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Ce matin du jeudi 13 février 2025, les experts et journalistes de RFI répondaient à vos questions sur un éventuel échange de territoires russo-ukrainiens, le report de la commission d'enquête sur le 7-Octobre et la nomination accidentelle d'un directeur du FBI anti-Trump. RDC : violences communautaires dans l'Ituri L'est de la RDC est le théâtre de violentes attaques entre deux groupes armés qui prétendent chacun défendre une communauté. Que sait-on de ces groupes appelés Zaïre et Codeco ? Quelles sont leurs revendications ?Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Guerre en Ukraine : vers un échange de territoires ? Dans un entretien au quotidien britannique The Guardian, Volodymyr Zelensky a évoqué l'éventualité d'effectuer un « échange » de territoires avec la Russie. Pourquoi le président ukrainien suggère-t-il cette idée maintenant ? De quels territoires parle-t-il ?Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Israël : à quand une enquête sur les failles sécuritaires du 7-Octobre ? Benyamin Nétanyahou a de nouveau repoussé les discussions sur la création d'une commission d'enquête sur les événements du 7-Octobre. Comment expliquer cette décision ? Le gouvernement sera-t-il contraint d'entamer cette enquête ?Avec Frédéric Encel, professeur en géopolitique à Sciences-Po Paris, auteur de l'ouvrage Les Voies de la puissance: Penser la géopolitique au XXIe siècle (éditions Odile Jacob, 2022). États-Unis : comment un anti-Trump s'est retrouvé à la tête du FBI ? Brian Driscoll, agent expérimenté du FBI opposé à Donald Trump, s'est retrouvé à la tête de l'agence fédérale en raison d'une erreur de la Maison-Blanche. Comment expliquer une telle méprise ? Le président américain peut-il faire annuler cette décision ?Avec Augustin Habran, maître de conférence en histoire des États-Unis à l'Université d'Orléans.
C'est le 15 février prochain que les 55 chefs d'État de l'Union africaine éliront le nouveau président de la Commission de l'UA pour un mandat de quatre ans. Trois candidats briguent la succession du Tchadien Moussa Faki Mahamat : le ministre djiboutien des Affaires étrangères Mahmoud Ali Youssouf, l'ex-Premier ministre kenyan Raila Odinga et l'ex-ministre malgache des Affaires étrangères Richard Randriamandrato. RFI offre son antenne, bien sûr, aux trois candidats. Place ce matin au ministre djiboutien des Affaires étrangères. Au micro de Christophe Boisbouvier, il s'exprime d'abord sur la guerre meurtrière en RDC. RFI : Mahmoud Ali Youssouf, bonjour. La guerre fait rage dans l'est du Congo. La ville de Goma est menacée par les assaillants. Le Congo vient de rompre ses relations diplomatiques avec le Rwanda. Que doit faire l'Union africaine face à cette situation ?Mahmoud Ali Youssouf : Bonjour. Je dois rappeler d'abord que c'est une crise chronique qui sévit dans cette région de la RDC depuis plusieurs décennies. Ce conflit, d'abord, est un petit peu le reflet de ce qui se passe dans toute la région et d'une certaine histoire. Mais je crois que l'Union africaine a un rôle à jouer et ce rôle, il est déjà assumé par le président João Lourenço de l'Angola qui, je le rappelle, est le champion pour la paix et la stabilité sur le continent. C'est comme ça, ce sont les chefs d'État qui assument certaines questions. On les appelle les champions, il y en a pour l'éducation, pour la santé et le président João Lourenço est le champion de l'Afrique pour la paix et la stabilité. Il est déjà engagé depuis plus de deux ans pratiquement sur ce dossier. Il y a tout un processus qu'on appelle le processus de Nairobi et celui de Luanda. Il a déjà organisé plusieurs réunions au plus haut niveau entre les deux chefs d'État de la RDC et du Rwanda. Et il faut, je crois, que l'Union africaine continue à soutenir les efforts du président João Lourenço, appeler à la désescalade entre la RDC et le Rwanda, et travailler surtout au désarmement des mouvements armés à l'Est du Congo. Comme vous le savez, il y a le M23, mais il n'y a pas que le M23, il y a d'autres mouvements armés tels que les FDLR, la Codeco et les ADF. Donc, il y a une prolifération de mouvements armés dans cette région. Il est très important que les efforts que mène l'Union africaine à travers donc la médiation du président João Lourenço, ces efforts doivent être maintenant plus intenses et éviter surtout plus d'escalade entre le Rwanda et la RDC. Et je crois que l'Afrique doit systématiquement et impérativement éviter un conflit ouvert entre ces deux pays, je crois que c'est toute la région des Grands Lacs qui risque d'être déstabilisée.Alors vous appelez à la désescalade entre la RDC et le Rwanda. Vous savez que si Kinshasa vient de rompre ses relations diplomatiques avec Kigali, c'est parce que la RDC accuse son voisin rwandais de soutenir les rebelles du M23. L'Organisation des Nations unies et l'Union européenne disent la même chose, mais pas l'Union africaine qui s'est contentée ces derniers jours de réclamer, « la stricte observation du cessez-le-feu convenu entre les parties ». Qu'est-ce que vous pensez de ce refus de l'Union africaine de désigner nommément le Rwanda comme l'un des protagonistes de ce conflit ?Je crois que la complexité de la situation sur le terrain impose à l'Union africaine d'avancer à pas comptés et surtout de faire en sorte que toutes les chances d'une désescalade rapide restent encore entre ses mains. Je crois que c'est l'objet de la médiation du président João Lourenço qui, lui, essaie donc de passer outre ces accusations et de ramener les parties prenantes autour de la table des négociations. Il y a eu déjà plusieurs réunions. Je pense qu'avec cette histoire de rupture des relations diplomatiques, le président João Lourenço va certainement prendre des mesures encore plus importantes afin d'amener les deux parties autour de la table. Il n'y a pas de baguette magique ou de recette magique. Cela fait des années que les Nations unies sont à l'est du Congo, mais ce n'est pas ça qui a réglé le problème. Je crois que l'objectif principal, c'est de neutraliser ces mouvements armés, de les désarmer et pour cela, il faut des efforts collectifs. Il faut que l'Union africaine s'implique davantage et c'est la seule chose qui compte je crois, au-delà des allégations et des accusations qui viennent de la part des uns et des autres.Oui, mais vous savez que cette façon de l'Union africaine de marcher à pas comptés, comme vous dites, face au Rwanda, à la différence de l'ONU ou de l'Union européenne, cela agace énormément le président Félix Tshisekedi ?Je crois que nos chefs d'État, qu'ils soient du Congo ou du Rwanda, ou le président João Lourenço s'efforcent de toute manière de rétablir la paix. L'instabilité et l'absence de paix dans la région n'est profitable pour personne et je pense qu'il est très important de pouvoir se donner les moyens d'agir. Et ce n'est pas en jetant l'anathème sur x ou y qu'on arrivera à résoudre les problèmes.Est-ce que dans les moyens d'agir peuvent être envisagés des sanctions internationales contre le Rwanda ?Je crois que l'Afrique a, à travers son acte constitutif, certaines dispositions qui peuvent aider à la résolution des problèmes et je ne voudrais pas m'avancer sur ce terrain-là. Je ne suis pas encore élu et je ne peux pas avoir une position, je dirais, tranchée et je pense que l'acte constitutif, les textes qui nous gouvernent doivent être un petit peu au centre de ce que nous pouvons apporter comme solution dans les crises africaines.Mahmoud Ali Youssouf, vous êtes le candidat de Djibouti au poste stratégique de président de la Commission de l'Union africaine. Si vous êtes élu le 15 février prochain, quelles seront vos deux priorités ?Ce qui est important, c'est d'abord poursuivre la mise en œuvre des réformes qui ont déjà été enclenchées depuis quelques années. Et parmi ces réformes, il y a un travail à faire au niveau de la Commission. Dans l'organisation interne de la Commission, sa gestion financière, la gestion de son personnel. Il y a tout un travail qui a déjà été entamé, notamment dans le cadre d'un processus qu'on appelle le processus de Lusaka, les promotions internes, éviter les doublons, mettre en place les règles d'or en matière de gestion, tout un travail de coordination à faire entre les différentes commissions. Éviter que ces commissions travaillent en solo et surtout faire en sorte de créer une certaine synergie, une meilleure coordination également entre les organes décisionnels que nous connaissons tous. L'Assemblée des chefs d'État, le Conseil exécutif, le Comité des représentants et la Commission. Un travail de pédagogie est également à mener. Je crois qu'on ne réinvente pas la roue ici, on a beaucoup de difficultés à surmonter. De nombreux défis également, et je commencerai d'abord par mettre de l'ordre dans la Commission. Cela, c'est un premier élément.L'une des autres priorités qui me tient à cœur, c'est justement la paix et la sécurité sur le continent. On vient de parler de la question de la RDC. Il n'y a pas que la RDC aujourd'hui, malheureusement, même si c'est un sujet aujourd'hui brûlant, nous avons la crise au Soudan qui est une guerre ouverte ou des milliers et des milliers de gens sont morts, des millions de déplacés. Nous sommes également dans des situations difficiles à gérer dans le Sahel. La Libye également n'est pas encore sortie de cette période de turbulences. Il y a de nombreux sujets relatifs à la paix, la sécurité et je crois que la nouvelle Commission qui arrivera et son président à sa tête auront beaucoup à faire en matière de paix et de sécurité.La troisième priorité qui me tient à cœur, c'est vraiment d'accélérer le processus d'intégration à travers la Zlecaf. La Zlecaf qui est la zone de libre-échange continental. Vous savez qu'on l'a adoptée, le traité a été ratifié, mais la mise en œuvre de certains mécanismes clés reste encore en souffrance. Notamment la Chambre de compensation qui n'est pas encore mise en place. Nous allons travailler avec le secrétariat de la Zlecaf qui se trouve au Ghana, pour faire en sorte que ces mécanismes soient rendus opérationnels et travailler surtout sur la levée d'un certain nombre de barrières. Il y en a beaucoup, hein, les barrières douanières. Mais il existe surtout des barrières non douanières. Faire en sorte que la circulation des biens et des personnes soit vraiment une réalité et pour cela, il faut mettre en place le passeport africain qui a déjà été lancé en 2017. Mais il y a beaucoup de réticences encore et de résistance pour qu'il soit rendu opérationnel par tous les États membres. Donc, un certain nombre de priorités en matière d'intégration. Surtout faire en sorte que la Zlecaf, qui est la zone de libre-échange continentale, puisse fonctionner proprement. Permettre que ce commerce intra africain qui aujourd'hui n'est que de 18 %, puisse arriver vraiment à des niveaux qui soient acceptables pour tous. En tout cas pour la nouvelle Commission, des niveaux acceptables, ce serait avoir au moins entre 60 % et 70 % de commerce intra africain et le reste avec le monde extérieur.Alors, dans la lettre confidentielle que le président sortant de la Commission, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, a écrite en septembre dernier aux chefs d'État africains et que Jeune Afrique vient de révéler, le président sortant regrette les limites de ses pouvoirs et de ceux de la Commission de l'Union africaine. Est-ce que vous partagez son diagnostic ?Je crois que l'acte constitutif de l'Union africaine définit clairement les prérogatives, les rôles et les responsabilités des uns et des autres. Pour ce qui est de la Commission, il faut garder à l'esprit qu'il s'agit d'un organe d'exécution. Les organes décisionnels sont l'Assemblée des chefs d'État, le Conseil exécutif et le Comité des représentants. Le Président de la Commission défend les intérêts du continent à l'international, a également des prérogatives d'orientation, il est vrai, de conseil, il est vrai, également de soutien aux organes décisionnels. Mais il ne faut pas confondre un petit peu les rôles. Je crois que le président Moussa a fait beaucoup de travail durant ses deux mandats. Il a mené à terme cette adoption du traité de la Zlecaf, il ne faut pas l'oublier. Il est vrai également que le niveau d'exécution du premier plan décennal, vous savez que l'Agenda 2063 de l'Union africaine est basé sur cinq plans décennaux. Le taux d'exécution du premier plan décennal est vraiment bas. Il est de l'ordre de 37 %. La plupart des indicateurs sur différents secteurs ne sont pas encore sortis du rouge. Très peu de ces indicateurs sont au vert. Il y a beaucoup, beaucoup de travail à faire, mais je crois qu'il n'est pas facile de mener plusieurs combats de front, surtout lorsque la Commission a des difficultés financières. Sur les 600 millions de dollars de budget 2025 prévus pour l'Union africaine ou la Commission, en tout cas, plus de 300 millions sont fournis par les partenaires pour financer les projets de développement sur le continent. Et vous vous imaginez un petit peu cette dépendance qui certainement limite l'action de la Commission. Il y a également le fait que les États membres, sur un certain nombre de sujets, gardent beaucoup des prérogatives, et ne concèdent rien ou très peu de choses à la Commission. Il y a un travail à faire, surtout de rétablissement de la confiance et un travail à faire de coordination pour que réellement la Commission puisse jouer un rôle non pas central, mais un rôle vraiment de précurseur sur un certain nombre de sujets. Un rôle pionnier. Et en cela la Commission a besoin et des États membres, et des communautés économiques régionales. Je crois qu'un engagement plus fort des États membres pourra nous permettre d'arriver donc à des contrats de performance plus intéressants, dans le 2e plan décennal qui a commencé, je le rappelle, en 2024.Il faut redéfinir les missions confiées au Conseil paix et sécurité de l'Union africaine, dit le président Moussa. Est-ce que vous êtes d'accord avec lui ?Je crois que le Conseil de paix et de sécurité est l'organe permanent qui est chargé de la paix, de la stabilité, de la sécurité sur le continent, à l'instar un peu du Conseil de sécurité des Nations unies. Le Conseil prend des décisions régulièrement sur ces conflits et ces crises. Mais ce qui fait défaut, c'est la mise en œuvre de ces décisions qui sont prises par ce Conseil de paix et de sécurité. Donc il faudra travailler sur le comment améliorer la performance du Conseil de paix et de sécurité dans le cadre de la mise en œuvre des décisions qu'il prend. C'est la demande, surtout pour que le mécanisme qui est mis en place dans l'architecture de paix et de sécurité de l'Union africaine, notamment celui de la prévention, soit renforcé. Et on appelle ça le mécanisme d'alerte rapide.Pour ce qui est de l'opérationnalisation des forces en attente, chaque région de ce continent est supposée avoir une force en attente. Elle doit être rendue opérationnelle. Le comité des sages qui sont là également pour pouvoir résoudre les conflits, voire même les prévenir, là aussi, ce comité a besoin de moyens. Et enfin, ce qui est très important, ce sont les ressources financières. Il y a ce qu'on appelle un fond de la paix dans lequel il y a à peu près 400 millions de dollars. Jusqu'à présent, les mécanismes pour pouvoir mettre ces fonds à la disposition des missions de la paix sur le continent africain, ces mécanismes ne sont pas en place et on n'arrive pas à travailler sur le déboursement de ces montants, ce sera l'un des rôles de la nouvelle Commission de convaincre les États membres, pour que le CPS, le Conseil de paix et de sécurité, puisse être efficace, il faut qu'il se donne les moyens et pour se donner les moyens, tous ces éléments que je viens d'évoquer doivent être vraiment pris en considération.Donc, il y a 400 millions de dollars qui dorment dans les caisses d'Addis-Abeba et qui ne servent à rien...On utilise un petit peu les intérêts qu'ils produisent, mais ces fonds doivent servir aux missions de la paix sur le continent. Et Dieu sait que beaucoup, beaucoup de régions ont besoin justement de ce type de financement pour gérer les situations de conflit ou de crises qui sévissent dans ces régions-là.Face à vous, Mahmoud Ali Youssouf, il y a deux candidats : le Kényan Raila Odinga et le Malgache Richard Randriamandrato, qu'est-ce qui vous distingue de ces deux autres candidats ?Le fait que je sois un diplomate de carrière, d'abord, avec 33 ans d'expérience en matière de diplomatie multilatérale, je suis toujours ministre des Affaires étrangères depuis 20 ans, donc je fréquente très régulièrement les arcanes de l'Union africaine, donc c'est une organisation que je connais très bien. Je suis, je viens d'un petit pays, certes, mais un pays carrefour entre les trois continents, un pays qui est un creuset culturel. Aujourd'hui, le monde arabe et l'Afrique se rejoignent à Djibouti. Djibouti est un pays stable qui fait des efforts colossaux en matière de sécurisation de la navigation maritime dans le détroit de Babel-el-Mandeb.Mon pays a démontré déjà par le passé qu'il était un grand contributeur à la lutte contre la piraterie et le terrorisme. Nous avons des forces qui sont présentes en Somalie sous la bannière de l'Union africaine, en Centrafrique, en RDC, donc un petit pays qui quand même a une contribution louable en matière de paix, de sécurité et je suis un homme qui a cette expérience à mettre au service du continent. Je pense que le temps est venu pour moi de partager cela avec le continent et de me mettre au service de ce continent.Mais tout de même, Mahmoud Ali Youssouf, le fait que le candidat mauricien se soit désisté en faveur du candidat kenyan, Raila Odinga. Le fait que ce dernier revendique, du moins son ministère des Affaires étrangères, le soutien dès le mois de septembre dernier de quelque 19 pays africains, est-ce que tout cela ne vous inquiète pas ?Pas du tout, parce que d'abord le vote est secret. Un, deuxièmement, les mêmes promesses de soutien nous sont données également chaque fois que nous rencontrons les leaders africains. Et donc vous voyez un petit peu que les jeux sont ouverts. Mais je crois que j'ai des avantages comparatifs qui me donnent justement cette avance sur les autres candidats. Et je crois que le dernier débat le 13 décembre à l'Union africaine sur ces grandes questions de l'Union a démontré un petit peu le profil des uns et des autres et je reste confiant.Alors justement, lors de ce débat du 13 décembre, vous avez été le seul des trois à vous exprimer alternativement en français, en anglais, en arabe. Est-ce que c'était une façon de montrer que vous avez un petit avantage linguistique sur vos deux adversaires ?C'est très important. Je me présente comme un candidat qui est capable de créer des passerelles à travers cette capacité de communication avec toutes les cultures. Je m'exprime dans trois langues sur les six langues de travail de l'Union africaine, et je crois que cela me donne certainement un avantage comparatif par rapport aux autres candidats.Et Djibouti est membre de la Ligue arabe, c'est ça ?Pareillement, oui, et nous, Djibouti, sommes également le siège de l'Igad, qui est la Communauté économique régionale que vous connaissez aussi.Mais quand même, l'ancien Premier ministre kényan Raila Odinga, c'est un poids lourd non ?C'est un poids lourd dans son pays et peut-être pas forcément sur le continent.Alors Mahmoud Ali Youssouf, vous avez évoqué les autres crises que traverse le continent africain, à commencer par le Sahel. Quelles sont, à votre avis, les solutions pour mettre fin à la guerre civile dans le nord des trois pays, Mali, Niger, Burkina Faso ?Il ne faut surtout pas baisser les bras quand il s'agit de lutter contre les mouvements terroristes. Et on le fait ici, dans la Corne de l'Afrique, en Somalie. Il est très important de continuer cette action collective. Ils ont créé une force, je crois, de 5 000 hommes pour lutter contre ces mouvements dans le Nord et il faut les soutenir. Quant au retour à l'ordre constitutionnel qui est exigé par l'Union africaine, nous allons accompagner ces pays-là à mettre en place les conditions de la transition. Certains ont déjà adopté des constitutions, je crois que l'Union africaine, même si elle les a suspendus de la participation dans ses réunions, je crois que nous allons soutenir les efforts de la Cédéao et nous allons accompagner si nous sommes élus à la tête de la Commission, accompagner ces États-là à revenir à l'ordre constitutionnel à travers des élections qui seront organisées à l'issue de la période de transition. Voilà un peu les leviers qui sont disponibles à nos yeux pour l'instant.Et la présence de miliciens russes du groupe Wagner, qu'en pensez-vous ?Je crois que toute ingérence dans les affaires des États africains n'est pas la bienvenue. Et de toute manière s'il y a des forces étrangères qui créent le chaos ou je dirais l'instabilité, ce sont des choses que nous n'apprécions pas. Mais les États sont encore des États souverains quand il s'agit de créer des accords de partenariat, l'Union africaine n'a rien à dire sur ce sujet-là. Ce sont des questions souveraines, chaque pays a le droit d'avoir un partenariat, des accords de stratégie militaire avec d'autres pays, mais tout ce qui déstabilise le continent est bien entendu rejeté par l'Union africaine et ça sera le cas si nous sommes élus à la tête de la Commission.Vous avez parlé de la Libye, est ce que vous craignez une partition du pays entre l'Est et l'Ouest ?Pour l'instant, la Libye est un pays qui est divisé malheureusement en zone d'influence de pouvoir et il faudrait que nous poursuivions les efforts. Récemment, le Secrétaire général des Nations unies a nommé un envoyé spécial. Ce poste était vacant pendant, je dirais après la démission de monsieur Abdoulaye Bathily, pendant longtemps. L'Union africaine fait ses propres efforts, il y a un comité des chefs d'État dirigé par le président Sassou Nguesso pour essayer d'aider la Libye, mais les efforts doivent se poursuivre et ce qu'il faut surtout éviter, c'est justement la dislocation du pays et surtout ce type de sécession des régions n'est pas la bienvenue sur le continent.L'une des guerres civiles les plus meurtrières actuellement sur le continent, c'est celle du Soudan. On n'en est bientôt à deux ans de conflit, comment trouver une solution dans cette guerre qui n'en finit pas ?Là aussi, diplomatiquement, on essaie de le faire. Il y a une plateforme Union africaine- Igad pour essayer de remettre le processus politique sur les rails, parce que la solution au Soudan n'est pas militaire. Il faut que les parties prenantes s'asseyent autour de la table des négociations et qu'on puisse revenir à un processus politique. C'est ce que nous essayons de pousser. D'abord, qu'on parvienne à un cessez-le-feu. Il y a déjà des plans qui ont été avancés et par l'Igad et par l'Union africaine, et la priorité dans le cadre de ces plans, c'est le cessez le feu. Les Nations unies ont aussi à ouvrir des corridors humanitaires, ce n'est pas suffisant à Adré et au Nord aussi, mais il faut continuer.Je crois que nous avons à Djibouti organisé plusieurs retraites sous l'égide des Nations unies sur le Soudan. La dernière a été organisée en Mauritanie. Il y a un travail diplomatique qui est fait, ce n'est pas suffisant, mais je pense qu'on doit continuer à le faire. Et je rappelle aussi que le Soudan reste sous sanctions de l'Union africaine parce que, dès qu'il y a un changement anticonstitutionnel de gouvernement, la sanction tombe. Ce sont les dispositions de l'acte constitutif. Mais le rôle de l'Union africaine est de poursuivre ses efforts, même si ces pays sont sous sanctions, nous n'arrêterons pas d'essayer donc de trouver une solution pacifique à toutes les crises qui se déclenchent dans les États membres.Une dernière question, votre pays Djibouti est frontalier de la Somalie et de sa province séparatiste du Somaliland, qui est soutenue par l'Éthiopie, autre voisin de votre pays. Quelle est votre position dans ce conflit ?Elle a été toujours cohérente depuis, je dirais plus de 30 ans. Djibouti a toujours soutenu l'unité de la Somalie. Cette unité, je crois, elle est remise en question, peut-être même à l'interne maintenant. Certaines régions démontrent un petit peu une certaine dissidence, mais nous sommes aux côtés du président Hassan Sheikh Mohamoud, nous le soutenons. Le gouvernement central doit mener des efforts politiques avec toutes les régions pour justement éviter cette dislocation du pays. Et c'est un peu ce que je disais par rapport à la Libye, la dislocation d'un pays, l'implosion créé plus de problèmes qu'elle n'en résout, aussi bien pour les pays en question que pour les pays voisins. Donc la priorité pour Djibouti a toujours été de soutenir l'unité de la Somalie et de son intégrité territoriale.Mais est-ce que le soutien de l'Éthiopie aux séparatistes du Somaliland ne change pas la donne ?Ça, c'est une question qu'il faudra poser aux Éthiopiens.En tout cas, vous n'êtes pas d'accord avec leur politique sur ce sujet ?C'est une question qui concerne les Éthiopiens, et pas les Djiboutiens. Voilà ce que je peux dire.Monsieur le ministre Mahmoud Ali Youssouf, je vous remercie.C'est moi qui vous remercie et bonne journée.À lire aussiUnion africaine: quels sont les enjeux du grand débat des candidats à la présidence de la Commission?
Hii leo jaridani tunaangazia mashambulizi ya kutisha ya kingono nchini Sudan, na mafunzo ya kidijitali. Makala na mashinani tunakupeleka nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC, kulikoni?Ujumbe Huru wa Kimataifa wa Umoja wa Mataifa wa kutafuta ukweli nchini Sudan, leo Septemba 6 jijini Geneva, Uswisi, wametoa wito wa kuwekwa vikwazo vya silaha kote nchini Sudan kutokana na kukithiri kwa vitendo vya kikatili kama vile mashambulizi ya kutisha ya kingono.Uhusiano kati ya teknolojia, elimu, na mabadiliko ya tabianchi ni upi? Hili ndilo limekuwa swala kuu katika mkutano wa Shirika la Umoja wa Mataifa la Elimu, Sayansi na Utamaduni (UNESCO) uliopewa jina la Wiki ya Kujifunza kwa Kidijitali au Digital Learning Week uliokamilika jana Alhamisi huko Paris Ufaransa. Mkutano huu uliangazia maswala nyeti ya mchango wa teknolojia katika elimu inayolenga maendeleo.Makala tunaelekea DRC ambako George Musubao, Mwandishi wetu wa Mashariki mwa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC akizungumza na Mkuu wa kikosi cha kujibu mashambulizi, FIB cha ujumbe wa Umoja wa Mataifa wa kulinda amani nchini DRC-MONUSCO anayemaliza muda wake mwezi huu baada ya kuhudumu kwa mwaka mmoja Brigedia Jenerali Alfred Matambo. Brigedia Jenerali Matambo anaanza kwa kuzungumzia matokeo ya moja ya operesheni kubwa za kijeshi 15 walizotekeleza dhidi ya makundi yenye silaha likiwemo la CODECO.Na katika mashinani, Daktari Erick Mashimango aliyeko nchini DRC anatueleza kuwa kuenea kwa ugonjwa wa mpox kwa kasi nchini humo ambako kumegharimu maisha ya ziadi ya watu 600 kumewafanya wananchi kuwa tayari kupokea chanjo.Mwenyeji wako ni Assumpta, karibu!
Mkuu wa kikosi cha kujibu mashambulizi, FIB cha ujumbe wa Umoja wa Mataifa wa kulinda amani nchini DRC-MONUSCO anayemaliza muda wake mwezi huu baada ya kuhudumu kwa mwaka mmoja Brigedia Jenerali Alfred Matambo akizungumza na George Musubao, Mwandishi wetu wa Mashariki mwa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC, anaeleza matokeo ya moja ya operesheni kubwa za kijeshi 15 walizotekeleza dhidi ya makundi yenye silaha likiwemo la CODECO na kazi za ujumbe huo nchini DRC.
Hii leo jaridani mwenyeji wako ni Cecily Kariuki akikupatia yaliyojiri kutoka huko Paris, Ufaransa. Anamulika usalama wa walinda amani wa Umoja wa Mataifa huko DRC; Mradi wa WFP Tanzania kwa vijana wakulima; makala ni ziara ya Naibu Katibu Mkuu wa UN Sudan na mashinani ni afya Tanzania.Afya ya mlinda amani wa Umoja wa Mataifa aliyejeruhiwa katika shambulizi lilitekelezwa na kundi la waasi, CODECO juzi Agosti 28 huko Bali, kaskazini mashariki mwa Djugu jimboni Ituri, Mashariki mwa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo (DRC) inaendelea vizuri, amesema msemaji wa Umoja wa Mataifa jijini New York, Marekani. Taarifa ya Anold Kayanda inaeleza zaidi.Mradi wa Vijana Kilimo Biashara (VKB), unaotekelezwa na shirika la Umoja wa Mataifa la Mpango wa Chakula duniani (WFP) nchini Tanzania, unawapatia vijana wakulima wadogo ujuzi na rasilimali zinazohitajika, ili kuboresha uzalishaji wa chakula na kujenga uchumi endelevu wakati huu ambao madhara ya El niño [EL NINYO] yanayosabisha ukame na mafuriko yamekuwa dhahiri. Bosco Cosmas na maelezo zaidi.Makala, Evarist Mapesa anatupeleka Sudan kusikia ziara ya ujumbe mzito wa Umoja wa Mataifa nchini humo ukiongozwa na Naibu Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa, Amina J. Mohammed. Mashinani, tunakwenda nchini Tanzania ambako nampisha Daktari bingwa wa ugonjwa wa saratani ya shingo ya kizazi, akihimiza wananchi wa taifa hilo la Afrika Mashariki kusaka huduma dhidi ya ugonjwa huo.
Afya ya mlinda amani wa Umoja wa Mataifa aliyejeruhiwa katika shambulizi lilitekelezwa na kundi la waasi, CODECO juzi Agosti 28 huko Bali, kaskazini mashariki mwa Djugu jimboni Ituri, Mashariki mwa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo (DRC) inaendelea vizuri. Anold Kayanda na maelezo zaidi. Stéphane Dujarric, Msemaji wa Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa, amewaeleza waandishi wa habari jana Agosti 29 katika makao makuu ya Umoja wa Mataifa jijini New York Marekani kuhusu tukio hilo la kushambuliwa kwa walinda amani wa Umoja wa Mataifa wakiwa katika shughuli zao za kuwahakikishia usalama raia wa Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC.“Walinda amani walizuia shambulio hilo, na kuwalazimisha wanamgambo kuondoka. Hata hivyo, tunasikitika kuripoti kwamba mlinda amani mmoja alijeruhiwa.” Anaeleza Dujarric lakini akiwaondolea wasiwasi waandishi waliokuwa wakimsikiliza kwamba mlinda amani huyo aliyejeruhiwa sasa yuko katika hali nzuri.Licha ya kushambuliwa, walinda amani wanaohudumu nchini DRC katika ujumbe wa Umoja wa Mataifa wa kulinda amani nchini humo MONUSCO wameendelea na shughuli za ulinzi si tu kaskazini mashariki mwa Djugu, bali pia kusini mashariki mwa eneo hilo jimboni Ituri ambako CODECO wameweka kambi katika maeneo mawili. Msemaji wa Katibu Mkuu anaeleza kwamba walinda amani walifanikiwa kusaidia raia wa kawaida kuweza kutoka eneo moja kwenda jingine.Mashambulizi haya yanatokea ikiwa imesalia miezi michache kufika Desemba 31 mwaka huu ambayo ni tarehe iliyoridhiwa na Baraza la Usalama la Umoja wa Mataifa kwamba uwe mwisho wa MONUSCO kutokana na ombi la serikali ya DRC lilioomba MONUSCO iondoke katika nchi hiyo iliyogubikwa na vita kwa miaka mingi.
This week we talk about the Rwandan genocide, the First and Second Congo Wars, and M23.We also discuss civil wars, proxy conflicts, and resource curses.Recommended Book: Everyday Utopia by Kristen R. GhodseeTranscriptThe Democratic Republic of the Congo, or DRC, was previously known as Zaïre, a name derived from a Portuguese mistranscription of the regional word for "river."It wore that monicker from 1971 until 1997, and this region had a rich history of redesignations before that, having been owned by various local kingdoms, then having been colonized by Europeans, sold to the King of Belgium in 1885, who owned it personally, not as a part of Belgium, which was unusual, until 1908, renaming it for that period the Congo Free State, which was kind of a branding exercise to convince all the Europeans who held territory thereabouts that he was doing philanthropic work, though while he did go to war with local and Arab slavers in the region, he also caused an estimated millions of deaths due to all that conflict, due to starvation and disease and punishments levied against people who failed to produce sufficient volumes of rubber from plantations he built in the region.So all that effort and rebranding also almost bankrupted him, the King of Belgium, because of the difficulties operating in this area, even when you step into it with vast wealth, overwhelming technological and military advantages, and the full backing of a powerful, if distant, nation.After the King's deadly little adventure, the region he held was ceded to the nation of Belgium as a colony, which renamed it the Belgium Congo, and it eventually gained independence from Belgium, alongside many other European colonies around the world, post-WWII, in mid-1960.Almost immediately there was conflict, a bunch of secessionist movements turning into civil wars, and those civil wars were amplified by the meddling of the United States and the Soviet Union, which supported different sides, funding and arming them as they tended to do in proxy conflicts around the world during this portion of the Cold War.This period, which lasted for about 5 years after independence, became known as the Congo Crisis, because government leaders kept being assassinated, different groups kept rising up, being armed, killing off other groups, and then settling in to keep the government from unifying or operating with any sense of security or normalcy.Eventually a man named Mobutu Sese Seko, usually just called Mobutu, launched a real deal coup that succeeded, and he imposed a hardcore military dictatorship on the country—his second coup, actually, but the previous one didn't grant him power, so he tried again a few years later, in 1965, and that one worked—and though he claimed, as many coup-launching military dictators do, that he would stabilize things over the next five years, restoring democracy to the country in the process, that never happened, though claiming he would did earn him the support of the US and other Western governments for the duration, even as he wiped out any government structure that could oppose him, including the position of Prime Minister in 1966, and the institution of Parliament in 1967.In 1971, as I mentioned, he renamed the country Zaïre, nationalized all remaining foreign owned assets in the country, and it took another war, which is now called the First Congo War, to finally unseat him. And this conflict, which began in late-1996, spilled over into neighboring countries, including Sudan and Uganda, and a slew of other nations were involved, including but not limited to Chad, the Central African Republic, Rwanda, Burundi, Angola, Eritrea, South Africa, Zambia, Zimbabwe, Ethiopia, and Tanzania, alongside foreign assistance granted to various sides by France, China, Israel, and covertly, the United States.The conflict kicked off when Rwanda invaded Zaïre, more neighboring states joined in, all of them intending to take out a bunch of rebel groups that the Mobutu government was no longer keeping in line: Mobutu himself having long since fallen ill, and thus lacking the control he once had, but still profiting mightily from outside influences that kept him as a friendly toehold in the region.So these other nations sent military forces into Zaïre to handle these groups, which were causing untold troubles throughout the region, and the long and short of this conflict is that it only lasted a few months, from October 1996 to May 1997, but the destruction and carnage was vast, everyone on both sides partnering up to take out rebels, or in the case of those rebels, to join up against these government militaries, and all of them using the opportunity to also engage in violence against ethnic enemies with whom they had long-simmering beefs.This led to the collapse of Mobutu's government, the country was renamed the Democratic Republic of the Congo when a new government was installed, but very little changed in terms of the reality of how that government functioned, so all the same variables were still in place a year later, in 1998, when what's now called the Second Congo War kicked off, informed by basically the same problems but bringing even more African governments into the fighting, many of them pulled into things by alliances they had with involved neighbors.And just as before, a variety of groups who felt aggrieved by other groups throughout the region used this conflict as an excuse to slaughter and destroy people and towns they didn't like, including what's been called a genocide of a group of Pygmy people who lived in the area, around 70,000 of them killed in the waning days of the war.In mid-2003, a peace agreement was signed, most of the warring factions that had fought in Congolese territory were convinced to leave, and it was estimated that up to 5.4 million people had died during the conflict.What I'd like to talk about today is what's happening in the DRC, now, at a moment of heightening tensions throughout the region, and in the DRC in particular, amidst warnings from experts that another regional conflict might be brewing.—A transition government was set up in the DRC in 2003, following the official end of that Second Congo war, and this government, though somewhat weak and absolutely imperfect in many ways, did manage to get the country to the point, three years later, in 2006, that it could hold an actual multi-party election; the country's first ever, which is no small thing.Unfortunately, a dispute related to the election results led to violence between supporters of the two primary candidates, so a second election was held—and that one ended relatively peacefully and a new president, Joseph Kabila, was sworn in.Kabila was reelected in 2011, then in 2018 he said he wouldn't be running again, which helped bring about the country's first peaceful transition of power when the next president, from the opposing party, stepped into office.During his tenure in office, though, Kabila's DRC was at near-constant war with rebel groups that semi-regularly managed to capture territory, and which were often supported by neighboring countries, alongside smaller groups, so-called Mai-Mai militias, that were established in mostly rural areas to protect residents from roaming gangs and other militias, and which sometimes decided to take other people's stuff or territory, even facing off with government forces from time to time.Violence between ethnic groups has also continued to be a problem, including the use of sexual violence and wholesale attempted genocide, which has been difficult to stop because of the depth of some of the issues these groups have with each other, and in some cases the difficulty the government has just getting to the places where these conflicts are occurring, infrastructure in some parts of the country being not great, where it exists at all.That 2018 election, where power was given away by one president to another, peacefully, for the first time, was notable in that regard, but it was also a milestone in it marked the beginning of widespread anti-election conspiracy theories, in that case the Catholic Church saying that the official results were bunk, and other irregularities, like a delay of the vote in areas experiencing Ebola outbreaks, those areas in many cases filled with opposition voters, added to suspicions.The most recent election, at the tail-end of 2023, was even more awash with such concerns, the 2018 winner, President Tshisekedi, winning reelection with 73% of the vote, and a cadre of nine opposition candidates signing a declaration saying that the election was rigged and that they want another vote to be held.All of which establishes the context for what's happening in the DRC, today, which is in some ways a continuation of what's been happening in this country pretty much since it became a country, but in other ways is an escalation and evolution of the same.One of the big focal points here, though, is the role that neighboring Rwanda has played in a lot of what's gone down in the DRC, including the issues we're seeing in 2024.Back in 1994, during what became known as the Rwandan genocide, militias from the ruling majority Hutu ethnic group decided to basically wipe out anyone from the minority Tutsi ethnic group.Somewhere between a 500,000 and a million people are estimated to have been killed between April and July of that year, alone, and that conflict pushed a lot of Hutu refugees across the border into the eastern DRC, which at the time was still Zaïre.About 2 million of these refugees settled in camps in the North and South Kivu provinces of the DRC, and some of them were the same extremists who committed that genocide in Rwanda in 1994, and they started doing what they do in the DRC, as well, setting up militias, in this case mostly in order to defend themselves against the new Tutsi-run government that had taken over in Rwanda, following the genocide.This is what sparked that First Congo War, as the Tutsi-run Rwandan government, seeking justice and revenge against those who committed all those atrocities went on the hunt for any Hutu extremists they could find, and that meant invading a neighboring country in order to hit those refugee groups, and the militias within them, that had set up shop there.The Second Congo War was sparked when relations between the Congolese and Rwandan governments deteriorated, the DRC government pushing Rwandan troops out of the eastern part of their country, and Kabila, the leader of the DRC at the time, asking everyone else to leave, all foreign troops that were helping with those Hutu militias.Kabila then allowed the Hutus to reinforce their positions on the border with Rwanda, seemingly as a consequence of a burgeoning international consensus that the Rwandan government's actions following the genocide against the Tutsis had resulted in an overcompensatory counter-move against Hutus, many of whom were not involved in that genocide, and the Tutsis actions in this regard amounted to war crimes.One of the outcomes of this conflict, that second war, was the emergence of a mostly Tutsi rebel group called the March 23 Movement, or M23, which eventually became a huge force in the region in the early 20-teens, amidst accusations that the Congolese government was backing them.M23 became such an issue for the region that the UN Security Council actually sent troops into the area to work with the Congolese army to fend them off, after they made moves to start taking over chunks of the country, and evidence subsequently emerged that Rwanda was supporting the group and their effort to screw over the Congolese government, which certainly didn't help the two countries' relationship.Alongside M23, ADF, and CODECO, a slew of more than 100 other armed, rebel groups still plague portions of the DRC, and part of the issue here is that Rwanda and other neighboring countries that don't like the DRC want to hurt them to whatever degree they're able, but another aspect of this seemingly perpetual tumult is the DRC's staggering natural resource wealth.Based on some estimates, the DRC has something like $24 trillion worth of natural resource deposits, including the world's largest cobalt and coltan reserves, two metals that are fundamental to the creation of things like batteries and other aspects of the modern economy, and perhaps especially the modern electrified economy.So in some ways this is similar to having the world's largest oil deposits back in the early 20th century: it's great in a way, but it's also a resource curse in the sense that everyone wants to steal your land, and in the sense that setting up a functioning government that isn't a total kleptocracy, corrupt top to bottom, is difficult, because there's so much wealth just sitting there, and there's no real need to invest in a fully fleshed out, functioning economy—you can just take the money other countries offer you to exploit your people and resources, and pocket that.And while that's not 100% what's happened in the DRC, it's not far off.During the early 2000s and into the 20-teens, the DRC government sold essentially all its mining rights to China, which has put China in control of the lion's share of some of the world's most vital elements for modern technology.The scramble to strike these deals, and subsequent efforts to defend and stabilize on one hand, or to attack and destabilize these mining operations, on the other, have also contributed to instability in the region, because local groups have been paid and armed to defend or attack, soldiers and mercenaries from all over the world have been moved into the area to do the same, and the logic of Cold War-era proxy conflicts has enveloped this part of Africa to such a degree that rival nations like Uganda are buying drones and artillery from China to strike targets within the DRC, even as China arms DRC-based rebel groups to back up official military forces that are protecting their mining operations.It's a mess. And it's a mess because of all those historical conditions and beefs, because of conflicts in other, nearby countries and the machinations of internal and external leaders, and because of the amplification of all these things resulting from international players with interests in the DRC—including China, but also China's rivals, all of whom want what they have, and in some cases, don't want China to have what they have.In 2022, M23 resurfaced after laying low for years, and they took a huge chunk of North Kivu in 2023.For moment that same year, it looked like Rwanda and the DRC might go to war with each other over mining interests they control in the DRC, but a pact negotiated by the US led to a reduction in the military buildup in the area, and a reduction in their messing with each other's political systems.In December of 2023, though, the President of the DRC compared the President of Rwanda to Hitler and threatened to declare war against him, and UN troops, who have become incredibly unpopular in the region, in part because of various scandals and corruption within their ranks, began to withdraw—something that the US and UN have said could lead to a power vacuum in the area, sparking new conflicts in an already conflict-prone part of the country.As of March 2024, soldiers from South Africa, Burundi, and Tanzania are fighting soldiers from Rwanda who are supporting M23 militants in the eastern portion of the DRC, these militants already having taken several towns.Seven million Congolese citizens are internally displaced as a result of these conflicts, having had to flee their homes due to all the violence, most of them now living in camps or wandering from place to place, unable to settle down anywhere due to other violence, and a lack of sufficient resources to support them.Rwanda, for its part, denies supporting M23, and it says the Congolese government is trying to expel Tutsis who live in the DRC.Burundi, located just south of Rwanda, has closed its border with its neighbor, and has also accused Rwanda of supporting rebels within their borders with the intent of overthrowing the government.Most western governments have voiced criticisms of Rwanda for deploying troops within its neighbors' borders, and for reportedly supporting these militant groups, but they continue to send the Rwandan government money—Rwanda gets about a third of its total budget from other governments, and the US is at the top of that list of donors, but the EU also sends millions to Rwanda each year, mostly to fund military actions aimed at taking out militants that make it hard to do business in the region.So changes in political stances are contributing to this cycle of violence and instability, as are regular injections of outside resources like money and weapons and soldiers.And as this swirl of forces continues to make the DRC borderline ungovernable, everyday people continue to be butchered and displaced, experiencing all sorts of violence, food shortages, and a lack of basic necessities like water, and this ongoing and burgeoning humanitarian nightmare could go on to inform and spark future conflicts in the region.Show Noteshttps://archive.ph/lk0mNhttps://en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Kabilahttps://en.wikipedia.org/wiki/Rwandan_genocidehttps://gsphub.eu/country-info/Democratic%20Republic%20of%20Congohttps://en.wikipedia.org/wiki/Economy_of_the_Democratic_Republic_of_the_Congohttps://www.reuters.com/world/africa/why-fighting-is-flaring-eastern-congo-threatening-regional-stability-2024-02-19/https://archive.ph/lk0mNhttps://www.aljazeera.com/news/2024/2/21/a-guide-to-the-decades-long-conflict-in-dr-congohttps://www.cfr.org/global-conflict-tracker/conflict/violence-democratic-republic-congohttps://en.wikipedia.org/wiki/March_23_Movementhttps://en.wikipedia.org/wiki/Kivu_conflicthttps://en.wikipedia.org/wiki/Congo_Free_Statehttps://en.wikipedia.org/wiki/Mobutu_Sese_Sekohttps://en.wikipedia.org/wiki/Congo_Crisishttps://en.wikipedia.org/wiki/1965_Democratic_Republic_of_the_Congo_coup_d%27%C3%A9tathttps://en.wikipedia.org/wiki/First_Congo_Warhttps://en.wikipedia.org/wiki/Second_Congo_War This is a public episode. 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Um ataque a fiéis que oravam numa igreja na província de Ituri, no leste da República Democrática do Congo, deixou pelo menos 14 mortos no último domingo (27). A informação é da agência de notícias Reuters. De acordo com relatos coletados na segunda-feira (28) com uma autoridade local e um líder da sociedade civil, membros da milícia Cooperativa para o Desenvolvimento do Congo, a CODECO, um dos grupos atuantes no leste do país africano, estiveram por trás do ataque.
This is TRT World's Daily News Brief for Friday, June 16. *) Greece criticised for watching refugee boat disaster in the Mediterranean Nine survivors of a refugee boat sinking in the Mediterranean have been arrested on suspicion of smuggling as hope faded for hundreds of other passengers still missing. Attention has now turned to Greece, who is accused of failing to act before the overcrowded ship capsized. The trawler may have carried as many as 750 passengers, including women and children. Greek authorities were criticised for not acting to rescue the refugees and migrants, even though a coast guard vessel escorted the trawler for hours and watched helplessly as it sank in minutes. Greek officials argued that the migrants and refugees repeatedly refused assistance and insisted on continuing to Italy. But legal experts said that was no excuse for Greek officials' non-interference. *) US holding talks with Iran to lower tensions — report The United States is holding talks with Iran to sketch out steps that could limit the Iranian nuclear programme, release some detained US citizens and unfreeze some Iranian assets abroad, according to Reuters, citing Iranian and Western officials. These steps would be cast as an “understanding” rather than an agreement requiring review by the US Congress, where many oppose negotiating with Iran. Having failed to revive a 2015 Iran nuclear deal, Washington hopes to restore some limits on Iran's nuclear programme. Tehran says it has no ambition to develop a nuclear weapon. The willingness to restart discussions illustrates the rising sense of urgency in Western capitals about Iran's programme. *)Trees uprooted, roofs blown off by cyclone in India's Gujarat Roofs were blown off houses and trees and electric poles uprooted in several parts of India's western state of Gujarat as a severe cyclone Biparjoy made landfall overnight bringing heavy rain. No casualties were reported as of Friday morning. More than 180,000 people were evacuated in India and Pakistan in the last few days as authorities braced for the cyclone. *) Attacks in 2023 displace ‘nearly 1 million' in the DRC Attacks on civilians by non-state armed groups have increased, displacing one million people in the Democratic Republic of Congo since early 2023. An estimated 6.1 million people are internally displaced, a 17 percent rise from October 2022, the International Organization for Migration said. As the conflict intensifies, the humanitarian situation continues to deteriorate, and millions are facing acute food insecurity as well as other critical needs, the UN agency added. The agency said at least 46 people, including children, were killed in an attack earlier this month by members of the CODECO militia at a refugee site in Ituri province. And finally… *) Nusrat Jahan Choudhury is first Muslim woman to serve as US federal judge The US Senate has confirmed along party lines Nusrat Jahan Choudhury as the first Muslim woman and the first Bangladeshi American to serve as a federal judge. Senators approved Choudhury's nomination in a 50-49 vote with one Democratic senator siding with all Republicans who voted in opposition. Choudhury will now be a US District Judge in New York. Choudhury previously served as a legal director at the A-C-L-U rights group. She graduated from Columbia University, Princeton University, and Yale Law School. And that's your daily news brief from TRT World. For more, head to trtworld.com
Mratibu wa masuala ya kibinadamu nchini Jamhuri ya Kidemokrasia ya Congo, DRC Bruno Lemarquis amezungumza na waandishi wa habari mjini Geneva, Uswisi hii leo na kusema vitendo vya ukatili wa kijinsia na kingono dhidi ya wanawake na wasichana kwenye makazi ya wakimbizi wa ndani nchini DRC vimeongezeka kwa asilimia 37 mwaka huu ikilinganishwa na mwaka jana, huku akitaka hatua za haraka zichukuliwe ili kurekebisha kinachoendelea.Katika mkutano wake huo uliomulika hali ya kibinadamu nchini DRC, Bwana Lemarquis ambaye pia ni Naibu Mwakilishi Maalum wa Katibu Mkuu wa Umoja wa Mataifa nchini DRC amesema mwaka jana pekee kwenye makazi ya wakimbizi katika jimbo la Kivu Kaskazini, kulikuwa na matukio zaidi ya 38,000 ya ukatili wa kingono na kwamba katika miezi mitatu ya mwanzo wa mwaka huu pekee, kumekuweko na ongezeko kwa asilimia 37. Amesema “wanawake na watoto walio hatarini zaidi ambao wanasaka hifadhi kwenye makazi hayo, wanajikuta wakikabiliwa na ukatili na machungu zaidi na hili halivumiliki.” Hivyo amesema hatua zaidi zinahitajika kuchukuliwa na serikali pamoja na wadau ili kudhibiti hali hiyo. Lemarquis amesema ongezeko la wakimbizi wa ndani kwenye makazi linatokana pia na ombwe la ulinzi kwenye maeneo ya kaskazini mwa jimbo la Kivu Kaskazini, Ituri na Kivu Kusini kutokana na vikosi vya usalama kuhamishwa ili kwenda kukabiliana na waasi wa M23. Amesema baadhi ya makundi yaliyojihami kama vile ADF, Zaire na CODECO yametumia fursa hiyo kushamirisha mashambulizi yao dhidi ya raia hususan Ituri. Naibu Mwakilishi huyo wa Katibu Mkuu nchini DRC amegusia pia jimbo la Mai-Ndombe lililoko magharibi mwa DRC, ambako amesema ghasia zilizoibuka mwezi Juni mwaka jana zimeendelea na zinasambaa kwenye maeneo ya jirani na kwamba kwa kuwa DRC inaelekea kwenye uchaguzi ni vema kuchukua hatua kudhibiti ili ghasia hizo zisijekuwa chanzo cha janga lingine la kibinadamu nchini humo.
Kwenye makala haya, tutakayoangazia wiki hii ni pamoja na upinzani nchini Kenya kusema utaendelea na maandamano huku wafanyakazi wa umma wakikosa kulipwa, tutaangazia usalama nchini DRC na uchaguzi unaotarajiwa mwishoni mwa mwaka huu. Chad na Ujerumani kuwafukuza mabalozi wake, kadhalika kuvuja kwa nyaraka za siri nchini Marekani na Korea kaskazini kutishia usalama wa kikanda. Zaidi ya raia 60 wameuawa katika mashambulizi mapya ya vijiji vitano mkoani Ituri, waasi wa CODECO na makundi ya kikabila ya Zaire wakituhumiwa kuhusika na mauaji hayo. Kwa mengi zaidi, sikiliza makala haya.
Ataques em três vilarejos na República Democrática do Congo mataram mais de 40 pessoas na sexta-feira. Os massacres ocorreram na província de Ituri, no nordeste do País e foram atribuídos a uma milícia comunitária, a Cooperativa para o Desenvolvimento do Congo, a Codeco.
Le territoire d'Irumu (Ituri) est toujours secoué par la violence. Au moins six civils ont été tués jeudi dernier dans la chefferie de Basili. Les combattants ADF (Forces démocratiques alliées), affiliés au groupe jihadiste Etat islamique, sont accusés. Ici, la société civile espère que la nomination de Jean-Pierre Bemba au poste de vice-premier ministre chargé de La Défense apportera la paix. « C'est une décision salutaire. On connaît Jean-Pierre Bemba depuis Mobutu en passant par Laurent Kabila. On connaît sa combativité. Nous pensons qu'il fera de son mieux », estime Gily Gotabo, président de la société civile d'Irumu. Il se montre très optimiste. « Nous pensons qu'avec son arrivée tous les groupes armés seront éliminés suite au travail du ministre de La Défense et aux instructions à donner au commandement militaire. Il connaît la stratégie militaire ». Il souhaite que Jean-Pierre Bemba s'installe dans l'Est du pays. « Nous demandons qu'il quitte Kinshasa et qu'il vienne s'installer à Goma ou à Bunia afin de suivre la situation de plus près et mettre fin à l'activisme du M23, des ADF, de la CODECO, etc. ».
It's Friday, February 17th, A.D. 2023. This is The Worldview in 5 Minutes heard at www.TheWorldview.com. I'm Adam McManus. By Adam McManus (Adam@TheWorldview.com) 22 civilians in Congo killed by rebel group On February 12th and 13th, 22 civilians were killed in two separate attacks in Africa's Democratic Republic of Congo. The attacks took place in the conflict-ridden province of Ituri, reports International Christian Concern. The perpetrators of the attacks, which occurred about twelve hours apart, are suspected to belong to a local rebel group called CODECO, which stands for “Cooperative for Development of the Congo,” which is one of the many militias operating in the east of the country. Congo is the 37th most dangerous country in the world for Christians. Pray that justice would be done. Proverbs 21:15 says, “When justice is done, it brings joy to the righteous, but terror to evildoers.” The story of one Turkish woman On February 12th, an elderly woman approached the Samaritan's Purse site near the location of the Turkish earthquake in need of something to eat as she is diabetic. One of their registered nurses, named Rhonda, who happens to speak Turkish, was able to give her a banana during a brief break from setting up the tents and equipment. More importantly, Rhonda provided a listening ear. The elderly woman shared that she is from another area in Turkey, but that her family lives here. After hearing the news of the devastating earthquakes, she traveled to the city to find her daughter and grandchildren. To her utter dismay, they had all died in the disaster. While speaking with the Samaritan's Purse staff, the woman shed tears and thanked the ministry for coming to Turkey. She offered hugs and kisses before leaving the site in search of somewhere to stay for the night. Her story is heartbreaking, but just one of so many in Turkey today. To help fund the 52-bed field hospital set up by Samaritan's Purse, click on a special link in our transcript today at www.TheWorldview.com. Daniel Ortega stripped 94 Nicaraguans of citizenship, deports to U.S. Nicaraguan dictator Daniel Ortega stripped 94 Nicaraguans of their citizenship, including some of the Central American country's most celebrated writers and journalists, reports The Guardian. The move was announced by a Nicaraguan judge on February 15th. Last week, 222 political prisoners, including some of Nicaragua's leading opposition activists, were deported from Nicaragua and flown to the U.S. – a move widely interpreted as a sign of Ortega's determination to remain in power after 16 years as president. Nicaragua's government called the deportees, who were also stripped of their citizenship, “traitors to the motherland.” Brian Nichols, the U.S. state department's assistant secretary for western hemisphere affairs, tweeted, “This deplorable act represents a step further away from the democracy the people of Nicaragua deserve.” And speaking to the Washington Post last week, Juan Pappier, with Human Rights Watch, said, “The country is on the verge of becoming the western hemisphere's equivalent of North Korea.” Senator John Fetterman suffering clinical depression Democrat Senator John Fetterman of Pennsylvania checked himself into Walter Reed Hospital to receive treatment for clinical depression on Wednesday night, reports Breitbart. Adam Jentleson, his chief of staff, said, “While John has experienced depression off and on throughout his life, it only became severe in recent weeks. On Monday, John was evaluated by Dr. Brian Monahan, the Attending Physician of the United States Congress. Yesterday, Dr. Monahan recommended inpatient care at Walter Reed. John agreed, and he is receiving treatment on a voluntary basis.” Fetterman suffered a stroke last year before he won the Pennsylvania Senate race in a highly competitive contest against Dr. Mehmet Oz. His office said this month that he was hospitalized after he felt lightheaded but that tests ruled out another stroke, reports NBC News. 4th abortion complication at University of New Mexico abortion mill On February 15th, Abortion Free New Mexico volunteers documented the fourth abortion complication of 2023 at the University of New Mexico Center for Reproductive Health abortion mill in Albuquerque. A woman was placed into an ambulance and taken to the emergency room during the lunch hour. This occurred just six days after the last abortion complication that was recorded by the No Sidewalk Without the Savior volunteers. The steady rate of abortion injuries at this location raises red flags about who is causing these injuries on unsuspecting women, most of whom are traveling there from out of state. It has been well documented by Abortion Free New Mexico that the University of New Mexico participates in the Ryan Residency Training program whose main emphasis is to “ensure the availability of abortion care in hospitals and make sure that all obstetrician-gynecologists are skilled to provide abortion." Tara Shaver of Abortion Free New Mexico invited Christian pro-lifers to “join us as we call upon the governing leadership at the University of New Mexico to shut down this dangerous late-term abortion facility." You can sign the petition through a special link in our transcript today at www.TheWorldview.com. Florida Christian college cancels singers over homosexuality And finally, on February 11th, Pensacola Christian College cancelled The King's Singers, a highly regarded British male a cappella ensemble which sings pop, classical, and sacred music, because one of their singers is an active homosexual, reports CNN. Jonathan Howard, one of the six members of The King's Singers, told The New York Times that two members of the group were homosexual. In a tweet, The King's Singers said, “It has become clear to us, from a flood of correspondence from students and members of the public, that these concerns related to the sexuality of members of our group.” In a responsive tweet, Pensacola Christian College, a private independent Baptist institution, said that it “cannot knowingly give an implied or direct endorsement of anything that violates the Holy Scripture, the foundation of our sincerely held beliefs. Pensacola Christian College cancelled a concert with The King's Singers upon learning that one of the artists openly maintained a lifestyle that contradicts Scripture. “The highly talented musicians were treated with dignity and respect when informed of the cancellation. The artists stated their understanding and acceptance of the change and were given full remuneration.” A section referring to sexuality in the school's articles of faith notes: “We believe that God has commanded that sexual activity be exclusively reserved to a man and a woman who are legally married to each other.” It goes on to say that scripture forbids “sexual immorality including adultery, fornication, homosexuality, bestiality, incest, and the use of pornography.” Because of its Biblical stand, Pensacola Christian College is being called homophobic and unchristian by homosexuals and their supporters, reports ThePinkNews. But Ephesians 5:11 says, “Have nothing to do with the fruitless deeds of darkness, but rather expose them.” Take a moment and thank the college's president, Dr. Troy Shoemaker. Send your email to PresidentsOffice@pcci.edu Close And that's The Worldview on this Friday, February 17th, in the year of our Lord 2023. Subscribe by iTunes or email to our unique Christian newscast at www.TheWorldview.com. Or get the Generations app through Google Play or The App Store. I'm Adam McManus (Adam@TheWorldview.com). Seize the day for Jesus Christ.
UN peacekeepers in the east of the Democratic Republic of Congo have found dozens of bodies in mass graves. The discovery comes after a series of attacks by armed groups in the region of Ituri. A UN spokesman, Farhan Haq, says the bodies of 42 people including women and children had been discovered in the village of Nyamamba, and a further seven men in the village of Mbogi. The peacekeepers had launched patrols in the area after reports of attacks by Codeco militias.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/4090160/advertisement
Le bilan de l'attaque des miliciens Codeco dimanche dernier dans plusieurs villages du territoire de Djugu (Ituri) est passé de 16 à 23 morts, d'après la société civile locale qui affirme que 7 autres ont été découverts lundi.
Watu hao 17 yakiwemo makundi ya ADF, CODECO, Mai Mai Yakatumba, M23, FDLR sasa wanakabiliwa na hatua za kuzuiwa EU hadi Disemba 2023 inajumuisha marufuku ya kusafiri na kuzuia mali Baraza la Umoja wa Ulaya (EU) limesema katika taarifa kwa vyombo vya habari
Prolongation de la TVA à 6%, quelques mesures pour les secteurs publics et privés et la possibilité de taxer les surprofits, l'objectif du CODECO de ce mercredi était d'éviter les pénuries et de tenter de faire baisser les prix des factures d'énergie.
"À propos", c'est le podcast quotidien du Soir pour s'informer, décrypter et s'inspirer.Les ministres fédéraux, les différents ministres de l'Energie et les ministres-présidents des Régions et des Communautés se sont réunis pour un Codeco mercredi après-midi. Leur objectif: faire baisser notre facture d'énergie. On analyse tout de suite les mesures prises avec Bernard Demonty, chef du service politique. A Propos, c'est aussi l'occasion de vous expliquer comment travaille la rédaction du Soir. A côté des habituels services thématiques, comme le service politique ou société, un pôle transversal a été mis en place autour de cette question du pouvoir d'achat et du prix de l'énergie. Christophe Berti, notre rédacteur en chef, nous explique pourquoi."À propos", c'est notre sélection, du lundi au vendredi dès 7 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal «Le Soir» sur https://podcasts.lesoir.bePrésentation : Pierre Fagnart, Sandrine Puissant
Aujourd'hui, nous parlerons bien sûr du Comité de concertation Énergie qui s'est montré impuissant et s'est contenté de mesurettes. On fera aussi un bilan boursier en nous interrogeant sur les premières victimes de la hausse des taux. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
"À propos", c'est le podcast quotidien du Soir pour s'informer, décrypter et s'inspirer. Un comité de concertation doit se réunir ce mercredi à 15h. Cette fois pas pour parler Covid et crise sanitaire, plutôt pour évoquer les prix de l'énergie et les finances des belges. Le gouvernement fédéral et les entités fédérées doivent prendre des mesures pour contrer la hausse des prix, pour soulager le portefeuille des ménages. Chaque parti y va de sa proposition avec parfois des mesures plus à long qu'à court terme…Le détail des propositions sur la table du Codeco est à lire, dans nos éditions papier et numériques ; nous, on a demandé à Dominique Berns du service économie de revenir sur les mesures qui pourraient avoir un impact direct sur nos factures.Des monuments wallons miniatures construits en Lego vont se dresser à la place des bulldozers Caterpillar, sur l'ancien site de l'usine à Charleroi qui a fermé il y a 6 ans. Le site de près de 100 hectares va accueillir le parc d'attraction Legoland. C'est le 2e plus gros investissement en Wallonie sur les 10 dernières années. Le projet devrait générer au moins 1000 emplois. Stéphane Vandevelde suit le dossier. Il commence par nous rappeler le traumatisme qu'a été la fermeture de Caterpillar en 2016. "À propos", c'est notre sélection, du lundi au vendredi dès 7 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal «Le Soir» sur https://podcasts.lesoir.bePrésentation : Pierre Fagnart, Sandrine Puissant
Les ministres fédéraux, les différents ministres de l'Energie et les ministres-présidents des Régions et des Communautés se sont réunis pour un Codeco mercredi après-midi. Leur objectif: faire baisser notre facture d'énergie. On analyse tout de suite les mesures prises avec Bernard Demonty, chef du service politique. Un podcast réalisé pour Le Soir par Sandrine Puissant.
Ce matin, nous allons vous parler de l'inflation qui atteint un nouveau record. Ensuite, nous aborderons les PME qui sont en grande difficulté à cause de leur facture d'énergie. Puis, nous développerons la proposition du MR d'une "contribution de crise" plutôt qu'une taxe pour lutter contre la flambée des prix de l'énergie. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans son édito de ce mardi 30 août 2022, dans + d'Actu, Fabrice Grosfilley évoque la hausse des factures d'énergie et les mesures attendues lors du Comité de concertation, prévu ce mercredi entre fédéral et entités fédérées.
Un comité de concertation doit se réunir ce mercredi à 15h. Cette fois pas pour parler Covid et crise sanitaire, plutôt pour évoquer les prix de l'énergie et les finances des belges. Le gouvernement fédéral et les entités fédérées doivent prendre des mesures pour contrer la hausse des prix, pour soulager le portefeuille des ménages. Chaque parti y va de sa proposition avec parfois des mesures plus à long qu'à court terme…Le détail des propositions sur la table du Codeco est à lire, dans nos éditions papier et numériques ; nous, on a demandé à Dominique Berns du service économie de revenir sur les mesures qui pourraient avoir un impact direct sur nos factures.Un podcast réalisé pour Le Soir par Pierre Fagnart avec la participation de Dominique Berns
Tous les matins dans le "8/9", Jérôme de Warzée délivre, de sa plume finement acérée, son "Cactus" ! Une chronique piquante sur l'actualité du jour !
Aujourd'hui, avec notre invité Frank Vranken, directeur des investissements de la banque Edmond de Rothschild, nous allons parler des prix de l'énergie. Que peuvent faire les gouvernements pour alléger la facture des citoyens? Nous parlerons aussi de l'inflation. Comment la combattre? Quelles sont les pistes de solutions pour la zone euro? Vous entendrez les réponses dans quelques instants. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
La situation sécuritaire dans la région des Grands Lacs d'Afrique reste fragile. C'est ce qu'a affirmé l'Envoyé spécial de l'ONU pour cette région, citant en exemple la persistance d'attaques menées par les groupes armés comme les M23, les ADF ou la CODECO dans l'Est de la République démocratique du Congo et dans la région. Lors de son récent passage dans nos studio M. Xia a toutefois souligné les progrès réalisés dans le renforcement de la coopération en matière de sécurité dans la région. Des acquis qu'il appelle à préserver. Dans cet entretien il revient également sur le commerce des ressources naturelles, al situation des femmes en RDC et ses priorités. (Interview : Huang Xia, Envoyé spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Nick Morgan-Jones is a freelance product designer who specializes in user experience and interface. He has recently put his efforts into his own project called Decibels, which functions as an alternative hearing enhancer for those who don't want to use hearing aids. Having grown up with hearing loss, Nick has applied his lived experiences into his design work. He has served as a consultant and designer for companies such as door2door, Code & Co, and One Sound Hire. In this episode… The primary drive for innovation in hearing technology is for better hearing — that's their medical purpose, but we as people are drawn towards expression and creativity. Just about any item that serves a function also offers a form of self-expression using small options like color or material to demonstrate a person's style. So why is there no such option for hearing tech? Nick Morgan-Jones is the Co-founder of Decibels, a product that looks to both improve the technology of hearing aids and its aesthetic design. When he was younger, Nick felt reluctant to use hearing aids because of their looks, so now he seeks to offer an alternative. He is currently working on the early models and is getting the word out about his innovative technology. Dr. Mark Syms interviews Nick Morgan-Jones, the Co-founder of Decibels, to talk about his product and what it brings to the market. They start with Nick's own life, his experiences with hearing loss, and how it drove him to start the project. They touch on topics such as user experience, fashion, and the process of creating new hardware. Find out all this and much more on this episode of the ListenUp! Podcast.
Watu zaidi ya 40 wengi wanawake na watoto wameuawa kwa kukatwa mapanga huko Ituri katika Jamhuri vya Kidemokrasi ya Congo na wanamgambo wanaoshukiwa kutoka kundi la CODECO
Fabian Le Castel délivre, de sa plume finement acérée, son "Cactus" ! Une chronique piquante sur l'actualité du jour !
Silaha za jeshi zinashukiwa kuangukia kwenye mikono ya kundi lenye sifa mbaya la CODECO linalolaumiwa kwa mauaji ya kikabila katika jimbo la kaskazini-mashariki la Ituri huko Jamhuri ya Kidemokrasi ya Congo (DRC)
Francis Van de Woestyne, éditorialiste de La Libre, et Philippe Deraymaeker, intervieweur de DH Radio, reviennent sur la semaine politique en podcast.
Des couloirs humanitaires pour évacuer les civils alors que les bombardements russes continuent de ravager les villes ukrainiennes, La centrale atomique de Zaporijjia, touchée par les bombes. On vous dit tout dans notre podcast. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer See omnystudio.com/listener for privacy information.
Les mesures s'allègent de partout en Europe, y compris chez nous. Le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke nous éclaircira sur toutes ces nouvelles mesures et de ce passage au code orange. Serait-ce enfin le vrai retour à la normale ?
Ce vendredi, c'est en particulier le Codeco et la possibilité de passer en code orange et donc d'assouplir des mesures liées à la crise sanitaire qui va nous occuper. Mais nous allons aussi parler de la bataille des géants du streaming. Netflix VS Walt Disney... qui l'a emporté? C'est ce que je vais vous révéler dans ce podcast matinal. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer See omnystudio.com/listener for privacy information.
Le ministre de la Justice évoquera l'affaire Dave De Cock et les pistes pour ne plus revivre ce genre de drame : des centres psychiatriques pour délinquants à Alost, Wavre et Paifve, le rôle des maisons de détention pour les peines courtes. A quoi ressembleront les futures prisons de Haren, Termonde
Francis Van de Woestyne, éditorialiste de La Libre, et Philippe Deraymaeker, intervieweur de DH Radio, reviennent sur la semaine politique en podcast.
Le Belge Peter Piot a découvert et identifié avec son équipe le virus Ebola en 1976. Il fut aussi secrétaire général adjoint à l'ONU, responsable de la lutte contre le Sida. Il est à présent conseiller spécial de la présidente de la commission européenne Ursula Von der Leyen en matière de Covid.
Le Covid Safe Ticket sera-t-il bientôt remplacé par un Pass vaccinal, réservé aux seuls vaccinés ? Le Commissaire Corona, Pedro Facon, penche en ce sens. Cette solution de pass est selon lui plus équilibrée. Mais il demande qu'un débat large sur l'obligation vaccinale soit lancé.
8 janvier 2022. Francis Van de Woestyne, éditorialiste de La Libre, et Philippe Deraymaeker, intervieweur de DH Radio, reviennent sur la semaine politique.
Carl DEFOY sera avec nous en duplex de Namur pour réagir aux décisions du Codeco express qui a lieu ce mercredi.
Carl DEFOY sera avec nous en duplex de Namur pour réagir aux décisions du Codeco express qui a lieu ce mercredi.
Dans votre Actu Région : - Les Cinés Wellington restent ouverts malgré les décisions prisent lors du CoDeCo du 22 décembre ; - Il n'y aura pas de marché du centre-ville le 1er janvier à Nivelles ; - Récolte des sapins naturels à Genappe et à Braine-l'Alleud.
Aktuell: Codeco: De Croo und Vandenbroucke reagieren auf die Kritik - Roger Pint
Depuis quelques mois vous avez certainement dû le voir sur Facebook puisque ses vidéos y cartonnent! Chaque comité de concertation il n'en loupe pas une... et c'est pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Si vous ne le connaissez pas, PE c'est vraiment… un optimiste! Et puisqu'on vit une époque absolument fantastique, PE vient nous expliquer chaque mardi pourquoi finalement... bah tout va bien! "Alors cette semaine… Par où commencer??? Non mais, Il y a eu beaucoup, en plus en ce moment l'actualité s'apparente à une grosse parodie. Sérieux des que je lis la presse, je me sens obligé de vérifier si c'est pas le Gorafi. Par exemple en France : Désormais sur C8, il y a émission politique animé par Cyril Hanouna. Bam. Premier niveau d'absurdité.. une émission politique animé par Hanouna… Attends, c'est pas fini, ce n'est qu'un début.. l'émission s'appelle Face à Baba… fin de la vanne, non toujours pas sinon ce ne serait pas drôle, le premier invité de l'émission de Hanouna, c'était Eric Zemmour. Il n'y a rien qui va dans cette info… Zemmour chez Hanouna…"
A l'approche des fêtes de fin d'année et à la veille d'un nouveau Codeco, comment se porte le secteur du service traiteur ? Les commandes sont-elles nombreuses ? Pour quel nombre de personnes en général ? Le Codeco (tardif) en date du 22 décembre à fait rugir le secteur de l'Horeca, quid chez les traiteurs ? Comment s'organiser au niveau logistique ? On en parle avec Benoit SIMONIS, traiteur à Liège.
A l'approche des fêtes de fin d'année et à la veille d'un nouveau Codeco, comment se porte le secteur du service traiteur ? Les commandes sont-elles nombreuses ? Pour quel nombre de personnes en général ? Le Codeco (tardif) en date du 22 décembre à fait rugir le secteur de l'Horeca, quid chez les traiteurs ? Comment s'organiser au niveau logistique ? On en parle avec Benoit SIMONIS, traiteur à Liège.
Depuis quelques mois vous avez certainement dû le voir sur Facebook puisque ses vidéos y cartonnent! Chaque comité de concertation il n'en loupe pas une... et c'est pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Si vous ne le connaissez pas, PE c'est vraiment… un optimiste! Et puisqu'on vit une époque absolument fantastique, PE vient nous expliquer chaque mardi pourquoi finalement... bah tout va bien! "Alors cette semaine… Par où commencer??? Non mais, Il y a eu beaucoup, en plus en ce moment l'actualité s'apparente à une grosse parodie. Sérieux des que je lis la presse, je me sens obligé de vérifier si c'est pas le Gorafi. Par exemple en France : Désormais sur C8, il y a émission politique animé par Cyril Hanouna. Bam. Premier niveau d'absurdité.. une émission politique animé par Hanouna… Attends, c'est pas fini, ce n'est qu'un début.. l'émission s'appelle Face à Baba… fin de la vanne, non toujours pas sinon ce ne serait pas drôle, le premier invité de l'émission de Hanouna, c'était Eric Zemmour. Il n'y a rien qui va dans cette info… Zemmour chez Hanouna…"
Depuis quelques mois vous avez certainement dû le voir sur Facebook puisque ses vidéos y cartonnent! Chaque comité de concertation il n'en loupe une... et c'est pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Si vous ne le connaissez pas, PE c'est vraiment… un optimiste! Et puisqu'on vit une époque absolument fantastique, PE vient nous expliquer chaque mardi pourquoi finalement... bah tout va bien! PE fait le tour de l'actualité : Le dernier "Codeco" & un obus de la deuxième guerre mondiale dans un endroit particulier...
La semaine politique de La Libre du 4 décembre 2021. Au menu: Codeco / Jambon a retourné sa veste / Magnette joue au Schtroumpf grognon / Le bazar bruxellois / Un peu d'exotisme avec les primaires de la droite en France.
Depuis quelques mois vous avez certainement dû le voir sur Facebook puisque ses vidéos y cartonnent! Chaque comité de concertation il n'en loupe une... et c'est pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Si vous ne le connaissez pas, PE c'est vraiment… un optimiste! Et puisqu'on vit une époque absolument fantastique, PE vient nous expliquer chaque mardi pourquoi finalement... bah tout va bien! Le dernier épisode inédit du Codeco : un moonwalk version belge !
Codeco, nouveau variant, les tensions de la Vivaldi... et si on essayait plus d'humanité, de spiritualité, d'humilité. Tiens, au fait, il en a pensé quoi, Paul Magnette de la sortie de François Hollande sur le nucléaire ?
Depuis quelques mois vous avez certainement dû le voir sur Facebook puisque ses vidéos y cartonnent! Chaque comité de concertation il n'en loupe une... et c'est pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Si vous ne le connaissez pas, PE c'est vraiment… un optimiste! Et puisqu'on vit une époque absolument fantastique, PE vient nous expliquer chaque mardi pourquoi finalement... bah tout va bien! "A un moment donné Alexander de Croo va retirer ses cheveux, son visage et en dessous il y aura François l'Embrouille qui apparaitra en disant: Héhéhé c'était une caméra caché, héhéhéh…"
Le podcast politique
"Un Codeco communautaire", c'était l'édito de Fabrice Grosfiley ce mardi 26 octobre dans Toujours + d'Actu.
"Un Codeco communautaire", c'était l'édito de Fabrice Grosfiley ce mardi 26 octobre dans Toujours + d'Actu.
L'édito politique de Himad Messoudi : retour sur les chiffres inquiétants de contamination à Liège et les mesures annoncées par le Codeco.
Codeco, la fin du tunnel se rapproche, le retour de la politique classique, la militante Laïque Nadia Geerts rejoint le MR, rivalité Belgique France et sagesse Chinoise. Retour sur la semaine politique écoulée.
CQFD LE DÉBRIEF DE LA SEMAINE - Codeco : la culture, enfin au centre l'attention ? Voile à la STIB : le gouvernement bruxellois sauvé ? Climat : faut-il contraindre l'Etat Belge ? Avec François BRABANT, rédacteur en chef et fondateur du magazine Wilfried, Françoise BARÉ, responsable éditoriale Culture/Mode de vie RTBF et Baptiste HUPIN, journaliste à la RTBF
Francis Van de Woestyne, éditorialiste de La Libre, et Philippe Deraymaeker, intervieweur de DH Radio, reviennent sur la semaine politique en podcast.
Francis Van de Woestyne, éditorialiste de La Libre, et Philippe Deraymaeker, intervieweur de DH Radio, reviennent sur la semaine politique en podcast.
L'invité dans l'actu - Le déconfinement continue progressivement, et malgré le report du prochain Codeco au 4 juin, l’ouverture des secteurs culturels et l’intérieur des établissements Horeca pour le 9 juin semble bien s’amorcée. Pourtant, le protocole de reprise ne semble pas encore au point, notamment en ce qui concerne le plan ventilation qui présente toujours quelques fausses notes. L’arrêté encadrant le marché des purificateurs d’air doit entrer en vigueur ce vendredi. Le problème est qu’il exclut certaines technologies déjà bien présente dans nos établissements. Comment s’adapter à un
L'invité dans l'actu - Le déconfinement continue progressivement, et malgré le report du prochain Codeco au 4 juin, l’ouverture des secteurs culturels et l’intérieur des établissements Horeca pour le 9 juin semble bien s’amorcée. Pourtant, le protocole de reprise ne semble pas encore au point, notamment en ce qui concerne le plan ventilation qui présente toujours quelques fausses notes. L’arrêté encadrant le marché des purificateurs d’air doit entrer en vigueur ce vendredi. Le problème est qu’il exclut certaines technologies déjà bien présente dans nos établissements. Comment s’adapter à un
CQFD (Ce Qui Fait Débat) –– LE DÉBRIEF DE LA SEMAINE. Retour sur le CODECO de mardi et les prochaines étapes du déconfinement mais aussi sur la motivation des belges concernant la vaccination avec Johanne MONTAY, responsable éditoriale Sciences/Santé RTBF, Xavier COUNASSE, journaliste au Soir et Dorian DE MEEÛS, rédacteur en chef de La Libre
CQFD (Ce Qui Fait Débat) –– LE DÉBRIEF DE LA SEMAINE. Retour sur le CODECO de mardi et les prochaines étapes du déconfinement mais aussi sur la motivation des belges concernant la vaccination avec Johanne MONTAY, responsable éditoriale Sciences/Santé RTBF, Xavier COUNASSE, journaliste au Soir et Dorian DE MEEÛS, rédacteur en chef de La Libre
CQFD (Ce Qui Fait Débat) –– LE DÉBRIEF DE LA SEMAINE. Retour sur le CODECO de mardi et les prochaines étapes du déconfinement mais aussi sur la motivation des belges concernant la vaccination avec Johanne MONTAY, responsable éditoriale Sciences/Santé RTBF, Xavier COUNASSE, journaliste au Soir et Dorian DE MEEÛS, rédacteur en chef de La Libre
Le dossier de la rédaction: Depuis la mi-mars 2020, le secteur culturel est à l'arrêt. Si pour les petites salles de spectacle et/ou de théâtre, une reprise des activités pourrait être envisagée avec un public réduit, qu'en est-il des grandes salles de concert dont la programmation doit être bookée des mois à l'avance. Le secteur est exsangue, ses travailleurs n'en peuvent plus. Qu'attendent-ils du Codeco de ce jour ? On en parle avec Coralie BERAEL, directrice du Sportpaleis Group, qui comprend Forest National, et porte-parole de Live2020.
Plusieurs dossiers sont sur la table du Codeco. Selon une étude, on serait sous le seuil décisif des 500 lits fin mai.
Décisions du Codeco : comment réagit le secteur culturel ? Éléments de réponse, ce lundi, dans le face à face de Toujours + d'Actu avec Françoise Havelange, secrétaire générale de la Fédération des employeurs des arts de la scène, Gwen Breës, l'un des initiatieur de Still standing for culture et le comédien David Murgia.
Décisions du Codeco : comment réagit le secteur culturel ? Éléments de réponse, ce lundi, dans le face à face de Toujours + d'Actu avec Françoise Havelange, secrétaire générale de la Fédération des employeurs des arts de la scène, Gwen Breës, l'un des initiatieur de Still standing for culture et le comédien David Murgia.
Tous les matins dans le "8-9", Jérôme de Warzée délivre, de sa plume finement acérée, son "Cactus" ! Une chronique piquante sur l'actualité du jour !
L'épidémiologiste était l'invité de l'émission "Il faut qu'on parle", de Maxime Binet, sur DH Radio.
Fabian Le Castel délivre, de sa plume finement acérée, son "Cactus" ! Une chronique piquante sur l'actualité du jour !
CQFD - Codeco difficile : quelles sont les nouvelles mesures ? Avec David CLARINVAL (MR), ministre fédéral des Indépendants, des PME et de la Classe moyenne, Philippe DEVOS, médecin aux soins intensifs à la clinique CHC Mont Légia et président de l’ABSYM et Willy DEMEYER, bourgmestre de Liège (PS).
La décision du Codeco à ce propos est passée presque inaperçue.
The Society Show with Christian Patterson, bringing you international news you may have missed, mixed with a barrage of soundboard clips, and Marxist propaganda. In this episode: - An American private military company attempted, and failed, a raid of Venezuela with dissidents - ISIS claims 2 terrorist attacks in Afghanistan, but government blames Taliban - The Libyan Civil War heats up into a proxy war - CODECO, the Lendu ethnicity militia in the jungles of Congo - ISIS affiliates fight for control of Mozambique - Ethiopia considers appointing technocratic government - Coups in Sudan - Settler violence against Palestinians increases under coronavirus - 9 police officers were killed in Syria, likely linked to Civil War-related violence - Inflation grows in Iran, leading to currency shake-up - Garment industry in Bangladesh reopens, putting third world workers at great risk - South Korea sees homophobic backlash after COVID spreads in gay night clubs - Brawl in Hong Kong legislature - Donald Trump's choice for Director National Intelligence is into QAnon - US refuses to help international COVID vaccine research - Saudi Arabia triples taxes - Navajo Nation has more COVID cases per capita than anywhere in US - Tim Horton's, and coffee shops in East Asia - And much much more!