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Lo Más Focop - Brands sin visa, rabis quieren joder casco peatonal, Petro en la lista Clinton, La Prensa lavándole la cara a ficha de Martinelli, entre otros. Por Mauricio Valenzuela y Daniel Lopera.
Estrenamos la última canción del segundo disco de ELYELLA, "Lo Más Importante", que se publica mañana. Se trata de "Tu Nombre", una de las canciones más especiales del álbum que cuenta con la colaboración de Love Of Lesbian. Aparte, escuchamos " Una Nueva Forma De Perder", que es la nueva canción de Ruto Neón junto a Noni, de Lori Meyers y una de las dos versiones de "Running Errands", que acaba de compartir U.S. GirlsU.S. Girls - Running Errands (Yesterday)TAME IMPALA - Piece Of HeavenBIBI CLUB - AmaroANIK KHAN - East2West ft. NestaIVÁN FERREIRO - El Pensamiento CircularRUTO NEÓN - Una Nueva Forma De PerderELYELLA ft LOVE OF LESBIAN - Tu NombreANNI B SWEET - Buen ViajeZAHARA - Tus MichisLOS INVADERS - TonteríasSEXY ZEBRAS - Días de MierdaTHE LAST DINNER PARTY - InfernoADAM GREEN - BluebirdsMILES KANE - Coming Down The RoadT REX - 20Th Century BoySLEAFORD MODS - The Good LifeNICK CAVE & THE BAD SEEDS - Wild GodEscuchar audio
Lo Más Focop - La abuelita de John Wick, atacan narco submarino, crisis en américa del sur, las laptops de lucy entre otros temas. Por Mauricio Valenzuela y Daniel Lopera.
Une blessure à la tête peut causer des lésions au cerveau plus ou moins graves, pouvant se manifester par des symptômes variables, comme des troubles de la vision, des pertes d'équilibre, des vertiges, mais aussi une perte de connaissance ou des troubles de la mémoire... On parle alors de traumatisme crânien léger ou sévère. (Rediffusion) Comment détecter les signes d'un traumatisme crânien ? Comment le prendre en charge en fonction de son degré de sévérité ? Quelles peuvent être les séquelles ? Pr Nozar Aghakhani, neurochirurgien et enseignant chercheur à l'Université Paris-Saclay, coordonnateur du Centre d'évaluation et de prise en charge des traumatismes crâniens légers au sein de l'Hôpital Bicêtre APHP, au Kremlin-Bicêtre Dr Jean-François Chermann, neurologue, spécialiste en France des commotions cérébrales chez les sportifs, à l'origine de la 1ère consultation «Commotion cérébrale et sport» à l'hôpital en France en 2010 Pr Essossinam Kpelao, neurochirurgien, chef du service de Neurochirurgie du CHU Sylvanus Olympio à Lomé et professeur à la Faculté des sciences de santé de l'Université de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de l'ouverture de la 5è Maison des femmes de l'APHP, au sein de l'Hôpital Antoine-Béclère, à Clamart, un lieu d'accueil pour les femmes victimes de violences. Interview de Marine Muscat-Orbach, sage-femme, chargée de la coordination du parcours de soins de la Maison des femmes. Programmation musicale : ► Alabama Shakes – Don't wanna fight ► James BKS – On my way.
Une blessure à la tête peut causer des lésions au cerveau plus ou moins graves, pouvant se manifester par des symptômes variables, comme des troubles de la vision, des pertes d'équilibre, des vertiges, mais aussi une perte de connaissance ou des troubles de la mémoire... On parle alors de traumatisme crânien léger ou sévère. (Rediffusion) Comment détecter les signes d'un traumatisme crânien ? Comment le prendre en charge en fonction de son degré de sévérité ? Quelles peuvent être les séquelles ? Pr Nozar Aghakhani, neurochirurgien et enseignant chercheur à l'Université Paris-Saclay, coordonnateur du Centre d'évaluation et de prise en charge des traumatismes crâniens légers au sein de l'Hôpital Bicêtre APHP, au Kremlin-Bicêtre Dr Jean-François Chermann, neurologue, spécialiste en France des commotions cérébrales chez les sportifs, à l'origine de la 1ère consultation «Commotion cérébrale et sport» à l'hôpital en France en 2010 Pr Essossinam Kpelao, neurochirurgien, chef du service de Neurochirurgie du CHU Sylvanus Olympio à Lomé et professeur à la Faculté des sciences de santé de l'Université de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de l'ouverture de la 5è Maison des femmes de l'APHP, au sein de l'Hôpital Antoine-Béclère, à Clamart, un lieu d'accueil pour les femmes victimes de violences. Interview de Marine Muscat-Orbach, sage-femme, chargée de la coordination du parcours de soins de la Maison des femmes. Programmation musicale : ► Alabama Shakes – Don't wanna fight ► James BKS – On my way.
The hotly-anticipated return to THE BOUNTY HUNTER WARS by K.W. Jeter begins with the first four chapters of HARD MERCHANDISE. I was hotly anticipating it, anyway. And we've got a lot of catching up to do: Zuckuss and 4-LOM, Bossk, Neelah, Dengar, and of course, Boba Fett. But first: The Mask of Fear, sandtroopers, and albino hyenas. This week's Article From the Archives: Jih-tan Full show notes: https://notes.moseisley.xyz/s/ea6UDt1An#
Join Those Old Fossils for the 4th Bounty Hunter Capture Pod, this time covering the duo of 4-LOM and Zuckuss, as well as the reveal of the results of our mini Committee, ranking the 5 bounty hunter action figures we have covered so far. The team open with a discussion the upcoming Oberon and Vectis auctions happening in October. Moving on to 4-LOM and Zuckuss, we cover the characters, the Kenner name swap. the 4-LOM mail-away offer, share thoughts on the figures, the card backs, the multipacks, and the lack of beyond the toys items featuring the characters. Ron Salvatore from the Star Wars Collectors Archive provides a Rebel Alliance Briefing on the 2 figures, and Mark Andrews from The Variant Villains is back to talk figures variations. No rock is left unturned in our comprehensive overview of these 2 bug eyed bounty hunters.
Écrasé par des cours mondiaux trop bas, et une concurrence acharnée imposée par le coton brésilien, le coton africain a du mal à se vendre, et s'accumule dans les entrepôts portuaires, à Cotonou, Lomé, Dakar ou encore Abidjan. Une situation qui pénalise tous les maillons de la filière. Il y aurait, a minima 200 000 tonnes de coton africain invendues, selon Kassoum Koné, le président de l'Association cotonnière africaine, mais peut-être 250 000, voire 300 000 tonnes, à en croire des négociants rencontrés le 30 septembre lors du rendez-vous annuel de l'Association française cotonnière (Afcot) à Deauville, dans le nord de la France. Selon leurs estimations, il resterait notamment 100 000 tonnes de coton malien invendues. Quels que soient les chiffres, les volumes dépassent, de loin, ce qui reste à commercialiser d'habitude à cette époque. En cause, le coût de revient élevé du coton ouest-africain qui le rend peu compétitif. « La concurrence est rude, car il y a aussi du coton brésilien et américain sur le marché », explique Boubacar Salia Daou. Ce négociant, président de Millenium Mali, confirme que fin septembre, il n'y a en général plus de stock. La baisse des cours mondiaux a un impact sur ses marges, précise-t-il, mais aussi sur les finances de la CMDT, la société d'État malienne qui gère le secteur. Le secteur logistique au ralenti Ces invendus pèsent sur la plupart des sociétés cotonnières qui ne peuvent pas rembourser leurs crédits, mais vont devoir bientôt négocier de nouveaux prêts pour la prochaine campagne. Elles sont touchées à double titre, car elles doivent aussi supporter le coût d'un stockage plus long dans les entrepôts portuaires, des entrepôts où l'activité a ralenti. « Les entrepôts sont vidés fin juin d'habitude, mais cette année tous nos magasins à Lomé sont pleins », explique Blaise Agbozo, représentant du groupe R-Logistic au Togo. L'expert en logistique a vu ses prévisions tomber à l'eau : « Plus vous rentrez du coton, plus vous en sortez, plus le tonnage augmente, et plus vous générez de la marge, mais si les entrepôts sont pleins et qu'il n'y a plus d'expéditions, nous y perdons forcément ». Risque de décote En bout de chaîne, ceux qui vérifient le poids et la qualité du coton avant qu'il soit embarqué n'ont qu'une hâte, que l'activité reprenne. « Nous avons certifié 65 % des volumes que nous traitons d'habitude à cette époque, nous attendons maintenant que les 35% qui restent soient embarqués d'ici décembre », témoigne Abderamane Adoum Hassan, directeur régional de Wakefield Inspection, basé à Abidjan, qui assure que le ralentissement de l'activité cotonnière n'épargne aucune société du secteur. Le risque, c'est qu'une fois la nouvelle récolte disponible, courant novembre, l'ancienne se vende avec une décote. Ce n'est pas tant le stock qui effraie le président de l'Association cotonnière africaine, que le manque de visibilité pour l'exporter. « Tout va vite dans le coton, s'il y a un appel d'air, tout ce qu'on qualifie de grand stock pourra être vendu rapidement, mais notre souci, c'est qu'on ne sait pas à quel moment on va sortir la tête de l'eau » résume le président de l'ACA qui espère que cette période difficile sera « la plus courte possible ». À lire aussiL'association des producteurs de coton africains élaborent leur feuille de route à Garoua
Toda la actualidad del deporte vallisoletano de la mano de Chus Rodríguez y Jesús Pérez Baraja. Hoy desde la Clínica Lomás de Recoletas Salud con Balonmano, mucho Fútbol con datos del derbi de la próxima jornada para el Pucela, los oyentes, y mucho más.
L'arrivée de la nouvelle administration Trump début 2025 a sonné la fin de l'USAID, l'agence du gouvernement des États-Unis chargée du développement économique et de l'aide humanitaire dans le monde. Selon une étude publiée par The Lancet le 1ᵉʳ juillet, l'effondrement des financements américains qui étaient dédiés à l'aide internationale pourrait entraîner la mort de plus de 14 millions de personnes. Quelles répercussions concrètes cela a sur le terrain pour les acteurs de santé ? Nous posons la question à des activistes de santé en Afrique. Dr Bintou Kéita Dembele, médecin directrice d'ARCAD/SIDA au Mali (ARCAD-SIDA est la première association de lutte contre le Sida au Mali) Denise Ngatchou, directrice exécutive de Horizons Femmes au Cameroun Dr Ephrem Mensah, médecin généraliste, directeur exécutif de l'ONG Espoir Vie-Togo (EVT) dont le siège est à Lomé. Programmation musicale : ► Boy Spyce, Jeriq – Achalugo ► Sahad – Vultures.
L'arrivée de la nouvelle administration Trump début 2025 a sonné la fin de l'USAID, l'agence du gouvernement des États-Unis chargée du développement économique et de l'aide humanitaire dans le monde. Selon une étude publiée par The Lancet le 1ᵉʳ juillet, l'effondrement des financements américains qui étaient dédiés à l'aide internationale pourrait entraîner la mort de plus de 14 millions de personnes. Quelles répercussions concrètes cela a sur le terrain pour les acteurs de santé ? Nous posons la question à des activistes de santé en Afrique. Dr Bintou Kéita Dembele, médecin directrice d'ARCAD/SIDA au Mali (ARCAD-SIDA est la première association de lutte contre le Sida au Mali) Denise Ngatchou, directrice exécutive de Horizons Femmes au Cameroun Dr Ephrem Mensah, médecin généraliste, directeur exécutif de l'ONG Espoir Vie-Togo (EVT) dont le siège est à Lomé. Programmation musicale : ► Boy Spyce, Jeriq – Achalugo ► Sahad – Vultures.
Dans ce numéro de Capsule santé, on parle de la solitude qui affecte tant les personnes âgées que les plus jeunes. Anna Carthaus du département des sciences de la Deutsche Welle a interrogé à ce sujet le Dr Sonia Kanekatoua-Agbolo Noamessi, psychiatre à Lomé, au Togo. Dans la seconde partie du magazine, nous irons au Burundi où les autorités tentent de réorganiser le secteur de la pharmacie.
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
A new Galactic Legend arrives in style! Pirate King Hondo Ohnaka hit the holotables this week and he’s already proving his value in taking down other Galactic Legends. We discuss his kit as well as some of the other reveals from Capital Games this week: Home One, Rebel B-wing, 4-LOM, Zuckuss, and The Stranger. Presented […] The post Galactic War Report – Episode 444: May The Fours Be With You appeared first on RADIO FREE TATOOINE.
Estrenamos "Cuándo Cerrar", la canción que ha unido a ELYELLA con Iván Ferreiro, un himno a la vida y a la liberación donde la nostalgia se transforma en fuerza. Una canción muy especial, muy personal y preciosa que formará parte, el 24 de octubre, de "Lo Más Importante", el segundo disco de ELYELLA. Escuchamos también "Sorry", el último avance de "Loved", el tercer disco de Parcels, "Better", lo nuevo del productor británico, Nimio, muy para pista de baile, y la maravilla de viaje de Jon Muq con la producción de Dan Auerbach, "Secret IslandHINDS - Girl, So ConfusingHAYLEY WILLIAMS - ParachuteCLEOPATRICK – GutsYUKIMI - Get It OverPARCELS - SorryELYELLA ft LORI MEYERS - Tenemos La Respuesta ELYELLA, IVÁN FERREIRO - Cuándo CerrarSEXY ZEBRAS - MarisolNOVA TWINS - GloryLAMBRINI GIRLS - Cuntology 101 (Peaches remix)DJO - Carry The NameJON MUQ - Secret IslandNIMINO - BetterMURA MASA - I'm Really Hot (For Myself)HAAi -StitchesEscuchar audio
Selon l'OMS, plus de 720 000 personnes mettent fin à leurs jours, chaque année, au niveau mondial et 73% de ces suicides surviennent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Derrière chaque suicide, c'est une famille, un entourage endeuillé. Comment se remettre de cette tragédie ? Quelle prise en charge existe pour les proches en deuil ? Alain Chardon, psychologue à l'association PHARE animant les groupes de parole des parents endeuillés Dr Sonia Kanekatoua, psychiatre au CHU Campus de Lomé au Togo et au CEPIAK, le Centre de Prise en charge intégrée des Addictions de Kodjoviakopé Louis Fréchette, membre de l'association de prévention du suicide au Québec « Défi - On roule pour toi ». ►En fin d'émission, nous parlons de la précarité alimentaire dont souffrent les enfants haïtiens. L'ONG Solidarités International a installé des cantines scolaires dans six écoles de Port-au-Prince afin d'assurer aux enfants de la capitale un repas chaud tous les midis, cuisiné à partir de produits locaux, et ce, durant toute l'année scolaire. Interview de Guillaume Haegel, directeur pays de Solidarités International à Haïti. Programmation musicale : ► Mika – Happy ending ► Fatima Altieri – Toute sam vle.
Selon l'OMS, plus de 720 000 personnes mettent fin à leurs jours, chaque année, au niveau mondial et 73% de ces suicides surviennent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Derrière chaque suicide, c'est une famille, un entourage endeuillé. Comment se remettre de cette tragédie ? Quelle prise en charge existe pour les proches en deuil ? Alain Chardon, psychologue à l'association PHARE animant les groupes de parole des parents endeuillés Dr Sonia Kanekatoua, psychiatre au CHU Campus de Lomé au Togo et au CEPIAK, le Centre de Prise en charge intégrée des Addictions de Kodjoviakopé Louis Fréchette, membre de l'association de prévention du suicide au Québec « Défi - On roule pour toi ». ►En fin d'émission, nous parlons de la précarité alimentaire dont souffrent les enfants haïtiens. L'ONG Solidarités International a installé des cantines scolaires dans six écoles de Port-au-Prince afin d'assurer aux enfants de la capitale un repas chaud tous les midis, cuisiné à partir de produits locaux, et ce, durant toute l'année scolaire. Interview de Guillaume Haegel, directeur pays de Solidarités International à Haïti. Programmation musicale : ► Mika – Happy ending ► Fatima Altieri – Toute sam vle.
Esta semana tenemos con nosotros a una leyenda de la salsa, él es Luis González. Venimos hablando de su más reciente single “Lo Máximo”. No dejamos fuera lo que está pasando con la salsa de la mano de Bad Bunny, entre otras cosas más. REDES Luis González http://www.eltsunamidelasalsa.com Desde La Línea Podcast https://linkbio.co/Desdelalineapodcast
À l'approche de la COP30 au Brésil et alors que les conséquences du changement climatique sont chaque jour plus évidentes, Éco d'ici éco d'ailleurs propose une réflexion ouverte sur les paradoxes de l'économie mondiale, entre recherche de croissance et impératifs écologiques. Comment faire en sorte que l'économie se mette au service de la planète, et non l'inverse ? Notre première invitée : Fanny Henriet Directrice de recherche au CNRS, spécialiste de l'économie du changement climatique. Auteure de l'ouvrage L'économie peut-elle sauver le climat ? (Presses Universitaires de France). Thèmes abordés : Pourquoi l'économie de marché ne peut pas seule résoudre la crise climatique. Le dilemme de la transition énergétique : lenteur ou brutalité ? L'impact des prix du pétrole sur la transition. Le besoin d'une intervention publique : taxation, planification, incitations. Calculer le coût social d'une tonne de CO₂. Inégalités climatiques entre pays et classes sociales. La sobriété est-elle une solution ? Ou faut-il tout miser sur l'innovation ? Interventions sonores : Kaushik Burman (Directeur Général de Spiro, fabricant de motos électriques en Afrique). Donald Trump, climatoscepticisme et économie. Seconde partie : l'Afrique face au changement climatique Participants : Ileana Santos, consultante en stratégie, cofondatrice de Je m'engage pour l'Afrique. Edem d'Almeida, expert en économie sociale et circulaire, fondateur d'Africa Global Recycling basé à Lomé au Togo. Marine Lamoureux, journaliste à La Croix L'Hebdo, autrice du reportage Le climat, ma nounou et moi basé sur le témoignage de son ancienne nounou Germaine Tiem. Focus sur le Togo : Pays fortement vulnérable aux effets du dérèglement climatique. Difficultés d'accès aux financements climat. Témoignages de pêcheurs, cultivateurs de cacao, populations locales. Initiatives mentionnées : Recyclage et éducation environnementale (Africa Global Recycling). Agriculture durable et coopératives de cacao (Atsemawoe). Pause musicale : Von Na Agbedo de Dogo du Togo. Menteur ambulant, artiste togolais engagé pour la cause environnementale. Ressources complémentaires : Émission disponible en podcast sur RFI.fr Interview de Kaushik Burman à voir sur la chaîne YouTube de RFI Reportage Le climat, ma nounou et moi à lire sur le site de La Croix
À l'approche de la COP30 au Brésil et alors que les conséquences du changement climatique sont chaque jour plus évidentes, Éco d'ici éco d'ailleurs propose une réflexion ouverte sur les paradoxes de l'économie mondiale, entre recherche de croissance et impératifs écologiques. Comment faire en sorte que l'économie se mette au service de la planète, et non l'inverse ? Notre première invitée : Fanny Henriet Directrice de recherche au CNRS, spécialiste de l'économie du changement climatique. Auteure de l'ouvrage L'économie peut-elle sauver le climat ? (Presses Universitaires de France). Thèmes abordés : Pourquoi l'économie de marché ne peut pas seule résoudre la crise climatique. Le dilemme de la transition énergétique : lenteur ou brutalité ? L'impact des prix du pétrole sur la transition. Le besoin d'une intervention publique : taxation, planification, incitations. Calculer le coût social d'une tonne de CO₂. Inégalités climatiques entre pays et classes sociales. La sobriété est-elle une solution ? Ou faut-il tout miser sur l'innovation ? Interventions sonores : Kaushik Burman (Directeur Général de Spiro, fabricant de motos électriques en Afrique). Donald Trump, climatoscepticisme et économie. Seconde partie : l'Afrique face au changement climatique Participants : Ileana Santos, consultante en stratégie, cofondatrice de Je m'engage pour l'Afrique. Edem d'Almeida, expert en économie sociale et circulaire, fondateur d'Africa Global Recycling basé à Lomé au Togo. Marine Lamoureux, journaliste à La Croix L'Hebdo, autrice du reportage Le climat, ma nounou et moi basé sur le témoignage de son ancienne nounou Germaine Tiem. Focus sur le Togo : Pays fortement vulnérable aux effets du dérèglement climatique. Difficultés d'accès aux financements climat. Témoignages de pêcheurs, cultivateurs de cacao, populations locales. Initiatives mentionnées : Recyclage et éducation environnementale (Africa Global Recycling). Agriculture durable et coopératives de cacao (Atsemawoe). Pause musicale : Von Na Agbedo de Dogo du Togo. Menteur ambulant, artiste togolais engagé pour la cause environnementale. Ressources complémentaires : Émission disponible en podcast sur RFI.fr Interview de Kaushik Burman à voir sur la chaîne YouTube de RFI Reportage Le climat, ma nounou et moi à lire sur le site de La Croix
¡Pixel Perfect Videojuegos, tu programa de radio de ninguna radio, presenta el episodio 113 (21/08/2025)! ¡Hemos estado en la Euskal Encounter 33 en el BEC de Barakaldo y la cenita con nuestros Patreons! Encuéntranos en YouTube (@elpixelpodcast), TikTok y Patreon (audio 320kbps antes que nadie). Gracias a nuestra pedazo de comunidad. ¡Suscríbete y activa la campanita para no perderte nada!Lo Más Fresco: Gamescom 2025 y el Lanzamiento de SilksongLa Gamescom 2025 arrancó con la noticia más esperada: Hollow Knight: Silksong tiene fecha. Tras seis años de espera, llega el 4 de septiembre. Con más de 165 enemigos y un mundo más amplio que el original, las primeras impresiones lo destacan por su estilo artístico, combates frenéticos y un control super preciso.Lo Visto en el Opening Night Live de GamescomRepasamos los bombazos del show: Call of Duty: Black Ops 7 con campaña 100% cooperativa. Resident Evil Requiem muestra un tono más visceral. Ninja Gaiden 4 vuelve con la colaboración de Platinum Games. Ghost of Yōtei confirma DLC y multijugador gratuito. Silent Hill f se traslada al Japón de los 60. También se anuncian Black Myth: Zhong Kui, el DLC de Indiana Jones, la expansión WoW: Midnight y un crossover entre Monster Hunter Wilds y Final Fantasy XIV. Se mostró el regreso de Onimusha, The Outer Worlds 2 y el roguelike Death by Scrolling.NoticiasLa beta de Battlefield 6 ha pulverizado récords en Steam, regresando a la esencia de la saga. Un filtrador sugiere que GTA 6 podría retrasarse hasta septiembre de 2026, con un precio de hasta 120€. Además, la mítica Commodore ha vuelto con el Commodore 64 Ultimate, una reproducción fiel con tecnología FPGA.Titulares y Quemando ControlesEn titulares: La portátil ROG Xbox Ally sale el 16 de octubre. Hellblade II Enhanced llega a PS5. La demo de Don't Lose Aggro ya está. Problemas en el desarrollo de BioShock 4 y cancelación del remake. Yoshi's Island celebra 30 años. Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 sale el 21 de octubre. La PS5 sube de precio en EE.UU. En Quemando Controles: Dani juega Mafia Definitive Edition 1 y 2, y Nacho, la demo Shinobi Art of Vengeance.
Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. (Rediffusion) Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ? Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association. Programmation musicale : ► Roseaux, Ghetto boy – My people ► Ÿuma – Elli fet.
Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. (Rediffusion) Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ? Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association. Programmation musicale : ► Roseaux, Ghetto boy – My people ► Ÿuma – Elli fet.
* Kan ordningen med brukerstyrt personlig assistanse (BPA) bli statlig? * Kontrollutvalget overvar åpning av ny videregående skole i Lom. Der møtte vi Sylvi Listhaug som snakker om kommuneøkonomi og kommunereform. * Eventuelt: Varaordføreren i Moss arrangerte nachspiel i formannskapssalen.
Lorsque les gouverneurs allemands initient la construction du Palais de Lomé à partir de 1902, ils pensent à une architecture symbole du pouvoir colonial, une architecture dominante, imposante et visible depuis le large par les navires. Abandonné et livré à la forêt depuis les années 1990, l'ancien Palais est aujourd'hui restauré et rompt avec le passé. Ancien lieu d'exclusion, il ouvre ses portes aux visiteurs pour leur proposer un centre d'art et de culture où une nouvelle histoire se raconte, du point de vue togolais. (Rediffusion) Un nouvel épisode de La marche du monde signé Valérie Nivelon, Victor Uhl et Sophie Janin. À découvrir : Visitez le Palais de Lomé dirigé par Sonia Lawson, grâce à son site officiel Palais de Lomé est sur FB et insta Palais de Lomé (@palaisdelome) - Instagram. Tous nos remerciements aux participants : - les artistes Kugbe Koffi Apelete dit Kukoff, Akpaloo Abla Sika et Kodjovi Tessi. - le professeur d'histoire contemporaine Joseph Tsigbe. - les enfants de l'École Ndiaye Boubacar, leur instituteur Apéléte Kodjo Dagnissede et leur directeur Amah Amouzou - messieurs Akoli Hiheglo, chef de chantier et praticien en médecine traditionnelle, Eric Agbessy, docteur en Biologie et expert en Biodiverdité, Mike Hounsinou, représentant de l'African Bird Club (ABC). Spéciale dédicace à Sonia Lawson, directrice du palais de Lomé, à Joana Faye, chargée de la communication et à toutes les équipes du palais. Diaporama
This week we're finally getting serious and doing some deep reflection discussing 2 of our favorite things in the galaxy, the bug head bounty hunter buddies, ZUCKUSS and 4-LOM. It'a all about the legend of 4-LOM and Zuckuss, the behind the scenes story, the myths and mystery surrounding them, what they teach us about ourselves and why we were too scared to eat an eclair from Mrs. 4-LOM in Japan. Plus - Star Wars 77 returning to theaters in 1 year and 8 months?! We're making plans! So take a photo of 4-LOM's crotch, listen today and celebrate the love! JOIN THE BLAST POINTS ARMY and SUPPORT BLAST POINTS ON PATREON! NEW ANDOR SEASON 2 EPISODE COMMENTARIES! COMMENTARIES FOR EVERY SKELETON CREW EPISODE! NEW EMPIRE STRIKES BACK COMMENTARY! Theme Music! downloadable tunes from episodes! Extra goodies! and so much MORE! www.patreon.com/blastpoints Blast Points T-SHIRTS are now available! Represent your favorite podcast everywhere you go! Get logo shirts while supplies last! Perfect for conventions, dates, formal events and more! Get them here: www.etsy.com/shop/Gibnerd?section_id=21195481 If you dug the show, please leave BLAST POINTS a review on iTunes, Spotify and share the show with friends! If you leave an iTunes review, we will read it on a future episode! Honestly! Talk to Blast Points on twitter at @blast_points "Like" Blast Points on Facebook Join the Blast Points Super Star Wars Chill Group here www.facebook.com/groups/ BlastPointsGroup/ we are also on Instagram! Wow! www.instagram.com/blastpoints Your hosts are Jason Gibner & Gabe Bott! contact BLAST POINTS at : contact@blastpointspodcast.com May the Force be with you, always! This podcast is not affiliated in any way with Lucasfilm Ltd. LLC, The Walt Disney Company, or any of their affiliates or subsidiaries.
« Mon pied, ton pied », « L'œil de ma rivale », « Alphabet », « Fleurs de mariage », autant de dénominations qui correspondent à des motifs de wax, tissu emblématique du continent africain. Le wax est un coton imprimé sur les deux faces grâce à l'usage de la cire qui se dit justement « wax » en anglais ! Mais connaissez-vous l'histoire longue de ce tissu inspiré par le batik indonésien de l'île de Java dont les motifs et les couleurs ont traversé les frontières et les siècles ? (Rediffusion) Émerveillés par sa finesse et sa qualité, les marchands néerlandais qui découvrent le batik à la fin du XIXè siècle veulent industrialiser son processus de fabrication pour inonder le marché indonésien… sans succès. Ce seront dans les cours royales du Royaumes de Bénin, l'actuel Nigeria ou du Dahomey, l'actuel Bénin, que les élites africaines se montreront sensibles à ces nouveaux tissus venus d'Indonésie. Africanisés par les marchands européens, puis commercialisés et popularisés par les revendeuses africaines, le wax va devenir un tissu très prisé par les femmes et les hommes du continent au tournant des indépendances. Incarné par l'épopée économique et politique des nana benz (nana signifie maman en langue fongbé), le succès du wax hollandais en Afrique va exploser dans les années 60. Marqueur colonial pour les uns, marqueur de l'identité africaine pour les autres, l'histoire de ce tissu fabriqué par les Blancs et porté par les Noirs est paradoxale ! Avec Manuel Martin, Historien des arts africains et anthropologue, Soloba Diakité, historienne de l'art, Dalé Hélène Labitey, docteure en droit et Soalinane Thérèse Tchintchan, historienne. À voir si vous êtes de passage à Paris : l'exposition Wax. Playlist du jour : - Ozane avec David Tayorault : Ton pied mon pied 2022 - Beyoncé et ses invités : Brown skin Girl 2019. Pour aller plus loin : La marche du monde sur RFI : Portrait de Lomé des nana benz aux yéyés. À lire : - «Wax Stories, histoires de pagnes», publié par la Fondation Zinsou - «Wax paradoxe», de Justine Sow.
Un document de plus paraphé ce week-end après l'accord scellé à Washington le 27 juin entre Kinshasa et Kigali. « La quête de la paix dans l'est de la RDC avance donc sur deux fronts distincts, mais complémentaires », souligne Econews. Le texte conclu au Qatar ouvre la voie à un cessez-le-feu, mais, selon le média congolais en ligne, la « population de l'est, épuisée par des années de violence, observe ces développements avec un mélange d'espoir et de méfiance ». « Les Congolais doivent rester lucides et se dire que cet accord ne guérira pas en un jour les plaies béantes de Goma ou Bunagana », prévient aussi Le Pays. Un accord à transposer sur le terrain Econews, encore, rappelle que « les précédents accords ont échoué en raison du manque de suivi ». « Ces accords de paix sont comme des papillons, beaux et éphémères », prophétise Le Pays, « le plus souvent écrasés sous les bottes de la cupidité et des ambitions démesurées des prédateurs ». D'ailleurs, le journal congolais Le Potentiel grince : « les véritables gagnants dans cette affaire sont les États-Unis », comédiateurs dans ce conflit donc avec le Qatar. « Sans tirer un seul coup de feu, ils obtiennent un accès stratégique à une part importante des minerais du Congo contre une promesse de paix. Une paix monnayée, floue, sans véritable levier de transformation pour les populations », souffle le quotidien de Kinshasa. La situation au Sahel au cœur d'une rencontre entre la presse et Abdelmajid Tebboune Selon Dernières infos d'Algérie, le dirigeant a « rassuré » à propos de la menace que peut représenter la crise sécuritaire au Sahel, insistant sur « la grande expérience de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ». « Le pays a beaucoup aidé les frères maliens à surmonter la crise et reste disposé à le faire », mais l'Algérie refuse la présence de mercenaires russes à sa frontière a averti le président Tebboune. Les combattants de Wagner, et maintenant ceux de l'Africa Corps ont toujours « irrité » Alger rappelle TSA. Le Matin d'Algérie note en revanche les nombreuses lacunes d'un « pathétique monologue » du président Tebboune, dans un « exercice de communication bien huilé ». Aucune question sur les conséquences dans les relations avec Moscou, rien non plus sur les accusations de certains acteurs maliens qui reprochent à l'Algérie une certaine complaisance à l'égard de réseaux jihadistes opérant dans la région. Des mercenaires africains engagés par la Russie en Ukraine El Pais commence par évoquer le sort d'un Nigérian, il s'appelle Oluwagbemileke Kehinde. Il a été engagé comme par la Russie où il était venu faire ses études il y a quatre ans et a été capturé il y a quelques jours par l'Ukraine. Son cas est loin d'être isolé, Moscou promet à des Africains de travailler pour l'armée russe loin du front. L'offre est alléchante : « 2 000 euros par mois et un passeport russe », liste El Pais, mais en quelques semaines, « l'appât qui les a poussés à signer un contrat se transforme en cauchemar ». Ils sont alors envoyés dans des assauts massifs, meurent ou sont faits prisonniers. Comme le Nigérian Kehinde, des centaines de ressortissants de dix pays africains se sont retrouvés pris au piège, sauf qu'ensuite « ni la Russie, ni leur pays d'origine ne les réclament ». D'ailleurs, selon les archives de la diplomatie ukrainienne consultée par le média ibérique, seule Lomé s'est préoccupé du sort de ses ressortissants captifs.
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
It's the treat of all treats! The star of the 2006 Lifetime Original Movie THE SITTER, Mariana Klaveno, joins the show to talk about her experience making the movie, a cute focus puller on set, stealing wardrobe, and uncomfortable kissing scenes. Mariana was also in a little show called True Blood, but who cares about that when there's a LOM in the mix? From IMDb: A family hires live-in nanny Abby Reed whose obsession with the father becomes increasingly dangerous when she decides to take his wife's place in the family. Get Mother, May I Sleep With Podcast? early and ad-free on Patreon Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nos visita Luigi de El Dogcast. El perrito que viajó a Roma disfrazado de Papa. Luigi nos explica sobre el entrenamiento y rehabilitación de perros. El perrito alfa King Charles. Lo Más Masculino de la Semana. El awawa, un animal muy feo que se ha vuelto viral. El conflicto entre […]
La protection des mers, c'est l'enjeu de la troisième Conférence de l'ONU sur l'Océan, qui s'ouvre lundi 9 juin à Nice, dans le sud de la France. L'un des sujets majeurs de ce sommet, c'est la pollution des mers par les plastiques. Comme dit Foga Agbetossou, les microplastiques n'ont pas besoin de visas pour arriver sur les côtes africaines. Foga Agbetossou est le responsable pour le Togo de l'ONG SOA, pour Sustainable Ocean Alliance, Alliance pour un océan durable, en français. En ligne de Lomé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Foga Agbetossou, vu d'Afrique, qu'est-ce que vous attendez de cette troisième Conférence des Nations unies sur l'océan ? Foga Agbetossou : Il faut dire que l'Afrique s'attend à beaucoup de choses, surtout en matière de conservation. Donc, nous attendons à ce que les jeunes Africains puissent avoir plus de poids en matière de discussion sur les questions liées aux océans.Est-ce qu'avec le réchauffement climatique, vous craignez une élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines ?Bien sûr, cette élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines n'est pas à craindre puisque c'est quelque chose qui se passe déjà. Les côtes les plus vulnérables sur le continent africain sont les côtes qui sont principalement constituées de plages sableuses. Puisque, vous le savez, les plages sableuses ne sont pas très résistantes face à l'avancée de la mer, face au phénomène d'érosion côtière. Donc, dès que les vagues déferlent sur les côtes, ces plages sableuses ne résistent pas aux vagues qui les érodent.Et du côté des mangroves ?Et les mangroves aussi. Comme les mangroves sont partie intégrante des systèmes côtiers, elles sont également menacées et, du coup, elles perdent leurs potentiels de résistance face aux inondations et aux phénomènes d'érosion côtière.Et qu'en est-il pour les îles au large du continent africain, notamment du côté de l'océan Indien ? Oui, ces îles sont également très menacées face au réchauffement climatique, puisque ces îles sont des zones de prédilection de ce que nous appelons les récifs coralliens. Et ces récifs coralliens, figurez-vous, ce sont des organismes qui créent des écosystèmes où d'autres poissons viennent se reproduire et où il y a beaucoup en termes de biodiversité marine. Donc, avec le réchauffement climatique, avec ses corollaires d'élévation du niveau de la mer, d'élévation du taux de CO2 dans la mer, ces récifs coralliens perdent en fait leur efficacité, perdent certaines de leurs activités biologiques et expulsent des organismes qui sont responsables de leur croissance. Donc, une fois qu'ils expulsent ces organismes-là, ils subissent ce qu'on appelle le blanchissement et ils perdent leurs fonctions biologiques. Et du coup, cela constitue un très grand problème, surtout pour ces îles comme Zanzibar, les Seychelles, les Comores et autres, qui sont dans l'océan Indien. Et figurez-vous que même une partie de leur économie en matière de pêche repose sur ces écosystèmes de récifs coralliens.Alors, toujours au chapitre du réchauffement climatique, l'un des sujets de cette conférence de Nice, ce sont les émissions de CO2 provoquées par le transport maritime. Ce secteur est à l'origine de 3 % des émissions mondiales de CO2, soit presque autant que l'avion et presque autant que l'ensemble du continent africain. Qu'attendez-vous d'une telle conférence au sujet du trafic maritime, justement ?Oui. Quand vous parlez des 3 %, on peut peut-être penser que c'est un chiffre infime. Mais les 3 % représentent en fait 1056 millions de tonnes de CO2 qui sont émis par le domaine maritime, les bateaux et tout le reste.Est ce qu'il faut que les bateaux arrêtent d'utiliser du fioul ? Et à ce moment-là, par quoi faut-il le remplacer ? Bien entendu, il faudrait qu'on se tourne vers les nouvelles technologies et remplacer ces carburants par d'autres carburants alternatifs comme l'hydrogène. Les recherches sont en cours et, à Lomé même récemment, il y a un institut, un centre Wascal.org qui est un centre de recherche sur les questions climatiques, qui, avec d'autres partenaires, a mis sur pied un institut de recherche sur l'hydrogène dont des avancées se font déjà sur le continent, principalement au Togo. Mais je crois qu'il faut qu'on se tourne beaucoup plus vers ces carburants alternatifs. Comme je le disais, il y a l'hydrogène. Il y a également des biocarburants marins. Des recherches sont en cours pour voir si on pourrait utiliser les algues et les déchets marins pour fabriquer du carburant pour ces bateaux. Il y a également un domaine qui est en pleine recherche actuellement, qui est l'électrification des ports. Il faut doter les ports des équipements d'énergies renouvelables pour réduire l'empreinte carbone.Donc il faudrait, sur le port de Lomé, des bornesélectriques où les bateaux viendraient recharger leurs batteries ?Exactement.Mais est ce que ce n'est pas quelque chose qui va prendre des années et des années ? Bien sûr que ça prendra des années. Mais tout rêve commence par un pas. Donc si nous ne faisons pas ce pas aujourd'hui, on risque de répéter les mêmes choses après 40 ou 50 ans.Lors de cette conférence, la France va proposer que les armateurs et les transporteurs maritimes payent une taxe carbone pour financer la transition énergétique. Mais beaucoup de pays sont contre. Qu'est-ce que vous en pensez ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.L'un des fléaux des mers aujourd'hui, c'est le plastique. Alors vu d'Afrique, est-ce que la pollution plastique est une réalité ou pas ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, a produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.Et le problème, c'est que ces plastiques ne sont pas biodégradables. C'est ça ? Oui, la majeure partie de ces plastiques ne sont pas biodégradable. Une fois qu'ils entrent dans l'environnement marin, ils prennent des décennies, quelquefois même des centaines d'années, à se désintégrer par suite des processus physiques qui se déroulent dans la mer. Et donc, année après année, les plastiques augmentent en pleine mer. Et cela constitue un danger notoire pour les organismes qui vivent dans la mer. Et lorsque ces plastiques arrivent à se désintégrer aussi, ils se désintègrent et deviennent des microplastiques qui sont quelquefois confondus par certaines espèces marines avec des aliments. Ces espèces les ingurgitent. Et tout cela finit sur nos tables lorsque nous consommons de ces espèces.Donc il y a des poissons qu'il ne faut plus manger, c'est ça ? Je ne dirai pas qu'il ne faut plus manger, mais on ne sait pas quel poisson a ingurgité ces microplastiques et lequel n'en a pas pris. Donc, nous nous attendons à ce que des avancées notoires soient faites sur la question de la pollution plastique, puisque c'est une question qui touche non seulement l'Afrique, mais aussi les autres continents. Et le problème également, c'est que les plastiques qui sont rejetés sur d'autres continents n'ont pas besoin de visas avant de venir sur nos côtes. Et donc je crois qu'il faut vraiment développer une solution qui serait globale pour la question du plastique. Et je crois qu'une prochaine session se tiendra à Genève, en Suisse, et je crois qu'ils vont développer un traité mondial sur le plastique, un traité mondial que les États vont ratifier pour que tous ensemble, nous puissions trouver une solution globale pour ce problème global.Oui, mais vous savez bien que cet accord international que tout le monde appelle de ses vœux, les pays producteurs de pétrole n'en veulent pas puisque le plastique est fait à partir du pétrole.Oui, oui. Mais ce n'est pas parce que certains États ont refusé de ratifier le traité que nous allons nous empêcher de faire ce qui est bien. Il faut quand même aller dans la bonne direction et, un de ces jours, nous sommes positifs. Nous croyons que ces États vont céder.Et de ce point de vue, qu'est-ce que fait votre ONG, SOA, Sustainable Ocean Alliance, l'Alliance pour un Océan Durable, contre ce fléau des plastiques ?À SOA Togo, nous nous sommes rendu compte qu'en fait, en Afrique et spécialement au Togo, beaucoup de personnes ne sont pas informées sur les questions relatives aux océans. Et c'est d'ailleurs ce qui a motivé la création de cette organisation au Togo. Et ce que nous faisons, c'est que d'abord nous essayons de rapprocher l'océan des populations. Nous essayons de parler aux populations, nous faisons des tournées dans des écoles pour parler aux jeunes apprenants, pour familiariser les gens sur les questions relatives aux océans. Et pendant ces campagnes de sensibilisation, l'un des sujets principaux que nous débattons, c'est la question du plastique et nous montrons justement aux apprenants les bonnes pratiques à faire pour pouvoir réduire la pollution plastique, sinon l'éviter carrément.Donc votre message, c'est que la mer, ce n'est pas une poubelle.Oui, bien entendu, la mer n'est pas une poubelle, tout comme nos maisons respectives ne sont pas des poubelles. La mer, les fleuves, les rivières, ce sont des écosystèmes, des habitats d'autres organismes. Donc, il faut que nous travaillions à ne pas en faire des poubelles.La préoccupation majeure des professionnels de la mer en Afrique, c'est la surpêche, notamment la pêche industrielle. Que peut faire cette conférence de l'ONU à Nice, en France, pour réguler cette pêche sur les côtes africaines ?Oui, je pense à la convention d'Abidjan et je crois qu'il y a certains éléments qui manquent à la Convention et sur lesquels la Conférence peut également travailler pour régler la question de la surpêche sur le continent. En fait, ce qui se passe sur le terrain, c'est qu'il y a des bateaux, des industriels provenant d'autres pays qui viennent effectuer ces surpêches au large du continent africain et qui violent certains règlements qui sont en cours. Donc, je crois que la Conférence peut travailler à maximiser les efforts pour renforcer les mesures protectives contre cette surpêche.Et vous trouvez que la Convention d'Abidjan n'est pas assez contraignante ? Il y a certains des éléments qu'on pourrait ajouter à cette Convention, tels que la question de la pêche artisanale. Cette question n'a pas été bien traitée dans cette Convention, puisque lorsque ces bateaux industriels font cette surpêche, ils entrent en fait en compétition avec la pêche artisanale et ils menacent la sécurité alimentaire dans nos pays.Un accord a été rédigé qui vise à contrecarrer et éliminer la pêche illégale : 64 % des États côtiers du monde ont signé cet accord, ce qui veut dire qu'il reste 36 % des pays qui ne l'ont pas signé. Ce qui signifie qu'il y a de la résistance, non ? Bien sûr, cette résistance provient principalement de ces pays qui trouvent un intérêt dans la surpêche. Quand je pense à la Chine, vous savez que même la Chine intervient au large de plusieurs pays africains. Au Ghana même, la question est très cruciale. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du Saiko Fishing. Donc, ce sont des Chinois qui viennent au large des côtes ghanéennes et qui font leurs activités de façon illicite et qui font même des transbordements. Ils vendent des espèces juvéniles. Ils vont jusqu'aux espèces juvéniles, les vendent aux pêcheurs traditionnels qui reviennent les vendre sur le continent. Donc je crois que, au point où nous sommes arrivés, l'océan constitue beaucoup de potentialités que nous pourrons exploiter pour notre développement. Mais pendant que nous exploitons les ressources de l'océan, il faut penser à les exploiter de façon durable, parce que l'océan entretient la vie sur la terre. L'océan produit près de la moitié de l'oxygène que nous respirons et l'océan a encore beaucoup d'éléments à nous offrir. Et si nous nous précipitons à détruire ces ressources, nous risquons de ne pas avoir accès aux autres ressources que l'océan réserve pour nous. Donc, j'exhorte la population mondiale, j'exhorte les États à prendre des décisions qui iront à l'avantage de l'océan.À lire aussiTogo: la ville d'Aného lutte pour faire face à l'érosion et garder ses plagesÀ lire aussiAvant la conférence onusienne sur l'Océan, des scientifiques publient 10 recommandations pour le préserver
« Les entreprises françaises sont trop frileuses en Afrique, elles doivent se réengager sur le continent », déclare Étienne Giros, le patron des opérateurs français en Afrique, qui publie 54 nuances d'Afrique aux éditions Télémaque. Étienne Giros a travaillé 23 ans dans le groupe Bolloré. Depuis onze ans, il préside le CIAN, l'association professionnelle qui regroupe les entreprises françaises opérant en Afrique. Il salue la résilience des quelque 5 000 opérateurs français qui travaillent toujours en Afrique et qui emploient 700 000 personnes. Mais il les invite à plus d'audace. Étienne Giros est le Grand invité Afrique de Christophe Boisbouvier. RFI : Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ne sont pas d'accord sur tout, comme chacun le sait, mais ils sont d'accord pour dire que les entreprises françaises en Afrique profitent trop d'une situation de rente et qu'elles n'innovent pas assez. Pourquoi cela vous met-il en colère ?Étienne Giros : Cela m'agace parce que cela ne correspond pas à la réalité. Qu'est-ce que c'est qu'une rente ? Une rente, c'est bénéficier d'une situation de monopole qu'on va créer soi-même pour obtenir des tarifs élevés et ne pas développer des progrès techniques, etc. Les grands groupes français et les entreprises de taille moyenne, qui sont en France, ont peut-être eu des situations de rente en Afrique il y a cinquante ou soixante ans. Maintenant, rien n'est plus faux que cela. Les entreprises françaises sont soumises à la concurrence. Je prends un exemple d'un groupe que je connais bien : l'ancien groupe Bolloré qui maintenant s'appelle en Afrique AGL. Il est en concurrence avec des opérateurs chinois, dubaïotes et originaires d'autres régions du monde sur les ports. Le groupe Orange, qui est très important en Afrique dans la téléphonie, est en concurrence avec sept ou huit opérateurs mondiaux. S'il ne performe pas en qualité et s'il n'a pas les bons prix, je peux vous dire qu'il sera battu. C'est donc une erreur de croire que nous sommes en position de monopole.Est-ce que la compagnie Air France ne profite pas de sa position de monopole sur certaines lignes pour imposer des billets d'avion très très chers ?J'avoue que cela peut arriver et que les billets sont chers. C'est une question souvent de permis et d'autorisation de slots [les créneaux horaires donnés à une compagnie aérienne, NDLR] qui doivent être donnés par les autorités africaines. On appelle de nos vœux l'ouverture de ces marchés, car la communication entre les pays africains est très importante et effectivement c'est trop cher.Vous dites que les entreprises françaises restent très présentes en Afrique. Elles sont plus de 5 000, elles emploient 700 000 Africains pour un chiffre d'affaires de combien ?Cent milliards d'euros, ce qui est beaucoup plus que tout le volume d'affaires que nous faisons avec les États-Unis ou la Chine.Mais vous dites aussi, que depuis le Covid-19 de 2020, vous voyez des chefs d'entreprise français qui préfèrent renoncer à leurs projets en Afrique. Pourquoi ?Ils renoncent ou ralentissent parce qu'ils sont confrontés à un ressenti du risque africain qui est élevé. Le départ de la France dans des conditions compliquées, on va dire cela comme ça, du Sahel, les affaires de conformité avec le risque réputationnel ou le risque d'être traîné devant les tribunaux, les questions de la corruption qui perdurent et la petitesse des marchés…Tout cela fait que les entreprises françaises y réfléchissent à deux fois avant d'aller sur place. Notre travail, c'est de faire baisser le ressenti du risque en disant : « Non, l'Afrique n'est pas plus risquée qu'ailleurs ». Deuxièmement, en disant « Petit marché deviendra grand, une classe moyenne en Afrique arrive, la croissance démographique est là et ce continent est ouvert sur le monde ».Vous racontez dans votre livre l'histoire d'une entreprise française implantée en Afrique qui réclamait son argent. Le ministre des Finances de l'État concerné lui a répondu : « Je vous paye si vous me donnez 10% en dessous de la table ». C'est ce qu'on appelle du chantage. Comment cette entreprise française s'en est-elle tirée ?Elle s'en est tirée parce que c'était un grand groupe qui avait les reins solides. Elle a attendu. Elle a discuté avec les bailleurs de fonds. Elle a rendu public, non pas dans la presse mais à certaines personnalités, cet état de fait. Finalement au bout d'un an, un an et demi, ça a été réglé. Mais une entreprise de taille moyenne qui ne peut pas tenir un an, un an et demi et qui a les emplois en cause, va quelquefois, soit être obligée de partir, soit être obligée de céder. Tout ça pour dire que je sais que peut-être certains ne vont pas être d'accord avec ce que je vais dire. Et je pense que les entreprises dans les affaires de corruption sont davantage victimes qu'opératrices.Un groupe français bien connu, le groupe Bolloré, pour lequel vous avez travaillé, est visé par la justice française qui le soupçonne d'avoir acquis frauduleusement la gestion des ports de Lomé et de Conakry. Est-ce que le groupe est plutôt victime ou plutôt coupable ?Je ne vais pas prendre parti sur ce dossier d'autant que la justice n'a pas encore rendu ses conclusions. Je ne peux pas répondre à votre question.Cette affaire judiciaire n'est-elle pas la raison pour laquelle Vincent Bolloré a vendu toutes ses activités africaines en 2022 à l'armateur italo-suisse MSC ?Je ne suis pas mandaté pour expliquer les motivations du groupe pour son départ d'Afrique dans les domaines du transport. Je ne crois pas que cela soit la raison. Je crois que c'est simplement un arbitrage d'actifs. Et ce groupe, qui est un groupe puissant, qui évolue beaucoup, a décidé d'orienter sa stratégie de manière différente et de quitter les transports, puisqu'il a vendu, certes, ses activités de transport en Afrique à MSC, mais il a aussi vendu ses activités de transport monde à CMA CGM. Ce n'est pas l'Afrique qui était visée. Je pense que c'était simplement une réorientation stratégique. D'ailleurs, ce groupe conserve sa présence en Afrique dans le domaine des médias. Canal+, qui appartient à ce groupe, est en cours d'acquisition du grand opérateur de télévision payant sud-africain qui s'appelle Multichoice, une énorme acquisition sur toute l'Afrique australe. Deuxièmement, il déploie la fibre dans une dizaine de pays. Je pense donc que ce n'est pas un signe de désintérêt de l'Afrique, c'est plutôt une réorientation stratégique.
Le 31 mai, c'était la Journée mondiale sans tabac. Si ces dangers sur la santé sont aujourd'hui connus du grand public, le tabac est responsable de plus de 8 millions de morts chaque année, dont 1,3 million de fumeurs passifs, selon l'OMS en 2023. La nicotine rendant cette substance très addictive, le sevrage des fumeurs et des fumeuses est un véritable défi au niveau individuel. Comment arrêter de fumer ? Pourquoi est-il important de se faire aider ? Quels programmes d'accompagnement au sevrage tabagique existent dans le monde ? Dr Mathilde Sennhauser, psychiatre-addictologue au CSAPA Moreau de Tours, au Centre Hospitalier Sainte Anne Pr Messanh Soedje, psychiatre et addictologue des hôpitaux. Professeur de Psychiatrie d'adultes à la Faculté des Sciences de la Santé de l'Université de Lomé. Chef de service de psychiatrie au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. Reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Otis Redding – Cigarettes and coffee ► Sahad – We can do.
Le 31 mai, c'était la Journée mondiale sans tabac. Si ces dangers sur la santé sont aujourd'hui connus du grand public, le tabac est responsable de plus de 8 millions de morts chaque année, dont 1,3 million de fumeurs passifs, selon l'OMS en 2023. La nicotine rendant cette substance très addictive, le sevrage des fumeurs et des fumeuses est un véritable défi au niveau individuel. Comment arrêter de fumer ? Pourquoi est-il important de se faire aider ? Quels programmes d'accompagnement au sevrage tabagique existent dans le monde ? Dr Mathilde Sennhauser, psychiatre-addictologue au CSAPA Moreau de Tours, au Centre Hospitalier Sainte Anne Pr Messanh Soedje, psychiatre et addictologue des hôpitaux. Professeur de Psychiatrie d'adultes à la Faculté des Sciences de la Santé de l'Université de Lomé. Chef de service de psychiatrie au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. Reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Otis Redding – Cigarettes and coffee ► Sahad – We can do.
Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ».
Un président de la République et un président du Conseil… Deux titres, deux fonctions bien différentes… Samedi, l'ex-président Faure Gnassingbé a prêté serment en qualité de président du Conseil. « Faure Gnassingbé davantage au service de la gouvernance », titre le quotidien Togo Matin qui note aussi l'élection du nouveau président de la République par les députés, Jean-Lucien Savi de Tové, 86 ans, qualifié lui d'« homme qui maîtrise les rouages de la gouvernance ».« Savi de Tové a été élu pour un mandat de quatre ans renouvelable une seule fois, précise Jeune Afrique. Il ne dispose d'aucun pouvoir exécutif ni décisionnel et se voit réduit à un rôle principalement symbolique, incarnant l'unité nationale, “le respect de la Constitution et la continuité de l'État“. Il conserve quelques prérogatives, telles que l'accréditation des ambassadeurs, la réception des diplomates étrangers et le droit de grâce à titre individuel. Mais ces actes devront être contresignés par le président du Conseil ».Un coup d'État constitutionnel ?Bref un poste purement honorifique… c'est le président du Conseil, Faure Gnassingbé, donc, qui tirera les ficelles. « Le Togo a un nouveau président, mais Faure Gnassingbé conserve le pouvoir réel », constate le site d'information IciLomé. « Suite à la récente réforme constitutionnelle qui a fait passer le pays à un système parlementaire, précise-t-il, le nouveau poste de président du Conseil des ministres a été créé. Ce poste constitue la plus haute fonction exécutive du gouvernement et, notamment, n'est assorti d'aucune limitation officielle de mandat. Les critiques ont dénoncé cette décision comme un “coup d'État constitutionnel“, pointe encore IciLomé, arguant qu'elle permet de fait à Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005, de prolonger indéfiniment son emprise sur le pouvoir ».« Faure Gnassingbé désormais plus fort que jamais… »Résultat, note Afrik.com, « la IVe République est définitivement enterrée et sur son tombeau s'élève désormais une Ve République dont les institutions sont taillées sur mesure pour le prince du moment, Faure Gnassingbé, désormais plus fort que jamais. (…) Sous couvert d'un changement constitutionnel habilement orchestré, poursuit Afrik.com, le Togo s'enfonce dans un autoritarisme légaliste où les formes de la démocratie servent à en nier le fond. Cette réforme de la Constitution, adoptée sans consultation populaire et entérinée par un Parlement monochrome, confère à Faure Gnassingbé une position inédite de chef d'un exécutif consolidé, sans contre-pouvoirs réels. (…) Il ne s'agit pas ici d'un simple ajustement institutionnel, mais d'un coup de force à froid, validé par les urnes sans véritable compétition et par des institutions inféodées. (…) Faure Gnassingbé consolide peut-être son trône, conclut Afrik.com ; mais il fragilise irrémédiablement l'idée même de démocratie dans son pays ».Vers une monarchie républicaine ?En fait, renchérit Le Pays à Ouagadougou, « on change de façade ; on repeint la vitrine ; mais à l'intérieur, c'est toujours la même boutique familiale. Rien de nouveau donc sous le soleil de Lomé, sinon la confirmation d'un pouvoir éternel détenu par un chef d'État sans date d'expiration (…). Car, si le décor change, le scénario lui, risque de rester tragiquement le même, puisqu'avec l'architecture institutionnelle actuelle, le peuple sera évincé du processus politique à partir du moment où le président Faure n'affrontera plus le suffrage universel direct. (…) Ce qui se dessine au Togo, résume Le Pays, est une forme de monarchie républicaine, où le pouvoir se conservera au sein d'un cercle restreint à la tête duquel trône un président autoritaire et omniprésent ».Formule magique ?Et tout cela, sans la moindre anicroche, pointe Ledjely en Guinée : « la stratégie est plutôt efficace. Samedi, Faure Gnassingbé a tranquillement inauguré le premier mandat de la Ve République. Un bail pour lequel il n'aura pas consenti de grands efforts. Aucune campagne électorale, aucun débat télévisé, pas d'évaluation du bilan, pas de présidentielle à enjeux, pas de fraude à orchestrer, pas de contestations électorales et par conséquent, de prétexte à coup d'État. Tout s'est réglé en quelques minutes à l'Assemblée nationale où les choses étaient d'autant plus faciles que l'UNIR, le parti présidentiel, détient 108 des 113 sièges. Voilà qui est pratique non ?, s'exclame encore Ledjely. Au point qu'on imagine d'autres dirigeants à travers le continent voulant se laisser inspirer par cette formule magique ».
Mpox, Ebola, VIH, fièvre de Lassa…. Nous faisons un point sur les maladies infectieuses émergentes au niveau mondial et sur les défis de la recherche internationale. Quelles sont les épidémies en cours dans le monde ? Comment les chercheurs s'organisent et mettent en commun leur travail ? Comment améliorer cette collaboration pour une meilleure prise en charge des épidémies, en dépit de la volte-face de l'un des acteurs majeurs – les États-Unis – de la lutte contre les épidémies, à l'échelle mondiale ? Dr Eric D'ORTENZIO, Médecin, Épidémiologiste, Inserm / ANRS Maladies infectieuses émergentes. Dr Eddy KINGANDA LUSAMAKI, Médecin Chercheur à l'Université de Kinshasa et l'Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) à Kinshasa en RDC et post-doc à l'unité TransVIHMI à l'Institut de Recherche pour le Développement à Montpellier en France Dr Didier Koumavi EKOUEVI, Professeur de Santé Publique à l'Université de Lomé au Togo, Chef du Département de Santé Publique. Dr Mireille MPOUDI, médecin infectiologue-épidémiologiste au ministère de la Défense du Cameroun Programmation musicale :► Boypee, Brown Joel, Hyce – Another day ► Sandalia de prata, Uli Costa – Roupa de tirar
Mpox, Ebola, VIH, fièvre de Lassa…. Nous faisons un point sur les maladies infectieuses émergentes au niveau mondial et sur les défis de la recherche internationale. Quelles sont les épidémies en cours dans le monde ? Comment les chercheurs s'organisent et mettent en commun leur travail ? Comment améliorer cette collaboration pour une meilleure prise en charge des épidémies, en dépit de la volte-face de l'un des acteurs majeurs – les États-Unis – de la lutte contre les épidémies, à l'échelle mondiale ? Dr Eric D'ORTENZIO, Médecin, Épidémiologiste, Inserm / ANRS Maladies infectieuses émergentes. Dr Eddy KINGANDA LUSAMAKI, Médecin Chercheur à l'Université de Kinshasa et l'Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) à Kinshasa en RDC et post-doc à l'unité TransVIHMI à l'Institut de Recherche pour le Développement à Montpellier en France Dr Didier Koumavi EKOUEVI, Professeur de Santé Publique à l'Université de Lomé au Togo, Chef du Département de Santé Publique. Dr Mireille MPOUDI, médecin infectiologue-épidémiologiste au ministère de la Défense du Cameroun Programmation musicale :► Boypee, Brown Joel, Hyce – Another day ► Sandalia de prata, Uli Costa – Roupa de tirar
IT'S BAAAAACK!!! We're picking up right where we left off! In this episode, we review Black Bespin Guard, Sensorscope R2-D2, 4-LOM, and Zuckuss action figures! Want to know where to begin and what to look for when collecting Vintage Star Wars toys? We put our knowledge of collecting on the front line for you, our viewers. We discuss each individual figure's accessories, trouble spots when determining condition, and more, and we will be discussing each one. Please enjoy our in-depth review of figures THRITY-SEVEN through FORTY of the original Star Wars action figures!
#wwe #aew #wrestling E:171 T:7 Aquí hablamos “¡Lo Más HOT de la Lucha Libre 2025! WWE, AEW, El Adiós del Hijo del Santo y Más!” y más…
Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ? Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association. Programmation musicale :► Roseaux, Ghetto boy – My people► Ÿuma – Elli fet.
Douleurs abdominales vives et persistantes, fièvre... Ces symptômes assez vagues peuvent recouvrir une multitude de pathologies, parmi lesquelles la crise d'appendicite. La péritonite aiguë est une inflammation locale ou diffuse de la membrane péritonéale. L'appendicite aiguë et la péritonite sont deux urgences médicales qui requièrent une intervention chirurgicale. Souvent confondues, ces deux affections qui concernent l'abdomen sont bien différentes, quoiqu'elles puissent être liées. Quels sont les signes ? Concernant l'appendicite, de quel côté a-t-on mal au ventre ? Quels sont les traitements ? Doit-on systématiquement opérer ? Pr Richard Douard, chirurgien viscéral à la Clinique Bizet, Paris Pr Boyodi Tchangai, chef du service de Chirurgie viscérale au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. ► En fin d'émission, nous parlerons de la prise en charge du pied bot en République du Congo et plus particulièrement du travail réalisé par l'association ADRBE (Association pour le Développement et la Réadaptation du Bien-Être) avec son responsable, Thomas Robert Mbemba, kinésithérapeute et coordinateur du Programme Pied Bot CONGO au sein de l'association. Programmation musicale :► Roseaux, Ghetto boy – My people► Ÿuma – Elli fet.
Une blessure à la tête peut causer des lésions au cerveau plus ou moins graves, pouvant se manifester par des symptômes variables, comme des troubles de la vision, des pertes d'équilibre, des vertiges, mais aussi une perte de connaissance ou des troubles de la mémoire... On parle alors de traumatisme crânien léger ou sévère. Comment détecter les signes d'un traumatisme crânien ? Comment le prendre en charge en fonction de son degré de sévérité ? Quelles peuvent être les séquelles ? Pr Nozar AGHAKHANI, neurochirurgien et enseignant chercheur à l'Université Paris-Saclay, coordonnateur du centre d'évaluation et de prise en charge des traumatismes crâniens légers au sein de l'hôpital Bicêtre APHP, au Kremlin-Bicêtre Dr Jean-François CHERMANN, neurologue, spécialiste en France des commotions cérébrales chez les sportifs, à l'origine de la 1ère consultation « Commotion cérébrale et sport » à l'hôpital en France en 2010 Pr Essossinam KPELAO, neurochirurgien, chef du service de neurochirurgie du CHU Sylvanus Olympio à Lomé et Professeur à la Faculté des sciences de santé de l'Université de Lomé au Togo ► En fin d'émission, nous parlerons de l'ouverture de la 5ᵉ Maison des femmes de l'APHP, au sein de l'Hôpital Antoine-Béclère, à Clamart, un lieu d'accueil pour les femmes victimes de violences. Interview de Marine Muscat-Orbach, sage-femme, chargée de la coordination du parcours de soins de la Maison des femmes. Programmation musicale :► Alabama Shakes – Don't wanna fight► James BKS – On my way
Une blessure à la tête peut causer des lésions au cerveau plus ou moins graves, pouvant se manifester par des symptômes variables, comme des troubles de la vision, des pertes d'équilibre, des vertiges, mais aussi une perte de connaissance ou des troubles de la mémoire... On parle alors de traumatisme crânien léger ou sévère. Comment détecter les signes d'un traumatisme crânien ? Comment le prendre en charge en fonction de son degré de sévérité ? Quelles peuvent être les séquelles ? Pr Nozar AGHAKHANI, neurochirurgien et enseignant chercheur à l'Université Paris-Saclay, coordonnateur du centre d'évaluation et de prise en charge des traumatismes crâniens légers au sein de l'hôpital Bicêtre APHP, au Kremlin-Bicêtre Dr Jean-François CHERMANN, neurologue, spécialiste en France des commotions cérébrales chez les sportifs, à l'origine de la 1ère consultation « Commotion cérébrale et sport » à l'hôpital en France en 2010 Pr Essossinam KPELAO, neurochirurgien, chef du service de neurochirurgie du CHU Sylvanus Olympio à Lomé et Professeur à la Faculté des sciences de santé de l'Université de Lomé au Togo ► En fin d'émission, nous parlerons de l'ouverture de la 5ᵉ Maison des femmes de l'APHP, au sein de l'Hôpital Antoine-Béclère, à Clamart, un lieu d'accueil pour les femmes victimes de violences. Interview de Marine Muscat-Orbach, sage-femme, chargée de la coordination du parcours de soins de la Maison des femmes. Programmation musicale :► Alabama Shakes – Don't wanna fight► James BKS – On my way
L'épilepsie est la maladie neurologique chronique de l'enfant la plus fréquente. Il s'agit d'une décharge électrique produisant un court-circuit au niveau du cerveau. Mouvements convulsifs, absences, hallucinations visuelles… Les symptômes varient en fonction de la zone cérébrale affectée. Comment se manifeste l'épilepsie chez l'enfant ? Quelle prise en charge existe ? Quelles sont les conséquences éventuelles sur le développement de l'enfant ? Pr Stéphane Auvin, chef du service de neurologie pédiatrique, à l'hôpital Robert-Debré AP-HP, à Paris Pr Mofou Belo, neurologue à Lomé au Togo, chef de division de la surveillance des maladies non transmissibles au ministère de la Santé Un reportage de Louise Caledec Programmation musicale :► Aupinard – Le feu► Hammerboi – Love Letter
L'épilepsie est la maladie neurologique chronique de l'enfant la plus fréquente. Il s'agit d'une décharge électrique produisant un court-circuit au niveau du cerveau. Mouvements convulsifs, absences, hallucinations visuelles… Les symptômes varient en fonction de la zone cérébrale affectée. Comment se manifeste l'épilepsie chez l'enfant ? Quelle prise en charge existe ? Quelles sont les conséquences éventuelles sur le développement de l'enfant ? Pr Stéphane Auvin, chef du service de neurologie pédiatrique, à l'hôpital Robert-Debré AP-HP, à Paris Pr Mofou Belo, neurologue à Lomé au Togo, chef de division de la surveillance des maladies non transmissibles au ministère de la Santé Un reportage de Louise Caledec Programmation musicale :► Aupinard – Le feu► Hammerboi – Love Letter
Federico, Isabel González y Teresa de la Cierva hablan con Javier Moralejo y Jara Valtueño de la clínica LoMás.
Welcome to a new ongoing series on the LOM podcast. By suggestion of Leo Bateman, him, myself, and Zach Cross, are going to be diving into the classic Digimon: Digital Monsters anime First up, episodes 1-4