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No. 66 – Anna Chif : Le succès les deux pieds sur terre Dans cet épisode Brave, Marie-Josée Gagnon reçoit Anna Chif, cofondatrice de Coral, une entreprise novatrice dédiée à la santé des femmes. À seulement 36 ans, cette entrepreneure en série — derrière le succès de Dialogue, pionnière de la télémédecine au Canada — partage un parcours aussi inspirant qu'authentique. Née en Ouzbékistan et arrivée à Montréal à l'âge de six ans, Anna raconte comment son sens du courage s'est forgé entre adaptation, ambition et soif d'apprendre. De ses débuts chez McKinsey à la création de quatre entreprises, elle livre un témoignage vibrant sur le leadership féminin, l'audace et la résilience qu'exige l'entrepreneuriat. • Ses apprentissages d'une première faillite transformée en tremplin • La naissance de Dialogue, puis sa croissance fulgurante jusqu'à l'entrée en bourse • Son engagement humanitaire à travers 4Ukraine.ca, en pleine guerre • La création de Coral, un projet visionnaire pour la santé hormonale et le bien-être des femmes • Sa vision du succès au féminin : garder les deux pieds sur terre, même au sommet Un épisode puissant sur la détermination, la gratitude et l'art de bâtir sans perdre de vue l'essentiel : la famille, la communauté et le sens du devoir. Abonnez-vous pour découvrir des récits qui inspirent à être, à choisir, à avancer. Si vous aimez nos balados, merci de vous abonner et de nous donner plein d'étoiles ! Pour découvrir Brave et vous abonner à notre infolettre : https://braveinspiration.com/ Pour en savoir plus sur Marie-Josée Gagnon : linkedin.com/in/mariejoseegagnon Suivez-nous sur les médias sociaux : LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/11486867 Facebook : https://www.facebook.com/ Instagram : https://www.instagram.com/brave.inspiration/ Pour en savoir plus, visitez https://braveinspiration.com/ #Courage #Brave #Femmes #Inspiration
Dans cet épisode de Ta Face B, tu découvriras que dire « oui » aux imprévus peut t'emmener jusqu'en Ouzbékistan ou sur un deck construit à la main. Max partage aussi le road trip improbable qui a suivi la naissance de sa fille… et pourquoi son playlist Spotify est coincée à l'ère Cat StevensSupport the showListen to all the episodes, rate and review us wherever you listen to your podcasts!--Écoute tous les épisodes, laisse nous une note et un commentaire partout où tu écoutes tes podcasts!Contact: Instagram (EN) Instagram (FR) TwitterLinkedinFacebookEmail: your.bside.podcast@gmail.com Credits: Jazzy Abstract, by BeatComa-Media
En visite à partir de ce jeudi en Asie centrale, Vladimir Poutine participe à un sommet avec les cinq dirigeants de cette région riche en ressources naturelles. Un déplacement à forte portée économique pour une Russie sous sanctions, qui cherche à préserver son influence face à la montée en puissance de la Chine et d'autres partenaires. Le président russe est au Tadjikistan à l'occasion d'un sommet réunissant les cinq pays d'Asie centrale: le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan et le Tadjikistan. Longtemps considérée comme le cœur de l'influence soviétique, puis russe, cette région stratégique tente depuis la chute de l'URSS de diversifier ses partenariats. Désormais, ces États multiplient les liens économiques avec la Chine, la Turquie et plusieurs pays occidentaux, notamment la France. Une évolution que Moscou observe avec attention. Sous le coup de lourdes sanctions depuis l'invasion de l'Ukraine, la Russie cherche dans cette région un moyen de compenser ses pertes économiques et d'affirmer qu'elle reste un acteur incontournable. L'énergie, au cœur de la stratégie économique russe Le principal levier de cette visite est énergétique. Le sous-sol de ces pays regorge de ressources naturelles — pétrole, gaz et uranium — qui attirent les convoitises. Le Kazakhstan, par exemple, est l'un des plus grands producteurs d'hydrocarbures de la région, mais son pétrole transite à 80 % par les oléoducs russes. L'uranium, essentiel au fonctionnement des centrales nucléaires, constitue un autre enjeu majeur. Plusieurs puissances se positionnent sur ce marché, dont la France. Emmanuel Macron s'est rendu en Ouzbékistan au printemps dernier pour signer de nouveaux partenariats. Moscou, de son côté, veut consolider sa place en proposant sa technologie nucléaire et en négociant de nouveaux contrats énergétiques. Mais Vladimir Poutine avance désormais sur un terrain où la Chine a pris une longueur d'avance. Pékin, Paris, Ankara… la Russie n'est plus seule à la table Derrière ce déplacement, c'est aussi une bataille d'influence qui se joue. Avec son vaste projet des « Nouvelles routes de la soie », Pékin a transformé l'Asie centrale en un couloir commercial entre la Chine et l'Europe, y investissant massivement dans les infrastructures et les technologies. Cette présence chinoise offre aux États centrasiatiques une alternative crédible à Moscou, qui voit son influence se réduire. Dans ce contexte, la visite de Vladimir Poutine apparaît comme une tentative de démontrer que la Russie peut encore peser économiquement malgré la guerre et l'isolement international. Mais le centre de gravité économique de la région s'est déplacé. Les capitaux viennent désormais de Pékin, d'Ankara, parfois même de Paris. Si Moscou demeure un acteur historique et symbolique, elle doit désormais composer avec d'autres puissances bien installées. L'Asie centrale, forte de cette rivalité, tient un rôle d'arbitre, profitant de cette compétition pour renforcer sa souveraineté sans sacrifier son autonomie.
Samarcande en Ouzbékistan va abriter du 30 octobre au 13 novembre la 43e session de la conférence générale de l'Unesco. Un nouveau Directeur général sera désigné au cours de cette rencontre. Deux candidats, tous des Africains, sont en lice : le Congolais de Brazzaville Firmin Edouard Matoko et l'Égyptien Khaled Ahmed El-Enany. Eric Topona et ses invités en débattent sous l'Arbre à palabres.
Nous allons commencer notre émission par une discussion sur l'actualité. La nouvelle de l'assassinat de Charlie Kirk a choqué de nombreuses personnes aux États-Unis et au-delà. Est-ce que cette nouvelle va mener à une revanche ou, au contraire, à une réconciliation ? Rien n'indique, pour l'instant, que les États-Unis se dirigent vers la réconciliation. Ensuite, nous aborderons les exigences de Trump selon lesquelles tous les pays de l'OTAN doivent cesser d'acheter du pétrole russe avant qu'il n'impose des sanctions à la Russie. Qu'est-ce qui se cache derrière cette exigence ? S'agit-il d'un moyen d'éviter les sanctions américaines contre la Russie ? Notre section scientifique sera consacrée à une étude révélant que 44 % des personnes atteintes de diabète ne sont pas diagnostiquées. Fait particulièrement alarmant : seulement 20 % des jeunes adultes de moins de 35 ans sont conscients de leur état. Et enfin, nous parlerons d'une loi adoptée en Ouzbékistan qui permet aux prisonniers de réduire leur peine de 1 à 30 jours par an en lisant les livres d'une liste prédéfinie. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. Cette semaine, nous continuerons à travailler l'imparfait. Notre leçon sera The Imperfect Tense The Verbs of the 3rd Group (Lesson 4): The verbs conjugating like: sentir, connaître, construire, and faire. Nous parlerons d'une invention originale qui a fait parler d'elle lors de la Foire de Châlons qui a lieu chaque année en France pendant la première semaine de septembre. Nous terminerons avec l'expression de la semaine, Ce n'est pas la mer à boire. De plus en plus de municipalités décident de rendre les transports en commun gratuits pour les usagers. Mais cette mesure populaire est-elle vraiment une bonne idée ? - Après l'assassinat de Charlie Kirk les États-Unis choisiront-ils la vengeance ou la réconciliation ? - Trump exige que tous les pays de l'OTAN arrêtent d'acheter du pétrole russe avant qu'il impose des sanctions - Près de la moitié des personnes diabétiques ne sont pas diagnostiquées - En Ouzbékistan, les détenus qui lisent des livres peuvent réduire leur peine de prison - Une invention originale attire l'attention du public lors de la Foire de Châlons. - Les transports en commun gratuits, une bonne idée ?
Je reçois Marie Chuvin, traductrice de l'anglais et membre du comité éditorial des éditions Les Prouesses. Nous avons parlé de deux livres qu'elle a traduits, L'Oiseau rouge. Mémoires d'une femme dakota, de Zitkála-Šá, et Le sens de notre amour pour les femmes, d'Adrienne Rich ; de la maison d'édition féministe Les Prouesses ; des enjeux autour de la traduction d'un texte écrit par une femme autochtone, du rôle que peut jouer la traduction dans le déploiement des luttes féministes, d'un départ en Ouzbékistan et du déracinement. Elle a lu pour nous un extrait en VO et en VF du livre de Zitkála-Šá. Chanson du générique : Hermanos Gutiérrez, Esperanza Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une étude internationale récente, soutenue par le CNRS et publiée en avril 2025 dans Scientific Reports, a révélé que les femmes entendent en moyenne mieux que les hommes. Cette recherche, menée par le Centre de recherche sur la biodiversité et l'environnement (CRBE) à Toulouse en collaboration avec l'Université de Bath, a évalué la sensibilité cochléaire de 448 adultes âgés de 18 à 55 ans, répartis dans 13 populations à travers le monde, notamment en Équateur, en Angleterre, au Gabon, en Afrique du Sud et en Ouzbékistan.Les chercheurs ont utilisé une technique appelée émissions otoacoustiques transitoires (TEOAE) pour mesurer la sensibilité de l'oreille interne. Cette méthode consiste à envoyer des sons brefs dans l'oreille et à enregistrer les réponses acoustiques produites par la cochlée, fournissant ainsi une mesure objective de la sensibilité auditive sans nécessiter de réponse active du participant.Différence entre les sexes : Les femmes ont montré une sensibilité auditive supérieure de 2 décibels en moyenne par rapport aux hommes, et ce, dans toutes les populations étudiées. Facteurs influents : Le sexe est apparu comme le facteur le plus déterminant dans la variabilité de l'audition humaine, suivi par l'environnement, puis l'âge et enfin la latéralité (oreille gauche ou droite). Influence de l'environnement : Les personnes vivant en milieu urbain présentaient une sensibilité accrue aux hautes fréquences, probablement en raison du bruit ambiant constant des villes. En revanche, celles vivant en forêt tropicale avaient une meilleure sensibilité auditive globale, tandis que les populations en haute altitude montraient une sensibilité réduite, possiblement liée à des adaptations physiologiques à l'altitude. Les chercheurs suggèrent que cette différence entre les sexes pourrait être due à des facteurs biologiques tels que l'exposition hormonale pendant le développement embryonnaire ou à des différences structurelles dans l'anatomie cochléaire. De plus, les femmes ont également obtenu de meilleurs résultats dans des tests de perception de la parole, indiquant une capacité accrue à traiter les informations auditives. Bien qu'une meilleure sensibilité auditive puisse sembler avantageuse, elle pourrait également rendre les femmes plus susceptibles aux effets négatifs du bruit environnemental, tels que les troubles du sommeil ou les maladies cardiovasculaires. Cette étude souligne l'importance de considérer à la fois les facteurs biologiques et environnementaux dans la compréhension de l'audition humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il a été, est et restera « Magic » Lokoka : l'un des héros de la première Coupe du monde du Futsal français, achevée à la 4e place et riche de souvenirs incroyables, dont une guirlande d'arrêts exceptionnels du gardien tricolore. Un tournant évident dans la carrière du joueur de 31 ans, sorti renforcé et apaisé de ce mois passé en Ouzbékistan, et plus ambitieux que jamais pour ses coéquipiers en Bleu, dont un certain Ayoub Saadaoui.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:32 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les pays d'Asie centrale ont accéléré la quête de nouveaux partenaires pour tenter de diminuer leur dépendance vis-à-vis de Moscou et Pékin. L'Europe fait notamment figure d'alternative, comme l'illustre le premier sommet UE-Asie centrale qui s'est tenu en Ouzbékistan début avril. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Catherine Poujol Professeure d'histoire de l'Asie centrale à l'INALCO et ancienne directrice de l'IFEAC (Institut Français d'Études sur l'Asie Centrale); Adrien Fauve Maître de conférences à l'Université Paris-Saclay; Didier Chaudet Spécialiste des mondes persanophone et sud-asiatique
durée : 00:03:06 - L'éco avec - Pendant que Donald Trump intensifie sa guerre commerciale mondiale, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, se rend aujourd'hui en Ouzbékistan, à Samarcande.
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
Le président de l'Ouzbékistan, Shavkat Mirziyoyev est en visite d'État à Paris ce mercredi 12 mars 2025. Une visite, tout sauf anecdotique, car, derrière elle, se cache des enjeux économiques très importants entre les deux pays. Décryptage. Il faut bien l'avouer, la France et l'Ouzbékistan ne sont ni pour l'un, ni pour l'autre, des partenaires commerciaux de premier plan, mais ils échangent tout de même. Paris est ainsi le seizième partenaire commercial de ce pays d'Asie centrale dont la capitale est Tachkent, restant ainsi un fournisseur secondaire très loin derrière la Chine, la Russie et le Kazakhstan qui occupent le podium. Les deux échangent cependant tout un tas de choses ! En 2023, la France exportait pour 621 millions d'euros. Une tendance à la hausse puisque c'est cinq fois plus qu'en 2019. L'industrie française envoie des avions, des parfums, des cosmétiques, des produits pharmaceutiques ainsi que des machines et des équipements notamment agricoles. Il en sera d'ailleurs question durant cette visite d'État. À lire aussiEn 2023, lors d'une visite en Ouzbékistan, Emmanuel Macron a cherché à sécuriser l'approvisionnement en uranium de la FranceLe poids de l'uranium Mais l'Ouzbékistan pour sa part exporte peu vers la France, pour autant 90% de ses exportations correspondent à des livraisons de composés d'uranium. Autant dire la quasi-intégralité. C'est là que ça devient intéressant pour Paris et l'Élysée n'y va pas par quatre chemins en affirmant que cette visite d'État du président ouzbek est notamment consacrée « au renforcement de la coopération sur les métaux rares et stratégiques ». L'uranium en fait évidemment partie et il est grandement utile à la souveraineté énergétique tricolore puisqu'il fait fonctionner les centrales nucléaires. Paris pourrait ainsi trouver une alternative aux exportations nigériennes, le géant français Orano ayant suspendu son activité d'extraction au Niger, Orano qui opère d'ailleurs déjà en Ouzbékistan. La région attire De l'autre côté, l'ancienne république soviétique voit en la France une alliée idéale dans sa métamorphose. Le pays connait une croissance aux alentours de 6% par an, sa démographie explose et surtout, Tachkent veut réduire sa dépendance au gaz d'une part, et à la Russie d'autre part.À lire aussiConfronté à une grave crise énergétique, l'Ouzbékistan va importer du gaz russe La France est ainsi une solution car elle possède le savoir-faire et les technologies pour relever ce défi avec ses champions, par exemple, pour la transition énergétique que souhaite opérer l'Ouzbékistan. EDF qui est le plus gros investisseur tricolore dans le pays, à hauteur d'un milliard d'euros, a deux projets en cours de centrales thermiques. Total Energies a ouvert une centrale solaire photovoltaïque. En tout, ce sont une cinquantaine d'entreprises qui sont implantées dans l'ancienne république soviétique. Mais il n'y a pas que la France qui est intéressée et qui intéresse l'Ouzbékistan. Plus largement c'est l'Asie centrale qui attire la France et les pays occidentaux. Le chancelier allemand Olaf Sholz s'y est rendu en septembre dernier pour des raisons à peu près similaires. On l'a donc bien compris, les deux pays ont beaucoup à gagner à s'entendre et cette visite d'État en est l'illustration. Nul doute que des contrats seront signés dans les prochaines heures entre la France, l'Ouzbékistan et leurs grandes entreprises nationales !
Les vieilles américaines de Cuba, les voitures recyclées au Bénin, les Chrysler blanches en Ouzbékistan… Chaque pays semble avoir son histoire automobile. Petit tour d'horizon avec François Mazure, journaliste d'Un Monde à Part. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est la demande du vice-président de la chambre basse du Parlement ouzbek. Des mots qui vont à l'encontre de la récente promesse du président qui assure vouloir "raviver l'opposition", inexistante en Ouzbékistan. Cinq partis sont représentés au Parlement mais ils sont tous soutiens du pouvoir.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est la demande du vice-président de la chambre basse du Parlement ouzbek. Des mots qui vont à l'encontre de la récente promesse du président qui assure vouloir "raviver l'opposition", inexistante en Ouzbékistan. Cinq partis sont représentés au Parlement mais ils sont tous soutiens du pouvoir.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est la demande du vice-président de la chambre basse du Parlement ouzbek. Des mots qui vont à l'encontre de la récente promesse du président qui assure vouloir "raviver l'opposition", inexistante en Ouzbékistan. Cinq partis sont représentés au Parlement mais ils sont tous soutiens du pouvoir.
La médaille en chocolat ne satisfait jamais que les gourmands. Mais les Bleus du futsal le sont, et ne retiennent donc que le positif de la 4ème place obtenue lors de la Coupe du monde 2024 en Ouzbékistan. Parce qu'il s'agissait d'une première participation, d'abord, mais aussi parce que l'aventure humaine a été au-delà de ce qu'avaient imaginé Abdessamad Mohammed, Souheil Mouhoudine, Ayoub Saadaoui, Kévin Ramirez et leurs coéquipiers ; des heures précédant l'entrée dans la compétition à la petite finale, en passant par la préparation difficile du 8ème de finale à la suite de la polémique née du troisième match de poule perdu contre l'Iran.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous vous emmenons en Ouzbékistan.L'Ouzbékistan, au cœur de l'Asie centrale, est une terre chargée d'histoire célèbre pour ses villes mythiques sur la Route de la Soie.Bruno Maltor, influenceur voyage et créateur de contenu, collabore de nouveau avec Selectour après son voyage en Namibie l'an passé.Le voyage en Ouzbékistan de Bruno MaltorKhivaCommencez votre [voyage en Ouzbékistan: https://www.selectour.com/voyage/bruno-maltor-ouzbekistan] par Khiva, ancienne capitale du Khorezm qui, après avoir été l'un des plus importants marchés d'esclaves d'Asie centrale aux 18e et 19e siècles, apparaît un peu aujourd'hui comme un vaste décor de cinéma après les restaurations qu'elle a connues.Châteaux du DésertNous continuons avec les châteaux du désert : Toprak Kala et Ayaz Kala. Vous pourrez vous promener pour découvrir ces vestiges, et surtout admirez dans le désert le coucher du soleil.Mer d'AralTroisième lieu incontournable du voyage en Ouzbékistan de Bruno Maltor avec la mer d'Aral. Vous profiterez d'une nuit typique sous une yourte et vous visiterez le village Moynaq, célèbre comme étant « le cimetière des navires ».NoukousVisite du musée d'Art où est conservée l'incroyable collection de plus de 80.000 tableaux sauvés par l'artiste et collectionneur Igor Savitsky.BoukharaLe voyage en Ouzbékistan de Bruno Maltor continue avec la visite de Boukhara la "Sainte", rivale de Samarcande depuis l'Antiquité, et qui forme aujourd'hui le cœur de l'oasis occidentale de la Sogdiane.NourataArrivée à Nourata, vous pourrez visiter la source sacrée de la forteresse d'Alexandre le Grand et de la mosquée Tchil Ustun. Nous vous proposerons également d'aller déjeuner chez l'habitant.AydarkulDirection désormais le lac Aydarkul, qui est le second lac le plus grand du pays après la mer d'Aral. C'est ici que vous pourrez profiter de lac en toute quiétude.SamarcandeAvant dernière étape du voyage en Ouzbékistan de Bruno Maltor avec Samarcande, la « perle de l'Orient ». Cette cité s'est développée au carrefour des grands axes de la route de la Soie et devint la capitale de l'Empire timouride.TachkentLe voyage en Ouzbékistan de Bruno Maltor se termine par sa capitale. Visite de la vieille ville, balade dans le bazar de Chrosu, promenade sur certaines places et exploration du métro au programme.Pourquoi voyager en Ouzbékistan ?Cette visite combine les deux types de voyages les plus populaires en Ouzbékistan : une visite guidée du pays avec des excursions dans les villes historiques légendaires de Khiva, Boukhara et Samarcande avec des monuments architecturaux grandioses et un voyage vers la mer d'Aral à travers les villages peu habités.Si vous souhaitez en savoir plus sur la destination et, pourquoi pas, faire le même [voyage en Ouzbékistan que Bruno Maltor: https://www.selectour.com/voyage/bruno-maltor-ouzbekistan], n'hésitez pas à faire appel à nos [experts: https://www.selectour.com/agent/recherche?postalCode=&city=&favoriteDestination=UZ&page=1] !À bientôt dans le cockpit !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
100% LIFESTYLE - Tous les jeudis : - De 19H à 20H sur RDL 103.5 FM en Centre Alsace - A l'écoute partout à cette heure sur le direct live sur www.rdl68.fr - En PODCAST sur SOUNDCLOUD chaque JEUDI à 21H Dans ce numéro, Anne-Claire & Yann vous proposent : - En route pour l'aventure (voyage/Yann): Kazakhstan, Ouzbékistan... Zoom sur 5 pays d'Asie centrale finissant par -stan - La minute soignante (santé & bien-être/Anne-Claire): 6 recommandations pour accueillir l'automne en pleine santé - Chanson Story (histoire d'un tube/Yann): "Pauvres Diables (Vous les femmes)", Julio Iglesias, 1979 - La question des auditeurs: Violaine de Habsheim demande combien de temps peut-on conserver certains aliments au congélateur ? - Mode & Beauté (Anne-Claire): Comment prendre soin de ses pieds ? (avec une chanson dantesque !) MUSIQUES: "Life is a highway", Rascal Flatts ("Cars"), 2006 "Pauvres Diables" (Vous les femmes), Julio Iglesias, 1979 "Destin", Julien feat Guard, 2024 EXTRAITS: "A la faveur de l'automne", Tété, 2001 "It's raining again", Supertramp, 1982 "Pobre Diablo", Julio Iglesias, 1978 "Frozen", Madonna, 1998 "La chanson des pieds", Dorothée, 1982 Important: Je ne touche aucun droits d'auteur sur ces chansons. Les droits reviennent intégralement aux auteurs/compositeurs/interprètes. Diffusion: Jeudi 19H - 20H en direct sur RDL (103.5 FM dans le Centre Alsace) ecouterradioenligne.com/rdl-colmar/ Une production RDL 103.5 FM Tous droits réservés
Cloud Castle: une plateforme artistique qui se veut lieu imaginaire. Ouzbékistan: un pays qui renforce le contrôle moral des productions médiatiques et artistiques. +57: lʹindicatif dʹune chanson qui pose problème en Colombie.
Episode 47 de notre podcast aéronautique ! Gros épisode ce mois ci car pas mal de news et de livrée, avec de plonger en compagnie de Ludovic et Mickael dans un spotting trip au Kazakstan, Ouzbékistan et Kighikistan. On finira par une histoire de Mi171 aux USA et un coup de gueule de Antho
François Mazure, journaliste de « Un Monde à Part », nous emmène au cœur de l'Asie centrale, en Ouzbékistan. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Cet été, je ne vous abandonne pas et vous propose de découvrir ou redécouvrir des épisodes de Chiffon. Et bien sûr on se retrouve à la rentrée avec de nouveaux invités et peut-être des surprises...Pour ce nouvel épisode de Chiffon je reçois un homme qui est DJ, journaliste, comédien, animateur de radio et de télévision. Il s'est fait connaître sur Radio Nova avec son comparse Edouard Baer. Il m'est difficile de faire rentrer Ariel Wizman dans une case tant son activité est variée. Mais une chose est sûre… Vous ne le trouverez pas sur les réseaux sociaux, car pour lui « il n'y a pas de courtoisie sur internet… ». On lui colle souvent l'image du journaliste chic, branché, intello, très élégant et surtout ambassadeur du dandysme. Il m'a reçue dans les bureaux du magazine Vice, vêtu d'une chemise en wax qu'il a fait fabriquer par un tailleur à Hong Kong. Vous allez voir qu'Ariel aime faire travailler les artisans du monde entier… Sa passion du moment ? Les manteaux fabriqués en Ouzbékistan. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bientôt trois ans que les Américains ont quitté l'Afghanistan. Plus de deux ans que la Russie mène sa guerre en Ukraine. Deux crises qui ont un impact certain sur cette immense région qu'est l'Asie Centrale, où le prisme russe a longtemps prévalu occultant la relation multiséculaire qu'entretient Pékin avec cet espace qui la connecte au Moyen-Orient et à ses réserves. Terre de passage entre l'Asie et l'Europe, l'Asie Centrale a connu de profonds bouleversements. Elles sont cinq Républiques, Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizistan et Tadjikistan, anciennement soviétiques -aujourd'hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique.S'étendant de la mer Caspienne à l'ouest à la Mongolie à l'est, et de la Russie au nord à l'Iran et l'Afghanistan au sud, l'Asie Centrale est un point de convergence de multiples influences. Deux ouvrages viennent de paraitre en France qui mettent l'accent sur la centralité de cette région qui s'éloigne chaque jour de l'oubli dans lequel elle est longtemps restée plongée.Leurs auteurs sont nos invités : Michael Levystone, expert associé au Centre d'études stratégiques AESMA, consultant sur les questions de géopolitique et chercheur indépendant. « Asie centrale. Le réveil » chez Armand Colin est son dernier livre Emmanuel Lincot, professeur à l'Institut Catholique de Paris, sinologue et chercheur-associé à l'IRIS. Directeur de la revue Asia Focus. « Le très grand jeu. Pékin face à l'Asie Centrale » aux éditions Le Cerf.
L'Asie centrale n'est plus invisible sur la scène internationale, en particulier depuis le retour des talibans au pouvoir en Afghanistan et encore davantage depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine. Les cinq pays centrasiatiques, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizstan, Tadjikistan et le plus fermé, le Turkménistan, sont l'objet des convoitises de toutes les grandes puissances, Russie et Chine en tête, mais aussi Iran et États-Unis. En quête d'uranium et d'hydrocarbures, la France d'Emmanuel Macron a également accéléré ses relations avec ces ex-républiques soviétiques. C'est ce tableau global et rare que dresse que l'expert indépendant Michaël Levystone dresse dans son ouvrage Asie centrale, le réveil, paru en mars dernier chez Armand Colin.
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Le déclin puis la fin de la route de la soie (738-840) est le résultat d'un processus complexe, marqué principalement par la disparition du pouvoir turc, la révolution abbasside et l'affaiblissement chinois. Dès lors, un processus d'islamisation se met en marche sur l'ensemble de l'Asie centrale. Comment les institutions et les pratiques transforment les sociétés ? Quelles sont les nouvelles normes religieuses et sociales ? Quel est le rôle et la place des élites régionales vis-à-vis de ce nouveau pouvoir en place ? Comment la conjonction entre géopolitique, commerce et appartenance religieuse change l'espace eurasiatique ? L'invité : Historien, Étienne de la Vaissière enseigne à l'EHESS sur la chaire « sociétés centre-asiatiques médiévales : migrations et acculturations ». Après avoir travaillé sur les réseaux caravaniers, il s'est intéressé aux relations de pouvoir et d'identité des nomades, notamment lors des grandes migrations, ainsi qu'aux processus d'intégration au monde musulman. Il a participé à de nombreuses fouilles et prospections archéologiques notamment en Ouzbékistan (1996-2008), en Afghanistan (2010-2013), et maintenant en Mongolie. Il vient de publier Asie centrale 300-850. Des routes et des royaumes, aux Belles Lettres (648 p., 33 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Le réseau commercial asiatique, appelé communément la route de la soie, s'inscrit au cœur de nos représentations littéraires. Pourtant, la réalité de ce monde est beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît. Mêlant sédentarisme et nomadisme, hiérarchies et administrations, affrontements guerriers et pillages, l'univers eurasiatique offre pourtant la particularité d'une stabilité économique à travers les siècles. Quels étaient les temps de parcours entre la Chine et Byzance ? Que transportaient les fameuses caravanes ? Comment étaient-elles organisées, et pourquoi faut-il les distinguer des marchands ? Quelle était enfin la place de l'État dans ce monde économique ? L'invité : Historien, Étienne de la Vaissière enseigne à l'EHESS sur la chaire « sociétés centre-asiatiques médiévales : migrations et acculturations ». Après avoir travaillé sur les réseaux caravaniers, il s'est intéressé aux relations de pouvoir et d'identité des nomades, notamment lors des grandes migrations, ainsi qu'aux processus d'intégration au monde musulman. Il a participé à de nombreuses fouilles et prospections archéologiques, notamment en Ouzbékistan (1996-2008), en Afghanistan (2010-2013), et maintenant en Mongolie. Il vient de publier Asie centrale 300-850. Des routes et des royaumes, aux Belles Lettres (648 p., 33 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Le réseau commercial asiatique, appelé communément la route de la soie, Sur cette route mythique se croisent caravanes et conquérants, moines et artistes. Ils passent par Samarcande, Dunhuang ou Bactres, pour aller de la Chine à Byzance, ou de l'Iran et l'Inde à la steppe. Il s'agit d'un espace considérable, préfigurant une forme de globalisation des échanges. Or, cet espace immense composé en grande partie de déserts, est avant tout sujet aux aléas d'un climat que l'homme doit savoir dompter. Un monde fragile, à la fois sédentaire et nomade, qu'Étienne de la Vaissière nous présente à travers une somme magistrale et inédite dans son approche pluridisciplinaire. L'invité : Historien, Étienne de la Vaissière enseigne à l'EHESS sur la chaire « sociétés centre-asiatiques médiévales : migrations et acculturations ». Après avoir travaillé sur les réseaux caravaniers, il s'est intéressé aux relations de pouvoir et d'identité des nomades, notamment lors des grandes migrations, ainsi qu'aux processus d'intégration au monde musulman. Il a participé à de nombreuses fouilles et prospections archéologiques notamment en Ouzbékistan (1996-2008), en Afghanistan (2010-2013), et maintenant en Mongolie. Il vient de publier Asie centrale 300-850. Des routes et des royaumes, aux Belles Lettres (648 p., 33 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Merci à Marwan, l'un des plus grands négociateurs du monde d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il a sauvé certaines des plus grandes entreprises d'Europe de la faillite et travaillé pour plusieurs casinos afin de les aider à prouver la triche. Aujourd'hui enseignant à Harvard et consultant auprès des Nations Unies, il a été appelé pour résoudre le kidnapping d'un enfant en Ouzbékistan, qui était torturé depuis 6 mois.Retrouvez son livre « Négocier l'impossible » ➡️ : https://amzn.to/3v6R5p4Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveau coup de tonnerre en Afrique avec l'élimination du Maroc. Pendant ce temps, la Corée du Sud et l'Ouzbékistan s'invite dans le grand huit de l'Asian Cup. On débriefe la journée. Présentation : Nicolas Cougot Avec : Farouk Abdou et Killian Besson * * * Envie de nous soutenir ? Vous pouvez faire un don ici
La tension monte en Afrique avec la difficile journée vécue par la Côte d'Ivoire et l'Egypte. Pendant ce temps en Asie, l'Australie déçoit, l'Ouzbékistan se lance et la Palestine séduit. Présentation : Nicolas Cougot Avec : Farouk Abdou et Killian Besson * * * Envie de nous soutenir ? Vous pouvez faire un don ici
L'Australie et Ouzbékistan entrent en lice en Asie, la Chine affronte un poil à gratter nommé Tadjikistan alors qu'en soirée, la CAN 2023 se lance avec le pays hôte. Présenté par Nicolas Cougot Avec : Farouk Abdou et Baptiste Mourigal * * * Envie de nous soutenir ? Vous pouvez faire un don ici
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Extrait E68 Dans cet extrait, on parle de la partie de la course de Fanny et Jérémy en Ouzbékistan. Pour écouter l'épisode en entier : Épisode 68 ------------
Le président français Emmanuel Macron est arrivé ce mercredi 1er novembre à Astana pour une visite de deux jours au Kazakhstan, puis en Ouzbékistan. Un déplacement à fort accent économique. Une délégation d'une quinzaine de patrons d'entreprises est d'ailleurs du voyage. Des contrats sont attendus dans les secteurs pharmaceutique et aéronautique. Sont également représentés, dans la délégation, les secteurs de l'agroalimentaire et surtout de l'énergie et des minerais.Déjà cinquième investisseur étranger au Kazakhstan, du fait notamment de l'implantation de TotalEnergies, la France est sur les rangs pour le projet d'une première centrale nucléaire, qui doit encore être validé par référendum.Construire et s'approvisionnerAvec sa politique de relance de l'atome civil, la France cherche par ailleurs à diversifier et consolider son approvisionnement. Orano entend donc développer ses activités en Ouzbékistan et au Kazakhstan, déjà importants fournisseurs en uranium de la France. D'autres matières premières sont convoitées. Le sous-sol de la région regorge de « matériaux critiques » essentiels pour la transition énergétique.La France est loin d'être la seule à s'intéresser à la région. L'Asie centrale attise les convoitises tous azimuts. Au nord, la Russie conserve des appétits. Le Kazakhstan, l'Ouzbékistan et les trois autres pays d'Asie centrale de l'ex-Union soviétique sont restés liés à Moscou.Avec l'invasion de l'Ukraine, même si certaines capitales marchent sur des œufs dans l'équilibre géopolitique, selon la Banque européenne de reconstruction et de développement, les échanges commerciaux avec la Russie ont été stimulés. Entre autres, car ces anciens satellites de Moscou serviraient d'intermédiaires. Mais pas seulement, la Russie a dû modifier les flux de marchandises.Après le bras de fer avec l'Union européenne au sujet du gaz le 7 octobre, le coup d'envoi à la livraison de gaz russe a été donné à l'Ouzbékistan via le Kazakhstan. L'Ouzbékistan, pourtant riche en hydrocarbures, a néanmoins été confronté à une crise énergétique l'hiver dernier. Et puis Moscou a aussi, selon Le Figaro, redynamisé un projet de « corridor de transport international Nord-Sud » allant de Saint-Pétersbourg à Bombay par bateau, le train et la route.« Nouvelles routes de la soie »Il n'empêche, Moscou étant occupée en Ukraine, d'autres prétendants en profitent pour faire la cour à l'Asie centrale, à commencer par la Chine. Pékin soigne ses relations dans la région. Xi Jinping avait réservé au Kazakhstan l'honneur de sa première visite à l'étranger post-Covid. En mai, la Chine a organisé un sommet à Xi'an, terminus de la « route de la soie », celle d'antan. Tout un symbole, car l'Asie centrale est l'un des points névralgiques du projet des « nouvelles routes de la soie » de Pékin.Côté ouest, la Turquie avance également ses pions dans cette région de langue turcique. Recep Tayyip Erdogan se rendra d'ailleurs au Kazakhstan ce 3 novembre. Entre-temps, jeudi, le Premier ministre hongrois Viktor Orban aura pris part au défilé.L'ensemble de l'Europe n'est d'ailleurs pas en reste. En marge de la COP27, l'Union européenne a conclu un accord de partenariat stratégique avec Astana sur les matières premières, les batteries et l'hydrogène vert.
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d'Asie Centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d'anciennes Républiques soviétiques -aujourd'hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe. Cette rencontre sans la Russie intervient dix ans après le discours fondateur prononcé en 2013 au Kazakhstan par le président chinois qui lançait, il y a une décennie, sa grande vision géostratégique cherchant à replacer la Chine au cœur du monde en créant des réseaux d'infrastructure alternative à l'Occident, les fameuses routes de la soie. S'étendant de la mer Caspienne à l'ouest à la Mongolie à l'Est, et de la Russie au Nord à l'Iran et l'Afghanistan au Sud, l'Asie Centrale est un point de convergence de multiples influences. L'heure de l'Asie Centrale est-elle arrivée? Invités : - Catherine Poujol, professeure des Universités, spécialiste d'histoire et de civilisation de l'Asie Centrale à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO)- Michael Levystone, chercheur associé au Centre Russie/Eurasie de l'IFRI. « La guerre en Ukraine vue d'Asie Centrale » « Le Kazakhstan à l'épreuve des crises », Études de l'IFRI - Didier Chaudet, chercheur associé à l'Institut Français d'Études sur l'Asie Centrale.
Les dirigeants des cinq pays d'Asie Centrale sont réunis à Xi'an ce vendredi dans le centre de la Chine. Un sommet inédit où il est question notamment de pétrole, de gaz, mais pas seulement. L'agriculture est également au cœur des enjeux des routes de la soie. De notre correspondant à Xi'an,De la pâte large comme une ceinture que l'on tape sur la table. C'est comme ça que l'on fabrique les « biang biang », les célèbres nouilles du Shaanxi, la province qui accueille ce premier sommet Chine/Pays d'Asie centrale. La méthode remonte, paraît-il, à l'AntiquitéLa démonstration est réalisée dans les ateliers du groupe agroalimentaire Aiju. Une visite organisée par les autorités. La compagnie d'État chinoise est implantée au Kazakhstan. « Nous avons bâti la plus grande usine d'huile alimentaire au Kazakhstan, vanteLiu Dongmeng, directeur adjoint, directeur des opérations et des ventes d'Aiju. On est installé dans le nord du pays. On a demandé au Kazakhstan de planter plus de 600 000 hectares de céréales que nous avons préemptés. Cela a permis de résoudre des problèmes d'achats et de fournir des revenus à de nombreux habitants. »► À lire aussi : Uranium: le Kazakhstan, une alternative à l'emprise russe ?La question agricole encore sensible Résoudre les problèmes d'achats de produits agricoles : un euphémisme pour parler des grandes manifestations kazakhes de 2016. La question agricole reste sensible. Pourquoi ces manifestations à l'époque ? « Il y a eu des protestations dans tout le pays contre la décision du gouvernement kazakh de réviser une loi permettant de vendre de la terre aux étrangers, expliqueNiva Yau, chercheuse non-résidente, au Global China Hub de l'Atlantic Council, jointe au Kazakhstan. Certains ont pensé que c'était pour vendre la terre aux investisseurs chinois. Ils ont protesté. Et finalement, le projet de loi a changé... Ok, on ne peut pas vendre la terre, mais on peut la louer. »Dans sa filiale du nord du Kazakhstan, Aiju a créé 120 emplois. Au siège de l'entreprise à Xi'an, la visite organisée passe devant un bras-robot articulé qui soulève des grosses bouteilles de 20 litres. De l'huile alimentaire, tournesol, colza… Mais pas que. « Les importations de Russie ont fortement augmenté l'année dernière. Même chose pour les importations d'Asie centrale. C'est la plateforme des routes de la soie qui permet ces partenariats gagnant-gagnant », explique Liu Dongmeng.► À lire aussi : Sommet de Xi'an: «Pour les pays d'Asie centrale, la Chine est plus rassurante que la Russie»Échange de bon procédéVodka et chocolats côté russe. Sur les étagères métalliques, du café de Malaisie pour les routes de la soie maritime, de la bière kazakhe, du vin de Géorgie, alors que les importations de Corée et du Japon stagnent. La propagande veut montrer autre chose que les hydrocarbures pendant ce sommet. Une diversification recherchée par les capitales d'Asie centrale également, en quête de nouvelles technologies. « L'Ouzbékistan a aussi des accords dans l'agroalimentaire avec la Chine. Nous avons les meilleurs fruits et légumes en Ouzbékistan, et nous demandons de la technologie aux Chinois », indique Mahleyo, journaliste à la télé ouzbek et spécialiste des questions agricoles.Nouvelles technologies contre nourriture. Ce qui s'est appliqué dans l'industrie vaut aussi pour l'agroalimentaire. « Le secteur agricole de la région s'est retrouvé coincé dans les technologies amenées par la Russie. La Chine a aujourd'hui des propositions plus récentes, notamment dans le domaine des plants OGM déjà expérimenté dans le maïs », poursuit la chercheuse Niva Yau. Des transferts facilités par une météo commune à la province chinoise du Shaanxi et au pays d'Asie centrale. Les deux régions partageant des steppes semi-arides, voire arides.► À lire aussi : «La Chine se raconte au monde comme un pays à vocation universelle»
Alors qu'elle était en Ouzbékistan pour un film, Arielle Dombasle surprend des rats en train de manger ses gâteaux... Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
Foi de Goût du monde, quand la baguette devient patrimoine culturel immatériel de l'humanité à l'Unesco : l'émission spéciale s'impose pour parler de cette jeunette, devenue signe distinctif des français – qu'ils se reconnaissent ou non dans ce cliché ! La baguette de tradition artisanale, issue du savoir-faire des boulangers, se passe de traduction tant elle est associée à la France pour qui vient d'ailleurs. Elle est luxe et chic pour les uns, incontournable du casse-croûte et du petit déjeuner pour d'autres, une des vedettes du pain quotidien qui, soit dit en passant, se renouvelle joyeusement au fil des céréales (re)trouvées et son goût pour le levain. La baguette est un savoir-faire artisanal et culturel. Son inscription au patrimoine culturel de l'humanité est une reconnaissance pour toute la profession et la filière et une exigence : faire perdurer, conserver, transmettre ce savoir-faire artisanal. La baguette est inscrite à l'Unesco aux côtés du couscous, du thiéboudienne, de la pizza et de l'Harissa tunisienne – autre distinguée cette année, ainsi que le Tchai en Ouzbékistan et en Turquie. Avec : Guillaume Gomez, l'un des meilleurs ouvriers de France, ambassadeur de France pour la gastronomie, conseiller auprès du président Macron. Guillaume Gomez a été le chef des cuisines de l'Elysée pendant 20 ans, il a publié plusieurs livres dont «Le club des Chefs des chefs», aux éditions du Cherche midi, «À la table des présidents», «Légumes et fruits de nos territoires», ainsi que des livres de cuisines didactiques et très clairs : «Cuisine, leçon en pas à pas». Michaël Morieux, boulanger à Boulogne-Billancourt près de Paris, au 35 rue d'Aguesseau. Meilleur ouvrier de France, il aime profondément son métier qui l'amène à voyager puisqu'il transmet son savoir-faire dans plusieurs pays du monde. Compagnon, il est aussi le «coach» d'un boulanger en lice pour les Abilympics, les championnats olympiques des métiers artisanaux et woldskills pour les jeunes. Jean Imbert, boulanger, et petit-fils de boulanger. Il est installé en Irlande, au nord de Dublin, et partage sa passion sur son site Instagram et en animant de nombreux ateliers avec l'association le Mapp, dont un atelier Baguette e, octobre 2022 – disponible en replay Manon Grimaud, professeur de Français Langue étrangère, elle travaille également pour «Le français facile avec RFI», le site d'apprentissage de la langue et de la culture française de RFI. Rencontre avec Damien Dedun, boulanger passionné au large sourire et yeux bleus. Damien est le vainqueur du concours de la meilleure baguette de Paris 2022, ce sont ses baguettes qui sont servies à l'Elysée. Il nous a reçus dans la boulangerie pour laquelle il travaille, la boulangerie Frédéric Comyn, 88 rue de Cambronne, dans le 15ème arrondissement de Paris. Écoutez le reportage avec Damien Dedun : En France, il est vendu 12 millions de baguettes par jour et 6 milliards chaque année. => le site de l'Unesco. Pour en savoir plus et pourquoi pas s'essayer au pain et à la baguette La géniale association Le monde à portée de pain pour découvrir les pains du monde, et les faire grâce à des ateliers en visio sur zoom. La fondatrice de l'association, Leïla Marachli a également mis au point une outil de calcul des ingrédients pour les différentes recettes que vous aimeriez tenter. Découvrez les ateliers interculturels sur les pains du monde avec | le MAPP (le-mapp.com) - Pour le pain, de Stephen Kaplan, Fayard 2020 - Le dictionnaire universel du pain, dirigé par Jean Philippe de Tonnac. Éd. Robert Laffont 2010 - Le grand livre de la boulangerie, de Jean Marie Lanio Thomas Marie et Patrice Maille Alain Ducasse, Éditions 2017 - Du savoir-faire artisanal de Anthony Ménard de la Maison Ménard, place Pléiade à Saint-Pierre de Faucigny en Haute-Savoie, pour l'immersion quasi-quotidienne dans sa boulangerie, autour de ses pains au levain et ses gâteaux. Le site de la Maison Ménard et le compte Instagram - La culture de la baguette comme outil d'apprentissage : le site Français facile sur RFI vous permet de découvrir la langue et la culture avec des exercices, testez-vous avec l'exercice sur la baguette, il vient de sortir - Le hors-série Alpes sur le pain, aux éditions Glenat, paru en décembre 2022. Diaporama Programmation musicale - Petit Piment de Ayele - Les copains d'abord de Georges Brassens.
Ligue des champions : Le PSG concède le nul à Benfica, les français brillent sur les pelouses d'Europe... Jeux Olympiques 2024 : Le tracé du marathon dévoilé… Judo : Les mondiaux débutent en Ouzbékistan… Retrouvez toute l'actualité sportive dans votre Flash l'Équipe.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 23 septembre 2022.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LA RÉCESSION QUI MENACEDans leurs prévisions publiées fin juillet, les experts du FMI expliquaient qu'une chute de l'activité n'est pas leur scénario central (malgré le recul enregistré au printemps) avant d'affirmer cependant que « le risque de récession est particulièrement proéminent en 2023 » tandis que l'agence de notation Fitch évoque des « probabilités croissantes de récession ». Tout dépend de ce que l'on appelle récession. Il fut un temps où les prévisionnistes parlaient de récession mondiale lorsque la croissance annuelle du PIB descendait au-dessous de 3 %. Avec cette définition large, une récession mondiale paraît désormais inévitable dès cette année, l'an prochain au plus tard. Il en va autrement avec la définition désormais la plus courante de la récession : une baisse de la production sur une année. Contrairement à ce qui s'est passé en 2009 après la crise financière, puis en 2020 avec le Covid, l'activité mondiale devrait tout de même progresser en 2022, mais à un rythme bien moindre que lors des deux dernières décennies, où la moyenne fut proche de 4 % l'an.Selon le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, une récession ne devrait pas intervenir en France en 2022, mais « pour 2023, rien ne peut être exclu dans la période de grandes incertitudes que nous vivons, mais nous nous attendons pour la France à un net ralentissement plutôt qu'à une récession ». Un scénario d'autant plus probable que la Banque centrale européenne (BCE) envisage de relever ses taux de 75 points de base en septembre face à une inflation qui frôle les deux chiffres. De son côté, la Première ministre prévoit que la France atteindra le pic de l'inflation « au cours de l'année 2023 ». Le 15 septembre, la Banque de France a publié ses prévisions de croissance pour les deux ans à venir. Si elle s'attend à une solide croissance du produit intérieur brut de 2,6 % cette année, proche de la prévision du gouvernement (2,7 %), elle table désormais sur une croissance du PIB de 0,5% en 2023 contre 1,2% en juin dernier dans son scénario central. En cas de fermeture complète du robinet du gaz russe et de coupures électriques, l'économie française pourrait plonger en récession estime l'institution bancaire dans son scénario le plus sombre. Les experts de la Banque de France misent cependant sur un franc rebond dès 2024 avec une croissance de 1,8 %. Au cœur de cet optimisme, la prévision d'une nette décrue de l'inflation d'ici deux ans. Pour 2023, la Banque de France s'attend à des hausses de prix encore très élevées, entre 4,2 % et 6,9 %, après 5,8 % en 2022. Mais en 2024, l'inflation redescendrait à 2,7 %.À deux semaines de la présentation du budget 2023, le gouvernement table sur une croissance de 1% pour l'année prochaine contre 1,4% précédemment et exclut pour l'instant le scénario noir d'une récession, même si la conjoncture internationale ne cesse de se dégrader.***LE SOMMET DE SAMARCANDELes 15 et 16 septembre, l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) s'est réunie, pour son 22ème sommet, à Samarcande en Ouzbékistan. Composée à sa création en 2001 de six pays – la Chine, la Russie et quatre États d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Tadjikistan) tous issus de l'ex-Union soviétique –, l'OCS regroupe près de la moitié de la population mondiale aujourd'hui (42%). L'Inde et le Pakistan y ont fait leur entrée en 2017 et l'Iran vient d'y être admise. Plusieurs pays frappent à sa porte : Biélorussie, Égypte, Arabie saoudite, Qatar, Bahreïn, Maldives, Émirats arabes unis, Koweït et Birmanie. Sans parler de la Turquie, dont le président, Recep Tayyip Erdogan assistait au sommet. L'OCS visait à ses débuts à assurer la sécurité collective de ses adhérents face aux menaces « du terrorisme, de l'extrémisme et du séparatisme ». Ni organisation d'intégration politique comme l'Union européenne, ni alliance militaire comme l'OTAN, l'OCS conduit cependant régulièrement des exercices antiterroristes communs sous le nom de « Peace mission». Aucune femme ne figurait sur la photo de famille.Alors que le Premier ministre indien a signifié au président Vladimir Poutine que l'heure n'est « pas à la guerre », insistant sur « l'importance de la démocratie, de la diplomatie et du dialogue », le président russe a admis lors de sa rencontre avec son homologue chinois que Pékin avait manifesté des préoccupations sur la guerre en Ukraine. Si la Chine partage la lecture du conflit que promeut Moscou, qui en attribue l'origine à l'extension de l'OTAN en Europe centrale et si elle condamne les sanctions occidentales, elle ne les viole cependant pas et ne fournit ni armes, ni composants industriels à la Russie.Selon Xi Jinping « le monde d'aujourd'hui est loin d'être en paix et la concurrence entre deux orientations politiques, l'une marquée par la solidarité et la coopération, l'autre par la division et la confrontation, se fait avec une acuité croissante ». Le dirigeant chinois considère l'OCS comme l'expression de ce que pourrait être un ordre mondial alternatif à celui sur lequel les Occidentaux s'appuient. Il a appelé ses collègues à « travailler ensemble à la promotion d'un ordre international dans une direction plus juste et rationnelle ». Cependant, l'OCS n'est pas exempte de tensions entre certains de ses membres, à l'instar de l'Inde et du Pakistan, et de l'Inde et de la Chine. Aucun pays d'Asie Centrale n'a reconnu l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Interprétée comme une tentative de restauration de l'hégémonie russe, l'invasion de l'Ukraine est perçue négativement dans les ex-républiques soviétiques. D'autant plus que la rhétorique russe à l'égard de ces pays d'Asie centrale est devenue plus menaçante et que les tensions se multiplient dans la région comme récemment avec l'Arménie.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Ce lundi 19 septembre, les échanges inattendus dans le cadre du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai en Ouzbékistan ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
POUTINE- XI JINPING : LA FIN DE L'UNION SACRÉE ? – 16/09/22 EXPERTS GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS Ancien chef d'état-major / Ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN VALÉRIE NIQUET Responsable du pôle Asie à la Fondation pour la Recherche Stratégique - Auteure de « Taïwan face à la Chine » ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – RFI FRÉDÉRIC ENCEL Docteur en géopolitique Maître de conférences à Sciences Po Paris et Paris School of Business - Auteur de « Les voies de la puissance » Bousculé sur le front militaire en Ukraine, sanctionné par les Occidentaux, le président russe Vladimir Poutine a marqué, une nouvelle fois, son virage vers l'Orient en retrouvant ce jeudi son homologue chinois Xi Jinping, en marge d'un sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), organisé en Ouzbékistan. Une première rencontre depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie au cours de laquelle les deux dirigeants ont multiplié les déclarations de coopération, de convergence de vues et d'intérêt envers le monde non-occidental. Ainsi Xi Jinping a assuré que son pays était prêt à assumer son rôle de « grande puissance » dans le cadre d'une coopération renforcée avec la Russie, tandis que Vladimir Poutine a dénoncé les tentatives occidentales « laides et inacceptables » de « créer un monde unipolaire ». La dernière rencontre entre les hommes date de février dernier, lorsque Vladimir Poutine s'était rendu à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques à Pékin. Le président russe et son homologue chinois avaient alors proclamé leur amitié « sans limite ». Ils se sont depuis parlé au téléphone, à propos de la guerre en Ukraine notamment, et ont fait mener par deux fois des exercices militaires conjoints, en mai et en septembre. Selon Pékin, le but étant d'« approfondir la coopération » entre les deux armées. Alors cette rencontre entre Vladimir Poutine et Xi Jinping est-elle le signe d'un nouveau rapprochement entre la Chine et la Russie ? Si elle a donné lieu à de vigoureuses déclarations d'amitié, dans les faits le soutien chinois à son allié russe ne se matérialise encore guère : pas de fourniture d'armes, pas d'exportations de composants industriels, notamment les cruciaux semi-conducteurs, couverts par les sanctions de l'Occident. Reste le côté hautement symbolique qui permet à Vladimir Poutine de montrer que la Russie n'est pas isolée sur la scène internationale dans le contexte de la guerre en Ukraine. Et ce alors que des critiques se font de plus en plus entendre dans le pays après le succès ces derniers jours des forces ukrainiennes dans le Nord-Est, mais aussi en Europe. Jeudi, la présidente de la Commission européenne a plaidé en faveur d'une comparution du président russe Vladimir Poutine devant la justice internationale pour les crimes de guerre commis en Ukraine. « Il faut que Poutine perde cette guerre et réponde de ses actes », a déclaré Ursula von der Leyen à la chaîne de télévision du quotidien allemand Bild. En Ukraine, où la contre-attaque des troupes ukrainiennes se poursuit, Kiev a indiqué ce vendredi avoir découvert près de 450 tombes près d'Izioum, ville de la région de Kharkiv, récemment reprise aux forces russes. L'ONU a dit vouloir envoyer une équipe sur place pour enquêter. Le président turc Erdogan a lui appelé à mettre fin à la guerre en Ukraine « au plus vite » en marge du sommet de l'OCS. Son homologue indien a de son côté estimé que « le temps n'est pas à la guerre ». DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Leur rencontre était très attendue. Pour son premier déplacement hors de Chine depuis la pandémie de Covid-19, le président chinois Xi Jinping s'est entretenu avec son homologue russe Vladimir Poutine. Une entrevue qui s'est déroulée à Samarcande en Ouzbékistan, en marge d'un sommet de l'OCS, l'organisation de la coopération de Shanghai. À l'occasion de ces retrouvailles, Xi Jinping et Vladimir Poutine ont affiché leur unité face aux Occidentaux.
Extrait Épisode 68 Dans cet extrait, on parle de la partie de la course de Fanny et Jérémy en Ouzbékistan. Pour écouter l'épisode en entier : Épisode 68 ------------
Arielle Dombasle a eu un souvenir singulier d'un tournage de film en Ouzbékistan. Autour de la table, entre les rats et les biscuits Madame de Sévigné, il n'y a qu'un pas pour faire un remake du film "Ratatouille"... Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
durée : 00:12:26 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Avec Michaël Levystone, chercheur au Centre Russie/Nouveaux États Indépendants de l'Ifri. Ses travaux portent principalement sur les politiques intérieure et étrangère des Républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan). - invités : Michaël Levystone Chercheur au Centre Russie/Nouveaux États Indépendants de l'Ifri. Ses travaux portent principalement sur les politiques intérieure et étrangère des Républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan).