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Nous sommes 8 mai 1927, sur la piste de l'aérodrome du Bourget. Il encore très tôt, mais des invités de prestige ont fait le déplacement, dans la nuit, depuis Paris. On peut apercevoir Joséphine Baker, Maurice Chevalier, Mistinguett, mais aussi le célèbre aéronaute Charles Dollfus ainsi que des militaires, des généraux, des officiers. Toutes et tous observent deux hommes montés dans un avion blanc orné d'une de tête de mort noire sur deux tibias croisés accompagnés d'un cercueil et de deux flambeaux. L'avion a été baptisé : l'Oiseau blanc. Destination : l'Amérique du Nord, en traversant l'Atlantique. Cela n'a jamais été fait ! Les deux pilotes ont pour nom : Charles Nungesser et François Coli. Tous deux font un geste pour dire au revoir et s'apprêtent à lancer leur engin pour prendre leur envol. L'avion roule de plus en plus vite, quitte le sol, parcourt quelques mètres puis semble retomber. Les spectateurs retiennent leur souffle. Finalement, l'Oiseau blanc reprend son ascension. Les deux pilotes mettent le cap vers la Manche. A 6h30, l'avion franchit la frontière de la terre et passe au-dessus de la mer. Personne ne se doute qu'on le voit pour la dernière fois. Charles Nungesser et François Coli disparaissent pour toujours. Ici commence l'une des plus grandes énigmes de l'histoire de l'aviation. Retour sur le parcours de Charles Nungesser, as de la Grande Guerre, boxeur, acteur de cinéma, époux d'une riche américaine, disparu en plein vol. Invité : Patrick de Gmeline, historien militaire. Auteur de : « Charles Nungesser, de l'as de la grande guerre au disparu de l'Atlantique » ; éd. du Rocher. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:34:51 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - C'est une Mistinguett bon pied, bon œil, gouaille et sens de la répartie intacts, que l'on retrouve en 1953 dans l'émission "50 ans de music-hall". Interrogée par Serge, "l'historien du cirque", elle raconte, avec force anecdotes, sa vie et sa carrière dans le contexte du music-hall français. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Mistinguett Chanteuse et actrice française
Some weddings might be grand, but nothing catches more attention than a good divorce scandal.August – September 1933, the marriage of Prince Alexis Mdivani and heiress Barbara Hutton has caused a lot of press attention on the couple as well as those around them. His two older brothers, Prince Serge Mdivani and Prince David Mdivani are in the papers again for their divorces and issues around their oil company. While youngest brother Prince Alexis and Barbara enjoy positive coverage, Prince Serge finds himself in a bitter press battle with soon to be ex-wife, opera singer Mary McCormic.Other people and subjects include: Franklyn Hutton, Louise Van Alen (referenced, not mentioned), Cobina Wright, Pola Negri, Princess Mae Murray Mdivani, Princesss Roussadana “Roussie” Mdivani Sert, Prince David – Prince of Wales – future King Edward VIII – Duke of Windsor, Lady Thelma Morgan Furness, Princess Marquesa de Portago, Lily Damita, Janet Snowden, Prince Caravita, John de Braganza, Lord Nicholas “Dickie” Mountbatten, Archpriest Jacob Smirnoff, Samuel Insull, Insull energy empire, Pacific Shore Oil Company, Charles Lindbergh, Lindbergh Baby Kidnapping, Anne Morrow Lindbergh, Marion Campbell, Nipo Strongheart, Mary Garden, Chester MacCormic – Macomic – Macormac, Kenneth Rankin, Reba McCormic, Harold McCormick, Edith Rockefeller, Ganna Walska, terrible singer, Cowgirl soprano, opera career advice, protégé, Chicago Civic Opera House, Russia, Soviet state Georgia, Biarritz, Moscow, Paris, Los Angeles, Liberty Magazine, Good Housekeeping, new Mdivani source, Tallulah Bankhead, Maurice Chevalier, Mistinguett, Yvonne Vallee, Rudy Vallee, divorce, remarriage, Orson Welles, Citizen Kane, Susan Alexander, William Randolph Hearst, Joseph Pulitzer, Florence Foster Jenkins, Meryl Streep, Enrico Caruso, Cole Porter, Lily Pons, cult musical camp, Alexander Winton, Winton automobile, Bobby Franks, Richard Loeb, Nathan Leopold, Clarence Darrow, Eva Stotesbury, Massie Rape Trial, Los Angeles Olympics, 1932 events, Amelia Earhart, Al Capone, circular connections, reconstructing & reconnecting the past, Tsar Nicholas II of Russia, Queen Victoria, Prince Philip, Prince Charles – Princes of Wales – King Charles III of Great Britain, Faith Baldwin, romance writer, female novelist, What Is Wrong With American Marriages syndicated news article series – Part 6th Pitfalls of International Marriage, Mademoiselle Dollars - American dollar princess, Adele Astaire, Fred Astaire, Lord Charles Cavendish, Boni de Castellane, Anna Gould, Duke of Marlborough, Consuelo Vanderbilt, Gladys Deacon, Sally Rand, risque striptease dance, messy divorces, too public, chaos, high passion, burnout, Brad Pitt, Angelina Jolie, Ben Affleck, Jennifer Lopez, Johnny Depp, Amber Heard, Prince Harry, Meghan Markle, divorce book,…--Extra Notes / Call to Action:Hollywood Mysteries, YouTube Channelhttps://www.youtube.com/@HollywoodMysteries#61 – Louise Brooks, The Girl Who Had The World In Her Hands and Lost It Allhttps://www.youtube.com/watch?v=Bg8D-KNHNZcCheck out and answer polls for As The Money Burns via social mediaX / Twitter – https://x.com/asthemoneyburnsInstagram – https://www.instagram.com/asthemoneyburns/Share, like, subscribe--Archival Music provided by Past Perfect Vintage Music, www.pastperfect.com.Opening Music: My Heart Belongs to Daddy by Billy Cotton, Album The Great British Dance BandsSection 1 Music: Did You Mean It? By Jack Hylton, Album The Great British Dance BandsSection 2 Music: Stars Fell On Alabama by Lew Stone, Album The Great British Dance BandsSection 3 Music: This Is The Missus by Sidney Kyte & His Piccadilly Hotel Band, Album The Great Dance Bands Play Hits of the 30sEnd Music: My Heart Belongs to Daddy by Billy Cotton, Album The Great British Dance Bands--https://asthemoneyburns.com/X / TW / IG – @asthemoneyburnsX / Twitter – https://x.com/asthemoneyburnsInstagram – https://www.instagram.com/asthemoneyburns/Facebook – https://www.facebook.com/asthemoneyburns/
Le grand trompettiste américain Wynton Marsalis dit d'elle «qu'on ne trouve une telle chanteuse qu'une fois par génération !»En cette journée internationale de la Francophonie, micro ouvert pour la chanteuse de jazz Cécile McLorin Salvant qui chante en anglais, en français et en occitan. Née à Miami, en Floride (États-Unis) le 28 août 1989, d'un père haïtien et d'une mère française, Cécile McLorin Salvant parlait français dans sa famille. C'est vers l'âge de trois ans qu'elle a appris l'anglais à l'école, et se frotte à d'autres langues, car Miami est une ville polyglotte. De formation vocale classique et baroque, elle commence le piano très jeune. C'est au conservatoire d'Aix-en-Provence où elle est formée qu'elle découvre le jazz. La francophonie, pour moi c'est un pont entre les gens, la langue est un pont. Quand je suis en France, j'ai envie de chanter en français. Quand je suis aux États-Unis, je chante plutôt en anglais. Elle chante habituellement en anglais, mais son dernier album en date est entièrement en français, prouvant ainsi que l'anglais n'est pas la seule langue du jazz. Dans cet album, Mélusine sorti en 2023, elle s'inspire de la légende folklorique de la fée Mélusine qui se transforme en serpent et reprend des textes du XIVè siècle de Jean d'Arras. Dans cet album aussi, elle reprend quelques standards des années trente et au-delà, tels que «ll m'a vue nue» de Mistinguett ou «Est-ce ainsi que les hommes vivent» de Louis Aragon et Léo Ferré. De cette musique jazz, elle aime le côté théâtral. Depuis le début de sa carrière, elle a obtenu trois Grammy Awards pour le meilleur album de jazz vocal. Elle a également écrit un conte musical, Ogresse qu'elle va adapter en film d'animation.Et en confidences, hors-micro, elle nous a annoncé la sortie d'un nouvel album pour août 2025 avec une chanson en... japonais. Cécile McLorin Salvant en concert à Stains ce jeudi 20 mars 2025 au Festival Banlieues bleues puis en tournée aux États-Unis.
Le grand trompettiste américain Wynton Marsalis dit d'elle «qu'on ne trouve une telle chanteuse qu'une fois par génération !»En cette journée internationale de la Francophonie, micro ouvert pour la chanteuse de jazz Cécile McLorin Salvant qui chante en anglais, en français et en occitan. Née à Miami, en Floride (États-Unis) le 28 août 1989, d'un père haïtien et d'une mère française, Cécile McLorin Salvant parlait français dans sa famille. C'est vers l'âge de trois ans qu'elle a appris l'anglais à l'école, et se frotte à d'autres langues, car Miami est une ville polyglotte. De formation vocale classique et baroque, elle commence le piano très jeune. C'est au conservatoire d'Aix-en-Provence où elle est formée qu'elle découvre le jazz. La francophonie, pour moi c'est un pont entre les gens, la langue est un pont. Quand je suis en France, j'ai envie de chanter en français. Quand je suis aux États-Unis, je chante plutôt en anglais. Elle chante habituellement en anglais, mais son dernier album en date est entièrement en français, prouvant ainsi que l'anglais n'est pas la seule langue du jazz. Dans cet album, Mélusine sorti en 2023, elle s'inspire de la légende folklorique de la fée Mélusine qui se transforme en serpent et reprend des textes du XIVè siècle de Jean d'Arras. Dans cet album aussi, elle reprend quelques standards des années trente et au-delà, tels que «ll m'a vue nue» de Mistinguett ou «Est-ce ainsi que les hommes vivent» de Louis Aragon et Léo Ferré. De cette musique jazz, elle aime le côté théâtral. Depuis le début de sa carrière, elle a obtenu trois Grammy Awards pour le meilleur album de jazz vocal. Elle a également écrit un conte musical, Ogresse qu'elle va adapter en film d'animation.Et en confidences, hors-micro, elle nous a annoncé la sortie d'un nouvel album pour août 2025 avec une chanson en... japonais. Cécile McLorin Salvant en concert à Stains ce jeudi 20 mars 2025 au Festival Banlieues bleues puis en tournée aux États-Unis.
No Rabiscos desta semana, falamos sobre o projeto "Feijoada da Meia Noite", um zine online e físico que está na etsrada desde 2022. Com uma mistura eclética de artes visuais, desenhos e textos, o projeto alcançou uma nova dimensão com sua edição CODEX, agora disponível para download gratuito. O papo foi com as criadoras do projeto, Helen Kaliski e Jo Mistinguett. Para envio de livros e postagens: Tadeu Rodrigues Caixa Postal nº 129 CEP: 37701-010 - Poços de Caldas - MG Acompanhe, curta, compartilhe! Siga-nos | Instagram: @podcastrabiscos | @tadeufrodrigues | email: podcastrabiscos@gmail.com | tadeufrodrigues@gmail.com
Programa 277. Asiste el Trombonista y director de la Soc. Coral El Vallès de Ripollet Jordi Giménez i Puig. ADIVINA LA PELÍCULA. Alfredo Kraus Princesita. PRINCESITA de “La Corte de Amor”. SAN TORAL. Quadro Nuevo – TU VUO FA L'AMERICANO. Joan Manuel Serrat. ANTES DE QUE DEN LAS DIEZ. CELEBRACIONES. Mistinguett. ÇA C'EST. […] The post Los Tres Tenores 23/10/2024 first appeared on Ripollet Ràdio.
El 5 de enero de 1956 falleció Mistinguett, cantante que fue una de las más populares artistas francesas en su tiempo y la mujer más importante en el mundo del espectáculo.
durée : 01:18:05 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1978, les "Nuits Magnétiques" proposaient une série de cinq émissions sur le music-hall. Le premier volet intitulé "Du caf'conc' au music-hall" racontait les premières stars, celles qui ont inventé "la revue à plumes" : Gaby Deslys et Mistinguett. - invités : Louis-Jean Calvet Sociolinguiste, professeur émérite de l'université d'Aix en Provence.
durée : 01:18:33 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1978, les "Nuits Magnétiques" proposaient une série de cinq émissions sur le music-hall. Le deuxième volet, "Mistinguett, les chanteurs à accent, Maurice Chevalier, les girls", se penchait sur les artistes du music-hall et sur deux stars incontournables : Mistinguett et Maurice Chevalier. - invités : Louis-Jean Calvet Sociolinguiste, professeur émérite de l'université d'Aix en Provence.
V tokratni Noči šansonov bomo zazrti v Mistinguett, ki so jo že za življenja poimenovali kraljica glasbenih dvoran, saj pariške scene prve polovice 20. stoletja ni zaznamovala le s svojimi nastopi, ampak tudi z organizacijo velikih glasbeno-plesnih revij, ki so bile bistvo marsikaterega in marsikogaršnjega večera v Parizu tam nekje od leta 1910 pa vse do druge svetovne vojne. K spoznavanju njene življenjske zgodbe in poslušanju njenih šansonov vas vabi Miha Zor.
En novembre 1921, le procès de Landru a fasciné le Tout-Paris, certaines audiences attirant les personnalités les plus en vue du moment, comme Maurice Chevalier ou Mistinguett. On se pressait pour écouter les bons mots de Landru. Le comédien Jean Weber, resté célèbre pour son interprétation de L'Aiglon de Jean Rostand, faisait partie des nombreux curieux qui, chaque jour, se faufilaient dans la salle d'audience. En 1921, il avait 15 ans, il allait au procès comme au spectacle. Ce qu'il admirait surtout, c'était le talent et la répartie de l'accusé. En 1985, à 79 ans, il compare encore Landru à Sacha Guitry ! *** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Mémoires du siècle" de Michel Bossuet - France Culture - 01/08/1985. *** Crédits podcast *** Sélection des archives : Elsa Coupard, Florence Dartois - Textes : Florence Dartois - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement voix : Guillaume Solignat - Voix off : Xavier Lemarchand - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Unité de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Laetitia Fourmond - Accompagnement éditorial : Emmanuelle Fellous - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Production INA.
Christophe Hondelatte raconte l'année 1956 en puisant dans les archives d'Europe 1. Au programme : un nouvel accident dans une mine du Nord, à Douai; la disparition de Mistinguett et de ses gambettes; Jean Richard qui ouvre un zoo et Annie Cordy qui chante Davy Crockett.
durée : 00:30:08 - Line Renaud en revues (1) - par : Martin Pénet - Après quinze années d'une brillante carrière de chanteuse populaire Line Renaud prit un virage important en 1959 pour devenir meneuse de revues, sur les traces de Mistinguett, Maurice Chevalier, Joséphine Baker, et bien d'autres vedettes que la mémoire du spectacle a un peu oubliés… - réalisé par : Doria Zénine
Stacy Law shares how she created Showgirl Bootcamp with Mistinguett in Las Vegas. She is passionate about sharing with women the feeling of beauty and empowerment while changing the misrepresentation and dismissal of the showgirl. Check out the Patreon www.patreon.com/bluebellsforeverpod Follow us on Instagram and Facebook to see photos and updates www.instagram.com/bluebells_forever/ www.facebook.com/Bluebells-Forever-100660515010096
The 7th arrondissement is this week's focus on the podcast. Here's what we found after spending a full day there. Mentioned in this show Coutume Cafe Park Catherine Labourée Deyrolle taxidermy shop Eiffel Tower Rue Cler Musée Rodin Musée d'Orsay Les Ombres restaurant and bar (with the Eiffel Tower views) Including an interview with Francine Campa, the head of the Deyrolle taxidermy shop and museum. The Earful Tower podcast episode This podcast episode features music by Pres Maxson, including his take on "La Tour Eiffel est Toujours Là" by Mistinguett, and "The Girl Who Stole the Eiffel Tower," by Frank Sinatra. Video guide to the 7th arrondissement We'll share our visit, in video format, on our YouTube channel in the coming days. We'll be making one of these travel vlogs every week, so be sure to subscribe (you can do it in one click via this link). The Earful Tower's guide to the 7th arrondissement Read our full guide with all the pictures on the Earful Tower website here. A big thanks to the Patreon members who make all this possible. Join them here.
Cette chanson Mon Homme, popularisée par Mistinguett, a plus de 100 ans ! C'est un texte sur l'emprise dans le couple, la femme raconte : "Il me fout des coups, Il me prend mes sous, je suis à bout, mais malgré tout, mon homme c'est ma seule joie, mon seul bonheur". Et il y a 100 ans, on riait de ça : "Mon Homme" a été écrite pour le théâtre, comme une chanson satirique, un numéro de scène... Et le tout Paris s'en délectait parce qu'en plus, on racontait que l'interprète Mistinguett faisait le récit de sa relation avec son ancien amant Maurice Chevalier. Au fil des années et des très nombreuses reprises, la chanson a perdu son nez rouge pour devenir un immense classique du blues et du jazz. Car, c'est aussi la particularité de ce morceau : il a été adapté aux États-Unis dès 1921 pour devenir My man. La plus belle version, c'est celle de la chanteuse américaine Billie Holiday... et c'est notre pépite du jour : Billie Holiday, "My man"
Programa nº 176 con un buen repertorio musical y con interesantes apartados hechos por Los Tres Tenores dando sus notas a su libre albedrío. Santabárbara. CHARLY. SAN TORAL. Pink Martini – THE LEMONADE SONG. Aida Garifullina. SONG OF INDIA de Rimsky Korsakov. CELEBRACIONES. Adamo. CAE LA NIEVE. Thomas Dutronc – C'EST SI BON. Mistinguett. ÇA […] The post Los Tres Tenores 19/01/2022 first appeared on Ripollet Ràdio.
Radio Flow Online y Visual, la Primera Radio Visual de Misiones
Hija del galerista Albert Loeb y nieta del también galerista Pierre Loeb, pasa su infancia en Nueva York, Estados Unidos. Apasionada de teatro, se inscribe a los famosos Cursos Florent de París bajo la dirección de Francis Huster. Actúa en Succès escrita por los primeros autores del grupo TSE, cuyos trajes y decorados fueron creados por Paloma Picasso. Y participa en numerosas películas realizadas por Adolfo Arrieta, James Ivory o Jacques Demy. En 1983, el primer álbum de Caroline Loeb Piranana sale al mercado (Ze Records), siendo autora de todas las letras. El álbum se realiza en Nueva York, con la carátula de Jean-Baptiste Mondino. En 1986 se convierte en una estrella con el título C'est la ouate del que es intérprete y coautora. La canción se convierte en un éxito internacional (n.º 1 en Italia, n.º 3 en España, n.º 5 en Francia, n.º 10 en Alemania, Austria, Argentina...).1 Publica un segundo álbum Loeb CD en 1987. A partir de 1993, Caroline Loeb dirige a numerosos artistas con repertorios de Édith Piaf, Marlene Dietrich, Jacques Prévert, etc. En 1999, dirige Shirley en el Festival de Aviñón, siguiendo los cuadernos de Shirley Goldfarb. La intérprete, Judith Magre, es recompensada con un Molière, máximo galardón del Teatro Francés. En 2007, dirige y actúa en Les Monologues du vagin (Los Monólogos de la vagina) en París. En 2008, Caroline Loeb se lanza en la realización cinematográfica con el cortometraje Vous désirez? (¿Qué desea?), realizado para la colección X-plicit Films. La película se presentó en la Mostra de Venecia en septiembre con los cortos de Laetitia Masson, Arielle Dombasle, Helena Noguerra y Lola Doillon. En julio de 2008 en el Festival de Aviñón, vuelve a subirse a un escenario con el espectáculo musical Mistinguett, Madonna & Moi. Evocando los iconos que admira desde siempre: Mae West, Tallulah Bankhead, Zizi Jeanmaire o Arletty y canta sus canciones junto a títulos de Serge Gainsbourg, Joséphine Baker, Fred Astaire, Yvette Guilbert y Madonna. Desde el 2 de octubre de 2008, representa este espectáculo en el Théâtre des Blancs Manteaux en París.2 El 5 de enero de 2009, publicó su nuevo álbum Crime Parfait (Crimen Perfecto), mezcla de canciones poéticas y emotivas con matices de humor negro. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radioflowok/message
Mistinguett, a dancer herself became the choreographer for Greg Thompson Productions, which she did until the shows all eventually closed. Now she creates beautiful pieces of showgirl art, showgirl shows and offers Showgirl Bootcamp in Vegas. Check out the Patreon www.patreon.com/bluebellsforeverpod Follow us on Instagram and Facebook to see photos and updates www.instagram.com/bluebells_forever/ www.facebook.com/Bluebells-Forever-100660515010096
Host Steven Maggi chats with Stacy Law-Blind and Mistinguett about one of the most fun, glam-tastic experiences in Las Vegas: The Showgirl Bootcamp Experience! https://vegasneversleeps.com/ Experience the excitement and energy of Las Vegas each weekend on VEGAS NEVER SLEEPS with Steven Maggi.
Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j'avais envie de vous lire une histoire. Alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. Il était une fois la plumasserie joaillière de Nelly Saunier Quand je pense aux parures de plumes me vient toujours 2 images. Tout d'abord l'invention du signe politique d'Henri IV qui motive ses soldats pour la bataille d'Ivry en 1590 en s'écriant : « Ralliez vous à mon panache blanc vous le trouverez au chemin de l'honneur et de la victoire ». Et par ailleurs, me vient en tête les jambes interminables et auréolées de plumes d'autruche rose d'une Zizi Jeanmaire inoubliable chantant « mon truc en plume, plume de zoiseaux de zanimaux ». Et vous, quand on vous dit « parure de plume » quelle image traverse votre esprit ? Les majestueuses coiffes des chefs amérindiens ou les diadèmes à aigrette des années folles réalisés par la place Vendôme ? Les plumes de coq rouges et blanches des shakos des élèves de l'école militaire de Saint Cyr ou la tradition des dynasties mongoles venant d'Inde à la fin du XVIe qui piquaient une plume de héron dans les plis du turban et à l'extrémité de laquelle ils accrochaient une perle, un porté que Maharajahs ont fait perduré en les stylisant ? La plumasserie c'est vert ! Tout d'abord je voudrais rassurer les ardents défenseurs des animaux. Si l'histoire est l'histoire et que chaque époque a eu ses excès, aujourd'hui les plumes ne viennent plus d'animaux que l'on tue. La Convention pour la protection des oiseaux utiles à l'agriculture signée à Paris le 19 mars 1902 protège maintenant toutes les espèces d'oiseaux et son champ s'est étendu en devenant la Convention internationale sur la protection des oiseaux dès 1950. En France les DREAL (directions régionales de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement) listent les espèces protégées. Au niveau international, les oiseaux sont protégés par les lois qui gèrent la protection de la nature depuis la Conférence de Stockholm en 1972 auxquelles s'ajoutent les décisions de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, la CITES (Convention on International Trade of Endangered Species), aussi appelé Convention de Washington, un accord intergouvernemental entre Etats signé le 3 mars 1973 à Washington qui s'assure que le commerce international des spécimens d'animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces. Et cette convention est souvent secouée par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature qui ne la trouve pas assez rapide. En bref aujourd'hui les nandous, grèbes, albatros, pélicans, cigognes, flamants, canards et les oies, grues, perroquets, chouettes et hiboux, colibris, oiseaux de paradis sont strictement protégés. Même le ramassage des aigrettes tombées à la fin de la saison des amours est interdit en France. Les plumes utilisées par l'artisanat plumassier sont les déchets de l'industrie agro-alimentaire c'est de l'up-cycling ! Les importations doivent être strictement déclarées avec leur traçabilité. Les commerçants eux-mêmes sont très mobilisés. Une boutique en ligne (plumes.fr) écrit sur son site : « Il est inutile de proposer de nous vendre des plumes comme les plumes d'aigle, de flamant, de chouette, de perroquet, etc. Peu importe s'il s'agisse d'un élevage particulier ou professionnel, nous ne souhaitons pas alimenter un quelconque commerce douteux. Nous avons de nombreuses demandes concernent les plumes d'aigle. Nous vous suggérons de porter votre choix sur des plumes de faisan, très proches et tout-à-fait autorisées à la vente. Concernant les plumes de perroquet, peu importe s'il s'agisse d'un Ara ou de la plus petite perruche domestique : même les plumes de la mue sont interdites à la vente. Il est inutile de les ramasser dans la cage et de nous les proposer à la vente. Nous vous remercions de votre compréhension et sommes sûrs que vous pensez comme nous : la parure d'un oiseau exotique est bien plus belle sur lui que sur un autre être vivant. Respectons la nature. » Bref la plumasserie c'est vert ! La plumasserie un métier très ancien La plumasserie un métier aussi ancien que la civilisation. L'art plumaire est même un art sacré. De l'Antiquité aux peuplades primitives, porter des plumes a une signification de pouvoir et est chargé de symbole. Elles sont arborées lors de grands événements, de pratiques rituelles et de cérémonies et sont un signe de distinction identitaire et sociale c'est-à-dire que les chefs ont plus de plumes ou des plumes plus grandes. Plus encore chaque type de plume est chargé de pouvoirs différents. Par exemple, les véritables coiffes des amérindiens sont en plumes d'aigle parce qu'elles évoquent l'honneur et le courage. D'ailleurs, c'est le porteur de plume lui-même qui doit aller les chercher directement sur l'animal qui doit rester vivant et pour cela parvenir au nid qui est souvent à la cime des montagnes. Le porté de plume est masculin et même guerrier. Déjà dans l'Antiquité, les casques des armées romaines étaient ornés de panaches. Encore aujourd'hui la garde républicaine, cette branche de la gendarmerie nationale qui assure les missions d'honneur et de sécurité pour les plus hautes autorités de l'Etat, porte des plumets sur ses casques. Il y en a même 5 qui indiquent la fonction ou le grade. L'aigrette en plumes de héron (hauteur de 315 mm) est réservée au commandant du régiment de cavalerie. Le plumet tricolore en plumes de nandou (315 mm), est celui des officiers supérieurs (chef d'escadron et ses supérieurs) et de tous les officiers de l'état-major. Les capitaines et lieutenants portent un plumet écarlate en plume de nandou (315 mm). Le trompette-major et son adjoint sont distingués par le tricolore en plumes de coq de 270 mm. Et tous les sous-officiers des unités ont droit au plumet écarlate en plumes de coq de 270 mm. « Le dictionnaire historique des arts, métiers et professions exercés à Paris depuis le XIIIe siècle » par Alfred Franklin indique que déjà sous Charlemagne les élégants se paraient de plumes de paon et de flamands roses. Au XIIIe siècle les prélats et grands seigneurs portaient des chapeaux ornés et parfois même formés de plumes de paon, à telle enseigne qu'en 1268 se forme la corporation des chapeliers de paon. Au XIVe siècle on voit apparaitre les plumes d'autruches. Louis XII entrant à Gènes portait un casque couronné d'une forêt de plumes droites d'où émergeait un panache retombant. Et François Ier arborait une plume blanche sur son bonnet de velours noir. La profession évolue et fait réviser ses statuts en 1599 et 1659 pour devenir « plumassier- panacher -bouquetier enjoliveur ». C'est Louis XIV qui étend le porté de plumes. Bien sûr, il porte d'immenses chapeaux abondamment garnis de plumes et donc tous ses ministres en font autant. Puis toute sa cour, ainsi que les femmes, commencent à porter des plumes. Et par les ballets de cour qu'il apprécie car il adore la danse et les spectacles, la plume entre comme accessoire de scène. Ainsi définit-il les conditions de porté de la plume qui existe encore aujourd'hui. Du côté des femmes, les coiffures évoluent au fil du temps, et les plumes s'ajoutent aux fleurs et à la gaze jusqu'à devenir de véritables échafaudages dont l'apogée est atteint avec Marie-Antoinette et les incroyables compositions de sa modiste Rose Bertin. A tel point que Madame Campan, la femme de chambre de la Reine écrit dans ses mémoires que les femmes ne trouvaient pas de voitures assez hautes et étaient obligées de sortir la tête de la portière de leur carrosse. On utilisait des plumes de coq, de vautour, de héron, de geai. Mais les plumes les plus prisées étaient celle d'autruche que l'on faisait venir d'Alger et que l'on teignait en rose, en Bleu Céleste, en boue de Paris, en vert, en jaune ou encore couleur souci. Plus rare encore et donc beaucoup plus chères les plumes de héron noir venaient d'Allemagne et de Turquie et étaient destinées à la parure masculine exclusive des récipiendaires de l'Ordre du Saint Esprit. La révolution sonne le glas du porté de plume comme de tout ce qui symbolisait l'aristocratie. C'est l'Empire qui le réintroduit avec Joséphine de Beauharnais qui les portent aussi sur les vêtements. La restauration aimera les oiseaux de Paradis et le Second Empire portera du Marabout. Mais l'explosion du porté féminin de la plume et le second Age d'or de la plumasserie est bien sûr la Belle Epoque. Il y a les débuts du music-hall avec tous ses panaches de la Goulue à Mistinguett en passant par Joséphine Baker. Il y a bien sûr les bandeaux, tiares et diadèmes diamantés et avec des aigrettes, les boas en autruche et surtout les chapeaux de jour dit « à la volière » sur lesquels on trouve même des oiseaux entiers. Comme les premiers défenseurs de la nature s'insurgent, les plumassiers vont alors développer l'art de la métamorphose. En plus de leur savoir-faire premiers, ils vont arriver à créer l'illusion des oiseaux sauvages avec des plumes d'oiseaux d'élevage ordinaire. Entre parenthèse, je ne remets pas en cause la nécessité de la protection animale mais j'aimerai souligner que jamais le porté masculin, et militaire, n'a été stigmatisé comme les portés féminins taxés d'extravagance et largement moqués et caricaturés. Le métier de Plumassier Au XVIIIe, dans leur Encyclopédie 1751-1778, Diderot et d'Alembert décrivent ainsi ce métier « PLUMASSERIE, s. f. est l'art de teindre, de blanchir, de monter toutes sortes de plumes d'oiseaux. ... » s'y ajoute 4 planches de gravures : l'atelier et les instruments, les plumes et leur préparation, les ouvrages du plumassier-panacher, et les différents ouvrages de plumes Ce qui est étonnant c'est que les instruments sont restés presque immuables. C'est qu'il faut faire la différence entre les traitements premiers de la plume qui sont des savoir-faire communs, puis la maitrise de la matière qui donne lieu à des secrets jalousement gardés. Tout d'abord il faut connaitre la plume. C'est le premier apprentissage. Et c'est une matière étonnante. Comme les cheveux elle est constituée de kératine, elle est donc a la fois résistante et souple. On peut bien sûr la casser si on la piétine. Mais la plume est composée de barbes maintenues autour d'un rachis central. Ces barbes sont garnies de barbules qui sont maintenues entre elles par des barbicelles. C'est pourquoi il suffit que l'oiseau lisse ses plumes pour qu'après un ébouriffage passagé tout son plumage redevienne lisse. Mais toutes les plumes ne sont pas pareilles c'est pourquoi il faut les trier. Il semble évident de les répartir par couleur mais en fait c'est complètement insuffisant. Si on réfléchit on imagine bien que sur un même oiseau les plumes du cou seront bien plus petites que celle des ailes ou de la queue par exemple. Et justement quand j'arrive chez Nelly Saunier l'artiste plumassière, elle est occupée à trier les plumes de paon. Je la vois les ranger par taille, jusque là rien ne m'étonne et puis je la vois encore répartir des plumes qui me semblaient identiques et elle m'explique, amusée, que les ailes gauches et droites ont une inclinaison différente. J'aurais du y penser ! Il lui faut donc un œil exercé et une méticulosité infinie pour ranger chaque type de plumes par couleur, dimension, orientation. D'ailleurs elle a fait fabriquer sur mesure un immense rayonnage de 5 mètres de haut pour ses trésors conservés dans un mur de boites rigoureusement étiquetées. Mais avant de les ranger, après les avoir trié, elle les lave et les rince soigneusement pour les dégraisser et enlever toutes impuretés. Elle a même pour cela une machine à laver dédiée. Puis elle les sèche consciencieusement. Après il faut encore les passer à la vapeur pour leur redonner leur volume et leur éclat. Comme un tissu, on peut teindre, blanchir ou décolorer les plumes. L'art du plumassier est alors de sélectionner une plume pour ses couleurs naturelles ou pour leur donner une autre identité comme l'imitation des espèces interdites. Nelly Saunier Plumassière d'art Nelly me raconte qu'elle a toujours été fascinée par les oiseaux, leur beauté, leur liberté et leur plumage et qu'à 14 ans elle avait déjà décidé d'être plumassière. Et ça pas été facile. On lui oppose la quasi disparition de ce métier d'art : en 1919 il y avait 425 ateliers en France et en 1980 il en restait 5. On lui rabache qu'il ne reste que 4 ateliers à Paris ! La Maison Lemarié spécialisée dans la haute couture qui a rejoint en 2002, le groupe Paraffection, la filiale de la maison Chanel dédiée à la conservation des savoir-faire artisanaux d'exception. Il y a la Maison Légeron, Février et la société Marcy plutôt orientée vers le music-hall. Les autres plumassiers et ils tout au plus une dizaine en France, sont indépendants et cherchent des débouchés qui en dehors de la haute couture et du spectacle sont très rares. On lui souligne les difficultés de l'apprentissage. Il ne reste qu'une seule école dans toute l'Europe : le lycée Octave Feuillet à Paris qui ne prend que quelques élèves et prépare au CAP plumassière fleuriste. En effet au XVIIIe les plumassiers commencent à créer des fleurs artificielles en plume et le geste est toujours identique, même pour former les camélias de Chanel. Ce geste s'appelle la « monture » et Nelly d'un mouvement précis me montre comment elle prend un fin fil métallique et « tourne » les plumes qui s'enroulent autour. Elle maitrise aussi le collage et la couture. Et bien sûr, c'est la base, elle sait parer la côte des plumes, les redresser ou les courber, les ébarber, les découper, les friser, ou les nouer. Car bien entendu, Nelly a suivi l'enseignement de cette unique école de plumasserie en 1981. Puis elle intègre l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art que l'on appelle communément l'école Olivier de Serres du nom de la rue où cette prestigieuse et sélective école se situe. Elle ronge son frein en dessinant des chaussettes pour la marque Achille et introduit obstinément la plume dans son cursus de textile. Elle a trouvé son crédo : bousculer les usages dans la tradition du geste. Mais ce qui est différent c'est sa vision : la plume peut se conjuguer à toutes les matières et la plumasserie n'a pas seulement pour objet de compléter un design, un vêtement ou même un bijou c'est un art dont elle veut faire reconnaitre l'œuvre de façon intrinsèque. Alors les objets deviennent sculptures ou tableau qui transmutent la pensée de l'artiste. Et cette pensée c'est l'amour de la nature. Aussi voit-on chez elle chez des arbres, des fleurs, des feuilles que la plume devenue trompe l'œil rend plus vrai que nature. En attendant nous sommes en 1989 et l'école Octave Feuillet la sollicite pour devenir professeur. Tou elle poursuit ses recherches elle commençe à enseigner. Mais pas question qu'elle se contente du programme classique. Elle bouscule le cursus et pousse ses élèves à se inventer. La génération montante des nouvelles mains d'or en plumasserie lui doivent cette approche nouvelle qui les amène à créer des règles et applications inédites de la plumasserie d'aujourd'hui. Maxime Leroy, le plumassier de Haute Façon, lauréat 2017 du Prix de la Jeune Création Métiers d'Art qui a créé son marque M. Marceau, l'appelle sa mère spirituelle et a même fait plaquer en or, la pince de plumassier qu'elle lui a transmise. Maitre d'art en plumasserie depuis 2008, Nelly Saunier a été lauréate du prix Liliane Bettencourt pour l'intelligence de la main de la Fondation Bettencourt Schueller en 2009, lauréate de la Villa Kujoyama la résidence d'Artistes à Kyoto en 2015. Elle est sélectionnée en 2017 avec 14 autres artisans d'art d'exception pour représenter l'art français à l'exposition Wonder Lab des Trésors Nationaux Vivants au Musée national de Tokyo. En 2012, le ministère de la Culture la nomme Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres et en 2020 elle devient Officier de cet ordre prestigieux. La joaillerie plumassière de Nelly Saunier Elle travaille avec des designers, costumiers, décorateurs et bien sûr les grands couturiers : Givenchy, Nina Ricci, Isabelle Marant, Louboutin, Chanel, Jean-Paul Gauthier. Dans le domaine des bijoux c'est Harry Winston qui la sollicite en premier. La collection Premier Feathers est dévoilée en 2012 à Baselworld. Les boitiers de montres sont en or et sertis de diamants mais ce sont les cadrans en marqueterie de plumes qui séduisent immédiatement les collectionneurs. Le faisan argenté, le faisan de Lady Amherst, le faisan commun et le paon forme de véritables tableaux, abstraits en noir et blanc, tachistes en multicolore ou encore impressionnistes en aplat de bleu et vert. En 2015, c'est Van Cleef & Arpels qui lui demande de créer ses Cadrans Extraordinaires pour le salon horloger de Hong Kong. Elle réinvente pour le joaillier une plumasserie miniature. Les trois éditions limitées de seulement 22 pièces exceptionnelles montrent des oiseaux porte-bonheur survolant des tableaux de marqueterie de pierres. Nelly Saunier crée un cardinal en relief avec un plumage carmin qui semblent tenir l'amour entre ses ailes, un oiseau augure aux couleurs de l'azur qui embrassent de ses ailes déployées un ciel de lapis lazuli et un oiseau céruléen dansant sur un fond de mauve inspiré. Dans cet exercice, elle se délecte de marier son inspiration à la rigueur d'un cahier des charges très précis, ce qui représente également un défi. La même année, c'est Piaget qui lui demande une manchette « secret de Venise ». A elle, d'imaginer un graphisme. Elle sort ses crayons, et ses échantillons de plumes et propose ses fiches de style. Auréolant l'émeraude centrale, les plumes semblent tournoyer dans une danse anagogique de bleu, de vert et de noir. Pour la collection Sunny Side of Life, présentée lors de la Paris Fashion Week elle déploie ses talents de coloriste. On lui dit « coucher de soleil » alors elle sélectionne les couleurs naturelles de l'ibis rouge, du ara, de la perruche ondulée et de flamant rose qui irradient autour du saphir jaune central. Elle crée aussi un trompe l'œil de jungle aux tonalités sauvages verte et fauve pour la manchette à l'émeraude. Le troisième bijou est serti de saphirs bleus et Nelly le transforme en océan par les reflets aquatiques des plumes travaillées en pointillisme. Elle ose expliquer aux équipes de Piaget les caractéristiques de la plume comme la nécessité d'insérer une bordure de métal pour que les bardes de la plume ne se séparent pas. Et ils écoutent et changent leur dessin pour s'adapter à cette matière vivante qui chatoie et rutile. Pour Sunlight Escape, c'est en plumes d'oie et de pélican qu'elle crée des motifs géométriques d'un blanc immaculé et rehaussé de feuilles d'or et qui se positionnent dans une manchette et des boucles d'oreilles en or jaune entouré d'un serti de diamants. En 2020, Piaget dans la collection « les ailes de la lumière » a imaginé un extraordinaire collier Majestic Plumage en point d'interrogation en forme d'oiseau et Nelly Saunier se charge de leur créer des ailes qui se mêlent aux saphirs et aux spinelles et encadre une tourmaline paraïba très rare de 7,49 carats. Entre temps c'est Chopard qui lui demande de créer le collier de la collection Red Carpet dévoilée au Festival de Cannes 2018. Il s'agit de retranscrire les inspirations mongoles et leur savoir faire traditionnels. La pièce centrale est flamboyante et mystique. C'est un camée en or sculpté autour duquel s'enroulent des volutes d'apatites bleues, de grenats violets et de jaspe rouge. Nelly propose des plumes de coq, de héron cendré, d'autruche et de faisan obscur. Elle crée une véritable exubérance plumassière à la fois opulente et évanescente qui nidifie les joyaux et frissonne autour du cou. Nelly Saunier m'a dit : « la plume c'est toute ma vie et je n'aurai pas assez d'une vie pour exprimer tout ce que je veux lui faire dire ». Nelly rassurez vous, d'ores et déjà, vous êtes par votre art plumassier, immortelle. Ainsi se termine cette histoire de la plumasserie joaillière de Nelly Saunier. Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux. Chaque dimanche j'émets en alternance sur un podcast différent. Dans l'autre podcast « Il était une fois le bijou » j'explore une thématique en saison courte. Et justement la semaine prochaine la nouvelle saison appelée Diamant forever recevra Mina El Hadraoui, la directrice France du Natural Diamond Council. Et le 21 sur le podcast Brillante ce sera Stéphanie des Horts l'auteur de La Panthère qui ressuscitera pour nous Jeanne Toussaint. Pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts « Il était une fois le bijou », « le bijou comme un bisou » et « Brillante » sur votre plate-forme d'écoute préférée ou sur YouTube et encouragez- moi en mettant des commentaires, c'est ce qui permet de référencer les podcasts ! Si vous êtes sur Apple podcast mettez plein d'étoiles et partagez, sans modération. ! A bientôt pour un prochain bijou, un nouveau bisou du dimanche soir. Site Twitter Facebook Instagram LinkedIn Musique : Allan Deschamp, 0 le Sign
Historiquement Vôtre réunit 3 personnages à plumes: le chef Indien Sitting Bull à la fois guerrier et guérisseur qui arborait fièrement sa plume sur le haut du front, la danseuse Mistinguett avec ses plumes et ses""belles gambettes"", et la chanteuse Régine avec ""le boa de la grande Zoa""...
Réal Siellez nous parle du monde d’aujourd’hui à travers un artiste ou une chanson d’hier.
Pour le monde entier, elle incarne la Parisienne. C'est Mistinguett qui impose la revue moderne sur la scène du Moulin Rouge : Paris qui danse, Paris qui jazz, Ça c’est Paris... Gouailleuse, la reine du music-hall des Années folles, a égayé les nuits de Paris de l'entre-deux-guerres et bien au-delà. Un son, un ton, un timbre... : puissante ou fluette, suave ou rauque, chaque voix, unique, dit ce que les mots ne disent pas. Elle s'inscrit aussi dans un contexte historique et géographique : s’exprimant avec les paroles de son époque, elle prend l’accent des lieux qui la traversent. La série Voix mémorables puise dans les archives de RFI et de sa plateforme participative pour composer des paysages sonores des voix du monde.
durée : 01:28:43 - Lola Lafon, auteure et musicienne - par : Priscille Lafitte - Lola Lafon signe le roman "Chavirer", paru chez Actes Sud. Dans ce Musique émoi, la romancière établit des liens entre le ballet "Giselle" d'Adam, les voix de Maria Tanase et de Mistinguett, J.S. Bach et Jean-Jacques Goldman. - réalisé par : Marie Grout
durée : 01:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1978, les "Nuits Magnétiques" proposaient une série de cinq émissions sur le music-hall. Le second volet, "Mistinguett, les chanteurs à accent, Maurice Chevalier, les girls", se penchait sur les artistes du music-hall et sur deux stars incontournables : Mistinguett et Maurice Chevalier. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 01:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1978, les "Nuits Magnétiques" proposaient une série de cinq émissions sur le music-hall. Le premier volet intitulé "Du caf'conc' au music-hall" racontait les premières stars, celles qui ont inventé "la revue à plumes" : Gaby Deslys et Mistinguett. - réalisation : Virginie Mourthé
Les années 1920 sont habituellement associées à la folie des excès mais pour l’Allemagne vaincue, ce sont des années de faillite. Pour « La Story », le podcast d’actualité des « Echos », Pierrick Fay et Richard Hiault retracent l’histoire de la dette allemande devenue colossale avec les exigences de réparations du Traité de Versailles qui ont mené à une terrible crise et nourri les ressentiments du peuple.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay et Richard Hiault. Cet épisode a été enregistré en juillet 2020. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d’édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Illustration : Pascal Garnier. Sons : Actualités Pathé, Mistinguett « Ça c’est Paris », « La folie des grandeurs » (1971), « Le bourreau des cœurs » (1983), Ina. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans le deuxième épisode des « Voix Remarquables », place à Mistinguett (1875-1956), chanteuse, actrice, meneuse de revue et surtout symbole du Paris des années folles. Dans cette archive sonore, elle évoque ses souvenirs de jeunesse et son « premier chapeau de femme élégante ». Mais aussi : - Un entretien avec Aristide Tarnagda, auteur, metteur en scène et directeur du Festival Les Recréâtrales, l'un des plus grands festivals panafricains de spectacle vivant, basé à Ouagadougou au Burkina Faso, dont la 11ème édition doit se dérouler en octobre. -La chronique « En bons termes » avec Pierrette Crouzet Daurat, chef de la Mission du développement et de l'enrichissement de la langue française à la DGLFLF (Délégation générale à la langue française et aux langues de France). Cette semaine, focus sur des termes scientifiques de Covid à cluster pour arriver à tracking et coping !
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Maurice Féaudierre, dit "Serge" - Avec Mistinguett - réalisé par : Viginie Mourthé
BULLES D'HISTOIRE les mardi et samedi à 10h30. Chronique animée par Stéphane Dubreil sur les bandes dessinées historiques. Cette semaine, "Fréhel" de Johann G. Louis aux éditions Nada. Pionnière de la chanson réaliste et figure incontournable de la Belle Époque et des Années folles, Fréhel a influencé la scène musicale française jusqu’à Serge Gainsbourg et aux Garçons Bouchers. Dans ce roman graphique, Johann G. Louis redonne vie à cette artiste entière et passionnée qui brûla sa vie, se consumant dans l’amour, la fête, l’alcool et la « coco ». Plongez avec elle dans le Paris canaille, entre scènes de music-hall, Maurice Chevalier, Mistinguett et plateaux de cinéma avec Jean Gabin, caf’conc’ et voyages au pays des paradis artificiels ! Et laissez-vous emporter par La Java bleue !
Saranno con noi Enzo Pennetta per parlare di evoluzione, contemporaneità e Ufo e Marco Travaglini, dell'Atelier Spadolini di Riccione: chi era davvero Alberto Spadolini, allievo di Gabriele D'Annunzio?Apertura con la notizia della settimana in compagnia di Federica Francesconi e Paolo Franceschetti.EVOLUZIONE, DARWIN E INFORMAZIONE: ENZO PENNETTAPrimo ospite sarà Enzo Pennetta. biologo, insegnante di scienze naturali, si occupa di iniziative legate alla didattica delle scienze e di attività di formazione culturale. "Sono nato a Roma nel 1960 e ho conseguito nel 1984 la laurea in Scienze biologiche presso l’Università degli Studi di Roma “La Sapienza”, nello stesso anno ho iniziato a lavorare come insegnante. Nel 1989 ho conseguito una laurea in Farmacia, presso la stessa università “La Sapienza”. Spinto dall’interesse per la cultura umanistica oltre che scientifica, nel 1986 ho incontrato lo scrittore Stanislao Nievo (già vincitore del premio Campiello nel 1975 e del premio Strega nel 1989) col quale è nato un rapporto di stima e amicizia che ha poi portato alla collaborazione all’iniziativa dei “Parchi Letterari” e alla redazione del libro “I Parchi Letterari del ‘900” edito da Ricciardi e Associati. Con lo stesso Stanislao Nievo ho poi scritto a quattro mani il romanzo “Gli ultimi cavalieri dell’Apocalisse” edito da Marsilio nel 2004, un romanzo i cui protagonisti, un professore e un giornalista definiti “Due ricercatori d’oggi”, sono gli alter ego degli autori. Un incontro importante quello con Nievo, con un uomo che poteva considerarsi l’ultimo rappresentante di un’epoca passata, l’ultimo grande esploratore, un uomo di rara intelligenza spinto da un desiderio di conoscere che l’aveva portato a viaggiare come fotografo e giornalista per oltre 90 paesi del mondo, un ricercatore nel senso più ampio del termine. Come molti grandi naturalisti ed esploratori dell’800 e del ‘900, Nievo aveva cominciato a sognare l’Africa guardando gli animali dello Zoo e a pensare all’evoluzione osservando gli scheletri e le collezioni del Museo Civico di Zoologia. Ma era anche affascinato dall’antropologia e di questo ne sono testimoni gli oggetti da lui portati di ritorno dai numerosi viaggi, alcuni dei quali donati al Museo Etnografico Pigorini di Roma. Negli anni di questa decennale amicizia (Stanisalo Nievo è scomparso nel 2006), è cresciuto l’interesse per la ricerca e lo studio di argomenti che usualmente sono distanti, un interesse che mi ha portato a guardare in un modo “sintetico” realtà apparentemente estranee. Questo approccio ha comportato un “cambiamento di scala” nell’osservazione della realtà, un cambiamento di prospettiva che ha consentito di scorgere le fenomenologie studiate nel loro insieme permettendo di accostare ad esempio la teoria dell’evoluzione darwiniana alle politiche coloniali britanniche prima e successivamente alle politiche attuali verso il terzo mondo. Lo studio con una scala appropriata ha permesso inoltre di vedere una strana associazione di teorie scientifiche sulla vita extraterrestre, teorie di cui parlano qualificati esponenti della scienza quali Carlo Rubbia e Stephen Hawking, alle pratiche totalmente antiscientifiche del sottobosco dell’esoterismo ottocentesco fino alle sue propaggini settarie nel ’900. Da quest’ultimo studio è scaturito un saggio la cui finalità è quella di mostrare come possa insinuarsi nel pensiero comune una falsa scienza, e confondersi con quella vera, senza che spesso neanche gli addetti ai lavori si rendano conto del fenomeno. È nato così “Extraterrestri: le radici occulte di un mito moderno” (Rubbettino, 2011), scritto con Gianluca Marletta esperto di storia delle religioni e di esoterismo, che vuole essere un contributo per tutti coloro che rischiano di dare credito alla maschera pseudoscientifica indossata da antiche credenze esoteriche che hanno cercato di riciclarsi dietro il fenomeno UFO, un libro che intende mostrare l’operazione di “chirurgia plastica” che vuole spacciare l’anacronistico occultismo ottocentesco per misteriose e futuristiche tecnologie aliene. Extraterrestri vuole, in ultima analisi, essere un libro che aiuta a distinguere la vera e genuina ricerca scientifica di una eventuale forma di vita extraterrestre dalle fantasie pseudoscientifiche. Ad “Extraterrestri” è seguito: “Inchiesta sul darwinismo: come si costruisce una teoria. Scienza e potere dall’imperialismo britannico alle politiche ONU” (Cantagalli, 2011). “Inchiesta sul darwinismo” è una ricostruzione storica di come la teoria darwiniana si sia inserita non solo nel dibattito scientifico ma anche nella realtà sociale, antropologica e politica dall’ottocento giungendo ai giorni nostri, dando origine a quel complesso fenomeno che va sotto il nome generico di “darwinismo”. Si tratta di un lavoro che, come affermato prima, è stato possibile realizzare solamente effettuando un “cambiamento di scala”, analizzando cioè le componenti scientifica, antropologica e politica nella loro interazione. Questo sito vuole essere il luogo dove questo lavoro di studio “sintetico” viene ulteriormente esplicitato ed eventualmente completato, con la speranza che esso non generi contrapposizioni emotive o, peggio ancora, faziosità che nulla hanno a che vedere con un corretto confronto di idee. "E' autore anche di "Infamia. L'informazione tra manipolazione e repressione".CHI ERA DAVVERO ALBERTO SPADOLINI?Secondo ospite sarà Marco Travaglini dell'Atelier Spadolini. Chi era davvero Alberto Spadolini? "Alla morte di Alberto Spadolini, avvenuta a Parigi nel dicembre 1972, il suo appartamento sugli Champs-Elysées viene svaligiato. Di lui si perde ogni traccia finché nel 1978, nel corso di un trasloco, viene ritrovato uno scatolone contenente il suo Archivio: fotografie artistiche, disegni, documenti, articoli di giornali provenienti da tutto il mondo. Ci sono voluti parecchi anni di studi e ricerche per ricostruire la storia di Alberto Spadolini, dagli amici soprannominato Spadò. Alla metà degli anni ’20 è scenografo al Teatro degli Indipendenti di Anton Giulio Bragaglia luogo di riferimento della avanguardie artistiche italiane, a contatto con Giorgio De Chirico, Alberto Moravia e Ivo Pannaggi . In qualità di attore debutta nella commedia “Scalari e Vettori” di Umberto Barbaro (1928). Lo ritroviamo decoratore al Vittoriale di Gabriele D’Annunzio ; danzatore con Joséphine Baker e Serge Lifar; coreografo ammirato da Paul Valéry e Maurice Ravel; attore con Jean Marais e Jean Gabin ; cantante con Mistinguett e Tino Rossi; regista di documentari con Django Reinhardt e Suzy Solidor; pittore apprezzato da Jean Cocteau e Max Jacob ; scultore dallo stile michelangiolesco; restauratore nello studio esoterico di Jules Boucher; giornalista per la rivista parigina Le Sourire …. agente della Resistenza antinazista. Fra gli amici di Spadolini i registi Roberto Rossellini , Marc Allégret, Jean Renoir, il pittore Francis Picabia, il principe Felix Yussupov, l’uomo che osò assassinare il monaco Rasputin. Frequenta le più belle donne dell’epoca: l’attrice tedesca Marlene Dietrich , l’attrice francese Catherine Hessling moglie di Jean Renoir, la fotografa Dora Maar compagna di Pablo Picasso , la ballerina svedese Betty Bjurstrom che nel 1948 conquista il primo titolo di Miss Europa. Ha una tempestosa relazione sentimentale con Joséphine Baker con cui si esibisce al Casinò de Paris e al Prince Edward Theatre di Londra. Secondo alcune testimonianze Spadolini avrebbe continuato nel dopoguerra la sua attività di spionaggio a favore dei servizi segreti occidentali. La sua figura è rimasta semi-sconosciuta fino al 2005, quando il suo Archivio è stato presentato nel corso di numerose rassegne e festival. Nei suoi dipinti sono visibili riferimenti alla danza, all’esoterismo e alla sua terra natale. Negli anni ’60 Alberto Spadolini restaura la discoteca del Grand-Hotel di Rimini ed inaugura un Atelier a Riccione, recentemente riaperto al pubblico in occasione del 40º anniversario della scomparsa. Fra gli ammiratori di Spadò lo storico dell’arte Philippe Daverio che nel 2012 ha presentato la Rassegna alla Mole Vanvitelliana di Ancona e sir Elton John che nel 2017 ha esposto l’immagine di “Spadolini, danzatore con sfera in mano”, opera di Dora Maar, alla Tate Modern di Londra. Di prossima pubblicazione il romanzo ambientato fra New York – Parigi – Stoccolma dal titolo “La riscoperta di Alberto Spadolini” ed il documentario “Spadò il poeta della danza” dei registi Riccardo De Angelis e Romeo Marconi".IL CUORE OCCULTO DEL POTEREStefania intervista Giacomo Pacini, ricercatore di storia contemporanea, autore del libro "Il cuore occulto del potere. Storia dell'Ufficio Affari Riservati del Viminale". L'Ufficio Affari Riservati è stato per decenni il servizio segreto del Ministero dell'Interno: parliamo della sua attività di intelligence e polizia politica, del suo ruolo nel periodo della Strategia della tensione, e della sua figura chiave, il direttore Federico Umberto D'Amato.Completeranno la puntata la ruota libera con Paolo Franceschetti, l'angolo di Barbara Marchand e la scheda del Maestro di Dietrologia.per intervenire: redazione@bordernights.it
Saranno con noi Enzo Pennetta per parlare di evoluzione, contemporaneità e Ufo e Marco Travaglini, dell'Atelier Spadolini di Riccione: chi era davvero Alberto Spadolini, allievo di Gabriele D'Annunzio?Apertura con la notizia della settimana in compagnia di Federica Francesconi e Paolo Franceschetti.EVOLUZIONE, DARWIN E INFORMAZIONE: ENZO PENNETTAPrimo ospite sarà Enzo Pennetta. biologo, insegnante di scienze naturali, si occupa di iniziative legate alla didattica delle scienze e di attività di formazione culturale. "Sono nato a Roma nel 1960 e ho conseguito nel 1984 la laurea in Scienze biologiche presso l’Università degli Studi di Roma “La Sapienza”, nello stesso anno ho iniziato a lavorare come insegnante. Nel 1989 ho conseguito una laurea in Farmacia, presso la stessa università “La Sapienza”. Spinto dall’interesse per la cultura umanistica oltre che scientifica, nel 1986 ho incontrato lo scrittore Stanislao Nievo (già vincitore del premio Campiello nel 1975 e del premio Strega nel 1989) col quale è nato un rapporto di stima e amicizia che ha poi portato alla collaborazione all’iniziativa dei “Parchi Letterari” e alla redazione del libro “I Parchi Letterari del ‘900” edito da Ricciardi e Associati. Con lo stesso Stanislao Nievo ho poi scritto a quattro mani il romanzo “Gli ultimi cavalieri dell’Apocalisse” edito da Marsilio nel 2004, un romanzo i cui protagonisti, un professore e un giornalista definiti “Due ricercatori d’oggi”, sono gli alter ego degli autori. Un incontro importante quello con Nievo, con un uomo che poteva considerarsi l’ultimo rappresentante di un’epoca passata, l’ultimo grande esploratore, un uomo di rara intelligenza spinto da un desiderio di conoscere che l’aveva portato a viaggiare come fotografo e giornalista per oltre 90 paesi del mondo, un ricercatore nel senso più ampio del termine. Come molti grandi naturalisti ed esploratori dell’800 e del ‘900, Nievo aveva cominciato a sognare l’Africa guardando gli animali dello Zoo e a pensare all’evoluzione osservando gli scheletri e le collezioni del Museo Civico di Zoologia. Ma era anche affascinato dall’antropologia e di questo ne sono testimoni gli oggetti da lui portati di ritorno dai numerosi viaggi, alcuni dei quali donati al Museo Etnografico Pigorini di Roma. Negli anni di questa decennale amicizia (Stanisalo Nievo è scomparso nel 2006), è cresciuto l’interesse per la ricerca e lo studio di argomenti che usualmente sono distanti, un interesse che mi ha portato a guardare in un modo “sintetico” realtà apparentemente estranee. Questo approccio ha comportato un “cambiamento di scala” nell’osservazione della realtà, un cambiamento di prospettiva che ha consentito di scorgere le fenomenologie studiate nel loro insieme permettendo di accostare ad esempio la teoria dell’evoluzione darwiniana alle politiche coloniali britanniche prima e successivamente alle politiche attuali verso il terzo mondo. Lo studio con una scala appropriata ha permesso inoltre di vedere una strana associazione di teorie scientifiche sulla vita extraterrestre, teorie di cui parlano qualificati esponenti della scienza quali Carlo Rubbia e Stephen Hawking, alle pratiche totalmente antiscientifiche del sottobosco dell’esoterismo ottocentesco fino alle sue propaggini settarie nel ’900. Da quest’ultimo studio è scaturito un saggio la cui finalità è quella di mostrare come possa insinuarsi nel pensiero comune una falsa scienza, e confondersi con quella vera, senza che spesso neanche gli addetti ai lavori si rendano conto del fenomeno. È nato così “Extraterrestri: le radici occulte di un mito moderno” (Rubbettino, 2011), scritto con Gianluca Marletta esperto di storia delle religioni e di esoterismo, che vuole essere un contributo per tutti coloro che rischiano di dare credito alla maschera pseudoscientifica indossata da antiche credenze esoteriche che hanno cercato di riciclarsi dietro il fenomeno UFO, un libro che intende mostrare l’operazione di “chirurgia plastica” che vuole spacciare l’anacronistico occultismo ottocentesco per misteriose e futuristiche tecnologie aliene. Extraterrestri vuole, in ultima analisi, essere un libro che aiuta a distinguere la vera e genuina ricerca scientifica di una eventuale forma di vita extraterrestre dalle fantasie pseudoscientifiche. Ad “Extraterrestri” è seguito: “Inchiesta sul darwinismo: come si costruisce una teoria. Scienza e potere dall’imperialismo britannico alle politiche ONU” (Cantagalli, 2011). “Inchiesta sul darwinismo” è una ricostruzione storica di come la teoria darwiniana si sia inserita non solo nel dibattito scientifico ma anche nella realtà sociale, antropologica e politica dall’ottocento giungendo ai giorni nostri, dando origine a quel complesso fenomeno che va sotto il nome generico di “darwinismo”. Si tratta di un lavoro che, come affermato prima, è stato possibile realizzare solamente effettuando un “cambiamento di scala”, analizzando cioè le componenti scientifica, antropologica e politica nella loro interazione. Questo sito vuole essere il luogo dove questo lavoro di studio “sintetico” viene ulteriormente esplicitato ed eventualmente completato, con la speranza che esso non generi contrapposizioni emotive o, peggio ancora, faziosità che nulla hanno a che vedere con un corretto confronto di idee. "E' autore anche di "Infamia. L'informazione tra manipolazione e repressione".CHI ERA DAVVERO ALBERTO SPADOLINI?Secondo ospite sarà Marco Travaglini dell'Atelier Spadolini. Chi era davvero Alberto Spadolini? "Alla morte di Alberto Spadolini, avvenuta a Parigi nel dicembre 1972, il suo appartamento sugli Champs-Elysées viene svaligiato. Di lui si perde ogni traccia finché nel 1978, nel corso di un trasloco, viene ritrovato uno scatolone contenente il suo Archivio: fotografie artistiche, disegni, documenti, articoli di giornali provenienti da tutto il mondo. Ci sono voluti parecchi anni di studi e ricerche per ricostruire la storia di Alberto Spadolini, dagli amici soprannominato Spadò. Alla metà degli anni ’20 è scenografo al Teatro degli Indipendenti di Anton Giulio Bragaglia luogo di riferimento della avanguardie artistiche italiane, a contatto con Giorgio De Chirico, Alberto Moravia e Ivo Pannaggi . In qualità di attore debutta nella commedia “Scalari e Vettori” di Umberto Barbaro (1928). Lo ritroviamo decoratore al Vittoriale di Gabriele D’Annunzio ; danzatore con Joséphine Baker e Serge Lifar; coreografo ammirato da Paul Valéry e Maurice Ravel; attore con Jean Marais e Jean Gabin ; cantante con Mistinguett e Tino Rossi; regista di documentari con Django Reinhardt e Suzy Solidor; pittore apprezzato da Jean Cocteau e Max Jacob ; scultore dallo stile michelangiolesco; restauratore nello studio esoterico di Jules Boucher; giornalista per la rivista parigina Le Sourire …. agente della Resistenza antinazista. Fra gli amici di Spadolini i registi Roberto Rossellini , Marc Allégret, Jean Renoir, il pittore Francis Picabia, il principe Felix Yussupov, l’uomo che osò assassinare il monaco Rasputin. Frequenta le più belle donne dell’epoca: l’attrice tedesca Marlene Dietrich , l’attrice francese Catherine Hessling moglie di Jean Renoir, la fotografa Dora Maar compagna di Pablo Picasso , la ballerina svedese Betty Bjurstrom che nel 1948 conquista il primo titolo di Miss Europa. Ha una tempestosa relazione sentimentale con Joséphine Baker con cui si esibisce al Casinò de Paris e al Prince Edward Theatre di Londra. Secondo alcune testimonianze Spadolini avrebbe continuato nel dopoguerra la sua attività di spionaggio a favore dei servizi segreti occidentali. La sua figura è rimasta semi-sconosciuta fino al 2005, quando il suo Archivio è stato presentato nel corso di numerose rassegne e festival. Nei suoi dipinti sono visibili riferimenti alla danza, all’esoterismo e alla sua terra natale. Negli anni ’60 Alberto Spadolini restaura la discoteca del Grand-Hotel di Rimini ed inaugura un Atelier a Riccione, recentemente riaperto al pubblico in occasione del 40º anniversario della scomparsa. Fra gli ammiratori di Spadò lo storico dell’arte Philippe Daverio che nel 2012 ha presentato la Rassegna alla Mole Vanvitelliana di Ancona e sir Elton John che nel 2017 ha esposto l’immagine di “Spadolini, danzatore con sfera in mano”, opera di Dora Maar, alla Tate Modern di Londra. Di prossima pubblicazione il romanzo ambientato fra New York – Parigi – Stoccolma dal titolo “La riscoperta di Alberto Spadolini” ed il documentario “Spadò il poeta della danza” dei registi Riccardo De Angelis e Romeo Marconi".IL CUORE OCCULTO DEL POTEREStefania intervista Giacomo Pacini, ricercatore di storia contemporanea, autore del libro "Il cuore occulto del potere. Storia dell'Ufficio Affari Riservati del Viminale". L'Ufficio Affari Riservati è stato per decenni il servizio segreto del Ministero dell'Interno: parliamo della sua attività di intelligence e polizia politica, del suo ruolo nel periodo della Strategia della tensione, e della sua figura chiave, il direttore Federico Umberto D'Amato.Completeranno la puntata la ruota libera con Paolo Franceschetti, l'angolo di Barbara Marchand e la scheda del Maestro di Dietrologia.per intervenire: redazione@bordernights.it
https://improvisations.fr/wp-content/uploads/20170624oberfeld.mp3 Il y avait, au Journal officiel de ce matin, un texte qui a attiré mon attention : un Arrêté du 16 juin 2017 portant prorogation des droits de M. OBERFELD (Casimir). J'aime bien le prénom de Casimir, qui, indépendamment du personnage pour enfants, fut porté par l'un de mes arrières grands-pères, je crois, et que je trouve à la fois mignon et très daté. Quant au texte, j'ai vu qu'il avait été pris en application d'un article du code de la propriété intellectuelle relatif à la prorogation, au bénéfice de leurs ayants-droits, des droits d'auteurs des auteurs morts pour la France. Le nom de Casimir Oberfeld ne me disant rien, je me suis documenté et ai trouvé qu'il s'agissait d'un musicien et compositeur, très célèbre dans l'entre-deux-guerres (mais la célébrité est chose si éphémère ! ...) pour avoir composé des dizaines d'opérettes, de musiques de films, de chansons pour Arletty, Mistinguett, Maurice Chevalier ou Fernandel, la plus célèbre, au moins pour moi, étant Félicie aussi, chantée par Fernandel. Né en Pologne en 1903, Casimir Oberfeld s'est installé en France à la fin des années 1920. Lorsque la France a été occupée, il s'est réfugié en zone Sud, puis à Nice lorsque la zone Sud a été occupée, Nice étant sous contrôle italien, et l'Italie menant une politique beaucoup moins antisémite que l'Allemagne et que la France d'alors. Au renversement de Mussolini, les troupes allemandes ont pris le contrôle de la région niçoise et c'est au cours d'une rafle organisée alors que Casimir Oberfeld a été arrêté, envoyé à Drancy puis déporté, de là, vers Auschwitz, où il a été, pendant quelques mois, utilisé comme musicien par les SS. Il est mort au début de 1945, au cours d'une de ces "marches de la mort" qui visaient à rapatrier vers l'Allemagne les déportés pour éviter qu'ils ne soient libérés par les Alliés. Et son nom, que j'ignorais, revient aujourd'hui, au Journal officiel. Merci à cet arrêté de nous faire nous souvenir de cet homme, dont la fin fut si terrible mais dont les mélodies vivent et survivent, joyeuses et entrainantes. PS : à l'écoute complète de la chanson, je me rends compte que les paroles sont d'une finesse toute modérée et d'une grande mysoginie. C'est ainsi !
À propos du Livre Le crime du Palace : Enquête sur l'une des plus grandes affaires criminelles des années 1930 aux Editions Payot Au début des années 1930, trois grandes affaires secouent la France : l'affaire Violette Nozières, l'affaire Stavisky et l'affaire Dufrenne. Le 25 septembre 1933, Oscar Dufrenne, président de la Fédération des spectacles, directeur du Casino de Paris et du music-hall Le Palace, ami de Jean Sablon et de Mistinguett, par ailleurs homme politique radical-socialiste proche de l'Ancien ministre de l'Intérieur Louis-Jean Malvy, est retrouvé mort dans son bureau du Palace, les vêtements en désordre et le crâne fracassé. Le crime, qui va défrayer la chronique, ne sera jamais élucidé. L'historienne Florence Tamagne reprend l'enquête.
I veckans Stil ska vi ägna oss åt fåfänga och fotografi, genom att titta närmare på den franske fotografen Nadar en lång man med eldrött hår och skägg, och lika brinnande energi och fantasi. Nadar betraktas som en av 1800-talets allra skickligaste porträttfotografer. Än idag kan man häpna över den nästan tredimensionella effekt han fick fram. Inte minst på sina många kändisporträtt.Ser man idag ett fotografi av dåtidens berömda författare, skådespelare, politiker, modeskapare eller modelejon som får en att nästan vilja sträcka fram handen och försöka ta på personerna ifråga, eller åtminstone känna på deras kläder ja, då är det sannolikt ett fotografi signerat Nadar.Nadar kände alla. Och dessa alla lät sig gärna dokumenteras av just honom. Författare som Emile Zola, Jules Verne, Victor Hugo, George Sand, Guy de Maupassant, Balzac, Charles Baudelaire, till och med en mycket ung Marcel Proust med vit krage och stor rosett om halsen poserade framför hans kamera. Det gjorde också skådespelare och artister som Sarah Bernhardt och Mistinguett, konstnärer som Manet, Monet, Renoir och Degas och en hel drös med kompositörer, vetenskapsmän och politiker.Det var kort sagt dåtidens kulturelit som i mitten av 1800-talet hängde i Nadars stora och rödmålade studio, belägen i en rymlig takvåning i samma hus där han själv bodde med sin älskade fru, Ernestine. Den var strategiskt placerad på paradgatan Boulevard des Capucines, mitt i smeten i Paris. På fasaden lyste namnet Nadar, 15 meter långt i form av jättelika röda bokstäver, upplysta av modernt gasljus.Mot slutet av sitt nästan 90-åriga liv gav Nadar ut en sorts självbiografi med titeln: Quand jétais photographe, det vill säga: När jag var fotograf. Ett av de roligaste kapitlen har rubriken Kvinnliga och manliga kunder, och börjar såhär:Ett par, en man och en kvinna det spelar ingen roll vilken social status de har kommer för att titta på fotografierna jag tagit av dem. Nio gånger, jag skulle faktiskt vilja säga elva gånger av tio, så försjunker hustrun i bilderna av sin man, medan mannen inte alls bryr sig om fotografierna på sin hustru. Han är som helt hypnotiserad av sin egen bild.För om det är någonstans som vår fåfänga kommer fram, så är det just hos fotografen och i veckans program besöker vi fotografen Annika Falkuggla. Till hennes studio kommer människor för att få sitt porträtt taget och som fotograf måste hon alltid förhålla sig till sina kunders fåfänga. Vi tittar också närmare på Oscar Wilds klassiska roman Dorian Grays porträtt, som handlar om en vacker yngling som blir förälskad i sitt eget porträtt. Just nu spelas den som pjäs på Stockholms Stadsteater. Och så undersöker vi vem spornomannen egentligen är.Veckans gäst är Magnus Bremmer, mediehistoriker och ena halvan av Bildningspodden.
It’s time to pull on your favourite slacks as we celebrate the exciting world of the trouser. This week’s theme was inspired by Chinese quartet New Pants, who have become something of a favourite of the show in recent weeks … Continue reading →
durée : 00:51:30 - Les Grandes Traversées - Archives. Arletty, Mistinguett, Edith Biaf, Barbara, Dalida, Jeanne Moreau, Simone Signoret, Catherine Deneuve, Agnès B ou Niki de Saint Phalle racontent leurs approches du spectacle et de la notoriété.