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Už ste niekedy počuli o tom, že vo Francúzsku majú zákaz pomenovať prasa Napoleon, v Rovníkovej Guinei boli popravy ľudí s dioptrickými okuliarmi a v Turkménsku si prezident premenoval celý kalendár? V tejto epizóde sa spolu ponoríme do bizarných zákonov diktátorov od Afriky až po bývalý Komunizmus u nás. Zistíte, ako Turkmenbaši vymenil január za svoj vlastný mesiac a prečo sme my na Vianoce túžili len po banáne. Pripravte sa na absurdné fakty, sarkastické komentáre a pohľad na to, ako režimy manipulujú svojich občanov.zákazy diktátorov, Napoleon prasa, zákaz okuliarov, skupinový beh, zákaz džínsov, Turkmenbaši kalendár, zatvorené knižnice, zákaz nahrávanej hudby, zákaz psov, banány na Vianoce Dvaja kamaráti po tridsiatke, ktorí si myslia, že svet potrebuje viac sarkazmu, nevyžiadaných rád a absurdných úvah.
L'ase fétide est une résine gummeuse extraite des racines de plantes du genre Ferula, principalement Ferula assa-foetida, appartenant à la famille des Apiacées (la même que le fenouil ou la carotte). Cette substance, de couleur brun rougeâtre à jaune pâle, est surtout connue pour une caractéristique… peu flatteuse : son odeur particulièrement nauséabonde, à mi-chemin entre l'ail pourri, le soufre et le gaz. D'où ses surnoms évocateurs : « merde du diable », ou encore devil's dung en anglais.Origine et propriétésL'asa fétide est récoltée en incisant les racines de la plante, souvent dans des régions arides d'Iran, d'Afghanistan ou du Turkménistan. La résine s'écoule lentement, durcit au contact de l'air, et est ensuite récoltée.Malgré son odeur initialement repoussante, cette résine est extrêmement précieuse depuis l'Antiquité. Les Romains l'utilisaient comme substitut au silphium, une plante aujourd'hui disparue, et elle figure aussi dans les traités médicinaux grecs, arabes et indiens.En cuisine : un goût qui transcende l'odeurEn Inde, l'ase fétide est connue sous le nom de "hing", et tient une place importante dans la cuisine végétarienne, notamment dans les plats ayurvédiques. Quand elle est chauffée dans de l'huile ou du ghee, son odeur piquante s'adoucit pour libérer un arôme proche de l'ail ou de l'oignon caramélisé. Elle est donc très utile comme exhausteur de goût, surtout pour ceux qui ne consomment pas d'ail ni d'oignon pour des raisons religieuses ou digestives.Usages médicinaux et autres fonctionsDans la médecine traditionnelle (ayurvédique, iranienne, tibétaine), l'ase fétide est utilisée pour traiter :les troubles digestifs (ballonnements, gaz),les infections respiratoires,certaines douleurs nerveuses.Elle possède des propriétés antibactériennes, antivirales, insecticides et même psychoactives à fortes doses. On la retrouve donc aussi dans des encens, des fumigations, voire des rituels magiques dans certaines traditions.Et en parfumerie… on s'en parfume vraiment ?Oui, étonnamment. Malgré son nom et son odeur brute, l'ase fétide est utilisée en très petites quantités dans certains parfums pour leur donner du caractère et de la profondeur. On la retrouve, par exemple, dans "Tendre Poison" de Dior, où elle apporte une note animale, cuirée, légèrement sale, qui accentue la sensualité du parfum. Elle sert aussi de fixateur, permettant à d'autres arômes de durer plus longtemps.En résuméRésine issue des racines du Ferula assa-foetidaOdeur pestilentielle, goût complexe après cuissonTrès utilisée en cuisine indienne et iraniennePropriétés médicinales, insecticides et même psychotropesPrésente dans certains parfums pour son effet fixateur et ses notes animalesParadoxe absolu : ce qui pue le plus peut aussi sublimer un plat… ou un parfum. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parti le long du fleuve Amou Daria, aux sources de la mer d'Aral désormais asséchée, l'écrivain et voyageur français nous alerte de sa plume éclairée sur la pénurie d'eau qui menace l'Asie Centrale. La première fois que l'on avait reçu l'écrivain géographe Cédric Gras, en 2015, ce dernier courait après l'automne en Extrême-Orient russe, dans une déglingue post-soviétique et une désolation géographique propre à ces confins… Un prix Albert Londres et cinq livres plus tard, le voici remontant le fleuve Amou Daria, véritable Nil de l'Asie Centrale aujourd'hui surexploité, sur des terres arides où la désolation est également de mise, en particulier en aval du fleuve, aux abords d'une mer d'Aral condamnée. La désolation c'est un terme qui évoque la peine, le sentiment de tristesse profonde mais aussi l'état d'un lieu rendu inhabitable, ravagé, désert… Tout au long de son récit, c'est justement cette désolation qu'interroge Cédric Gras, croisant des pêcheurs karakalpaks qui n'ont plus de mer pour pêcher, filant à travers des champs de coton ou des rizières en plein désert qui essorent le fleuve, interrogeant la provenance du moindre filet d'eau dans des cités légendaires de la route de la soie qui ne cessent d'enfler, retraçant l'histoire du canal Karakoum au Turkménistan, qui avec ses 1 300 km de long, représente le plus long canal d'irrigation au monde et achève de saigner le fleuve.Chemin faisant, ce spécialiste des mondes russes, n'oublie pas, comme il sait si bien le faire, de convoquer les rêves prométhéens des Soviets. Ce temps où Staline entendait « transformer la nature » et faire de l'Asie Centrale un pays de cocagne, quitte à détourner les cours d'eau et quadriller la région de canaux, aujourd'hui en piteux état. Plus tard, d'autres ont même rêvé de détourner les fleuves sibériens vers l'Asie Centrale. Aujourd'hui, ce sont les Talibans qui prévoient un canal pour prélever, eux aussi, leur part de l'Amou Daria.À l'issue de ce périple sinueux, sur près de 2 500 km, de l'Ouzbékistan au Tadjikistan en passant par le Turkménistan, Cédric Gras se hisse sur les hauteurs du Pamir jusqu'au glacier Fedtchenko, le château d'eau de l'Asie Centrale. Sans sombrer dans la solastagie, l'auteur nous alerte surtout, portant la plume dans la plaie, la trempant dans l'eau d'un fleuve nourricier mais en danger.À lire :- Les routes de la soif : voyage aux sources de la mer d'Aral. Cédric Gras. Éditions Stock. 2025- Alpinistes de Mao. Cédric Gras. Éditions Stock. 2023- Alpinistes de Staline. Cédric Gras. Éditions Stock. 2020- La mer des cosmonautes. Cédric Gras. Éditions Paulsen. 2017- L'hiver aux trousses. Cédric Gras. Éditions Stock. 2015.À voir :- La série documentaire « Aux sources de la mer d'Aral » de Christophe Raylat, avec Cédric Gras pour Arte. En deux épisodes, le premier sur le fleuve Amou Daria, le second sur le fleuve Syr Daria.
Parti le long du fleuve Amou Daria, aux sources de la mer d'Aral désormais asséchée, l'écrivain et voyageur français nous alerte de sa plume éclairée sur la pénurie d'eau qui menace l'Asie Centrale. La première fois que l'on avait reçu l'écrivain géographe Cédric Gras, en 2015, ce dernier courait après l'automne en Extrême-Orient russe, dans une déglingue post-soviétique et une désolation géographique propre à ces confins… Un prix Albert Londres et cinq livres plus tard, le voici remontant le fleuve Amou Daria, véritable Nil de l'Asie Centrale aujourd'hui surexploité, sur des terres arides où la désolation est également de mise, en particulier en aval du fleuve, aux abords d'une mer d'Aral condamnée. La désolation c'est un terme qui évoque la peine, le sentiment de tristesse profonde mais aussi l'état d'un lieu rendu inhabitable, ravagé, désert… Tout au long de son récit, c'est justement cette désolation qu'interroge Cédric Gras, croisant des pêcheurs karakalpaks qui n'ont plus de mer pour pêcher, filant à travers des champs de coton ou des rizières en plein désert qui essorent le fleuve, interrogeant la provenance du moindre filet d'eau dans des cités légendaires de la route de la soie qui ne cessent d'enfler, retraçant l'histoire du canal Karakoum au Turkménistan, qui avec ses 1 300 km de long, représente le plus long canal d'irrigation au monde et achève de saigner le fleuve.Chemin faisant, ce spécialiste des mondes russes, n'oublie pas, comme il sait si bien le faire, de convoquer les rêves prométhéens des Soviets. Ce temps où Staline entendait « transformer la nature » et faire de l'Asie Centrale un pays de cocagne, quitte à détourner les cours d'eau et quadriller la région de canaux, aujourd'hui en piteux état. Plus tard, d'autres ont même rêvé de détourner les fleuves sibériens vers l'Asie Centrale. Aujourd'hui, ce sont les Talibans qui prévoient un canal pour prélever, eux aussi, leur part de l'Amou Daria.À l'issue de ce périple sinueux, sur près de 2 500 km, de l'Ouzbékistan au Tadjikistan en passant par le Turkménistan, Cédric Gras se hisse sur les hauteurs du Pamir jusqu'au glacier Fedtchenko, le château d'eau de l'Asie Centrale. Sans sombrer dans la solastagie, l'auteur nous alerte surtout, portant la plume dans la plaie, la trempant dans l'eau d'un fleuve nourricier mais en danger.À lire :- Les routes de la soif : voyage aux sources de la mer d'Aral. Cédric Gras. Éditions Stock. 2025- Alpinistes de Mao. Cédric Gras. Éditions Stock. 2023- Alpinistes de Staline. Cédric Gras. Éditions Stock. 2020- La mer des cosmonautes. Cédric Gras. Éditions Paulsen. 2017- L'hiver aux trousses. Cédric Gras. Éditions Stock. 2015.À voir :- La série documentaire « Aux sources de la mer d'Aral » de Christophe Raylat, avec Cédric Gras pour Arte. En deux épisodes, le premier sur le fleuve Amou Daria, le second sur le fleuve Syr Daria.
durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est un cratère de feu qui brûle sans discontinuer depuis 53 ans. Principale attraction touristique de cette ex République soviétique, la Porte de l'Enfer vit peut-être ses dernières heures. Le gouvernement veut l'éteindre, pour préserver l'environnement, et récupérer le gaz qui part en fumée.
durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est un cratère de feu qui brûle sans discontinuer depuis 53 ans. Principale attraction touristique de cette ex République soviétique, la Porte de l'Enfer vit peut-être ses dernières heures. Le gouvernement veut l'éteindre, pour préserver l'environnement, et récupérer le gaz qui part en fumée.
durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - C'est un cratère de feu qui brûle sans discontinuer depuis 53 ans. Principale attraction touristique de cette ex République soviétique, la Porte de l'Enfer vit peut-être ses dernières heures. Le gouvernement veut l'éteindre, pour préserver l'environnement, et récupérer le gaz qui part en fumée.
Vladimir Poutine rencontre aujourd'hui le président iranien Massoud Pezeshkian au Turkménistan. Depuis le début de la guerre en Ukraine, les deux pays se sont rapprochés et Téhéran livre des armes à Moscou. Quel armement la Russie reçoit-elle de l'Iran ? Que reçoit Téhéran en échange ? Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Sophie Joussellin du 11 octobre 2024.
Vladimir Poutine rencontre aujourd'hui le président iranien Massoud Pezeshkian au Turkménistan. Depuis le début de la guerre en Ukraine, les deux pays se sont rapprochés et Téhéran livre des armes à Moscou. Quel armement la Russie reçoit-elle de l'Iran ? Que reçoit Téhéran en échange ? Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Sophie Joussellin du 11 octobre 2024.
L'aggravation du conflit au Proche-Orient est au cœur des discussions entre les deux dirigeants, qui ont également scellé des contrats militaires.
Vladimir Poutine rencontre aujourd'hui le président iranien Massoud Pezeshkian au Turkménistan. Depuis le début de la guerre en Ukraine, les deux pays se sont rapprochés et Téhéran livre des armes à Moscou. Quel armement la Russie reçoit-elle de l'Iran ? Que reçoit Téhéran en échange ? Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Sophie Joussellin du 11 octobre 2024.
Bientôt trois ans que les Américains ont quitté l'Afghanistan. Plus de deux ans que la Russie mène sa guerre en Ukraine. Deux crises qui ont un impact certain sur cette immense région qu'est l'Asie Centrale, où le prisme russe a longtemps prévalu occultant la relation multiséculaire qu'entretient Pékin avec cet espace qui la connecte au Moyen-Orient et à ses réserves. Terre de passage entre l'Asie et l'Europe, l'Asie Centrale a connu de profonds bouleversements. Elles sont cinq Républiques, Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizistan et Tadjikistan, anciennement soviétiques -aujourd'hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique.S'étendant de la mer Caspienne à l'ouest à la Mongolie à l'est, et de la Russie au nord à l'Iran et l'Afghanistan au sud, l'Asie Centrale est un point de convergence de multiples influences. Deux ouvrages viennent de paraitre en France qui mettent l'accent sur la centralité de cette région qui s'éloigne chaque jour de l'oubli dans lequel elle est longtemps restée plongée.Leurs auteurs sont nos invités : Michael Levystone, expert associé au Centre d'études stratégiques AESMA, consultant sur les questions de géopolitique et chercheur indépendant. « Asie centrale. Le réveil » chez Armand Colin est son dernier livre Emmanuel Lincot, professeur à l'Institut Catholique de Paris, sinologue et chercheur-associé à l'IRIS. Directeur de la revue Asia Focus. « Le très grand jeu. Pékin face à l'Asie Centrale » aux éditions Le Cerf.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end vous emmène dans le nord-est syrien ciblé sans cesse par la Turquie, puis à la frontière entre l'Iran et la Turquie où de nombreux migrants tentent leur chance en se dirigeant vers l'Europe en quête d'une vie plus heureuse, mais à quel prix ? Nord-Est syrien : la vie sous les feux de l'armée turqueC'est un conflit existentiel qui se déroule dans un pays meurtri par une décennie de guerre civile. Le Nord-Est de la Syrie et son administration autonome, créé il y a 10 ans, ciblé sans cesse par la Turquie. La Turquie qui accuse les Kurdes syriens de terrorisme… Et réplique par bombardements, occupations de territoires et embargo… Cette guerre opaque fait des dizaines de morts civils et militaires chaque année en Syrie. Et a de nombreuses conséquences sur des millions de Syriens, Kurdes et Arabes.Un Grand reportage de Théo Renaudon qui s'entretient avec Jacques Allix. Frontière Iran-Turquie, un mur et des centaines de vies d'exilés briséesEntre l'Iran et la Turquie, de nombreux migrants tentent chaque année le passage objectif vers l'Europe. Une migration risquée dont on parle moins que la très meurtrière traversée de la Méditerranée. Pour se protéger de ce flux de migrants partis du Pakistan, du Turkménistan, d'Iran et, surtout de l'Afghanistan, sous la férule des talibans, la Turquie érige un mur. 295 km de béton à travers les montagnes avec un financement européen. Tenter sa chance est très risqué, les conditions météo peuvent être terribles et gangs armés et armée turques sont en embuscade, les soldats allant jusqu'à faire feu. Les migrants arrêtés, eux sont expulsés, 142 000 l'an passé.Un Grand reportage de Manon Chapelain qui s'entretient avec Jacques Allix.
Entre l'Iran et la Turquie, de nombreux migrants tentent chaque année le passage objectif vers l'Europe. Une migration risquée dont on parle moins que la très meurtrière traversée de la Méditerranée. Pour se protéger de ce flux de migrants partis du Pakistan, du Turkménistan, d'Iran et, surtout de l'Afghanistan, sous la férule des talibans, la Turquie érige un mur. 295 km de béton à travers les montagnes avec un financement européen. Tenter sa chance est très risqué, les conditions météo peuvent être terribles et gangs armés et armée turques sont en embuscade, les soldats allant jusqu'à faire feu. Les migrants arrêtés, eux sont expulsés, 142 000 l'an passé. «Frontière Iran-Turquie, un mur et des centaines de vies d'exilés brisées», un Grand reportage de Manon Chapelain.
L'Asie centrale n'est plus invisible sur la scène internationale, en particulier depuis le retour des talibans au pouvoir en Afghanistan et encore davantage depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine. Les cinq pays centrasiatiques, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizstan, Tadjikistan et le plus fermé, le Turkménistan, sont l'objet des convoitises de toutes les grandes puissances, Russie et Chine en tête, mais aussi Iran et États-Unis. En quête d'uranium et d'hydrocarbures, la France d'Emmanuel Macron a également accéléré ses relations avec ces ex-républiques soviétiques. C'est ce tableau global et rare que dresse que l'expert indépendant Michaël Levystone dresse dans son ouvrage Asie centrale, le réveil, paru en mars dernier chez Armand Colin.
L'Asie centrale n'est plus invisible sur la scène internationale, en particulier depuis le retour des talibans au pouvoir en Afghanistan et encore davantage depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine. Les cinq pays centrasiatiques, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizstan, Tadjikistan et le plus fermé, le Turkménistan, sont l'objet des convoitises de toutes les grandes puissances, Russie et Chine en tête, mais aussi Iran et États-Unis. En quête d'uranium et d'hydrocarbures, la France d'Emmanuel Macron a également accéléré ses relations avec ces ex-républiques soviétiques. C'est ce tableau global et rare que dresse que l'expert indépendant Michaël Levystone dresse dans son ouvrage Asie centrale, le réveil, paru en mars dernier chez Armand Colin.
Pēc Piemaskavā notikušā terorakta, kurā bojā gāja ap pusotrs simts cilvēku un par kuru atbildību uzņēmies Islāma valsts atzars, kā galvenie izpildītāji aizturēti četri tadžiki. Sociālajos tīklos tas radījis spekulācijas, vai tiešām notverti galvenie vaininieki. Kāpēc tieši tadžiki? Tomēr šīs tautības pārstāvji tiek vainoti ne tikai šajā noziegumā. Tas arī ir pamudinājis mūs jautāt, ko mēs zinām par tadžikiem un Tadžikistānu? Interesanti arī palūkoties, kas notiek apkārt esošajās valstīs. Latvijā šo reģionu daudzi pazīst kā Vidusāziju. Priekšstats par katru no valstīm gan mums ir salīdzinoši mazs. Komentē Latvijas Universitātes Humanitāro zinātņu fakultātes profesors Leons Taivāns. Tadžikistāna Tadžikistānas liktenis pēc neatkarības iegūšanas 1991. gadā ir bijis, domājams, smagākais starp visām Centrālāzijas postpadomju republikām. Padomju laikā toreizējās Tadžikijas PSR varas virsotnē nostiprinājās dažu republikas reģionu pārstāvji, un viņu apdalīto līdzpilsoņu mēģinājumi mainīt šo kārtību izvētās par pilsoņu karu, kas plosīja valsti no 1992. līdz 1997. gadam. Upuru skaita aplēses svārstās plašā amplitūdā no 20 000 līdz pat 150 000 cilvēku. Kara laikā pie varas nāca agrākais sovhoza direktors Emomali Rahmonovs, kurš vēlāk sāka dēvēties atbilstošāk tadžiku valodas tradīcijai, proti – Rahmons. Pagājušajās desmitgadēs viņš piecas reizes pārvēlēts Tadžikistānas prezidenta amatā un divreiz ar referendumu paplašinājis savas pilnvaras; neviens no šiem balsojumiem nav starptautisko tiesību ekspertu atzīts par brīvu vai godīgu. Kopš 2015. gada Rahmona oficiālais tituls ir „Miera un nacionālās vienotības pamatlicējs – Nācijas līderis”. Viņa vecākais dēls Rustams Emomali kopš 2020. gada ieņem parlamenta priekšsēdētāja amatu. Tā nu nomināli Tadžikistāna ir prezidentāla republika, bet faktiski – autoritāra diktatūra ar dinastiskas varas pazīmēm. Tadžikistānai ir zemākais iekšzemes kopprodukts Centrālāzijā, un apmēram trešdaļu valsts ekonomikas veido līdzekļi, kurus mājup sūta lielākoties Krievijā strādājošie tadžiku viesstrādnieki. Tadžikistānas drošības galvenā problēma ir kaimiņvalsts Afganistāna, kur tadžiki ir otra liekākā etniskā grupa un skaitliski pārsniedz tadžiku skaitu pašā Tadžikistānā. Robežu šķērso narkotiku kontrabandas maršruti, radikālā islāma idejas un klanu saiknes, kas draud ar ievilkšanu desmitgades ilgstošajos Afganistānas iekšējos konfliktos. Līdz šim kā pretsvars šiem riskiem kalpojusi primāri Krievijas militārā klātbūtne, un militārā bāze Tadžikistānā ir lielākais ārpus valsts pamatteritorijas dislocētais Krievijas kontingents, neskaitot, protams, tās okupācijas spēkus Ukrainā. Kopš 2021. gada pieaugusi spriedze uz Tadžikistānas un tās kaimiņvalsts Kirgizstānas robežas, kas 2021. gada aprīlī un 2022. gada septembrī saasinājās līdz militārām sadursmēm. Kirgizstāna Kirgizstāna vienīgā no agrākajām padomju Vidusāzijas republikām uzskatāma par demokrātisku valsti, lai gan ar visai trauslu un riskiem pakļautu demokrātiju. Padomju Savienībā Kirgīzijas PSR, līdz ar tās kaimiņieni Tadžikijas PSR, bija divas trūcīgākās un mazattīstītākās republikas, un arī šobrīd Kirgizstāna tikai nedaudz apsteidz Tadžikistānu iekšzemes kopprodukta apjomā uz vienu iedzīvotāju. Arī kirgīzi ir lielā skaitā sastopami kā viesstrādnieki Krievijā, pēdējos gados arī Kazahstānā, un tiek lēsts, ka apmēram trešdaļa valsts darbaspējīgo iedzīvotāju ir devušies peļņā uz ārzemēm. Zemais dzīves līmenis, plaši izplatītā korupcija un citas pārvaldes nebūšanas pagājušajās neatkarības desmitgadēs bijušas iemesls vairākkārtējiem nemieriem ar varas maiņu to rezultātā. Šādā ceļā amatu bija spiesti pamest pirmie divi Kirgizstānas prezidenti – Askars Akajevs un Kurmanbeks Bakijevs, attiecīgi, 2005. un 2010. gadā; tāpat Sōronbajs Žeenbekovs 2020. gada oktobrī. Tomēr šīm valsts vadītāju gāšanām allaž sekojušas vēlēšanas, kurās novērotāji gan fiksējuši ne mazums pārkāpumu, taču to kopējie rezultāti atzīti par leģitīmiem. 2021. gada janvārī par valsts galvu tika ievēlēts agrākais opozicionārs un politieslodzītais Sadirs Džaparovs. Ar to pašu balsojumu Kirgizstāna no parlamentāras kļuva par prezidentālu republiku, nozīmīgi palielinot prezidenta varas apjomu. Diemžēl ar pašreizējā prezidenta vārdu saistītas aizdomas par korupciju, naudas atmazgāšanu, reiderismu un politiskās ietekmes izmantošanu biznesa interesēs. Tagad tiek paustas arī bažas par autoritārisma tendencēm. Tāpat Kirgizstānas drošības riski saistīti ar 2021. gadā saasinājušos robežkonfliktu ar Tadžikistānu, spriedze starp kirgīziem un valsts lielāko minoritāti uzbekiem, radikālā islāma terorisma draudi. Uzbekistāna Uzbekistāna ar tās vairāk nekā 36 miljoniem iedzīvotāju ir šai ziņā lielākā valsts Centrālāzijā. Iedzīvotāji koncentrēti lielākoties valsts dienvidu un austrumu daļā, kamēr plašas teritorijas ziemeļos un rietumos ir mazapdzīvotas. Sevišķi blīvi apdzīvota ir Fergānas ieleja pašos valsts austrumos – tradicionālais kokvilnas audzēšanas reģions. Padomju periodā ekstensīvā lauksaimniecība atstājusi mantojumā smagu ekoloģisku katastrofu – izsīkušo Arāla jūru Uzbekistānas ziemeļdaļā. Sevišķi smagi tas skāris apmēram divus miljonus lielās karakalpaku nācijas dzimteni – autonomo Karakalpakijas republiku, kam saskaņā ar Uzbekistānas konstitūciju ir plaša autonomija, tai skaitā secesijas tiesības. 2022. gada jūlijā centrālā vara mēģināja šo statusu mainīt, taču plaši protesti lika no šiem plāniem atteikties. Padomju Savienībai sabrūkot, par Uzbekistānas prezidentu kļuva agrākais republikas kompartijas pirmais sekretārs Isloms Karimovs. Turpmākajā ceturtdaļgadsimtā, pēc vajadzības pielāgojot likumdošanu un darbinot administratīvos mehānismus, Karimovs trīs reizes tika pārvēlēts amatā, oficiālajiem vēlēšanu rezultātiem nekad nenoslīdot zem 90%. Visnopietnākā krīze viņa varas periodā bija nemieri Andidžonas pilsētā, kas tika asiņaini apspiesti. Oficiāli tiek atzīts, ka no drošības spēku lodēm miruši 187, taču ir avoti, kas apgalvo, ka upuru bija apmēram pusotrs tūkstotis. 2016. gadā Isloms Karimovs savas šīs zemes gaitas beidza, neatstādams vīriešu kārtas mantinieku. Vara nonāca viņa uzticamā līdzgaitnieka, premjerministra kopš 2003. gada Šavkata Mirzijojeva rokās. Pāris gadu laikā viņš sekmīgi iztīrīja varas virsotni no sava priekšgājēja piekritējiem, tai skaitā tika tiesāta un cietumā nonāca nelaiķa prezidenta vecākā meita Guļnara Karimova. Uzbekistānas varas kontrolētā prese tēlo valsti kā izcilu piemēru pakāpeniskai un līdzsvarotai pārejai no padomju plānveida uz tirgus ekonomiku. Faktiski Uzbekistānas ekonomika joprojām pamatā ir valsts kontrolēta. Peļņa no apjomīgā eksporta – kokvilnas, dabasgāzes, zelta, elektroenerģijas – pamatā nonāk šauras varai pietuvināto grupas kabatās, līdz iedzīvotāju miljoniem lāgā netiekot. Turkmenistāna Ja pārējās Centrālāzijas valstīs to galvas centušies ievērot vismaz formālus vēlēšanu rituālus, tad bijušais Turkmēnijas PSR kompartijas pirmais sekretārs Saparmurats Nijazovs, kļuvis par suverēnas valsts vadītāju un pāris reizes paspēlējis vēlēšanu spēlīti, 1999. gadā noorganizēja sev mūža prezidenta pilnvaras ar visiem šādiem varas modeļiem raksturīgiem „jaukumiem”: balsošanas automātā pārvērstu parlamentu, valsts mediju monopolu un teju pilnīgu informatīvu izolāciju no ārpasaules. Nijazova krāšņā personības kulta komplektā ietilpa ne vien tituls Turkmenbaši – „Turkmēņu galva”, bet arī mēnešu un nedēļas dienu pārdēvēšana vadoņa, viņa radinieku un citu viņa autobiogrāfijā piesauktu fenomenu vārdos. Šī autobiogrāfija, saukta „Dvēseles grāmata”, bija ne vien obligāti apgūstama skolās un augstskolās – tās zināšana bija arī valsts ierēdņu un auto vadīšanas eksāmenu sastāvdaļa. Pirms 2006. gadā beigt savas šīs zemes gaitas, Turkmanbaši paguva aizklapēt visas slimnīcas un bibliotēkas ārpus galvaspilsētas Ašgabatas, paziņojot, ka ja ļaudis grib lasīt vai slimot, lai brauc uz viņa varas sēdekli. Ekstravagantā diktatora vietā stājās viņa uzticams līdzgaitnieks Gurbanguli Berdimuhamedovs, kurš 2022. gadā galvenās varas funkcijas nodeva tālāk savam dēlam Serdaram, pats gan palikdams ietekmīgajā Tautas Padomes priekšsēdētāja amatā ar titulu „Turkmēņu tautas nacionālais līderis”. Tādējādi Turkmenistāna ir pirmā no Centrālāzijas valstīm, kurā varai ir nepārprotami dinastisks raksturs. Uzlūkojot Turkmenistānas iekšzemes kopprodukta rādītājus, tas uz vienu iedzīvotāju ir teju divreiz lielāks nekā Uzbekistānai un vismaz trīsreiz lielāks nekā Tadžikistānai. Bet šīs ārējās labklājības pamatā ir praktiski viena vienīgā produkta – dabasgāzes – eksports, visvairāk uz Ķīnu. Cik no attiecīgās naudas plūsmas tiek līdz parastajiem turkmēņiem, var spriest no tā, ka kopš pagājušās desmitgades vidus kādi pāris miljoni devušies labākas dzīves meklējumos uz ārzemēm. Tiek lēsts, ka patiesais iedzīvotāju skaits valstī ir krietni mazāks par oficiālajiem pieciem ar pusi miljoniem. Katrā ziņā pēdējos gados regulāri notiekošo tautas skaitīšanu dati ir slepeni, savukārt valdība sākusi ar administratīviem līdzekļiem ierobežot izceļošanu. Sagatavoja Eduards Liniņš.
Un avant-goût du nouvel épisode avec Philippe DELAPORTE, l'homme qui a fait + de 50 000 km à travers le monde en Porsche 928 !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez " Épisode #135 - Philippe DELAPORTE " sur votre plateforme d'écoute._________________________________________________________
En 1971, des scientifiques soviétiques découvrent un gisement de gaz naturel au Turkménistan. Ce gisement de Derweze, situé au centre du désert de Karakoum, a l'air prometteur.Les scientifiques installent alors les équipements nécessaires et commencent à forer. Mais voilà que le sol s'effondre soudain, faisant apparaître un cratère d'environ 70 mètres de diamètre et 30 mètres de profondeur.On s'aperçoit que de grandes quantités de méthane s'échappent du site. Craignant les conséquences que ces émanations pourraient avoir pour les populations et l'environnement, les ingénieurs soviétiques décident d'enflammer le gaz. Ils pensent ainsi brûler en quelques semaines les réserves du site.Mais, depuis lors, le cratère n'a jamais cessé de brûler, ce qui vaut à l'endroit le surnom de "Porte de l'Enfer".Une décision d'extinction toujours pas appliquéeEn 2013, le cratère est exploré par un aventurier canadien, équipé d'une combinaison spéciale. Il récolte notamment des échantillons de terre. Par ailleurs, le site est devenu une véritable attraction touristique.À plusieurs reprises, les autorités du Turkménistan ont exprimé leur souhait de fermer le cratère. En raison, d'abord, des dangers qu'il continue à présenter pour les populations voisines.Par ailleurs, ce cratère enflammé contribue au réchauffement climatique, car il rejette un gaz à effet de serre. Et, en la matière, le Turkménistan est régulièrement montré du doigt.Enfin, ces permanentes émanations de gaz représentent, aux yeux des dirigeants du pays, un véritable gaspillage. C'est du moins la version officielle, car les gisements de gaz ne manquent pas dans ce pays d'Asie centrale.Mais, si le gaz brûle toujours, c'est que l'extinction de ce cratère en feu n'est pas une mince affaire. En effet, il ne s'agit pas simplement d'éteindre les flammes, il faut aussi empêcher que ne se produisent les fortes explosions qui pourraient accompagner cette opération.Des explosions qui pourraient se révéler plus dangereuses que le cratère enflammé lui-même. Pour certains, d'ailleurs, les quantités de gaz échappées de cette "Porte de l'Enfer" seraient moins importantes que les rejets constatés sur d'autres sites. Pour eux, par conséquent, le jeu n'en vaut pas la chandelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 1971, des scientifiques soviétiques découvrent un gisement de gaz naturel au Turkménistan. Ce gisement de Derweze, situé au centre du désert de Karakoum, a l'air prometteur. Les scientifiques installent alors les équipements nécessaires et commencent à forer. Mais voilà que le sol s'effondre soudain, faisant apparaître un cratère d'environ 70 mètres de diamètre et 30 mètres de profondeur. On s'aperçoit que de grandes quantités de méthane s'échappent du site. Craignant les conséquences que ces émanations pourraient avoir pour les populations et l'environnement, les ingénieurs soviétiques décident d'enflammer le gaz. Ils pensent ainsi brûler en quelques semaines les réserves du site. Mais, depuis lors, le cratère n'a jamais cessé de brûler, ce qui vaut à l'endroit le surnom de "Porte de l'Enfer". Une décision d'extinction toujours pas appliquée En 2013, le cratère est exploré par un aventurier canadien, équipé d'une combinaison spéciale. Il récolte notamment des échantillons de terre. Par ailleurs, le site est devenu une véritable attraction touristique. À plusieurs reprises, les autorités du Turkménistan ont exprimé leur souhait de fermer le cratère. En raison, d'abord, des dangers qu'il continue à présenter pour les populations voisines. Par ailleurs, ce cratère enflammé contribue au réchauffement climatique, car il rejette un gaz à effet de serre. Et, en la matière, le Turkménistan est régulièrement montré du doigt. Enfin, ces permanentes émanations de gaz représentent, aux yeux des dirigeants du pays, un véritable gaspillage. C'est du moins la version officielle, car les gisements de gaz ne manquent pas dans ce pays d'Asie centrale. Mais, si le gaz brûle toujours, c'est que l'extinction de ce cratère en feu n'est pas une mince affaire. En effet, il ne s'agit pas simplement d'éteindre les flammes, il faut aussi empêcher que ne se produisent les fortes explosions qui pourraient accompagner cette opération. Des explosions qui pourraient se révéler plus dangereuses que le cratère enflammé lui-même. Pour certains, d'ailleurs, les quantités de gaz échappées de cette "Porte de l'Enfer" seraient moins importantes que les rejets constatés sur d'autres sites. Pour eux, par conséquent, le jeu n'en vaut pas la chandelle. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'est un cratère qui mesure près de 70 mètres de diamètre. Un trou, colossal, dont jaillissent des flammes depuis un demi-siècle. On surnomme cet endroit les portes de l'enfer. Une spécificité géologique située au Turkménistan, un État totalitaire d'Asie centrale. Depuis 1971, le cratère gazier de Darvaza est en combustion continue, raison pour laquelle le site accueille chaque année plus de 10 000 touristes. Pourtant il n'est pas sans risque, puisque des bourrasques brûlantes s'en échappent et que les températures atteignent les 50 degrés tout autour. Et ce cratère est-il naturel ? Comment s'est-il formé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Peut-on vraiment se faire hypnotiser ? Faut-il payer pour trouver l'amour aujourd'hui ? Pourquoi change-t-on encore d'heure ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Date de première diffusion : 20 janvier 2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cestovateľ a sprievodca Martin Buzogaň nás zavedie do Turkménska. Prezradí, ako sa tam cestuje, čo sa oplatí vidieť, ako vyzerá život moderných púštnych nomádov a čo všetko na vstup do krajiny potrebujete.
Bienvenue dans ce nouveau CuriOsity ! Aujourd'hui on parle d'une curiosité qui a fait un petit retour dans l'actualité début 2022 : la porte de l'enfer du Turkménistan. Cette impressionnant cratère enflammé serait dans cette état depuis 1971 sans discontinuer ! Mais le problème c'est que c'est une curiosité qui pose un problème écologique... Envie d'en savoir plus ? Alors c'est parti pour une nouvelle curiosité ! --------------------------- Devenez membre de cette chaine pour bénéficier d'avantages exclusifs : https://www.youtube.com/c/Occulture/membership Merci à vous ! --------------------------- Tous les liens utiles de la chaine : bento.me/occulture---------------------------- Sources : Atlas Obscura - Joshua Foer, Dylan Thuyas, Ella Morton ( https://amzn.to/39kNYPr ) https://www.atlasobscura.com/ https://www.geo.fr/ https://sciencepost.fr/ https://www.futura-sciences.com/ https://www.francetvinfo.fr/ https://www.lefigaro.fr/ https://www.ouest-france.fr/ https://fr.euronews.com/ https://www.parismatch.com/ https://www.20minutes.fr/ https://fr.wikipedia.org/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Micheáš 4:2 Mnohí pohania poputujú a povedia: „Poďte, vystúpme na Hospodinov vrch, k domu Boha Jákobovho, aby nás učil svojim cestám a aby sme chodili po jeho chodníkoch.“ Zo Siona totiž vyjde náuka a slovo Hospodina z Jeruzalema. http://bit.ly/nzes-dneshttps://slovenskamisijnasiet.sk/Viac o etnickej skupine Turkmenov nájdete na:https://www.joshuaproject.net/people_groups/15654/IN
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d'Asie Centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d'anciennes Républiques soviétiques -aujourd'hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe. Cette rencontre sans la Russie intervient dix ans après le discours fondateur prononcé en 2013 au Kazakhstan par le président chinois qui lançait, il y a une décennie, sa grande vision géostratégique cherchant à replacer la Chine au cœur du monde en créant des réseaux d'infrastructure alternative à l'Occident, les fameuses routes de la soie. S'étendant de la mer Caspienne à l'ouest à la Mongolie à l'Est, et de la Russie au Nord à l'Iran et l'Afghanistan au Sud, l'Asie Centrale est un point de convergence de multiples influences. L'heure de l'Asie Centrale est-elle arrivée? Invités : - Catherine Poujol, professeure des Universités, spécialiste d'histoire et de civilisation de l'Asie Centrale à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO)- Michael Levystone, chercheur associé au Centre Russie/Eurasie de l'IFRI. « La guerre en Ukraine vue d'Asie Centrale » « Le Kazakhstan à l'épreuve des crises », Études de l'IFRI - Didier Chaudet, chercheur associé à l'Institut Français d'Études sur l'Asie Centrale.
Jakub 4:10 Pokorte sa pred Pánom a povýši vás.http://bit.ly/nzes-dneshttps://slovenskamisijnasiet.sk/Viac o etnickej skupine Turkmenov nájdete na:https://www.joshuaproject.net/people_groups/15654/PK
Donald Trump a étonné une fois de plus, dans un domaine où on ne l'attendait pas ... la musique ! Il a participé à une chanson avec des détenus, présents dans l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021. D'autres présidents ont eux aussi donné de la voix. Vous ne connaissez peut-être pas son nom, vous n'êtes probablement jamais allé dans ce pays, mais l'ancien président du Turkménistan, Gourbangouly Berdymoukhamedov, a écrit une chanson avec son petit-fils qu'on entend également dans ce rap ubuesque.
"Changer de vie… Voilà qu'un jour Colette, ma compagne, me propose un voyage vers la Mongolie ! Un voyage à vélo ! À moi qui ne suis jamais sorti de France…" Ainsi commence le voyage initiatique de Philippe et Colette. Immédiatement, afin de les mettre à l'épreuve, de saper leur moral, la météo décline ses armes les plus redoutables, pluie diluvienne, vent, neige… Ce qu'elle ignore c'est que le cycliste est indomptable, muré dans sa détermination, il pédale et avance… Par l'Europe du sud puis le Moyen-Orient et les steppes de l'Asie centrale (Turkménistan, Ouzbékistan, Kazakhstan) les voyageurs contemplatifs font leur chemin jusqu'au pays de leur rêve. Puis vient le retour, quelques milliers de kilomètres dans le mythique Transsibérien, avant de parcourir à vélo la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, l'Allemagne, les Pays-Bas…
Kai kuriems Lietuvos verslininkams moralė nė motais. Jie suranda būdų apeiti Rusijai ir Baltarusijai įvestas sankcijas. Tai jau matyti ir oficialioje statistikoje - smarkiai padidėjo prekių srautas iš Kazachstano, Uzbekistano, Turkmėnistano ir Kirgizijos. Žurnalistinis “Sienos” tyrimas atskleidė, kad verslininkai gali žinoti, kad šios šalys tik tarpininkės, o išties prekiaujama sankcionuota produkcija.Ar įmanoma užkardyti tokį gudravimą ir kaip tai padaryti?Laidoje dalyvauja užsienio reikalų viceministrė Jovita Neliupšienė, Muitinės departamento generalinio direktoriaus pavaduotojas Vygantas Paigozinas, Lietuvos verslo konfederacijos viceprezidentas Marius Dubnikovas, UAB Vivalsa vadovas Saulius Girčys, Tiriamosios žurnalistikos centro "Siena" vadovas Šarūnas ČerniauskasVed. Liepa Želnienė
La Turquie ne produit pas de gaz, mais elle veut profiter de sa position géographique pour devenir une importante plateforme gazière. C'est le souhait du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui vient de donner son soutien à la construction d'un nouveau gazoduc. C'est dans le cadre d'un sommet tripartite, ces 13 et 14 décembre avec ses homologues d'Azerbaïdjan et du Turkménistan, que le président turc s'est exprimé sur ce projet. Recep Tayyip Erdogan souhaite construire un gazoduc qui transporterait du gaz turkmène vers les marchés européens. Ce tube viendrait se greffer au transanatolien, un pipeline existant qui transporte du gaz azerbaïdjanais vers l'Europe via la Turquie. Pays d'Asie centrale, le Turkménistan dispose des 4ᵉˢ réserves prouvées de gaz au monde après la Russie, l'Iran et le Qatar. Son principal client : la Chine. Suivent la Russie et l'Iran. Mais les autorités turkmènes cherchent à diversifier leurs marchés, et l'Europe fait partie de leur stratégie. Un contexte géopolitique favorable La Turquie, à cheval entre l'Asie et l'Europe, est en bonne position géographique pour acheminer le gaz turkmène vers l'Union européenne, qui cherche à se sevrer du gaz russe. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le président turc veut tirer profit de ce nouveau contexte géopolitique et veut que son pays devienne un carrefour gazier. Recep Tayyip Erdogan a entamé des discussions avec Vladimir Poutine dans l'objectif de faire transiter en Turquie le gaz russe vers les marchés internationaux… y compris vers l'Union européenne. Toujours dans cette démarche, Ankara souhaite aussi construire sur son territoire un gazoduc pour acheminer vers l'Europe le gaz offshore israélien. Mais Israël hésite. Si tous ces projets se réalisent, les retombées économiques seraient importantes pour la Turquie.
C'est l'Automne ! La saison des courges et de l'épisode S5E09 ! Enfilez un chandail, faites vous un petit thé et profitez de ce nouvel épisode.Aujourd'hui on parle de musique du désert, du Turkménistan, de parité cérébrale et de crêpe mondiale.Au programme :4:00 Les Touaregs (partie 2)29:22 La Porte des Enfers33:10 L'Héminégligence52:03 Les PlatistesBonne écoute !Retrouvez-nous sur :Le site : http://pardonmaman.friTunes : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pardon-maman/id1234291617Spotify : https://open.spotify.com/show/3qaC9qCtUSFh60idYUlSKfDeezer : http://www.deezer.com/show/54685Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCH6doNjB102NpaR7p4MHDewFacebook : https://www.facebook.com/PardonMamanPodcast/Twitter : https://twitter.com/PardonMamanPodInstagram : https://www.instagram.com/pardonmamanpodcast/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vladimir Poutine a annoncé ce mardi dans une allocution à la télévision, une mobilisation partielle de 300 000 réservistes pour les envoyer sur le front. Il a ensuite et une fois encore brandit la menace de l'arme nucléaire en direction des Occidentaux. Que dit ce discours de la situation de la Russie dans le conflit et comment faut-il interpréter ces propos ? L'analyse de Cyril Gloaguen, ancien attaché militaire en Russie et au Turkménistan, ancien collaborateur des Nations unies en Abkhazie/Géorgie et docteur en géopolitique (IFG, Paris VIII).
Numeri 14:9 Len sa nebúrte proti Hospodinovi! Nebojte sa ľudu tej krajiny, lebo ho zjeme ako chlieb. S nami je Hospodin, no ich nechránia ich bohovia. Nebojte sa ich! http://bit.ly/nzes-dnesViac o etnickej skupine Turkmenov nájdete na:https://joshuaproject.net/people_groups/15654/AF
À Krementchouk en Ukraine, un bombardement russe sur un centre commercial a tué au moins 20 personnes et fait des dizaines de disparus ce lundi. Tous sont des civils. La Russie ne reconnaît pas ce nouveau massacre, et assure avoir bombardé des entrepôts d'armement. Une version activement relayée sur les réseaux sociaux, mais que les faits viennent démentir. Le déni sur ce bombardement s'exprime au plus haut sommet de l'État russe. « Notre armée ne frappe aucun site d'infrastructure civile. Nous avons toutes les possibilités de savoir où se trouve quoi », a déclaré Vladimir Poutine lors d'un déplacement au Turkménistan le mercredi 29 juin, niant toute responsabilité dans cette attaque. À Krementchouk, son gouvernement prétend avoir bombardé des entrepôts d'armements ukrainiens situés à côté du centre commercial. Ce serait l'explosion de munitions stockées dans ces hangars qui aurait déclenché l'incendie de la galerie marchande Amstor. Une version qui ne tient pas En réalité, tout vient contredire le récit des faits avancés par la Russie. L'un des deux missiles a bien touché l'arrière du centre commercial. Une caméra de surveillance située à quelques mètres du bâtiment le prouve. Les images ont été vérifiées par le collectif d'investigation Bellingcat dans son enquête. Le deuxième missile, lui, a touché un entrepôt à 500 mètres plus au nord. Les débris visibles sur les images satellites et les reportages confirment ces lieux d'impact. Une partie du centre commercial a donc bien été détruite par le missile, et non pas uniquement par la propagation de l'incendie, comme l'avance la propagande officielle. Le centre commercial était bien actif Le Kremlin affirme que le centre commercial était fermé ou désaffecté, jetant le doute sur le bilan des victimes. Cela contredit la déclaration du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, selon laquelle un millier de personnes se trouvaient sur place au moment de la frappe. Plusieurs preuves montrent qu'il y avait bien des clients en train de faire leurs courses ce jour-là. Des survivants ont témoigné et certains ont même partagé la photo de leur ticket de caisse sur les réseaux sociaux, justifiant de leur présence quelques heures avant la frappe. Des commerçants ont quant à eux annoncé que plusieurs de leurs salariés ont été blessés, ou sont portés disparus. On trouve aussi une vidéo tournée la veille dans ce centre commercial, le dimanche 26 juin, par un couple d'influenceurs ukrainiens. Aucun doute n'est permis, ce centre était bien en activité et ouvert au public. Aucune trace de matériels militaires La Russie affirme avoir visé, et touché, une usine abritant des munitions et du matériel militaire. Pourtant, il n'y en a aucune trace. Quand Vladimir Poutine évoque les bombardements et déclare « Nous avons toutes les possibilités de savoir où se trouve quoi », il ne prouve rien. La propagande du Kremlin ne fournit aucun indice, tout en affirmant que l'armée russe avait employé des missiles de « grande précision ». Des journalistes de l'Agence France Presse se sont rendus sur place après l'attaque. Ils ont visité les bâtiments derrière le centre commercial, là où est tombé le deuxième missile. Il s'agit d'une usine d'engins de chantier, où ils n'ont trouvé aucun matériel militaire. Les habitants et les ouvriers en témoignent aussi. Les images de la télévision française LCI, montrent du matériel servant à la réparation des routes. Les relais de la désinformation Partie du plus haut sommet de l'État, relayée aux divers échelons de pouvoir, la version russe se répand en dépit de ses incohérences. Vecteur de propagation, les ambassades reprennent le narratif élaboré par le site russe War on fakes, qui se présente sous les apparences d'un compte de fact-checking mais se consacre uniquement à la diffusion du récit officiel, en prétendant étayer ses thèses à coup d'infox. Comme le souligne Conspiracy Watch, le démarrage de cette officine de désinformation remonte précisément à la veille du déclenchement de l'invasion russe en Ukraine. Dans le sillage des prises de position officielles russes, on observe sur les réseaux sociaux une circulation active de ces thèses favorables au Kremlin, au-delà des frontières. Les preuves les plus incontestables sont purement et simplement niées, au bénéfice d'un récit alternatif sans lien avec la réalité. Des installations civiles prises pour cible La question reste de savoir si le centre commercial était délibérément visé, ou si le premier tir a raté sa cible. Quoi qu'il en soit, Krementchouk se situe à 200 kilomètres du front, et les missiles sont bien tombés sur des bâtiments civils. Ce n'est pas la première fois que l'armée russe frappe des cibles non militaires. La veille, en pleine séquence diplomatique avec les sommets du G7 puis de l'Otan, un quartier résidentiel de Kiev était bombardé par l'armée russe. Concernant Krementchouk, des diplomates russes sont allés jusqu'à parler de provocation ukrainienne, et de mise en scène, comme ils l'ont fait pour Boutcha, Kramatorsk ou encore la maternité et le théâtre de Marioupol. Dmitry Polyansky, premier représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l'ONU parle d'une « provocation » et affirme « si un missile avait frappé le centre commercial, rien n'en serait resté ». De son côté, Volodymyr Zelensky a appelé à l'ouverture d'une commission d'enquête et a qualifié la Russie d'« État terroriste ». Avec ce nouveau massacre de civils, les preuves de crimes de guerre s'accumulent.
Micheáš 4:2 Mnohí pohania poputujú a povedia: „Poďte, vystúpme na Hospodinov vrch, k domu Boha Jákobovho, aby nás učil svojim cestám a aby sme chodili po jeho chodníkoch.“ Zo Siona totiž vyjde náuka a slovo Hospodina z Jeruzalema.http://bit.ly/nzes-dnesViac o etnickej skupine nájdete na: Turkmenov:https://www.joshuaproject.net/people_groups/15654/IN
Située au milieu du désert du Karakoum, au Turkménistan, la Porte de l'Enfer est un cratère gazier embrasé depuis plusieurs décennies. Découvrez l'origine de ce lieu insolite (et terriblement polluant) dans ce nouvel épisode de Culture G. Abonnez-vous ! Un podcast du Studio Biloba, présenté par Gabriel Macé. Pour vous inscrire à la newsletter Curiosité : https://studiobiloba.fr/newsletter Autres podcasts recommandés :
durée : 00:12:26 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Avec Michaël Levystone, chercheur au Centre Russie/Nouveaux États Indépendants de l'Ifri. Ses travaux portent principalement sur les politiques intérieure et étrangère des Républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan). - invités : Michaël Levystone Chercheur au Centre Russie/Nouveaux États Indépendants de l'Ifri. Ses travaux portent principalement sur les politiques intérieure et étrangère des Républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan).
Jakub 4:10 Pokorte sa pred Pánom a povýši vás.http://bit.ly/nzes-dnesViac o etnickej skupine Turkmenov nájdete na:https://www.joshuaproject.net/people_groups/15654/PK
Všetko dobré sa raz končí, a to naozaj dobré vlastne len trochu. Siedmu sériu uzatvárame skvelým rozhovorom o Turkménsku, bizarnej krajine plnej zlatých sôch, mramorových podstavcov, hovoriacich kríkov a horiacej diere v zemi. Našou hosťkou bola Zuzka „Hacka” Remišová z cestovateľského projektu OverlandVAN a festivalu Overland. Vysvetlila nám, ako sa do krajiny vychádzajúceho Turkmenbašiho dostať, ako z nej byť deportovaný, aj kde Šeherezáda rozprávala svojích 1000 a jeden príbehov. Opäť raz skvelý záver série spojený s nahrávaním v prehriatom aute uprostred Dubaja a podcastovom štúdiu denníka SME v Bratislave. Ďakujeme vám miliónkrát za podporu a počujeme sa opäť o pár týždňov :). Vaši Tina & Onďo
Grâce aux trucs mnémotechniques d'Antoine Vézina et Frédéric Barbusci, apprenez les capitales des Émirats arabes unis, du Nigeria, du Ghana, du Turkménistan et de l'Éthiopie !
Pour cet épisode, j'ai eu la chance de parler avec Anne qui a déjà vécu dans 5 pays et pas n'importe lesquels. Elle est partie vivre au Vietnam pendant 5 ans, le pays d'origine de ses parents, puis elle part au Turkménistan, qui est loin d'être sur la liste des pays les plus prisés des expats. Elle poursuit son aventure à Hong Kong, au Qatar pour finalement atterrir en Egypte, au Caire où elle vit actuellement. Comme je trouvais ça dommage de condenser 15 ans d'expatriation en un épisode, je me suis dit qu'on allait en faire deux. Le deuxième épisode sera publié dans deux semaines. Cette partie est consacrée à ses deux premières expatriations, le Vietnam et le Turkménistan. Elle raconte le choc entre la culture vietnamienne qui lui a été transmise par ses parents et la réalité culturelle sur place. Elle parle également de la naissance de son premier enfant et de pourquoi elle s'est retrouvée au Turkménistan et ce qu'elle a aimé de ce pays. Avant d'écouter cet épisode, n'hésitez pas à suivre le podcast sur Instagram sur expat_dixheuresdavance pour découvrir les photos de voyages de nos invités. Bonne écoute! Enjoy
Les “portes de l'Enfer” est un cratère gazier géant en combustion au Turkménistan. Ca fait 50 ans qu'il brule, c'est la principale attraction du pays. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Qu'est-ce que la Porte de l'Enfer ? C'est un cratère qui mesure près de 70 mètres de diamètre. Un trou, colossal, dont jaillissent des flammes depuis un demi-siècle. On surnomme cet endroit la Porte de l'Enfer. Une spécificité géologique située au Turkménistan, un État totalitaire d'Asie centrale. Depuis 1971, le cratère gazier de Darvaza est en combustion continue, raison pour laquelle le site accueille chaque année plus de 10 000 touristes. Pourtant il n'est pas sans risque, puisque des bourrasques brûlantes s'en échappent et que les températures atteignent les 50 degrés tout autour. Ce cratère est-il naturel ? Comment s'est-il formé ? Le gaz qui s'en échappe est-il dangereux ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. A écouter aussi : Que sont les algues vertes ? Qu'est-ce qu'un Trou noir ? Qu'est-ce qu'une zone bleue ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:58:55 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Face à la Chine et la Russie et depuis leur départ chaotique d'Afghanistan, les Occidentaux et en particulier les Européens sont-ils hors-jeu malgré l'importance de leurs investissements économiques dans cette zone géographique ? - invités : Nadège Rolland chercheuse sur les questions politiques et de sécurité en Asie-Pacifique au National Bureau of Asian Research (NBR); Michaël Levystone Chercheur au Centre Russie/Nouveaux États Indépendants de l'Ifri. Ses travaux portent principalement sur les politiques intérieure et étrangère des Républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan).; Julien Vercueil Maître de conférences en sciences économiques, INALCO, Rédacteur en chef adjoint de la Revue de la Régulation; Bayram Balci Directeur de l'Institut français d'études anatoliennes à Istanbul
Au programme cette semaine : la compagnie Lufthansa obligée de faire voler 18 000 avions à vide ? Les "portes de l'enfer" se referment au Turkménistan et l'étonnante offre d'emploi : devenir roi en échange de la gestion d'un pub ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
ANN/Groong Week in Review - December 5, 2021Topics:* Regional Geopolitics* Turkmenistan / Iran gas swap deal* Opposition Fizzles Out. Again.Guests:* Benyamin Poghosyan TW/@benyamin_poghosHosts:* Hovik Manucharyan TW/@HovikYerevan* Asbed Bedrossian TW/@qubriqEpisode 105 | Recorded: Sunday, December 5, 2021Website: https://groong.org/podcasts/WiR-20211205.html
durée : 00:03:55 - Le journal des outre-mers - La Nouvelle-Calédonie est devenue le quatrième territoire au monde à légiférer sur l'obligation vaccinale, après le Turkménistan, le Tadjikistan et le Vatican.
Face à l'avancée des talibans, de nombreux Afghans fuient. Nombreux veulent fuir à l'étranger. Ces derniers jours d'ailleurs, une longue file d'attente se forme dès l'aurore devant le service des passeports à Kaboul. De notre correspondante à Kaboul, Des centaines de personnes font la queue les unes derrière les autres devant l'entrée du service des passeports. Des policiers, armés de kalachnikovs montent la garde, tendus. Un homme, le regard fiévreux, s'approche. « Mon père avait 81 ans, il a attrapé le Covid ici. C'est le plus grand risque que j'ai pris dans ma vie. Mon père est mort avant-hier. Il a été enterré hier. Mais aujourd'hui, je suis à nouveau ici. Je suis ici avec un cœur très, très lourd. Avec une peine immense. Mais que puis-je faire ? Est-ce que je dois rester chez moi ? Non je devais venir ici, je devais demander nos passeports encore, pour faire sortir ma famille d'ici, pour aller n'importe où. » Dans la file d'attente, un homme fait défiler des photos sur son téléphone portable. Il préfère rester anonyme. « Voici ma maison dans mon village. Ils ont tout détruit. Ils ont mis une mine à l'intérieur. J'ai même une vidéo. Regardez. Les talibans ont posé une mine dans ma maison. J'ai perdu toutes mes propriétés. » « Nous ne pouvons pas voir l'avenir en Afghanistan » Cet homme a fui son village situé dans la province d'Uruzgan. Capturé par les talibans une vingtaine de jours plus tôt. « Ils sont arrivés et ont brûlé nos maisons, ils ont lancé des roquettes. Les talibans ont tué plusieurs femmes et enfants. Ça tirait de partout. » Il affirme qu'une soixantaine de personnes dont des femmes et des enfants ont été tuées. Effrayé, il veut obtenir un passeport et fuir en Iran. Amina – son nom a été modifié pour des raisons de sécurité – veut fuir en Turquie avec son époux et ses deux fils en bas âge. Cette enseignante à l'université a fui en bus sa province du Badakhshan dans le nord-est du pays, tombé aux mains des talibans. « Nous ne pouvons pas voir l'avenir de l'Afghanistan. Tout est incertain. La seule chose que l'on sache, c'est que l'avenir est sombre pour tout le peuple afghan. » Amina dit n'avoir plus d'espoir, comme beaucoup dans la longue file d'attente. À la faveur du départ de la coalition internationale, les talibans affirment contrôler 85% du territoire afghan. Les autorités afghanes démentent, mais elles reconnaissent que les forces de sécurité afghanes sont dans une situation « délicate ». Les talibans ont lancé une grande offensive dans le nord du pays, s'emparant des frontières avec le Tadjikistan, le Turkménistan et d'un poste frontalier majeur avec l'Iran. Ce mardi 13 juillet, ils ont pris le contrôle de deux districts de la province centrale de Bamiyan.
Príslovie 20:13 Nemiluj spánok, aby si neschudobnel, ale maj oči otvorené a nasýtiš sa chlebom. Viac o etnickej skupine Turkmenov nájdete na JoshuaProject.net
Le classement mondial de la liberté de la presse a été publié cette semaine. Il montre que l’exercice du journalisme est « totalement » ou « partiellement bloqué » dans 132 des 180 États évalués par Reporters sans frontières. Sur les 180 États du classement de cette année, on en en trouve 73 où la liberté de l’information est « gravement entravée » et 59 où elle est au moins restreinte, ce qui fait dire à RSF que dans près des trois quarts des pays, ce « vaccin » qu’est le journalisme n’est pas actif contre le virus de la désinformation. On retrouve en queue de classement des régimes autoritaires : l’Érythrée, la Corée du Nord, le Turkménistan, la Chine, Djibouti, le Vietnam, l’Iran, la Syrie, le Laos, Cuba ou l’Arabie saoudite. Et parmi les bons élèves, la Norvège, la Finlande, la Suède, le Danemark, les Pays bas mais aussi le Costa Rica, la Jamaïque, la Nouvelle Zélande ou le Portugal. La France arrive à la 34e place, juste après le Royaume-Uni. Le parquet vient d’ouvrir une enquête après une plainte contre X déposée avec RSF par Morgane Large, une journaliste d’une radio bretonne, pour des actes de malveillance, voire de sabotage comme le déboulonnage d’une roue de sa voiture, après la diffusion d’un documentaire où elle témoignait contre l’industrie agro-chimique. Dans le monde, la pandémie a souvent été le prétexte à des restrictions à l’accès aux sources d’information sur le terrain. Au Brésil et au Venezuela, les présidents Bolsonaro et Maduro ont fait la promotion de leur propre remède au Covid-19. En Iran, des journalistes ont été condamnés pour avoir mis en en doute la vérité officielle sur le nombre de décès. Et en Égypte, rien ne doit sortir en dehors des chiffres du ministère de la Santé. En Afrique, où la moitié des États sont en rouge ou en noir sur la carte de RSF, les autorités ont cherché à contrôler l’information dans 23 pays. Ce qui veut dire qu’au lieu d’être vus comme des alliés pour affronter les crises, « les journalistes africains restent trop souvent perçus comme des ennemis à contrôler ou à réprimer », selon RSF. Arrestation d’un journaliste d’investigation au Botswana pour la mise à jour d’un scandale lié à l’épidémie sur l’utilisation de l’argent public, blackout de l’information sur la Covid-19 en Tanzanie, tour de vis législatif avec des lois contre les fausses nouvelles en Afrique du Sud, au Bénin ou au Niger... Les exactions et les détentions arbitraires sont encore nombreuses, notamment en Érythrée. Enfin, la Birmanie est depuis le putsch des militaires de février, un lieu de « persécution » des journalistes avec des arrestations arbitraires et la diffusion au journal télévisé de listes de personnalités recherchées pour leur contribution à l’information sur le mouvement démocratique. Parmi elles, au moins 19 journalistes. Un retour de dix ans en arrière, selon RSF.
Baptiste a 39 ans et il vit en famille en Egypte au Caire. Enfant déja, il a vécu plusieurs expatriations en Inde, au Brésil et en Italie. Après un retour en France et ses études terminées, il va reprendre la route pour vivre d'autres étapes dans sa découverte du monde : Vietnam, Turkménistan, Hongkong, Qatar, Egypte. Au micro de StereoChic, Baptiste raconte ses expériences d'expat', l'adaptation aux cultures et les inconvénients de ces expériences. ❤ ❤ ❤ ❤ ❤ ❤ Soutenez l'association StereoChic en devenant membre pour 2e par mois http://association.stereochic.fr
Dix ans après le déclenchement du conflit en Syrie, plus de 5 millions de Syriens vivent toujours loin de leur pays qu’ils ont dû fuir pour trouver refuge dans un pays voisin ou au-delà. La Turquie se distingue parmi tous les autres : elle accueille à elle seule plus de 3,6 millions de Syriens, de loin le record mondial. Les réfugiés, souvent installés en Turquie depuis de longues années, y ont reconstruit une vie. Ils travaillent, ils ont des enfants qui vont à l’école et s’intègrent, bon an mal an, à la société turque. Alors que les autorités continuent d’affirmer que les Syriens repartiront, la plupart n’en ont pas du tout l’intention. Reportage à Istanbul où vivent plus de 500 000 Syriens. Il y a un peu plus de neuf ans, en décembre 2011, Muhammed entrait en Turquie depuis la province d’Alep, en Syrie. Il avait 23 ans, il était célibataire, il fuyait les combats et pensait revenir vite dans son village de Hawar Kilis. Aujourd'hui, il reçoit dans un appartement d’Istanbul situé au rez-de-chaussée d’un immeuble vétuste, entouré de ses trois enfants et de sa femme, Noura, enceinte du quatrième. Le couple s’est marié en 2013. Il n’est jamais retourné en Syrie. Muhammed et Noura se décrivent comme « bien intégrés ». D'origine Turkmène, ils parlent le turc, ce qui leur a tout de suite facilité la vie. Muhammed travaille dans le textile. Il est globalement satisfait de sa situation et même reconnaissant. « Pour la santé, par exemple, on n’a vraiment pas à se plaindre, affirme-t-il. Quand j’ai besoin d’un médicament à 100 livres, je n’en paye que 5 ou 10. C’est appréciable, ça montre que la Turquie s’implique, qu’elle se soucie de nous. Et ça me rend heureux. » Le couple a des amis, des voisins turcs avec lesquels ils parlent de tout et de rien, échangent des vœux lors des fêtes religieuses... Il sait que ce n’est pas le cas de beaucoup de Syriens. Murat Erdogan, directeur du Centre de recherches sur la migration et l’intégration de l’Université turco-allemande d’Istanbul, confirme. Ce spécialiste met en garde contre le risque de communautarisme chez les réfugiés, qui en viendraient à constituer une « société parallèle ». « Si vous allez dans les régions où les Syriens sont très nombreux, vous constaterez qu'ils vivent dans une sorte "d’entre-soi", explique Murat Erdogan. D'un côté, c’est tout à fait normal. Ils ont créé en Turquie des réseaux de solidarité, des chaînes d’entraide entre migrants, qui les aident à se sentir davantage en sécurité. Mais ce sentiment de sécurité est aussi ce qui les éloigne, voire les isole de la société d’accueil. Et c’est un handicap pour la construction d’une société commune. » D'un autre côté, la présence massive des Syriens est extrêmement impopulaire dans l’opinion publique. Elle l’est d’autant plus que les Turcs ont pris conscience qu’une grande partie des réfugiés n’avaient pas l’intention de rentrer en Syrie et n’y rentreraient pas – même si le discours officiel continue d’affirmer le contraire. Les Turcs leurs sont hostiles, mais ils sont aussi résignés, constate Murat Erdogan. « La société turque n’accepte pas les Syriens, mais elle ne leur montre pas vraiment. Elle est mécontente, mais elle ne leur fait pas trop ressentir. Au départ, il y avait beaucoup d’inquiétudes liées aux Syriens… Mais quand ils regardent les dix dernières années, les Turcs ne voient pas vraiment en quoi les Syriens ont pu nuire à leur société. En tout cas, ils n’en ont pas fait l’expérience personnelle », souligne l'expert. En effet, on ne soulignera jamais assez que depuis tant d’années, la cohabitation entre 83 millions de Turcs et 3,5 millions de Syriens se déroule de façon largement pacifique. Et ce alors que la Turquie leur a non seulement ouvert ses portes, mais aussi ses services publics. ► Reportage à retrouver en intégralité dans l'émission Accents d'Europe du lundi 15 mars 2021.
L'heure n'est pas encore aux cartons, mais à la cogitation. Des couloirs du gouvernement aux travées de l'Assemblée, un mot s'est déjà immiscé dans les têtes de la majorité : remaniement. C'est un poids lourd du groupe LREM qui réfléchit en se demandant si Jean Castex, dont l'image est très liée à la crise sanitaire, pourra "incarner le rebond nécessaire" avant la présidentielle de l'année prochaine. Ce sont des ministres qui parient sur un changement en septembre, après les régionales. Plus concrètement, le gouvernement et Emmanuel Macron testent actuellement des nouvelles formes de communication pour toucher un public plus large et plus jeune. LREM tente de se mettre en ordre de bataille. Pour Jean-Michel Apathie, le Premier ministre est près de la porte. Et si une reprise économique trop rapide venait faire paniquer les marchés ? La récente forte remontée des taux d'emprunt d'État fait craindre ce scénario à certains. En ligne de mire, les 1 900 milliards de dollars déversés par Joe Biden pour son plan de relance, causant une peur de surfinancement qui placerait, avec l'inflation, la Banque centrale américaine en perte de crédibilité. Mais la FED a tenté de rassurer en assurant maintenir ses taux bas. Pascal Perri estime que c'est une surréaction des marchés, qui tiennent d'ailleurs un raisonnement théorique justifié. Un citoyen français de 35 ans est détenu illégalement en Iran depuis neuf mois. Il fait face à des accusations contradictoires et fausses a tweeté son avocat. Benjamin a été arrêté en mai 2020 alors qu'il se trouvait en Iran pour effectuer le tour du pays en van. Il a été appréhendé par les forces de sécurité iraniennes dans une zone désertique située à la frontière entre la République islamique et le Turkménistan. Les autorités n'ont pas fourni le moindre dossier ni la moindre explication sur sa détention. Pour Abnousse Shalmani, c'est un jeu, un pas de deux que jouent la France et l'Iran depuis très longtemps sur ces histoires d'otages. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
La 19ème édition du FIFDH (festival du film et forum international sur les droits humains de Genève) dédie son édition 2021 à Soltan Achilova, photojournaliste, reporter indépendante et porte-parole des atteintes systématiques aux droits humains au Turkménistan. Isabelle Gattiker, directrice depuis 2015 du FIFDH, évoque la programmation du festival tout juste dévoilée. Elle est l'invitée de Rafael Wolf.
Viac o etnickej skupine Blízkovýchodných Turkmenov nájdete na JoshuaProject.netKalendár SMS na rok 2021 si môžete objednať na bit.ly/SMSkalendar2021
Conférence du 22 novembre 2020 avec Catherine Touaibi. Une invitation à découvrir les sanctuaires des grands maîtres soufis d’Asie centrale. Catherine Touaibi-Chatagny a exploré une partie de l’Asie centrale, terre de naissance d’importantes confréries soufies, visitant l’Ouzbékistan, le Turkménistan et une partie du Kazakhstan. Aujourd’hui elle nous convie à la découverte des sanctuaires de quelques grands maîtres soufis: – Yûsuf Hamadânî (m. 1140) et Najm-ud-Dîn Kubrâ (m. 1179) au Turkménistan – Ahmed Yasawî (m. 1166) au Kazakhstan et – Bahâ ud-Dîn Naqshband (m. 1389) et ses maîtres précurseurs en Ouzbékistan. Ces mausolées témoignent d’un précieux héritage spirituel et architectural le long de la Route de la Soie. Durant la période soviétique, une grande partie de ces sites en Asie centrale étaient inaccessibles. Depuis l’indépendance de ces pays, c’est-à-dire depuis une trentaine d’années, les gouvernements ont officiellement réhabilité les sanctuaires et de nombreux pèlerins s’y rendent régulièrement. C’est clairement un vent nouveau et dynamique qui souffle sur l’Asie centrale ! Pour plus d'informations visitez notre site: https://consciencesoufie.com/
Cercle d'échange du 22 novembre 2020 avec Catherine Touaibi. Une invitation à découvrir les sanctuaires des grands maîtres soufis d’Asie centrale. Catherine Touaibi-Chatagny a exploré une partie de l’Asie centrale, terre de naissance d’importantes confréries soufies, visitant l’Ouzbékistan, le Turkménistan et une partie du Kazakhstan. Aujourd’hui elle nous convie à la découverte des sanctuaires de quelques grands maîtres soufis: – Yûsuf Hamadânî (m. 1140) et Najm-ud-Dîn Kubrâ (m. 1179) au Turkménistan – Ahmed Yasawî (m. 1166) au Kazakhstan et – Bahâ ud-Dîn Naqshband (m. 1389) et ses maîtres précurseurs en Ouzbékistan. Ces mausolées témoignent d’un précieux héritage spirituel et architectural le long de la Route de la Soie. Durant la période soviétique, une grande partie de ces sites en Asie centrale étaient inaccessibles. Depuis l’indépendance de ces pays, c’est-à-dire depuis une trentaine d’années, les gouvernements ont officiellement réhabilité les sanctuaires et de nombreux pèlerins s’y rendent régulièrement. C’est clairement un vent nouveau et dynamique qui souffle sur l’Asie centrale ! Pour plus d'informations visitez notre site: https://consciencesoufie.com/
durée : 00:02:40 - Les Histoires du monde - Il adore les Alabaï, ces chiens de berger d'Asie centrale. En hommage, le dictateur turkmène a décidé de leur ériger une statue de... 6m de haut. Une tradition cruelle que ce pays partage avec la Corée du Nord.
Ailleurs dans le monde... Le président du Turkménistan a dévoilé une statue à la gloire de l'alabaï, sa race de chien préférée... Statue qui trône désormais au cœur de la capitale... Thomas Zribi nous parle de ce beau monument.Image - ©Youtube See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:02:40 - Les Histoires du monde - Il adore les Alabaï, ces chiens de berger d'Asie centrale. En hommage, le dictateur turkmène a décidé de leur ériger une statue de... 6m de haut. Une tradition cruelle que ce pays partage avec la Corée du Nord.
durée : 00:02:40 - Les Histoires du monde - Il adore les Alabaï, ces chiens de berger d'Asie centrale. En hommage, le dictateur turkmène a décidé de leur ériger une statue de... 6m de haut. Une tradition cruelle que ce pays partage avec la Corée du Nord.
Entrevue avec Jacques Gariépy, maire de Saint-Sauveur : Les villes de Sainte-Adèle et Saint-Sauveur demandent des barrages routiers afin d’éviter la propagation du virus. Chronique d’Anaïs Guertin-Lacroix, chroniqueuse culturelle à QUB radio et animatrice de l’émission Culture d’ici diffusé à QUB radio : Les animaux sont 8 fois plus susceptibles d'être en vedette que les minorités dans les livres pour enfants. La COVID s’installe dans les fictions télé. Entrevue avec Catherine Bertrand, survivante du Bataclan : Il y aura 5 ans demain (13 novembre) un commando de terroristes frappe Paris faisant 130 morts, dont 90 au Bataclan. Chronique de Geneviève Pettersen, animatrice : on peut rouvrir les cinémas et les autres lieux culturels. Chronique de Stéphane Plante, producteur de contenus pour QUB Musique : Les nouveautés de Noël cette année...Comme quoi on n’y échappe pas, même s'il fait beau et chaud ! Segment d’actualité avec Alexandre Dubé : le bilan COVID-19 du jour. Les maires de Saint-Adèle et Saint-Sauveur demandent des barrages routiers pour contrôler la contamination. Jour de budget au Québec. Fitzgibbon devient le premier ministre à être réprimandé par l’Assemblée nationale. L’administration Plante annonce un gel de taxes pour 2021. La mairesse de Longueuil menacée de mort. Entrevue avec André Fortin, député de Pontiac et leader parlementaire de l’opposition officielle : mise à jour économique La situation dans les écoles. Chronique politique provinciale et fédérale avec Antoine Robitaille, animateur et chroniqueur radio et Caroline St-Hilaire, animatrice à QUB radio, analyste de la politique fédérale et ancienne mairesse de Longueuil : la ventilation dans les écoles. Legault quitte avant le vote contre Fitzgibbon. Est-ce que François Legault se bâtit un Boys Club? Les médias s’inquiètent du prochain format du débat des chefs. Un sondage sur les partis canadiens. Chronique politique américaine avec Loïc Tassé, politologue et chroniqueur au Journal de Montréal : Donald Trump continue de renier le résultat de l’élection. Un organisme dénonce Trump. Joe Biden essaie de travailler. Révolution à Hong-kong par Pékin. Une nouvelle statue au Turkménistan. Chronique Sport avec Jean-Charles Lajoie, animateur à TVA Sports : les Canadiens de Montréal et le Lightning de Tampa Bay. Une production QUB radio Novembre 2020 Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chronique politique américaine avec Loïc Tassé, politologue et chroniqueur au Journal de Montréal : Donald Trump continue de renier le résultat de l’élection. Un groupe d'anciens dirigeants formé par Nelson Mandela dénonce Donald Trump. Joe Biden essaie de travailler. Révolution à Hong-kong par Pékin. Une nouvelle statue au Turkménistan. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Devenir plus productif c’est un bien bel objectif, mais comment y arriver si vous cédez trop facilement aux tentations, et que votre séance de travail “intense” se termine bizarre sur votre lecture de l’article Wikipédia sur l’élevage des yaks au Turkménistan ? Voici un outil bête comme choux pour diminuer les distractions et vous focaliser davantage sur votre réussite. Ressources : Les vidéos précédentes de ce mois de la productivité : Le meilleur système de productivité pour réussir (1/30) La règle des 2 minutes pour ne pas saturer votre système de productivité. Hack Productivité #2 Le meilleur logiciel pour être productif (3/30) Rêver pour être plus productif ?! Hack Productivité #4 Définir vos objectifs pour poser votre échelle sur le bon mur (5/30) Le temps masqué, le hack de productivité inconnu (6/30) Le fameux 80/20 et comment l'utiliser efficacemen Plus productif avec un bureau vide - Hack Productivité 8/30
Parution de l'édition 2020 de l'enquête internationale Mercer sur le coût de la vie et du logement pour les expatriés. Le coronavirus a eu peu d'incidence sur ce sondage annuel. Toutefois, les perturbations créées par cette pandémie ont incité les organisations à réévaluer leurs programmes de mobilité internationale, en mettant davantage l'accent sur le bien-être de leurs employés expatriés. Selon cette étude (à lire ici) et pour la troisième année consécutive, Hong Kong reste la ville la plus chère au monde pour les expatriés, suivie d'Achkhabad au Turkménistan. Tokyo et Zurich restent respectivement en troisième et en quatrième position. Singapour se classe cinquième, perdant deux places par rapport à l'année dernière. Dans le top 10 cette année figurent également New York, Shanghai, Berne, Genève et Pékin. Trois villes françaises sont retenues : Paris (50e) et Pointe-à-Pitre (134e) en net recul, et Lyon qui se maintient à la 123e place. Les explications de Jean-Philippe Sarra, responsable de la mobilité internationale chez Mercer France.
Pour la dernière de sa saison 1, Ni Une ni deux revient pour vous proposer le meilleur de ses chroniques et de ses chroniqueurs ! En cette période de coronavirus, il nous est désormais impossible d’éviter ce sujet d’actualité prenant. Alors, dans notre équipe, nous avons choisi de vous en parler, toujours dans une perspective originale pour compléter votre vision de l’actualité. Nos chroniqueurs et chroniqueuses sont aussi toujours là pour ouvrir vos horizons encore plus loin : culture, sport et histoire, il y en aura pour tous les goûts ! Au sommaire de cet épisode 6 de Ni Une ni deux : - Dans A côté du micro, nous discutons avec Claire Duizabo et l’association Entourage de la situation des personnes sans domicile fixe pendant cette crise sanitaire - Dans la Pastille Culturelle, Jade nous fait découvrir l’exposition virtuelle de Google Arts & Culture : “Viva la vida” sur Frida Kahlo - Dans sa chronique sport, David nous emmène à la cinquième édition des jeux asiatiques d’arts martiaux et de sports en salle au Turkménistan - Dans les Oubliés de l’histoire, Héloïse nous fait découvrir le parcours de la militante féministe du début du XIXe siècle, Naziq al-Abid Pour cette dernière émission, l’ensemble de l’équipe de Ni Une ni deux tient à vous remercier pour votre écoute tout au long de cette année. Pour ce qui est de la suite, Ni Une ni deux reprendra en septembre prochain pour sa saison 2 et ce sera Héloïse à la présentation !
Cette semaine, Pierre Brassard reçoit Karyne Lefebvre, Olivier Niquet et Katerine Verebely, qui doivent répondre à des questions sur : les bancs publics, le message de Doug Ford aux commerçants, une histoire d'amour transfrontalière, la générosité des vedettes, les activités de Shea Weber en période de confinement, l'interdiction du mot « coronavirus » au Turkménistan et le retour de Bibi.
durée : 00:01:51 - Le monde est à nous - On fait tous les matins le point sur un pays ou une zone du monde, en période de pandémie. Ce matin, on se pose au Turkménistan, où les autorités ont décidé de bannir le coronavirus, à leur manière.
durée : 00:05:21 - Classique info du mercredi 20 novembre 2019 - par : Sofia Anastasio - Le MET rend hommage à Jessye Norman pendant toute une soirée, la partition de jeunesse de Mozart vendue aux enchères pour 372 500 euros, pour la première fois depuis 19 ans un opéra étranger est joué au Turkménistan et le conservatoire national supérieur de Lyon recrute.
Bruxelles, destination touristique ! Alicia et Alessandro, eux-mêmes touristes routinés mais sans le sac banane, évaluent les plus grandes attractions touristiques de Bruxelles. L’envoyé spécial gravira les boules de l’Atomium et Alicia voudrait enfin voir le Manneken Pis habillé. Que pensent les Suisses, Espagnoles et Américains de notre capitale ? Ailleurs dans le monde, Alessandro ne peut pas porter de bustier en Australie et Alicia ne peut pas mourir au parlement anglais. Et que se passe-t-il au Turkménistan ? N’oubliez pas votre passeport, cet épisode va vous faire voyager !
Baigėsi Tarptautinės karinės pratybos. Ką gali darbuotojų profsąjungos? Pasaulio futbolo čempionato apžvalga. Socialiniai tinklai. Ramūnos Bogdano komentaras. Papildomai apmokestinti aplinką teršiančius automobilius - vienas svarstomų variantų, teigia Saulius Skvernelis. Savaitės istorijos įvykiai. Verslo naujienos iš Turkijos. Prasideda vaikų atostogos – kaip leis vasarą vaikai? Su rubrika „Labas rytas“ lankomės Turkmėnistane. Mėgstantiems Baltijos jūrą – Neringa, vienas iš kurortų, kur ieškome ramybės ir romantikos. Kokia Neringa šiemet?
Baigėsi Tarptautinės karinės pratybos. Ką gali darbuotojų profsąjungos? Pasaulio futbolo čempionato apžvalga. Socialiniai tinklai. Ramūnos Bogdano komentaras. Papildomai apmokestinti aplinką teršiančius automobilius - vienas svarstomų variantų, teigia Saulius Skvernelis. Savaitės istorijos įvykiai. Verslo naujienos iš Turkijos. Prasideda vaikų atostogos – kaip leis vasarą vaikai? Su rubrika „Labas rytas“ lankomės Turkmėnistane. Mėgstantiems Baltijos jūrą – Neringa, vienas iš kurortų, kur ieškome ramybės ir romantikos. Kokia Neringa šiemet?
Cette semaine, on souligne les 30 ans de Sophie! Et quoi de mieux pour célébrer que de ramener son ancien mari en studio? Hé oui! Alain est de retour avec nous pour nous parler de son nouvel amour! Aussi, Maxime nous présente ses passe-temps d'insmniaques, Dom nous raconte l'étrange fin de sa soirée et Sophie parle d'un dictateur du Turkménistan!
Cette semaine, on souligne les 30 ans de Sophie! Et quoi de mieux pour célébrer que de ramener son ancien mari en studio? Hé oui! Alain est de retour avec nous pour nous parler de son nouvel amour! Aussi, Maxime nous présente ses passe-temps d'insmniaques, Dom nous raconte l'étrange fin de sa soirée et Sophie parle d'un dictateur du Turkménistan!
Anne Luong vit au Qatar. Elle a déjà 4 expats au compteur. Sa 1ère expat c'était au Vietnam il y a 10 ans. Son chéri l'a suivi. La roue a tourné et elle l'a suivi à son tour à Hong Kong et au Turkménistan. Elle a su rebondir professionnellement à chaque expat, entre deux grossesses. Pourtant, elle démarre son business de portage international. Pourquoi maintenant ? Est-ce que sa vision de l'expatriation a changé ? Anne nous parle de son aventure entrepreneuriale et de son quotidien à Doha. Pour soutenir le podcast, RDV sur https://www.tipeee.com/expat-heroes. QUESTIONS 1. Tu vis au Qatar. Tu es mariée. Tu as deux enfants. L'un est né au Vietnam, l'autre à Hong Kong. Ton mari et toi vous avez 4 expats au compteur. Votre 1ère expat remonte à 10 ans en arrière. Et puis aujourd'hui après avoir maintenu ta carrière tant bien que mal, tu décides de monter ton activité. Pourquoi ? 0:59 2. Avant Hong Kong, il y a eu le Turkménistan. Et là, la douche froide a commencé niveau professionnel même si tu as réussi à rebondir. Raconte-nous. 3:12 3. Pourtant, dans les expats précédentes tu as réussi à maintenir la cap de ta vie professionnelle. Tu as vécu 5 années fructueuses professionnellement au Vietnam, la naissance de ton premier enfant. En comparaison avec le Turkménistan et Hong Kong, en quoi le Vietnam a été une expérience gagnante pour toi ? 7:54 4. Pour votre 1ère expat, c'est ton mari qui a suivi. Vous vous étiez dits: celui qui a la 1ère opportunité à l'étranger, on l'étudie ensemble et on fonce. Vous avez fait la même école de commerce. Forcément l'un des deux peut se sentir lésé voire sacrifié. Mais vous avez trouvé une forme d'équilibre. Quel est votre secret ? 11:34 5. On dit que l'expatriation rend accro. Alors retour en France pas possible ou pas souhaité ? 13:07 6. Avec le recul, quels conseils tu donnerais à une personne qui souhaite retrouver du travail à l'étranger ? 14:38 7. Revenons justement à ton projet. Tu accompagnes les entrepreneurs dans leur vie de carrière nomade. Concrètement ça consiste en quoi ? Du coaching ? 16:46 8. Comment as-tu trouvé tes partenaires ? 14:06 9. Tu as fait ton coming-out. Tu as lancé ton projet sur les réseaux sociaux. Alors heureuse ?! 20:04 PARTIE 2: VIVRE AU QATAR 24:30 1. Quelles ont été tes premières impressions à ton arrivée au Qatar ? 2. Comment avez-vous trouvé votre logement ? 3. Est-ce que les expats comme vous sont regroupés par quartier ou est-ce que vous vivez au coeur de la population locale ? 4. Niveau alimentation et bien être, à quoi ressemble ton panier de courses ? Tes week-ends ? 5. Tu as 2 enfants. Où sont-ils scolarisés, en école française ? 6. Tu avais pu faire garder tes enfants assez facilement au Vietnam et à Hong Kong. Qu'en est-il du Qatar ? 7. Est-ce que tu as des sites Internet ou des blogs à recommander pour ceux et celles qui préparent leur expatriation au Qatar ? EXTRAITS Femme de "Je me suis rendue compte que j'ai réussi à avoir une carrière à l'international mais je n'ai pas pu être maître de ma vie". "Tour de table. Elles avaient cette soif d'intégrer une nouvelle société voire même de se reconvertir. Et là, je me suis dit ça n'est plus pour moi. Ça a été le déclic. Je l'ai fait une dizaine d'années et aujourd'hui je n'en ai plus la force, j'ai besoin d'autre chose. J'ai besoin d'un projet à moi, quelque chose que je puisse transporter lors d'une prochaine expatriation." "Lors des entretiens, ils m'ont proposé le contact de leurs femmes. On a pas vraiment de travail pour toi mais tu peux contacter ma femme, elle fait de la marche tous les lundis. C'est la première fois que j'avais cette casquette de femme d'expatrié. On m'a demandé qu'est-ce que fait ton mari, dans quelle société il travaille ? Je suis en entretien d'embauche pourquoi ils me parlent de mon conjoint ?!" "Même si je suis maman de 2 enfants aujourd'hui, pour moi, travailler est une part de moi-même, c'est un accomplissement personnel,
Connaissez-vous la musique d'Asie Centrale ? Cette région de plateaux, loin de toute (vraie) mer mais collée à la Caspienne, regroupant les fameux pays en -stans (l'Ouzbékistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et le Turkménistan) au passé soviétique et au futur totalitaire. Non ? Ben, nous non plus. Réponse : jeudi, à 21h00. [caption id="attachment_61885" align="aligncenter" width="680"] © Ken and Nyetta[/caption] Playlist Ulytau - Adai (Kazakhstan) Nobovar & Shams Group - Az Ghami Tu (Tajikistan) Kesh you - Rizamyn (Kazakhstan) Ashkabad - From The Station To The Mill (Turkmenistan) Shoxrux - Hayr Bevafo (Uzbekistan) Ninety One - Bayau (Kazakhstan) Nurhan Kalnazarova - Shaadyk zhigitke (Kyrghistan) Edil Husainov - Bul Bul Zaman (Kazakhstan) Dos Mukasan - Betpak Dala (Kazakhstan) Gunesh - The Wind From the Gang River (Turkmenistan) Sevara Nazarkhan - Adolatingman (Tanovar) (Uzbekistan) Kasiet Barktabasova - Mahabat (Kyrghistan) Profitez-en pour vous abonner à la page Facebook de l'émission pour recevoir des news sur les prochaines émissions et au merveilleux compte Instagram pour un accès VIP aux coulisses de Mappemonde. Crédit photo : Ken and Nyetta
Connaissez-vous la musique d'Asie Centrale ? Cette région de plateaux, loin de toute (vraie) mer mais collée à la Caspienne, regroupant les fameux pays en -stans (l'Ouzbékistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et le Turkménistan) au passé soviétique et au futur totalitaire. Non ? Ben, nous non plus. Réponse : jeudi, à 21h00. [caption id="attachment_61885" align="aligncenter" width="680"] © Ken and Nyetta[/caption] Playlist Ulytau - Adai (Kazakhstan) Nobovar et Shams Group - Az Ghami Tu (Tajikistan) Kesh you - Rizamyn (Kazakhstan) Ashkabad - From The Station To The Mill (Turkmenistan) Shoxrux - Hayr Bevafo (Uzbekistan) Ninety One - Bayau (Kazakhstan) Nurhan Kalnazarova - Shaadyk zhigitke (Kyrghistan) Edil Husainov - Bul Bul Zaman (Kazakhstan) Dos Mukasan - Betpak Dala (Kazakhstan) Gunesh - The Wind From the Gang River (Turkmenistan) Sevara Nazarkhan - Adolatingman (Tanovar) (Uzbekistan) Kasiet Barktabasova - Mahabat (Kyrghistan) Profitez-en pour vous abonner à la page Facebook de l’émission pour recevoir des news sur les prochaines émissions et au merveilleux compte Instagram pour un accès VIP aux coulisses de Mappemonde. Crédit photo : Ken and Nyetta
Les coulisses de Beaubourg Sans Titre est une oeuvre d'art stockée dans les réserves du Centre Pompidou. Pour la première fois, Sans Titre va quitter le musée, et rejoindre une exposition au Turkménistan.Monte-charge, hayon-élévateur, rayons x, champagne et odeur de souffre, Sans Titre est le récit poétique du convoiement d'une oeuvre d'art sous haute protection.Une coproduction d'ARTE Radio avec le centre Pompidou - Retrouvez les "museum fictions" et "l'agenda sonore" sur l'appli gratuite du centre Pompidou. Enregistrements : juin, septembre 17 - Musique, réalisation & mix : Arnaud Forest - Voix : Anaïs Thomas - Prises de son et texte : Jeanne Robet
En 2010, Xavier et Céline Pasche décident de "tout plaquer" dans leur Suisse natale, et se lancent dans un grand projet. L'idée : se rendre des Alpes suisses aux "Alpes du Sud" en Nouvelle-Zélande, au seul moyen de leurs vélos, et en totale indépendance. Ils parcourront une trentaine de pays, le tracé du circuit évoquant le symbole de l'infini. L'aventure durera 5 ans, et 50 000 kilomètres seront "pédalés" dans des contrées d'une très grande diversité. En cours de route, le couple donnera naissance à la petite Nayla, et l'aventure continuera à trois jusqu'à destination. Ensemble, nous revenons particulièrement sur leur passage dans les pays d'Asie Centrale, figurant haut dans les coups de coeur de ces voyageurs au long cours. Au programme : un cocktail fantastique de cultures, de grands espaces et de pure aventure qu'offrent le Turkménistan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et le Kazakhstan. Découvrez vous aussi cette partie moins connue de l'Asie !
Reklāmas par labākajām radio spuldzēm un rakstāmmašīnām, ziņas par radio aizliegumu Ņujorkas taksometros, kādas melodijas vēlējās dzirdēt cukura fabrikas strādnieki pagājušā gadsimta 50. gados, kāda klasiskā mūzika pa radio bija populāra 1972. gadā - šos un vēl citus par radio vēsturi saistītos tematus lūkojam kopā ar Latvijas Radio bibliotekāri Sarmu Indzeri, lapojot sendienu preses materiālu. Sens latīņu sakāmvārds vēsta "Verba volant skripta manent" (Vārdi aizlido, rakstītais paliek), un šo sakāmo visa šī gada laikā vistiešākajā veidā varu attiecināt uz radio vēstures izpētes darbu raidījumā Reiz radio...: bieži vien par to vai citu pieminētu radio balsi vai raidījumu bija jāsaka: „…diemžēl šis ieraksts nav saglabājies vai tolaik jau viss izskanēja tikai dzīvajā ēterā…”. Rakstīts vārds par laimi aizgājušo laiku ir krietni vairāk ir fiksējis. Un pirms gada, sākot lūkot Radio vēsturi, pirmais raidījuma veidotājās Zanes Lāces gājiens bija uz radio bibliotēku, kur tās darbiniece Sarma Indzere izsniedza kaudzi ar dažādu laiku preses materiāliem, kuros pieminēta mūsu darbavieta. Skatot tālāk materiālus par radio vēsturi un personām, kas to veidoja, Sarma savulaik mācoties Kultūras koledžā, uzrakstīja diplomdarbu "Bibliogrāfiskais rādītājs par Latvijas Radio laika posmā no 1925. līdz 2005. gadam", tur var redzēt, ka radio bijis pieminēts 328 preses izdevumos. Šī raidījuma autores sevišķa vājība ir pagājušā gadsimta 30 gadu prese, konkrēti "Radiofona programma" vēlāk pazīstama ar nosaukumu „Latvijas Vilnis” un „Hallo, Latvija!” Avīzē „ Socilādemokrāts” 1925. gada septembrī parādās šāda reklāma: Tehniska progresa pēdējais vārds „RADIO” papirosu rūpniecībā. Maikapar papirosi „RADIO” 10 gab.- 10 rbļ. „Latvijas vilnis” 1940. gada maijs. "Continental" rakstāmmašīnas un mazrakstāmmašīnas, kā arī BRUNSVIGA rēķinmašīnas. Piedāvā vienīgais pārstāvis Latvijā, biroja mašīnu nodaļa „OMEGA”. 1939.gada „Hallo Latvija” numurā līdzas reklāmai par "Continental" riepām un zarnām, kas ir drošas un izturīgas un pieejamas automobiļu un motociklu veikalā Elizabetes ielā 55, ir atrodama informācija, ka 4. februārī vairākkārt ir pārraidītas Eiropas meistarsacīkstes ātrslidošanā, kas togad norisinājās Rīgā un mūsu ātrslidotājs Alfons Bērziņš šajās sacīkstēs ieguva Eiropas čempiona un pasaules vicečempiona titulus. Un sporta tematiku turpinot, lūkojamm, kā 1936. gadā radio programmā tika atspoguļotas Berlīnē notiekošās olimpiskās spēles. 1936. g. „Hallo, Latvija!” augusta numurā par Berlīnes olimpiādi "Šī gada olimpiāde ir notikums, par ko interesējas ne tikai aktīvie sportisti, bet arī jebkurš sporta cienītājs. Tomēr tie, kas ieradīsies sacīkšu vietā, sastādīs tikai mazu daļiņu no lielās sporta entuziastu saimes, jo viss lielum lielais vairums spiests palikt savās mājās un savā darbā, un tieši par šiem pēdējiem nu ir parūpējies mūsu laika lielākais izgudrojums – radio. Olimpiādē no ārzemēm vien ieradīsies apmēram 80 radio reportieru. To vajadzībām sagatavotas 80 auto mašīnas, lai reportieri varētu ātri un ērti nokļūt no vienas sacīkšu vietas līdz otrai. Ziemēļamerikas lielākā radio sabiedrība „National Broadcasting Company” sūtījusi uz Berlīni savu labāko sporta reportieri Viljamu Sleiteru. Viņa pirmā reportāžas tēma ir „Dzīve olimpiskajā sādžā” Lapojot 1958. gada „Rīgas Viļņus”, redzam ka plaši ir izvērsta radioprogramma, gan anotācijas par raidījumiem, gan mūsu diktoru fotoattēli, gan klasiskās mūzikas jēdzienu skaidrojums, gan rīta rosmes apraksts un televīzijai atvēlēta tik viena lappuse, jo raidlaiks bijis trīs stundas - no 7 līdz 10 vakarā. „Rīgas Viļņi" 1958. gada 8. aprīlis Koncerts „Ko vēlas dzirdēt mūsu radioklausītāji”. Programmu sastādījuši Krustpils cukura rūpnīcas darbinieki, Alūksnes rajona Jaunlaicenes ciema kolhoza ”Līdums” kolhoznieki un Rīgas vieglās rūpniecības tehnikuma 3. specgrupas audzēkņi. Programmā poļu tautas deja „Mednieku solis” čehu tautas dziesma ”Puisis mīļo raudzīt skrēja”, meksikāņu dziesmas „Ģitāra” „Pičirillo”, itāliešu dziesma „Kumare, Kumarella” no kinofilmas „Zudušie sapņi”. 1971. gadā „Rīgas Viļņu” programmā publicēta radio raidījuma „Dzirkstele” jautājumu anketa klausītajiem - viktorīna „Vai pazīsti savu republiku”. 1.Kurš no Latvijas komjauniešiem pirmais ieguva Sociālistiskā Darba Varoņa nosaukumu? 2.Cik un kādus radiouztvērējus pašlaik ražo Latvijas rūpnīcās? 3. Kurš no Latvijas ievērojamiem sportistiem sacensībās nav piedzīvojis nevienu zaudējumu ? Kāds ir viņa ceļš dzīvē? 1971. gads 2. oktobris laikraksts „Literatūra un Māksla” Mūzika pa radio. Gan pārrunās radioklausītāju konferencēs, gan arī vēstules redakcijai mūzikas draugi interesējas pa padomju skaņu mākslas atspoguļojumu Latvijas radioraidījumos. Piemēram, lielu atsaucību ir guvuši raidījumi, kuros izskanēja savā laikā ļoti populārā, bet nu jau ilgāk nedzirdētā B. Šehtera „ Turkmēņu svīta”, tāpat mūzika no B. Asafjeva baleta „Bahčisarajas strūklaka”.
La Matinale vous embarque au Turkménistan, avec Sables noirs, un roman graphique où Troubs, le dessinateur, raconte son séjour dans cette dictature d'Asie Centrale. Vingt semaines au pays du tout puissant Gurbanguly Berdimuhamedow... Docteur en colère ! En pleine polémique sur le fameux tiers payant, les jeunes médecins généralistes en rajoutent une couche, ils dénoncent leurs salaires bien moins élevés que les autres spécialités du même âge. Tiers-payant, revenus des praticiens : on ouvre le cahier de doléances avec Emilie Frelat, première vice présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes. Et bien sûr nos chroniques, Alban nous rapporte ses histoires belges et Jonathan nous fait le plein de bonne musique pour ce week end... Présentation : Martin Bodrero / Co-interviews : Alban Barthélemy / Chroniques : Alban Barthélemy et Jonathan Melgar / Réalisation : Mikel Perez / Web et coordination : Elsa Landard
La Matinale vous embarque au Turkménistan, avec Sables noirs, un roman graphique où Troubs, le dessinateur, raconte son séjour dans cette dictature d'Asie Centrale. Vingt semaines au pays du tout puissant Gurbanguly Berdimuhamedow... Docteur en colère ! En pleine polémique sur le fameux tiers payant, les jeunes médecins généralistes en rajoutent une couche, ils dénoncent leurs salaires bien moins élevés que les autres spécialités du même âge. Tiers-payant, revenus des praticiens : on ouvre le cahier de doléances avec Emilie Frelat, première vice présidente du Syndicat des jeunes médecins généralistes. Et bien sûr nos chroniques, Alban nous rapporte ses histoires belges et Jonathan nous fait le plein de bonne musique pour ce week end... Présentation : Martin Bodrero / Co-interviews : Alban Barthélemy / Chroniques : Alban Barthélemy et Jonathan Melgar / Réalisation : Mikel Perez / Web et coordination : Elsa Landard
Tęsiame kultūros istorikės prof. Rasos Čepaitienės paskaitų ciklą „Miestas kaip ideologijos tekstas“. Šįkart siūlysime klausytis pasakojimo apie autoritarinį miestą. Anot lektorės, tokį miestą kaip ideologinį tekstą „rašo“ išimtinai politinė valdžia su vienvaldžiu lyderiu priešakyje. Platesniam aptarimui prof. R. Čepaitienė pasirinko dviejų posovietinių Vidurio Azijos valstybių pavyzdžius – Kazachstaną ir Turkmėnistaną bei jų sostines Astaną ir Ašchabadą.
Tęsiame kultūros istorikės prof. Rasos Čepaitienės paskaitų ciklą „Miestas kaip ideologijos tekstas“. Šįkart siūlysime klausytis pasakojimo apie autoritarinį miestą. Anot lektorės, tokį miestą kaip ideologinį tekstą „rašo“ išimtinai politinė valdžia su vienvaldžiu lyderiu priešakyje. Platesniam aptarimui prof. R. Čepaitienė pasirinko dviejų posovietinių Vidurio Azijos valstybių pavyzdžius – Kazachstaną ir Turkmėnistaną bei jų sostines Astaną ir Ašchabadą.
Tęsiamas istorikės, humanitarinių mokslų daktarės Rasos Čepaitienės paskaitų ciklą "Miestas kaip ideologijos tekstas". Šiandien bus kalbama apie autoritarinį miestą. Pasak lektorės, darytina prielaida, kad tokį miestą kaip ideologinį tekstą rašo išimtinai politinė valdžia su vienavaldžiu lyderiu priešakyje. Platesniam aptarimui daktarė Čepaitienė pasirinko dviejų posovietinių vidurio Azijos valstybių pavyzdžius - Kazachstaną ir Turkmėnistaną.
Tęsiamas istorikės, humanitarinių mokslų daktarės Rasos Čepaitienės paskaitų ciklą "Miestas kaip ideologijos tekstas". Šiandien bus kalbama apie autoritarinį miestą. Pasak lektorės, darytina prielaida, kad tokį miestą kaip ideologinį tekstą rašo išimtinai politinė valdžia su vienavaldžiu lyderiu priešakyje. Platesniam aptarimui daktarė Čepaitienė pasirinko dviejų posovietinių vidurio Azijos valstybių pavyzdžius - Kazachstaną ir Turkmėnistaną.
Apie Turkmėnistaną pasakoja Pere gimusi ir 21 metus Turkmėnistane gyvenusi Zamira Grigienė ir Šiuolaikinės Vidurio Azijos centro vadovas Mindaudas Pauliukas.Taip pat laidoje – netradicinis geografo, kartografo, žygeivio ir kraštotyrininko Tado Šidiškio požiūris į tradicines mūsų šventes, švenčiamas gamtoje.
Apie Turkmėnistaną pasakoja Pere gimusi ir 21 metus Turkmėnistane gyvenusi Zamira Grigienė ir Šiuolaikinės Vidurio Azijos centro vadovas Mindaudas Pauliukas.Taip pat laidoje – netradicinis geografo, kartografo, žygeivio ir kraštotyrininko Tado Šidiškio požiūris į tradicines mūsų šventes, švenčiamas gamtoje.