dei tassi da parte della BCE. Per dirla con Leonardo Sciascia: tutti i nodi vengono al pettine quando c'è il pettine. E purtroppo per l'Europa il pettine della politica monetaria è in mano a Washington.Disgelo Italia - Francia. Gelo governo - stampa "Macron mi ha detto che le frasi rivolte all’Italia non sono attribuibili a lui", ha confidato il presidente del Consiglio Giuseppe Conte in mattinata. Alla domanda se dopo la telefonata con Macron, il caso Italia-Francia, nato dalle dichiarazioni francesi sulla vicenda Aquarius, fosse da considerare definitivamente chiuso, il presidente del Consiglio ha risposto: "Direi assolutamente di sì. Adesso però bisogna lavorare alla riforma del regolamento di Dublino”. Nel frattempo, la Marina americana smentisce di aver abbandonato in mare i corpi di 12 migranti morti in un naufragio avvenuto due giorni fa al largo della Libia, precisando in una nota "di aver inizialmente visto circa 12 corpi in acqua che sembravano non rispondere" e nelle successive ricerche non sono state "trovate persone sul posto". "Se necessario - si precisa nel comunicato - le navi della marina Usa sono in grado di conservare i resti nel deposito refrigerato". Nella nota si ricorda che sono 40 le persone tratte in salvo e "portate subito a bordo della Trenton dove hanno ricevuto cibo, acqua, vestiario e assistenza medica". I media italiani avevano subito rimbalzato la notizia dell’abbandono in mare proveniente dalla ong Sea Watch senza verificarla. Come del resto dai soliti giornalai non viene verificato il business degli sbarchi e dell’accoglienza, non nascosto nemmeno dalla Bonino. Un impero “chiuso” La 66-esima riunione del Club Bilderberg, appena conclusa a Torino, è stata pensata di gran lunga prima delle elezioni del 4 marzo. Ma che si sia pensato all'Italia, nel ristretto numero di persone che progettano questi incontri e discussioni, indica che avevano percepito l'importanza degli eventi che si stavano preparando. Altra premonizione, dunque, è nel primo punto all'ordine del giorno: populismo in Europa. Una classe dirigente tutta intera è stata sbaragliata dall'ondata “populista". Il campanello d’allarme sta suonando fortissimo. E' evidente che i temi scelti sono quasi tutti quelli che un qualunque governo lungimirante, degno di questo nome, dovrebbe prendere in considerazione. C'è, come si é visto, la stretta attualità nei 12 punti (populismo in Europa, la sfida della disuguaglianza, il futuro del lavoro, le elezioni di mezzo termine negli USA, la leadership americana sul mondo, l'Arabia Saudita e l'Iran. Ma ci sono anche le grandi questioni del lungo (che diventa sempre più corto) periodo: l'intelligenza artificiale, il "quantum computing", il mondo della "post verità”. Il problema vero è che non sappiamo chi ha introdotto queste discussioni, cosa si è detto, chi ne ha parlato. Ma non c'è dubbio che si sia discusso tra persone che sanno quello che sta succedendo e che sono in grado di prevedere non poco di quello che succederà. E possono influire sul corso degli eventi futuri. Quello che colpisce è che nessun russo è stato invitato. Neanche un oligarcuccio qualsiasi. Ovviamente Putin, al contrario, saprà tutto nei minimi dettagli. Le sue orecchie siano state più attente a quanto si è detto a Torino che non agli squittii del G-7 canadese. L'altra assenza totale è stata quella cinese. Che, sommata a quella russa, ci dice che questo Club, nonostante la sua indubbia competenza, ha qualche problema di orientamento per quanto concerne il mondo contemporaneo nel suo complesso. C'è sicuramente, sia in Russia, che in Cina, qualcuno pronto a genuflettersi di fronte alla potenza dell’Impero. Ma cattivo impero è quello che chiude gli occhi.L’Antartide si scioglie Dal ’93 ad oggi l’Antartide ha perso circa 3mila miliardi di tonnellate di ghiaccio, perdita triplicata negli ultimi 5 anni, un'accelerazione senza precedenti. Due le zone maggiormente colpite: la Penisola antartica e la parte occidentale della Calotta glaciale. Il processo di scioglimento in queste aree è preoccupante perché qui gli strati di ghiaccio mantengono stabili i ghiacciai della parte continentale evitando che scivolino verso il mare. A rivelarlo su Nature uno studio di 84 scienziati provenienti da tutto il mondo che avverte sul rischio di innalzamento del livello del mare di oltre un metro entro il 2070. Con conseguenze catastrofiche per le città di tutto il mondo. Al destino dell’Antartide è legato il nostro, ogni variazione su questo continente influenza l’intero pianeta e rivela la pericolosità dei cambiamenti climatici che sempre più irrimediabilmente intaccano gli ecosistemi.Corea del Nord: Le sanzioni restano Mentre gli Stati Uniti attendono, inerti, la completa denuclearizzazione della Corea del Nord, Mosca e Pechino propongono passi reciproci sotto forma di allentamento delle sanzioni, invitando il Consiglio di sicurezza dell’Onu a sostenere iniziative diplomatiche idonee. Washington invece continua per la sua strada. Mike Pompeo: è ostinato: “Tutte le misure resteranno in vigore fino alla completa, verificabile e irreversibile denuclearizzazione della penisola coreana, circa due anni e mezzo”, ha dichiarato da Seul. A Pyongyang resta la promessa di Donald Trump di interrompere le manovre ai confini con la Corea del Nord. O forse, neanche quella, perche' il Pentagono, stando a quanto scrive la Reuters, fara' in modo che le truppe americane in Corea del Sud siano sempre pronte e ben addestrate, sospendendo, eventualmente, soltanto le esercitazioni su vasta scala.Yemen: a rischio 250mila vite L'attacco alla citta' portuale yemenita di al-Hudayda potrebbe trasformarsi in una catastrofe per tutto lo Yemen. I combattimenti dell'operazione "Vittoria dorata", lanciata mercoledi’ 13 giugno dalla coalizione araba a guida saudita, possano ostacolare le forniture di medicinali e di altri beni di prima necessità, mettendo a rischio la vita degli abitanti del Paese. Un colpo durissimo sarà inflitto anche alle prospettive di una risoluzione politica del conflitto. Se ne discutera' oggi, giovedi' 14 giugno, alla riunione straordinaria del Consiglio di sicurezza dell'Onu convocata su richiesta del Regno Unito. Nello Yemen, intanto, si e' concluso con un fallimento il tentativo di sbarco condotto ieri dalla coalizione, durante il quale gli Emirati Arabi Uniti hanno perso, colpita da due missili nemici, una nave da guerra anfibia. L'aeroporto di al-Hudayda resta sotto il controllo degli Houthi, che nei combattimenti iniziati ieri avrebbero perso due importanti leader: il generale di brigata Ibrahim Mohammed al-Moutawkel, e il colonnello Ali Hussein al-Marani. Il gruppo assalto anfibio dei Marines americani guidato dalla portaerei Iwo Jima si trova al largo di Hodeida. Pronto all’assalto.Il caso Macedonia, Paese stretto tra Occidente e storia Scoppia il caso Macedonia. Il presidente dell paese balcanico, Gjorge Ivanov, si e' rifiutato di firmare l'accordo con la Grecia per la ridenominazione del Paese, definendolo "indegno" e "anticostituzionale”. La ridenominazione in "Macedonia del Nord" era stata concordata, martedi', ai colloqui tra Zoran Zaev e il suo omologo greco, Alexis Tsipras, e subito accolta con favore dalla Nato e da Bruxelles. "Sbagliato speculare sugli obiettivi strategici del nostro Paese", ha dichiarato Ivanov, aggiungendo che non cedera' ne' alle pressioni, ne' ai ricatti. Atene, intanto, continua ad accusare la Repubblica di aver usurpato il nome di una storica regione greca, mentre nella capitale macedone, Skopje, sono gia' in corso proteste popolari contro l'accordo.
La Fed alza i tassi. L'Europa sente odore di recessione Jerome Powell, governatore della Federal Reserve, ha annunciato l'aumento dei tassi d'interesse dello 0,25% portandoli così in un range compreso tra l'1,75% e il 2%. La notizia era ampliamente prevista data la forza dell'economia americana, anche se alcuni analisti paventano il rischio che le attuali politiche monetarie restrittive porteranno alla lunga gli USA in recessione. Secondo altri invece questa decisione potrebbe sì portare la recessione ma in Europa. Infatti ormai lo spread tra i tassi americani ed europei è molto amplio avendo raggiunto il 2%. Ciò non potrà che obbligare la BCE a studiare una strategia di uscita dal Quantitative Easing che tiene in vita molti pezzi del sistema bancario europeo. Che la preoccupazione serpeggi nei piani alti della torre di Francoforte può essere dedotto anche da un'altra notizia passata praticamente sottotraccia sebbene data dall'Agenzia Bloomberg: la Bce ha chiesto infatti un'analisi e una revisione della valutazione degli assets di Deutsche Bank, Société General e BNP Paribas. A dimostrazione del fatto che non vi è a Francoforte la certezza che i bilanci dei maggiori colossi bancari europei siano corretti e di conseguenza non vi è la certezza che possano resistere alla futura chiusura del Quantitative Easing e ad un possibile aumento dei tassi da parte della BCE. Per dirla con Leonardo Sciascia: tutti i nodi vengono al pettine quando c'è il pettine. E purtroppo per l'Europa il pettine della politica monetaria è in mano a Washington.Disgelo Italia - Francia. Gelo governo - stampa "Macron mi ha detto che le frasi rivolte all’Italia non sono attribuibili a lui", ha confidato il presidente del Consiglio Giuseppe Conte in mattinata. Alla domanda se dopo la telefonata con Macron, il caso Italia-Francia, nato dalle dichiarazioni francesi sulla vicenda Aquarius, fosse da considerare definitivamente chiuso, il presidente del Consiglio ha risposto: "Direi assolutamente di sì. Adesso però bisogna lavorare alla riforma del regolamento di Dublino”. Nel frattempo, la Marina americana smentisce di aver abbandonato in mare i corpi di 12 migranti morti in un naufragio avvenuto due giorni fa al largo della Libia, precisando in una nota "di aver inizialmente visto circa 12 corpi in acqua che sembravano non rispondere" e nelle successive ricerche non sono state "trovate persone sul posto". "Se necessario - si precisa nel comunicato - le navi della marina Usa sono in grado di conservare i resti nel deposito refrigerato". Nella nota si ricorda che sono 40 le persone tratte in salvo e "portate subito a bordo della Trenton dove hanno ricevuto cibo, acqua, vestiario e assistenza medica". I media italiani avevano subito rimbalzato la notizia dell’abbandono in mare proveniente dalla ong Sea Watch senza verificarla. Come del resto dai soliti giornalai non viene verificato il business degli sbarchi e dell’accoglienza, non nascosto nemmeno dalla Bonino. Un impero “chiuso” La 66-esima riunione del Club Bilderberg, appena conclusa a Torino, è stata pensata di gran lunga prima delle elezioni del 4 marzo. Ma che si sia pensato all'Italia, nel ristretto numero di persone che progettano questi incontri e discussioni, indica che avevano percepito l'importanza degli eventi che si stavano preparando. Altra premonizione, dunque, è nel primo punto all'ordine del giorno: populismo in Europa. Una classe dirigente tutta intera è stata sbaragliata dall'ondata “populista". Il campanello d’allarme sta suonando fortissimo. E' evidente che i temi scelti sono quasi tutti quelli che un qualunque governo lungimirante, degno di questo nome, dovrebbe prendere in considerazione. C'è, come si é visto, la stretta attualità nei 12 punti (populismo in Europa, la sfida della disuguaglianza, il futuro del lavoro, le elezioni di mezzo termine negli USA, la leadership americana sul mondo, l'Arabia Saudita e l'Iran. Ma ci sono anche le grandi questioni del lungo (che diventa sempre più corto) periodo: l'intelligenza artificiale, il "quantum computing", il mondo della "post verità”. Il problema vero è che non sappiamo chi ha introdotto queste discussioni, cosa si è detto, chi ne ha parlato. Ma non c'è dubbio che si sia discusso tra persone che sanno quello che sta succedendo e che sono in grado di prevedere non poco di quello che succederà. E possono influire sul corso degli eventi futuri. Quello che colpisce è che nessun russo è stato invitato. Neanche un oligarcuccio qualsiasi. Ovviamente Putin, al contrario, saprà tutto nei minimi dettagli. Le sue orecchie siano state più attente a quanto si è detto a Torino che non agli squittii del G-7 canadese. L'altra assenza totale è stata quella cinese. Che, sommata a quella russa, ci dice che questo Club, nonostante la sua indubbia competenza, ha qualche problema di orientamento per quanto concerne il mondo contemporaneo nel suo complesso. C'è sicuramente, sia in Russia, che in Cina, qualcuno pronto a genuflettersi di fronte alla potenza dell’Impero. Ma cattivo impero è quello che chiude gli occhi.L’Antartide si scioglie Dal ’93 ad oggi l’Antartide ha perso circa 3mila miliardi di tonnellate di ghiaccio, perdita triplicata negli ultimi 5 anni, un'accelerazione senza precedenti. Due le zone maggiormente colpite: la Penisola antartica e la parte occidentale della Calotta glaciale. Il processo di scioglimento in queste aree è preoccupante perché qui gli strati di ghiaccio mantengono stabili i ghiacciai della parte continentale evitando che scivolino verso il mare. A rivelarlo su Nature uno studio di 84 scienziati provenienti da tutto il mondo che avverte sul rischio di innalzamento del livello del mare di oltre un metro entro il 2070. Con conseguenze catastrofiche per le città di tutto il mondo. Al destino dell’Antartide è legato il nostro, ogni variazione su questo continente influenza l’intero pianeta e rivela la pericolosità dei cambiamenti climatici che sempre più irrimediabilmente intaccano gli ecosistemi.Corea del Nord: Le sanzioni restano Mentre gli Stati Uniti attendono, inerti, la completa denuclearizzazione della Corea del Nord, Mosca e Pechino propongono passi reciproci sotto forma di allentamento delle sanzioni, invitando il Consiglio di sicurezza dell’Onu a sostenere iniziative diplomatiche idonee. Washington invece continua per la sua strada. Mike Pompeo: è ostinato: “Tutte le misure resteranno in vigore fino alla completa, verificabile e irreversibile denuclearizzazione della penisola coreana, circa due anni e mezzo”, ha dichiarato da Seul. A Pyongyang resta la promessa di Donald Trump di interrompere le manovre ai confini con la Corea del Nord. O forse, neanche quella, perche' il Pentagono, stando a quanto scrive la Reuters, fara' in modo che le truppe americane in Corea del Sud siano sempre pronte e ben addestrate, sospendendo, eventualmente, soltanto le esercitazioni su vasta scala.Yemen: a rischio 250mila vite L'attacco alla citta' portuale yemenita di al-Hudayda potrebbe trasformarsi in una catastrofe per tutto lo Yemen. I combattimenti dell'operazione "Vittoria dorata", lanciata mercoledi’ 13 giugno dalla coalizione araba a guida saudita, possano ostacolare le forniture di medicinali e di altri beni di prima necessità, mettendo a rischio la vita degli abitanti del Paese. Un colpo durissimo sarà inflitto anche alle prospettive di una risoluzione politica del conflitto. Se ne discutera' oggi, giovedi' 14 giugno, alla riunione straordinaria del Consiglio di sicurezza dell'Onu convocata su richiesta del Regno Unito. Nello Yemen, intanto, si e' concluso con un fallimento il tentativo di sbarco condotto ieri dalla coalizione, durante il quale gli Emirati Arabi Uniti hanno perso, colpita da due missili nemici, una nave da guerra anfibia. L'aeroporto di al-Hudayda resta sotto il controllo degli Houthi, che nei combattimenti iniziati ieri avrebbero perso due importanti leader: il generale di brigata Ibrahim Mohammed al-Moutawkel, e il colonnello Ali Hussein al-Marani. Il gruppo assalto anfibio dei Marines americani guidato dalla portaerei Iwo Jima si trova al largo di Hodeida. Pronto all’assalto.Il caso Macedonia, Paese stretto tra Occidente e storia Scoppia il caso Macedonia. Il presidente dell paese balcanico, Gjorge Ivanov, si e' rifiutato di firmare l'accordo con la Grecia per la ridenominazione del Paese, definendolo "indegno" e "anticostituzionale”. La ridenominazione in "Macedonia del Nord" era stata concordata, martedi', ai colloqui tra Zoran Zaev e il suo omologo greco, Alexis Tsipras, e subito accolta con favore dalla Nato e da Bruxelles. "Sbagliato speculare sugli obiettivi strategici del nostro Paese", ha dichiarato Ivanov, aggiungendo che non cedera' ne' alle pressioni, ne' ai ricatti. Atene, intanto, continua ad accusare la Repubblica di aver usurpato il nome di una storica regione greca, mentre nella capitale macedone, Skopje, sono gia' in corso proteste popolari contro l'accordo.
Vingt ans après les accords de paix du Vendredi saint en Irlande du Nord, les conséquences du Brexit sur l'économie et l'identité même de la nation raniment les braises sous la cendre et relancent le rêve de certains d'une Irlande réunifiée !
Ventunesima rubrica della trasmissione radiofonica Equilibrium Network: https://www.facebook.com/EquilibriumNetwork/In collaborazione con Geopoliticalcenter.com: https://www.facebook.com/GeoPoliticalCenter/TEMI TRATTATI: - Navi Usa verso la Corea del Nord- Le mosse di Trump- Le mosse cinesi- La possibile reazione coreana In onda ogni martedì, dalle 22:30, su NeverwasRadio: https://www.facebook.com/neverwasradio/ Conduttori della trasmissione EQ Network: Alessandro Leonardi e Fabrizio Pizzolato
Ventunesima rubrica della trasmissione radiofonica Equilibrium Network: https://www.facebook.com/EquilibriumNetwork/In collaborazione con Geopoliticalcenter.com: https://www.facebook.com/GeoPoliticalCenter/TEMI TRATTATI: - Navi Usa verso la Corea del Nord- Le mosse di Trump- Le mosse cinesi- La possibile reazione coreana In onda ogni martedì, dalle 22:30, su NeverwasRadio: https://www.facebook.com/neverwasradio/ Conduttori della trasmissione EQ Network: Alessandro Leonardi e Fabrizio Pizzolato
Cultures en mouvement XIX-XXIe siècles. Changer de culture:Enjeux du déplacement Amériques / Asie
Dr. Etienne Faugier (Université Lumière Lyon 2 et Université Laval)