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Le pape François s'est éteint hier à l'âge de 88 ans, après 12 ans de pontificat. Le retentissement de l'annonce de la mort du pape argentin est immense dans le monde, au-delà de la communauté catholique. Ses obsèques auront lieu ce samedi 26 avril à 10h, selon les informations du Vatican. Suivra alors toute l'organisation d'un conclave pour élire un nouveau pape. Avec : - Vincent Picard, vice-président de Sant'Egidio – France- Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre- Michel Cool, journaliste et écrivain- Isabelle de la Galanderie, théologienne et vierge consacréeDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le pape François s'est éteint hier à l'âge de 88 ans, après 12 ans de pontificat. Le retentissement de l'annonce de la mort du pape argentin est immense dans le monde, au-delà de la communauté catholique. Ses obsèques auront lieu ce samedi 26 avril à 10h, selon les informations du Vatican. Suivra alors toute l'organisation d'un conclave pour élire un nouveau pape. Avec : - Jean-Louis de La Vaissière, ancien correspondant pour l'AFP à Rome- Pierre Guillet, président des EDC - Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens- Martin Dumont, historien, secrétaire général de l'Institut de recherche pour l'étude des religions à la Sorbonne, spécialiste du Saint-SiègeDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Commentaire de l'évangile SELON SAINT marc - 8, 14-21 Retrouvez l'évangile du jour sur le site AELF : https://www.aelf.org/2025-02-18/france/messe Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) L'Amour Vaincra !Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Discussion avec Mireille St-Pierre, autrice de Suivra le néant publié chez Nouvelle adresse.Pour suivre Mireille St-Pierre : https://www.mireillestpierre.comPour ne rien manquer de notre couverture de la 52e édition du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême : https://www.jeandominicleduc.ca/tribunes/categories/angouleme-2025- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Abonnez-vous à l'émission sur l'une des plateformes :Spotify https://open.spotify.com/show/3ZhprkCF8gRnEWAf6Mvomm?si=HAq2AeXQT3CarVVUJQwTPAApple https://podcasts.apple.com/ca/podcast/entre-2-cases/id889041895YouTube https://youtube.com/playlist?list=PLjTd4G8_6wHr7RfylElv7PV0WTKZ92mC6&feature=shared
Cette semaine, c'est l'habituelle rétrospective de l'année 2024 en bande dessinée québécoise, en huit albums coups de coeur et quatre mentions honorables.Sont discutés : Momm, de Catherin (Pow Pow)Visions, d'Alexis Mandeville (Front froid)La 3e Kaméra. de Denis Rodier et Cédric Apikian (Glénat)Suivra le néant, de Mireille St-Pierre (Nouvelle adresse)AMA, d'André-Philippe Côté (Moelle graphik)Un sacrifice tout naturel, de Martin PM (La Pastèque)Québec Rock: Offenbach vs Corbeau, de Christian Quesnel, Michel Giguère et Paul Rose (Libre expression)La bibliothèque enchantée T1: le livre aspirateur , de Jocelyn Boisvert et Enzo (Michel Quintin)Sont également mentionnés : Maya conte la malédiction du centre d'achat de Sophie Bédard (Pow Pow), le collectif La flopée vol. 1 (Nique à feu), Red Ketchup T10, de Réal Godbout, Robin Godbout-Harvey et Pierre Fournier (La Pastèque) ainsi que Noir obscur de Sébastien et Ghyslain Duguay (Station T).
« Délivrance et incertitude » : pointe Libération à Paris, après la chute de Bachar el-Assad. Deux mots qui résument bien l'état d'esprit des commentateurs de la presse internationale ce matin. « L'espoir renaît enfin au Moyen-Orient », soupire L'Orient-Le Jour à Beyrouth. « Il y a bien sûr des dizaines d'inconnues et autant de raisons d'être inquiets. Le groupe Hayat Tahrir el-Cham, malgré sa mue tactique, malgré son vernis cosmétique, demeure djihadiste et fondamentaliste. (…) Mais aujourd'hui. Rien qu'aujourd'hui, nous ne pouvons que célébrer ce qui vient de se passer, pointe le quotidien libanais. Parce que la libération des prisonniers syriens, la joie de ces familles qui retrouvent leurs proches disparus depuis des décennies, de ces opposants ou réfugiés au Moyen-Orient ou en Europe qui entrevoient à nouveau la possibilité de rentrer chez eux après avoir fui leur terre le cœur en morceaux… tout cela nous oblige ».Le New York Times est sur la même ligne : « toute personne attachée aux droits de l'homme doit être soulagée par la chute du régime d'Assad. Mais nous avons également vu comment les islamistes purs et durs peuvent régner en Afghanistan et ailleurs, et on peut craindre des représailles en Syrie. Il faut donc saluer le renversement d'el-Assad, mais rester vigilant quant à la suite des événements. C'est une dure leçon : parfois, ce qui suit un régime terrible est tout aussi mauvais, voire pire ».Le Washington Post renchérit : « après Assad, beaucoup de promesses - mais aussi des risques et des incertitudes. (…) Au Moyen-Orient, il n'y a pas de lueur d'espoir sans nuage ».Qui comblera le vide ?« Que va-t-il se passer ensuite ? », s'interroge en écho le Times à Londres. « Hayat Tahrir el-Cham, le groupe islamiste victorieux, parviendra-t-il à maintenir de manière crédible son discours teinté de jihadisme modéré et décentralisé ? Parviendra-t-il à coopérer avec les groupes soutenus par la Turquie pour rétablir les services publics, rétablir la confiance du public et devenir un partenaire plausible pour les investisseurs étrangers ? Suivra-t-il la voie de la formation d'un gouvernement de transition inclusif qui mènera à des élections nationales ? »« Qui comblera le vide en Syrie ? », renchérit le Guardian. « La mosaïque syrienne d'avant-guerre – multiethnique, multiconfessionnelle, inhabituellement tolérante et laïque – peut-elle être reconstituée ? Abou Mohammed al-Joulani est-il apte à diriger une nation ? Qui d'autre pourrait empêcher une fracture territoriale et politique anarchique ? Personne n'a encore de réponse à ces questions ».En attendant : soulagement…En tout cas, « aujourd'hui, relève Le Temps à Genève, des millions de Syriens rêvent de rentrer chez eux, emplis d'espérance, de plans de reconstruction et, parfois, de moyens financiers acquis en travaillant en Turquie, en Allemagne ou en Suisse. Les risques pour le pays sont nombreux, entre une rébellion islamiste dont l'adhésion aux droits de l'homme reste à prouver, des oppositions rivales et éclatées et des voisins toujours à l'affût. Mais cette diaspora syrienne, et tout le pays avec elle, est en droit d'oublier un instant ces périls futurs. Le temps est aujourd'hui, pour elle, au soulagement, au recueillement, et à la célébration ».
Cette semaine, on échange avec Mireille St-Pierre autour de sa bande dessinée «Suivra le néant», récemment publiée chez Nouvelle adresse. Au menu: 60 minutes de discussion, de la scénarisation à la mise en page, de la colorisation à l'impression.
Aujourd'hui Flora Ghebali, Mourad Boudjellal et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Il suffit de peu pour que remontent des souvenirs partagés. Les halls Charles, le foirail, le jardin public cerné de son petit mur de pierres. C'était le Rodez d'avant, avant le musée Soulages. A cette époque-là, le pari soulevait plus de scepticisme que d'enthousiasme. Puis viennent les images de la première pierre, de ces immenses blocs de corten qui sortent de terre pour s'adosser au jardin. Suivra l'inauguration en présence du président Hollande et du grand Pierre Soulages, déjà haut de 95 printemps. C'était en 2014, il y a 10 ans. A chaque étape de sa construction, les souvenirs individuels croisent la mémoire collective.D'ici 2025, le musée Soulages franchira la barre du million et demi de visiteurs accueillis. Derrière le rideau, dans les réserves, les bureaux et les coulisses, une trentaine de salariés bourdonne. Précieux gardiens de l'âme de Pierre Soulages, qu'ils ont tous côtoyé et avec qui ils ont appris à travailler, ces femmes et ces hommes incarnent le musée et le font vivre chaque jour. Je vous invite à plonger à leurs côtés dans l'ombre des Outrenoirs, pour une série de Finta ! en trois épisodes consacrés aux 10 ans du musée Soulages.EPISODE 3/3... avec Benoît DecronLa voix de Pierre Soulages trotte dans sa tête comme un petit refrain, si bien qu'il semble capable de se fondre dans l'esprit de l'artiste disparu, de penser comme il l'aurait fait, de lire entre les lignes et les tableaux. A la fois tête pensante et capitaine du navire, le conservateur en chef et directeur Benoît Decron mène le musée Soulages depuis 15 ans, bien avant son ouverture au public. Curieux de relever le défi de travailler avec un artiste iconique de son vivant, à partir d'une feuille blanche dans une ville qu'il ne connaissait pas, Benoît Decron est aujourd'hui l'un des plus fins connaisseurs de l'œuvre de Pierre Soulages, avec qui il a tissé une solide amitié. De son rôle pivot au musée Soulages, de sa vision pour les dix prochaines années, de sa responsabilité de chef d'orchestre : nous en parlons au micro de Finta ! Je le rencontre dans l'entrée du musée Soulages, entouré des équipes qui accueillent les visiteurs chaque jour.
Il suffit de peu pour que remontent des souvenirs partagés. Les halls Charles, le foirail, le jardin public cerné de son petit mur de pierres. C'était le Rodez d'avant, avant le musée Soulages. A cette époque-là, le pari soulevait plus de scepticisme que d'enthousiasme. Puis viennent les images de la première pierre, de ces immenses blocs de corten qui sortent de terre pour s'adosser au jardin. Suivra l'inauguration en présence du président Hollande et du grand Pierre Soulages, déjà haut de 95 printemps. C'était en 2014, il y a 10 ans. A chaque étape de sa construction, les souvenirs individuels croisent la mémoire collective.D'ici 2025, le musée Soulages franchira la barre du million et demi de visiteurs accueillis. Derrière le rideau, dans les réserves, les bureaux et les coulisses, une trentaine de salariés bourdonne. Précieux gardiens de l'âme de Pierre Soulages, qu'ils ont tous côtoyé et avec qui ils ont appris à travailler, ces femmes et ces hommes incarnent le musée et le font vivre chaque jour. Je vous invite à plonger à leurs côtés dans l'ombre des Outrenoirs, pour une série de Finta ! en trois épisodes consacrés aux 10 ans du musée Soulages.EPISODE 2/3... avec Christel Lagarrigue« Mon enfant de 6 ans est capable de peindre ce que Soulages a fait », c'est la phrase qu'elle entend le plus. Et à laquelle elle répond sans cesse : « alors essayons ! », mais surtout « osez venir, entrez au musée Soulages ». Responsable des ateliers destinés au public, au sein du service médiation et animation du musée, Christel Lagarrigue a quitté le musée Fenaille pour le musée Soulages quelques mois avant son ouverture. Si elle ne veut pas dire aux visiteurs que penser de l'œuvre de Soulages, c'est bien leur curiosité qu'elle vient chercher dans ses ateliers. Chaque jour, dans son atelier, elle accueille des groupes scolaires, des associations et de plus en plus de visiteurs en situation de handicap. Je la retrouve avec les résidents du foyer de vie d'Auzits pour échanger sur cette autre facette des coulisses du musée Soulages.
A l'occasion de la publication des résultats semestriels de la Compagnie des Alpes, Dominique Thillaud, le directeur général du groupe, était l'invité de l'émission Ecorama du 27 mai 2024, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : les prix de l'énergie, les objectifs financiers ambitieux, le rachat d'UrbanSoccer et le cours de Bourse.
Il suffit de peu pour que remontent des souvenirs partagés. Les halls Charles, le foirail, le jardin public cerné de son petit mur de pierres. C'était le Rodez d'avant, avant le musée Soulages. A cette époque-là, le pari soulevait plus de scepticisme que d'enthousiasme. Puis viennent les images de la première pierre, de ces immenses blocs de corten qui sortent de terre pour s'adosser au jardin. Suivra l'inauguration en présence du président Hollande et du grand Pierre Soulages, déjà haut de 95 printemps. C'était en 2014, il y a 10 ans. A chaque étape de sa construction, les souvenirs individuels croisent la mémoire collective.D'ici 2025, le musée Soulages franchira la barre du million et demi de visiteurs accueillis. Derrière le rideau, dans les réserves, les bureaux et les coulisses, une trentaine de salariés bourdonne. Précieux gardiens de l'âme de Pierre Soulages, qu'ils ont tous côtoyé et avec qui ils ont appris à travailler, ces femmes et ces hommes incarnent le musée et le font vivre chaque jour. Je vous invite à plonger à leurs côtés dans l'ombre des Outrenoirs, pour une série de Finta ! en trois épisodes consacrés aux 10 ans du musée Soulages.EPISODE 1... avec Amandine MeunierOn croirait qu'ils jouent à cache-à-cache avec les visiteurs. Jamais ils ne se croisent. Les petites mains qui accrochent, décrochent, remballent et remettent les œuvres sur les routes travaillent en sous-marin. Aux petits soins des œuvres de Pierre Soulages, des collections qui dorment en réserve et des expositions temporaires qui vont et viennent, Amandine Meunier est la responsable des collections du musée. Arrivée à Rodez quelques mois avant son ouverture, elle a participé de sa construction pour créer les conditions d'une conservation optimale des œuvres, ô combien précieuses. De son quotidien, de son rôle au musée, de ses rencontres avec Pierre Soulages : elle nous en parle au micro de Finta ! à l'occasion du décrochage de l'exposition « Les Derniers Soulages » auquel j'ai eu la chance d'assister. Et pendant lequel j'ai aussi croisé d'autres petites mains hyperactives, à commencer par celles d'Antoine Maury, conservateur-restaurateur indépendant, qui joue un rôle crucial à chaque mouvement d'œuvres.Finta est un podcast réalisé, produit et écrit par Lola Cros. Il est mixé par le studio Qude. Plus d'infos : www.fintapodcast.fr Retrouvez tous les épisodes de Finta! gratuitement sur les applis de podcasts.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois, bien que l'on n'ait pas envie de faire quelque chose, le simple fait de passer à l'action entraîne le cœur dans la foulée ! Il suffit même souvent de faire semblant pendant quelque temps, pour finir par éprouver réellement de la joie.
Quelques jours avant le dévoilement du budget de l'an 1 d'un Québec souverain, le parti de 4 députés élus présente ses propositions d'un nouveau pays. Paul Saint-Pierre Plamondon promet de se présenter en 2026 pour faire un référendum sur l'indépendance de la province. Quelles sont les idées du parti Québécois ? Suivra-t-il les idées de ses précédents chefs du parti ? Le parti politique continuera-t-il de gagner des sièges ? Je réponds à vos questions dans cet épisode.
Microsoft a présenté un nouvel assistant IA pour Windows 11 appelé Copilot qui vous suivra partout - sur votre PC, dans vos textos, sur la route… À quel point est-ce que ça va changer notre façon de travailler? Alain et Pascal en discutent!. Un VPN à 82% de rabais! CyberGhost VPN vous permettra de contourner le blocage des contenus de certaines plateformes: https://www.cyberghostvpn.com/UneTassedeTech2023 Aussi: Essai de l’iPhone 15 d’Apple: quel modèle est mieux pour vous? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
Journée chargée pour un milieu de semaine. Cela débute avec la chronique de Yves Bureau qui nous parlera de rémunération au millage versus à l'heure. Impossible de parler à notre chroniqueur sans que cela dévie sur la restauration. Suivra la chronique d'André Durocher, qui nous présentera Jacques De Larochelière, PDG de l'entreprise ISAAC Instrument. Ensemble... The post 6 Septembre 2023 Yves Bureau – Andre Durocher et Jacques De La Rocheliere (Isaac) et Michel Robert et Rene Duguay du Groupe Robert appeared first on Truck Stop Québec.
Le sénateur Boisvenu viendra nous parler de la politique canadienne, de sa réflexion sur la popularité du premier ministre Trudeau. Suivra la sortie du sondage sur la position des parties. Il nous parlera d'un événement malheureux arrivé cette dernière fin de semaine: Une femme assassiné au Centre-du-Québec. Kevin Romagosa aurait assassiné sa conjointe Robyn-Krystle O'Reilly.... The post 22 Aout 2023 Senateur Boisvenu et Andre Tardif de Tec Transport Expert Conseil appeared first on Truck Stop Québec.
« Sérieux », c'est un mot qui correspond bien au rap de La Rumeur. Ce n'est pas un groupe que l'on va écouter pour attraper la Fièvre sur la piste ou danser le Mia. Aucun single rigolo pour détendre l'atmosphère et attirer le chaland dans leur discographie. Hamé, Ekoué, Philippe et Mourad réservent leurs mots acerbes pour les combats qui les animent : le racisme institutionnel, le colonialisme, l'esclavage et leurs stigmates. Tout, dans leur démarche, est destiné à servir un message politique et subversif. On pourra juger la proposition rigide et préférer la légèreté. Mais c'est bien cela qui force le respect, cette absence de compromis, cette intégrité radicale, cette musique qui vous mord à la gorge pour ne jamais vous lâcher. La Rumeur dérange, suffisamment pour déclencher une tempête judiciaire qui va tomber sur leurs grandes gueules depuis le sommet de l'Etat. En cause, une phrase rédigée par Hamé dans un fanzine concernant des centaines de bavures policières meurtrières et impunies, dont l'auteur va devoir défendre la pertinence pendant près d'une décennie… Et triompher. Quelques références… Un bouquin : - Il y a Toujours un Lendemain, de Ekoué Labitey et Hamé Bourokba Des docs vidéos (tout est trouvable sur YouTube) : - Tracks, débat autour des banlieues et émeutes de 2005 (avec JoeyStarr, Disiz La Peste et Ekoué) - Je Rap donc je Suis de Philippe Roizès - Masterclass à Science-Po, animé par Ekoué, Hamé et Yérim Sar - Le groupe hip-hop La Rumeur : 10 ans de procès, interview au théâtre du Rond-Point Des articles : -Le Coup Monté de La Rumeur (entretiens croisés pour l'ABCDR du Son) -Tuer avec des Mots (entretien avec Hamé, par Pierre Tévanian pour lmsi.net) - Quand Maurice Rajfus défendait le groupe de Rap La Rumeur (Juliette Gramaglia pour Arrêt Sur Images) -Et puis des articles de Libé, Le Monde, Médiapart… La discographie de La Rumeur : Les EPs : -Volet 1 : Le Poison d'Avril (1997)***** -Volet 2 : Le Franc Tireur (1998)***** - L'Entre-Volet (1999)*** -Volet 3 : Le Bavar et le Paria (1999)**** Les LPs : - L'Ombre sur la Mesure (2002)***** - Regain de Tension (2004)*** - Du Cœur à l'Outrage (2007)***** -Tout Brûle Déjà (2012)** - Comment Rester Propre (2023)**** Compilations d'inédits : -1997-2007, Les Inédits (2007)*** - Les Inédits vol.2 (2013)*** - Les Inédits vol.3 (2015)*** Un film et une série : - Les Derniers Parisiens, de Ekoué et Hamé (2016) - De l'Encre, de Ekoué et Hamé (2011) Musiques utilisées : - Pas de Justice Pas de Paix (Hamé, Soul G / Kool M) - L'Ombre sur la Mesure (Ekoué, Hamé, Soul G / Kool M) - Nom, Prénom, Identité (Ekoué, Philippe, Soul G) - Les Coulisses de l'Angoisse (Ekoué, Hamé, Mourad, Philippe, Soul G / Kool M) - Personne N'Est Moins Sourd (Ekoué, Soul G / Kool M) - Plus Que Ca à Faire (Hamé, Soul G / Kool M) - Les Ecrits Restent (Philippe, Soul G / Kool M) - Pas de Vacances (Mourad, Philippe, Soul G / Kool M) - Blessé Dans Mon Ego (Ekoué, Soul G / Kool M) - Le Coffre ne Suivra pas le Corbillard (Ekoué, Philippe, Soul G / Kool M) - Nous Sommes les Premiers sur le Rap (Ekoué, Philippe, Soul G) - Les Perdants ont une Voix (La Rumeur, Soul G / Kool M) - La Meilleure des Polices (Hamé, Demon) - Le Cuir Usé d'Une Valise (Ekoué, Hamé, Philippe, Mourad, Soul G / Kool M) - Comme de l'Uranium (Ekoué, Philippe, Hamé, Soul G) - Un Chien dans la Tête (Hamé, Soul G) - Le Rap qu'ils Veulent (Philippe, Soul G) - Interlude 2 (Soul G) - Ne Faisons pas comme si on avait 20 ans (Hamé, Ekoué, Philippe, Soul G) - Qui ça Etonne Encore (Hamé, Ekoué, Philippe, Demon) En bonus, le fameux article de Hamé «Insécurité sous la Plume d'un Barbare » : https://lmsi.net/Insecurite-sous-la-plume-d-un
La nouvelle saison débute en grand. Nous retrouvons Yannick Marceau qui fera le tour des dossiers les plus lu par tous de l'actualité. Suivra l'attachant P-A Méthot qui nous parlera de la saison 2 de coeur de Trucker. Nous auront le point de vue de Jérémie et Marie-André, qui participeront peut-être à l'avanture de cette... The post 14 Août 2023 P-A Méthot, Marie-André, Jérémie et Raymond Bureau appeared first on Truck Stop Québec.
Son premier monde Bookmakers #24 - L'autrice du mois : Céline MinardNée à Rouen en 1969, Céline Minard a étudié la philosophie et travaillé en librairie avant d'arpenter, dès 2004, les sentiers les plus aventureux de la fiction francophone contemporaine. Cette fine lectrice du « Quichotte » est révélée par la critique avec « Le Dernier Monde », monologue métaphysique et burlesque de l'ultime habitant de la Terre (Denoël, 2007). Depuis, elle honore le crédo d'une « littérature transgenre », avec notamment « Bastard Battle », bataille médiévale teintée de manga (mention spéciale du prix Wepler, Léo Scheer, 2008), le western « Faillir être flingué » (prix du Livre Inter, vendu à 100 000 exemplaires, Rivages, 2014) ou les nouvelles S.-F. de « Plasmas » (grand prix de l'Imaginaire, Rivages, 2022). Céline Minard vit et écrit aujourd'hui dans le massif des Corbières. Céline Minard (1/3) Dans « So long, Luise » (Rivages, 2011), Céline Minard rédige le testament d'une écrivaine qui ne jure que par « la marche, la marche, le mouvement ». Son héroïne s'étonne que des journalistes « de plus en plus savants et retors » viennent tenter de lui tirer les vers du nez à propos de sa prose, sa ponctuation, et tout ce qu'elle nomme « ses ustensiles de cuisine ». Elle note pour la postérité les trois questions les plus paresseuses de n'importe quelle interview littéraire : « 1°) Vous vous documentez beaucoup ? 2°) C'est autobiographique ? 3°) Vous avez mis longtemps à l'écrire ? » Nous avons donc redoublé de souplesse à l'heure d'avancer en terrain Minard. « J'adore l'exigence de la narration, la solidité qu'elle requiert. C'est le monde des possibles, la permission absolue. Une expérience de liberté, une vie de plus, dérobée. On est tous des menteurs, des imposteurs, des gosses ébahis avec des yeux comme des soucoupes ! », dit avec entrain celle dont l'œuvre – née d'un accident de rollers – démarre avec le très confidentiel « R. » (Comp'Act, 2004), journal des rêveries d'un promeneur pas tout à fait solitaire, qui traverse les Alpes dans les pas de Jean-Jacques Rousseau. Suivra une douzaine d'ouvrages souvent exigeants, oui, mais drôles, et rigoureusement stimulants sur le plan conceptuel. Un univers hétéroclite, peuplé de braqueuses excentriques, de papesse vengeresse, ou de chevaux génétiquement modifiés. Mais comment tout a commencé pour cette disciple en audace de François Villon ou de l'Allemand Arno Schmidt ? Comment s'inspire-t-elle de « la rue, la lumière sur une feuille ou dans un bol de thé, et les trente-six mille formes du vivant » ? Pour le savoir, tous et toutes en rando derrière Céline Minard ! Enregistrements : mars 23 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Montage : Mathilde Guermonprez - Prise de son, réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Samuel Hirsch, Richard Gaitet - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Clarisse Le Gardien - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
D'une idée lancée en l'air il y a près de 5 ans à 100 épisodes et autant de discussions avec nos invité·e·s fascinant·e·s, la création de Mâche-patate a été du pur plaisir, du début à la fin. Mais est-ce vraiment la fin? Écoutez-nous pour le savoir, ainsi que pour découvrir les coups de cœur des coanimatrices, leurs impressions sur leur participation au projet, ainsi qu'un rêve de jeunesse de Marie-Hélène D. (elle attend votre appel si vous pouvez le réaliser!).
En novembre 2020, des violences armées entre les forces fédérales et régionales ont éclaté dans le Tigré, dans le nord de l'Éthiopie, provoquant d'immenses souffrances pour les personnes qui y vivent. Les affrontements continuent d'avoir lieu et les besoins humanitaires sont énormes dans toute la région. Des centaines de milliers de personnes ont fui leur foyer à la recherche d'un abri et de sécurité. Des familles sont déplacées et séparées. Leurs moyens de subsistance ont été détruits. Le système de santé reste soumis à d'énormes contraintes. Beaucoup comptent sur l'aide humanitaire pour répondre à leurs besoins de base. Le 31 janvier prochain le Club 44 accueillera en exclusivité une soirée consacrée à la situation dans cette région. Dans un premier temps, l'historienne Charlotte Touati-Houillon, sous la forme d'une courte conférence, reviendra sur les causes de cette guerre, multiples et complexes. Suivra ensuite un temps d'échange avec Patrick Youssef (CICR) sur les actions possibles et les difficultés sur le terrain rencontrées par les organisations humanitaires, avec un éclairage opérationnel plus particulier de l'action humanitaire du Comité international de la Croix-Rouge. La rencontre sera animée par Monsieur Tony Burgener, ancien délégué du CICR, ancien Directeur de la Chaîne du Bonheur et Président actuel de la Fondation Hirondelle, spécialiste de ces questions. Charlotte Touati-Houillon, historienne, titulaire d'un doctorat, est spécialiste de l'Ethiopie, chargée de cours à l'université de Lausanne. Patrick Youssef est responsable de la section Afrique du CICR. En collaboration avec le Comité International de la Croix-Rouge (CICR). Enregistrée le 31 janvier 2023 au Club 44
Mais ne serait-ce pas l'heure de l'épisode 16 ? Un épisode entamé tranquillement via un éveil philosophique inattendu (en pleine Ligne 14) et la peur nocturne de perdre sa dentition. Si la première reco culture (En Place) nous permettra de comparer Fary et Vincent Cassel, la seconde (Babylon) nous amènera à avouer nos pulsions homo-érotiques (parfois tardives) envers Ryan Gosling et Brad Pitt. Suivra un Plouf Plouf spéciale "expressions françaises" qui permettra de relier la mousse, les mémés et les arracheurs de dents dans une harmonie troublante. Après une ouverture de courrier extrêmement décevante, place aux Ddodg cette semaine centrés sur l'hiver, Végéta et le fil dentaire. Le sujet de la semaine sera accidentellement dévoyé vers des confessions honteuses de moulinage public. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Questions posées par le quotidien Aujourd'hui : « et maintenant on fait quoi ? Quel schéma pour une Transition apaisée ? À quel timing ? Quel sera le format du recadrage post-Damiba ? » Certes, pointe le quotidien ouagalais, « le capitaine Traoré a évoqué hier des assises nationales, qu'il veut au plus vite, même avant la fin de cette année 2022. Et il n'a pas d'option pour un civil ou militaire. » Mais, prudence, affirme Aujourd'hui : « il faudra trouver les bonnes personnes pour la rédaction de la nouvelle charte dont chaque ligne devra être lue et relue. Ensuite, que cette Loi fondamentale de la Transition soit adoptée de façon consensuelle. Place après à la désignation du mouton à cinq pattes : le président civil ou militaire, et les candidats à ce poste devront être pesés au trébuchet sur leurs qualités intrinsèques. Suivra la formation du gouvernement ! Combien seront appelés à tracter cette transition ? Au fait, ressuscitera-t-on l'Assemblée législative ou gouvernera-t-on par oukases ? On le voit, relève encore Aujourd'hui, il y a des prérequis et des préalables dont la mise en place créera des pinaillements et des gorges chaudes. Et forcément, il faudra jusqu'en décembre prochain pour l'installation de tout ce puzzle transitionnel. » Et la CEDEAO ? Autre interrogation, soulevée cette fois par WakatSéra : « la CEDEAO va-t-elle dégainer ? (…) La bienveillance de l'institution sous-régionale à l'endroit de l'un de ses meilleurs élèves, Paul-Henri Sandaogo Damiba, pour ne pas le nommer, déteindra-t-elle sur son tombeur ? (…) Même si l'organisation ouest-africaine ne devrait pas lancer, hic et nunc, une salve de sanctions contre Ouagadougou, où sa délégation sera finalement présente ce mardi, elle se donnera certainement le devoir de rappeler au nouveau chef du MPSR l'engagement pris par son devancier d'organiser en juillet 2024 des élections démocratiques pour remettre le pouvoir aux civils. » Bref, conclut WakatSéra, « tout devrait bien se passer, si la CEDEAO joue la carte du peuple et que les nouveaux patrons du MPSR font preuve de cette bonne foi qu'ils affichent officiellement en tout cas. » Capable de relever le défi sécuritaire ? Autre écueil et de taille, relève pour sa part Le Point Afrique : la situation sécuritaire dans le pays. « Les Burkinabè attendent désormais de voir comment elle va évoluer. C'est le principal motif de mécontentement des populations. Ces derniers mois, des attaques tuant des dizaines de civils et de soldats se sont multipliées dans le nord et l'est du Burkina Faso, où des villes sont désormais soumises à un blocus des djihadistes. Depuis 2015, les attaques régulières de mouvements armés affiliés à Al-Qaïda et au groupe État islamique ont fait des milliers de morts et provoqué le déplacement de quelque deux millions de personnes. La semaine dernière encore, rappelle Le Point Afrique, un massacre a eu lieu près de la ville de Djibo, encerclée depuis février dernier par des djihadistes. Lundi dernier, un convoi de nourriture escorté par l'armée a tenté de rejoindre la ville, pour aider les 350.000 habitants qui y vivent, mais les djihadistes ont attaqué, détruit 90 camions et tué treize militaires. 50 civils sont toujours portés disparus. C'est ce énième massacre qui a provoqué la colère des militaires et donc le putsch qui a suivi. » Justement, pointe Jeune Afrique, « la priorité absolue du capitaine Traoré, le nouvel homme fort du Burkina Faso, est de mettre fin, assure-t-il, à l'interminable martyrologe des populations du nord et de l'est. Comme son prédécesseur, qui s'était emparé du pouvoir avec les mêmes intentions, c'est sur sa capacité à relever ce défi, en se gardant de toute fuite en avant idéologique à la malienne, qu'il sera jugé, estime Jeune Afrique. En viendrait-il à échouer, qu'après le temps des colonels, puis des capitaines, surgira celui des lieutenants. Toujours aussi populaires, toujours aussi éphémères, soupire le site panafricain, les militaires continueront de squatter les plateaux de la télévision entourés de séides masqués, armés jusqu'aux dents. Et de promettre un avenir aussi radieux qu'un mirage dans le désert du Yatenga. »
Questions posées par le quotidien Aujourd'hui : « et maintenant on fait quoi ? Quel schéma pour une Transition apaisée ? À quel timing ? Quel sera le format du recadrage post-Damiba ? » Certes, pointe le quotidien ouagalais, « le capitaine Traoré a évoqué hier des assises nationales, qu'il veut au plus vite, même avant la fin de cette année 2022. Et il n'a pas d'option pour un civil ou militaire. » Mais, prudence, affirme Aujourd'hui : « il faudra trouver les bonnes personnes pour la rédaction de la nouvelle charte dont chaque ligne devra être lue et relue. Ensuite, que cette Loi fondamentale de la Transition soit adoptée de façon consensuelle. Place après à la désignation du mouton à cinq pattes : le président civil ou militaire, et les candidats à ce poste devront être pesés au trébuchet sur leurs qualités intrinsèques. Suivra la formation du gouvernement ! Combien seront appelés à tracter cette transition ? Au fait, ressuscitera-t-on l'Assemblée législative ou gouvernera-t-on par oukases ? On le voit, relève encore Aujourd'hui, il y a des prérequis et des préalables dont la mise en place créera des pinaillements et des gorges chaudes. Et forcément, il faudra jusqu'en décembre prochain pour l'installation de tout ce puzzle transitionnel. » Et la CEDEAO ? Autre interrogation, soulevée cette fois par WakatSéra : « la CEDEAO va-t-elle dégainer ? (…) La bienveillance de l'institution sous-régionale à l'endroit de l'un de ses meilleurs élèves, Paul-Henri Sandaogo Damiba, pour ne pas le nommer, déteindra-t-elle sur son tombeur ? (…) Même si l'organisation ouest-africaine ne devrait pas lancer, hic et nunc, une salve de sanctions contre Ouagadougou, où sa délégation sera finalement présente ce mardi, elle se donnera certainement le devoir de rappeler au nouveau chef du MPSR l'engagement pris par son devancier d'organiser en juillet 2024 des élections démocratiques pour remettre le pouvoir aux civils. » Bref, conclut WakatSéra, « tout devrait bien se passer, si la CEDEAO joue la carte du peuple et que les nouveaux patrons du MPSR font preuve de cette bonne foi qu'ils affichent officiellement en tout cas. » Capable de relever le défi sécuritaire ? Autre écueil et de taille, relève pour sa part Le Point Afrique : la situation sécuritaire dans le pays. « Les Burkinabè attendent désormais de voir comment elle va évoluer. C'est le principal motif de mécontentement des populations. Ces derniers mois, des attaques tuant des dizaines de civils et de soldats se sont multipliées dans le nord et l'est du Burkina Faso, où des villes sont désormais soumises à un blocus des djihadistes. Depuis 2015, les attaques régulières de mouvements armés affiliés à Al-Qaïda et au groupe État islamique ont fait des milliers de morts et provoqué le déplacement de quelque deux millions de personnes. La semaine dernière encore, rappelle Le Point Afrique, un massacre a eu lieu près de la ville de Djibo, encerclée depuis février dernier par des djihadistes. Lundi dernier, un convoi de nourriture escorté par l'armée a tenté de rejoindre la ville, pour aider les 350.000 habitants qui y vivent, mais les djihadistes ont attaqué, détruit 90 camions et tué treize militaires. 50 civils sont toujours portés disparus. C'est ce énième massacre qui a provoqué la colère des militaires et donc le putsch qui a suivi. » Justement, pointe Jeune Afrique, « la priorité absolue du capitaine Traoré, le nouvel homme fort du Burkina Faso, est de mettre fin, assure-t-il, à l'interminable martyrologe des populations du nord et de l'est. Comme son prédécesseur, qui s'était emparé du pouvoir avec les mêmes intentions, c'est sur sa capacité à relever ce défi, en se gardant de toute fuite en avant idéologique à la malienne, qu'il sera jugé, estime Jeune Afrique. En viendrait-il à échouer, qu'après le temps des colonels, puis des capitaines, surgira celui des lieutenants. Toujours aussi populaires, toujours aussi éphémères, soupire le site panafricain, les militaires continueront de squatter les plateaux de la télévision entourés de séides masqués, armés jusqu'aux dents. Et de promettre un avenir aussi radieux qu'un mirage dans le désert du Yatenga. »
Vous les écoutez depuis un moment sur les ondes de Radio nova, les morceaux de Lass sont dans nos oreilles et notre cœur. Sorti en juin dernier sur le label Chapter Two Records, “Bumayé” se veut comme un écho à son parcours, de sa ville natale de Mbatal (Sénégal) à son arrivée en France. Après avoir rencontré le producteur Patchworks, avec qui il collabore au sein du collectif Voilaaa Sound System, Lass fait sensation grâce au titre “Souba” sorti avec le duo Synapson. Suivra l'EP éponyme “Lass” en 2021, avant ce très percutant premier album. Un cri d'encouragement, de lutte et de combat pour ses convictions, “Bumayé” ainsi entonné par les supporters de Mohamed Ali lors de son match à Kinshasa contre Georges Foreman en 1974. Extrait : « J'ai quitté l'école assez tôt par manque d'argent pour aller pêcher. C'était de la pêche traditionnelle, à la langouste, aux carpes, on plongeait. Pour se donner du courage, on chantait (...) c'est là que j'ai commencé à chanter sans savoir que cela allait devenir mon métier. » Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La fierté Gueye Bookmakers #20 - L'auteur du mois : Mohamed Mbougar SarrNé à Dakar en 1990, Mohamed Mbougar Sarr est devenu – en 2021 et à 31 ans – le premier écrivain d'Afrique subsaharienne consacré par le plus prestigieux des prix littéraires français, le Goncourt, pour « La plus secrète mémoire des hommes », enquête au long cours et labyrinthe narratif enivrant, inspiré par le destin tragique du Malien Yambo Ouologuem (éditions Jimsaan / Philippe Rey). Mais avant le succès, ce wonderboy des lettres africaines était déjà l'auteur de trois romans diablement maîtrisés, aux sujets casse-gueule : « Terre ceinte » (2015, sur les milices djihadistes), « Silence du chœur » (2017, sur l'accueil de 72 migrants en Sicile) et « De purs hommes » (2018, sur l'homophobie au Sénégal). Il vit et travaille aujourd'hui à Beauvais (Oise). En partenariat avec Babelio. La fierté Gueye (2/3)Son principal trait de caractère est d'être « patient » et « ancré sur Terre ». Mohamed Mbougar Sarr a songé, ces dernières années, à écrire un hommage à son dieu en ce bas-monde (Zinedine Zidane), mais aussi à écrire une biographie de Dieu, le vrai, celui des cieux, « en forme d'introspection-bilan, sur sa tristesse et sa solitude ». « Si Dieu existe, dit-il, je m'interroge : dans quel état est-Il ? Sa solitude comme Sa tristesse est sans doute plus forte que celle des hommes. Pour préserver Sa santé mentale, Dieu s'est bouché les tympans et s'est tourné vers autre chose depuis très longtemps. » L'auteur a, à ce jour, renoncé à ce livre, « car ce serait très provocateur – et je ne suis pas un provocateur ». Les sujets de ses trois premiers romans, écrits et publiés entre 2012 et 2018, n'ont pourtant rien de particulièrement lisse. Il y aura d'abord sa tentative de « prendre à bras-le-corps une Histoire en cours », via le remarquable « Terre ceinte », en partie inspiré par « L'Armée des ombres » de Kessel et centré sur la résistance d'un village africain à la tyrannie du djihadisme. Un séjour en Sicile fait ensuite naître en lui l'ambitieux « Silence du chœur », sur « les échos faibles » des réfugiés qui traversent la Méditerranée à leurs risques et périls, le racisme ordinaire, la solidarité humanitaire, les « bons » et les « mauvais migrants ». Suivra enfin le très bref et courageux « De purs hommes », qui dénonce l'homophobie quotidienne institutionnalisée au Sénégal à travers les yeux grands ouverts d'un jeune professeur de lettres, Ndéné Gueye. L'ouvrage déclenchera tardivement une polémique qui colle encore aux baskets de l'écrivain. Trois livres de son temps pour « défier la réalité », trois livres vendus à moins de 3000 exemplaires à leur sortie aux éditions Présence Africaine puis Jimsaan / Philippe Rey, qui sont décortiqués dans ce deuxième épisode, à la lumière de cette profession de foi, que M. M. S. formula un matin sur France Inter : « Que la violence soit devenue la langue la plus audible ne signifie pas qu'elle doive demeurer la plus entendable. (…) Essayons (…), le courage au ventre, de trouver d'autres phrases, d'exhumer des phrases de soie sous les phrases de fer, de nous enfoncer dans l'ombre des phrases à la recherche des phrases d'ombre – celles qui protègent du feu, dût-on d'abord y aller pour les en tirer, ou les y forger. » Enregistrement : mai 22 - Texte, voix, entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son, montage : Sara Monimart - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Gloria Saltel, Clarisse Le Gardien - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
RÉUPLOAD — Émission initialement mise en ligne le 17 juillet 2020.Le flux de Hommage Collatéral hébergera désormais son podcast "cousin" dédié aux œuvres marquantes de notre enfance ou adolescence. En attendant les nouveaux épisodes à la rentrée, retrouvez tous les anciens numéros ici même, au rythme d'un par jour. Bonne écoute !Ce n'était qu'une question de temps avant que Solid Snake ne s'infiltre dans ce podcast. Si on prévoyait à la base un épisode « saga », le Covid et quelques autres petites choses en ont décidé autrement. Ainsi, vous avez droit à la formule traditionnelle, ne portant que sur le premier volet (sort of) de la licence. Parce que Metal Gear Solid est sans aucun doute l'un des jeux les plus marquants de la première Playstation, cette lettre d'amour a été écrite collectivement par cette équipe qui n'a rien à envier à l'unité Fox. Audrey, chef barmaid au Liquorium, bar parisien situé au 11 rue Saint-Denis Jean-Baptiste, ex-journaliste, coanimateur des podcast Outrider et Landrider | ingénieur son et image pour différentes chaînes YouTube, notamment le French Wargame Studio et La Bonne Auberge Johan, libraire à BDnet Nation | Twitter Guillaume, professeur de Lettres et d'Histoire | Twitter Merci à eux tous de s'être livré à l'exercice de l'enregistrement à distance, raison pour laquelle le son n'est pas aussi bon que d'habitude. J'ai fais ce que j'ai pu et désolé si parfois ça sature un peu. Cet épisode estival ne sera pas le seul. Suivra dans quelques semaines un numéro un peu spécial qui, pour la première fois, sera centré sur une actu. D'ici-là, passez un bon été ! Playlist : 01 – TAPPY - Main Theme | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami02 – KCE – Encounter | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami03 – KCE – Enclosure | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami04 – KCE – Rex's Lair | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami05 – Rika Muranaka & Aoife Ní Fhearraigh - End Title - The Best is yet to come | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami Si vous avez enjaillé l'écoute de ce podcast, allez-donc lâcher un petit commentaire (mais une grosse note) sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur les grandes plateformes de l'Internet mondial : Facebook Twitter Instagram
Cuir ? Léopard ? Patchwork ? Doudoune ? Manteau de François Fillon ou différence entre sequin et paillettes…. Tout, tout, tout, vous saurez tout sur les grandes tendances mode de la rentrée, décryptées par Madame Meuf, en toute impartialité comme toujours. Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nous sommes de retour pour vous jouer de mauvais tours. Aujourd'hui nous parlerons de 2 films, à savoir Nope de Jordan Peele et L'année du requin des frères Boukherma. Suivra une analyse du cinéma de Carpenter avec JMA, Alexei Paire et Adrien Milliard Montage : Adrien Milliard Soutenez-nous !
Podcast LGC TV 05 mai 2022 – L'école des Potes-en-ciel et Questions Réponses avec Sylvain Didelot et Michel Morin Jeudi le 5 mai 2022 à 20h heure de Paris (14h heure du Québec) découvrez dans cette conférence l'École des Potes-en-ciel de Sylvain Didelot. Sylvain vous expliquera en détail avec Michel cette nouvelle école. Suivra un Questions Réponses habituel. Pour vous inscrire à l'École des Potes-en-Ciel suivez le lien ci-dessous : https://legrandchangement.com/ecole-des-potes-en-ciel/
Dam's, dans ce nouvel épisode d'Ici ou Là , diffusé sur la webradio Allô la Planète , vous emmène en Pologne. Après une introduction sur la Polka, qui, vous le verrez, est née en Bohême, il vous fait découvrir la Mazurka, une danse traditionnelle. La musique Polonaise, c'est aussi le jazz avec notamment Krzysztof Komeda. Le Disco-Polo, ça vous parle ? Il s'agit d'une sorte de mélange de disco qui a connu son heure gloire entre 1995 et 1997. Suivra ensuite le groupe Kult qui a débarqué dans les années 80 avec un mélange de punk, jazz et reggae. La musique polonaise c'est aussi la pop et le reggae. Ici ou là, l'émission qui vous fait voyager en musique !
Au sommaire de cette émission, un programme tout d'abord lié au bonheur. L'argent fait-il le bonheur ? Je connais la réponse ! Bon, ce n'est pas complètement avéré. Mais faire un don permet aux gens d'être heureux. Nous aurons le plaisir de recevoir l'humoriste Cartouche afin de nous parler de l'association Cékedubonheur qui publie un livre le Bruit du Bonheur, au bénéfice de cette association, regroupant le point de vue sur cette notion pour 26 personnalités publiques. Il est ou le bonheur, il est où, dixit Christophe Maé. Nous reviendrons à un peu d'international avec un enjeu de mémoire, un enjeu international quasiment d'ordre fraternel avec l'Algérie. Que se passe-t-il entre Paris et Alger ? La volonté de réconciliation du président Macron aboutit paradoxalement à des contradictions et à une crise sans précédent. Les petits pas, comme ceux de la commémoration des massacres du 17 octobre 1961, ne correspondent plus aux attentes de la diaspora ou du peuple algérien. Au cœur de cette crise, une jeunesse algérienne qui perd espoir. Nous parlerons d'elle et de cette crise diplomatique avec Razika Adani, philosophe, conférencière et islamologue franco-algérienne. Suivra un peu plus de légèreté. Maxime Fassiotti nous consacrera son programme « La Tuture à Papa ». Notre chroniqueuse Elisa Feliers est prête, motivée, c'est son baptême du feu, une première pour elle avec un gros sujet sur Vincent Bolloré. Soyez attentif car la matinale de 19h, c'est maintenant et c'est parti ! Présentation : Adrien-Guillaume Padovan / Co intervieweuse et chroniqueuse : Elisa Féliers / Réalisation : Colin Gruel / Coordination : Hugo Leroi / Invités : Cartouche et Razika Adnani / Web : Hugo Leroi
Au sommaire de cette émission, un programme tout d'abord lié au bonheur. L'argent fait-il le bonheur ? Je connais la réponse ! Bon, ce n'est pas complètement avéré. Mais faire un don permet aux gens d'être heureux. Nous aurons le plaisir de recevoir l'humoriste Cartouche afin de nous parler de l'association Cékedubonheur qui publie un livre le Bruit du Bonheur, au bénéfice de cette association, regroupant le point de vue sur cette notion pour 26 personnalités publiques. Il est ou le bonheur, il est où, dixit Christophe Maé. Nous reviendrons à un peu d'international avec un enjeu de mémoire, un enjeu international quasiment d'ordre fraternel avec l'Algérie. Que se passe-t-il entre Paris et Alger ? La volonté de réconciliation du président Macron aboutit paradoxalement à des contradictions et à une crise sans précédent. Les petits pas, comme ceux de la commémoration des massacres du 17 octobre 1961, ne correspondent plus aux attentes de la diaspora ou du peuple algérien. Au cœur de cette crise, une jeunesse algérienne qui perd espoir. Nous parlerons d'elle et de cette crise diplomatique avec Razika Adani, philosophe, conférencière et islamologue franco-algérienne. Suivra un peu plus de légèreté. Maxime Fassiotti nous consacrera son programme « La Tuture à Papa ». Notre chroniqueuse Elisa Feliers est prête, motivée, c'est son baptême du feu, une première pour elle avec un gros sujet sur Vincent Bolloré. Soyez attentif car la matinale de 19h, c'est maintenant et c'est parti ! Présentation : Adrien-Guillaume Padovan / Co intervieweuse et chroniqueuse : Elisa Féliers / Réalisation : Colin Gruel / Coordination : Hugo Leroi / Invités : Cartouche et Razika Adnani / Web : Hugo Leroi
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Intervention de Jean-Phillipe Bertrand, animateur à TVA Sports : Carey Price suivra le programme d'aide aux joueurs. Conférence de presse de Marc Bergevin. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cuir ? Léopard ? Patchwork ? Doudoune ? Manteau de François Fillon ou différence entre sequin et paillettes…. Tout, tout, tout, vous saurez tout sur les grandes tendances mode de la rentrée, décryptées par Madame Meuf, en toute impartialité comme toujours. Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Cette semaine Joe Biden a choisi l'Europe pour entamer son premier déplacement à l'étranger en tant que président des États-Unis. Une visite au programme assez rempli: ce jeudi 10 juin, il arrive en Grande-Bretagne pour une rencontre avec le Premier ministre Boris Johnson avant le sommet du G7 qui se déroulera en Cornouailles du 11 au 13. Suivra encore une visite à la reine Élisabeth II à Windsor le dimanche 13. Il rejoindra ensuite Bruxelles pour le sommet de l'OTAN lundi 14, un sommet EU–UE le 15 et, enfin, une rencontre avec Poutine à Genève mercredi 16. Ce périple sera l'occasion de célébrer les retrouvailles européennes avec un pouvoir américain amical et constructif. La question la plus importante, c'est celle de la place et du rôle de l'Europe dans le nouveau monde que construisent les stratèges américains, structuré autour de la rivalité États-Unis–Chine: pour les Américains, à quoi peut servir l'Europe face à la Chine? Slate.fr s'est associé à la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales (IFRI) pour suivre l'actualité politique américaine et proposer tous les mercredis le podcast New Deal, avec Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord de l'IFRI, et cette semaine Christophe Carron, directeur des rédactions de Slate.fr. Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook. Générique: «Cutting It Close», de DJ Freedem
charbon, le podcast qui s'inspire de ceux qui font ! by J'ai un pote dans la com
Voici l'épisode 7 (Fr) de Moment Musicaux, la baladodiffusion de Concerts Lachine http://www.concertslachine.ca SOMMAIRE DE l'ÉMISSION: - Premier mouvement: Allegro du troisième concerto brandebourgeois de Bach interprété par l'Ensemble Caprice dirigé par Matthias Maute. - Entrevue avec Matthias Maute, fondateur et codirecteur artistique de l'ensemble Caprice. - L'Ensemble Caprice dirigé par Matthias Maute interprète une courte et délicieuse pièce, Xàcara, tirée de la collection Flores de Mùsica, des pièces principalement espagnoles composées entre 1706 et 1709. Suivra le mythique Adagio attribué à Tomaso Albinoni. - Stéphane Tétreault au violoncelle et Marie-Ève Scarfone au piano dans un extrait tiré du Divertimento en ré majeur de Joseph Haydn. - Entrevue avec Stéphane Tétreault, violoncelliste. - Stéphane Tétreault joue l'arrangement de Ewen Tsai pour trois violoncelles de la deuxième Valse de la suite jazz de Dmitri Shostakovich. Suivi du Cygne de Camille Saint-Saëns avec la superbe harpiste québécoise, Valérie Milot. - Le thème de cette balado est interprété par la pianiste Élisabeth Pion. https://vimeo.com/486955885
Cours audio MP3 de 6 minutes donné par Rabbanite Léa KISSOUS.
Entrevue avec Étienne Denis, spécialiste de contenu web, formateur, consultant en stratégie de contenu et un rédacteur : pourquoi y a-t-il autant de confusion dans les écrits du gouvernement? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Dans le cadre de notre projet de Noël de cette année, nous allons vous parler du gui, plante attaché par nature aux arbres mais aussi avec Noel. Suivra ensuite une visite au jardin zoologique enneigé a Bratislava et pour conclure, en restant dans le monde des animaux, nous allons rendre visite a un hôtel consacré aux chouchous a 4 pattes.
Après une courte traversée du désert, son exil en Europe et en Afrique du Sud, il est à nouveau l'un des acteurs principaux dans la crise politique profonde que traverse la République démocratique du Congo (RDC), depuis quelques mois. Il fait partie de ceux qui ont fait tomber la majorité de Joseph Kabila, et destituer Jeanine Mabunda, la présidente de l'Assemblée nationale jeudi 10 décembre. Moïse Katumbi, l'ancien gouverneur de la province du Katanga, répond aux questions d'Alain Foka.
Avec Tristan Beaudin, on parle de la fin de la saison dans le baseball majeur et de ce qui suivra pour la ligue. Comment voir ce titre tant attendu pour les Dodgers, comment on retiendra Clayton Kershaw dans l'histoire et la décision de retirer Blake Snell en 6e manche dans le match ultime. Je fais aussi un topo sur Trevor Lawrence positif au COVID - ce que ça veut dire pour lui et pour Clemson - et des Coyotes de l'Arizona avec la situation avec Mitchell Miller.
Simon est un prof de philo reconverti sur YouTube. Les 3 bombes de valeur : 1. Lancer son activité autour de ses points forts permet d'aller plus loin, plus vite et sans gaspiller son énergie 2. Noter ses pensées et ses idées dans un carnet permet de se libérer d'une charge mentale et de mieux réfléchir 3. Ne pas savoir ou on veut aller, c'est se contenter d'être façonné par notre entourage La chaine YouTube de Simon : https://www.youtube.com/channel/UCYrxCC_CPT2ZNAhzIonJj-A Retrouvez les notes et les références de cet épisode sur le site du podcast : 1j1e.com
Ce n’était qu’une question de temps avant que Solid Snake ne s’infiltre dans ce podcast. Si on prévoyait à la base un épisode « saga », le Covid et quelques autres petites choses en ont décidé autrement. Ainsi, vous avez droit à la formule traditionnelle, ne portant que sur le premier volet (sort of) de la licence. Parce que Metal Gear Solid est sans aucun doute l’un des jeux les plus marquants de la première Playstation, cette lettre d’amour a été écrite collectivement par cette équipe qui n’a rien à envier à l’unité Fox. Audrey, chef barmaid au Liquorium, bar parisien situé au 11 rue Saint-Denis Jean-Baptiste, ex-journaliste, coanimateur des podcast Outrider et Landrider | ingénieur son et image pour différentes chaînes YouTube, notamment le French Wargame Studio et La Bonne Auberge | Twitter Johan, libraire à BDnet Nation | Twitter Guillaume, professeur de Lettres et d’Histoire | Twitter Merci à eux tous de s’être livré à l’exercice de l’enregistrement à distance, raison pour laquelle le son n’est pas aussi bon que d’habitude. J’ai fais ce que j’ai pu et désolé si parfois ça sature un peu. Cet épisode estival ne sera pas le seul. Suivra dans quelques semaines un numéro un peu spécial qui, pour la première fois, sera centré sur une actu. D’ici-là, passez un bon été ! Playlist : 01 – TAPPY - Main Theme | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami 02 – KCE – Encounter | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami 03 – KCE – Enclosure | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami 04 – KCE – Rex’s Lair | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami 05 – Rika Muranaka & Aoife Ní Fhearraigh - End Title - The Best is yet to come | Metal Gear Solid Original Game Soundtrack © 1998 King Records / Konami Si vous avez enjaillé l’écoute de ce podcast, allez-donc lâcher un petit commentaire (mais une grosse note) sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur les grandes plateformes de l’Internet mondial : - Facebook - Twitter - Instagram
La méthode du tapir enragé : un écrivain au travail (2/3) Dans cette deuxième partie, Jaenada décortique l'origine et la documentation nécessaire à l'élaboration de La Petite femelle. Après sept livres autobiographiques ayant fait de lui une sorte de Bukowski français (alcool, amour, humour, tiercé) et une première enquête sur le braqueur Bruno Sulak, c'est l'ouvrage qui a tout changé pour lui, extrêmement précis (selon sa méthode dite du « tapir enragé », vérifiant toutes les pièces du dossier jusqu'aux frontières de la folie), tout en cassant les codes de la chronique judiciaire par une avalanche d'anecdotes personnelles particulièrement comiques. Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard.Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe Jaenada Fils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Lectures : Laure Giappiconi - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
Mais comment ça bosse, un chameau sauvage ? Un écrivain au travail (3/3) Enfermé chez lui depuis des mois pour écrire son nouveau livre-enquête de possiblement mille pages, à paraître en 2021, à propos d'un étrangleur d'enfant, l'ours Jaenada sort de sa grotte et commente, dans cette troisième et dernière partie, son travail sur la phrase, son noble combat contre les expressions toutes faites (type : « c'est la goutte qui fait déborder le vase ») ou la place de l'argent dans sa vie d'écrivain. Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard.Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe JaenadaFils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Lectures : Laure Giappiconi - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
Philippe et ses trophées de bowling : un écrivain au travail Il se rêvait pilote d'avion, mais l'existence en a décidé autrement, à la faveur d'une très étrange idée : s'enfermer seul, pendant un an, dans son appartement. « Pour ne pas devenir fou », le jeune Jaenada commence à écrire des histoires saugrenues influencées par sa découverte des romans de l'Américain Richard Brautigan, notamment Willard et ses trophées de bowling (1975). S'en suivra une expérience historique (« J'ai été la première animatrice de minitel rose du monde ! »), un premier roman « ridicule », dit-il, écrit sur demande du patron légendaire des éditions de Minuit… et son interprétation très personnelle, à renforts de parenthèses, de la célèbre phrase de Deleuze : « Un grand écrivain, c'est un étranger dans sa propre langue. » Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard. Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe JaenadaFils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Après sept livres autobiographiques ayant fait de lui une sorte de Bukowski français (alcool, amour, humour, tiercé), c'est le livre qui a tout changé pour Philippe Jaenada. Extrêmement précis (selon sa méthode dite du « tapir enragé », vérifiant toutes les pièces du dossier jusqu'aux frontières de la folie), tout en cassant les codes de la chronique judiciaire par une avalanche d'apartés personnels particulièrement comiques. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
Philippe et ses trophées de bowling : un écrivain au travail Il se rêvait pilote d'avion, mais l'existence en a décidé autrement, à la faveur d'une très étrange idée : s'enfermer seul, pendant un an, dans son appartement. « Pour ne pas devenir fou », le jeune Jaenada commence à écrire des histoires saugrenues influencées par sa découverte des romans de l'Américain Richard Brautigan, notamment Willard et ses trophées de bowling (1975). S'en suivra une expérience historique (« J'ai été la première animatrice de minitel rose du monde ! »), un premier roman « ridicule », dit-il, écrit sur demande du patron légendaire des éditions de Minuit… et son interprétation très personnelle, à renforts de parenthèses, de la célèbre phrase de Deleuze : « Un grand écrivain, c'est un étranger dans sa propre langue. » Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard. Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe JaenadaFils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Après sept livres autobiographiques ayant fait de lui une sorte de Bukowski français (alcool, amour, humour, tiercé), c'est le livre qui a tout changé pour Philippe Jaenada. Extrêmement précis (selon sa méthode dite du « tapir enragé », vérifiant toutes les pièces du dossier jusqu'aux frontières de la folie), tout en cassant les codes de la chronique judiciaire par une avalanche d'apartés personnels particulièrement comiques. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
La méthode du tapir enragé : un écrivain au travail (2/3) Dans cette deuxième partie, Jaenada décortique l'origine et la documentation nécessaire à l'élaboration de La Petite femelle. Après sept livres autobiographiques ayant fait de lui une sorte de Bukowski français (alcool, amour, humour, tiercé) et une première enquête sur le braqueur Bruno Sulak, c'est l'ouvrage qui a tout changé pour lui, extrêmement précis (selon sa méthode dite du « tapir enragé », vérifiant toutes les pièces du dossier jusqu'aux frontières de la folie), tout en cassant les codes de la chronique judiciaire par une avalanche d'anecdotes personnelles particulièrement comiques. Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard.Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe Jaenada Fils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Lectures : Laure Giappiconi - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
Mais comment ça bosse, un chameau sauvage ? Un écrivain au travail (3/3) Enfermé chez lui depuis des mois pour écrire son nouveau livre-enquête de possiblement mille pages, à paraître en 2021, à propos d'un étrangleur d'enfant, l'ours Jaenada sort de sa grotte et commente, dans cette troisième et dernière partie, son travail sur la phrase, son noble combat contre les expressions toutes faites (type : « c'est la goutte qui fait déborder le vase ») ou la place de l'argent dans sa vie d'écrivain. Le podcast BookmakersC'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers propose aux plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui de raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard.Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.En partenariat avec Babelio L'écrivain du mois : Philippe JaenadaFils spirituel de Bukowski et de Jacques le fataliste, féru de courses hippiques ou de whisky écossais, allergique au voyage mais ne se déplaçant jamais sans son sac matelot, Philippe Jaenada, 55 ans, est peut-être l'écrivain le plus drôle de France. Toujours vêtu de noir, il surgit en 1997 avec Le Chameau sauvage, ou les galères d'un curieux célibataire, sacré d'un prix de Flore, adapté au cinéma et premier volet d'une série de sept romans autobiographiques sur lui, sa femme, leur fiston ou leurs vacances incendiaires en Italie.Suivra un second cycle, en cours depuis 2013, composé d'enquêtes sur des affaires criminelles écrites à la première personne, riches en digressions improbables, tout en étant comme possédées par l'obsession de la vérité – fidèle à sa méthode dite du « tapir enragé ». Bingo : La Serpe, en 2017, se voit couronné du prix Femina et se vend à plus de 400 000 exemplaires. Mais ce succès fut préparé par la maestria déployée dans le livre précédent, La Petite femelle (éditions Julliard, 2015), portrait d'une jeune meurtrière de l'immédiate après-guerre haïe par ses juges et plus généralement par le patriarcat parce qu'elle refusait de marcher dans les clous d'une existence toute tracée de femme au foyer.Fidèle à sa verve truculente, Philippe Jaenada détaille les conditions de fabrication de cette true crime story de 700 pages, mais également des circonstances étranges qui l'ont amené à devenir écrivain. La Petite Femelle (Julliard, 2015)C'est l'histoire de Pauline Dubuisson, condamnée en 1953 pour le meurtre de son ex-petit ami, mais traînée dans la boue par les journaux pour avoir couché, jeune femme, avec l'occupant allemand, tout en refusant après-guerre un destin de femme au foyer pour devenir médecin. Enregistrement : janvier 20 - Entretiens et découpage : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Lectures : Laure Giappiconi - Remerciements : Nanou Harry & Aurélien Manya - Lecture : Laure Giappiconi - Production : ARTE Radio
Ne manquez pas ce rendez-vous exceptionnel ! James Ellroy, né à Los Angeles, publie son premier livre Brown’s Requiem en 1961 aux E.U. Lune sanglante, premier volume de la trilogie du flic Lloyd Hopkins le fait connaître en France. Mais c’est avec Le Dahlia noir, début du Quatuor de Los Angeles, que sa carrière explose. Suivra la trilogie Underworld USA, qui remporte un très grand succès et l’installe comme l’auteur phare du roman criminel aux E.U et en France. Il vient d’entrer dans la Everyman’s Library, l’équivalent américain de la Pléiade. Il a entamé un nouveau Quatuor de Los Angeles avec Perfidia. A l'occasion de son passage en France, James Ellroy s'arrête au Havre et vient présenter à la Librairie La Galerne le deuxième tome, La tempête qui vient (Éditions Rivages). #jamesellroy#éditionsrivages#latempetequivient#littérature#galerne#lagalerne#librairielagalerne#librairiesindépendantes#librairiesinitiales#lehavre#LH
durée : 00:54:12 - Popopop - par : Antoine de Caunes - Antoine de Caunes reçoit Arno à l'occasion de la sortie de son nouvel album intitulé Santeboutique. Suivra une tournée qui débutera mi janvier.
Luc Bellemare et Gaston Therrien parlent de Charles Hudon et Charlie Lindgren qui n'ont pas été réclamés au ballottage, et du dernier joueur à retrancher chez le Canadien. Aussi, Gaston donne ses étoiles de la semaine!
Robert Paquette a été le tout premier musicien franco-ontarien à enregistrer un album professionnel. C’était en 1974. Suivra une longue carrière ponctuée de succès et de pauses qu’il consacrera notamment à de l’animation à la télévision. Ses chansons «Bleu et Blanc» et «Jamaica» ont été sacrées «Chansons classiques» par la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. Rencontre avec Robert Paquette, une figure incontournable du paysage musical franco-ontarien…
Le soleil qui pointe le bout de son nez, le ciel bleu gris inimitable de la capitale, les cours de salsa qui font salle comble, nul doute : c'est le Printemps! Et cette année encore, nous avons le plaisir de vous proposer le meilleur de la crème des découvertes du festival qu'on aime tant chez Tout Foutre On Air : faites entrer les Inouis du Printemps de Bourges 2015 ! Ce mercredi 15 avril à 21:00 on vous propose 1h30 d'émission dédiée aux élus de cette année, en compagnie de Rita Sa Rego, coordinatrice du Réseau Printemps, et deux artistes de la sélection Ile-de-France : MILAN et Neue Grafik! Les Inouïs du Printemps de Bourges 2015 Un réseau unique pour découvrir des nouveaux talents Du vendredi 24 au mercredi 29 Avril 2015 se tiendra la 39ème édition du Printemps de Bourges. Comme chaque année, Daniel Colling et ses équipes ont réservé une place de choix aux nouveaux talents de la scène héxagonale et francophone avec un dispositif unique de sélection grâce à 29 antennes régionales. 50000 inscrits, 1500 sélectionnés et finalement 32 élus qui profiteront d'une forte exposition sur 4 jours de concerts thématiques au Printemps de Bourges. Véritable tremplin , c'est l'occasion pour eux de se produire devant un public riche en professionnels de la musique. Cette année, Cette année, huit anciens artistes iNOUÏS sont dans la programmation officielle : Christine and The Queens (couronnée de deux victoires de la musique, d'un disque d'or et d'une brassée d'awards variés depuis son Prix du Jury- iNOUÏS au Printemps de Bourges 2012), Kid Wise, Chinese Man, Hyphen Hyphen, Ben Mazué, Fakear, Thylacine et La Fine Equipe. Cette année le Président du Jury des Inouïs sera Mathias Malzieu qui remettra le Prix des Inouïs à l'artiste ou au groupe ayant le plus fait sensation à Bourges. Suivra une tournée des Inouïs pour continuer le soutien et la rencontre avec public après le festival : le 6 octobre au Cargo de Caen, le 7 au Chabada d'Angers, le 8 au Metronum de Toulouse, le 9 à la Coopérative de Mai de Clermont-Ferrand, le 10 à la Cartonnerie de Reims. La sélection Inouïs 2015 Pour cette 30ème sélection d'artistes, l'accent a vraiment été mis sur la découverte. On a hâte de découvrir et vous faire découvrir ce vivier de nouveaux talents héxagonaux et francophones en compagnie de Rita Sa Rego, coordinatrice du Réseau Printemps. ROCK, POP, FOLK Aloha Orchestra (Haute-Normandie) Bantam Lyons (Pays-de-la-Loire) By The Fall (Auvergne) Carré-Court (Limousin) Groenland (Québec) Last Train (Alsace) Martin Mey (PACA) Milan (Ile-de-France) Peter Pitches (Centre) Puts Marie (Suisse) Rouge Congo (Champagne-Ardenne) Sarraco (Poitou-Charentes) Vilain (Nord-Pas de Calais) HIP-HOP City Kay (Bretagne) Dandyguel (Ile-de-France) Darjeeling Speech (Bretagne) N3rdistan (Languedoc-Roussillon) Perfect Hand Crew (Languedoc-Roussillon) Pira.TS (Franche-Comté) MUSIQUES ÉLECTRONIQUES Cotton Claw (Franche-Comté) DDDXIE (Nord-Pas-de-Calais) Gordon (Picardie) Jumo (Pays-de-la-Loire) Le Common Diamond (Midi-Pyrénées) N U I T (Haute-Normandie) Neue Grafik (Ile-de-France) CHANSON, WORLD Gontard ! (Rhône-Alpes) Iltika (Bourgogne) Lior Shoov (Ile-de-France) Nicolas Michaux (Belgique) Radio Elvis (Ile-de-France) Tricodpo (Ile de la Réunion) MILAN et Neue Grafik : nos invités du soir Avec nous dans le studio ce soir, deux Inouïs du Printemps de Bourges 2015. MILAN Duo parisien actif depuis 2013, MILAN (Sebastien Forrester et Corentin Gallet) produit un rock synthétique sombre et puissant. On aime beaucoup l'énergie brute et punk de la voix de Corentin. Il sera avec nous en studio pour nous parler notamment de Dunkers, premier EP de Milan sorti en 2015 contenant 6 titres. Neue Grafik Neue Grafik est l'un des plus fiers représentant de la scène house Made in France. Après avoir collaboré avec Grems sur son album 'Vampire', il se fait remarqué grâce à la sortie d'EP sur Slime Recordings, Beat X Changers et enfin S3A Records. Entre soul jazz et UK garage, on est super heureux d'accueillir ce touche à tout musical pour une interview et un live dans le studio de Radio Campus Paris ! *** C'est Tout Foutre On Air spéciale Inouïs du Printemps de Bourges 2015 avec MILAN et Neue Grafik! C'est 1h30 de découverte musicale, d'interview et de live! C’est ce mercredi 15er avril 2015 de 21:00 à 22:30 en direct sur 93.9FM et en streaming sur le site de Radio Campus Paris ***
Deuxième de la treizième session... Cette semaine, un album de hard-bop, du piano jazz et une nouveauté !... En ouverture, du bon piano-trio avec le son de Tommy Flanagan sur l'album Complete Original Recordings (Lonehill Jazz, ré-édition 2007). Suivra le piano solo de Art Tatum avec des pièces de Complete Capitol Recordings (Capitol, 1949). Comme pièce de résistance, l'album complet du batteur Roy Haynes, Cracklin' (New Jazz, 1963). L'émission se termine avec la présentation du pianiste français Baptiste Trotignon et des extraits de son plus récent album, Share (Sunnyside, 2009).
Deuxième de la treizième session... Cette semaine, un album de hard-bop, du piano jazz et une nouveauté !... En ouverture, du bon piano-trio avec le son de Tommy Flanagan sur l'album Complete Original Recordings (Lonehill Jazz, ré-édition 2007). Suivra le piano solo de Art Tatum avec des pièces de Complete Capitol Recordings (Capitol, 1949). Comme pièce de résistance, l'album complet du batteur Roy Haynes, Cracklin' (New Jazz, 1963). L'émission se termine avec la présentation du pianiste français Baptiste Trotignon et des extraits de son plus récent album, Share (Sunnyside, 2009).
Onzième de la douzième session... Cette semaine, du jazz vocal, une nouveauté et un suite aux allures free... En ouverture un peu de Frank Sinatra, parce que c'est toujours bon ! et un peu de Antonio Carlos Jobim sur l'album Stone Flower (CTI, 1970). Ensuite, dans le vif du sujet, des extraits du nouveau projet de Joe Lovano, Us Five, sur l'album Folk Art (Blue Note, 2009). Suivra une longue pièce sous forme de suite, du trompettiste Don Cherry sur l'album Live at Café Montmartre 1966 Vol. 3 (ESP-Disk, 2009). Normal 0 MicrosoftInternetExplorer4 /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Table Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman";} L'émission se termine par un retour en Amérique Latine, avec du Gato Barbieri sur l'album Chapter One : Latin America (Impulse!, 1973).
Onzième de la douzième session... Cette semaine, du jazz vocal, une nouveauté et un suite aux allures free... En ouverture un peu de Frank Sinatra, parce que c'est toujours bon ! et un peu de Antonio Carlos Jobim sur l'album Stone Flower (CTI, 1970). Ensuite, dans le vif du sujet, des extraits du nouveau projet de Joe Lovano, Us Five, sur l'album Folk Art (Blue Note, 2009). Suivra une longue pièce sous forme de suite, du trompettiste Don Cherry sur l'album Live at Café Montmartre 1966 Vol. 3 (ESP-Disk, 2009). Normal 0 MicrosoftInternetExplorer4 /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Table Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman";} L'émission se termine par un retour en Amérique Latine, avec du Gato Barbieri sur l'album Chapter One : Latin America (Impulse!, 1973).
Neuvième de la douzième session... Cette semaine, spécial étiquette de disque Tzadik ! Mais d'abord en ouverture trois pièces en trio du pianiste Ahmad Jamal de l'album Complete live at the Spotlight Club 1958 (Gambit, 2007). Ensuite, l'on entre dans le vif du sujet avec des compositions pour films de John Zorn provenant de Filmworks XX (Tzadik, 2008) et Filmworks XXIII (Tzadik, 2009). Suivra la présentation du saxophnoiste Uri Gurvich avec des pièces de son nouvel album The Story Teller (Tzadik, 2009). On termine l'émission avec l'excellente proposition Ha'orot (Tzadik, 2009) du Greg Wall's Later Prophets. Aussi durant l'émission...lecture de quelques vignettes de l'animateur...
Neuvième de la douzième session... Cette semaine, spécial étiquette de disque Tzadik ! Mais d'abord en ouverture trois pièces en trio du pianiste Ahmad Jamal de l'album Complete live at the Spotlight Club 1958 (Gambit, 2007). Ensuite, l'on entre dans le vif du sujet avec des compositions pour films de John Zorn provenant de Filmworks XX (Tzadik, 2008) et Filmworks XXIII (Tzadik, 2009). Suivra la présentation du saxophnoiste Uri Gurvich avec des pièces de son nouvel album The Story Teller (Tzadik, 2009). On termine l'émission avec l'excellente proposition Ha'orot (Tzadik, 2009) du Greg Wall's Later Prophets. Aussi durant l'émission...lecture de quelques vignettes de l'animateur...
Huitième de la douzième session... Cette semaine, bluesy-funky-R&B show ! En ouverture un peu de Professor Longhair avec des pièces de l'album Rock'n Roll Gumbo (réédition, Sunnyside, 2006). Ensuite le groove de King Curtis sur l'album Instant Groove (réédition, Wonded Bird, 2008). On enchaîne avec du Maceo Parker avec son album double en hommage à Ray Charles, Roots and Grooves (Intuition, 2007). Suivra les rythmes rapides de la formation The New Mastersounds avec des pièces de l'album Plug & Play (One Note, 2008). L'émission se termine avec un peu de Stanley Turrentine avec des pièces de l'album A chop from the Old Block (Blue Note, 1963).
Huitième de la douzième session... Cette semaine, bluesy-funky-R&B show ! En ouverture un peu de Professor Longhair avec des pièces de l'album Rock'n Roll Gumbo (réédition, Sunnyside, 2006). Ensuite le groove de King Curtis sur l'album Instant Groove (réédition, Wonded Bird, 2008). On enchaîne avec du Maceo Parker avec son album double en hommage à Ray Charles, Roots and Grooves (Intuition, 2007). Suivra les rythmes rapides de la formation The New Mastersounds avec des pièces de l'album Plug & Play (One Note, 2008). L'émission se termine avec un peu de Stanley Turrentine avec des pièces de l'album A chop from the Old Block (Blue Note, 1963).
Troisième de la douzième session ! Cette semaine, de l'électro jazz, de la guitare et des percussions ! En ouverture quelques pièces de l'excellent percussionniste Cyro Batista sur l'album Love the Donkey (2005, Tzadik). Suivra l'album complet Khmer (1998, ECM) du trompettiste Nils Petter Molvaer. On poursuivra en deuxième partie d'émission avec la guitare planante de Bill Frisell avec des extraits de l'album Lookout for Hope (1987, ECM)... Et finalement des pièces hard-bop avec Donald Byrd et Doug Watkins sur la compilation d'albums, The Transition Sessions (1956, Blue Note).
Troisième de la douzième session ! Cette semaine, de l'électro jazz, de la guitare et des percussions ! En ouverture quelques pièces de l'excellent percussionniste Cyro Batista sur l'album Love the Donkey (2005, Tzadik). Suivra l'album complet Khmer (1998, ECM) du trompettiste Nils Petter Molvaer. On poursuivra en deuxième partie d'émission avec la guitare planante de Bill Frisell avec des extraits de l'album Lookout for Hope (1987, ECM)... Et finalement des pièces hard-bop avec Donald Byrd et Doug Watkins sur la compilation d'albums, The Transition Sessions (1956, Blue Note).
Douzième de la onzième session... Cette semaine l'on surf et l'on groove ! En ouverture, incursion dans le style surf des années 60 avec des pièces instrumentales de la compilation It Came from the Beach (ACE, 2008). Par la suite, petite pensée pour le saxophoniste Bud Shank décédé récemment avec deux pièces de l'album Sunshine Express (Concord Jazz, 1976). Suivra une bonne dose d'énergie avec des pièces inédites du Five Peace Band qui sera à Montréal le 28 avril prochain ! Puis, l'Inde et Miles Davis nous inspirent avec deux pièces de l'album concept Miles from India (Times Squares, 2008). Et l'on termine avec un peu de bop/soul jazz avec quelques pièces de l'album Movin' Right Along (Prestige, 1960) du saxophoniste Arnett Cobb.
Douzième de la onzième session... Cette semaine l'on surf et l'on groove ! En ouverture, incursion dans le style surf des années 60 avec des pièces instrumentales de la compilation It Came from the Beach (ACE, 2008). Par la suite, petite pensée pour le saxophoniste Bud Shank décédé récemment avec deux pièces de l'album Sunshine Express (Concord Jazz, 1976). Suivra une bonne dose d'énergie avec des pièces inédites du Five Peace Band qui sera à Montréal le 28 avril prochain ! Puis, l'Inde et Miles Davis nous inspirent avec deux pièces de l'album concept Miles from India (Times Squares, 2008). Et l'on termine avec un peu de bop/soul jazz avec quelques pièces de l'album Movin' Right Along (Prestige, 1960) du saxophoniste Arnett Cobb.
Dixième de la onzième session... Cette semaine, du jazz intense avec un spécial 3 pour 1... En ouverture l'on s'offre trois pièces de Eric Dolphy sur les albums Iron Man (Restless, 1963), Live at the Five Spot Vol. 2 (Prestige/OJC, 1961) et Out There (New Jazz/OJC, 1960). On enchaînera ensuite avec trois pièces de l'album West Coast Hot (Jive/Norvus, 1969) qui regroupe le John Carter and Bobby Bradford Quartet et le Horace Tapscott Quintet. Suivra quelque chose de lourd, très lourd avec trois pièces de l'album The Crucible de John Zorn avec Mike Patton (Tzadik, 2008). Puis l'on poursuivra dans la même veine avec le free jazz de la formation The Thing et trois pièces de l'album Action Jazz (Smalltown Superjazz, 2007). L'émission se termine sur une note plus mélancolique avec, si le temps le permet, trois pièces d'Albert Ayler sur l'album Goin' Home (Black Lion, 1964). Je reviens aussi sur le concert de la formation Odeon de Ted Nash présenté le 27 mars dernier...
Dixième de la onzième session... Cette semaine, du jazz intense avec un spécial 3 pour 1... En ouverture l'on s'offre trois pièces de Eric Dolphy sur les albums Iron Man (Restless, 1963), Live at the Five Spot Vol. 2 (Prestige/OJC, 1961) et Out There (New Jazz/OJC, 1960). On enchaînera ensuite avec trois pièces de l'album West Coast Hot (Jive/Norvus, 1969) qui regroupe le John Carter and Bobby Bradford Quartet et le Horace Tapscott Quintet. Suivra quelque chose de lourd, très lourd avec trois pièces de l'album The Crucible de John Zorn avec Mike Patton (Tzadik, 2008). Puis l'on poursuivra dans la même veine avec le free jazz de la formation The Thing et trois pièces de l'album Action Jazz (Smalltown Superjazz, 2007). L'émission se termine sur une note plus mélancolique avec, si le temps le permet, trois pièces d'Albert Ayler sur l'album Goin' Home (Black Lion, 1964). Je reviens aussi sur le concert de la formation Odeon de Ted Nash présenté le 27 mars dernier...
Quatrième émission de la onzième session... Cette semaine...des cordes, du piano et quelques trucs free ! En ouverture, une pièce du flûtiste québécois François Richard qui sera en concert le 13 février 2009 au Gesù avec le violoniste Mark Feldman... Par la suite quelques pièces de Mark Feldman sur l'album What Exit (ECM, 2006). Suivra une séquence piano avec Duke Ellington sur Piano in the Foreground (Columbia, 1961) et Cecil Taylor en solo sur Garden Part I (hatART, 1981). On change ensuite férocement d'univers avec des pièces de l'album Clash (Smalltown Superjazz, 2008) du power trio OffonOff qui sera à Montréal le 16 mai 2009. On termine plus calme avec des nouvelles pièces de Medeski Martin and Wood sur Radiolarians 1 (Red Ink, 2008).
Quatrième émission de la onzième session... Cette semaine...des cordes, du piano et quelques trucs free ! En ouverture, une pièce du flûtiste québécois François Richard qui sera en concert le 13 février 2009 au Gesù avec le violoniste Mark Feldman... Par la suite quelques pièces de Mark Feldman sur l'album What Exit (ECM, 2006). Suivra une séquence piano avec Duke Ellington sur Piano in the Foreground (Columbia, 1961) et Cecil Taylor en solo sur Garden Part I (hatART, 1981). On change ensuite férocement d'univers avec des pièces de l'album Clash (Smalltown Superjazz, 2008) du power trio OffonOff qui sera à Montréal le 16 mai 2009. On termine plus calme avec des nouvelles pièces de Medeski Martin and Wood sur Radiolarians 1 (Red Ink, 2008).
Douzième de la dixième session... Un nouveau nom et quelques bonnes pointures free cette semaine. On débute avec Courtney Pine et des pièces de l'album Journey to the urge Within (Antilles, 1986) Puis on tombe dans l'univers de Paul Motian et des pièces de l'album Jack of Clubs (Soul Note, 1984) Suivra le pianiste canadien Paul Bley et des pièces de Turning Point (1964, Improvising Artists) On termine avec énergie ! Le Free Music Ensemble nous offre une improvisation enregistré à la Sala Rossa et The Vandermark 5 nous fait bouger du pied avec des pièces de l'album Element of Style (Atavistic, 2004). Il y aura aussi lecture de quelques textes signés par l'animateur...
Douzième de la dixième session... Un nouveau nom et quelques bonnes pointures free cette semaine. On débute avec Courtney Pine et des pièces de l'album Journey to the urge Within (Antilles, 1986) Puis on tombe dans l'univers de Paul Motian et des pièces de l'album Jack of Clubs (Soul Note, 1984) Suivra le pianiste canadien Paul Bley et des pièces de Turning Point (1964, Improvising Artists) On termine avec énergie ! Le Free Music Ensemble nous offre une improvisation enregistré à la Sala Rossa et The Vandermark 5 nous fait bouger du pied avec des pièces de l'album Element of Style (Atavistic, 2004). Il y aura aussi lecture de quelques textes signés par l'animateur...
Onzième de la dixième session... Cette semaine je reviens sur le concert de Chet Doxas avec invité le batteur Bill Stewart présenté au Upstairs le 28 novembre dernier. Au menu musical, bop et free ! avec au départ le quartet de Roy Haynes et l'album Out of the Afternoon (Impulse!, 1962). Ensuite, on poursuit avec l'excellent contrebassiste Scott Colley et des pièces de l'album This Place (SteepleChase, 2000). Suivra les puissantes harmonies du Chris Speed trio avec des pièces de Iffy (Knitting Factory, 2000). On termine sur une note free avec la présentation du saxophoniste Wally Shoup et l'album Blue Purge (Leo, 2005).
Onzième de la dixième session... Cette semaine je reviens sur le concert de Chet Doxas avec invité le batteur Bill Stewart présenté au Upstairs le 28 novembre dernier. Au menu musical, bop et free ! avec au départ le quartet de Roy Haynes et l'album Out of the Afternoon (Impulse!, 1962). Ensuite, on poursuit avec l'excellent contrebassiste Scott Colley et des pièces de l'album This Place (SteepleChase, 2000). Suivra les puissantes harmonies du Chris Speed trio avec des pièces de Iffy (Knitting Factory, 2000). On termine sur une note free avec la présentation du saxophoniste Wally Shoup et l'album Blue Purge (Leo, 2005).