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Le fondateur de Vae Solis Communication analyse le mouvement de grève de ce jeudi 18 septembre, et la crise politique que nous vivons, qui lui semble bien plus redoutable. Pour s'en sortir, il appelle les pouvoirs publics à montrer la volonté d'un vrai changement Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Émission du 16/09/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Christopher Wangen, Investisseur et entrepreneur et Barthélémy Fendt, Fondateur du média Extraterrien. Nouveau concept : on a proposé à Barth de venir en studio pour un live de 1h pour être "coaché" par Christopher. Barth est entrepreneur, il a déjà investi mais jamais en immobilier. Alors pendant 1h, on lui procure les meilleurs conseils et stratégies pour des investissements réussis. Découvrez : Par où commencer ? Comment trouver la stratégie adaptée à votre profil ? Réussir à obtenir vos prêts à la banque, et ceux dans les meilleures conditions possible, quelle que soit votre situation. Si vous aussi vous voulez venir vous faire "coacher" en studio, ou simplement nous envoyer vos questions, ça se passe ici :
« Ce n'était pas un cash-out pour partir. C'était un deal pour aller plus loin. »Dans cet épisode de Cash Out, Julien Bruneau, cofondateur d'Iqspot, raconte les coulisses de la vente de sa startup à Citron.Une histoire où tout s'est joué sur… trois mois de croissance.Flashback.Iqspot naît avec une idée simple et ambitieuse : aider les grands propriétaires immobiliers à réduire leur consommation énergétique. Très vite, la startup décroche des contrats solides, s'impose comme un acteur crédible et rêve d'élargir son impact.Mais au moment d'envisager l'avenir, Julien réalise que pour grandir, il faudra s'adosser à plus gros. Trois repreneurs se présentent. Un groupe trop lent. Un industriel sans financement. Et Citron, qui avance vite, comprend le métier, et partage la même vision de la transition énergétique.Commence alors les négos. L'ARR est au coeur des discussions. Quelle base prendre pour calculer la valo ? Un petit temps de crispation.. jusqu'à ce que les investisseurs des deux côtés reprennent la main et décident, entre eux, de couper le nœud.Julien raconte les coulisses de ce moment charnière :le stress de l'annonce aux salariés, avec la peur de perdre leur confiance ;les différences culturelles à surmonter entre deux boîtes voisines mais très différentes ;et la nouvelle aventure qui vient juste de démarrerÀ l'animation :Thomas Benzazon, cofondateur de FeuilleBlancheKarine Wilkinson, managing director cheez PictetUn podcast conçu par FeuilleBlanche, producteurs de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.À vos écouteurs
Automatise ta gestion locative et sécurise tes loyers avec Monsieur Hugo !Teste gratuitement pendant 2 mois : https://taap.it/2oxloS+5% de réduction à vie avec le code BAILPour rejoindre le challenge de 5 jours gratuit de Dorine et Cyril, ça se passe ici : https://taap.it/OrByQjDorine et Cyril ont quitté leur job grâce à l'immobilier. Ils n'ont pas multiplié les opérations aux 4 coins de la France, ils n'ont pas fait de location saisonnière, ils n'ont pas fait d'opérations de marchands de biens.Ils ont suivi une méthode qui leur ressemble, qu'on a l'honneur de vous présenter dans cet épisode avec Dorine !
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durée : 00:02:57 - Le brief éco - La crise politique en France ne semble pas inquiéter les investisseurs qui nous prêtent l'argent pour rembourser la dette. Notre dernier emprunt est passé comme une lettre à la poste, jeudi. Un épisode presque rassurant depuis l'annonce du vote de confiance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Sierra Leone, le conseil municipal de Freetown est à l'initiative d'un important projet de reforestation urbaine. Baptisé « Freetown the Treetown » – « Freetown la ville des arbres » en français –, il vise la plantation de cinq millions d'arbres dans la capitale sierra-léonaise d'ici 2030, avec l'aide de ses habitants. La grande innovation de ce projet est le suivi numérique de chaque plante enregistrée dans une base de données, avec l'objectif de faciliter, à l'avenir, leur monétisation sur le marché international des crédits carbone. De notre envoyée spéciale à Freetown, Une dizaine de « trackers » courbés au-dessus de la vase prennent en photos les pieds de mangrove qui poussent face à la communauté pauvre de Congo Town. Depuis ce quartier informel bâti sur des remblais de terre et d'ordures, Saibatu Nabie Sandy surveille leur travail de loin : « Nous avons planté cette mangrove en 2022, explique-t-il. D'abord, nous avons planté 40 000 arbustes, puis de nouveau 40 000, donc presque 80 000 arbres ! Les huîtres ou les poissons aiment les mangroves, mais tout avait disparu. Maintenant, comme la mangrove a grandi, on commence juste à les voir revenir ». Porté par le conseil municipal de la capitale sierra-léonaise, le projet de reforestation urbaine de Freetown met l'accent sur le suivi de chaque arbre. Car planter ne suffit pas : il faut savoir combien de plantes survivent.« D'abord, on doit télécharger l'application Treetracker. Chaque arbre a un numéro spécifique pour l'envoi des informations à nos analystes, ce qui permet au conseil municipal de suivre l'évolution des mangroves », poursuit Saibatu Nabie Sandy. 1,2 million d'arbres ont été plantés jusqu'à présent à Freetown : des arbres fruitiers et forestiers, des plantes médicinales et des mangroves. Chacun est géolocalisé et suivi sur plusieurs années par les « trackers », grâce à la collecte de données numériques. À lire aussiComment convaincre les jeunes Africains de se lancer dans l'agriculture ? « Chaque arbre est représenté » Dans les locaux du conseil municipal, Bineta Binia fait partie de l'équipe chargée de vérifier et de valider les données qui remontent du terrain : « On utilise la plateforme Greenstand pour tout enregistrer. Les données sont transférées directement dès qu'un arbre a été tracké dans l'application mobile. Moi, je vérifie les arbres un par un. Il faut que la photo soit nette, qu'on voit les racines dans le sol. Et si ce sont de jeunes pousses, on doit voir leur numéro d'identification. On doit aussi avoir des infos sur le type d'arbre dont il s'agit ». Cette base de données rend le processus transparent et traçable et donc plus attractif pour de potentiels investisseurs sur le marché international des crédits carbone. « Déjà, ces informations servent à instruire les citoyens sur ce projet, expose Ibrahim Kamara, analyste pour « Freetown the Treetown ». Ensuite, cela nous renseigne sur le taux de survie des arbres : c'est important pour pouvoir monétiser tout ça sur le marché des crédits carbone. Les investisseurs auront besoin de connaître la densité de cette forêt urbaine. Sur cette carte interactive, chaque arbre est représenté. » L'objectif de « Freetown the Treetown » est de séquestrer 100 000 tonnes de carbone d'ici à 2030 en restaurant 5 000 hectares, soit environ cinq millions d'arbres plantés. À lire aussiSierra Leone : « Freetown the Treetown », reboiser contre les catastrophes climatiques [1/2]
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Les Etats-Unis font leur rentrée de septembre cet après-midi, après un weekend à rallonge. Hier, les places européennes ont généralement progressé, dans des volumes un peu creux. Avec plusieurs indices au zénith après un rebond spectaculaire démarré au printemps, les investisseurs ont tendance à se montrer un peu plus prudents à l'approche de plusieurs échéances importantes.
Ce mardi 2 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Félix Baron, fondateur du club des Investisseurs indépendants, et Christian Fontaine, directeur de la rédaction Le Revenu, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 2 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Félix Baron, fondateur du club des Investisseurs indépendants, Christian Fontaine, directeur de la rédaction Le Revenu, Gilles Santacreu, trader algorithmique et administrateur du site Boursikoter.com, Thomas Veillet, chroniqueur, écrivain chez Investir.ch, Gaël Sliman, président d'Odoxa, et Marion Chapel-Massot, dirigeante de DeCarion, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans cet épisode, je reçois Alex Gendre, investisseur passionné et entrepreneur dans l'immobilier… mais aussi quelqu'un que je connais personnellement, puisque c'est lui qui m'a trouvé ma résidence principale quand j'ai déménagé dans le "Nord"
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À compter d'aujourd'hui, une règle vieille de près d'un siècle a pris fin : l'exemption dite « de minimis ». Jusqu'ici, tout colis importé aux États-Unis d'une valeur inférieure à 800 dollars échappait aux droits de douanes. Une exception cruciale qui a soutenu l'explosion du commerce en ligne transfrontalier et l'essor des géants du bas prix digital comme Shein ou Temu. Désormais, chaque colis sera soumis à des droits calculés selon son pays d'origine, ou à un montant forfaitaire compris entre 80 et 200 dollars. Pour les investisseurs, cette évolution réglementaire n'est pas anecdotique : elle pourrait redessiner la cartographie du e-commerce international, impacter la logistique mondiale, modifier les comportements des consommateurs, et ouvrir de nouvelles opportunités… ou de nouveaux risques boursiers.https://www.daytradercanada.com/billet-boursier/exemption-de-minimis-quels-impacts-pour-les-investisseurs/Site web: https://daytradercanada.com/Nous joindre: https://daytradercanada.com/nous-joindre/Facebook: https://www.facebook.com/daytradercanadaYoutube: https://www.youtube.com/@DayTraderCanadaLinkedIn: https://www.linkedin.com/company/day-trader-canada/
Diplomatie économique : Maurice tend la main aux investisseurs chinois by TOPFM MAURITIUS
L'entreprise informatique nivelloise Easi veut changer de braquet. Spécialisée dans le développement de logiciels et la sécurisation des systèmes, elle veut devenir un acteur européen de référence. La société fondée il y a plus de 25 ans s'apprête à vivre un changement majeur dans la structure de son actionnariat. Les jeunes pousses belges se concentrent, pour beaucoup, sur l'IA. Près d'une sur deux s'y consacre pleinement, au risque de se perdre. C'est le principal enseignement du premier baromètre publié par Start it @KBC, le plus grand accélérateur de start-ups en Belgique et en Europe. Les prix de l'immobilier diminuent à la Côte belge. Au premier semestre, certaines communes voient le coût des maisons et des appartements chuter. À Knokke, par exemple, on assiste à une baisse de 12%. On vous explique pourquoi. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Et si l'investissement locatif pouvait être garanti, sans impayés ni vacances locatives ?
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La correction du Nasdaq se prolonge, alimentée par des doutes persistants sur l'IA et des valorisations devenues compliquées à justifier sur certains dossiers. Wall Street résiste tant bien que mal, mais l'ambiance générale est à la prudence avant Jackson Hole. Les investisseurs ont démarré un pivot vers des actions plus défensives en prévision d'un automne qui s'annonce incertain.
❌ L'investissement immobilier, ce n'est pas seulement acheter, louer et encaisser…
Les membres de la diaspora camerounaise sont parmi les plus motivés à investir au pays. Pour les orienter au Cameroun et leur permettre d'éviter les pièges, des entreprises et des plateformes de conseil ont vu le jour. Son stand est très visité au salon de la diaspora camerounaise, près de Paris. Frank Kengné a investi dans le solaire au Cameroun. Il a aussi créé une plateforme de conseil, Diaspora Impact Business, et rédigé un guide, 55 idées de business. Il conseille à la diaspora camerounaise d'aller au-delà de ses investissements habituels. « Ou ils font de l'immobilier, ou ils sont dans l'agriculture ou les projets avicoles, constate l'entrepreneur. Pourtant, il y a beaucoup d'autres secteurs où il y a beaucoup de besoins, mais où il y a moins de monde. Par exemple, dans le traitement des déchets. L'énergie, je pense que si vous faites le tour, je suis le seul qui en parle. L'eau, il n'y a presque personne. Donc sur les besoins primaires, en fait, il y a beaucoup d'investisseurs qui ne s'y intéressent pas. » Tiers de confiance L'entrepreneur aide aussi les investisseurs dans le délicat suivi à distance. « On a tissé un réseau de partenaires, explique Frank Kengné, que ce soient des comptables, des notaires, des avocats. J'ai mes propres équipes sur place aussi, qui montent des projets, qui les suivent. On a essayé justement de tisser un réseau de tiers de confiance. » Des bureaux pour atterrir Fidéliser des équipes reste difficile, confie l'investisseur, et l'administratif au Cameroun est un défi pour les entrepreneurs de la diaspora. Pour leur faciliter la tâche, la société accélératrice d'entreprises Brain Booster leur réserve un espace dans ses locaux de Yaoundé. « C'est un service spécial qui permet justement à quelqu'un de la diaspora d'arriver au Cameroun avec sa valise, d'avoir un bureau, une interconnexion internet, l'électricité 24 heures sur 24, et aussi d'avoir toutes les informations nécessaires pour pouvoir ouvrir son entreprise, explique la co-fondatrice, Christelle Mekuate. Par exemple, que demande le guichet unique de création d'entreprise ? Si par exemple, j'ai un problème comptable, comment est-ce que je dois faire ? Quelles sont les aides de l'État à disposition pour la diaspora pour leur faciliter les importations ? » Un frein majeur Le principal frein aux investissements de la diaspora demeure cependant la non-reconnaissance par le Cameroun de la double nationalité, juge Rebecca Enongchong, qui a patiemment bâti le succès de sa société Appstech : « ll y a des personnes qui veulent investir au Cameroun et ils sont dans la loi comme des étrangers. Ils payent le visa pour aller investir. Ils n'ont pas le droit d'avoir du foncier, ils ne peuvent pas acheter un terrain à leur nom. Et donc, il y a encore ces freins institutionnels qui existent. Cette double nationalité, elle est vraiment importante si on veut que la diaspora revienne, si on veut qu'elle investisse. » Malgré son enthousiasme, la diaspora ne participe qu'à hauteur de 1,5% à la richesse du Cameroun, alors qu'au Sénégal, sa contribution est de 10%. À lire aussiLa diaspora investit: au Burkina Faso, Raïssa et Stéphane explorent la filière du beurre de karité
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Lagos au Nigeria où la présence de ressortissants chinois remonte à 1930. Plus de 40 000 Chinois y vivent aujourd'hui : employés des grandes entreprises publiques chinoises hyperactives dans les secteurs du pétrole, du gaz et de la construction, entrepreneurs privés qui exportent, voire fabriquent au Nigeria des produits manufacturiers... Quel est l'impact économique, social et culturel de cette présence chinoise ? De notre correspondant au Nigeria, Le téléphone collé à l'oreille, Eric Ni est un brin agacé. Autour de lui, les membres de la troupe de danse Huaxing s'activent pour placer les dernières chaises en plastique. Dans quelques instants, une opération caritative qu'Eric co-organise avec le consulat général de Chine démarre dans cette école, à l'extrême ouest de Lagos. Eric donne ses dernières instructions en pidgin nigérian : « Cette façon de parler, je l'ai apprise en vivant ici avec mes amis nigérians. Oui, moi, je vis et je côtoie les gens d'ici. Le Nigeria, c'est ma seconde patrie. Cela fait vingt-trois ans que je suis ici. Et je suis venu pour faire des affaires. Je suis dans le secteur de la chaussure. On a désormais ouvert une usine de fabrication de chaussures. Mais vous savez, l'économie en ce moment n'est pas bonne. Mais on continue d'y croire. » Comme Eric Ni, un peu plus de 40 000 Chinois seraient enregistrés auprès de leurs autorités consulaires. Investisseurs, ingénieurs, techniciens, commerciaux, ou bien manœuvres... Les profils des Chinois de Lagos sont très diversifiés. Et surtout, la majorité d'entre eux ne se concentre pas dans une zone particulière de la mégapole. Adetoro Bnawo, directeur de l'unité langue chinoise au département linguistique de l'université de Lagos, explique : « La plupart des Chinois qui s'installent dans les quartiers de Lagos essaient, d'une manière ou d'une autre, d'avoir un impact sur les écoles publiques. Ils vont voir les rois locaux. Ils leur rendent hommage. Certains membres de leur communauté de Festac vont jusqu'à se rendre dans les hôpitaux. Et ainsi, ils proposent la technologie chinoise afin d'aider certains patients, par exemple ceux qui souffrent de cataracte. » Loi Eng Koon dirige une imprimerie. En juin 1990, cette ancienne distributrice de produits électroniques quitte Singapour pour fabriquer des CD et DVD à Lagos. Et même si cette mégapole est considérée comme l'une des pires du monde en termes de confort de vie, Loi s'y sent à l'aise : « Il se peut que de nombreux médias parlent des aspects négatifs de Lagos. Voir, c'est croire. Si vous respectez la personne en face de vous, vous serez respecté. » Avant de s'enraciner à Lagos, Loi Eng Koon a tenté de faire des affaires dans au moins 35 pays africains, sans succès. En 2014, elle revend ses parts dans son entreprise originelle de Singapour. Loi se lance alors dans l'imprimerie, notamment numérique. Et aujourd'hui, de son bureau, cette femme d'affaires chinoise pilote elle-même son équipe de 25 salariés à 100% nigérians : « Même lorsque je voyage, je surveille leur travail à chaque seconde. Et parfois, ils sont très négligents. Ils commettent des erreurs qui m'obligent à les punir en leur retirant une partie de leur salaire. Lorsqu'ils font du bon travail, ils sont récompensés. » Et malgré une balance commerciale très favorable à leur pays natal, et donc source potentielle d'envies et de frustrations, les Chinois de Lagos, à l'instar de Loi Eng Koon, s'adaptent avec méthode, mêlant extrême rigueur, sobriété et humanisme dans un Nigeria toujours secoué par des crises multiples. À lire aussiEn 2025, la Chine a investi 39 milliards de dollars en Afrique, dont 21 au Nigeria
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Découvre Stackinsat et profiter de 20% de réduction sur les frais pendant 1 an en entrant le code promo : Investir_Simple ou en passant mon lien affilié => https://rebrand.ly/0e2zmi3Bitcoin à 1 million de dollars ? Tous les altcoins à la poubelle ? Ce sont les deux principales théories du raisonnement d'un maximaliste BTC. J'ai reçu Jonathan Herscovisci, CEO de la plateforme Stackinsat qui va nous donner SA Vision du BTC et du monde de la cryptomonnaies. Avec lui pas de vente de rêve ni de lambo, mais une conviction très forte sur le seul crypto actifs qui résout un VRAI problème pour l'humanité : Le Bitcoin. Voici les principaux sujets abordés dans l'épisode.
La nouvelle séquence des Grandes Gueules du Sport ! Mises dans les cordes pendant toute l'émission, les GG prennent la main : ce sont eux qui choisissent leur débat !
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
À 31 ans, Nico Rosberg est sacré champion du monde de Formule 1 et quitte la compétition au sommet, défiant toutes les attentes.Aujourd'hui, il est devenu un entrepreneur engagé, investisseur militant pour un avenir responsable. Alors que l'on a admiré les pilotes lors des Grand Prix de l'été, je vous propose de (re)plonger l'histoire d'un pilote pas comme les autres…
Bienvenue dans ce nouvel épisode de Private Equity VOX !Dans cet épisode, nous avons le plaisir d'accueillir Benjamin Arm, directeur général d'IDICO, une société de gestion qui gère près d'un milliard d'euros d'actifs avec une approche centrée sur la création de valeur responsable.Au micro d'Antoine Sage, Benjamin partage son parcours et dévoile les secrets de la stratégie d'IDICO auprès des investisseurs patrimoniaux, un segment qu'ils développent depuis 2011 avec une approche unique basée sur la transparence totale, la pédagogie et l'accompagnement humain.Vous découvrirez comment IDICO rend concret le Private Equity en organisant des rencontres directes entre investisseurs et dirigeants de sociétés en portefeuille, leur statut d'entreprise à mission obtenu en 2024, et leur stratégie multi-instruments qui permet d'accompagner les PME françaises sur tout leur cycle de développement.L'épisode explore aussi les enjeux de digitalisation, l'émergence des fonds Evergreen et l'évolution vers une relation plus directe entre gérants et investisseurs retail.Au programme : retours d'expérience sur plus de 10 ans d'accompagnement des investisseurs privés, vision de l'investissement responsable et perspectives d'avenir du secteur. Un épisode essentiel pour comprendre comment démocratiser l'accès au Private Equity !Merci d'écouter Private Equity Vox !Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à le partager sur vos réseaux, à vous abonner et à nous mettre un gentil commentaire. Je suis Antoine Sage, et je vous donne rendez vous au prochain épisode de Private Equity Vox pour un nouveau tête-à-tête avec un acteur clé du Private Equity.https://www.pe3.iohttps://www.linkedin.com/company/pe-cube/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet :Le secteur de la défense est dans toutes les pensées des investisseurs. Quelles sont les opportunités d'investissement ? Comment s'y prendre ? Et quels rendements viser ? Autant de questions qui animent les réflexions actuelles.L'invité du jour :Spécialiste de la gestion d'actifs alternatifs et de l'investissement, Thomas Friedberger est CEO et co-CIO de Tikehau. Au micro de Matthieu Stefani, il nous dit tout sur l'investissement dans la défense européenne.Découvrez :Les sujets chauds en matière de défenseLes enjeux cruciaux pour l'EuropeY a-t-il une bulle dans le secteur de la défense ?Comment investir dans la défense européenne ?Quels rendements espérer ?Ils citent les références suivantes :La CIO LetterOpale CapitalL'épisode #424 de GDIY avec Olivier Dellenbach (ChapsVision)L'épisode #401 de GDIY avec David Baverez, sur l'économie de guerreLe fonds Tikehau European Sovereignty FundLe fonds Tikehau Ace Aéro Partenaires 2Le fonds Tikehau Fonds Brienne IVAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :Hors-série #2 - Investir dans la souveraineté européenneOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ce vendredi 20 juin, la peine de la Russie à attirer des investisseurs depuis la guerre en Ukraine, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
À la veille de la Conférence des Nations unies sur l'Océan qui s'ouvre à Nice, les projecteurs sont braqués sur l'économie bleue. Cette « blue economy », en pleine croissance, promet un avenir prospère pour les littoraux, tout en soulevant des questions cruciales sur sa durabilité. L'économie bleue regroupe l'ensemble des activités liées à la mer et aux océans, qu'elles soient traditionnelles – comme la pêche, le transport maritime ou le tourisme côtier – ou innovantes, comme les énergies marines renouvelables, les biotechnologies ou encore les câbles sous-marins. D'après la Banque mondiale, il s'agit de l'utilisation durable des ressources océaniques pour stimuler la croissance économique, améliorer les conditions de vie et préserver les écosystèmes marins.Rien qu'en Europe, cette économie représentait près de 236 milliards d'euros de valeur ajoutée brute en 2023, générant 5 millions d'emplois directs. Des secteurs comme l'éolien offshore explosent avec une croissance de +42 % en un an.Attrait des investisseurs mondiauxAvec un potentiel colossal, les fonds se mobilisent. Entre 2018 et 2023, 13 milliards d'euros ont été investis dans l'économie bleue en Europe. De nouveaux réseaux d'accompagnement, des fonds spécialisés et des institutions comme en France la Banque publique d'investissement ou la Caisse des Dépôts soutiennent activement le développement de cette filière stratégique.Des projets concrets émergent, à l'image des voiliers cargos, qui allient innovation technologique et faible impact environnemental. Mais pour atteindre les objectifs de l'ONU liés aux océans d'ici à 2030, il faudrait mobiliser 750 milliards d'euros supplémentaires.Entre promesses et dérives : les limites d'un modèle à construireSi l'économie bleue se veut durable, certaines pratiques soulèvent des critiques. Des ONG dénoncent un phénomène de « blue washing », où des projets peu vertueux se parent d'un vernis écologique. Exemple marquant : au Sénégal, 90 % de la pêche locale a été décimée suite à l'attribution de licences à des flottes étrangères. En Inde, le projet Sagarmala, visant à construire un port tous les 20 kilomètres, menace gravement les communautés de pêcheurs et les écosystèmes côtiers.La privatisation des littoraux ou l'exclusion des populations locales interrogent sur la gouvernance de cette nouvelle ruée vers la mer. Car « la mer nourrit ceux qui la respectent. »
Ce mardi 3 juin, Laure Closier a reçu Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, et Isabelle Mateos y Lago, cheffe économiste de BNP Paribas, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
"Tout le monde peut être fondateur"Vidéo disponibleJe reçois Marc Laurent, cofondateur de Kerala Ventures, et actuel cofondateur et CEO de Carbonfact : une startup qui permet d'évaluer l'empreinte carbone des produits de l'industrie textile.Ancien investisseur en startup et aujourd'hui (serial) entrepreneurial, Marc me raconte son quotidien d'entrepreneur : naviguer entre ambition, incertitude et quête de sens en transformant l'industrie de la mode.On parle du métier de CEO et le rôle de fondateur, ses débuts à 25 ans en capital-risque chez Kerala Ventures (fonds cofondé avec son ancien boss Antoine Freysz, alors qu'il n'avait que 25 ans), cette frontière floue entre fondateur et dirigeant, son passage au célèbre incubateur Y Combinator, et surtout le saut dans le vide émotionnel qui accompagne l'entrepreneuriat.On parle de confiance, d'itération, d'entourage, et de ce fameux équilibre vie pro/perso si souvent idéalisé.Il nous montre aussi comment Carbonfact va bien au-delà du greenwashing pour aider concrètement les entreprises à mesurer et réduire leur impact environnemental.Bonne écoute !