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Dr. Leopold Rupp ist Arzt an der Berliner Charité, ehemaliger Paralympics-Teilnehmer und setzt sich leidenschaftlich für das Thema Inklusion ein. Leopold lebt mit diastrophischer Dysplasie, einer seltenen Form der Kleinwüchsigkeit, und sitzt seit seiner Kindheit im Rollstuhl. Gemeinsam mit Moderator Ralf Podszus spricht er über seine Arbeit in der Notaufnahme, sein Engagement im Behindertensport und seine Passion für das Reisen. Ein inspirierendes Gespräch über Barrieren im Gesundheitswesen, selbstbestimmtes Leben, die Macht von Vorbildern, strukturelle Hindernisse im Alltag – und warum Inklusion kein "Trotzdem", sondern ein "Natürlich" sein sollte.
5ème épisode / 5, de la série sur la DFO. Episode 5 : Maladie rare - Vivre avec une Dysplasie Fibreuse des Os. Invités : Madame Putoto et son fils Bastien, atteint d'une dysplasie fibreuse des os. 1️⃣ Qu'appelle-t-on dysplasies fibreuses des os ? [0'23 – 0'53] ✔️ Maladie rare des os, caractérisée par la formation de tissu anormal à la place de l'os normal. ✔️ Manifestations : atteinte de plusieurs os, douleurs, déformations, fractures fréquentes. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-dysplasie-fibreuse-des-os-dfo/ 2️⃣ Quelles sont les circonstances de découverte de la DFO ? [0'54 – 1'36] ✔️ Boiterie à 4 ans, lésions osseuses confirmées à la radio. ✔️ Diagnostic confirmé par biopsie. 3️⃣ Quelle prise en charge a été proposée ? [1'36 –2'10] ✔️ Orientation vers le centre de référence pour un suivi multidisciplinaire, ✔️ Suivi annuel avec hospitalisations de 24 heures pour les contrôles. ✔️ Chirurgie pour renforcer les fémurs ✔️ Suivi ophtalmologique en raison d'une atteinte crânienne pouvant affecter le nerf optique. 4️⃣ Comment Bastien vit-il avec cette maladie rare ? [2'11 – 2'26] 5️⃣ Quelles adaptations ont été mises en place ? [2'27 – 3'40] ✔️ Sur conseil médical, élimination de certains sports (sports collectifs, de contact, trampoline). ✔️Orientation vers des sports moins traumatisants, dans une démarche d'adaptation plutôt que d'interdiction. 6️⃣ Quelles mesures pour l'entourage scolaire ? [3'41 – 4 '23] ✔️ Informer les enseignants à chaque rentrée scolaire, la maladie étant mal connue. ✔️ Table ronde avec l'équipe pédagogique lors du passage au collège. 7️⃣ À qui s'adresser pour parler de sa maladie ? [4'24 – 4 '39] 8️⃣ Pourquoi témoigner sur RARE à l'écoute ? [4'40 – 5 '19] ✔️ Témoigner pour soutenir les familles, leur rappeler qu'elles ne sont pas seules, et transmettre un message d'espoir. 9️⃣ Quels messages pour les jeunes patients dans la même situation ? [5'20 – 6 '08] ✔️ Vivre pleinement en s'adaptant aux douleurs, profiter de la vie et des proches sans se concentrer sur la maladie. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom *********************************************************************************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
4ème épisode / 5, de la série sur les Dysplasies fibreuses. Episode 4 : Maladie rare – Prise en charge d'une dysplasie fibreuse des os : le point de vue du chirurgien orthopédique. Invité : Pr Pascal Bizot, chirurgien orthopédique et traumatologue chez l'adulte, PU-PH au sein du service de chirurgie orthopédique et traumatologique de l'hôpital Lariboisière à Paris, chirurgien référent du centre de référence des maladies osseuses constitutionnelles et de la dysplasie fibreuse, affilié à la filière Oscar. https://hopital-lariboisiere.aphp.fr/maladies-rares/centre-de-reference-dysplasies-fibreuses-os/#1607528125029-1f1ebf8a-5d1fb1db-4bc34381-d794ad2f-0c985dd7-ee1d 1️⃣ Qu'appelle-t-on dysplasie fibreuse des os ? [0'39 – 1'50] ✔️ Maladie osseuse touchant un ou plusieurs os, parfois associée à des troubles endocriniens (syndrome de McCune-Albright). Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-dysplasie-fibreuse-des-os-dfo/ 2️⃣ Quelles sont les indications du traitement chirurgical dans cette maladie rare ? [1'51 – 2'57] ✔️ Echec du traitement médical, ✔️Symptômes persistants : douleurs chroniques, déformations osseuses, fractures... ✔️ Prévention des fractures liées à la maladie. 3️⃣ Quelles situations nécessitent une prise en charge chirurgicale ? [2'58 - 4'57] ✔️ Intervention chirurgicale urgente en cas de fractures notamment des os longs, ✔️ Intervention chirurgicale planifiée en cas de douleurs chroniques persistantes, ou de handicap liés aux déformations osseuses. 4️⃣ Comment s'opère la prise en charge chirurgicale ? [4'58 – 7'06] ✔️ Ostéosynthèses de fractures, en particulier sur les os longs (fémur, tibia, humérus), avec souvent enclouages centromédullaires pour stabiliser l'os. ✔️ Correction des déformations osseuses : interventions complexes pouvant inclure ostéotomies et prothèses, avec évaluation précise du rapport risque-bénéfice. 5️⃣ Quel suivi post-chirurgie proposer aux patients ? [7'07 – 8'08] ✔️ Suivi post-chirurgical dans un centre de référence incluant la surveillance de la consolidation des fractures, l'évolution des lésions et le risque de nouvelles fractures. ✔️ Le suivi à long terme de l'évolution des prothèses est essentiel. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom **************************************************************************************************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
3ème épisode / 5, de la série sur les Dysplasies fibreuses. Episode 3 : Maladie rare - Diagnostiquer une Dysplasie Fibreuse des Os Invitée : Dr Aicha Ltaief-Boudrigua, radiologue, praticien hospitalier au sein du service d'imagerie médicale et interventionnelle de l'hôpital Edouard Herriot à Lyon, membre du Groupe de Travail de l'actualisation du PNDS sur les dysplasies fibreuses des os et le syndrome de McCune-Albright. 1️⃣ Dans quelles conditions les patients atteints de dysplasies fibreuses des os sont-ils adressés en radiologie ? [0'32 – 1'26] ✔️ Découverte fortuite de lésions monostotiques : fréquemment dans les os longs, les côtes, le rachis et le crâne, plus rarement sur fracture pathologique. ✔️ Patients adressés pour suivi radiologique. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-dysplasie-fibreuse-des-os-dfo/ 2️⃣ Quels examens de première intention sont réalisés en radiologie ? [1'27– 2'03] ✔️ Radiographie standard (face et profil), ✔️ Scintigraphie osseuse (recherche d'autres localisations), ✔️Scanner centré et/ou IRM injectée (architecture de la lésion). 3️⃣ Quelles sont les caractéristiques radiologiques des lésions de dysplasie fibreuse ? [2'04 -5'14] ✔️ Lésions centrales, allongées. ✔️ Aspect radiologique variable (discrètes à volumineuses), ✔️ Formes spécifiques : dysplasie fibrocartilagineuse dans les os longs, distribution hémimédullaire ou métamérique, 4️⃣ Quels diagnostics différentiels écarter ? [5'15 – 6'54] ✔️ Dysplasies fibreuses polyostotiques : myélome multiple, métastases osseuses, chondromes multiples, neurofibromatose, ✔️ Dysplasies fibreuses monostotiques : dysplasie ostéofibreuse, granulome de réparation, hémangiome, kyste, lésions malignes. ✔️ Localisations crâniofaciales : chérubisme, granulomes de réparation, ostéite mandibulaire aseptique (SAPHO), hémangiomes, maladie de Paget, lésions ostéofibreuses. 5️⃣ Comment s'intègre le radiologue dans le parcours de soins des patients atteints de DFO ? [6'55 – 8'51] ✔️ Pose du diagnostic par imagerie, ✔️ Recherche de fissures ou fractures en cas de douleur osseuse, ✔️ Suspicion de compression nerveuse osseuse, de dégénérescence sarcomateuse, ✔️ Suivi des lésions à risque de complications. 6️⃣ Quel suivi radiologique proposer aux patients concernés ? [8'52 – 10'15] ✔️ Suivi annuel pour les lésions stables, suivi étroit en cas de douleurs inhabituelles, de lésion évolutive ou d'atteintes maxillo-faciales, ✔️ Localisations crâniofaciales : suivi ophtalmologique semestriel en cas de risque de sténose du canal optique. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom ************************************************************************************************************************************ À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
2ème épisode / 5, de la série sur les Dysplasies fibreuses. Episode 2 : Maladie rare – Dysplasie Fibreuse des Os / Syndrome de MacCune Albright: les aspects endocriniens chez l'enfant. Invité : Dr Cyril Amouroux, pédiatre endocrinologue, praticien hospitalier au sein du service de pédiatrie multidisciplinaire du CHU de Montpellier, coordonnateur du Centre de Compétences Dysplasie Fibreuse des Os et Syndrome de McCune-Albright affilié à la filière OSCAR, membre du Groupe de Travail de l'actualisation du PNDS sur dysplasies fibreuses des os et syndrome de McCune-Albright. https://maladies-rares.chu-montpellier.fr/fr/les-centres/centre-de-competence-dysplasie-fibreuse-des-os-syndrome-de-mac-cune-albright 1️⃣ Qu'appelle-t-on syndrome de McCune-Albright ? [0'33 – 0'52] ✔️ Le syndrome de McCune-Albright associe dysplasie fibreuse des os et troubles hormonaux. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-dysplasie-fibreuse-des-os-dfo/ 2️⃣ Quelles sont les atteintes hormonales de cette maladie rare ? [0'53 – 1'27] ✔️ Surproduction hormonale due à l'hyperactivation des gonades (ovaires chez la fille, testicules chez le garçon), de la thyroïde et/ou de l'hypophyse. 3️⃣ Quel est le tableau clinique rencontré chez les patients touchés ? [3'47 -4'20] ✔️ Gonades : puberté précoce, voire très précoce, ✔️ Thyroïde : Hyperthyroïdie (irritabilité, perte de poids, fatigue, goitre), ✔️Hypophyse : hyperproduction de prolactine (galactorrhée), d'ACTH avec excès de cortisol (prise de poids, hypertension), et/ou d'hormone de croissance (croissance accélérée, épaississement osseux). 4️⃣ Quels diagnostics différentiels écarter ? [1'28 – 5'05] ✔️ Puberté précoce idiopathique, tumeurs, maladie de Basedow, adénomes hypophysaires... 5️⃣ Quelle prise en charge proposer aux patients touchés par le syndrome de McCune-Albright ? [5'06 – 7'50] ✔️ Traitements médicamenteux bloquant les surproductions hormonales ✔️ Chirurgie dans certains cas. 6️⃣ Quel suivi proposer et quel pronostic pour ces patients ? [7'51 – 8'59] ✔️ Consultations pluridisciplinaires régulières en centres experts, ✔️ Surveillance des atteintes endocriniennes, avec dosages hormonaux si nécessaire, ✔️Bon pronostic en général, grâce à l'efficacité des traitements. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom ******************************************************************************************************************************* À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
1er épisode / 5, de la série sur les Dysplasies fibreuses. Episode 1 : Maladie rare – Qu'appelle ton Dysplasie Fibreuse des Os (DFO) et Syndrome de McCune Albright (SMA) ? Invité : Pr Roland Chapurlat, rhumatologue, chef du service de rhumatologie et pathologies osseuses de l'hôpital Edouard Herriot à Lyon, directeur de l'unité INSERM 1033, coordonnateur du Centre de Compétences Dysplasie Fibreuse des Os et Syndrome de McCune-Albright, membre du Centre Constitutif MOC de Lyon au sein de la filière OSCAR, coordonnateur de l'actualisation du PNDS sur dysplasies fibreuses des os et syndrome de McCune-Albright. https://www.chu-lyon.fr/maladies-rares#OSCAR 1️⃣ Qu'appelle-t-on dysplasie fibreuse des os (DFO) et syndrome de McCune-Albright (SMA) ? [0'42 – 2'40] ✔️ DFO : maladie osseuse caractérisée par le remplacement du tissu osseux normal par un tissu fibreux mal minéralisé. ✔️ SMA : dysplasie fibreuse des os associé à des troubles hormonaux et cutanées. ✔️Environ 4 000 patients concernés en France. Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-dysplasie-fibreuse-des-os-dfo/ 2️⃣ Quel est le tableau clinique rencontré chez les patients touchés ? [2'40 – 3'48] ✔️ Douleurs osseuses, déformations crâniofaciales, fractures spontanées, compressions neurologiques, puberté précoce… 3️⃣ Quelle est la physiopathologie de cette maladie rare ? [3'48 -5'01] ✔️ Mutation du gène GNAS, entraînant un développement anormal des ostéoblastes remplaçant le tissu osseux normal par un tissu fibreux. 4️⃣ Quelle est l'évolution d'une dysplasie fibreuse des os ? [5'02 – 7'01] ✔️ Pronostic favorable pour les formes monostotiques (un seul os atteint), ✔️ Conséquences plus importantes pour les formes polyostotiques (plusieurs os atteints) et le syndrome de McCune-Albright, ✔️Surveillance ophtalmologique régulière pour les patients avec atteinte crâniofaciale. 5️⃣ À qui adresser les patients en cas de suspicion de DFO/SMA ? [7'02 – 7'50] ✔️ Adressage aux centres de référence. 6️⃣ Comment s'opère la prise en charge et quel suivi proposer aux patients ? [7'02 – 7'50] ✔️ Fragilité osseuse : chirurgie préventive (enclouage) et traitements médicamenteux, ✔️ Traitement de la puberté précoce et de l'hypersécrétion hormonale. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom *************************************************************************************************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
Wel eens aan bronchopulmonale dysplasie gedacht als een patiënt met dyspneuklachten? Deze relatief onbekende aandoening komt voor mensen die te vroeg geboren zijn. Marco Krukerink in gesprek met Lieke Kamphuis, longarts in het Erasmus hoe dit te herkennen en hoe daar naar te handelen.
Grenzen im Außen und Stärke von Innen - der Podcast zum Grenzen setzen und Nein sagen
Das Jahr 2022 endete für mich leider in einem Zustand der Angst und der Unsicherheit. Der Grund? Ich habe die Diagnose schwergradige Dysplasie erhalten und das hat meinen Kosmos erstmal durcheinandergewirbelt. Viele Tränen sind geflossen, bis ich endlich wieder handlungsfähig war. Bitte beachte, dass ich in dieser Folge meine eigenen Worte wähle, ich habe keine medizinische Ausbildung und bin so wie viele Menschen vermutlich, auch schnell durch viele Informationen überfordert. Ich selbst hätte mir eine Folge wie diese gewünscht, um auch andere Wege zu sehen und damit mehr Wahlmöglichkeiten zu haben. Rabea Kieß Podcast Kennst du schon meinen neuen Shop für Funkeln im Alltag ohne viel Aufwand? Da findest du zum Beispiel Liebesgeflüster, meine 10×5 Minuten-Impulse, mit denen du – auch alleine– Funkeln in deinen Alltag holen kannst – trotz wenig Zeit. Folge mir auf Instagram
Existe-t-il un lien entre les MICI et le dépistage du cancer du sein et du cancer du col de l'utérus ? Que dire du lien entre tabac et cancer en cas de MICI ? Les MICI sont-elles un facteur de risque pour les cancers de la peau ? Comment prévenir et dépister le cancer colorectal en cas de MICI ? Quel est le risque d'une transformation en cancers des MICI ? Quel conseil transmettre aux auditeurs ? Le Pr Laurent Beaugerie, hépato-gastro-entérologue et Chef de service à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, répond à vos questions. Invité : Pr Laurent Beaugerie – Hôpital Saint-Antoine – Paris https://www.aphp.fr/service/service-35-073 Le Pr Beaugerie déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité éditorial : Pr Lucine Vuitton, Pr Guillaume Bouguen, Pr Mathurin Fumery, Dr Maeva Charkaoui, Dr Mathieu Uzzan, Justine Amaro, Charlotte Mailhat, Justine Pollet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Bei der üblichen Vorsorge-Untersuchung beim Gynäkologen oder der Gynäkologin gehört normalerweise auch ein Pap-Abstrich dazu, über den die meisten Menschen wahrscheinlich gar nicht groß nachdenken. Wenn der Abstrich unauffällig ist, muss man sich bis zur nächsten Vorsorge ohnehin keine Gedanken machen. Mit dem Abstrich wird untersucht, ob es Auffälligkeiten am Gebärmutterhals gibt. Zellveränderungen dort nennt man Dysplasien, eine Krebs-Vorstufe. In dieser Episode besprechen wir, warum man sich auch bei einem auffälligen Pap-Abstrich keine Sorgen machen muss und wie die Behandlung einer Dysplasie abläuft. Und Laura aus Berlin berichtet, wie sie sich nach der erfolgreichen Behandlung einer Dysplasie einen lange gehegten Wunsch erfüllt hat, um sich wieder ganz in ihrem Körper wohlzufühlen.**********Ihr hört in dieser "Eine Stunde Liebe":00:03:30 - Laura über ihre Unsicherheit nach einem auffälligen Pap-Abstrich00:08:30 - Christine Hirchenhain über den Unterschied zwischen einer Dysplasie und Krebs00:15:50 - Laura über die Behandlung ihrer Dysplasie00:22:50 - Christine Hirchenhain über Nachsorge nach einer Dysplasie-Behandlung00:26:30 - Laura über ihre Zeit nach der Behandlung00:31:40 - Rieke spricht im Liebestagebuch über Altersunterschied beim Dating**********Mehr zum Thema bei Deutschlandfunk Nova:HPV-Infektion: Die ignorierte GeschlechtskrankheitSexuelle Frauengesundheit: Beratung zu HPV, Chlamydien, PeriodeGesundheit: Früherkennungsuntersuchungen für Krebs machen nicht immer Sinn**********Den Artikel zum Stück findet ihr hier.**********Ihr könnt uns auch auf diesen Kanälen folgen: Tiktok und Instagram.
Aujourd'hui, je reçois à mon micro Loli Darmon, ostéopathe animalier, qui va nous parler de ses recherches sur la rééducation et la revalidation du chien. Quelles sont les différences entre rééducation, revalidation, réhabilitation, réadaptation et réathlétisation ? Quels sont les avantages d'un protocole de rééducation ? Quelles sont les clés d'une rééducation réussie ? Telles sont les questions auxquelles Loli répond dans cet épisode. On aborde aussi ensemble l'importance de l'engagement du propriétaire dans la convalescence de son chien, les avantages et les inconvénients de l'immobilisation et on termine notre conversation avec des questions plus personnelles sur son évolution de la pratique ostéopathique. Avec Loli on a parlé aussi de propioception, de friandise et de fitness canin. Bonne écoute ! -- Pour retrouver Loli Darmon : Son site : www.osteoanimaux.fr Son cabinet : www.centre-oak.fr Son application : www.kiw iappli.com Pour suivre mon quotidien et celui du podcast : www.instagram.com/mathilde_osteo
Der Begriff "Dysplasie" ist in der Gynäkologie allgegenwärtig aber viele Frauen wissen gar nicht, was er bedeutet. In dieser Podcastfolge erklärt unser Experte Thomas Berg, was eine Dysplasie ist und was in einer "Dysplasie Sprechstunde" passiert.
Dysplasie am Beispiel der HSIL der Cervix uteri.
Dysplasie am Beispiel des Kolonschleimhaut Adenom. Wir haben einen zweiten Podcast gelauncht: Patho?Logisch! https://www.podbean.com/ew/pb-j43tz-12074db
Cet épisode est la suite et fin de l'interview avec le Dr Corbo, vétérinaire orthopédiste. Si vous n'avez pas encore écouté la première partie (épisode #5), je vous conseille vivement de le faire avant d'attaquer cette seconde partie qui rentre plus dans le concret. Nous y développons des cas cliniques en faisant un focus sur les articulations des genoux et des hanches. Dr Corbo nous rappelle les différents grades de la luxation de rotule et de la dysplasie des hanches. On y parle aussi de notre ami le chat, de son rapport à la douleur, et les particularités de sa race chouchou : le sphinx ! Bonne écoute !
Portrait de Billie et Catherine suivi d'une réflexion sur le mal silencieux qu'est la dysplasie chez nos amis les bêtes avec le Vétérinaire- comportementaliste Thierry Bedossa. Un sujet de niche.
Neuanfang #107 – Was steckt hinter der Dysplasie? – Krankheit als Botschaft ****** „Gehen Sie von einer schwergradigen Dysplasie aus und rechnen Sie mit einer Operation noch in diesem Jahr. Schönen Tag noch!“ Mit diesen Worten schob die mir unbekannte Ärztin mich aus der Tür ihres Sprechzimmers. Ich stand völlig perplex und alleine im Flur der Praxis. Auf Autopilot holte ich meinen Mantel aus dem Wartezimmer, fuhr im Aufzug nach unten. Kaum stand ich auf der Straße schossen mir die Tränen in die Augen. Dieser Moment wird mir so schnell nicht aus dem Kopf gehen und gehört zu meinen eher fragwürdigen Highlights aus 2018. Was folgte, war eine mehrwöchige Achterbahn aus so ziemlich allen Gefühlen, die man fühlen kann. Angst, Wut, Trauer, Schuld, Verwirrung, aber auch Verbundenheit, Dankbarkeit und Freude. Die Diagnose der Dysplasie, einer Vorstufe zum Gebärmutterhalskrebs und die anschließenden Behandlungsschritte haben ihre Spuren in meinem Körper, aber vor allem auf meiner Seele hinterlassen. Wunden sind entstanden, Wunden sind geheilt. Manche Wunden haben aber auch noch andere, viel tiefer liegende Wunden zutage befördert. Nachdem ich dir in der letzten Episode einen eher fachlichen Überblick über den Verlauf meiner Geschichte mit der Dysplasie gegeben habe, geht es heute um die emotionale Reise. Diese Episode ist hilfreich für dich, wenn… du selbst einen auffälligen Abstrich vom Frauenarzt bekommen hastdu bereit bist, hinter die Fassade deiner Dysplasie zu schauendu mit einer anderen Krankheit zu tun hast, der du auf ihren emotionalen Grund gehen möchtest ****** Die Shownotes findest du unter www.happyplanties.de/episode107 ****** Neuanfang Podcast – Der Podcast für Transformation Die wöchentliche Portion Mut für alle, die das Gefühl haben, dass da draußen und in ihrem Inneren noch mehr auf sie wartet. Gehen musst du deinen persönlichen und spirituellen Herzensweg selber, doch die Gespräche und Ideen in diesem Podcast stehen dir bei deiner Transformation zur Seite. Fang an zu wachsen und blüh auf!
21e Congrès de pneumologie de Langue Française Fil rouge A03–Urgences respiratoires de l’enfant
In Folge #9 spreche ich mit Prof. Dr. Justus Gille über die Patellaluxation OP. Die Kniescheibe (lat. Patella) verrutscht meist nach außen. Eine instabile, ausgekugelte, rausgesprungene oder einfach nur lockere Kniescheibe ist sehr schmerzhaft. Springt die Kniescheibe zum ersten Mal aus ihrem Gleitlager sind die Betroffenen oft geschockt. Diese Patienten stellen sich nach dem Einrenken der Patellaluxation, dann die entscheidende Frage: Muss ich meine Patella jetzt operieren, wenn die Kniescheibe ständig raus und wieder rein springt? Wir gehen diesen und vielen anderen Fragen, rund um die verrutschte Kniescheibe, sowie deren Behandlungsmöglichkeiten auf den Grund. Was sind die Symptome und Beschwerden bei einer instabilen Kniescheibe? Mediziner unterscheiden zwischen einer Erstluxation (oft im Kindes- oder Jugendalter) und einer habituellen Luxation. Springt die Kniescheibe zum ersten Mal aus ihrem Gleitlager sind die Schmerzen im Kniegelenk heftig, und die Betroffenen haben einen deutlich sichtbaren Kniegelenkerguss (lat. Hämatom). Gleitet die Kniescheibe öfters aus ihrer Führungsschiene, leiern die umliegenden Bänder und Weichteile im Knie aus. Dadurch nimmt die Kniescheibenluxation in ihrem Schmerzqualität zwar ab aber sie wird nicht weniger folgenreich. Weshalb letztlich dieser Gewöhnungseffekt zum Problem werden kann, erklärt Prof. Dr. Justus Gille sehr eindrücklich. Wie genau sieht die Therapie nach einer luxierten Kniescheibe aus? Bei einer Kniescheibenluxation wird sowohl konservativ als auch operativ behandelt. Damit muss sich der Patient zwischen einer Patellaluxation OP oder Physiotherapie entscheiden - eine oft schwierige Entscheidung: Reicht Muskelaufbau bei einer lockeren Kniescheibe aus? Ist ständiges Einrenken der Kniescheiben auf Dauer wirklich schädlich? Wann ist was, als Behandlung bei einer herausgesprungenen Patella angezeigt? Woran genau erkennt ein Kniespezialist, ob Handlungsbedarf in Form einer Patellaluxation OP besteht? Wie läuft eine Diagnose als Vorbereitung eine Patellaluxationsoperation aus? Braucht der Arzt ein MRT (Magnet-Resonanz-Tomographie) bei einer instabilen Kniescheibe? Was für operative Therapiemöglichkeiten existieren, wenn die Kniescheibe sich als instabil erweist? Welche Begleitverletzungen sind mit einer Patellaluxation "vergesellschaftet" (beispielsweise Innenbandanriss oder Knorpelschaden)? Patellaluxation OP - Welche Operationstechniken gibt es? Als Wiederherstellung des des Medio patello femoralen Ligaments (MPFL) bezeichnen Mediziner eine operative Maßnahme zur Stabilisierung der Kniescheibe, wenn diese häufiger raus springt (Abkürzung: MPFL-Plastik). Bei einer Dysplasie der Trochlea (knöchernes Gleitlager der Kniescheibe) wird zusätzlich auch eine Trochlea-Plastik angedacht: Was heißt eine vertiefende Trochleaplastik überhaupt? Was ist sinnvoller, eine Patellaluxation OP oder eine Kombination aus Trochleaplastik und MPFL-Rekonstruktion? Weshalb die MPFL-Plastik häufig zur Anwendung kommt? Was ist eine Osteotomie (Umstellung) der Tuberositas Tibiae? Bei einem lateralen Realese oder laterale Retinaculumspaltung werden die seitlichen Bänder an der Kniescheibe durchtrennt. Dadurch soll weniger Druck auf einen Teil der Kniescheibenrückfläche einwirken. Wir besprechen diese operative Möglichkeit im Hinblick auf Kniescheibenluxationen. Was bewirkt ein laterales Release bei instabilen Kniescheiben? Wieso diese Art der Knie-OP bei Problemen mit der Kniescheibe überholt ist? MPFL Rekonstruktion - Wirklich eine Lösung nach verrenkten Kniescheiben? Im Interview besprechen wir sämtliche Probleme und Erfahrungen, die sich nach einer MPFL-OP ergeben: Wo gibt es Experten für die Operationen an einer Patella? Wie lange sind Betroffene in der Regel krank nach einer Patellaluxation? Wie lange dauert die Heilung nach einer MPFL-Rekonstruktion? Was sollten Betroffene in der Reha nach einer Kniescheibenluxa...
Tierärztliche Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 06/07
Sat, 8 Feb 2014 12:00:00 +0100 https://edoc.ub.uni-muenchen.de/16754/ https://edoc.ub.uni-muenchen.de/16754/1/Spoerl_Iris.pdf Spörl, Iris ddc:590, ddc:500, Tierärztli
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 11/19
Die Darstellung einer cerebralen Läsion in der Magnetresonanztomographie gilt in der Epilepsiechirurgie als einer der wichtigsten Hinweise auf den Ursprung epileptogener Aktivität bei Patienten mit fokaler Epilepsie. Bei Fehlen einer solchen Läsion wird die Lokalisierung der epileptogenen Hirnregion zu einem anspruchsvollen Unterfangen. Dies spiegelt sich in verschiedenen Studien mit Berichten von insgesamt schlechteren und teilweise unzureichenden Ergebnissen nicht-läsioneller epilepsiechirurgischer Patienten wieder. So wurde von einigen Studien sogar in Frage gestellt, ob es bei Patienten ohne nachweisbare Läsion im MRT überhaupt sinnvoll sei, eine Operation durchzuführen. Die Hauptintention dieser retrospektiven Studie lag in der Beantwortung dieser Frage. Hierfür untersuchten wir die Ergebnisse epilepsiechirurgischer Eingriffe bei den nicht-läsionellen Patienten unseres Kollektivs und verglichen diese mit den Ergebnissen der läsionellen Patienten. In diesem Rahmen versuchten wir zusätzlich prognostische Einflussfaktoren auf den postoperativen Anfallsstatus epilepsiechirurgischer Patienten zu finden, verglichen das Komplikationsrisiko der beiden Gruppen und untersuchten die Langzeiteffektivität der von uns durchgeführten epilepsiechirurgischen Interventionen. Zur Bestätigung der Unabhängigkeit gefundener signifikanter Zusammenhänge in den univariaten Analysen führten wir eine multivariate statistische Analyse mittels binärer logistischer Regression (forward selection) durch. In diese Studie wurden 192 Patienten, welche von August 1994 bis einschließlich Dezember 2006 in der Neurochirurgischen Klinik des Universitätsklinikums Großhadern der Ludwig- Maximilians-Universität München operiert wurden, aufgenommen. Bei 20 dieser Patienten war im Rahmen der präoperativen Diagnostik keine fokale Läsion in der kraniellen Magnetresonanztomographie erkennbar, bei den übrigen 172 Patienten fand sich dagegen eine umschriebene Läsion. Alle Patienten wurden mindestens ein Jahr nachbeobachtet. Innerhalb des läsionellen Kollektivs fanden sich 129 temporale und 43 extratemporale Fälle (davon 27 frontal), im läsionellen Kollektiv 7 temporale und 13 extratemporale Fälle (davon 11 frontal). Die Einteilung der erreichten postoperativen Anfallskontrolle der Patienten erfolgte primär nach den beiden gängigen Klassifikationen nach Engel und nach Wieser/Lüders. Mit Hilfe der operativen Ergebnisse unserer Patienten führten wir eine Gegenüberstellung der beiden Klassifikationen durch, welche insgesamt eine vergleichbare Verteilung durch beide Systeme ergab. Zur Durchführung der weiteren Beobachtungen entschieden wir uns aufgrund der größeren internationalen Anwendung für die Engel-Klassifikation. Die Erhebung der postoperativen Anfallskontrolle des nicht-läsionellen Patientenkollektivs ergab mit 65% guten postoperativen Ergebnissen (Engel I-II) der Patienten und 55% Anfallsfreiheit (Engel I) insgesamt einen hohen Anteil deutlich gebesserter Patienten. Verglichen mit den Ergebnissen des läsionellen Kollektivs (79,7% Engel I, 89,5% Engel I-II) zeigte sich in der nicht-läsionellen Gruppe jedoch ein signifikant geringerer Anteil von Anfallsfreiheit (p=0,013) und guter postoperativer Anfallskontrolle (p=0,002). Nachfolgend untersuchten wir den Einfluss verschiedener prä-, peri- und postoperativer Faktoren auf prognostischen Wert bezüglich des postoperativen Anfallsstatus innerhalb des läsionellen, des nicht-läsionellen sowie des Gesamtpatientenkollektivs. Dafür nahmen wir, neben dem Vorliegen einer MRT-Läsion, folgende Faktoren mittels Durchführung univariater statischer Verfahren genauer unter Betracht: die Lokalisation des epileptogenen Fokus, die Durchführung invasiver Ableitungen, bekannte Risikofaktoren für die Epilepsieerkrankung, die neuropathologischen Befunde, das Geschlecht, das Alter bei Durchführung der Operation sowie die Erkrankungsdauer bis zur Durchführung des Eingriffs. Hier gefundene Faktoren mit statistischen Zusammenhängen mit einem p-Wert≤0,2 wurden als unabhängige Variablen in multivariate Modelle eingeschlossen. Folgende Faktoren zeigten in den univariaten Analysen einen signifikanten (p
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 07/19
Ziel: In dieser Arbeit sollte überprüft werden, ob sich eine Hüfte im Rahmen einer stattgefundenen Entlastung der unteren Extremität bei ipsilateraler Beindeformität nach biomechanisch nachvollziehbaren Gesetzen verformt. Methode: Hierzu wurden die Hüften von 19 primär hüftgesunden Kindern, die über längere Zeit gezwungen waren, das ipsilaterale Bein zu entlasten, untersucht und entsprechende Winkel und Messstrecken im radiologischen Befund erhoben. Es erfolgte weiterhin eine Gegenüberstellung der Werte intraindividuell, somit ein Vergleich der gesunden Hüfte mit dem Hüftgelenk auf der Seite, auf der eine Entlastung durchgeführt wurde. Weiterhin wurde die Gesamtheit der vermeintlich veränderten Hüften der Gruppe der Gegenseite gegenübergestellt. Ergebnisse: Überwiegend fand sich im intraindividuellen Vergleich, in Abhängigkeit der untersuchten Messgröße, eine radiologisch messbare Veränderung der „entlasteten“ Hüfte. Es konnte dargestellt werden, dass es zu einem horizontalerem Verlauf der Epiphysenfuge gekommen war, was sich in einem kleineren EY-Winkel sowie einem größeren KF-Winkel widerspiegelte. Das nach kranial ausgerichtete Schenkelhalswachstum und die Ausbildung einer Coxa-valga ließ sich durch einen vergrößerten CCD-Winkel festlegen. Die ATD des Trochanter major und minor in Bezug auf die Spitze des Femurkopfes war als Zeichen des steileren Schenkelhalsverlaufes ebenso vergrößert. Bei verkleinertem CE-Winkel und größerer Tear drop distance an der entlasteten Hüfte konnte eine verminderte Hüftzentrierung nachgewiesen werden. Als Parameter der Hüftpfanne wiesen ein vergrößerter Sharp-Ullmann-Winkel und ein vergrößerter AC-Winkel auf eine beginnende Dysplasie hin, mit steilerem Verlauf, jedoch ohne nennenswerte Abflachung oder Auswalzung. Die Migration Percentage sowie der Pfannenindex t/e wies daher keine nennenswerten Unterschiede auf beiden Seiten auf. Weiterhin deutete ein vergrößerter TA-Winkel bei vergrößertem CCD-Winkel auf weitgehend stabile Verhältnisse am Trochanter major hin, der annähernd seitengleiche AY-Winkel untermauerte dies. Schlussfolgerung: Wenn ein kindliches Hüftgelenk vermindert beansprucht wird, dann richtet sich der Schenkelhals steiler aus, die Hüftpfanne verläuft steiler und der Hüftkopf dezentriert sich etwas. Diese Veränderungen lassen sich nach dem Gesetz „form follows function“ biomechanisch deuten.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 06/19
Das hepatozelluläre Karzinom (HCC) zählt weltweit zu den häufigsten Karzinomen, in Europa macht es zwar nur 3% der Karzinome aus – jedoch mit steigender Inzidenzrate. Diese ist möglicherweise auf eine Infektionswelle mit Hepatitis B und C von 1950 bis 1980 zurückzuführen (29, 125). Daneben zählen chronischer Alkoholabusus, Aflatoxin B1-Exposition und Leberzirrhose per se zu den Hauptrisikofaktoren für die Entstehung des hepatozellulären Karzinoms. Die Kenntnisse der molekularen Mechanismen der Karzinogenese in der Leber, insbesondere der Dysregulation von Proliferation und Apoptose sind indessen noch sehr lückenhaft. Die vorgelegte Arbeit wurde mit dem Ziel durchgeführt, einen Beitrag zur Klärung der formalen und molekularen Pathogenese der Hepatokarzinogenese zu leisten. Es wurde das Proliferations- und Apoptoseverhalten im hepatozellulären Karzinom (HCC, n=52) über immunhistochemische Verfahren und TUNEL-Hybridisierung untersucht. Dabei wurde die Expression des Proliferationsmarkers Ki-67, der Zellzyklus- und Apoptosekontrollproteine Fas-Rezeptor (Fas), Fas-Ligand (FasL), bax, bcl-2, p53 und der Apoptosemarker M30 und TUNEL mit normalem Referenzgewebe (RG, n=61), dysplastischen Knoten (DN, n=9), einem hepatozellulären Adenom (HCA, n=1), makroregenerativen Knoten (MRN, n=5), fokaler nodulärer Hyperplasie (FNH, n=3), undifferenzierten Karzinomen (n=2), einem cholangiozellulären Areal eines Kollisionstumors (n=1) und Metastasen primärer Lebermalignome (n=3) verglichen. Fragen waren dabei, - ob bestimmte Expressionsmuster der untersuchten Zellzyklus- und Apoptose-regulatoren kennzeichnend für die Hepatokarzinogenese sein könnten, - ob sich Hinweise auf eine Adenom-Karzinom- oder Dysplasie-Karzinom-Sequenz ergeben, - ob interindividuelle Unterschiede zwischen HCC abhängig von Ätiologie, histologischem Differenzierungsgrad, Tumorgröße, pT-Stadium und Morphologie bestehen und sich daraus Rückschlüsse auf ein jeweils charakteristisches tumorbiologisches Verhalten ziehen lassen, - ob sich aus den Ergebnissen relevante Schlussfolgerungen für Diagnostik und Therapie des Hepatozellulären Karzinoms ableiten lassen. Damit wird mit dieser Arbeit erstmalig eine komplexe Beleuchtung des Proliferations- und Apoptoseverhaltens im hepatozellulären Karzinom und in anderen Veränderungen der menschlichen Leber vorgelegt, die so bisher nicht vorgenommen wurde. Folgende Ergebnisse waren in der Auswertung der immunhistochemischen Untersuchungen festzustellen: HCC zeigten eine signifikant gesteigerte Ki-67-Expression, TUNEL-Positivität, bax-Expression, sowie eine signifikant verminderte Fas- und FasL-Expression gegenüber normalem Referenzgewebe (RG) (p
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 06/19
Das Ziel dieser Arbeit besteht darin, einen Überblick über die Morbidität und Mortalität der sehr kleinen Frühgeborenen mit einem Gestationsalter bis 30 +6 Wochen zu geben, die zwischen 1991 und 2000 in einem großen deutschen Perinatalzentrum geboren wurden. Zusätzlich wurde untersucht, ob sich im Verlauf der Jahre die Häufigkeiten verschiedener Krankheiten veränderten. Dazu wurden retrospektiv die klinischen Daten aller Kinder mit einem Gestationsalter von weniger als 31 Wochen, die auf die Neugeborenenintensivstation des Klinikums Großhadern der Ludwig-Maximilians-Universität aufgenommen wurden, aus den Arztbriefen bis zur endgültigen Entlassung nach Hause gewonnen. Es wurden 674 Frühgeborene mit einer mittleren Schwangerschaftsdauer von 27 +5 Wochen (± 2,0) und einem mittleren Geburtsgewicht von 1018 g (± 314) aufgenommen, von denen 600 Kinder überlebten. Die Mortalitätsraten lagen bei 45% (23 +0-6 Wochen), 31% (24 +0-6 Wochen), 21% (25 +0-6 Wochen), 14% (26 +0-6 Wochen), 6% (27 +0-6 Wochen), 7% (28 +0-6 Wochen), 3% (29 +0-6 Wochen) und 5% (30 +0-6 Wochen). Von den überlebenden Kindern hatten 34% mindestens eine der folgenden schwerwiegenden Komplikationen: 8% eine intrakranielle Blutung Grad III-IV, 6% eine periventrikuläre Leukomalazie, 20% eine bronchopulmonale Dysplasie mit erhöhtem Sauerstoffbedarf im Alter von 36 Schwangerschaftswochen, 6% eine nekrotisierende Enterokolitis und 9% eine Retinopathia praematurorum Grad III-V. 11% der Kinder hatten mindestens zwei und 3% mindestens drei dieser schweren Erkrankungen. Anhand des Chi-Quadrat-Tests auf Trend ergab sich keine signifikante Änderung der Mortalitätsrate im Verlauf der Jahre. Auch die Häufigkeit der verschiedenen Krankheiten nahm außer bei einer intrakraniellen Blutung und einem schweren Atemnotsyndrom nicht signifikant ab.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 03/19
Hintergrund: Humane Papillomaviren (HPV) haben eine große Bedeutung bei der Entstehung von Dysplasien und invasiven Karzinomen der Zervix. Die humorale Immunantwort auf HPV-Infektionen ist noch weitgehend unerforscht. Erst technische Entwicklungen der letzten Jahre ermöglichten einen ersten Einblick in dieses Gebiet. Ziel dieser Arbeit war es, bei Patienten mit rezidivierenden Zervixdysplasien die Prävalenz von typenspezifischen HPV-DNAs und HPV-Antikörpern sowie den Zusammenhang dieser Parameter zu untersuchen. Weiterhin sollte gezeigt werden, ob das nachgewiesene HPV-Spektrum prädiktiven Wert in Hinblick auf die Entwicklung von Neoplasien der Zervix hat. Methode: Es wurden retrospektiv 52 Patientinnen untersucht, die wegen rezidivierenden Zervixdysplasien die I. Universitäts-Frauenklinik München in den Jahren 1987 bis 1999 aufsuchten. Von jeder Frau sollten mindestens drei Zervixabstrich verschiedener Zeitpunkte mit jeweils gleichzeitig abgenommenen Blutseren zur Verfügung stehen. Die insgesamt 178 Zervixabstriche wurden mit einer HPV-Consensus-Primer PCR auf das Vorhandensein von HPV-DNA getestet und anschließend mit einem Reverse-Line-Blot-Verfahren auf 27 Genotypen untersucht. Die 178 parallel abgenommenen Blutseren wurden mit einem Kapsid-ELISA auf acht typenspezifische HPV-Kapsid-IgG-Antikörper getestet. Dieser ELISA basiert auf leeren, Viruskapsiden, den sogenannten „virus-like particles“ (VLPs), die zuvor mit Hilfe rekombinanter Vaccinia-Virusstämme in BSC-1 Affennierenzellkulturen produziert wurden. Während des Beobachtungszeitraumes zwischen drei und 71 Monaten wurden die Patientinnen mit verschiedenen chirurgischen Methoden (Laserevaporation, Portioabrasio mit Zervixkürettage, Probebiopsie, Konisation) behandelt und dabei Histologien gewonnen. Ergebnisse: Bei den Patientinnen war zu Beginn des Beobachtungszeitraumes in 98% der Zervixabstriche HPV-DNA für mindestens einen der 27 untersuchten Genotypen nachweisbar. In den gleichzeitig abgenommenen Blutproben zeigten 90% der Patientinnen Seroreaktivität gegen mindestens einen der acht untersuchten HPV-Typen. Durchschnittlich wurden hierbei in den Serumproben und in den Abstrichen drei der untersuchten Antikörper- bzw. HPV-DNA-Typen gleichzeitig gefunden. Sowohl mit PCR als auch serologisch wurde HPV 16 mit 65% bzw. 50% am häufigsten nachgewiesen. Der Vergleich der HPV-DNA in den Zervixabstrichen mit den zum gleichen Zeitpunkt detektierten Antikörperreaktionen im Serum, zeigte nur für HPV 16 einen signifikanten Zusammenhang. Wenn jedoch der Verlauf eines DNA-Nachweises in die Untersuchung mit einbezogen wurde, zeigte sich ein differenzierteres Bild. Je öfter die gleiche HPV-DNA zu verschiedenen Zeitpunkten nachgewiesen werden konnte, desto wahrscheinlicher waren am Ende des Beobachtungszeitraumes auch Antikörper gegen diesen HPV-Typen nachweisbar. Im Gegensatz dazu zeigten HPV-Infektionen, die kürzer als sechs Monate bestanden, nur selten Antikörperreaktionen. Schon der einmalige Nachweis eines high-risk HPV-Antikörpers war signifikant mit der späteren Entwicklung einer schweren Dysplasie verbunden. Bei ELISA-Werten die doppelt so hoch wie die bestimmten Grenzwerte lagen war diese Beziehung noch stärker. Außerdem entwickelten sich umso häufiger schwere Dysplasien je öfter der gleiche Antikörper nachgewiesen werden konnte. Im Gegensatz dazu stand der einmalige HPV-DNA-Nachweis in keinem signifikanten Zusammenhang mit der späteren Entwicklung von CIN II/III bzw. CIS-Läsionen oder Karzinomen. Persistierende high-risk HPV-DNA-Typen waren jedoch signifikant mit der Inzidenz schwergradigen Präkanzerosen verbunden. Wurden die Ergebnisse des Antikörper- und DNA-Tests kombiniert mit den histologischen Ergebnissen korreliert, stellte die einmalige Detektion eines HPV-16-Antikörpers oder persistierender HPV-16-DNA in Bezug auf die spätere Entwicklung einer schweren Dysplasie, den Test mit der höchsten Signifikanz dar. Allerdings konnte, wenn der Nachweis eines high-risk Antikörpers zweifach über dem Grenzwert oder einer persistierenden high-risk DNA als positives Testergebnis angesehen wurde, die beste Validität erreicht werden. Schlussfolgerung: HPV-DNA ist in Zervixabstrichen weit verbreitet und stellt offenbar nur selten eine relevante HPV-Infektion dar. Der einmalige HPV-DNA-Nachweis erscheint daher nur von untergeordneter Bedeutung. Die mehrmalige Detektion des gleichen high-risk HPV-DNA-Genotyps ist dagegen ein deutlich besserer Hinweis auf eine onkogene HPV-Infektion. Jedoch ist auch dieser Parameter nur eingeschränkt als prädiktiver Marker für die Entwicklung schwerer Dysplasien einsetzbar. Oft wird nach Monaten bis Jahren ein spontaner Abfall der HPV-DNA beobachtet, obwohl weiterhin ein erhöhtes Erkrankungsrisiko besteht. Die im Rahmen einer humoralen Immunantwort häufig gebildeten Antikörper erfüllen offensichtlich keine Schutzfunktion im Hinblick auf Neoplasien der Zervix. Vielmehr deutet der einmalige Nachweis eines high-risk Serumantikörpers auf eine zurückliegende oder aktuelle Infektion hin, die später signifikant häufiger in eine CIN II/III- bzw. CIS-Läsion oder Karzinom mündet. Auch mehrmalige Nachweise desselben Antikörpers zu unterschiedlichen Zeitpunkten oder besonders hohe natürlich gebildete Antikörpertiter bieten keinen Schutz, sondern zeigen eher ein hohes Risiko für eine onkogene Transformation an. Dennoch kann auch durch die Serologie alleine eine pathogene HPV-Infektion nicht sicher ausgeschlossen werden, da Antikörper erst mit Verzögerungen von mehr als sechs Monaten gebildet werden. Außerdem führen nicht alle Infektionen zu einer humoralen Immunantwort. Nur lange anhaltende DNA-Nachweise bzw. eine ausreichende Viruslast führen zu einer Antikörperbildung. Mehrmalige typenspezifische HPV-DNA- und HPV-Antikörpernachweise können sich daher ergänzen und geben zusammen wichtige weiterführende diagnostische Informationen.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 02/19
Vor dem Hintergrund einer Prophylaxe von Infektionen durch das Respiratory Syncytial Virus, die mit dem seit 1999 in Deutschland zugelassenen monoklonalen Antikörper Palivizumab möglich ist, werden regionale Daten zu Häufigkeit und prädisponierenden Faktoren schwerer RSV-Infektionen benötigt. Die vorliegende Arbeit liefert Ergebnisse zur Häufigkeit, zu Risikofaktoren und zum Verlauf RSV-bedingter Hospitalisationen bei Frühgeborenen in München, Augsburg und Rosenheim. Eine Gruppe von Frühgeborenen, die bereits eine RSV-Prophylaxe mit dem monoklonalen Antikörper Palivizumab erhielt, wurde gesondert betrachtet. Es wurde eine Gesamtkohorte von 1103 Frühgeborenen mit einem Gestationsalter von unter 36 Schwangerschaftswochen, die zwischen dem 01.11.1998 und dem 31.10.1999 in einem von 9 beteiligten neonatologischen Zentren stationär aufgenommen wurden, gebildet. Die Eltern dieser Frühgeborenen wurden nach erneuten Klinikaufenthalten ihrer Kinder aufgrund von Atemwegsinfektionen befragt. Die Ergebnisse einer Gruppe von 717 Patienten (65,0% der Gesamtkohorte) konnten in die endgültige Analyse einbezogen werden. Es wurden Hospitalisationen in den Monaten von Oktober bis einschließlich Mai in den Jahren 1998 / 1999 und 1999 / 2000 ausgewertet. Es ergab sich ein Hospitalisationsrisiko von 10,6% für Atemwegsinfektionen und ein Hospitalisationsrisiko von 5,2% für RSV-bedingte Infektionen. Die Inzidenzdichte, bezogen auf die RSV-Saisons 1998 / 1999 und 1999 / 2000, betrug 71,4 Fälle pro 1000 Frühgeborene pro RSV-Saison. Als statistisch signifikante Risikofaktoren für eine RSV-bedingte Hospitalisation erwiesen sich eine intratracheale Beatmung von mehr als 7 Tagen Dauer, eine zusätzliche Sauerstoffsubstitution von mehr als 7 Tagen Dauer, das männliche Geschlecht, die Diagnosen bronchopulmonale Dysplasie und persistierender Ductus arteriosus und eine Entlassung aus der stationären Frühgeborenenpflege im Zeitraum von Oktober bis Dezember. Desweiteren hatten Frühgeborene, die aufgrund einer RSV-Infektion hospitalisiert werden mussten, eine statistisch signifikant größere Anzahl von Geschwistern, sie hatten signifikant häufiger Geschwister, die eine Kinderkrippe, einen Kindergarten oder eine Schule besuchten und sie lebten mit einer signifikant größeren Anzahl von Personen in einem Haushalt zusammen als die Kinder ohne RSV-Hospitalisation. Mittels logistischer Regression wurden die Diagnose bronchopulmonale Dysplasie, das männliche Geschlecht und der Besuch eines Kindergartens oder einer Schule durch Geschwisterkinder als unabhängige Risikofaktoren identifiziert. Die Entlassung aus der Neonatologie in den Monaten Oktober, November und Dezember war statistisch grenzwertig nicht signifikant. Die 37 RSV-bedingten Hospitalisationen, zu denen es innerhalb der Studienpopulation kam, hatten eine durchschnittliche Dauer von 11,2 ± Tagen (Mittelwert ± Standardabweichung; Median: 8 Tage). 16,2% der Patienten mussten auf eine Intensivstation verlegt werden. 35 Frühgeborene erhielten laut Elternangaben im Winter 1998 / 1999 bzw. 1999 / 2000 eine RSV-Prophylaxe mit Palivizumab. 54,3% dieser Patienten hatten eine bronchopulmonale Dysplasie. Von den 35 Patienten wurde ein Frühgeborenes aufgrund einer Atemwegsinfektion, die wahrscheinlich RSV-bedingt war, hospitalisiert. Dies würde einem Hospitalisationsrisiko von 2,9% entsprechen. Aus den Hospitalisationszahlen der vorliegenden Arbeit kann man folgern, dass 35 Frühgeborene eine RSV-Prophylaxe erhalten müssten, um eine RSV-bedingte Hospitalisation zu verhindern. Da sich die Hospitalisationsrisiken in der vorliegenden Arbeit und in einigen anderen Studien der letzten Jahre als niedriger als erwartet erwiesen, ist vor dem Hintergrund der hohen Kosten einer RSV-Prophylaxe mit Palivizumab zu erwägen, die Indikationen für die Durchführung dieser Prophylaxe weiter einzuschränken. Weitere Studien zu Inzidenz und Verlauf von RSV-bedingten Hospitalisationen bei Risikopatienten werden nötig sein, um Patientengruppen, die von einer Prophylaxe profitieren, noch genauer definieren zu können.