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durée : 00:04:33 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Casanova, un adolescent à Venise", Luigi Comencini s'intéresse aux jeunes années du célèbre séducteur. Fasciné par le passage de l'enfance à l'âge adulte, il explore comment Casanova, enfant pauvre, utilise la ruse et la séduction pour s'élever dans la société. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Luigi Comencini Réalisateur
Dante Ferretti"Bellezza imperfetta"Io e PasoliniA cura di David MiliozziEdizioni Pendragonwww.pendragon.itDante Ferretti, tre premi Oscar, tra i più celebri scenografi al mondo, racconta il suo lungo sodalizio professionale e umano con Pier Paolo Pasolini, cominciato da giovanissimo sul set de Il Vangelo secondo Matteo e terminato il 2 novembre 1975, quando il cadavere martoriato del grande poeta e pensatore fu ritrovato all'idroscalo di Ostia. Ripercorrendo il lungo tratto di carriera che ha condiviso con Pasolini, l'autore ci mostra anche gli straordinari bozzetti delle scenografie che hanno dato forma all'immaginario filmico pasoliniano, confrontandoli con i fotogrammi degli stessi film.Consegnandoci un ritratto scanzonato e crepuscolare di un uomo che possedeva il raro dono di capire il suo tempo, insieme al sapore di un'epoca irripetibile del cinema italiano e internazionale (sfilano davanti ai nostri occhi Federico Fellini, Elio Petri, Maria Callas, Martin Scorsese, Tim Burton e tanti altri), queste pagine ci rivelano il volto inedito di un artista immenso, capace, sul set e nella vita, di investire le persone che gli erano accanto di un'energia umana e intellettuale tanto potente da cambiarle per sempre.Dante Ferretti (Macerata, 1943) ha avuto una carriera strepitosa che iniziò, ventenne, proprio con Pier Paolo Pasolini, di cui fu aiuto scenografo per Il Vangelo secondo Matteo (1964), Uccellacci e uccellini (1966) e Edipo re (1967); con lui firmò la sua prima scenografia, Medea (1970), e da quel momento Pasolini lo volle al suo fianco fino al suo ultimo film, Salò o le 120 giornate di Sodoma (1975). Ferretti ha lavorato con i più importanti registi italiani – Luigi Comencini, Marco Bellocchio, Elio Petri, Liliana Cavani, Marco Ferreri, Ettore Scola, Franco Zeffirelli –, e in particolare con Federico Fellini, per cui è stato aiuto scenografo nel Fellini Satyricon del 1969 e scenografo in cinque film, fino all'ultima opera cinematografica del maestro riminese, La voce della Luna (1990). I geniali, visionari mondi da lui creati per Il nome della rosa (1986) e Le avventure del barone di Munchausen (1988), per cui ricevette la prima nomination all'Oscar, lo hanno reso celebre a Hollywood e nel mondo, dando avvio a un impressionante elenco di collaborazioni internazionali – tra gli altri, Terry Gilliam, Neil Jordan, Anthony Minghella, Brian De Palma, Martin Brest, Julie Taymor, Tim Burton, Kenneth Branagh – e alla speciale affinità creativa con Martin Scorsese, per cui ha firmato le scenografie di ben nove film da L'età dell'innocenza (1993) a Silence (2016). Per Pendragon è autore di Bellezza imperfetta. Io e Pasolini (2024).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Tutti a casa, come recita il titolo di un meraviglioso film del 1960 diretto da Luigi Comencini e con un grande Alberto Sordi protagonista. Dopo Milan e Atalanta, anche la Juventus dice addio alla Champions League 2024-2025.
Neste episódio, trazemos a segunda edição do "Trinca Italiana", um modelo de episódio com 3 dicas de filmes. Cada um dos três participantes (Alexandre Cataldo, Tony Vendramini e Luísa Lopes) escolheu um filme italiano que entende que merece uma maior atenção do cinéfilo. As escolhas são: * "Uma Vida Violenta" ("Una Vita Violenta", 1962, de Brunello Rondi e Paolo Heusch), * "Semeando a Ilusão" ("Lo Scopone Scientifico", 1972, de Luigi Comencini) e * "Lisa e o Diabo" ("Lisa e il Diavolo", 1973, de Mario Bava)
Être une femme et avoir une île dans sa vie. C'est le thème de cette 4ème saison de Murmures en partenariat avec la Fondation Carmignac et le Parc national de Port-Cros. Je suis allée à la rencontre de femmes qui entretiennent un lien particulier avec leur île. Elles sont artiste, productrice, scénariste, gardiennes de la nature… Je leur ai demandé en quoi l'île travaille leur féminité, si l'île révèle, façonne les femmes qu'elles sont devenues ? Bernard Pesce les a photographiées. De cette collaboration sont nés des portraits sonores regroupés dans cette série intitulée Archipelles, un archipel visuel et sonore qui révèle l'île en elles.Les témoignages que vous allez entendre explorent des territoires intimes tels que l'amour, le rapport au corps, au vivant, au sacré, la sauvagerie, la création, la liberté, le désir, la sensualité A travers la parole de ces femmes, se pose une question qui nous concerne tous : en quoi les lieux nous constituent, comment les endroits où l'on a grandi, où l'on a fait notre vie, par hasard ou par nécessité, contribue à construire notre identité ?Découvrez cette semaine le témoignage d'Isabelle.Isabelle est produtrice executive. L'île est entrée dans sa vie par amour. Avec Isabelle, on a parlé de lignée de femmes fortes, de voyages, des îles en général et des femmes qui les peuplent, d'eau, d'amazone, d'odeur de ciste et de poussière, d'aventurière et de tarte aux pommes, de Marilyn Monroe et de Wonder Woman, de séduction, de Ying et de Yang, d'habiter son corps, de l'île comme révélateur de couleurs, d'équilibre et d'exacerbation des sens…Références :Pain, Amour et Fantaisie de Luigi Comencini avec Gina LollobrigidaMarilyn Monroe, Jane Russel, Katharine Hepburn Personnages de fiction : Wonder Woman, Emma Peel dans Chapeau melon et bottes de cuirImpératrice Wu Zetian, seule impératrice régnante de toute l'histoire de Chine au 7ème siècle. Le visuel du podcast est une création de Mona Cara et l'habillage sonore a été réalisé par Hubert Artigue. Découvrez le portrait sonore et toutes les notes de cet entretien ici Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
Cette femme a façonné son « œil » au beau... « Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue », oui... c'est elle qui « tire la première »... Mais attention, seulement sur les jolies choses, les objets, le mobilier, les accessoires design ou les pièces de maîtres !C'est en arpentant enfant les puces et brocantes parisiennes qu'elle a chopé le goût des pièces rares et du vintage ! Et elle ne s'est pas arrêtée là... Elle est allée chercher en Italie l'élégance, la nonchalance aussi parfois, et le minimalisme des intérieurs Milanais !Et oui, avoir une double culture franco-italienne ça a du bon ! Et ça détermine aussi une vie... Il y a 10 ans, Constance Gennari a mis ses talents dans un magazine en ligne qu'elle a créé de A à Z. Le plaisir qu'elle souhaitait partager, propager même, c'était de nous faire entrer dans les intérieurs de familles pour comprendre comment ils avaient décoré leur lieu de vie, pour mieux nous transmettre leur art de vivre aussi ! Des reportages déco donc, mais aussi sociologiques ! De Paris à New York, en passant par l'Italie évidemment, toute une nouvelle génération a pris la pose pour « The Socialite Family ».En si bon chemin, elle a carrément créé sa propre marque de mobilier et de décoration, du même nom. Et cette fameuse « beauté » italienne l'a rattrapée car elle est au cœur de ses inspirations, de ses créations... on va le voir ! Bell'ascolto !· Les inspirations italiennes de Constance :Les films « Parfum de femme » de Dino Risi (1975) & « Lo scopone scientifico » de Luigi Comencini (1972).Le livre « Ingressi di Milano » (Ed. Taschen) dans lequel 144 des plus belles entrées milanaises des années 1920 à 1970 sont photographiées. Certaines sont l'œuvre des plus célèbres architectes de Milan, de Gio Ponti à Piero Portaluppi.La revue italienne DOMUS devenue une référence en architecture, art et design.Les deux rencontres italiennes marquantes réalisées pour le média « The Socialite Family » : Roberto Baciocchi (qui est entre autres l'architecte attitré des boutiques Prada) & Italo Manca (le restaurateur connu de tous les Milanais) !La chaise longue réglable P40 qui peut prendre 486 positions distinctes, signée du designer italien Osvaldo Borsani, créateur de la marque de mobilier de bureau Milanais, Tecno.Le musée du design italien à découvrir : la Triennale, dans le parc Sempione, de Milan & la Villa Necchi Campiglio, demeure historique de Milan, siège de la FAI (Fondo Ambiente Italiano), où a été tourné le film « Amore » de Luca Guadagnino (2010) avec Twilda Swinton !La playlist « La Scopa The Socialite Family » sur Spotify & la chanson « Si, viaggiare » de Lucio Battisti !Son conseil « dolce vita » insolite : la trancheuse à jambon, la base pour un aperitivo à l'italienne réussi !La pièce design italienne à avoir chez soi absolument : la cafetière moka et la théière aux formes innovantes Alessi.Les comptes instas de cuisine des « nonne » italiennes comme @pastagrannies @nonnanatalina_1935 !· Il mondo de Constance :Instagram : @constancegennariThe Socialite Family : Instagram : @thesocialitefamily / Site Internet : www.thesocialitefamily.comConçu, réalisé et présenté par Claire PlantinetMontage Générique : François PraudMixage épisode : Alice Krief - Les belles fréquencesMusique : Happy Clapping Cinematic Score / PaBlikMM / Envato ElementsCréation visuelle : Thomas Jouffrit© Portrait Constance Gennari signé Eve CampestriniPodcast hébergé par Ausha.· Contattami, Scrivimi !Retrouvez allora sur Instagram @allora.lepodcast & Facebook @alloralepodcast !
A cura di Ferruccio Bovio Il calendario dell'Esercito italiano per il 2024 porta un titolo – fortemente voluto dalla sottosegretaria alla Difesa Isabella Rauti – che sta suscitando un diffuso malumore sia a livello storico, che politico. “Per l'Italia sempre… prima e dopo l'8 settembre 1943”: sono queste, infatti, le parole che campeggiano sulla copertina del calendario che, appena pubblicato, è già divenuto un “casus” in grado di alimentare polemiche che sono tipiche di un Paese che, evidentemente, stenta a fare i conti con il proprio passato. Con l'indirizzo dato al calendario 2024, la figlia dello storico dirigente del Msi, Pino Rauti, sembra voler superare la distinzione tra quanto avvenne, tra le nostre Forze Armate, prima e dopo la fatidica data dell'8 settembre: giorno in cui, caduto da poco tempo il fascismo, l'Italia firmò l'armistizio con gli Alleati. Il calendario – come si legge nella sua presentazione – intende rendere omaggio ad alcuni dei militari che furono insigniti della Medaglia d'oro al Valore:uomini che parteciparono ai tragici eventi di guerra “con l'assoluta consapevolezza di servire la Patria”, “sia prima e sia dopo l'8 settembre 1943”. E si trattò sempre – continua la prefazione - degli “stessi uomini, degli stessi Eroi”. E qui però, anche noi abbiamo qualcosa da dire, perché il sacrificio di tanti soldati che sono caduti nei primi tre anni di guerra non può essere strumentalizzato da chi cerca di dimostrare una effettiva continuità istituzionale tra il prima e il dopo. Anzi, ci pare che il sorvolare, come se nulla fosse, sulle responsabilità di una classe di governo che incamminò, imperdonabilmente, verso la morte migliaia e migliaia di giovani italiani, significhi equivocare un po' troppo su come andarono realmente le cose. Certo che gli alpini morti di fame e di freddo nella Ritirata di Russia sono dei martiri e degli eroi ! Certo che i fanti mandati allo sbaraglio in Africa contro un nemico molto più armato sono anch'essi dei martiri e degli eroi! Ci mancherebbe altro...Tuttavia, se vogliamo veramente onorarne la memoria, dobbiamo anche ricordare che l'8 settembre segnò una svolta drammatica per il Regio Esercito che di fatto si trovò, da un giorno all'altro, allo sbando e fu costretto a vivere quella situazione di confusa smobilitazione così ben descritta da Luigi Comencini nel suo film “Tutti a casa” del 1960. Ma sempre lo stesso 8 settembre rappresentò pure l'inizio di un riscatto nazionale al quale contribuirono anche tanti militari che, in quelle ore, operarono una scelta decisiva proprio “tra il prima e il dopo”: e cioè, tra la guerra combattuta a fianco di Hitler e quella per liberarci dal suo giogo criminale. "Il Corsivo" a cura di Ferruccio Bovio non è un editoriale, ma un approfondimento sui fatti di maggiore interesse che i quotidiani spesso non raccontano. Un servizio in punta di penna che analizza con un occhio esperto quell'angolo nascosto delle notizie di politica, economia e cronaca. ___________________________________________________ Ascolta altre produzioni di Giornale Radio sul sito: https://www.giornaleradio.fm oppure scarica la nostra App gratuita: iOS - App Store - https://apple.co/2uW01yA Android - Google Play - http://bit.ly/2vCjiW3 Resta connesso e segui i canali social di Giornale Radio: Facebook: https://www.facebook.com/giornaleradio.fm/ Instagram: https://www.instagram.com/giornale_radio_fm/?hl=it
A cura di Ferruccio Bovio Il calendario dell'Esercito italiano per il 2024 porta un titolo – fortemente voluto dalla sottosegretaria alla Difesa Isabella Rauti – che sta suscitando un diffuso malumore sia a livello storico, che politico. “Per l'Italia sempre… prima e dopo l'8 settembre 1943”: sono queste, infatti, le parole che campeggiano sulla copertina del calendario che, appena pubblicato, è già divenuto un “casus” in grado di alimentare polemiche che sono tipiche di un Paese che, evidentemente, stenta a fare i conti con il proprio passato. Con l'indirizzo dato al calendario 2024, la figlia dello storico dirigente del Msi, Pino Rauti, sembra voler superare la distinzione tra quanto avvenne, tra le nostre Forze Armate, prima e dopo la fatidica data dell'8 settembre: giorno in cui, caduto da poco tempo il fascismo, l'Italia firmò l'armistizio con gli Alleati. Il calendario – come si legge nella sua presentazione – intende rendere omaggio ad alcuni dei militari che furono insigniti della Medaglia d'oro al Valore:uomini che parteciparono ai tragici eventi di guerra “con l'assoluta consapevolezza di servire la Patria”, “sia prima e sia dopo l'8 settembre 1943”. E si trattò sempre – continua la prefazione - degli “stessi uomini, degli stessi Eroi”. E qui però, anche noi abbiamo qualcosa da dire, perché il sacrificio di tanti soldati che sono caduti nei primi tre anni di guerra non può essere strumentalizzato da chi cerca di dimostrare una effettiva continuità istituzionale tra il prima e il dopo. Anzi, ci pare che il sorvolare, come se nulla fosse, sulle responsabilità di una classe di governo che incamminò, imperdonabilmente, verso la morte migliaia e migliaia di giovani italiani, significhi equivocare un po' troppo su come andarono realmente le cose. Certo che gli alpini morti di fame e di freddo nella Ritirata di Russia sono dei martiri e degli eroi ! Certo che i fanti mandati allo sbaraglio in Africa contro un nemico molto più armato sono anch'essi dei martiri e degli eroi! Ci mancherebbe altro...Tuttavia, se vogliamo veramente onorarne la memoria, dobbiamo anche ricordare che l'8 settembre segnò una svolta drammatica per il Regio Esercito che di fatto si trovò, da un giorno all'altro, allo sbando e fu costretto a vivere quella situazione di confusa smobilitazione così ben descritta da Luigi Comencini nel suo film “Tutti a casa” del 1960. Ma sempre lo stesso 8 settembre rappresentò pure l'inizio di un riscatto nazionale al quale contribuirono anche tanti militari che, in quelle ore, operarono una scelta decisiva proprio “tra il prima e il dopo”: e cioè, tra la guerra combattuta a fianco di Hitler e quella per liberarci dal suo giogo criminale. "Il Corsivo" a cura di Ferruccio Bovio non è un editoriale, ma un approfondimento sui fatti di maggiore interesse che i quotidiani spesso non raccontano. Un servizio in punta di penna che analizza con un occhio esperto quell'angolo nascosto delle notizie di politica, economia e cronaca. ___________________________________________________ Ascolta altre produzioni di Giornale Radio sul sito: https://www.giornaleradio.fm oppure scarica la nostra App gratuita: iOS - App Store - https://apple.co/2uW01yA Android - Google Play - http://bit.ly/2vCjiW3 Resta connesso e segui i canali social di Giornale Radio: Facebook: https://www.facebook.com/giornaleradio.fm/ Instagram: https://www.instagram.com/giornale_radio_fm/?hl=it
En una nueva edición de Página 13 dedicada al cine, Iván Valenzuela conversó con los columnistas Ascanio Cavallo y Antonio Martínez, respecto a las películas “Killers of the Flower Moon”, “John LeCarré: Volar en círculos”, los 70 años de Pan, amor y fantasía, de Luigi Comencini y la muerte de Richard Roundtree, protagonista de ‘Shaft', a los 81 años.
En una nueva edición de Página 13 dedicada al cine, Iván Valenzuela conversó con los columnistas Ascanio Cavallo y Antonio Martínez, respecto a las películas “Killers of the Flower Moon”, “John LeCarré: Volar en círculos”, los 70 años de Pan, amor y fantasía, de Luigi Comencini y la muerte de Richard Roundtree, protagonista de ‘Shaft', a los 81 años.
C'est l'été, et la Feuille de Service se met en mode vacances avec une série spéciale : les Heures Supp' !Pour ce premier épisode des HS, c'est enfin à moi de passer sur le grill et de répondre au redoutable portrait filmois. Je vous préviens tout de suite : j'ai des goûts bien définis et je parle toujours de la même chose, finalement...
Fred e Alexandre recebem de volta o músico Willian de Andrade (confira o perfil dele no Instagram: "Oitavo Dia") para debater mais três ótimas dicas fílmicas, ao redor do globo. Na 25ª edição do dicas triplas do PFC, conversamos sobre o clássico noir americano dirigido por Edmund Goulding "O Beco das Almas Perdidas" (Nightmare Alley, 1947), nos aprofundamos na comédia dramática italiana "Semeando a Ilusão" (Lo Scopone Scientifico, 1972), de Luigi Comencini e finalizamos com o longa polonês do cineasta Andrzej Zulawski, "O Diabo" (Diabel, 1972). Os "spoilers" estão ao final do episódio e se você escuta o episódio por algum agregador de podcast, poderá acessar capítulos de cada filme individualmente. Capítulos: 00:00:00 Introdução 00:06:18 O Beco das Almas Perdidas 00:29:58 Semeando a Ilusão 00:49:44 O Diabo 01:06:30 Spoilers OBDAP 01:10:44 Spoilers SAI 01:15:08 Spoilers OD ---------------------- Acesse nosso site: http://www.filmesclassicos.com.br Acesse nossa página no Facebook : https://www.facebook.com/podcastfilmesclassicos/ Nos procure no seu aplicativo de podcast do celular, no Spotify, YouTube, Anchor ou iTunes.
Mario Tedeschini Lalli"Nazisti a Cinecittà"Nutrimenti Edizionihttps://www.nutrimenti.net/Dalle Fosse Ardeatine a Cinecittà, dalla divisa nazista indossata per uccidere alla divisa nazista indossata per fare cinema. Borante Domizlaff e Karl Hass, due ufficiali delle SS che il 24 marzo 1944 spararono agli ordini di Herbert Kappler, riappaiono, con altri ex ufficiali tedeschi, nella produzione di alcuni dei più celebri film italiani del dopoguerra. Il primo, assolto nel 1948, resterà negli anni fedele a Kappler, aiutandolo nella fuga dall'Italia nel 1977. Il secondo, sfuggito al primo processo arruolandosi nei servizi segreti americani e italiani, sarà raggiunto dalla giustizia solo cinquant'anni dopo e condannato all'ergastolo. Nel frattempo, fra gli anni Cinquanta e Sessanta, tutti e due sbarcarono il lunario anche intrepretando ‘sé stessi', in parti da militare tedesco, in film come Una vita difficile di Dino Risi, La ciociara di Vittorio De Sica, Tutti a casa di Luigi Comencini, La caduta degli dei di Luchino Visconti. E non furono soli.Nazisti a Cinecittà nasce da una scoperta casuale che ha dato il via a una lunga ricerca tra carte di servizi segreti, cineteche, archivi privati e interviste a famigliari. Un racconto che a tratti si tinge di giallo, una finestra su una realtà paradossalmente ‘normale' dell'Italia del dopoguerra: il ‘nazista della porta accanto' tornava utile per raccontare il nazismo.Mario Tedeschini Lalli, da giornalista si è occupato a lungo di Relazioni internazionali, poi per oltre vent'anni d'informazione digitale e multimediale, guidando redazioni e insegnando nelle scuole di Giornalismo e nell'Università. Storico contemporaneista di formazione, autore di saggi sui rapporti tra fascismo e mondo arabo e sugli anni italiani di Saul Steinberg, è affascinato dalle piccole storie che raccontano la grande Storia, è stato per esempio lui a scoprire l'identità dei veri giornalisti presenti in un film di culto come Vacanze romane, e della ragazza nella foto simbolo di Federico Patellani per la vittoria della Repubblica nel referendum del 1946. Ha scritto, con Pietro Del Re, In viaggio con Poirot (Minotauro, 1995), guida ai luoghi dei romanzi di Agatha Christie.IL POSTO DELLE PAROLEAscoltare fa Pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
Cristina Comencini"Flashback"Feltrinelli Editorehttps://www.feltrinellieditore.it/Un paio di scarpette rosse, una carrozzina, una molletta che trattiene capelli ondulati, grandi occhi blu dalle ciglia cariche di mascara. Dettagli vividi che emergono da brevi amnesie.In un periodo della sua vita particolarmente difficile, la narratrice – nella quale il lettore può riconoscere l'autrice stessa – inizia a soffrire di fulminee perdite di conoscenza, flashback che la immergono in storie diversissime dalla sua, storie di donne lontane, eppure connesse al suo presente da una segreta corrispondenza.Accade con Eloisa, splendida cocotte il cui destino viene rovesciato dalla Comune parigina del 1871: il desiderio di seguire la sua vicenda coincide con la fine del matrimonio della narratrice; e con Sofia, una ragazza russa che vorrebbe diventare attrice ma non ha fatto i conti con l'amore e con la Rivoluzione d'ottobre, offrendo a chi racconta una misura delle sue stesse scelte; poi con Elda, giovane operaia friulana, realmente esistita nello spietato inverno fra il 1944 e il '45, e infine con una diciassettenne della Swinging London libera e malintesa dei primi anni sessanta. Legate tra loro da una trama che supera le epoche in cui hanno vissuto, tutte arrivano a deviare e ad ampliare il corso dell'esistenza della donna che le racconta. Perché, suggerisce Comencini, la scrittura è atto che modifica, che travolge. “La letteratura è un'esistenza nascosta e pericolosa.”La Comune di Parigi, la Rivoluzione bolscevica, la Resistenza, la rivoluzione sessuale: quattro epoche di ribellione narrate attraverso quattro donne come tante, per questo straordinarie. Eroine che incarnano una metà della Storia a lungo nascosta, negletta, ritenuta meno degna: vite, sentimenti, corpi, piccoli gesti di cura quotidiana. Cristina Comencini, con mirabile vividezza e potenza scenica, in un romanzo pubblico e insieme personale, storico e attuale, li chiama finalmente a vivere per quello che sono: la forza indomabile che muove il mondo.Sono apparse in un vuoto e ricreano una genealogia nascosta, come fossero mie antenate o ancora di più.Cristina Comencini nasce a Roma nel 1956. Figlia del regista Luigi Comencini e madre di Carlo, Giulia e Luigi, esordisce al cinema come attrice nel 1969, diretta dal padre in Infanzia, vocazione e prime esperienze di Giacomo Casanova, veneziano, accanto a Tina Aumont e Maria Grazia Buccella. Laureata in Economia e Commercio con Federico Caffè, lavora per alcuni anni come giornalista economica e ricercatrice. Inizia la carriera di scrittrice nel cinema sceneggiando insieme al padre il film TV Il matrimonio di Caterina (1982) e il lungometraggio Buon Natale... Buon anno del 1989; è co-sceneggiatrice di Ennio De Concini in Quattro storie di donne (1986) e autrice insieme a Suso Cecchi D'Amico dei televisivi Cuore e La Storia, entrambi diretti dal padre.Nel 1988 esordisce alla regia con una fiaba lieve e aggraziata, Zoo, cui fanno seguito l'ambizioso ed elegante I divertimenti della vita privata (1990), il criptico e sinuoso La fine è nota (1992, tratto dal romanzo omonimo di Geoffrey Holliday Hall), il fortunato Matrimoni (1998) e successivamente Liberate i pesci con Michele Placido e Laura Morante, passando nel 1995 per la trascrizione in immagini del celebrato bestseller di Susanna Tamaro Va' dove ti porta il cuore. Del 2005 è La bestia nel cuore, pellicola nominata all'Oscar come miglior film straniero e premiata al Festival del Cinema di Venezia con la Coppa Volpi per l'interprete femminile protagonista, Giovanna Mezzogiorno. Nel gennaio 2008 Cristina Comencini è tornata al cinema con Bianco e nero, commedia e storia d'amore appassionato tra un giovane uomo italiano senza grandi idee sul tema dell'Africa e una donna senegalese che vive in Italia da dieci anni. Sceneggiatrice de La donna della mia vita, ha partecipato alla 68. edizione della Mostra Internazionale di Arte Cinematografica di Venezia con il lungometraggio Quando la Notte. Latin Lover con un cast quasi tutto al femminile del 2015. Qualcosa di nuovo, adattamento cinematografico dello spettacolo teatrale La scena, è il suo penultimo film, uscito nel 2017. Successivamente realizza il documentario Sex Story e il film Tornare, presentato in anteprima alla Festa del Cinema di Roma nel 2019.Cristina Comencini è anche autrice e regista di pièces teatrali (Due Partite, 2006; Est Ovest, 2009; il dialogo Libere, 2010, La scena 2013; Tempi Nuovi 2017) e di numerosi romanzi editi da Einaudi (Essere vivi, 2016, Da soli, 2018, L'altra donna, 2021) e da Feltrinelli (Pagine strappate, 1991; Passione di famiglia, 1994; Matrioska, 2002; La bestia nel cuore, 2004; Due partite, 2006; L'illusione del bene, 2007, finalista al Premio Strega; Quando la Notte, 2009; La nave più bella 2012; Lucy, 2014; Voi non la conoscete, 2014; Flashback, 2022).IL POSTO DELLE PAROLEAscoltare fa Pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
Réalisatrice, scénariste et écrivaine, Cristina Comencini naît en 1956 à Rome et fréquente le lycée français. Elle fait ses débuts avec son père Luigi Comencini avant de réaliser ses propres films. «La Bête dans le cœur», adapté de l'un de ses livres, est nommé aux Oscars en 2006. Son premier roman en 1991, «Les pages arrachées» marque le début de sa carrière littéraire. Après «Quatre amours» (prix Marco Polo Venise 2020), «L'autre femme» est son dixième roman à paraître en France. Traduit de l'italien par Béatrice Robert-Boissier. "Elena a vingt-cinq ans, un petit appartement et un chat. Pietro a plus du double de son âge, une ex-femme et trois enfants. Pourtant ils se sont choisis, et ont décidé de vivre leur relation en tenant à distance les blessures de leurs vies d'avant : ils font l'amour avec l'ardeur de ceux qui se découvrent pour la première fois, se nourrissent de caïpirinhas et d'houmous, se concentrent sur l'ivresse du quotidien. Jusqu'au jour où Maria, l'ex-épouse de Pietro, contacte Elena sur Facebook en se dissimulant derrière une fausse identité. Peu à peu, les deux femmes se mettent à s'écrire régulièrement et à se confier l'une à l'autre. Maria parle de sa vie d'avant, de son ex-mari, et de son douloureux divorce sans qu'Elena ne se doute un seul instant que le fameux ex-mari n'est autre que Pietro. Elle-même évoque volontiers son histoire familiale compliquée et son quotidien avec ce dernier. Lorsque Maria décide enfin de rencontrer Elena et de lui dévoiler son stratagème, la jeune femme est bouleversée. Les révélations de Maria sur le Pietro « d'avant » font leur chemin et viennent peu à peu empoisonner leur relation. Cristina Comencini, de son écriture à la fois tranchante et intime, dépoussière le thème classique du trio amoureux et nous projette au cœur des problématiques du couple à l'ère contemporaine." (Présentation des éditions Stock)
- Cristina Comencini, la fille du grand cinéaste italien Luigi Comencini, publie "L'autre femme". Un roman subtil sur l'amour, le couple et les liens familiaux. Elle s'est confiée à Bernard Lehut. - Florian Gazan se laisse tenter par l'adaptation par Steven Spielberg du célèbre jeu vidéo "Halo" en série télévisée. Diffusion à partir de jeudi sur Canal +. - Les programmes télé de ce mardi soir, avec Isabelle Morini Bosc. Coups de coeur, coups de gueule, reportages, interviews, et des invités prestigieux : "Laissez-Vous Tenter" dresse un panorama de l'actualité Musique, Cinéma, Littérature, Médias, People. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Yves Calvi et Le Service Culture du 26 avril 2022
After an unexpected delay, we're finally making our way up to the Swiss Alps with Episode 113, the first of our two-part look at the classic novel Heidi! In this episode, we discuss: Johanna Spyri's original 1881 novel Heidi, the 1937 theatrical movie directed by Allan Dwan, written by Julian Josephson and Walter Ferris, and starring Shirley Temple, Jean Hersholt, and Arthur Treacher Heidi, the 1952 Swiss theatrical movie directed by Luigi Comencini, written by Robert Schweizer, William Michael Treichlinger, and Max Weinberg, and starring Elsbeth Sigmund, Heinrich Gretler, and Theo Lingen Heidi, the 1968 TV movie directed by Delbert Mann, written by Earl Hamner Jr., and starring Jennifer Edwards, Michael Redgrave, Maximilian Schell, and Jean Simmons Heidi, Girl of the Alps, the 1974 anime series directed by Isao Takahata and written by Isao Matsuki, recut, dubbed in English, and released as The Story of Heidi by Claudio Guzman and Charles Ver Halen Heidi, the 1974 BBC miniseries directed by June Wyndham-Davies, written by Martin Worth, and starring Emma Blake, Hans Meyer, and Flora Robson The New Adventures of Heidi, the 1978 TV movie musical directed by Ralph Senensky, written by John McGreevey, and starring Katy Kurtzman, Burl Ives, John Gavin, and Marlyn Mason Footnotes: Do Phool (1958) on YouTube Martha Finley's Elsie Dinsmore book series Take Up Thy Bed and Walk: Death, Disability and Cure in Classic Fiction for Girls by Lois Keith "Hygge" Run don't walk to watch the 1974 BBC Heidi miniseries on YouTube, because we're pretty sure that's the only way you can You don't need to watch The New Adventures of Heidi, but if you want to watch a grown woman singing and doing her best to get into a coat, here you go You can follow Adapt or Perish on Twitter, Instagram, and Facebook, and you can find us and all of our show notes online at adaptorperishcast.com. We're also on Patreon! You can find us at patreon.com/adaptcast. We have multiple reward levels, which include access to a patron-only community and a patron-only, biweekly bonus show! We hope to see you there. If you want to send us a question or comment, you can always email us at adaptorperishcast@gmail.com.
ll titolo della diciottesima puntata della quarta stagione di J-TACTICS, trae spunto da"Quelle strane occasioni" che è un film a episodi del 1976 diretto dai registi Luigi Comencini, Nanni Loy e Luigi Magni. Interpretato da Alberto Sordi, Stefania Sandrelli, Paolo Villaggio e Nino Manfredi. Nel primo episodio l'esibizione della sua virilità in un "pornonight" di Amsterdam, consente ad un italiano emigrato di assaporare finalmente un po' d'agiatezza economica. Quando sua moglie però, pretende di essere la sua partner, l'uomo si blocca.Sarà allora lei a farsi amare ogni sera da un turco, e suo marito dovrà, per di più, reclamizzarne le prestazioni.Nel secondo episodio, mentre sua moglie e la figlia sono fuori città, l'architetto Antonio, assertore del fatto che la propria figlia debba arrivare illibata al matrimonio, cede alle grazie della giovanissima figlia del suo caro amico svedese.Scoprirà, dalla bocca della giovane che sua moglie è stata per tre mesi l'amante dell'amico.Una telefonata inoltre, gli rivelerà che sua figlia, da due anni, dorme spesso con il fidanzato.Infine nel terzo episodio, una giovane ragazza resta bloccata in ascensore con un maturo monsignore mentre il ferragosto ha svuotato il palazzo.Poiché va via la luce, il prelato ne approfitta, per poi spiegare alla ragazza, con una ipocrita dissertazione sul libero arbitrio, che nulla è accaduto di cui possano sentirsi colpevoli.Facendo la nostra solita trasposizione dalla cinematografia al mondo del calcio, ed in modo particolare alle vicende juventine, potremo utilizzare il titolo e le vicende narrate nella pellicola per analizzare la scoppiettante sfida andata in scena al Gewiss Stadium domenica sera in quel di Bergamo tra i padroni di casa orobici e i bianconeri della Juventus.Sfida fondamentale tra due compagini impegnate in una serrata lotta per agguantare l'ultimo posto utile per la qualificazione alla prossima Champions League.Una sfida fatta proprio di "strane occasioni", così come quelle narrate nella pellicola da cui trae spunto l'odierna puntata di J-TACTICS. Sono proprio occasioni strane quelle che sbloccano un match poco tattico e molto combattuto.Finito in parità, pur non essendo stata una gara come altre giocate dai bianconeri negli ultimi tempi.Atalanta-Juventus ha regalato emozioni, spettacolo e gol dal primo all'ultimo minuto.I gol sono arrivati solamente nella ripresa con una gran punizione di Malinovskyi e un colpo di testa spettacolare di Danilo, ma il match è rimasto acceso per tutti i 90 minuti.Merito di due squadre che hanno provato prima di tutto a superarsi cercando di conquistare l'intero bottino, finendo poi per dividersi la posta in palio con la Juve che ha difeso il quarto posto in classifica, per ora.L'Atalanta non parte benissimo nella sfida contro la Juve che mette immediatamente pressione agli uomini di Gasperini, in difficoltà nei primi minuti del match.Una aggressività che i bianconeri cercano di sfruttare attraverso lo spregiudicato tridente: Morata-Valhovic-Dybala.Tre occasioni nel primo quarto d'ora, non a caso, due con Vlahovic e una con Dybala, la più clamorosa, perché la Joya libera il suo sinistro da buona posizione con la palla che sfiora l'incrocio dei pali.Dopo l'iniziale ed intensa sfuriata juventina i padroni di casa si destano da un apparente torpore.Ed ecco riproporsi le strane occasioni, oggetto di forti polemiche durante e dopo il match.L'episodio più contestato sullo 0-0 riguarda una uscita fuori area di Szczesny nei confronti di Koopmeiners lanciato a rete, con la palla che finisce a Muriel il quale fallisce un gol praticamente fatto a porta vuota.Per l'arbitro Mariani non c'è alcun fallo, malgrado le veementi proteste atalantine che si protrarranno anche nel dopo partita con le dichiarazioni del D.G Marino che risultano essere un concentrato di ipocrisia e falso perbenismo, elementi caratterizzanti le vicende dei tre episodi narrati nel film di Loy, Magni e Comencini.L'impressione, riguardando al rallenty, è che non ci siano gli estremi per l'espulsione del portiere polacco, perché l'atalantino manda la palla verso l'esterno e ci sono due o tre difensori che quindi non consentono il configurarsi della cd. "chiara occasione".Altra strana occasione che avrebbe potuto indirizzare l'inerzia della partita in favore dei bianconeri, stranamente però passata abbastanza sotto silenzio.Il giocatore atalantino Hateboer entra con il piede a martello su De Sciglio davanti alle panchine: l'intervento è molto brutto e scomposto, Mariani salomonicamente decide di graziare Hateboer, forse condizionato dell'episodio di qualche minuto prima, per la quale c'erano state molte proteste della squadra di Gasperini.Strane occasioni, ma se vanno a danno della Juventus, non destano clamore, ovviamente.La ripresa inizia con i ritmi meno frenetici, per la fatica e per un'ovvia gestione di energie.Il primo acuto è di De Roon con Szczesny bravo ad evitare il gol, risponde Vlahovic che scarica in porta trovando ancora una volta Sportiello attento.L'equilibrio tattico di Gasperini e Allegri è spezzato dai primi cambi: a cambiare per prima è l'Atalanta con l'ingresso di Malinovskiy e Mahele che danno più vivacità alla manovra.Proprio l'ucraino crea l'occasione propizia per rompere il delicato equilibrio tra le due squadre.Con il risultato sperato, punizione a solo 15 minuti dal suo inserimento, arriva il gol che spacca il match, da quasi 25 metri, con un tiro pazzesco, teso e preciso sotto l'incrocio lontano per Szczesny. La Juve inizialmente sbanda ed accusa il colpo, ma Allegri capisce che in quel momento può cambiare la stagione, in male o in bene, è l'occasione giusta.La Juve cambia, con Cuadrado per spingere in avanti, al posto di Bonucci, e di Kean che sostituisce McKennie.Una Juventus a totale trazione anteriore, con 4 punte in avanti e due ali pure che schiaccia l'Atalanta nella propria metà campo.I bianconeri su riversano in avanti nel tentativo o di pareggiare, la Dea prova quindi a punire nuovamente gli uomini di Allegri nel modo che le è più naturale con ripartenze a campo aperto, che portano ad una clamorosa traversa colpita da Hateober su ennesima serpentina di un indemoniato Malinovskyi.Alla fine però ha la meglio la voglia della Juventus di non perdere la gara: sull'ultimo corner, sull'ultimo cross, all'ultimo secondo arriva il pareggio.Danilo incoccia di testa in piena area, per Sportiello non c'è nulla da fare e la posta viene divisa, un punto a testa.Quelle strane occasioni, che solo chi non vuole soccombere può creare, così come fatto da una spavalda (finalmente) Juve a Bergamo. Occasioni che i bianconeri dovranno creare e possibilmente sfruttare meglio nelle prossime sfide, il derby con il Toro in campionato e la sfida con gli spagnoli del Villarreal negli ottavi di Champions League.Diteci la vostra, interagiremo con voi in chat live! Ecco i link dei nostri social:CANALE TELEGRAM:https://t.me/joinchat/AAAAAE2Dp-yj5b1N4SNcMQINSTAGRAM:https://instagram.com/jtactics_?igshid=1fg7nrkzhl2mtFACEBOOK:http://m.facebook.com/jtacticsmdn/
Doux auditeur, faisons une virée à deux, tous les deux sur les chemins, dans la BOlinetta che è indietroooooo !! Et oui vous l'avez bien compris (à moins que vous n'ayez rien compris à mon italien aproximatif, ce qui se comprend), aujourd'hui partons voir la vie en bleu en Italie avec la BO de L'incompris (Incompresso), de Luigi Comencini, composée par Fiorenzo Carpi en 1967. Notre chef généreux en bisous (
Pour cette troisième saison, le Goût de M vous emmène à la découverte d'une nouvelle personnalité chaque vendredi. Un rendez-vous à retrouver gratuitement sur www.lemonde.fr et sur toutes les plateformes.----Paris, 5e. Un appartement situé au troisième étage. Valeria Bruni-Tedeschi nous reçoit chez elle, un espace qu'elle juge « silencieux, vaste et serein ». L'actrice à l'affiche de La Fracture, le nouveau film de Catherine Corsini, et de la série d'Arte H24, vingt-quatre heures dans la vie d'une femme évoque pour nous comment se sont formés ses goûts.Dans notre podcast, elle aborde le parfum de l'herbe coupé, la passion de sa famille pour l'art, ses lectures de Leopardi, Goethe ou Raphaël Haroche, L'Incompris de Luigi Comencini, le théâtre, Patrice Chéreau, ses rôles de folles bourgeoises et ceux de « Baby Doll », Gena Rowlands, son clown intérieur, le politiquement incorrect, Woody Allen, la gaiété et le confort de sa garde-robe, le baiser comme thermomètre de l'amour et l'essai de Thich Nhat Hanh, Prendre soin de l'enfant intérieur, selon elle, « plus fort » qu'un anxiolytique.Valeria Bruni-Tedeschi y révèle notamment qu'elle a déjà été quittée parce qu'on la trouvait mal habillée et son attachement profond à la détente et au politiquement incorrect : « Le rire, c'est l'oxygène pour moi. Quand il n'y a pas le rire, ça m'étouffe un peu. »Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Oggi parliamo del libro "Le avventure di Pinocchio", scritto da Carlo Collodi nel 1883.La prima versione viene pubblicata tra il 1881 e il 1882 in un giornale per bambini, mentre la seconda versione (quella definitiva) esce nel 1883. Il libro è un classico della letteratura italiana e della letteratura per bambini. Racconta la storia di un pezzo di legno che vuole diventare un bambino.Contenuti ⏱️ 00:30 Parima parola: burattino (nome)⏱️ 01:26 Seconda parola: protagonista (nome)⏱️ 01:56 Terza parola: morale (nome)⏱️ 02:56 La nascita di Pinocchio⏱️ 06:03 La prima versione⏱️ 08:40 La seconda versione⏱️ 11:04 Pinocchio è una fiaba?⏱️ 13:03 Pinocchio al cinema⏱️ 15:05 Leggere Pinocchio per imparare l'italiano?⏱️ 15:40 Le tre parole in contestoAudio
Quando Teresa è nata, nessun fiocco rosa, nessun "benvenuta alla principessa di casa", la sua è una nascita segnata dall'ingiustizia: sono in due. Gemelli. Maschio e femmina. E oggi, se deve trovare qualcosa a sua discolpa, una spiegazione a tutto quello che racconterà in Invidia - vite che dovevano essere la mia, forse è questa: far sapere al mondo che era unica.E gli altri, soprattutto certi altri, diventano oggetto di un'invidia morbosa, in una continua mescolanza di elementi autobiografici e di finzione. Puntata dopo puntata, Teresa incontra Eleonora Cecere, Viola Naj-Oleari, Andrea Balestri, Paola Iezzi, Anna Cherubini e Cristina D'Avena. Sono loro - consapevoli o meno - ad aver ostacolato la realizzazione della sua unicità, sono loro ad essersi presi i riflettori che spettavano a lei.Il bambino Pinocchio - Andrea BalestriTutti i riflettori che Teresa voleva per sé da bambina, erano invece puntati su Andrea Balestri, il bambino prodigio che, con Le avventure di Pinocchio di Luigi Comencini, è entrato nell'immaginario italiano dell'epoca.Ancora oggi Andrea, che ha 56 anni, dice "nasco Pinocchio, e morirò Pinocchio. Il problema è che, quando si diventa un burattino, anche se di carne e ossa, è difficile tagliare i fili con chi ti ha guidato".L'ammirazione/gelosia per un bambino prodigio si trasformerà in tenerezza per un adulto che trova nel passato la consolazione di un presente diverso da come se l'era immaginato.Ascolta la serie completa di "Invidia" su Audible.
Nella mattinata di martedì 3 agosto, ai microfoni di Laura Basile sono intervenuti il nostro Marco Vignoletti e Luca Cavadini, direttore artistico del Film Food Festival, che torna a Bergamo - per l'ottavo anno consecutivo - dal 25 al 29 agosto, in piazza Mascaroni. «Si tratta di fare incontrare due cose bellissime: il cinema e il cibo», esordisce il direttore del festival. «Noi raccogliamo suggestioni da tutto il mondo. Ci arrivano almeno 700 pellicole all'anno da circa 80 nazioni». Il tema di quest'anno sarà Pane, Amore e Fantasia, dal titolo del glorioso film di Luigi Comencini. Il concorso si articolerà, infine, in tre sezioni: documentario, movie e animazione.
Sur le Billard cette semaineRetour sur quelques films actuellement à l'affiche dont l'atroce Un Homme en colère de ce gros nul de Guy Ritchie, remake de l'excellent Le Convoyeur de Nicolas Boukhrief, ce qui nous permet de causer de la problématique/arlésienne du genre dans le cinéma français via La Nuée de Just Philippot et Médecin de nuit de Eli Wajeman.Surtout on s'attarde sur une belle sortie vidéo Carlotta, le bouleversant L'incompris de Luigi Comencini.
Sur le Billard cette semaine Retour sur quelques films actuellement à l'affiche dont l'atroce Un Homme en colère de ce gros nul de Guy Ritchie, remake de l'excellent Le Convoyeur de Nicolas Boukhrief, ce qui nous permet de causer de la problématique/arlésienne du genre dans le cinéma français via La Nuée de Just Philippot et Médecin de nuit de Eli Wajeman. Surtout on s'attarde sur une belle sortie vidéo Carlotta, le bouleversant L'incompris de Luigi Comencini.
durée : 00:44:28 - Remède à la mélancolie - par : Eva Bester - "L'incompris" de Luigi Comencini, Marcel Proust et Maurice Sendat, Roland Barthes, le prix unique du livre, Michel Portal et Rachid Taha, Jean Siméon Chardin et prendre le train... Retrouvez tous les remèdes de notre invitée ! - invités : Sophie Van der Linden - Sophie Van der Linden : Auteur, critique en littérature pour la jeunesse - réalisé par : Eliane GIRARD, Frédéric Milano
Le cinéma, c’est l’art du mouvement. Nul doute que le sport y ait une place toute particulière. Et malgré les innombrables retransmissions sportives, c’est un objet cinématographique toujours aussi prisé. Pourquoi il y a de plus en plus de films de sport ? Qu’est-ce qu’ils ont à apprendre aux sportif.ve.s et à tous.tes les autres ? Quel est le film de sport typique ?Anne-Cécile Genre invite Julien Camy, historien du sport et du cinéma et auteur de « Sport et cinéma » avec Gérard Camy, et Xavier Cerrati, enseignant à la faculté des sciences du sport de Marseille. Ensemble, iels interrogent la place du sport dans le cinéma, et ses effets. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION« La nuit américaine » (François Truffaut, 1973), « La couleur de la victoire » (Stephen Hopkins, 2016), « Invictus » (Clint Eastwood, 2009), « La petite reine » (Alexis Durand Brault, 2014), « Rocky » (John G. Avildsen, 1977), « Million Dollar Baby » (Clint Eastwood, 2005), « On the edge » (Rob Nilsson, en 1986), « Rasta Rocket » (Jon Turteltaub, 1994), « Dodgeball » (Rawson Marshall Thurber, 2004), « Gallipoli » (Peter Weire, 1981), « A nous la victoire » (John Huston, 1981), « L’enfer du dimanche » (Oliver Stone, 1999), « Le Champion » (Franco Zefirelli, 1979), « The Corbett-Fitzsimmons Fight » (Enoch Rector, 1897).RECOMMANDATIONS « Without Limits » de Robert Towne sur le coureur Prefontaine et sa relation avec son entraîneur, Bill Bowerman, le fondateur de Nike.« Looking for Eric » de Ken Loach, avec Cantona, sur le pouvoir quasi mythologique du foot.« Les Dieux du Stade » de Leni Riefenstal, tourné pendant les jeux de 1936 à Berlin.« Les chronophotographies » de Georges Demenÿ, qui décomposent le mouvement des sportifs et a aidé les frères Lumière dans leur mise au point du cinématographe.« Les Chariots de Feu » de Hugh Hudson, pour ses scènes de course, 4 oscars en 1982.« When We Were Kings » documentaire de Leon Gast, sur le combat de Mohammed Ali contre George Foreman à Kinshasa en 1974, oscar du meilleur documentaire en 1997.« Foxcatcher de Bennett Miller » prix de la mise en scène à Cannes en 2014, pour un scénario qui sort des stéréotypes de genre, et le personnage de coach-milliardaire tordu de Steve Carrell qui interprète John duPont.« Un Enfant de Calabre » de Luigi Comencini en 1987, à qui Julien Camy s'identifiait quand il était petit.DANS LE GENRE UN PEU PLUS EPROUVANT« Le Traitre » de Marco Bellochio.« Angoisse » de Bigas Luna.« Funny Games » de Michael Haneke.« Uncut Gems » des frères Safdie.CRÉDITSDu Sport est un podcast de Binge Audio et du Snep-FSU, animé par Anne-Cécile Genre. Production : Joël Ronez. Rédaction en chef : David Carzon. Réalisation : Adel Ittel El Madani. Chargée de production : Albane Fily. Chargé d’édition : Dimitri Mayeur. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Musique originale : Théo Boulenger. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
René de Ceccatty en dialogue avec Elisabetta Rasy dans le cadre du Festival Italiques le 22 octobre 2018. Essayiste, dramaturge et romancier, René de Ceccatty est né en 1952 à Tunis. Il a publié l'essentiel de son oeuvre romanesque aux Éditions Gallimard, dont Aimer (collection blanche, 1996, Folio n° 3061), Consolation provisoire (collection blanche, 1998), L'éloignement (collection blanche, 2000),. ainsi qu'une pièce de théâtre, Le mot amour (collection blanche, 2005) et une biographie, Pier Paolo Pasolini (Folio biographies n° 6).René de Ceccatty est un des plus grands spécialistes de l'oeuvre littéraire et cinématographique de Pasolini. Il a réuni une anthologie de textes majeurs du cinéaste et poète sur la figure du Christ. Tous les textes reproduits le sont dans une nouvelle traduction. C'est une occasion unique de découvrir le rapport complexe et fasciné de Pasolini avec la figure de Jésus et la religion catholique, son message évangélique. On peut parler « d'identification au Christ », à sa révolte, à son sacrifice et au scandale que reconnaît être Jésus dans les évangiles. L'anthologie propose de nombreux textes, parfois inédits en français, poèmes, lettres, récits... Et notamment les textes les plus importants de Pasolini sur son film « L'évangile selon saint Matthieu ».Magicienne des lettres italiennes, Elsa Morante (1912-1985) est considérée dans son pays comme la plus grande romancière du XXe siècle. Quel a été le mystérieux chemin suivi par cette enfant, née dans un quartier populaire de Rome et marquée par un secret de naissance, pour devenir un écrivain prodige ? Mariée au plus célèbre écrivain italien, elle détestait qu'on la présente comme la femme d'Alberto Moravia. Avec quatre romans - dont L'Île d'Arturo, prix Strega, le Goncourt italien, en 1957, et La Storia, adaptée au cinéma par Luigi Comencini avec Claudia Cardinale -, elle devient de son vivant une icône de la littérature libre, imaginative, intransigeante. Les plus grands artistes de son temps - Pier Paolo Pasolini, Luchino Visconti, Leonor Fini, Anna Magnani - l'admirent sans réserve. Figure de l'intelligentsia de l'Italie de l'après-guerre jusqu'aux années 1980, invitée dans le monde entier, elle s'isole pourtant peu à peu, tombe malade, tente de se suicider et meurt le 25 novembre 1985. Grâce à des archives inédites et aux témoignages de proches - amis, parents, poètes, acteurs, militants de l'extrême gauche italienne -, René de Ceccatty nous donne à lire la première biographie en français d'Elsa Morante, dessinant le magnifique portrait d'un écrivain qui ne voyait la réalité que dans la littérature.
Perdu et jaloux après l’arrivée d’un nouveau membre dans la famille, Kun se replie peu à peu sur lui-même. Pour fuir l’agitation familiale, le petit garçon se réfugie au fond du jardin où un arbre généalo-ma-gique le propulse dans un monde fantastique. Tour à tour, il rencontre les incarnations passées et futures de sa famille. Avec Miraï, ma petite sœur, Mamoru Hosoda retranscrit avec justesse les émotions d’un enfant chamboulé par l’arrivée de sa cadette S’inspirant de sa propre expérience de père et de mari, le cinéaste raconte la famille sur plusieurs générations et comment les histoires se répètent. Du réel au fantastique, du passé au futur, le jeune héros vagabonde sans perdre le spectateur. Un conte moderne et bouleversant. Animé par Thomas Rozec avec Arnaud Bordas, David Honnorat, Rafik Djoumi et Julien Dupuy.LES RECOMMANDATIONS LA RECO D’ARNAUD : Mind Game, un film réalisé par Masaaki Yuasa, une histoire de gangsters qui va dans toutes les sens, une tornade créative. LA RECO DE DAVID : Il est encore en salles c’est Une affaire de famille d’Hirokazu Kore-eda. Deuxième reco, c’est un autre film du réalisateur, Nobody Knows qui dépeint le monde à hauteur d’enfant.LA RECO DE JULIEN : Oz, un monde extraordinaire de Walter Murch, un Disney des années 1980. Un des rares films d’horreur « pour » enfants. Il y a des scènes proprement terrifiantes. LA RECO DE RAFIK : Un énorme succès à sa sortie, L’incompris de Luigi Comencini. Un film sur le destin malheureux d’un jeune garçon qui doit s’occuper de son frère après la mort de leur mère. Un long-métrage qui fait pleurer à chaudes larmes. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONMamoru Hosoda, Les enfants loups, Ame & Yuki (Mamoru Hosoda, 2012), Le garçon et la bête (Mamoru Hosoda, 2015), Hayao Miyazaki, Le vent se lève (Hayao Miyazaki, 2013), Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki, 2001), Yasujirō OzuCRÉDITSEnregistré le 10 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Krot. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Bellezza e bizzarria - il cinema insolito secondo Goffredo Fofi
Goffredo Fofi racconta "Lo scopone scientifico" (1972) di Luigi Comencini, scritto da Rodolfo Sonego, una sorta di fiaba, ambientata nelle baracche delle periferie romane, in cui i baraccati si confrontano con il capitale americano. Una partita a carte...
À propos du livre : " Le chagrin d'aimer " paru aux Éditions Grasset « On écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas. Quand j’écrivais Vie de ma voisine, mon héroïne me parlait de sa mère. Elle me racontait ses mots, elle évoquait ses gestes. L’amour d’une mère. Je mesurais mon ignorance dans ce domaine. Ma mère n'en savait ni les mots ni les gestes. Je suis donc partie sur les traces d'une petite fille grecque et arménienne et de sa mère, danseuse orientale et apatride, à Paris dans les années 20. Ma mère ne voulait rien savoir de son passé. Il a fallu que j’enquête et que je l’invente. Que je trouve les mots pour la retrouver. C’est ce livre, Le chagrin d’aimer. Je suis passée par la cour du roi de Grèce et par les collines de Fiesole. Par un atelier d’écriture, une maison de retraite, plusieurs voitures, un supermarché, des quantités de paquets de gauloises, une machine à écrire. Autant de circonstances, par-delà les guerres, les destructions, les irrémédiables pertes, où ma mère se battait avec ce qui fait la vie ordinaire : la nourriture, l’argent, le travail, l’amour. J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur elle, sur moi. Chemin faisant, j’ai compris que ce n’était qu’un début. » À propos du livre : " Elsa Morante " paru aux Éditions Tallandier Magicienne des lettres italiennes, Elsa Morante (1912-1985) est considérée dans son pays comme la plus grande romancière du XXe siècle. Quel a été le mystérieux chemin suivi par cette enfant, née dans un quartier populaire de Rome et marquée par un secret de naissance, pour devenir un écrivain prodige ? Mariée au plus célèbre écrivain italien, elle détestait qu’on la présente comme la femme d’Alberto Moravia. Avec quatre romans – dont L’Île d’Arturo, prix Strega, le Goncourt italien, en 1957, et La Storia, adaptée au cinéma par Luigi Comencini avec Claudia Cardinale –, elle devient de son vivant une icône de la littérature libre, imaginative, intransigeante. Les plus grands artistes de son temps – Pier Paolo Pasolini, Luchino Visconti, Leonor Fini, Anna Magnani – l’admirent sans réserve. Figure de l’intelligentsia de l’Italie de l’après-guerre jusqu’aux années 1980, invitée dans le monde entier, elle s’isole pourtant peu à peu, tombe malade, tente de se suicider et meurt le 25 novembre 1985. Grâce à des archives inédites et aux témoignages de proches – amis, parents, poètes, acteurs, militants de l’extrême gauche italienne –, René de Ceccatty nous donne à lire la première biographie en français d’Elsa Morante, dessinant le magnifique portrait d’un écrivain qui ne voyait la réalité que dans la littérature.
À propos du livre : " Elsa Morante " Paru aux éditions Tallandier Magicienne des lettres italiennes, Elsa Morante (1912-1985) est considérée dans son pays comme la plus grande romancière du XXe siècle. Quel a été le mystérieux chemin suivi par cette enfant, née dans un quartier populaire de Rome et marquée par un secret de naissance, pour devenir un écrivain prodige ? Mariée au plus célèbre écrivain italien, elle détestait qu'on la présente comme la femme d'Alberto Moravia. Avec quatre romans – dont L'Île d'Arturo, prix Strega, le Goncourt italien, en 1957, et La Storia, adaptée au cinéma par Luigi Comencini avec Claudia Cardinale –, elle devient de son vivant une icône de la littérature libre, imaginative, intransigeante. Les plus grands artistes de son temps – Pier Paolo Pasolini, Luchino Visconti, Leonor Fini, Anna Magnani – l'admirent sans réserve. Figure de l'intelligentsia de l'Italie de l'après-guerre jusqu'aux années 1980, invitée dans le monde entier, elle s'isole pourtant peu à peu, tombe malade, tente de se suicider et meurt le 25 novembre 1985. Grâce à des archives inédites et aux témoignages de proches – amis, parents, poètes, acteurs, militants de l'extrême gauche italienne –, René de Ceccatty nous donne à lire la première biographie en français d'Elsa Morante, dessinant le magnifique portrait d'un écrivain qui ne voyait la réalité que dans la littérature.
LUIGI COMENCINI raccontato da Anton Giulio Mancino
di Luigi Comencini
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CASANOVA-CINÉMA. La grande oeuvre du vénitien, la mise en scène de sa propre vie, a inspiré plus d'une version cinéma. Trois oeuvres sortent considérablement du lot, tant et si bien qu'elles se suivent, se répondent et se complètent pour former un seul et unique canevas couvrant la vie complète de l'homme: CASANOVA, UN ADOLESCENT À VENISE de Luigi Comencini, le CASANOVA de Fellini et HISTOIRE DE MA MORT d'Albert Serra. Portrait d'un homme qui attendait la venue du cinéma pour devenir un mythe.
CASANOVA-CINÉMA. La grande oeuvre du vénitien, la mise en scène de sa propre vie, a inspiré plus d'une version cinéma. Trois oeuvres sortent considérablement du lot, tant et si bien qu'elles se suivent, se répondent et se complètent pour former un seul et unique canevas couvrant la vie complète de l'homme: CASANOVA, UN ADOLESCENT À VENISE de Luigi Comencini, le CASANOVA de Fellini et HISTOIRE DE MA MORT d’Albert Serra. Portrait d'un homme qui attendait la venue du cinéma pour devenir un mythe.
CARLO CASSOLA raccontato da Massimo Raffaeli.Il 23 ottobre 1961 la casa editrice Einaudi pubblica Un cuore arido di Carlo Cassola con Massimo Raffaeli - spezzoni dal film "La ragazza di Bube" di Luigi Comencini (1961) - un brano dell'adattamento radiofonico di "Fausto e Anna" (Compagnia di prosa di Firenze, 1977) - Brani dalla colonna sonora del film "La ragazza di Bube" di Rustichelli (in particolare "Addio Bube") - Settimana Incom / Volterra: Comencini cerca "la ragazza di Bube" (Istituto Luce) - poche strafe della canzone "Per i morti di Reggio Emilia" di Fausto Amodei (Cantacronache 4 - 1960) - la voce di Manlio Cancogni da "I migliori libri della nostra vita: La ragazza di Bube" trasmissione di Pier Francesco Listri (Radiodue 1990) - una risposta di Cassola a Beniamino Placido (28 dicembre 1978 - Trasmissione Sedici e trentacinque) - Estratti da "La grande radio" del 4 marzo 2007
Sergio Leone impara il cinema - Altri maestri: Mario Camerini, Luigi Comencini, Mario Soldati - La grande avventura di 'Ben Hur'