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durée : 00:03:19 - Nos plantes en bonne santé grâce aux huiles essentielles : conseils pratiques - par : Nathalie Mazet - Saviez-vous que les huiles essentielles peuvent être une solution naturelle et efficace pour soigner vos plantes ? Jean-Yves Meignen, jardinier de l'Abbaye de Valsaintes à Simiane-la-Rotonde, nous explique les huiles essentielles incontournables à avoir dans la trousse du jardinier !
À Abidjan, « Inspirations Kourouma » rend hommage au grand écrivain Ahmadou Kourouma (1927-2003), pour célébrer son héritage littéraire à travers les créations d'artistes contemporains. L'exposition collective, qui mêle tableaux, sculptures et même bandes dessinées, est à voir au centre d'art historique du Plateau, La Rotonde. Avec notre correspondante à Abidjan,Les visiteurs sont accueillis dans La Rotonde par les yeux pénétrants d'Ahmadou Kourouma : un grand portrait en noir et blanc réalisé par Jems Koko Bi, représentant l'écrivain, la tête posée sur sa main, fixant le spectateur du regard.« Dans le creux de la main… Je crois qu'il disait : “Dans le creux de la main, on se repose et on apprend beaucoup”, explique Jems Koko Bi. Et ce regard perçant qu'il avait… C'est un grand personnage pour moi. Kourouma fait partie du patrimoine culturel de la Côte d'Ivoire. Quand vous approchez du portrait, vous voyez qu'il n'y a pas de peinture. C'est juste gratté, sur du papier noir, au couteau. C'est un travail archéologique que j'ai fait ».En plus des photos d'archives, des coupures de journaux et d'extraits de ses textes, l'exposition met en scène une quinzaine d'œuvres présentées par un casting prestigieux, où figurent notamment les peintres Aboudia et Yéanzi, le sculpteur Salif Diabagaté… Les participants ont reçu des extraits de livres de Kourouma et ont été invités à s'en inspirer pour créer leurs propres œuvres. Pascal Konan, artiste plasticien, signe ainsi la toile Les Couleurs des Indépendances, en référence au premier roman de Kourouma, Les Soleils des Indépendances.« Moi, j'ai dû illustrer une partie de ce livre, qui propose une lecture, ou une relecture des temps coloniaux. Donc, dans la Toile, il y a une grande répartition du bleu, du blanc et du rouge, pour montrer la domination du pays colonisateur. Et puis, ensuite, le jaune, qui symbolise le soleil d'Afrique, vient pour dire qu'en Afrique, il y a eu des gens qui se sont battus. Pour moi, c'est une œuvre assez symbolique. On a essayé de résumer tout ça en image, parce qu'on estime qu'une image vaut mille mots ».À écouter aussiYambo Ouologuem et Ahmadou Kourouma, les jumeaux de 1968Quand les arts visuels ravivent la mémoire littéraireIl peut sembler paradoxal de rendre hommage à un écrivain avec une exposition d'arts plastiques… Mais le directeur de La Rotonde, Yacouba Konaté, dit croire « qu'aucune discipline ne peut vivre en autarcie ».« Je pense qu'une discipline vit, survit, se développe, par la connexion, par la collaboration avec les autres disciplines, explique-t-il. Ahmadou Kourouma, c'était un ami. J'ai vu l'immense travail qu'il faisait pour construire ses textes, les produire, les peaufiner. Vraiment, c'est un orfèvre, c'est un bijoutier. Donc, je me suis promis de faire un événement sur lui, puisque je suis, moi, un universitaire qui considère que les arts visuels ont un impact, une efficacité de communication plus forte que la littérature au sens ordinaire du terme ».Yacouba Konaté dit même avoir guéri la panne d'inspiration de l'un des sculpteurs avec lesquels il collaborait en 2001, Yacouba Touré, en lui faisant lire Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma.« Cette lecture a produit une étincelle créative chez ce sculpteur, qui était l'un des meilleurs de sa génération. Et j'ai voulu reprendre ce procédé avec des artistes contemporains ».Une initiative saluée par la veuve de l'écrivain, Christiane Kourouma, qui se réjouit de voir son œuvre toujours célébrée, 22 ans après sa mort. « Je vis encore avec lui jour et nuit. Je lis encore ses livres, je lis tout ce qu'on a pu écrire sur lui… Tout ce que je vois ici, toutes ses photos, je les connais par cœur ».L'exposition Inspirations Kourouma restera visible à la Rotonde jusqu'au 21 mai.À lire aussiDe l'apprentissage brutal du français au Prix Renaudot: le parcours d'Ahmadou Kourouma
Reportage de Tom Herga à la conférence de presse du prochain NL Contest du côté du skatepark de la Rotonde + présentation en musique des différents artistes programmés.Diffusé le 07/04/25 sur RBS.
Allora stanotte voglio affrontare un pò di problemi reali che veramente ogni giorno rendono la vita difficile.. 1)la gente che non sa come funziona la precedenza nelle rotonde 2) la gente che deve assolutamente sorpassare 3) la gente che si è dimenticata che la macchina ha le frecce.
Chaque samedi, Laurent Mariotte et son invité vous livrent conseils, trucs et astuces autour de la gastronomie et l'alimentation. Un éclairage utile sur l'art du bien-manger. Aujourd'hui, tout savoir sur la cuisine des chefs... à la maison, avec notre invité Virginie Basselot, cheffe du Chantecler et de la Rotonde au Negresco à Nice et Rémi Dechambre, auteur du livre « Quand les chefs rentrent à la maison, 80 chefs emblématiques vous invitent chez eux » aux éditions Larousse.
Dernier appel aujourd'hui pour soutenir Terre des hommes Suisse dans sa recherche de bénévoles pour sa prochaine Marche de l'espoir. Plus qu'un simple acte de solidarité, cette grande manifestation est un véritable moment d'échanges et d'enrichissement interculturel avec, au programme, musique, danses folkloriques et plats typiques. Concrètement, la Marche de l'espoir invite tous les participants à effectuer des kilomètres de solidarité, sponsorisés par leur entourage. Les fonds récoltés sont cette année destinés à améliorer les conditions de vie des enfants au Mali et en Afrique de l'Ouest, en particulier leur protection et leur éducation, et à encourager leur participation citoyenne. Ouverte à tous, enfants et adultes, cette boucle de 6 km sur les quais de Genève, débute à la Rotonde du quai du Mont-Blanc pour se prolonger jusqu'au Jardin botanique. Plus grande manifestation de solidarité en Suisse, la Marche de l'espoir mobilise plus de 3'500 enfants et jeunes, accompagnés de leur famille. Au total, plus de 12'000 personnes se réunissent à cette occasion, encadrées par près de 500 bénévoles. Cette 33e édition se déroulera le dimanche 13 octobre prochain de 11h à 17h30, par tous les temps et dans une ambiance festive avec des animations pour les enfants et des délices culinaires. Les inscriptions se font si possible à l'avance mais peuvent aussi être effectuées sur place le dimanche dès 9h30. En nouveauté cette année, le samedi soir, veille de la Marche, une soirée d'ouverture de 17h à 23h est proposée à la Rotonde du Mont-Blanc, pour célébrer l'évènement avec un bar, des foodtrucks et des DJ (style Afro). DEMANDE: - Des bénévoles pour le montage des stands samedi 12 octobre de 9h00 à 13h30 et dimanche 13 octobre de 7h à 10h30 - Des bénévoles pour la soirée du samedi 12 octobre de 17h à 23h - Des bénévoles pour le démontage des stands dimanche 13 octobre dès 17h - Des bénévoles pour la tenue de divers stands dimanche 13 octobre de 10h à 14h et de 14h à 18h: buvettes, vente de pâtisseries et viennoiserie, vente d'articles divers, orientation, ravitaillement, tamponnage des passeports, etc
Plus grande manifestation de solidarité en Suisse, la Marche de l'espoir mobilise chaque année à Genève plus de 3'500 enfants et jeunes, accompagnés de leur famille. Au total, plus de 12'000 personnes se réunissent à cette occasion, encadrées par près de 500 bénévoles. Les kilomètres parcourus représentent ainsi l'équivalent d'un tour de la Terre! Cette 33e édition se déroulera le dimanche 13 octobre prochain de 11h à 17h30, par tous les temps et dans une ambiance festive avec des animations pour les enfants et des délices culinaires. Les inscriptions se font si possible à l'avance mais peuvent aussi être effectuées sur place le dimanche dès 9h30. En nouveauté cette année, le samedi soir, veille de la Marche, une soirée d'ouverture de 17h à 23h est proposée à la Rotonde du Mont-Blanc, pour célébrer l'évènement avec un bar, des foodtrucks et des DJ (style Afro). Pour le bon déroulement de cette mobilisation de marcheurs qui permettra à Terre des Hommes Suisse de donner d'autres perspectives de vie aux enfants et leurs familles qui vivent au Mali et en Afrique de l'Ouest, ses responsables recherchent de nombreux bénévoles pour l'aider avant, pendant et après cette grande manifestation populaire. DEMANDE: - Des bénévoles pour le montage des stands samedi 12 octobre de 9h00 à 13h30 et dimanche 13 octobre de 7h à 10h30 - Des bénévoles pour la soirée du samedi 12 octobre de 17h à 23h - Des bénévoles pour le démontage des stands dimanche 13 octobre dès 17h - Des bénévoles pour la tenue de divers stands dimanche 13 octobre de 10h à 14h et de 14h à 18h: buvettes, vente de pâtisseries et viennoiserie, vente d'articles divers, orientation, ravitaillement, tamponnage des passeports, etc
Plus qu'un simple acte de solidarité, la Marche de l'espoir, organisée pour la 33e fois par l'ONG Terre des hommes Suisse est un véritable moment d'échanges et d'enrichissement interculturel avec, au programme, musique, danses folkloriques et plats typiques. Concrètement, la Marche de l'espoir invite tous les participants à effectuer des kilomètres de solidarité, sponsorisés par leur entourage. Les fonds récoltés sont notamment destinés à améliorer les conditions de vie des enfants au Mali et en Afrique de l'Ouest, en particulier leur protection et leur éducation, et à encourager leur participation citoyenne. Ouverte à tous, enfants et adultes, cette boucle de 6 km sur les quais de Genève, débute à la Rotonde du quai du Mont-Blanc pour se prolonger jusqu'au Jardin botanique. Plus grande manifestation de solidarité en Suisse, la Marche de l'espoir mobilise plus de 3'500 enfants et jeunes, accompagnés de leur famille. Au total, plus de 12'000 personnes se réunissent à cette occasion, encadrées par près de 500 bénévoles. Les kilomètres parcourus par les enfants sont l'équivalent d'un tour de la Terre Cette 33e édition se déroulera le dimanche 13 octobre prochain de 11h à 17h30 et aura lieu par tous les temps et dans une ambiance festive avec des animations pour les enfants et des délices culinaires. Les inscriptions se font si possible à l'avance mais peuvent aussi être effectuées sur place le dimanche dès 9h30. En nouveauté cette année, le samedi soir, veille de la Marche, une soirée d'ouverture de 17h à 23h est proposée à la Rotonde du Mont-Blanc, pour célébrer l'évènement avec un bar, des foodtrucks et des DJ (style Afro). DEMANDE: - Des bénévoles pour le montage des stands samedi 12 octobre de 9h00 à 13h30 et dimanche 13 octobre de 7h à 10h30 - Des bénévoles pour la soirée du samedi 12 octobre de 17h à 23h - Des bénévoles pour le démontage des stands dimanche 13 octobre dès 17h - Des bénévoles pour la tenue de divers stands dimanche 13 octobre de 10h à 14h et de 14h à 18h: buvettes, vente de pâtisseries et viennoiserie, vente d'articles divers, orientation, ravitaillement, tamponnage des passeports, etc
Plus qu'un simple acte de solidarité, la Marche de l'espoir organisée chaque année par l'ONG Terre des hommes Suisse est un véritable moment d'échanges et d'enrichissement interculturel avec, au programme, musique, danses folkloriques et plats typiques. Concrètement, la Marche de l'espoir invite tous les participants à effectuer des kilomètres de solidarité, sponsorisés par leur entourage. Les fonds récoltés sont cette année destinés à améliorer les conditions de vie des enfants au Mali et en Afrique de l'Ouest. Ouverte à tous, enfants et adultes, cette boucle de 6 km sur les quais de Genève débute à la Rotonde du quai du Mont-Blanc pour se prolonger jusqu'au Jardin botanique. Plus grande manifestation de solidarité en Suisse, la Marche de l'espoir mobilise plus de 3'500 enfants et jeunes, accompagnés de leur famille. Au total, plus de 12'000 personnes se réunissent à cette occasion, encadrées par près de 500 bénévoles. Cette 33e édition se déroulera le dimanche 13 octobre prochain de 11h à 17h30 et aura lieu par tous les temps et dans une ambiance festive avec des animations pour les enfants et des délices culinaires. Les inscriptions se font si possible à l'avance mais peuvent aussi être effectuées sur place le dimanche dès 9h30. En nouveauté cette année, le samedi soir, veille de la Marche, une soirée d'ouverture de 17h à 23h est proposée à la Rotonde du Mont-Blanc, pour célébrer l'évènement avec un bar, des foodtrucks et des DJ (style Afro). DEMANDE: - Des bénévoles pour le montage des stands samedi 12 octobre de 9h00 à 13h30 et dimanche 13 octobre de 7h à 10h30 - Des bénévoles pour la soirée du samedi 12 octobre de 17h à 23h - Des bénévoles pour le démontage des stands dimanche 13 octobre dès 17h - Des bénévoles pour la tenue de divers stands dimanche 13 octobre de 10h à 14h et de 14h à 18h: buvettes, vente de pâtisseries et viennoiserie, vente d'articles divers, orientation, ravitaillement, tamponnage des passeports, etc
08 Blasco un gigante que se creia dios Leo textualmente parte del articulo BLASCO en vivo!!! aparecido en la web elargonautavalenciano.blogspot.com: “En mayo de 1921, Valencia celebró la Semana Blasco Ibáñez, un descomunal acto cultural en homenaje al prestigioso novelista. Momentos de aquel acontecimiento histórico, captados por la cámara e inmortalizados en cinta cinematográfica, son fiel testimonio de la última visita oficial de Blasco a su ciudad natal. En la actualidad, estas grabaciones forman parte del patrimonio de la Generalidad Valenciana. El siguiente vídeo corresponde a la llegada de Blasco a Valencia, el 15 de mayo de 1921. En la Estación del Norte lo reciben las autoridades locales entre una inmensa multitud de valencianos emocionados y deseosos de saludar al importante personaje. El landó iba precedido y rodeado de la guardia municipal de caballería, pero bien pronto los más entusiastas rodearon el coche y formaron su guardia de honor. Blasco Ibáñez entraba en Valencia con el Alcalde de la ciudad y rodeado completamente del pueblo que le admira, que le quiere, que le idolatra. En su desplazamiento hacia el Palacio Municipal, recorre la calle de la Paz entre vítores y aclamaciones de bienvenida. En la recepción oficial celebrada en el Palacio Municipal participaron numerosos representantes de las principales organizaciones culturales y políticas valencianas.” El 17 de mayo Blasco pronunció un discurso se celebró en el antiguo barrio de pescadores del Cabañal. Desde allí pronunció estas palabras que sin duda terminaron cumpliendose: “Quiero descansar en el más modesto cementerio valenciano, junto al Mare Nostrum que llenó de ideal mi espíritu; quiero que mi cuerpo se confunda con esta tierra de Valencia, que es el amor de todos mis amores.” Blasco fue de todo menos modesto y dedicó toda su vida a luchar por unos ideales que curiosamente coinciden plenamente con la agenda internacional que nos terminó de implantar su Nuevo Orden Mundial. Y no lo digo en broma, el mismo Blasco se lo confesó al reportero Enrique González Fiol como podemos leer en el artículo Confesiones, 1911- Parte I: “Mire usted, la política no me interesa... Si no me interesaba ni cuando milité activamente en ella!... Nó, nó, créame usted... No me interesó nunca. Yo no he sido político jamás; aborrezco la política... Yo he sido agitador. Yo he nacido para levantar á las masas, para conspirar... ¿Ve usted? ¡Si me llamaran, ahora mismo, para conspirar, lo dejaría todo y volvería á intervenir activamente en la política... Pero así, ¡bah!... Yo no comprendo ni he comprendido nunca que nadie crea que son compatibles las actas de concejal ó de diputado con el espíritu revolucionario... Además, yo soy enemigo del parlamentarismo... Está completamente desacreditado... Bueno, yo en esto tengo unas ideas muy raras... Si las dijera se me reirían... Yo soy partidario de una tiranía, en sentido progresivo…” En su novela El Intruso uno de sus personajes decía: «No se debe permitir que al amparo de la libertad se predique contra ella. Así como no se tolera que se vendan sustancias tóxicas, sino mediante ciertas condiciones, tampoco debiera permitirse ciertas sollamas contrarias á la verdadera libertad y al progreso.» Las sombras del Blasco considerado una fuerza de la naturaleza y del poder-religión se solapan sin lograr producir más negror que el que arrojan las antorchas del iluminismo, la masonería y el luciferanismo de Prometeo. Dos sombras juntas no incrementan la oscuridad pero el minúsculo titilar de una pequeña luciérnaga puede neutralizar ese negror. Edmond Jaloux le dedicó un artículo la misma semana de su fallecimiento en la prestigiosa revista francesa Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques, del que destácamos estas frases: “Cuando estábamos con él, teníamos la impresión de que la vida es una aventura llena de risas en la que debemos involucrarnos con confianza, con fuerza y con una feliz esperanza de conquista. Sus enemigos le han criticado por escribir mal y, realmente, no escribía bien. Pero los hombres de su clase difícilmente pueden ser estilistas. Son fuerzas de la naturaleza. No se puede pedir a una tormenta que dibuje con elegancia la firma de todos sus relámpagos.” El 3 de septiembre de 1923 se produce el golpe de estado de Miguel Primo de Rivera que contó con el visto bueno del monarca Alfonso XIII, suspendiendo la Constitución de 1876, e instaurando una dictadura en la forma de un directorio militar entre 1923 y 1925, al que siguió un directorio civil presidido por él mismo entre 1925 y 1930. Durante el transcurso de la dictadura se produjo un importante crecimiento económico y se desarrolló una política intervencionista y proteccionista con inversión en obras públicas e infraestructuras creando por ejemplo Las Diputaciones con Francisco Romero Robledo como ministro de la Gobernación. José María Carretero Novillo fue un periodista y escritor que apoyó esta dictadura y que escribió uno de los todavía libros censurados de facto en este nuestro pais. “El novelista que vendió a su patria: o, Tartarin, revolucionario (una triste historia de actualidad)” escrito en 1924 bajo el seudónimo del caballero audaz fue una de las obras de Carretero Novillo que si vamos a su pagina en la wikipedia no nos aparecerán. Pero si lo harán todas las novelas eróticas que escribió para ganar dinero, incluso nos avisan de que entrevisto a Vicente Blasco Ibáñez. Podemos conseguir esta novela de segunda mano o leerla en la biblioteca nacional pero no la encontraremos en la base de datos digital más grande de libros, Europeana, con más de 50 millones de títulos digitalizados. No está, no busquen, que no está. Y miren que el propio escritor declara en el libro que se habían imprimido un millón de ejemplares. ¿Y qué se decía allí que resulta tan funesto para el poder-religión que sigue tildando la obra de libelo e impidiendo que podamos leerlo en la actualidad? Parece que “el caballero audaz”, ese gigantón de metro noventa de estatura y conocido espadachín, aseguraba que la Rusia soviética había cedido al escritor valenciano un millón de francos para su tarea de acoso a la monarquía. A este periodista se le atribuyen los bulos derrotistas que circularon por Madrid en el 36. La descripción que nos da de Blasco en dicho libro no deja al valenciano en muy buen lugar: “Como hombre, es un ente ridículo y finchado (ridículamente vano o engreído), esclavo del oro y del reclame; como negociante, estafador y rapaz, codicioso y sin escrúpulos; como amigo, desleal; como huésped, ingrato; como español, traidor.” “Tenía el aspecto de un «barba» de compañía de comedias barata. Tripudo, abotagado, con la piel del rostro surcada de arrugas, como el cutis de esos viejos cómicos a los que los afeites cuartean. Su escaso pelo tenía ese color negro mate que dan las malas tinturas vegetales. Entre sus párpados abolsados, los ojos pequeños brillaban con una vivacidad rapaz. Eran como dos comadrejas emboscadas. Blasco jugaba sin cesar con un «monóculo, que es para él como una decoración, un sello de elegancia, algo superfluo, miriIla inútil, porque no sabe asomarse a ella nunca…" “Ese es el hombre que quiere redimir a España, que quiere hacer una revolución. No tiene prestigio, no tiene ambiente, Europa no le estima y España no se interesa por él.” “No ve más que el oro. El dólar-Blasco Ibáñez no habla en las pesetas de su patria ni en los francos de la nación republicana donde vive es para él como para ciertas mujeres de temperamento morboso el amante lustroso y dominador, el dios brutal y contundente, el amo despótico, en holocausto del cual se sacrifica todo... En su sangre valenciana hay atavismos de los fenicios mercaderes que desembarcaron por vez primera en las costas mediterráneas de España. Levadura de israelitas, sórdidos y ambiciosos, se mezcla en sus venas... Tiene el instinto del mercader moderno que ama el reclamo y la rapacidad y la dureza de entrañas del judío dueño de una casa de préstamos…” En el libro nos cuenta una anécdota que le paso coincidiendo en París con Blasco y una dama respetable que imaginamos sería la millonaria chilena. Allí, en el café Americano, Blasco le contó de sus planes para derrocar al gobierno de Primo de Rivera e instaurar una República: “España no puede seguir así. Hay que despertar al pueblo, hacerlo saltar. Yo lo conseguiré. Escribiré artículos, folletos, proclamas, libros... Tengo toda la Prensa del mundo. Treinta y seis mil diarios de América. ¡Vamos, con decirle a usted que cuento hasta con la Gaceta de Tokio!… La gran Prensa francesa está a mi disposición... En Inglaterra, los más importantes rotativos harán cuanto yo les diga... ¡Hay que llevar la civilización y revolución a España! ¿Qué le parece?” Lo siguiente que nos cuenta el caballero audaz es la respuesta que le dio y lo que sucedió después: “El pueblo español no es fácil que se deje arrastrar por un aventurero que busque su medro y nuestra ruina monetaria. Blasco me miró casi congestionado. -¿Pero es que yo no soy el hombre que necesita España? Le contesté sencilla y claramente: -No, sinceramente, Blasco, yo no creo que sea usted ese hombre... -¿Y por que? -inquirió exaltándose- Tengo un prestigio universal, dinero, elementos de todas clases. Tengo valor. Yo no soy un Capitán Arañas, que embarca a la gente y él se queda en tierra. No. Yo iré delante de todos, seré el primero en dar el pecho a las balas... He vivido bastante y no me importa morir. No le tengo miedo ni a la lucha, ni a la muerte... Hablaba en tono allisonante, y de repente se detuvo. Hizo una mueca, luego una contracción. Abrió la boca, tosió con fuerza, después con tenacidad, se dilataron sus ojos con espanto, aspiró ansioso, dió un gruñido y se llevó las manos a la garganta. Se me ahogaba aquel energúmeno -¿Pero, qué le pasa?-le pregunté. Tardo en contestar. Cogió con pulso trémulo un vaso de agua y bebió una larga buchada. Estaba desencajado y lívido. Al fin, pudo exclamar en un quejido. -¡Ay! ¡Me muero: acabo de tragarme media dentadura! Y abriendo la boca me mostraba la mitad de la encía superior, desdentada y repugnante. Cuando pasó la angustia del momento, no pude contener mi hilaridad. -No se ría -clamó estremecido. ¡No es cosa de broma! ¡Me he tragado media dentadura! ¡Y esto es la muerte! ¡Me perforará el estómago! ¡Horrible! Se llevó las manos al vientre e hizo otra mueca de terror. -¡Me muero! -gritó con ansia-. ¡Me muero!… Un vomitivo. ¡Un vomitivo! Sus ojos se llenaban de lágrimas. Tenía, en efecto, en su rostro desencajado, una palidez mortal... Cinco minutos después, un automóvil le llevaba a la Casa de Socorro próxima. De mi pensamiento no se apartaba la desgraciada figura de Blasco, descompuesta, trémula, hipando de miedo ante la muerte como un niño. Y al recordar sus frases «¡Haré la revolución; yo no tengo miedo a morir!», no pude contenerme por más tiempo, y en pleno Boulevard des Italianes, solté una larga carcajada. Había medido todo lo grotesco de aquel Tartarín revolucionario que se llamaba redentor de un pueblo. ¡Pobre tipo cómico de opereta vienesa!…" No nos debería de hacer gracia lo que sucedió durante los llamados “Los sucesos de Vera de Bidasoa” donde en 1924 un puñado de republicanos exiliados llegó a la localidad navarra creyendo que se había iniciado una revolución. Leemos en un artículo titulado “Los sucesos de Vera de Bidasoa, una excusa para el directorio”: “En octubre de 1924 se extiende entre los círculos de emigrantes españoles de San Juan de Luz, Hendaya y Bayona la existencia de una Junta Central de la que forman parte Vicente Blasco Ibáñez, Miguel de Unamuno, Rodrigo Soriano, José Ortega y Gasset, etc, cuya finalidad es la instauración de una República presidida por el conde de Romanones. Para lograrlo, se produciría un levantamiento generalizado, el 8 de noviembre, contra la Dictadura y se contaría con el apoyo de numerosas guarniciones militares y de todo el movimiento obrero. Por otro lado, como se necesita un respaldo exterior, se solicitan de forma secreta voluntarios. Al atardecer del 6 de noviembre, salen de San Juan de Luz cuarenta y dos personas, con armas, dinero francés y octavillas convocando a la revolución. El jefe del grupo es Bonifacio Mazarredo. Atraviesan la frontera y llegan a Vera de Bidasoa en plena noche. El alguacil Miguel Berasaín les ve y acude a avisar a la casa-cuartel de la Guardia Civil, pues supone que se trata de contrabandistas.” Este grupo logra matar a los dos guardia civiles que salen en su persecución dictandose entre las fuerzas del orden público de la zona –Guardia Civil, carabineros y somatenes- la inmediata represión y captura de los integrantes del mismo matando a 4 de ellos e hiriendo a 27. El resto logra huir a Francia. Al final se produce un juicio a cuatro personas donde por falta de pruebas no condenan a ninguno de los detenidos. El 23 de noviembre, el Diario de Navarra, dice refiriéndose a Blasco: “Parece que el antiguo diputado por Valencia se dedica a redactar soflamas mitad novelescas mitad revolucionarias contra la Monarquía. Y como eso puede ser mitad novela y mitad serán revolucionarias en las que pierden la libertad o la vida algunos hombres tan dignos como los guardias civiles de Vera, sería muy conveniente que el Gobierno se preocupara del asunto para poner pronto el debido colofón a la novela del novelista”. Y tres días mas tarde en el mismo diario podemos leer: “No está solo Blasco Ibáñez en la casa de los orates de la revolución. Entre otros personajes de menor cuantía, figura uno muy conocido. De oídos porque su nombre ha sonado mucho. Es el antiguo rector de la Universidad de Salamanca. La diferencia que existe –como revolucionario- entre Blasco Ibáñez y estos otros aspirantes está en que Blasco Ibáñez ha concretado sus aspiraciones; aspira a ser presidente de la República española.” “La conducta del Blasco Ibáñez puede ser bufa. La conducta de Unamuno… la conducta de Unamuno merece el calificativo que no podemos escribir por respeto a los lectores”. Lo que no es bufa es que en un segundo juicio esas tres personas fueron ejecutadas por aquellos hechos en los que otras seis murieron aquel dia y que Blasco Ibáñez, tal y como dice el caballero audaz en su librito quedó en Francia ayudando a comprar las medias a su última amante. Tras la publicación, en noviembre de 1924, de “Una nación secuestrada” Blasco pasó a ser considerado en España persona non grata. Se ordenó el embargo de sus bienes. El Ayuntamiento de Valencia retiró la placa de la plaza que le había sido dedicada, y el resto de placas de las calles y plazas de todas las capitales y pueblos de España que llevaban su nombre corrieron la misma suerte. Su familia, que vivía en España, sufrió registros domiciliarios. Blasco reunió, en marzo de 1925 algunos folletos en contra de la Dictadura de Primo de Rivera y los artículos que publicó en España con honra, periódico fundado en París por exiliados españoles, en un librito, “Por España y contra el rey”, que publicó en la editorial Excelsior. Muchos autores hablan de que aquello era una guerra de folletines pero mientras los folletines de Blasco como “Por España y contra el rey” se pueden encontrar libremente y por todos lados, los folletines del caballero audaz han sido apartados de la vista. Vicente Marco Miranda en “Las conspiraciones contra la Dictadura”, en págs. 31-32, describe al grupo de exiliados de París, en su café de reunión diaria, “al día siguiente” de haber salido la traducción al francés de Una nación secuestrada: “Al día siguiente, por la tarde, vamos a la Rotonde, el famoso café, centro de artistas y de conspiradores de todo el mundo; gentes de los países más remotos; vidas inquietas, abrazadas a un noble ideal. A la izquierda de una de las puertas de entrada se halla la peña de los españoles; de los que gesticulan y hablan a gritos. Allí, D. Miguel de Unamuno, Ortega y Gasset, Corpus Barga, Francisco Madrid, escritores y periodistas, médicos, obreros. Blasco habla de su folleto. Madrid, excelente reportero, nos trae una noticia. Un hijo de Martínez Anido está en París y pretende que el Caballero Audaz escriba un ‘panfleto’ contra Blasco y otro contra Unamuno. Ambos escritores comentan la noticia con un expresivo levantar de hombros y siguen hablando de otras cosas. Llegan unos estudiantes y hablan de revolución. Se anima el rostro de Ortega y Gasset, y Corpus Barga se muestra dispuesto a empuñar un fusil y atravesar la frontera. Hablamos todos a una y los demás concurrentes nos miran con gesto de admiración. Saben que somos españoles, que conspiramos, que nos preocupan empresas de libertad. A quien lo ignora, ya el camarero se encarga de advertírselo. Blasco sonríe, Unamuno pone cara fosca y se dispone a leernos un romance”. Los ideales republicanos de Blasco Ibáñez se vieron afianzados y encarrilados por multitud de lecturas, siendo la más importante la de Francisco Pi y Margall (1824-1901), el político de ideas más avanzadas de su tiempo, y que siempre sería su gran ejemplo. El político catalán pensaba que la república federal era el modelo ideal para nuestro país. El propio Blasco Ibáñez nos cuenta como hizo eso que hacen mucho los políticos de ahora, presentarse en un sitio de prestado: “Había él salido diputado por varios distritos, y me cedió el de Sabadell, por el cual me presenté candidato. …fui derrotado la única vez que he presentado mi candidatura por un distrito fuera de Valencia.” Un político, estuvo siete veces como diputado, al que no le gusta la política. Un niño católico criado en el catolicismo que se vuelve ateo impenitente. Ese era Blasco. Blasco le contó al reportero González Fiol como fueron sus años de niñez en la calle Jaboneria antes de trasladarse sus padres a la de San Gil: “En aquella época de mi infancia, era yo muy delgadito, enfermizo, y místico... Recuerdo que se me aparecían santos y vírgenes, y que me hablaban, rodeados, de aureolas de gloria…" Leemos en “ese diedro de luces y de sombras” como nos presenta Blasco la conmoción que la muerte del dios produjo en el mundo antiguo a través de las páginas 388 y 389 de su obra “La bodega”: “Los árboles gimieron en los bosques, agitando sus melenas de hojas como plañideras desesperadas; un viento fúnebre rizó los lagos y la superficie azul y luminosa del mar clásico que había arrullado durante siglos en las playas griegas los diálogos de los poetas y los filósofos. Un lamento de muerte rasgó el espacio, llegando a los oídos de todos los hombres: "¡El gran Pan ha muerto!..." Las sirenas se sumergieron para siempre en las glaucas profundidades, las ninfas huyeron despavoridas a las entrañas de la tierra para no volver jamás, y los templos blancos que cantaban como himnos de mármol la alegría de la vida bajo el torrente de oro del sol, se entenebrecieron, sumiéndose en el silencio augusto de las ruinas. "Cristo ha nacido", gritó la misma voz. Y el mundo fue ciego para todo lo exterior reconcentrando su vista en el alma; y aborreció la materia como pecado vil, que oprimía los sentimientos más puros de la vida haciendo de su amputación una virtud. El hombre se volvió de espaldas a la naturaleza, adorando lo enfermizo y doliente: El sol siguió brillando, pero pareció menos luminoso a la humanidad, como si entre ella y el astro se hubiese interpuesto un velo fúnebre. La Naturaleza continuó su obra creadora, insensible a las locuras de los hombres; pero éstos no amaron otras flores que las que transparentaban la luz en las vidrieras de las ojivas; ni admiraron más árboles que las palmeras de piedra que sostenían las bóvedas de las catedrales. Venus ocultó sus desnudeces de mármol en las ruinas del incendio, esperando renacer, tras un sueño de siglos, bajo el arado del rústico. El tipo de belleza fue la virgen infecunda y enferma, enflaquecida por el ayuno; la religiosa pálida y desmayada como el lirio que sostenían sus manos de cera, con los ojos lacrimosos agrandados por el éxtasis y el dolor de ocultos cilicios. El negro ensueño duraba siglos. Los hombres, renegando de la Naturaleza, habían buscado en la privación, en la vida torturada y deforme, en la divinización del dolor, el remedio de sus males, la fraternidad ansiada, creyendo que la esperanza del cielo y la caridad en la tierra bastarían para la felicidad de los cristianos. Y he aquí que el mismo lamento que anunció la muerte del gran dios de la Naturaleza volvía a sonar, como si reglamentase, con intervalos de siglos, las grandes mutaciones de la vida humana. "¡Cristo ha muerto!...¡Cristo ha muerto!” Como si fuera cosa de niños, Walt Disney nos ofreció a Pan, a Peter Pan como un joven rebelde que tocaba la siringa y embelesaba a las jovencitas. Pero el gran Pan que describía Blasco, el fauno degenerado, está mas vivo que nunca. Es más, ahora lo llamamos San Valentín. Antonio Fernández nos muestra de dónde proviene todo esto. “La primera vez que el ser humano se entregó a la pasión de la suerte fue en las Saturnalias, las fiestas romanas de diciembre cuando la Navidad aún no existía. La segunda también fue en otras fiestas dedicadas al mismo dios pagano Saturno, las Lupercales. Las Lupercales eran un festival de fertilidad, tanto de animales, campos y personas, dedicado al dios Fauno, también llamado Pan, de gran y prolongada popularidad. Se celebraban el día 15 de febrero y eran fiestas lujuriosas, muy esperadas por los jóvenes, que elegían mujeres para que fueran sus compañeras de placer durante el año y que en muchas ocasiones terminaban por ser sus esposas. Para ello, introducían en una caja tarjetas con el nombre de las jóvenes. Por turno los varones metían la mano y sacaban el nombre de la «elegida». La primera Lotería de la historia es por tanto un sorteo de mujeres. Se celebraban el día 15 de febrero, con el sacrificio de un perro y una cabra como signo de purificación. A continuación cortaban la piel de los animales sacrificados en tiras, llamadas februa y se iniciaba el frenesí donde los sacerdotes corrían armados con los trozos de piel bañados en sangre, con los que golpeaban a las mujeres. Estas lo agradecían en la creencia de que así serían más fértiles y su cuerpo estaría mejor preparado para el embarazo y el parto. Del nombre de estas correas ensangrentadas, februa o purificación en latín, procede la denominación del mes de Febrero. Las carnes de las mujeres acababan de color púrpura, color que acabó representando a las que ejercían la prostitución en general, en especial la prostitución sagrada con los sacerdotes lupercos, quienes eran llamadas Lupas, de ahí lo de llamar lupanar a los prostíbulos o Lobas. Paradójicamente, hoy en día el color púrpura es el color del feminismo.” Para los más un dios y para algunos un demonio, así fue la vida de Blasco. En el ensayo de Ramiro Reig “La ascensión de Blasco a la gloria” publicado dentro de la Revista de la Casa Museo Blasco Ibáñez en 2004 leemos: “Era un dios, ¿me oís?, un dios, y además lo parecía: alto, fuerte, casi hercúleo, el pelo ensortijado, la cara de dios griego, un poco grueso tal vez... ¡Y una voz! ¡Qué voz!... Vosotros no habéis conocido a Blasco, el verdadero Blasco, era un dios. [...] Yo he visto a una multitud enorme no solo escucharle con la boca abierta, horas y horas, sino repetir, palabra por palabra, lo que iba diciendo... [...] Aún estoy viendo a Don Vicente, con su barba de profeta joven, arengarlos, en el balcón, entre las luces de las antorchas. Se agigantaba, todos aquellos hombres hubiesen dado hasta la última gota de sangre por él.” ............................................................ Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ ......... Capítulo 8 BLASCO en vivo!!! http://elargonautavalenciano.blogspot.com/2021/01/blasco-en-valencia.html Revista casa museo 2018 http://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2020/07/Revista-CMBI-1.pdf José María Carretero Novillo https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Carretero_Novillo EL NOVELISTA QUE VENDIO A SU PATRIA O TARTARIN, REVOLUCIONARIO. (TRISTE HISTORIA DE ACTUALIDAD) https://www.iberlibro.com/NOVELISTA-VENDIO-PATRIA-TARTARIN-REVOLUCIONARIO-TRISTE/972584489/bd Los sucesos de Vera de Bidasoa, una excusa para el directorio (1924) https://www.nuevatribuna.es/articulo/cultura---ocio/los-sucesos-de-vera-de-bidasoa-1924/20130425143317091346.html Vicente Blasco Ibáñez : ese diedro de luces y de sombras https://bivaldi.gva.es/es/consulta/registro.cmd?id=318 https://www.cervantesvirtual.com/obra/vicente-blasco-ibanez--ese-diedro-de-luces-y-de-sombras/ Confesiones, 1911- Parte I http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201911 Vicente Blasco Ibáñez : ese diedro de luces y de sombras https://bivaldi.gva.es/es/consulta/registro.cmd?id=318 https://www.cervantesvirtual.com/obra/vicente-blasco-ibanez--ese-diedro-de-luces-y-de-sombras/ REIG, Ramiro, “L’ascensió de Blasco a la glòria”, El País – Quadern [CV], 21-XBlasco Ibáñez i la identitat col·lectiva valenciana... 186 prometeo. Revista de la Casa Museo Blasco Ibáñez 2004, p. 2. PORQUE NO VOLVERÉ A COMPRAR LOTERÍA https://tecnicopreocupado.com/2015/12/22/porque-no-volvere-a-comprar-loteria/
06 El iniciado exiliado del 98 (0601) Joan Fuster, otro de los más reconocidos escritores valencianos, decía sobre Blasco Ibáñez: (0602) “A Blasco le ocurrió que, por una circunstancia cronológica clara, no fue ni carne ni pescado: ni del siglo XIX ni del siglo XX. Su mismo naturalismo resultaba «anacrónico»: tardío respecto de doña Emilia Pardo-Bazán, por ejemplo, y demodé cuando Azorín, Valle-Inclán y Baroja ganaban terreno…” (0603) Y es que prácticamente todos los escritores de la llamada generación del 98 se llevaron mal con Blasco y su nombre no está ligado a la generación que por méritos y año de nacimiento le correspondería. En “Blasco Ibáñez i la Generació del 98” de Francisco Fuster podemos leer: (0604) “Blasco tenía tres años menos que Miguel de Unamuno, dos menos que Ángel Ganivet, uno menos que Ramón María del Valle-Inclán, cinco más que Pío Baroja, seis más que Azorín, siete más que Ramiro de Maeztu y ocho más que Antonio Machado. Fue, por lo tanto, coetáneo de los autores citados, a la mayoría de los cuales, además, conoció personalmente…” “…a la altura de 1905, Blasco Ibáñez era, después de Galdós, «el novelista que más vendía en España, alcanzando tiradas que, como hemos visto, eran superiores a los 15.000 ejemplares»…” (0605) El público se casaba con Blasco pero la crítica y los literatos coetáneos no lo podían ni ver. [0606] “Por desgracia para él, y a pesar del incontestable de su triunfo comercial, sus novelas fueron tan bien recibidas por el público, como despreciadas por la crítica, que puso objeciones a su estilo, que juzgó de precipitado o poco elaborado, e incluso al uso de un castellano que, al estar influido por su bilingüismo, también fue tildado de incorrecto. En el caso concreto de su relación con el 98, la diferencia entre Blasco y los miembros canónicos de esa generación es que fueron estos los que, por diferentes razones, le lanzaron ataques personales o, en el mejor de los casos, mantuvieron con él una relación cordial que, sin embargo, nunca llegó al grado de la amistad. Por su parte, y ante las diferentes muestras de desconsideración que recibió de todos ellos, Blasco optó, casi siempre, por un elegante silencio…” 0607 Uno de sus archienemigos fue Pio Baroja. Coincidieron en un restaurante en París en 1913 como ya les contamos en el capítulo 4: 0608 “Diez años más tarde me aseguraba [Blasco Ibáñez] en París, en el café la Closerie des Lilas: «Que digan que yo soy un autor bueno o malo, me tiene sin cuidado. Lo que es evidente es que yo soy el escritor mundial que gana más dinero de la época»” 0609 Tanto es así que una vez fallecido Blasco un grupo de artistas valencianos envió un telegrama a Valle-Inclán en el cual se lo acusaba de ser una «víbora» que había pretendido envenenar la obra blasquista. Aquel 30 de enero de 1928 el diario Pueblo incluía también, además del citado telegrama, un durísimo artículo, elocuentemente titulado «Gritos de alcantarilla», en el cual tanto Baroja como Valle-Inclán eran atacados e insultados por la redacción del periódico, dolida por la recientísima muerte de quien lo había fundado el 1894: (0610 )“El señor Baroja, hipocondríaco panadero que cuando deja la tahona escribe sus libros, con el mismo desgaire que si se tratara de confeccionar un pan de Viena o una «pataqueta de huertas, ha hecho objeto a Valencia y a sus hombres, en su ya larga existencia de escritor, de insultos y vituperios a granel. Ora en su «Juventud Egolatría», bien en su «Mundo es Ansí», en «Silvestre Paradox» o en «Horas solitarias», las frases de desprecio y de burla a nuestra tierra se suceden en una página y en otra. A este hombre sombrío, la idea de que la raza nórdica es superior y de que los levantinos somos unos «chimpancés», se le ha subido a la cabeza. Profundamente democrático, hasta anarquista en algunos libros («Aurora Roja»), tiene enérgico empeño en sentirse superior y emparentarse con antepasados que en el cuaternario conocían la teoría de la relatividad, vertían de «frac» y se reunían en sus «clubs a la sombra de los grandes árboles». En cambio el miserable «chimpancé» levantino, cuando todo el centro de Europa era una selva abrupta y el hombre andaba a cuatro pies, ya había creado y destruido la civilización crètense, la egipcia, la babilónica, la griega, y había producido a Pericles, a Demóstenes, a Platón, a Aristóteles, a Praxiteles y a Sócrates. En cuanto al señor Valle Inclán, que piadosamente pone en duda la muerte de Blasco, por creerla un «bluf» más, le vemos de poco tiempo a esta parte muy neoyorquizado, muy siglo «Ollywood», en materia de llamar la atención. Si el «black-botón», el «charlestón» y todas esas danzas modernas necesitaran un digno representante en el mundo de las letras, elegirían sin duda a Valle Inclán. Sería de ver a este nuevo «barba de estopa», con su brazo hueco (lo del segundo «manco ilustre", decididamente ofende a los mancos auténticos y a la gloria), su voz campanuda y su aspecto de «covachuolista», dislocando las piernas y «esperpenteando» posturas. A nosotros no nos molestan las críticas en esta hora de dolor. Prueban además la fortaleza de corazón de los que reaccionan contra la estupidez de miles y miles de españoles y extranjeros que lloran la muerte del gran valenciano. Baroja y Valle Inclán, con su desenfado falsamente juvenil (no es joven quien quiere, sino quién puede) ponen una fea nota «clownesca» en medio del dolor general. Ellos no se enteran, по han querido enterarse que nosotros lloramos a don Vicente Blasco Ibáñez, al creador de Valencia, hecha a su imagen y semejanza al Gran Capitán de los ejércitos republicanos, al que en horas de angustia mientras esos «principes» de la escala zoológica de ambolaban su hipocondría, uno insultando desde las butacas de un teatro a una ilustre mujer y otro dando opiniones en revistas deportivas -abandonó su retiro de paz para poner su pluma y su corazón al servicio de una gran causa.” 0611 Francisco Fuster nos cuenta una de las etapas donde Blasco si mantuvo unos lazos amistosos con grandes figuras de la literatura durante su estancia en París en 1924: 0612 “En la capital francesa Blasco se encontró con un nutrido grupo de paisanos y viejos conocidos suyos, la mayoría de ellos de tendencia republicana. Allí estaban, además de Unamuno, los abogados y políticos Santiago Alba i Eduardo Ortega y Gasset, o los periodistas Carlos Esplá i Francisco Madrid, entre otros exiliados que acostumbraban a reunirse en el café de la Rotonde, en pleno Barrio Latino, donde mantenían una tertulia que se convirtió en una «especie de cuartel general de la resistencia a la dictadura, donde se reúnen los españoles desterrados y particularmente el Comité Revolucionario de París, calificación solemne atribuida por Primo de Rivera»” 0613 Blasco no convencía a su generación literaria pero entusiasmaba a un público ávido de emociones y encima, tal como sostiene Dolores Thion Soriano-Mollá en “Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia” parece que la buena estrella sonreía a Blasco: 0614 “…la novela del realismo y del naturalismo españoles en Francia entre 1880 y 1916, concluíamos que cuantitativamente las obras traducidas a la lengua francesa son relativamente pocas, con solo una veintena de títulos, frente a los centenares de volúmenes editados en aquellos treinta y seis años.” “…el autor mejor representado en lengua francesa entre 1880 y 1914 fuese Vicente Blasco Ibáñez.” [0615] El propio Blasco nos cuenta como fueron sus primeros intentos de publicación en Francia: [0616] “Tuvieron que pasar ocho años para que Terres maudites (La barraca), que es una obra muy fuerte y hermosa, agotara su primera tirada de 2.500 ejemplares, y Calmann Lévy [importante editor francés] me dijo una vez: "Si pensara como un hombre de negocios, no imprimiría más obras de Blasco. Los libros que no se venden no son cosa de librerías.” (0617) ¿Y qué pasó para que el autor valenciano empezase a vender libros como churros en Francia? Sencillamente, un libro suyo cayó en las manos de George Hérelle, profesor del Liceo de Bayona y célebre traductor, quien se enamoró de la obra a primera vista. Hérelle insistió en comunicarse con Blasco, ya que este no respondió a sus primeras cartas. Hérelle fue un gran baluarte para la introducción del novelista en la prensa francesa, como plataforma de difusión de sus traducciones y de publicidad indirecta a través de las reseñas y críticas, las cuales fueron apareciendo en Le Temps y en Le Siécle, entre otras. Pero una vez franqueadas las primeras puertas con la salida de La barraca, las demás cabeceras fueron poco a poco atendiendo las siguientes traducciones. Nos encontramos ante un caso interesante de subordinación del autor al traductor, y no únicamente por un simple retoricismo o por una falta de interés. A pesar del limitado conocimiento de francés que tenía Blasco en aquel entonces, le confesó a Hérelle que valoraba enormemente las brillantes versiones de su obra, argumentando que Hérelle tenía más renombre como traductor que él como autor. Después de haber ajustado, entre otras cosas, los primeros capítulos en la versión francesa de La barraca, el autor, lleno de entusiasmo, comunicaba lo siguiente a su traductor: (0618) “La barraca gana más y resulta mejor que en el original, lo que pocas veces se ve en las obras traducidas. Todas las modificaciones que usted marca en su carta y que he compulsado en el original de la traducción, parecen acertadísimas. Es usted un artista, más aún que un traductor, y sabe dar el golpe maestro que embellece la obra.” 0619 Así empezó a manar dinero del sifón francés, y Blasco siempre conservó ese afán por el dinero fácil. La profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón descubrió en 2010 como tras el seudónimo R. Martínez Lafuente se escondía el mismísimo Blasco Ibáñez y, en menor medida, Fernando Llorca Die, yerno del novelista y socio, junto con Francisco Sempere Masiá de su editorial Prometeo. Leíamos la noticia en varios medios, curiosamente con el 33 como bandera: (0620) “El escritor valenciano Vicente Blasco Ibáñez creó un pseudónimo bajo el cual firmó traducciones al español de obras de William Shakespeare que fueron “copiadas” de otras adaptaciones realizadas anteriormente, según desvela en El País la profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón. …en esas cartas, en las que el autor, político y periodista valenciano se refiere al plan de traducción: “Hay que ver lo que representa dar todo Shakespeare en tan poco precio y con obras desconocidas en su mayoría. Yo, tomando de unas ediciones y otras (sobre todo valiéndome de una edición antigua), tengo 33 dramas en español corregidos. Solo habrá que traducir tres a última hora, en el último tomo”, manifestaba Blasco.” (0621) Para el que no lo sepa este número representa la edad de la Maestría en la Iniciación de Jesús (su muerte, resurrección y ascensión), aparte de otros detalles esotéricos. El "33" simboliza el grado alto de consciencia espiritual por parte del ser humano”. Cuando hablamos de masones, y Blasco lo era, el 33 es el número de los maestros iniciados, el más alto grado dentro de la masonería. El 33 no se puede descomponer en una sola cifra ya que pertenece al grupo de los números maestros. En numerología están los números básicos que van del 1 hasta el 9 y luego números especiales que no se pueden reducir a una sola cifra, números llamados “maestros” 11, 22, 33. Si reducimos el 11 a un único dígito obtenemos el 2 (11=1+1=2) con lo que conseguimos es la perfecta combinación de la mayor energía masculina que se concentra en el 1 (Zeus) con la mayor energía femenina que se encuentra en el dos (Hera). Dicha unión supone que la energía que emana el once supera a cualquier otra numeración pese a que las energías del 1 y del 2 son totalmente opuestas. El número maestro 33 combina los poderes más competentes de expresión y realización (la del número 3) con el maestro y el tutor por excelencia, el 6. El rosario islámico tiene 33 cuentas. En la mitología hindú el 33 expresa perfección. Una de las cifras preferidas de todo masón que se precie y que desea lucir dentro de su estrella de seis puntas. Su verdadera esencia constituye la última etapa en la evolución espiritual, el Maestro de maestros. El 33 es el número maestro que en su perfección no se puede transformar en un 6. Tenemos un 6 infértil, un 6 egoista, un 6 que no es humano sino inhumano, del demonio del ego. Ese 33 representa plenamente a Blasco Ibáñez, en su maestría, en su autoidolatria, en su soberbia que lo impulsaba a ganar más y más dinero. 0622 El periodista José María Carretero Novillo más conocido como “el caballero audaz” nos describe en el libro que dedicó a Blasco como muchas de sus obras recordarían a otras anteriores. (Video Berlanga parte 2 50:07 a 50:18 Zola.mp4) 0623 “Yo le sabía en París amargado, contrariado. Los franceses no le conocían. El que más sabe de él, le cree un mediano imitador de Zola, cuya forma plagia: un discípulo de esos que ponen en ridículo al maestro. Allí nadie ignora que firmó como suyas las traducciones de Michelet, que en- tró a saco en «Salambó» para escribir su «Sónnica»; en Picabea para su «Catedral»; en «El Toreo», de Abreu, para su «Sangre y Arena», y en «Brujas la muerta» para «La Maja desnuda».” (0624) El reportero Enrique González Fiol (El Bachiller Corchuelo) a principios del año 1911 entrevistó a Blasco y allí podíamos escuchar en boca del propio escritor sobre su amor al dinero: (0625) “El artista debe aspirar á enriquecerse. Cuanto más dinero posea, con más comodidad puede laborar, mayor cultura podrá adquirir, mayores facilidades hallará para buscar impresiones. No hay nada que atrofie tanto la imaginación y aun la retina, como la vida sedentaria, cual es morar siempre en una misma localidad. El artista y particularmente el escritor, debe cambiar frecuentemente de horizontes físicos y sociales. De este modo, impresiones y sensaciones que cuando se permanece en un sitio, no llegan á percibirse, durante la ausencia parece como que se revelan y adquieren relieve y colorido, y al regresar, lo que dejamos tiene algo de novedad é impresiona mejor. Y el viajar cuesta mucho dinero…” (aqui hay dos videos de aquel partido “Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France.mp4” y “Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926.mp4”) (0626) Nos cuentan otra anécdota pecuniaria sobre Blasco en un texto recogido en la web casa museo Blasco Ibáñez titulado «el partido del siglo»: (0627) “Uno de los retratos más amenos e interesantes de la existencia y las relaciones personales de Blasco Ibáñez durante sus años en la Costa Azul, es el que incorporó Josep Pla en su famosa colección de semblanzas Homenots. A través de él, el lector puede seguir los pasos de Blasco por ambientes bien distintos a los que alimentaron, por ejemplo, la imaginación creadora plasmada en sus novelas y cuentos valencianos. El mismo Pla verificaría de primera mano cómo el éxito y, en consecuencia, la bonanza económica habían contribuido decisivamente en los nuevos hábitos diarios del novelista, así como influyeron en la orientación de su literatura. Y fue también Pla quien refirió una anécdota que ponía de manifiesto la popularidad internacional del autor valenciano: Estaban a punto de empezar en Cannes los partidos internacionales de tenis de la Copa Davis. En el curso de la comida Blasco se sacó un telegrama del bolsillo. Era un telegrama de un sindicato de diarios americanos que ofrecía al autor de La barraca setecientos dólares por cada telegrama que tuviera a bien enviarlos sobre los partidos del concurso que señalábamos. ¿Aceptaría Blasco un ofrecimiento que, de forma puntual, le iba a transformar en comentarista deportivo? Teniendo en cuenta que el novelista confesó no tener idea alguna del citado deporte, tanto Plá como los ilustres comensales que le acompañaban a la mesa en el Café de París, quedaron extrañados por el cariz de su respuesta: «La proposición se tiene que aceptar aunque solo sea por cortesía. Haré los telegramas». Sobre tal escrito o escritos y su autoría Josep Pla arrojó una sombra de duda, al decir: «Blasco no hizo los telegramas, pero los hizo hacer a otro, los firmó y los cobró. Lo único desagradable es que tuvo que ir a Cannes y asistir a los partidos».” 0628 Blasco Ibáñez murió rodeado de lujos en un entorno de lujo. Siempre apreció el dinero como podemos leer en un breve artículo de 1916 que abrió la sección ¿Cómo y cuándo ganó usted su primera peseta? de la revista madrileña La Semana: 0629 “Mi primera peseta fué doble y me la dió la Iglesia. Para los que conocen mis ideas esto exige una pronta explicación. Tenía yo nueve años, estaba en un colegio de Valencia. El maestro de música había formado un coro con los alumnos de mejor voz, y entre ellos figuraba como tenor el que esto escribe… …Muchos años después, al leer en Aristófanes otros autores griegos la descripción de las Tesmóforias, fiestas en honor de las diosas, a las que sólo asistían las mujeres, me he acordado del mes de María en la parroquia de San Bartolomé. Pero el diablo, envidioso de los ángeles que cantaban en las alturas, rondaba en torno de ellos, sugeriéndoles las más perversas intenciones. …Empezábamos a perder el recuerdo de estas nueve tardes de diversión, cuando el maestro de música nos hizo comparecer ante una mesa adornada con una pequeña columna de monedas blancas... Y empezó el reparto: dos pesetas por cantor. Salimos a menos de real por función; la Iglesia no se corría mucho al retribuir loores María. Pero nosotros quedamos estupefactos ante la inesperada evidencia de que nuestras gargantas valían dinero…(poner video Belcebú.mp4) En Carnaval me disfrazaba de demonio, alquilando en una ropería el vestido más costoso; en cada estación exigía nuevos trajes, ante el menor intento de resistencia, exclamaba amargamente: «Y las dos pesetas?»…” (069c Blasco demonio Benlliure desde Italia.jpg)(video Moloch, from Calabria (1914).mp4) (0630) José Jerique corresponsal de Le Figaro escribe “Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez”: (0631) “—Realmente, Los cuatro jinetes del Apocalipsis (0631a)—dice el maestro— (0631b) es uno de mis mejores éxitos. “…Vendí los derechos de traducción a una de las casas editoriales más reputadas de Nueva York. Recibí dos ejemplares de la traducción, con el título The Four Horsemen of the Apocalypse, hermosa edición, elegantemente impresa y encuadernada, a dos dólares ejemplar. Pasaron dos meses y un día recibí un fajo enorme de cartas de los Estados Unidos, de misses, que pedían mi retrato y me preguntaban si yo era yo.” “…En octubre habían salido veinte ediciones, y desde entonces la venta es de 20 o 30 mil ejemplares por mes. Los agentes literarios y los editores envidiosos del mío se encargan de hacerme saber la marcha vertiginosa del libro. Hoy van vendidos más de doscientos mil ejemplares, y muchos me dicen que llegará a trescientos mil. ¡A dos dólares! Mi éxito es fulminante, si se quiere brutal, que, como ves, me tiene aturdido…” (0631c) “—¿Y el éxito pecuniario? (0631d) —Es lo amargo. Mis anteriores novelas las cedí en un 15 por 100 cada ejemplar. En esta me dieron mil dólares por los derechos. No ha sido buen negocio. De haber hecho como con las anteriores, el 15 por 100 representaría una fortuna: trescientas mil pesetas. Siempre el dinero de la literatura parece embrujado. Cuando se le espera no viene, y cuando viene inesperadamente, tuerce el camino y va al bolsillo de otro. No puedo, sin embargo, quejarme, porque mis editores son unos caballeros. Hace pocos días recibí un cable que empezaba así: «Dígnese aceptar, como compensación, el regalo de…» Hay que advertir que yo no me había quejado. ¿Y la forma del envío? ¡Unos caballeros! (0631e) —Y ¿cuánto? Blasco Ibáñez hace un gesto. Y añade: (0631f) —Eso solo puede interesarme a mí, y estoy satisfecho. Además, si los Cuatro jinetes siguen galopando por todos los Estados Unidos espero que lleguen otros cables como este.” (0632) Vicente Molina Foix nos habla de su negro de Cuenca en el articulo “Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla”: (0633)“Comparado por tanto con Azorín, con Valle-Inclán o Unamuno, Blasco Ibáñez no tenía acomodo en aquel parnaso de grandes artífices de la lengua. Pero Blasco era consciente de tal cortapisa, “la carcoma de su vida”. Y como en Madrid, si creemos el relato de Josep Plá, al valenciano se le tomaba por “un escritor basto”, en la última década de su vida, ya multimillonario, Blasco tuvo albergado full time en su lujosa villa de Mentón, junto a los mecánicos de sus grandes coches, las gobernantas y los cocineros de más postín, a un ex seminarista de Cuenca en calidad de secretario perpetuo. O más que eso. Según Plá, a Blasco le indignaba que a Pío Baroja, por citar a un rival de escritura no muy depurada, sus colegas le perdonasen “las más grandes extorsiones al espíritu de la lengua”, mientras él se veía obligado a demostrar a diario que era un escritor “situado dentro del diccionario y de la Gramática de la Academia, que sabía que el verbo haber se escribe con h”. De ahí la contratación del mortecino pero escrupuloso corrector, “que se encargaba del pluscuamperfecto” (Plá dixit) en cada una de las páginas de cada una de sus numerosas novelas de los últimos años, más impecables gramatical y sintácticamente pero “hervidas y evaporadas” después de pasar por las manos conquenses.” (0634) En honor a la verdad los últimos años del escritor fueron años de enfermedad como podemos leer en la revista número 2 de estudios sobre Blasco Ibáñez: (0635) “Esto es, más allá de la gloria y la bonanza económica, en el ánimo del escritor se alojaba una tristeza inconfesable que, en primera instancia, cabría atribuir a unos problemas de salud. Recordemos que en 1907 Blasco acude al balneario de Vichy para probar los efectos benéficos de sus aguas, atendiendo a las recomendaciones de su médico sobre una posible dolencia hepática. Si por aquel entonces su estancia en dicha estación termal sería la primera etapa de un largo viaje hasta Constantinopla, cuyo itinerario quedó plasmado en el libro Oriente (1907), un año después escribe desde la misma ciudad francesa informando a su esposa del tratamiento que está recibiendo para afrontar su diabetes. Se trataba de una dolencia que le afectó física y psicológicamente, determinando sus costumbres y aficiones. En principio, tuvo que refrenar su apetito y limitar su dependencia del tabaco. Hacia 1914 el seguimiento de la dieta empezó a dar sus resultados. Sin embargo, la enfermedad se le recrudeció en 1916, siendo uno de los motivos por los que eligió la Costa Azul como futuro lugar de residencia. Ahora bien, la evolución progresiva de la diabetes le produjo una hemorragia en su ojo derecho cuyos efectos no logró mitigar una operación de retina. Así, en su correspondencia privada de 1927, se refleja el impacto que los problemas oculares estaban dejando en su misma forma de trabajar. Condicionado por la salud y con signos evidentes de vejez prematura, el escritor necesita contar con el apoyo de un secretario al que le dicta sus invenciones sin poder controlar su innata facundia.” (0636) Nosotros, desde Buscadores de la verdad, estamos realizando este trabajo de investigación de forma totalmente altruista. No pretendemos arruinarle a nadie su reputación ni mucho menos difamar, pero es que el alma de las personas a veces no deja lugar a dudas como bien expresó Josep Plá: (0637) “Blasco vivía en este mundo en medio de un proceso alternado de melancolía depresiva y de exaltación verbal. Tan pronto parecía un búho moribundo como un emperador romano febricitante. Era un mundo para él totalmente ininteligible, como él era ininteligible para la gente que le rodeaba.” “Cuando hablo de la ininteligibilidad de los elementos de ese mundo, quiero decir que Blasco no era entendido ni cuando hablaba. Su castellano hacía morir de risa, y su francés era el de una vaca española. Tendía a convertir la lengua de Cervantes y de Racine en espesos y extravagantes patois. Lo que sabía realmente –era lo único que sabía– era el magnífico valenciano de su madre –y por eso cuando trataba de hacerse entender lo hacía en función del valenciano. El resultado era abracadabrante, pero inescamoteable; no se habría podido producir otro. A veces se producían situaciones auténticamente cómicas, situaciones ocasionadas por momentáneos desinflamientos del sentido del ridículo, que provocaban en las fisonomías de sus interlocutores risitas nunca suficientemente vagosas para no ser sarcásticas. El escritor entraba en la natural depresión anímica y hacía algo curioso: de vez en cuando daba una mirada de reojo a la roseta de la Legión de Honor que llevaba al ojal de la solapa (esquina izquierda) de su americana. Sin duda la contemplación del honor objetivizado en un botoncito rojo le producía una sensación de seguridad y contribuía a mantenerle los espíritus en una posición tensa.” ……………………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ …… Capitulo 6 Joan Fuster sobre blasco. https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/0-PORT.PROLOG.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/I-FUSTER-BLASCO_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/2-BLASCO-FUSTER_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/3-ACCIO-BLASCO_compressed.pdf Blasco Ibáñez i la Generació del 98 https://roderic.uv.es/bitstream/handle/10550/85159/05_Fuster_Espill-66.pdf?sequence=1 El Pueblo : diario...: diario republicano de Valencia - Año XXXVI Número 12451 - 1928 enero 30 (30/01/1928) https://prensahistorica.mcu.es/es/consulta/registro.do?id=11000220299 Blasco Ibáñez en francés: Una aproximación. Mª del Pilar Blanco García https://web.ua.es/es/histrad/documentos/las-letras-valencianas/09-blasco-ibanez-en-frances-pilar-blanco.pdf Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia / Dolores Thion Soriano-Mollá https://www.cervantesvirtual.com/obra/novelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842/ https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi195WHydL-AhWM76QKHbDrAhgQFnoECAsQAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.letrasgalegas.org%2FdescargaPdf%2Fnovelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842%2F&usg=AOvVaw39ihgL0DXzCrwzrVW_ETt8 Blasco Ibáñez plagió obras de Shakespeare https://www.elperiodicomediterraneo.com/sociedad/2014/03/13/blasco-ibanez-plagio-obras-shakespeare-41913070.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare https://www.levante-emv.com/cultura/2014/03/12/blasco-ibanez-plagio-traducciones-shakespeare-12793600.html Cultura: El plagio de Blasco Ibáñez https://www.ivoox.com/cultura-el-plagio-blasco-ibanez-audios-mp3_rf_2919989_1.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare con un seudónimo https://www.elmundo.es/comunidad- valenciana/2014/03/12/532088e022601d96078b4574.html Sobre imitación literaria Baroja y Blasco Ibáñez https://helvia.uco.es/bitstream/handle/10396/16668/8.pdf?sequence=3&isAllowed=y Muocas; crítica y sátira Autor:Emilio Bobadilla pag 277 (plagio de la obra EL PROBLEMA NACIONAL de RICARDO MACIAS PICAVEA sobre la decadencia nacional para ponerlo en La Catedral) https://books.google.es/books?hl=es&id=2hGEUkKrbqEC&focus=searchwithinvolume&q=Catedral José María Carretero Novillo https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Carretero_Novillo EL NOVELISTA QUE VENDIO A SU PATRIA O TARTARIN, REVOLUCIONARIO. (TRISTE HISTORIA DE ACTUALIDAD) https://www.iberlibro.com/NOVELISTA-VENDIO-PATRIA-TARTARIN-REVOLUCIONARIO-TRISTE/972584489/bd LA FERTILIDAD DEL 42, LA INFERTILIDAD DEL 33 Y EL HOMBRE COMO UN 6 https://tecnicopreocupado.com/2023/01/01/la-fertilidad-del-42-la-infertilidad-del-33-y-el-hombre-como-un-6/ Confesiones, 1911- Parte I http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201911 BI en «el partido del siglo» http://www.casamuseoblascoibanez.es/bi-en-el-partido-del-siglo/ Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France https://www.youtube.com/watch?v=8HSsH7V3Ml8 Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926 https://www.youtube.com/watch?v=XOlbEpMlumA Su primera peseta http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201876 José Jerique Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez https://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2021/02/Jose-Jerique-Desde-Montecarlo.-Una-visita-a-Blasco-Ibanez-El-Figaro-1919-3-6.pdf REVISTA DE ESTUDIOS SOBRE BLASCO IBÁÑEZ. Revista numero 2 http://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2018/01/Revista-n%C2%BA2.pdf Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla https://letraslibres.com/revista/blasco-ibanez-entre-galdos-y-pla/ Así pues, cuando hablo de la obra literaria de este autor... (Josep Pla i Casadevall, Casa museo de Vicent Blasco Ibáñez) https://www.endrets.cat/obres/homenots-tercera-serie/1113 Revista La Semana 20-5-1916 https://hemerotecadigital.bne.es/hd/es/viewer?id=04f77d5d-5d62-45e6-b598-bd52eeb7e01a
Vun November u lancéieren d'Rotonden zu Bouneweg sech an hir bis elo vläicht gréissten Transformatiouns-Aventure. Déi mëttlerweil schonn iwwer 20 Joer oppe Rotonde 1 kritt duebelt Glas an eng Opfrëschung, wärend an d'Rotonde 2 nei, këschtefërmeg openee gestapelt Raimlechkeete gebaut ginn. Bannescht a baussecht Espacë wäerte verschmëlzen, an och de Parvis soll mat agebonne ginn, an ënner anerem ee Restaurants-Gebai mat Daachterrass an en Accueil bidden. Esouwäit emol kuerz zum Architektoneschen. Mee wéi eng Ziler stiechen hanner deem Ëmbau, a wéi wäert e sech op de Programm auswierken? De Marc Clement huet mam Direkter vun de Rotondë Steph Meyers geschwat.
Tous les jours, à 8h15 dans le Morning de Talri, on te fait découvrir une rue, une place ou une oeuvre d'art alsacienne et Radio Bienvenue Strasbourg devient Radio Bern Stéphane.
In de eerste uitzending van 2024 hadden we meteen al live gasten in de studio. Vier kinderen van jeugdtheater Rotonde en hun regisseur en scriptschrijver Jan Dua waren naar de studio gekomen om ons alles te vertellen over de nieuwe productie Alice In Wonderland, nee niet het welbekende verhaal van Lewis Carroll maar wel gebaseerd op het meisje Alice. Op 13 en 14 januari spelen ze dit stuk in Moller Juvenaat. Meer info: www.jeugdtheaterrotonde.nl
Ainsi, voilà, pour cette fin d'année : Anne-Laure et moi vous emmenons à Montparnasse, à la découverte de ce quartier des artistes. Quels premiers noms vous viennent à l'esprit ? Ceux des artistes ou bien de leurs cafés de prédilection comme le Dôme, la Coupole ou la Rotonde ? Bien sûr, nous allons les croiser : Picasso, Modigliani, Soutine, Marie Vassilief, Chagall, et tous les autres. www.onethinginafrenchday.com
Grande notizia: ho fatto benzina da sola! Se siete di quelli o di quelle che voi bravissimi in macchina, fate tutto, eccetera eccetera, smettete di ascoltare perché non è per voi questa puntata.Questa puntata è per le persone che, come me (e so che esistono), hanno guidato per molto tempo in un paese straniero, dove magari si guidava dalla parte opposta della strada, e poi sono arrivati in Italia e hanno ripreso in mano la macchina. Non è così semplice come si pensi.TRASCRIZIONE [ENG translation below]Grande notizia: ho fatto benzina da sola. Se siete di quelli o di quelle che voi bravissimi in macchina, fate tutto, eccetera eccetera, smettete di ascoltare perché non è per voi questa puntata.Questa puntata è per le persone che, come me (e so che esistono), hanno guidato per molto tempo in un paese straniero, dove magari si guidava dalla parte opposta della strada, e poi sono arrivati in Italia e hanno ripreso in mano la macchina. Non è così semplice come si pensi.Io fino a poco tempo fa ancora dovevo fare uno sforzo di concentrazione pazzesco quando arrivavo nelle rotonde, perché se mi capitava di prendere una rotonda sovrappensiero mi buttavo dalla parte sbagliata della strada. Ma a parte questo, che poi imparare a guidare dalla parte giusta della strada è il minimo, quello che veramente frega noi guidatori di altri posti, è il modo in cui, ad esempio, si fa benzina.Io ricordo, giovanissima, ragazzina, mi trovavo in Germania in macchina e io, da cretina, ho fatto benzina e volevo spostarmi per liberare la pompa, non sapendo che in Germania invece si lascia lì la macchina, si va dentro, si paga e poi si prende la macchina, quindi mi sono messi a rincorrerli come se volessi scappare senza pagare.Ecco, qui in Italia c'è questa cosa qua che tu metti la carta di credito e ti tolgono 100€ dalla carta, o comunque si prendono la possibilità di usare questi 100 euro. Io ho sempre terrore di fare la cosa sbagliata, che non funziona, che mi mangia la carta, per cui finora, e sono quasi sette anni che sono rientrata, riuscivo sempre a farmi fare benzina da mio marito.Diciamo che, in generale, a me fare benzina non mi fa impazzire, non è una cosa che mi piace tantissimo, però ecco, adesso ho preso il coraggio e ho fatto io benzina. E sì, ripeto, sono cose piccole, minuzie, ma io ero abituata, andavo in Australia facevo benzina spostava la macchina, la portavo a lavare eccetera eccetera perché conoscevo il modo in cui funzionava il sistema e lì ad esempio, in Australia tu fai benzina e poi paghi quello che hai consumato, non è che paghi di più e non è che devi dare delle cauzioni che altrimenti scappi.Penso che sia una cosa molto italiana questa e a me le cose molto italiane mi mettono un po' di ansia perché non so mai come funzionano, se che magari, sulla carta dovrebbero funzionare, però c'è sempre qualcosina che magari poi non funziona ti trovi lì, o mi trovo io lì da sola, in mezzo a non so dove, con la cartina in mano, con la cartina infilata dentro, magari non mi prende neanche il telefono. Ah, non fatemici pensare.Comunque ho fatto quasi il pieno e sono pronta ad andare. Persone come me in ascolto che hanno questo problema, non vi sentite sole perché siamo in tanti, anche se non lo ammettiamo.TRANSLATIONGreat news: I pumped gas myself. If you are one of those people who are very good in the car, do everything themselves, etc. etc., stop listening because this episode is not for you.This episode is for people who, like me (and I know they exist), have driven for a long time in a foreign country, driving maybe on the opposite side of the road, and then came to Italy and went back to driving. It is not as simple as you think.Until recently I still had to make an insane effort to concentrate when I came to roundabouts because if I happened to approach the roundabout absentmindedly, I would end up on the wrong side of the road. But aside from that, I mean, learning to drive on the correct side of the road is not a big deal, what really rubs us drivers from other places the wrong way, for example, is the way you pump gas.I remember, as a very young girl, I was in Germany in the car and, as a moron, I pumped gas and wanted to move the car to clear the pump, not knowing that in Germany you must leave the car at the pump, go inside, pay and then drive the car, so they started chasing me as if I wanted to run away without paying.Here, in Italy, there is this thing here that you insert your credit card and they take 100€ off your card, or at least they take the option of using this 100€. I'm always terrified of doing the wrong thing, that it won't work, that it will eat my card, so up until now, and it's almost seven years that I've been back, I could always get my husband to pump gas.Let's say that, in general, I'm not crazy about pumping gas, it's not something that I'm very fond of, but here, now I took the courage and pumped gas myself. And yes, I repeat, they are small things, minutiae, but I used to when I lived in Australia I used to pump gas, move my car, I used to take it to wash and so on and so forth because I knew the way the system worked there, for example, in Australia you get gas and then you pay what you consumed, it's not that you pay more and it's not that you have to give deposits that otherwise you run away.I think it's a very Italian thing and to me, the very Italian things make me a little bit anxious because I never know how they work, if that maybe, on paper it should work, however there's always a little something that maybe then it doesn't work you find yourself there, or I find myself there stuck, alone, in the middle of I don't know where, with the credit card in my hand, with the card inserted, maybe I don't even get phone reception. Ah, don't get me started on that.Anyway, I've almost filled up the tank and I'm ready to drive. People like me listening who have this problem, don't feel alone because there are so many of us, even if we don't admit it.
TALENT RAJE Frogs in Throat (prononcer frogs in frot) Gagnants du Tremplin du Luberon Festival et du Donzair Festival - rien que ça ! - les frogs in throat sont au micro de Pierre Avril avant leur venue au Loco des Passagers du 20 Octobre à la Rotonde de Chateaurenard Pratiquant un rock entre 60's/70's psyché et rock inspiré par Nick Cave et PJ Harvey, les "chats dans la gorge" (frogs in throat en français) Vont faire parler d'eux très bientôt avec un deuxième album en cours d'enregistrement. Morceau après interview : Lulu Cranes murder enregistré live au donzair festival au mois de Juillet
Ha inizio oggi Host 2023, la fiera mondiale dedicata ai settori dell'accoglienza e della ristorazione, che si terrà dal 13 al 17 ottobre a Milano e alla quale parteciperà anche FIPE-Confcommercio, la Federazione italiana Pubblici Esercizi.
Créée en 1963, l'Institut des Nations Unies pour la Formation et la Recherche (UNITAR) célèbre cette année ses 60 ans Son but, trouver des solutions de formation afin de renforcer les capacités en terme de connaissance des populations ainsi que des diplomates issus des pays les moins avancés, les petits états insulaires et les groupes et communautés vulnérables. Une série d'événements a lieu à Genève dont une exposition de photos débutée hier à la Rotonde du Mont-Blanc. Nous en parlons avec Akiko Perona cheffe de l'unité de soutien à la communication et à la technologie de l'information.
Gebiedsontwikkeling.nu vroeg Sander van Wettum beeld te maken van verschillende stadsranden in Nederland voor de zomereditie 2023 van de Gebiedsontwikkeling.krant. Van Wettum laat zien dat hij niet alleen mooi beeld kan maken, in dit fragment vertelt hij wat hij ziet bij een rotonde aan de rand van Assen die nergens naartoe leidt.
Cory Hanson heescht de Kënschtler, deen den Owend (17.8.) live an de Rotonden am Kader vun de Congés annulés op der Bün steet. Et ass e ganz villsäitege Museker, dee mat senger Band Wand Psychedelesches spillt an als Solo-Artist gär emol d'Grenze vum Genre Country sprengt. D'Claudine Muno ass live an de Rotondeë fir mam Cory Hanson viru sengem Optrëtt e Gespréich ze féieren.
Festival de Karlovy Vary : entretien avec Jean-Gabriel Périot - Rotonde saints-Pierre-et-Paul à Budeč
Festival de Karlovy Vary : entretien avec Jean-Gabriel Périot - Rotonde saints-Pierre-et-Paul à Budeč
Jeugdtheatergroep Rotonde zal 7, 8 en 9 juli a.s. hun nieuwste stuk Gelogen Waarheid gaan spelen. Deze enthousiaste club spelers zullen in theater Den Enghel deze moordmysterie gaan uitvoeren. Een zestal jonge actrices waren bij ons in de studio om te vertellen waar het stuk over gaat en welke rollen we kunnen verwachten en natuurlijk hopen ze alle avonden uit te kunnen verkopen. Kijk voor meer info op: jeugdtheaterrotonde.nl
Sujets traités : Mobilisation face à la réforme des retraites : elle continue aujourd'hui. Des rassemblements sont prévus cet après-midi à 14h à Strasbourg et à 18h30 à Mulhouse. Des perturbations sont aussi toujours attendues dans les écoles, cantines et au niveau des transports en commun. A Munster, le 10ème Forum de l'Emploi se tient ce matin, de 09h à 12h30. La Communauté de communes de la Vallée de Munster, en partenariat avec Pôle Emploi et le Club des Entrepreneurs, vous donne rendez-vous dans les locaux de la Maison des Services. Une quinzaine d'entreprises locales de tous secteurs seront présentes pour proposer une trentaine d'offres d'emploi. Pensez à vous munir de votre CV. Au sujet des travaux de la route du col de Sainte-Marie-aux-Mines, une réunion publique se tient ce soir à 18h à la Rotonde. Du 10 juillet au 03 octobre prochain, la voie sera fermée après un affaissement de chaussée. 2,5 kilomètres de chemins sont à reprendre. Pour les riverains du Hergauchamps et de la Côte d'Echery, une déviation sera mise en place. Les autres automobilistes devront emprunter le tunnel ou passer par le col des Bagenelles. Sélestat aux couleurs des JO ! Dans le cadre de la semaine olympique et paralympique, mais aussi du label « Terre de Jeux 2024 », divers ateliers et activités sportives ont été proposés la semaine dernière à près de 250 élèves des écoles Jean Monnet et Quartier Ouest, mais aussi du collège Mentel. Les enfants ont pu s'essayer à diverses disciplines, en mettant l'accent sur l'inclusion, comme nous l'explique Hélène Seyller, éducatrice sportive à la Ville de Sélestat. L'inclusion était aussi à l'honneur pour 8 élèves de l'IME Arc-en-ciel à Sélestat, qui ont pu participer à ces activités avec les autres enfants. Une expérience intéressante, selon Elodie Schmidt, éducatrice de l'établissement. Cette journée a su mobiliser différents acteurs du territoire, avec la participation du club d'escrime de Sélestat, le SAHB, le District d'Alsace de football, la boccia Grand Est et l'association arts sourds et signes. Toujours à Sélestat, vous n'avez plus que quelques jours pour inscrire vos enfants dans les écoles maternelles et élémentaires. Les parents concernés sont invités à se rendre sur le site selestat.fr et à suivre les démarches indiquées, avant le mercredi 19 avril. Faits divers, le jeune motard qui avaient gazé deux gendarmes lors de son interpellation à Colmar le week-end dernier a été condamné mardi à neuf mois de prison, dont 5 avec sursis. Il était notamment poursuivi pour refus d'obtempérer, circulation sans assurance, transport d'arme non autorisée, rébellion et violences sur deux militaires. Pâques joue les prolongations à Colmar ! De nombreuses animations sont encore prochainement prévues à l'occasion de cette fête mais aussi pour célébrer l'arrivée du printemps. Johny Royer, chargé de communication à l'office de tourisme de Colmar, nous présente le programme des deux prochains week-ends ! Retrouvez toutes les informations sur le site internet printemps- colmar.com
Sujets traités : Mobilisation face à la réforme des retraites : elle continue aujourd'hui. Des rassemblements sont prévus cet après-midi à 14h à Strasbourg et à 18h30 à Mulhouse. Des perturbations sont aussi toujours attendues dans les écoles, cantines et au niveau des transports en commun. A Munster, le 10ème Forum de l'Emploi se tient ce matin, de 09h à 12h30. La Communauté de communes de la Vallée de Munster, en partenariat avec Pôle Emploi et le Club des Entrepreneurs, vous donne rendez-vous dans les locaux de la Maison des Services. Une quinzaine d'entreprises locales de tous secteurs seront présentes pour proposer une trentaine d'offres d'emploi. Pensez à vous munir de votre CV. Au sujet des travaux de la route du col de Sainte-Marie-aux-Mines, une réunion publique se tient ce soir à 18h à la Rotonde. Du 10 juillet au 03 octobre prochain, la voie sera fermée après un affaissement de chaussée. 2,5 kilomètres de chemins sont à reprendre. Pour les riverains du Hergauchamps et de la Côte d'Echery, une déviation sera mise en place. Les autres automobilistes devront emprunter le tunnel ou passer par le col des Bagenelles. Sélestat aux couleurs des JO ! Dans le cadre de la semaine olympique et paralympique, mais aussi du label « Terre de Jeux 2024 », divers ateliers et activités sportives ont été proposés la semaine dernière à près de 250 élèves des écoles Jean Monnet et Quartier Ouest, mais aussi du collège Mentel. Les enfants ont pu s'essayer à diverses disciplines, en mettant l'accent sur l'inclusion, comme nous l'explique Hélène Seyller, éducatrice sportive à la Ville de Sélestat. L'inclusion était aussi à l'honneur pour 8 élèves de l'IME Arc-en-ciel à Sélestat, qui ont pu participer à ces activités avec les autres enfants. Une expérience intéressante, selon Elodie Schmidt, éducatrice de l'établissement. Cette journée a su mobiliser différents acteurs du territoire, avec la participation du club d'escrime de Sélestat, le SAHB, le District d'Alsace de football, la boccia Grand Est et l'association arts sourds et signes. Toujours à Sélestat, vous n'avez plus que quelques jours pour inscrire vos enfants dans les écoles maternelles et élémentaires. Les parents concernés sont invités à se rendre sur le site selestat.fr et à suivre les démarches indiquées, avant le mercredi 19 avril. Faits divers, le jeune motard qui avaient gazé deux gendarmes lors de son interpellation à Colmar le week-end dernier a été condamné mardi à neuf mois de prison, dont 5 avec sursis. Il était notamment poursuivi pour refus d'obtempérer, circulation sans assurance, transport d'arme non autorisée, rébellion et violences sur deux militaires. Pâques joue les prolongations à Colmar ! De nombreuses animations sont encore prochainement prévues à l'occasion de cette fête mais aussi pour célébrer l'arrivée du printemps. Johny Royer, chargé de communication à l'office de tourisme de Colmar, nous présente le programme des deux prochains week-ends ! Retrouvez toutes les informations sur le site internet printemps- colmar.com
A Paris, la manifestation a été marquée par l'attaque du restaurant la Rotonde, établissement symbolique où Emmanuel Macron avait fêté sa victoire en 2017
Marceau refait l'info du 7 avr. 2023
La Fondation Genève Tourisme et Suisse Tourisme ont dévoilé jeudi 30 mars, le dernier né des « Photo Spot » du Grand Tour de Suisse. Installé à la Rotonde du Mont-Blanc, le rutilant cadre photo offre un point de vue unique sur le Jet d'Eau mais également, sur le Mont-Blanc. Ce nouveau point d'intérêt touristique offre un cadre idéal pour des clichés mémorables. Dans ce reportage, se sont confiés à Épiphane Amanfo, Véronique Kanel directrice adjointe de la communication et porte-parole de Suisse Tourisme, Marie Barbey-Chappuis maire de Genève, et Adrien Genier, directeur général de Genève Tourisme.
Torna la magia di Natale di Fiabaper incantare grandi e piccini Mancava in città da ben due anni per le misure restrittive introdotte a causa della pandemia e ora, finalmente, ritorna, con le sue magiche atmosfere, Natale di Fiaba, la grande festa per i bambini e gli adulti, realizzata dall'Associazione Amici di Thiene in collaborazione con il Comune di Thiene e ConfCommercio Mandamento di Thiene.La manifestazione, giunta al traguardo della 18^ edizione, si appresta a trasformare il Centro Storico in un mondo incantato dove i personaggi delle fiabe insieme a quelli della tradizione ci accompagneranno in un mondo fantastico fatto di personaggi e ambientazioni tratti dai racconti della nostra infanzia e della tradizione natalizia. Nei giorni di sabato 3 e domenica 4 dicembre e nel week end successivo, di sabato 10 e domenica 11 dicembre (i sabati dalle 15.00 alle 19.00 e le domeniche dalle 9.30 alle 19.00), piazze e vie di Thiene acquisteranno un fascino speciale: via Trento e Corso Garibaldi ospiteranno i personaggi delle Fiabe e delle Storie, Piazza Chilesotti diverrà il Paese di Babbo Natale, Piazza Ferrarin racconterà il mondo di Winnie the Pooh, di Heidi e Biancaneve con le frittelle delle dolci gnome. A questi personaggi si affiancheranno le storie raccontate dal Trovatore Cantastorie. A fare da cornice a questo magico mondo ci saranno anche le Rotonde poste lungo le vie di accesso alla Città, addobbate con nuove e originali creazioni per comunicare la magia di questa festa a chi entra oppure solamente è di passaggio. Addobbi, creazioni dell'ingegno e tante altre fantastiche idee faranno assumere un fascino particolare al Centro Storico, trasformandolo in un Borgo magico dove passeggiare tra atmosfere ovattate, animate da armonie e sorrisi. Un incanto di luci, magiche scenografie, colori, profumi e sapori da godere con gli oltre 300 personaggi delle fiabe che animeranno la festa.Anche quest'anno, inoltre, domenica 11 dicembre Thiene ospiterà il sesto Raduno Interregionale Cosplayer “Thiene - Natale di Fiaba”: gli appassionati del costume provenienti da tutto il Triveneto si ritrovano a Thiene per unirsi ai personaggi del Natale di Fiaba per animare la grande festa dei bambini. Sempre domenica 11, alle ore 18.30 in Piazza Chilesotti, a suggellare l'impegno di Natale di Fiaba per la “Città della Speranza” verrà consegnato il contributo alla Fondazione cui il Comune di Thiene è gemellato.Natale di Fiaba è un evento che si è dimostrato, fin dalla prima edizione, una manifestazione natalizia particolarmente adatta a coinvolgere tutta la famiglia. Non sono unicamente i bambini a gioire per la presenza degli amati personaggi delle favole ai quali possono accostarsi liberamente, ma anche gli adulti possono tornare ad assaporare suggestioni di infanzie lontane.Babbo Natale, con la barba bianca e il suo fascino unico e misterioso, è forse l'attrazione principale di questo evento. I bambini lo possono avvicinare e gioire per il suo caldo abbraccio e rassicurante sorriso. Al di là della festa delle fiabe, la storia più bella che viene narrata è la nascita di Gesù, raffigurata nella Natività di Speranza raccontata con le figure a misura di bambino poste nella fontana di Bacco e Arianna.«Natale di Fiaba è la manifestazione che caratterizza la nostra Città in questo periodo dell'anno e, con grande piacere, siamo lieti di riproporla. L'invito rivolto a tutti è di partecipare per assaporare quanto saprà donare ai visitatori, in termini di gioia e di serenità, grazie all'inesauribile creatività degli Amici di Thiene – spiega il Sindaco, Giampi Michelusi – Il ringraziamento è a tutti gli organizzatori e a quanti, nel tempo hanno fatto crescere l'evento e lo stanno portando avanti negli anni con determinazione e disponibilità».«Natale di Fiaba è una delle manifestazioni di cui era particolarmente atteso il ritorno dopo il periodo di emergenza, soprattutto da parte delle famiglie, ma non solo – commenta l'assessora all'Animazione del Centro, Marina Maino – . L'Amministrazione Comunale plaude la tenacia e l'entusiasmo con cui gli Amici di Thiene hanno saputo rimettersi al lavoro, riallacciando pazientemente tutte le fila di questa trama meravigliosa che viene offerta alla Città, intessuta di emozioni e di atmosfere ricche di fantasia. Ringrazio Bepi e tutti i volontari per un impegno che regala all'intero territorio una tra le manifestazioni più amate».«La caratteristica distintiva dell'evento - dichiara Bepi Restiglian, coordinatore della manifestazione – è quella di far rivivere le fiabe: i personaggi più cari alla fantasia di ogni bimbo, di ieri e di oggi, diventano vivi e in carne ed ossa e, in questo modo, conducono tutti noi, per mano, in un mondo dove tutto è possibile». «Con Natale di Fiaba la Città è pronta ad entrare nel clima natalizio, aprendo a tutti gli eventi successivi che la sinergia tra Comune, ConfCommercio e altre realtà del territorio sta organizzando per rivitalizzare e promuovere Thiene e il centro storico in particolare» è il commento di Fabio Zardo, presidente dei Commercianti del Centro Storico. Natale di Fiaba è una manifestazione originale, con una formula unica rispetto agli altri grandi parchi di divertimento, ad ingresso gratuito, una meta tra le più appetibili per chi vuole vivere in famiglia i week end di dicembre, godendo di un divertimento adatto a tutti. PROGRAMMA IL PAESE DI BABBO NATALEPiazza ChilesottiIo con Babbo Natale - Un'amicizia da immortalare con una foto scattata dai fotografi del RotarAct Club Schio-Thiene: il ricavato del service “Valore di un sorriso” verrà destinato al progetto Emporio Solidale del Comune di ThieneLa grande Pesca della SperanzaL'Arena degli SpettacoliIl Chiosco caldo di Babbo Natale FIABE E STORIE …in CorsoCorso Garibaldi – Via TrentoPersonaggi della Tradizione, le appassionanti storie del Sanguanelo e altre figure dei nostri boschiNatale con simpatia: soggetti natalizi nei colori della tradizioneTrucchi fiabeschi con le fatine del truccoAsterix e la pozione magica per i piccoli di oggi e di ieri I Romani: potenza, cordialità, arrosticini ed altri gustosi sapori dell'ImperoCars, la grande corsa con i minibolidiSancho Panza e i suoi amici cowboy ti fanno gustare i gustosissimi panzerotti del WestPiccole Donne cappellini, cavallini e tanti altri lavoretti per animare fiabesche fantasie Nonna Papera, Qui, Quo, Qua un modo di gustosissimi dolcetti Il bel Natale un tocco di romanticismo manuale alla Festa più bellaSolidarietà per conoscere e fare crescere la “Città della Speranza”.Le Frittelle delle Gnome MarieI 3 porcellini, il Lupo e … i sapori di salameCappuccetto Rosso e le sue gustose crepesBambole e altri personaggi delle FiabeCenerentola: un autoscatto per ricordare momenti di serenitàIL BOSCO… RACCONTAPiazza Ferrarin (davanti e sotto le mura del Castello di Thiene)Il Mondo di Winnie the PoohMinnie, Cangu, Tigro, Pimpi e gli altri simpatici compagni di avventura attendono i Bambini (di oggi e di ieri) per passeggiare assieme nel magico Bosco dei 100 acri volando nella fantasia con disegni e palloncini.Le frittelle di mele delle dolci GnomeHeidi, i suoi Amici e i simpatici animali della bianca fattoria Vi accompagnano alla scoperta del loro mondo incantato e gustoso.Biancaneve: un rifornimento di carica e simpatia in compagnia di Biancaneve, i 7 Nani, la Strega, il Principe Azzurro, il cacciatore e gli altri personaggi della famosissima fiaba dei fratelli Grimm.Il Trovatore Cantastorie la coinvolgente creatività del prode Ettore distribuisce cariche di serenità con mirabolanti storie per piccini di ogni etàINCONTRI TRA LE FIABEPasseggiando al Natale di Fiaba si possono incontrare il Re e la Regina delle Fiabe, il Principe e la principessa delle Nevi, Alice nel Paese delle Meraviglie, Mary Poppins e tanti altri personaggi delle Fiabe e dei cartoons più famosi.NATIVITA' DI SPERANZAPiazza Ferrarin (fontana al Municipio)Natale: la Storia più Bella raccontata con originali figure disegnate a misura di bambino e galleggianti nella romantica fontana di Bacco ed Arianna.LE ROTONDE DELLE MERAVIGLIERotonde di accesso alla CittàCon un po' di fantasia.
Estelle P mixe sur vinyles, et plus récemment aussi en digital. En tant que grande digueuse, elle explore les origines et l'histoire de la musique électronique, de la techno à l'électro en passant par la house, mais aussi les dernières nouveautés. Ses mix sont ainsi un vrai voyage temporel pour l'auditeur. Sa pratique de dj est aussi celle d'une activiste, avec son association les Cahiers Électroniques, qui présente des artistes issus de la scène internationale à travers ses radios show (Hold-Up) ou ses soirées dans les clubs parisiens. Cette association met en avant les femmes, dans ses programmations mais aussi à travers la résidence streaming “cahiers féminins", en partenariat avec Act Right. Elle fait également partie de l'agence booking interwaves, plus ou moins rattachée au disquaire Yoyaku. Elle a pu secouer les dancefloors français tels que le Badaboum, la Machine du Moulin Rouge, la Rotonde, le Petit Bain, l'Iboat (Bordeaux) mais aussi à l'étranger, notamment en Italie et plus récemment à l'ADE (Amsterdam). Elle vous a préparé un mix de dj selector oscillant entre le downtempo, la house et la techno 90's, ainsi que de la house et de la techno de nos jours !© Maxime Loretti
Een kek gesprek over onder andere social hackers, kleurnamen, bedevaartsoorden en meer...
Plus quʹun simple acte de solidarité, la Marche de lʹespoir est un véritable moment dʹéchanges et dʹenrichissement interculturel avec, au programme, musique, danses folkloriques et plats typiques. Chaque année, plus de 4500 jeunes marchent en solidarité avec les enfants dʹautres pays. Cette 31e édition se déroulera le dimanche 16 octobre prochain de 11h à 17h30 et aura lieu par tous les temps et dans une ambiance festive avec des animations pour les enfants et des délices culinaires. Les inscriptions se font si possible à lʹavance mais peuvent aussi être effectuées sur place le dimanche dès 9h30. Ouverte à tous, enfants et adultes, cette boucle de 6 km sur les quais de Genève, débute à la Rotonde du quai du Mont-Blanc pour se prolonger jusquʹau Jardin botanique. Pour le bon déroulement de cette mobilisation de marcheurs qui permettra à Terre des Hommes Suisse de donner dʹautres perspectives de vie aux enfants et leurs familles qui vivent en Inde, ses responsables recherchent un petit peu de matériel mais surtout de nombreux bénévoles pour lʹaider avant, pendant et après cette grande manifestation populaire. Après deux années dʹabsence sur les quais du Mont-Blanc, Terre des Hommes Suisse se réjouit dʹaccueillir à nouveau enfants et familles et compte plus que jamais sur la solidarité de chacun et chacune. DEMANDE: - Des bénévoles pour le montage des stands samedi 15 octobre de 13h à 18h et dimanche 16 octobre de 7h à 10h30 - Des bénévoles pour le démontage des stands dimanche 16 octobre dès 17h - Des bénévoles pour préparer les sandwiches dimanche 16 octobre de 6h à 9h - Des bénévoles pour la tenue de divers stands dimanche 16 octobre de 10h à 14h et de 14h à 18h: buvettes, vente de pâtisseries et viennoiserie, vente dʹarticles divers, orientation, ravitaillement, tamponnage des passeports, etc - Un vélo électrique - Une machine à hot-dog professionnelle, une friteuse professionnelle et 2 grills professionnels - Des petites fournitures de bureau (fourres transparentes de couleur, cahiers, post-it, trombones, crayons et stylos, etc.)
“Dessins bolonais du XVIe siècle dans les collections du Louvre“ au Louvre – Rotonde Sully, Parisdu 22 septembre 2022 au 16 janvier 2023Interview de Roberta Serra, ingénieur d'études au département des Arts graphiques, musée du Louvre, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 21 septembre 2022, durée 17'36.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat : Roberta Serra, ingénieur d'études au département des Arts graphiques, musée du Louvre.Cette exposition propose de découvrir l'évolution du dessin bolonais tout au long du XVIe siècle à travers une sélection de quarante-quatre feuilles, en mettant en valeur des personnalités artistiques majeures aux côtés d'autres demeurant parfois encore dans l'ombre, mais ayant énormément dessiné. L'exposition accompagne la parution du tome XII de l'Inventaire général des dessinsitaliens, consacré à l'école bolonaise du XVIe siècle, comprenant des dessins exécutés par des artistes natifs de la ville de Bologne, ou bolonais d'adoption, actifs avant l'arrivée des Carrache.Dans les toutes premières années du Cinquecento, dans les ateliers de Francesco Francia, Peregrino da Cesena, Marcantonio Raimondi ou Amico Aspertini s'affirme une nouvelle manière de dessiner, raffinée et élégante, qui pousse parfois jusqu'au fantasque. Les personnalités moins connues d'Innocenzo da Imola, Bagnacavallo, Biagio Pupini et Girolamo da Treviso, actifs entre 1515 et 1550 environ, imprégnées de culture classique et raphaélesque, contribuent progressivement à la création d'un style nouveau, caractérisé par des effets d'ombre et de lumière particulièrement intenses, qui ouvrent la voie à la manière moderne.Vers le milieu du siècle, Pellegrino Tibaldi importe à Bologne, depuis Rome, un nouveau langage monumental inspiré de Michel-Ange et dont le raffinement calligraphique doit beaucoup à Perino del Vaga.Puis, dans la seconde moitié du XVIe siècle, Prospero Fontana, Lorenzo Sabatini ou Orazio Sammachini, après s'être distingués dans plusieurs décors palatiaux, exportent leur style dans toute l'Emilie, puis, lorsqu'ils furent appelés au service du pape bolonais Grégoire XIII, à Rome et ses alentours.Dans ces mêmes années, avec ses dessins de facture soignée, mais énergique, Bartolomeo Passerotti, l'artiste le plus puissant de l'école bolonaise, impose son nouveau regard analytique du naturel, prémices du langage artistique de la génération suivante.Catalogue #ExpoDessinsBolonais : Inventaire général des dessins italiens, Tome XII. Dessins bolonais du XVIe siècle dans les collections du Louvre. Sous la direction de Roberta Serra, musée du Louvre. Coédition musée du Louvre éditions / Silvana Editoriale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:30 - Côté saveurs au Pays Basque - Le Brunch Impérial à l'Hôtel du Palais désormais tous les dimanches à partir de 12h15 à la Rotonde, face à une vue exceptionnelle sur l'océan.
En matière d'art contemporain, la capitale économique ivoirienne est depuis longtemps un terreau fertile. Après avoir traversé les années de crise et de conflits, la ville fait peau neuve, et de plus en plus de galeries et fondations d'art contemporain fleurissent au bord de la lagune Ebrié. Des lieux qui partagent et encouragent la création contemporaine africaine et ivoirienne, tout en cherchant à l'ouvrir au plus grand nombre, à commencer par le MuCAT, Musée des Cultures contemporaines Adama Toungara, inauguré en 2020 dans le quartier populaire d'Abobo, situé au Nord d'Abidjan. Peintres, sculpteurs, performers et plasticiens, dont beaucoup sont issus de l'école des Beaux-Arts d'Abidjan, trouvent alors des espaces pour exposer, vendre leurs œuvres et vivre de leur art, suivant les traces de leurs illustres aînés Ouattara Watts, Ernest Dükü ou Jems Koko Bi... Car à Abidjan, il y a l'argent et des fortunes capables d'acquérir toiles et sculptures, de faire collection, dans un marché international qui lorgne de plus en plus vers l'Afrique. Du quartier des affaires du Plateau, à Abobo, en passant par le quartier chic et vert de Cocody, suivons Vladimir Cagnolari parti prendre le pouls de l'Abidjan Arty. D'ateliers en expositions street-art, de vernissages en inauguration de galerie, Abidjan est zo ! Un reportage de Vladimir Cagnolari. En savoir plus : - Sur le MuCAT, Musée des Cultures contemporaines Adama Toungara situé à Abobo - Sur le travail de l'artiste ivoirien Peintre Obou - Sur la Fondation Donwahi pour l'Art contemporain ouverte en 2008 à Cocody - Sur la Rotonde des arts, autre adresse incontournable à Abidjan, dirigée par Yacouba Konaté, une figure des arts en Côte d'Ivoire - Sur la Galerie Pièce Unique/ Fondation BJKD inaugurée récemment. Émission initialement diffusée le 17 octobre 2021.
durée : 01:29:04 - Musique matin été du jeudi 11 août 2022 - par : Gabrielle Oliveira-Guyon - La mezzo-soprano Karine Deshayes, triplement récompensée aux Victoires de la musique, ne s'arrête jamais de chanter. L'été c'est la saison des festivals, et on la retrouvera notamment à la clôture de la 40ème édition du Festival Les Riches Heures Musicales de la Rotonde le 13 août. - réalisé par : Louise André
De wooncrisis is meer dan een gebrek aan huizen – het is ook een overheid die niet helpt als dat moet. Vandaag: de succesvolle zakenman die door een reeks aan financiële tegenvallers dakloos raakte. Lees hier het artikel: https://decorrespondent.nl/13497/dakloosheid-is-een-rotonde-waar-je-makkelijk-op-komt-maar-bijna-niet-meer-af/2776730346159-98bca072 *** Nieuw: de Correspondent-luisterapp! Vanaf nu kun je voor de beste en meest privacyvriendelijke luisterervaring terecht in de Correspondent-app. Ontdek 500+ shows en verhalen en ga in gesprek met je favoriete correspondenten. Download de app snel in de app-store! Geen lid? Maak ook onafhankelijke journalistiek mogelijk en krijg toegang tot de app: corr.es/wordlid. *** Productie : Julius van Ijperen en Jacco Prantl Voor vragen, opmerkingen of suggesties mail naar post@decorrespondent.nl
De wooncrisis is meer dan een gebrek aan huizen – het is ook een overheid die niet helpt als dat moet. Vandaag: de succesvolle zakenman die door een reeks aan financiële tegenvallers dakloos raakte. Lees hier het artikel: https://decorrespondent.nl/13497/dakloosheid-is-een-rotonde-waar-je-makkelijk-op-komt-maar-bijna-niet-meer-af/2776730346159-98bca072 *** Nieuw: de Correspondent-luisterapp! Vanaf nu kun je voor de beste en meest privacyvriendelijke luisterervaring terecht in de Correspondent-app. Ontdek 500+ shows en verhalen en ga in gesprek met je favoriete correspondenten. Download de app snel in de app-store! Geen lid? Maak ook onafhankelijke journalistiek mogelijk en krijg toegang tot de app: corr.es/wordlid. *** Productie : Julius van Ijperen en Jacco Prantl Voor vragen, opmerkingen of suggesties mail naar post@decorrespondent.nl
“Giorgio Vasari, le livre des dessins“ Destinées D'une Collection Mythiqueau Louvre – Rotonde Sully, Parisdu 31 mars au 18 juillet 2022Interview de Louis Frank, conservateur général au département des Arts graphiques, musée du Louvre, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 31 mai 2022, durée 27'40.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat : Louis Frank, conservateur général au département des Arts graphiques, musée du Louvre Carina Fryklund, senior curator, département des collections, Nationalmuseum de StockholmGiorgio Vasari a réuni ce qui fut probablement la première collection de dessins fondée sur une logique historisante : le légendaire Libro de' disegni, qui fait son apparition dans la seconde édition des Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes, parue à Florence, en 1568, chez les Giunti. Le 29 juin 1574, deux jours après la mort de Vasari, le Libro fut remis par ses héritiers au grand-duc de Toscane, Francesco I, qui l'avait envoyé chercher. Ensuite, il disparaît.Les grands collectionneurs et connaisseurs des XVIIe et XVIIIe siècles ont tous rêvé d'acquérir et cru qu'ils possédaient des dessins du Libro. Le plus célèbre de tous, Pierre-Jean Mariette, fut à la source d'une tradition historiographique qui voyait dans un certain type de montage, ornemental et architecturé, le signe de l'appartenance passée d'une feuille au mythique recueil vasarien.Mais on sait, depuis qu'en 1950, deux grands savants, Arthur Popham et Philip Pouncey, ont remarqué sur un « montage Vasari » la présence d'un mystérieux emblème, que les choses ne sont pas aussi simples. C'est aux conséquences inattendues de cette découverte, vieille de plus d'un demi-siècle, qu'est consacrée l'exposition organisée par le Louvre et le Nationalmuseum de Stockholm.#ExpoVasari catalogue de l'exposition, sous la direction de Louis Frank et de Carina Fryklund. Coédition musée du Louvre éditions / Lienart. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La sintesi della discussione, avvenuta nella riunione del Consiglio comunale di Aosta di mercoledì 25 maggio sull'approvazione del progetto di fattibilità tecnico-economica dei lavori di sistemazione di via Monte Emilius, finalizzati alla sistemazione di piazza Arco d'Augusto, con le relazioni dei consiglieri Diego Foti per la maggioranza e di Sergio Togni per la minoranza. --- Support this podcast: https://anchor.fm/aostapodcast/support
In De Rotonde trekt Christel naar Westende waar ze elke keer een boeiende, bekende gast ontvangt in voormalig hotel De Rotonde. Met de zee als decor praat Van Dyck met haar gast over de rotonde van zijn of haar leven. Welke wegen zijn ze ingegaan en waarom?
Myrna Rockx, Bob Franken en Roderik Weijenberg waren bij ons in de studio te gast om uitgebreid te vertellen over de nieuwe productie van jeugdtheatergroep Rotonde ter gelegenheid van hun 20 jarig jubileum. Helaas moest ook deze productie uitgesteld worden maar eindelijk kan het Wonderbaarlijke Sprookje van JZZLF 23 en 24 april in Bergen Op Zoom gespeeld worden. Myrna, Bob en Roderik vertellen wat zij gaan spelen en wat we ongeveer als publiek kunnen verwachten. Wil je het moderne sprookje zien dan ben je van harte welkom. Kijk op jeugdtheatergroeprotonde.nl
“En scène !“ Dessins de costumesde la collection Edmond de Rothschildau Louvre – Rotonde Sully, Parisdu 27 octobre 2021 au 31 janvier 2021Interview de Victoria Fernández Masaguer, chargée d'études documentaires, département des Arts graphiques, musée du Louvre,et de Mickaël Bouffard, chargé de recherche, Centre d'Étude de la Langue et des Littératures Françaises (CELLF), commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 30 novembre 2021, durée 29'04.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissaires de l'exposition :Mickaël Bouffard, chargé de recherche, Centre d'Étude de la Langue et des Littératures Françaises (CELLF) ;Jérôme de La Gorce, directeur de recherche émérite, CNRS ;et Victoria Fernández Masaguer, chargée d'études documentaires, département des Arts graphiques, musée du Louvre.Cette exposition réunit une sélection d'une centaine de feuilles provenant de l'un des plus importants fonds de dessins d'habits de spectacle, celui des volumes de Costumes de fêtes, de ballets et de théâtre au temps de Louis XIV offerts par le baron Edmond de Rothschild (1845-1934) au musée du Louvre. Leur richesse permet de dévoiler la diversité d'invention des artistes qui habillèrent les divertissements montés à la Cour de France et de Lorraine du milieu du XVIe siècle à l'aube du XVIIIe siècle : le Primatice, Jacques Bellange, Daniel Rabel, Henri Gissey et Jean Berain notamment. Les véritables ouvrages textiles ayant disparu pour la plupart, ces dessins sont des sources inestimables pour l'histoire du costume, de la danse, de la musique et des spectacles en France durant cette période.Divisée en quatre sections, cette exposition consacre une première salle à l'atelier du dessinateur de costumes qui entend explorer la transmission de modèles entre les différentes générations d'artistes et les spécificités techniques propres à ce type de dessin. Le parcours propose ensuite de suivre les principaux genres spectaculaires représentés dans ces recueils, qui correspondent aux intérêts de l'un des plus grands collectionneurs de dessins de fêtes et divertissements de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle, Claude Pioche, sieur Du Rondray (1660/1665-1733), à qui une partie des feuilles assemblées dans ces volumes aurait appartenu : Les divertissements équestres : les costumes des cavaliers et des chevaux deviennent l'un des attraits majeurs de ces compétitions destinées tant à prouver la valeur que la galanterie des concurrents dans la lice. Par leur magnificence et l'émerveillement qu'ils suscitent, ils contribuent à l'affirmation du pouvoir.Les bals, ballets et mascarades : dans la seconde moitié du XVIe siècle, un caractère à la fois bizarre et poétique guide les artistes qui produisent des « habits de masques » pour les bals et mascarades. Au temps de Louis XIII, le sérieux et le grotesque se mêlent aux influences mythologiques, exotiques et bucoliques, codes que le ballet de Cour et la comédie-ballet se réapproprient au cours du XVIIe siècle.Les tragédies en musique : ce nouveau genre musical français réunit une multitude de chanteurs, danseurs, musiciens et acrobates qu'il est nécessaire d'habiller harmonieusement. C'est le défi que relève le créateur des Menus Plaisirs Jean Berain, en faisant preuve d'une invention sans pareil dans la variation des coupes, des couleurs et des ornements. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:05:18 - Les Invités de France Bleu Lorraine - FB Sud Lorraine
En matière d'art contemporain, la capitale économique ivoirienne est depuis longtemps un terreau fertile. Après avoir traversé les années de crise et de conflits, la ville fait peau neuve, et de plus en plus de galeries et fondations d'art contemporain fleurissent au bord de la lagune Ebrié. Des lieux qui partagent et encouragent la création contemporaine africaine et ivoirienne, tout en cherchant à l'ouvrir au plus grand nombre, à commencer par le MuCAT, Musée des Cultures contemporaines Adama Toungara, inauguré en 2020 dans le quartier populaire d'Abobo, situé au Nord d'Abidjan. Peintres, sculpteurs, performers et plasticiens, dont beaucoup sont issus de l'école des Beaux-Arts d'Abidjan, trouvent alors des espaces pour exposer, vendre leurs œuvres et vivre de leur art, suivant les traces de leurs illustres aînés Ouattara Watts, Ernest Dükü ou Jems Koko Bi... Car à Abidjan, il y a l'argent et des fortunes capables d'acquérir toiles et sculptures, de faire collection, dans un marché international qui lorgne de plus en plus vers l'Afrique. Du quartier des affaires du Plateau, à Abobo, en passant par le quartier chic et vert de Cocody, suivons Vladimir Cagnolari parti prendre le pouls de l'Abidjan Arty. D'ateliers en expositions street-art, de vernissages en inauguration de galerie, Abidjan est zo ! Un reportage de Vladimir Cagnolari. En savoir plus : - Sur le MuCAT, Musée des Cultures contemporaines Adama Toungara situé à Abobo - Sur le travail de l'artiste ivoirien Peintre Obou - Sur la Fondation Donwahi pour l'Art contemporain ouverte en 2008 à Cocody - Sur la Rotonde des arts, autre adresse incontournable à Abidjan, dirigée par Yacouba Konaté, une figure des arts en Côte d'Ivoire - Sur la Galerie Pièce Unique/ Fondation BJKD inaugurée récemment
Quando una rotonda è una metafora della vita…