POPULARITY
durée : 01:06:01 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1958, l'émission "Les voix de l'avant-garde" propose un débat sur la littérature de science-fiction. Quelle est son lien avec la science ? Permet-elle une critique de la société ? De Swift et Verne à Bradbury et Efremov, ce débat, avec notamment l'auteur René Barjavel, est illustré de lectures. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Barjavel Romancier; Jacques Bergier; Robert Kanters Critique littéraire, écrivain et directeur littéraire
Lecture par Catherine HiegelLe cycle « À voix haute » invite des comédiens et comédiennes à donner vie à des textes dont les manuscrits sont conservés à la BnF et exposés pour l'occasion.Dans le prolongement de l'exposition Apocalypse. Hier et demain, la comédienne Catherine Hiegel lit des extraits de Ravage de René Barjavel. Par le prisme de ce récit d'anticipation publié en 1943, Barjavel propose une réflexion sur le devenir de la civilisation face aux dérives du progrès technique et scientifique.Lecture enregistrée le 24 février 2025 à la BnF I Richelieu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette série est une collaboration entre Crush et Le Bon Bouquin. Marie-Charlotte et Eugénie décryptent les plus belles histoires d'amour de la littérature. Aux amoureux de l'amour, aux amateurs de littérature, Aux férus de livres et de romans, aux collectionneurs de crushs, Aux cœurs d'artichaut, Aux passionnés de lecture, aux fans de bons bouquins, Aux aficionados de belles histoires, mais pas n'importe lesquelles, À celles et ceux qui parlent d'amour,Ce podcast est fait pour vous.Marie-Charlotte, l'hôte de “Crush” le podcast qui explore la magie des premiers jours des histoires d'amour et Eugénie, l'hôte du podcast “Le Bon Bouquin” qui ravive la flamme de la lecture qui sommeille en chacun de nous, ces deux personnes qui n'attendaient que ça, on finit par se rencontrer pour vous raconter les plus belles histoires d'amour de la littérature. Dans ce deuxième épisode, nous avons choisi de vous parler de La Nuit des temps de René Barjavel, un monument de la littérature française de science-fiction, une merveilleuse histoire qui parle d'humanité, de progrès scientifique, et bien sûr, d'amour. Attention aux âmes sensibles, on ne sort pas indemne de cette lecture !Surtout, n'hésitez pas à mettre plein d'étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et à nous suivre sur nos comptes Instagram https://www.instagram.com/eugenie_lebonbouquin/https://www.instagram.com/crush_lepodcast/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode de cette série spéciale, nous avons choisi de vous parler de La Nuit des temps de René Barjavel, un monument de la littérature française de science-fiction, une merveilleuse histoire qui parle d'humanité, de progrès scientifique, et bien sûr, d'amour. Attention aux âmes sensibles, on ne sort pas indemne de cette lecture !Cette série est une collaboration entre Crush et Le Bon Bouquin. Marie-Charlotte et Eugénie décryptent les plus belles histoires d'amour de la littérature. Aux amoureux de l'amour, aux amateurs de littérature, Aux férus de livres et de romans, aux collectionneurs de crushs, Aux cœurs d'artichaut, Aux passionnés de lecture, aux fans de bons bouquins, Aux aficionados de belles histoires, mais pas n'importe lesquelles, À celles et ceux qui parlent d'amour,Ce podcast est fait pour vous.Marie-Charlotte Danchin, l'hôte de “Crush” le podcast qui explore la magie des premiers jours des histoires d'amour et Eugénie Devregille, l'hôte du podcast “Le Bon Bouquin” qui ravive la flamme de la lecture qui sommeille en chacun de nous, ces deux personnes qui n'attendaient que ça, ont fini par se rencontrer pour vous raconter les plus belles histoires d'amour de la littérature. Surtout, nous vous invitons à mettre plein d'étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée et à nous suivre sur nos comptes Instagram :https://www.instagram.com/eugenie_lebonbouquin/https://www.instagram.com/crush_lepodcast/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Classique parmi les classiques, le podcast revient sur René Barjavel et son Ravage avec la spécialiste Natacha Vas Deyres, Ravage, un roman prophétique ? Ravage est un roman post-apocalyptique ou la civilisation est soudainement anéantie par une panne électrique. Le lecteur assiste médusé à la destruction des villes. René Barjavel (1911-1985) est toujours considéré maintenant comme l'un des plus grands écrivains de science-fiction français. Paru en 1943, le projet est-il poussiéreux et obsolète, véritable produit de son époque, ou parvient-il à résister à l'épreuve du temps ? En une phrase : mérite-t-il toujours ses lettres de noblesse ? Nous analysons les grandes parties du texte avec Natacha Vas Deyres, enseignante et conférencière française, spécialiste d'anticipation et de science-fiction. Notre invitée revient sur la personnalité de René Barjavel et ses spécificités littéraires. Vous écoutez un nouvel épisode de Retour sur un classique de la SF. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui nous recevons Nora Bussigny, journaliste d'investigation au Point pour parler infiltration, culpabilité, et secte.Les ouvrages de Nora Bussigny que Transmission vous recommande : ➡️ "Les Nouveaux Inquisiteurs", Albin Michel (2023) https://www.fnac.com/a17961505/Nora-B...
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Bonnes nouvelles, grands comédiens - Jean Le Poulain dit un texte de René Barjavel : Les mains d'Anicette (1ère diffusion : 24/07/1970)
La sortie de La Planète des Singes - Du Roman aux Ecrans : la Fabuleuse Histoire, sorti chez Pix'n Love Editions est un événement puisque, pour la première fois, un ouvrage francophone retrace et analyse l'entièreté de l'histoire de la saga, à travers toutes les œuvres adaptant l'univers créé par Pierre Boulle. Il fallait forcément que son auteur, Nicolas Allard, vienne s'installer derrière le micro de Cornelius & Zira ! # Cornelius and Zira – Ep# 50 – Entretien avec Nicolas Allard (La Planète des Singes, du Roman aux Ecrans : la Fabuleuse Histoire) Celles et ceux qui ont pour habitude de lire les notes des épisodes de Cornelius & Zira savent qu'il m'arrive parfois de partir complètement en roue libre et de raconter un peu n'importe quoi, histoire que ça vaille le détour (et en partant du principe que quasiment personne ne lit les descriptifs des épisodes de podcasts). Mais là, j'ai un peu la pression ! Parce que, ça se trouve, Nicolas Allard, il va les lire les notes de cet épisode en particulier. Et Nicolas Allard, il est pas juste spécialiste de pop culture et de science-fiction. Il est professeur agrégé de lettres modernes en classes préparatoires et docteur en littérature française. Docteur ! C'est vraiment son titre, contrairement à moi qui suit un vulgaire imposteur ! En plus de ça, vas-y que je fais le mariole à le tutoyer pendant l'enregistrement de l'épisode. Et puis je sais bien que je laisse toujours traîner des coquilles dans mes notes. C'est sûr qu'il va les voir et qu'il va se dire que je suis un sacré branque ! Bon, je me mets probablement une pression inutile, parce que, si vous avez eu l'impression en écoutant cet épisode que Nicolas Allard est super sympa et bien je peux confirmer qu'il est à la ville comme à la scène comme on dit quand c'est qu'on veut faire croire qu'on est culturé. Il m'en tiendra surement pas rigueur.... Attendez ! Ça se trouve, il va croire que j'écris ça parce que je pense qu'il va le lire. Alors qu'en fait j'écris ça parce que je le pense vraiment. Sauf que c'est exactement ce qu'un faux derche écrirait... Ooooh ! Dans quoi je me suis pas embarqué encore ? Je peux pas faire comme tout le monde et écrire des notes qui tiennent en deux lignes et demi ? Eh ben non ! Faut toujours que je veuille faire le malin ! Il faut quand même que je pense aussi à celles et ceux qui liraient ces notes AVANT pour se décider à écouter ou non cet épisode. Alors, je vous rassure tout de suite, on a parlé de plein de choses sérieuses ! On est forcément revenu sur l'histoire de Pierre Boulle et sur le contexte géopolitique pendant lequel il a rédigé son roman (à savoir la décolonisation). On a évoqué René Barjavel, Michael Wilson ainsi que la Controverse de Valladolid . On a parlé du rachat de la 20th Century Fox par Disney. Par contre, on n'a rien dit de La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume, parce que ça, on le fera dans le prochain épisode ! Bim ! C'est pas du teasing de qualité ça ? Bref, si des gens sérieux lisent ces notes, sachez que dans la vérité du vrai monde de la réalité IRL, je suis capable d'être très sérieux, mais Cornelius & Zira, c'est d'abord un fanzine. Audio, certes, mais un fanzine. Donc, on fait ça sérieusement, mais en se marrant. Tant qu'on peut le faire ! Sur ces belles paroles, je vous souhaite une très bonne écoute (si ce n'est pas déjà fait) et je remercie encore très chaleureusement Nicolas Allard pour sa gentillesse et sa sympathie ! A très bientôt les primates !!! podCloud | Apple Podcast | YouTube | Spotify | BlueSky | Mastodon | Le serveur Discord super secret | Twitter | Facebook | Instagram | TikTok
durée : 00:59:34 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Aliette Hovine - En quoi les romans de science-fiction de Barjavel dénoncent-ils le productivisme et la prédation des ressources ? - invités : Natacha Vas-Deyres Chercheuse associée de l'université Bordeaux Montaigne, spécialiste de la littérature d'anticipation; Ugo Bellagamba Écrivain de science-fiction
durée : 00:31:26 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce "Roman de la science", diffusé le 24 avril 1952, les auteurs de science-fiction René Barjavel et Georges Spitz, le journaliste Georges Gallet et l'astrophysicien Jean-Claude Pecker débattent sur les hypothèses d'une fin du monde cosmique. - invités : René Barjavel Romancier; Jean-Claude Pecker
durée : 00:46:46 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Les compositeurs Messiaen, Boulez, Henry et Hodeir, le créateur du Groupe de Recherches de Musique Concrète, Pierre Schaeffer, mais aussi l'écrivain de science-fiction René Barjavel sont les invités de cette série en deux épisodes, "La musique concrète et le 20e siècle", enregistrée en 1952. - invités : Pierre Schaeffer Compositeur, ingénieur, chercheur, théoricien et écrivain français.; René Barjavel Romancier; Pierre Boulez Compositeur, chef d'orchestre et pédagogue français (Montbrison, 1925 - Baden Baden 2016); Pierre Henry Compositeur français, pionnier de la musique électroacoustique (Paris, 1927 - 2017); André Hodeir Violoniste, compositeur, arrangeur, musicologue, écrivain (1921, Paris - 2011, Paris); Olivier Messiaen Compositeur français (Avignon 1908 – Clichy 1992)
Meow. It's The Leopard! Get ready for another ball, it won't be the last. Charlie and Antonio watch Luchino Visconti's 1963 Italian epic; can they handle all this opulence?Intro/outro music: Excerpt from 'The Tree of Life' by Alexandre Desplat.THE LEOPARD (1963), Italy and France, written by Luchino Visconti, Enrico Medioli, Massimo Franciosa, Suso Cecchi d'Amici, Pasquale Festa Campanile, and René Barjavel, directed by Luchino Visconti, cinematography by Giuseppe Rotunno, featuring Burt Lancaster, Alain Delon, and Claudia Cardinale.
durée : 02:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Frédéric Christian - Avec Michel Demuth, Jacques Goimard, Jacques Van Herp, Henri Dessens, Christine Renard, Jacques Sadoul, Robert Kanters et René Barjavel
Qu'est-ce que La nuit des temps de René Barjavel ? L'homme existait-il déjà il y a un million d'années ? Et si oui, à quoi pouvait bien ressembler le monde à cette époque ? Le nôtre est-il si différent ? Le mythe de l'Atlantide est-il un modèle à suivre ou, au contraire, un exemple à ne pas imiter ? Platon peut-il nous aider à répondre aux questions de Barjavel ? Become a member at https://plus.acast.com/s/kosmos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Guillaume Néry est champion du monde de plongée en apnée. Depuis sa terrasse en Polynésie française, il nous raconte sa passion pour la littérature et nous fait découvrir La faim du tigre, un essai métaphysique de René Barjavel dans lequel il ne cesse de se replonger. Dans ce livre, il trouve les mots qui décrivent l'émerveillement infini qu'il ressent face à la nature. En fond, vous entendrez le chant des grillons et celui des vagues s'écrasant sur le récif.Le Book Club est un podcast présenté par Agathe Le Taillandier. Guillaume Néry répond aux questions de la journaliste Camille Bourleaud. Bénédicte Gilles a monté cet épisode. Il a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. Louise Hemmerlé est à l'édition et à la coordination du Book Club, accompagnée d'Elsa Berthault. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dix ans après la formation de son supergroupe Supersonic, satellisé dans l'orbite de Sun Ra, le saxophoniste-chanteur Thomas de Pourquery reprend les commandes du vaisseau amiral dont Back To The Moon marque le troisième décollage. Où l'on croise Mingus, une histoire d'amour, E.T., Caetano Veloso en kikongo, un robot et des chansons épiques. Visez la Lune. Quand il a décollé en avril 2021 vers la Station spatiale internationale, l'astronaute Thomas Pesquet a embarqué dans ses bagages une playlist concoctée par FIP. Y figurent notamment Space Cowboy de Jamiroquai et Walking In Space de Gal MacDermot, mais aussi Yes Yes Yes Yes de Thomas de Pourquery et Supersonic, titre du nouvel album du supergroupe, Back To The Moon. Retour sur la Lune, donc, pour le saxophoniste-chanteur qui vit la tête dans les étoiles depuis que son père lui a dit, quand il était encore enfant : « Si tu veux aller sur la Lune, vise la plus lointaine des galaxies. » Le vaisseau amiral Supersonic a été assemblé en 2011, six décennies après que Sun Ra satellisa l'album Super-Sonic Jazz en prétendant débarquer de Saturne. La formation fête donc ses 10 ans, longévité pas si fréquente avec une escouade fidèle : Laurent Bardainne, Fabrice Martinez, Arnaud Roulin, Frederick Galiay et Edward Perraud, dream team dont les noms apparaissent depuis longtemps, comme leaders ou sidemen, sur des projets qui font exploser les frontières entre jazz, rock progressif, pop ouvragée, funk psychédélique, musique contemporaine, électronique, africaine, etc. – la liste est infinie, s'agissant de créateurs érudits mais curieux de tout. Thomas de Pourquery & Supersonic Play Sun Ra (2014) puis Sons Of Love (2017) ont marqué les esprits du public et de la critique, et fourni le carburant de lives où la sophistication des compositions et la virtuosité des solistes se combinaient à l'excentricité et la communion, dans une ambiance de grand-messe païenne. Jamais deux sans trois, l'épopée ne pouvait pas en rester là. Retour sur la Lune, donc. Aussi loin qu'il s'en souvienne, Thomas de Pourquery s'est toujours passionné pour l'astronomie, autant qu'il s'est enivré de voyages – terrestres ou spirituels à défaut d'être cosmiques. L'espace et les grands espaces aspirent Back To The Moon avec d'autant plus de souffle que la pandémie nous cloue au sol. Mais la genèse de l'album précède la crise. Il puise une partie de son inspiration dans The Bride, un court-métrage réalisé en 2018 par Vincent Paronnaud aka Winshluss (co-auteur de Persépolis avec Marjane Satrapi) qui met en scène Supersonic dans un monde post-apocalyptique hanté de zombies, sur une BO signée par le groupe en fusion noise. Il intègre aussi la collaboration initiée en 2018 avec des musiciens congolais, dans la foulée de concerts donnés à Pointe-Noire et Brazzaville. Enfin, les compositions sont imprégnées par une histoire d'amour concomitante à leur exaltation lyrique. C'était avant qu'un virus percute cette trajectoire enchantée. Les paroles, écrites durant le premier confinement, invoquent parfois la lumière au bout des ténèbres, entre surréalisme et futurisme – Pourquery cite Federico Fellini et René Barjavel comme des influences possibles. Enregistré en juillet 2020 au studio parisien Question de Son, capté dans les conditions du live mais fignolé en post-production et au mixage, Back To The Moon est propulsé par l'introductif Take-Off (Décollage), avant de prendre sa vitesse de croisière avec Joy qui suggère la sérénité d'une orbite interstellaire, sur une mélodie à rapprocher – sans le faire exprès – du thème de John Williams pour E.T., l'extra-terrestre de Steven Spielberg. Suit Back To The Moon, l'alunissage après lequel l'équipage semble capter les fréquences radio d'un thème de bebop. Entrecoupé par trois miniatures où des papillons volètent, le voyage alterne une plage méditative (Jungle), une marche glissant vers Mingus (Wolf Smile), une ascension épique (I Gotta Dream), une discussion avec un robot (Venusian Boys), un tube pop (Yes Yes Yes Yes) et une chanson crépusculaire (Bring Me Back The Day), ainsi qu'une étourdissante reprise de Caetano Veloso (O Estrangeiro) avec deux percussionnistes congolais et sur des paroles en kikongo dans la voix de Berléa Bilem – « Si tu n'arrives à communiquer avec un autre monde, change de comportement », dit-elle en substance. L'énumération donne une idée du foisonnement d'un tel album, à l'écoute duquel s'éprouve l'ivresse de l'apesanteur. Ce space opera, qui emballe l'aventure cosmique de poésie et de lyrisme, dégage l'horizon de nos existences entravées. Lumière au bout du tunnel, Back To The Moon peut alors se lire suivant une autre traduction : dos à la Lune, face au Soleil. Titres joués, extraits de l'album Back to the Moon (Lying Lions Prod 2022) Yes yes yes yes O Estrangeiro (Caetano Veloso) en kikongo Back to the Moon voir le clip Lullaby Sunrise. Concert anniversaire 4 novembre 2022 au Trianon, Paris. ► album Back To The Moon (Lying Lions Prod 2021). Puis nous recevons le Wati Watia Zorey Band pour la sortie du 2ème album Déliryom mixé par Jean Lamoot. Ce collectif est issu de la rencontre entre Moriarty et Marjolaine Karlin, suite à leurs nombreux voyages sur l'île de La Réunion. Se sont joints à eux deux musiciens d'horizons nouveaux. Tous se sont passionnés pour cette langue et sa musicalité. Leurs amis communs sont Christine Salem et Danyèl Waro. Occupés à leurs différents projets respectifs, ils ont pris le temps d'affiner leur hommage : 11 titres et une longue infusion dans la langue poétique et insoumise d'Alain Péters (monument de la musique réunionnaise, une idole locale, et qui plus est, les rythmes de l'océan Indien sont réputés injouables, incompréhensibles pour les non-locaux. Il fallait être plusieurs pour poursuivre les dialogues entamés par Alain Peters, nous sommes six : 2 chanteuses et 4 instrumentistes, pour retracer la descente d'un ange aux Enfers. Titres interprétés au Grand studio Mon Pois l'est au feu Live RFI Rèt'pri, extrait de l'album Deliryom Evariste Siyèd'lon (René Geoffroy-Kan'nida) Live RFI voir le clip Panier su la tête, ni chanté (Alain Peters) Live RFI voir le clip. Musiciens : Rosemary Standley, chant ; Marjolaine Karlin, chant ; Jennifer Hutt, violon ; Chadi Chouman, guitare ; Salvador Douezy, percussions ; Gérald Chevillon, sax basse. Son : Benoît Letirant & Fabien Mugneret. ► album Déliryom (Zamora 2022).
Barjavel, précurseur de la science-fiction française nous offre avec Ravage une dystopie qui prend aujourd'hui la tournure d'un futur bien plausible. Ce récit retrace la fuite de Paris mise à feu et à sang comme un voyage initiatique plein de rebondissements. Si le roman se veut critique sur ce monde futuriste, entassé dans des villes immenses où chacun se rêve une star, c'est qu'il vient questionner notre rapport à la science et au progrès. L'homme dépendant des machines ne sait plus vivre sans elles - il apprend à survivre. Le texte de ce fragment est à retrouver sur le site fragmentslus.com René Barjavel, Ravage - Éditions Denoël 1943 Crédits musique : Calore Umano - Redo Lucchetti ©Picci 1972
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1962, l'émission "Connaître le cinéma" abordait le thème "Le rêve et la poésie au cinéma" à travers le film de Kenji Mizoguchi "Contes de la lune vague après la pluie". Jean Mitry était entouré de Claude Belly, Marcel Martin et Paul-Louis Thirard. - invités : René Barjavel romancier
« Incontrôlable » : c'est ainsi que La Dépêche du Midi qualifie en première page le gigantesque feu de forêt qui ravage la Gironde. 150.000 hectares sont partis en fumée, soit 1.500 km2, l'équivalent de Paris et sa proche banlieue. « Dans les colonnes de fumées qui strient la Gironde, il y a comme un parfum de Ravage, soupire La Dépêche, Ravage, ce livre de René Barjavel où un immense incendie signait la fin d'un monde. (…) Serions comme dans ce roman sur le point de bascule d'un monde à l'autre ? (…) Ce qui est certains, pointe La Dépêche, c'est que le dérèglement climatique est bel et bien à l'œuvre. Nous vivons dans une région tempérée qui risque fort de ne pas le rester. » « L'impression d'être dans un film catastrophe », renchérit Libération. « La réalité nous saute à la figure et les frissons d'angoisse ne sont plus du cinéma : l'Europe suffoque et les incendies se multiplient, ravageurs. (…) Comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Des vagues de chaleur de plus en plus denses et répétées. Des moyens matériels insuffisants et trop anciens (…). Et des cultures qui favorisent le développement des incendies. Il n'est pas anodin que les deux gros feux en cours concernent des forêts de pins : pins d'Alep en Provence, pins maritimes dans les Landes. » Et « si le pin est un arbre très inflammable, il a la particularité de se régénérer vite, à condition que les incendies ne se répètent pas à intervalles trop proches. En gros, en sylviculture comme dans beaucoup de secteurs, le changement climatique va imposer de faire des choix. Et vite. » En guerre ! Car « nous sommes en guerre », s'exclame La Charente Libre. « Voir la dune du Pilat prendre les allures d'un volcan en éruption, découvrir l'exode des riverains de ce petit paradis qui semblait protégé de tout, a au moins un avantage. Le même que celui mettant Brest sous 40 degrés : chacun prend conscience de ces ravages qui n'épargnent personne. Les Français sont prêts à en tirer les conséquences pour que la fournaise d'hier ne soit pas le quotidien de demain. Les politiques, eux, se montrent trop prudents dans leurs décisions, déplore le quotidien charentais, mais se rendent à l'évidence : ce qui est punitif, c'est une trop grande inaction climatique. Ce n'est pas une vue de l'esprit mais la conclusion d'un rapport du Conseil d'Analyse Économique, peu suspecté d'être une ONG militante puisque diligenté par Matignon. » Le bide de Biden au Moyen-Orient A la Une également : la visite de Joe Biden au Moyen-Orient… « Maigre bilan », commente La Croix. « Il y a un an tout juste, Joe Biden promettait un retour des États-Unis sur la scène internationale, après une présidence Trump toute en rodomontades (…). Aujourd'hui, cette ambition apparaît plus que jamais dépassée. Si le président américain s'est rendu dans le Golfe, c'est qu'il a besoin d'une production plus abondante de brut pour faire baisser les prix élevés du carburant, qui plombent les perspectives de son parti avant les législatives de novembre. Et parce qu'il craint que la Chine, la Russie ou l'Iran n'occupent la place laissée libre par les États-Unis. » Et La Croix de s'interroger : « que reste-t-il de ces quelques jours passés en Israël, dans les Territoires palestiniens et en Arabie saoudite ? » Réponse du journal : « rien ou presque concernant les droits de l'homme, le conflit israélo-palestinien ou même le prix du pétrole. Seule demeure la promesse de Washington de verser un milliard de dollars en soutien à la sécurité alimentaire 'à court et à long terme' au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. En guise de nouvelle 'vision' pour la région, c'est bien peu. » Le Monde est sur la même ligne : « la tournée que Joe Biden a effectuée au Moyen-Orient avait pour objectif principal de réaffirmer la volonté d'engagement de son pays dans une région où il n'a cessé d'accumuler les déconvenues. Au terme de cette visite, une évidence s'impose : elle n'a fait que des déçus. (…) Le président des Etats-Unis a accumulé les déconvenues en Israël, en Cisjordanie et en Arabie saoudite. Comptable des erreurs stratégiques de ses prédécesseurs, il y a ajouté les siennes. »
Pour ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Laura Bokobza ! Il faut savoir que Laura avait un rêve enfant : devenir prix Nobel de chimie. Elle est issue d'une famille où l'exigence universitaire est un prérequis, donc elle a poursuivi son rêve jusqu'à se rendre compte que la Recherche allait fortement l'ennuyer. C'est donc dans le monde de l'entreprise, du côté du marketing et du top management qu'elle va s'épanouir et faire de nombreuses rencontres qui vont lui permettre, de fil en aiguille, de prendre des responsabilités de plus en plus importantes. Aujourd'hui elle a quitté le monde des multi-nationales et de Paris pour devenir Sparring Partner à Bordeaux. Une nouvelle vie qu'elle nous partage tout au long de cet épisode. Je vous laisse découvrir le parcours atypique et hors du commun de Laura, elle est la personne du "comment" délivrer le "pourquoi" des dirigeants de start-ups et PME. Notes et références de l'épisode : Pour retrouver Laura : Sur LinkedIn Le site internet de lbk consulting Références de l'épisode : Livre La nuit des temps de René Barjavel Livre Ravage de René Barjavel
Episode 19 : L'environnement et les fictions de l'imaginaire Ariel Kyrou, invité vedette de cette émission Gaïa se meurt ! L'urgence environnementale est désormais un thème récurrent qui rythme nos vies : réchauffement climatique, artificialisation des sols, montée des eaux, pollutions, risques nucléaires, extinction d'un grand nombre d'espèces vivantes. L'humanité fonce droit dans le mur. La prise de conscience a gagné du terrain, mais elle n'est pas encore généralisée.Face à ce désastre, que nous disent les fictions de l'imaginaire ? Elles n'ont pas attendu les accords de Paris pour nous parler d'environnement. Nous revenons ici sur leur rôle de lanceur d'alerte, mais également sur la diversité des solutions mises en lumière. Sur la question environnementale, les créateurs de fiction se politisent et viennent se heurter aux discours politiques et économiques. Invité Ariel Kyrou, journaliste et essayiste, grand spécialiste du traitement de la thématique environnementale dans les littératures de l'imaginaire. On lui doit notamment l'ouvrage Dans les imaginaires du futur publié chez ActuSF. Avec vos chroniqueurs de Mana & Plasma : Nausicaah Winny Taniguchi Marc Ang-Cho Miroirs SF Musiques Générique d'ouverture et générique d'outro par MlkPlus Musiques des films de La Planète des singes, Soleil vert, Don't look up, Seul sur mars Références d'auteurs et d'œuvres citées : Don't Look Up : Déni cosmique d'Adam McKay, Les Furtifs d'Alain Damasio, Wall-E de Andrew Stanton, Les pouvoirs de l'enchantement d'Anne Besson, cycle Le Monde réel de Louis Aragon, ABC Dick et Dans les imaginaires du futur d'Ariel Kyrou, Nos Futurs Solidaires (collectif), La Fille automate de Paolo Bacigalupi, Ravage de René Barjavel, La Servante écarlate de Margaret Atwood, Gros Temps de Bruce Sterling, La Schismatrice de Bruce Sterling, Les Témoins du futur de Camille de Toledo, Catherine Dufour, Black Mirror de Charlie Brooker, Interstellar de Christopher Nolan, La Route de Cormac McCarthy, Le Silence des abeilles, documentaire de Doug Shultz, Silent running de Douglas Trumbull, Écotopia d'Ernest Callenbach, Dune de Frank Herbert, Star trek de Gene Roddenberry, Horizon Forbidden West de Guerilla Games, Guy Debord, Sécheresse de J. G. Ballard, Adastra de James Grey, Jean Baudrillard, Borne et Trilogie du Rempart Sud de Jeff Vandermeer, Ciel de Johan Elliot, John Brunner, Kra : Dar Duchesne dans les ruines de l'Ymr de John Crowley, Star Wars, le livre de Boba Fett de Jon Favreau, La Cité de perle de Karen Traviss, 2312, Aurora, LaTrilogie de Mars, Les 40 signes de la pluie, 50° au-dessous de zéro et 60 jours et après, New York 2140 de Kim Stanley Robinson, « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins » citation de Louis Blanc, L'Arbre-Monde de Richard Powers, La Planète des singes de Pierre Boule, Au Bal des actifs Demain le travail (collectif), Résolution de Li-Cam, Sisters of the Vast Black de Lina Rather, La Couleur tombée du ciel de H. P. Lovecraft, La Vague montante de Marion Zimmer Bradley, China Miéville, Hayao Miyazaki, cycle Les Livres de la terre fracturée de N. K. Jemisin, Blade runner de Ridley Scott, Phillip K. Dick, L'Entraide de Pierre Kropotkine, la Red Team, 2012 de Roland Emmerich, Sabrina Calvo, Soleil vert de Harry Harrison, Ce qui reste de nous - Et autres poèmes, nouvelles, récits d'exils... (Collectif d'auteurs), A.I. Intelligence artificielle, E.T, l'extra-terrestre, Ready player one de Steven Spielberg, Collision par temps calme de Stéphane Bauverger, Les Dépossédés de Ursula Le Guin, Autobiographie d'un poulpe de Vinciane Despret, Neuromancien de William Gibson, Emile Zola. N'oubliez pas de nous retrouver sur tous les réseaux, sur Discord et sur toutes les plateformes d'écoutes ! Liens directs depuis (https://manaetplasma.com) !
On met un peu de temps à lire La nuit des tempsAuteure des textes : Sophie AstrabieDirection Editoriale: Pénélope BoeufVoix : Pénélope BoeufProduction : La Toile Sur Écoute Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
It's time for us to start our three-episode look at Victor Hugo's Les Misérables, which concludes in our 100th episode! With today's episode 98, we're look at the book, and six major French- and English-language adaptations from 1934 to 1967. In this episode we discuss: Victor Hugo's original 1862 novel The 1934 French three-part movie, directed by Raymond Bernard, written by Bernard and André Lang, and starring Harry Baur and Charles Vanel The 1935 American movie, directed by Richard Boleslawski, written by W.P. Lipscomb, and starring Fredric March and Charles Laughton The 1937 American radio drama, directed by, written by, and starring Orson Welles The 1952 American movie, directed by Lewis Milestone, written by Richard Murphy, and starring Michael Rennie, Robert Newton, and Edmund Gwenn The 1958 French movie, directed by Jean-Paul Le Chanois, written by Michel Audiard and René Barjavel, and starring Jean Gabin and Bernard Blier The 1967 British television series, directed by Alan Bridges, written by Giles Cooper and Harry Green, and starring Frank Finlay and Anthony Bate Footnotes: Les Misérables and France's Many Revolutions from Khan Academy You can follow Adapt or Perish on Twitter, Instagram, and Facebook, and you can find us and all of our show notes online at adaptorperishcast.com. We're also on Patreon! You can find us at patreon.com/adaptcast. We have multiple reward levels, which include access to a patron-only community and a patron-only, biweekly bonus show! We hope to see you there. If you want to send us a question or comment, you can always email us at adaptorperishcast@gmail.com.
Chaque semaine, Fanny Ruwet résume le livre qu'elle lira la semaine suivante et pour cela elle imagine le contenu de l'ouvrage à partir du seul titre. En résulte une séquence absurde et incarnée aussi drôle qu'efficace, en deux ou trois minutes.Crédits :Ecriture : Lisa Delmoitiez et Fanny RuwetRéalisation : Léa Marchetti et Fanny RuwetProduction : Léa MarchettiEnregistrement : Charles De CilliaMontage et mixage : Charles De CilliaDirection artistique, musique et son : Charles De CilliaLancements : Gérémy CredevilleLieu d'enregistrement : La Nouvelle Seine et le Barbès Comedy ClubEmpreinte Magnétique :Instagram : https://www.instagram.com/empreintemagnetique_/Twitter : https://twitter.com/homeFacebook : https://www.facebook.com/Empreinte-Magnétique-103824635146012 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elea poursuit le récit de Gondawa, et des événements qui l'ont conduite dans la capsule de temps. Comme je sors d'une terrasse au jour de leur réouverture, pourquoi ne pas siroter ensemble le cocktail par lequel j'ai célébré cet autre événement ? Un Charlie Chaplin, très équilibré : Gin, abricot, citron vert. La pluie qui claquète en fond sonore. Cheers!
De Mange Machine
Voum ... Voum... voum Voum voum voum voum
Le visage !
Le débat fait rage : faut-il ou non réveiller les "êtres du passé" ? Quelles nations pourront en tirer profit ? L'ONU est-elle toute puissante ? Les scientifiques du pôle ont leur avis...
Où enfin, la porte cède...
Poursuivons la découverte de la Sphère par les savants au Pôle sud... Barjavel affine le suspens, nous conduire pas à pas vers une révélation dont la portée est accentuée par l'attente. Et les dangers qui nous en séparent. Un podcast à écouter avec un thé bien chaud, en écoutant le violon d'Hillary Hahn. Cheers!
Il y a une magie Barjavel qui est la magie de la simplicité ample. Une évidence tellurique et tellement entraînante. Parce que les personnages sont construits sur des caractéristiques très marquées sans être primaires, on les suit comme des icônes. Et en même temps, c'est parfaitement justifié : comment expliquer leur mission d'isolement au Pôle Nord sans une force d'âme hors du commun ou une compétence rare ? Nous sommes ici dans les ondulations majeures de la vie, dans les grands projets de l'humanité, pas dans le nombrilisme psychanalytique du Club (que j'aime tellement tellement par ailleurs !) Et la découverte des scientifiques est à la mesure de cette amplitude. Un podcast à écouter avec du Beethoven, pour rester dans les grandes ondes de l'émotion, et en sirotant un alcool franc et unanime, un Lagavulin 16 ans tenez. Cheers!
Roman qui a bercé mon enfance et m'a probablement fait sentir les prémices de la littérature, celle qui allait m'emmener bien plus loin que le murs de l'école. Le style simple, les personnages immédiats, l'histoire d'amour éternelle : tout est un miracle d'évidence et d'universalité. Et c'est peut-être ici que le talent de Barjavel prend corps, dans le privilège accordé à l'histoire plutôt qu'au style, mais une histoire aussi forte que simple, tout en évitant les pièges des clichés. Bref : Barjavel sous nos yeux crée un mythe. Un podcast à écouter avec un grog, bien sûr, fumant et parfumé, tout en écoutant un autre classique français, Debussy et sa suite bergamasque par exemple. Romantique et troublante. Cheers.
durée : 00:58:58 - Toute une vie - par : Romain Weber - René Barjavel est né en 1911 à Nyons, dans la Drôme. Ses parents sont boulangers, ses grands-parents agriculteurs, mais il préfère les appeler “paysans”. Des racines rurales, manuelles, dont il s’arrache avec tristesse, lui qui part étudier à la ville et écrire à Paris. - réalisation : Yvon Croizier
"Se qualcuno viaggiasse indietro nel tempo uccidendo suo nonno prima che concepisca suo padre, quel qualcuno come farebbe a esistere?" si chiedeva Renè Barjavel nel 1940 inventando di fatto il famoso paradosso. I viaggi nel tempo, sono materia complicata. Tipo: "Che succede se cambio qualcosa?" Benvenuti nel paradosso del nonno. Il re degli enigmi del viaggio nel tempo.
durée : 01:10:03 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Youri - Avec Jacques Bergier, Robert Kanters, René Barjavel et Pierre Devaux - Réalisation Gérard Herzog - réalisation : Virginie Mourthé
René Barjavel, Incontro con Lorenzo Flabbi, Marco Federici Solari e Claudia Romagnuolo, L’Orma editore per la traduzione di Sfacelo, le 23 novembre 2019. «Era un odore di mondo che nasce o che muore, un odore di stella.»Francia, 2052. In un futuro ipertecnologico, in cui ogni aspetto dell’esistenza è governato dalle macchine, l’elettricità viene improvvisamente a mancare. Nel giro di pochi giorni incendi devastanti divampano in ogni città e un’ondata di calore senza precedenti fa evaporare le riserve d’acqua. È la Natura violata che si ribella al giogo imposto dall’uomo, non lasciando scampo né possibilità di redenzione. L’umanità si ritrova catapultata in un mondo in cui vige solo la legge della sopravvivenza. Sullo sfondo di una Parigi in balia di bande di sciacalli ed epidemie di colera, il giovane François Deschamps si mette alla guida di uno sparuto gruppo di superstiti: la loro unica speranza è raggiungere l’incontaminata Provenza e rifondare una società libera dai micidiali errori del passato. Scritto nel 1942, sotto i bombardamenti della Seconda guerra mondiale, Sfacelo è un classico della fantascienza che si è conquistato in molti Paesi una fama enorme e duratura e che è tempo di riscoprire anche in Italia. In questa parabola ecologica, sbalorditiva predizione del nostro presente, René Barjavel costruisce un perfetto congegno narrativo dal visionario taglio cinematografico, non risparmiandoci nulla dell’orrore che si sprigiona quando si toglie ogni freno agli istinti più oscuri dell’animo umano.René Barjavel (1911-1985) è considerato il padre della fantascienza francese moderna. Scrittore, giornalista e sceneggiatore di numerosi film, in particolare quelli della saga di Don Camillo, con i suoi romanzi sul viaggio nel tempo, la fine del mondo e i pericoli della tecnologia ha conquistato milioni di lettori diventando oggetto di un culto intergenerazionale. Nelle classifiche dei migliori libri di fantascienza della Storia compaiono regolarmente i suoi Sfacelo e La notte dei tempi. Allergico alle ghettizzazioni letterarie, sosteneva che la fantascienza non fosse un genere, bensì «una nuova letteratura che comprende tutti i generi.
durée : 00:03:24 - La Théorie - par : Mathilde Serrell - Après les temps nouveaux, la chute. écrivait René Barjavel dans son roman dystopique "Ravage". Pour le monde de la culture aussi, l'horizon s'est assombri. Sauf si l'on voit le raisonnement dans le sens opposé ? Après la chute, les temps nouveaux. Et le temps est venu pour la culture d'expérimenter. - réalisation : David Jacubowiez
C'est l'histoire d'un scénario qui n'a jamais été adapté au cinéma : celle d'une découverte scientifique qui pourrait changer l'histoire de l'humanité. C'est une romance intense, comme on en a rarement vu dans une oeuvre de fiction. C'est un chef d'oeuvre de SF qui a anticipé les hippies, Mai 68 et certaines technologies qui existent à notre époque. Aujourd'hui, dans "Culturé & Confiné", (re)découvrez "La nuit des temps" de René Barjavel. Abonnez-vous au podcast pour ne rater aucune épisode du Plan Q Une oeuvre à nous suggérer ? Laissez-nous un commentaire !
Escute agora o último episódio da temporada do Clube do Livro por Antonio Fagundes. No programa, ele fala sobre seu início como leitor, indica livros de autoajuda e ainda abre espaço para as sugestões de leitura de outros atores do elenco de Bom Sucesso. Livros citados no episódio: "o Andar do Bêbado: Como o Acaso Determina Nossas Vidas", de Leonard Mlodinow; "O Poder do Hábito", de Charles Duhigg; "Devastação", de René Barjavel; "De Gados e Homens", "Entre Rinhas de Cachorro e Porcos Abatidos" e "Carvão Animal", de Ana Paula Maia; "Vox", de Christina Dalcher; "Um Estranho Caso do Cachorro Morto", de Mark Haddon e "Conselho de Classe", de Jô Bilac. Ouça e confira!
Tornano i Libri a Colacione, la rubrica di Tutto Esaurito su Radio 105! Questa settimana: Sfacelo di René Barjavel e La teoria dei paesi vuoti di di Mauro Daltin. → Leggi? Ti aspetto su BookBlister! http://www.bookblister.com → Scrivi? Ti aspetto su https://www.berettamazzotta.it
Tornano i Libri a Colacione, la rubrica di Tutto Esaurito su Radio 105! Questa settimana: Sfacelo di René Barjavel e La teoria dei paesi vuoti di di Mauro Daltin.→ Leggi? Ti aspetto su BookBlister! http://www.bookblister.com → Scrivi? Ti aspetto su https://www.berettamazzotta.it
Tornano i Libri a Colacione, la rubrica di Tutto Esaurito su Radio 105! Questa settimana: Sfacelo di René Barjavel e La teoria dei paesi vuoti di di Mauro Daltin.→ Leggi? Ti aspetto su BookBlister! http://www.bookblister.com → Scrivi? Ti aspetto su https://www.berettamazzotta.it
Ouça agora o novo episódio do Clube do Livro. Antonio Fagundes recomenda clássicos da literatura e lê comentários dos ouvintes, que abrem caminho para novas indicações. Livros citados no episódio: "Bíblia"; "Dom Quixote", de Miguel de Cervantes; "Robinson Crusoé", de Daniel Defoe; "Viagens de Gulliver", de Jonathan Swift; "A Noite dos Tempos", de René Barjavel; "Os Miseráveis", de Victor Hugo; Outros livros citados no episódio: "Joyland" e "Jogo Perigoso", de Stephen King; "Longe da Árvore", de Andrew Solomon; "Antonio Fagundes no Palco da História: Um Ator", de Rosangela Patriota e "Furacão Anitta", de Leo Dias. Dê o play!
durée : 00:29:33 - Bonnes nouvelles, grands comédiens - Les mains d'Anicette est un conte de René Barjavel, tiré du recueil "Les enfants de l'ombre", publié en 1946.
Pour ce neuvième épisode de la saison 2, on parle littérature, et plus précisément de "La Nuit des Temps" de René Barjavel (1967). Crédits musicaux : All Night Long / Lionel Richie © Strangers In The Night / Frank Sinatra © Sandstorm / Darude © Amoureux de ma Femme / Richard Anthony © Nights In White Satin / The Moody Blues © Nuit de Folie / Début de Soirée © Nuit Sauvage / Les Avions © Prochain épisode le 7 décembre : "Olympia 98" de Henri Dès (1998) Prochain livre le 18 janvier : "J'irai cracher sur vos tombes" de Boris Vian (1946)
Pour ce huitième épisode de la saison 2, on parle bande-dessinée, et plus précisément de "La Position du Tireur Couché" de Jacques Tardi et Jean-Patrick Manchette (2010). Crédits musicaux : La position du tireur couché "athlétique" / Scopitone is Not Dead © Écris l'Histoire / Grégory Lemarchal © Sa raison d'être / Sidaction © Partir un jour / 2b3 © Le poinçonneur des Lilas / Serge Gainsbourg © Pour moi la vie va commencer / Johnny Hallyday © La semaine prochaine / Marc Lavoine © Prochain épisode le 30 novembre : "La Nuit des Temps" de René Barjavel (1968) Prochaine bande-dessinée le 11 janvier : "Souvenirs d'un jeune homme" de Gérard Lauzier (1983)
Pour ce cinquième épisode de la saison 2, on parle littérature, et plus précisément de "Les Malheurs de Sophie" de La Comtesse de Ségur (1858). Crédits musicaux : Oops, I Dit It Again / Britney Spears © Morgenstimmung - Peer Gynt / Edvard Grieg © Sophie / Charles Aznavour © Je m'appelle Sophie / Sophie © Le Spleen des Petits / Stupeflip © Pass The Courvoisier / Busta Rhymes © Lolita / Alizée © Prochain épisode le 9 novembre : "Qui sème le vent récolte le tempo" de MC Solaar (1991) Prochaine livre le 30 novembre : "La Nuit des Temps" de René Barjavel (1968)
Dix-huitième épisode du CDF. C’est la fin du monde, les deux piliers du comptoir se font défier par le barman, qui s’interroge sur la capacité de l’Homme à rester humain après l’apocalypse. La société s’écroulera-t-elle comme dans Mad Max ? Y aura-t-il un long déclin comme Idiocracy ?… Si vous aimez cet épisode, abonnez-vous à la chaîne, partagez, mettez des pouces verts… En tout cas, c’est ce qu’a fait Deadpool ! Pour vous abonner : http://lc.cx/ZHWc Et suivez-nous sur twitter @lecomptoirdufutur Et sur Facebook https://www.facebook.com/lecomptoirdu... Nos références par ordre de citation Mad Max : Fury Road (Film) - George Miller - 2015 Mad Max (Film) - George Miller - 1979 Terminator (Film) - James Cameron – 1984 Matrix (Film) – Lana et Larry, et Andy Wachowski - 1999 Fahrenheit 451 (Livre) - Ray Bradbury – 1953 Soleil Vert (Film) - Richard Fleischer - 1973 Idiocracy (Film) - Mike Judge – 2006 Spin (Roman) – Charles Wilson - 2005 Les Fils de l’Homme (Film) - Alfonso Cuarón - 2006 Les Dames Blanches (Roman) – Pierre Bordage – 2015 The Walking Dead (Bande dessinée) - Robert Kirkman et Tony Moore - 2003 Walking Dead (Série TV) - Frank Darabont et Robert Kirkman - 2010 Zombie (Dawn of the Dead) (film) - George Romero - 1978 Bitume (jeu de rôle) - Croc - 1984 DayZ (jeu vidéo) – 2012 Ravage (roman) - René Barjavel - 1943 Niourk (Roman) - Stefan Wul - 1957
Dix-huitième épisode du CDF. C’est la fin du monde, les deux piliers du comptoir se font défier par le barman, qui s’interroge sur la capacité de l’Homme à rester humain après l’apocalypse. La société s’écroulera-t-elle comme dans Mad Max ? Y aura-t-il un long déclin comme Idiocracy ?… Si vous aimez cet épisode, abonnez-vous à la chaîne, partagez, mettez des pouces verts… En tout cas, c’est ce qu’a fait Deadpool ! Pour vous abonner : http://lc.cx/ZHWc Et suivez-nous sur twitter @lecomptoirdufutur Et sur Facebook https://www.facebook.com/lecomptoirdu... Nos références par ordre de citation Mad Max : Fury Road (Film) - George Miller - 2015 Mad Max (Film) - George Miller - 1979 Terminator (Film) - James Cameron – 1984 Matrix (Film) – Lana et Larry, et Andy Wachowski - 1999 Fahrenheit 451 (Livre) - Ray Bradbury – 1953 Soleil Vert (Film) - Richard Fleischer - 1973 Idiocracy (Film) - Mike Judge – 2006 Spin (Roman) – Charles Wilson - 2005 Les Fils de l’Homme (Film) - Alfonso Cuarón - 2006 Les Dames Blanches (Roman) – Pierre Bordage – 2015 The Walking Dead (Bande dessinée) - Robert Kirkman et Tony Moore - 2003 Walking Dead (Série TV) - Frank Darabont et Robert Kirkman - 2010 Zombie (Dawn of the Dead) (film) - George Romero - 1978 Bitume (jeu de rôle) - Croc - 1984 DayZ (jeu vidéo) – 2012 Ravage (roman) - René Barjavel - 1943 Niourk (Roman) - Stefan Wul - 1957
Le dernier épisode a traité du livre “Laser: 50 ans de découvertes” de Fabien Bretenaker et Nicolas Treps. Avec eux nous avons appris quasiment tout ce qui est possible de savoir à propos des lasers et de leurs applications, de celles que nous rencontrons dans notre vie de tous les jours à celles incroyables des laboratoires de recherche dans le travaux de pointe sur la fusion, la chimie, etc.Aujourd’hui nous allons parler du livre de Michel de Pracontal “L’imposture scientifique en dix leçons”. J’en avais parlé dans l’épisode 5 de LisezLaScience comme un livre que j’aimerais lire. Et bien je l’ai lu ! Grâce à ce livre on se retrouve plongé dans cette zone grise de la science où il est parfois compliqué de prime abord de savoir à quoi l’on a affaire: science, pseudo-science, charlatanisme, manipulation politico-industrielle ? C’est de tout cela dont nous parle Michel de Pracontal, et à propos duquel il nous entraîne à mieux comprendre ce qu’il en a été d’évènements passés important et à mieux les identifier (les manipulations) quand ils surgiront peut-être demain.L'imposture scientifique en dix leçons - crédit : http://www.amazon.fr - http://goo.gl/mJJ9wESommaireQuelques mots sur Michel de PracontalLe livre “L’imposture scientifique en 10 leçons”Un livre qui n’a rien à voirUn livre que j’aimerais lireUne quotePlugsUn auteurMichel de Pracontal - crédit : http://nouvelobs.com - http://goo.gl/fwgKciMichel de Pracontal est un journaliste qui publie des articles aujourd’hui principalement pour Médiapart où il possède notamment un blog. En tant que spécialiste des sciences et de vulgarisation il y opère en décryptant des sujets scientifiques, des idées reçues et il rend les concepts et les théories compréhensibles aux simples mortels que nous sommes tous face à ces sujets, parfois polémiques, qui défrayent chaque jour un peu plus la chronique dans les médias en quête de sensationalisme.Michel de Pracontal est cannois de naissance. Né en 1954, il possède une formation scientifique avec notamment une maîtrise en mathématiques. Sûrement rapidement attiré par la vulgarisation et le journalisme scientifique il obtient aussi un doctorat en science de l’information sur la vulgarisation scientifique.Médiapart n’est pas le premier média pour lequel il a travaillé. Il a aussi en effet publié pour Science et Vie, L’évènement du Jeudi (pour lequel il avait d’ailleurs couvert l’histoire du sang contaminé) et pour le Nouvel Observateur pendant presque 20 ans (de 1990 à 2009).Mais Michel de Pracontal ne s’est pas arrêté au journalisme et il a aussi été essayiste et romancier. À son crédit on peut citer les ouvrages suivants : “La Mémoire de l’eau” (un livre de vulgarisation paru en 1990 chez La Découverte), “La femme sans nombril” (un polar publié au Cherche Midi en 2005), “Les gènes de la violence” (autre polar publié en 2008 chez le même éditeur), “Kaluchua - Cultures, techniques et traditions des sociétés animales” (un livre de vulgarisation publié chez le Seuil en 2010) ou encore, le livre dont nous allons parler aujourd’hui : “L’imposture scientifique en 10 leçons” publié chez La Découverte en 2001.Comme on peut déjà le pressentir avec ces différents ouvrages dont il est l’auteur, Michel de Pracontal est un amateur des sciences au sens large. C’est une chose que l’on retrouve d’ailleurs dans les sujets qu’il aborde dans ses articles pour Médiapart ou sur son blog : biologie, évolution, météorologie, neuro-sciences, rien ne l’arrête et il arrive à parler de ces sujets sans perdre son lectorat. Qualité incomparable pour quelqu’un qui cherche à vulgariser les sciences pour aider le quidam à s’y retrouver et à ne pas se faire berner par des imposteurs.Un livreAvant-proposAvant de lire ce livre, je ne m’étais pas rendu compte à quel point “L’Imposture scientifique en 10 leçons” de Michel de Pracontal était une oeuvre qu’il était indispensable de connaître quand on s’intéresse aux sciences et au traitement qui leur est offert par la société et les médias.Le style de Michel de Pracontal peut paraître déroutant au premier abord (j’ai été dérouté pour ma part lors de la lecture des premières pages), car il alterne un ton moqueur voire sarcastique dans certains cas (quand les sujets sont légers) avec un ton strict, méthodique et implacable (quand il s’agit d’énoncer des faits et de révéler des impostures qui ont détruit des vies). Il sait aussi garder un fil conducteur entre toutes les impostures qu’il met en lumière (et je ne parle pas ici de cette histoire récurrente d’hémorroïdes) avec cette idée que la science est parfois utilisée à de mauvaises fins en ne servant que de prétexte pour des idées plus noires.Il est bon de noter que la version que j’ai entre mes mains est la version revisitée de 2001. La première édition était sortie en 1986 et celle-ci ajoute un grand nombre de mises à jour et de nouveaux faits concernant des impostures qui ont été révélées entre temps.La revueMichel de Pracontal débute son livre avec tout un passage sur le fait que les imposteurs de la science sont là pour révéler la vérité sur les vraies questions que l’Humanité se pose. Et on comprend que la science ne répond qu’aux questions qu’elle peut tester dans le monde réel par l’expérience et pas à des questions qui restent sans réponse testée, validée et approuvée. On découvre aussi que souvent les imposteurs justifient leurs théories en supposant des causes qui vont permettent d’aboutir à ce qu’ils veulent trouver. Quoi de mieux pour justifier quelque chose que d’en supposer la cause après tout? Qu’elle soit aussi peut existante que le résultat n’est pas grave d’ailleurs … Ces imposteurs sont d’ailleurs capables de tout relier, dans une théorie holiste dont personne n’aurait compris l’existence avant eux et ceci même si ils n’ont pas de preuve “en béton” pour le prouver. Ceci fait d’ailleurs souvent d’eux, les nouveaux Gallillée, Einstein ou Darwin (et ceci même si ils cherchent à les détruire soit-dit en passant).Dans sa leçon suivante, Michel de Pracontal donne différents exemples qui naviguent du loufoques au très sérieux (et dangereux) comme par exemple les Isolation Tanks de John Lilly permettant de réaliser des Out Of Body Experiences. Richard Feynman en parle d’ailleurs dans son livre “Surely, you’re joking Mister Feynman où il explique son expérience de ces Isolation Tanks et ce qu’il a ressenti.De cet exemple Michel de Pracontal ressort différentes règles qu’il arrive à valider avec les autres cas qu’il décrit comme par exemple l’usage du QI pour la sélection des immigrants en Angleterre ou aux États-Unis (halluciant), ou pire, pour la stérilisation des plus “bêtes et ignares” aux États-Unis (encore plus dingue).Dans la troisième leçon, Michel de Pracontal aborde un sujet cher à certains des Alter-scientifiques que décrit Alexandre Moatti dans son livre au nom quasiment éponyme “Alterscience” : le rejet de la science dite “officielle”. On découvre ainsi des théories aussi variées que farfelues à propos de l’évolution de la Terre, la sempiternelle remise en cause des idées de Darwin à propos de l’évolution et de la sélection naturelle ou encore la magnifique mémoire de l’eau. “Découverte”, et je mets des guillemets, du Docteur Benveniste qui revient encore aujourd’hui à la télé avec un reportage passé sur France 5 un soir très tard dont j’ai vu la fin vers 1h du matin une nuit où je ne dormais pas dans lequel le fait Luc Montagnier s’y intéresse justifie la véracité de ce qui est expliqué dans le documentaire.Dans la quatrième leçon on apprend que les imposteurs s’adressent plutôt à leurs concitoyens à travers des médias de masse comme la télé par exemple, plutôt qu’à leurs pairs à travers des revues à comité de lecture. Parfois cela vient du fait que les scientifiques remettraient en cause ce qui est dit et qu’il serait dommage de devoir justifier ce qui ne peut l’être. D’autres fois c’est pour poursuivre une quête de reconnaissance qu’il est compliqué d’acquérir avec les pairs et de pouvoir affirmer au monde qu’on est le meilleur.On découvre ainsi comme a été annoncée l’histoire de la Fusion Froide découverte par Fleischmann et Pons et comment le soufflet est retombé. Enfin pas complètement, il existe encore aujourd’hui des conférences sur le sujet malgré les preuves d’impossibilité du phénomène présenté qui ont été données de par le monde depuis. On peut aussi s’interroger, comme le fait Alexandre Moatti, dans son livre que des hommes politiques de la stature de Kofi Annan, à l’époque où il était secrétaire général de l’ONU, puissent tomber dans de telles supercheries.Quand on arrive à la cinquième leçon on apprend aussi qu’une bonne façon de devenir un imposteur en science est tout simplement de modifier les faits pour qu’ils collent à la théorie. Michel de Pracontal en parlait déjà dans une leçon précédente concernant le QI, il en parle ici plus précisément concernant l’histoire de l’Homme de Piltdown découvert en Angleterre par Charles Dawson, Arthur Smith Woodward et aussi Pierre Teilhard de Chardin. Enfin découvert. Plutôt inventé! Car il s’est finalement avéré que les preuve fournies étaient fausses. Michel de Pracontal fait d’ailleurs extensivement référence à l’ouvrage de Stephen Jay Gould où ce dernier traite longuement du sujet : “Quand les poules auront des dents”.Autre fait intéressant associé, on découvre aussi les manipulations sur les données qui ont été réalisées autour des recherches de Mendel concernant les gènes qu’il réalisa grâce à l’étude de caractères morphologiques des pois et leur transmission. C’est un point que Vincent Guidice décrit d’ailleurs assez bien dans l’épisode 161 de Podcastscience sur l’ADN qu’il avait réalisé. Les données étaient ici à priori modifiées pour coller au mieux à la théorie. Mais à la différence de l’Homme de Piltdown, ici la théorie était correcte. Je vous laisse écouter le podcast pour en savoir plus.Dans la sixième leçon, Michel de Pracontal prend du temps pour nous parler de l’histoire du SIDA et du sang contaminé qu’il couvrit pour le compte de l’Évènement du Jeudi pour lequel il travaillait à l’époque de l’affaire en temps que chroniqueur scientifique. Il nous explique en détail la découverte de la maladie, le travail des équipes américaines et notamment celle menée par Bob Gallo et celle de l’équipe française de Luc Montagnier, François Barré-Sinoussi et consort. On apprend les coups sous la ceinture qui ont été donnés, comment la politique s’en est mêlée autant aux États-Unis qu’en France (avec un impact plus négatif en France). Robert Gallo ne semble pas tout blanc dans son traitement des échanges qu’il a pu avoir avec l’équipe française quand à la découverte du SIDA et de l’annonce correspondante.Et puis il y a les tests de dépistage. Parce que découvrir le SIDA en laboratoire c’est bien. Pouvoir dépister les porteurs du virus pour qu’ils puissent recevoir des traitements qui restent encore à mettre en place et limiter la propagation du SIDA sont des choses indispensables. Pour une problématique de santé publique, mais aussi et surtout pour une problématique industrielle et financière. Et malheureusement c’est cette dernière qui va être retenue et qui va mener à l’affaire du sang contaminé en France. Michel de Pracontal explique en effet (ou tout du moins c’est ce que j’ai compris) que le retard de l’Institut Pasteur par rapport aux américains dans la mise au point d’un test fonctionnel, vendable et dont la production serait industrialisable, à empêcher le dépistage de poches de sang contaminées par le VIH, malgré le fait que le Centre National de Transfusion Sanguine sache qu’un risque existât à l’époque.Dans la septième leçon, Michel de Pracontal nous parle du lien qu’il existe entre certains imposteurs scientifiques et la religion. On apprend comment certains phénomènes poussent certaines personnes à supposer des choses impossibles afin de faire rentrer des carrés dans des ronds avec la science et la religion. Que ce soit en biologie avec les notions de plan de construction pour les êtres vivants, le Tao de la Physique de Frank Capra, l’Ordre impliqué remise au goût du jour grâce à la notion d’Univers Holographique, l’hypothèse Gaïa de Lovelock, la Noogenèse de Teilhard de Chardin, ou encore le principe anthropique avec l’Homme comme objectif de l’Univers.Avec sa huitième leçon, Michel de Pracontal nous plonge dans le monde fantastique du paranormal que décortique d’ailleurs avec succès Jean-Michel Abrassart dans son podcast “Scepticisme Scientifique”. On découvre ainsi l’histoire d’Eusapia Palladino, qui savait faire voler des tables et qui en aura mystifié plus d’un grâce à ses prétendus pouvoir spiritiques. Ou encore Joseph Rhine et la parapsychologie qu’il tenta de rendre scientifique tout en se faisant, selon les mots même de Pracontal, “rouler dans la farine par des collaborateurs sans scrupules”. Michel de Pracontal présente d’ailleurs les travaux réalisés par Henri Broch sur le psi et le fait que plus on fait d’étude, moins il existe (ou plus on se rend contre des supercheries peut-être ?). Il est d’ailleurs intéressant de voir comment l’aspect non-intuitif de la mécanique quantique a fait ressusciter certaines théories paranormales qui voit dans cette physique déroutante la source de tout ce que ces théories n’arrivaient pas à prouver jusque-là. Ceci malgré le fait que la plupart des physiciens rapprochent l’idée des psiristes selon laquelle l’esprit pourrait influencer les mesures réalisées à celle “des tables tournantes du XIXème siècle”.Dans sa neuvième leçon, Michel de Pracontal présente l’un des plus importants ressorts des imposteurs : l’usage exagéré de termes scientifiques à tout va, créant un galimatias incompréhensibles qui permet de couvrir d’une couche scientifique un discours qui s’avère, au mieux vide de sens, au pire totalement faux et contraire à ce que la science énonce comme faits prouvés par l’expérience. Ainsi on navigue entre mots ayant des doubles sens, métaphores abusives, analogie incongrues, référence au sens commun pour justifier n’importe quoi, utilisation de termes du langage courant dans des sciences qui leur donnent un sens tout autre. Michel de Pracontal fait d’ailleurs référence au livre “L’âge du capitaine” de Stella Baruk concernant le cas particulier des mathématiques pour ce dernier point.Michel de Pracontal fait aussi référence au fameux article d’Alain Sokal qu’il avait fait publié dans une revue américaine nommée SocialText malgré le fait qu’il fut vide de sens et rempli de termes utilisés de manière abusive. Le but de l’article de Sokal était justement de démontrer les torts possibles quand la science est utilisée pour donner une assurance de valeur. C’est d’ailleurs quelque chose qu’Alain Sokal et Jacques Bricmont ont par la suite dénoncé (l’usage par l’article) dans un ouvrage intitulé “Impostures intellectuelles” qu’il me semble indispensable d’ajouter à ma liste de lectures.Dans la dernière leçon de son ouvrage, Michel de Pracontal nous parle de la non-réfutabilité des théories des imposteurs scientifiques. Il ne faudrait pas en effet qu’ils puissent être remis en cause! Il parle ainsi de ce que Karl Popper appelle la réfutabilité. Que l’expérience ne suffit pas et que par exemple un mauvaise prédiction en astrologie n’invalide par, selon les tenants de cette pseudo-science, les principes sur laquelle elle est basée. Termes vagues, raison cachée non prise en compte, etc il y a forcément quelque chose qui va permettre de retomber sur ses pattes. Mais il faut faire attention, il existe en science de vraies théories qui ne sont pas pour autant réfutable, et la Théorie des Cordes en est un bon exemple. Pour l’instant les développements théoriques réalisés ne permettent pas de la tester pour la valider ou l’invalider. Ceci n’en fait pas, bien sûr, une théorie aussi farfelue que l’astrologie, car elle n’est pas impossible dans le principe. Elle englobe les théories physiques actuelles et repose sur de solides édifices mathématiques. Michel de Pracontal pointe ensuite le fait qu’il existe des domaines de recherche qui ne peuvent pas être jugées à l’aune des critères de Popper comme l’Histoire par exemple. Pour citer Pracontal : “Le modèle des sciences de la nature ne s’applique pas à toutes les formes de connaissances et de théories”.Une question reste en suspend : une autre science reste-t-elle possible ? Selon les pseudo-scientifiques ou les alter-scientifiques : oui. Mais c’est là la graine qui nourrit les imposteurs, car finalement, si tout ceci devient prouvé, ceci devient une science … Pour paraphraser Groucho Marx et citer Michel de Pracontal, “l’imposteur scientifique ne voudrait pour rien au monde faire partie d’un club scientifique qui serait disposé à l’accepter comme membre”.En conclusionAprès la lecture de ce livre, j’ai pu découvrir qu’il fait partie des fondamentaux de beaucoup quand à la critique (dans son sens le plus classique) de la science d’hier et d’aujourd’hui. J’ai appris énormément sur tous ces moments de l’Histoire de la Science où certains ont tenté d’apporter des choses, bonnes ou mauvaise avec la science comme arme. Sur leurs méthodes, sur les résultats bons ou mauvais qui en sont ressortis. On grandit en tant que citoyen baignant dans cet univers trop complexe pour être compris, mais indispensable à nos vies.Et, outre la lecture même du livre qui donne une vision, non pas pessimiste, mais équivalent à celle d’un néon blanc qui révèlerait les failles et le teint blafard de certaines facettes de ce que l’on appelle de la science au sens large, ces différentes histoires me font dire qu’il est très complexe de se faire une idée concrète d’un sujet sans faire des recherches extensives sur ce à quoi l’on s’intéresse. Il est en effet très rapide de se faire berner par des imposteurs en mal de reconnaissance, par des scientifiques de qualité qui se sont fait bernés ou qui auraient besoin de recouvrer un prestige disparu avec les années ou jamais atteint.Cela me laisse une sorte d’amertume car ce livre révèle ce qu’est finalement une facette de la science et son traitement et retire ce vernis qu’on nous fait lui donner à travers les merveilles qu’elle a pu réaliser.Ne vous méprenez pas, c’est un très bon livre et une œuvre indispensable à lire, mais elle aura tendance à remuer certaines de vos préconceptions ou idées et d’éclairer certains évènements sous un regard nouveau et implacable.Ce livre fait partie d’une sorte de corpus (avec “Denialism” de Michael Specter, “Alterscience” de Alexandre Moatti, “La croyance au paranormal: Facteurs prédispositionnels et situationnels” de Jean-Michel Abrassart et d’autres bien sûr) qui est un mal nécessaire pour toute personne souhaitant pouvoir comprendre ce qui est réellement scientifique, et ce qui ne l’est pas. La science est en effet devenue le cœur de toutes les avancées technologiques et presque sociétales de notre temps et il ne fait pas oublier ou se situe la limite que certains voudraient voir disparaître (consciemment ou non) entre science, pseudo-science, alter-science, science-fiction, fantastique, miracles, etc.Un livre qui n’a rien à voirLa Nuit des Temps - crédit : goodreads.com - http://goo.gl/JUvtSI Comme livre qui n’a rien à voir, j’ai décidé de choisir l’un des romans les plus connus de René Barjavel : La nuit des temps. Il s’agit selon moi d’un chef d’œuvre du fantastique paru en 1968 aux Presses de la Cité. On peut d’ailleurs le retrouver en poche pour ceux qui préfèreraient un format plus petit.L’histoire est celle d’un journaliste qui participe à la couverture d’une découverte sensationnelle au pôle sud : la découverte d’une anomalie sous la glace et qui s’avère être une capsule ayant plus de 400000 ans et hébergeant deux personnes : une homme et une femme. La femme est réveillée et elle fait découvrir un monde inconnu où les règles sont différentes, la science plus avancée qu’aujourd’hui et le véritable amour impossible. René Barjavel nous raconte cette histoire de manière haletante, en mélangeant histoire d’amour, science-fiction et il nous livre ici un chef d’œuvre de la littérature fantastique du XXème siècle. Pour vous dire à quel point ce livre se dévore : j’ai du lire les presque 400 pages de ce livre en un peu plus de 3 heures. Et ceci plusieurs fois … Je ne peux donc que vous le recommander très chaudement !Un livre que j’aimerais lireGödel Escher Bach : Les brins d'une guirlande éternelle - crédit : amazon.fr - http://goo.gl/rl5gIv À force d’écouter des épisodes de Podcastscience où les mathématiciens en chef que sont NicoTupe et Robin parlent du livre “Gödel Escher Bach : Les brins d’une Guirlande Éternelle” ou GEB pour les intimes, de Douglas Hofstadter, je me dis de plus en plus que je ne peux pas y échapper et qu’il va falloir que je le lise à un moment ou à un autre. De ce que je peux comprendre des résumés, ce livre est culte, et ce pour une très bonne raison : il est capable d’embrasser différents domaines de la science et de montrer de quelle manière les mathématiques permettent de les relier de manière harmonieuse et notamment comment, et c’est ce qui fait le nombre du livre, on peut relier la musique de Bach, les gravures d’Escher et la logique mathématique sur laquelle travaillait Gödel.Un programme pour le moins alléchant ! Ce livre intègre donc la longue liste de livre que j’aimerais vraiment lire. Ne vous y trompez pas, il ne s’agit pas juste de le lire pour l’avoir fait, mais de le lire pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.QuoteQuoi de mieux qu’une citation de monsieur Karl Popper en ce qui concerne la science, les impostures et un moyen de réfuter la non-science ?Our knowledge can only be finite, while our ignorance must necessarily be infinite.Karl Raimund PopperEssay, 'On the Sources of Knowledge and of Ignorance', in Conjectures and Refutations: The Growth of Scientific Knowledge (1962), 28.Plugs et liens évoquésDavid Medernach, alias Xilrian sur le web, nous fait profiter à travers Xil’cast, sa chaîne Youtube de vidéos sur des sujets variés et vous pouvez ainsi découvrir “Les 9 vies de Timothy Leary” et dernièrement “Les 8 travaux de John Van Neumann”. C’est bien fait, fun et informatif à la fois. Si jamais nous ne connaissez pas, jetez-vous sur ses vidéos, cela vaut le détour!”.PodcastScience organise avec Xavier Durussel, CM de Podcastsuisse, une soirée radio-dessinée le 23/08 sur le thème “Instruments scientifiques : Cathédrales du XXIe siècle”. Cela va se passer à Genève, je ne peux que vous enjoindre à vous y rendre ! Vous pourrez m’y retrouver ainsi que la bande de PodcastScience et de StripScience. Ce sera l’occasion d’apprendre plein de choses et de passer une bonne soirée :) Si vous voulez y participer, un seul lien: http://www.podcastscience.fm“L’imposture scientifique en dix leçons” de Michel de Pracontal dans la rubrique “Un livre que j’aimerais lire” de l’épisode 5 de LisezLaScience: http://lisezlascience.wordpress.com/2014/06/26/lisezlascience-5-le-beau-livre-de-la-medecine-de-clifford-pickover/Page wikipédia consacrée à Michel de Pracontal: http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_de_PracontalLa page de Médiapart avec les articles de Michel de Pracontal : http://www.mediapart.fr/biographie/119420Le blog de Michel de Pracontal chez Médiapart : http://blogs.mediapart.fr/blog/michel-de-pracontalÉpisode 161 de Podcastscience sur l’ADN par Vincent Guidice : http://www.podcastscience.fm/emission/2014/02/09/podcast-science-161-ladn/Podcast Scepticisme Scientifique : http://scepticismescientifique.blogspot.frConclusionQue vous ayez aimé ou pas, surtout, ne restez pas à regarder les championnats d’Europe d’Athlétisme. Envoyez-moi des courrier, des commentaires, de like sur la page Facebook, des tweets, des retweets, de l’enduit à joint, j’en ai besoin pour finir de plâtrer un mur ou l’oeuvre complète de Jean-Paul Delahaye si jamais vous avez assez des livres bien écrits.Vous pouvez retrouver LisezLaScience sur son site web http://lisezlascience.wordpress.com et vous pouvez me contacter sur twitter sur @LisezLaScience ou sur la page Facebook associée https://www.facebook.com/LisezLaScience et le podcast est accessible sur podcloud http://lisezlascience.podcloud.fr/ et sur podcastfrance http://podcastfrance.fr/podcast-lisez-la-science .Vous pouvez aussi m’envoyer des e-mails à lisezlascience@gmail.comVous pouvez d’ailleurs retrouver l’ensemble des livres cités sur la liste goodreads associée à ce podcast sur le compte de LisezLaScience. Les livres seront placés sur des “étagères” spécifiques par épisode et ceux de celui-ci sont sur l’étagère “lls-7”Prochain épisodeOn se retrouve le 31/08/2014 pour un nouvel épisode sur “Désir d’Infini” de Trinh Xuan Thuan.D’ici là bonne quinzaine à toutes et à tous.Les références des livres évoquésLa Mémoire de l’eauISBN : 270711894X (ISBN13 : 978-2707118943)Auteur : Michel de PracontalNombre de pages : 227 pagesDate de parution : 02/03/1999 chez La DécouvertePrix : 15,00 € chez Amazon ou 27,00 € à la FnacLa femme sans nombrilISBN : 2749103517 (ISBN13 : 9782749103518)Auteur : Michel de pracontalNombre de pages : 229 pagesDate de parution : 01/02/2005 chez Le Cherche MidiPrix : 2,79 € chez Amazon ou 3,70 € chez la FnacLes gènes de la violenceISBN : 2749111137 (ISBN13 : 9782749111131)Auteur : Michel de PracontalNombre de pages : 285 pagesDate de parution : 09/10/2008 chez Le Cherche MidiPrix : 24,00 € chez Amazon ou la FnacKaluchua - Cultures, techniques et traditions des sociétés animalesISBN : 2020513064 (ISBN13 : 9782020513067)Auteur : Michel de PracontalNombre de pages : 187 pagesDate de parution : 14/10/2010 chez le SeuilPrix : 17,20 € chez Amazon ou la FnacL’imposture scientifique en 10 leçonsISBN : 2020639440 (ISBN13 : 978-2020639446)Auteur : Michel de PracontalNombre de pages : 378 pagesDate de parution : 08/04/2005 chez le SeuilPrix : 9,60 € chez Amazon ou la FnacSurely you’re joking Mister FeynmanISBN : 0393316041 (ISBN13: 9780393316049)Auteur : Richard P FeynmanNombre de pages : 350 pagesDate de parution : 12/05/1997 chez W. W. Norton & CompanyPrix : 13, 26 € chez Amazon ou 7,98€ chea la FnacAlterscience. Postures, Dogmes, IdéologiesISBN : 2738128874 (ISBN13 : 9782738128874)Auteur : Alexandre MoattiNombre de pages : 336 pagesDate de parution : 17/01/2013 chez Odile JacobPrix : 23,90 € chez Amazon ou la FnacQuand les poules auront des dentsISBN : 2020128861 (ISBN13: 9782020128865)Auteur : Stephen Jay GouldNombre de pages : 478 pagesDate de parution : 17/05/1991 chez le SeuilPrix : 10,10 € chez Amazon ou la FnacL’âge du capitaineISBN : 2020183013 (ISBN13: 9782020183017)Auteur : Stella BarukNombre de pages : 355 pagesDate de parution : 01/01/1998 chez le SeuilPrix : 8,10 € chez Amazon ou la FnacImpostures IntellectuellesISBN : 2738105033 (ISBN13 : 978-2738105035)Auteur : Alain Sokal, Jean BricmontNombre de pages : 276 pagesDate de parution : 02/10/1997 chez Odile JacobPrix : 22,90 € chez Amazon ou la FnacLa croyance au paranormal: Facteurs prédispositionnels et situationnelsISBN : 613154901X (ISBN13: 9786131549014)Auteur : Jean-Michel AbrassartNombre de pages : 104 pagesDate de parution : 19/11/2010 chez Editions Universitaires EuropeennesPrix : 39,00 € chez AmazonDenialsm : How Irrational Thinking Hinders Scientific Progress, Harms the Planet, and Threatens Our LivesISBN : 1594202303 (ISBN13: 9781594202308)Auteur : Michael PsecterNombre de pages : 304 pagesDate de parution : 26/10/2010 chez Penguin BooksPrix : 12,48 € chez Amazon ou 6,65 € chez la FnacLa Nuit des TempsISBN : 2266023039 (ISBN13: 9782266023030)Auteur : René BarjavelNombre de pages : 394 pagesDate de parution : 01/01/1988 chez PocketPrix : 7,30 € chez Amazon ou la FnacGödel Escher Bach : Les brins d’une Guirlande ÉternelleISBN : 2100523066 (ISBN13: 978-2100523061)Auteur : Douglas Hofstadter, Traducteurs : Jacqueline Henry, Robert FrenchNombre de pages : 883 pagesDate de parution : 05/11/2008 chez DunodPrix : 50,00 € chez Amazon ou la FnacVous pouvez retrouver la liste des livres dans goodreads à l’adresse suivante : https://www.goodreads.com/review/list/30797714-lisezlascience?shelf=lls-7
C’est déjà l‘heure du deuxième éclairages, un bonus assez spécial, totalement improvisé, excusez donc la qualité de son et certains bafouillages de ma part.Ce mois-ci : Azertoff nous parle des BDs Reflets d’Acide Kobal nous fait découvrir le jeu de rôle Apocalypse World avant de nous parler des nanars dans le jeu de rôle. Laurent nous présente Looper. Peremptoire en profite pour parler du Voyageur Imprudent de René Barjavel. Azertoff est sur Twitter : @AzertoffKobal est sur Twitter : @kobal, il anime également le podcast Radio Roliste.Laurent est sur Twitter : @laurentdoucet, il anime également le podcast Le BroClash. Vous pouvez retrouver toutes les infos de l’émission sur Twitter :@les_eclaireurs et @peremptoire.