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Contactez notre Grand partenaire PlanetHoster à www.planethoster.com/fr/Contact 13 septembre 2023 En Libye, un pays d'Afrique du Nord, plus de 5000 personnes ont été emportées par des inondations Selon les autorités du pays, au moins 5200 personnes ont été tuées après la rupture de 2 barrages provoquée par des pluies torrentielles. La Croix-Rouge estime qu'au total 10 000 personnes seraient portées disparues.Le gouvernement du Québec va versera 1,5 million $ à des organismes de coopération internationale québécois présents au Maroc à la suite du violent séisme qui a frappé le pays vendredi dernier.Santé Canada a déjà autorisé le nouveau vaccin anti-Covid de Moderna, qui cible un récent sous-variant d'Omicron, le lendemain de son approbation aux États-Unis.Le ministre de la justice Simon Jolin-Barrette n'avait pas commis de manquement à l'éthique lorsqu'il avait nommé l'un de ses amis proches comme juge à la Cour du Québec. Lors de la rentrée parlementaire, François Legault a demandé à Québec solidaire et au Parti libéral de ne plus utiliser Facebook ni Instagram dans le cadre de leur campagne pour l'élection partielle dans Jean Talon, à Québec.ription. Les libéraux disent qu'ils cesseront d'utiliser les réseaux de Meta après l'élection. Mais de con côté, Québec solidaire continuera, et estime que le boycottage de Meta est seulement un «geste symbolique».Aux États-Unis, les républicains lancent une enquête en destitution contre Joe BidenLa firme montréalaise d'ingénierie et de construction SNC-Lavalin devient AtkinsRéalis. La société dit qu'elle change de nom parce qu'elle s'est «transformée» et «repositionnée». Le directeur parlementaire du budget estime qu'il faudra 20 ans au gouvernement fédéral et à celui de l'Ontario pour récupérer en recettes fiscales les subventions qu'ils ont accordées plus tôt cette année aux manufacturiers Volkswagen et Stellantis pour la construction de deux usines de batteries de véhicules électriques en Ontario. La Bourse de Toronto a publié le classement des 30 sociétés qui, au 30 juin, avaient enregistré les meilleurs rendements sur les 3 dernières années.Liste complète des 30 sociétés à https://InfoBref.com/croissance-tsx-2023-09Apple a dévoilé la 15e génération de son téléphone iPhone. Pour la première fois, l'iPhone est doté d'un port USB-C. Détails à https://InfoBref.com/iphone-15-2023-09--- Détails sur ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Écouter le balado d'InfoBref et voir comment s'y abonner sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La circulation du Covid-19 semble repartir à la hausse depuis quelques semaines, en lien avec l'augmentation du nouveau sous-variant EG.5, ou Eris, dérivé d'Omicron. Le Point J en discute avec Aglaé Tardin, médecin cantonale genevoise. Juliane Roncoroni Réalisation: Brian Lanni >> Le lien pour vous inscrire à l'enregistrement public du Point J, le 26 septembre 2023 à Fribourg: https://avecvous.rts.ch/evenements/experiences/le-point-j-podcast-en-public-sur-le-theme-comment-mieux-voyager-64f04418e22d8
16 août 2023 | Nouveaux vaccins anti-Covid cet automne Santé Canada devrait bientôt approuver de nouveaux vaccins anti-Covid de Moderna et Pfizer qui ciblent un sous-variant d'Omicron actuellement prédominant au Québec. Ces vaccins devraient être disponibles fin septembre ou début octobre, au moment où le gouvernement Legault doit mener une nouvelle campagne de vaccination. La Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a embauché 18 conseillers en santé psychologique. Ces conseillers doivent fournir de l'information, des ressources et des outils pour soutenir les entreprises, et ainsi favoriser une meilleure prise en charge des risques psychosociaux liés au travail. Pour décarboner le Québec, il faudrait 2 fois moins de voituresC'est ce qu'a dit le ministre de l'économie Pierre Fitzgibbon en entrevue à la radio 98,5.Il a affirmé qu'il faudra électrifier le parc automobile, et le réduire de moitié. Le gouvernement fédéral veut couper 15 milliards $ à ses ministèresSelon le Globe and Mail, les ministères fédéraux ont jusqu'au 2 octobre pour planifier une baisse globale de 15 milliards $ dans leurs dépenses. Donald Trump a été inculpé dans l'État de Géorgie aux côtés de 18 autres personnes, dont l'ancien maire de New York Rudolph Giuliani.Certaines accusations sont portées en vertu d'une loi sur la délinquance en bande organisée, qui prévoit des peines de 5 à 20 ans de prison. La Chine cesse de publier les chiffres sur le chômage des jeunesLe Bureau national des statistiques chinois suspend la publication mensuelle des données sur le chômage des 16 à 24 ans.En juin, leur taux de chômage avait atteint un niveau record (21,3%). Le taux annuel d'inflation au Canada est passé de 2,8% en juin à 3,3% en juillet. Statistique Canada explique que l'inflation a accéléré principalement parce que la baisse des prix de l'essence mesurée sur un an a été moins importante en juillet qu'en juin. Rich Kruger, le nouveau PDG de la pétrolière canadienne Suncor a dit, après la publication des plus récents résultats trimestriels de l'entreprise, qu'elle avait dernièrement trop mis l'accent sur la transition énergétique. Selon lui, Suncor devrait plutôt se concentrer sur l'exploitation des sables bitumineux afin de créer un maximum de valeur pour ses actionnaires. YouTube s'attaque à la promotion de faux remèdes contre le cancerYouTube retirera désormais les vidéos qui mettent de l'avant des traitements «nocifs ou inefficaces» contre le cancer, ou qui dissuadent les personnes atteintes d'un cancer d'obtenir un traitement par un professionnel.--- Détails sur ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Écouter le balado d'InfoBref et voir comment s'y abonner sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Chine, la déferlante Omicron a pris de court les services de santé. Les soins intensifs sont saturés, notamment dans les villes moyennes de la province du Hebei, autour de Pékin. Reportage à Langfang. De notre correspondant à Pékin et Louise May, du bureau de RFI en Chine, Des chariots-brancards poussés avec l'énergie du désespoir, des visages fermés sous les masques, voilà plus d'un mois que l'hôpital de Langfang se bat contre une épidémie qui a surpris les campagnes alentours. Ici, on cultivait les céréales, les légumes, les fruits, quand tout le monde est tombé malade, suite à la levée abrupte des restrictions sanitaires. Après trois semaines de silence, les commerces et les restaurants rouvrent peu à peu. Les salariés masqués retournent au travail et des TGV qui toussent font le plein, matin et soir, pour aller et revenir de la capitale chinoise située à une soixantaine de kilomètres. La vie normale a repris, dit la propagande. Mais pas aux urgences, où les personnes âgées, dans un état critique, continuent d'affluer. Les températures sont descendues jusqu'à -12°C ces derniers jours dans les plaines du Hebei. De l'extérieur, la masse grise de l'hôpital Guandaojiu de Langfang semble frigorifiée. Une fois passé les grandes portes doublées de couvertures matelassées à l'entrée, les visiteurs aux regards inquiets accélèrent le pas, les bras chargés de couvertures, de vêtements et de victuailles pour les malades. Dans le hall d'accueil, les cris lancés aux smartphones sont autant de bouteilles jetées dans un océan d'incertitude : « c'est le troisième service d'urgence que je fais avec ma mère, martèle un homme d'une cinquantaine d'années et, à chaque fois, on nous répond qu'il n'y a pas de place ! » La plupart des hôpitaux de Pékin et sa région ont poussé les murs pour répondre à l'afflux des fiévreux. Mais tous les établissements ne disposent pas des mêmes ressources. Un chauffeur de VTC ronge son frein : « nous devons nous battre pour trouver des cachets contre la fièvre et un lit pour soigner nos anciens, comment se fait-il que nos usines qui produisent autant de médicaments n'aient pas été informées de l'ouverture du pays ? ». Patients sous dialyse L'ouverture de la Chine et des villes chinoises est une autre manière de parler du relâchement de la politique de prévention et de contrôle de l'épidémie annoncé par la commission nationale de la santé le 7 décembre. L'explosion des contaminations qui a suivi ce changement à 180 degrés de la politique sanitaire, affecte en priorité les personnes âgées. « Tous les matins, à 5 heures, j'avais de la fièvre et j'avais froid, raconte une septuagénaire. Je voulais prendre des médicaments antidouleurs, mais on en n'avait pas à la maison. J'ai envoyé mon mari en chercher, il n'en a pas trouvé ! J'y suis allée, j'ai fait sept ou huit pharmacies avant de trouver deux boites ». Les récits se suivent et se ressemblent. Généralement, l'étape d'après, c'est une respiration altérée et un état de santé qui se dégrade rapidement. Puis, la tournée des établissements de soins, en panique, jusqu'à trouver celui qui peut prendre en charge une mère, un père, un oncle, une tante en grande souffrance. Mais pour cela, il faut d'abord prendre un numéro dans la file d'attente. Faute de place, les patients s'effondrent dans les couloirs ou sont allongés à même le sol. La plupart doivent patienter quelques jours sous dialyse avant d'être hospitalisés, pour celles et ceux qui ont de la chance. Pas de lit sans « guanxi » C'est le cas de cet homme de 79 ans qui a fini par être accepté aux services des maladies respiratoires au huitième étage de l'établissement. C'est sa fille qui nous parle de lui et du combat qu'il a fallu mener pour arriver jusqu'ici : « Tout le monde a attrapé le Covid ici, affirme cette dernière. On a attendu en bas aux urgences pendant trois jours. Les médecins disent que les morts sont des personnes âgées, mais personne n'est venu nous voir. À chaque fois, on nous répondait : "il n'y a pas de lits." Si vous n'avez pas de relations, ne pensez même pas à venir ici. » Pas de lits sans « guanxi » (« relations » en chinois). Toutes les chambres du service des maladies respiratoires sont occupées par six patients, dont cette grand-mère de 74 ans, qui n'en revient pas d'être toujours en vie. « Vendredi dernier, je ne pouvais plus ouvrir les yeux, raconte-t-elle. Marcher entre le salon et ma chambre était devenu impossible. Mon fils m'a d'abord emmenée aux urgences de l'hôpital du peuple, mais il y avait tellement de monde qu'on ne pouvait même pas s'assoir. Puis, ils ont pris une radio de mes poumons. Ils ont dit : "tes poumons sont devenus tout blancs, toutes les parties sont infectées." Ma petite sœur a eu la trouille en voyant ça. Je ne sais pas comment elle a fait, mais elle m'a trouvé une place ici ! » ► À lire aussi : Covid-19 : crainte du sous-variant chinois BF.7, Pékin se veut rassurant « Asymptomatiques au cimetière » Les « poumons blancs », marques de l'infection sur les scanners, ont envahi les réseaux sociaux. Ces images de bronches laiteuses ont rappelé à certains internautes les débuts de la pandémie à Wuhan il y a trois ans, déclenchant toutes sortes de rumeurs aussitôt démenties par les autorités. Ces dernières ont pourtant de plus en plus de mal à convaincre, vu le manque de transparence sur les statistiques. En plus d'avoir cessé de publier les bilans quotidiens de l'épidémie, les critères permettant d'établir ce qui définit une mort du Covid, en l'occurrence la pneumonie et l'insuffisance respiratoire, ont été réduits. Les médias d'État ne parlent jamais des décès liés à la pneumonie virale et répètent que la majorité des cas de contaminations au sous-variant d'Omicron sont asymptomatiques. « Cela fait 20 jours que mon beau-père est sous perfusions, s'emporte un voyageur à la gare. Ils parlent de 95 % de personnes qui n'ont pas de symptômes avec le Covid, mais moi, je n'en connais pas ! L'épouse du frère de mon père a été asymptomatique jusqu'au cimetière. » Nouveau coup de feu au huitième étage de l'hôpital de Langfang. Près de la sortie des ascenseurs, des lits de camps de fortune permettent à celles et ceux qui attendent des nouvelles de se reposer ou de pleurer. Un patient, visiblement au plus mal, vient de franchir les portes battantes sur une civière, direction les urgences. « Mon père a 74 ans. Il est trop malade cette fois. Il a les poumons blancs. J'ai vu d'autres patients dans le service qui ont aussi les poumons blancs. Mais avec des symptômes plus légers, c'est possible de s'en sortir. Là, on ne sait pas. Ils l'ont emmené, mais rien n'est sûr, selon les médecins. On n'a rien dit à maman », confie la fille du patient, en larmes, qui vient de voir son père partir sur un brancard. Rien n'est certain avec cette première épidémie, dont la région du Hebei a été l'épicentre mi-décembre. « Il y a des gens qui viennent des comtés voisins, confie une cheffe infirmière. L'hôpital reste sous pression et beaucoup de personnes âgées sont décédées. On fait tous notre maximum pour les sauver. Vous voyez ces respirateurs, ces équipements pour administrer de l'oxygène aux patients, mais leur corps est trop faible pour lutter contre ce virus. C'est vraiment une maladie qui décime les oncles et les tantes âgées. Et ça coûte très cher de rester en soins intensifs. » ► À lire aussi : Nouvelle vague de Covid-19 en Chine : l'Inde se tient prête Crématoriums débordés Les frais d'hospitalisation sont inabordables pour la plupart des familles. Il en est de même pour les funérailles. Comme à Pékin, les crématoriums sont débordés et obtenir une place ces jours-ci exige de la patience. Devant le grand funérarium de Langfang, les faux canons grimpés à l'arrière des pick-up funéraires font le tour du parking plusieurs fois par jour. Comme le veut la tradition, la pétarade vient chasser les mauvais esprits. Il n'y a presque plus de place pour se garer. Une épaisse fumée noire sort de la longue cheminée du salon mortuaire. « Il y a 4 à 5 fois plus de cérémonies en ce moment qu'avant l'épidémie, confie un employé à l'entrée. Il y a tellement de monde que l'on doit refuser des demandes. Avant, on comptait 8 à 10 personnes à incinérer par jour, en ce moment, c'est entre 30 et 50. »Puis l'homme vérifie dans son carnet. « L'affluence a commencé à partir du 11 décembre dernier. C'était juste après l'ouverture de la ville [la levée des restrictions sanitaires qui a entrainé une explosion des cas, NDLR]. » Devant la salle de deuil, les familles se bousculent pour accompagner les défunts dans leur dernière demeure. Mais là aussi, il faut patienter. « Nous avons dû attendre plusieurs jours avant d'obtenir une place, il y a 4 ou 5 morts qui attendent devant nous, indique l'un des accompagnants. Il y a tellement de morts du Covid, qu'ils gagnent de l'argent. La situation est sombre, et cela, à un prix pour les proches. Les frais d'hôpital, puis la morgue et la cérémonie funéraire, au total cela peut dépasser les 11 000 euros. » Une somme importante notamment pour les familles d'agriculteurs des environs encore sonnées, comme la plupart des habitants, par la fulgurance du mal qui décime les plus fragiles. « Ce virus est tellement fort que tout le monde a été touché, poursuit le chauffeur de VTC. Je n'avais pas attrapé de rhume en dix ans. Je n'avais pas de médicaments chez moi. Et j'ai été infecté comme la plupart des personnes que je connais en moins de six jours après la levée des restrictions sanitaires. »
EXPERTS PATRICK PELLOUX Médecin urgentiste au SAMU de Paris – Président de l'AMUF NICOLAS BERROD Journaliste – « Le Parisien - Aujourd'hui en France » DR ANNE SÉNÉQUIER Médecin psychiatre – Co-directrice de l'observatoire de la santé à l'IRIS NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » Hôpitaux saturés, morgues surchargées, crématoriums débordés. La Chine fait face à une vague dévastatrice de Covid-19 depuis la fin, le 7 décembre dernier, de sa politique "zéro Covid". Après trois ans de tests incessants et de confinements drastiques, une large partie de la population se retrouve exposée au coronavirus pour la première fois. Un organisme de contrôle des maladies a recensé récement 5.500 nouveaux cas dans le pays, et un seul mort. Mais, depuis la fin des tests de masse et la nouvelle définition, plus étroite, d'un décès attribué au Covid, ces statistiques apparaissent en décalage avec la réalité. Selon des experts britanniques du centre Airfinity, le nombre de morts en Chine pourrait s'élever à 9 000 par jour et atteindre 1,7million d'ici avril 2023. Face à cette situation, plusieurs pays du globe se barricadent. Les Etats-Unis, mais aussi l'Italie, l'Espagne ou le Japon, vont exiger prochainement des tests anti-Covid pour les voyageurs arrivant de Chine. L'Union européenne envisagerait de son côté « une approche coordonnée » tandis qu'Emmanuel Macron a demandé au gouvernement « des mesures adaptées de protection des Français ». Ce qui inquiète est surtout la propagation du nouveau sous-variant d'Omicron majoritaire à Pékin, le BF.7, considéré comme beaucoup plus contagieux. Ces craintes sur le plan du coronavirus arrivent en France dans un contexte d'épidémie de grippe et de bronchiolite. Celles-ci font déborder les hôpitaux, si bien que le système de santé français semble au bord du craquage. Une grève des médecins généralistes accentue en outre la crise (la profession réclame une revalorisation du prix de la consultation) tout comme la pénurie de certains médicaments. En Chine, la réquisition certaines entreprises pharmaceutiques inquiète de surcroît les pays dépendants de la production chinoise. Pendant ce temps, dans certaines régions françaises, le manque de médecins (généralistes comme spécialistes) est de plus en plus problématique. 23,5 % des patients vivraient en effet dans une zone à accès difficile, c'est-à-dire sans aucun docteur à moins de 30 minutes de trajet. Des territoires qui n'attirent plus les professionnels de santé et qui doivent par conséquent se replier sur des solutions de fortune, avec des infirmières libérales délivrant des ordonnances ou de la médecine à distance. La question de la régulation de l'installation des médecins est donc urgente. Alors, devons-nous craindre en France une explosion des cas de Covid comme en Chine ? Que peut le gouvernement face à un système de santé français au bord de l'implosion ? Quelles solutions pour lutter contre les déserts médicaux ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
En Chine, la déferlante Omicron a pris de court les services de santé. Les soins intensifs sont saturés, notamment dans les villes moyennes de la province du Hebei, autour de Pékin. Reportage à Langfang. De notre correspondant à Pékin et Louise May, du bureau de RFI en Chine, Des chariots-brancards poussés avec l'énergie du désespoir, des visages fermés sous les masques, voilà plus d'un mois que l'hôpital de Langfang se bat contre une épidémie qui a surpris les campagnes alentours. Ici, on cultivait les céréales, les légumes, les fruits, quand tout le monde est tombé malade, suite à la levée abrupte des restrictions sanitaires. Après trois semaines de silence, les commerces et les restaurants rouvrent peu à peu. Les salariés masqués retournent au travail et des TGV qui toussent font le plein, matin et soir, pour aller et revenir de la capitale chinoise située à une soixantaine de kilomètres. La vie normale a repris, dit la propagande. Mais pas aux urgences, où les personnes âgées, dans un état critique, continuent d'affluer. Les températures sont descendues jusqu'à -12°C ces derniers jours dans les plaines du Hebei. De l'extérieur, la masse grise de l'hôpital Guandaojiu de Langfang semble frigorifiée. Une fois passé les grandes portes doublées de couvertures matelassées à l'entrée, les visiteurs aux regards inquiets accélèrent le pas, les bras chargés de couvertures, de vêtements et de victuailles pour les malades. Dans le hall d'accueil, les cris lancés aux smartphones sont autant de bouteilles jetées dans un océan d'incertitude : « c'est le troisième service d'urgence que je fais avec ma mère, martèle un homme d'une cinquantaine d'années et, à chaque fois, on nous répond qu'il n'y a pas de place ! » La plupart des hôpitaux de Pékin et sa région ont poussé les murs pour répondre à l'afflux des fiévreux. Mais tous les établissements ne disposent pas des mêmes ressources. Un chauffeur de VTC ronge son frein : « nous devons nous battre pour trouver des cachets contre la fièvre et un lit pour soigner nos anciens, comment se fait-il que nos usines qui produisent autant de médicaments n'aient pas été informées de l'ouverture du pays ? ». Patients sous dialyse L'ouverture de la Chine et des villes chinoises est une autre manière de parler du relâchement de la politique de prévention et de contrôle de l'épidémie annoncé par la commission nationale de la santé le 7 décembre. L'explosion des contaminations qui a suivi ce changement à 180 degrés de la politique sanitaire, affecte en priorité les personnes âgées. « Tous les matins, à 5 heures, j'avais de la fièvre et j'avais froid, raconte une septuagénaire. Je voulais prendre des médicaments antidouleurs, mais on en n'avait pas à la maison. J'ai envoyé mon mari en chercher, il n'en a pas trouvé ! J'y suis allée, j'ai fait sept ou huit pharmacies avant de trouver deux boites ». Les récits se suivent et se ressemblent. Généralement, l'étape d'après, c'est une respiration altérée et un état de santé qui se dégrade rapidement. Puis, la tournée des établissements de soins, en panique, jusqu'à trouver celui qui peut prendre en charge une mère, un père, un oncle, une tante en grande souffrance. Mais pour cela, il faut d'abord prendre un numéro dans la file d'attente. Faute de place, les patients s'effondrent dans les couloirs ou sont allongés à même le sol. La plupart doivent patienter quelques jours sous dialyse avant d'être hospitalisés, pour celles et ceux qui ont de la chance. Pas de lit sans « guanxi » C'est le cas de cet homme de 79 ans qui a fini par être accepté aux services des maladies respiratoires au huitième étage de l'établissement. C'est sa fille qui nous parle de lui et du combat qu'il a fallu mener pour arriver jusqu'ici : « Tout le monde a attrapé le Covid ici, affirme cette dernière. On a attendu en bas aux urgences pendant trois jours. Les médecins disent que les morts sont des personnes âgées, mais personne n'est venu nous voir. À chaque fois, on nous répondait : "il n'y a pas de lits." Si vous n'avez pas de relations, ne pensez même pas à venir ici. » Pas de lits sans « guanxi » (« relations » en chinois). Toutes les chambres du service des maladies respiratoires sont occupées par six patients, dont cette grand-mère de 74 ans, qui n'en revient pas d'être toujours en vie. « Vendredi dernier, je ne pouvais plus ouvrir les yeux, raconte-t-elle. Marcher entre le salon et ma chambre était devenu impossible. Mon fils m'a d'abord emmenée aux urgences de l'hôpital du peuple, mais il y avait tellement de monde qu'on ne pouvait même pas s'assoir. Puis, ils ont pris une radio de mes poumons. Ils ont dit : "tes poumons sont devenus tout blancs, toutes les parties sont infectées." Ma petite sœur a eu la trouille en voyant ça. Je ne sais pas comment elle a fait, mais elle m'a trouvé une place ici ! » ► À lire aussi : Covid-19 : crainte du sous-variant chinois BF.7, Pékin se veut rassurant « Asymptomatiques au cimetière » Les « poumons blancs », marques de l'infection sur les scanners, ont envahi les réseaux sociaux. Ces images de bronches laiteuses ont rappelé à certains internautes les débuts de la pandémie à Wuhan il y a trois ans, déclenchant toutes sortes de rumeurs aussitôt démenties par les autorités. Ces dernières ont pourtant de plus en plus de mal à convaincre, vu le manque de transparence sur les statistiques. En plus d'avoir cessé de publier les bilans quotidiens de l'épidémie, les critères permettant d'établir ce qui définit une mort du Covid, en l'occurrence la pneumonie et l'insuffisance respiratoire, ont été réduits. Les médias d'État ne parlent jamais des décès liés à la pneumonie virale et répètent que la majorité des cas de contaminations au sous-variant d'Omicron sont asymptomatiques. « Cela fait 20 jours que mon beau-père est sous perfusions, s'emporte un voyageur à la gare. Ils parlent de 95 % de personnes qui n'ont pas de symptômes avec le Covid, mais moi, je n'en connais pas ! L'épouse du frère de mon père a été asymptomatique jusqu'au cimetière. » Nouveau coup de feu au huitième étage de l'hôpital de Langfang. Près de la sortie des ascenseurs, des lits de camps de fortune permettent à celles et ceux qui attendent des nouvelles de se reposer ou de pleurer. Un patient, visiblement au plus mal, vient de franchir les portes battantes sur une civière, direction les urgences. « Mon père a 74 ans. Il est trop malade cette fois. Il a les poumons blancs. J'ai vu d'autres patients dans le service qui ont aussi les poumons blancs. Mais avec des symptômes plus légers, c'est possible de s'en sortir. Là, on ne sait pas. Ils l'ont emmené, mais rien n'est sûr, selon les médecins. On n'a rien dit à maman », confie la fille du patient, en larmes, qui vient de voir son père partir sur un brancard. Rien n'est certain avec cette première épidémie, dont la région du Hebei a été l'épicentre mi-décembre. « Il y a des gens qui viennent des comtés voisins, confie une cheffe infirmière. L'hôpital reste sous pression et beaucoup de personnes âgées sont décédées. On fait tous notre maximum pour les sauver. Vous voyez ces respirateurs, ces équipements pour administrer de l'oxygène aux patients, mais leur corps est trop faible pour lutter contre ce virus. C'est vraiment une maladie qui décime les oncles et les tantes âgées. Et ça coûte très cher de rester en soins intensifs. » ► À lire aussi : Nouvelle vague de Covid-19 en Chine : l'Inde se tient prête Crématoriums débordés Les frais d'hospitalisation sont inabordables pour la plupart des familles. Il en est de même pour les funérailles. Comme à Pékin, les crématoriums sont débordés et obtenir une place ces jours-ci exige de la patience. Devant le grand funérarium de Langfang, les faux canons grimpés à l'arrière des pick-up funéraires font le tour du parking plusieurs fois par jour. Comme le veut la tradition, la pétarade vient chasser les mauvais esprits. Il n'y a presque plus de place pour se garer. Une épaisse fumée noire sort de la longue cheminée du salon mortuaire. « Il y a 4 à 5 fois plus de cérémonies en ce moment qu'avant l'épidémie, confie un employé à l'entrée. Il y a tellement de monde que l'on doit refuser des demandes. Avant, on comptait 8 à 10 personnes à incinérer par jour, en ce moment, c'est entre 30 et 50. »Puis l'homme vérifie dans son carnet. « L'affluence a commencé à partir du 11 décembre dernier. C'était juste après l'ouverture de la ville [la levée des restrictions sanitaires qui a entrainé une explosion des cas, NDLR]. » Devant la salle de deuil, les familles se bousculent pour accompagner les défunts dans leur dernière demeure. Mais là aussi, il faut patienter. « Nous avons dû attendre plusieurs jours avant d'obtenir une place, il y a 4 ou 5 morts qui attendent devant nous, indique l'un des accompagnants. Il y a tellement de morts du Covid, qu'ils gagnent de l'argent. La situation est sombre, et cela, à un prix pour les proches. Les frais d'hôpital, puis la morgue et la cérémonie funéraire, au total cela peut dépasser les 11 000 euros. » Une somme importante notamment pour les familles d'agriculteurs des environs encore sonnées, comme la plupart des habitants, par la fulgurance du mal qui décime les plus fragiles. « Ce virus est tellement fort que tout le monde a été touché, poursuit le chauffeur de VTC. Je n'avais pas attrapé de rhume en dix ans. Je n'avais pas de médicaments chez moi. Et j'ai été infecté comme la plupart des personnes que je connais en moins de six jours après la levée des restrictions sanitaires. »
Après un été et une rentrée loin du Covid, les contaminations repartent à la hausse... Et le responsable s'appelle toujours Omicron. Ce variant continue de se multiplier, au point de former une grande famille. Avec des sous-variants qui risquent surtout de compliquer l'hiver. Explications avec Stéphanie Benz, journaliste au service Santé de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe : Écriture : Charlotte BarisPrésentation : Xavier YvonMontage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules KrotCrédits : France 2, France 5, Europe 1Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un nouveau sous-variant d'Omicron, appelé XBB, s'est rapidement répandu en Asie et arrive en Europe. Il menace désormais de s'implanter en France. Plus résistant face à l'immunité acquise jusqu'ici, il inquiète. Pourtant, les vaccins actuels resteraient efficaces face à ce cousin de BA.4 et BA.5.
Un nouveau sous-variant d'Omicron, appelé XBB, s'est rapidement répandu en Asie et arrive en Europe. Il menace désormais de s'implanter en France. Plus résistant face à l'immunité acquise jusqu'ici, il inquiète. Pourtant, les vaccins actuels resteraient efficaces face à ce cousin de BA.4 et BA.5.
La menace de nouvelles restrictions sanitaires en Chine face à l'apparition d'un nouveau sous-variant d'Omicron, a donné une tonalité plutôt morose aux indices boursiers européens ce lundi. L'indice parisien qui perdait jusqu'à 2% à l'ouverture a finalement réduit ses pertes pour clôturer en baisse de -0.60% tout juste sous les 6 000 points.
FAUT-IL ENCORE AVOIR PEUR DU COVID ? – 09/07/22 Invités PR ANNE-CLAUDE CRÉMIEUX Professeure en maladies infectieuses - Hôpital Saint-Louis NICOLAS BERROD Journaliste - « Le Parisien - Aujourd'hui en France » CAROLINE TOURBE Journaliste sciences et médecine - « Le Point » DR AGNÈS RICARD-HIBON Cheffe de service du SAMU 95 Ancienne présidente de la Société Française de Médecine d'Urgence Un cap symbolique. Le seuil des 150 000 morts liées au Covid-19 a été franchi en France, selon les chiffres publiés par Santé publique France (SpF), sur fond de forte hausse des contaminations. Une septième vague de l'épidémie a débuté fin mai dans l'Hexagone, poussée par les sous-variants d'Omicron BA.4 et surtout BA.5 qui induit chez certaines personnes des symptômes particulièrement marqués. Pour l'instant, l'hôpital, en crise à cause d'un manque de personnel, notamment dans des services d'urgences, ne souffre pas particulièrement d'embouteillages dus au Covid-19. Toutefois, les admissions en raison du Covid-19 sont également reparties à la hausse. Jeudi soir, on comptabilisait ainsi plus de 160 000 cas, avec 17 719 patients hospitalisés, dont 1 523 nouvelles admissions et 74 décès. Les personnes âgées, insuffisamment vaccinées, étant majoritairement concernées. Dans ce contexte, les pouvoirs publics rappellent depuis plusieurs semaines l'importance de la deuxième dose de rappel pour les personnes de plus de 60 ans et les personnes fragiles. Mais la question de la fin de l'obligation de port du masque dans les transports en commun est de nouveau posée. Alain Fischer, qui préside le Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale contre le Covid-19, s'est dit jeudi « pas contre l'obligation » du port du masque dans les transports et les milieux clos. Pour l'instant, au niveau national, le port du masque n'est pas redevenu obligatoire dans ces endroits. En revanche, le gouvernement a renforcé sa communication sur le Covid-19 et appelle désormais les Français à remettre le masque d'eux-mêmes lorsqu'ils sont dans des lieux fréquentés, mal aérés, transports et magasins en tête de liste. En ces temps de départ en vacances, l'exécutif préfère jouer la carte de l'incitation plus que celle de l'obligation. Pour autant, à l'échelle locale, certains souhaiteraient prendre les devants. C'est le cas notamment à Nice. Le maire Christian Estrosi a pris un arrêté le 4 juillet pour rendre de nouveau obligatoire le port du masque dans les transports de la ville. Mais le juge des référés du tribunal administratif de Nice, saisi par deux requérants, a suspendu son exécution estimant que l'arrêté « porte à la liberté d'aller et venir et au droit de chacun au respect de sa liberté personnelle une atteinte grave et manifestement illégale ». Alors faut-il imposer à nouveau le masque dans les lieux clos ? Que sait-on des nouveaux variants d'Omicron ? Quelle est la situation dans les hôpitaux ? Pourquoi le recours aux intérimaires pour pallier le manque de personnel est-il controversé dans les hôpitaux publics ? Enfin si les cas de variole du singe détectés en France progressent doucement (721 sur tout le territoire), que sait-on de cette maladie ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Pour cette semaine du 03 Juillet : Des micro-organismes millénaires, les variants d'Omicron narguant nos anticorps, une étoile particulièrement rapide, une découverte surprenante concernant le manteau terrestre et le CERN qui reprend la recherche d'une nouvelle physique. Bonne écoute et bon week-end !
Les sous-variants d'Omicron sont plus contagieux que les versions antérieures du virus. Des manifestants dénoncent l'absolution conditionnelle accordée à Simon Houle devant le palais de justice de Québec. La Ville de Québec se prépare à la visite du Pape François. | Joane Prince (journaliste-présentatrice)
À l'approche de l'été, les indicateurs du Covid-19 sont à la hausse, faisant planer le doute sur une éventuelle 7ème vague de contaminations. Les doutes portent notamment sur la transmission des sous-variants d'Omicron, BA4 et BA5, responsables d'une flambée important au Portugal, ces dernières semaines. Est-ce que cette nouvelle vague présente des caractéristiques particulières ? Est-ce que certaines mesures sont fortement recommandées pour prévenir la maladie ? Pr Arnaud Fontanet, Chef de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur et Professeur au Conservatoire nationale des arts et métiers Retrouvez l'émission dans son intégralité en cliquant ici.
À l'approche de l'été, les indicateurs du Covid-19 sont à la hausse, faisant planer le doute sur une éventuelle 7ème vague de contaminations. Les doutes portent notamment sur la transmission des sous-variants d'Omicron, BA4 et BA5, responsables d'une flambée important au Portugal, ces dernières semaines. Après une accalmie significative en France, le nombre de cas remonte, alors qu'il n'y a plus aucune restriction, ni dans les transports, ni dans les lieux fréquentés par le public. Priorité Santé fait le point. Pr Arnaud Fontanet, chef de l'Unité d'Épidémiologie des Maladies émergentes à l'Institut Pasteur et professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers Stéphane Lagarde, correspondant de RFI à Pékin Yap Boum 2, directeur d'Épicentre pour l'Afrique, la branche de recherche de Médecins sans Frontières.
L'arrivée de l'été rime cette année encore en Europe avec une remontée des cas de Covid-19, portée par de nouveaux sous-variants d'Omicron, qui suscite des appels à la vigilance. De nombreux pays européens sont confrontés depuis quelques semaines à une nouvelle accélération des contaminations. Premier touché, le Portugal a connu en mai une augmentation marquée des nouveaux cas, qui a culminé début juin à près de 30.000 contagions par jour. La vague a, depuis, commencé à refluer. Au Royaume-Uni en revanche, les infections quotidiennes sont presque au plus haut depuis le début de l'épidémie. En France aussi le ryhtme des contaminations s'est accéléré. Nous faisons le point avec Isabelle Tourné, journaliste santé à l'AFP. Réalisation: Chloé Rouveyrolles. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Envoyez-nous vos commentaires : podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez nous des étoiles.
durée : 00:38:17 - Le téléphone sonne - par : Marie Claude PINSON - Une nouvelle hausse du nombre de cas positifs en France signale l'arrivée d'une nouvelle vague de l'épidémie de Covid-19. Cette septième vague serait due à un nouveau sous-variant d'Omicron, le BA.5, qui serait plus complexe à dépister, et plus contagieux que ses prédécesseurs. - réalisé par : Tristan Gratalon
Bref, comme notre équipe nationale de foot, il va nous falloir beaucoup d'efforts et un peu de chance pour affronter cette semaine, faite de réunion ministérielle de l'Organisation Mondiale du Commerce à Genève, de combats acharnés en Ukraine autour de Severodonetsk, de Yen qui s'effondre et de sous-variants d'Omicron qui font grimper en flèche les cas Covid en Suisse… Mais il y a tout de même une petite avancée contre la vente libre d'armes à feu aux États-Unis, ce matin, la victoire de la Suisse face au Portugal en Ligue des Nations et les victoires des partis présidentiel et de l'alliance de la gauche aux législatives en France tandis que Francis Lalanne, lui… est un arbre, dont les racines sont plantées dans le ciel.
D'Omicron à l'Ukraine, en passant par les camionneurs, Ottawa a semblé voler de crise en crise au cours des derniers mois. À Québec, les politiciens n'ont pas chômé non plus! Que doit-on retenir des derniers mois en politique québécoise et canadienne? Qui sont les politiciens qui ont le plus brillé, et ceux qui ont le plus besoin de vacances? Alec Castonguay, Madeleine Blais-Morin et Sébastien Bovet dressent le bilan d'un hiver bien chargé.
durée : 00:02:10 - Le billet sciences - Le nombre de contaminations au Covid-19 repart à la hausse depuis quelques jours. La faute au relâchement des gestes barrières mais aussi à l'apparition de sous-variants d'Omicron.
VARIOLE DU SINGE, COVID... LE RÉVEIL DES VIRUS – 28/05/22 Invités Pr ANNE-CLAUDE CRÉMIEUX Professeure en maladies infectieuses - Hôpital Saint-Louis Membre de l'Académie de Médecine Dr AGNÈS RICARD-HIBON Cheffe de service du SAMU 95 Ancienne présidente de la Société Française de Médecine d'Urgence Dr PATRICK PELLOUX Médecin urgentiste au SAMU de Paris - Président de l'AMUF Dr BENJAMIN DAVIDO Infectiologue - Directeur de la médecine de crise du Covid-19 Hôpital Raymond-Poincaré Alors que le Covid-19 n'a pas disparu, sommes-nous déjà confrontés à une nouvelle pandémie ? C'est la crainte de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) face à la propagation en Europe de la variole du singe ces dernières semaines. Il ne s'agit pas de la variole, déclarée éradiquée par l'OMS en 1980, après 100 ans de campagnes de vaccination. Cette maladie, aussi appelée « orthopoxvirose simienne », ou « monkeypox » en anglais, a été identifiée pour la première fois en RDC (ex-Zaïre). Elle est considérée comme rare et est connue chez l'être humain depuis 1970. Si elle est proche de la variole, elle est toutefois à ce jour considérée comme beaucoup moins grave et moins contagieuse. Mais l'apparition de clusters dans plusieurs pays non endémiques, c'est-à-dire où la maladie ne circule normalement pas, et ce sans lien direct avec des voyages en zone endémique est « atypique », selon l'OMS. À ce jour, dans le monde, plus de 200 infections, réparties sur 19 pays, sont actuellement recensées, selon le point fait hier par Santé Publique France. Dans l'hexagone, 7 cas confirmés de Monkeypox ont été rapportés dont 4 en Ile-de-France, 1 en Auvergne-Rhône-Alpes, 1 en Occitanie et 1 cas en Normandie. Mais l'OMS a prévenu hier que ces 200 cas déjà détectés ces dernières semaines pourraient n'être que « le sommet de l'iceberg ». Le président Joe Biden a averti dimanche dernier que l'impact de la variole du singe, dont plusieurs cas ont été récemment détectés en Europe, pourrait être "conséquent". Dans le monde, plusieurs cas ont déjà nécessité une hospitalisation De manière générale, le taux de létalité dans les précédentes épidémies de variole du singe est de 1 à 10 %", affirme l'OMS. La surreprésentation des homosexuels parmi les cas confirmés, et les commentaires homophobes apparus sur les réseaux sociaux concernant cette maladie a poussé les organisations médicales à réagir. L'Onusida a ainsi mis en garde contre des dérapages homophobes et racistes, qui pourraient « rapidement miner la lutte contre l'épidémie ». La sphère complotiste n'est pas en reste. Certains voyant dans l'apparition de ces clusters la conséquence des campagnes de vaccinations contre le Covid-19. Le Covid lui, est loin d'avoir disparu. En Chine, face au regain de l'épidémie depuis quelques mois, une grande partie des 25 millions d'habitants de la ville de Shanghai, la plus peuplée du pays, sont contraints de rester chez eux. Avec la forte diminution du nombre de cas positifs ces dernières semaines, plusieurs restrictions ont déjà été levées. Certains élèves vont ainsi progressivement pouvoir retourner étudier dans leurs établissements scolaires à partir du mois de juin. De nouveaux sous-variants d'Omicron, BA.4 et BA.5, sont également apparus en Afrique du Sud en janvier et février derniers. Ils se sont depuis propagés et BA.5 représente désormais les deux tiers des contaminations au Portugal. Sa propagation laisse croire qu'une augmentation rapide des cas se diffuser sur le continent. Problème : il peut aisément passer outre la protection immunitaire induite par une précédente infection et un schéma vaccinal complet et est en mesure de réinfecter des personnes contaminées par le virus dans les mois précédents. Si, en dehors du pays, la présence de ces variants reste, pour l'heure, relativement faible en Europe, les autorités se préparent d'ores et déjà à faire face à un rebond épidémique, en France notamment. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Information de Réunion la 1ere : un cas du variant BA.5 d'Omicron identifié chez une personne de retour de Maurice fin avril Est-ce que les nouveaux variants d'Omicron, du moins l'un d'eux, serait présent à Maurice ? Les autorités ont annoncé que les nouveaux variants d'Omicron, soit BA.4 et BA.5, ont été identifiés chez au moins trois personnes fin avril. Dans deux cas, il s'agit du variant BA.4 et concernent des personnes qui revenaient d'Afrique du Sud. Le troisième cas, qui concerne le variant BA.5, a été séquencé chez une personne de retour de Maurice. C'est ce qu'a souligné le Dr Alain Domercq, président du Conseil interrégional de l'Ordre des médecins Réunion-Mayotte. Il était l'invité du 12h30 de Réunion la 1ere.
COVID : LA CHINE FERME, LA FRANCE OUVRE... – 13/05/22 Invités Dr PATRICK PELLOUX Médecin urgentiste au SAMU de Paris - Président de l'AMUF SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques GÉRALDINE ZAMANSKY Journaliste - « Magazine de la Santé » sur France 5 NICOLAS BERROD Journaliste – « Le Parisien – Aujourd'hui en France » Pr CHRISTIAN BRÉCHOT – En direct de Floride Virologue - Président du Global Virus Network Un confinement national est décrété en Corée du Nord, où le régime qui n'avait jusqu'ici déclaré aucun cas à l'OMS vient d'annoncer son premier mort du Covid depuis le début de la pandémie. Le leader nord-coréen Kim Jong-un qui est apparu pour la première fois masqué jeudi à la télévision a juré d'éliminer le virus à la racine. Pour y parvenir il a décidé de verrouiller toutes les villes et régions du pays ainsi que de renforcer le contrôle aux frontières. Sachant que le pays est complètement isolé depuis deux ans. La Corée du Nord semble donc se diriger vers un contrôle sanitaire drastique alors que plus de 187.000 personnes ayant de la fièvre sont déjà «isolées » et que le virus s'est répandu « dans tout le pays » a précisé le régime. Une décision pas étonnante quand on sait que le système de santé déficient aurait du mal à faire face à une épidémie majeure et que la Corée du Nord n'a vacciné aucun de ses 25 millions d'habitants, après avoir rejeté les offres de vaccination de l'Organisation mondiale de la santé, de la Chine et de la Russie. Alors que se passe-t-il dans le pays ? A quoi pourrait ressembler la politique zéro Covid de la Corée du Nord ? Déjà sous cloche, le pays fait le choix d'un confinement très strict peut-être à l'image de ce qui est déjà mis en place dans plusieurs villes et provinces de Chine voisine. L'empire du Milieu, confronté à une vague de Covid qui a pulvérisé les chiffres « officiels » des contaminations au mois d'avril, poursuit dans sa politique du zéro Covid au risque de provoquer des tensions de plus en plus importantes et des émeutes. Une situation en Asie qui contraste avec celle que connaît aujourd'hui la France qui a décidé de mettre fin au masque obligatoire dans les transports à partir de lundi. « Les choses s'améliorent » a affirmé Olivier Véran. Mais en a-t-on vraiment fini avec le Covid en France ? Le pays compte toujours plus de 36 000 cas positifs par jour, 20 000 patients hospitalisés et 100 décès par jour en moyenne depuis début mars. « La pandémie n'est pas terminée » a d'ailleurs souligné le ministre de la Santé. « Le scénario le plus probable, partagé par la communauté scientifique, est qu'il y aura d'autres variants, vraisemblablement issus d'Omicron, contre lesquels nous pourrons lutter avec l'immunité que nous avons acquise » a-t-il expliqué alors qu'en Afrique du Sud une cinquième vague commence, provoquée par deux nouveaux sous-variants d'Omicron nommé BA4 et BA5. Mais que sait-on de ces sous-variants ? Doit-on craindre une nouvelle vague dans le pays ? Enfin quels sont les symptômes du Covid long ? Et quelle prise en charge ? D'après le site sante.gouv , 1,7 million de personnes ont présenté des symptômes persistants du Covid-19, un mois après l'infection initiale et pas moins de 700 000 personnes, plus de trois mois après. Des personnes qui ont besoin d'une prise en charge lourde dans des structures spécifiques. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'Afrique du Sud fait face à une forte hausse des contaminations au Covid-19. Une reprise épidémique, la cinquième, due à des sous-variants d'Omicron nommé BA4 et BA5. Selon un épidémiologiste sud-africain, ce qui se passe dans le pays "peut guider le monde entier". Doit-on craindre une sixième vague en France ?
Podcast n° 1437 Anne est originaire de Paris, elle y est d'ailleurs en ce moment, car sa ville d'expat est Hong Kong, mais les conditions actuelles sont compliquées a cause d'Omicron en ce moment. Les jeunes parents ont donc préféré passer ce moment de panique en France pour éviter les régles trés strictes la-bas. Avocate de formation, le gout de l'expatriation est venu assez vite : une expérience au Luxembourg, l'apprentissage de l'Anglais et de l'indépendance, Anne repasse a Paris avant de partir en V.I.E. à Pekin en 2012. "Une trés belle expérience" selon Anne, qui raconte son choc de l'expatriation et son adaptabilité necessaire dans une culture radicalement fascinante. Anne raconte sa rencontre avec son mari Italien, son mariage et la suite de ses aventures professionnelles notamment actuellement chez Fidinam.www.linkedin.com/in/anne-de-roulhac-97973126/ ........................................... Podcast produit par StereoChic, la radio des Français dans le monde.Ecoutez la radio depuis le site www.stereochic.fr ou via l'appli gratuite pour Apple & Android .Libre. Indépendant. Soutenez notre media !Aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Nous ne vivons que par votre aide & par ceux de nos partenaires. https://www.helloasso.com/associations/stereochic/adhesions/adherez-a-l-association-stereochic & vous pourrez défiscalisez 66% de votre engagement.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Quelque vingt millions de Pékinois, soit 90 % de la population de la capitale chinoise, vont être testés d'ici samedi. Pour tenter d'endiguer la progression d'Omicron, les autorités de la ville ne veulent pas répéter les erreurs des dirigeants de Shanghai, dont les habitants confinés ont dénoncé les pénuries, l'impréparation et la dureté de la politique « zéro Covid ». Un article de François Bougon publié mardi 26 avril 2022, lu par Christine Pâris.
Pour ce 30e et dernier épisode de Covipod, Julie Kern vous parle de l'émergence des sous-variants BA.4 et BA.5 issus d'Omicron. Nous ferons ensuite un bref état des lieux des dernières actualités et mesures autour du coronavirus.Ne vous inquiétez pas, on continue de se retrouver un jeudi sur deux avec Julie, dans un nouveau format qu'il nous tarde de vous présenter dès le 27 avril !
De longues files d'attente qui dépassent des aéroports, des voyageurs qui ratent leur avion faute de personnel pour les prendre en charge à l'embarquement. La pénurie de bras dans l'aérien au Royaume-Uni a contraint plusieurs compagnies à supprimer des vols ces derniers jours. La résurgence des cas de Covid et les difficultés à recruter des agents au sol expliquent en partie les problèmes du secteur qui pourtant doit se préparer à une reprise très forte des vols cet été. L'été a déjà débuté pour le secteur. Et si cela commence à gripper dans les aéroports, c'est parce que la reprise est déjà là. En Europe, la levée des restrictions de déplacements a fait exploser les réservations de vols. Malgré la guerre en Ukraine, les prochains mois sont « prometteurs » confirmait hier encore l'Association internationale des compagnies aériennes (IATA) qui rappelle que l'offre des sièges disponibles a presque retrouvé son niveau d'avant la crise, en particulier sur le continent européen. Les transporteurs sont-ils prêts à absorber cette demande ? Ce qui inquiète au Royaume-Uni, en l'occurrence, c'est que les compagnies ne passent à côté des mois cruciaux de juillet-août à cause du manque de personnel. Du personnel frappé par le sous-variant d'Omicron... et difficilement remplaçables, faute de candidats. Pour les syndicats du secteur, ces compagnies payent les vagues de licenciements opérés lorsque les avions étaient cloués au sol en 2020 et 2021. Difficile de retrouver du monde, surtout lorsque les salaires et les conditions de travail restent aussi peu attractifs, dénoncent ces syndicats. EasyJet, la compagnie britannique low-cost, va annuler plusieurs centaines de vols à cause du manque de personnel. Pour ce premier test après la levée des restrictions sanitaires au royaume uni, c'est raté. La guerre en Ukraine ne menace-t-elle pas aussi la reprise du secteur ? Ce que disait le lobby mondial des compagnies aériennes cette semaine, c'est qu'au déclenchement du conflit, il y a eu une baisse des réservations mais une reprise forte juste après. En Europe, mais également en Afrique où l'Association des compagnies aériennes anticipe aussi une reprise du marché. Pour autant, les impacts du conflit sont redoutés par le secteur. Quand on sait que le carburant représente entre 30 et 35% des coûts d'exploitation des compagnies, la hausse record du prix du baril de pétrole inquiète. Sur ce volet, les compagnies ne jouent pas à armes égales. Quand Ryan Air, avec sa solide trésorerie, peut se permettre d'acheter à l'avance 80% de son carburant à un prix modéré, d'autres devront envisager de répercuter la hausse sur leurs prix, quitte à perdre en compétitivité. À cause de ces charges croissantes, les compagnies européennes ne s'attendent pas au retour des bénéfices avant 2023 ou 2024, au mieux. Et puis, il y a les restrictions qui continuent de sévir, notamment en Asie... Oui, c'est à un recentrage sur l'Europe de fait auquel se sont résolues la plupart des compagnies aériennes. La Chine, face à sa nouvelle flambée de cas de Covid, reste hors d'atteinte pour les transporteurs européens. La Russie, en réponse aux sanctions européennes, a elle-même fermé son espace aérien aux compagnies occidentales. De quoi éloigner encore l'Europe et l'Asie, considérée comme un marché d'avenir pour le secteur. ►En bref Meta, maison-mère de Facebook, n'a pas abandonné son projet de monnaie virtuelle Les régulateurs des marchés avaient stoppé tout net en 2019 le lancement du projet baptisé "Diem" en 2019. Ils craignaient pour l'équilibre du système financier, pour les risques de blanchiment d'argent et pour la protection des données personnelles des utilisateurs notamment. D'après le quotidien Financial Times, le groupe de Mark Zuckerberg revient avec un nouveau projet, mais dans le Metaverse cette fois ; c'est-à-dire dans l'univers parallèle accessible en réalité augmentée et virtuelle dessiné par le fondateur de Facebook. Pas question de block-chain ici, mais des jetons pour s'échanger des biens et services dans ce monde virtuel. Cela existe déjà dans des jeux vidéos et cela permettrait notamment de récompenser certains contributeurs. Un projet qui n'a pas été démenti par le groupe, mais qui devrait à priori moins inquiéter les autorités monétaires...
Direction Hong-Kong pour y retrouver Nicolas, correspondant StereoChic pour revenir sur une actualité compliquée depuis l'arrivée d'Omicron dans la stratégie "Zéro Covid" il y a un mois. Vent de panique : écoles fermées, entreprises destabilisées, expat's sur le départ... Les autorités maintiennent leur stratégie alors que la contagiosité du virus est trés forte et inarrêtable. Ecoutez son témoignage ! ............................................... Vous avez aimé ce podcast ? Aidez la 1ère radio des Français dans le monde en faisant un don à notre association pour nous aider à nous développer. Nous ne vivons que par votre aide & grâce à nos partenaires. https://www.helloasso.com/associations/stereochic/ & vous pourrez défiscalisez 66% de votre engagement.
Entrevue avec Dr Donald Vinh, médecin en infectiologie et en microbiologie au CUSM : à quoi devrait-on s'attendre avec le sous-variant BA.2 d'Omicron? Ça commence à ressembler à une sixième vague. Au Danemark, où il représente le tiers des cas, on est rendus à 35 morts par jour, l'équivalent de 50 morts au Québec. Et leur taux de vaccination trois doses est plus élevé que le nôtre… Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'actualité vue par Patrick Déry : guerre imminente entre la Russie et l'Ukraine. La loi sur les mesures d'urgence a eu le feu vert à la Chambre des communes. La Rencontre Lisée - Mulcair avec Jean-François Lisée, ancien chef du Parti québécois et chroniqueur politique, et Thomas Mulcair, ancien chef du NPD et analyste politique (La Joute, chroniqueur au Journal) : à qui profitera à long terme leur vote sur les mesures d'urgence? Jean Charest va dire «nous sommes prêts». Segment édito de Patrick Déry : des élections avant octobre? Entrevue avec Nabil Abbad, immigrant arrivé au Canada il y a trois ans et demi et employé en comptabilité, Brossard : dans une lettre «Faites la différence» publiée dans le Journal, Nabil Abbad qui est arrivé au Canada il y a 3 ans et demi y va de ses suggestions pour faire aimer le français aux immigrants. Selon lui, l'approche devrait être axée sur la promotion et non la coercition. Chronique Crime et Société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d'enquête de Québecor : la manifestation d'Ottawa et la Loi sur les mesures d'urgence. Les camionneurs se réorganisent. La situation entre l'Ukraine et la Russie. La Rencontre Proulx-Déry avec Gilles Proulx, chroniqueur au Journal de Montréal Journal de Québec : Jean Charest à la tête du PCC? La Rencontre Daoust-Déry avec Yves Daoust, directeur de la section Argent du Journal de Montréal et du Journal de Québec : des tirs nourris contre l'entente Hydro-Énergir. Notre garde-manger dévasté par un incendie. Entrevue avec Patrick de Bellefeuille, Présentateur météo chez MétéoMédia et expert en changements climatiques : tout un cocktail de grêle est attendu aujourd'hui en fin de journée sur la région métropolitaine. Alors que le mois de février a été particulièrement intense côté météo (froid glacial, chaleur inattendue, pluie, neige, grêle), on s'intéresse au rôle qu'occupent les changements climatiques dans nos hivers. Chronique de Luc Laliberté, spécialiste de politique américaine : l'Ukraine me semble inévitable. La Rencontre Bock-Côté - Déry avec Mathieu Bock-Côté, chroniqueur blogueur au Journal de Montréal Journal de Québec et animateur du balado « Les idées mènent le monde » à QUB radio : Ottawa souhaite hausser les seuils d'immigrations. Entrevue avec Dr Donald Vinh, médecin en infectiologie et en microbiologie au CUSM : à quoi devrait-on s'attendre avec le sous-variant BA.2 d'Omicron? Ça commence à ressembler à une sixième vague. Au Danemark, où il représente le tiers des cas, on est rendus à 35 morts par jour, l'équivalent de 50 morts au Québec. Et leur taux de vaccination trois doses est plus élevé que le nôtre… Une production QUB radio Février 2022 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Chantal Arseneau, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. Deux présumés féminicides en moins de 24 heures au Québec, avec la vague d'Omicron, Chantal Arseneau affirme que l'augmentation des demandes d'aide ne chôme pas depuis plusieurs mois. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Frédéric Bisson, camionneur. Le camionneur ne s'est pas joint au « convoi de la liberté », rassemblement de camionneurs à Ottawa manifestant pour le libre choix lié à la vaccination qui s'est transformé en mêlée générale. Maintenant le convoi terminé, est-ce que la réputation des camionneurs est ternie ? Entrevue avec François Doré, policier à la retraite et spécialiste en affaires policières. Retour sur une fin de semaine mouvementée à Ottawa où tous les manifestants ont été délogés samedi soir. La rue Wellington était vide hier matin. Au menu de la rencontre encore Marie-Claude Barrette et Yasmine Abdelfadel, on parle des Jeux de Beijing, des jeux qui se sont achevés en fin de semaine. MC Barrette a ressenti un profond malaise à regarder des compétitions qu'elle aime pourtant énormément en temps normal. On parle aussi de L'Arnaqueur de Tinder, documentaire disponible sur Netflix. Segment spécial avec Émilie Fournier, productrice au contenu de Star Académie. On jase potins du dernier variété de Star Académie. Hier, c'est Laurie qui a dû plier bagages. Entrevue avec Chantal Arseneau, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. Deux présumés féminicides en moins de 24 heures au Québec, avec la vague d'Omicron, Chantal Arseneau affirme que l'augmentation des demandes d'aide ne chôme pas depuis plusieurs mois. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Rose Sullivan, survivante de la prostitution et co-fondatrice du Collectif d'Aide aux Femmes Exploitées Sexuellement : quelle est la réalité des femmes en situations de prostitution pendant la pandémie ? Selon Rose Sullivan, survivante de la prostitution, la pandémie est un moment idéal pour se sortir de ce terrible univers. Chronique culturelle d'Anaïs Guertin-Lacroix : retour sur le SuperBowl. Ivan Reitman, réalisateur de Ghostbusters, est mort à 75 ans. La Rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau : pourquoi ne pas aller en club échangiste pour la St Valentin ? Grosse hausse des cas de covid au Danemark suite aux assouplissements. Manifestations à Ottawa. Entrevue avec Mélanie Trudel, entrepreneure et fondatrice de l'application de rencontres québécoise GoSeeYou : si depuis ses débuts l'application GoSeeYou vise les célibataires en quête d'une relation sérieuse, monogame, la pandémie a semblé changer la donne! Mélanie Trudel a constaté les besoins et désirs de sa clientèle pour différentes formes de libertinages et s'y est adaptée. Chronique de Geneviève Pettersen, animatrice à QUB radio de 13h à 15h30 : que faites vous ce soit pour la St Valentin ? Chronique de Loïc Tassé, politologue et chroniqueur au Journal de Montréal : les tensions aux frontières de l'Ukraine : les Russes reculent. Les convois libertariens ici et à travers le monde. Les hôpitaux de Hong Kong sont saturés en raison de l'arrivée dans la ville d'Omicron. Segment d'actualité avec Alexandre Dubé : crise des camionneurs. Trudeau se montre enfin? Vers un assouplissement du passeport vaccinal ? La Rencontre Foisy-Robitaille : chronique politique provinciale et fédérale avec Antoine Robitaille, animateur de l'émission Là-Haut sur la colline à QUB radio, et Philippe-Vincent Foisy, animateur de l'émission matinale de QUB radio : crise des camionneurs. Sondage dans Marie-Victorin. Les policiers soutiennent les manifestants ? Entrevue avec Marie-Ève Martel, journaliste à La Voix de l'Est et vice-présidente de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec : Marie-Ève a publié une puissante chronique samedi dernier dénonçant la haine, le harcèlement et les agressions envers les journalistes qui ne font qu'augmenter. La journaliste compte aussi porter plainte à la police pour des messages haineux et menaces reçues récemment. Chronique de Patrick Déry, analyste en politiques publiques : 1400 patients morts après plus de 12 heures à l'urgence l'an dernier. Des infirmières du Québec font une plainte à l'organisation du travail pour du ‘'Travail forcé''. Ce qu'il reste du printemps érable. Chronique sports avec JIC : retour sur le Super Bowl. Deux défaites pour le CH. Une production QUB radio Février 2022 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chronique de Loïc Tassé, politologue et chroniqueur au Journal de Montréal. Les tensions aux frontières de l'Ukraine : les Russes reculent. Les convois libertariens ici et à travers le monde. Les hôpitaux de Hong Kong sont saturés en raison de l'arrivée d'Omicron dans la ville. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour cette semaine du 31 janvier : un sous-variant plus contagieux d'Omicron, un gigantesque impact météoritique, un record de l'éclair le plus long, un variant virulent du VIH détecté aux Pays-Bas et des pattes de grenouilles qui repoussent. Bonne écoute, et bon week-end !
L'invitée de 07h50 ce vendredi est Caroline Désir, ministre de l'éducation en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous évoquerons l'impact d'Omicron sur le fonctionnement des écoles.
Segment LCN, manchettes, nouvelle du jour et commentaires entre Mario et Vincent : les points de presse à venir. Les influenceurs du vol Sunwing font encore parler. Situation en Ukraine. Les oppositions se prononcent. Bilan COVID. Un sous-variant d'Omicron se promène. Un paquet impressionnant tente de faire son entrée en prison. Une démission importante pour la STM. Entrevue avec Maryse Vermette, PDG d'Éco entreprises Québec : nouvelles cibles de réduction d'enfouissement des matières résiduelles, les entreprises disent être prêtes! Entrevue avec Dre Nima Machouf, épidémiologiste et membre du collectif COVID-STOP : le gouvernement a officiellement lancé la plateforme d'autodéclaration des résultats de tests de dépistage. Chronique juridique avec Nada Boumeftah, avocate en droits criminels et protection de la jeunesse : une ancienne élue de Montréal et ex-policiers du SPVM lance un appel à l'action, aux changements de loi pour réduire la violence en ville. Une équipe mobile pour les cas de santé mentale à Toronto. Tribunaux spécialisés : Québec annonce une série de projets pilotes. Entrevue avec André Fortin, porte-parole du PLQ en matière de transports : pas de 3e lien à Québec dans les promesses du PLQ. Tout savoir en 24 minutes : L'actualité du jour en 24 minutes, analysée et commentée, édition du mercredi 15 septembre. Pour s'informer et tout comprendre en 24 minutes avec Mario Dumont, Vincent Dessureault et Alexandre Dubé. La rencontre Latraverse-Dumont, avec Emmanuelle Latraverse, Mario Dumont : le casse-tête de l'Ukraine pour Justin Trudeau. Chronique sportive avec Jean-François Baril : des nouvelles du CH. Défaite crève-cœur pour Auger-Aliassime. Segment LCN avec Pierre Bruneau : bilan sur la situation en Ukraine. Caucus des oppositions. Bilan COVID. Une production QUB radio Janvier 2022 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Segment LCN, manchettes, nouvelle du jour et commentaires entre Mario et Vincent : les points de presse à venir. Les influenceurs du vol Sunwing font encore parler. Situation en Ukraine. Les oppositions se prononcent. Bilan COVID. Un sous-variant d'Omicron se promène. Un paquet impressionnant tente de faire son entrée en prison. Une démission importante pour la STM. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Abonnez vous à la newsletter : mailchi.mp/372ce005d7cc/explizik Cette semaine dans Explizik, Nous allons exceptionnellement faire un épisode plus court que d'habitude. J'ai attrapé cette saleté de d'Omicron et pour tout vous dire, je n'ai qu'une hâte c'est de retourner me coucher. Mais ne voulant pas vous laisser tomber, je vais vous parler de Splice. La marketplace pour les créateurs de musique.
Segment LCN, manchettes, nouvelle du jour et commentaires entre Mario Dumont et Vincent Dessureault : bilan COVID. Retour sur le point de presse de Christian Dubé. La Chine accuse la Canada d'avoir amené la Omicron en Chine. Le nouveau DG des Canadiens de Montréal. Les restaurants en pandémie. Des agents de sécurité dans les SAQ et SQDC. Décès de Karim Ouellet. Amalega Bitondo passera une autre nuit confiné en prison. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
TESTS, TRANSPORTS, ÉCOLES : LA GRANDE PAGAILLE ! – 07/01/22 Invités NICOLAS BERROD Journaliste – « Le Parisien – Aujourd'hui en France » SOPHIE AURENCHE Journaliste en charge de la crise sanitaire - « RTL » GAËLLE FLEITOUR Journaliste Adjointe au chef du service éco-social de Ouest-France Pr BRUNO MÉGARBANE Chef du service réanimation – Hôpital Lariboisière Pr ANTOINE FLAHAULT - En direct de Genève Épidémiologiste Directeur de l'Institut de santé globale - Université de Genève Auteur de « Covid, le bal masqué » Près de 410 000 personnes ont été testées positives ce lundi 3 janvier au Covid-19 dans le pays, du jamais-vu ! Une explosion des cas dont les effets se font ressentir dans de nombreux secteurs, notamment les transports, et qui touchent particulièrement les écoles où l'épidémie flambe : 9200 classes sont ainsi fermées cette semaine. 47 453 élèves de la maternelle au lycée sont positifs, ainsi que 5 631 adultes. Par ailleurs, 75 000 élèves et 3 000 adultes sont à l'isolement car cas contacts. La grande désorganisation d'Omicron commence par l'école avec des professeurs et personnels absents (car contaminés ou parce qu'ils doivent garder leurs enfants) et une grande pagaille côté élèves. Avec la multiplication des cas de Covid-19 et cas contacts un peu partout dans le pays se faire tester devient très compliqué et trouver des autotests l'est encore plus. Alors à peine mis en œuvre lundi, le nouveau protocole sanitaire vient d'être légèrement assoupli à l'école. Désormais, les élèves n'auront plus à recommencer le parcours des trois tests si un nouveau cas de Covid-19 est détecté dans leur classe dans les sept jours suivant un premier cas. Une modification qui devrait alléger un peu l'organisation des parents. Car jusqu'ici, les élèves devaient réaliser un test PCR ou antigénique à chaque nouveau cas positif déclaré dans la classe, puis réaliser un autotest à J + 2 et J + 4 pour pouvoir continuer à suivre les cours en présentiel. Néanmoins l'assouplissement n'empêche pas la colère de gronder. Deux syndicats d'enseignants viennent d'appeler à une grève nationale jeudi 13 janvier dans les écoles, collèges et Lycées. Ils entendent protester contre le protocole sanitaire actuellement en vigueur qu'ils jugent insuffisant et réclament « une école sécure sous Omicron ». Dans les hôpitaux, des inquiétudes se font également entendre alors que les arrêts maladies se multiplient chez les soignants et que le nombre de patients Covid-19 continue d'augmenter : 21.169 malades du Covid-19 sont désormais hospitalisés en France, dont 3.759 en soins critiques, en grande majorité non-vaccinés. Des non-vaccinés qui sont clairement depuis plusieurs jours dans le viseur de l'exécutif. Emmanuel Macron a ainsi affirmé, ce vendredi, qu'il « assum[ait] totalement » les paroles qu'il a prononcées dans une interview publiée mardi par le journal Le Parisien, où il affirme son envie d'« emmerder » les non-vaccinés. « On peut s'émouvoir sur des formes d'expression qui paraissent familières que j'assume totalement », a ainsi déclaré le président de la République. « Je m'émeus de la situation dans laquelle nous sommes, la vraie fracture du pays est là, quand certains font de leur liberté, qui devient une irresponsabilité, un slogan » a affirmé Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat a également fait valoir sa « stratégie, qui est simple : vacciner, vacciner, vacciner », et argué que « c'est un mouvement complètement européen qui met des restrictions sur les personnes qui ne sont pas vaccinées ». Ces nouvelles déclarations du chef de l'Etat interviennent la veille de manifestations nationales anti-passe sanitaire dans le pays, et ce alors que le projet de loi adopté jeudi matin à l'Assemblée va être examiné lundi en commission au Sénat, et que l'idée d'une vaccination obligatoire fait son chemin dans l'Hexagone ainsi que chez nos voisins européens. Le gouvernement italien vient en effet de décider de rendre la vaccination obligatoire pour les personnes âgées de 50 ans et plus. En France, Emmanuel Macron a rappelé son opposition à ce principe dans les colonnes du Parisien mardi mais plusieurs voix, dont celle de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, se disent favorables à une obligation vaccinale, sur le même modèle que l'Italie, la Grèce ou l'Autriche. Alors comment éviter la désorganisation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Texte:Le Premier Ministre britannique a averti d'un “raz-de-marée” imminent d'Omicron, et a avancé d'un mois l'objectif d'administrer une dose de rappel aux plus de 18 ans.Traduction:UK Prime Minister warned of a looming "tidal wave" of Omicron, and brought forward a target to give over-18s a booster jab by one month.
Et si finalement, « Omicron était une chance », s'interroge Le Parisien. « Passer de monstre à espoir. Omicron est en train de réaliser cette étonnante mutation : "2022 sera peut-être l'année de sortie de l'épidémie", a dit Emmanuel Macron, lors de ses derniers vœux du quinquennat. Certes ultra-contagieux, ce variant occuperait davantage les lits d'hospitalisations dits 'conventionnels', que les réanimations. Surtout, il porterait en lui la promesse de l'immunité collective, selon le ministre de la Santé, Olivier Véran. Si toutes ces nouvelles sont bonnes à prendre, en ce début d'année déjà perturbé par l'épidémie de Covid-19, scientifiques et médecins restent prudents. » Mais on peut objectivement être optimistes, renchérit Le Monde : « par rapport à 2020, l'espoir d'en finir avec la pandémie est désormais permis. Avec le temps, les vaccins et l'évolution des variants, il n'est plus interdit d'imaginer un avenir pas trop lointain où le SARS-CoV-2 rejoindra la cohorte des autres coronavirus saisonniers, bénins, contre lesquels il sera possible de se protéger par des traitements ou des rappels réguliers de vaccins. Ce n'est pas encore le bout du tunnel, mais il se rapproche, pointe Le Monde. Une condition est impérative cependant pour en sortir durablement : aider le reste de la planète à accéder au vaccin. Les populations des pays du Sud ne sont pas encore assez vaccinées. Or, comme le démontre le variant Omicron, personne n'est sauf tant que tout le monde ne l'est pas. » Les armes sont là… Les Dernières Nouvelles d'Alsace sont sur la même ligne : « cette pandémie qui entre dans sa saison 3 continue à bouleverser nos existences et chamboule jusqu'à la routine qui avait été douloureusement mise en place pour la contenir. La différence est qu'aujourd'hui les armes sont là : les vaccins ont prouvé toute leur efficacité et d'autres médicaments sont annoncés. Il y a tout lieu de penser que ce virus sera vaincu, pointe le quotidien alsacien, à condition que l'ensemble de l'humanité ait accès aux traitements. Ce n'est pas uniquement de solidarité qu'il s'agit, c'est de pragmatisme. Nous ne nous en sortirons que si tout le monde s'en sort, c'est aussi simple que cela et ce nouveau variant Omicron en est la plus parfaite illustration. » La campagne présidentielle cannibalisée ? En attendant une possible sortie épidémique, « la campagne présidentielle est perturbée », note Le Figaro. « Les candidats tentent d'éviter une paralysie des débats en adaptant leur dispositif : moins de grands rassemblements, plus de médias et de petits déplacements… » Le Figaro qui s'interroge : « la crise sanitaire va-t-elle cannibaliser l'ensemble de la campagne et empêcher l'émergence de toute autre thématique ? Le risque de cercle vicieux est réel, répond-il : parce que les Français sont légitimement préoccupés - pour leur santé, leur travail, leurs enfants, leurs projets -, se contenter de commenter les chiffres du jour et les questions du moment en s'interdisant de mettre sur la table d'autres sujets, par crainte d'être inaudible. Et au risque de n'être toujours qu'en réaction aux décisions de l'exécutif. Non seulement cela condamnerait les candidats d'opposition à avoir en permanence un temps de retard, mais cela les empêcherait surtout de façonner un projet alternatif global. » Ça tangue à l'école… Enfin, ça grogne au sein de l'Education nationale : « tout le monde est sur les nerfs », s'exclame Libération en Une. « Les cours ont repris hier en pleine vague Omicron avec un protocole sanitaire dévoilé la veille, provoquant l'incompréhension. (…) Depuis deux ans, relève Libé, ils se sont pliés en quatre, ils ont joué le jeu, ils se sont adaptés. Mais face à la nouvelle vague épidémique, la peur d'Omicron et le protocole sanitaire adapté à la sauvette, parents, profs, directeurs, assistants d'éducation ou infirmières scolaires en ont gros sur la patate. (…) Une fois de plus, l'Education nationale est accusée de ne pas suffisamment protéger élèves et personnels. » Libération parle de « mauvaise gestion » et de « communication catastrophique » et déplore que le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer ait annoncé « une stratégie double 'maintenir les écoles ouvertes tout en assurant la sécurité des personnels et des élèves'. » Stratégie impossible à tenir. Et « sur tous les points concrets qui faciliteraient la bonne marche de l'école – capteurs de CO2, personnel médical dans les établissements, distribution de masques FFP2, le ministère n'a pas avancé », déplore encore Libération.
S'achemine-t-on en France vers la fin de l'épidémie du Covid-19 avec la domination d'Omicron comme les officiels ont tendance à l'affirmer ? Pour en parler, le professeur Frédéric Adnet, chef du service des urgences de l'hôpital Avicenne à Bobigny et du Samu de Seine-Saint-Denis est l'Invité international de RFI. Auteur du livre Les fantassins de la République. Urgence COVID : un printemps en enfer (Ed.Flammarion), il répond aux questions de Jean-Baptiste Marot.
durée : 00:12:31 - Journal de 7 h - Réveillon sous le signe du variant Omicron, dominant en France. Pour échapper au Covid, masque obligatoire dans les rues de Paris et dans la moitié des départements mais faut-il utiliser un masque chirurgical ou FFP2, plus filtrant ? L'Italie et l'Allemagne oblige au FFP2 dans certains lieux.
durée : 00:24:55 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Christelle Rebière - Thierry Chopin, conseiller spécial à l'Institut Jacques Delors et professeur de science politique à l'Université catholique de Lille, et Edouard Lecerf, directeur général adjoint de l'Institut de sondages BVA, sont les invités du grand entretien de la matinale. - invités : Thierry CHOPIN, Edouard Lecerf - Thierry Chopin : Conseiller spécial à l'Institut Jacques Delors et Professeur de science politique à l'Université catholique de Lille, ESPOL, Edouard Lecerf : Directeur général adjoint de l'Institut de sondages BVA
durée : 00:12:31 - Journal de 7 h - Réveillon sous le signe du variant Omicron, dominant en France. Pour échapper au Covid, masque obligatoire dans les rues de Paris et dans la moitié des départements mais faut-il utiliser un masque chirurgical ou FFP2, plus filtrant ? L'Italie et l'Allemagne oblige au FFP2 dans certains lieux.
L'inflation élevée qui a marqué le paysage économique mondial en 2021 n'est pas aussi provisoire qu'on le pensait. Elle va se prolonger en 2022. Ce phénomène est un casse-tête pour les banques centrales qui devront maitriser cette hausse des prix, sans casser la reprise économique. Après une année 2020 marquée par un arrêt de l'économie mondiale en raison du Covid-19, la forte reprise économique surtout dans les pays développés a fait exploser la demande que ce soit pour les biens de consommation ou les biens intermédiaires. En face, l'offre a eu du mal à suivre. Cette situation a provoqué des pénuries de matières premières et par conséquence une forte hausse du cours de ces dernières, notamment ceux des hydrocarbures. Le secteur de l'électronique connait lui aussi des pénuries, notamment de semi-conducteurs, pénalisant fortement par exemple la production automobile. Les goulots d'étranglements dans de nombreux ports du monde et l'explosion des prix du transport maritimes sont d'autres facteurs qui ont contribué à l'inflation qui n'épargne presque aucune région du monde. ► À lire aussi : 2021: année de crises majeures et Pénuries: comment réparer les chaînes d'approvisionnement? Pour maitriser cette hausse des prix, les banques centrales disposent d'un outil : les taux directeurs. En relevant leurs taux d'intérêt à court terme, les banques centrales ralentissent l'accès au crédit, ce qui réduit la masse monétaire en circulation. Plusieurs banques de pays émergents ont déjà relevé leurs taux. C'est le cas au Mexique, au Brésil, en Russie mais également en Angleterre ou encore en Norvège. Aux États-Unis, où l'inflation est au plus haut depuis 40 ans, la Réserve fédérale américaine (FED) envisage trois hausses de taux en 2022. Il s'agit pour l'instant de prévisions, en revanche la FED est plus décidée dans sa politique de réduction d'achats d'actifs qu'elle veut ramener à zéro en mars 2022. Autre stratégie, la Banque centrale européenne (BCE) a elle choisi de ne pas relever les taux l'an prochain. Pour les dirigeants de la BCE, la propagation d'Omicron génère de l'incertitude ce qui veut dire que l'activité dans la zone euro pourrait en souffrir. La Banque centrale européenne craint en effet qu'un resserrement de sa politique monétaire ne freine la reprise économique post-Covid. D'autant que l'augmentation des taux pourrait avoir un impact sur certains États européens très endettés qui se financent à des coûts très bas. ► À lire aussi : Les banques centrales en ordre de marche pour lutter contre l'inflation Les banques centrales des pays riches savent que des hausses des taux rapides et trop fortes peuvent être inefficaces et ralentir une croissance encore fragile. C'est pour cette raison que la FED, la plus puissante banque centrale du monde, n'a fait que des annonces pour l'année prochaine. Elle se laisse le temps de voir si l'inflation s'enracine et si le nouveau variant du Covid-19 pèsera sur l'activité économique avant de passer à l'action. Christopher Waller, un des membres du conseil des gouverneurs de la FED l'a dit ouvertement en affirmant que le moment approprié pour une première hausse dépendra de l'évolution de l'activité économique. Il est donc difficile de savoir ce que vont faire les banques centrales en 2022, d'autant que la situation sanitaire reste très fragile.
208 000 NOUVEAU CAS, LE « RAZ-DE-MARÉE » OMICRON – 29/12/21 Pr BENJAMIN DAVIDO Infectiologue - Directeur de la médecine de crise du Covid-19 Hôpital Raymond-Poincaré Dr AGNÈS RICARD-HIBON Cheffe de service du SAMU 95 Ancienne présidente de la Société Française de Médecine d'Urgence MARGOT BRUNET Journaliste santé – « Marianne » Pr JEAN-LOUIS TEBOUL Chef de service en médecine intensive et réanimation - Hôpital Bicêtre Pr PHILIPPE AMOUYEL – En direct de Lille Épidémiologiste et professeur de santé publique - Université de Lille Le variant Omicron présente un « risque très élevé » a prévenu ce mercredi 29 décembre l'Organisation mondiale de la Santé, tandis que le Royaume-Uni, le Portugal, la Grèce et la France enregistrent des records de contaminations. Dans l'Hexagone, ce sont 208 000 cas de Covid-19 qui ont été recensés dans les dernières 24 heures. Un « raz-de-marée » a alerté le ministre de la Santé Olivier Véran ce mercredi. 2.110 nouvelles hospitalisations ont également été dénombrées, contre 1.634 la veille. Face à la dégradation de la situation sanitaire, l'exécutif a annoncé un nouveau tour de vis, lundi soir. Pas de confinement, de couvre-feu pour la Saint-Sylvestre ni de report de la rentrée scolaire, mais un retour des masques en extérieur, des jauges pour les grands rassemblements, du télétravail obligatoire et une accélération de la vaccination. L'examen du projet de loi instaurant un passe vaccinal commence aujourd'hui en commission à l'Assemblée nationale. Si le texte est adopté, il remplacera à la mi-janvier le passe sanitaire. D'ici là, un nouveau Conseil de défense est prévu le 5 janvier alors que la situation est inquiétante dans les hôpitaux, où 3 400 malades du Covid-19 sont actuellement en soins critiques. Sous pression, des établissements doivent transférer des patients vers d'autres régions. C'est le cas à Marseille où il n'y a plus de lit disponible en réanimation, avec une grande majorité de patients Covid non-vaccinés. Une réalité qui commence à peser sur le moral des personnels soignants qui oscillent entre lassitude et colère. La situation est « extrêmement tendue », affirmait la semaine dernière Thierry Godeau, à la tête de la Conférence nationale des présidents de Commissions médicales d'établissement (CME) de Centre hospitalier. Lits fermés, pénurie de personnel, départs massifs de soignants, absentéisme… l'équation n'a plus rien à voir, après deux ans de crise sanitaire. Evoquant une « reconnaissance indispensable » pour ces personnels dont l'hôpital manque pour faire face à l'afflux de patients, le Premier ministre Jean Castex a annoncé, mardi 28 décembre, une prime mensuelle de 100 euros à partir de janvier pour les quelque 24 000 infirmiers et infirmières des services de soins critiques et de réanimation. Cette disposition s'inscrit en préalable de mesures qui devraient être annoncées par le ministre de la Santé, après la réception la semaine prochaine d'un rapport de l'Igas (Inspection générale des affaires sociales) sur « l'offre de soins critiques, réponse au besoin courant et aux situations sanitaires exceptionnelles ». Parallèlement, le variant Omicron vient compliquer la rentrée scolaire, entraînant une certaine cacophonie au gouvernement. Ainsi mardi, le ministre de l'Éducation Nationale Jean-Michel Blanquer a affirmé que les élèves qui étaient considérés comme « cas contact » allaient prochainement devoir présenter plusieurs tests de dépistage négatifs pour revenir en cours. Mais dans l'après-midi, le ministère de l'Éducation est revenu sur ces propos, et Matignon évoque désormais une concertation « en cours » mais « non tranchée ». Alors quelle est la situation sanitaire ? Que sait-on d'Omicron ? Les hôpitaux français sont-ils prêts à affronter une nouvelle vague ? Et quel sera le protocole sanitaire dans les écoles ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
ECOUTEZ LE QUART D'HEURE LYONNAIS Toute l'actualité de ce mardi 28 décembre 2021 COVID-19 : 980 cas pour 100 000, un record depuis novembre 2020 15% d'Omicron dans le Rhône Nouvelles mesures pour répondre à la flambée des contaminations Rue Baraban : un nouveau centre de vaccination Les 2 crocodiles du parc pourraient partir cet hiver La Poste plante 700 arbres à Poleymieux au Mont-d'or Muriel Barnéoud, Directrice Engagement Sociétal est notre invitée Arthur Bahadourian est décédé à 83 ans Paris FC et OL sortis de la Coupe de France Top 14 : Le LOU battu à La Rochelle Basket : L'Asvel s'incline contre Limoges
durée : 00:02:19 - Le brief éco - Ça n'est pas loin d'être le cadeau tendance pour Noël : les autotests anti-Covid. Avec l'explosion d'Omicron, les Français se les arrachent. Encore faut-il pouvoir en trouver.
Ce jeudi 23 décembre, Dan Staner, Vice-président de Moderna, était l'invité de Audrey Maubert et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce jeudi 23 décembre. Ils sont revenus sur la faible dangerosité d'Omicron et l'efficacité du vaccin de Moderna contre ce variant, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tue, 21 Dec 2021 07:00:00 +0000 https://morningbull.podigee.io/182-new-episode a2c167b1e712dd901388fa16f63f9d8a full On sait que ça baisse à cause d'Omicron, mais on sait pas trop ce que Omicron peut avoir comme conséquence, c'est surtout selon qui on écoute.... On sait aussi que ça baisse à cause du capotage du plan Biden, en l'occurrence, là, on sait très bien ce que no Morningbull,Swissquote,Omicron,PIB,Révision,Sell Off,Correction,Doutes,Manchin,Biden,Peur Swissquote
Alexandre Touchette se penche sur l'importance des microsiestes pour stimuler la créativité ; Yves Gingras fait une chronique sur le rapport à la liberté académique; Renaud Manuguerra se penche sur la petite histoire des trousses en chimie; Gino Harel parle des instruments pour analyser la qualité des aliments; Chantal Srivastava discute avec un expert sur la ventilation pour prévenir la contamination d'Omicron; l'archéologue Claudine Gravel-Miguel parle des découvertes d'une sépulture féminine et d'un nourrisson mort il y a 10 000 ans; et un reportage de Mari-Pier Élie sur la vitesse qu'il faut atteindre pour s'arracher à la gravité.
La rencontre Foisy-Robitaille avec Philippe-Vincent Foisy et Antoine Robitaille : retour à l'anormal. Qs demande plus d'aide pour les commerçants. Caroline St-Hilaire dans Marie-Victorin? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La rencontre Nadeau-Robitaille avec Rémi Nadeau, chef de bureau parlementaire à l'Assemblée nationale pour le Journal et le Journal : les mauvaises nouvelles s'accumulent sous le poids d'Omicron. Québec forcé de revoir ses mesures. Jean-François Roberge testé positif. Critiques contre la loi 21. PSPP envoie une lettre pour dénoncer le comportement de l'ambassadeur Bob Rae. Entrevue avec Alexandre Leduc, Député de Hochelaga-Maisonneuve de Québec solidaire : comment garantir la liberté universitaire? Rapport d'Alexandre Cloutier «Reconnaître, promouvoir et protéger la liberté universitaire». Le mot nègre peut-il être dit ? Déconnexion : un enjeu «brûlant d'actualité», en raison du télétravail qui s'est imposé durant la pandémie, mais aussi des enjeux de santé mentale. Quel cas ? Pourquoi revenir à la charge? Une production QUB Radio Décembre 2021 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Édito de Geneviève : l'actualité sous la loupe de Geneviève. Le virus présent plus que jamais. Point de presse à venir. 3ème dose du vaccin contre la COVID-19. Tests rapides. École à distance. La rencontre Gibeault-Pettersen avec Nicole Gibeault, juge à la retraite : Bilan du dossier de la petite fille de Granby. 18 mois de prison pour un policier coupable d'agression sexuelle. Entrevue avec Roxane Borgès Da Silva, Professeure à l'École de Santé publique de l'Université de Montréal : qu'est-ce que le gouvernement aurait pu faire pour éviter qu'on se retrouve dans une telle situation pandémique juste avant Noël? Et surtout, qu'est-ce qui devra être fait dans les prochaines semaines pour éviter le pire? Chronique édito de Vincent Dessureault : un mois de décembre désastreux pour Boris Johnson. Un autre gros problème d'Omicron : des taux d'absentéisme inédit. Est-ce que les neurochirurgiens sont réellement plus intelligents que nous, simples paysans? Entrevue avec Victor Henriquez, expert en gestion de crise et relations publiques : l'humoriste Julien Lacroix brise son silence et revient sur les dénonciations de violences et inconduites sexuelles le visant. Un suspect abattu à Montréal en début d'après-midi. La rencontre Lefebvre-Leclerc avec les analystes politiques Elsie Lefebvre et Marc-André Leclerc : point de presse de 18h de François Legault sur la pandémie et Noël. Voyages. Tests rapides. Vaccination des enfants. Chronique d'Anne Marie Tapp, religiologue et assistante de recherche à l'UQAM : Jésus : mythe ou réalité? Chronique de Gabrielle Caron, humoriste, auteure et animatrice du balado “J'ai fait un humain” à QUB radio : près de 450 sapins de Noël dans leur maison. Des tickets de métro à manger après utilisation. Entrevue avec Georgia Vrakas, professeure au département de psychoéducation de l'Université du Québec à Trois-Rivières : le rapport sur la liberté académique dans les universités du Québec a été déposé cette semaine et recommande au gouvernement d'adopter une loi pour faire respecter cette liberté. Est-ce vraiment nécessaire? La rencontre Stréliski-Cyr avec les humoristes Léa Stréliski et Mathieu Cyr : comment balancer le besoin de s'informer sur la COVID-19 et l'écœurantite de la pandémie et des nouvelles déprimantes sur la pandémie? Julien Lacroix pense revenir sur scène. Chronique culturelle d'Anaïs Guertin-Lacroix : l'acteur américain Chris Noth, notamment connu pour son rôle dans l'émission Sex and the city, accusé d'agressions sexuelles par deux femmes. Une production QUB radio Décembre 2021 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chronique édito de Vincent Dessureault : un mois de décembre désastreux pour Boris Johnson. Un autre gros problème d'Omicron : des taux d'absentéisme inédit. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La Rencontre Lisée - Mulcair avec Jean-François Lisée, ancien chef du Parti québécois et chroniqueur politique, et Thomas Mulcair, ancien chef du NPD et analyste politique : la gestion d'Omicron différente d'une province à l'autre. Calgary et le financement de la contestation de la loi 21. Les émissions de GES au Québec. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'actualité vue par Richard Martineau : Julien Lacroix brise son silence. Le variant Omicron. La Rencontre Lisée - Mulcair avec Jean-François Lisée, ancien chef du Parti québécois et chroniqueur politique, et Thomas Mulcair, ancien chef du NPD et analyste politique : la gestion d'Omicron différente d'une province à l'autre. Calgary et le financement de la contestation de la loi 21. Les émissions de GES au Québec. Segment LCN avec Richard et Jean-François Guérin : le variant Omicron. Entrevue avec Bernard Aurouze, administrateur de la Fédération québécoise de pétanque : les joueurs de pétanque veulent que Legault respecte sa parole. Après le hockey et le baseball, ils réclament eux-aussi des investissements Chronique Crime et Société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d'enquête de Québecor : le père de la fillette de Granby plaide coupable. Suite du procès du fils Cora. Ernesto Fera acquitté du meurtre de sa conjointe près de 20 ans après les faits. La Rencontre Proulx-Martineau avec Gilles Proulx, chroniqueur au Journal de Montréal Journal de Québec : Ottawa va grossir sa bureaucratie avec un ministre du bilinguisme. Omicron et le temps des fêtes. Pourquoi en Gaspésie, la cimenterie McInnis pollue à un tel point alors qu'elle est moderne? La Rencontre Daoust-Martineau avec Yves Daoust, directeur de la section Argent du Journal de Montréal et du Journal de Québec : les restaurateurs, les hôteliers et les agences de voyages de nouveau dans le pétrin avec le mot d'ordre de prudence face au Omicron. Bonne chance aux voyageurs pour se faire rembourser. Le PDG d'Air Canada devra témoigner pour son unilinguisme. Entrevue avec Nathalie Parent, psychologue et auteure : vers un Noël plus écoresponsable en diminuant le superflu et en achetant local. Chronique de Luc Laliberté, spécialiste de politique américaine : les archives de l'administration Kennedy. Pierre Martin écrivait ce matin que l'étau se resserrait sur Trump. Ce n'est pas la première fois qu'on le dit. Pourquoi cette fois pourrait être « la bonne »? La Rencontre Bock-Côté - Martineau avec Mathieu Bock Côté : la pandémie et le variant Omicron. Entrevue avec Denise Bombardier, chroniqueuse au Journal de Montréal Journal de Québec : la pauvreté des explications de Julien Lacroix, qui a accordé une entrevue au Devoir. Une production QUB radio Décembre 2021 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La rencontre Nadeau-Robitaille avec Rémi Nadeau, chef de bureau parlementaire à l'Assemblée nationale pour le Journal et le Journal : les mauvaises nouvelles s'accumulent sous le poids d'Omicron. Québec forcé de revoir ses mesures. Jean-François Roberge testé positif. Critiques contre la loi 21. PSPP envoie une lettre pour dénoncer le comportement de l'ambassadeur Bob Rae. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Selon le porte-parole du Gouvernement français, Gabriel Attal, la progression de la cinquième vague de Covid-19 est « fulgurante ». Pour le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, la France est touchée par cette cinquième vague de contaminations dues au coronavirus, depuis mi-octobre. En Europe, l'Autriche s'est reconfinée et envisage une vaccination obligatoire à moyen terme. L'Allemagne fait face à une flambée inédite. Le monde entier est confronté à un raz de marée d'Omicron, connaît-on mieux aujourd'hui ce variant du Covid-19 ? Peut-on limiter sa propagation ? Les fêtes de fin d'années pourront-elles être célébrées en famille ou faudra-t-il limiter les contacts avec ses proches ? Pr Arnaud Fontanet, Chef de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur et Professeur au conservatoire nationale des arts et métiers, membre du Conseil Scientifique ► Retrouvez l'émission en entier ici
durée : 00:41:35 - Un jour dans le monde - par : Marie Claude PINSON, Fabienne Sintes - Ce soir, direction le Royaume-Uni. Dans une allocution dimanche 12 décembre, le Premier ministre a annoncé « un raz-de-marée d'Omicron ». Le pays se prépare à affronter cette nouvelle vague et Boris Johnson fait face à de nombreux scandales. - réalisé par : Tristan Gratalon
durée : 00:41:35 - Un jour dans le monde - par : Marie Claude PINSON, Fabienne Sintes - Ce soir, direction le Royaume-Uni. Dans une allocution dimanche 12 décembre, le Premier ministre a annoncé « un raz-de-marée d'Omicron ». Le pays se prépare à affronter cette nouvelle vague et Boris Johnson fait face à de nombreux scandales. - réalisé par : Tristan Gratalon
Entrevue avec Gaston De Serres, médecin épidémiologiste à l'Institut national de santé publique du Québec : pourquoi continuons-nous de détecter des cas d'Omicron au Québec même après qu'une étude de l'INSPQ ait assuré en début de semaine qu'il n'y avait pas de transmission communautaire dans la province? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Édito de Geneviève : l'actualité sous la loupe de Geneviève. La rencontre Gibeault-Pettersen avec Nicole Gibeault, juge à la retraite :la belle-mère de la fillette de Granby coupable de meurtre non prémédité. L'adolescent ayant attaqué un enseignant accusé de tentative de meurtre. Paul Mukendi réagit à sa deuxième condamnation. Entrevue avec Entrevue avec Bernard Lavallée, le “nutritionniste urbain” : le prix du panier d'épicerie continue de monter, mais les conseils pour y faire face restent les mêmes, dénonce le nutritionniste Bernard Lavallée. Chronique édito de Vincent Dessureault : une journée un peu particulière pour la cheffe du Parti Libéral du Québec, Dominique Anglade. Plus de chance d'avoir des problèmes érectiles pour les hommes qui vapotent. Les problèmes de couple les plus communs. Entrevue avec Zabel, artiste peintre : une artiste peintre québécoise ayant vendu des œuvres à travers le monde qui a été flouée par une galiériste. Elle déplore qu'elle n'ait toujours pas eu le dédommagement financier qui lui est dû selon un jugement de la cour. La rencontre Lefebvre-Leclerc avec les analystes politiques Elsie Lefebvre et Marc-André Leclerc : le Québec aura plus de tests rapides avant les Fêtes. Bilan de fin de session à l'Assemblée nationale. Salaire des recteurs d'université. Chronique de Luc Laliberté, spécialiste de la politique américaine : la loi anti-avortement du Texas. Deux procédures judiciaires qui ajoutent de la pression sur Donald Trump. Segment LCN : les écoles sont démunies face à ce qui se déroule sur les médias sociaux déplore Geneviève. Chronique de Gabrielle Caron, humoriste, auteure et animatrice du balado “J'ai fait un humain” à QUB radio : les ruptures qui ont marqué le public. Entrevue avec Jean-Nicolas Aubé, porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal : la Santé publique de Montréal demande à des gens ayant fréquenté deux lieux précis de faire dépister pour la COVID-19 et le variant Omicron. Entrevue avec Gaston De Serres, médecin épidémiologiste à l'Institut national de santé publique du Québec : pourquoi continuons-nous de détecter des cas d'Omicron au Québec même après qu'une étude de l'INSPQ ait assuré en début de semaine qu'il n'y avait pas de transmission communautaire dans la province? La rencontre Stréliski-Cyr avec les humoristes Léa Stréliski et Mathieu Cyr : vives réactions au Canada anglais concernant une professeur qui a dû arrêter d'enseigner après avoir refusé d'enlever son voile.Son GPS l'envoie directement dans la rivière. Chronique culturelle d'Anaïs Guertin-Lacroix : Anaïs nous présente ses coups de cœur QUB radio de la semaine. Une production QUB radio Décembre 2021 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour cette semaine du 6 décembre : une analyse génétique d'Omicron, du fer comme précurseur de la vie, des chats psychopathes, une étoile éruptive et des momies à langue d'or. Bonne écoute, et bon week-end !
Wed, 08 Dec 2021 07:00:00 +0000 https://morningbull.podigee.io/173-new-episode 2f25e0994bfe222a6c876faa26826776 full Omicron est mort, vive l'inflation no Morningbull,Swissquote,La mort d'Omicron,Vaccins,OMS,Bull Market,Rebond,Explosion,SOX,Carton plein,Inflation Swissquote
De nouveau cas d'Omicron sont déclarés en France et en Europe. nos invités se demandent si la France, comme l'Allemagne doit resserrer la vis des restriction sanitaire et plus spécifiquement pour les non vaccinés.
Le Covid-19 et sa nouvelle déclinaison, Omicron, vont-ils terrasser la reprise économique ? C'est la question qui hante les gouvernants occidentaux. Un premier cas Omicron a été détecté aux États-Unis, en Californie, mais c'est l'Europe qui est la plus touchée ; la Norvège a été à son tour rattrapée hier, mercredi 1er décembre, par ce variant inquiétant. Partout, les dirigeants prennent des mesures de vigilance accrues pour dépister, endiguer, isoler les nouveaux cas de Covid Omicron. Les tests aux frontières sont renforcés et la vaccination pourrait bientôt être rendue obligatoire dans certains pays. Après l'Autriche, l'Allemagne y songe très sérieusement. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, souhaite que la question soit abordée par les Vingt-Sept avant que chaque État membre en décide au niveau national. Ce matin, les Bourses asiatiques, les premières à ouvrir, sont orientées à la baisse, dans le sillage de la fermeture de Wall Street, affolée par l'annonce du premier cas américain. Hier, la chef économiste de l'OCDE a prévenu : le variant fait peser un risque sur la reprise Selon Laurence Boone, il pourrait aggraver les déséquilibres dont souffrent déjà les économies. Déséquilibre dans l'approvisionnement qui pénalise les industriels. L'OCDE estime que les pays très impliqués dans l'automobile, l'Allemagne, la République Tchèque, le Mexique ou encore le Japon, voient déjà leur PIB se contracter à cause des pénuries. Déséquilibre également dans l'accès aux vaccins entre le Nord et le Sud. Sur cette question, l'OMS porte un jugement sévère : les inégalités dans la campagne de vaccination et la légèreté des tests forment un cocktail toxique qui alimente les rebonds de la pandémie. La rétention des vaccins pratiquée par les laboratoires et les pays riches est contre-productive, c'est un danger pour la santé publique et, bien sûr, pour l'économie. Laurence Boone partage cette analyse, elle souligne qu'une campagne mondiale de vaccination coûte 50 milliards de dollars, tandis que le soutien aux économies pendant les deux ans de pandémie qu'on vient de vivre se monte à 10 000 milliards de dollars. Si Omicron se révèle aussi dangereux qu'on le redoute aujourd'hui, faudra-t-il reconfiner ? L'Allemagne devrait annoncer aujourd'hui non pas des confinements, mais la fermeture de lieux publics comme les cafés. De nouveaux confinements seraient catastrophiques pour les industries du tourisme, du transport ; d'après l'agence Reuters, Air France-KLM pourrait reporter son augmentation de capital prévue pour rembourser les aides reçues, à cause du nouveau contexte de restrictions de voyages. Difficile de lever de l'argent quand le baromètre de l'activité est à la baisse. Les confinements pourraient aussi exacerber la demande en produits électroménagers et en même temps amplifier les tensions dans les chaînes d'approvisionnement. En clair : alimenter la flambée des prix. La plupart des analystes partagent les craintes de Laurence Boone et redoutent que l'inflation ne s'installe durablement à la faveur d'Omicron. Face à cette menace, les patrons des banques centrales devront agir, en relevant les taux, c'est l'intention de Jay Powell aux États-Unis. En attendant ce virage périlleux, les banques centrales défendent leur monnaie pour atténuer la hausse des prix, une réaction non sans risque, elle pourrait relancer la guerre des changes. EN BREF ► La Banque mondiale est prête à débloquer 280 millions de dollars en faveur de l'Afghanistan. Les flux de la Banque mondiale sont gelés depuis l'arrivée au pouvoir des talibans. Cette décision est bienvenue pour une population affamée et très appauvrie par l'effondrement de l'économie. Encore faut-il que l'argent puisse circuler, l'aide humanitaire est exempte des sanctions américaines, mais les banques redoutent de s'exposer aux foudres du gendarme américain, d'où les difficultés pour acheminer l'aide promise. ► En Turquie, le ministre des Finances a été remercié hier soir, c'était l'un des derniers à encore tenir tête au président Erdogan. Un président convaincu qu'il faut baisser les taux d'intérêt pour mater l'inflation, aujourd'hui à 20% en Turquie. Or, c'est l'inverse qui est recommandé, il faut les relever. Recep Tayyip Erdogan n'en a cure, les taux sont régulièrement diminués, d'où le plongeon de la livre turque. Depuis le début de l'année, elle a perdu 40% de sa valeur face au dollar.
Alors que de nombreux pays ferment leurs frontières et que l'OMS l'a déclaré « variant préoccupant », que sait-on exactement d'Omicron, la nouvelle souche de SARS-CoV-2 découverte par des scientifiques sud-africains ? Contagiosité, virulence, résistance aux vaccins : David Larousserie, journaliste au service Sciences, fait le point dans ce podcast.Un épisode produit par Claire Leys, réalisé par Amandine Robillard et présenté par Jean-Guillaume Santi.
Les membres de l'OPEP et leurs alliées se réunissent ce jeudi 2 décembre par visioconférence. Ils devraient décider du niveau de leur production d'or noir en début d'année prochaine. Mais l'apparition du nouveau variant du Covid-19 et la nouvelle vague épidémique compliquent la tâche des pays exportateurs de brut. Les cours de pétrole restent très volatiles depuis la découverte d'Omicron, le nouveau variant du Covid-19. Ils ont perdu environ 10 dollars depuis le jeudi 25 novembre. Les regards des investisseurs sont tournés aujourd'hui vers la réunion des treize membres de l'OPEP et de leurs alliés emmenés par la Russie. Ce nouveau contexte épidémique pourrait inciter ces pays à mettre moins de barils de pétrole sur le marché à partir de janvier ou au moins maintenir le niveau actuel de production afin d'empêcher la chute des cours. En effet, la demande mondiale d'or noir pourrait baisser du fait des nouvelles restrictions de voyage dans le monde entier, déclenchés par le nouveau variant du Covid-19 et la nouvelle vague épidémique qui se propage en Europe Retour possible de l'Iran sur le marché du pétrole Les membres des pays exportateurs de pétrole doivent aussi composer avec une autre inconnue : le possible retour sur le marché du pétrole iranien. L'Iran, grand producteur historique de l'OPEP, est écartée du march, depuis la dénonciation en 2018 par Donald Trump de l'accord sur le nucléaire, censé empêcher Téhéran de se doter de l'arme atomique. Après cinq mois de pause, les négociations entre Téhéran et les puissances occidentales sur ce sujet ont repris lundi 29 novembre à Vienne, en Autriche. Une issue positive de ces négociations s'accompagnerait d'une levée des sanctions américaines. L'Iran reviendrait ainsi sur le marché, ce qui représenterait environ un million et demi de barils par jour. Une hausse considérable de l'offre dans un contexte où la demande mondiale est plus que jamais incertaine. Raison de plus pour que l'OPEP n'augmente pas sa production, comme lui demandent les grands pays consommateurs, États-Unis en tête, confrontés à une forte hausse des prix des hydrocarbures.
Chronique En cinq minutes avec Élise Jetté : page de ce matin sur la protéine de pointe d'Omicron. Page d'hier sur la pilule qui pourrait guérir le cancer. Balados de la semaine. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Tarik Jasarevic, Porte-parole de l'OMS : on fait le point sur l'évolution de la pandémie en lien avec l'arrivée du variant Omicron. Chronique culturelle avec Anaïs Guertin-Lacroix, animatrice du balado Culture d'Ici, disponible sur l'application et le site web qub.radio : les calendriers de l'avent. Rencontre entre Varda Étienne et Benoit Dutrizac : la cour suprême des États-Unis saisie sur l'annulation de la condamnation de Bill Cosby. Entrevue avec Luc Gagnon, V.P sciences et vaccins chez Nexelis : est-ce compliqué de produire un vaccin contre les variants? Chronique de Geneviève Pettersen, animatrice à QUB radio de 13h à 15h30 : Chad Ashe, un enseignant suspendu pour un vidéoclip. Chronique En cinq minutes avec Élise Jetté : page de ce matin sur la protéine de pointe d'Omicron. Page d'hier sur la pilule qui pourrait guérir le cancer. Balados de la semaine. Les actualités avec Patrick Déry, Analyste en politiques publiques : bilan COVID. Omicron. Record de cas dans les écoles. Chirurgies en attente. La Rencontre Dutrizac-Martineau : un enseignant du primaire perverts s'en sort sans casier judiciaire. Une amende à payer sur 2083 ans. Les concours payés par les contribuables. Entrevue avec Aref Salem, Chef de l'opposition officielle à Montréal : le sommet sur la violence armée. La propreté de la Ville. Les effectifs policiers de Montréal n'augmenteront pas autant que ce qu'avait affirmé Valérie Plante en campagne électorale. La rencontre Foisy-Robitaille avec Philippe-Vincent Foisy et Antoine Robitaille : Retour sur l'arrestation musclée à Québec. Enquête du SPVQ. Convocation de Martin Simard. La CAC poursuit la politique de Philippe Couillard. Chronique sport avec Jean-Charles «JiC» Lajoie, animateur à TVA Sports : Une production QUB radio Novembre 2021 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque lundi matin nous servons le SILEXpresso, un condensé vocal de 3mn sur nos vues macro et allocation.
OMICRON : "UN RISQUE TRÈS ÉLEVÉ" POUR LE MONDE – 29/11/21 Invités Pr BENJAMIN DAVIDO Infectiologue - Directeur de la médecine de crise du Covid-19 Hôpital Raymond-Poincaré Pr CHRISTINE ROUZIOUX Professeure émérite de virologie - Faculté de médecine Necker Membre de l'Académie de médecine et de pharmacie NICOLAS BERROD Journaliste « Le Parisien-Aujourd'hui en France » Dr FAÏZA BOSSY Médecin généraliste à Paris Pr ANTOINE FLAHAULT – En direct de Genève Épidémiologiste Directeur de l'Institut de santé globale - Université de Genève Le nouveau variant Omicron présente « un risque très élevé » au niveau mondial a alerté ce lundi l'OMS alors que de plus en plus de pays, en particulier en Europe, font état de cas avérés sur leur territoire. Découvert pour la première fois en Afrique du Sud la semaine dernière, ce variant du Covid-19 a déjà été détecté au Canada, en Australie, à Hong Kong, en Israël, en Allemagne, en République Tchèque, en Belgique, en Suisse, en Italie, aux Pays-Bas, au Danemark et au Royaume-Uni. En France, « ce n'est plus qu'une question d'heure » a prévenu Olivier Véran. De fait, huit cas « possibles » ont été détectés, un séquençage est en cours mais l'analyse peut prendre « plusieurs jours » a expliqué le ministère. Les huit personnes ont séjourné en Afrique australe au cours des deux dernières semaines. Testées positives, elles ont été placées en quarantaine, comme leurs cas contacts. La France a également décidé, comme de nombreux pays dans le monde, de fermer ses frontières aux voyageurs venus d'Afrique australe (Afrique du Sud, Lesotho, Botswana, Zimbabwe, de Mozambique, de Namibie et d'Eswatini). Quand d'autres ont opté pour des mesures encore plus draconiennes : Israël a décidé d'interdire l'entrée à tous les étrangers et le Maroc a suspendu tous les voyages aériens entrants en provenance du monde entier, pendant deux semaines à partir de ce lundi. Face à l'inquiétude, le Conseil scientifique a donné une conférence de presse ce matin sur ce que l'on sait de ce nouveau variant. Pour l'heure beaucoup d'interrogations demeurent mais la fiche d'identité d'Omicron inquiète notamment à cause du nombre de mutations dans sa protéine Spike, la fameuse protéine qui permet au virus de pénétrer dans nos cellules. Seule affirmation à l'heure actuelle : Omicron « serait plus transmissible ». En revanche est-il plus dangereux ? Il est beaucoup « trop tôt pour l'affirmer » et cela peut prendre plusieurs semaines pour le déterminer ont expliqué les scientifiques du Conseil et de l'OMS. En attendant, le monde s'isole de l'Afrique australe et personne ne tient compte de l'appel de l'OMS pour que les frontières restent ouvertes. Ce qui pourrait, selon elle, dissuader de prochains pays de signaler de futurs variants. L'Afrique du Sud « a joué la transparence » et elle est en train de le payer a réagi le gouvernement sud-africain dénonçant des interdictions de voyager qui s'apparentent à « punir l'Afrique du Sud pour son séquençage génomique avancé et sa capacité à détecter de nouveaux variants plus rapidement ». D'après le président sud-africain « l'émergence du variant Omicron devrait être un coup de semonce à l'attention du monde : l'inégalité vaccinale ne peut plus durer ainsi. Au lieu d'interdire les voyages, les pays riches devraient plutôt sans attendre soutenir les efforts des pays en développement pour accéder à suffisamment de vaccins et à les produire au bénéfice de leur population ». Des vaccins plutôt que la punition des frontières fermées ? Une réunion des ministres de la Santé du G7 a été convoquée en urgence, ce lundi, à Londres alors que la panique a gagné la planète et fait plonger ce week-end les bourses mondiales. Mais que sait-on vraiment de ce variant ? Est-il plus contagieux, plus dangereux ? Assombrit-il l'horizon économique ? La panique mondiale est-elle justifiée ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Philippe Poutou, ouvrier licencié et candidat du Nouveau parti anticapitaliste à l'élection présidentielle de 2022 en France, était ce lundi 29 novembre, l'invité du matin de RFI. Actualité politique nationale, crise sociale en Guadeloupe, situation socio-économique des Français, crise sanitaire marquée par l'irruption d'Omicron, le nouveau variant Sud-africain du Covid-19... Il répond aux questions d'Aurélien Devernoix.