Neighborhood of Mexico City in Cuauhtémoc
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We recap our key takeaways from Ollie Brown and Tuesday's deep dive into the coffee market (tune in if you missed the full episode!). Then, it's AeroPress training time -Sonam and Liam break down a precise, competition-style recipe using Condesa's Peru single origin, and things turn out DELICIOUS! We also chat about the future of the coffee industry, including the rise of automation, the environmental pressures on farmers, and what it actually means to really know your coffee's origin. Plus: big news on upcoming guests (one of them is juicy), Rohan's long-awaited return, and a sneak peek at a potential future series exploring the world of chocolate ! Coffee Break is your weekly inside scoop into the coffee community—think on-the-fly barista tips, honest café reviews (eek), hospitality stories, and gate-kept coffee secrets. Want more coffee content? IT'S JUST COFFEE: https://linktr.ee/itsjustcoffeepod Want to get in touch? hello@itsjustcoffeepod.com Proudly sponsored by Eco Barista → https://www.ecobarista.com.au Apax Lab → https://apaxlab.com Thanks for listening—love ya! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La Casa de la Condesa tendrá ese centro de interpretación en la primera planta y para el uso de la segunda, abrirán un proceso participativo para que lo decidan los propios uleanos.
Why is the cost of coffee rising so quickly?Today we're joined by Oliver Brown, Sales and Relations Manager at Condesa Co.Lab, to unpack the complexities and volatility of coffee pricing.We'll break down the C-price, dive into the dynamics of supply and demand, and explore the environmental challenges impacting coffee production. Plus we're asking the big question: what does the future of the coffee industry hold? Could we really be paying $10 for a latte by the end of 2025?!If you're new here (welcome), our show dives into some of the best coffee conversations on the internet, but we will always remind ourselves at the end of the day - It's Just Coffee!Check out Condesa Co.Lab here: https://www.instagram.com/condesa_co_lab/ Want more coffee content? IT'S JUST COFFEE: https://linktr.ee/itsjustcoffeepod?utm_source=linktree_profile_share<sid=4e8cead0-6644-4c4a-b419-28c825b1b236Want to get in touch? Hit us up at hello@itsjustcoffeepod.com for any questions or comments.Proudly sponsored by -Eco Barista: https://www.ecobarista.com.au/ Apax Lab: https://apaxlab.com/ Thanks for listening! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
À Mexico City, dans les quartiers de la Condesa et la Roma, très prisés des touristes et des étrangers, la sauce piquante ne pique plus. Dans les taquerias, ces traditionnels stands de vente de tacos que tous les Mexicains dégustent arrosés de sauce pimentée, le piment a été banni. Cela peut paraître anecdotique, mais veut dire beaucoup sur la gentrification de cette partie de la ville. Reportage de notre correspondante à Mexico City, Marine Lebègue.Dette haïtienne : après les annonces d'Emmanuel Macron, des réactions mitigéesPour l'homme d'affaires et auteur haïtien Jerry Tardieu, joint par RFI, l'annonce d'une commission mixte franco-haïtienne est « une première étape qui doit en appeler d'autres ». L'homme politique insiste, cela ne devra pas être seulement un travail mémoriel aboutissant à des mesures symboliques. « Il faut du concret (…) une forme de compensation (…) Le pays est à l'agonie, il faut que cette commission aboutisse à donner les moyens à Haïti de se battre contre l'insécurité » et de se développer.Dans les rues de Port-au-Prince, notre reporter Peterson Luxama a recueilli la parole d'Haïtiens en demande de réparation et restitution, deux termes éludés par le communiqué de la présidence française publié hier. « Cela doit prendre la forme d'un dédommagement. Cette sois disant dette a plombé notre économie. Je pense que le seul mot qu'on aimerait entendre aujourd'hui, c'est le mot restitution », déclare Roobens Isma, étudiant, à notre journaliste.Haïti : en Artibonite, la vie rendue impossible par les gangsÀ Port-au-Prince, comme dans le département de l'Artibonite, au nord, les habitants sont descendus dans la rue, fin mars, pour réclamer aux autorités des actions concrètes pour lutter contre cette insécurité. Dans la commune de Petite Rivière de l'Artibonite, contrôlée par le gang « Gran Grif » (le plus violent de la région), la population exige une réponse musclée de la Police nationale haïtienne. Reportage sur place de notre correspondant Ronel Paul.États-Unis : une photo de l'habitant du Maryland, Salvadorien, expulsé par erreur, à la Une de la presseSur cette photo, Kilmar Abrego Garcia, Salvadorien expulsé par erreur des États-Unis, est attablé dans le hall d'un hôtel de San Salvador avec le sénateur démocrate Van Hollen.Le père de famille, résident dans le Maryland est vêtu d'une chemise à carreaux et d'une casquette. « Ces photos renvoient une atmosphère bien différente de celle d'une prison surpeuplée », les deux hommes étant assis dans un hall d'hôtel, « au sol ciré », « avec une végétation luxuriante en arrière-plan », analyse le New York Times.La photo a été repostée aussi par le président salvadorien, autoritaire et fervent supporter de Donald Trump. Nayib Bukele se permet une légende moqueuse, rapportée par Politico : « Kilmar Abrego Garcia miraculeusement ressuscité des camps de la mort et de torture, en train de siroter une margarita ». Mais d'après les informations du New York Times, c'est un assistant de Bukele qui aurait servi les cocktails et tenté de mettre en scène la photo.En Floride, une tuerie fait au moins 2 morts et 6 blessésLe suspect de 20 ans, abattu sur place par la police, a agi avec l'arme de service de sa mère, adjointe du shérif du comté de Leon. Le Miami Herald raconte la panique sur place, « les ordinateurs et sacs encore éparpillés dans l'herbe du campus ». « Tout le monde est en colère, je ne comprends juste pas comment cela peut arriver », déclare un étudiant. La tuerie ravive aussi de douloureux souvenirs en Floride. Certains parents des victimes de la tuerie de Parkland, en 2018, ont désormais des enfants étudiants dans l'université de Tallahassee. « Mon cœur a lâché », décrit une mère de famille au Miami Herald, « c'était un effrayant 'déjà vu' ». Elle ajoute : « Arrêtez la politique et protégez nos enfants. On ne peut pas devenir insensible à ces tueries. On doit bien mieux à nos enfants ». À la Une du journal des Outre-mers, de notre partenaire La 1eLa Martinique commémore les 17 ans de la mort du penseur et écrivain Aimé Césaire.
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! paypal.me/LibroTobias ko-fi.com/asier24969 Emilia Pardo Bazán nació en A Coruña el 16 de septiembre de 1851. Condesa de Pardo Bazán, fue una noble y aristócrata novelista, periodista, ensayista, crítica literaria, poeta, dramaturga, traductora, editora, catedrática y conferenciante española introductora del naturalismo en España. Fue una precursora en sus ideas acerca de los derechos de las mujeres y el feminismo. Reivindicó la instrucción de las mujeres como algo fundamental y dedicó una parte importante de su actuación pública a defenderlo. Entre su obra literaria una de las más conocidas es la novela Los Pazos de Ulloa (1886). Programa especial sobre Emilia Pardo Bazán: https://www.ivoox.com/libro-tobias-especial-emilia-pardo-bazan-audios-mp3_rf_12469459_1.html Canciones: • “Puerta del sol” de Olivier Arson (de la banda sonora de “Que Dios nos perdone”) • “As Bestas” de Olivier Arson (de la banda sonora de “As Bestas”) Narración, edición y montaje: Asier Menéndez Marín Diseño logo Podcast: albacanodesigns (Alba Cano) Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Sheinbaum busca impulsar cosechas de maíz mexicanoDetienen a sujeto por robo a comensales en restaurantes de la CondesaMás información en nuestro Podcast
Hoy nos sumergimos en la fascinante vida de María de la Gloria del Collado y del Alcázar, más conocida como Gloria Laguna, una aristócrata española que desafió las convenciones de la sociedad de principios del siglo XX. Nacida en una familia noble, Gloria Laguna se convirtió en un personaje conocido por su ingenio, su lesbianismo abiertamente expresado y su espíritu independiente. En este episodio, exploraremos sus relaciones, sus escándalos, su activismo en favor del librepensamiento y su enfrentamiento con el gobernador civil de Madrid en la famosa “Guerra de los Sombreros”, y descubriremos cómo Gloria Laguna desafió las normas de género y sexualidad de su época, convirtiéndose en un icono para las mujeres que buscaban romper con las ataduras sociales. A través de anécdotas y testimonios de la época, desentrañaremos la historia de una mujer que vivió la vida a su manera, dejando una huella imborrable en la historia de España... imborrable hasta que la borraron, claro, pero para eso estamos aquí nosotros! Las musiquitas están aquí como siempre: https://open.spotify.com/playlist/7f7kpD2wcbDB9HfuWZtwsG?si=753da0aceb074fba
En un pueblito del S.XVI, una princesa es envenenada. Unos niños trabajaban como mineros... ¿los siete enanitos del bosque? Algunos detalles más y un final no feliz. Aclaración: Este episodio se elaboró a partir de diferentes grabaciones de Gustavo Fernández en su programa de radio AM, en LT14 Radio General Urquiza de Paraná (Entre Ríos, Argentina), en algún momento entre agosto de 1988 y junio de 1994. Hemos quitado la música original por cuestiones de derechos de autor. No contiene publicidad. Relacionados: Más texto, audio y video sobre los temas del Misterio en nuestro portal: https://alfilodelarealidad.com/ Plataforma de cursos: https://miscursosvirtuales.net * * * Programa de Afiliados * * * iVoox comparte con AFR un pequeño porcentaje si usas uno de estos enlaces: * Disfruta de la experiencia iVoox sin publicidad, con toda la potencia de volumen, sincronización de dispositivos y listas inteligentes ilimitadas: Premium anual https://www.ivoox.vip/premium?affiliate-code=68e3ae6b7ef213805d8afeeea434a491 Premium mensual https://www.ivoox.vip/premium?affiliate-code=7b7cf4c4707a5032e0c9cd0040e23919 * La mejor selección de podcasts en exclusiva con iVoox Plus Más de 50.000 episodios exclusivos y nuevos contenidos cada día. ¡Suscríbete y apoya a tus podcasters favoritos! Plus https://www.ivoox.vip/plus?affiliate-code=258b8436556f5fabae31df4e91558f48 Más sobre el mundo del Misterio en alfilodelarealidad.com
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ENGLISH TRANSCRIPT BELOWEn este episodio, mi entrevistado es Cesar Pineda, sociólogo por la Universidad Autónoma Metropolitana. Obtuvo el Doctorado en Ciencias Políticas y Sociales y la Maestría en Estudios Latinoamericanos, ambos con mención honorífica en la UNAM. Realizó estancias posdoctorales en el Instituto de Investigaciones Económicas y en la Universidad Autónoma Metropolitana Azcapotzalco. Su investigación se centra en la contradicción del capital en la naturaleza, los movimientos sociales, la autonomía, el Estado y la comunidad. Investigador Nivel I en el Sistema Nacional de Investigadores, es profesor de asignatura en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociales de la UNAM. A partir de 2024 es profesor-investigador de tiempo completo en el Instituto de Investigaciones José María Luis Mora. Es activista y acompañante en múltiples movimientos sociales.Notas del Episodio* La teoria y proceso del capital como metabolismo social* Biomercantilizacion* El problema de clase* Consecuencias escondidas del ecoturismo* Limites* Autoregulacion de las comunidades* Construyendo comunidad en la ciudad* Autonomia es la clave* Un mundo donde quepan muchos mundosTareaPagina profesional César Enrique Pineda (Ensayos, Libros, Proyectos)Twitter de CesarFacebook de CesarTranscripcion en EspanolChris: [00:00:00] Bienvenido César, al podcast El Fin del Turismo. Muchas gracias por estar dispuesto a hablar conmigo hoy. Me gustaría comenzar preguntándote, ¿Dónde te encuentros hoy y cómo se ve el mundo para ti allá? Cesar: Yo habito en Ciudad de México. Desde hace tiempo estoy haciendo una investigación, de nuevo, la continuidad del proceso del proceso del aeropuerto. Entonces estoy yendo muchas veces hacia Texcoco hacia el oriente de la ciudad, hacia el viejo lago de Texcoco, entonces tengo una doble mirada, la mirada urbana tradicional donde vivo y donde doy clases, que es en la UNAM y en el Mora, y por el otro lado, los pueblos, la comunidad y el el sistema lacustre al que estoy yendo cotidianamente.Chris: Y cómo va eso en Texcoco, si te puedo preguntar?Cesar: Va bien, creo que el frente de pueblos en defensa de la tierra ha tenido un nuevo triunfo. Y creo que es un nuevo avance, es un movimiento un poco anómalo en México porque [00:01:00] prácticamente ha ganado todas sus batallas, ha detenido los dos aeropuertos, ha liberado a sus presos y ahora ha logrado proteger el territorio.Y hoy se encuentran frente a un nuevo reto que es ser gobierno local, no? Entonces, en todas ha triunfado al final, a pesar de los costos enormes, pues que ha sufrido por la represión, por la persecución, por la precariedad también por la que viven muchos de sus miembros. Pero creo que van muy bien.Chris: Claro, wow, pues, qué bueno, qué hermosa resultado no? Cesar, parece, que mucho de tu trabajo, se basa en lo que podemos llamar la conversión de la naturaleza en capital, o al menos así es como los teóricos lo han descrito tradicionalmente. Me gustaría preguntar, ¿Cómo ves que eso sucede en el mundo del turismo, la conversión de naturaleza en capital para, para empezar, para darnos un [00:02:00] base de seguir? Cesar: Sí, bueno, hay que decir que lo que he tratado de también estudiar o teorizar. Cuando teorizamos hacemos generalizaciones. La teoría es una generalización para poder dialogar en contextos distintos, en casos distintos, sino cada caso por supuesto, es totalmente distinto que el otro por su historicidad, por su localidad, por su particularidad.Cuando teorizamos tratamos de hacer una generalización válida para muchos casos. Entonces, y eso nos permite a dialogar y pensar a muchos con una misma forma de nombrar y conceptualizar. Entonces, ese trabajo de conceptualización y teorización lo he hecho en la idea de cómo intentar comprender, se despliega efectivamente el capital territorialmente. Generalmente pensamos al capital solo como relaciones dinerarias, como inversiones y como ganancias, de hecho, compensamos el capital como, la [00:03:00] cosa, el dinero, en todo caso, como riqueza material, mercancías, puede ser ropa, puede ser autos, pero en general, el capital es un proceso. Que es lo que plantea a Marx, y el proceso es cómo la gente se organiza, organiza el trabajo, unos trabajan para otros y cómo toman efectivamente de la naturaleza lo que necesitan para producir nuevas mercancías o nuevos valores de uso, que es lo que, la utilidad que es lo que le llama Marx.En ese sentido, producir muchos valores de uso requiere necesariamente, de algún vínculo con la naturaleza. Ese vínculo Marx le llama metabolismo social porque es un vínculo, no solo, porque tomas lo que necesitas, los materiales, por decir así, algunos les llaman recursos en la economía. Generalmente en la ecología política o en la agro ecología les llamamos bienes [00:04:00] naturales. Porque no son cosas para simplemente recursos que están ahí disponibles para gastarse. Y ese vínculo que hoy se ha desarrollado todavía más con algunos teóricos de que han seguido la idea de metabolismo social de Marx, plantean siguiendo también algunas ideas de Marx, que es la forma de organizarnos, de organizar el trabajo. El trabajo es el vínculo con la naturaleza y ese vínculo es a la vez un intercambio de materia y de energía con los ecosistemas locales. Ese intercambio este más le llama metabolismo. Entonces, digo todo esto porque es muy importante pensar como lo que le llamamos la economía, desarrolla ciertas formas de actividad, de trabajo material y no solo de intercambios dinerarios y monetarios, porque a veces parece que una actividad da muchas ganancias y podría estar, tomando, por ejemplo, de la naturaleza, [00:05:00] demasiados bienes naturales, aunque produzca en realidad muchas ganancias, monetarias.Y en ese sentido, lo que he estado estudiando es precisamente cómo se despliegue el capital, buscando por decir así, lo que necesita de los ecosistemas, pero de los ecosistemas no necesita todo a veces, en ocasiones, si necesita todo el ecosistema, que eso es lo que voy a explicar, rapidísimo ahorita.Pero en otras ocasiones, necesita solo uno de los bienes naturales, necesita tierra para cultivar y entonces acapara sea comprando, sea despojando, sea rentando la tierra. Por el otro lado, puede no necesitar el suelo para producir, no solo es la tierra para producir, sino que además necesita que esa tierra tenga climas.Esto parece, no tan de sentido común. Lo tienen mucho más claro todos los campesinos, pero es evidente que en ciertas zonas se dan ciertas, [00:06:00] especies y en otras, por ejemplo en lugares fríos, se dan más pues la producción boscosa y por tanto, la producción, se cultiva pino y eucalipto. Y en los trópicos se cultivan frutas.Entonces las inversiones económicas que le podríamos llamar el capital, pero ese capital es un proceso como he dicho, reorganiza los trabajadores, a las trabajadoras. Organiza también la relación con la naturaleza o la reorganiza. Entonces, doy estos ejemplos siempre porque son muy ilustrativos de lo que sucede, por ejemplo, si hay más inversiones para cultivar, para producción maderera. La producción, obviamente los quien invierte requiere su ganancia rápido. Entonces tienes que invertir y tener ganancias. Tienes que invertir y vender rápidamente la madera, por ejemplo. Por tanto, pues, se cultivan las especies que crezcan más [00:07:00] rápido.Y por como crecen más rápido, necesitan más agua. Si necesitan más agua, agotan los mantos acuíferos. Aquí tenemos una consecuencia directa de la organización humana en la naturaleza, en como reorganizarla porque va sustituyendo el bosque nativo y lo sustituyes por especies que solo son las que se pueden vender, en este caso, pino y eucalipto.Ahí está claro, como entonces, se reorganiza el tiempo, a los trabajadores, por ejemplo. Si hay todos los trabajadores de la industria forestal que les ofrecen un tipo de trabajo y la relación con el agua, con los ecosistemas locales y con las especies que cultivas, ahí está todo el circuito de lo que organiza.Entonces, cuando pensamos en inversiones, no estamos pensando generalmente en lo que hay detrás. Así podríamos seguir la producción de un auto, la producción de algodón para nuestra ropa, la producción de cristal, la producción de hierro, de plásticos, todo se puede, pensar así. Y también dentro [00:08:00] de las formas de despliegue de la naturaleza, he pensado que haya en ocasiones, hay otra forma que le llamo bio mercantilización turística, que es acaparar ecosistemas completos para ponerlos, por decir así, poner a las ballenas, poner a los caimanes a trabajar, que es una forma de decirlo en el sentido de la renta de la tierra, la renta de los ecosistemas y sobre todo, la gran industria que se construye alrededor de los enclaves turísticos.Todo esto constituye una nueva relación con la naturaleza que es, creo la que vamos a estar conversando en tu programa, porque no modifica o no solo se le ha visto generalmente al turismo como una industria benévola porque no tiene chimeneas. Es muy distinta, por ejemplo, de pues de la industria petrolera, que es la que generalmente pensamos que es la única sucia.Pero la industria turística es [00:09:00] una industria. Lo que pasa es que es una industria de servicios. Es una industria también global. También es monopólica. O sea que está concentrada en pocas corporaciones y cambia, por supuesto, la forma de organizarnos alrededor de los ecosistemas.Chris: Wow. Me ha dejado pensar mucho en como las cosas que parecen como tours o recorridos, quizás podrían estar promocionados como ecológicas o ecológicas, caminatas en el bosque o igual esos recorridos en el mar, en el Yucatán o aquí en Oaxaca para ir a solo ver las las ballenas o tortugas, etc. ¿Es un poco así de lo que estás hablando, no? Cesar: Sí. Ahora hay que decir que estos servicios que tú mencionas generalmente que a veces les ponen el nombre eco turístico, son las de menor [00:10:00] producción de valor o mejor dicho, no producen valor, sino solo hay intercambio dinerario. Pero las que tienen mayor producción de valor son la enorme infraestructura global, los hoteles y las aerolíneas. Y estos son controlados evidentemente por las grandes corporaciones y tienen un impacto gigantesco. Es decir, cuando nosotros pensamos que vamos a hacer una actividad también en Oaxaca, por ejemplo, como tú mismo dices, y que estamos viendo una actividad muy linda de reproducción de la vida de las tortugas. No estamos pensando en toda la cadena de mercancías que es una cadena de servicios que también no solo tiene nuestra huella ecológica, sino de cómo reordenan las inversiones los territorios.En México, por ejemplo, pasamos en alrededor de principios del siglo XXI, de 7 millones de turistas internacionales a 30 o 35 millones.Es decir, en 20 años, prácticamente se ha triplicado el [00:11:00] volumen de, turistas. Ahora, esos turistas no, además, siempre pensamos incluso los gobiernos, incluso el último gobierno ha promovido todavía más el turismo, porque se supone que eso es totalmente benéfico, porque obviamente traen una derrama económica para lugares generalmente también que son pobres.Pero el problema de esta percepción es que no estamos, quizá a veces teniendo una perspectiva crítica donde evidentemente se va formando también una división del trabajo social y una división de la naturaleza y quién accede a ella y para qué. Son las elites mundiales, es decir, también los trabajadores asalariados del norte, que tienen mayor recursos y mayor seguridad económica, los que tienen más tiempo libre y también más recursos para acceder al ocio y la diversión.Las clases bajas no. Entonces hay una división de entrada por el [00:12:00] dinero, por el acceso, quien puede acceder al primero, al tiempo libre. Pero no todo mundo que tenga tiempo libre tiene acceso a los servicios de ocio, diversión y turísticos. Entonces, aquí hay una doble división, una división de clase, ya viéndolo así, vamos viendo que entonces los ecosistemas no se usan simplemente, por todos, de manera igualitaria, sino que unos tienen más acceso y otros no. O unos más tienen acceso de manera paulatina y otros mucho más esporádicamente que es esa división de clase. Pero la otra división que es muy importante es el consumo, es decir, convertir, por eso le llamo bio mercantilización, en el sentido de convertir a los ecosistemas en una mercancía que vender, esa mercancía no te la puedes llevar como, como otras, que si se producen con la mano humana, sino ecosistemas que están puestos al [00:13:00] servicio de la renta, pero también a un nuevo control. Y esto es importante, un nuevo control, del ecosistema.Generalmente casi todos los ecosistemas del mundo tienen una gestión hasta hace muy poco tenían una gestión comunitaria. Esta gestión no es solo, que la gente comparta los bienes naturales, sino que hay reglas para compartir los bienes naturales. La premio Nobel de economía Ostrom descubrió curiosamente, se viene a descubrir en las ciencias sociales algo que en realidad los pueblos y las comunidades realizan desde hace cientos de años. O sea, para ellos no es un descubrimiento, es su forma de vida. Que es, que hay un sistema de autorregulación donde, por ejemplo, para no agotar los bienes naturales, hay sistemas de rotación. Hay sanciones para quien viole sistema de rotación, límites, por ejemplo, para [00:14:00] pescar, límites para hacer, para poner a pastar a las vacas, límites para, por ejemplo, en algunas especies que saben que si se recolecta demasiado, pueden provocar la caída de un banco, por ejemplo, de moluscos.En fin, hay muchísimos saberes de los pueblos, donde saben cómo no agotar los bienes naturales. No quiere decir que todos los pueblos tienen sistemas de autorregulación que les llaman comunes. Pero significa que muchos pueblos sí los tienen. Cuando llega un enclave turístico, cambia este tipo de relación y cambia la gestión de puede ser de un manglar, puede ser de una laguna, puede ser de un río, puede ser de un bosque. Y se orienta hacia la venta de servicios, cambiando a veces de manera armónica con esa regulación comunitaria, a veces desplazando por completo a esa regulación comunitaria y convirtiendolos en [00:15:00] trabajadores de los servicios turísticos.Estos dos cambios ya deberían hablarnos el tanto la perspectiva de clase como la perspectiva comunitaria, de dos formas muy violentas en realidad de desorganizar y volver a organizar, pero ya con la base de querer generar ganancias tanto a los trabajadores como a las comunidades. Y junto con las comunidades, los ecosistemas locales.Chris: Wow. Pues sí, inmediatamente hablando de la cuestión comunitaria. Y esos cambios me ha pensado en la milpa y también como, eso fue mucho parte de la vida cotidiana de la gente. Y también pensando en la milpa, o sea ese sistema de agricultura que hay en Mesoamérica. He pensado también en esa cosa de ciertas ciudades o pueblos antiguos mesoamericanos que, fueran [00:16:00] supuestamente abandonados, pero pensando en la milpa, la necesidad de poner límites en el uso del suelo que también quizás eso tenía un lugar en el contexto de una sociedad, o al menos ciudad, o al menos pueblo entero como ya es el tiempo para dejar este lugar a su tiempo. Pero esa cosa es algo que que ha surgido muchísimo en el podcast sobre los años, con esa cuestión de sacar límites, que el turismo es una industria que destruyen los límites. Y pues, mencionaste al principio de Marx y también mencionamos de un poco de la ecología y has escrito un poco de marxismo ecológico. Y quería preguntarte si marxismo ecológico es solo una manera de medir y definir lo que [00:17:00] está pasando o también como reaccionar, responder, evaluar quizás. Cesar: Yo diría que el marxismo ecológico es solo una de las tradiciones de los nuevos ambientalismos, y de las tradiciones teóricas. Porque, deberíamos separar los saberes bioculturales de los pueblos. Es decir, la forma efectivamente que son, saberes sobre la flora, la fauna, los suelos, el clima, la producción, el consumo y el desecho que las comunidades tienen. Otra vez, no todas las comunidades tienen un sistema auto regulado en torno de todo esto. Algunas si los mantienen. Otras se han, mantienen partes y otras más han perdido buena parte de su organización, y entonces empiezan a producir lo que yo llamo una perturbación metabólica. "Perturbación" viene de la teoría de sistemas, por ejemplo, nos explicaban los que se dedican a [00:18:00] eso, especialmente por ejemplo, en los ecosistemas acuíferos que, por ejemplo, cuando hay un cambio bioquímico en las aguas, por ejemplo un contaminante está entrando rápidamente, pues evidentemente, porque en una laguna muy grande, pues no se nota ese contaminante no? Es decir, pareciera que lo puede diluir. Es tanta la cantidad de agua que diluye los contaminantes, no?Pero si hay de pronto una derrama muy importante de un contaminante. Por ejemplo, puede cambiar de color o puede cambiar, repentinamente. Esa capacidad de ilusión o de resistencia, por ejemplo, para mantener su color o mantener ciertas formas, es lo que se le ha llamado resiliencia. Y, la transformación abrupta sería una perturbación en el sistema como tal. Entonces, pensando yo en Marx y pensando en esta teoría de sistemas, pensé [00:19:00] que la idea de que tenemos este vínculo, de la organización social con la naturaleza, pensé en la idea de que la perturbación metabólica podía ser un cambio abrupto de la relación con el ecosistema.Que no necesariamente es porque se le quita la tierra a la gente, por ejemplo, pienso en que los campesinos mismos para poder competir en el mercado, como el mercado está acaparado por grandes corporaciones que producen muy rápido, ellos tienen que empezar a comprar los paquetes tecnológicos, básicamente agrotóxicos, para producir más rápido. Entonces eso, aunque ellos tuvieran una relación más o menos, sostenible, más o menos armónica con su milpa al meter un agro tóxico, empiezan a cambiar su relación metabólica con el ecosistema, aunque no haya llegado la corporación a obligarlos, sino que ellos toman la decisión porque cada vez su producto en el mercado vale [00:20:00] menos.Entonces tienen que producir más. Esa perturbación, por ejemplo, y esos, están organizados alrededor también de ciertos saberes. Entonces, por un lado, tenemos los saberes de las comunidades que pueden perderse, que pueden desestabilizarse o que puede cambiar, como he dicho, y por eso me refería a la perturbación metabólica comunitaria, cambia abruptamente y puede ser muy dañino para sus ecosistemas.Y por el otro lado, tenemos una serie de saberes científicos de una, y de una serie de saberes teóricos, que podría reunirse en varias tendencias, y una de ellas es el marxismo ecológico. Hay una serie de autores, que han regresado a la lectura de Marx pensando que nos puede decir en términos ecológicos y en los textos publicados, los que Marx si quiso publicar, hay una enorme cantidad de referencias y una visión [00:21:00] que, al contrario de lo que se había pensado hasta hace poco, Marx siempre está pensando en la naturaleza.Pero también hay un paquete de notas y de cuadernos de investigación que son los que han dado, por decir así, nuevos descubrimientos. Hasta hoy no se ha publicado todo lo que Marx escribió. Aunque muchas de esas eran notas, no eran textos como los que se conocen como Los Grundrisse o como El Capital.Estas notas están siendo revisadas por muchos expertos, y uno de ellos, por ejemplo, dos de ellos, John Bellamy Foster, ya hace ya 20 años y Kohei Saito de Japón han encontrado en las notas de Marx que él estaba cada vez más preocupado por como la industria capitalista, la industria de la agricultura agotaba los suelos.Entonces, resulta que Marx estaba estudiando precisamente química, estaba estudiando todo la la geología de los suelos, la composición y estaba [00:22:00] muy interesado en lo que iba a producir el capital y estaba convencido al final de su vida, solo que ya no produjo un texto para publicar, estaba muy preocupado por el descubrimiento que el mismo había pensado de que el capital agota las bases de su propia renovación. Agota, es una forma de relación social, aunque pensamos que solo económica, pero es una relación económico-social que agota los bienes naturales. Aunque eso sí lo publicó, Marx dice literalmente, el capital socava a las dos fuentes de la riqueza. Dice, "el trabajo y la naturaleza." Y esa visión doble me parece muy importante al nombrarla en una serie de académicos que han mantenido esta investigación a partir de ciertas ideas marxistas y han seguido avanzando.Son una veintena de ecologistas marxistas que están discutiendo hoy el cambio climático [00:23:00] que están discutiendo hoy la crisis ambiental a partir de la crítica al capitalismo. Chris: wow.Ye wow. Entonces, mi próxima pregunta viene un poco de la capacidad de considerar esas crisis que mencionaste, dentro de otras aperturas de ecología. Entonces, pues, en la segunda temporada del podcast entrevisté a Pedro UC de Muuch Xiinbal en el Yucatán, sobre la situación el mal llamado tren maya y también con un grupo del pueblo Wixarika que hablaba sobre los invernaderos que estaban invadiendo a su región, así como sobre los cazadores furtivos de pepeyote, los turistas espirituales estaban también causando daño a sus tierras, a sus [00:24:00] relaciones, no solo económicas, pero también culturales. Quizás podemos decir espirituales. Entonces, en este contexto, a menudo se dan dos tipos de extractivismo a la vez, la transformación de la tierra en mercancía y el intento de adquisición de conocimiento o poder espiritual.Cesar: Entonces, tengo curiosidad por saber cómo ves que estos dos mundos interactúan tanto en México como en otras partes de Latinoamérica, en esta cuestión de que la ecología también incluye la cultura y la religióna de la gente. Sí, bueno, el capital, como relación social, tiende a mercantilizar todo. Hay que recordar, por ejemplo, yo también doy siempre como ejemplo que el maquillaje de las mujeres en realidad era, que está feminizado era el maquillaje de los pueblos. Era el embellecimiento. Todas las [00:25:00] culturas, todas, todas las civilizaciones tribales hasta grandes civilizaciones de agricultura, ya basadas en los ríos, las grandes culturas en todos los tiempos, solemos embellecer nuestros cuerpos. Solemos decorarles de muy distintas maneras, de muy distintas formas. Generalmente ligadas al proceso cultural local. El capital lo ha vuelto una mercancía. Cesar: Es decir, en vez, si lo pensamos, antes pues todas las culturas, las tribales podían embellecer sus cuerpos, sus pieles, de múltiples maneras, sabían la técnica para hacerlo, utilizar los materiales para hacerlo, o forjar sus propias joyas, y hacer su propio vestido. Todo lo que acabo de decir, el capital lo ha convertido en una mercancía y despojado, por decir así, de los saberes.No sabemos hoy la gente [00:26:00] que vivimos en las ciudades urbanas, modernas, totalmente capitalizadas. No sabemos hacer esas cosas. No sabemos embellecer nuestro cuerpo, o lo sabemos a partir de los materiales y las mercancías que nos vende una industria. Entonces el capital utiliza nuestras necesidades y la necesidad de embellecernos no es una frivolidad. Lo que pasa es que se convierte en una frivolidad cuando se produce en masa mercancías que efectivamente son para el embellecimiento y traen junto con ellas un marketing de embellecimiento de ciertas formas, además de belleza hegemónica. Entonces, por qué digo este ejemplo que parece muy lejano a nuestra conversación sobre la naturaleza, porque el capital puede convertir en servicio y por tanto, en un servicio que de ganancias prácticamente cualquier forma [00:27:00] etno cultural que le llaman, cualquier forma etno turística, cualquier forma eco turística, es decir, generar ganancias a partir de los servicios de conocer, de divertirse, del ocio, de incluso del contacto social que le llaman turismo de contacto social. Es decir que busca una experiencia alternativa que puede ser gran diversión, estas máquinas que te elevan con el agua en el mar con un técnico que te acompaña, o simplemente las motonetas que en lugar, en lugares boscosos, es decir, puede ser cualquier tipo de servicio turístico que esté acompañado, acompañando a vivir una experiencia en un ecosistema que generalmente está fuera de tu ciudad. Pero además, esta división, ciudad y lo rural o ciudad, enclave turístico o ciudad [00:28:00] también lugar del Edén, lugar paradisíaco. Esta división se ha producido, pues por la concentración de capital en las ciudades y por la concentración del trabajo en la ciudad. Entonces, lo que esta división internacional del trabajo que produce entonces ciudades que trabajan y lugares de descanso y, por tanto, trabajadores y trabajadoras que te tienen que atender para tu descanso, pues es lógico que es una división internacional que también hace que haya países productores de servicios turísticos y países consumidores o ciudades consumidoras de servicios turísticos también. ¿Porque también planteo esta enorme división? Porque, la extracción de bienes naturales es muy conocida del sur al norte y tiene que ver efectivamente también con los enclaves turísticos y la infraestructura turística que se construye.[00:29:00] Los gustos y las necesidades de la, el turista de élite de clase media y de clase alta, requiere ciertas comodidades que no necesariamente son producidas en el ecosistema local. Entonces hay que traer, por decir así, si el turista de élite quiere fresas y luego un pan con aguacate, bueno, hay que traer fresas desde el otro lado del país, incluso del mundo, y hay que traer aguacate que que es... ¿Por qué digo estas dos? Porque la primera se produce bajo ciertas formas de explotación de jornaleros, por ejemplo, en el norte de México. Y hay que llevarlos hasta la península. Si dijéramos en el tren maya en un lugar que aparentemente podría ser, eco friendly, es decir, podría producir, intentar producir orgánicamente, no gastar agua o gastar [00:30:00] menos, o tener ciertos servicios en su localidad. Bueno, hay que traer fresas desde el otro lado, hay que traer aguacate que tiene un gran consumo de agua. Esto es muy importante, hay ciertas especies, lo que tú decías, de no hay límites. No hay límites. Si el turista quiere aguacate hay que tener aguacate y, por tanto, hay que traerlo de Michoacán, que agota también los mantos acuíferos y se expande como monocultivo.Ahí está esta relación extractiva, no sólo del sur al norte, también de las ciudades, frente a lo rural y de los enclaves turísticos frente a los ecosistemas en general. Entonces este tipo de relaciones no son sostenibles. Este extractivismo, entonces no solo es, puede ser cultural, evidentemente, que volver mercancía, relaciones sociales, relaciones culturales que en general no eran, no entraban a la esfera de las mercancías. Por eso también llamo bio mercantilización, porque es incluir en [00:31:00] esferas de los bienes naturales, esferas de los ecosistemas al área de las mercancías, cuando antes no lo eran, generalmente es el agua lo que pensamos. Antes no era una mercancía. Ahora, cada vez más, hay un intento, porque lo sea.Entonces, en este doble sentido de extractivismo, me parece muy importante hacer la claridad de que los enclaves turísticos son también una forma de extracción y de descampesinización. Otra vez, hace una perturbación metabólica porque el campesino que no puede acceder con la propia venta de su producto, ve como una opción el trabajar en un hotel, ve como una opción abandonar la tierra. Y si se abandona la tierra, entonces se puede rentar para otras cosas, o se puede deforestar o se puede urbanizar esa tierra si el campesino... la mejor forma de cuidar la tierra es que el campesino la siga cultivando. Pero si [00:32:00] la abandona, le puede suceder cualquier cosa a la tierra. Y terminamos efectivamente con un enclave turístico que incluso puede tener, insisto, una perspectiva verde, decir que está produciendo, que tiene comida orgánica o que recicla las aguas o que hace este tipo de acciones que son evidentemente muy positivas, pero en comparación con el cambio metabólico que va a producir en los campesinos del ecosistema local, abandonando la tierra y considerando el enorme consumo que tiene que llevar de otras partes del país y del mundo para el consumo de élite, pues parece que es insuficiente reciclar el agua, no dar popotes o tener una dieta vegetariana en un hotel. Es decir, la perturbación del ecosistema y la extracción de bienes naturales de otros lugares y el más importante, el agua, [00:33:00] simplemente no son cambios mitigables, no son cambios que se pueden comparar con las pequeñas acciones de cuidado ecológico que, por supuesto, todos tenemos que hacer, y todos tenemos que educarnos en ellas, pero a nivel estructural, por supuesto, el enclave turístico es más destructor, enclave corporativa, enclave industrial, enclave de oligopolios, enclave de gran consumo. Que estas acciones que mencionan.Chris: Gracias César. Pues una cosa que solo pude entender cuando ya he empezado trabajando en la industria turística, era de como cada lugar que fui a visitar en el mundo antes, aunque si me quedé una semana, dos semanas, un mes o igual como tres, seis meses, [00:34:00] no me quedé suficientemente tiempo para entender la consecuencia de mis movimientos allá.Y entonces creo que eso se queda muy fuerte, que los turistas tienen una responsabilidad que está totalmente, no totalmente, pero casi totalmente alejado de su capacidad para saberlo, para entenderlo, y, pero cuando hablamos del poblador campesino, que no solo tiene como ciertas fuerzas económicas, pero también siento que deseos culturales, o sea, como ese sueño americano, que ahora es un sueño global y eso. Pero por ejemplo, me quedé pensando los pueblos de Oaxaca que hacen ecoturismo, y ecoturismo basado en el municipio, en la asamblea, como una manera de quedarse la gente en el pueblo, generar ingresos y quizás también entrarse [00:35:00] con un vínculo y relación de hospitalidad que va más allá de la industria turística, por ejemplo, pero también la mera presencia del extranjero, extranjera en un lugar así cambia, lo que existía en el pueblo antes . Y en muchos pueblos, si hay gente que dicen, pues no, "fue un error." Y hay otros que dicen "no, o sea, está alimentando, muy bien, el pueblo." Entonces quería preguntarte qué piensas de esas, no necesariamente contradicciones, pero distintas reflexiones y consideraciones.Cesar: Yo creo que es una alternativa, efectivamente, cuando viene como proyecto de los propios pueblos. Y cuando los pueblos tienen un proceso organizativo que les permite, afrontar el reto de una empresa comunitaria, de una cooperativa comunitaria [00:36:00] de servicios comunitarios y establecer efectivamente las reglas, y las formas de regulación de visitar, sea una comunidad, un ecosistema, en fin. Es decir, creo que cuando viene desde abajo, es una verdadera alternativa, aunque yo diría que es indispensable combinar con las formas de producción campesina que, insisto, se deterioran y se deteriora todos los ecosistemas.Entonces, creo que sería una forma desde abajo. El problema es cuando se impone desde arriba. Como en el tren en maya, donde se abren zonas hacia el turismo, donde formalmente se va a cuidar, discursivamente se va a cuidar estos elementos, pero hemos visto cómo la captura, por ejemplo, de las playas, cómo la captura y espacialización de los negocios con gran [00:37:00] inversión, acaparan por ejemplo, el comercio, acaparan el acceso a las playas, acaparan incluso la forma de urbanización. No son combinables, es que hay gente que piensa que lo comunitario puede combinarse armónicamente con las grandes inversiones del gran capital y con el gran capital corporativo turístico.Pero pues tienen lógicas distintas. No es que sea una buena y una mala no es una cuestión de moral, es una cuestión de organización social. Si el turista está de acuerdo, por ejemplo, en adecuarse a una dieta que localmente tenga una menor huella ecológica, y además se puede programar los límites como tú también destacabas de la capacidad de visita y la carga que puede tener la visita hacia el lugar en específico, puede ser perfectamente una alternativa, aunque [00:38:00] hay que decirlo, lo que pasa es que si cambiamos de escala, no es viable que mil millones de europeos y norteamericanos estén viajando todo el mundo. No no pueden producir tanto Co2, es decir, no pueden, entonces tenemos y hasta ahora no hay una discusión global sobre esto.Está en la discusión sobre los jets de los multimillonarios porque de por sí, un vuelo es muy contaminante, pero los jets son todavía más porque están dedicados al confort y para viajes que no son indispensables, sino de lujo. Entonces, si pensamos en la, en lo que habría que no solo regular, sino prohibir, los vuelos en jet, en la explosión gigantesca de las aerolíneas a nivel internacional, incluso en vuelos comerciales y no privados es insostenible.La industria de las aerolíneas dice que ellos solo producen el 1% [00:39:00] del Co2 mundial. Si, pero así cada industria dice no es que yo solo produzco el 2% o el 5%, o el 0.5%. Claro, entonces, al final, nadie es responsable de la producción de Co2, porque cada uno puede decir yo soy tan poco responsable que no me regulen, pero no es viable.Entonces, creo que tendríamos que pensar en turismo local, con acortar las cadenas de mercancías de producción de servicios turísticos. Es decir, pensando en que son los nacionales, los conacionales y los internacionales tienen que ser regulados. Bueno, incluso que tú conocerás más, yo conozco mucho más el turismo comunitario y los impactos comunitarios y menos el impacto del turismo barrial y urbano que viven varias ciudades europeas y que prácticamente está fuera de control en París, en Barcelona, está fuera de control y junto con Airbnb o otras [00:40:00] plataformas que permiten la llegada masiva de gente o incluso la visita permanente de extranjeros que no tiene que ver con su nacionalidad, no es una cosa xenofóbica, sino en el sentido del desplazamiento que no lo quieren los extranjeros, por ejemplo, en México, no es que sean malos, no es que sean, que sean extranjeros. Insisto, no es una cuestión ni racial ni xenofóbica, sino en el sentido de que los extranjeros en México, en la ciudad de México, no en una comunidad, no en un ecosistema todavía, protegido en un ecosistema, digamos más armónico que el de la ciudad, está siendo desplazada a la gente porque la capacidad dineraria, la capacidad de ingreso, la capacidad de clase desplaza la habitación en las colonias como Roma y Condesa. Entonces, por eso es muy importante que, cuando pensamos las alternativas, creo que tenemos que mirar todas estas [00:41:00] escalas, para la comunidad por supuesto, creo si, insisto si, si viene desde la comunidad como proyecto comunitario. Yo creo que es un proyecto que puede fortalecer el proceso, puede seguir manteniendo ciertos equilibrios ambientales y puede ser una alternativa económica de ingreso para las comunidades. Si lo vemos como estructura internacional, el turismo comunitario se queda muy corto para la capacidad de que, que los últimos 40 años de neoliberalismo han creado en infraestructura. Es decir, si hoy se puede viajar a cualquier lugar del mundo también a menor precio es porque hay más aerolíneas, es porque hay más infraestructura, porque hay más competencia, porque hay paquetes de crédito. Es decir, hay una mega industria, porque hay una enorme marketing para venderte vuelos, para ofrecerte, vuele ahora y pague después. Esa industria gigantesca mundial es insostenible, no puede viajar tanta gente al mundo, lo vamos [00:42:00] a reventar. Bueno, lo estamos reventando, estamos reventando al mundo con la movilidad turística internacional que cada vez es más incontrolable, y por el número. Otra vez, los turistas no son malos. El problema es la enorme cantidad de turistas que, efectivamente, por cantidad agotan el peyote en el norte, dejan sucia las playas, consumen más agua, requieren más energía eléctrica.Es decir, la industria en su forma corporativa e industrial internacional es insostenible. Creo que hay que pensar cómo se podría reducir los impactos hacia un turismo comunitario controlado por los propios pueblos. Y ahí, yo creo que esa es la alternativa. Chris: Mm. Mm. Gracias, César. Y pues, por lo que he leído, parece te metes mucho en la cuestión de autonomía y la emancipación de los pueblos. [00:43:00] Así como me gustaría preguntarte también, como crees que esos entendimientos puede ayudar a la gente urbana también para construir comunidad, comunalidad y solidaridad.Es algo que pensamos mucho como ah, pues ellos allá tienen la respuesta porque terreno y territorio, pero nosotros, como inquilinos, etcétera, que pues quizás jamás en nuestras vidas van a tener casa o territorio o terreno.Cesar: Bueno, primero mi interés es porque, en general, hasta 1989 hubo 200 años de una promesa, encabezada por la izquierda política. Y cuando me refiero a la izquierda política, no me refiero solo a los partidos, me refiero a un proyecto de superación de organización de la sociedad que prometió libertad, igualdad, fraternidad. El proceso por el cual, se [00:44:00] deterioraron los proyectos y los horizontes de transformación es muy grave, o sea, se ha pensado, hoy estamos, prácticamente resignados, resignadas, aunque hay millones que no, pero parece que si ese es el espíritu, el mood dirían los jóvenes, el mood de la época es que no hay una alternativa que, como han planteado Fredric Jameson o Žižek, es más fácil, pensar en el fin de la humanidad que en el fin del capitalismo, o en el fin del mundo que el fin del capitalismo. Entonces, estoy muy preocupado por pensar alternativas, y pensar efectivamente horizontes políticos, insisto político en un sentido amplio, no político partidario, sino político como la capacidad que tenemos, como incluso como especie para ponernos de acuerdo y tener horizontes de que queremos hacer, qué vida queremos, qué vida, qué proyecto de vida también deseamos y podemos [00:45:00] construir. De hecho, eso es lo que nos define como especie, que nos damos nuestra propia forma organizativa. Es la especie que puede tener una forma en China y otra forma en los Andes, y otra forma en Norteamérica, y otra forma en Sudáfrica. Cesar: Es decir, distintas formas de organización social que reproducen la vida y reproducir la vida, puede hacerse de manera muy despótica o de manera mucho más libre. Y en ese sentido, me he involucrado, si tengo muchísimo tiempo, quizá década y media o dos décadas, pensando entonces, cuáles han sido los elementos emancipatorios que ha habido en esos proyectos. Y en realidad lo que pensamos que fue el socialismo o el comunismo, que fueron en realidad experiencias autoritarias de partidos únicos y de élites, tenían en su germen otras ideas que era que el poder de los trabajadores, la autogestión de los trabajadores fuera la [00:46:00] nueva forma de organización social. Es decir, que los trabajadores tomaran las decisiones de la producción.Lo que yo veo en América Latina, donde hay un movimiento obrero menos importante, o menos grande, como lo fue el movimiento obrero en Europa, también en Estados Unidos, es que las formas originales no capitalistas permiten también reproducir la vida de otros modos, de modos comunitarios y de otros modos.Estos dos elementos en el norte de Europa, el poder de los trabajadores para controlar reproducción, los pueblos originarios controlando sus propios ecosistemas locales. Me parece que nos dan lecciones de otras formas de organización social. Acabo de publicar un texto, un libro, que habla de la producción de comunidad en las ciudades. Es una investigación en ciudad de México, donde un movimiento [00:47:00] masivo... es decir que generalmente también pensamos la comunidad como una cincuentena de personas, poquitas.Esas son miles de familias que han podido constituir, construir comunidades urbanas de la nada. No, no eran pueblos originarios que se desplazaron a la urbe, a la periferia como si ha sucedido, por ejemplo, en El Alto en Bolivia, sino clases populares, con muy bajos ingresos, que en la búsqueda de vivienda encontraron que no solo querían vivienda, sino también querían mejorar y dignificar su propia vida. Insisto de clases populares muy precarias. Y lo que han c onstruido, Raúl Zibechi, uno de los periodistas, intelectuales más conocidos de América Latina porque ha estado en prácticamente todos los movimientos sociales del continente. Desde el cono sur hasta México, desde la Araucanía de Chile hasta la Selva Lacandona en México. Lo llevamos [00:48:00] a que visitara esta experiencia aquí en Ciudad de México y dijo esta es la autonomía urbana más importante de América latina. Y concluyo diciendo en el tema de la autonomía. Entonces estoy muy interesado en no por estudiarlas desde la ciencia social como un objeto de estudio, sólo para saber cómo funcionan, sino porque al comprender cómo funcionan, nos dan alternativas a quienes no estamos en esas comunidades.Entonces, estoy muy interesado en conocer esas experiencias, rastrearlas históricamente, estudiarlas y entenderlas, y comprenderlas y aprender de ellas. Es decir, yo lo que quiero es que ese aprendizaje que han producido esas comunidades podamos comprenderlos otros que no vivimos en comunidad. Y, por último, un aprendizaje que de una noción que ha surgido después de la caída del muro de Berlín ha sido precisamente la autonomía, porque frente a las experiencias autoritarias de Europa del este, pues pareciera que [00:49:00] nadie queremos repetir una experiencia que, aunque rechazamos las formas capitalistas y liberales de la política, no queremos tampoco una experiencia autoritaria y centralizadora, y mucho menos totalitaria de un partido único que es el que decide todo. Lo que hemos encontrado a tanto teórica como en estos casos empíricos es que la autonomía, la capacidad de darse sus propias leyes, eso significa autonomía, pero más allá de las leyes, es gobernarse a sí mismo. En realidad es la emancipación. Emancipación significa quitarse de encima la mano del señor. ¿Qué señor? Era el señor feudal, así se creó más o menos la palabra desde, o del esclavo desde hace muchísimo tiempo. Quitarse de encima la mano del amo o del amo o del señor feudal, es decir que no te mande alguien más.Eso es vivir también en libertad, pero las comunidades viven en colectivo y para emanciparse requieren quitarse [00:50:00] ahora de una mano que es invisible, la mano del mercado, la mano del capital. Entonces, como nos emancipamos también en colectivo y la autonomía. Gobernarse a si mismo, significa también poner un freno a las decisiones de estados que generalmente en América Latina han tenido una perspectiva colonial en relación a los pueblos indígenas, o neocolonial, o también de colonialismo interno, como decía don Pablo González Casanova.Ahora, por último, la autonomía, entonces la considero, es el elemento central, incluso más allá del igualitarismo económico. Son dos proyectos distintos. Es decir, cuando la gente logra dignificar su vida, creo que es muy positivo, creo que todos quienes tenemos una perspectiva crítica emancipatoria o incluso de izquierda, queremos que la gente en general vivamos dignamente, no con grandes lujos, pero tampoco con una enorme precaridad donde a veces, pues si muchas comunidades viven en una enorme precaridad. [00:51:00] Pero lo que es más interesante es que sean los propios pueblos los que decidan como vivir y que decidan que es pobreza y que decidan que es dignificar, y que no se decida desde el estado, ni desde la academia, ni desde los estudiosos de el igualitarismo.Qué es lo que necesitan sus vidas, y cuando los pueblos logran controlar sus vidas, nos enseñan, otra forma de libertad. En ese sentido creo que estas experiencias también son reunidas para precisamente seguir la discusión de cómo sociedades que ya no tenemos organización comunitaria, que no tenemos una trama de organización tampoco en la fábrica, podríamos emular, replicar algunas de las prácticas, algunas de las formas organizativas para vivir efectivamente y regular la sociedad de una manera a otra, una manera más libre, una manera más igualitaria. Ese es un poco también el trabajo que he estado haciendo, que tiene que ver con [00:52:00] esta preocupación de, yo creo que hay mucho, muchísimas alternativas, pero ya no hay una alternativa que llame a todos, , que fue lo que movilizó en el siglo XX a muchísimos a muchísimas, a millones y millones de personas que incluso dieron su vida por hacer un cambio, un cambio que llamaban revolucionario. Y me parece que hoy, a pesar de que tenemos muchas más experiencias alternativas de base de los pueblos, de alternativas agroecológicas, de alternativas comunicacionales, de formas de regulación, de nuevas formas de establecer las relaciones de género, tenemos múltiples alternativas y múltiples teorías. Hoy pareciera que no, no los podemos, articular, digamos, en un proyecto común y a lo mejor necesitamos algunos elementos comunes, no para crear una sociedad que toda sea igual, sino al contrario, como decían, como dicen los zapatistas, un mundo donde quepan muchos mundos, muchas alternativas, pero [00:53:00] pensadas en muchas formas también de, de relación social comunal, igualitaria, libre y emancipadas.Chris: Mm. Sí, pues a través de ese comentario sobre la autonomía y la dignidad, y la diversidad que puede venir cuando tenemos esa libertad, quería preguntarte si podrías imaginar de un futuro sin turismo como lo estamos criticando el día de hoy, quizás un tipo de ocio, o viaje, o interculturalidad, que podrías imaginar, ¿Qué planteas en la conversación para la gente antes de terminamos aquí? Cesar: Si, primero, sobre esto del turismo, creo que deberíamos pensar que el mundo está terminando tal y como lo conocíamos. No hay ya condiciones, nos [00:54:00] dirigimos efectivamente, a un posible colapso sistémico si seguimos consumiendo energía y materia al ritmo que lo estamos haciendo. Y cuando digo al ritmo que lo estamos haciendo, reconociendo que los pobres consumen menos agua, por ejemplo, hay un estudio de familias del agua en ciudad de México donde algunas familias, las más pobres de la ciudad, consumen solo unos 50 litros, y en cambio, las más ricas o las más adineradas consumen más de 1000 litros al día, una sola familia.Entonces, me parece muy importante, entender estas diferencias de clase vinculadas a, la naturaleza y por el otro lado, pensar que todos, que hemos vivido, lo decía un empresario en un documental, dice, estamos volando un momento de la historia donde parece muy lindo porque hemos tenido una serie de comodidades que ninguna civilización pudo tener.Es decir, conocer el [00:55:00] planeta entero porque tenemos esa oportunidad cuando tenemos un poco de dinero, incluso aunque no seamos ricos, tenemos la capacidad, por la infraestructura, por las fuerzas productivas, porque efectivamente hay una red mundial que lo permite. Pero esto es insostenible, como son insostenibles muchos de los lujos.Es muy lamentable tener que pensar que ese lujo turístico debe terminar. Quizá en una sociedad donde pudiéramos decidir que preferiríamos. Pues, por supuesto, en mi caso, yo decidiría también conocer muchos lugares y reducir mi huella ecológica en muchísimas otras cosas que no son indispensables, pero eso solo sería posible, es decir, mantener el turismo. No bajo la forma corporativa que tenemos hoy. Si pudiéramos reducir nuestro consumo, por ejemplo, en el vestido, nuestro consumo eléctrico, nuestro consumo, por supuesto de carbono, entre muchos otros contaminantes y consumo de materia y energía. Entonces creo que [00:56:00] habría que pensar que en la nueva sociedad, que se tiene que construir, y a veces la gente lo ve a uno como loco, como diciendo, pero cómo, eso no va a suceder. El capitalismo está funcionando perfectamente. Pero estamos en un memento ya de transición, estamos, lo que sucedió con el huracán el año pasado aquí en México, en Acapulco, lo que sucedió en Valencia, son solo las primeras señales de muchísimas más que hay que no son conocidas. Estas fueron tragedias humanas y por tanto, se conocieron más. Pero ya vivimos una transición en términos del sistema tierra, que no sabemos qué va a suceder y debemos prepararnos para eso. Entonces, creo que debemos pensar más bien en cómo sería una sociedad alternativa donde el turismo comunitario y el turismo a baja escala, y el turismo controlado, o mejor dicho, regulado con bajo impacto de huella ecológica fuera posible, pensando en toda su cadena de mercancías, toda su cadena de servicios.[00:57:00] Creo que ese es el horizonte que deberíamos trazar en torno del turismo. Y mientras tanto, seguir apoyando las alternativas de los pueblos por controlar sus ecosistemas cuando deciden efectivamente, abrirlos al turismo, en cualquiera de sus formas.Y por el otro lado, y para cerrar efectivamente, hay decenas de aprendizajes de lo que donde yo me he acercado, y me he acercado también, precisamente porque he visto no solo esperanza, sino formas alternativas de relación social. Digo algunas, se puede crear comunidad urbana. Las clases populares tienen una capacidad política propia que se tiene que desarrollar, no es automática, no está ahí por su esencia popular, sino que puede generar sus propias formas políticas en un largo proceso de aprendizaje que permite entender que la comunidad es también una forma de ejercicio del [00:58:00] poder, una forma que regula también las posiciones, actitudes egoístas y las posiciones que se aprovechan de los otros, y las reprime, las suprime, pero también permite la producción de comunes, de beneficio común y la producción de nuevas relaciones sociales que satisfacen a todos y a todas, porque no son solo relaciones materiales, sino relaciones también emocionales, vínculos afectivos, satisfacción por servir a otros. Es decir, la comunidad si puede reproducirse en las ciudades, a diferencia de nuestra noción, de que solo en las comunidades rurales puede producirse, o en el ámbito rural puede producirse comunidad.Estos elementos son muy importantes. Por el otro lado, que la enorme riqueza biocultural de los pueblos, a pesar del deterioro ecosistémico, a pesar del avance de la urbanización, a pesar del deterioro de [00:59:00] los campesinos como clase social, a pesar del cambio climático, los pueblos siguen resistiendo. Ya han encontrado formas maravillosas para mantener cohesionadas sus comunidades, para reorganizarse, para tener sus propios horizontes político-comunitarios, sus autonomías y los saberes bio culturales que guardan, que ahora lo estoy precisamente investigando, como decía yo, en el caso de Texcoco, que es aprender de su relación con las otras especies, con las algas, las algas del lago de Texcoco, con las aves, con los suelos, suelos que no eran fértiles o que tienen una producción diferencial en en el maíz, en las otras especies que cultivan, sus propios saberes del cultivo, la combinación de cultivo, su relación con la tierra. Hablan de un, digamos de un cúmulo civilizatorio de ellos, pero de toda la humanidad. [01:00:00] Pues que nos da esperanza porque esos conocimientos, yo siempre les digo a mis estudiantes, imaginen en cuánto tiempo pasó para que pudiéramos aprender cuál hongo era comestible, cuál era alucinógeno y cuál no es comestible. Es un aprendizaje vital, no por, solo por los hongos, sino pero lo podemos reproducir en todos, el maíz, las frutas, las verduras, las hierbas medicinales.Es un conocimiento que no es de nadie. Es un común. Está abierto para todos y con ese podemos sobrevivir, los conocimientos sobre las semillas, sobre las aguas, sobre los ecosistemas locales. Y ese, los pueblos además están compartiendo esos saberes.Creo que con la idea de que la comunidad puede ser producida en la ciudad y que los saberes bio culturales no solo son de los pueblos locales, sino son los saberes de las grandes civilizaciones humanas, creo que tenemos dos herramientas para afrontar el enorme peligro que tenemos hoy frente al cambio [01:01:00] climático y los otros problemas ambientales que tenemos hoy, especialmente la sexta extinción masiva de las especies, la sedificación de los océanos, entre otros elementos. Pero tenemos dos grandes cúmulos de conocimiento humano que es milenario, y que ese nos puede permitir sobrevivir aquí y ahora, y hacia el futuro, que va a ser difícil, pero la organización de los pueblos, la organización de las clases populares, las alternativas que están ya instaladas en al menos las que yo conozco en toda América Latina, dan muestra que podemos tener alternativas viables, más libres, más horizontales, más democráticas, más emancipatorias.Chris: Mmm, vaya. Pues gracias, gracias César, por esos dos champiñones, lo comestible y de lo que está pasando en el día de hoy y también lo alucinógenico, lo que podemos imaginar en [01:02:00] otros mundos. Fue un gran gusto y honor para pasar este tiempo contigo. Entonces, me gustaría agradecerte, en el nombre de nuestros oyentes también.Y antes de terminar, solo me gustaría preguntarte si hay alguna manera de que los oyentes puedan seguir tu trabajo, ponerse en contacto contigo, leer tus libros, etcétera. Cesar: Sí, la forma más fácil es, utilizo X. . Que nombre tan horrible , pero es @cesarpinedar, con r al final, @cesarpinedar. Y también en mi página, enriquepineda.info, ahí en realidad están todos mis textos.Publico muchísimo en redes sociales, especialmente en X. Yo le sigo diciendo Twitter porque el verbo Twittear es mejor. ¿Cómo se dice ahora con X cuando publicas algo? Entonces, supongo, pero es más aburrido. En fin, les invito, agradecerte a ti mucho tus preguntas y esta conversación y esta [01:03:00] posibilidad de difundir un poquito de lo que sabemos y un poquito también de nuestro saber, que es un saber también entre muchos otros, muy diversos y legítimos y válidos todos.Entonces, agradecerte también por esta conversaciónChris: Gracias, César. ENGLISH TRANSCRIPT - Ecological Marxism w/ Cesar PinedaChris: [00:00:00] Welcome Cesar, to the podcast The End of Tourism. Thank you very much for being willing to talk to me today. I'd like to start by asking you, where are you today and what does the world look like for you there?Cesar: I live in Mexico City. For some time now I have been doing research, again, on the continuity of the airport process. So I often go to Texcoco, towards the east of the city, towards the old Texcoco lake, so I have a double view, the traditional urban view where I live and where I teach, which is at UNAM and Mora, and on the other hand, the towns, the community and the lake system that I visit daily.Chris: And how is that going in Texcoco, if I may ask?Cesar: It's going well, I think the people's front in defense of the land has had a new victory. And I think it's a new advance, it's a somewhat anomalous movement in Mexico because [00:01:00] it has practically won all its battles, it has stopped the two airports, it has freed its prisoners and now it has managed to protect the territory.And today they are faced with a new challenge, which is to be a local government, right? So, in all of them they have triumphed in the end, despite the enormous costs, because they have suffered from repression, from persecution, from the precariousness in which many of their members live. But I think they are doing very well.Chris: Yeah, wow, well, what a great, what a beautiful result, right? Cesar, it seems that a lot of your work is based on what we can call the conversion of nature into capital, or at least that's how theorists have traditionally described it. I'd like to ask, how do you see that happening in the world of tourism, the conversion of nature into capital to, to start with, to give us a [00:02:00] basis to follow?Cesar: Yes, well, I have to say that I have also tried to study or theorize. When we theorize, we make generalizations. Theory is a generalization in order to be able to dialogue in different contexts, in different cases, otherwise each case of course is totally different from the other due to its historicity, its locality, its particularity.When we theorize, we try to make a generalization that is valid for many cases. So, and that allows us to dialogue and think about many with the same way of naming and conceptualizing. So, I have done this work of conceptualization and theorization in the idea of how to try to understand how capital is effectively deployed territorially. Generally, we think of capital only as monetary relations, as investments and as profits, in fact, we compensate capital as, the [00:03:00] thing, money, in any case, as material wealth, merchandise, it can be clothes, it can be cars, but in general, capital is a process. That is what Marx proposes, and the process is how people organize themselves, organize work, some work for others and how they effectively take from nature what they need to produce new merchandise or new use values, which is what, utility is what Marx calls it.In this sense, producing many use values necessarily requires some connection with nature. Marx calls this connection social metabolism because it is a connection not only because you take what you need, the materials, so to speak, some call them resources in economics. Generally in political ecology or in agroecology we call them natural goods [00:04:00] . Because they are not things but simply resources that are there available to be spent. And this connection, which has been developed even further today by some theorists who have followed Marx's idea of social metabolism, propose, following also some ideas of Marx, that it is the way to organize ourselves, to organize work.Work is the link with nature and this link is at the same time an exchange of matter and energy with local ecosystems. This exchange is more commonly called metabolism.So, I say all this because it is very important to think about how what we call the economy develops certain forms of activity, of material work and not only of monetary and monetary exchanges, because sometimes it seems that an activity gives a lot of profits and it could be, taking, for example, from nature, [00:05:00] too many natural goods, even though it actually produces a lot of monetary profits.And in that sense, what I have been studying is precisely how capital is deployed, looking, so to speak, for what it needs from ecosystems, but sometimes it does not need everything from ecosystems, sometimes it does need the entire ecosystem, which is what I am going to explain very quickly now.But in other cases, he needs only one of the natural resources, he needs land to cultivate and then he monopolizes it either by buying, or by dispossessing, or by renting the land. On the other hand, he may not need the soil to produce, not only does he need the land to produce, but he also needs that land to have a climate.This seems to be not so common sense. All farmers are much clearer about it, but it is clear that in certain areas certain species are found and in others, for example in cold places, they are found more because forest production and therefore production, pine and eucalyptus are grown. And in the tropics, fruits are grown .So economic investments that we could call capital, but that capital is a process as I said, reorganizes the workers, the workers. It also organizes the relationship with nature or reorganizes it. So, I always give these examples because they are very illustrative of what happens, for example, if there are more investments to cultivate, for wood production. Production, obviously, those who invest require their profit quickly. So you have to invest and have profits. You have to invest and sell the wood quickly, for example. Therefore, the species that grow the fastest are cultivated .And because they grow faster, they need more water. If they need more water, they deplete the aquifers. Here we have a direct consequence of human organisation in nature, in how to reorganise it because it replaces the native forest and replaces it with species that can only be sold, in this case, pine and eucalyptus.It is clear that, as in the past, time is reorganized, for example, for workers. If there are all the workers in the forestry industry who are offered a type of work and the relationship with water, with local ecosystems and with the species that are cultivated, there is the whole circuit of what is organized.So when we think about investments, we are not generally thinking about what is behind them. So we could follow the production of a car, the production of cotton for our clothes, the production of glass, the production of iron, of plastics, everything can be thought of like that. And also within [00:08:00] Of the forms of deployment of nature, I have thought that there is sometimes, there is another form that I call tourist bio-commodification, which is monopolizing entire ecosystems to put them, so to speak, to put whales, to put alligators to work, which is a way of saying it in the sense of land rent, ecosystem rent and above all, the great industry that is built around tourist enclaves.All of this constitutes a new relationship with nature, which is, I think, what we are going to be discussing in your program, because it does not modify or not only has tourism been generally seen as a benevolent industry because it does not have chimneys. It is very different, for example, from the oil industry, which is the one we generally think is the only dirty one.But the tourism industry is [00:09:00] an industry. The thing is that it is a service industry. It is also a global industry. It is also monopolistic. In other words, it is concentrated in a few corporations and it changes, of course, the way we organize ourselves around ecosystems.Chris: Wow. It's gotten me thinking a lot about how things that seem like tours could perhaps be promoted as ecological or eco-friendly, like hikes in the forest or even those tours on the sea, in the Yucatan or here in Oaxaca to go just to see the whales or turtles, etc. Is that kind of what you're talking about?Cesar: Yes. Now it must be said that these services that you generally mention, which are sometimes called eco-tourism, are those with the lowest [00:10:00] production of value or rather, they do not produce value, but rather there is only monetary exchange.But the ones that have the greatest value production are the enormous global infrastructure, the hotels and the airlines. And these are obviously controlled by the big corporations and have a gigantic impact. That is, when we think that we are going to do an activity in Oaxaca, for example, as you say, and that we are seeing a very nice activity of reproduction of the life of turtles. We are not thinking about the whole chain of goods, which is a chain of services that also has not only our ecological footprint, but also how investments reorder the territories.In Mexico, for example, around the beginning of the 21st century, we went from 7 million international tourists to 30 or 35 million.That is, in 20 years, it has practically tripled [00:11:00] volume of tourists. Now, these tourists don't, in addition, we always think that even governments , even the last government, have promoted tourism even more, because it is supposed to be totally beneficial, because obviously they bring an economic spillover to places that are generally also poor.But the problem with this perception is that we are not, perhaps sometimes, having a critical perspective where a division of social labor and a division of nature and who has access to it and for what purpose is evidently also being formed. It is the global elites, that is, also the salaried workers of the north, who have greater resources and greater economic security , who have more free time and also more resources to access leisure and entertainment.The lower classes do not. So there is an entry division by the [00:12:00] money, for access, who can access the first, free time. But not everyone who has free time has access to leisure, entertainment and tourist services. So, there is a double division here, a class division, Now, looking at it this way, we see that ecosystems are not simply used by everyone in an equal way, but that some have more access and others do not. Or some have more access. gradually and others much more sporadically, whic
El cierre de la entrevista en Mondrian Mexico City Condesa con Ulises Reyes. ¿Cómo llegas a ser director de Marketing y Ventas? Nos contó su paso por la venta offline, telefónica, la transformación digital... ¡Entérese de todo dando click aqui!
En la colonia Hipódromo Condesa muere hombre de nacionalidad colombiana Egipto será sede de la cumbre árabe de emergencia el 27 de febrero Más información en nuestro podcast
Trump y Guantánamo: ¿los gringos de la Condesa serán enviados a Lecumberri?: PatricioEnlace para apoyar vía Patreon:https://www.patreon.com/julioastilleroEnlace para hacer donaciones vía PayPal:https://www.paypal.me/julioastilleroCuenta para hacer transferencias a cuenta BBVA a nombre de Julio Hernández López: 1539408017CLABE: 012 320 01539408017 2Tienda:https://julioastillerotienda.com/ Te invitamos a que visites nuestro perfil en Patreon. Solo da clic aquí Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Marina Soto, gerente de Vinculación Cultural de Chilango, invita al taller "Escribir con los ojos", una experiencia creativa que cruza lenguaje, contemplación y análisis visual. A través de ejercicios inspirados en cine, fotografía e imágenes evocadoras, los asistentes reflexionarán sobre nuevas formas de expresión artística. El evento incluye un break con música y cervezas, este jueves 16 de enero, 7:00 pm en Jojutla 36, Condesa, Alcaldía Cuauhtémoc, CDMX. Programa transmitido el 14 de enero de 2025. Escucha el Noticiero de Nacho Lozano, en vivo de lunes a viernes de 1:00 p.m. a 2:00 p.m. por el 105.3 de FM. Esta es una producción de Radio Chilango.
Rechaza Poder Legislativo y el del Ejecutivo suspensión de proceso de elección judicial SSC detiene una mujer que amenazó con cuchillo a clientes de cafetería en la Condesa, CDMXBiden aprobó la declaración de desastre mayor en California Más información en nuestro podcast
En la Historia Sonora de hoy con Ana Francisca Vega por MVS Noticias: : Café, pan y abejas, la incríble historia de la reina de las abejas en la colonia Condesa.See omnystudio.com/listener for privacy information.
De entre los escombros de la transparencia, resurge Gonzalo Sánchez de Tagle, el abogado más laureado de la Condesa. En este bonito reencuentro hablamos sobre el presente y el futuro del INAI -y también de él- Quédense al final, porque estaremos regalando el último libro de nuestro invitado "El control constitucional de la seguridad nacional".Support the show: https://www.patreon.com/antifazSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Dicen que se sigue paseando por las noches en el puerto.
Desde croquetas con un toque de Sotol, maridadas con Bacanora, Pox de Chiapas y destilados de Pulque, Raicilla, Mezcal, Tequila, entre otros.Es lo que podemos encontrar en el restaurante SOM, creado por Isidoro Guindi y Luis Vences, quienes nos platican sobre su trabajo en la investigación de destilados que pueden ser incluidos en recetas de platillos tradicionales.Ubicado en la colonia Condesa, este sitio sorprende por su concepto arrabal y de clásico barrio mexicano, dicen.Consulta este y otros deliciosos temas en Aderezo. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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Resguardan serpiente de cascabel en Chapultepec Departamento de Justicia de EU investiga el pago de presuntos sobornos a directivos de la FIFASecretario general de la ONU, reitera que la invasión rusa a Ucrania viola la Carta de Naciones UnidasMás información en nuestro Podcast
El boquerón victoriano ha sido hoy protagonista de la cata maridaje en Experiencia Verema Bilbao, una feria especializada por la que pasarán más de mil personas del canal Horeca, periodistas, distribuidores y particulares interesados en la gastronomía. El alcalde de Rincón de la Victoria y presidente de la Diputación de Málaga, Francisco Salado (PP), acompañado por el concejal de Turismo, Antonio José Martín (PP), han participado en esta acción en la que la chef rinconera del restaurante Alma Playa, Daniela Romero, ofreció a los asistentes hasta seis platos con el boquerón victoriano como protagonista acompañados de los vinos de la provincia ante medio centenar de personas. Salado ha recordado que con la colaboración de la Diputación de Málaga, de Sabor a Málaga, “Rincón de la Victoria ha relanzado el boquerón victoriano convirtiendo en un producto de la gastronomía de primer nivel que los chefs más prestigiosos han incorporado en sus cartas, como es el caso de Daniela Romero”. Salado ha expresado que “es un auténtico placer estar en el norte de España con una gran tradición gastronómica representando a nuestros productos y la marca gastronómica del boquerón victoriano, de un gran potencial”. En este sentido, el regidor ha recordado otras acciones promocionales de la Diputación relacionadas con el boquerón victoriano como su hermanamiento con la anchoa en Cantabria, la Gala del Boquerón en Fitur y la Fiesta del Boquerón Victoriano de Rincón de la Victoria, Fiesta de Singularidad Turística y la mayor fiesta gastronómica del municipio cada mes de septiembre. Por su parte, el concejal de Turismo ha explicado que “acciones como estas son muy importantes para la promoción tanto gastronómica como turística de nuestro municipio. Para nosotros el turismo del norte de España es muy significativo, de hecho recibimos al año un alto número de visitantes de Galicia, Asturias, País Vasco y Cantabria”. Experiencia Verema reúne a más de 60 bodegas de todo el país que se dan cita en el hotel Carlton, configurándose como una cita obligada para los profesionales y amantes del mundo del vino. Cata maridaje Daniela Romero, la chef del restaurante Alma Playa, de Rincón de la Victoria, ha sido la encargada de elaborar seis platos en torno al boquerón ante medio centenar de personas. El primero de ellos ha sido gilda de boquerón en vinagre y cherry asado con infusión de albahaca con el maridaje de Don Pepe de Bodegas Cortijo La Fuente. El siguiente ha sido crema de pipirrana y tratar de boquerones con maridaje de Tartratos de Bodega A. Muñoz Cabrera, DIMOBE. A continuación, ha elaborado un gazpachuelo tibio con boquerón ahumado y patata fondant. El maridaje ha sido con con Bad Man Chardonnay de Bodega Bad Man Wine. La cuarta propuesta ha sido boquerón frito y rebozado en copos de chile, puré de calabaza y mantequilla ahumada, acompañado del vino Huerto de la Condesa Balnco, de Bodega Huerto de la Condesa. Seguidamente, ha elaborado albóndigas de boquerón en salsa de curry verde y maridado con Ingénito de Bodega Fabio Coullet. El postre ha sido una torta de aceite, chantilly de naranja y mango, con Piamater, de Bodega A. Muñoz Cabrera – DIMOBE. Tras su celebración, los asistentes han recibido el recetario 2023 elaborado por la Red de Restaurantes del Boquerón Victoriano.
Virginia Oldoini, más conocida como la Condesa de Castiglione, fue una aristócrata y agente secreta italiana, una mujer tan fascinante como desconocida. Con nuestro colaborador Lorenzo Caprile conocemos un poco de su historia
Pasiones carnales - Capítulo 3 Ava de Ribagorza. El misterio de la Condesa traidora.
Pilar Eyre, periodista y una de las mayores expertas en la monarquía española, investigó a fondo la vida de película que comprende la historia del siglo XX de María, la Brava, Condesa de Barcelona, abuela de nuestro rey Felipe VI y madre del rey emérito Juan Carlos I. "Yo siempre he pensado que una de las condiciones sine qua non para que una monarquía tire adelante es matar metafóricamente, freudianamente al padre, porque el padre siempre molesta"
Muchos son los lugares a visitar en la Condesa, hoy solo mencionaré algunos, esto dependerá del gusto de cada quien, espero les gusten los que les traigo.
Esta semana en Los Time Pilots, nos preparamos para la segunda Pop Up Store este sábado 22 en Los Bernardinos (Citlaltépetl 68, Condesa), y discutimos todo lo anunciado en el Nintendo Direct: Mario & Luigi Brotherhood, Mario Party Jamboree, The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom, y al fin va a salir Metroid Prime 4: Beyond ✨Mercancía oficial de Los Time Pilots✨ www.shop.lostimepilots.com Compra en Hobby Link Japan: https://shop.hlj.com/lostimepilots Únete a nuestro Discord: https://discord.gg/xgTz742 Apóyanos en Patreon: https://www.patreon.com/lostimepilots Síguenos en: TWITTER https://twitter.com/lostimepilots INSTAGRAM https://www.instagram.com/lostimepilots/ FACEBOOK https://www.facebook.com/lostimepilots TIKTOK https://www.tiktok.com/@timepilots
Cada vez que la veo sobre un escenario, no deja de sorprenderme. Y es que Viridiana Monteagudo es multifacética y una mujer preparada. Es una actriz todo terreno, pues. La he visto en dramas, acá, bien intensos, y la he visto hacer cabaret con su personaje “Lucrecia” y ahora acaba e dejarme boquiabierto al interpretar a Daria, a Sophie, a Daniela y a Alejandra en el montaje de “¿Qué es el amor?”, un divertimento escénico escrito, producido y dirigido por André Santaella, que se presentará todos los sábados de junio en el “Espacio urgente 2”, perteneciente al “Foro Shakespeare” (Zamora 7, colonia Condesa) en punto de las 17:00 horas.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En este nuevo Episodio del Podcast "La Hora de la Nostalgia", hablamos sobre el primer show de Les Luthiers en la época de los café concert: "Querida Condesa". El Podcast es conducido por Leandro Devecchi, Sebastián Padilla, Sebastián Saravia y Juan Vargas Eguinoa. Participa con nosotros, como columnista estrella, el señor Carlos Núñez Cortés. Unite al grupo de WhatsApp de Oyentes Españoles: https://chat.whatsapp.com/IyLBrbvzoJWCsO8EVaQvOU Apoyá el proyecto con un café en: https://cafecito.app/lahoradelanostalgia También podés ser parte desde Patreon en: https://www.patreon.com/lahoradelanostalgia Y tenés nuestras remeras en: https://lahoradelanostalgia.flashcookie.com Si vivís fuera de Argentina, podés conseguir las remeras acá: https://lhdln.redbubble.com También podés ser parte del Foro de la Comunidad del Podcast: http://www.lahoradelanostalgia.com.ar Acordate de seguirnos en nuestro instagram: https://www.instagram.com/horadelanostalgia y en nuestros canales en YouTube y Spotify. Suscribite y dejanos tus comentarios!
Viridiana Monteagudo regresa en su faceta como Lucrecia ahora en la 3a Generación de Taller de Cabaret. Todos los martes en el Fungi bar Condesa del 9 de Abril al 7 de Mayo en un horario de 7pm a 10pm See omnystudio.com/listener for privacy information.
1833 – Franz Lizst conoce a la escritora , conocida como la Condesa de Agoult y su seudónimo literario: Daniel Stern. Casada con el coronel de caballería y primer escudero, Charles Louis Constant, el Conde D' Agoult con quien tenía dos hijas y ante quien había perdido en parte el interés. Lizst aparece con todos los cascabeles de su fama y genio seis años menor que la mujer de 28, el impresionante pianista húngaro le escribe casi suplicante. Un espacio de Bárbara Espejo.
Fluent Fiction - Spanish: Love in the Streets of Mexico City: The Inside-Out Shirt Chronicles Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.org/love-in-the-streets-of-mexico-city-the-inside-out-shirt-chronicles Story Transcript:Es: Las calles de la Ciudad de México bullían de vida aquella tarde, como si presagiaban la cena a la que Juan se dirigía. Juan, un muchacho de veinticuatro años, vivía solo en su departamento en el animado distrito de Condesa. Juan había conocido a Ana, una bonita chica de su edificio, hace unas semanas y se había invitado delante de él a una cena. A su estómago le estaba royendo la perspectiva de una primera cita.En: The streets of Mexico City were bustling with life that afternoon, as if foreshadowing the dinner Juan was heading to. Juan, a twenty-four-year-old boy, lived alone in his apartment in the lively district of Condesa. Weeks ago, Juan had met Ana, a pretty girl from his building, and she had invited him to dinner. His stomach was churning with the prospect of a first date.Es: Juan, nervioso pero emocionado, veía las manecillas del reloj avanzar lentamente. Se apresuró a prepararse: se duchó, se afeitó y perfume con su mejor colonia. Fue a su armario y escogió su mejor camisa azul, que había reservado para ocasiones especiales. Cruzó los dedos y se plantó la camisa, sin notar que estaba al revés.En: Nervous but excited, Juan watched the clock hands move slowly. He hurried to get ready: he showered, shaved, and sprayed on his best cologne. He went to his closet and chose his best blue shirt, which he had saved for special occasions. Crossing his fingers, he put on the shirt without noticing it was inside out.Es: Mientras ajustaba su corbata en el espejo, su teléfono sonó: un mensaje de Ana que decía, "Mira que tu camisa está al revés. Nos vemos en 10". Juan miró su reflejo más de cerca y notó su error. Su rostro se puso tan rojo como un jitomate, se sacudió la cabeza y riendo un poco se cambió la camisa.En: While adjusting his tie in the mirror, his phone rang: a message from Ana saying, "Check that your shirt is inside out. See you in 10." Juan looked closer at his reflection and noticed his mistake. His face turned as red as a tomato, he shook his head and chuckled as he changed his shirt.Es: El resto de la cena fue un suceso divertido. Se encontraron bajo los faroles del Parque México y fueron juntos al Restaurante El Califa cercano. Juan no pudo ocultar lo nervioso que estaba; sin embargo, su error con la camisa se convirtió en un tema de conversación divertido. Ana, entre risas, le tomó la mano y le dijo que no había de qué preocuparse. Juan sonrió, agradeciendo internamente su error con la camisa al permitirle aligerar el ambiente.En: The rest of the dinner was a fun event. They met under the streetlights of Parque México and went together to the nearby El Califa Restaurant. Juan couldn't hide how nervous he was; however, his shirt mishap became a funny conversation topic. Ana, laughing, held his hand and told him not to worry. Juan smiled, internally thankful for his shirt error for lightening the mood.Es: En la Plaza de la Constitución con el Palacio de Bellas Artes iluminado de fondo, Juan confesó su nerviosismo a Ana sobre la cita. Ella, con una sonrisa cálida, le aseguró que su camisa al revés había sido el punto de partida perfecto para la noche, ya que rompió el hielo de la incómoda formalidad.En: In the Plaza de la Constitución with the Palacio de Bellas Artes illuminated in the background, Juan confessed his nervousness about the date to Ana. With a warm smile, she assured him that his inside-out shirt had been the perfect starting point for the night, breaking the ice of formal awkwardness.Es: Y así, aunque el encuentro había empezado de una forma un tanto torpe para Juan, la cita se tornó en una noche mágica estrellada. A partir de entonces, cada vez que Juan veía su camisa azul en el armario, soltaba una carcajada. Desde aquella noche, la volvió a poner al revés en varias citas con Ana, como un chiste recurrente.En: And so, even though the encounter had started somewhat clumsily for Juan, the date turned into a magical starry night. From then on, every time Juan saw his blue shirt in the closet, he burst into laughter. Since that night, he would purposely wear it inside out on several dates with Ana, as a recurring joke.Es: La historia de la camisa al revés se convirtió en una historia de amor de Juan y Ana. Y aunque, al principio, era un error, ahora es un detalle feliz, un emblema de su relación, un testimonio del increíble encuentro que compartieron en las vibrantes calles de la Ciudad de México.En: The inside-out shirt story turned into a love story of Juan and Ana. And although it was initially a mistake, now it is a happy detail, an emblem of their relationship, a testimony of the incredible encounter they shared in the vibrant streets of Mexico City.Es: Y así concluye nuestra historia, incluso en los errores más insignificantes pueden esconder los hilos del destino que unen a las personas en formas inesperadas. La camisa al revés de Juan fue solo el comienzo de una increíble historia de amor.En: And thus our story concludes, even in the most insignificant mistakes, the threads of destiny that unite people in unexpected ways can be hidden. Juan's inside-out shirt was just the beginning of an incredible love story. Vocabulary Words:streets: callescity: Ciudadbustling: bullíanlife: vidaafternoon: tardedinner: cenaJuan: Juanboy: muchachotwenty-four-year-old: veinticuatro añoslived: vivíaalone: soloapartment: departamentobuilding: edificioinvited: invitadoweeks ago: hace unas semanasmet: conocidopretty: bonitagirl: chicafirst date: primera citanervous: nerviosoexcited: emocionadoclock: relojshowered: duchóshaved: afeitósprayed: perfumecologne: coloniacloset: armario
Esta semana en Los Time Pilots… Capcom nos trae una obra maestra con Dragon's Dogma 2: no sólo es un gran contendiente a GOTY, sino probablemente el mejor RPG del año. Anduvimos analizando el trailer de The Acolyte; y con motivo del estreno del documental “A Disturbance in the Force”, platicamos del maravilloso/terrible Especial de Navidad de Star Wars. ¡Nos vemos este fin de semana para una épica batalla por tarjetas Pokémon! #CartasPorLasQueMueres: Entrada Libre Domingo 24 de Marzo 5PM - 10PM Atlixco 170, Condesa, CDMX Apreciación - Intercambio - Compra - Venta de tarjetas Pokémon Pilot Shop Pop Up (
Fluent Fiction - Spanish: María and the Mariachi Parade: A Tale of Resilience and Kindness Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.org/maria-and-the-mariachi-parade-a-tale-of-resilience-and-kindness Story Transcript:Es: La caldera de México estaba hirviendo de alegres mariachis.En: The cauldron of Mexico was boiling with cheerful mariachis.Es: Músicos por todas partes, adornados con sombreros amplios y trajes de plata reluciente.En: Musicians everywhere, adorned with broad hats and shiny silver outfits.Es: En alguna parte de esta fiesta bulliciosa, nuestra protagonista, María, se encontraba en medio de un bullicioso mar de tráfico.En: Somewhere in the midst of this bustling fiesta, our protagonist, María, found herself in the middle of a noisy sea of traffic.Es: María, una dulce vendedora de tortillas, había tenido un largo día lleno de clientes y cansancio.En: María, a sweet tortilla vendor, had had a long day full of customers and exhaustion.Es: Ahora sólo imaginaba la sensación reconfortante de llegar a su pequeña casita situada en las afueras de la ciudad.En: Now she could only imagine the comforting feeling of arriving at her small house on the outskirts of the city.Es: Pero, por azar del destino, su rutina se interrumpió.En: But, by sheer chance, her routine was interrupted.Es: Un ensordecedor charivari de trompetas la sorprendió y el tráfico de repente se puso en stand by.En: A deafening fanfare of trumpets surprised her, and the traffic suddenly came to a standstill.Es: Un desfile de mariachis había tomado control de las calles del bullicioso y colorido barrio de la Condesa.En: A parade of mariachis had taken control of the bustling and colorful neighborhood of La Condesa.Es: El rostro de María se iluminó ligeramente al ver la escena, sin embargo, la preocupación pronto apareció en su rostro.En: María's face lit up slightly at the sight, however, concern soon appeared on her face.Es: No podía mover su viejo carrito, ni avanzar ni retroceder.En: She couldn't move her old cart, neither move forward nor backward.Es: Estaba atrapada.En: She was trapped.Es: Cerca, un mariachi robusto se percató de la situación de María.En: Nearby, a sturdy mariachi noticed María's situation.Es: Desde su sombrero hasta sus botas, llevaba el espíritu mexicano.En: From his hat to his boots, he carried the Mexican spirit.Es: Se acercó, miró a los ojos a María y le ofreció su ayuda.En: He approached, looked Maria in the eye, and offered his help.Es: Después de varios intentos fallidos, finalmente lograron mover el carrito.En: After several failed attempts, they finally managed to move the cart.Es: El mariachi, jefe de la banda, ordenó a sus compañeros que hicieran un espacio en el desfile para que María pudiera pasar.En: The mariachi, the leader of the band, ordered his companions to make space in the parade so that María could pass through.Es: Mientras María avanzaba, sonriente y aliviada, el público que se había reunido para el desfile aplaudía y vitoreaba.En: As María moved on, smiling and relieved, the audience that had gathered for the parade applauded and cheered.Es: La banda de mariachis, con sus coloridas guitarras, violines y trompetas, continuaron su melodioso camino.En: The band of mariachis, with their colorful guitars, violins, and trumpets, continued on their melodious path.Es: Ya libre de la marea de fiesta, María continuó con su travesía hacia casa.En: Now free from the sea of festivities, María continued her journey home.Es: Esa noche, María se durmió al son de una serenata entrando por su ventana, una melodía que recordaba su inusual viaje a casa y el desfile que convirtió un viaje ordinario en una aventura.En: That night, María fell asleep to the sound of a serenade coming through her window, a melody that reminded her of her unusual journey home and the parade that turned an ordinary trip into an adventure.Es: Así, nuestra heroína María, a pesar del retraso inesperado, llegó a su hogar sana y salva.En: Thus, our heroine María, despite the unexpected delay, arrived home safe and sound.Es: Aunque atrapada en una situación complicada, demostró la resiliencia y amabilidad que la hacían especial, y encontró un poco de felicidad en medio del caos.En: Trapped in a complicated situation, she demonstrated the resilience and kindness that made her special, and found a little happiness amidst the chaos.Es: Una simple historia de México, una historia de mariachis y desfiles, una historia de María.En: A simple story from Mexico, a story of mariachis and parades, a story of María. Vocabulary Words:cauldron: calderaMexican spirit: espíritu mexicanocheerful: alegresMusicians: músicosbustling: bulliciosaproponent: protagonistatortilla: tortillasexhaustion: cansanciocomforting: reconfortanteoutskirts: afuerasinterrupted: interrumpiófanfare: charivaristandstill: stand bytrapped: atrapadasturdy: robustoapproached: acercófailed attempts: intentos fallidoscart: carritoleader: jefecompanions: compañerosapplauded: aplaudíacheered: vitoreabamelodious: melodiososea of festivities: marea de fiestajourney: travesíaserenade: serenataunexpected delay: retraso inesperadoresilience: resilienciakindness: amabilidadspecial: especial
La cantidad de extranjeros que vienen a estudiar en Francia aumentó un 8% en 2022, es decir, un total de unos 400.000 estudiantes internacionales. Pero en el caso de los latinoamericanos, su llegada ha crecido un 18% en los últimos años. Para muchos de ellos, Europa es la puerta hacia una mejor formación, pero al llegar al país galo muchos se encuentran con un sinnúmero de obstáculos que van desde una burocracia kafkiana hasta el abuso de trabajos precarios. Más de 27 millones de jóvenes dejan atrás sus países cada año en busca de mejores oportunidades, según la ONU, pero no todos lo hacen de la misma manera ni enfrentándose a las mismas dificultades. Para muchos jóvenes migrantes latinoamericanos, Europa es el destino en el que podrán acceder a una buena educación y a un futuro mejor, pero al llegar muchos se encuentran con otra realidad; burocracia, trabajos precarios, estafas..."Decidí venir a Francia por la vía de au pair. La vida de au pair es bastante complicada. Pensé que sería un intercambio cultural con la familia francesa y yo también mostrar un poco mi cultura, pero no fue nada así. Entre mis amigas lo catalogamos con una “esclavitud moderna”, nos cuenta para RFI, María, una estudiante colombiana residente en París. No es la única. Miles de jóvenes llegan a Europa por esta vía; ser niñera a cambio de un pequeño salario, un techo y un supuesto intercambio cultural. Una manera más fácil de llegar a Europa, que les permite compaginarlo con los estudios pero para muchas jóvenes acaba convirtiéndose en un infierno: jornadas interminables, trabajos extra que nada tienen que ver con el de niñera, malos tratos...La aventura empieza antes de tocar suelo europeoEn el caso de Francia, antes de llegar, los estudiantes extracomunitarios, es decir, aquellos no europeos deberán presentar una serie de documentos y cumplir una serie de requisitos para poder obtener una visa de estudiante. “Uno de los requisitos básicos es tener unos 615€ mensuales, aproximadamente, en tu cuenta bancaria o mostrar la cantidad total que son entre 7.000 y 10.000€ para demostrar al gobierno que puedes mantenerte sin problema al llegar a Francia”, nos cuenta María e insiste: “a esto hay que sumarle los costos de la institución en la que estudies, los vuelos y los gastos extra, ¡es demasiado!”. Unos 15.000 y 20.000 euros para conseguir esta visa.Un primer filtro que acaba siendo la criba decisiva para muchos estudiantes, que se les hace imposible reunir el dinero. A esto, se suman las trabas burocráticas y su lentitud de la que ni siquiera los estudiantes se libran. "En junio tuve problemas con la prefectura para renovar mi visa. Me faltaba un documento que yo no lo podía tener. Tenía que dármelo en la Universidad pero estaban en vacaciones. Estuve viviendo en Francia sin papeles dos meses, con los problemas que eso conlleva”.Europa endurece sus leyes migratorias2023 fue el año en el que Europa ajustó más la puerta de entrada para los inmigrantes: más burocracia y menos ayudas. Alemania, Italia, Polonia... cada vez son más los países que endurecen sus leyes, y también Francia se suma a esta lista. El pasado mes de diciembre, el país aprobó su nueva ley de migración con el apoyo de la ultraderecha. Una reforma que ha causado una importante crisis en el gobierno, a pesar de que el presidente, Emmanuel Macron, la defiende como “un escudo necesario”.Se calcula que el número de estudiantes extranjeros en Francia aumentó un 8% en 2022, es decir, un total de unos 400.000 estudiantes internacionales. En el caso de los estudiantes latinoamericanos, su llegada al país galo ha crecido un 18%, en los últimos años. “Las políticas públicas actuales se formulan para frenar estos flujos migratorios, pero ¿qué tal si nosotros abordamos el tema desde el origen? ¿Cuáles son esos factores adversos que obligan a las personas a abandonar sus países de origen? Por ejemplo, aumentar las vías de migración regular, tratar de destinar estas ayudas de la Unión Europea, no para esos países que son receptores de migrantes, sino para desarrollar programas de formación de mano de obra calificada, acuerdos de Cooperación Internacional sobre educación para los países que emiten migrantes", explica Diana Cristancho, fundadora de FARO para migrantes en Francia.Leer tambiénFrancia se alinea con la Unión Europea con una nueva ley migratoriaNo solo Francia, si abrimos el espectro encontramos otros países europeos que han endurecido sus políticas migratorias, como Hungría, con una de las leyes europeas más duras y sancionado por la Unión Europea por estas. También, Eslovaquia y Polonia, quienes se mostraron en desacuerdo con las nuevas políticas europeas de migración aprobadas a finales de 2023 por ser demasiado laxas.En Italia, el Gobierno de Georgia Meloni dio luz verde a una normativa que permitía retener en centros migratorios a las personas irregulares hasta 18 meses. Además de firmar un acuerdo con Albania para construir allí centros de recepción de migrantes con la intención de enviarlos fuera del territorio italiano. También Suecia, donde en estos momentos, el gobierno tramita una reforma que incluye, entre otras cosas, la obligación de los funcionarios -médicos incluídos-, a denunciar a los migrantes irregulares.Desmotando el idilio europeo“Antes de venir pensaba que Europa era más tranquilo, sin inseguridad ni robos, ¡cómo de color de rosas!. Luego llegas aquí y es una cachetada. Aquí también hay problemas. Ningún país es perfecto. Francia también tiene sus dificultades”, nos insiste María.El aumento de la inseguridad, la inflación y el endurecimiento de las leyes migratorias están provocando en Europa, un efecto contrario: europeos que migran a Latinoamérica. Un fenómeno que ya vivió un repunte en 2012, cuando 181,166 europeos optaron por emigrar a Latinoamérica, según los datos de la Organización Internacional para las Migraciones.La mayoría de europeos escogen México como destino. Aunque, algunas asociaciones empiezan a levantar la mano ante el aumento del fenómeno “nómada digital”, es decir, jóvenes que viven en México, pero que teletrabajan para empresas europeas o americanas, pero que fiscalmente, según asociaciones contrarias a este nuevo movimiento, no aportan lo mismo que un local y además contribuyen a la gentrificación. Debido a la demanda de extranjeros, el precio de alquiler en la colonia Condesa, uno de los barrios de Ciudad de México más de moda, pasó de 17,851 a 28,542 pesos al mes. Aunque las cosas en Francia para María mejoran, ella lo tiene claro, si este tercer intento no funciona: "me volveré a Colombia y buscaré otra cosa allí", nos dice.
Fluent Fiction - Spanish: The Dancing Ceramic Creator: Triumph Over Tango Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.org/the-dancing-ceramic-creator-triumph-over-tango Story Transcript:Es: A lo largo de las costas del seductor Pacífico, en la vibrante e inquieta ciudad de México, vive Juan.En: Along the shores of the seductive Pacific, in the vibrant and restless city of Mexico, Juan lives.Es: Un hombre serio, trabajador, de piel morena y manos curtidas, con un corazón cálido pero dos pies izquierdos.En: A serious man, hardworking, with dark skin and calloused hands, with a warm heart but two left feet.Es: Juan, que vivía en un antiguo vecindario de la Ciudad de México, trabajaba durante el día en un pequeño taller de cerámica de la calle República del Salvador, tanto desafiando el calor del horno como modelando arcilla con precisión de artesano.En: Juan, who lived in an old neighborhood in Mexico City, worked during the day in a small ceramic workshop on República del Salvador Street, both defying the heat of the oven and sculpting clay with the precision of an artisan.Es: Sin embargo, cuando se ponía el sol, se dedicaba a su verdadero amor: la danza.En: However, when the sun set, he devoted himself to his true love: dance.Es: ¿Y qué otra cosa, sino la salsa, podía mover el corazón de Juan?En: And what else but salsa could move Juan's heart?Es: Cada martes y jueves, en el último piso de un viejo edificio de Condesa, el cual a su vez era un bullicioso salón de baile.En: Every Tuesday and Thursday, on the top floor of an old building in Condesa, which in turn was a bustling dance hall.Es: Cada noche, el lugar rebosaba de vida y vibraba al ritmo de la música salsa.En: Every night, the place overflowed with life and vibrated to the rhythm of salsa music.Es: Pero nuestra historia no es solo de ritmo y pasión.En: But our story is not just about rhythm and passion.Es: No, verán, Juan, con toda su dedicación y anhelo, es famoso por otra cosa: tropezar con sus propios pies.En: No, you see, Juan, with all his dedication and longing, is famous for one thing: tripping over his own feet.Es: Aunque él podía modelar la arcilla con precisión y delicadeza, sus pies decididamente se negaban a seguir cualquier ritmo.En: Although he could sculpt clay with precision and delicacy, his feet decidedly refused to follow any rhythm.Es: Daban vueltas y se enredaban, a menudo con resultados cómicos.En: They spun and tangled, often with comical results.Es: Pero Juan era un hombre determinado.En: But Juan was a determined man.Es: No permitió que su falta de gracia o los murmullos suaves de los demás bailarines mermaran su espíritu.En: He didn't let his lack of grace or the soft murmurs of other dancers dampen his spirit.Es: Siguió tropezando y levantándose, con una sonrisa en la cara y la esperanza en el corazón.En: He kept stumbling and getting up, with a smile on his face and hope in his heart.Es: Quería aprender a bailar salsa mucho más que cualquier cosa en el mundo.En: He wanted to learn to dance salsa more than anything else in the world.Es: Juan ansiaba el ritmo, la gracia y la fluidez, pero parecía un obstáculo inalcanzable.En: Juan longed for rhythm, grace, and fluidity, but it seemed like an unreachable hurdle.Es: Su dedicación, sin embargo, finalmente conmovió a un experto bailarín llamado Carlos.En: His dedication, however, finally touched an expert dancer named Carlos.Es: Al percibir la desbordante pasión de Juan, Carlos decidió ayudarlo, y poco a poco, comenzó a instruir a Juan, enseñándole los secretos del baile, la postura, los pasos, el ritmo.En: Sensing Juan's overflowing passion, Carlos decided to help him and slowly began to instruct Juan, teaching him the secrets of dance, posture, steps, and rhythm.Es: La noche antes del gran concurso de salsa de la ciudad, Carlos miró a Juan y le dio una última lección: "Bailar no es solo seguir los pasos.En: On the night before the city's big salsa competition, Carlos looked at Juan and gave him one last lesson: "Dancing is not just about following the steps.Es: Trata de sentir la música en tu interior, como cuando estás en tu taller.En: Try to feel the music inside you, like when you're in your workshop.Es: Luego, deja que tus pies pinten ese sentimiento en el baile".En: Then, let your feet paint that feeling in the dance."Es: Los ojos de Juan brillaron con comprensión y entusiasmo.En: Juan's eyes shone with understanding and enthusiasm.Es: Finalmente llegó la noche del concurso.En: Finally, the night of the competition arrived.Es: Todos estaban allí: los excelentes bailarines, los aplaudidores, los que habían reído de Juan tropezando.En: Everyone was there: the excellent dancers, the cheering audience, those who had laughed at Juan stumbling.Es: Al subir al escenario, Juan parecía distinto, más confiado.En: As Juan stepped onto the stage, he looked different, more confident.Es: La música comenzó a tocar, y Juan comenzó a moverse.En: The music began to play, and Juan started to move.Es: Esta vez con gracia, con soltura, él bailaba.En: This time with grace, with ease, he danced.Es: No figurines complicados, no acrobacias, solo Juan y la música.En: No complicated figures, no acrobatics, just Juan and the music.Es: Y así, Juan - el que siempre tropezaba - conquistó la pista de baile.En: And so, Juan - the one who always stumbled - conquered the dance floor.Es: Desde esa noche, se le conoció como Juan "el creador de cerámica danzarina".En: From that night on, he was known as Juan "the dancing ceramic creator".Es: Su persistencia y amor por la salsa le habían enseñado a convertir sus desventajas en fuerza.En: His persistence and love for salsa had taught him to turn his disadvantages into strength.Es: Y es que, amigos míos, donde hay voluntad, hay un camino, aunque ese camino sea lleno de pasos de salsa.En: You see, my friends, where there is a will, there is a way, even if that way is filled with salsa steps. Vocabulary Words:Along: a lo largo deshores: costasseductive: seductorPacific: Pacíficovibrant: vibranterestless: inquietacity: ciudadserious: seriohardworking: trabajadordark skin: piel morenacalloused hands: manos curtidaswarm heart: corazón cálidotwo left feet: dos pies izquierdosold neighborhood: antiguo vecindarioMexico City: Ciudad de Méxicosmall ceramic workshop: pequeño taller de cerámicaoven: hornosculpting clay: modelando arcillaprecision: precisiónartisan: artesanotrue love: verdadero amorsalsa: salsaTuesday: martesThursday: juevestop floor: último pisobuilding: edificiobustling: bulliciosodance hall: salón de baileoverflowed: rebosabalife: vida
Ahmed Bautista es fundador de Mercadorama, una empresa de mercancía oficial que ha trabajado con más de 500 artistas. Además, Ahmed ha impulsado el arte mexicano, logrando que diseñadores gráficos exhiban su trabajo en el mundo. En 2010, Ahmed fundó Caradura, lugar de conciertos en la Condesa donde por 9 años programó bandas nacionales e internacionales. Hace unos años abrió MRCDRM Studio, donde dan servicios de Agencia Cultural y Creativa a varias marcas. En este episodio hablamos sobre los fans, trabajar con managers y artistas, lograr que todos a tu alrededor crezcan y cómo levantar una industria en tu país. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Captan a una paseadora de perros golpeando a los lomitos en la CondesaEmiten alerta por intoxicación de Salmonella en EU
Llamada la bella doncella de Kent, ella fue Duquesa de Cornwall, Condesa de Chester y Condesa de Kent y fue el primer miembro de la familia real británica en utilizar el título de Princesa de Gales. Su vida fue marcada por el escándalo, bigamia y más escándalo. Esta es la historia de Juana de Kent.Sígueme en las diferentes redes sociales: Twitter: https://twitter.com/lasreinaspod Instagram: https://www.instagram.com/lasreinaspodcast/ Facebook: https://www.facebook.com/lasreinaspodcastTikTok: https://www.tiktok.com/@lasreinaspodcast Buy me a Coffee: https://www.buymeacoffee.com/lasreinaspod Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ariadna Fernanda, de 27 años, fue localizada sin vida el 31 de octubre de 2022 en un tramo de la carretera La Pera-Cuautla, municipio de Tepoztlán, Morelos, tras salir con unos amigos en la zona de la Condesa en la Ciudad de México. Su caso captó la atención debido a las irregularidades de las autoridades y las inconsistencias de las investigaciones. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En Econohábitat, publicamos un trabajo sobre elefecto que ha tenido la gentrificación y el mercado de rentas de corta estancia, como las que ofrece la plataforma Airbnb, en los precios del alquiler de algunas colonias de la Ciudad de México, especialmente de la Roma y la Condesa. econohabitat@eleconomista.mx https://www.eleconomista.com.mx/autor/fernando.gutierrez --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/el-economista/message
In this episode of the Dream Retirement in Mexico podcast, our hosts Risa Morimoto and Taniel Chemsian, chat with the vibrant Dr. Gabrielle Smith about her experiences living in the magnificent city of Mexico. Dr. Gabrielle takes us on a journey through the bustling streets, sharing her favourite neighbourhoods, transportation tips, and the eclectic food scene that makes Mexico City a true gastronomic delight. They also uncover the hidden gems of the city, from the sprawling Chapultepec Forest to the charming towns of Guadalajara, Oaxaca, Puebla, and Cuernavaca. Get ready to be inspired as Dr. Gabrielle Smith provides insights into the vibrant culture, affordable living, and countless possibilities that await those seeking their dream retirement in Mexico City. Interested in learning more about relocating or retiring to Mexico? Join our FREE WEBINAR - Dream Retirement in Mexico. Host Risa Morimoto, Puerto Vallarta real estate broker Taniel Chemsian, and healthcare specialist Pamela Thompson share their expertise and insider knowledge about the most popular expat destinations in Mexico, basics of buying real estate and healthcare options for foreigners. They will be there to guide you through the process and answer any questions you may have. To secure your spot, simply visit www.dreamretirementinmexico.com/webinar and choose the date and time that works best for you. Key Moments: 06:40 Foreigners reside in Roma Norte, La Condesa, and Polanco. 07:26 Polanco: Beautiful but sterile. Prefer more local neighborhoods. La Condesa: Gorgeous with parks, vibrant vibe. Mexico: Lung of Condesa, vendors, music, classes. 18:53 Fabulous experience with set menu and flavored water. 23:47 Gorgeous area nearby with options. 28:02 Limited space but favorite service for dogs. 28:58 Penthouse apartment, found online, lucked out. About the Guest : Dr. Gabrielle Smith, PhD is a mexican residency and visa expert based in Mexico City, Mexico. She specializes in helping foreigners from all over the world obtain their temporary or permanent visas to Mexico.
Durante la pandemia de Covid-19, organizaciones civiles y la Clínica Condesa de CDMX detectaron un alza de hombres gay que buscaban ayuda porque el consumo de cristal (metanfetamina) se les había salido de control. A través de apps de ligue, redes sociales y hoteles de paso, esta droga se ha popularizado al mezclarla con sexo. Sin embargo, no menores efectos adversos han alcanzado a la Ciudad de México: alza de casos de brotes psicóticos, creciente número de gente enganchada, despidos, multiplicación de casos de VIH y Hepatitis C, y hasta suicidios. Los hombres gay sólo son un segmento de la generación de consumidores de cristal que cubre a México, un universo que Rafael Cabrera recorre en este pódcast.
En este episodio #167 Hablamos de Comida con Lisamaris Molina. Esta joven puertorriqueña es embajadora del destilado mexicano Condesa Gin.Conversamos con Lisa sobre como comenzó en la industria gastronómica, sus primeros pasos en la industria retail, su primera experiencia en FOH de un restaurante en el Viejo San Juan, la persistencia que la llevó a trabajar en uno de los mejores restaurantes de la isla, hablamos de las enseñanzas que adquirió trabajando en fine dining, el viaje a México que cambió su perspectiva de vida, su movilización al área oeste de Puerto Rico y su curiosidad por estar detrás de la barra y su nuevo rol como embajadora de marca para una empresa mexicana de espíritus destilados.Conoce mas sobre Lisamaris en su Instagram @lisamarismolina o a través de la marca que representanta @condesaginSupport the show
Reina de Inglaterra, Condesa de Angulema y La Marche. Ella es una de las reinas medievales más olvidadas, aunque ha sido descrita como "vanidosa, caprichosa y problemática". Esta es la historia de Isabelle d´Angoulême.Sígueme en las diferentes redes sociales:Twitter: https://twitter.com/lasreinaspod Instagram: https://www.instagram.com/lasreinaspodcast/ Facebook: https://www.facebook.com/lasreinaspodcastTikTok: https://www.tiktok.com/@lasreinaspodcast Buy me a Coffee: https://www.buymeacoffee.com/lasreinaspod Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ella es considerada como “La única Reina de Inglaterra sin haber puesto un pie en Inglaterra”. Duquesa de Normandía, Condesa de Anjou y Emperatriz de Chipre. Esta es la historia de Berengaria de Navarra.Sígueme en las diferentes redes sociales: Twitter: https://twitter.com/lasreinaspod Instagram: https://www.instagram.com/lasreinaspodcast/ Facebook: https://www.facebook.com/lasreinaspodcastTikTok: https://www.tiktok.com/@lasreinaspodcast Buy me a Coffee: https://www.buymeacoffee.com/lasreinaspod Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En este episodio Sam platicó con el Doctor Infectólogo Ever Corral de Clínica Condesa sobre algunas ITS y así ayudarnos a prevenir con toda la información.
Seguimos con las hermanas de la emperatriz Isabel de Baviera. Hoy hablamos de Matilde, que tuvo una vida bastante similar a su hermana María Sofía, de la que ya hemos hablado. De hecho, se casó con el cuñado de su hermana, Luis de las Dos Sicilias. También en su vida aparece un embarazo extramatrimonial y una hija a la que no volvió a ver.
Estamos transmitiendo desde el Palacio de Gobierno de Jalisco, aquí en Guadalajara… Este hermoso lugar fue construido originalmente como un convento franciscano en el siglo 17, pero después de la independencia de México se convirtió en la sede del Poder Ejecutivo estatal… De hecho, el cura Miguel Hidalgo promulgó aquí el decreto para la abolición de la esclavitud en 1810… Y en 1858, fue sede temporal del gobierno de Benito Juárez… Y bueno, los temas de este viernes 5 de mayo… La Organización Mundial de la Salud acaba de declarar el fin de la pandemia por Covid-19 luego de tres años y tres meses… Y casi siete millones de muertos, de acuerdo con el recuento oficial… En la mañanera, el presidente López Obrador aseguró que ya tienen las pruebas de que el fentanilo llega de China… En otros temas… El director del Insabi, Juan Ferrer, comparecerá ante la Comisión de Salud de la Cámara de Diputados para entregar un informe sobre la gestión de los tres años que existió… En el escenario político… “Prefiero no ser nada antes que traicionar al presidente”, dijo el líder de Morena en el Senado, Ricardo Monreal… En información internacional… Rusia acusó a Estados Unidos de estar detrás del ataque con drones ucranianos contra el Kremlin, con los cuales, según Moscú, se quería asesinar al presidente Vladimir Putin… La Casa Blanca negó cualquier implicación en el ataque… Y en los otros temas… El influencer Kevin Kaletry fue asesinado al interior de un hotel de la Condesa, en la Ciudad de México, cuando presentaba un proyecto con Wendy Guevara, de “Las perdidas”… Y todo está listo aquí en Guadalajara para la pelea del “Canelo” Álvarez y el británico John Ryder…
Welcome to another episode of the Flavors Unknown podcast in Mexico City. Usually, I dive deep into the culinary world and the people who make it happen in the kitchen and behind the bar all around the United States.This episode is different from my usual conversations with American culinary leaders or my Taste the Future episodes focusing on a trending flavor or ingredient. I just came back from a week spent in Mexico City and had amazing restaurant experiences, so, I thought I would share my best ones with you.If you are planning to travel to the Mexican Capital or if you know someone who is going, listen to or share this flavorful episode. The city's culinary scene is a melting pot of historical roots, indigenous and colonial influences, and contemporary gastronomic trends. So grab your headphones and your appetite, and let's dive right in! Discover the Top 6 Handpicked Restaurants in Mexico City As a fellow food enthusiast, we understand your passion for exploring unique and authentic culinary experiences. That's why we've crafted an exclusive guide just for you, featuring 6 of the best personally selected restaurants in Mexico City that you won't want to miss!To download your exclusive guide to Mexico City's 6 personally selected restaurants, simply enter your name and email address below and click the button "Submit". Bon appétit and happy travels!P.S. Don't forget to share your amazing dining experiences with us on Instagram and Facebook by using the tag @flavorsunknown Your privacy is important to us. We will not share your information with third parties. I'd like to share a fun read, "Conversations Behind the Kitchen Door", my new book that features dialogues with accomplished culinary leaders from various backgrounds and cultures. It delves into the future of culinary creativity and the hospitality industry, drawing from insights of a restaurant-industry-focused podcast, ‘flavors unknown”. It includes perspectives from renowned chefs and local professionals, making it a valuable resource for those interested in building a career in the culinary industry or any foodie passionate about chefs and restaurants.Get the book here! Six of My Favorite Restaurants in Mexico City Masala Y Maiz Masala Y Maiz is located at Calle Benjamín Hill 146, Hipódromo Condesa, 06100 Ciudad de México, CDMX. The restaurant opened in 2017 and serves Mexican cuisine with Indian and vegan influences. The chef and co-owner of the restaurant is Norma Listman. Some of the most popular dishes at Masala Y Maiz include the vegan chilaquiles, lamb birria tacos, and tandoori octopus. Molino El Pujol Molino El Pujol is located at Tamaulipas 139, Hipódromo, 06170 Ciudad de México, CDMX. The restaurant opened in 2021 and specializes in traditional Mexican cuisine, particularly tortillas and masa-based dishes. The chef and owner of the restaurant is Enrique Olvera. The most popular dishes at Molino El Pujol are the tacos de guisado (stew-filled tacos) and the handmade blue corn tortillas. Carmela y Sal Carmela y Sal is located at Calle de Atlixco 94, Condesa, 06140 Ciudad de México, CDMX. The restaurant opened in 2016 and serves contemporary Mexican cuisine with Mediterranean and Middle Eastern influences. The chef and owner of the restaurant is Gabriela Ruiz. Some of the most popular dishes at Carmela & Sal include the short rib barbacoa and the roasted cauliflower with tahini and pomegranate seeds. Blanco Colima Blanco Colima is located at Colima 168, Roma Nte., 06700 Ciudad de México, CDMX. The restaurant opened in 2018 and serves contemporary Mexican cuisine with a focus on seafood. The chef and owner of the restaurant is Edgar Núñez. Some of the most popular dishes at Blanco Colima include the shrimp aguachile, octopus tacos, and the "explosión de maíz" dessert. Expendio de Maiz Sin Nombre