French actress
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durée : 00:53:57 - Certains l'aiment Fip - À l'occasion de la sortie le 11 juin, du film "Différente" de Lola Doillon où elle incarne le personnage principal, on invite l'ex-chanteuse des Savages et actrice française qui a joué aussi pour Jacques Audiard, Catherine Corsini, Serge Bozon ou Justine Triet.
C'est un procès emblématique de la vague #MeToo dans le milieu du cinéma qui débute ce lundi 24 mars pour deux jours : celui de l'acteur français Gérard Depardieu. Il est jugé pour agressions sexuelles sur deux femmes lors du tournage du film Les Volets verts, en 2021. Et, à l'Assemblée nationale, une commission d'enquête chargée d'identifier les abus et les violences sur les plateaux de cinéma prévoit de rendre son rapport final le 9 avril prochain. Depuis le mois de mai 2024, à l'Assemblée nationale et à l'initiative de l'actrice Judith Godrèche, une commission d'enquête est chargée d'identifier les abus et les violences dont sont victimes les majeurs et les mineurs sur les plateaux de cinéma, notamment. Les travaux de cette commission touchent à leur fin. Les députés qui en sont membres ont des propositions concrètes en tête pour faire évoluer le cadre législatif.Ce fut l'un des temps forts des auditions menées par la commission d'enquête. Pendant une heure, le 7 novembre 2024, l'actrice française Sara Forestier témoigne de l'agression qu'elle subit sur un tournage en 2017. Des trémolos dans la voix, elle accuse son partenaire de jeu, l'acteur Nicolas Duvauchelle, de l'avoir giflée. L'équipe du film la dissuade alors d'engager des poursuites. « On essaye de m'empêcher d'aller au commissariat, raconte l'actrice. L'équipe panique. Ils ne savent pas gérer ce genre de situation. Il n'y a qu'une seule chose qui prend toute la place, c'est la peur, par rapport à l'argent et aux assurances. Et donc, tout de suite, on met la poussière sous le tapis et la victime doit encaisser. » L'actrice a depuis déposé plainte, l'acteur, lui, nie les faits.Comédiens, réalisateurs ou producteurs : en six mois, la commission d'enquête a interrogé près d'une centaine d'acteurs du cinéma, du théâtre, mais aussi de la publicité. À l'heure de la conclusion des débats, la députée écologiste Sandrine Rousseau, présidente de la commission, dresse un bilan contrasté : « Il y a d'un côté le vécu des personnes victimes qui relatent des faits récurrents et de, l'autre côté, un monde du cinéma qui comprend les enjeux, mais qui reste encore assez aveugle à la réalité des vécus des personnes. »À lire aussiCannes: Judith Godrèche réalisatrice du court-métrage «Moi Aussi» sur les violences sexuellesLe recours aux coordinateurs d'intimitéUn aveuglement et des défaillances. Exemple concret, l'audition de la réalisatrice Catherine Corsini, le 27 janvier dernier. Violences verbales à son encontre, accusations d'agression sexuelle à l'encontre d'un cascadeur… En 2022, le tournage de son film Le Retour est chaotique. À cela s'ajoute une scène à caractère sexuel impliquant une actrice mineure, non déclarée auprès de la commission des enfants du spectacle. Devant la commission, la réalisatrice s'en explique : « Je me suis dit qu'ils étaient d'accord. Ça les a fait marrer. On l'a fait rapidement et ça s'est bien passé. Mais j'admets qu'on n'aurait pas dû le faire, je le reconnais. » La députée Sandrine Rousseau intervient : « S'il y a un coach d'intimité, ça simplifie tout. » Catherine Corsini, lui répond : « À l'époque, je n'avais pas encore à l'esprit que le recours à un coach d'intimité pouvait entrer dans les pratiques. Je pensais que l'intimité, c'était le metteur en scène qui l'avait avec les acteurs. »Le coordinateur d'intimité est une sorte de médiateur entre le réalisateur et ses comédiens qui encadre les scènes intimes. Un métier encore largement méconnu en France qui accuse, d'ailleurs, un certain retard en la matière. En 2024, on comptait seulement quatre coordinateurs d'intimité dans l'Hexagone, contre près d'une centaine outre-Atlantique. Par ailleurs, ils ne sont pas obligatoires sur les plateaux. Alors, c'est l'une des priorités identifiées par la commission et sa présidente, Sandrine Rousseau : « Les coordinateurs d'intimité, c'est vraiment parmi les personnes qui manquent dans les tournages. Il faut qu'on sache exactement ce qui va être tourné, monté, ce qu'on va retenir comme plan, c'est absolument indispensable », appuie la députée.Indispensable, au point de figurer en bonne place dans le compte-rendu final de la commission, explique son rapporteur général, le député MoDem, Erwan Balanant : « Il faut rendre systématique le fait que les coordinateurs d'intimité soient proposés et qu'ils soient obligatoires si l'un des deux protagonistes souhaite qu'il y ait un coordinateur d'intimité. » L'une des nombreuses propositions du rapport final publié le 9 avril et qui débouchera, peut-être, sur une proposition de loi.À lire aussiMonia Aït El Hadj, coordinatrice d'intimité au cinéma: «On n'est pas là pour gommer la sexualité»
Aïssatou, aide-soignante depuis 24 ans, a vu son destin basculer lorsqu'elle a été choisie pour jouer dans "La Fracture", un film de Catherine Corsini avec entre autres Marina Foïs et Pio Marmaï. Elle raconte au micro de "Héros" comment cette expérience inattendue l'a propulsée dans le monde du cinéma !
Juliette rend hommage à Martial, un pompier qui l'a sauvée à deux reprises après plusieurs arrêts cardiaques à l'âge de 14 ans. Douze ans plus tard, ils se retrouvent par hasard lorsqu'il devient son patient, et c'est encore lui qui lui sauve la vie.. Une véritable histoire de destin croisé! Aïssatou, aide-soignante, se retrouve propulsée sur le devant de la scène cinématographique après avoir décroché un rôle inattendu dans "La Fracture" de Catherine Corsini. Sans expérience préalable, elle interprète un second rôle aux côtés de grandes stars, ce qui lui vaut un César en 2022
Une des plus grandes actrices québécoises de sa génération, Pascale Bussières mène une carrière à succès au Canada, en français et en anglais, et à l'international. Son premier film Sonatine, tourné alors qu'elle n'avait que 13 ans, a remporté le Lion d'argent du meilleur premier film à la Mostra de Venise en 1984, laissant présager le succès qui l'attendait.Depuis, Pascale Bussières, qui a tourné dans plus de 50 films, a cotoyé les plus grands. En 2001, elle donnait la réplique à Emmanuelle Béart dans La répétition de Catherine Corsini, nommé pour la Palme d'or à Cannes. En 2020, elle a joué aux côtés de Gabriel Byrne dans le film Death of a Ladies' Man. Au cours de sa carrière, Pascale Bussières a aussi partagé le grand écran avec Monica Bellucci dans Ville-Marie(2015), William Hurt dans Le papillon bleu de Léa Pool (2004), Daniel Auteuil et Kristin Scott Thomas dans Petites coupures (2003) et Laurent Lucas dans Après coup (2017).Égérie du cinéma québécois dans les années 1990, Pascale Bussières a obtenu en 1992 le prix de la meilleure interprétation féminine du Festival international des films du monde de Montréal pour son rôle de Laure dans La vie fantôme de Jacques Leduc. Elle nous a ensuite fait découvrir l'étendue de son talent dans Eldorado (1995) de Charles Binamé et Un 32 août sur terre (1998), premier longmétrage réalisé par Denis Villeneuve. Ce dernier film, qui a lancé la carrière du réalisateur de Dune, a été en sélection officielle - Un certain regard au Festival de Cannes en 1998. Très active au cinéma et en télé au Québec, Pascale Bussières nous a émus dans le film Ma vie en cinémascope, ou elle interprété la chanteuse québécoise Alys Robi, et pour lequel elle a reçu le prix Jutra de la meilleure actrice et le prix Génie de la meilleure interprétation féminine en 2005. Elle a également obtenu le prix Jutra de la meilleure actrice de soutien pour son rôle dansle film Emporte moi de Léa Pool (2000).Pascale a interpreté une contrebandière d'alcool dans Bootlegger (sorti en 2021), un film qui donne la parole aux femmes autochtones du Canada. Elle fait également partie de la distribution de Frontières, quatrième long-métrage du réalisateur Guy Édoin. En 2024, elle tourne dans Cap Farewell de la réalisatrice Vanja d'Alcantara, co production canadienne avec la Belgique et les Pays-Bas.Pascale Bussières a également révélé son étendue comique en nous faisant rire dans des séries télé comme Les bobos et Le coeur a ses raisons aux côtés de Marc Labrèche. Elle a fait partie également dans les dernières années des distributions de nombreuses séries marquantes comme Belle-Baie, L'heure bleue et Sortez-moi de moi. Son public pourra la retrouver dans la série Corbeaux, diffusée sur illico+ en 2025. Instagram :https://www.instagram.com/laprescriptiondrfred/?hl=frFacebook :https://www.facebook.com/people/La-prescription-avec-Dr-Fred-Lambert/100078674880976/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Abrimos el mes de agosto con Chus Gutiérrez, directora de Caperucita a Loba que vuelve a la dirección con tu madre o la mía guerra de suegras, una comedia de enredo que nos narra los días previos a una boda muy especial la de Paco, Salva Reina y Regina, la actriz Paulina Goto, dónde las madres respectivas intentarán por todos los medios imponer su voluntad. Con Chus Gutiérrez y Carmina Barrios charlamos de esta película con la que vamos a pasar un buen rato, nos vamos a reír y nos va hacer reflexionar sobre la naturaleza del ser humano y en especial cómo nos comportamos con nuestro hijos.Otra de las películas que llega a salas después de su estrenó en la Sección Oficial del Festival de Cannes 2023 es Regreso a Córcega, el último trabajo de Catherine Corsini con la que hablamos de esta comedia refrescante que trata temas como la identidad, la inmigración, el racismo las relaciones de clase y los amores de verano.Cerramos el programa con un historia real que supera a la ficción, 40 días perdidos en la selva, la nueva película del cineasta colombiano Gustavo Nieto Roa, quien a sus 85 años no dudó en adentrarse en la selva del Guaviare para rodar la historia de estos cuatro pequeños que el 1 de mayo de 2023 sobrevivieron al accidente de la avioneta en la que viajaban junto a su madre y que desapareció sobre el río Apaporis. Todo esto además de las series con Pedro Calvo, os invitamos a leer cine con Guillermo Balmori y su libro Hollywood antes de la censura. Las películas pre-code. Vol. II.Escuchar audio
Dans son premier documentaire, Une Famille, Christine Angot retourne sur les lieux de son adolescence, période à laquelle elle fut violée à de nombreuses reprises par son père Pierre. Un quart de siècle après la mort de celui-ci, elle tente d'entamer un nouveau dialogue avec celles et ceux qui auraient pu l'aider mais n'y ont rien fait: sa mère, son ex-mari, la dernière femme de son père… Une série de conversations à bâtons rompus qui dit beaucoup de la grande solitude dans laquelle sont plongées les victimes d'inceste.Un mercredi sur deux, Mansplaining s'interroge sur les hommes, le genre, la société, tout cela à travers des œuvres culturelles, des travaux de spécialistes et des faits d'actualité.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références:Une Famille de Christine Angot (2024)L'Inceste de Christine Angot (Stock, 1999)Une Semaine de vacances de Christine Angot (Flammarion, 2012)Un Amour impossible de Christine Angot (Flammarion, 2015)Le Voyage dans l'Est de Christine Angot (Flammarion, 2021)Un Amour impossible de Catherine Corsini (2018)«Christine Angot se confie sur l'inceste et ses conséquences», «La Grande Librairie», France TélévisionsMansplaining est un podcast de Thomas Messias, produit par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale: Nina ParejaMontage et réalisation: Mona DelahaisMusiques: «Warm Sea», de Savvier et «On My Way», de GhostrifterSuivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining).
A cerimônia de entrega do César, maior premiação do cinema francês, acontece na noite desta sexta-feira (23), em Paris. Pelo sexto ano consecutivo, o evento será marcado pelas acusações de assédio e abuso sexual que continuam emergindo no cinema francês a ponto de transformar as produções. O discurso da atriz francesa Judith Godrèche, que sofreu uma série de agressões desde o seu primeiro trabalho no cinema, é aguardado com expectativa. Os organizadores do César Awards fizeram questão de convidar Judith Godrèche, 51 anos, para subir ao palco da sala Olympia de Paris, onde ocorre a cerimônia, para demonstrar que todo o setor está solidário com ela e que é preciso continuar a denunciar esses crimes. Recentemente, a atriz prestou queixa na polícia por estupro e abuso sexual contra dois importantes cineastas franceses: Benoît Jacquot e Jacques Doillon, herdeiros da Nouvelle Vague. A França atravessa a segunda onda do movimento #MeToo e Godrèche encarna essa determinação das mulheres de levar os agressores à Justiça, mesmo quando os crimes já estão prescritos.Depois de morar vários anos em Los Angeles, a atriz retornou a Paris para lançar a série de TV "Icon of French Cinema", que ela escreveu e produziu, inspirada na experiência dela no cinema. Em entrevistas à imprensa local, Godrèche acabou revelando detalhes de um relacionamento tóxico que iniciou com Benoît Jacquot no primeiro trabalho no cinema, quando tinha 14 anos e o diretor, 39. A relação durou seis anos e foi marcada por situações de abuso e violência – física e psicológica. Jacquot, com mais de 30 filmes na carreira e hoje com 77 anos, fala que foi uma relação de amor. Mas a atriz aponta o comportamento manipulador de um homem 25 anos mais velho do que ela e que ainda tinha exigências sexuais perversas. Em entrevista ao jornal Le Monde, Godrèche disse que o companheiro a fazia praticar sexo oral de uma forma que a “enojava”. "Eu detestava, mas ele dizia que eu era 'maravilhosa' naquilo", afirmou. Quando ficava menstruada, as felações se tornavam “obrigatórias”. “No meu aniversário de 15 anos, ele decidiu que eu tinha que gozar quinze vezes, não havia escolha. Eu fingi o mais rápido possível", contou. SadismoUm dia, Jacquot propôs um "jogo sexual". "Tenho que ficar na escada de costas para ele e fechar os olhos. Ele pega o cinto e começa a me chicotear. Deixei ele fazer isso uma vez, duas vezes, depois não aguentei (...) falei que não tinha graça, que estava me machucando”, denunciou a atriz. Apesar dos protestos, ele teria lhe amarrado às grades de um mezanino com o cinto.O caso é revelador de um sistema de décadas de abusos tratados com indiferença pelos profissionais do cinema e pela sociedade francesa como um todo. Para ajudar os legisladores a proteger crianças e adolescentes dessas práticas, Judith Godrèche será ouvida no Senado no dia 29 de fevereiro.A legislação francesa fixa em 15 anos a idade mínima de consentimento para uma relação sexual com penetração. No caso de Jacques Doillon, segundo cineasta denunciado pela atriz, ele é acusado de ter inserido em um filme, em que também trabalhava como ator, uma cena sexual com ela. Essa filmagem aconteceu quando Godrèche tinha 15 anos. O indício de abuso é o fato que Doillon, 28 anos mais velho do que ela, ter feito questão de gravar 45 vezes a mesma cena, o que teria deixado constrangida a mulher dele, Jane Birkin, que acompanhava a filmagem. Doillon nega qualquer abuso, mas foi denunciado por outras duas atrizes, Anna Mouglalis et Isild le Besco, pelo mesmo tipo de assédio.Até pouco tempo atrás, a certeza da impunidade era tão grande que em 2011, Jacquot disse num documentário que sabia que estava transgredindo a lei ao se relacionar sexualmente com uma menina de 14 anos. Ainda declarou que todos no meio sabiam que "o cinema era usado para encobrir esse tipo de prática" e que outros diretores o invejavam, o que ele achava "bastante agradável".Ministra da Cultura aponta crime de pedofiliaA nova ministra da Cultura, Rachida Dati, que é de direita e tem uma personalidade forte, elogiou a coragem de Godrèche, poucas horas antes de participar da cerimônia do César. Dati condenou "a cegueira" no meio cinematográfico em relação a esse tipo de crime. Lembrou, e é verdade, que a atriz em várias entrevistas quando era jovem tentou mostrar que vivia uma situação desconfortável com aquele homem muito mais velho do que ela, mas as pessoas ignoravam os sinais que ela enviava e passavam a falar de outros assuntos. A ministra ressaltou que impor relações sexuais a menores em sets de filmagem "não é arte, é pedofilia". Quatro anos depois da primeira onda do #MeeToo, a prevenção a situações de assédio avança devagar. Na França, para empregar um menor de 16 anos no cinema, é necessário ter uma autorização do Estado, “para proteger as crianças de quaisquer abusos”. Mas juízes dizem que depois que a filmagem começa, praticamente não existem controles nos sets. No ano passado, um filme exibido no Festival de Cannes (Le Retour, de Catherine Corsini) foi multado por não ter declarado uma cena de sexo envolvendo um menor de 15 anos. Mas a penalização ainda é rara. Quando existe uma cena de sexo no roteiro, os diretores de elenco têm evitado contratar menores. Cenas sugestivas de erotização de crianças estão gradualmente desaparecendo dos filmes. Se a produção trata de incesto ou estupro de menor, as cenas são minuciosamente coreografadas, sem contato físico do ator adulto com a criança ou o adolescente e sem imagens explícitas.'Coordenador de intimidade'Uma nova profissão se desenvolveu nos últimos anos, o "coordenador de intimidade", mas ainda conta com poucos profissionais especializados. Esse colaborador fica encarregado de supervisionar as cenas de nudez e sexo e também pode alertar o produtor se notar algum tipo de assédio durante a gravação.Atrizes experientes contam que até pouco tempo atrás era impossível questionar uma cena mais constrangedora com um diretor. Hoje, elas apreciam quando recebem os contratos e descobrem que a produção vai ter um ou até dois encarregados de prevenir assédio. Foi o que aconteceu com a atriz Isabelle Carré. Ela disse que "chorou" de emoção quando descobriu que o filme "La Dégustation" (A Degustação), de 2022, tinha dois profissionais nessa função. O elenco tinha crianças. A autocensura, o medo de ser prejudicado na carreira, fez muitos artistas se submeterem a situações degradantes.FavoritosA 49ª edição do César Awards começa às 20h45 e será transmitida pelo Canal+. "O reino animal", dirigido por Thomas Cailley e estrelado por Romain Duris, lidera as indicações concorrendo em 12 categorias. Já "Anatomia de uma queda", drama de Justine Triet vencedor da Palma de Ouro e indicado a cinco estatuetas do Oscar, vem logo atrás com 11 indicações."O sabor da vida", de Trần Anh Hùng, o representante da França na corrida pelo Oscar de melhor filme internacional, mas excluído da lista final, estrelado por Juliette Binoche e Benoît Magimel concorre em três categorias menos relevantes.Favorito ao Oscar, "Oppenheimer", de Christopher Nolan, está na disputa de melhor filme estrangeiro na principal premiação do cinema francês.
durée : 00:54:32 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Les critiques ont vu "Oppenheimer" de Christopher Nolan, "Les Herbes sèches" de Nuri Bilge Ceylan, "Le Retour" de Catherine Corsini, "Mission impossible" de Christopher McQuarrie, "Les Ombres persanes" de Mani Haghighi et "De nos jours" d'Hong Sang-Soo. - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
Deux ans après La Fracture, Catherine Corsini revient avec Le Retour. Un film solaire centré sur deux jeunes femmes et leur mère, qui toutes trois reviennent en Corse de longues années après avoir quitté l'île. Un mystère plane sur les vraies raisons de ce départ, et plus largement Le Retour créé un suspense sur la question des liens familiaux qui unissent cette famille, dont on comprend vite que le père est décédé. Parmi les sujets abordés par le film, on citera la question des origines sociales, de l'identité sexuelle, entre autres. Nous avons rencontré la réalisatrice et scénariste Catherine Corsini, qui nous a indiqué avoir voulu montrer "des récits dont on n'a pas l'habitude, à des femmes qui sont sous-représentées, et de leur donner des rôles qui ne soient pas des rôles clichés". "J'avais envie de leur offrir des rôles romanesques, de vrais rôles de fiction qui pourraient être tenus par des actrices connues". Et d'ajouter : "il faut arriver à faire des récits qui ressemblent au monde dans lequel on vit". Ecoutez notre entretien avec la cinéaste.Khédidja travaille pour une famille parisienne aisée qui lui propose de s'occuper des enfants le temps d'un été en Corse. L'opportunité pour elle de retourner avec ses filles, Jessica et Farah, sur cette île qu'elles ont quittée quinze ans plus tôt dans des circonstances tragiques.Alors que Khédidja se débat avec ses souvenirs, les deux adolescentes se laissent aller à toutes les tentations estivales : rencontres inattendues, 400 coups, premières expériences amoureuses. Ce voyage sera l'occasion pour elles de découvrir une partie cachée de leur histoire.N'hésitez pas à partager, noter, commenter l'émission et à vous abonner à AlloCiné Podcasts.Tous nos épisodes sont à retrouver sur les plateformes de podcast, dont Deezer, Spotify, Apple Podcasts, Acast...Crédits :Journaliste : Brigitte BaronnetMontage : Chanelle Morvan Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le retour est celui qu'effectuent Khédidja et ses deux filles en Corse, l'île qu'elles ont quittée 15 ans plus tôt sur fond de drame. Le temps d'un été, et tandis que Khedidja y travaille comme nourrice pour une famille parisienne aisée, les jeunes filles vont aller à la découverte de leur désir et de leurs origines. Sorti en salles romandes le 12 juillet, “Le Retour” en dit long sur la propre histoire de la réalisatrice Catherine Corsini. Elle en parle, au micro d'Anne Laure Gannac, sans éluder les questions autour de la polémique qui a entaché la sélection du film au dernier festival de Cannes, notamment concernant ses méthodes de travail. Catherine Corsini est l'invitée d'Anne Laure Gannac.
Le Retour raconte l'histoire d'une mère sénégalaise et de ses deux filles adolescentes sur les traces de leur histoire familiale en Corse. Le film avait l'objet d'une polémique sur la mauvaise ambiance de tournage qui avait failli lui coûter sa place en compétition au dernier Festival de Cannes. La production a également reçu une lourde sanction financière pour avoir tournée sans autorisation préalable une scène à dominante sexuelle avec une actrice mineure.
Le Retour raconte l'histoire d'une mère sénégalaise et de ses deux filles adolescentes sur les traces de leur histoire familiale en Corse. Le film avait l'objet d'une polémique sur la mauvaise ambiance de tournage qui avait failli lui coûter sa place en compétition au dernier Festival de Cannes. La production a également reçu une lourde sanction financière pour avoir tournée sans autorisation préalable une scène à dominante sexuelle avec une actrice mineure.
La rencontre avec la réalisatrice, Catherine Corsini.
La présentation en présence de la réalisatrice, Catherine Corsini.
Avec « Il sol dell'avenire », est-ce que le cinéaste italien parvient à retrouver le niveau de ses grands films ? Et comment Kyo, vingt ans après la sortie de son album « Le chemin », propose-t-il une nouvelle version de « Dernière danse » ? Et les vacances, est-ce vraiment la transhumance, comme le chantait Ricet Barrier ? Est-ce que la cinéaste française Catherine Corsini méritait de susciter la polémique à Cannes avec son film « Le retour » ? Avec les nouvelles chansons d'Oscar les vacances, est-ce que Nicolas « Garçon chiffon » Maury a du souci à se faire ? Pourquoi Charlotte Rampling, récemment à l'honneur sur Arte, crée une fois de plus la surprise dans « Juniper » ? Pourquoi réécouter « Merci Patron » des Charlots reste un must ? Toutes ces questions trouvent leurs réponses dans « La semaine des 5 heures » de ce mardi 27 juin 2023
Melissa's weekly round up of all industry news dedicated to highlighting the voices of women who work in the global entertainment business. Show Notes Catherine Corsini was “maybe a bit too proud and pretentious” to use intimacy coaches on ‘Homecoming' set - Screen Daily Jennifer Lawrence brings documentary about Afghan women to Cannes - The Guardian (paywall) Eva Longoria Calls Out Hollywood: ‘A White Male Can Direct' a $200 Million Flop and ‘Get Another One.' I Can't. - Variety Neon acquires Justine Triet's Cannes competition entry ‘Anatomy Of A Fall' - Screen Daily Netflix Buys ‘May December,' Starring Natalie Portman and Julianne Moore, for $11 Million Following Buzzy Cannes Debut - Variety BFI, Diversity In Cannes reflect on Black women in film programme: “This has to happen again” - Screen Daily Serena Williams Docuseries Set at ESPN - Variety Sally Potter to retell ‘Orlando' with new feature film ‘Orlando, Now' - Screen Daily In Her Voice is a Woman and Hollywood Podcast, hosted by Melissa Silverstein (Founder of Women and Hollywood and Co-Founder of the Athena Film Festival) and produced by Leonie Marsh. Subscribe to this podcast on Spotify or wherever you listen to your podcasts. Join Substack for Melissa's weekly curated list of content made by women. Twitter @melsil and @womenahollywood Instagram @womenandhollywood
Bonjour from Cannes! This week Anna Smith gives us a taste of the French Riviera live from the Festival de Cannes, catching some friends of Girls On Film out and about at the festival. Anna is joined by fellow critics Wendy Mitchell and Karen Krizanovich who give you their hot tips for films coming out of this year's Cannes, from international indies to big blockbusters. They chat about Phoebe Waller-Bridge's ground-breaking character in the newest instalment of Indiana Jones, Indiana Jones and the Dial of Destiny. They also discuss the welcome increase in female-led films in the festival this year. Malaysian director Amanda Nell Eu's Tiger Stripes is also delved into, alongside other international films from Turkey, Argentina, Belgium, Finland, Mongolia, Italy… Anna also speaks with journalist and critic Valerie Complex, a year after her controversial Deadline article ‘Valerie Complex On Being Black At Cannes: How Microaggressions Marred My Festival Experience'. You can read the article here: https://deadline.com/2022/06/black-at-cannes-deadline-critic-valerie-complex-microaggressions-marred-her-festival-experience-1235037273/ Finally, Anna caught up with See-Saw films' Head of TV and Film for Australia, Liz Watts, for a chat about the business of Cannes, and how it informs the year ahead for the film industry. Films mentioned in this episode include: Indiana Jones and the Dial of Destiny, James Mangold, 2023 In Flames, Zarrar Kahn, 2023 The Feeling That the Time for Doing Something Has Passed, Joanna Arnow, 2023 It's Raining in the House, Paloma Sermon-Dai, 2022 If Only I Could Hibernate (Baavgai Bolohson), Zoljargal Purevdash, 2023 Tiger Stripes, Amanda Nell Eu, 2023 The Return or Homecoming (Le retour), Catherine Corsini, 2023 The Delinquents (Los delincuentes), Rodrigo Moreno, 2023 Nine Queens, Fabián Bielinsky, 2000 The Aura (El aura), Fabián Bielinsky, 2005 How to Have Sex, Molly Manning Walker, 2023 About Dry Grasses, Nuri Bilge Ceylan, 2023 The Old Oak, Ken Loach, 2023 La Chimera, Alice Rohrwacher, 2023 The Piano, Jane Campion, 1993 Titane, Julia Ducournau, 2021 Rosalie, Stéphanie Di Giusto, 2023 Fallen Leaves (Kuolleet Lehdet), Aki Kaurismäki, 2023 The Royal Hotel, Kitty Green, 2023 The New Boy, Warwick Thornton, 2023 Club Zero, Jessica Hausner, 2023 Television mentioned in this episode include: Succession, 2018–2023 Also mentioned in this episode: BFI partners with Diversity in Cannes to celebrate Black women filmmakers during the Cannes Film Festival: https://www.bfi.org.uk/news/bfi-diversity-cannes-black-women-filmmakers The Palm Dog Awards: https://www.palmdog.com/ Become a patron of Girls On Film on Patreon here: www.patreon.com/girlsonfilmpodcast Follow us on socials: www.instagram.com/girlsonfilm_podcast/ www.facebook.com/girlsonfilmpodcast www.twitter.com/GirlsOnFilm_Pod www.twitter.com/annasmithjourno Watch Girls On Film on the BFI's YouTube channel: www.youtube.com/playlist?list=PLX…L89QKZsN5Tgr3vn7z Girls On Film is an HLA production. Host: Anna Smith Executive Producer: Hedda Archbold Producer: Lydia Scott Audio Producer: Benjamin Cook Assistant Producer: Eleanor Hardy Principal Partners: Vanessa Smith and Peter Brewer House band: MX Tyrants Thank you also to our Patreon Supporters and to Campari Lounge.
Cannes 2023 : stars, paillettes… et poussière sous le tapis ? Cette 76e édition du festival de cannes laisse une place un peu plus grande aux femmes et à la diversité. 33% des réalisateurs présents au festival sont des femmes. On retrouve aussi plus de films de cinéastes africains. Johnny Depp est de retour. Celui-ci avait été accusé de violences conjugales aux Etats-Unis. Le procès avait duré plusieurs semaines. L'acteur jouant le rôle de Louis XV dans « Jeanne du Barry », le film d'ouverture du festival, y a fait une grande impression. « au fond ce qui m'importe au delà de ça, c'est de voir que dans le cinéma il y a des films qui nous aident à changer de regard sur ces sujets » explique la Ministre de la Culture. Le film de Valérie Donzelli sur les relations toxiques est « passionnant » pour comprendre et changer les mentalités sur ces sujets. La réalisatrice française, Catherine Corsini, a fait polémique sur son film qui a été maintenu en compétition malgré de lourds soupçons sur le tournage. Cela concernait des gestes déplacés de deux membres de l'équipe commis sur des jeunes comédiennes. Le CNC a donc privé le film de son aide. La Ministre de la Culture reste inquiète et souhaite lutter efficacement contre les violences et le harcèlement. Tous les secteurs de la culture ont accès à une prévention des violences avec un référent harcèlement. Un témoignage a été fait contre Gérard Depardieu. Une comédienne explique comment elle-ci a été violée. « Il y a un problème d'écoute de la parole des femmes » défend Rima Abdul-Malak. La majorité des victimes n'ont pas porté plainte, la justice devra se prononcer. Depuis sa montée des marches, Anna Biolay est victime de cyber-harcèlement. Les réseaux sociaux sont devenus « une jungle de grandes violences. Aujourd'hui, avec certaines réformes, il existe des actions pour responsabiliser les plateformes par rapport à ce qu'il se passe. La Ministre de la Culture a présenté un plan à 350 millions d'euros pour aider le cinéma en salle. Ce plan consistera à doubler les surfaces de tournage pour les studios. En France, il y a un manque d'infrastructures de studios afin de tourner des films et de séries. Marseille, la 2e ville la plus filmée de France, aucune infrastructure n'existe pour cela. 11 studios de tournages seront soutenus par ce plan. La femme politique souhaite doubler les capacités de formation dans le secteur du cinéma et audio-visuel. Ces secteurs recrutent mais sont très souvent en tension. Cela permettrait de passer de 5000 à 10 000 personnes formées pour créer de l'emploi et renouveler les talents. Cette échéance est prévue pour 2030. Le Sénat a examiné un projet de loi destiné à faciliter la restitution des biens culturels spoliés aux juifs par l'Allemagne nazie. Ces biens sont estimés à environ 100 000 oeuvres et objets d'arts, plus 5 millions de livres. Aujourd'hui, ces oeuvres sont protégées par le principe d'inaliénabilité. Pour les sortir des collections, une loi est nécessaire. En parallèle, développer les formations et recherches de provenances permettra de mieux détecter l'origine de ces biens.
Catherine Corsini már számos filmmel (Az új Éva, Lehetetlen szerelem, Intenzív találkozások) bizonyította, hogy ott a helye a legnagyobb kortárs francia rendezők között. Új filmjének, a Le retournak a bemutatóját viszont elhomályosították a film szexjeleneteihez kapcsolódó visszaélések hírei. Ez azért is nagy kár, mert nem csak a szexjelenetek, de maga a film is kiváló és úgy képes szórakoztató és pikáns maradni, hogy közben a történetből adódó társadalmi feszültségeket is hitelesen dolgozza fel. Olyan mintha A fehér lótusz című HBO-sorozat legújabb, Korzikán játszódó etapja lenne. Apropó kiváló szexjelenetek. Az idei fesztiválon egyetlen filmre sem reagált olyan lelkesedéssel a közönség, mint a kanadai színésznőből lett rendező, Moina Chokri frenetikus romantikus komédiájára, a The Nature of Love-ra (A szerelem természete). A film főhőse a tíz éve szexmentes házasságban hervadozó negyvenes egyetemi tanárnő (Magalie Lépine-Blondeau, aki pont úgy néz ki, mint Sydney Sweeney fog 15 év múlva), aki megismerkedik egy ezermesterrel, és olyan erős köztük a vonzalom, hogy az ágyig el sem jutnak, hanem a padlón zavarják le az utóbbi jó pár év legérzékibb filmes szeretkezését. Harmadik mai nagy kedvencünk a mexikói Lost In the Night, amely kíméletlenül brutális, de a kartell-leszámolások közé ravaszul beépíti a tinédzserek influenszer-kultúrájának kritikáját is. A főszereplők között felfigyeltünk a gyönyörű Ester Expósitóra, aki az Elit című spanyol Netflix-sorozat után dobbantott a cannes-i hivatalos programba. A tegnapi Almodóvar-filmben szintén egy Elit-diák, Manu Rios tűnt fel, a The Sweet Eastben pedig az Eufória férfi főszereplőjét, Jacob Elordit láthattuk. A The Sweet East egyébként a kevés idei amerikai film egyike a mellékszekciókban és nagy elvárások után alaposan megosztotta tudósítóinkat. De ahogy halad előre a fesztivál, egyre szaporodnak a mellélövések is, mesélünk például egy három és fél órás kínai textiliparosokról szóló dokumentumfilmről (Youth - Spring) ami aktualitása és művészi értékei ellenére sem képes fenntartani a figyelmet. Hasonló kuriózum az Un prince, amelyben agrártermelő bácsikák gruppenszexelnek egymással. Egy igazi, csak Cannes-ban megtapasztalható élmény. Filmek, amiket csütörtökön néztünk: Le retour (Catherine Corsini) The Nature of Love (Monia Chokri) Lost in the Night (Amat Escalante) The Sweet East (Sean Price Williams) Youth - Spring (Wang Bing) Un prince (Pierre Creton) Jó szórakozást hozzá, és ha tetszik az adás, kérlek támogasd a Filmklub podcastot a Patreonon, ahol beállíthatod, hogy havonta hány dollárt szeretnél erre szánni. Nagyon köszi előre is! A borítóképet Varga Emma rajzolta.
O Festival de Cannes abriu nesta semana sob uma forte polêmica: a vinda de Johnny Depp, que voltou ao tapete vermelho após um controverso julgamento por difamação de sua ex-esposa. Considerado vaguardista e intelectual, o evento pena para se encaixar na era pós-Me Too: apenas sete diretoras concorrem ao principal prêmio. Na semana de abertura do Festival de Cannes, a imprensa francesa destaca um recorde: a seleção de sete mulheres do total de 21 concorrentes à Palma de Ouro, a principal premiação do evento. O número está ainda muito aquém das expectativas da era pós-Me Too, em que mulheres denunciam injustiças e exigem sua presença em espaços de poder. Segundo o coletivo 50/50, que milita pela paridade no cinema francês, desde a primeira edição do Festival de Cannes, em 1946, até 2018, entre os 1.727 filmes em competição, 82 foram dirigidos por mulheres. Entre essas obras, apenas 5% são longas-metragens. Outros dados relacionados ao evento mostram o quanto o cinema francês ainda é marcado por um sistema desigual. Em 76 anos de evento, apenas duas mulheres receberam a Palma de Ouro: Jane Campion, com o filme “O Piano”, em 1993, e Julia Ducournau, em 2021, com o longa “Titane”. A alemã Iris Knobloch, selecionada em 2022 para os próximos três anos, é a única mulher a presidir até hoje o festival.Agressores no tapete vermelhoA escolha do festival de abrir sua 76a edição com o longa “Jeanne du Barry”, da cineasta e atriz francesa Maïwenn, foi alvo de uma forte polêmica. Com a decisão, os organizadores desenrolaram o tapete vermelho a Johnny Depp, um dos personagens do filme, acusado de violências e difamação de sua ex-esposa, a atriz americana Amber Heard. A diretora do longa também não escapa das críticas. Maïwenn está sendo processada por ter agredido, em fevereiro, o jornalista Edwy Plenel, confundador e presidente do site Mediapart, em um restaurante de Paris. O motivo da agressão teria sido uma matéria publicada pelo veículo sobre acusações de estupros contra o diretor Luc Besson, ex-marido de Maïwenn. Na quarta-feira (17), um coletivo de artistas publicou um manifesto no jornal Libération, criticando a decisão do Festival de Cannes de “apoiar agressores”. Segundo os 128 signatários, as escolhas dos organizadores do evento demonstram que as violências no setor cinematográfico "podem ocorrer sob total impunidade".Um dos primeiros filmes a entrar em competição, “Le Retour” (O Retorno), da cineasta francesa Catherine Corsini, também suscitou divergências. A diretora é acusada de assédio moral, o que ela nega que tenha ocorrido.Além disso, o longa traz uma cena de sexo entre dois personagens adolescentes, interpretados por menores de idade, que não foi declarada às autoridades, como manda o protocolo. O incidente levou Centro Nacional de Cinema da França a cancelar a verba pública destinada ao filme. Fim da carreira cinematográfica de Adèle Haenel A poucos dias da abertura da 76a edição do festival, a atriz francesa Adèle Haenel, um dos grandes talentos da nova geração de artistas da França, causou surpresa ao anunciar o abandono de sua carreira no cinema devido à “indulgência generalizada” do setor com agressores sexuais. Em uma carta enviada à revista Télérama, a artista de 34 anos critica a maneira como essa indústria “colabora com a ordem mortífera ecocida racista do mundo”.Cannes não escapou da revolta da atriz que afirma que seus organizadores são complacentes com crimes que acontecem no cinema francês. Haenel também denuncia todos os que “se unem para salvar os Depardieu, Polanski, Boutonnat”, personalidades do setor envolvidas em escândalos sexuais.A atriz foi uma das principais vozes do movimento #MeToo na França. Em 2019, ela tornou públicas as agressões sexuais das quais foi vítima por parte do diretor Christophe Ruggia, com quem trabalhou quando era adolescente. Um ano depois, ela protestou durante a cerimônia do César, que premiou o diretor franco-polonês Roman Polanski. Longe das telonas, Haenel afirma que se dedicará a projetos no teatro.
Pendant les 8 prochains jours, Popcorn sera en direct du festival de Cannes, pour découvrir, en avant-première avec vous, la sélection de cette édition 2023. 1 épisode par jour, toujours plus de chroniques, et toujours plus d'amour du cinéma ! Aujourd'hui, Julien et Pauline nous parlent de Monster (Hirokazu Kore-eda), Le retour (Catherine Corsini), Jeunesse (Bing Wang). Présenté par : Lena
Hirokazu Koreeda, Catherine Corsini und Wang Bing blicken auf die Jugend: Die ersten drei Filme sind im Wettbewerb von Cannes gelaufen – einer von ihnen war bereits im Vorfeld kontrovers diskutiert worden.
durée : 00:03:48 - Le journal du festival - Entrée en lice aujourd'hui de la première Française dans la compétition, après une soirée riche en émotion.
On y est, le grand rituel annuel du cinéma mondial démarre ce soir. Cannes, c'est reparti comme en 40. Quoique, vu la singularité de cette édition, il faudra peut-être revoir la chronologie de cette expression, pour un « c'est reparti comme en 68 », année restée dans les annales comme celle où le festival s'est arrêté en plein envol, rattrapée par les fameux évènements de mai. L'un des invités les plus marquants du cru 2023 risquant bien d'être le réel. Il s'invite rarement dans un festival qui n'aime d'ailleurs pas qu'il lui vole la vedette. La dernière fois, c'était en 2011 avec l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn, improbable parasite des festivités, qui éclipsa les sunlights usuellement braqués sur le fameux tapis rouge. Si ça arrive cette année, on sera sans doute moins surpris, le climat social étant plus que tendu depuis quelques mois. D'ailleurs, pour éviter que l'hymne usuel du festival, extrait du Carnaval des animaux de Saint-Saëns, ne devienne la farandole des casseroles, les autorités ont fait le nécessaire en interdisant au préalable tout rassemblement dans un périmètre bunkerisant la Croisette. Ça sera sans doute un peu problématique pour un festival hypermédiatisé qui devra peut-être se passer d'images de populace rassemblée devant la montée des marches. Mais ça fera l'affaire des vendeurs ambulants de parapluie (puisqu'en plus d'une météo sociale orageuse, on annonce de la pluie pendant une bonne partie des agapes) qui se mettront à vendre des jumelles. De quoi nourrir le paradoxe de Cannes, festival ultra-immersif, mais qu'il faut toujours regarder à distance pour mieux le comprendre.Du coup, qui va décrocher la palme cette année, les films ou les manifs ?Difficile à dire pour le moment, les films vont se dévoiler au jour le jour. Cela dit s'il faudra attendre le 27 au soir pour le palmarès, une certaine vue d'ensemble s'annonce : la compétition semble plus aventureuse que d'habitude en faisant un peu plus de place à des réalisateurs n'ayant jamais eu ses honneurs ou en n'ayant pas peur des embrouilles avec la génération #MeToo en accueillant plus de films signés par des réalisatrices, fortes en gueule, mais pas forcément en phase avec le néoféminisme, de Catherine Corsini à Catherine Breillat en passant par Kaouther Ben Hania ou Maïwenn qui ouvrira le bal ce soir avec son Jeanne du Barry starring le désormais controversé Johnny Depp. Du côté des sections parallèles, la Quinzaine des réalisateurs, désormais reliftée en plus inclusive Quinzaine des cinéastes, se targue de renouer avec son esprit originel de découvreur/agitateur de talents passés jusque-là sous le radar cannois, au risque potentiel d'une sélection trop arty. Elle taillera pour autant peut-être des croupières à une Semaine de la critique toujours focalisée sur les premiers et seconds films, mais visiblement pour privilégier cette fois-ci les œuvre à sujet et non le renouveau ou l'inventivité formelle. De quoi conforter la montée en puissance ces dernières années de l'ACID et ses films indépendants ? On en reparle dès demain, avec une prise de température tous les soirs, ou presque, à 18 h, mais clairement cette année, dans les salles comme les rues, Cannes sent la bagarre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au programme cette semaine !
Esta semana hemos decidido que queríamos hablar de buen cine, y por eso aprovechando que tenemos anunciados los directores que competirán en la próxima edición del festival de Cannes hemos decidido escoger a 3 de ellos para acercarnos más a sus filmografías Vamos a arrancar en con la figura de un director inglés: Ken LOACH y su visión de la guerra civil española en “Tierra y Libertad” de 1995, en nuestro repaso nos acercamos a la figura de Hirozaku Koreeda con su obra de 1998 titulada Wandafuru raifu, o en su versión internacional “After Life” y terminamos el repaso de vuelta en Estados Unidos con la película ya considerada de culto de Todd Haynes titulada “Velvet Goldmine” Todo ello, como siempre, sin spoilers. La septuagésimo sexta edición del festival internacional de Cannes se celebrará del 16 al 27 de Mayo en la ciudad francesa. Pero ya se han dado a conocer los nombres que conformarán las distintas secciones. Centrándonos en la sección oficial, que abrirá “Jeanne Du Barry” de la directora y actriz francesa Maiwenn, para el que no la ubique, es la directora de Polisse, ADN y Mi amor. Con Polisse y Mi amor ya estuvo en Cannes, la primera ganó el premio del jurado en 2011 y la segunda el premio a la mejor actriz para Emmanuelle Bercot. Vamos con las mujeres que competirán por la palma de Oro: Jessica HAUSNER, una larga conocida del festival presenta Club Hero tras haber competido tres veces en la sección paralela “Un Certain Regard” y otra en la oficial, en 2019 con Little Joe. Su obra más famosa quizás, Lourdes, compitió en Venecia. Justine Trie nos trae Anatomía de una caída tras haber competido en 2019 con el reflejo de Sibyl Catherine BREILLAT luchará por la palma con L’ete dernier tras haber competido en 2007 con Una vieja amante. También francesa es Catherine CORSINI que con Le reotur, protagonizada por la gran Virgine Ledoyen, regresa a Cannes tras competir con La Repetition en 2001 y La Fracture en 2021 por la que ganó la palma Queer por defender los valores LGBTQ+ Alice ROHRWACHER directora italiana nominada a los pasados Oscar por el cortometraje Le Pupille y muy famosa por Lazzaro Feliz con la que ganó a mejor guión en Cannes también ganó el premio del jurado con Le Maraville y llega ahora con La Chimera, una cinta protagonizada por Issabella Rosellini y Josh O’Connor La tunecina Kaouther BEN HANIA con Les filles D’Olfa compitió hace años en un certain regard con Atala Kay Ifrit pero llega ahora con mayores laureles tras su celebrada “El hombre que vendió su piel" Entre los nombres también hay espacio para una debutante Ramata-Toulaye SY, que tras un corto celebrado nos trae Banel e Adama. Esas son ellas, respecto a los hombres hay varios grandes pesos pesados, como Jonathan Glazer que aterriza por primera vez en La Croisette con The Zone of Interest 10 años después de su ya convertida en película de culto Under the skin. El mítico finlandés Aki Kaurismaki nos trae su nueva película Kuolleet lehdet tras haber pasado en otras cuatro ocasiones por la sección oficial. Kaurismäki es uno de los grandes nombres del cine por sus películas El Havre o “Un hombre sin pasado”, por la que llegó a estar nominado al Oscar. Sigamos con grandes nombres con el americano Wes Anderson, 7 nominaciones a los premios Oscar para este genio del posmodernismo cinematográfico- él ya sabe lo que es ganar en Berlin y ya sabe lo que es ganar en Venecia, con estos credenciales espera que a la tercera sea la vencida y levantar la palma de oro en su tercer intento tras Moonrise Kingdom y The French Dispatch. El aleman Win Wenders también competirá con Perfect Days en su décimo paseo por la sección oficial tras haber ganado la palma de oro por Paris, Texas en 1984, a mejor director por El cielo sobre Berlin y el premio del jurado por la secuela “Tan lejos tan cerca" Otro de los grandes nombres es el del italiano Nanni Moretti que ya sabe lo que es ganar con la habitación del hijo en 2001 vuelve por novena vez con el sol del futuro El turco Nuri Bilge Ceylam, que no sabe hacer películas cortas, es uno de los viejos conocidos. Palma de oro al mejor cortometraje por Koza, Gran Premio del jurado por Uzak en 2002, premio Fipresci por Los climas en 2006, mejor director en 2008 por tres monos, Gran Premio del jurado en 2011 por Erase una vez en Anatolia y palma de oro en 2014 por Winter Sleep. También regresó en 2018 con el real salvaje y ahora lo hace con About dry glasses De Turquía a Vietnam con TRAN ANH Hùng director de Tokio Blues y El olor de la papaya verde. Ahora vuelve con La pasión de Dodin Bouffant por primera vez en sección oficial tras haber pasado por secciones paralelas. Marco Bellocchio es otro de los grandes conocidos del festival desde que compitiese en 1980 con Salto al vacío. Desde entonces ha competido en 6 ocasiones y ha ganado una palma honorífica. Ahora lo hace con Rapito. Jean-Stéphane Sauvaire compite con Black Files tras competir en la sección paralela en 2008 y ganar el Regard Hope Award por Johny Mad Dog. Y compite junto con El chino Bin Wang famoso por The ditch compite con Jeunesse, el brasileño Karim AÏNOUZ con Firebrand. Fuera de competición los nuevos trabajos de Kim Jee-woon, Frederic Tellier, Martin Scorsese, la nueva cinta de Indiana Jones dirigida por James Mangold, la nueva serie de Sam Levinson tras euphoria titulada The Idol y la nueva cinta de Pixar titulada “Elemental” a cargo de Peter Sohn La representación española se queda con la esperada nueva película de Victor Erice titulada cerrar los ojos, que lo hará en la sección Cannes Premiere y un visionado especial del cortometraje de Almodovar con Pedro Pascal y Ethan Hawke el esperado Strange way of Life Y luego tenemos nuestros tres directores escogidos en competición que vamos a desgranar poco a poco. TIERRA Y LIBERTAD David Carr es un joven comunista inglés en paro. Tras acudir a un mitin decide que es hora de actuar y deja Liverpool para alistarse en la guerra civil española dentro del bando republicano. Allí lucharán por la libertad, pero pronto se darán cuenta que dentro del mismo bando cada uno tiene sus propios intereses. Ken Loach dirige esta cinta protagonizada por Ian Hart pero con Iciar bollaín y Rosana PAstor por el lado español en una película que compitió en Cannes en 1995 consiguiendo el premio Fipresci y el del jurado Ecuménico en una edición donde competía Historias del Kronen, Kids, El Odio o Ed Wood y que ganó Underground de Emir Kusturica. La cinta ganó el Cesar a película extranjera, 8 premiso del cine europeo incluyendo mejor película y el Goya a Rosana Pastor como mejor actriz revelación. AFTER LIFE En After Life el purgatorio es un lugar extraño, la gente al morir debe habitar un lugar abandonado y con la ayuda de unos guías examinar sus recuerdos con el propósito de buscar el momento más feliz de su existencia. Ese recuerdo será recreado en una película y será el único que se lleven con ellos al resto de la eternidad olvidando todo lo demás. El japonés Hirozaku Koreeda escribe y dirige esta cinta que ganó el premio Fipresci en San Sebastian antes de competir en 6 ocasiones, este año será la séptima, por la palma de Oro que consiguió en 2018 con Shoplifters. Rocío te llevarás tú esta película contigo a la eternidad. VELVET GOLDMINE Nos situamos en Londres durante los años 70. Brian Slade decide romper con todo lo anterior y el movimiento hippie para crear todo un concepto: El Glam Rock. Años después el periodista británico Arthur Stuart investiga la carrera de la superestrella, entrevistando a los principales agentes en su historia para averiguar dónde se encuentra ahora y la influencia que cada uno tuvieron en ella. Todd HAynes compitió en Cannes en 1998 con esta cinta, que ganó un reconocimiento por su contribución artística aunque cedió la palma de oro al griego Theodorus Angelopoulous con “La Eternidad y un día” en una edición en la que curiosamente Ken Loach competía con “Mi nombre es Joe”, Roberto Benigni con “La vida es bella” y Terry Gillian con “Miedo y asco en Las Vegas”.
Paris, 11e arrondissement. On passe une petite place, on longe les cafés. Première à droite, on y est. Niels Schneider nous reçoit, à l'occasion de la sortie en salle du film Apaches de Romain Quirot, dans l'appartement qu'il partage avec Virginie Efira. Un espace qui lui ressemble, « avec de grandes plantes et des lampes chaudes ».L'acteur né à Meudon (Hauts-de-Seine) en 1987 évoque son enfance à Montréal au Canada auprès d'un père danseur qui a fondé une école de comédiens au Québec et d'une mère mannequin puis mère au foyer de cinq enfants ; sa passion pour les sports extrêmes (snowboard, skate, motocross) ; sa fascination pour Kurt Cobain et les films de Larry Clark, Gus Van Sant ou Catherine Hardwicke ; son engagement comme comédien après le décès dans un accident de son frère aîné qui appartenait à une troupe ; ses rencontres déterminantes avec Xavier Dolan, Arthur Harari et Catherine Corsini ; l'enfermement des acteurs dans certains types de rôle ; son amour pour Guillaume Depardieu, Adam Sandler, Jean-Louis Trintignant ; et son goût pour Glenn Gould, Nina Simone, Leonard Cohen, la pop italienne sirupeuse ou le rock anglais.Il revient aussi sur son admiration pour le cinéma de Woody Allen, avec qui il vient tout juste de tourner : « Xavier Dolan m'a fait découvrir Maris et femmes. On le regardait en boucle avec Monia Chokri avant le tournage des Amours imaginaires. Je suis devenu fan de son cinéma. Même ses films que je n'ai pas aimés la première fois, comme Minuit à Paris, en les revoyant, il y a toujours une profondeur, une intelligence, une légèreté. »Depuis quatre saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Imène BenlachtarRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour l'instant toujours publique et (partiellement) gratuite, l'Université est un lieu de construction de savoirs et d'existences qui n'échappe pourtant pas aux travers de la société. Racisme, sexisme, harcèlement sexuel, invisibilisation du travail des chercheuses… Mais si l'Université est un lieu où des violences sont subies, c'est aussi là où se construisent les luttes, et ce, depuis bien longtemps. Aujourd'hui, Clémentine et Kaoutar font un état des lieux de la situation universitaire actuelle et reviennent sur les luttes qui traverse cette institution. Références entendues dans l'épisode : “SOPK le syndrome qui met le cycle KO”, Causette n°115, p.68, 30 septembreMathieu Dejean, “Eric Fassin : “Le président de la République attise l'anti-intellectualisme”, Les Inrockuptibles, juin 2020. Mathilde Munos, “Marie Sonnette : "L'avenir de l'éducation, ce n'est pas seulement la recherche, c'est l'avenir tout court", France Inter, septembre 2020. Christophe Granger, La destruction de l'université française, Éditions La Fabrique, 2015. Le site du CLASCHES, collectif de lutte contre le harcèlement sexuel dans l'enseignement supérieur.Les invités de Médiapart, “Violences sexuelles: dans l'enseignement supérieur et la recherche aussi, #SupToo !”, décembre 2018. Camille Zimmermann, “De la toute puissance des prédateurs hauts placés”, Medium, septembre 2020. Azadeh Kian, Harcèlement sexuel dans l'enseignement supérieur, quand l'impunité et la pédagogie font mauvais ménage, Cahiers du CEDREF, 2014. Colette Guillaumin est une sociologue française et une militante antiraciste et féministe matérialiste. Margaret Rossiter est une historienne des sciences américaines à l'origine de l'effet Matilda. Cyrus North, “L'effet Matilda”, Philonomist (2018)Collectif LKJ, “Vos astérisques sont trop étroits pour nos vécus. À propos du racisme dans l'enseignement supérieur et la recherche en France, et de son déni”, avril 2020. “Racisme et Antisémitisme au cœur des universités de médecine, la Conférence des Doyens s'en saisit”, Communiqué de presse, février 2019. Amélie Nothomb, Pétronille, Albin Michel, 2014. L'Étudiante, film de Claude Pinoteau, 1988. La Belle saison, film de Catherine Corsini, 2015. Le Fond de l'air est rouge, film de Chris Marker, 1977. Dear white people film de Justin Simien, 2014. Le Brio, film d'Yvan Attal, 2017. Philip Roth, La Tache, Gallimard, 2002. Nabil Wakim, L'arabe pour tous. Pourquoi ma langue est taboue en France, Seuil, 202. Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes. Cet épisode est conçu par Clémentine Gallot et présenté avec Kaoutar Harchi. Mixage Laurie Galligani. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Prise de son, montage et coordination Ashley Tola. Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Hablamos en Gijón con Catherine Corsini, cuya película La fracture se estrenó en España el viernes pasado. Con Adrián Silvestre, que estrena Mi vacío y yo el 9 de septiembre. Y con Carlota Pereda, que estrena Cerdita el 14de octubre. Escuchar audio
MDR KULTUR-Filmkritiker Knut Elstermann stellt drei neue Filme vor: "In den besten Händen" von Catherine Corsini, "Die wundersame Welt des Louis Wain" mit Benedict Cumberbatch und die Wikinger-Geschichte "The Northman".
Alain Defremont chroniqueur cinématographique de l'UFAL vous présente plusieurs films. « Tout simplement noir » est un film réalisé par Jean-Pascal ZADI, sous forme d'une sorte d'autoportrait. Une comédie assez déjantée qui tord le cou au communautarisme. A voir absolument ! « Coexister » comédie très drôle de Fabrice EBOUE, où comment tenter de réconcilier les trois religions monothéistes. Très iconoclaste et franchement drôle ! « La fracture » réalisé par Catherine CORSINI nous plonge dans l'univers des services d'urgence d'un hôpital ! Très réaliste, très enlevé, d'un humour très grinçant !
Rendez-vous aujourd'hui avec la chef décoratrice et directrice artistique Anna Falguères. Anna Falguères débute en tant que chef décoratrice sur les courts métrages de John Shank, "Un veau pleurait la nuit", et "Les Mains Froides". Elle entame en 2006 une collaboration riche et fructueuse avec Joachim Lafosse, puisqu'elle oeuvre sur "Nue Propriété", "Elève Libre", "A perdre la raison", et récemment, sur "Les Intranquilles", sélectionné en Compétition à Cannes, et qui lui vaut une nomination aux Magritte du cinéma. Elle navigue entre Belgique et France, et travaille également pour ces cinéastes comme Katell Quillévéré, Hélier Cisterne, Catherine Corsini, Mia Hansen-Love ou Tonie Marshall. En 2019, elle signe la direction artistique de "Duelles" d'Olivier Masset-Depasse, le film aux 9 Magritte du Cinéma. La même année, elle co-réalise son premier film, "Pompéi", avec John Shank. Elle est à l'affiche de "Rien à foutre" qui vient de sortir, premier long métrage d'Emmanuel Marre et Julie Lecoustre, sélectionné en juillet dernier à la Semaine de la Critique. Elle revient pour Hors Cadre sur son parcours, ses premières amours cinématographiques, sa passion pour le cinéma, et la place qu'elle prend dans sa vie.
Proposte abbondanti e variegate nelle sale cinematografiche, con l'arrivo di "Flee", il potentissimo documentario animato diretto da Jonas Poher Rasmussen, che ha fatto il pieno di candidature ai principali premi internazionali. Ma apriamo con un film fortissimo in termini contenutistici, estetici ed espressivi che arriva dall'Iran e che ha vinto l'Orso d'Oro alla Berlinale 70."Il male non esiste" con Ehsan Mirhosseini e Kaveh Ahangar per la regia di Mohammad Rasoulof che qui affronta una serie di tabù e dà una grandissima prova di forza e di coraggio (anche personale). Ne vogliamo parlare con Giona Nazzaro, direttore artistico del Locarno Film Festival.Con il nostro Boris Sollazzo parliamo allora di "Flee" e di "Parigi, tutto in una notte" di Catherine Corsini, con Valeria Bruni Tedeschi e Marina Foïs. Massimiliano Bruno ci racconta "C'era una volta il crimine", terzo capitolo della sua saga nel quale torna a dirigere la banda di eroi scalcagnati e improbabili in viaggio nel tempo. È passato per la Mostra del Cinema di Venezia"La promessa", film di Thomas Kruithof, con Isabelle Huppert e Reda Kateb. Lo ha visto per noi Chiara Pizzimenti
Con uno speciale dedicato al cinema in rapporto all'Ucraina dalla "Corazzata Potemkin" ai film di Velentin Vasjanovyc. Interviste a Marco Simon Puccioni su "Il filo invisibile"; a Firouzeh Khosrovani su "Radiograph of a family"; Donatella Diamanti sceneggiatrice della serie tv "Vostro Onore" e Martina Schmiedt direttrice artistica del festival di cortometraggi Max3Min. Tra le uscite: "Parigi tutto in una notte" di Catherine Corsini; "Il male non esiste" di Mohammad Rasolouf; "C'era una volta il crimine" di Massimiliano Bruni; "The Alpinist- Uno spirito libero" di Peter Mortimer e Nick Rosen; "Flee" di Jonas Poher Rasmussen.
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Nathalie Richard, actrice devant la caméra et comédienne sur les planches depuis plus de 40 ans, habitant le cinéma français et d'ailleurs à travers plus de 60 films, ayant collaboré avec des cinéastes aussi différents que Jacques Rivette, Bertrand Mandico, Catherine Corsini et Mickael Haneke. Cette cinéphile enthousiaste et généreuse nous plonge dans un cinéma d'antan, entre le Zero de conduite de Vigo, le *Gertrud de Dreyer, ou encore les danses aériennes de Fred Astaire. Elle nous raconte l'enfance d'un cinéma qui l'habite toujours, tel des spectres, en faisant résonner ensemble des films comme **Le Colonel Chabert de René Le Hénaff avec le Memoria* d'A.Weerasethakul, et bien d'autres encore.Enfin, attachée aux voix du cinéma et à la pensée qui y est liée, elle nous parle des voix qui la guident dans son métier d'actrice autant que dans son plaisir de spectatrice - et qui ont marqué d'une manière ou d'une autre l'histoire du cinéma : d'Orson Wells à James Mason, en passant par Ingrid Bergman et Delphine Seyrig. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT – 5'26 Une voix : celles de James Mason, Orson Wells, Ingrid Bergman, Barbara Stanwyck… - 5'26 Deux répliques : “Je suis le colonel Chabert” (“Le colonel Chabert”, R Le Hénaff, 1943), “Nobody is perfect” (“Certains l'aiment chaud”, B Wilder, 1959) - 11'08 Un corps dansant : Fred Astaire - 15'14 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19'00 Le rapport de Nathalie à la pellicule et au numérique - 19'00 Un film à écouter : Zéro de conduite (Jean Vigo, 1933) - 24'24 III. MEMOIRE & SOMMEIL- 28'17 Un film donnant l'impression d'être dans un rêve : Gertrud (C.T Dreyer, 1964) - 28'17 Un film pour la nuit : Le dernier des hommes (F.W Murnau, 1924) - 34'39 CARTE BLANCHE - 36'09Mirage de la vie (D. Sirk, 1959) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44'22Des films captant “l'ère du temps” : Memoria (A. Weerasethakul, 2021), Melancholia (Lars von Trier, 2011), Salo (PP Pasolini, 1975), la filmographie de Wang Bing REFUGES - 54'21Les voix des actrices Brigitte Mira et Delphine Seyrig REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierMixage : Hugo CohenGraphisme : Lucie AlvadoCréation, animation, réalisation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Hoy, con un doble viaje cinematográfico. Documental y ficción. "Las clases", de Orencio Boix sobre el colegio público Ramiro Solans de Zaragoza, que dirige Rosa Llorente. Con una destacada presencia, en la película, de la radio: la emisora del colegio. Y la película francesa "La fracture" de Catherine Corsini, una noche en un hospital de París. Premio del Público a una apasionada reivindicación de lo público en la última edición del Festival Internacional de Cine de Gijón. Terminamos con "Homenaje a David Lynch", un poema de Chantal Maillard en la voz de Lorena Rodríguez. Escuchar audio
Notre critique du film "La Fracture" réalisé par Catherine Corsini avec Valeria Bruni Tedeschi, Marina Foïs et Pio Marmaï. Abonnez-vous à notre chaîne YOUTUBE : https://bit.ly/3nm7Oy9 --- Titre : La Fracture Sortie : 24 novembre 2021 De : Catherine Corsini Avec : Valeria Bruni Tedeschi, Marina Foïs et Pio Marmaï. Synopsis : Raf et Julie, un couple au bord de la rupture, se retrouvent dans un service d'Urgences proche de l'asphyxie le soir d'une manifestation parisienne des Gilets Jaunes. Leur rencontre avec Yann, un manifestant blessé et en colère, va faire voler en éclats les certitudes et les préjugés de chacun. À l'extérieur, la tension monte. L'hôpital, sous pression, doit fermer ses portes. Le personnel est débordé. La nuit va être longue… Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=7Ol2ebyaM2k #LaFracture #CINECAST #Podcast
Le metteur en scène Serge Denoncourt parle de la comédie musicale Annie, qu'il mettra en scène et qui est l'histoire d'une orpheline invitée à passer quelque temps chez un milliardaire; la réalisatrice Catherine Corsini présente son dernier film, La fracture, tourné dans les urgences parisiennes; le groupe d'origine acadienne Radio Radio donne des détails sur son dernier disque, À la carte; Ariane Cipriani raconte la vie de l'artiste peintre Marcelle Ferron; René Homier-Roy analyse le livre d'Anaïs Barbeau-Lavalette Femme forêt; Tanya Beaumont rend compte de l'exposition Lemoyne. Hors jeu que présente le Musée national des beaux-arts du Québec; Claudia Hébert fait le point sur la pièce Les sorcières de Salem, présentée au Théâtre Denise-Pelletier; et Catherine Perrin commente le documentaire Seuls, de Paul Tom, qui porte sur l'immigration.
"J'aimerais oser être encore plus libre sur tout."
durée : 00:54:10 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Critiques ou éloges de "Les éternels" de Chloé Zhao, "Les Olympiades" de Jacques Audiard, "La fracture" de Catherine Corsini, "The French Disptach" de Wes Anderson, "Lui" de Guillaume Canet, "Albatros" de Xavier Beauvois et "Las Ninas" de Pilar Palomero ? - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
Ce mercredi 3 novembre, l'équipe de The Cinéma Show avait la chance de rencontrer Catherine Corsini pour nous parler de son nouveau film, présenté à Cannes en juillet dernier : La Fracture. On débat aussi de 2 autres long métrages attendus : Last Night In Soho d'Edgar Wright et The French Dispatch** de Wes Anderson. Les inséparables News et Quiz sont au programme !! Équipe : Jonathan, Marie, Marine, Ibtissem avec Margot pour la première fois à l'animation !
Pour cette troisième saison, le Goût de M vous emmène à la découverte d'une nouvelle personnalité chaque vendredi. Un rendez-vous à retrouver gratuitement sur www.lemonde.fr et sur toutes les plateformes.----Paris, 5e. Un appartement situé au troisième étage. Valeria Bruni-Tedeschi nous reçoit chez elle, un espace qu'elle juge « silencieux, vaste et serein ». L'actrice à l'affiche de La Fracture, le nouveau film de Catherine Corsini, et de la série d'Arte H24, vingt-quatre heures dans la vie d'une femme évoque pour nous comment se sont formés ses goûts.Dans notre podcast, elle aborde le parfum de l'herbe coupé, la passion de sa famille pour l'art, ses lectures de Leopardi, Goethe ou Raphaël Haroche, L'Incompris de Luigi Comencini, le théâtre, Patrice Chéreau, ses rôles de folles bourgeoises et ceux de « Baby Doll », Gena Rowlands, son clown intérieur, le politiquement incorrect, Woody Allen, la gaiété et le confort de sa garde-robe, le baiser comme thermomètre de l'amour et l'essai de Thich Nhat Hanh, Prendre soin de l'enfant intérieur, selon elle, « plus fort » qu'un anxiolytique.Valeria Bruni-Tedeschi y révèle notamment qu'elle a déjà été quittée parce qu'on la trouvait mal habillée et son attachement profond à la détente et au politiquement incorrect : « Le rire, c'est l'oxygène pour moi. Quand il n'y a pas le rire, ça m'étouffe un peu. »Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans son dernier film, lauréat de la queer palm au dernier festival de Cannes, Catherine Corsini nous plonge dans un hôpital public parisien un soir d'émeute des gilets jaunes. Loin du discours politique, la caméra immersive de la réalisatrice nous plonge dans les histoires humaines qui peuplent la salle d'attente […]
Pop Corn en force cette semaine, avec un épisode marquant le retour de deux réalisateurs stars et la sortie de la Queer Palm 2021. - On commence par THE FRENCH DISPATCH, par le réalisateur acclamé Wes Anderson, et qui cristallise la critique. - On continue avec LA FRACTURE, le film social choc de Catherine Corsini, qui a fait beaucoup de bruit au Festival de Cannes - On termine par LAST NIGHT IN SOHO, qui marque le retour d'Edgard Wright au manette d'un film d'angoisse attendu ! Enfin, nous laissons la parole à nos chroniqueurs pour leurs coups de cœur et coup de gueule. Présentation : Claire Chroniqueurs : Thais, Jeannot, Imène et Arthur
durée : 00:03:44 - Les Envies du week-end - par : Caroline Broué - Ce weekend, on vous emmène dans le Naples des XVIIe et XVIIIe siècles grâce à l'ensemble L'Arpeggiata, un double album dansant et langoureux à la fois, et au cinéma voir le film de Catherine Corsini sur l'hôpital et les fractures françaises.
Catherine Corsini présente son film "La Fracture" en compétition officielle au 74ème Festival de Cannes. She Cannes est un podcast qui porte la voix de celles et de ceux qui, par leur filmographie, leurs engagements, accélèrent le changement devant et derrière la caméra. Pour plus de parité, et d'inclusion. Présenté par Marie Labory. Avec le soutien de Google et d'Audiens. En partenariat avec le collectif 5050, CNC Talents et la Queerpalm. Pardi Productions. Tous droits réservés. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
1971 was a very turbulent time. As the babyboomer generation began to flex their muscles, different ways of life began to grind together like two stones rather than fit together like two puzzle pieces. But at least discussions happened, even if a bit tense. The 2015 French film, SUMMERTIME, takes a look at the time period through the lens of two young women trying to find themselves. When young lesbian Delphine (Izïa Higelin) leaves her family farm for a job in Paris, she meets a young women's lib activist named Carole (Cécile de France (HIGH TENSION, THE HEREAFTER)). When Delphine brings out Carole's sexuality, the two begin a torrid relationship that suddenly is interrupted when Delphine must return to her family farm due to a family illness. Being 1971, and the cultural shock between city and rural life, can their relationship last with so many obstacles? Halloween Boutique Psychotronic Reviews continues the theme for Pride Month with the second in a series of four lesbian arthouse films. The movie is written and directed by Catherine Corsini and also stars Noémie Lvovsky as Delphine's mother. Cinematographer Jeanne Lapoirie does fantastic work with the film's rural and farm set pieces. Your co-hosts take a look at the movie and give their thoughts.