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A CONVERSATION WITH HOSTAGE FAMILIES AT THE SUKKAH OF HOPEFDD Executive Director Jonathan Schanzer sits down with the families of hostages held in Gaza for a conversation recorded at the Kennedy Center on October 8, 2025 — just hours before details of the hostage deal began to emerge.Recording credit: Production Management One (https://www.instagram.com/pm1pro/)Learn more at: fdd.org/fddmorningbrief
On October 7 2023 Hamas attacked Israel, taking 251 people hostage. Gali and Ziv Berman were among them – twin brothers who lived on a kibbutz near the Gaza border. They were 24 years old. Now, after 2 years they are among the remaining hostages still being held in captivity. But in the last few days the prospect of ending the war in Gaza and releasing the remaining hostages seems closer than ever. That possibility gives Gali and Ziv's older brother Liran Berman cautious hope. Liran speaks to Asma at length about his memories of October 7th, his quest to get his little brothers out of Gaza, and who he will give credit to if the peace deal succeeds. Producers: Valerio Esposito, Lucy Pawle and Cat Farnsworth Editor: Annie Brown Mix: Travis Evans Senior news editor: China Collins Image: Liran Berman by Valerio Esposito
Prise de position et réflexion sur l'actualité, l'éditorial du Figaro est le rendez-vous incontournable de votre journal quotidien. Retrouvez-le tous les matins en podcast.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Israël a arrêté des dizaines d'agents qui travailleraient pour le compte de l'Iran. Une prison spéciale a été construite dans le nord du pays.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Pas de panique, tient à lancer Martial You, parce qu'on a joué à se faire peur au niveau économique tout au long de la semaine. J'ai été un peu agacé par le début de semaine où on voyait des reportages à la pompe sur certaines chaines de télé, où on s'inquiétait d'une flambée des prix de l'essence, et où on a brandi à nouveau la menace d'un renversement du gouvernement après l'échec du conclave"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Pas de panique, tient à lancer Martial You, parce qu'on a joué à se faire peur au niveau économique tout au long de la semaine. J'ai été un peu agacé par le début de semaine où on voyait des reportages à la pompe sur certaines chaines de télé, où on s'inquiétait d'une flambée des prix de l'essence, et où on a brandi à nouveau la menace d'un renversement du gouvernement après l'échec du conclave"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le fragile cessez-le-feu entre l'Iran et Israël tient toujours jeudi, mais "nous devons rester vigilants, de nombreux défis nous attendent", a déclaré le chef de l'état-major israélien, Eyal Zamir, saluant dans le même temps l'action des commandos terrestres envoyés à Téhéran dans le plus grand secret.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quelques jours après les bombardements américains sur des sites iraniens, il est encore difficile d'estimer l'impact réel de ces frappes sur le programme nucléaire de l'Iran. Et ce, même si des images satellites permettent de déceler certains dégâts d'ores et déjà causés.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que l'Autorité des aéroports israéliens annonce un retour progressif à la normale, les perturbations causées par la guerre entre l'Iran et Israël ont profondément désorganisé le trafic aérien mondial. Annulations massives, détournements de vols, allongement des trajets, les compagnies aériennes paient le prix fort de cette nouvelle escalade militaire. Depuis les frappes israéliennes du 13 juin, le ciel au-dessus de l'Iran et d'une grande partie du Golfe reste déserté. Selon le site Flightradar24, plus de 3 000 vols sont annulés chaque jour dans la région. Et pour ceux qui décollent malgré tout, les itinéraires sont systématiquement modifiés pour éviter la zone. Ces détournements provoquent une hausse des coûts d'exploitation. La raison s'explique par la consommation supplémentaire de carburant, les contraintes liées au temps de travail des équipages et la nécessité de faire escale pour changer de personnel. À cela, ajoutez les retards en cascade qui désorganisent les plannings et la rotation des appareils, habituellement réglée à la minute près. À lire aussiLes turbulences du secteur aérien à l'heure de la présidence de Donald Trump Hubs paralysés et corridors aériens saturés À ces coûts s'ajoute un autre facteur : la fermeture temporaire de grands aéroports comme ceux de Dubaï ou Tel-Aviv, qui sont de véritables plaques tournantes du transport international. Leur mise à l'arrêt perturbe l'ensemble du secteur, y compris pour les compagnies américaines, asiatiques et européennes, qui y font transiter vols et passagers. La marge de manœuvre est d'autant plus réduite que l'espace aérien ukrainien est interdit depuis plus de trois ans. Résultat : les couloirs aériens entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique de l'Est deviennent de plus en plus étroits, ce qui complexifie la logistique du secteur. Les marchés réagissent, les passagers paieront Sans surprise, les marchés financiers ont immédiatement réagi. Les actions d'Air France-KLM, Delta ou United ont chuté d'environ 5 % après l'annonce des frappes israéliennes. Et si les compagnies du Golfe sont évidemment touchées, la crise touche désormais l'ensemble du transport aérien mondial. Pour faire face à la situation, le Parlement israélien a étendu une garantie d'État de 8 milliards de dollars aux compagnies étrangères, dans le cadre d'une assurance contre les risques de guerre. Cette mesure s'ajoute aux 6 milliards déjà validés depuis octobre 2023. Mais même avec ce soutien, une hausse des tarifs semble inévitable, en particulier sur les longues distances. Car si la sécurité des passagers reste la priorité, son coût, lui, ne cesse d'augmenter.
C dans l'air du 24 juin 2025 - Israël/Iran: Trump a-t-il réussi son coup? -LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PERRUCHE - Consultant en stratégie de sécurité et de défense, ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef – France 24, ancienne correspondante à Téhéran - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales- Elise VINCENT (en duplex de La Haye) - Journaliste chargée des questions de défense - Le Monde
C dans l'air du 24 juin 2025 - Israël/Iran: Trump a-t-il réussi son coup? - Après douze jours de guerre entre Israël et l'Iran, des frappes américaines ce week-end et une riposte de Téhéran hier contre une base américaine au Qatar, le président des États-Unis a décrété au cours de la nuit un "cessez-le-feu bilatéral" de 24 heures, censé déboucher sur "la fin officielle" de la guerre. L'annonce faite par Donald Trump sur son réseau social a surpris, d'autant que, quelques heures plus tard, les frappes ont repris entre Israël et l'Iran, les deux pays s'accusant mutuellement d'avoir rompu le cessez-le-feu.Depuis la Maison-Blanche, le président des États-Unis a laissé éclater sa colère ce matin : "Israël et l'Iran se sont battus pendant si longtemps et si durement qu'ils ne savent pas ce qu'ils foutent", a-t-il lancé avant son départ pour le sommet de l'OTAN à La Haye. Dans un message en lettres capitales adressé au président israélien, Benyamin Nétanyahou, il a ajouté sur Truth Social : "Israël. Ne lâchez pas ces bombes. Si vous le faites, ce sera une grave violation. Rappelez vos pilotes, immédiatement !" Puis, en début d'après-midi, Donald Trump a assuré que le cessez-le-feu entre Israël et l'Iran est désormais "en vigueur".La guerre entre Israël et l'Iran sera évidemment à l'ordre du jour du sommet de l'OTAN, mais son objectif réel est tout autre. Face à la menace russe, au soutien à l'Ukraine et sous la pression de Donald Trump, les 32 États membres de l'Alliance atlantique se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, afin d'entériner une hausse spectaculaire de leurs dépenses de défense, qui devraient passer à 5 % de leur PIB d'ici 2035. Ce rendez-vous, minutieusement orchestré pour éviter un esclandre du président américain — qui avait quitté prématurément le sommet du G7 au Canada le 16 juin dernier — vise aussi à rassurer sur l'avenir de l'OTAN. Donald Trump, depuis son retour à la Maison-Blanche, n'a cessé de réclamer des alliés européens et du Canada qu'ils dépensent beaucoup plus pour leur sécurité, faute de quoi il menace de ne plus les défendre.Coincée entre la menace russe et le mépris de Donald Trump pour le multilatéralisme, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord vit des moments historiques et tendus, alors que les combats se poursuivent en Ukraine et que les négociations entre les deux camps sont au point mort. Ni Kiev ni Moscou ne semblent prêts à céder sur la souveraineté des territoires occupés. Mais trois ans après le début de l'invasion russe, le 24 février 2022, comment les Ukrainiens vivent-ils dans ces régions aux mains de Moscou qui recouvrent 20 % du pays ? Les témoignages sont rares, et les informations parcellaires. Nos journalistes ont pu rencontrer plusieurs familles ayant réussi à fuir ces territoires.Alors se dirige-t-on vers la fin de la guerre entre Israël et l'Iran ? Quel est l'avenir de l'OTAN et de la défense européenne ? Et quelle est la situation en Ukraine ? LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PERRUCHE - Consultant en stratégie de sécurité et de défense, ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef – France 24, ancienne correspondante à Téhéran - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales- Elise VINCENT (en duplex de La Haye) - Journaliste chargée des questions de défense - Le Monde
Ce mardi 24 juin, le cessez-le-feu entre Israël et l'Iran a été abordé par Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, Sylvie Matherat, économiste, senior advisor du cabinet de conseil et d'audit Forvis-Mazars, et Jean-Pierre Petit, président des Cahiers Verts de l'économie, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En plots kondigt Trump een staakt-het-vuren aan tussen Israël en Iran. Maarten en Tom reageren.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de si la France à encore un rôle à jouer d'un point de vue diplomatique des frappes israéliennes sur des symboles du pouvoir Iranien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de si la France à encore un rôle à jouer d'un point de vue diplomatique des frappes israéliennes sur des symboles du pouvoir Iranien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
Conflit entre Israël et l'Iran : derrière les bombes, il y a la cyber-guerre. Un groupe de hackers pro israélien vient de s'attaquer à une banque iranienne...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 20 juin 2025 - Israël - Iran : l'ayatollah Khameneï peut-il tomber ?Jusqu'où ira Israël ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, près de 50 avions de combat israélien ont frappé "des sites industriels de production de composants de missiles" ainsi que "des cibles du programme d'armement nucléaire" iranien. Les appels du président de la République islamique à un "arrêt inconditionnel de l'agression" n'y font rien. Quant à Donald Trump, dont les déclarations sont scrutées de près, il prendra une décision "au cours des deux prochaines semaines" sur une possible intervention américaine. Pendant ce temps, les Européens peinent à faire entendre leur voix dans ce conflit. Les ministres des affaires étrangères britannique, allemand, français et iranien se rencontrent justement aujourd'hui à Genève en présence de la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. Ils "rencontreront leur homologue iranien (…) afin d'appeler au retour à la voie diplomatique et de poursuivre les négociations sur le programme nucléaire iranien", a déclaré le ministère des affaires étrangères français.En France, la diaspora iranienne se mobilise pour son pays mais reste divisée. Hier, à l'appel de plusieurs associations de défense des droits humains en Iran, des dizaines de personnes se sont rassemblées à Paris avec comme mot d'ordre "Non à Khameneï et non à Netanyahu". Ces opposants au régime des mollahs dénoncent l'agression israélienne qui a déjà fait plus de 224 morts et des centaines de blessés parmi les civils, depuis vendredi dernier. Selon eux, au-delà du droit international bafoué par Israël, l'assassinat du dirigeant Ali Khameneï ne résoudrait rien. Emmanuel Macron semble se ranger de leur avis : "Vouloir changer le régime iranien par la force, ce serait une erreur stratégique", expliquait-il en début de semaine depuis le G7. Mais d'autres militants franco-iraniens estiment au contraire que l'intervention israélienne est salutaire. "On espère que ça va aller au bout. Sans l'attaque israélienne, jamais ces criminels de mollahs ne seraient partis", estime par exemple le boxeur franco-iranien Mahyar Monshipour.Pendant que le Moyen-Orient se déchire sur le sort des Iraniens, c'est celui des Gazaouis qui semble éclipsé. La reconnaissance d'un État palestinien, qui devait être discutée mercredi à l'Assemblée générale de l'ONU, à New York, a été reportée sine die à la suite de l'assaut d'Israël en Iran. À Gaza, la violence de l'armée israélienne ne fait qu'augmenter depuis la reprise de l'offensive en mars dernier. Hier, un bombardement sur des civils venus chercher de l'aide humanitaire a fait plusieurs dizaines de morts. Cette attaque, sur des civils en situation de famine, n'est pas un fait isolé. Près de 400 Gazaouis ont été tués et plus de 3 000 autres blessés en tentant d'atteindre les points de distribution d'aide à Gaza, selon le dernier bilan du ministère de la santé du Hamas. Pour le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk, "les Palestiniens sont placés devant le plus sinistre des choix : mourir de faim ou risquer d'être tués en essayant d'accéder à la maigre nourriture mise à disposition par le mécanisme d'assistance humanitaire militarisé d'Israël". L'ONU estime d'ailleurs que ces attaques ciblées pourraient constituer des crimes de guerre.L'attaque israélienne en Iran pourrait-elle provoquer la chute d'Ali Khameneï ? En quoi les Iraniens sont-ils tiraillés entre leur patriotisme et leur rejet du régime islamique ? Et comment la guerre entre Israël et l'Iran a-t-elle éclipsé la situation mortifère à Gaza ?LES EXPERTS :- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Patricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Agnès LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen-Orient, vice-présidente de l'IREMMO (Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient)- Michel GOYA - Historien militaire, ancien officier des troupes de marinePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 20 juin 2025 - Israël - Iran : l'ayatollah Khameneï peut-il tomber ?LES EXPERTS :- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Patricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Agnès LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen-Orient, vice-présidente de l'IREMMO (Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient)- Michel GOYA - Historien militaire, ancien officier des troupes de marine
durée : 00:16:49 - Guerre Israël - Iran, un nouveau film d'animation et la fin de carrière d'un cycliste français - Le conflit entre Israël et l'Iran, du nouveau pour les studios Disney-Pixar et un focus sur les allergies alimentaires : c'est le menu du nouvel épisode de "Salut l'info !"
Au sommaire : Au Sénégal, le convoyeur d'une pirogue qui a chaviré au large de Mbour en septembre 2024 avec une centaine de migrants à son bord, vient d'être condamné à sept ans de prison ferme. Cette décision, d'une rare sévérité, peut-elle aider à lutter contre les réseaux criminels de passeurs ? En Guinée, un nouvel organe électoral, la direction générale des élections, a été créé le week-end dernier. Comment expliquer la suppression de la commission électorale indépendante et pour quelles raisons placer la nouvelle direction sous l'autorité du ministre en charge de l'Administration du territoire et de la décentralisation ? Enfin jusqu'où ira le conflit entre Israël et l'Iran ? Les États-Unis vont-ils entrer en guerre ? Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Timbi Bah, rédacteur en chef de la rédaction Fulfulde de RFI à Dakar - Hanene Zbiss, journaliste tunisienne, présidente de la section tunisienne de l'UPF (Union de la presse francophone) - Hannane Ferdjani, journaliste et créatrice du média en ligne Beyond the noise Africa.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
Dans la nuit du 12 au 13 juin, l'aviation israélienne a lancé une série de frappes contre l'ennemi juré du pays : l'Iran, dirigé par le guide suprême Ali Khamenei. Celui qui promettait de détruire l'Etat hébreux d'ici 2040.À travers cette opération de grande ampleur, dans laquelle des sites stratégiques, des commandants mais aussi des scientifiques iraniens ont été tués, Israël cherche à mettre hors d'état de nuire son rival historique, qu'il soupçonne d'être en voie d'obtenir la bombe atomique. Depuis, les bombardements des deux côtés sont quotidiens. Pourquoi l'Etat d'Israël est-il passé à l'offensive ? Quelle est l'histoire des relations entre les deux pays ? Pourquoi sont-ils devenus ennemis ? Réponse, dans Code source aujourd'hui, avec trois journalistes du service international du Parisien : Ariane Riou, Robin Korda, et Charles de Saint Sauveur, chef de ce service. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clémentine Spiler et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol, Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les ministres des Affaires étrangères de toute l'Europe s'apprêtent à s'entretenir avec leur homologue iranien et Donald Trump n'excluant pas une entrée en guerre des Etats-Unis.
durée : 00:55:32 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce jeudi 19 juin autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:25:59 - Conflit Israël-Iran : profondément divisés, les Européens devenus inaudibles ?
Faut-il craindre un choc pétrolier avec le regain de tension au Moyen-Orient? Le conclave des retraites va-t-il aboutir? Comment faire des économies pour 2026? C'est la Doze bonus de la semaine.
durée : 00:24:55 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Quel rôle vont jouer les États-Unis dans la guerre entre Israël et l'Iran ? Éclairage ce jeudi avec l'historien Justin Vaïsse, directeur du Forum de Paris sur la Paix, Gilles Gressani, directeur du Grand Continent, et Laure Mandeville, grand reporter au Figaro. - invités : Justin VAISSE, Gilles Gressani, Laure MANDEVILLE - Justin Vaïsse : Historien, fondateur et directeur général du Forum de Paris sur la Paix, ancien directeur du Centre d'Analyse, de Prévision et de Stratégie du Quai d'Orsay, Gilles Gressani : Directeur du "Grand Continent", président du Groupe d'études géopolitiques de l'École normale supérieure, Laure Mandeville : Journaliste au Figaro
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 17 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bldg.A
durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère - invités : Thomas Fraise politiste, post-doctorant à l'Université de Copenhague au Danemark, associé au programme Savoirs Nucléaires de Sciences Po ; Jean-Marc Bonmatin Chargé de recherche au Centre de biophysique moléculaire du CNRS à Orléans, spécialiste de l'action des neurotoxiques chez les insectes et plus particulièrement chez les abeilles; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier; Azadeh Kian Professeure de sociologie, directrice du département de sciences sociales et du CEDREF à l'Université de Paris
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Israël et l'Iran ont échangé barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive. Le Premier ministre israélien affirme que son pays est en train de changer "la face du Moyen-Orient" mais les éditorialistes se demandent quel sera le prix de cette guerre.
C dans l'air l'invité du 16 juin 2025 avec Jacques Audibert, diplomate, ancien directeur politique du Quai d'Orsay et ancien négociateur français sur le nucléaire iranien.L'attaque d'une ampleur sans précédent lancée vendredi par Israël pour empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique a porté un coup à son programme nucléaire sans que l'impact, à ce stade, ne soit définitif. Le centre pilote d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre du pays, a été "détruit" dans sa partie en surface ainsi que les infrastructures électriques, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), citant des informations des autorités iraniennes.Après le retrait unilatéral en 2018 des Etats-Unis de l'accord international sur le nucléaire conclu trois ans plus tôt, l'Iran s'est progressivement affranchi de certaines obligations, accélérant notamment l'enrichissement d'uranium bien au-delà de la limite fixée à 3,67%. Le pays disposait mi-mai de 408,6 kg d'uranium enrichi à 60%. Un tel stock, s'il était enrichi à 90% - le seuil nécessaire à la conception d'une bombe atomique - permettrait d'en fabriquer plus de neuf. Pour autant, dans son dernier rapport, l'Agence indique qu'elle "ne dispose d'aucune indication crédible d'un programme nucléaire structuré" visant à doter l'Iran de l'arme atomique.Jacques Audibert, diplomate et ancien négociateur pour la France de l'accord sur le nucléaire iranien, reviendra avec nous sur la façon dont cet accord a été négocié. Il nous donnera également son analyse de la situation actuelle, alors même que l'accord sur le nucléaire iranien avait pour objectif d'éviter une guerre. Enfin, il nous dira en tant que diplomate s'il pense que des négociations pourraient reprendre, dans le but d'apaiser les tensions.
Pour débuter l'émission de ce mardi 17 juin 2025, les GG : Didier Giraud, agriculteur, Barbara Lefebvre, enseignante, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : Israël/Iran, faut-il faire tomber le régime iranien ?
Pour débuter l'émission de ce mardi 17 juin 2025, les GG : Didier Giraud, agriculteur, Barbara Lefebvre, enseignante, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : Israël/Iran, Macron compréhensible ?
Tijdens de verjaardagsparade van Trump, afgelopen zaterdag, en deze ochtend blikt Jort Kelder terug op de verassingsaanval die Israël op Iran uitvoerde. Te gast zijn dr. Tim Sweijs (HCSS) en prof. dr. Brian Burgoon (politieke economie, UvA) over de huidige. spanningen in het Midden-Oosten en in het binnenland van de VS. Shownotes: (docu Louis Theroux/The Settlers - https://npo.nl/start/video/louis-theroux-the-settlers (docu Zero Days/Stuxnet : https://www.youtube.com/watch?v=4DWtOFYtb88)
durée : 00:02:24 - Le vrai ou faux - De nombreuses fausses images ou images détournées sont partagées sur les réseaux sociaux depuis le début du conflit entre Israël et l'Iran.
C dans l'air du 16 juin 2025 : Guerre Israël-IranLES EXPERTS :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - Conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Peer DE JONG - Ancien colonel, spécialiste de géopolitique, vice-président de l'institut Thémis, auteur de Poutine, lord of war (éditions Mareuil)- Meriem AMELLAL - Journaliste spécialiste du Moyen-Orient - France 24- Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération
C dans l'air du 16 juin 2025 : Guerre Israël-IranL'escalade se poursuit entre Israël et l'Iran. Tandis que l'armée israélienne affirme avoir détruit "un tiers" des lanceurs de missiles sol-sol iraniens et que ses frappes ont fait plus de 200 morts depuis vendredi, les missiles balistiques iraniens ont, dans le même temps, fait au moins 24 morts en Israël. Alors que chef du renseignement iranien a été tué ce week-end, le régime des mollah tente, de se protéger des ennemis de l'intérieur. La justice iranienne a annoncé avoir pendu lundi un homme arrêté en 2023 et reconnu coupable d'être un agent du Mossad. Pendant ce temps, la communauté internationale observe avec inquiétude ce nouveau conflit. L'Iran a demandé à ce que les Européens condamnent les attaques israéliennes. Donald Trump, lui, a appelé dimanche Vladimir Poutine pour aborder le sujet. C'est lors de cette conversation que le président russe s'est porté volontaire pour jouer le rôle de médiateur. Une proposition qui ne convient évidemment pas aux Européens : "La Russie n'a aucune crédibilité. (…) La Russie viole en permanence le droit international", a estimé le porte-parole de la Commission européenne, Anouar El Anouni.C'est dans ce contexte brûlant et hautement indécis que les Européens se retrouvent en Alberta (Canada) dès cet après-midi, et pour trois jours, pour le sommet du G7. Donald Trump sera attendu de pied ferme par ses homologues européens et canadien après des mois de guerre commerciale. Mais les discussions seront forcément perturbées par le nouveau conflit en Iran. Le président américain joue un jeu trouble, jugeant à la fois l'opération israélienne "excellente", tout en appelant l'Iran à conclure un accord avec lui sur le nucléaire "avant qu'il ne reste plus rien". Donald Trump a-t-il autorisé Israël a frappé ? Là encore, le doute subsiste. Le président américain était au courant des plans d'Israël, mais avait publiquement appelé les Israéliens à la retenue sous peine de "tout faire capoter". L'opération israélienne pourrait lui permettre de contraindre l'Iran à accepter un accord, même si l'Iran ne semble pour l'instant pas prête à négocier.Alors que les missiles israéliens pleuvent sur l'Iran, touchant même un hôpital dans l'ouest du pays, la famille de Cécile Kohler, otage française emprisonnée depuis plus de trois ans dans la prison d'Evin avec son compagnon Jacques Paris, craint le pire. "C'est un cauchemar depuis plus de trois ans. Et là, en deux jours, l'horreur et la terreur ont augmenté brutalement de plusieurs crans", a réagi Noémie Kohler, sœur de l'otage au micro de RTL. Face à cette situation, Emmanuel Macron s'est entretenu samedi avec son homologue iranien Massoud Pezeshkian : "Mon premier message a été d'exiger la libération immédiate de nos compatriotes Cécile Kohler et Jacques Paris", a-t-il ensuite écrit sur X. Noémie Kohler s'est félicité de l'engagement de l'Élysée sur le dossier mais craint désormais que la prison soit touchée par les bombardements. Selon elle, une frappe israélienne est récemment tombée à 2 kilomètres d'Evin.Jusqu'où peut aller l'escalade du conflit en Israël et l'Iran ? Que cherche vraiment Donald Trump à travers ses déclarations ? Et que vont devenir les deux otages français dans une Iran désormais en guerre ?LES EXPERTS :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - Conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Peer DE JONG - Ancien colonel, spécialiste de géopolitique, vice-président de l'institut Thémis, auteur de Poutine, lord of war (éditions Mareuil)- Meriem AMELLAL - Journaliste spécialiste du Moyen-Orient - France 24- Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération
Pour débuter l'émission de ce lundi 16 juin 2025, les GG : Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent du sujet du jour : Israël/Iran, la guerre vous inquiète-t-elle ?
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du 4ième jour de guerre entre Israël et la République Islamique d'Iran.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Trump à propos du conflit entre Israël et l'Iran, exhortant l'Iran à négocier.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des conséquences sur le prix du baril du pétrole du conflit entre Israël et l'Iran.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 14 juin 2025 - Conflit Israël - Iran : un revers pour Trump ?Il appelle l'Iran à « conclure un accord » sur son programme nucléaire « avant qu'il ne reste plus rien ». Donald Trump, en pleines négociations avec Téhéran, réagit prudemment aux récentes frappes israéliennes. La Maison-blanche parle d'« une action unilatérale » de l'Etat hébreu, et rappelle que les Etats-Unis n'étaient « pas impliqués » dans ces attaques.La réplique iranienne ne s'est en tout cas pas fait attendre, avec plusieurs missiles lancés sur Israël, causant des dégâts à Tel-Aviv. Mais cette guerre durera le temps qu'il faut a annoncé Benyamin Netanyahu, qui se félicite d'une « action nécessaire face à une menace existentielle ».De son côté, la communauté internationale joue à l'équilibriste. Si plusieurs leaders comme Macron soutiennent le « droit » de l'Etat hébreu « à se défendre », ils en appellent à la retenue et à la diplomatie.L'Amérique de Trump se retrouve donc face à une nouvelle guerre. Le président américain se voulait pourtant faiseur de paix, et promettait déjà de régler au plus vite deux autres conflits : celui en Ukraine, et celui à Gaza.Pendant ce temps, aux Etats-Unis, la colère monte chez les anti-Trump. Dans un contexte d'émeutes à Los Angeles, ils sont rassemblés dans des centaines de villes ce samedi. Ils protesteront contre les expulsions massives d'immigrés clandestins, mais aussi contre le coûteux défilé militaire qui a lieu aujourd'hui à Washington pour le 250è anniversaire de l'armée... et le 79è du président américain. Face à la contestation, Trump semble reculer sur certains points : il vient notamment de suspendre les raids contre les immigrés dans l'agriculture et l'hôtellerie.Alors, jusqu'où ira le conflit Israël – Iran ? S'agit-il d'un revers pour le président américain ? Trump est-il contraint de reculer sur sa politique anti-immigration ?LES EXPERTS :Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationauxPatricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaineNICOLAS TENZER – Essayiste, spécialiste des relations internationales
C dans l'air du 14 juin 2025 - Conflit Israël - Iran : un revers pour Trump ?LES EXPERTS :Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationauxPatricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaineNICOLAS TENZER – Essayiste, spécialiste des relations internationales
In this episode, we dove headfirst into the swirling waters of TypeScript, its real-world use cases, and where it starts to fall short—especially when it comes to security. Joining us from sunny Tel Aviv (and a slightly cooler Portland), we had the brilliant Ariel Shulman and security advocate Liran Tal bring the heat on everything from type safety to runtime vulnerabilities.We started off with a friendly debate: Has TypeScript really taken over the world? Our verdict? Pretty much. Whether it's starter projects, enterprise codebases, or AI-generated snippets, TypeScript has become the de facto standard. But as we quickly found out, that doesn't mean it's perfect.Key Takeaways:-TypeScript ≠ SecurityWe tend to trust TypeScript a bit too much. It's a build-time tool, not a runtime enforcer. As Liran pointed out, “TypeScript is not a security tool,” and treating it like one leads to dangerous assumptions.-Type Juggling is Real (and Sneaky)We explored how something as innocent as using as string on request data can open the door to vulnerabilities like HTTP parameter pollution and prototype pollution. Just because your IDE is happy doesn't mean your runtime is.-Enter Zod – Runtime Type Checking to the Rescue?Zod got some love for bridging the dev-time/runtime gap by validating data on the fly and inferring TypeScript types. But even Zod isn't foolproof. For example, unless you're using .strict(), extra fields can sneak past your validations, leading to mass assignment bugs.-Common Developer FallaciesWe discussed the misplaced confidence developers have in things like code coverage and TypeScript alone. One of the big takeaways: defense in depth matters. Just like testing, layering your security practices (like using Zod, type guards, and proper sanitization) is key.-TypeScript Best Practices Are EvolvingFrom discriminated unions to avoiding any, from using Maps over plain objects to prevent prototype pollution—TypeScript developers are adapting. And tools like modern Node.js now support type stripping, which makes working with .ts files at runtime a bit easier.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/javascript-jabber--6102064/support.