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REDIFF - Après 11 ans de relation, Jimmy a découvert que sa compagne échangeait avec un autre homme. Sous le coup de la colère il lui a demandé de quitter la maison. Mais depuis, elle ne répond plus à ses appels. Sexualité, infidélités, coups de foudre, difficultés dans le couple... Au micro de Caroline Dublanche, les auditeurs confient leur vie amoureuse. RTL vous propose désormais de redécouvrir, tous les matins, un cas marquant ! Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'offensive terroriste s'est intensifiée ces dernières semaines au Mali. Le 23 mai : attaque du camp militaire de Dioura. Bilan 41 soldats tués. Il y a deux jours à Boulkessi, dans le centre du pays, un autre camp militaire a été la cible d'une attaque terroriste. Selon un communiqué de l'état-major des armées, cité par le site Bamada, « les FAMa, les Forces armées maliennes ont vigoureusement réagi à cette attaque avant de se replier ».Et puis hier matin à Tombouctou, poursuit Bamada, « les forces armées maliennes ont déjoué une tentative d'infiltration des combattants terroristes. L'État-major précise que les terroristes ont été vite mis en déroute par la promptitude des soldats maliens. Le bilan provisoire est de treize assaillants neutralisés, de l'armement, mais aussi des moyens roulants et effets divers récupérés. La situation est sous contrôle et le ratissage est en cours dans toute la ville, rassure la hiérarchie militaire ».Un État « en pleine reconstruction »Alors, « Dioura, Boulkessi, Tombouctou : l'armée malienne sur tous les fronts », s'exclame Sahel Tribune, autre site d'information. « La récente offensive terroriste, loin d'annoncer la défaite, révèle au contraire la dure réalité d'un État en pleine reconstruction, claironne Sahel Tribune. Les FAMa, attaquées sur plusieurs fronts, opposent désormais une riposte mieux structurée, avec l'appui de partenaires stratégiques non-alignés. Dans ce contexte de tumulte, la Transition conduite par le président Assimi Goïta n'entend céder ni un pouce de souveraineté ni un millimètre de terrain. (…) Certes, reconnait Sahel Tribune, des lacunes persistent : retards de renforts, faiblesses de communication tactique, dépendance aux appuis aériens. Mais ces défis sont désormais intégrés dans un programme de réforme militaire globale. (…) Oui, des violations ont été signalées, reconnait encore le site malien. Oui, des bavures sont à documenter. Mais ne nous y trompons pas : le Mali ne mène pas une guerre sale, il mène une guerre juste dans un environnement tordu. Là où les FAMa interviennent, c'est souvent pour libérer des localités entières d'un joug terroriste qui pille, viole, tue et impose sa loi moyenâgeuse ».Le site Mali Actu le reconnait également,« malgré les succès des FAMa, la situation sécuritaire est préoccupante. Un grand nombre d'attaques ciblent les forces armées dans le nord et le centre du Mali. La mobilisation des troupes et le soutien de la population locale sont essentiels pour maintenir la sécurité. (…) La persistance de ces efforts sera essentielle pour instaurer la paix et la stabilité à long terme au Mali ».Insécurité croissante…Voilà pour les médias maliens qui s'appuient sur les communiqués de l'armée et sur la parole officielle. Autre point de vue, celui du site Afrik.com qui décrit une situation beaucoup plus sombre : « au Mali, le groupe djihadiste JNIM, affilié à Al-Qaïda, a intensifié ses attaques contre l'armée et les civils. À Boulkessi et Dioura, des casernes ont été prises, causant des dizaines de morts. Le groupe impose aussi des blocus meurtriers à Diafarabé et Nouh Bozo, provoquant famine et détresse humanitaire. L'armée malienne, jugée lente et désorganisée, peine à réagir, affirme encore Afrik.com. La population, abandonnée, subit de plein fouet l'insécurité croissante et la violence des groupes armés ».Un sommet extraordinaire ?Ledjely en Guinée, fait remarquer que le Niger et le Burkina Faso ont aussi subi récemment des attaques terroristes meurtrières. Et pour ce qui est du Mali : « que les autorités militaires aient réussi ou non à déjouer les assauts contre le camp militaire et l'aéroport de Tombouctou n'est pas l'essentiel. Le véritable problème, c'est que des assaillants aient eu l'audace de lancer de telles offensives. C'est le symptôme d'une menace qui demeure ».Au Mali, mais aussi au Niger et au Burkina, donc,« les pertes humaines, civiles et militaires, se comptent par dizaines chaque semaine. Et après chaque drame, on assiste à un jeu puéril de communiqués entre autorités et groupes armés, chaque camp s'acharnant à revendiquer la victoire ».Et Ledjely d'appeler à la tenue d'un sommet extraordinaire afin de mieux lutter contre le djihadisme dans la bande sahélienne. « Pendant que le Mali, le Burkina Faso et le Niger se démènent comme ils peuvent, le reste du continent semble se croiser les bras, voire détourner le regard. Pourtant, ce danger-là est à la porte de chacun de nous ».
SITES INTERNET : https://amif.asso.fr/ https://www.carrieres-sous-poissy.fr/
Nous sommes le 5 frimaire an 13 (24 novembre 1804). À Namur, chef-lieu du département de Sambre-et-Meuse. Mathieu de Nantes écrit : « Nous, commissaire de police de la ville de Namur, rapportons que faisant ce jour, vers les onze heures du matin, notre tournée d'inspection et passant sur la Grande place, nous aurions surpris la nommée Chevance, dite femme revendeuse, qui avait étalé des raies sur la table au-devant de la maison du nommé La Rose, cabaretier demeurant dite Grand place, et ce en contravention des lois et règlements de police concernant l'étalage du poisson de mer. Et lui avons déclaré qu'elle serait appelée au tribunal de police pour voir statuer à son égard ce qu'en justice appartiendra. Cette femme est venue le 9 frimaire présent en notre bureau déclarer qu'elle payerait l'amende et consentait à comparaître volontairement au tribunal ». La vie d'un commissaire de police à Namur, sous Napoléon, c'est ce que nous allons découvrir, aujourd'hui. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:41 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
Obtenez 15% de rabais et la livraison gratuite avec le code WARD15 sur https://ca.manscaped.com/frPour cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Mario Tessier et Patrice L'Écuyer pour parler du Bye Bye et du Caporal Cloutier.---------Pour vous procurer la Ward Vodka - http://wardvodka.ca/Pour vous procurer des billets du spectacle Modeste ou du Modest festival - https://mikeward.ca/fr--------Patreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk Obtenez 15% de rabais et la livraison gratuite avec le code WARD15 sur https://ca.manscaped.com/fr ★ Support this podcast on Patreon ★
durée : 00:03:41 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
durée : 00:12:11 - Sous le soleil de Satan : L'affaire Catherine Camau - Le 3 juin 1820, Jean Latreyte, un agriculteur du village d'Aurions, disparaît subitement. Catherine, son épouse, jure tout ignorer de ce qu'il est devenu.
Quasiment deux mois, jour pour jour après la destitution de Yoon Suk-Yeol, président qui a tenté ; en vain d'imposer la loi martiale, les Sud-Coréens sont appelés aux urnes pour désigner son successeur dans un scrutin à un tour, ce mardi 3 juin 2025. Dans un contexte de crise politique inédite, la bataille se joue entre deux principaux candidats : le conservateur Kim Moon-Soo et le démocrate Lee Jae-Myung. Alors quelle sera l'issue de cette présidentielle aux enjeux multiples ? Un candidat pourra-t-il sortir le pays de l'impasse ? On en parle avec nos invitées :- Marie-Orange Rivé-Lasan, maitresse de conférence à l'Université Paris Cité, membre du Laboratoire Chine Corée Japon CNRS-EHESS- Marianne Peron-Doise, chercheure sur l'Asie à l'IRIS.
"Happy Monday" d'Amélie de Bosredon : - "BEYAH", le nouvel et ultime album de Damso - Un nouveau single pour Richard Ashcroft qui assurera les premières parties d'Oasis - Kokoroko plonge dans la néo-soul avec "Closer to Me", extrait de leur nouvel album à paraître - "CPR", le nouveau single des Anglaises loufoques de Wet Leg Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:41 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
Prix Écrans canadiens : la productrice Denise Robert reçoit deux prix! Entrevue avec Denise Robert, productrice. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE RECUL DES ACCORDS DE PARISAprès avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), et promis que son second quinquennat « sera écologique ou ne sera pas », Emmanuel Macron s'est montré de moins en moins ambitieux au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. En 2019, sur recours du collectif d'associations « L'affaire du siècle », la responsabilité de l'État a été engagée par le juge administratif pour n'avoir pas respecté sa propre trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Déjà marginalisée depuis l'irruption de la guerre en Ukraine ou à Gaza, la cause climatique se retrouve foulée aux pieds dans le nouveau chaos géopolitique créé par l'administration Trump. En France, depuis le début de l'année, les reculs se multiplient, dans une ambiance d'attaques répétées de la droite et de l'extrême droite contre les opérateurs de l'État comme l'Office français de la biodiversité ou l'Agence de la transition écologique. Adopté au Sénat en janvier, un texte vise la réautorisation par dérogation de certains insecticides néonicotinoïdes et restreint l'indépendance de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), des reculs jugés considérables par les défenseurs de l'environnement.Or, il y a dix ans, dans le cadre des accords de Paris de 2015, la France s'est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050 et, pour y parvenir, s'est dotée d'une feuille de route de réduction des émissions par secteur, la Stratégie nationale bas carbone, dont la troisième version doit être officiellement publiée dans les prochains mois. L'objectif : réduire nos émissions brutes de 50 % entre 1990 et 2030, en accord avec l'objectif européen. Alors que la France doit réduire ses émissions de 4,7 % par an en moyenne entre 2022 et 2030, ces dernières n'ont diminué que de 1,8 % en 2024 par rapport à 2023 selon lebaromètre Citepa chargé de l'inventaire des émissions de la France. Le compte n'y est donc pas.Selon une enquête de 2022 de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), environ 43 % des Français ont une opinion sur le climat qui s'écarte significativement du consensus scientifique. Une proportion qui excède – parfois de plus de 20 points – ce qui est observé dans la douzaine des autres pays à hauts revenus inclus dans l'étude de l'OCDE.LA POLITIQUE DE NETANYAHOU ET L'ISOLEMENT D'ISRAËLDurant la tournée de Donald Trump dans le Golfe mi-mai, le premier ministre israélien a paru isolé et pris de court par les décisions du président américain de lancer des pourparlers avec l'Iran sur le nucléaire, de négocier directement avec le Hamas la libération d'otages israélo-américains, de conclure un cessez-le-feu avec les Houthis yéménites et de lever les sanctions américaines sur la Syrie.Le 19 mai, Benyamin Nétanyahou a annoncé qu'Israël allait prendre « le contrôle de tout le territoire » de la bande de Gaza en lançant l'opération Chariots de Gédéon. L'armée israélienne a depuis intensifié ses opérations dans l'enclave palestinienne, faisant des centaines de morts, dont une majorité de civils. Le plan du gouvernement israélien qui suppose de raser ce qui reste de Gaza, de parquer une population affamée dans une petite portion de l'enclave et de la soumettre à un système militarisé de distribution d'aide humanitaire a suscité une indignation générale de la communauté internationale y compris de la part de capitales occidentales proches d'Israël. Quelque 39 pays ont déposé un recours devant la Cour Internationale de Justice de La Haye. Le président français, et les Premiers ministres britannique et canadien ont prévenu qu'ils ne resteraient « pas les bras croisés » devant les « actions scandaleuses » du gouvernement israélien. 22 pays ont aussi exigé d'Israël une « reprise complète de l'aide à la bande de Gaza, immédiatement », demandant qu'elle soit organisée par les Nations unies et les ONG. Sous la pression, après deux mois et demi de blocus humanitaire, Benyamin Netanyahou a autorisé quelques camions transportant des médicaments et de la nourriture pour enfants à pénétrer dans la bande de Gaza. Un geste minimum, loin de répondre aux besoins. Le 20 mai, la Commission européenne a déclaré qu'elle allait entamer un processus de révision de l'accord d'association de l'Union européenne avec Israël, dont l'article 2 évoque le respect des droits humains qui pourrait aboutir à la suspension des relations commerciales favorables à Tel-Aviv. La cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas a constaté qu'« il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l'article 2 de notre accord d'association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice ». La mort de deux employés de l'ambassade d'Israël aux États-Unis, tués devant le musée juif de Washington, a renforcé un sentiment d'isolement en Israël et la crainte de devenir un Etat paria. Le 23 mai, le Conseil de l'Europe a estimé que les actes dans la bande de Gaza « vont dans le sens d'un nettoyage ethnique et d'un génocide ». Lundi, le chancelier allemand Friedrich Merz a menacé le gouvernement Netanyahou de ne plus continuer à le soutenir en raison de l'intensification de l'offensive de l'armée israélienne à Gaza. « On ne peut plus le justifier par une lutte contre le terrorisme du Hamas », a déclaré le dirigeant allemand, fustigeant avec une rare fermeté les actions d'Israël, dont Berlin est l'un des plus fidèles alliés avec les États-Unis.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 2 juin s'ouvre en France le procès de Michaël Chiolo, l'auteur de l'attaque dans la prison de Condé-sur-Sarthe en 2019 contre deux surveillants pénitentiaires. En France, ils sont plus de 30 000 à travailler dans les prisons, faisant face à une surpopulation carcérale persistante, un manque de moyens et une exposition constante à la violence. Les surveillants de la maison d'arrêt de Nanterre, qui accueille 1200 prisonniers pour 600 places, livrent le témoignage de leur quotidien. À lire aussiFrance : « L'État abandonne ses détenus et ses fonctionnaires », déplore la contrôleure des prisons
durée : 00:07:02 - "Lettre sous la langue" de Georges Castera - Gaël Faye 19/20
durée : 00:18:02 - Callejon
durée : 00:04:37 - Avec la langue - par : Julie Neveux - "La langue de Molière" ? Un mythe plein de clichés et de purisme. Julie Neveux décrypte comment cette expression masque la richesse, la diversité et la vitalité d'un français qui ne cesse de jouer avec ses multiples visages.
durée : 00:58:19 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Vitrine de l'art funéraire du XIXe siècle et véritable Panthéon à ciel ouvert, Benoît Gallot nous guide à travers l'histoire du Père-Lachaise. - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Benoît Gallot Conservateur du cimetière du Père-Lachaise
Vendredi 30 mai, Marc Fiorentino a reçu Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, Jean-Marc Daniel, éditorialiste BFM Business, Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet Asset Management, Valentine Ainouz, responsable de la stratégie taux chez Amundi Institute, Christian Bito, professeur de finance à l'ESSEC Business School, Sébastien Korchia, directeur général et directeur des investissements de Cogefi Gestion, Éric Lewin, président d'EL Finance, et Virginie Robert, présidente de Constance Associés, dans l'émission C'est Votre Argent, spéciale "L'économie et les marchés sous Donald Trump", sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.
L'ancien ministre mauritanien de l'Economie, Sidi Ould Tah, a été élu le jeudi 29 mai président de la Banque africaine de développement (BAD). Il va succéder fin août au Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de cette institution qui doit faire face au désengagement financier des Etats-Unis. Sous l'Arbre à palabres, Eric Topona et ses invités reviennent sur les objectifs de cette institution.
Christine Clari est morte à l'été 2020 dans le décor tranquille et souriant d'une plage corse, emportée par la Méditerranée qui ce jour-là était en colère. Sous les yeux de son compagnon, Franck Chevallier, un bon vivant débonnaire, pétrifié par la scène qui se déroulait devant lui. Une tragique noyade. Les mois vont passer jusqu'à ce qu'un enquêteur de compagnie d'assurances émette des doutes sur cet accident. La victime avait beaucoup d'argent et elle avait léguée toute sa fortune au seul compagnon.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:33 - Jazz sous les Pommiers - par : Nicolas Pommaret - En public et en direct depuis le bar du Théâtre Municipal de Coutances dans le cadre de Jazz Sous les Pommiers. - réalisé par : Gilles Blanchard
Ne pas revivre les graves débordements après la demi-finale, c'est le mot d'ordre du préfet de police pour la soirée de samedi, trois semaines après les incidents lors de la qualification du PSG en finale de Ligue des champions. De nombreux fauteurs de troubles avaient alors gâché la fête sur les Champs-Élysées. Cette fois, la sécurité est largement renforcée à Paris.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 17 mai, le trois-mâts mexicain Cuauhtémoc percute le pont de Brooklyn, causant deux morts et vingt blessés, en raison d'une erreur de navigation.Traduction:On May 17, the Mexican tall ship Cuauhtémoc strikes the Brooklyn Bridge, resulting in two deaths and twenty injuries due to a navigation error. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Carla appelle pour discuter des conflits de loyauté traversés dans sa famille marquée par la violence et le silence. Elle exprime sa difficulté à concilier l'image sacralisée de ses parents vieillissants avec la reconnaissance des traumatismes subis, notamment les abus sur sa sœur aînée, que sa mère aurait tu. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:29 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
durée : 00:03:29 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
durée : 00:59:33 - Jazz sous les Pommiers - par : Nicolas Pommaret - En public et en direct depuis le bar du Théâtre Municipal de Coutances dans le cadre de Jazz Sous les Pommiers. - réalisé par : Fabien Fleurat
En Tunisie, une loi votée au Parlement pour mettre fin à la sous-traitance dans certains secteurs. Elle doit permettre de régler les situations abusives de précarité des employés de certaines sociétés de sous-traitance, particulièrement dans le nettoyage et le gardiennage. De notre correspondante à Tunis Mourad Saïdani est gardien de sécurité dans une résidence. Il a veillé jusqu'à 4h du matin le jour du vote de la loi sur la sous-traitance au Parlement. Il attend, avec impatience, un changement. « Vous n'imaginez pas mes conditions de travail, s'exclame l'homme de 42 ans, ça fait un an et demi que je travaille ici pour 160 euros par mois. Je n'ai aucun jour de congé, si je veux en prendre un, c'est prélevé de mon salaire. Je travaille douze heures par jour. J'attendais vraiment cette loi, car je n'en peux plus de cette situation ».Sécurité de l'emploiIl espère qu'avec la nouvelle loi, son contrat sera régularisé. Actuellement, il n'a pas de Sécurité sociale. Le vide juridique et la confusion entre société de prestation de service et sous-traitance ont laissé place à ce genre d'abus. « Je n'ai pas de formation ou de diplôme. Et qui va embaucher quelqu'un de mon âge ? la plupart des secteurs cherchent des jeunes et des saisonniers », explique-t-il.Avec la nouvelle loi, les CDD ou contrats précaires doivent être convertis en CDI et assurer une protection sociale. Une exception est faite pour le travail saisonnier. Mais le professeur en droit Hatem Kotrane souligne un manque de clarté. « L'une des difficultés est la durée maximale du CDD, rien n'est dit dans la loi. On tolère des cas, mais on ne dit pas qu'elle est la durée du seuil, qu'elle est la durée maximale d'un CDD. On parle de contrat de travail qui conclut la durée d'un chantier, d'une mission, cela a été supprimé et aujourd'hui cela créerait beaucoup de difficultés pour nombre d'entreprises, dans le secteur du bâtiment par exemple ».Critique sur le manque de collégialitéLe député indépendant Dhafer Sghiri est l'une des voix à avoir émis des réserves lors du débat sur la loi à l'assemblée. Il a dénoncé notamment le manque de consultation avec les partenaires sociaux et le patronat. « Avec le projet, il doit y avoir une étude d'impacts normalement. Ça doit être chiffré, par exemple le projet va impacter combien de personnes ? Ça, c'est inexistant dans le projet, c'est une grande lacune, une faiblesse ». Le secteur privé a peu réagi à l'adoption de cette nouvelle loi. Le secteur public emploie lui 20% de travailleurs dans la sous-traitance. Le texte prévoit une amende de 3 000 euros et jusqu'à six mois d'emprisonnement en cas d'infraction.
durée : 00:03:24 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
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Aujourd'hui, la Cédéao, la Communauté des États d'Afrique de l'Ouest, fête ses cinquante bougies dans la division, avec un bilan plutôt positif en étant l'une des régions africaines à forte croissance avec l'EAC, selon Pape Ibrahima Kane, spécialiste des organisations régionales africaines, qui revient sur les nombreux problèmes qui ont handicapé son développement depuis sa création à nos jours. Il répond à Esdras Ndikumana. RFI : Quel bilan peut-on dresser pour la Cédéao après un demi-siècle d'existence positif ou négatif ? Pape Ibrahima Kane : Cette organisation a été créée par le Nigeria pour se réconcilier après la fin de la guerre civile au Nigeria avec les pays francophones d'Afrique. Sous cet angle-là, c'est un bilan largement positif. Et bon, elle connaît des hauts et des bas et surtout une gouvernance plus ou moins difficile. Mais ça, ce n'est pas le propre de la Cédéao, c'est presque toutes les organisations qui vivent la même situation.Mais cette organisation connait également beaucoup de problèmes ? D'abord, à l'origine, c'est des problèmes liés à la manière dont la décolonisation s'est faite. N'oubliez pas que, un des traits caractéristiques de cette région, c'est le fait que la France voulait à tout prix casser le Nigeria pour assurer une certaine continuité entre l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale où elle avait eu le plus grand nombre de territoires. Ça n'a pas marché. Dans les quelques années qui ont suivi, elle a été confrontée à beaucoup de difficultés. Vous avez eu deux guerres civiles, mais vraiment d'une intensité inouïe.En Sierra Leone et au Libéria, vous avez la crise du Sahel et vous avez le fait que c'est la région la plus pauvre du monde. Un dernier point que je soulignerai, qui me paraît aussi fondamental le Nigéria, c'est naturellement le leader de la région et le Nigéria depuis plus d'une quinzaine d'années, mais vit une situation intérieure catastrophique. Il n'y a pas de leadership. Chaque fois que le leadership a été au Nigeria, ça a permis à la Cédéao de faire des progrès, notamment dans les années 90, sous la présidence du président Obasanjo.Quels sont les bénéfices - je parle d'avantages concrets- que les populations des pays membres tirent aujourd'hui de cette organisation ? D'abord, le fait qu'il y a une libre circulation des personnes et des biens. C'est la seule région africaine où depuis 2014, on n'a pas besoin de carte de séjour pour résider dans l'un des pays membres. Deuxièmement, c'est la région qui a inventé le concept de citoyenneté régionale. Troisième élément important, c'est une région où on a la Cour de justice de la Cédéao qui protège les droits de la personne humaine, même si on sait que ces trois-là sont vraiment chahutées. Si on prend et qu'on compare avec ce qui se passe dans les autres régions du monde, on peut vraiment dire que la Cédéao a fait des pas importants dans la bonne direction.Mais de l'autre côté, il y a le départ des trois pays de l'AES, l'Alliance des États du Sahel. Est-ce que ce départ a affaibli la Cédéao ? Dans quelle mesure ? Nécessairement que ça va affaiblir la Cédéao. D'abord parce que la Cédéao perd la moitié de son territoire. Ensuite, parce que la Cédéao perd une population importante près de 20 % de sa population. Et ensuite, parce que c'est une région qui est en crise sécuritaire, euh, sociétale et autres. Cette crise-là, si elle n'est pas résolue, ne peut pas permettre à la Cédéao de régler ses problèmes pour vous.Est-ce qu'on peut parler d'un faux départ ou alors c'est une rupture déjà consommée ? Je ne pense pas que la rupture soit consommée. On a tellement de choses qu'on partage, notamment au plan sécuritaire, au plan économique, que on ne peut pas se séparer de cette manière-là. Il y a eu des malentendus, mais tôt ou tard, ces trois pays reviendront à la maison mère et la Cédéao pourra peut-être donner plus de gages à ces pays-là pour revenir plus rapidement à la maison mère.Un argument des pays de l'AES est que la Cédéao est contre les coups d'État militaires mais permettent des coups d'État institutionnels comme les changements de Constitution en vue de se maintenir au pouvoir. Est-ce que la Cédéao peut réellement faire son mea culpa sur ce point ? Mais bien sûr, la Cédéao devra faire son mea culpa sur beaucoup, beaucoup de questions importantes. Ce n'est pas seulement eu cette attitude de complaisance vis-à-vis de dirigeants qui changent facilement les constitutions, mais c'est aussi dans la manière dont les élections sont organisées, dans la manière dont les dirigeants traitent leurs populations. J'espère que ce cinquantenaire-là va permettre à la Cédéao de faire un bilan de manière à tirer des leçons pour que, dans le futur, de pareils travers ne puissent se répéter au sein de l'organisation.À lire aussiCinquante ans après sa création, quel bilan pour la Cédéao?
Né sous X et adopté à 6 mois, Florian a longtemps cherché ses origines biologiques. Sa quête prend un tournant inattendu lorsqu'il partage sur Twitter la signature de sa mère biologique, Leila, issue de son dossier d'adoption. Cette publication virale attire l'attention d'une femme se présentant comme sa tante. Cette connexion inattendue permet à Florian de retrouver et rencontrer sa mère biologique après des années de recherches. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sous couvert de traquer la fraude, l'État belge est en train d'installer une mécanique redoutable : un système de présomptions généralisé, automatisé et silencieux. Le projet du gouvernement Bart De Wever consiste à transformer le registre des comptes bancaires de la Banque nationale — le point de contact central — en machine à soupçons. En temps normal, on ne peut y accéder que si le fisc a déjà un soupçon de fraude. Mais aujourd'hui, on veut y envoyer des dataminers du fisc pour chercher des profils suspects. Le projet du gouvernement Bart De Wever consiste à transformer le registre des comptes bancaires de la Banque nationale — le point de contact central — en machine à soupçons. En temps normal, ce registre n'est accessible que si le fisc dispose déjà d'un soupçon de fraude. Mais désormais, l'intention est d'y injecter les données du fisc afin d'y détecter des profils suspects. On retourne donc la logique : ce ne sont plus les indices qui mènent à la base de données, c'est la base de données qui fabrique les indices. L'Autorité de protection des données a beau protester, son avis n'étant que consultatif, le gouvernement peut choisir de l'ignorer. Ce serait un précédent dangereux, car ce serait la fin d'un principe fondamental : ce n'est plus l'administration qui doit prouver la fraude, c'est le citoyen qui devra prouver sa probité après avoir été pointé du doigt par un logiciel. Aujourd'hui, ce sont les machines et les algorithmes qui flairent le risque à partir de données dites anonymes, qui ne le restent que jusqu'au moment où le fisc décide de les recouper. Le gouvernement nous dit que c'est pour lutter contre la fraude fiscale. Tout le monde est d'accord avec la finalité, mais à quel prix ? Si demain chaque citoyen devient une donnée à profiler, si chaque mouvement de compte peut vous placer sous algorithme, alors ce n'est plus un État fiscal, c'est un État paranoïaque, un État qui ne croit plus en ses citoyens mais qui les traque, guidé par des algorithmes. Mots-clés : loi, inquiétude, PCC, point de contact central, danger, fouille, recherche, raccourci, lutte, blanchiment d'argent, contrôler, banquier, notaire, comptable, agent immobilier, profession libérale, surveillance, dénonciation, secret, délateur, délation, humain, présomption d'innocence, suspect, cible, formalité, dérive, scandale --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
NOUVEAUTous les mercredis matin, Happy Work vous propose un nouveau rendez-vous : un rendez-vous avec ma psy ! Anne-Laure Tabet est psychologue et pendant une demi-heure, nous allons parler de psychologie et de travail... syndrome de l'imposteur, burn-out, motivation... tous ces sujets qui peuvent transformer notre quotidien au travail. Sous forme d'une discussion qui est tout sauf ennuyeuse, nous vous donnons des clés pour améliorer votre quotidien au travail. Cet épisode est le premier d'une longue série !Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:42 - 100% PSG - Le billet - J-3 avant le match d'une vie. Le PSG affrontera l'Inter Milan en finale de la Ligue des champions à Munich. Une finale compliquée face à un adversaire robuste. Présentation des "Nerazzurri", une équipe dangereuse surtout quand elle est sous-estimée.
Si vous voulez prendre des leçons de français avec moi:logokala@hotmail.com----------------------Lors de l'ouverture du Festival de Cannes, un hommage est rendu à la photojournaliste palestinienne Fatima Hassouna, tuée à Gaza, suscitant l'émotion.Traduction:At the Cannes Film Festival opening, a tribute is paid to Palestinian photojournalist Fatima Hassouna, killed in Gaza, stirring strong emotions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:13 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
Au Sénégal, les relations entre le parti au pouvoir, le Pastef, et le parti APR de l'ex-président sont au plus mal. Après des années de confrontations politiques et de répressions à l'époque de Macky Sall, six de ses anciens ministres sont dans le collimateur de la justice, cinq notamment pour leur gestion des fonds Covid. De quoi alimenter encore un peu plus l'antagonisme entre les deux partis. Comment cette affaire est-elle perçue ? Est-ce un règlement de compte, comme le disent les proches de Macky Sall, ou une simple affaire d'une justice indépendante, comme le pouvoir le clame ? Décryptage avec le politologue sénégalais, Mamadou Lamine Sarr. Il répond aux questions de Esdras Ndikumana. Mamadou Lamine Sarr : Le parti APR de l'ex-président Macky Sall a décidé de boycotter la journée du dialogue national qui est prévue ce mercredi 28. Une journée instaurée par Macky Sall lui-même en 2016. Comment peut-on expliquer cette contradiction ? Je ne sais pas si on peut le considérer comme une contradiction, en tout cas à leurs yeux. Mais ce qui est certain, c'est que c'est effectivement quelque chose qui peut être reproché et qui est déjà reproché à ce parti-là. Et donc c'est à mon avis quelque chose qui montre toute la difficulté d'abord du dialogue, même après les élections présidentielles et législatives, du dialogue politique en général, et qui illustre également toutes les difficultés de ce parti là à se restructurer. Mais ce qui est certain, c'est que de ne pas participer au dialogue pourra être interprété comme une contradiction par rapport à leur politique qu'ils ont tenté de mettre en place il y a quelques mois quand eux étaient au pouvoir et qu'ils ont appelé les autres au dialogue.Justement, le 8 mai, cinq anciens ministres de Macky Sall ont été mis en accusation par l'Assemblée nationale et renvoyés pour malversations présumées devant la Haute Cour de justice. Est-ce que ce ne serait pas plutôt la vraie raison de ce boycott ? Oui, c'est très certainement un point de discorde. Si vous prenez les tensions politiques qu'il y a eu, notamment au niveau de l'Assemblée nationale, dont le point d'orgue, ça a été effectivement l'inculpation de ces cinq anciens ministres, c'est effectivement un point de motivation, en tout cas pour l'APR. Il y a ça. Il y a également peut-être les relations un peu difficiles, même si c'est à distance, n'est-ce pas, entre l'actuel régime et l'ancien président de la République. Donc, le président Macky Sall, et tout cela ne facilite pas, bien évidemment, le dialogue politique.Justement, parmi les cinq ex-ministres dont on parlait, quatre sont soupçonnés d'avoir trempé en 2020 et 2021 dans le détournement d'un fonds anti-covid. Est-ce que ces soupçons ont été étayés ? Ce qui est sûr, c'est que ce scandale-là, parce que c'est un véritable scandale et à mon avis, un des plus grands scandales financiers de l'histoire politique du Sénégal. Ça, je pense qu'on est tous unanimement d'accord sur ça. C'est à dire il y a de graves choses qui se sont passées dans la gestion de ce fonds-là, au moment où les Sénégalais ont l'impression qu'on manquait et c'était la réalité, on manquait de présence d'oxygène dans les hôpitaux, que les gens souffraient au niveau de l'alimentation, etc. Et ça en dit beaucoup sur la gestion des deniers publics au Sénégal sur les deux ou trois dernières décennies. Ce qui est certain, c'est que ce fonds-là, effectivement, et ce n'est que le début a mon avis, a posé énormément de problèmes et je ne serai pas surpris de voir d'autres accusations, d'autres problèmes soulevés et d'autres personnes également inculpées par rapport à cette gestion-là. Maintenant, est ce qu'ils seront coupables ou non ? Ça, c'est à la justice d'effectuer son travail.Mais au nom de l'APR, l'ex premier ministre Sidiki Kaba a dénoncé un lynchage médiatique. Est-ce que c'est ce qui se passe réellement ? C'est très difficile d'avoir une lecture de de chasse aux sorcières, etc. Mais le plus important, c'est ce qu'en pensent véritablement les Sénégalais. Et c'est là où, à mon avis, le régime doit faire attention, c'est de ne pas réduire l'activité ou le discours politique à ces questions de justice qui doivent être posées, bien évidemment. Mais aujourd'hui, les Sénégalais ont d'autres priorités, notamment de vie sociale, économique, sociale, de justice. Ça également, c'est très important.Sidiki Kaba a aussi demandé que la Haute Cour de justice mène l'instruction de façon impartiale, indépendante et objective, Je cite. Sous-entendu, elle n'est pas indépendante de fait. Est-ce que cette Haute cour de justice ne risque pas d'être soumise au parti Pastef au pouvoir. Au vu et au vu de sa configuration, au vu de son organisation, probablement, Je ne le pense pas. En tout cas aucun élément aujourd'hui qui nous permet de dire que oui, elle ne sera pas objective parce que tout, tout va commencer avec d'abord la composition et ensuite par les premières actions qui seront en place par cette Haute Cour de justice.Là, les anciens ministres et le beau-frère de Macky Sall sont dans le viseur du pouvoir, mais pas Macky Sall lui-même ? Pourquoi le Président Macky Sall n'est pour l'instant accusé de rien du tout ? Ce sont des proches, des anciens ministres, etc. Donc, à mon avis, il n'y a pas encore aujourd'hui moyen de débattre sur une éventuelle chose qui n'est pas encore arrivée. Donc je pense que si le président Macky Sall n'est pas encore mis en accusation, c'est que voilà, il n'y a pas encore d'éléments où on sait que le procès sera extrêmement long et difficile. C'est toute la place du Président de la République dans notre système politique. Même après son éviction qui interrogeait là-dessus.À lire aussiSénégal: le rapport de la Cour des comptes pointe des manquements dans la gestion des finances du paysÀ lire aussi[Vos réactions] Sénégal : lutte contre la corruption ou acharnement politique ?
durée : 00:03:13 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE
Je ne suis pas certain que sans la volte-face du week-end, scénarisée par Donald Trump, les marchés du Vieux-Continent auraient vécu une telle journée. Bon, la bonne nouvelle c'est que je peux retourner ça dans ma tête dans tous les sens ; on ne saura jamais ce qui se serait passé si Trump avait bouclé … Continued
durée : 00:41:45 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Lundi 26 mai, France Inter raconte la guerre dans la bande de Gaza. À l'occasion de son édition spéciale, "Un jour dans le monde" met des noms derrière les champs de ruine de l'enclave palestinienne et prend le pouls de la société israélienne, un an et demi après le début de la guerre. - réalisé par : Thomas Lenglain
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durée : 00:41:45 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Lundi 26 mai, France Inter raconte la guerre dans la bande de Gaza. À l'occasion de son édition spéciale, "Un jour dans le monde" met des noms derrière les champs de ruine de l'enclave palestinienne et prend le pouls de la société israélienne, un an et demi après le début de la guerre. - réalisé par : Thomas Lenglain
Cette semaine, dans un nouveau numéro d'Idées, Pierre-Édouard Deldique s'intéresse au programme fondateur du CNR avec son invitée, Claire Andrieu, historienne, spécialiste de l'après-guerre, coordinatrice du livre intitulé « Conseil national de la résistance » paru dans la collection Folio Histoire (Gallimard). Un livre de référence désormais. Devenu « mythique » avec les années, le Conseil national de la résistance a été fondé en 1943 alors que la France est placée sous le régime de Vichy. Sous l'autorité du général de Gaulle, les hommes qui le composent rédigent un programme des jours heureux, distribué clandestinement par le journal « Libération ». 200 000 exemplaires sont écoulés, et une fois la paix obtenue, certaines de ses mesures, comme la Sécurité sociale, sont mises en place.Dans son nouvel ouvrage, Claire Andrieu aborde ce programme dans « l'espace et le temps ». Comment a-t-il impacté la France et ses voisins ? De quoi s'inspire-t-il ? Qu'en reste-t-il aujourd'hui ?Autant de questions qu'elle aborde avec Pierre-Édouard Deldique durant ce nouvel épisode d'Idées, le magazine qui interroge celles et ceux qui pensent le monde.Lien utile. Programmation musicale :- Ben Selvin and his orchestra - Happy days are here again- Georges Gosset - Eh Hop On En Sortira.
durée : 00:22:44 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Le journaliste Guillaume Perrier s'est rendu dans les mines du Nord-Kivu. Cette province de la République démocratique du Congo, riche en ressources stratégiques, est ravagée depuis des années par les conflits armés. - réalisation : Vivian Lecuivre, Cassandre Puel - invités : Guillaume Perrier Journaliste au service international du Point
Aux États-Unis, le terme « crunchy moms » a longtemps été associé à des mères démocrates, hippies et partisanes d'une vie plus holistique et naturelle pour leurs enfants. Depuis quelques mois, l'élection du nouveau ministre de la Santé RFK Jr., qui fait débat, notamment pour ses théories complotistes, a mis en lumière un nouveau type de « crunchy moms » qui le soutiennent : elles sont chrétiennes, conservatrices, anti-vaccination, en faveur de l'école à la maison et surtout en lutte contre un système dominé par les grandes industries agro-alimentaires. De notre correspondante dans le Michigan, Margot GuicheteauJenny vit à Carleton, une petite ville de campagne à l'ouest de Detroit. Coiffeuse deux jours par semaine, elle consacre le reste de son temps à sa fille de deux ans, Faye, qui court, cet après-midi, dans la maison, bible à la main. La jeune maman a décidé de ne pas vacciner son enfant, lit les ingrédients de tout ce qu'elle achète, et se laisse guider par sa foi pour prendre ses décisions. Elle cite un verset qui l'inspire au quotidien : « Elle travaille avec dévouement, elle prend soin de sa famille, et veille à ce que chacun soit vêtu. Je pense que beaucoup de ces valeurs me poussent à servir ma famille. »Même son de cloche avec Ashley, mère de trois enfants, qui se rend fréquemment au Community Center de Brighton, un grand centre catholique offrant de nombreuses activités où elle peut retrouver ses amies et laisser ses enfants jouer. Diagnostiquée à 21 ans de la maladie de Hashimoto, elle est convaincue que le système est responsable de la hausse des maladies : « Six Américains sur dix souffrent d'une maladie chronique. La génération de mes enfants est la plus malade de l'histoire, alors où allons-nous à partir de là ? Où serons-nous dans cinq ans si nous n'agissons pas ? Je pense que RFK Jr. (Robert Francis Kennedy Jr.), que je suis depuis longtemps, pose les bonnes questions. C'est son moment donné par Dieu, et je crois qu'il va résoudre la crise sanitaire dans notre pays. »« Crunchy moms » ont foi en RFK Jr.Martha, de Northville, a grandi dans une famille démocrate et athée. Aujourd'hui, elle a changé de bord. Ici, dans sa grande maison de campagne, elle fait école pour ses cinq enfants vifs d'esprit, qui s'amusent à tous les étages. Pour elle, ce mouvement est plutôt un facteur d'unification. « Le mouvement "crunchy" réunit en réalité libéraux et conservateurs, car le pays est tellement divisé. J'espère que cela nous permet de trouver un terrain d'entente, en réalisant que nous partageons des valeurs communes. »Si les « crunchy moms » ont foi en RFK Jr., le corps médical reste sceptique. Au DMC, l'hôpital de Detroit, Rachael Hone, pathologiste, pense que ces « crunchy moms » manquent d'informations : « Les vaccins sont la meilleure des préventions. J'ai peur de voir les progrès réalisés dans le domaine de la santé annulés à cause de personnes qui ne se font pas vacciner. Il faut qu'un certain pourcentage de la population soit vacciné pour que ces vaccins fonctionnent, donc si de plus en plus de gens choisissent de ne pas se faire vacciner, de plus en plus de personnes vont tomber malades, c'est un risque scientifique. »Selon le PEW Center, 31% des républicains affirment aujourd'hui que « les vaccins sont plus dangereux que les maladies qu'ils étaient censés prévenir ». En 2023, seulement 57% des républicains soutenaient l'idée de vacciner les enfants fréquentant les écoles publiques, contre 79% en 2019.À lire aussiÉtats-Unis: l'antivax Robert Kennedy Jr revoit sa position après la mort d'un enfant de la rougeole
Le chef de la diplomatie israélienne a accusé les pays européens d'«incitation à la haine». En cause, une condamnation ferme de plusieurs pays face aux « actions scandaleuses » du gouvernement de Benyamin Netanyahou dans la Bande de Gaza. De plus en plus de civils sont tués en Ukraine, loin de la ligne de front. Et ce alors que les efforts diplomatiques sont intenses. George Simion, en Roumanie, n'accepte toujours pas la victoire de son adversaire, le libéral Nicusor Dan, à la présidentielle.
Il fût longtemps un technicien de haut vol ; il occupe désormais une place centrale dans l'écosystème de la course au large. Président de l'Imoca depuis 2017, Antoine Mermod, 48 ans, élu par les coureurs, dirige la classe phare des monocoques de 60 pieds. Il a commencé par l'habitable à La Trinité-sur-Mer où la famille passe ses vacances, alors véritable Mecque de la voile dans les années 1990-2000. Étudiant en école d'ingénieur, il se forme au contact de Bruno Peyron, multiplie les coups de main et les expériences avant de plonger dans l'univers des Orma. Avec Karine Fauconnier chez Sergio Tacchini puis au sein du Gitana Team, il vit de l'intérieur l'âge d'or des trimarans de 60 pieds, à une époque où peu d'équipes disposent de bureaux d'études intégrés.Il a à peine 30 ans et déjà beaucoup d'expérience quand il vit son premier Vendée Globe avec Gitana 80 : il dissèque la jauge et découvre les émotions puissantes d'un tour du monde. Il renouvellera l'expérience en 2016-2017 en construisant No Way Back et en gérant le projet de Pieter Heerema. Entre-temps, il est directeur technique des 5 Imoca de la Fnob sur la Barcelona World Race, 2011 puis rejoint les frères Peyron pour participer à l'aventure Energy Team dans la Coupe de l'America.Il est élu président de l'Imoca au printemps 2017, à l'issue du premier Vendée Globe des foilers, lorsque partisans et opposants à la monotypie s'affrontent : l'ingénieur passionné par les protos se retrouve président d'une association de coureurs. Sous sa houlette, l'Imoca va se transformer en une véritable ligue professionnelle (une dizaine de collaborateurs, 1,7 million d'euros de budget), profitant de l'engouement pour le Vendée Globe 2020-2021 et du choix par The Ocean Race - sur sa proposition - de faire des Imoca le support de ses épreuves en équipage.Prochain objectif : faire en sorte que les coureurs, qui prennent tous les risques, vivent mieux de leur sport. Et continuer à vivre les émotions si uniques d'un tour du monde...Diffusé le 21 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.