Podcasts about hamdok

Trwa fuzja PKN Orlen i Lotosu. Komisja Europejska wyznaczyła warunki zaradcze mające zapobiec monopolowi na polskim rynku paliwowym. Wśród nich sprzedaż 417 stacji paliw Lotosu i 30% udziałów w gdańskiej rafinerii. Te ostatnie ma nabyć koncern Saudi Aramco otwierając tym samym polski rynek dla Arabii Saudyjskiej. Dlaczego Saudyjczycy zainteresowali się zakupem polskiej rafinerii? Jakie inwestycje idą za tymi działaniami? Czy może to sprawić, że polska nie będzie w kwestii energetycznej tak uzależniona od Rosji jak dotychczas? O tym rozmawiamy z Witoldem Śmidowskim, byłym ambasadorem Polski w Rijadzie. W Sudanie od października trwa przewrót wojskowy, który rozpoczął się od obalenia rządu premiera Abdalli Hamdoka przez generała Abdela Fattaha Al-Burhana. Hamdok od tego momentu zdążył wrócić na stanowisko szefa rządu po to, by z początkiem stycznia złożyć swoją rezygnację. A w tle tych wydarzeń obserwujemy gwałtowne demonstracje brutalnie tłumione przez wojsko. Te wydarzenia jednak swoje korzenie mają już w 2019 roku. Dlaczego sudańskie wojsko postanowili przejąć władzę? Czy to koniec dążeń Sudanu do demokratycznych reform? Jak te wydarzenia wpłyną na relacje kraju z zagranicznymi partnerami, od których w dużej mierze uzależniona jest sudańska gospodarka? Pytamy o to dr Jędrzeja Czerepa z Polskiego Instytutu Spraw Międzynarodowych. W Afganistanie talibowie aresztowali profesora Faizullaha Dżalala za ostre słowa krytyki skierowane przeciwko ich władzy. Wstawiła się za nim nie tylko najbliższa rodzina, ale także Afgańczycy i organizacje międzynarodowe takie jak Amnesty International. I to skutecznie, bo profesor został z aresztu zwolniony. Talibowie wciąż starają się o międzynarodowe uznanie ich reżimu, między innymi, poprzez rozmowy, które niedawno odbyła ich delegacja z władzami Iranu, a także z afgańską opozycją. Czy wszelkie głosy krytyki wobec talibów będą teraz wiązać się z aresztowaniami? Dlaczego Teheran spotyka się z talibami, choć jednocześnie zapowiada, że nie uznaje ich rządów w Kabulu. Co oznaczają rozmowy talibskiej delegacji z Ahmadem Masudem? Wyjaśnia nam to Marcin Krzyżanowski, ekspert ds. Bliskiego wschodu i były polski konsul w Kabulu.

On Sunday, Abdalla Hamdok resigned as Sudan's Prime Minister, leaving the army in full control. Pro-democracy protesters took to the streets after the army staged a coup in October. Demonstrations continued when Hamdok returned to his position in a deal with the army. And there was more violence as he left power this week. Many are calling for new kind of politics in the country. So, how are they organised? And can they be successful? #AfricaDaily

Tunaangazia hatua ya kujizulu kwa Waziri Mkuu wa Sudan Abdalla Hamdok wiki hii. Kujiuzulu kwa Hamdok kumekuja muda mfupi baada ya kurejeshwa kwenye nafasi hiyo, baada ya kuafikiana na uongozi wa kijeshi chini ya Jenerali Abdel Fattah al-Burhan, aliyemwondoa madarakani mwezi Oktoba mwaka 2020.

Nouvelle journée de manifestation hier à Khartoum et dans plusieurs autres grandes villes du pays. Malgré la répression meurtrière, le fer de lance de la révolte contre les militaires depuis le putsch du 25 octobre dernier, l'Association des professionnels soudanais, avait appelé à de nouveaux rassemblements pour réclamer un pouvoir civil. D'après le quotidien Sudan Tribune, « les forces de sécurité ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule mais ont tiré aussi à balles réelles sur les manifestants, malgré les promesses du pouvoir militaire de mettre fin à l'usage excessif de la force. (…) Des blessés ont été signalés, mais la coalition des groupes médicaux pro-démocratie n'a pas encore publié de bilan. » « Les hommes en uniforme continuent de tirer sur les manifestants, déplore Le Monde Afrique. Depuis le coup d'Etat, on a compté 54 morts et des centaines de blessés. Désormais, les forces de sécurité empêchent aussi les ambulances de circuler pour secourir les victimes. » Pression accrue sur les militaires Malgré la répression, « cette mobilisation populaire, qui n'a pas faibli en deux mois, pourrait avoir raison du régime putschiste » : c'est ce qu'estime Le Point Afrique. « 'Les généraux ont été clairement mal conseillés, affirme une analyste interrogée par le site. Ils pensent qu'en redoublant d'efforts, ils peuvent écraser les manifestants. Mais plus ils les répriment, plus ces derniers renforcent leur détermination et le cycle se poursuit'. L'obstination du chef à la fois de l'armée et du Conseil souverain de transition, le général Abdel Fatah Al-Burhane, semble accélérer, dans le même temps, l'organisation de l'opposition. » Et finalement, constate encore Le Point Afrique, « le retrait dimanche du Premier ministre Abdallah Hamdok importe peu à la société civile, qui continue à la fois de manifester (donc) et de s'organiser pour obliger les militaires à se retirer. » Pour cette autre spécialiste du Soudan interrogée par Le Point Afrique, il sera « difficile, dans ce contexte, de nommer un autre civil pour remplacer le Premier ministre démissionnaire. Aucun candidat proposé par les militaires n'aura la légitimité populaire pour cette fonction. Par conséquent, la démission de Hamdok pourrait augmenter les chances d'accroître la pression sur les militaires pour qu'ils mènent de véritables négociations avec les différents groupes d'opposition dirigés par des civils. Elle pourrait également pousser la communauté internationale, en particulier l'Union africaine et les principaux donateurs, à s'engager davantage dans la recherche d'une solution politique à la crise politique soudanaise. » L'armée engluée dans un cercle vicieux ? « Quelle peut être la marge de manœuvre de la junte ? », s'interroge le quotidien Le Pays  au Burkina. « Céder ou ne pas céder face aux manifestations ? Céder, c'est quitter le pouvoir. Et vu le nombre de morts et de blessés déjà enregistrés, c'est prendre le risque de se retrouver dans la même situation qu'Omar El-Béchir, qui est actuellement confronté à la Justice. Ne pas céder, c'est prendre le risque de voir s'amplifier les manifestations avec leurs lots de morts et de blessés quasi quotidiens et à terme, aboutir toujours à la même situation qu'Omar El-Béchir. La junte est donc engluée dans un cercle vicieux et le Soudan avec. En dernière instance, tout déprendra de la détermination du peuple soudanais. » Que fait la communauté internationale ? En attendant, déplore WakatSéra , « chaque journée de fronde contre les généraux est ponctuée par des morts (…). Et ce, dans le plus grand silence, la junte ayant pris l'option lâche de couper internet, et donc les réseaux sociaux, et de faire taire les organes de presse. Les sanctions prises ou annoncées, ciblées ou non, de la communauté internationale - l'Union africaine, les Etats-Unis et l'Union européenne en tête -, n'ont comme effet sur les généraux que celui de l'eau qui coule sur le dos d'un canard. » Alors, s'exclame WakatSéra, « la communauté internationale a intérêt à agir avec plus de promptitude, et surtout d'efficacité, contre les +généraux tueurs+, afin que le peuple soudanais puisse récupérer sa révolution confisquée et jouir des fruits de la souveraineté pour laquelle elle se bat sans faiblir. Sinon, plus tard sera trop tard. »

Sudan, a country ravaged by repression and instability for a long time, is again in turmoil. Civilian Prime Minister Abdalla Hamdok announced his resignation in a televised address on January 2. Since 2019, Hamdok had been leading a transitional government in which power was shared between the military and the civilian leadership. But the military overthrew the government in a coup in October, and Hamdok was kept under house arrest. Following international pressure, the military made a deal with Hamdok, and on November 21, he returned as Prime Minister. And now, he is gone again, leaving the military fully in command of the levers of power. Why exactly did the military pull the plug on the joint civilian-military governance arrangement in October? Why did Hamdok make a deal with the military in November, only to quit a few weeks later in January? And what are the chances of Sudan making a successful transition to democracy? We explore all these questions with Stanly Johny, The Hindu's International Affairs Editor. Host: G. Sampath, Social Affairs Editor, The Hindu Guest: Stanly Johny, International Affairs Editor, The Hindu Edited by: Ranjani Srinivasan

Themen sind die politische Lage im Sudan nach dem angekündigten Rücktritt von Ministerpräsident Hamdok sowie die Entwicklung im Ukraine-Konflikt. Doch im Mittelpunkt steht die rasante Verbreitung der Omikron-Variante des Coronavirus. Diskutiert wird in Deutschland nun eine Verkürzung der Quarantäne.www.deutschlandfunk.de, PresseschauDirekter Link zur Audiodatei

Sudan's Prime Minister Abdalla Hamdok has resigned after another day of mass protests rocked the capital Khartoum. Thousands marched against a recent deal he had done to share power with the army, who staged a coup in October. Mr Hamdok's decision to quit leaves the army in full control. It is another blow to Sudan's fragile attempts at a transition to democratic rule after a popular uprising led to the overthrow of Sudan's long-term authoritarian President Omar al-Bashir in 2019. Mr Hamdok says the country was at a dangerous turning point that threatens its whole survival. He says he had tried his best to stop the country from sliding towards disaster", but that despite everything that has been done to reach a consensus it has not happened.

Sudan's Prime Minister Abdalla Hamdok has resigned after another day of mass protests rocked the capital Khartoum. Thousands marched against a recent deal he had done to share power with the army, who staged a coup in October. Mr Hamdok's decision to quit leaves the army in full control. It is another blow to Sudan's fragile attempts at a transition to democratic rule after a popular uprising led to the overthrow of Sudan's long-term authoritarian President Omar al-Bashir in 2019. Mr Hamdok says the country was at a dangerous turning point that threatens its whole survival. He says he had tried his best to stop the country from sliding towards disaster", but that despite everything that has been done to reach a consensus it has not happened.

Trainiere dein Hörverstehen mit den Nachrichten der Deutschen Welle von Montag – als Text und als verständlich gesprochene Audio-Datei.USA bereit zu "entschlossener" Reaktion US-Präsident Joe Biden hat der Ukraine für den Fall eines russischen Angriffs Unterstützung zugesichert. Das ist das Ergebnis eines Telefonats mit seinem ukrainischen Kollegen Wolodymyr Selenskyj. Nach Angaben des Weißen Hauses habe Biden dabei deutlich gemacht, dass die Vereinigten Staaten und ihre Verbündeten - so wörtlich "entschlossen antworten werden", falls Russland weiter in die Ukraine einmarschiere. Weitere diplomatische Bemühungen sollen zu einer Entspannung beitragen. Dazu ist ein Treffen von Vertretern der USA und Russlands am kommenden Wochenende in Genf geplant. Hongkonger "Citizen News" geben auf Erneut hat ein regierungskritisches Nachrichtenmedium in Hongkong seine Auflösung bekanntgegeben. Die Online-Publikation "Citizen News" teilte mit, ab Dienstag den Betrieb vollständig einzustellen. Begründet wurde der Schritt mit einem "sich verschlechternden Umfeld für die Medien", weswegen man die Sicherheit der Mitarbeiter nicht mehr gewährleisten könne. Erst Ende Dezember hatte das pro-demokratische Hongkonger Medium "Stand News" geschlossen, nachdem mehrere führende Mitarbeiter in der chinesischen Sonderverwaltungszone festgenommen wurden. Regierungschef wirft das Handtuch Im Krisenstaat Sudan ist Ministerpräsident Abdullah Hamdok zurückgetreten. Er habe sein Versprechen, eine politische Katastrophe in dem Land am Horn von Afrika zu verhindern, nicht einhalten können, sagte er zur Erklärung. Hamdok war Ende Oktober bei einem Militärputsch entmachtet und erst nach Druck aus dem In- und Ausland wieder ins Amt eingesetzt worden. In den vergangenen Wochen hatte es immer wieder Demonstrationen gegen die Beteiligung des Militärs an der Übergangsregierung gegeben. Festnahme nach Feuer in Parlament In Kapstadt befindet sich nach dem Brand im Parlamentsgebäude ein Verdächtiger in Gewahrsam. Laut südafrikanischer Polizei sei der 49-jährige Mann auf Videos von Überwachungskameras im Gebäude zu sehen. Er habe Dinge aus dem Parlament bei sich gehabt. Ob es sich um Brandstiftung handelt, ist aber noch unklar. Nach Angaben der Ermittler hatten Warnmelder und Sprinkleranlage offenbar nicht richtig funktioniert, wodurch sich die Flammen rasant ausbreiten konnten. Das historische Gebäude in Kapstadt ist durch das Feuer völlig zerstört worden, verletzt wurde aber niemand. Schulstart trotz Omikron Überschattet von Corona-Sorgen geht an diesem Montag in mehreren Bundesländern der Schulunterricht wieder los. Während das Ausmaß der Omikron-Welle in Deutschland noch unklar ist, kehren nach Ende der Weihnachtsferien zunächst in Mecklenburg-Vorpommern, Brandenburg, Berlin, Sachsen und Rheinland-Pfalz Schülerinnen und Schüler zurück in den Unterricht. Bundesgesundheitsminister Karl Lauterbach rief Kinder und Jugendliche nochmals zum Tragen von Masken auf. In den Schulen sei dies ein "absolutes Muss". Ausschreitungen bei Corona-Demo Rund 10.000 Menschen haben in Amsterdam bei einer verbotenen Demonstration gegen die Corona-Politik der niederländischen Regierung protestiert. Die Polizei löste die Kundgebung vor dem Rijksmuseum auf. Es kam dabei zu gewalttätigen Auseinandersetzungen. 30 Teilnehmer wurden festgenommen. Die Niederlande befinden sich wegen der hoch ansteckenden Omikron-Variante des Coronavirus in einem harten Lockdown, der noch bis mindestens Mitte Januar dauern soll. Emirates weiter sicherste Airline der Welt Das Hamburger Flugunfallbüro JACDEC hat eine neue Jahresbilanz vorgelegt. Demnach war auch 2021 die Golf-Airline Emirates die sicherste Fluggesellschaft der Welt. Auf Platz zwei unter den 25 größten Airlines kam die niederländische KLM, gefolgt von Jetblue Airways aus den USA. Die Deutsche Lufthansa landete auf Platz 17. Die JACDEC-Bewertung beruht auf der Unfallhistorie einer Airline in den vergangenen 30 Jahren und der länderspezifischen Umgebung, in der sie operiert. Angesichts der Corona-bedingt stark reduzierten Flugpläne hat die aktuelle Tabelle aber nur eine begrenzte Aussagekraft.

Following deadly pro-democracy rallies, Sudanese Prime Minister Abdalla Hamdok tendered his resignation, further deepening the country's political crisis. Hamdok became the prime minister by getting into a deal with the military to help transition the country towards democracy. But after six weeks into power, Hamdok admitted his failure to establish any basis for civilian rule. So, was this the reason that pushed him to resign? And can a democratic rule be established in Sudan, which as of now, is at the brink of a national disaster? Guests: Rabie Abdul Atti Obeid Former Senior Official with Sudan's National Congress Party Kholood Khair Insight Strategy Managing Partner Cameron Hudson Senior Fellow at Atlantic Council's Africa Center

Osius, Annawww.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9Direkter Link zur Audiodatei

Respinto dal movimento pro-democrazia, l'accordo tra Abdalla Hamdok e i militari golpisti raggiunto lo scorso 21 novembre è fallito ieri sera quando il premier sudanese ha rassegnato le dimissioni. La popolazione insiste affinché il potere passi subito a un governo completamente civile incaricato di guidare la transizione fino alle elezioni del 2023. Ma pochi credono che l'esercito agli ordini del generale Abdel Fattah Al Burhan rinunci al potere. Si teme una repressione feroce delle proteste popolari contro il colpo di stato. Domenica altri 3 manifestanti uccisi.

Sudan's Prime Minister Abdalla Hamdok has resigned after another day of mass protests rocked the capital Khartoum. Thousands marched against a recent deal he had done to share power with the army, who staged a coup in October. Mr Hamdok's decision to quit leaves the army in full control. It is another blow to Sudan's fragile attempts at a transition to democratic rule after a popular uprising led to the overthrow of Sudan's long-term authoritarian President Omar al-Bashir in 2019. Mr Hamdok says the country was at a dangerous turning point that threatens its whole survival. He says he had tried his best to stop the country from sliding towards disaster", but that despite everything that has been done to reach a consensus it has not happened.

Sudanese Interim Prime Minister Abdalla Hamdok was deposed in a military coup in October... only to be reinstated in November. The coup resulted in widespread protests, but the protests haven't stopped since Hamdok's return. Find out what the people of Sudan are protesting now and, of course, how we got to this point. --- Support this podcast: https://anchor.fm/global-thread/support

Morgan Artyukhina, writer and news editor at Sputnik News, joins us to talk about the news from Ethiopia, where the leader of the TPLF has announced a withdrawal of their forces from the northern states of Afar and Amhara, which marks a major pause of a year long war that saw them fail to violently take control of the country away from the Prime Minister Abiy Ahmed. We talk about whether this is a full retreat or whether they are only reorganizing for another offensive, the use of drones in this conflict, and whether we will see full resolution of the war. Niemat Ahmadi, President of the Darfur Women Action Group, tells us about the situation in Sudan on the third anniversary of the start of popular uprisings that ousted longtime leader Omar al-Bashir from power and continued against the transitional government. We talk about the actions that civilians can now take against the military, the truce with the civilian head of the transitional government Abdalla Hamdok, the role of women in the revolution, the work of the Sudanese diaspora, and the prospects for a full return to a civilian government. Donna Davis, political consultant, political organizer and co-founder of Black Lives Matter Tampa, talks to us about reports of a coordinated campaign by Spanish-language media in Florida to attack Vice President Kamala Harris, allegations that there is a GOP campaign behind it, and the valid criticism of Harris's performance.Dan Lazare, journalist and writer, joins us to talk about the more than a billion dollars worth of gold seized by the Bank of England owned by the government of Venezuela which could be used to alleviate poverty in the country and combat the coronavirus pandemic, and how sanctions enacted by rich countries in order to “promote democratic change” have disastrous effects on populations. We also talk about a report on civilian casualties by the New York Times, how an ex-ante approach on civilian risks could give pause to conducting disastrous wars, and the unfolding disaster in Afghanistan as its people face severe food shortages and the West remains steadfast in isolating the country.

*) UN: Scores of migrants drown in two shipwrecks off Libya More than 160 migrants and refugees have drowned in two separate shipwrecks off Libya over the past week. Safa Msehli, a spokesperson for the International Organisation for Migration, said, in one incident, at least 102 migrants were reported dead after their wooden boat capsized off Libya. At least eight others were rescued and returned to shore, she said. *) Sudan PM Hamdok intends to resign 'within hours' Sudan Prime Minister Abdalla Hamdok has told a group of national political and intellectual figures that he intends to resign in the coming hours. The group Hamdok spoke to called on him to stay in his position but he insisted he would leave, according to two sources close to the premier. Hamdok was reinstated on November 21 following a coup a month earlier that saw the military take power and end a transitional partnership with political parties. *) UN plans to pay 'nearly $6M' to Taliban for safe Afghanistan mission The United Nations has proposed to pay nearly $6 million for protection in Afghanistan to the Taliban-run Interior Ministry, whose chief is under UN and US sanctions and wanted by the FBI. The proposed funds would be paid next year mostly to subsidise the monthly wages of Taliban soldiers guarding UN facilities. It will also provide them with a monthly food allowance under an expansion of an accord with the former US-backed Afghan government, a UN document said. ​​​*) Turkiye minister reassures holders of lira assets Turkiye's lira is moving towards a level where it will find its true balance, Turkiye's Finance Minister Nureddin Nebati said. Nebati's comments came hours after his ministry announced a new measure in which Turkiye will compensate lira depositors for foreign currency fluctuations. The lira stood at 12.25 to the US dollar at 0539 GMT, from a close of 12.4 on Tuesday when it rose 6 percent in a roller-coaster session. And finally … *) Madagascar minister 'swims for 12 hours' after sea crash A Madagascan minister was one of two survivors to have swum some 12 hours to shore after their helicopter crashed off the island's northeastern coast. Serge Gelle, the country's secretary of state for police, and a fellow policeman reached land in the seaside town of Mahambo separately, apparently, after ejecting themselves from the aircraft. A search was still ongoing for two other passengers after the crash, whose cause was not immediately clear, police and port authorities said.

Intervista a Lorenzo Scategni, volontario italiano appena rientrato da Khartoum. "Contestato il premier Hamdok perché ha fatto un compromesso con l'esercito". Intanto nel Darfur non cessano gli scontri tribali: almeno 248 i morti.

Sudan's reinstated Prime Minister Abdalla Hamdok has replaced the country's police chiefs, in a move that came after more than 40 people were killed in a crackdown on pro-democracy protests following a military coup last month. Hamdok says he had sacked the director-general of the police, Khaled Mahdi Ibrahim al-Emam, and his deputy, Ali Ibrahim. He appointed Anan Hamed Mohamed Omar with Abdelrahman Nasreddine Abdallah as his deputy. Doctors have accused security forces of targeting protesters in the head, neck and torso with live ammunition, as well as with rubber-coated bullets and tear gas canisters. The police have denied reports they opened fire using live bullets.

Sudan's reinstated Prime Minister Abdalla Hamdok has replaced the country's police chiefs, in a move that came after more than 40 people were killed in a crackdown on pro-democracy protests following a military coup last month. Hamdok says he had sacked the director-general of the police, Khaled Mahdi Ibrahim al-Emam, and his deputy, Ali Ibrahim. He appointed Anan Hamed Mohamed Omar with Abdelrahman Nasreddine Abdallah as his deputy. Doctors have accused security forces of targeting protesters in the head, neck and torso with live ammunition, as well as with rubber-coated bullets and tear gas canisters. The police have denied reports they opened fire using live bullets.

Sudan's reinstated Prime Minister Abdalla Hamdok has replaced the country's police chiefs, in a move that came after more than 40 people were killed in a crackdown on pro-democracy protests following a military coup last month. Hamdok says he had sacked the director-general of the police, Khaled Mahdi Ibrahim al-Emam, and his deputy, Ali Ibrahim. He appointed Anan Hamed Mohamed Omar with Abdelrahman Nasreddine Abdallah as his deputy. Doctors have accused security forces of targeting protesters in the head, neck and torso with live ammunition, as well as with rubber-coated bullets and tear gas canisters. The police have denied reports they opened fire using live bullets.

In questo numero:- In Sudan non si fermano le proteste della popolazione contro il golpe militare e il successivo accordo del 21 novembre tra il premier Hamdok, tornato in carica dopo un mese trascorso ai domiciliari, e il generale golpista al-Burhan. Ascolta l'analisi di Bruna Sironi.- Egitto: torna al Cairo la Fiera delle armi, tra gli espositori diverse società partecipate dallo Stato italiano. Ascolta la denuncia di Luciano Bertozzi di Archivio Disarmo.- Orrore in Cameroun dopo un nuovo assalto alle scuole, vittime bambini e un insegnante. Ascolta la cronaca di Gianni Ballarini

Hamdok Joins the Coup in Sudan, While Congo Papers Expose Kabila Family Corruption in the DRC by Radio Islam

Siamo stati in Sudan, dove la liberazione del primo ministro Hamdok dopo il golpe militare del generale Burhan non convince i manifestanti della società civile.In Sudan è prigioniero l'imprenditore italiano Marco Zennaro, al centro di un caso internazionale che ha tutte le caratteristiche della cattura di un ostaggio. Sono stati con noi: Cristiano Zennaro (padre di Marco Zennaro), Aldo Silanos (avvocato di Marco Zennaro), Dallia Mohamed (attivista sudanese ed ex giornalista), Nazar Yousif (giornalista sudanese).

Bijna een maand na de militaire coup in Sudan en de daarop volgende bloedige protesten, kwam er gisteren een onverwachte wending: de door het leger afgezette premier Hamdok mag toch weer als premier aan het werk. Hij heeft daarover een overeenstemming bereikt met de generaals. Buigt de legerleiding nu voor internationale druk of wordt Hamdok hun marionet? Veel demonstranten vrezen het laatste, maar tegen Al Jazeera verzekerde de premier dat hij het gezag heeft gekregen om een onafhankelijke regering te vormen. Maar als dat waar is, wat was dan voor de militairen de hele inzet van de staatsgreep? Hierover Thirsa de Vries, Sudan-deskundige bij Pax for Peace.

Dr. Sharon Anderson, attorney and business consultant, former law school professor and lecturer at Howard Law, and the CEO and Founder of KCG Consulting Services, joins us to talk about the verdict in the Kyle Rittenhouse trial, where he was found not guilty on all counts, whether this verdict should come as a surprise, whether the victory of using self-defense as a strategy could empower more vigilantism in the country, and whether too much importance is being attached to this verdict. We also talk about Rittenhouse saying he supports Black Lives Matters, and the case of the killing of Ahmaud Arbery, where the accused are also making a self-defense claim. Paul Dobson, journalist and editor at Venezuela Analysis, joins us to talk about the regional elections in Venezuela that took place on Sunday, where Venezuelan President Nicolas Maduro's United Socialist Party of Venezuela and its allies have won big in regional elections, where the opposition participated for the first time in four years. We talk about Western media coverage of the elections, where monitors were present, and how this coverage continues to question the legitimacy of elections there.Niemat Ahmadi, President of the Darfur Women Action Group, tells us about the unfolding situation in Sudan, where an agreement was reached between the military and civilian leaders that led to the reinstatement of Prime Minister Abdalla Hamdok. We discuss the deal made by Hamdok and how this has left many dissatisfied since the military still holds outsized influence in the country, whether we will see continuing protests, and how a run for natural resources may shape the policies of the new government and its relations with its regional neighbors.Chief Richard Sneed, Principal Chief of the Eastern Band of Cherokee, joins us to talk about the Tribal Nations Summit that took place at the White House last week to coincide with National Native American Heritage Month, the tribes' relations with the federal government, and whether the Biden administration's promises for funding investment in tribal infrastructure will be followed through.

« Que peut encore Hamdok ? », se demande aussitôt, Aujourd'hui au Faso, qui relate la mise en scène de cette remise en selle d'Abdallah Hamdok. « L'un à la suite de l'autre, l'ancien chef de l'exécutif et son tombeur, Abdel Fattah Al Burhan se sont ensemble engagés à remettre le Soudan sur les rails ».  « Le sang soudanais est précieux arrêtons l'effusion de sang ». Voilà comment s'est justifié Abdallah Hamdok, précise Al Jazeera lors de la cérémonie de signature. « Remis en selle, va-t-il pour autant galoper vers un pouvoir civil ? », s'interroge de son côté L'Observateur Paalga. Le journal ouagalais sceptique quant aux chances de succès d'Abdallah Hamdok. « On peut compter sur la bonne volonté de ses partenaires en kaki pour lui mettre des bâtons dans les roues ».  « Au final, Hamdok se fait harakiri » prédit Aujourd'hui au Faso. « Car pour les contestataires, cet accord sonne comme un deal et annihile les espoirs d'un renouveau démocratique dans ce pays dirigé d'une main de fer trois décennies durant par Omar El Béchir et ses comparses. "Hamdok a vendu la révolution", clamaient d'ailleurs les manifestants après l'annonce de l'accord », raconte le site d'Al Jazeera. L'association des professionnels soudanais l'a qualifié de « traitre ». « Il nous a déçus, notre seule option est la rue » témoigne un manifestant. L'accord n'a d'ailleurs pas signé le coup d'arrêt des cortèges. Loin de là. « Pas de négociation, pas de partenariat, pas de marchandage » poursuit Sudan Tribune, dans les appels à manifester qui ont fleuri sur les réseaux sociaux et dans la rue. Et d'ailleurs, les velléités d'Hamdok de mettre fin à « l'effusion de sang » n'ont rien pu faire ce dimanche encore puisqu'un adolescent de 16 ans a été tué dans de nouvelles manifestations devant le palais présidentiel. Il n'empêche pour The Nation au Kenya : « les dirigeants soudanais devraient saisir cette opportunité de l'accord pour sécuriser leur propre pays et achever la transition vers un régime civil à part entière ». Le convoi militaire de la discorde au Burkina Faso « Couchés à l'entrée de la ville de Kaya, des jeunes bloquent des poids lourds du convoi de Barkhane en route pour le Niger parti de Cote d'Ivoire » raconte Aujourd'hui au Faso. « Malgré les négociations, les bloqueurs n'ont rien voulu entendre et ont obligé les militaires français à rebrousser chemin ».  « Le piège burkinabé s'est refermé sur le convoi militaire » souligne L'Observateur Palga. « Voilà où nous en sommes » poursuit le journal burkinabé. « Dernier événement d'une semaine folle après l'attaque du détachement de la gendarmerie d'Inata dans le Soum qui a fait 53 morts, puis de manifestations de colère au Burkina […] la déflagration d'Inata est au-delà de l'entendement » pour L'Observateur.  « Face à tous ces événements majeurs, note Le Pays. Le président Kaboré fait profil bas, se contentant d'appels au patriotisme usés jusqu'à la corde ». Et là encore, le titre burkinabé se demande : « n'y a-t-il pas plus urgent à faire pour sauver le pays que de se ruiner dans des manifestations et des débats anti français ».  « Où se trouve l'autorité pour empêcher que ce piège qui se referme sur des véhicules destinés à un autre pays ne devienne un traquenard pour le Burkina entier? » s'interroge aussi Wakat Sera. « Il est temps que le président du Faso mette un terme à cette dictature du petit nombre pour qui le malheur du Burkina c'est l'ancien régime ou c'est la France » tance le journal. Congo Hold-Up Enfin, la presse sud-africaine s'empare de nos révélations et celles du consortium de journalistes et de la société civile, Congo Hold-Up.  Le Daily Maverick part sur les traces des biens du frère adoptif de Joseph Kabila. « Au moins deux millions quatre cent mille dollars utilisées pour acheter des propriétés à Johannesburg » rappelle le journal sud-africain. Ils publient des photos des résidences achetées par Garvelli, la société sud-africaine de Sélémani via Sud Oil en RDC au cœur du système tentaculaire qui a détourné au moins 138 millions de dollars. Le Daily Maverick parvient à pister ces fonds. « Il a acheté six de ses propriétés en une seule journée ». Dans le pays il en treize au total. Et rappelle comment « cette société a reçu et détourné des fonds de la banque centrale du Congo, de la mission permanente de RDC auprès des Nations unies, de la Céni, de la commission électorale nationale indépendante ». « C'est une étude de cas sur le blanchiment d'argent », conclut le journal sud-africain.

Im Sudan ist der abgesetzte Regierungschef Abdullah Hamdok wieder im Amt. Vor einem Monat hatte das Militär Hamdok weggeputscht, wie auch die andere zivilen Minister. In der Folge gab es grosse Demonstrationen im ganzen Land und auch die internationale Gemeinschaft protestierte gegen die Machtübernahme des Militärs. Weitere Themen: (01:19) Überraschende Wendung im Sudan (08:27) Schweiz engagiert sich in Libyen (12:37) Wahlen in Chile: Radikal Links oder radikal rechts (19:23) Faszination Schach

Sudan's ousted Prime Minister Abdalla Hamdok reinstated, after being placed under house arrest during a military coup last month. All political detainees will be released as part of a new agreement between the military, civilian leaders and ex-rebel groups, mediators said. We speak with a leader of the main opposition bloc, which has rejected the new deal. Also in the programme; the Mexicans who have been deported from the US but take the skills they've learnt to built better lives back home; and the government in Britain is launching what it describes as a far-reaching review in potential racial bias in the design of medical devices.

Sudan's military will reportedly reinstate ousted Prime Minister Abdalla Hamdok after an agreement was reached among relevant parties.

On October 25, soldiers in Sudan arrested Prime Minister Abdalla Hamdok, announced the dissolution of the government and declared a state of emergency. As the news got out, protesters flooded Khartoum and other cities, demanding his release and a return to the power-sharing agreement between a civilian political alliance, led by Hamdok, and the military, led by General Abdel Fattah al-Burhan. Then came a deadly crackdown on the mass rallies in the capital Khartoum, killing at least 12 people. But the protests have continued.  On this week's Beyond the Headlines host Ahmed Maher looks at how Sudan's political tensions escalated into a national crisis.

In questo numero:- La giunta golpista dovrà decidere se rinunciare al premier deposto Hamdok, e al credito internazionale di cui gode, accettando di vedersi chiudere i rubinetti dalla Banca mondiale. Determinanti nell'atteso rimpasto di governo saranno anche i numeri della manifestazione nazionale dei civili controlo strappo militare del 25 ottobre scorso, prevista per sabato 30. Ma c'è tutto un altro scacchiere che sostiene i militari. Ascolta l'analisi di una nostra fonte sul posto, protetta da anonimato per ragioni di sicurezza.- La Nigeria è il primo paese in Africa a dare il via alla "valuta digitale". Sarà presto seguita da Ghana e Sudafrica. Di Michela Trevisan

In the early hours of October 25, reports started to emerge from Sudan that Prime Minister Abdalla Hamdok had been arrested. As the hours passed, it became clear what had unfolded: a coup was taking place, two years after Sudan's revolution, and just weeks before a transitional government was to be handed over to civilians. We talk to people in Sudan and the diaspora about what the military takeover could mean for the country's path to civilian governance.  In this episode:  Isma'il Kushkush (@ikushkush), journalist Marine Alneel (@MarineAlneel), protester  Nisrin Elamin (@minlayla77), Assistant Professor of international studies at Bryn Mawr  Connect with The Take:  Twitter (@AJTheTake), Instagram (@ajthetake) and Facebook (@TheTakePod)

As the Party for Socialism and Liberation, we condemn in the harshest terms the brutal military coup that took place on October 25 in Sudan and the subsequent repression and arrests by the Sudanese military forces. We stand in full solidarity with the people of Sudan and the Sudanese Communist Party (SCP) in their resistance against the coup. We fully support the call by the SCP and the Sudanese Professional Association for a political strike and for the people to take to the streets in civil disobedience to stand against this power grab by the military forces opposed to the movement for change that began in 2018. This coup is a desperate effort to stop the process of transition of power to the people of Sudan and their legitimate representatives. We are confident that the mass protest movement which SCP is a crucial part of will emerge victorious against this reactionary coup. Long live the people of Sudan and their resistance! Long live the Sudanese Communist Party Hundreds of thousands of people in Sudan are in the streets courageously resisting the coup staged by the military on Monday. The country's top armed forces leader Lt. Gen. Abdel Fattah al-Burhan announced the take over and declared a state of emergency. As part of the coup, soldiers arrested Prime Minister Abdalla Hamdok and other high ranking civilian officials, and it was revealed today that Hamdok was being held captive at al-Burhan's personal residence. Read the full article: https://www.liberationnews.org/sudan-massive-resistance-defends-december-revolution-vs-military-coup/

*) Brazil Senate report backs criminal charges against Bolsonaro A Senate committee has recommended Brazil's President Jair Bolsonaro face a series of criminal charges over his government's Covid-19 response. The committee suggested prosecutors put Bolsonaro on trial for charges ranging from inciting crime, to misuse of public funds and crimes against humanity. Brazil has the world's second-highest death toll from the virus. *) Protests grow larger in Sudan Demonstrations against the military takeover of Sudan have brought much of the capital Khartoum to a halt with protesters calling for a return to civilian rule. The ousted prime minister Abdalla Hamdok and his wife are back at home, after being detained at the military chief's residence on Monday. Soldiers detained Hamdok, his ministers and members of Sudan's ruling council, who have been heading a transition to civilian rule after the 2019 overthrow of leader Omar al Bashir. *) Turkish parliament approves cross border operations in northern Iraq, Syria Turkey's parliament has approved a motion that will extend Ankara's authority to launch cross-border military operations in northern Iraq and Syria for two more years. The ruling allows Turkey to deploy troops and expand its missions in Iraq and Syria. Turkey has long decried the threat from terrorists east of the Euphrates River in northern Syria, pledging military action to prevent the formation of a "terrorist corridor". *) Colombia says 42,600 hectares deforested in Amazon in first half of 2021 Some 42,600 hectares of rainforest were destroyed in Colombia's Amazon across three of the Andean country's provinces in the first half of 2021. That's according to the government who says the figure represents a 34 percent decrease in deforestation across the provinces of Caqueta, Meta and Guaviare. Deforestation in Colombia rose 8 percent to 171,685 hectares in 2020, driven mainly by cattle ranching and agricultural expansion. And finally… *) Pakistan sink New Zealand in World Cup 'grudge match' Pakistan has beat New Zealand by five wickets in Sharjah to secure a second straight victory in the cricket T20 World Cup tournament. The win came over a month after New Zealand's shock abandonment of their Pakistan tour due to an unspecified "security alert". New Zealand in September ended its tour minutes before the start of the first one-day international in Rawalpindi.

The African Union said on Wednesday it had suspended Sudan until civilian rule in the country is restored, saying it rejected the military takeover as an “unconstitutional” seizure of power. AU said it “strongly condemns the seizure of power” and was suspending Sudan from all AU activities “until the effective restoration of the civilian-led transitional authority”.Sudanese General Abdel Fattah al-Burhan on Monday ordered the dissolution of the government and declared a state of emergency, sparking widespread international condemnation. Prime Minister Abdalla Hamdok was placed under military arrest, along with his ministers and civilian members of Sudan's ruling council, sparking angry protests on the streets of Khartoum.Hamdok was later released under close guard, but other ministers and civilian leaders remain in detention.Security forces arrested some anti-coup protesters on Wednesday, in a bid to end three days of demonstrations against the power grab. A number of Western powers have called for an urgent meeting with Hamdok, saying they still recognise the prime minister and his cabinet as the constitutional leaders of Sudan.

Panë Victoria ee kɔc ke 1534 yök keke tuany ku kɔc ke 13 ake caal keke cë thou. Në gölë penë 11 ke kɔc ke pane Auɛtralia alëu benë raan ke jäl në Auɛtralia ku leer pandɛ̈ ke cën atööör ber kɔɔr të nɔŋ akuma. Jenyë pane Junub Thudän ee akuma lööm në riɛɛr ku cop biäkkë kɔc wär tɔ̈ në akuma yic. Bɛ̈ny Hamdok atɔ̈ ke cë mac kenë kɔc kɔ̈k ëke tɔ̈ kenë yen.

Dalla pandemia alla scarsità dell'acqua potabile, passando per i continui blackout: la fragilità della transizione democratica in Sudan è stata messa alla prova dalle condizioni economiche e socialiFino a poche ore fa pensavo che in questa puntata vi avrei raccontato delle proteste esplose a Khartoum nelle ultime settimane, delle difficoltà economiche del Sudan, e di come il governo di transizione fosse ancora in stallo dopo più di due anni dalla deposizione di al–Bashir.Pensavo che il colpo di stato militare potesse essere solo uno degli scenari possibili di fronte alla spaccatura che divide il paese. E invece, oggi parliamo dell'ennesimo golpe militare della storia del Sudan.All'alba del 25 ottobre, i militari, guidati dal generale Abdel Fattah Abdelrahman al-Burhan, presidente del Consiglio sovrano, hanno arrestato il Primo ministro Abdallah Hamdok, insieme a diversi altri ministri della componente civile del governo di transizione, tra cui il ministro all'Industria Ibrahim al-Sheikh e il ministro all'Informazione Hamza Baloul. È stato arrestato anche il governatore di Karthoum Ayman Khalid.A partire dalle quattro del mattino l'accesso a internet è stato quasi completamente disattivato, poco dopo l'arresto di Hamdok — è una pratica ormai diffusa in momenti di crisi politica, in particolare nelle aree più delicate del mondo, lo abbiamo visto in Senegal, in Guinea, in Etiopia e in Iraq.Ieri migliaia di persone sono scese in strada per protestare contro il golpe militare in Sudan, ma l'esercito ha immediatamente reagito con violenza: mentre scriviamo si parla di almeno 7 persone uccise e 140 ferite. Ma come si è arrivati al colpo di stato di ieri mattina?Show notes Così è caduto l'uomo forte del Sudan Perché sono tornate le proteste in Sudan? - Sudan, transizione democratica fragile a due anni dal golpe mentre riesplode il Darfur - Focus On Africa - Coronavirus (COVID-19) Vaccinations - Statistics and Research - Our World in Data Sudan coup 2021: Internet 'severely disrupted' after military takeover | Middle East Eye Sudan general dissolves government and declares emergency in military coup | World News | Sky News FOCUS ON AFRICA. Dieci anni dopo Sudan e Sud Sudan verso la riapertura dei confini Authorities in Sudan must stop imposing telecommunication blackouts to control information flow during military coup - Access Now Sudan, i quattro mesi di proteste che hanno rovesciato Bashir: dalla lotta per il pane alle donne in piazza per i diritti - Il Fatto Quotidiano Sudan: anche l'FBI indaga sul tentato omicidio del primo ministro Hamdok | Sicurezza internazionale | LUISS Thousands rally in Sudan's capital to demand military rule | Sudan | The Guardian Sudan′s military seizes control in coup | News | DW | 25.10.2021Sostieni l'informazione indipendente di the Submarine: abbonati a Hello, World! La prima settimana è gratis

Le Premier ministre du gouvernement civil soudanais, Abdallah Hamdok, se trouve désormais à son domicile, ont déclaré une source dans ses services et une source sécuritaire, sans donner davantage de détails. Les militaires semblent rester devant son domicile et il est difficile de dire si le Premier ministre est libre de ses mouvements.  Les Soudanais sont par ailleurs encore très nombreux dans les rues de Khartoum pour appeler au retour à l'ordre constitutionnel. 

Le chef de l'armée soudanaise, le général Abdel Fattah al-Burhan, a dissous hier, lundi 25 octobre 2021, les autorités de transition. Le Premier ministre Abdallah Hamdok et des membres de son gouvernement ont été arrêtés. Pourquoi ce coup de force ? Comment le bras de fer entre civils et militaires peut-il évoluer ? Le chercheur Jérôme Tubiana, spécialiste du Soudan, est l'invité de Laurent Correau. RFI : Qu'est-ce qui a poussé les militaires à effectuer ce coup d'État, selon vous ? Jérôme Tubiana : Difficile de le dire, mais il est clair que beaucoup de militaires n'étaient pas très heureux de la perspective d'une transition vers un pouvoir de plus en plus civil et démocratique. Ils se sentaient notamment menacés par la réforme des services de sécurité. Ils se sentaient menacés par la perspective qu'il y ait des actions de justice soit au niveau international à la Cour pénale internationale pour les crimes commis au Darfour depuis 2003, soit au Soudan même, notamment l'enquête sur la répression des manifestants précédemment menée en 2019, qui pouvait mettre en cause beaucoup plus de gens, Hemedti notamment, mais aussi des dirigeants importants de l'armée. Les réformes économiques menées par le gouvernement Hamdok se heurtaient à la volonté des militaires de conserver leurs propriétés économiques, parce que l'armée soudanaise et d'autres parties de l'appareil sécuritaire soudanais sont aussi des propriétaires très importants d'un certain nombre d'entreprises. Pour autant, je ne trouve pas que les circonstances soient particulièrement favorables pour faire un coup, puisqu'il y a eu il y a quelques jours des manifestations de soutien au gouvernement civil qui ont été importantes. Ce conflit entre civils et militaires a été présent dès les négociations, avant même la constitution des autorités mixtes   Quand diriez-vous que le rapport de force entre civils et militaires a commencé ? Est-ce qu'il a démarré dès août 2019, dès la signature au Friendship Hall de Khartoum de la déclaration constitutionnelle, ou est-ce qu'il y a eu une période de cohabitation sans tensions, pourrait-on dire, entre les deux camps ? À mon avis, ce rapport de force, ce conflit entre civils et militaires a été présent dès les négociations, avant même la constitution des autorités mixtes de transition civilo-militaire, mais il a été disons moins visible non du fait d'une bonne entente, du fait d'abord que beaucoup d'acteurs civils et militaires n'étaient pas forcément très forts et donc avaient intérêt à s'entendre entre eux, ou en tout cas à masquer leurs conflits. ►À lire aussi : Entretien - «Depuis le début, les militaires ne voulaient pas des civils dans la transition» au Soudan Il y avait aussi d'autres conflits internes aux civils et internes aux militaires qui paraissaient jusque-là plus importants, c'est en particulier le cas du conflit entre al-Burhan, le chef de l'armée régulière et son adjoint Hemedti qui lui est le chef d'un groupe paramilitaire. Al-Burhan souhaitait plutôt contrôler les forces paramilitaires les forces de soutien rapide d'Hemedti, donc il y avait évidemment une compétition entre eux. Aujourd'hui, ils semblent être unis, et il est probable qu'il y ait une entente entre al-Burhan et Hemedti qui ait rendu possible ce coup de force, c'est seulement dans les toutes dernières semaines qu'ils sont apparus à peu près sur la même ligne. De quelle manière est-ce que ce qui s'est passé fin septembre, une supposée tentative de coup d'État dénoncé par l'armée, a contribué à aggraver la crise entre civils et militaires ? Civils et militaires se sont jetés à la figure des accusations de responsabilité quant au coup ou de faiblesse. Les militaires ont déjoué le coup, mais il y a aussi une autre interprétation qui circule depuis à Khartoum, qui est que les militaires ou en tout cas une partie d'entre eux ont fait une sorte de « test » de coup. Est-ce que le test a été positif ? Pas vraiment puisqu'il a été suivi par des mobilisations massives de soutien au gouvernement Hamdok et aux civils. Pour autant, visiblement en tout cas, les militaires ont considéré qu'il était possible aujourd'hui de faire un coup. Justement le bras de fer entre civils et militaires s'illustre dans la rue depuis la mi-octobre, depuis qu'on a vu des manifestants hostiles au gouvernement d'Abdallah Hamdok monter leur tente devant le palais présidentiel à Khartoum. Est-ce qu'effectivement la population est partagée dans ce bras de fer, ou est-ce qu'elle soutient plutôt les forces pour la liberté et le changement, c'est-à-dire la composante civile de la transition ? Je ne pense pas que la population soutienne les forces pour la liberté et le changement en soi, parce qu'elles ont beaucoup déçu, et qu'elles représentent l'élite plutôt que la population générale, mais la population soutient certainement les comités de résistance qui sont vraiment le véritable fer de lance de la révolution de 2019, parce que ce sont des comités qui sont implantés dans des quartiers, qui sont véritablement des représentants de la population, plus que les politiciens. Il est vraiment urgent, sans doute qu'il y ait une mobilisation Est-ce que les comités de résistance dont vous parliez à l'instant sont susceptibles de se mobiliser dans le cadre d'un bras de fer entre civils et militaires dans les jours qui viennent ? Je pense qu'ils vont se mobiliser à l'évidence et que ça risque d'être une mobilisation très forte. On peut espérer que les militaires fassent preuve de suffisamment d'intelligence et de retenue pour ne pas se livrer à une répression violente. Par le passé en 2019, il y a eu des phases de répression violente dans la rue notamment lors du massacre du 3 juin, mais aussi à d'autres moments de la retenue qui a permis justement les négociations. Donc là il est vraiment urgent, sans doute qu'il y ait une mobilisation et que ce soit une mobilisation qui pousse les militaires à faire pression sur les militaires pour qu'ils remettent la transition sur les rails, qu'ils reviennent en arrière simplement et qu'ils se remettent à la table des négociations avec les civils, pour constituer un gouvernement civilo-militaire. ►À lire aussi : Analyse - D'un équilibre politique précaire au coup d'État au Soudan

Regeringen præsenterede i dag et hjemløseudspil, der skal bringe antallet af hjemløse markant ned og afskaffe langvarig hjemløshed i Danmark. Hvordan gør vi det? Vi spørger Astrid Krag, social- og ældreminister. Ukendte militære styrker har anholdt premierminister, Abdalla Hamdok i et militærkup i Sudan. Hamdok har opfordret borgerne til at gå på gaden protestere, indtil det militære kup er slået ned. Her på Orientering skruer vi nu op for valgdækningen, og både i dag og de kommende uger frem mod valgdagen er vores reportere på plads rundt om i landet. I dag stiller vi skarpt på nogle af de kommuner, hvor byrådsmøderne kan være fulde af temperament, og der, hvor skandalerne hænger ved i vælgernes hukommelse. Karen Hjulmand og Marianne Skovlund er dagens værter. Birgitte Gadegaard er redaktør. www.dr.dk/orientering

Niemat Ahmadi, President of the Darfur Women Action Group, joins us to talk about the evolving situation in Sudan where the military have apparently ousted the caretaker government in what is more and more looking like a coup d'etat. We talk about how former ruler Omar Al-Bashir still casts a long shadow in the country, with General Abdel Fattah al-Burhan consolidating his power by placing Prime Minister Abdallah Hamdok, his wife and other ministers under arrest, arguing that civilian political infighting represented “a threat” to the country, the timing of these arrests, and whether a potential investigation into crimes committed by the military in the past years may have played a role in this power grab. Alex Rubinstein, investigative reporter and co-host of the podcast Pro-Democracy Pod, joins us to talk about how dozens of media outlets are collaborating on what is now being called The Facebook Papers project, how Facebook whistleblower Frances Haugen has been cultivated and legally represented by an organization led by former intelligence insiders with close ties to the US national security state, how this colors her statements to Congress and the reaction by those in power, and whether there is a long term project to increase surveillance in social media platforms in the guise of security concerns. Jamal Muhammad, host of the Luv Lounge radio show and the Old School Lunch Bag Mix on Square 1 radio, joins hosts Michelle Witte and Bob Schlehuber to talk about the trial around "Unite the Right" rally, where dozens were injured and one person died in the chaos, to decide whether organizers planned for a violent showdown from the start. We also talk about the issue of money in politics, with a New York mayoral debate where several candidates who are on the ballot weren't allowed to be part of the debate because they hadn't raised and spent the required nearly $200,000 at the time, as well as Barack Obama and Bruce Springsteen still out promoting their podcast and their book, and the limits and pitfalls of celebrity politicians.

Regeringen præsenterede i dag et hjemløseudspil, der skal bringe antallet af hjemløse markant ned og afskaffe langvarig hjemløshed i Danmark. Hvordan gør vi det? Vi spørger Astrid Krag, social- og ældreminister. Ukendte militære styrker har anholdt premierminister, Abdalla Hamdok i et militærkup i Sudan. Hamdok har opfordret borgerne til at gå på gaden protestere, indtil det militære kup er slået ned. Her på Orientering skruer vi nu op for valgdækningen, og både i dag og de kommende uger frem mod valgdagen er vores reportere på plads rundt om i landet. I dag stiller vi skarpt på nogle af de kommuner, hvor byrådsmøderne kan være fulde af temperament, og der, hvor skandalerne hænger ved i vælgernes hukommelse. Karen Hjulmand og Marianne Skovlund er dagens værter. Birgitte Gadegaard er redaktør. www.dr.dk/orientering

Sudanese Prime Minister Abdalla Hamdok has formed a crisis cell to resolve what he has called the country's most dangerous political crisis since the 2019 military coup, state news agency Suna reported.Mr Hamdok announced the committee, which includes members of opposing political blocs, during an emergency cabinet meeting in Khartoum on Monday.He called for restraint and dialogue to end weeks of political tensions that have threatened to derail the country's transition to democracy.Sudan is currently run by a joint military-civilian Sovereign Council in a coalition that was troubled by a failed 5 September coup attempt.

Sudanese Prime Minister Abdalla Hamdok has formed a crisis cell to resolve what he has called the country's most dangerous political crisis since the 2019 military coup, state news agency Suna reported.Mr Hamdok announced the committee, which includes members of opposing political blocs, during an emergency cabinet meeting in Khartoum on Monday.He called for restraint and dialogue to end weeks of political tensions that have threatened to derail the country's transition to democracy.Sudan is currently run by a joint military-civilian Sovereign Council in a coalition that was troubled by a failed 5 September coup attempt.

Sudanese Prime Minister Abdalla Hamdok has formed a crisis cell to resolve what he has called the country's most dangerous political crisis since the 2019 military coup, state news agency Suna reported.Mr Hamdok announced the committee, which includes members of opposing political blocs, during an emergency cabinet meeting in Khartoum on Monday.He called for restraint and dialogue to end weeks of political tensions that have threatened to derail the country's transition to democracy.Sudan is currently run by a joint military-civilian Sovereign Council in a coalition that was troubled by a failed 5 September coup attempt.

In questo numero:- Dopo il fallito tentato golpe del 21 settembre, l'ala militare del Consiglio sovrano vuole disarcionare il premier Hamdok e i suoi ministri, espressione della società civile, i quali rivendicano il controllo di polizia e servizi segreti. E, forse, all'Europa le divise al potere in Sudan non dispiacciono. Facciamo il punto con una nostra fonte nell'area.- Il lavoro degli stranieri in Italia vale 134 miliardi, il 9% del Pil.Sono i nuovi dati 2021 della Fondazione Moressa. Di Gianni Ballarini

Sudan has formally requested an expanded mediation team on the dispute over the mega-dam that Ethiopia is building on the Nile River.Sudan’s Prime Minister Abdalla Hamdok has written to the UN, the Democratic Republic of Congo President Felix Tshisekedi, who is also the African Union chairman, the European Union and the US.Mr Hamdok in a statement expressed concern over Ethiopia's declared intention to fill the dam for the second time in June without a binding agreement between the three concerned countries.The Sudanese PM says the negotiations will provide significant international and regional support and constitute the required guarantee to build confidence in the negotiations.