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Invitée: Maud Reveillhac. Les sondages et les enquêtes d'opinion existent depuis longtemps. Le numérique a fait exploser les possibilités de donner son "feedback" et de noter son "expérience client". Est-ce que cela change la manière de connaître l'opinion public? Pourquoi ce besoin de savoir ce que les gens pensent? Tribu reçoit Maud Reveillhac, doctorante à lʹUniversité de Lausanne. Elle travaille au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités sociales (LINES) et à la Fondation suisse pour la recherche en sciences sociales (FORS). Elle a mené la recherche intitulée "Comment les données des médias sociaux peuvent compléter les enquêtes d'opinion pour l'étude de l'opinion publique - Une perspective de science sociale".
Avez-vous déjà changé d'avis après avoir confronté celui-ci à l'opinion générale des autres ? En réalité, même si vous n'en avez pas conscience, cela a été surement déjà le cas et ça le sera vraisemblablement encore. Ce changement est communément appelé l'effet de l'influence sociale. Mais que se passe-t-il dans le cerveau lorsque vous vous rendez compte que votre avis diverge de l'opinion des autres ? See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:03:58 - Carnet de philo - par : Géraldine Mosna-Savoye - Ce n'est pas de devenir un "média d'opinion" le problème, c'est d'être moins que ça.
Débat entre Martine Rebetez, climatologue et professeure à l'Université de Neuchâtel, Géraldine Pflieger, spécialiste de la gouvernance de l'environnement et professeure à l'Université de Genève, Philippe Roch, ancien directeur de l'Office fédéral de l'environnement et Jérôme Cosandey, directeur romand du think tank Avenir Suisse.
Abnousse Shalmani nous emmène ce soir au Sahel après la conférence de presse d'Emmanuel Macron. Le chef de l'État a annoncé ce jeudi soir "?la fin de l'opération Barkhane en tant qu'opération extérieure. La poursuite de notre engagement au Sahel ne se fera pas à cadre constant. Nous amorcerons une transformation profonde de notre présence", a-t-il ajouté en prônant "un changement de modèle". "?La forme de notre présence, n'est plus adaptée à la réalité des combats", a-t-il poursuivi sans s'engager sur un calendrier ou une réduction chiffrée des effectifs. À droite, toute une procédure se met en place, pour essayer de trouver la perle rare à l'élection présidentielle de 2022. En conseil stratégique mercredi, Christian Jacob, peu favorable à une primaire au sein même de son parti, LR, a annoncé la commande de deux enquêtes d'opinion, permettant d'y voir plus clair, d'ici à septembre. Pour Jean-Michel Apathie, LR s'en remet à l'opinion ! D'après Philippe Aghion, l'un des économistes français les plus cités dans le monde pour ses travaux, "Une réforme des retraites permettrait de financer un revenu universel d'insertion pour les jeunes". Selon Pascal Perri, c'est plutôt la bonne voie. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
L'invité politologue de Dimanche politique est Antoine Bristielle, directeur de l'Observatoire de l'Opinion, à la Fondation Jean Jaurès, auteur de À qui se fier ? De la crise de confiance institutionnelle à la crise sanitaire (Éditions de l’Aube). ► Pour en savoir plus : l'Observatoire de l'Opinion - Fondation Jean Jaurès
Don Mello ? C’est un baron du FPI de Laurent Gbagbo. Bendjo ? Il est vice-président et secrétaire exécutif du PDCI-RDA. À eux deux, en effet, c’est l’alliance entre le PDCI et le FPI qu’ils incarnent, ce matin, à la UnE de la presse ivoirienne. Tout sourire, Ahoua Don Mello apparaît radieux dans le quotidien Aujourd’hui, carte consulaire en main, celle qui lui a été remise hier à l’ambassade de Côte d’Ivoire, à Conakry, Guinée. En attendant son passeport pour un retour annoncé après… onze ans d’exil. Celui dans la mère-patrie, après trois ans d’exil, de l’ex-maire de la commune du Plateau Noël Akossy-Bendjo, figure aussi dans les kiosques, parmi les titres de plusieurs organes de presse ivoiriens, dont L’Inter ou le journal Le Temps. « Ouattara d’accord pour le retour de Bendjo », lance ainsi la Une du quotidien indépendant L’Inter. Proche de l’ex-président Laurent Gbagbo, Le Temps rappelle qu’en août 2018, Noël Akossi-Bendjo avait été « contraint à l'exil en France, par le pouvoir Ouattara, parce qu'il (avait) refus(é) de lâcher le président Henri Konan Bédié et le Pdci-Rda », tout en estimant que « sa persécution qui n'a que trop duré ». Le Temps, mais aussi le journal Le Sursaut, signalent également le retour attendu de Stéphane Kipré, gendre de Laurent Gbagbo, le 28 mai prochain en Côte d’Ivoire. C’est dans pile une semaine. Plus qu’une courte semaine également avant la visite d’Emmanuel Macron à Kigali. Le président français devrait y solder définitivement le contentieux franco-rwandais sur le génocide de 1994. Mais Paul Kagamé veut des explications sur son arrestation à Paris en 1991 : C’est ce que confie une source française au quotidien français L’Opinion : « Paul Kagamé a passé l’éponge sur l’épisode douloureux du génocide, mais il veut savoir qui a orchestré son arrestation et les manœuvres d’intimidation à son encontre lors de son passage à Paris en septembre 1991 ». Comme le rappelle L’Opinion, « à l’époque, le patron de la rébellion rwandaise accompagnait une délégation du Front patriotique rwandais pour des négociations politiques à l’initiative de la France ». À Paris, récemment, le président rwandais a raconté son arrestation « la nuit suivant sa réunion de travail avec Paul Dijoud, le directeur des Affaires africaines et malgaches du Quai d’Orsay, et avec Jean-Christophe Mitterrand, conseiller Afrique de son père à l’Élysée. L’ex-rebelle a révélé avoir été frappé lorsqu’il a mal énoncé le prénom du fils de François Mitterrand, parlant de "Christophe" Mitterrand au cours d’échanges tendus, signale L’Opinion. Il avait finalement été relâché après une nuit et près d’une journée de détention, semble-t-il dans les locaux de la préfecture de police de Paris. Le dirigeant rwandais n’a jamais été informé des raisons pour lesquelles il avait été arrêté », complète L’Opinion. Le Tchad, enfin, avec le parlement européen, qui condamne « la prise militaire du pouvoir par le Conseil militaire de transition » : Dans une résolution sur la situation au Tchad prise hier, les parlementaires européens recommandent un dialogue politique inclusif en vue d’un retour à l’ordre constitutionnel. Pour le site Mondafrique, c’est un vrai « réquisitoire » contre le « coup d’État au Tchad » qu’a formulé le parlement européen. Ce journal en ligne y voit un « signe clair » à l’armée tchadienne « dont les exactions et les violences sont de notoriété publique », énonce Mondafrique. Certes, « mais que peuvent les députés européens », se demande le journal burkinabè Wakat Sera ? Selon ce quotidien ougalais, la lutte des démocrates « purs et durs » est ici « confrontée au silence très intéressé de la fameuse communauté internationale, agissant toujours à la tête du client, et rarement ou jamais, au profit du peuple ! ». Alors ? Alors, avec résignation, Wakat Sera lance cette très monarchique (et très ironique) formule : « Le Maréchal Déby est mort, vive le Général Déby ! ».
Parmi les onze personnalités qui font leur entrée dans le nouveau gouvernement au Congo-Brazzaville figure un opposant, Honoré Sayi, nommé ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique. Cet enseignant en philosophie était jusque-là président du groupe parlementaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale, première formation d’opposition. Mais surtout, pointe Jeune Afrique, « Denis Christel Sassou Nguesso, 46 ans, fils du président, prend le portefeuille fraîchement créé de la Coopération internationale et de la Promotion du partenariat public-privé. Même si ce dernier ne figure qu’à la 22e place du gouvernement dans l’ordre protocolaire, son entrée est un marqueur dont l’évolution sera suivie de près par les Congolais. » Pour Les Échos du Congo Brazzaville, le pays « se dote d’un nouveau gouvernement de large ouverture. […] Il devra mettre en œuvre les nombreuses promesses de campagne du président Sassou-Nguesso en faveur de la jeunesse congolaise. » Même scénario qu’au Tchad ? Pour Le Pays au Burkina Faso, les choses sont claires : le père est en train de placer le fils dans les starting-blocks. « Accusé de préparer son fils pour lui succéder au pouvoir, le président congolais Denis Sassou-Nguesso s’en est toujours défendu. Mais à mesure que passe le temps, il est en train de tomber le masque. » Mais « le profil de Denis Christel Sassou est pour le moins controversé, pointe Le Pays. Car, l’homme, faut-il le rappeler, est dans le viseur de la justice française pour des faits présumés de "biens mal acquis". Il est poursuivi par la justice américaine pour les mêmes faits. En le bombardant donc ministre à un poste stratégique, Sassou père espère ainsi tirer son fils d’affaire puisqu’il bénéficiera désormais d’une certaine immunité. » Ledjely en Guinée ne mâche pas ses mots : « Le fils Sassou traîne tellement de casseroles qu’en l’appelant au gouvernement, c’est comme si son père narguait ses compatriotes. Député de la circonscription d’Oyo depuis 2012, Denis Christel ne se distingue pas que par la pertinence des propositions de loi qu’il a fait voter à l’Assemblée nationale. Sa réputation plutôt sulfureuse lui vient davantage des millions de dollars qu’il est accusé d’avoir détournés au détriment des caisses congolaises. […] Son seul atout, et il n’est pas négligeable, c’est d’être fils de son président de père. Un statut qui peut lui permettre d’échapper à des poursuites consécutives aux nombreux scandales qu’il traîne dans son sillage. Mais surtout un statut qui peut lui donner le droit de succéder à son père […]. Et c’est dire, conclut Ledjely, que le scénario qui se joue au Tchad pourrait se produire au Congo. Comme on peut du reste également l’envisager au Cameroun ou encore en Guinée équatoriale. » Tête-à-tête Macron-Kagame ce lundi à Paris À la Une également, la rencontre ce lundi 17 mai à Paris entre Emmanuel Macron et le président rwandais Paul Kagame. Cette visite du président rwandais en France confirme le réchauffement souhaité désormais par les deux pays, 27 ans après le génocide. « Avec Paris, Paul Kagame tourne la page du génocide », titre ainsi L’Opinion. Le quotidien français qui note que « le Rwanda tend même la main aujourd’hui à l’armée française. Le Rwanda qui renonce en effet à toute poursuite judiciaire contre des militaires français ayant participé aux différentes opérations au Rwanda. Paul Kagame doit même s’entretenir cette semaine avec plusieurs officiers français qui étaient en fonction au moment du génocide. […] La réconciliation est donc en bonne voie », note encore L’Opinion. En tout cas, « un rapprochement à propos du passé n’implique pas complaisance sur le présent », estime pour sa part Le Monde Afrique. « Le sentiment de culpabilité lié à la mise à nu des turpitudes françaises de 1994 n’autorise pas l’aveuglement sur le caractère autoritaire de l’État rwandais actuel, affirme en effet le journal. Un pays où Amnesty International dénonce "les disparitions forcées de membres de l’opposition" et où des journalistes critiques sont emprisonnés. On peut à la fois, lance Le Monde Afrique, s’indigner du rôle de la France dans le génocide des Tutsis et s’inquiéter des dérives du régime de Paul Kagame. »
Le quotidien français L'Opinion, qui se définit comme un média « libéral, pro-business et pro-européen », a publié jeudi son 2 000e numéro. Derrière ce compte rond se cache une aventure de presse mêlant internet et papier. Son fondateur Nicolas Beytout et la rédactrice en chef adjointe en charge du numérique Marie-Catherine Beuth racontent L'Opinon dans L'atelier des médias. Lancé le 15 mai 2013 dans les kiosques et la veille sur internet, L'Opinion a publié jeudi 28 avril 2021 son 2 000e numéro. Huit ans plus tard, au micro de L'atelier des médias de RFI, son président-fondateur et directeur de la rédaction Nicolas Beytout répète sa conviction : « Internet c'est l'audience, le papier c'est l'influence ». Dans cet entretien, il est question du positionnement éditorial de L'Opinion, des profils des journalistes de sa rédaction, de sa diffusion, de la situation financière du titre – toujours déficitaire – et du rôle de ses actionnaires, dont Bernard Arnault, la famille Bettencourt ou encore le groupe américain Dow Jones, filiale de News Corp du célèbre Rupert Murdoch. Nicolas Beytout explique aussi la place de l'international dans L'Opinion, et notamment de l'Afrique. Concernant la France, il assure que son journal ne prendra position pour aucun candidat à la prochaine élection présidentielle française mais il se félicite que les débats, journaux et émissions d'opinion se multiplient. Marie-Catherine Beuth, rédactrice en chef adjointe de L'Opinion (et ancienne chroniqueuse de L'atelier des médias), précise le positionnement numérique du titre dans le monde ultraconcurrentiel de l'information en ligne. Elle détaille la place donnée à la vidéo, aux blogs, aux newsletters mais aussi au podcast. Enfin, pour le public averti de la version podcast de L'atelier des médias, elle explique pourquoi L'Opinion a opté pour la solution de Brightspot pour son prochain CMS. Le média va être le premier en France à utiliser cette solution déjà déployée au Los Angeles Times, à National Geographic et sur la version américaine de Politico.
Dans la revue de presse de ce jeudi 29 avril, les journaux italiens consacrent leur une à la décision de la France d’arrêter d’anciens militants des Brigades rouges. Également au menu : comment la presse européenne perçoit les 100 jours de présidence de Joe Biden et L’Opinion qui fête son 2000ème numéro.
durée : 00:02:56 - Le brief politique - Emmanuel Macron précisera demain dans la presse régionale son calendrier de desserrement des contraintes sanitaires. Avant cela, il signe une tribune dans le journal "L’Opinion". L'occasion de renouer avec "les racines du macronisme."
Entrevue avec Alain Saulnier, professeur invité au département de Communication de l’université de Montréal et ancien DG de l’information à Radio-Canada : un groupe réclame qu’une enquête soit menée sur le rôle de certains médias dans le dossier du Méga Fitness Gym. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
À Niamey, le journal Le Sahel salue tout à la fois « un passage de témoin historique », mais aussi la « contribution » du président sortant Mahamadou Issoufou qui aura été « énorme. Tout simplement », énonce Le Sahel, avant de souhaiter « Marhaba, Barka da zouwa, Koubeini » au nouveau président Mohamed Bazoum ! Au Burkina Faso voisin, le quotidien Le Pays célèbre le triomphe de la démocratie. Car « c’est la première fois dans l’histoire du pays, qu’un président élu démocratiquement succède à un président démocratiquement élu également », souligne ce quotidien ouagalais. Son confrère L’Observateur Paalga n’écrit guère autre chose, en espérant qu’avec la cérémonie d’investiture du « soldat Bazoum », le Niger va enfin connaître « la fin (du) yo-yo démocratique ». Au Mali voisin, la ministre des Armées Florence Parly réfute toute bavure de leur part dans le bombardement meurtrier du village de Bounti, le 3 janvier dernier C’est un message présidentiel de « fierté » et de « confiance totale » que Florence Parly est venue transmettre aux militaires français, de la part d’Emmanuel Macron, souligne, depuis Bamako, le quotidien français Le Parisien. Ce journal y a vu « une riposte en forme de non-recevoir » au rapport de la Minusma sur le bombardement à proximité du village de Bounti. Le Parisien signale qu’Emmanuel Macron serait « en colère » et « outré » par ce rapport et Florence Parly d’y annoncer que la France « a engagé des demandes de "clarification" au siège de l’ONU à New York », complète Le Parisien. Bavure ? Pas bavure ? « Plutôt que d’opposer les deux versions (frappes antiterroristes versus bavure contre des civils), une troisième hypothèse peut être avancée, remarque le journal L’Opinion : les deux récits ne se contredisent pas, mais ils se cumulent. En clair : les "terroristes" et les "civils", ou au moins une partie d’entre eux, ne feraient qu’un. Un "terroriste" qui descend de sa moto et pose sa kalachnikov redevient en effet un "civil" participant à un mariage », explique ce quotidien. Après l’acquittement définitif de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé par la CPI, la presse se demande quelle sera la suite « Gbagbo est libre, et maintenant ? », interroge la Une du quotidien Aujourd’hui, qui lui est proche, tandis que celle du quotidien Le Patriote, proche, lui, du président Ouattara, fait explicitement référence au retour de Laurent Gbagbo, en évoquant « ce qui attend Gbagbo en Côte d’Ivoire ». Que va-t-il alors se passer ? L’Intelligent d’Abidjan discerne deux options. « Le scénario optimiste » avec un Laurent Gbagbo et Blé Goudé en « artisans de la paix (et) de la réconciliation ». Et le « scénario catastrophe », avec les mêmes « en revanchards, soucieux de régler les comptes », résume ce journal. Justement, le site Mondafrique publie en exclusivité la première réaction d’Assoa Adou, secrétaire général du FPI pro-Gbagbo, à l’arrêt de la Cour pénale internationale. Le secrétaire général du FPI croit, lui, au « scénario optimiste (…) Tout le monde doit se mettre autour d’une table pour refonder le pacte national », dit-il à ce journal en ligne fondé par un ancien journaliste du Canard Enchaîné. Mondafrique présente Laurent Gbagbo comme un « rassembleur » et comme un « vieux sage qui veut que le pays tourne la page du passé et avance », avant de mettre en garde : « Si les ennemis d’hier, Ouattara et Gbagbo, ne parviennent pas à cohabiter, on peut craindre le pire (…) L’islamisme qui pointe son nez (aurait alors) de beaux jours devant lui ». À l’inverse, « un retour apaisé de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire serait le signal fort de la résistance de ce pays à l’extrémisme qui menace ! », énonce encore Mondafrique. Sur le plan judiciaire enfin, « la CPI devrait pouvoir ouvrir un procès pour juger les crimes présumés du camp Ouattara », observe Mediapart. Selon ce journal en ligne, « le fait que la CPI ait réparti entre ses différentes chambres préliminaires (…) les affaires en cours, dont une concernant la République de Côte d’Ivoire, pourrait laisser penser qu’elle prévoit bien une nouvelle procédure », énonce Mediapart.
durée : 00:02:43 - Le brief politique - Il y a les chiffres de Santé Publique France, les avis du Conseil scientifique, mais avant de prendre des décisions sur le plan sanitaire, Emmanuel Macron consulte aussi des indicateurs plus confidentiels.
L'expression de son opinion a du bon quand elle est bienveillante et utile. Que penser des critiques, opinions, avis exprimés de manière négatifs comme des jugements sans appel. Comment gérer ce poids de l'opinion de l'environnement ? Dans ce PODCAST vous découvrirez 6 réflexions qui permettront de comprendre les mécanismes et surtout comment arriver à s'affranchir de cette pression extérieure.
Réaction de Céline Amaudruz, vice-présidente de l'UDC, Damien Cottier, conseiller national PLR neuchâtelois, Marlyse Dormond ancienne conseillère nationale socialiste vaudoise, et Elisabeth Baume-Schneider, conseillère aux Etats socialiste jurassienne.
La France n'est plus le premier pays européen à taxer le capital selon une note de Fipeco révélée par l'Opinion. Alors qu'une proposition de loi sur la réforme des successions sera présentée demain à l'Assemblée, le débat en matière de fiscalité du patrimoine reste vif à l'approche des présidentielles de 2022. Les explications de Raphaël Legendre, journaliste à l'Opinion. Ecorama du 17 février 2021, présenté par Julien Gagliardi sur Boursorama.com
durée : 00:04:19 - Le Zoom de la rédaction - Reportage au sein de la majorité russe silencieuse, qui se tient à l’écart du bras de fer entre le président Vladimir Poutine et Alexeï Navalny, et alors que des rassemblements de soutien au leader de l'opposition ont eu lieu ce dimanche 14 février.
La force militaire française dans le Sahel pourrait bien mettre cap au nord Étant rappelé que le « top départ » de l’opération militaire Serval, qui a précédé Barkhane dans le Sahel, a été lancé le 11 janvier 2013, que le sommet de lundi et mardi prochains à Ndjamena pourrait être le cadre d’annonces sur l’évolution de Barkhane -une réduction de ses effectifs est souvent évoquée- le quotidien L’Opinion estime que cette « hypothèse » n’est pas « l’essentiel ». Selon L’Opinion, l’essentiel serait plutôt « l’effort militaire ». Lequel « pourrait se porter davantage vers le Nord alors qu’il se concentrait, au moins depuis un an, dans le secteur des trois frontières, au sud de Gao ». Après l’État islamique du grand Sahara, la branche locale de Daech, « l’objectif de l’armée française est de "neutraliser" (en clair, de tuer sauf s’ils se rendent) les grands chefs de l’autre organisation, le RVIM, qui a prêté allégeance à al-Qaïda. C’est aujourd’hui "la menace principale" », dit l’Élysée à ce quotidien. Quant au coût de Barkhane, que ce journal estime à « un milliard (d’euros) par an », pour un coût humain de « plus de 50 militaires français » tués au combat, L’Opinion souligne que Paris « espère toujours » que les Européens prendront une part du « fardeau » ! Les révélations de ce même journal sur les « colonnes jihadistes » supposées fondre sur Bamako en 2013 les inciteront-elles à le faire ? Toujours est-il que la menace desdites « colonnes » servie aux Français pour justifier l’intervention militaire française Serval il y a huit ans n’aurait été qu’une « légende » Et c’est encore L’Opinion qui le clame en effet en Une. Ce journal y évoque un « storytelling », autrement dit « une histoire que l’on raconte pour convaincre le public, quitte parfois à prendre quelques libertés avec les faits ». S’appuyant sur des conversations avec le général Christophe Gomart, alors à la tête du commandement des opérations spéciales, avec son prédécesseur à ce poste, le général Emmanuel Beth, mais aussi avec le chef d’état-major des armées de l’époque, l’amiral Edouard Guillaud, L’Opinion affirme que « le récit des "colonnes" s’avère être un "habillage" de la réalité, selon le mot d’un officier général, à destination notamment de l’opinion publique française. Il va permettre le déclenchement de l’opération Serval et la reconquête au pas de charge de tout le nord du Mali par l’armée française. » Selon ce quotidien, le « storytelling » en question est « né dans l’entourage du ministre de la Défense (de l’époque) Jean-Yves Le Drian, avec son directeur de cabinet, le tout-puissant Cédric Lewandowski, et Sacha Mandel, un communicant hors pair. Il est validé par le président (d’alors) François Hollande », affirme L’Opinion. Comme auraient pu dire les Romains : « Si tu veux la guerre, prépare… l’opinion. » Le débat télévisé hier soir entre la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen et le ministre de l’Intérieur et des Cultes Gérald Darmanin… Un duel presque à fronts renversés C’est ce que pointe Le Parisien. Ce journal trouve que Marine Le Pen y a joué « la modération ». Et cela « quitte à se faire accuser (par Gérald Darmanin) de ne pas être assez dure », remarque ce quotidien. L’abandon enfin du projet de quatrième terminal de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, près de Paris. Le voyage en avion a du plomb dans l’aile C’est la ministre de la Transition écologique qui a annoncé l’abandon du terminal 4 hier au journal Le Monde. Projet « obsolète », qui « ne correspond plus à la politique environnementale du gouvernement et aux exigences d’un secteur en pleine mutation », a dit Barbara Pompili au Monde. C’est « la fin d’une époque », soupire en Une Le Parisien. Mais à l’inverse, « le train va connaître un nouvel âge d’or », prédit ce quotidien. Autrement dit, à quelque chose, malheur est bon…
Son mandat s'achève comme il avait débuté : dans l'opprobre et le soupçon judiciaire. Donald Trump n'est plus à la Maison Blanche mais les sénateurs s'interrogent pourtant : faut-il le destituer ? Une procédure avant tout symbolique mais pas seulement, une condamnation pourrait sérieusement hypothéquer son avenir politique. C'est tout l'intérêt du procès qui s'ouvre au Sénat américain et ce pour la deuxième fois s'agissant de Donald Trump. Jamais dans l'Histoire des États-Unis un président n'avait eu à faire face à un double "impeachment". Pour quoi faire, dans quel but ?
Surnommé "le fondateur de la propagande moderne", Edward Bernays a posé les bases d'une véritable science de l'influence. Dans son livre "Propaganda", il nous dévoile les secrets de la manipulation de l'opinion dans nos démocraties modernes. Si cet épisode vous a plu, alors je vous encourage à soutenir le podcast : En faisant un don ponctuel sur PayPal : http://paypal.me/leprecepteurpodcast Ou en donnant une petite somme régulière sur Patreon : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcast Pensez à laisser une note et un avis sur Apple Podcast/iTunes ou Spotify. Cela prend quelques secondes, et c’est un geste très utile pour le référencement du podcast ! Et bien sûr, continuez à partager les émissions que vous préférez sur vos réseaux sociaux. Le Précepteur Podcast a été créé pour vous et continuera d’exister grâce à vous. Du fond du cœur : Merci ! (Pour toute demande, vous pouvez contacter l’équipe du Précepteur Podcast ici : leprecepteurpodcast@gmail.com)
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Le 17 novembre 2020, Sébastien Crozier Président de la CFE-CGC Orange intervenait devant l'auditoire du CEPS lors d'un débat qui pourrait paraître iconoclaste au vu de son thème : " A-t-on encore besoin des médiateurs sociaux ? Si oui, de quel type ? ".
Dans la première catégorie j’ai nommé Le Parisien, qui consacre sa Une et ses premières pages aux années 2000, « Vingt ans qui ont changé le monde ». Le quotidien a notamment réalisé un sondage sur l’événement le plus marquant des deux dernières décennies et sans surprise, il s’agit du 11 septembre 2001, « matrice du 21ème siècle » selon le chercheur Denis Pechansky, interviewé dans les colonnes du journal. Le Parisien qui estime dans son éditorial que ces attentats ont été « le premier jour du reste de notre vie dans un nouveau siècle fait de chaos, de dérèglement climatique et de tech, où la peur du terrorisme s’est durablement installée ». L’instigateur de ces attaques, Oussama Ben Laden se hisse ainsi à la troisième place des personnalités qui ont marqué les vingt dernières années… derrière un duo de présidents américains : Barack Obama et Donald Trump, « les deux visages de l’Amérique », titre Le Parisien. À noter également la présence de Greta Thunberg, en 6ème position et qui, note le journal, n’était pas encore née en l’an 2000, mais s’est imposée comme une icône de la jeunesse. Les 18-24 ans la placent d’ailleurs en 3ème position. La pandémie de Covid-19 n’est évidemment pas oubliée, elle est citée par 41% des personnes interrogées comme événement fondateur du 21ème siècle, consacrant 2020 comme « une étrange année » juge Le Maine Libre. Etienne Daho, comme un écho à l’autre partie de la presse française pour qui 2021 pourrait être « la première année du reste de notre vie » Selon de nombreux journaux, tout peut et tout va en effet changer. Au niveau individuel tout d’abord. Il y a ceux qui ont décidé de mettre le passé derrière eux, notamment professionnellement car « le confinement a suscité des questionnements sur notre quotidien et ouvert parfois des horizons », explique l’Union. Résultat : « ils changent de vie en 2021 ». Pour « retrouver l’essentiel » renchérit La Croix, et l’essentiel ce peut être le rapport à la nature, à la littérature, citent les personnes interrogées par le journal qui évoque par ailleurs les 14 besoins fondamentaux établis par la chercheuse Virginia Henderson : les besoins primaires, manger, dormir, mais aussi « l’estime de soi et la résilience grâce à la communication avec ses semblables ». Pour Libération, 2021, ce doit être « action, réinvention » Oui car nous avons perdu beaucoup de choses qui faisaient notre quotidien. « Nous ne nous installerons plus dans une salle de cinéma, de théâtre ou de spectacle sans en mesurer la valeur essentielle, nous ne prendrons plus un café en terrasse sans en savourer chaque gorgée, nous n’entrerons plus dans un restaurant sans en humer l’odeur particulière », explique Libé. Il va falloir surmonter le traumatisme de cette année écoulée et « faire preuve d’imagination et solidarité pour réparer ces dégâts ». Et c’est l’occasion de nous réinventer. Le journal se penche sur des mouvements déjà en action, comme le retour du citoyen au cœur du débat politique, avec l’exemple de la Convention Climat… mais il y a aussi en France la question du rééquilibrage des territoires et les villes moyennes ont montré durant l’année 2020 qu’elles pouvaient offrir autant sinon plus que les grandes métropoles. 2021, le temps du vivre avec : plus de solidarité, plus d’investissement… et le temps du vivre sans, explique L’Opinion Sans Angela Merkel notamment, qui va quitter son poste de chancelière en Allemagne après quinze années de règne. « La fin d’une pratique sobre et raisonnée du pouvoir ? » s’interroge L’Opinion qui note toutefois qu’un autre départ va peut-être de son côté ramener cette sobriété, c’est celui de Donald Trump. Mais ce sera au détriment de « Twitter qui va perdre une partie de sa force de frappe » sans les saillies en série du futur ex-président américain, sourit le journal. 2021 qui pourrait également marquer la fin définitive des températures saisonnières normales, s’inquiète par ailleurs L’Opinion. Le climat qui sera au centre des préoccupations des prochaines années, mais pas au point de donner le Flygskam, la honte de prendre l’avion en suédois, au Figaro « 2021 sera une nouvelle année pour s’évader », titre la newsletter Voyage du journal, tout en se demandant si « au fond, il est vraiment primordial de survoler un quart de la planète pour se sentir vivant ? ». Ce qui ne l’empêche pas de recommander le Costa Rica et le Brésil comme destinations de rêve… voire l’île de Sainte-Hélène, perdue au beau milieu de l’Atlantique Sud, qui dispose d’un aéroport commercial depuis seulement trois ans. Comptez six heures de vol… depuis l’Afrique du Sud pour rejoindre le lieu de l’ultime exil de Napoléon, mort sur place en 1821.
Avalanche de commentaires en kiosque. À commencer par les quotidiens qui s’en donnent à cœur joie. Sur l’air du « mieux vaut en rire qu’en pleurer », certains journaux français tissent la formule. Exemple avec le quotidien L’Opinion : « Ce n’est plus le palais de l’Élysée, mais le palais de l’isolé… » Autre exemple, Libération : « Macron à l’Élysée, reclus ». Et là, si on sent bien la note d’humour, la référence est plus sophistiquée, car Élisée Reclus, au XIXe siècle, était un anarchiste français (on va y revenir). On le mesure, l’heure dans la presse est le plus souvent à la légèreté. À quatre jours de son 43e anniversaire, le président et sa santé n’inspirent guère d’inquiétude aux journaux français. Anar le locataire de l’Élysée ? Libération tempère, remarquant tout de même que « la positivité au Covid-19 d’Emmanuel Macron est une petite piqûre de rappel sur la normalité de ces corps qui nous gouvernent. Piqûre qui fait d’autant moins mal qu’il n’y a, a priori, pas trop de raisons de s’inquiéter sur la santé du chef de l’État, jeune et, sauf secret caché, fragilisé par aucune autre pathologie. » Du reste, à ceux de ses lecteurs qui s’inquièteraient de l’état de santé du chef de l’État, qu'ils se tranquillisent, L'Opinion rassure: « Emmanuel Macron est sans doute aujourd’hui le "contaminé" le mieux surveillé de France ». Au-delà de la seule santé du président, la polémique a vite enflé Et ce matin, c’est noir sur blanc qu’elle se retrouve dans une partie de la presse. Un vrai soufflé médiatique, alimenté notamment par un article publié sur le site du magazine Le Point, et révélant la tenue, cette semaine, d’un dîner autour du chef de l’État, réunissant une dizaine d’autres convives, et qui s’est terminé « à minuit et demi », enfreignant ainsi le couvre-feu fixé à 20h. Alors ? Alors, sur l’air, cette fois-ci, du « faîtes ce que je dis, ne faites pas ce que je fais », le site Mediapart bucheronne, dénonçant « les irresponsables de la République », qui sont « dix à table et un virus au milieu », et relevant cette déclaration d’Emmanuel Macron à ce même magazine Le Point, lorsqu’évoquant « la crise de confiance », le président déclare : « La crise de confiance tient moins aux discours qu’au décalage entre les discours et les actes. » Bah ! relativise Le Parisien, « il est déraisonnable de croire que l’on peut transformer le monde en salle d’opération stérile […] On ne peut mettre ni le pays ni son président sous cloche », estime ce quotidien, en rappelant que « le risque zéro n’existe pas ». Certes, admet Le Figaro, mais Emmanuel Macron malade du coronavirus, c’est « à la fois minuscule (un virus qui circule beaucoup depuis longtemps) et considérable (l’appareil d’État en quarantaine, la cascade des cas contacts aux quatre coins de l’Europe). » Mais il n’empêche, remarque encore ce journal, « ceux-là mêmes dont la charge impose de recommander sans cesse la prudence (qu’ils n’appliquent pas toujours) n’échappent pas à la menace qu’ils décrivent ». Et tandis que la situation sanitaire demeure critique en France, les pouvoirs publics tentent de rassurer les Français qui s’interrogent sur la campagne de vaccination à venir. Dans Le Parisien, la nouvelle patronne de l'Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé assure ainsi que ses équipes seront bien au rendez-vous. « On sera prêt dès le début de la vaccination », dit à ce quotidien Christelle Ratignier-Carbonneil, en s’engageant à suivre « l'intégralité (…) des futurs vaccinés » pour détecter d’éventuels effets indésirables des vaccins. Un référendum écossais pour l'indépendance en 2021 ? L’Europe enfin. À treize jours de la fin de la transition dans les négociations sur un accord commercial entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, la Première ministre écossaise évoque une nouvelle fois la possibilité d’un référendum après la pandémie pour accéder à l’indépendance. Nicola Sturgeon le dit dans un entretien accordé à plusieurs journaux européens dont, en France, Libération. Soulignant que l’Écosse n’a pas été invitée à ces négociations qui s’achèvent entre le Royaume-Uni et l’Union européenne – des négociations qui vont pourtant avoir un impact chez elle, la Première ministre écossaise déclare que cela renforce « la cause de l’indépendance de l’Écosse ». Et elle ajoute que, lorsque la pandémie sera circonscrite, « le besoin pour l’Écosse de déterminer son avenir sera d’autant plus important ». Conclusion de Libération, Nicola Sturgeon n’exclut pas « un référendum sur le sujet dès 2021 ».
Le Pr Fourtillan interné contre son gré / Les suppressions de lits d'hôpitaux continuent / Le Time rend hommage à Assa Traoré, André Bercoff préfère honorer John Le Carré / "Comment l'oligarchie manipule l'opinion : le mirage mondialiste" avec Olivier Piacentini
Cours de Patrick Hochart - L’opinion et la flatterieLes cours méthodiques et populaires de philosophie permettent à toutes et tous de se familiariser avec la philosophie, son histoire, ses auteurs, ses concepts. De l’opinion et la flatterie au féminisme et à la question trans, en passant par l’altérité ou le silence – les questions abordées chaque semaine par un philosophe différent couvrent des pans variés de la discipline.Cycle proposé par François Jullien, titulaire de la Chaire sur l’altérité à la Fondation Maison des sciences de l’hommeCours enregistré le 8 décembre 2020 à la BnF I François-MitterrandVoir les précédents cours méthodiques et populaires de philosophie sur Gallica : https://c.bnf.fr/FJO Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Giới tiểu thương Pháp, sau 2 tháng đóng cửa trong giai đoạn phong tỏa chống dịch Covid-19 hồi mùa xuân, chưa kịp gượng dậy thì nay nhiều người lại phải đối phó với nguy cơ phải đóng cửa vĩnh viễn, phá sản vì đợt phong tỏa thứ hai trong khi mùa Giáng sinh sắp đến, theo lẽ thường đây là mùa làm ăn nhộn nhịp nhất trong năm. Thể hiện ý thức công dân bằng cách mua hàng của cửa hàng nhỏ lẻ Kiệt quệ cả về kinh tế và tinh thần, nhưng chính trong hoàn cảnh khó khăn đó, các tiểu thương nhận được sự tương trợ, khích lệ của chính quyền địa phương, các hội đoàn và cả người dân khu phố lân cận. Khẩu hiệu kiểu « Tôi mua hàng trong vùng của tôi chứ không mua trên Amazon », các trang thương mại điện tử địa phương « mini Amazon », cửa hàng online, khu phố mua sắm ảo của các thành phố, thị xã, chợ Giáng Sinh online, dịch vụ click and collect - đặt hàng trực tuyến và đến một địa điểm lấy hàng, chiến dịch Local Friday (Thứ Sáu ở địa phương) để cạnh tranh với chiến dịch đại hạ giá Black Friday …, từ khi nước Pháp tái phong tỏa chống dịch Covid-19, nhiều ý tưởng đã liên tục ra đời nhằm cứu giới tiểu thương, các cửa hàng, cơ sở kinh doanh nhỏ lẻ ở các địa phương … Trước tiên, phải nói đến tinh thần tương thân tương ái của người dân các nơi. Nhiều người hạn chế mua hàng trên các trang thương mại điện tử lớn như Amazon của Mỹ, hay ở các siêu thị, để mua hàng ở các cửa hàng buôn bán nhỏ lẻ trong khu phố, cho dù giá có thể cao hơn một chút. Nhiều người sẵn sàng thay đổi thói quen tiêu dùng, chuyển sang mua sản phẩm được sản xuất, chế biến ngay trong vùng, lên các mạng xã hội kêu gọi cộng đồng ủng hộ phong trào. Nhiều người còn lên mạng kêu gọi nhau tẩy chay ngày đại hạ giá Black Friday của Amazon, lùi đến tháng 12, chờ đến khi các cửa hàng buôn bán nhỏ lẻ được phép mở cửa trở lại mới đi mua sắm cho lễ Giáng Sinh … tất cả chỉ với mục đích giúp các tiểu thương ở địa phương « gỡ gạc được phần nào », trước các « đại gia » thương mại điện tử. Trong bối cảnh « khó khăn không chỉ của riêng ai », đối với không ít dân Pháp, mua hàng của các cửa hàng gần nhà, giúp các tiểu thương địa phương phần nào tránh được mối họa phá sản, là phương thức tiêu dùng có trách nhiệm, là cách thể hiện tinh thần, ý thức công dân. Đây cũng là thông điệp của chính phủ Pháp, bên cạnh các biện pháp hỗ trợ tài chính cụ thể. Trên mạng xã hội Facebook, có nhiều nhóm cư dân hàng xóm láng giềng cũng lập trang để đưa thông tin, thu hút cư dân trong khu phố mua sắm ở các cửa hàng gần nhà. Không chỉ có được sự cảm thông, chia sẻ của chính người tiêu dùng, các tiểu thương còn có sự giúp sức của các hội đoàn ở địa phương hay các hiệp hội thương mại để lập cửa hàng online. Giải pháp của chính quyền các cấp Về phía địa phương các cấp, chính quyền nhiều vùng, tỉnh, thành phố cũng đã có sáng kiến lập các trang web thương mại điện tử cho các tiểu thương trong khu vực. Chẳng hạn chính quyền thành phố Nogent-le-Rotrou, tỉnh Eure-et-Loir, miền bắc nước Pháp, lập trang bán hàng online địa phương « Ma ville Mon Shopping » (Thành phố của tôi, Việc mua sắm của tôi), cho phép các tiểu thương lập cửa hàng online miễn phí để bán hàng trên mạng, với tính năng thanh toán trực tuyến an toàn, khách hàng có thể chọn đến cửa hàng nhận hàng hoặc được giao hàng tận nhà. Còn thành phố Nancy, ngay từ đợt phong tỏa hồi mùa xuân, đã chi vài chục ngàn euro để lập trang web thương mại điện tử Achetez-grandnancy, « quy về một mối trực tuyến » hơn 200 cửa hàng bán thực phẩm, thời trang, trang trí nội thất, mỹ phẩm. Tất cả các tiểu thương, người sản xuất bán hàng thủ công và các hiệp hội thương mại ở thành phố Nancy và vùng lân cận đều được tham gia nền tảng thương mại điện tử miễn phí trong cả năm 2020. Còn vùng Occitanie ngày 12/11/2020 tung ra trang web « Dans ma zone » tạm dịch là « Trong vùng của tôi », chơi chữ để đối lại với trang thương mại điện tử nổi tiếng Amazon của Mỹ. Trong chương trình Giải mã kinh tế ngày 12/11 của đài France Info, nhà báo Fanny Guinochet giải thích : « Dans ma zone » của vùng Occitanie là một trang web dành cho các tiểu thương và người làm nghề thủ công trong vùng, để họ có thể bán quần áo, đồ chơi, những mặt hàng ngoài thực phẩm. Mục đích là bù đắp được phần nào cho các cửa hàng nhỏ đang phải đóng cửa. Bà Carole Delga, chủ tịch vùng Occitanie, chính là người đưa ra ý tưởng nói trên với khẩu hiệu « Hàng của chúng ta là việc làm của chúng ta ! ». Bà Delga nhấn mạnh người dân cần chứng tỏ họ gắn bó yêu quý vùng mà mình sinh sống. Vùng Occitanie không phải nơi duy nhất làm như vậy, nhiều thành phố và vùng lãnh thổ khác của Pháp cũng đã tung ra các trang web thương mại điện tử địa phương, chẳng hạn Doux, Limoges, Cognac, Nancy, Antibes, Auray, Caen … Danh sách rất dài và các trang « mini Amazon địa phương » đều có cùng logic : thúc đẩy người tiêu dùng mua hàng của các tiểu thương gần nhà, thay vì mua sắm trên các trang thương mại điện tử lớn của Mỹ ». Câu hỏi đặt ra là các trang web đó có hiệu quả hay không ? Và chính phủ Pháp có biện pháp hỗ trợ cho các địa phương lập các trang « mini Amazon địa phương » và trợ giúp tiểu thương hay không ? Nhà báo Fanny Guinochet cho biết cụ thể : « Một số trang web đã bắt đầu hoạt động từ đợt phỏng tỏa thứ nhất, và kết quả thường là rất tích cực, vì thế các trang web vẫn được duy trì trong mùa hè vừa qua. Đợt phong tỏa thứ hai là một cơ hội để tăng cường, mở rộng nguồn cung. Trong những ngày gần đây, chúng tôi thấy là các ý tưởng nở rộ khắp nơi trên toàn nước Pháp, nhất là khi có sự khích lệ của chính phủ. Đúng vậy, để tạo ra các trang web thương mại điện tử địa phương, các thành phố, thị trấn, xã và các tổ chức có thể đề nghị Nhà nước hỗ trợ 20.000 euro, cũng như một khoản tài trợ cho công tác tổ chức, huấn luyện có tổng giá trị 40.000 euro trong vòng 2 năm. Bộ trưởng Kinh Tế Bruno Le Maire đặc biệt muốn thúc đẩy các tiểu thương bán hàng trên mạng, bù lại thời gian đã để lỡ, bởi vì hiện nay mới chỉ có 1/3 các cơ sở kinh doanh quy mô rất nhỏ có trang web. Bộ trưởng Kinh Tế Pháp hứa sẽ cấp cho mỗi tiểu thương lập trang web một tấm « séc kỹ thuật số » trị giá 500 euro. Kể từ tháng 01/2021, khi các tiểu thương trình chứng từ hóa đơn lập trang web, đăng ký tham gia vào một trang thương mại điện tử hay mua một phần mềm … họ sẽ được nhận tiền hỗ trợ của chính phủ. Theo bộ Kinh Tế Pháp, 120.000 cơ sở kinh doanh có thể sẽ được hưởng khoản tiền hỗ trợ với tổng trị giá lên tới 60 triệu euro ». Các tập đoàn siêu thị « chìa tay » giúp tiểu thương Sau bài phát biểu thông báo tái phong tỏa của tổng thống Pháp trên truyền hình hồi cuối tháng 10, các cửa hàng kinh doanh các loại hàng hóa không được coi là mặt hàng thiết yếu buộc phải đóng cửa. Do sự phản đối của các tiểu thương, các siêu thị cũng buộc phải tạm đóng cửa khu vực kinh doanh các mặt hàng không thiết yếu. Nhưng để tỏ tình tương thân tương ái với giới tiểu thương vốn phải chịu quá nhiều thiệt hại vì lệnh tái phong tỏa, nhiều chuỗi siêu thị tại Pháp, như Auchan và Monoprix, đã thông báo quy hoạch, sắp xếp lại không gian và các dịch vụ để hỗ trợ các tiểu thương trong khu phố lân cận bán được hàng. Chẳng hạn như tư vấn và hỗ trợ các cửa hàng về mảng phục vụ khách đặt hàng, giao hàng cho khách, mở quầy cho khách đến nhận hàng mà họ đã đặt qua điện thoại, hay qua trang web của tiểu thương. Le Figaro ngày 30/10 cho biết đối với chuỗi Monoprix, vốn có các siêu thị tại khu trung tâm của 250 thành phố trên toàn nước Pháp, giám đốc của từng siêu thị có quyền chọn các cửa hàng bị đóng cửa ngay gần nơi họ kinh doanh để hỗ trợ, nhưng ưu tiên cho những người kinh doanh hoa tươi, sách truyện, đồ chơi, các tiệm sửa quần áo, giày dép, đánh chìa khóa … Nếu như số cửa hàng trong khu vực xung quanh cần được hỗ trợ nhiều, thì giám đốc các siêu thị Monoprix sẽ theo giải pháp lựa chọn luân phiên, quay vòng trong tuần, thời gian tính theo ngày hoặc nửa ngày. Một công đôi việc ! Tình đoàn kết này cũng giúp các chuỗi siêu thị thu hút thêm khách mới, cũng như chiếm thêm được cảm tình, giữ chân khách quen. Giới công nghệ Pháp cũng ra tay hỗ trợ Đối với nhiều tiểu thương, người làm nghề thủ công truyền thống, chuyển đổi số hóa để thích nghi với phương thức kinh doanh mới trong giai đoạn phong tỏa không phải là điều dễ dàng. Không chỉ có trang web là xong, mà các thách thức là rất nhiều ! Trang mạng Actu Economie ngày 17/11 trích dẫn nhiều chuyên gia theo đó bán hàng trên mạng internet là một nghề hoàn toàn tách biệt với bán hàng tại cửa hàng và đòi hỏi rất nhiều thời gian, công sức, tiền bạc. Cần có nhiều kiến thức, kỹ năng, và khâu tiến hành cũng phải trải qua nhiều giai đoạn. Các tiểu thương muốn mở dịch vụ bán hàng trên mạng đều phải học luật thương mại điện tử, thực hiện nhiều thủ tục với ngân hàng, thậm chí phải cần đến dịch vụ marketing số hóa … Và các tiểu thương cũng không còn nhiều thời gian, bởi chỉ còn có chưa đầy một tháng nữa là đến Giáng Sinh, cao điểm kinh doanh trong năm. Để giúp đỡ giới tiểu thương tháo gỡ khó khăn, nhiều công ty công nghệ như Hubside, WiziShop, Swat … đã tung ra các dịch vụ, tính năng hỗ trợ việc chuyển đổi sang kinh doanh online cho các cửa hàng kinh doanh kiểu truyền thống. Chẳng hạn Hubside, đã tạo công cụ mới « E-shop », biến nhiều trang web cơ bản thành kênh bán hàng online, với nhiều tính năng : quản lý kho hàng và đơn đặt hàng trực tuyến, thanh toán online, quản lý khách hàng … Actu Economie trích dẫn Alexandre Hampe, giám đốc điều hành của Hubside, theo đó với tính năng E-shop, Hubside cho phép tất cả mọi người tiếp cận với phương thức kinh doanh điện tử, kể cả những người không có nhiều kiến thức, kỹ năng công nghệ cũng có thể tự triển khai dự án bán hàng trực tuyến. Còn công ty WiziShop lại khởi động phong trào #EcommerceSolidaire (Thương mại điện tử đoàn kết), tạo cửa hàng trực tuyến cho các tiểu thương và miễn phí cho họ trong vòng 3 tháng. Đã có hơn 600 tiểu thương tranh thủ chương trình này. Trong khi đó, công ty khởi nghiệp Swat ở Poisy, vùng Haute-Savoie, lập trang web cơ bản miễn phí cho các tiểu thương trong vùng. Tuy nhiên, việc có quá nhiều trang thương mại điện tử, cấp quốc gia, vùng, thành phố, khu phố, các trang do chính quyền tạo lập, trang của các hiệp hội thương mại, hội đoàn ở khu phố … đôi khi lại đẩy các tiểu thương vào cảnh hơi « mất định hướng », còn nhiều khách hàng như bị « lạc lối online » … (Tổng hợp từ France Info, Le Figaro, Actu Economie, L’Opinion)
Voici un extrait de notre épisode # 16 avec Daniel Beaulé des boutiques érotiques Sensations Plus.
« Après l’échec de toutes les solutions alternatives, Emmanuel Macron appelle à l’union nationale » nous dit Libération. Il annoncera ce mercredi soir, à 20h, des options plus dures qui seront votées demain par le Parlement. Un confinement de quatre semaine est sur la table. Dans son édito, Libération constate l’échec : « Ils semblent bien loin ces jours de grisailles où Jean Castex recommandait aux Français d’un ton patelin, de se laver les mains et de se garder d’embrasser papi et mamie. Nous sommes entré,s dans des jours de tempête. » L’exécutif a revu ses plans nous dit Libération : « L’heure n’est plus à la préservation de l’économie à tout prix, mais au soulagement des hôpitaux et à la préservation des vies humaines à tout prix. » Et justement, l’économie, c’est bien là tout l’enjeu. « Peut-on reconfiner sans ruiner l’économie ? » s’interroge Le Figaro en Une. « Très affaiblis par le confinement du printemps, de nombreux secteurs d’activité sont aujourd’hui en danger. » Le Figaro évoque la situation des commerçants, restaurateurs, chefs d’entreprise. « Chez eux, il monte comme un vent de panique » écrit Le Figaro. Et le journal prévient : « S’il fallait remettre tout le monde à l’arrêt pour des questions sanitaires, les établissements plus fragiles ne rouvriront jamais plus. » Début octobre, l’Union des métiers et des industries de l’hôytellerie redoutait « 30 000 fermetures sur tout le territoire, ce qui représenterait 200 000 emplois en moins. » De nouvelles restrictions seront annoncées ce soir Deux conseils de défense, un mardi, l’autre ce mercredi. Ce qui mène le journal L’Opinion à qualifier le Conseil de défense de « War room de Macron ». « Si la France était un avion, le Conseil de défense serait le cockpit » dit L’Opinion. « Le président gère désormais la crise sanitaire comme le terrorisme et la sécurité nationale, à coup de réunions restreintes qui marginalisent le traditionnel Conseil des ministres et le Parlement » déplore l’Opinion. Pour Le Figaro, « installée dans le PC Jupiter, le bunker antiatomique de l’Élysée, à plusieurs dizaines de mètres sous terre, cette instance ultra confidentielle se réunit a minima toutes les semaines. » Le problème pour Le Figaro : « En multipliant les Conseils de défense, Emmanuel Macron en a fait un objet de communication politique. Avec tous les travers que cela comporte. » « On assiste à un effacement progressif du gouvernement et du Premier ministre qui sont, pourtant, responsables devant le Parlement » pointe le vice-président de La République en Marche à l’Assemblée nationale. Dans les colonnes de Libération, un député Les républicains confirme : « Quand cette seconde vague déferle, nous comprenons que le gouvernement a été pris dans la même espérance que nous, celle que cette vague n’arrive pas. Et le cadre juridique n’était pas prêt. À nouveau, nous légiférons dans l’urgence de mars : il n’était pas abouti alors, il ne l’est pas davantage aujourd’hui » lance le député. Sur le terrain, dans les hôpitaux, la situation se tend de jour en jour Le Parisien nous donne l’exemple du CHU de Lille. Les malades sont déjà plus nombreux que lors de la première vague. « Les chiffres sont vertigineux. Plus de 800 personnes contaminées sur 100 000 à Lille, et 1 300 à Roubaix. Le chef des urgences du CHU de Lille explique : "Le lundi, on voit le grand-père à l’hôpital, le mardi, la grand-mère, le lendemain, les parents, et à la fin de la semaine, les enfants. Il faut arrêter de dire que c’est une maladie de vieux" ». Comme un cri d’alarme dans Le Parisien : « Le bon message maintenant, c’est faites gaffe » lance le docteur. Un confrère de l’hôpital Thenon à paris conclut « Il faut reconfiner, on n’a plus le choix. On retourne dans l’enfer. »
durée : 00:02:41 - Le billet sciences - Depuis le 29 septembre, l’Arcep, l’autorité de régulation des télécoms a lancé les enchères pour attribuer les bandes de fréquence aux opérateurs mobiles pour la 5G. Et la bataille fait rage entre les pour et les contre.
Combien de fois est-ce que vous avez imaginé ce que “les autres” sont en train de se dire ou pourrait se dire si… Si vous faisiez ce que vous aviez vraiment envie de faire. Ou bien s’ils découvraient ce que vous pensez réellement de… combien de fois avez-vous tourné et retourné en boucle des paroles que vous avez entendues? Combien de fois avez-vous fait quelque chose dans le but de justement entendre quelque chose de positif. L’opinion des autres est constante. Tout le monde à le droit à son opinion. Et pourtant, si vous n’apprenez pas à vous libérer de cette opinion vous risquez de vous sentir souvent bloqué·e, frustré ·e, enervé·e. Mais comment apprendre à s’en défaire? Découvrez-le dans ce nouvel épisode. En me suivant sur Instagram, vous pouvez directement interragir avec moi, me poser des questions et/ou me suggérer des idées de sujet. Toutes les semaines je vous lance un défis de la semaine, ça s’appelle les défis cap ou pas. Email: info@thebonair-coaching.com Pour me suivre sur Instagram cliquez ici. Si vous souhaitez commencer du coaching privé avec moi ou que le programme d'auto-coaching sur 3 mois vous intéresse, vous pouvez suivre le lien ci-dessous. Les séances individuelles peuvent se faire en face à face ou bien par Skype! Cliquez ici. Commencer du coaching https://www.onlyuptoyou.com/programme-d-auto-coaching
Dominique Reynié est l’auteur de nombreux ouvrages de recherche en science politique. Il est également directeur de la série L’Opinion européenne, publication annuelle sur l’état de l’opinion publique en Europe. Parmi ses publications, on peut mentionner Le triomphe de l’opinion publique - L’espace public français du XVIe au XXe siècle (Odile Jacob, 1998); Populismes : la pente fatale (Plon, 2011) qui a reçu en 2012 le Prix du Livre Politique ainsi que le Prix des Députés dont une nouvelle édition revue et augmentée a été publiée sous le titre Les nouveaux populismes (Fayard, 2013). Plus récemment Où va la démocratie ? (Plon, 2017) et Démocraties sous tension, une enquête planétaire réalisée dans 42 démocraties et en 33 langues (Fondation pour l’innovation politique, 2019) ; 2022 le risque populiste en France, un indicateur de la protestation électorale (Fondation pour l’innovation politique, octobre 2019 – vague 1) et Les attentats islamistes dans le monde 1979-2019 (Fondation pour l’innovation politique, novembre 2019).
L'Express propose à ses abonnés d'écouter l'intégralité du magazine la veille de sa parution en kiosque le jeudi : tout l'hebdo en version audio, cinq heures d'écoute, à partir de l'application, même en mode non connecté.Depuis un an, J. K. Rowling est accusée de « transphobie ». Les plus radicaux de ses adversaires veulent sa mort sociale et littéraire.Nous vous souhaitons une bonne écoute. Si vous avez apprécié cet article audio et souhaitez accéder à l'intégralité de L'Express audio, il vous suffit de télécharger l'application et de vous abonner, à 1 euro pour 2 mois. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Retrouvez Un Air d'Amérique avec Philippe Corbé du 25 septembre 2020 sur RTL.fr.
La perspective d’un vaccin anti-Covid a beau paraître encore lointaine, surtout quand c’est la politique de tests qui fait polémique, les craintes que suscite le vaccin sont déjà là. Comment les Français réagiront-ils une fois sa mise à disposition du public? Une bataille de l'opinion attend-elle l'exécutif ? Deux sondages montrent une vraie réticence des Français à un éventuel vaccin. Il y a quelques jours, Ipsos plaçait l'opinion française parmi les plus réfractaires au vaccin d'europe, derrière les Russes, les Polonais et les Hongrois. Seuls 59% des Français envisageraient en cette rentree de se faire vacciner contre 74% en moyenne dans le monde. Un sondage qui en confirme un premier datant du mois de mars. En plein confinement, à la question : « Si un vaccin contre le coronavirus était disponible, vous feriez-vous vacciner ? » 6% des personnes interrogées avaient répondu « Non, certainement pas » et 20% « Non, probablement pas ». La prise de position anti-vaccin, en début de semaine, de la première adjointe au maire de marseille, la très médiatique Samia Ghali, en a remis une couche. Invitée de France 5 puis de BFM, elle assume. À titre personnel, elle ne se fera pas vacciner : « pas question de faire le cobaye pour les laboratoires ». Faut-il comprendre que la classe politique française pourrait etre divisée sur le sujet ? A ce stade l'élue marseillaise n’a été soutenue par absolument personne dans les états-majors. Au contraire, y compris dans les partis où la méfiance envers les vaccins est représentée -RN, europe ecologie les verts- on brandit l'argument de la responsabilité face à une pandémie à l'impact sanitaire et economique catastrophique. En revanche on met en garde. Le porte-parole d'europe ecologie les verts, Alain Coulombel craint que le gouvernement se heurte effectivement à un climat de grande défiance: « Il y a déjà la tendance complotiste, la méfiance envers des laboratoires sous pression pour sortir vite un vaccin, et en plus un gouvernement gère de manière erratique cette crise. » Pour le parti ecolo, ce sera donc oui au vaccin mais seulement si toutes les garanties sont assurées, si tous les protocoles sont respectés. Meme raisonnement dans l'entourage de Marine Le Pen. Député RN, Sébastien Chenu explique que « Sur le vaccin, si la parole scientifique est claire, le RN fera confiance aux autorités médicales, mais pas si ca vient seulement du Premier ministre » Comprendre qu'après les masques et aujourd'hui les tests, demain le RN ne signera pas un chèque en blanc au gouvernement sur la question du vaccin.
Mixé avec des mains propres en distanciation sociale à Villeray (une dernière sans micro avant le retour en studio) Sun Electric - Uschba - Apollo John Beltran - Amaneser (Daybreak) - Apollo Arp - Reading A Wave - Mexican Summer Joanne Forman- Starrise: Invocation of the Dawn - Seance Centre Begin - Birds of Stretford - Self-released The Swan & The Lake - Tinkerbell - Music For Dreams Kenkou - Everlasting Dreams (Calm's Still Dreaming Mix) - Hell Yeah Ruf Dug - So Funky - Ruf Kutz The Telemark Express - Inflatable Ego - Paper Wave Marius Circus - Zipped - In The Garden Reuben Vaun Smith - Under The Thunder - Soundway Coyote - Illa Conillera - Paper Wave African Head Charge - Dub Some More - On-U Sound
« Lyon, Nice… Pour qui le prochain tour de vis ? », formule Le Parisien, après la présentation jeudi par le ministre de la Santé Olivier Véran, de la stratégie pour faire barrage au coronavirus. « Il y a des départs de feux plus difficiles à éteindre que d'autres, explique ce quotidien. Lyon et Nice (sont) en ligne de mire. Puis Rennes ou Paris ? », se demande sans attendre Le Parisien, en avertissant qu’il faudra « durcir un peu plus le ton ». Dialogue de sourds entre les pouvoirs publics français et le fabricant de pneus japonais Bridgestone, qui a décidé de fermer son usine de Béthune dans le nord de la France. Une région en état de choc après cette annonce. Dialogue de sourds car tandis que le gouvernement verbalement tempête et dit privilégier dans un premier temps cette piste de la reconversion du site Bridgestone de Béthune dans la fabrication de pneus de grande dimension afin d’équiper le marché des SUV, la direction japonaise de l’entreprise, jointe jeudi par le journal Libération, dit que c’est « impossible, en raison des contraintes matérielle ». Dans ce journal, un observateur prévient qu’une désindustrialisation définitive du site serait « dramatique pour la région », mais pour Libé, en tout cas, « le gouvernement n’a en réalité que très peu de moyens pour amener l’équipementier à renoncer à la fermeture », du site. Attention, prévient Le Figaro, la « tempête économique et sociale » tant redoutée en France s’est « peut-être levée à Béthune ». Ce quotidien remarque d’abord que cette catastrophe économique « ne doit rien à la crise sanitaire, mais s’inscrit dans le long processus de désintégration de notre industrie ». Le Figaro s’en prend ensuite à l’Europe. Laquelle, « durant des années, a toléré une concurrence déloyale, ne respectant aucune de nos normes sociales et environnementales, avec le résultat que l’on sait ». Et ce journal de dénoncer ensuite la France qui a « systématiquement aggravé (son cas) en surfiscalisant le coût du travail et en le surréglementant ». Et Le Figaro de plaider une fois de plus pour l’édification d’une économie « compétitive, souveraine et intraitable face aux grands concurrents. Après des années d’égarement, nous commençons enfin à ouvrir les yeux. Mais il reste encore bien du chemin à parcourir », soupire Le Figaro. Le groupe État islamique revendique l’assassinat de huit personnes, dont six humanitaires français et deux Nigériens le 9 août dernier au Niger : C’était il y a un mois et demi, alors qu’ils visitaient la réserve de girafes de Kouré, à 60 km au sud-est de la capitale Niamey où ils étaient basés, six jeunes humanitaires français, deux hommes et quatre femmes, avaient été assassinés avec leur chauffeur et leur guide nigériens par des hommes armés à moto. Près de six semaines après cette tuerie, la revendication de l'organisation État islamique a été publiée dans son organe de propagande Al-Naba et authentifiée « par de multiples sources, souligne le journal français Le Monde, dont l’organe américain SITE, spécialisé dans la surveillance des groupes jihadistes ». Le Monde qui publie par ailleurs une enquête en Chine sur ces Ouighours qui ont vu leur famille s’agrandir avec la présence de soi-disant « cousins ». En fait des indicateurs imposés par le régime pour surveiller les Ouighours jusque dans leur intimité : Enquête sur ces faux « cousins » chinois qui viennent « dormir une semaine par mois dans les foyers de (cette) minorité musulmane pour soumettre le dernier espace d’intimité à (la) surveillance » de Pékin, partageant les repas, interrogeant les enfants sur ce que disent leurs parents et, en effet, « dormant sur un matelas au sol dans la même chambre » que le père et la mère de famille, « utilisant leur salle de bains au petit matin, puis prenant le petit déjeuner » avec la famille Laquelle est ensuite notée par les « cousins ». Devine qui vient dîner ? « De parfait inconnus », souligne Le Monde, « des Chinois han, s’imposant dans les maisons ouïgoures pour s’assurer que les familles n’opposent pas de résistance à leur sinisation forcée et faire remonter leurs suspicions », signale Le Monde, en documentant ce programme d’État datant de 2016, renforcé l’année suivante, généralisé à partir de 2018 et intitulé « union des ethnies en une seule famille ». De quoi scandaliser Le Monde. « Face à ces abus systématiques contre les droits de l’homme, seuls les États-Unis ont adopté des sanctions », note ce quotidien, même si lesdites sanctions sont « symboliques ». Et Le Monde de reprocher aux dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, de n’avoir « que très récemment choisi de nommer publiquement les exactions. Il reste à associer à ces discours des actions concrètes, qui n’ont que trop tardé », martèle ce journal.
100 milliards pour la relance. Le Premier ministre Jean Castex a détaillé ce jeudi le plan pour sortir la France de la crise. Les actifs financiers de la SNCF seront bientôt mis en vente. À en croire la Une du quotidien économique Les Echos, la SNCF a été « choyée par l’État ». Choyée ? Etant rappelé que la SNCF est la compagnie nationale des chemins de fer en France, le ministre délégué aux Transports dit au journalLe Parisien que la SNCF devra envisager de céder des filiales pour retrouver sa trajectoire financière. « Nous étudions avec la SNCF les actifs financiers qui pourraient être cédés », annonce Jean-Baptiste Djebbari dans Le Parisien. La SNCF n'a pas commenté les propos du ministre des Transports. La SNCF, donc, mais pas que. L’exécutif promet 1,5 point de croissance en plus d’ici à fin 2021. Une importante dotation du plan de relance sera destinée à contenir la montée du chômage. Les syndicats de salariés dénoncent le manque de contreparties aux aides accordées aux entreprises. Voilà, en résumé, l’essentiel retenu par la presse ce matin. Le vert est dans le plan Avec un accent sur le volet « vert » de ce plan de relance. La transition écologique « se taille une belle part de 30 milliards », souligne Libération. Une part du gâteau qui « paraît belle », admet Libé, tout en dénonçant ce « en même temps de l’écologie », ONG et écologistes pointant des « incohérences » et des « secteurs oubliés », signale ce quotidien. « L’écologie permet de créer massivement des emplois », rétorque dans Les Echos la ministre de l’Écologie Barbara Pompili. Reste la question du financement de ce plan. Or Jean Castex a répété qu’il n’y aurait pas de hausses d’impôts pour financer ces 100 milliards d’euros. Pour le journal L’Opinion, il s’agit-là de « la mesure la plus pertinente du plan de relance » et cette mesure « est sans doute celle qui en a été écartée », souligne ce quotidien. Mais attention, prévient L’Opinion, « le plus dur sera de tenir cette promesse sur la durée ». Pour étayer sa déprimante prédiction, L’Opinion se réfère à une étude du spécialiste de l’assurance-crédit Euler-Hermes, selon laquelle « le plan de relance va ajouter 2,4 points de pourcentage à la croissance française en 2021 et 2022, alors que le gouvernement en attend 4 points supplémentaires ». Euler Hermes estime en effet que ce plan « va détériorer notre déficit commercial de 12 milliards d’euros en 2021 et 2022, contre une dégradation de 3 milliards d’euros en Allemagne » – autrement dit les importations vont s’envoler – et ce plan « réjouira donc nos deux principaux partenaires commerciaux, l’Allemagne et la Chine », pointe L’Opinion. La République au défi du séparatisme 4 septembre 1870 – 4 septembre 2020, la République a 150 ans. Un anniversaire célébré au Panthéon par le président. Et pour marquer l'avènement de la IIIe République, proclamée par Léon Gambetta, Emmanuel Macron se rend ce vendredi matin dans ce monument dédié « aux grands hommes » à qui la Partie voue une reconnaissance éternelle. Il y prononcera un discours pour appeler le pays au « patriotisme républicain » alors que le président doit faire face au « défi sécuritaire et séparatiste », souligne Le Figaro, en signalant justement que le « séparatisme » évoqué par Emmanuel Macron lui-même fera, de sa part, l’objet d’une nouvelle intervention courant septembre avant la présentation d’un projet de loi sur le sujet en conseil des ministres. Confirmant que ce projet de loi sera d’abord présenté par Emmanuel Macron, Le Parisien précise que le chef de l’État en présentera les grandes lignes lors d’un déplacement le 15 septembre sur « une terre impactée par le séparatisme, marquée par des départs vers des zones de conflits et où un travail de reconquête républicaine a enregistré des résultats ». Ce texte, donc, prévoira une « mesure choc » : l’obligation pour les associations subventionnées de signer une « charte des valeurs républicaines ». Comme le décrypte Le Parisien, « en clair : en cas de dérive communautaire, l’État coupera les vivres ! ». Mais Emmanuel Macron a aussi en tête son programme de commémorations de l’an prochain. Toujours selon Le Parisien, « l’Élysée a coché la date du 9 octobre 2021 pour célébrer les 40 ans de l'abolition de la peine de mort. Une date chère à la gauche et aux fans de François Mitterrand », formule Le Parisien, en se demandant, faussement candide, s’il ne s’agira pas d’un « clin d’œil à la gauche, à un an de la présidentielle ».
Las elecciones municipales francesas han confirmado el ascenso, al menos a nivel local, de las opciones ecologistas. Lyon, Burdeos y Estrasburgo estarán gobernadas por alcaldes “verdes”. La socialista Anne Hidalgo seguirá en la alcaldía de París con un programa socialista y ecologista. Pero la ola verde no sólo afecta a Francia, las formaciones ecologistas ya triunfaron el año pasado en las elecciones europeas y están en ascenso en varios países de la UE. Nos acompañan en esta edición: -Raphaël Proust, periodista en el diario L´Opinion que ha seguido precisamente a Los Verdes en las elecciones municipales francesas -Christine Siebert, periodista del servicio ciencia de RFI especializada en ecología -Jorge Morón, corresponsal del canal Todo Noticias de Argentina en Francia -Y en videollamada tenemos desde Alemania aMelani Pelez, doctorante en la Universidad de Friburgo. Su trabajo se centra en políticas adaptadas al cambio climático. En pocos años la ecología ha adquirido un gran peso en el debate mundial. A partir del Acuerdo de París en 2015 pero sobre todo a partir de las manifestaciones de 2019. Ahora el mundo se enfrenta a una gran crisis sanitaria. Hemos escuchado reiteradamente que es el momento para "ecologizar la economía" y hoy en esta edición del programa nos preguntamos cómo se hace. Además analizamos el auge de las formaciones ecologistas en varios puntos de Europa. #EnPrimeraPlana de RFI y France24. Puede seguir en nuestra página de Facebook todas nuestras emisiones anteriores. Un programa coordinado por Florencia Valdés. Realizado por Yann Bourdelas, Vanessa Loiseau y Gabien Mugneret.
Le vice-recteur de l’Université de Yaoundé 1 se définit comme un homme libre qui dit ce qu’il pense. « Les gens ont pensé qu’ils étaient propriétaire de ma pensée et de mes analyses alors que je me définis comme étant libre. Ce n’est pas l’opinion qui détermine ce que je peux penser », précise le spécialiste de sciences politique. Il était dans le fauteuil de l'invité de la matinale d'ABK Radio au micro d’Achille Assako
durée : 00:53:36 - Le débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - L’une a besoin de temps long pour garder sa crédibilité, l’autre de réponses rapides et concrètes. Alors comment concilier les deux et éviter la confusion… L’opinion est-elle plus forte que la science ?
Vladimir Poutine, président à vie ? C’est en tous cas l’un des enjeux du scrutin qui s’achève aujourd’hui en Russie. Si elle est adoptée, la réforme de la Constitution permettra en effet à Vladimir Poutine de briguer deux nouveaux mandats et donc de rester au pouvoir jusqu'en 2036. Cette « remise à zéro » des compteurs n'a rien d'anormal pour les partisans du président russe. Pour l'opposition, il s'agit au contraire d'un véritable « coup d'Etat constitutionnel ».
La Place de l'Opinion personnelle Paracha Koah'
Depuis le début des manifestations contre les violences policières, déclenchées par la mort de George Floyd aux États-Unis, Christophe Castaner se retrouve pris en tenaille. Le ministre de l'Intérieur a tenté de désamorcer la colère des policiers, sans y parvenir au regard des premières réactions virulentes à ses entretiens avec les syndicats de police. Après avoir annoncé lundi l'abandon de la clé d'étranglement lors des interpellations, il a nuancé ses propos face aux syndicats. La réaction de Grégory Joron, secrétaire général délégué du syndicat Unité SGP-Police FO.
L'opinion de Françoise Boivin - 10 juin 2020 by Radio CHGA
L'opinion de Françoise Boivin - 3 juin 2020 by Radio CHGA