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Dans ce nouvel épisode de OK:SII, rencontre avec Jean-Philippe Gillibert, Coach Agile et créateur de serious games chez SII, pour parler de City For Safe, un jeu accessible à tous (Développeurs, Scrum Masters, Product owners, Managers, RH, étudiants...) qui permet de sensibiliser à l'agilité à l'échelle.Au programme :➡ C'est quoi un serious game, et pourquoi l'utiliser en entreprise ?➡ Comment est né City For Safe ?➡ Comment un jeu façon escape game peut accélérer une transformation agile ?Chez SII, on croit en l'apprentissage par l'action, le partage de connaissances et l'innovation au service de la transformation.Nous encourageons nos salariés à prendre des initiatives — et à inventer de nouveaux outils, comme Jean-Philippe.#LetsTechTogether
Quartier d'affaires - le podcast dédié au monde de l'entreprise
Avec 40 ans d'expérience au service des acteurs du BTP, M&C3I travaille aujourd'hui pour les plus grands Bouygues, Vinci, Spie Batignolles pour n'en citer que quelque uns...M&C3i a developpé un écosystéme de solutions type SAAS permettant aux professionnels du BTP de réussir leur projet.Etude des prix, gestion des chantiers, des devis et ses sous-traitants, M&C3I assure l'ensemble des prestations.Constituée d'ingénieurs et de techniciens dotés d'une forte connaissance du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics et d'informaticiens formés aux nouvelles technologies, l'équipe de M&C3i assure la commercialisation et la mise en place des logiciels en France et à l'étranger avec un ensemble de prestations in situ ou à distance adapté à la taille de l'entreprise et des projets.A l'origine de cette aventure Sylvain BRILLAND ingénieur INSA (option Génie Civil et Urbanisme doublée d'un cursus en Informatique) vient de nous parler de son parcours"Dans des grands groupes, il y a des tempêtes, il y a des changements de direction. C'est un gros avantage (...) pour notre structure de pouvoir les accompagner aussi longtemps.."Sylvain BrillandHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode des "Interviews Scale2Sell", nous avons le plaisir de recevoir Marc Wolff, un entrepreneur chevronné, ayant fondé et dirigé plusieurs entreprises dans le secteur des services informatiques. Il revient sur ses vingt années d'entrepreneuriat, marquées par la croissance impressionnante de sa première société de 2 à 220 collaborateurs et sa vision du rôle central du dirigeant dans le développement commercial de l'entreprise.Moments forts de l'épisode :
Un des 2 CTA de Malt, qui a co-fondé le projet c'est Hugo Lassiege. Il est passé de SSII à freelance puis à fondateur d'une des startups les plus connues de France. Mais il a voulu en faire plus. Il a quitté Malt et il est parti au Japon, il a commencé à faire des vidéos YouTube et souhaite créer des SaaS rentables, un mode Bootstraper. Il a énormément d'expérience et ensemble on va : revenir sur son histoire en tant que fondateur de Malt redécouvrir la vie de Freelance en France débattre sur l'AI dans la tech débattre sur les freelance vs CDI parler de création de contenu sur YouTube et dans un blog et beaucoup d'autres choses Retrouve-le sur les réseaux : Son Twitter Son YouTube Tu veux créer un SaaS ? Regarde NOW.TS
On a pas trop su sur quel pied danser aujourd'hui à Paris. Côté satisfaction, les résultats publiés par Nvidia hier soir ont propulsé le titre au delà des 1.000 dollars alors que l'activité est au beau fixe et que les perspectives du groupe pour le deuxième trimestre sont supérieures aux attentes. Côté déception, les investisseurs ont pris connaissance du compte-rendu de la dernière réunion de la Fed avec des grincements de dents. Si Jerome Powell a déclaré que le prochain mouvement de la banque centrale "ne serait pas une hausse de taux" certains membres du FOMC semblent suggérer qu'il ne faut pas hésiter à relever les taux si nécessaire. De quoi remettre de l'incertitude sur les marchés.Résultat le CAC 40 termine à +0,13% vers les 8.102 points et 2,5 milliards d'euros échangés. A 17h45 le Dow Jones lui est plus resté bloqué sur la Fed et cède 0,7% quand le Nasdaq fait, lui +0,7% tiré par Nvidia qui grimpe de 10%Valeurs en hausseEuroapi domine le SBF 120 et le SRD. Le spécialiste des principes actifs a annoncé un accord de sous-traitance signé avec une entreprise mondiale de santé animale. La valeur totale attendue du contrat est de l'ordre de 130 à 150 millions d'euros sur la période 2025-2029.Derrière on retrouve Nexans et, paré de son nouveau nom Viridien, l'ex-CGG, ainsi qu'Euronext.Sur le CAC 40, Capgemini repart de l'avant, la SSII n'a enregistré que 3 séances de baisse sur les 10 dernières.Valeurs en baisseLa série baissière se poursuit pour Forvia. Cinq séances consécutives dans le rouge et un repli de 12,3% sur la période.Sur le CAC c'est Eurofins Scientific qui est à la peine à -3,6% sans que rien ne vienne vraiment l'expliquer.Soitec, lui, se replie dans la foulée de la publication, hier soir, de ses résultats annuels sur l'exercice 23-24. L'Ebitda a notamment baissé de 15% à 332 millions d'euros, faisant ressortir une marge de 34% contre 36% sur l'exercice précédent. Le spécialiste de la production de matériaux semi-conducteurs a confirmé ses objectifs sur l'exercice en cours : un chiffre d'affaires stable à périmètre et taux de change constants et une marge d'Ebitda autour de 35%. UBS a confirmé son conseil à l'achat avec un objectif de cours inchangé à 171 euros.Sur le SRD, on assiste à des prises de bénéfices sur Clariane après l'envolée des derniers jours.
La mission Handicap SII est devenue la mission Diversité et Inlcusion.Pourquoi ce changement de nom ? Quelles sont les actions concrètes de cette mission ?Rencontre avec Danika Broustail, Responsable de la mission Diversité et Inclusion, et Fabiana Faria, Campus Manager et Responsable de la mission Diversité et Inclusion chez SII Ile-de-France.Au programme de ce podcast :- Le handicap au travail, puisque nous sommes une entreprise handi-accueillante.- La Charte d'engagement LGBT+ que nous avons signée avec l'association @L'Autre Cercle.- La mixité, au travers de notre engagement avec l'association @Elles bougent.À écouter sur la plateforme de votre choix
Tu peux soutenir sur le podcast sur KissKissBankBank ou en mettant 5⭐️ sur Apple Podcasts ou Spotify ! Adrien est Founding Designer chez Linear. Il se lance dans le design un peu par hasard. Après quelques mois en école de commerce, Adrien abandonne cette voie professionnelle. Sur les conseils d'un ami, il fait une MANAA, puis un BTS en design interactif en alternance. Il commence sa carrière professionnelle dans une SSII et y développe surtout une fibre technique, plus que graphique. Mais l'école lui permet de tester des choses, d'explorer, de découvrir et de développer sa fibre créative. Après le BTS, Adrien trouve qu'il n'a pas développé de connaissances en gestion de projet. Il décide alors de faire un bachelor à ce propos. Mais l'école ne comble pas ses attentes… Il profite alors de ses études pour bosser sur des projets perso et expérimenter de nouvelles choses. En sortant d'école, Adrien veut faire du Product Design, mais ne se sent pas totalement légitime. Il estime avoir davantage d'expérience en Illustration et Brand Design et se vend sur ces compétences, malgré sa forte appétence pour la tech et le business. Il travaille alors comme freelance pour des start-ups early stage. Par la suite, il rejoint eFounders comme Brand Designer, mais monte de plus en plus sur le Product Design : il travaille sur des Design Systems, des icônes, l'intégration du branding dans les produits, etc. Mais après un an, Adrien quitte le start-up studio, car il souhaite se spécialiser dans le produit, se focaliser sur un seul projet, mais aussi partir aux Etats-Unis. Mais avant de traverse l'Atlantique, Adrien rejoint Prestashop, mais n'y reste que 3 mois… Avant de partir à New-York, pour travailler chez Microsoft sur la création d'Outlook Mobile. A son arrivée, Adrien est Brand & Icon Designer, mais va rapidement monter en compétence sur le Product Design. Il travaille alors la création de l'application. Au cours de cet épisode, il nous explique comment ce projet a été mené, quels choix ont été fait, comment il a fait pour travailler sur un produit qui existe depuis des années sur mobile, afin d'en assurer la continuité, sans le faire au détriment de nouveaux usages à construire. On aborde aussi l'intégration du langage visuel de Microsoft sur des plateformes (iOS et Android) qui possèdent leur propre langage. Enfin, il explique comment le produit a est pensé, réfléchi et construit durant cette période. Alors qu'il travaille chez Microsoft, Adrien découvre la plateforme GitHub. L'équipe converse énormément sur cette plateforme et toutes les décisions sont prises dessus. Cela lui rappelle une idée qui l'avait à l'époque d'eFounders : un GitHub centré sur la discussion et qui fait table rase de sa partie code. Il lance alors l'application Mac GitScoot pour remplir ce besoin. La traction de l'app est très bonne, Adrien quitte alors Microsoft. Malheureusement, l'API de GitHub n'est pas pratique à utiliser et rend le projet très dépendant du bon vouloir de l'entreprise. Dans le même temps, il réfléchit une application de prise de notes… Qui sera annulée avec la sortie de Notion. Après cette aventure entrepreneuriale, Adrien rentre en Europe et redevient freelance. Il fait l'une de ses missions pour “Jour” une application de santé mentale, devenue Alan Mind, pour créer une image de marque forte. Par la suite, Adrien est contacté par l'équipe qui lance le produit Linear. Ils ont été inspiré par GitScoot et voudraient qu'il les rejoigne. Adrien nous explique son arrivée dans l'entreprise, son équipe et surtout ses méthodes de travail. Il parle de sa relation avec les développeurs pour concevoir facilement et rapidement, et de sa manière de designer : exit les design systems et maquettes pixel perfect, ce qui compte c'est à quoi cela ressemble vraiment dans le produit. Les ressources de l'épisode Linear Guidelines Design Apple Les autres épisodes de Design Journeys #49 Jean-Marc Denis, Design Director @ Instagram & Messenger #65 Julie Chabin, Head of Product Design @ Product Hunt Pour contacter Adrien X
Pour une fois, on va plus se focaliser sur la mobilité, car je reçois Hélène Jacquemin de l'association INVD. In'VD, ça veut dire "Innovation véhicules Doux" et dont l'objectif est, je cite, "de trouver des solutions de mobilité soutenable en territoires ruraux et de les faire pratiquer par le plus grand nombre." Mais avant ça, Hélène a eu plusieurs vies professionnelles, elle a d'abord travaillé dans ce qu'on appelait à l'époque des SSII (maintenant on appelle ca des ESN, Entreprises de Services du Numérique) ou elle a terminé responsable d'un centre de profit. Ensuite, elle a fait de la formation et de la médiation dans les entreprises. Et depuis 2 ans elle a entamé une nouvelle vie pro, à Castelnau-Pégayrols (c'est près de Millau, dans l'Aveyron). Où elle est co-présidente de l'association In'VD. Comme quoi, le numérique mène à tout, à condition d'en sortir ! Les bons liens d'Hélène le documentaire Virage vers le Futur Roultoudou, une semaine sans ma voiture à Saint Beauzély Roultoudou, une semaine sans ma voiture à St Izaire Vélorution à Millau
Des réseaux 5G aux technologies émergentes, les télécoms sont en pleine effervescence. Zoom sur ce secteur avec Nicolas BILLORE, Key account manager Télécom. Au sommaire : ➡ Le marché des télécoms : quels enjeux et tendances ? ➡ L'écosystème : quels acteurs et métiers ? ➡ Green IT et secteurs des télécoms : ça match ou pas ? ➡ Et chez SII, que représente ce secteur ? Invité : Nicolas Billoré, Key Account Manager Télécoms - SII Group Nicolas Billoré sur LinkedIn Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Composants et matériels électroniques, semi-conducteurs : découvrez toutes les offres de notre partenaire Farnell France sur fr.farnell.com Marlène Vaur Henel, ex-manager d'une ESN, nous raconte les coulisses de la vie interne des Entreprises de Service du Numérique, jadis appelées SSII. Que vous soyez curieux des dérives de certains environnements professionnels ou impliqués dans une ESN, un témoignage qui pourrait bien vous faire bondir… ❤️ Patreon
Aujourd'hui, j'ai l'immense privilège de recevoir Aimery Duriez-Mise, cofondateur et co-CEO d'Alenia Consulting, un cabinet de conseil IT spécialisé dans la production applicative et les transformations IT. En d'autres mots, Alenia c'est la boîte qui murmure à l'oreille des CIO (Chief Information Officer) de grands groupes. Alenia, en quelques chiffres, c'est : 1 croissance de 50% chaque année depuis son démarrage en 2019 15 millions de C.A en 2022 Une team de 130 consultants Si je suis aussi enthousiaste à l'idée d'interviewer Aimery, c'est qu'on va parler des ESN (entreprises de services du numérique - anciennement les SSII), de la création au scaling. Un grand merci à Corentin Cadet (Klox) et Alexandre Bellity (Cleany) que vous pouvez retrouver à l'épisode #59 et #58 pour cette chouette mise en relation. Aimery, merci d'être avec nous aujourd'hui, comment vas-tu ? Kicker Question : Pour commencer, je te propose qu'on parle un peu de toi et d'Alenia Consulting ? Comment toute cette aventure a démarré ? Que faites-vous chez Alenia ? Vous avez fondé Alenia à 3, avec Marc-Antoine et Marjane, comment se répartissent les rôles, les responsabilités ? Les questions « Structure » : Q1. Comment crée-t-on une ESN de toute pièce ? Q2. Vous avez 2 cœurs d'activités : l'activité d'ESN classique et celle de conseil stratégique. Est-ce que tu pourrais nous expliquer les différences ? Vous êtes aussi devenus des experts européens d'un sujet spécifique : la production applicative - vous travaillez pour les DSI (Direction Système d'information) d'un grand nombre de banques européennes. Pourrais-tu me dire à quoi cela correspond ? Q3. Comment scale-t-on une ESN d'une dizaine de consultants (2019) à plus d'une centaine en moins de 4 ans (50% de croissance chaque année) ? Comment recrutez-vous ? Comment la cooptation est-elle organisée ? Q4. Tu as passé près de 18 ans à la SG et tu as su faire évoluer ta carrière dans cet immense jeu de société (pour reprendre tes mots). Quelles sont les leçons de cette expérience SG qui, aujourd'hui, te sont essentielles chez Alenia ? Q5. Comment créez-vous de l'agilité dans 1 structure sans silo ? Finish Line Question : Dans 1 an, j'ouvre une bouteille de champagne en l'honneur d'Alenia. À quoi spécifiquement trinque-t-on ? Conclusion sur Recruter grâce à la Cooptation avec Aimery Duriez-Mise Merci encore une fois à Aimery pour son temps et pour ce partage. J'ai passé un excellent moment en sa compagnie et j'espère que vous aussi ! Pour retrouver Aimery Duriez-Mise Profil Linkedin : https://www.linkedin.com/in/aimeryduriezmise/ Site Web : https://www.alenia.io/ Les liens pour me rejoindre : Site web : https://www.squared.eu/ YouTube : https://www.youtube.com/@Squared-eu Profil LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/romaincollignon/ Instagram : https://www.instagram.com/romaincoll/
Invités : Thierry Chevalier, directeur de SII Nord et Jeremy Becker, coach Agile et leader des communautés. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Programme Une conférence pour oser passer à l'action ! ⇨ PARCE QUE LA CHANCE N'A RIEN À VOIR AVEC LE HASARD 1h pour vous le démontrer ou vous le confirmer ! ⇨ POUR MOTIVER VOTRE ÉQUIPE et lui donner envie de conquérir sa chance ! Thématiques abordées : ► L'histoire de ce projet : « faire d'un Pépin une Pépite » ► Notre Saboteur et notre Allié : apprendre à négocier ► La Chance est une compétence qui se développe ► Chausser les lunettes de l'Optimiste ► Regarder au-delà de ses habitudes ► Écrire ses envies, se fixer des objectifs ► Élargir son réseau et s'engager avec lui ► Faire les bons choix en toute confiance ► Retrouver le contact avec son intuition Découvrir l'extrait vidéo / Lire un extrait du livre Speakers ► David CHAMARD BOIS - Coach, Conseil, Auteur, Conférencier 25 ans d'expériences dans la stratégie, le management et le développement commercial. Coach, Formateur et Directeur commercial de transition, ancien cadre dirigeant dans des secteurs et entreprises très divers : groupe privé coté en bourse, tourisme, SSII, grande distribution, entreprise publique, économie sociale et solidaire, financement de l'action sociale. Il s'est beaucoup investi dans le développement des entreprises, notamment en qualité de directeur commercial et marketing, de directeur de business unit puis dans le développement de soi comme Coach, Formateur et Sophrologue. Au travers du coaching, il met ses expériences et ses compétences au service du talent des cadres, des managers et des dirigeants afin de les aider à stimuler leurs équipes et développer leur plein potentiel. Il permet ainsi aux dirigeants de : • Se poser les meilleures questions sur soi et sur son travail, afin d'apporter les vraies réponses • Se questionner sur sa stratégie, prendre les meilleures décisions pour atteindre ses objectifs • Avoir une vision élargie sur son organisation, sa relation avec les autres et ses points de progrès • Accroitre l'efficacité et la motivation en termes de collaboration, d'implication et de communication au sein de ses équipes
Dans ce 5e épisode, je vais à la rencontre de Benoît Vasseur, CEO de theTribe. Entreprise qui développe des applications web et mobiles et dont les tribus sont installées dans différentes villes de France (Nantes, Paris, Lille et une tribu en télétravail). De dirigeant à dirigeant, de tech à tech, nous décortiquons la méthodologie theTribe : recrutement, projet, vie d'entreprise. Si exFabrica et theTribe n'ont pas exactement le même positionnement, il y a des valeurs communes ! Ne se considérant ni ESN, ni SSII, ni agence… Alors comment définir theTribe ? Benoît revendique une nouvelle typologie d'acteur sur le marché : le “Product Studio”. Comment définir un “Product Studio” ? Une structure qui crée de la valeur grâce à des Apps qui ont du sens ! Qui soient utiles pour l'utilisateur et qui mettent l'humain au cœur de la démarche pour lui donner les chances de réussir le projet. Dans cet épisode, Benoît aborde son parcours. D'étudiant en école d'ingénieur à dirigeant d'une entreprise de 130 collaborateurs : - Lui qui n'a jamais été salarié et qui lance sa première boite dès la sortie d'école. - Il lance un moteur de recherche solidaire, lève des fonds puis pivote sur un projet tout autre. - Il lance un outil d'automatisation AdWords. - Il part au Congo travailler pour une mission humanitaire via une ONG, revient et lance un outil de RTB. - Pour enfin lancer theTribe entre 2012 et 2015. On parle également de méthodologie de projet : 1. La phase d'avant vente avec la compréhension des objectifs concrets du client (partir de “l'envie initiale” du projet). 2. La phase de User Research menant à la production d'un prototype validé par les utilisateurs finaux. 3. Les phases de Design Sprint (en embarquant les partis prenantes : des utilisateurs au porteur de projet), traduisant le “rêve matérialisé” de celui-ci. 4. Le dispositif “Artichaut” : un Sprint 0 modifié. Ici on va détricoter le projet pour ne garder que les fonctionnalités essentielles. Et aussi de RH et management ! - Avec des méthodes de recrutement 100% transparentes pour éviter les sur promesses en phase d'entretiens : des échanges longs pour expliquer l'entreprise et les process et des rencontres pour s'assurer que le “feeling” passe. - Une expérience collaborateur : avec l'accompagnement et des formations au coaching pour les collaborateurs. Ce que j'ai aimé chez Benoit : - Son pragmatisme : il vit ses passion pour l'informatique et pour l'entreprenariat comme une manière concrète d'appliquer des choses. - Sa vision : theTribe fait plus que des Apps, theTribe aide les gens qui ont de grandes envies de changer les choses. Leur Why est centré sur l'individu mais avec des valeurs collectives. - Sa motivation : aider les gens à entreprendre et libérer l'énergie des collaborateurs et des clients ! Merci Benoît pour ton énergie, c'était passionnant. Allez c'est parti pour ce nouvel épisode ! Bonne écoute et à dans 15 jours ! ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Soutenez ce super podcast dédié à la tech' : - Abonnez-vous - Laissez un avis et 5 ⭐ - Merci beaucoup ! - Inscrivez-vous sur On part en prod pour ne louper aucun épisode Les informations mentionnées dans cet épisode - HEC Entrepreneur - Design sprint : https://fr.wikipedia.org/wiki/Design_sprint - User Research - Workadventure - bureau virtuel - Les canvas utilisés pendant le Design sprint : UX canvas / Value Proposition canvas / Business Model canvas - Skin in the game, livre de Nassim Taleb - Lead Journey chez Fly The Nest : https://flythenest.io - Association CJD : https://www.cjd.net - Ennéagramme : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Ennéagramme - Formation Leader et responsable : https://www.pierre-nicot.com/formations/leader-et-responsable-niveau-1/ Recommandations de Benoît - Reinventing organizations de Frédéric Laloux (Livre) - Génération Do It Yourself (Podcast) Pour suivre l'actualité de Benoît Linkedin : https://www.linkedin.com/in/benoitvasseur/ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Postproduction Audio : Guillaume Lefebvre Music by MADiRFAN from Pixabay
Nouvelle serie du Podcast OK:SII > Les entretiens ! Régulièrement dans cette série vous retrouverez une interview d'un collaborateur SII par un autre collaborateur ! Aujourd'hui, Bertrand Fabre interviewe Céline DE KERCADIO, Data Manager chez SII ➡ Quel est le rôle du Data Manager ? ➡ Quels sont les compétences clés et les traits de caractère qui l'aident dans son métier ? ➡ Comment s'organiser pour répondre aux enjeux et aux besoins du secteur ? Céline nous explique son parcours et délivre ses précieux conseils pour s'orienter vers le poste de Data Manager. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsa
Zoom sur cette démarche : une véritable philosophie qui allie collaboration et communication au service du développement. Haifa Zran, spécialiste DevOps chez SII, répond à nos questions dans le dernier épisode de OK:SII. ➡ À quoi sert le DevOps ? ➡ Quels sont les bénéfices ? Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Aujourd'hui, j'ai l'immense privilège de recevoir Grégory Beck, COO de CRÈME DE LA CRÈME, une boîte tech qui connecte les grandes entreprises avec une communauté sélective de freelances dans le digital. CRÈME (de son petit nom), c'est : Aujourd'hui une team lean de 30 collaborateurs Une boîte rentable avec 1 croissance du CA qui double chaque année depuis leur début Et c'est surtout devenu en quelques années un acteur incontournable des ESN (les entreprises de service du numérique - anciennement SSII). CRÈME est en train de transformer le marché du freelancing en Europe. Si je suis aussi enthousiaste à l'idée d'interviewer Grégory, c'est qu'on va parler de : leur belle expertise d'outbound / ventes BtoB (notamment développée suite à un pivot majeur de business model en 2018-2019) structuration produit : comment la boîte définit sa roadmap produits et développe des outils internes au service de ses commerciaux (atypique + inspirant) Et aussi, on parlera de la culture spécifique de CRÈME qui a permis de rassembler en quelques années une communauté de plus de 15.000 freelances hyper engagés. Grégory, ça fait quelque temps que mes guests me parlent de lui sur le podcast. Je voudrais en particulier remercier Thibault Renouf (CEO de Partoo) et JB Cousin (de Smash Group) pour leurs multiples mises en relation. Kicker Question : Comment toute cette aventure a démarré ? Qu'est-ce que vous faites chez CRÈME DE LA CRÈME ? Quel est ton rôle et quelles sont tes responsabilités ? Avec tes associés, comment se répartissent les rôles ? Les questions « Structure » : Q1. Votre pivot en 2018-2019, en termes de structuration, a impliqué pas mal de choses. Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui a changé ? Avec le recul, tes best practices ? Q2. Crème, c'est à la fois une ESN (vous vendez des jours/hommes) et une boîte tech qui construit des produits en interne pour vos sales. Quelle est votre roadmap ? Comment fonctionnez-vous ? Q3. Du coup, est-ce qu'on pourrait faire un focus sur votre méthodologie outbound ? Quel est le process ? Q4. Est-ce que tu aurais des exemples qui facilitent grandement la vie de vos commerciaux ? En mode « petite souris » qui observerait les dashboards, ça ressemble à quoi ? Q5. CRÈME DE LA CRÈME est aussi connue pour son ADN et sa culture bienveillante (envers les freelances). Vous avez un Slack de plus de 8.000 freelances. Qu'est-ce qui vous différencie ? Finish Line Questions : Nomme-moi une ressource qui t'a aidé en termes de structuration ? Dans un an, j'ouvre une bouteille de champagne en l'honneur de CRÈME DE LA CRÈME. À quoi spécifiquement trinque-t-on ? Conclusion sur Pivot - Du BtoC au BtoB avec Grégory Beck Merci encore une fois à Grégory Beck pour son temps. J'ai passé un excellent moment en sa compagnie et j'espère que vous aussi! Pour retrouver Grégory Beck : Profil Linkedin : https://www.linkedin.com/in/gregbeck24/ Site Web : https://www.cremedelacreme.io/ Facebook : https://www.facebook.com/hellocreme/ LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/cremedelacreme-io/ Instagram : https://www.instagram.com/hello_creme/ YouTube : https://www.youtube.com/channel/UC1x8xWOl6osruiVovSslTGw Les liens pour me rejoindre : Groupe Facebook : https://www.facebook.com/groups/tunnelsdeventes/ Site web : https://www.squared.eu/ YouTube : https://www.youtube.com/@Squared-eu Profil LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/romaincollignon/ Instagram : https://www.instagram.com/romaincoll/
Le secteur bancaire et ses enjeux... Avec Vincent Auréart, key account manager du secteur banque chez SII, nous allons faire le tour de ce secteur en perpetuelle mutation. Au sommaire : Comment se porte le secteur après l'épisode Covid ? Quelle place pour l'IT dans le secteur banque ? Comment SII participe à la transformation du secteur bancaire ? Notre invité : Vincent Auréart, key account manager du secteur banque chez SII Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Bruno Soulez est développeur, COO chez Cosa Vostra et host du podcast If This Then Dev. Bruno raconte que depuis tout petit, il se sent l'âme d'un développeur. C'était pour lui plus qu'une évidence de faire des études d'ingé, de travailler en tant que commercial puis DRH, en SSII avant de lancer sa première boîte. Son podcast ? C'est le résultat d'une prise de conscience: les contenus sur la tech sont soit trop spécifiques soit trop généralistes... et il a toujours eu une passion pour les discussions entre développeurs. Le podcast est devenu plus qu'une évidence. C'est suite à un déjeuner avec Laurent Kretz, cofondateur de Cosa Vostra, qu'il se lance. Le principe est simple, partager ses échanges avec d'autres devs pour en inspirer d'autres. Si au début, c'est grâce à Cosa Vostra qu'il arrive à produire son podcast, il essaie depuis de tout faire par lui-même. Il explique qu'il a réussi à automatiser tout son processus de production : depuis la prise de rendez-vous pour l'enregistrement jusqu'à la publication de l'épisode en passant par le montage et même l'envoi des consignes à ses invités. Si Bruno excelle dans l'art de l'automatisation, certaines tâches ont encore besoin d'une touche humaine. Dans ces cas-là, il fait appel à des prestataires pour pouvoir rentabiliser son temps au maximum. Dans cet épisode, Bruno raconte comment, et à quel point l'automatisation lui a permis de garder un rythme de production soutenu, et de développer son audience. Il nous parle également de: son quotidien de DEV son quotidien de créateur de contenus sa manière de produire son organisation et les outils qu'il utilise la monétisation de son contenu ses revenus ses enregistrements, qu'il fait systématiquement en live
À 34 ans, Gilles Kounou est déjà un vieux routier de la tech au Bénin. Fondateur de Open SI, une société de services du numérique, il s'est imposé dans le secteur des paiements digitaux, travaillant à la fois pour le public et le privé. En huit ans, son entreprise s'est hissée dans le peloton de tête des FinTech ouest-africaines et commence à s'implanter dans les pays voisins. Le jeune homme qui a commencé dans l'avionique militaire au Maroc, veut à l'avenir imprimer une marque sociale à son action, à travers notamment les micro-financements. RFI l'a interviewé (son portrait est à retrouver à l'écoute). RFI : Quels sont les produits proposés par Open SI ? Gilles Kounou : Nous développons et exploitons plusieurs plateformes digitales. Les plus connues sont KKIAPAY et Go Médical. Notre métier consiste à collecter des sommes pour compte de tiers, en fournissant à des organisations marchandes - privées comme publiques - des solutions d'encaissement en ligne qui permettent à ces organisations de se faire payer des biens ou des services à partir de portefeuilles de type mobile money, de carte bancaire ou encore de compte bancaire. Est-ce que vous développez vous-même toutes vos solutions ? Oui, nous avons la particularité d'être historiquement une SSII (société de services informatiques, NDLR) avec bon nombre de jeunes professionnels, dans les métiers du numérique. Vous trouverez dans nos équipes aussi bien des développeurs « front end », « back end », des développeurs d'applications mobiles et des développeurs de sites web. Nous avons une division dédiée au design. Et de plus en plus, nous recevons des gens travaillant dans des domaines comme l'intelligence artificielle ou la blockchain. Vous avez étudié l'avionique, c'est-à-dire les systèmes informatiques embarqués dans les avions. Comment passe-t-on de l'avionique aux plateformes de paiement en ligne ? Je suis diplômé de l'école de l'air de Marrakech, licencié en avionique militaire. Mes études me conduisaient à développer, réparer et programmer des systèmes embarqués à bord d'avions de chasse ou de transports. Ensuite, j'ai fait une deuxième formation en génie logiciel et systèmes d'information au Centre d'excellence locale de la Banque mondiale au Bénin. Puis, j'ai travaillé dans tout ce qui est système d'information, architecture de plateforme avec un fort accent sur le développement de solutions logicielles. Je pense que ces deux formations rejoignent ma passion qui est celle de l'informatique. Je suis tombé dedans très tôt. À l'âge de 6 ans, j'ai eu mon premier ordinateur. Puis à 9 ans, je connaissais déjà toute la suite bureautique de Microsoft. Mais je me suis aperçu que le domaine de l'avionique m'amenait à travailler soit pour un gouvernement, soit pour une compagnie, or, j'avais en moi un fort besoin d'exprimer ma créativité, et aussi d'entreprendre en créant ma propre société. Vous associez la création de logiciels et la création d'entreprise, mais ce sont deux métiers différents. Arrivez-vous à les concilier ? Aujourd'hui, je m'occupe plus de fonctions managériales et de fonctions stratégiques, mais s'il y a une chose sur laquelle j'ai irrémédiablement gardé la main, c'est la partie architecture. Toutes les grosses solutions que nous avons produites depuis huit ans, j'en ai construit personnellement l'architecture, même s'il y a derrière des équipes qui supervisent les développements, la mise en production et l'exploitation opérationnelle. C'est chez moi une passion que de pouvoir accompagner toute cette partie architecturale. Donc, en moins d'une décennie, vous avez réussi à concrétiser ce projet. Vous avez créé un groupe qui emploie près de 70 personnes, qui est devenu l'un des leaders des FinTech béninoises et probablement l'un des leaders du secteur. Avec mes collaborateurs et mes collègues, nous avons déployé notre entreprise en moins de huit ans. Et les premières solutions logicielles ont été mises sur le marché en quatre ans. Nous nous sommes ensuite spécialisés dans le domaine de la tech financière, avec les systèmes de paiement. Donc oui, en dehors des opérateurs mobile money et des banques, nous sommes devenus l'un des leaders du marché du paiement digital. ► À lire aussi : Bénin: Richard Odjrado, le «serial entrepreneur» féru de nouvelles technologies On est ouvert sur trois pays donc le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Togo, on embraye actuellement sur le Sénégal et le Cameroun qui sont nos prochaines destinations. Avez-vous dû lever des fonds ? Non, jamais. C'est vrai que c'est quelque chose qui est dans un coin de ma tête et à laquelle je pense constamment. Mais je me dis que je dois d'abord affûter mes armes. Grâce à la façon dont nous travaillons, nous avons toujours pu être à l'équilibre et en mesure de pouvoir honorer nos engagements financiers et humains. Donc la levée de fonds n'est pas une nécessité pour l'instant. Mais si vous voulez continuer à investir, à grandir, à conquérir de nouveaux marchés à l'étranger, est-ce qu'il ne va pas falloir trouver un partenaire pour aller plus vite ? Aujourd'hui, ça fait partie des sujets qui sont clairement sur la table avec mes associés. L'investissement peut se faire soit par du prêt, pour pouvoir garder une capacité d'action et continuer à déterminer nous-même le sens dans lequel nous voulons que notre entreprise aille, ou cela peut se faire par une levée de fonds. Et à ce titre, nous ferons peut-être venir de nouvelles organisations dans l'entreprise, comme les fonds d'investissement par exemple. Mais rien n'est décidé. Est-ce que les fonds d'investissement vous font peur ? Il y a toujours une appréhension à faire venir de nouvelles personnes dans la direction d'une entreprise. Aujourd'hui, les choix que nous faisons sont les nôtres, et nous les faisons rapidement car nous sommes deux ou trois à décider des grandes orientations stratégiques. Donc il peut y avoir une réticence, une peur que les nouveaux entrants n'aient pas la même vision stratégique que nous, qu'ils n'aient pas les mêmes modus operandi, ainsi de suite… Mais c'est quelque chose qui s'apprend. Je suppose que les organisations qui sont passées par là, avant nous, ont appris. Au final, ce n'est pas quelque chose qui nous stresse et nous empêche de dormir. Mais nous sommes conscients qu'il y a là un apprentissage commun, un vivre ensemble à développer avec les nouveaux arrivants. Quand vous vous projetez dans dix ans, que sera devenue Open SI ? Notre volonté est d'avoir plus d'impact - un impact social - tout en continuant par développer les solutions que nous mettons sur le marché. La première chose, c'est d'avoir cet impact sur une population plus grande que celle du Bénin. Ce que nous visons, c'est l'échelle de la sous-région francophone, les huit pays qui ont le franc CFA en partage. Et en termes d'impact, notre ambition, c'est clairement de ne plus nous nous limiter aux questions de paiement, pour aller davantage sur les problématiques qui ont une influence probante sur la vie de nos concitoyens. Notamment les questions d'inclusion financière, de crédit et d'épargne, qui permettent d'avoir plus d'impact sur la vie des gens, et ça, c'est ce que nous recherchons. Vous vous verriez donc travailler avec des institutions de financement sur des solutions de crédit, de micro-crédit, d'épargne, d'assurance. C'est quelque chose sur lequel on a déjà commencé à travailler. L'un des plus grands assureurs du Bénin nous a confié le développement de sa plateforme de paiement à distance. Mais demain, nous aimerions pouvoir entrer dans ces métiers de l'assurance afin de modifier structurellement les produits que ces institutions fournissent. Grâce au numérique, nous pourrions fournir des produits de crédit, d'épargne, de micro-investissement, de micro-financement plus adaptés au marché, plus adaptés à la vie des gens, et qui permettraient de mieux les inclure financièrement, voire peut-être, un jour, à les sortir de la pauvreté. Vous ambitionnez de devenir une société de financement où d'assurance ? Non, nous n'envisageons pas cela. Les métiers que nous maîtrisons sont ceux de la tech. Et les changements passeront toujours par des partenariats. Il faudra identifier des partenaires solides et de long terme qui ont envie de profiter de notre savoir-faire. Quand vous regardez le secteur de la tech au Bénin, est-ce que vous diriez que c'est une terre favorable à l'émergence d'un écosystème de sociétés travaillant dans le numérique ? S'il y a une chose dont je suis convaincu, c'est qu'il peut y avoir un développement inouï de talents au Bénin. Je suis même sidéré par la capacité des jeunes Béninois à apprendre vite et bien. Et ce n'est pas seulement en informatique, mais aussi dans tous les autres métiers. Quand vous allez dans les rencontres internationales, vous trouverez toujours un Béninois très brillant. Donc je pense que le Bénin peut, si les conditions sont remplies, être un vivier inextinguible de talents. ► À lire et écouter aussi : Innovation: la tech en Afrique fait sa révolution Mais pour transformer les talents en un écosystème d'entrepreneurs, il faut évidemment d'autres choses. Il faut des organisations pérennes comme des entreprises. Il faut une politique publique qui accompagne le développement de ces entreprises. Il faut bien évidemment des infrastructures dans le numérique. J'ai toujours été contre la vieille maxime qui dit que pour développer une entreprise de services numériques il suffit d'un ordinateur et d'une connexion internet. Non, il faut une infrastructure solide, résiliente et compétitive parce que le monde est globalisé. De même, il faut aussi une régulation qui équilibre la compétition entre les acteurs et qui protège les entreprises béninoises dans ce monde globalisé. Est-ce que ces conditions sont réunies aujourd'hui ? De manière systémique, je dirais que non. De manière sectorielle, quelques-unes commencent à être réunis. Par exemple, l'État a pris conscience de la nécessité de mettre en place un système pour financer les jeunes entreprises innovantes. L'État est aussi clairement conscient que nous avons besoin d'infrastructures, même si c'est une problématique de gros investissements, mais la prise de conscience est là. L'État cherche lui-même des modus operandi plus efficaces. Quand vous regardez la dernière refonte de différentes agences publiques, on voit que les autorités cherchent à être plus efficace et à mettre davantage de services à la disposition du citoyen. Oui, il y a une prise de conscience des différents besoins et des différentes briques qu'il faut mettre en place. Mais c'est quelque chose qui va prendre du temps parce que quand on parle de transformation, on parle de moyens. On parle aussi d'avoir une politique qui puisse accélérer la demande de services numériques. Parce que l'écosystème des entreprises qui va se développer devra d'abord fournir ses services pour des Béninois qui en ont besoin qui en font la demande et qui les consomment. Aujourd'hui, ce n'est pas encore une matérialité, mais il faut dire que la prise de conscience et là. Il y a plusieurs philosophies autour de la table. Nous, notre ambition, c'est que ces philosophies fassent émerger une voix unique qui contribue à faire de cette volonté de bâtir un écosystème, une réalité. Vous avez parlé de la nécessité de protéger les entreprises béninoises par rapport à une concurrence mondialisée qui peut être très performante, très rapide et à bas coût. Quand on voit que Patrice Talon signe des accords avec les Estoniens, est-ce que justement ça ne risque pas de nuire à l'écosystème naissant que de faire venir des partenaires étrangers ? Ma philosophie en la matière a toujours été très simple. S'il y a de grands acteurs qui savent faire le travail, il faut choisir les meilleurs du secteur, pour et éviter de réinventer la roue. Par contre, sur des sujets qui sont locaux, il faut travailler les acteurs locaux qui mettront en place des dispositifs permettant de faire de la recherche et du développement afin de créer les technologies de demain adaptées à notre contexte. Et parfois, il faut faire collaborer les deux écosystèmes. Les grands et les petits pour relocaliser et « endogénéiser » les plateformes techniques, et les adosser à des usages. Parce qu'à la fin, c'est la question des usages qui comptent. Donc, ce n'est pas un problème de travailler avec les Estoniens. Les Estoniens apportent une plateforme d'interopérabilité et services publics qui a fait sa preuve et qui est mature. Nous avons travaillé avec eux pour bâtir une plateforme locale de service public, ce qui met en valeur notre savoir-faire. C'est la combinaison de certaines expertises qui peut faire gagner du temps. Mais, il ne faut pas que cette volonté de gagner du temps tue dans l'œuf toute volonté d'innovation et de développement de compétences techniques profondes. Il faut que le système garde à l'esprit qu'un jour, les sociétés locales doivent être capables de développer des modules d'interopérabilité très évolués techniquement, comme ce que les Estoniens ont mis en place. Malgré tout là commandes publiques, les contrats passés avec l'État sont nécessaires pour le développement des entreprises béninoises. Et la survie de cet écosystème. Comme dans toutes les industries, comme dans l'industrie de bâtiments, travaux publics, les gros chantiers vont aux grosses entreprises internationales qui ont l'expérience, les chantiers plus petits vont à des entreprises locales qui commencent par se professionnaliser. Et donc la commande publique représente une opportunité pour prendre en main certains sujets et commencer par maîtriser certaines technologies et bâtir cette expertise pour devenir des gros plus tard. Donc oui, la commande publique fait clairement partie de l'équation et on ne peut pas soustraire les jeunes entreprises locales à cela. Ça fait même partie des outils que l'État utilise pour développer les compétences localement. Est-ce qu'une entreprise comme la vôtre se sent attirée par l'immense marché nigérian ? Je ne pense pas à court terme. Parce qu'il faut être lucide et reconnaître qu'il y a des barrières qui sont celles de la langue, celles de la connaissance, celle de la loi, celle de la culture, ainsi de suite. Peut-être qu'il vaut mieux regarder l'espace sous-régional autour de nous. Nous avons la chance d'être un ensemble de sept ou huit pays qui ont la même monnaie en partage, la même loi des affaires, de grands groupes bancaires présents à la fois dans tous ces pays, et la même culture francophone. Donc, c'est peut-être cet espace qui représente le marché à conquérir. Et ce marché possède une taille à peu près équivalente à celle du Nigeria. Donc, c'est peut-être vers ce marché francophone qu'il faut se diriger. Il faut savoir que les grosses réussites nigérianes tiennent au fait que c'est un marché unique, sans barrière, homogène, cohérent. Quand vous lancez une solution au Nigeria, vous la lancez pour deux-cents millions d'habitants. Quand vous lancez une solution au Bénin, vous la lancez pour douze millions d'habitants. Donc, c'est peut-être pour la sous-région de l'UEMOA qu'il faudrait lancer un produit. Et pour avoir des réussites en termes de FinTech comme on en a au Nigeria, il faut travailler à abolir les barrières. Les barrières commerciales, les barrières entrepreneuriales, les barrières pour la commercialisation des services, la circulation des biens et des personnes, etc. Normalement, ces barrières sont déjà en grande partie abolies… Théoriquement oui, mais dans les faits ce n'est pas encore une réalité. Petit exemple, quand vous avez de l'argent dans votre portefeuille mobile money au Bénin, vous ne pouvez pas l'utiliser en Côte d'Ivoire. Nous avons la même monnaie mais le consommateur a l'impression d'avoir des monnaies différentes. Pour la douane, il n'y a toujours pas moyen d'envoyer un colis à travers l'espace commun simplement et facilement. Pour jeune homme, ça prend plus de temps d'aller de Cotonou à Accra en avion que d'y aller par la route. Donc nous n'avons toujours pas d'espace intégré économiquement. Et si vous voulez remporter un contrat en Côte d'Ivoire par exemple, vous êtes obligé d'avoir une filiale ivoirienne. Ce sont autant de barrières qui font que le marché des huit pays de la sous-région n'est pas comparable au marché nigérian. Quand vous comparez les solutions que vous développez à celles qui le sont par exemple aux États-Unis, en Chine, en Europe, est-ce que vous pensez que vos solutions sont compétitives ? Je pense que nos handicaps sont ceux de notre environnement, à commencer par le défaut d'infrastructures. Par exemple, quand vous construisez une solution au Bénin, l'héberger au Bénin n'est pas très intelligent pour l'instant car il n'y a pas de datacenter local. Donc les facteurs limitants qui font que l'on n'arrive pas à reproduire les mêmes performances que les sociétés qui sont aux États-Unis, en Chine, sont des facteurs d'environnement. La loi, l'infrastructure, etc. Ce ne sont pas des problèmes de compétence. Les ingénieurs béninois sont tout aussi performants que les autres. Nous utilisons tous les mêmes technologies, les mêmes langages, les mêmes ordinateurs.
À 34 ans, Gilles Kounou est déjà un vieux routier de la tech au Bénin. Fondateur de Open SI, une société de services du numérique, il s'est imposé dans le secteur des paiements digitaux, travaillant à la fois pour le public et le privé. En huit ans, son entreprise s'est hissée dans le peloton de tête des FinTech ouest-africaines et commence à s'implanter dans les pays voisins. Le jeune homme qui a commencé dans l'avionique militaire au Maroc, veut à l'avenir imprimer une marque sociale à son action, à travers notamment les micro-financements. RFI l'a interviewé (son portrait est à retrouver à l'écoute). RFI : Quels sont les produits proposés par Open SI ? Gilles Kounou : Nous développons et exploitons plusieurs plateformes digitales. Les plus connues sont KKIAPAY et Go Médical. Notre métier consiste à collecter des sommes pour compte de tiers, en fournissant à des organisations marchandes - privées comme publiques - des solutions d'encaissement en ligne qui permettent à ces organisations de se faire payer des biens ou des services à partir de portefeuilles de type mobile money, de carte bancaire ou encore de compte bancaire. Est-ce que vous développez vous-même toutes vos solutions ? Oui, nous avons la particularité d'être historiquement une SSII (société de services informatiques, NDLR) avec bon nombre de jeunes professionnels, dans les métiers du numérique. Vous trouverez dans nos équipes aussi bien des développeurs « front end », « back end », des développeurs d'applications mobiles et des développeurs de sites web. Nous avons une division dédiée au design. Et de plus en plus, nous recevons des gens travaillant dans des domaines comme l'intelligence artificielle ou la blockchain. Vous avez étudié l'avionique, c'est-à-dire les systèmes informatiques embarqués dans les avions. Comment passe-t-on de l'avionique aux plateformes de paiement en ligne ? Je suis diplômé de l'école de l'air de Marrakech, licencié en avionique militaire. Mes études me conduisaient à développer, réparer et programmer des systèmes embarqués à bord d'avions de chasse ou de transports. Ensuite, j'ai fait une deuxième formation en génie logiciel et systèmes d'information au Centre d'excellence locale de la Banque mondiale au Bénin. Puis, j'ai travaillé dans tout ce qui est système d'information, architecture de plateforme avec un fort accent sur le développement de solutions logicielles. Je pense que ces deux formations rejoignent ma passion qui est celle de l'informatique. Je suis tombé dedans très tôt. À l'âge de 6 ans, j'ai eu mon premier ordinateur. Puis à 9 ans, je connaissais déjà toute la suite bureautique de Microsoft. Mais je me suis aperçu que le domaine de l'avionique m'amenait à travailler soit pour un gouvernement, soit pour une compagnie, or, j'avais en moi un fort besoin d'exprimer ma créativité, et aussi d'entreprendre en créant ma propre société. Vous associez la création de logiciels et la création d'entreprise, mais ce sont deux métiers différents. Arrivez-vous à les concilier ? Aujourd'hui, je m'occupe plus de fonctions managériales et de fonctions stratégiques, mais s'il y a une chose sur laquelle j'ai irrémédiablement gardé la main, c'est la partie architecture. Toutes les grosses solutions que nous avons produites depuis huit ans, j'en ai construit personnellement l'architecture, même s'il y a derrière des équipes qui supervisent les développements, la mise en production et l'exploitation opérationnelle. C'est chez moi une passion que de pouvoir accompagner toute cette partie architecturale. Donc, en moins d'une décennie, vous avez réussi à concrétiser ce projet. Vous avez créé un groupe qui emploie près de 70 personnes, qui est devenu l'un des leaders des FinTech béninoises et probablement l'un des leaders du secteur. Avec mes collaborateurs et mes collègues, nous avons déployé notre entreprise en moins de huit ans. Et les premières solutions logicielles ont été mises sur le marché en quatre ans. Nous nous sommes ensuite spécialisés dans le domaine de la tech financière, avec les systèmes de paiement. Donc oui, en dehors des opérateurs mobile money et des banques, nous sommes devenus l'un des leaders du marché du paiement digital. ► À lire aussi : Bénin: Richard Odjrado, le «serial entrepreneur» féru de nouvelles technologies On est ouvert sur trois pays donc le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Togo, on embraye actuellement sur le Sénégal et le Cameroun qui sont nos prochaines destinations. Avez-vous dû lever des fonds ? Non, jamais. C'est vrai que c'est quelque chose qui est dans un coin de ma tête et à laquelle je pense constamment. Mais je me dis que je dois d'abord affûter mes armes. Grâce à la façon dont nous travaillons, nous avons toujours pu être à l'équilibre et en mesure de pouvoir honorer nos engagements financiers et humains. Donc la levée de fonds n'est pas une nécessité pour l'instant. Mais si vous voulez continuer à investir, à grandir, à conquérir de nouveaux marchés à l'étranger, est-ce qu'il ne va pas falloir trouver un partenaire pour aller plus vite ? Aujourd'hui, ça fait partie des sujets qui sont clairement sur la table avec mes associés. L'investissement peut se faire soit par du prêt, pour pouvoir garder une capacité d'action et continuer à déterminer nous-même le sens dans lequel nous voulons que notre entreprise aille, ou cela peut se faire par une levée de fonds. Et à ce titre, nous ferons peut-être venir de nouvelles organisations dans l'entreprise, comme les fonds d'investissement par exemple. Mais rien n'est décidé. Est-ce que les fonds d'investissement vous font peur ? Il y a toujours une appréhension à faire venir de nouvelles personnes dans la direction d'une entreprise. Aujourd'hui, les choix que nous faisons sont les nôtres, et nous les faisons rapidement car nous sommes deux ou trois à décider des grandes orientations stratégiques. Donc il peut y avoir une réticence, une peur que les nouveaux entrants n'aient pas la même vision stratégique que nous, qu'ils n'aient pas les mêmes modus operandi, ainsi de suite… Mais c'est quelque chose qui s'apprend. Je suppose que les organisations qui sont passées par là, avant nous, ont appris. Au final, ce n'est pas quelque chose qui nous stresse et nous empêche de dormir. Mais nous sommes conscients qu'il y a là un apprentissage commun, un vivre ensemble à développer avec les nouveaux arrivants. Quand vous vous projetez dans dix ans, que sera devenue Open SI ? Notre volonté est d'avoir plus d'impact - un impact social - tout en continuant par développer les solutions que nous mettons sur le marché. La première chose, c'est d'avoir cet impact sur une population plus grande que celle du Bénin. Ce que nous visons, c'est l'échelle de la sous-région francophone, les huit pays qui ont le franc CFA en partage. Et en termes d'impact, notre ambition, c'est clairement de ne plus nous nous limiter aux questions de paiement, pour aller davantage sur les problématiques qui ont une influence probante sur la vie de nos concitoyens. Notamment les questions d'inclusion financière, de crédit et d'épargne, qui permettent d'avoir plus d'impact sur la vie des gens, et ça, c'est ce que nous recherchons. Vous vous verriez donc travailler avec des institutions de financement sur des solutions de crédit, de micro-crédit, d'épargne, d'assurance. C'est quelque chose sur lequel on a déjà commencé à travailler. L'un des plus grands assureurs du Bénin nous a confié le développement de sa plateforme de paiement à distance. Mais demain, nous aimerions pouvoir entrer dans ces métiers de l'assurance afin de modifier structurellement les produits que ces institutions fournissent. Grâce au numérique, nous pourrions fournir des produits de crédit, d'épargne, de micro-investissement, de micro-financement plus adaptés au marché, plus adaptés à la vie des gens, et qui permettraient de mieux les inclure financièrement, voire peut-être, un jour, à les sortir de la pauvreté. Vous ambitionnez de devenir une société de financement où d'assurance ? Non, nous n'envisageons pas cela. Les métiers que nous maîtrisons sont ceux de la tech. Et les changements passeront toujours par des partenariats. Il faudra identifier des partenaires solides et de long terme qui ont envie de profiter de notre savoir-faire. Quand vous regardez le secteur de la tech au Bénin, est-ce que vous diriez que c'est une terre favorable à l'émergence d'un écosystème de sociétés travaillant dans le numérique ? S'il y a une chose dont je suis convaincu, c'est qu'il peut y avoir un développement inouï de talents au Bénin. Je suis même sidéré par la capacité des jeunes Béninois à apprendre vite et bien. Et ce n'est pas seulement en informatique, mais aussi dans tous les autres métiers. Quand vous allez dans les rencontres internationales, vous trouverez toujours un Béninois très brillant. Donc je pense que le Bénin peut, si les conditions sont remplies, être un vivier inextinguible de talents. ► À lire et écouter aussi : Innovation: la tech en Afrique fait sa révolution Mais pour transformer les talents en un écosystème d'entrepreneurs, il faut évidemment d'autres choses. Il faut des organisations pérennes comme des entreprises. Il faut une politique publique qui accompagne le développement de ces entreprises. Il faut bien évidemment des infrastructures dans le numérique. J'ai toujours été contre la vieille maxime qui dit que pour développer une entreprise de services numériques il suffit d'un ordinateur et d'une connexion internet. Non, il faut une infrastructure solide, résiliente et compétitive parce que le monde est globalisé. De même, il faut aussi une régulation qui équilibre la compétition entre les acteurs et qui protège les entreprises béninoises dans ce monde globalisé. Est-ce que ces conditions sont réunies aujourd'hui ? De manière systémique, je dirais que non. De manière sectorielle, quelques-unes commencent à être réunis. Par exemple, l'État a pris conscience de la nécessité de mettre en place un système pour financer les jeunes entreprises innovantes. L'État est aussi clairement conscient que nous avons besoin d'infrastructures, même si c'est une problématique de gros investissements, mais la prise de conscience est là. L'État cherche lui-même des modus operandi plus efficaces. Quand vous regardez la dernière refonte de différentes agences publiques, on voit que les autorités cherchent à être plus efficace et à mettre davantage de services à la disposition du citoyen. Oui, il y a une prise de conscience des différents besoins et des différentes briques qu'il faut mettre en place. Mais c'est quelque chose qui va prendre du temps parce que quand on parle de transformation, on parle de moyens. On parle aussi d'avoir une politique qui puisse accélérer la demande de services numériques. Parce que l'écosystème des entreprises qui va se développer devra d'abord fournir ses services pour des Béninois qui en ont besoin qui en font la demande et qui les consomment. Aujourd'hui, ce n'est pas encore une matérialité, mais il faut dire que la prise de conscience et là. Il y a plusieurs philosophies autour de la table. Nous, notre ambition, c'est que ces philosophies fassent émerger une voix unique qui contribue à faire de cette volonté de bâtir un écosystème, une réalité. Vous avez parlé de la nécessité de protéger les entreprises béninoises par rapport à une concurrence mondialisée qui peut être très performante, très rapide et à bas coût. Quand on voit que Patrice Talon signe des accords avec les Estoniens, est-ce que justement ça ne risque pas de nuire à l'écosystème naissant que de faire venir des partenaires étrangers ? Ma philosophie en la matière a toujours été très simple. S'il y a de grands acteurs qui savent faire le travail, il faut choisir les meilleurs du secteur, pour et éviter de réinventer la roue. Par contre, sur des sujets qui sont locaux, il faut travailler les acteurs locaux qui mettront en place des dispositifs permettant de faire de la recherche et du développement afin de créer les technologies de demain adaptées à notre contexte. Et parfois, il faut faire collaborer les deux écosystèmes. Les grands et les petits pour relocaliser et « endogénéiser » les plateformes techniques, et les adosser à des usages. Parce qu'à la fin, c'est la question des usages qui comptent. Donc, ce n'est pas un problème de travailler avec les Estoniens. Les Estoniens apportent une plateforme d'interopérabilité et services publics qui a fait sa preuve et qui est mature. Nous avons travaillé avec eux pour bâtir une plateforme locale de service public, ce qui met en valeur notre savoir-faire. C'est la combinaison de certaines expertises qui peut faire gagner du temps. Mais, il ne faut pas que cette volonté de gagner du temps tue dans l'œuf toute volonté d'innovation et de développement de compétences techniques profondes. Il faut que le système garde à l'esprit qu'un jour, les sociétés locales doivent être capables de développer des modules d'interopérabilité très évolués techniquement, comme ce que les Estoniens ont mis en place. Malgré tout là commandes publiques, les contrats passés avec l'État sont nécessaires pour le développement des entreprises béninoises. Et la survie de cet écosystème. Comme dans toutes les industries, comme dans l'industrie de bâtiments, travaux publics, les gros chantiers vont aux grosses entreprises internationales qui ont l'expérience, les chantiers plus petits vont à des entreprises locales qui commencent par se professionnaliser. Et donc la commande publique représente une opportunité pour prendre en main certains sujets et commencer par maîtriser certaines technologies et bâtir cette expertise pour devenir des gros plus tard. Donc oui, la commande publique fait clairement partie de l'équation et on ne peut pas soustraire les jeunes entreprises locales à cela. Ça fait même partie des outils que l'État utilise pour développer les compétences localement. Est-ce qu'une entreprise comme la vôtre se sent attirée par l'immense marché nigérian ? Je ne pense pas à court terme. Parce qu'il faut être lucide et reconnaître qu'il y a des barrières qui sont celles de la langue, celles de la connaissance, celle de la loi, celle de la culture, ainsi de suite. Peut-être qu'il vaut mieux regarder l'espace sous-régional autour de nous. Nous avons la chance d'être un ensemble de sept ou huit pays qui ont la même monnaie en partage, la même loi des affaires, de grands groupes bancaires présents à la fois dans tous ces pays, et la même culture francophone. Donc, c'est peut-être cet espace qui représente le marché à conquérir. Et ce marché possède une taille à peu près équivalente à celle du Nigeria. Donc, c'est peut-être vers ce marché francophone qu'il faut se diriger. Il faut savoir que les grosses réussites nigérianes tiennent au fait que c'est un marché unique, sans barrière, homogène, cohérent. Quand vous lancez une solution au Nigeria, vous la lancez pour deux-cents millions d'habitants. Quand vous lancez une solution au Bénin, vous la lancez pour douze millions d'habitants. Donc, c'est peut-être pour la sous-région de l'UEMOA qu'il faudrait lancer un produit. Et pour avoir des réussites en termes de FinTech comme on en a au Nigeria, il faut travailler à abolir les barrières. Les barrières commerciales, les barrières entrepreneuriales, les barrières pour la commercialisation des services, la circulation des biens et des personnes, etc. Normalement, ces barrières sont déjà en grande partie abolies… Théoriquement oui, mais dans les faits ce n'est pas encore une réalité. Petit exemple, quand vous avez de l'argent dans votre portefeuille mobile money au Bénin, vous ne pouvez pas l'utiliser en Côte d'Ivoire. Nous avons la même monnaie mais le consommateur a l'impression d'avoir des monnaies différentes. Pour la douane, il n'y a toujours pas moyen d'envoyer un colis à travers l'espace commun simplement et facilement. Pour jeune homme, ça prend plus de temps d'aller de Cotonou à Accra en avion que d'y aller par la route. Donc nous n'avons toujours pas d'espace intégré économiquement. Et si vous voulez remporter un contrat en Côte d'Ivoire par exemple, vous êtes obligé d'avoir une filiale ivoirienne. Ce sont autant de barrières qui font que le marché des huit pays de la sous-région n'est pas comparable au marché nigérian. Quand vous comparez les solutions que vous développez à celles qui le sont par exemple aux États-Unis, en Chine, en Europe, est-ce que vous pensez que vos solutions sont compétitives ? Je pense que nos handicaps sont ceux de notre environnement, à commencer par le défaut d'infrastructures. Par exemple, quand vous construisez une solution au Bénin, l'héberger au Bénin n'est pas très intelligent pour l'instant car il n'y a pas de datacenter local. Donc les facteurs limitants qui font que l'on n'arrive pas à reproduire les mêmes performances que les sociétés qui sont aux États-Unis, en Chine, sont des facteurs d'environnement. La loi, l'infrastructure, etc. Ce ne sont pas des problèmes de compétence. Les ingénieurs béninois sont tout aussi performants que les autres. Nous utilisons tous les mêmes technologies, les mêmes langages, les mêmes ordinateurs.
Après plusieurs années dans le monde du consulting, je vous partage dans cette épisodes les 5 critères pour choisir une ESN de qualité pour vous Vous souhaitez proposer des sujets à traiter dans les futurs épisodes ? soumettez votre problématique via ce formulaire : https://bit.ly/3PU5VnR
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Une conférence pour oser passer à l'action ! ⇨ PARCE QUE LA CHANCE N'A RIEN À VOIR AVEC LE HASARD 1h pour vous le démontrer ou vous le confirmer ! ⇨ POUR MOTIVER VOTRE ÉQUIPE et lui donner envie de conquérir sa chance ! Thématiques abordées : ► L'histoire de ce projet : « faire d'un Pépin une Pépite » ► Notre Saboteur et notre Allié : apprendre à négocier ► La Chance est une compétence qui se développe ► Chausser les lunettes de l'Optimiste ► Regarder au-delà de ses habitudes ► Écrire ses envies, se fixer des objectifs ► Élargir son réseau et s'engager avec lui ► Faire les bons choix en toute confiance ► Retrouver le contact avec son intuition Découvrir l'extrait vidéo / Lire un extrait du livre Intervenant ► David CHAMARD BOIS - Coach, Conseil, Auteur, Conférencier 25 ans d'expériences dans la stratégie, le management et le développement commercial. Coach, Formateur et Directeur commercial de transition, ancien cadre dirigeant dans des secteurs et entreprises très divers : groupe privé coté en bourse, tourisme, SSII, grande distribution, entreprise publique, économie sociale et solidaire, financement de l'action sociale. Il s'est beaucoup investi dans le développement des entreprises, notamment en qualité de directeur commercial et marketing, de directeur de business unit puis dans le développement de soi comme Coach, Formateur et Sophrologue. Au travers du coaching, il met ses expériences et ses compétences au service du talent des cadres, des managers et des dirigeants afin de les aider à stimuler leurs équipes et développer leur plein potentiel. Il permet ainsi aux dirigeants de : • Se poser les meilleures questions sur soi et sur son travail, afin d'apporter les vraies réponses • Se questionner sur sa stratégie, prendre les meilleures décisions pour atteindre ses objectifs • Avoir une vision élargie sur son organisation, sa relation avec les autres et ses points de progrès • Accroitre l'efficacité et la motivation en termes de collaboration, d'implication et de communication au sein de ses équipes L'intervention sera animée par Michaël Joly, animateur du Club Bien-être.
Venez parler de l'épisode et donnner votre avis sur le management hybride ! Rendez-vous ici : https://www.linkedin.com/posts/sylvainpaturel_podcast-juridique-business-activity-6925441245674672128-khuw?utm_source=linkedin_share&utm_medium=ios_app Invités : Julia Poulain : juriste, droit des affaires et Philippe Courtois : directeur adjoint SII-IDF Dans ce nouvel épisode, on va essayer de savoir et de comprendre l'importance contractuelle dans nos métiers aujourd'hui. L'enjeu, c'est de savoir comment couvrir le risque de SII dans une relation contractuelle avec nos clients. Quelle place a pris le juridique dans le business, comment s'intègre le service dans tous les métiers d'une entreprise et comment le juridique jongle entre la vision métier, commerciale, client et opérationnelle. Au sommaire : Le rôle du service juridique Comment s'intègre et travaille le service juridique ? La vision métier, client, commerciale et operationnelle du service juridique. OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Venez parler de l'épisode et donnner votre avis sur le management hybride ! Rendez-vous ici : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:ugcPost:6912661279237152768/ Invités : Sanel Sehovic : responsable operations logiciels et systèmes, Liza Djaffri : responsable adv et contrôle de gestion et Jordan Touzé : directeur de département. Depuis 2 ans le télétravail s'est imposé à la plupart d'entre nous et force est de constater que le fameux "2 jours / 3 jours" va durer ! Les manager ont du s'adapter à cette situation avec des collaborateurs absents des bureaux 2 à 3 jours par semaine, c'est ce qu'on appelle le management hybride. Avec Liza, Sanel et Jordan, nous verrons comment, du jour au lendemain, ils ont du s'adapter au management à distance mais aussi comment ils ont pérennisé leurs actions et leurs stratégies afin de garder le lien avec leurs équipes. Au sommaire : C'est quoi le management ? Comment mettre en place le management hybride ? Comment garder le lien ? Faire face au changement d'outil avec des collaborateurs à distance ? Quel avenir pour le management hybride ? Contacts Liza Djaffri : https://www.linkedin.com/in/lisa-djaffri-1a9844b0 Sanel Sehovic : https://www.linkedin.com/in/sanel-sehovic-48a002132 Jordan Touzé : https://www.linkedin.com/in/jordan-touz%C3%A9-87432628 OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Cette semaine, j'ai le bonheur de vous partager l'interview de Thibaut Desreumaux, le co-fondateur et CEO de Wivoo. J'avoue que je ne connaissais pas Wivoo lorsqu'on nous a mis en relation pour cet épisode. J'ai très vite compris que j'avais manqué quelque chose. Thibaut est l'incarnation de l'excellence et de l'entrepreneuriat. Après un parcours en SSII, il décide de créer l'entreprise qu'il veut pour lui : humaine, reposant sur l'esprit d'entreprise, l'excellence et la transparence. Dans cet épisode, Thibaut me raconte comment :
Le métier de product owner est aussi enrichissant qu'il est vaste ! Guenola, product owner chez SII (à Tours) nous parle de son métier. Entre l'écoute, la compréhension et la rédaction de la restitution des données, le product owner (ou chef de produit) est là pour être l'interface entre toutes les équipes parties prenantes d'une amérlioration de produit ou de la conception d'un produit. Au sommaire : C'est quoi un product owner ? Quelles sont ses missions ? Quelles méthodes utilise un product owner ? Comment devient-on un product owner ? Guénola Chassin de Kergommeaux : https://www.linkedin.com/in/guenola-de-kergommeaux-1854a345 OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Avec mon invité Anthony Fauveau, consultant chez SII, j'ai voulu en savoir plus sur le RPA : robotic process automation ou automatisation robotisée des processus en français. Selon un rapport, la RPA aura un impact très fort sur l'economie d'ici 2025. C'est donc l'occasion d'apprendre et de comprendre cette nouvelle tendance. Au sommaire : RPA ? C'est quoi ? Comment mettre en place l'automatisation, avec quels outils et avec quel objectif ? Pour comprendre, quelques exemples pratiques de RPA Anthony Fauveau : https://www.linkedin.com/in/anthony-fauveau/ Ecoutez notre épisode sur le lowcode ici : https://smartlink.ausha.co/oksii/18-le-low-code-no-code OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Tout le monde en parle et il devient le nouveau sésame pour beaucoup tellement son avenir est florissant. Mais qu'est ce que le Low code/ No code ? Premiers éléments de réponse dans ce nouvel épisode avec Sébastien Portier, ingénieur chez SII Atlantique. Au sommaire : Qu'est ce le Low code/ No code ? Le code devient-il plus accessible ? Comment et pourquoi utiliste-t-on le Low code/ No code ? Comment les développeurs abordent cette nouvelle façon de faire ? Sébastien Portier : https://www.linkedin.com/in/sebastien-portier/ OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
"J'étais à l'endroit où je devais être" Le D.E.V. de la semaine est Marc Grégoire, étudiant infirmer. Oui, oui, ce n'est pas une faute de frappe, et il s'agit bien d'un épisode de "If This Then Dev". Avant d'être étudiant, Marc était bien dev. Il a travaillé en SSII et en start-up, en tant que dev front sur React. Et puis, un jour il a décidé que ce métier n'était pas celui qui lui correspondait pleinement. Il vient nous raconter cette transition, et ce que le métier de dev lui apporte dans sa reconversion. Liens évoqués pendant l'émission IFTTD Episode #66La Croix RougeIFTTD Episode #84**Continuons la discussion**@ifthisthendev (https://twitter.com/ifthisthendev)@bibear (https://twitter.com/bibear)Discord (https://discord.gg/FpEFYZM)LinkedIn (https://www.linkedin.com/company/if-this-then-dev/)Retrouvez tous nos épisodes sur notre site https://ifttd.io/** Le Livre Blanc de Danny Miles **Quels KPI suivre quand on est CTO d'un site e-commerce ?Danny Miles, CTO de Dollar Shave Club** Cherchez l'équipe de vos rêves **Si vous avez envie de changer de job, testez My Little Team qui vous permet de choisir une équipe qui vous ressemble plutôt qu'une entreprise sans trop savoir où vous arriverez !https://www.mylittleteam.com/ifttd** La Boutique IFTTD !!! **Affichez votre appréciation de ce podcast avec des goodies fait avec amour (https://ifttd.io/boutique/) ou affichez clairement votre camp tabulation ou espace.** Soutenez le podcast **Ou pour aller encore plus loin, rejoignez le Patréon IFTTD.** Participez au prochain enregistrement !**Retrouvez-nous tous les lundis à 19:00 pour assister à l'enregistrement de l'épisode en live et pouvoir poser vos questions pendant l'épisode :)Abonnez-vous à la chaîne Twitch ou retrouvez les épisodes en replay sur YouTube @ifthisthendev
Aujourd'hui, il y a un nouveau sujet important dans les entreprises, c'est la responsabilité d'agir pour avoir un numérique éthique. La responsabilité numérique s'intègre dans la démarche RSE des entreprises. Dans cet épisode, on va s'intéresser à une partie de la responsabilité numérique, c'est la sobriété numérique. Pour en parler, je suis allé à Toulouse (SII Sud Ouest) pour interviewer Estelle Neveu, chargée de RSE, Romaric L'Hernault, ingénieur chez SII et Nils Rohrbach, également ingénieur chez SII. Nos invités : avec Estelle NEVEU - Chargée de RSE (https://www.linkedin.com/in/estelle-neveu-3774a6123 ) Romaric L'HERNAULT - Ingénieur SII (https://www.linkedin.com/in/romaric-l-hernault ) Nils ROHRBACH - Ingénieur SII (https://www.linkedin.com/in/nils-rohrbach-3949a7126) OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Avec Clément Ketchedji, Innovation Manager chez Groupe SII (SII Sud-Ouest) L'innovation en ESN Dans ce nouvel épisode, Clément Ketchedji nous parle de l'innovation en ESN. Pourquoi une ESN doit savoir innover, souvent main dans la main avec ses clients, comment elle innove et quels moyens humains sont mis en place. Clément nous parlera donc de DROOPi, le drone SII qui sert de plateforme de test à toutes les recherches de nos ingénieurs et ingénieures. Liens : C'est quoi être ingénieur aujourd'hui ? Pourquoi faire appel aux stagiaires ? Retrouvez Clément sur LinkedIn OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
"En début de carrière je me suis retrouvée dans deux SSII successivement et je ne me projetais pas. J'étais placé chez un grand opérateur télécom, je voyais des gens qui étaient là depuis 20 ans, qui faisaient des choses et ne savaient pas vraiment pourquoi ils les faisaient. Je voyais des rapports hiérarchiques extrêmement infantilisants. Je voyais des gens tristes de venir le matin et contents de partir le vendredi. Ce n'était pas possible pour moi de passer 40 ans de ma vie professionnelle dans ce genre de conditions. À 22 ans j'ai donc créé une entreprise telle que j'imaginais ce que devait être une entreprise épanouissante, car le travail c'est la moitié de notre vie éveillée."
Invitée : Fabiana Faria, campus manager chez SII Île-de-France. Pendant ce nouvel épisode, on fait le tour de la question sur le Campus Management. Fabiana Faria nous livre son témoignage sur son role, ses missions, et son ressenti sur ce job pas comme les autres. A la fois RH et manager, Fabiana est le lien entre les stagaires, les écoles et les équipes en entreprise. Une autre façon de découvrir les métiers en ESN. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Antonio, Guillaume et Emmanuel discutent de pleins de choses dont des analyses de l'écosystème de la JVM, de la generation de code via intelligence Artificielle avec CoPilot, mais pas que. Enregistré le 16 juillet 2021 Téléchargement de l'épisode LesCastCodeurs-Episode–999.mp3 News Langages Les prédictions d'Adam Bien pour la seconde moitié de 2021 Kube a gagné la guerre. Les cloud providers fournissent des solutions dérivées plus simplifiées. La compatibilité kubernetes devient moins cruciale FaaS est utilise pour son usage listener et point d'intégration et plus en général purpose tool Prix du cloud et repatriation. Bouger une app existante dans le cloud n'amène pas d'avantage. Le monolith devient une best pratice Coût du cloud pousse a merger des microsercices dans un cadre de cloud cost driven development Cloud deviennent intéressant pour les services unique (text to speech, image recognition, etc). En parallèle la sécurité des cloud providers est reconnu. Donc boring load on prem, projects innovants dans le cloud. Serverless va être le trend de 2021 (fonction mais aussi db, workflow, event streams etc) idée est scale down to zero La montée des frameworks next gen Micronaut et Quarkus est indisputable. Build time deployment. La popularité de quarkus a explosé, difficile de trouver un développeur Java qui n'a pas expérimenté. Le cocktail GraalVM api familières Jakarta ee et micro profile, sa do so mémoire et temps de démarrage lui donne un avantage. Mais la compétition ne dors pas (Helidon et micronaut) Moins de langages alternatifs parce que l'innovation dans Java a accéléré Lombok moins populaire parce que Java Records. Kafka sera plus un data store immuable et source de vérité que un remplacement pour JMS Kafka et réactive en combo va rendre la programmation réactive populaire Le projet Loom eliminera la programmation reactive pour les resources non-reactives ARM sur le serveur GraalVM pour remplacer OpenJDK car rapide et multi langage. Et competitor a GraalVM qui arrive Visual studio code et ses features pour Java pas forcément connu et donc va croître encore. Payara cloud serverless server ou l'app server est un opérateur Kube et on déploie un thin jar. GraalVM offre des plugins Gradle et Maven pour la compilation native Tester les libraires en natif avec les tests junit 5 qui tournent en natif Après tourne les tests en JVM, ils sont loggués et ajoutés en réflection et complication native. Et un binaire de test est créé plugin Gradle License Oracle Universal Permissive probablement un dérivé de Universal Permissive License Le rapport sur l'écosystème JVM par Snyk Sondage effectué durant six semaines (entre février et mars 2021) au prêt de 2000 developeurs et comparé à GitHub et Google Trends Mon (Emmanuel) intuition c'est qu'il y un biais dans les gens mesurés 44% des Dev Java utilisent adoptopenjdk en prod. Oracle openjdk 28 et Oracle JDG 23 60% utilisent Java 11 en prod. Et 12 la dernière mais encore 60% de 8 en prod Java 91% kotlin 18% groovy 13 et scala 10 IntelliJ 70% eclipse 25 et vscode 23. 50% sont bi IDE Maven 76% gradle 38% ant 12W yah Spring Boot 58% Spring MVC 29% Jakarta ee 13% Quarkus 11% JDK 17 en ramp down phase 2 Schedule 2021/07/15 Rampdown Phase Two 2021/08/05 Initial Release Candidate 2021/08/19 Final Release Candidate 2021/09/14 General Availability Features integrated in JDK 17: JEP 306: Restore Always-Strict Floating-Point Semantics JEP 356: Enhanced Pseudo-Random Number Generators JEP 382: New macOS Rendering Pipeline JEP 391: macOS/AArch64 Port */ JEP 398: Deprecate the Applet API for Removal JEP 403: Strongly Encapsulate JDK Internals (sauf pour sun.misc.Unsafe) JEP 406: Pattern Matching for switch (Preview) JEP 407: Remove RMI Activation JEP 409: Sealed Classes JEP 410: Remove the Experimental AOT and JIT Compiler JEP 411: Deprecate the Security Manager for Removal JEP 412: Foreign Function & Memory API (Incubator) JEP 414: Vector API (Second Incubator) JEP 415: Context-Specific Deserialization Filters Librairies Spring Native 0.10.0 Utilise Native testing de GraalVM Passe au plugin Gradle de l'équipe GraalVM Ahead of time proxies pour les classes Quarkus 2.0 est sorti Guide de migration mais les applis devraient essentiellement fonctionner (extensions ont plus de taf) JDK 11+ GraalVM 21.1 Vert.x 4 Microprofile 4 Continuous testing : les tests impactes tournent automatiquement en Dev mode. Les tests qui cassent sur un changement sont visible tout de suite et en continu. Comme infinitest mais sans plugin IDE. Quarkus a une CLI pour simplifier l'interaction vs les plugins maven ou gradle. Notamment création de projetas. JDK 11+ GraalVM 21.1 Vert.x 4 Microprofile 4 GraphQL client (smallrye), CDI decorators supportés, transaction pour MongoDB avec Panache, Support kotlin grandement amélioré : resteasy rezctive, rest client, reactive messaging extensions supportent tous les coroutines Support d'Amazon services system manager Crafting rolling releases for a Quarkus CLI application Y'a encore du chemin pour faire simplement des CLI avec graalVM en comparaison de go JReleaser outils permettant de livrer automatiquement des projets Java vers différentes plateforme (Homebrew, Snapcraft, Scoop) Inspiré de GoReleaser et jbang Le blog package l'outil kcctl créé par Gunnar avec JReleaser Pas mal de conf (Windows vs Linux/MacOS) mais à la fin il y arrive Infrastructure Amazon sort son OpenSearch 1.0 et OpenSearch Dashboard, leur fork d'Elastic Search et Kibana 1.0 sortie de OpenSearch (GitHub) Suppression du code propriétaire Upgrading: mise a jour d'ElasticSearch et Kibana vers OpenSearch et OpenSearch Dashboard aussi simple qu'une mise a jour de version Compatibility: travaux de reflexion autour de la compatibilité avec les outils existants Testing: infrastructure de test moderne et flexible Supporte les architecture for Linux ARM64 Minimal artifacts for embedding of OpenSearch and OpenSearch Dashboards into existing products and services, Data stream support for OpenSearch Dashboards, Span attribute visibility and filtering in the Trace Analytics plugin, Scheduling and tenant support in the Reporting plugin. Aussi mentionne la roadmap Kubernetes 1.22 enlève le support des vieilles versions de ressource Faites le ménage en continu pas des grosses migrations tous les 3 ans Release prévue en aout Il vont supprimer des APIs qui étaient en beta Cloud Un tweet lance un faux service AWS InfiniDash qui a été repris par des devs et des boîtes La théorie est que la plupart des devs n'entendront parler de technologie que via les tweets et les articles. Aussi le métier de devrel c'est de surfer la vague du social media. Les dev rels AWS ont continué la farce (je crois) Werner Vogels, oui pour sur. gros effet boulle de neige Outillage GitHub copilot itellisense boosté par les projets visible et hostés dans GitHub et autre données publiques via l'intelligence artificelle, essaie de comprendre l'intention via le contexte uniquement le fichier édité en contxte pour l'instant VSCode extension donc tourne partout où les plugins VSCode tournent 0,1% de copie exacte le code nous appartient en tant qu'utilisateur le code contexte est transmis a GitHub qui l'utilise pour ses telemetries et améliorer les modèles ML pas toujours du code de qualité des secrets valides sont générés (du corpus originali e.g. SendGrid) propose du code GPL (derivation?) attaque de sécurité vont venir :) Audacity 3 spyware ou pas après le rachat la communauté “niveau 2” s'est emballée, a crée une dizaine de forks. C'était déjà annoncé et discuté avec la communauté Audacity. OS, pays, cpu, erreurs, reports de crash Protection légale « law enforcement ». Les 13 ans, juste pour éviter des restrictions légales us 3.0.2 n'a pas le code des collections de données Avec feedback initial passe de Google analytics à un hébergement propre. Quand compile le project c'est off par défaut (donc seuls les binaires distribués l'ont par défaut) donc pas dans les distros linux Sécurité LinkedIn la brèche qui donne des infos de 92% de ses utilisateurs y compris les salaires inférés API LinkedIn abusée. Email, noms, telephone, adresse physique, de 700M d'utilisateurs Presque interessé de fouiller pour voir mon salaire théorique :) Dispo sur le dark web Loi, société et organisation Lettre à ceux qui veulent faire tourner la France sur l'ordinateur de quelqu'un d'autre par Tariq Krim Télécharger l'ebook au format PDF. Très documenté et référencé Coulisses et manoeuvres pour installer les GAFAM au coeur de l'État 17 mai 2021, Bercy présente la nouvelle stratégie Cloud du Gouvernement GAM (Googla Amazon Microsoft) À part OVH Cloud, aucun des acteurs français n'a été mentionné par les Ministres Les lois américaines dites FISA et Cloud Act permettent d'obliger les grandes sociétés US à fournir à la justice américaine les données situées sur leurs serveurs européens Si l'on met de côté les questions de souveraineté, les services de sociétés comme Amazon, Microsoft et Google sont très ergonomiques Les Américains offrent des services clé en main, les services “made in France” demandent de combiner plusieurs produits issus de sociétés différentes Apple, Google, Facebook, Amazon ont embauché des dizaines de milliers d'ingénieurs, dont de très talentueux Français Les clouds GAM pourraient décrocher le label SecNum Cloud (le plus haut niveau de sécurisation de l'État) Après avoir délocalisé notre industrie (le fameux “Fabless” de Serge Tchuruk ancien patron d'Alcatel), l'État et les grandes entreprises ont délocalisé leur informatique vers les grandes SSII qui se sont mises à produire des projets à la chaîne Nous contacter Soutenez Les Cast Codeurs sur Patreon https://www.patreon.com/LesCastCodeurs Faire un crowdcast ou une crowdquestion Contactez-nous via twitter https://twitter.com/lescastcodeurs sur le groupe Google https://groups.google.com/group/lescastcodeurs ou sur le site web https://lescastcodeurs.com/
Antonio, Guillaume et Emmanuel discutent de pleins de choses dont des analyses de l'écosystème de la JVM, de la generation de code via intelligence Artificielle avec CoPilot, mais pas que. Enregistré le 16 juillet 2021 Téléchargement de l'épisode [LesCastCodeurs-Episode-999.mp3](https://traffic.libsyn.com/lescastcodeurs/LesCastCodeurs-Episode-999.mp3) ## News ### Langages [Les prédictions d'Adam Bien pour la seconde moitié de 2021](https://adambien.blog/roller/abien/entry/mid_year_2021_observations_and) * Kube a gagné la guerre. Les cloud providers fournissent des solutions dérivées plus simplifiées. La compatibilité kubernetes devient moins cruciale * FaaS est utilise pour son usage listener et point d'intégration et plus en général purpose tool * Prix du cloud et repatriation. Bouger une app existante dans le cloud n'amène pas d'avantage. Le monolith devient une best pratice * Coût du cloud pousse a merger des microsercices dans un cadre de cloud cost driven development * Cloud deviennent intéressant pour les services unique (text to speech, image recognition, etc). En parallèle la sécurité des cloud providers est reconnu. Donc boring load on prem, projects innovants dans le cloud. * Serverless va être le trend de 2021 (fonction mais aussi db, workflow, event streams etc) idée est scale down to zero * La montée des frameworks next gen Micronaut et Quarkus est indisputable. Build time deployment. * La popularité de quarkus a explosé, difficile de trouver un développeur Java qui n'a pas expérimenté. Le cocktail GraalVM api familières Jakarta ee et micro profile, sa do so mémoire et temps de démarrage lui donne un avantage. Mais la compétition ne dors pas (Helidon et micronaut) * Moins de langages alternatifs parce que l'innovation dans Java a accéléré * Lombok moins populaire parce que Java Records. * Kafka sera plus un data store immuable et source de vérité que un remplacement pour JMS * Kafka et réactive en combo va rendre la programmation réactive populaire * Le projet Loom eliminera la programmation reactive pour les resources non-reactives * ARM sur le serveur * GraalVM pour remplacer OpenJDK car rapide et multi langage. Et competitor a GraalVM qui arrive * Visual studio code et ses features pour Java pas forcément connu et donc va croître encore. * Payara cloud serverless server ou l'app server est un opérateur Kube et on déploie un thin jar. [GraalVM offre des plugins Gradle et Maven pour la compilation native](https://medium.com/graalvm/gradle-and-maven-plugins-for-native-image-with-initial-junit-testing-support-dde00a8caf0b) * Tester les libraires en natif avec les tests junit 5 qui tournent en natif * Après tourne les tests en JVM, ils sont loggués et ajoutés en réflection et complication native. * Et un binaire de test est créé * plugin Gradle * License Oracle Universal Permissive * probablement un dérivé de [Universal Permissive License](https://opensource.org/licenses/UPL) [Le rapport sur l'écosystème JVM](https://snyk.io/jvm-ecosystem-report-2021) par Snyk * Sondage effectué durant six semaines (entre février et mars 2021) au prêt de 2000 developeurs et comparé à GitHub et Google Trends * Mon (Emmanuel) intuition c'est qu'il y un biais dans les gens mesurés * 44% des Dev Java utilisent adoptopenjdk en prod. Oracle openjdk 28 et Oracle JDG 23 * 60% utilisent Java 11 en prod. Et 12 la dernière mais encore 60% de 8 en prod * Java 91% kotlin 18% groovy 13 et scala 10 * IntelliJ 70% eclipse 25 et vscode 23. 50% sont bi IDE * Maven 76% gradle 38% ant 12W yah * Spring Boot 58% Spring MVC 29% Jakarta ee 13% Quarkus 11% [JDK 17 en ramp down phase 2](https://mail.openjdk.java.net/pipermail/jdk-dev/2021-March/005266.html) Schedule * 2021/07/15 Rampdown Phase Two * 2021/08/05 Initial Release Candidate * 2021/08/19 Final Release Candidate * 2021/09/14 General Availability Features integrated in JDK 17: * [JEP 306: Restore Always-Strict Floating-Point Semantics](https://openjdk.java.net/jeps/306) * [JEP 356: Enhanced Pseudo-Random Number Generators](https://openjdk.java.net/jeps/356) * [JEP 382: New macOS Rendering Pipeline](https://openjdk.java.net/jeps/382) * [JEP 391: macOS/AArch64 Port ](https:/*openjdk.java.net/jeps/391)*/ * [JEP 398: Deprecate the Applet API for Removal](https://openjdk.java.net/jeps/398) * [JEP 403: Strongly Encapsulate JDK Internals](https://openjdk.java.net/jeps/403) (sauf pour `sun.misc.Unsafe`) * [JEP 406: Pattern Matching for switch (Preview)](https://openjdk.java.net/jeps/406) * [JEP 407: Remove RMI Activation ](https://openjdk.java.net/jeps/407) * [JEP 409: Sealed Classes ](https://openjdk.java.net/jeps/409) * [JEP 410: Remove the Experimental AOT and JIT Compiler](https://openjdk.java.net/jeps/410) * [JEP 411: Deprecate the Security Manager for Removal](https://openjdk.java.net/jeps/411) * [JEP 412: Foreign Function & Memory API (Incubator)](https://openjdk.java.net/jeps/412) * [JEP 414: Vector API (Second Incubator)](https://openjdk.java.net/jeps/414) * [JEP 415: Context-Specific Deserialization Filters](https://openjdk.java.net/jeps/415) ### Librairies [Spring Native 0.10.0](https://spring.io/blog/2021/06/14/spring-native-0-10-0-available-now) * Utilise Native testing de GraalVM * Passe au plugin Gradle de l'équipe GraalVM * Ahead of time proxies pour les classes [Quarkus 2.0 est sorti](https://quarkus.io/blog/quarkus-2-0-0-final-released/) * Guide de migration mais les applis devraient essentiellement fonctionner (extensions ont plus de taf) * JDK 11+ GraalVM 21.1 * Vert.x 4 * Microprofile 4 * Continuous testing : les tests impactes tournent automatiquement en Dev mode. Les tests qui cassent sur un changement sont visible tout de suite et en continu. Comme infinitest mais sans plugin IDE. * Quarkus a une CLI pour simplifier l'interaction vs les plugins maven ou gradle. Notamment création de projetas. * JDK 11+ GraalVM 21.1 * Vert.x 4 * Microprofile 4 * GraphQL client (smallrye), CDI decorators supportés, transaction pour MongoDB avec Panache, * Support kotlin grandement amélioré : resteasy rezctive, rest client, reactive messaging extensions supportent tous les coroutines * Support d'Amazon services system manager [Crafting rolling releases for a Quarkus CLI application](https://andresalmiray.com/crafting-rolling-releases-for-a-quarkus-cli-application/) * Y'a encore du chemin pour faire simplement des CLI avec graalVM en comparaison de go * [JReleaser](https://jreleaser.org) outils permettant de livrer automatiquement des projets Java vers différentes plateforme (Homebrew, Snapcraft, Scoop) * Inspiré de GoReleaser et jbang * Le blog package l'outil `kcctl` créé par Gunnar avec JReleaser * Pas mal de conf (Windows vs Linux/MacOS) mais à la fin il y arrive ### Infrastructure [Amazon sort son OpenSearch 1.0 et OpenSearch Dashboard, leur fork d'Elastic Search et Kibana](https://opensearch.org/blog/updates/2021/07/opensearch-general-availability-announcement/) * 1.0 sortie de [OpenSearch](https://opensearch.org) ([GitHub](https://github.com/opensearch-project)) * Suppression du code propriétaire * Upgrading: mise a jour d'ElasticSearch et Kibana vers OpenSearch et OpenSearch Dashboard aussi simple qu'une mise a jour de version * Compatibility: travaux de reflexion autour de la compatibilité avec les outils existants * Testing: infrastructure de test moderne et flexible * Supporte les architecture for Linux ARM64 * Minimal artifacts for embedding of OpenSearch and OpenSearch Dashboards into existing products and services, * Data stream support for OpenSearch Dashboards, * Span attribute visibility and filtering in the Trace Analytics plugin, * Scheduling and tenant support in the Reporting plugin. * Aussi mentionne la roadmap [Kubernetes 1.22 enlève le support des vieilles versions de ressource](https://kubernetes.io/blog/2021/07/14/upcoming-changes-in-kubernetes-1-22/#api-changes) * Faites le ménage en continu pas des grosses migrations tous les 3 ans * Release prévue en aout * Il vont supprimer des APIs qui étaient en beta ### Cloud [Un tweet lance un faux service AWS InfiniDash qui a été repris par des devs et des boîtes](https://siliconangle.com/2021/07/05/fake-amazon-cloud-service-aws-infinidash-quickly-goes-viral/) * La théorie est que la plupart des devs n'entendront parler de technologie que via les tweets et les articles. * Aussi le métier de devrel c'est de surfer la vague du social media. Les dev rels AWS ont continué la farce (je crois) * Werner Vogels, oui pour sur. * gros effet boulle de neige ### Outillage [GitHub copilot](https://copilot.github.com/) * itellisense boosté par les projets visible et hostés dans GitHub et autre données publiques * via l'intelligence artificelle, essaie de comprendre l'intention via le contexte * uniquement le fichier édité en contxte pour l'instant * VSCode extension donc tourne partout où les plugins VSCode tournent * 0,1% de copie exacte * le code nous appartient en tant qu'utilisateur * le code contexte est transmis a GitHub qui l'utilise pour ses telemetries et améliorer les modèles ML * pas toujours du code de qualité * [des secrets valides sont générés](https://twitter.com/alexjc/status/1411966249437995010) (du corpus originali e.g. SendGrid) * [propose du code GPL (derivation?)](https://drewdevault.com/2021/07/04/Is-GitHub-a-derivative-work.html) * attaque de sécurité vont venir :) [Audacity 3 spyware ou pas après le rachat](https://arstechnica.com/gadgets/2021/07/no-open-source-audacity-audio-editor-is-not-spyware/) * la communauté "niveau 2" s'est emballée, a crée une dizaine de forks. * C'était déjà annoncé et discuté avec la communauté Audacity. * OS, pays, cpu, erreurs, reports de crash * Protection légale « law enforcement ». Les 13 ans, juste pour éviter des restrictions légales us * 3.0.2 n'a pas le code des collections de données * Avec feedback initial passe de Google analytics à un hébergement propre. * Quand compile le project c'est off par défaut (donc seuls les binaires distribués l'ont par défaut) donc pas dans les distros linux ### Sécurité [LinkedIn la brèche qui donne des infos de 92% de ses utilisateurs y compris les salaires inférés](https://9to5mac.com/2021/06/29/linkedin-breach/amp/?__twitter_impression=true) * API LinkedIn abusée. * Email, noms, telephone, adresse physique, de 700M d'utilisateurs * Presque interessé de fouiller pour voir mon salaire théorique :) * Dispo sur le dark web ### Loi, société et organisation [Lettre à ceux qui veulent faire tourner la France sur l'ordinateur de quelqu'un d'autre](https://www.codeforfrance.fr/publications) par [Tariq Krim](https://twitter.com/tariqkrim) * [Télécharger l'ebook au format PDF](https://www.codeforfrance.fr/assets/ebook/cloud_14Juillet2021.pdf). Très documenté et référencé * Coulisses et manoeuvres pour installer les GAFAM au coeur de l'État * 17 mai 2021, Bercy présente la nouvelle stratégie Cloud du Gouvernement * GAM (Googla Amazon Microsoft) * À part OVH Cloud, aucun des acteurs français n'a été mentionné par les Ministres * Les lois américaines dites FISA et Cloud Act permettent d'obliger les grandes sociétés US à fournir à la justice américaine les données situées sur leurs serveurs européens * Si l'on met de côté les questions de souveraineté, les services de sociétés comme Amazon, Microsoft et Google sont très ergonomiques * Les Américains offrent des services clé en main, les services “made in France” demandent de combiner plusieurs produits issus de sociétés différentes * Apple, Google, Facebook, Amazon ont embauché des dizaines de milliers d'ingénieurs, dont de très talentueux Français * Les clouds GAM pourraient décrocher le label SecNum Cloud (le plus haut niveau de sécurisation de l'État) * Après avoir délocalisé notre industrie (le fameux “Fabless” de Serge Tchuruk ancien patron d'Alcatel), l'État et les grandes entreprises ont délocalisé leur informatique vers les grandes SSII qui se sont mises à produire des projets à la chaîne ## Nous contacter Soutenez Les Cast Codeurs sur Patreon [Faire un crowdcast ou une crowdquestion](https://lescastcodeurs.com/crowdcasting/) Contactez-nous via twitter sur le groupe Google ou sur le site web
Invitées : Sophie Verrier, directrice de projet et Emmanuelle Descoms, chef de projet. Les femmes dans le monde technologique et numérique - Intégrale A l'occasion de la journée des droits de femmes, Sophie Verrier et Emmanuelle Descoms nous parlent, à travers leurs parcours, de leurs réussites, de leurs visions des femmes dans le milieu technologique et numérique et aussi de leurs métiers et de comment l'exercer en tant que femme dans un monde... assez masculin ! Nous parlons aussi de de la place des femmes chez SII et surtout sur leurs rôles de marraines dans l'association Elles Bougent et des interrogations des jeunes filles rencontrées lors des sorties "Elles Bougent". A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Notre invité : Olivier Journel, directeur région IDF - Groupe SII Au programme de l'épisode : La place de l'ingénieur dans le monde Les compétences de l'ingénieur La responsabilité sociétale de l'ingénieur A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Contrairement aux idées reçues, une ESN n'est pas forcement qu'un passage dans une vie professionnelle. Une carrière y est belle et bien possible. Grace à la diversité des marchés, des clients, des secteurs d'activités et surtout l'ampleur des métiers que l'on y exerce. Avec nos invités, nous allons voir comment les évolutions sont possibles, comment on peut construire son parcours dans une ESN et quels moyens sont mis en place par SII pour encourager, s'évaluer et poser les bonnes briques à son évolution dans ESN. Nos invités : Estelle Barbottin – Responsable Performance et processus SII IDF Pascale Hubert – Responsable Ressources Humaines SII IDF Philippe Courtois – Directeur Régional adjoint SII IDF OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Avec Clément Ketchedji, Innovation Manager chez Groupe SII (SII Sud-Ouest) L'innovation en ESN Dans ce nouvel épisode, Clément Ketchedji nous parle de l'innovation en ESN. Pourquoi une ESN doit savoir innover, souvent main dans la main avec ses clients, comment elle innove et quels moyens humains sont mis en place. Clément nous parlera donc de DROOPi, le drone SII qui sert de plateforme de test à toutes les recherches de nos ingénieurs et ingénieures. Liens : C'est quoi être ingénieur aujourd'hui ? Pourquoi faire appel aux stagiaires ? Retrouvez Clément sur LinkedIn OK:SII vous fait découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Invitées : Sophie Verrier, directrice de projet et Emmanuelle Descoms, chef de projet. Les femmes dans le monde technologique et numérique - Partie 2 A l'occasion de la journée des droits de femmes, Sophie Verrier et Emmanuelle Descoms nous parlent, à travers leurs parcours, de leurs réussites, de leurs visions des femmes dans le milieu informatique et numérique et aussi de leurs métiers et de comment l'exercer en tant que femme dans un monde... assez masculin ! Ecoutez la 2ème partie de l'épisode axée sur les femmes chez SII et surtout sur leurs rôles de marraines dans l'association Elles Bougent et des interrogations des jeunes filles rencontrées lors des sorties "Elles Bougent". ▶️ pour joindre Fabiana Faria à propos de "Elles Bougent" : ffaria@sii.fr A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Invitées : Sophie Verrier, directrice de projet et Emmanuelle Descoms, chef de projet. Les femmes dans le monde technologique et numérique - Partie 1 A l'occasion de la journée des droits de femmes, Sophie Verrier et Emmanuelle Descoms nous parlent, à travers leurs parcours, de leurs réussites, de leurs visions des femmes dans le milieu technologique et numérique et aussi de leurs métiers et de comment l'exercer en tant que femme dans un monde... assez masculin ! Nous avons tellement de chose à dire que la semaine prochaine vous retrouverez la suite de cette entretien où on abordera les femmes chez SII et l'association Elles Bougent ! A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Il existe plusieurs structures dans lesquelles, une développeuse ou un développeur peuvent évoluer et s’épanouir. L’ Entreprise de Services du Numérique (anciennement SSII) en est une parmi d’autres : startup, service informatique interne, éditeur de logiciel, freelancing… mais quelle est la réalité des ESN, vu de l’intérieur, sans langue de bois ? Acteur majeur du […] L’article La réalité des ESN sans langue de bois avec Nicolas Revol, HR Leader. est apparu en premier sur Coder pour changer de vie.
Invitée : Ingrid Baeumler, responsable recrutement SII IDF. Comment recruter en ESN (Entreprise de Services du Numérique) ? Pour cette deuxième partie, nous allons nous placer du point de vue des recruteurs. Dans cet épisode, Ingrid Baeumler nous emmène dans les coulisses du recrutement en ESN. Les profils, les missions d'un recruteur. Le recrutement des Talent Acquisition Recruiter, et on fera un zoom sur une semaine type. Bonne écoute ! La première partie est disponible ici : https://smartlink.ausha.co/oksii/comment-recruter-en-esn-p1 A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Invitée : Ingrid Baeumler, responsable recrutement SII IDF. Comment recruter en ESN (Entreprise de Services du Numérique) ? Pour cette première partie, nous allons nous placer du point de vue des candidats. Dans 15 jours, nous serons du côté des recruteurs ! Dans cet épisode, Ingrid Baeumler nous explique comment les ESN recrutent et détectent les bons profils, quels sont les moyens mis en place et quel est le parcours des candidats. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Aujourd’hui je reçois Bertrand de Volontat, Directeur France de Upday. La marque Upday ne vous dit peut-être rien comme marque média, mais c’est un acteur majeur de l’information en Europe. Fruit d’une alliance entre Samsung et le géant allemand des médias Axel Springer, Upday est une application mobile only, pré-installée sur tous les appareils Samsung en Europe. Soit près de 30 millions d’utilisateurs actifs par mois. Leur mission : sélectionner et hiérarchiser les meilleurs contenus d’informations. Bertrand nous parle de son parcours avant Upday en tant que journaliste, mais aussi entrepreneur. On revient également sur son expérience de responsable éditorial pour une SSII, une tendance de plus en plus développée par les entreprises traditionnelles consistant à se muter en véritables médias. Ensuite on discute du modèle de Upday, de leur relation avec les médias d’information français (et quand on est en position de générer 50 millions de clics par mois vers ses partenaires médias, forcément ça aide dans les discussions). Enfin, on échange sur le futur des médias d’actualités face à Facebook ou Google, les différents business models possibles pour la presse et les défis à venir. Références et liens utiles https://news.upday.com/fr/ https://earli.audio Livres recommandés: No Society, Christophe Guilluy No Fake, Jean-Laurent Cassely Tour de France des villes incomprises, Vincent Noyoux La faiblesse du vrai, Myriam Revault d'allonnes
Amine Sebti est Senior Manager chez Strategy&, cabinet de conseil en stratégie, membre du réseau Pwc au Maroc. Amine partage avec nous les enseignements clés de son aventure entrepreneuriale avec SantéV, chaîne thématique dédiée à la santé diffusée dans les salles d’attente des médecins, qu’il a lancée en 2014. Il a mis fin à cette aventure 4 ans plus tard car la startup n’a pas réussi à élargir son product-market fit ni trouver du financement pour développer son modèle à plus grande échelle Auparavant Amine, passionné de technologie et d'innovation, aura accumulé de l’energie positive après un parcours dans le conseil en stratégie à l'international puis en tant qu’entrepreneur dans une SSII à son retour au Maroc. Il est à ce moment là ouvert à de nouveaux challenges avec l’envie d’une aventure entrepreneuriale L’idée de SantéV lui vient un jour dans une salle d’attente, lorsqu’il prend conscience des longs délais d’attente et de la télé allumée qui n’est pas exploitée à son plein potentiel. L’opportunité est de diffuser un contenu d’1h contextualisé, orienté conseil et sensibilisation, ciblant les femmes autour de la santé et du bien être. Il s’agira de cibler les cabinets de dermatologues, gynécologues et pédiatres, et nécessitera au préalable d’équiper le cabinet avec une télé neuve et un boîtier. Le modèle économique se base sur de la publicité ciblant les laboratoires pharmaceutiques et les fabricants de produits de grande consommation Amine nous décrit les étapes clés : Le lancement d’un Proof Of Concept sur une année auprès d’une communauté de 100 médecins La création de 12 mois de contenu d’abord avec une boite de production puis en interne L'engagement de l'effort commercial est mené de manière intensive à partir de la deuxième année La startup arrivera à réaliser quelques opérations commerciales mais ne réussira pas pendant les deux années suivantes à "scaler" pour deux raisons : Product-Market fit insuffisant : les laboratoires ne sont pas convaincus de l'impact de cette innovation sur les ventes de médicaments ni du retour obtenu pour chaque dirham investi Incapacité à trouver des financements auprès des fonds d'investissements et institutionnels des secteurs publics et privés : pour que SantéV puisse multiplier par 10 la communauté des médecins partenaires et mobiliser les investissements nécessaires à sa croissance Le pivot digital vers un magazine en ligne va éloigner le projet de sa mission initiale et obliger Amine à mettre fin à l'aventure. Amine explique que l'échec est naturel pour une Startup en reconnaissant qu'il faut réussir à dépasser le jugement et le regard négatif de la société Amine va rebondir en valorisant son expérience entrepreneuriale dans le cadre de sa nouvelle mission chez Strategy& et continuer à cultiver ce mindset Entrepreneur et Innovation au travers du mentoring de Startups. Il partage avec nous les lectures inspirantes suivantes : Start with Why: How Great Leaders Inspire Everyone to Take Action: Sinek, Simon Amazon.com: Shoe Dog: A Memoir by the Creator of Nike eBook: Knight, Phil: Kindle Store Grinding It Out: The Making of McDonald's: Kroc, Ray: 9781250130280: Amazon.com: Books
Invité : Eric Hilly, Practice manager BU Cybersécurité SII. Que ce soit pour une initiation à la Cybersécurité ou bien devenir un spécialiste, le Cyberlab permet de former les collaborateurs SII à la Cybersécurité. Depuis 2 ans, le lab accueille aussi des stagiaires et alternants venant des plus grandes écoles. Eric Hilly nous explique le fonctionnement et l'atout du Cyberlab pour SII, ses collaborateurs et ses clients ! A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal Pour joindre Eric Hilly : ehilly@sii.fr
Invitée : Fabiana Faria, campus manager SII IDF. Former les ingénieurs de demain, c'est une des missions de SII. Le stage permet aux stagiaire d'acquérir un savoir-faire, une vraie expérience sur le terrain mais aussi un savoir-être en entreprise. Pour SII, un stagiaire apporte énormément ! Un regard neuf, de nouvelles idées, une expérience différente, le stagiaire occupe une vraie place dans le projet d'entreprise. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Invité : Philippe Macé, consultant Agile et Devops SII. L'Agilité ne met en place par hasard, des formations sont nécessaire à tous les niveaux hierachiques ! Philippe Macé nous explique pourquoi et comment ces formations sont importantes. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Invité : Charles-Edouard Descoq, directeur adjoint SII IDF. « C'est quoi SII ? », c'est le portrait de SII par ses salariés. Régulièrement dans l'année, des collaborateurs viendront nous raconter leur « SII ». Pour ce premier épisode de la série, nous recevons Charles-Edouard Descoq, directeur adjoint SII IDF. Il nous donnera sa vision de la société, sa culture, ses valeurs et pourquoi SII fait la différence. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instagram ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Dans cet épisode, Eric PAUL nous reçoit dans sa salle de sport et son dojo pour nous partager son parcours et sa reconversion professionelle. Après un BEP Eléctronique, un Bac Pro et un BTS Actions Commerciales, ce sont 24 années durant lesquelles Eric PAUL opère sur différentes missions dans la SSII mutualisée de plusieurs quotidiens Français comme Paris Normandie ou Nice Matin par exemple. Durant cette période, Eric PAUL, féru de sport depuis toujours, perfectionne son Karaté par la pratique puis l'enseignement. Enseignement qui joue le rôle d'accélérateur pour ses projets et OTABAYA voit le jour en 2018. Eric PAUL nous explique ici son chemin, depuis le début de son exécution, jusqu'à ses projets dans un avenir proche, et nous partage sa philosophie autour de la notion d'objectif. Un grand merci à lui pour ce partage de détermination et de force d'esprit. Paul
Invitée : Fabiana Faria, campus manager chez SII Île-de-France. Pendant ce nouvel épisode, on fait le tour de la question sur le Campus Management. Fabiana Faria nous livre son témoignage sur son role, ses missions, et son ressenti sur ce job pas comme les autres. A la fois RH et manager, Fabiana est le lien entre les stagaires, les écoles et les équipes en entreprise. Une autre façon de découvrir les métiers en ESN. A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
Comment ça se passe pour mettre en ligne une app dans la vraie vie quand on commence avec le cloud ?Tous les cloud provider promettent la même chose :"t’inquiètes ma caille, ton app elle va jamais tomber et tu pourras scale autant que tu veux !"Ok c'est cool mais avant d'en arriver là il faut que je réussisse à la mettre en ligne ma f*ck*ng app ?Et puis je ne suis pas expert cloud moi, je veux juste mettre en ligne mon app....En plus Gérard veut que ce soit fait pour hier !On commencera par un tour d'horizon rapide des solutions existantes puis nous en sélectionnerons quelques unes pour mettre en ligne le combo : FRONT + API + BDD Nous analyserons les avantages, les inconvénients et surtout le coût de prise en main de solutions comme AWS, Clever Cloud, Heroku, Netlify, Gitlab pages...Le but de ce talk n'est pas de déterminer quelle solution est la meilleure ni comment optimiser sa mise en ligne... Je veux simplement vous partager mon expérience et j'espère vous faire gagner un peu de temps le jour où vous serez confronté à ce genre de problématiquePar Rudy BaerCTO (et CEO) depuis 4 ans chez BearStudio. Mon travail au quotidien consiste a résoudre les problèmes techniques ET humains posés par le développement logiciel. Développeur Java de formation, après quelques années en SSII et en startup, j'ai finalement décidé de monter ma boite. Je suis également un des organisateurs des meetups (ancien JUG) et de Codeurs En Seine à Rouen.
Invité : Olivier Journel, directeur de SII Île-de-France Au programme de l'épisode : La place de l'ingénieur dans le monde Les compétences de l'ingénieur La responsabilité sociétale de l'ingénieur A travers ce podcast, OK:SII vous fera découvrir l'entreprise, son environnement, son marché, ses métiers, son fonctionnement et aussi ses femmes et ses hommes qui font le succès du Groupe. A chaque rendez-vous, nous recevons un ou plusieurs intervenants qui nous apporteront leurs regards d'experts. Fondé en 1979, le Groupe SII est une ESN (Entreprise de Services du Numérique) à dimension internationale disposant d'une large couverture géographique avec 88 implantations réparties sur 4 continents. Retrouvez-nous sur Twitter et Instragam ▶️ Une émission produite et réalisée par Sylvain Paturel avec la complicité de Fanny Oyarsabal
OK:SII Rendez-vous le jeudi 1er octobre 2020 pour le premier épisode de OK:SII ! Le podcast pour tout savoir sur SII !
In this episode of GeeksBlabla, we discuss with our guests what is it like to work abroad as a developer. Guests Abdelfettah Sghiouar Mariam Kharbat Oussama Salimi Ahmed Kachkach Othmane Meniar Notes 0:01 - Introduction 0:04 - What is your academic background and where have you worked in Morocco? 0:09 - What to consider if you want to work abroad for the first time? 0:19 - Does the position you are applying for abroad take into consideration your Moroccan diploma? 0:25 - What are the pros and cons of working abroad? 0:35 - Is it less complicated to get promoted abroad? 0:49 - Which is better as s first job in Morocco, to work in an "SSII" or in a startup? 0:54 - How is the lifestyle abroad, in terms of cost and work-life? 1:16 - What to consider when applying for remote jobs in Europe? 1:19 - Is English the primary work-language in Europe? 1:25 - What are the best job sectors to apply for abroad? 1:39 - Is it important to change jobs after a period of time? 1:55 - Freelance vs CDI. 2:02 - Do I need to verify all the requirements to apply for a job abroad? 2:12 - How to negotiate your salary? 2:20 - Work permits abroad. 2:26 - Wrap up and goodbye. Links Calculate your salary Remote hiring Cost of Living Comparison glassdoor Prepared and Presented by Meriem Zaid Ismail Tlemcani
Entretien avec Alexandre Mingual, qui a un parcours atypique dans la vente de commercial en porte à porte pour vendre des copieurs / imprimantes dans le 93 et 95, puis qui a été Directeur commercial en SSII puis en startup pour être ensuite consultant et maintenant entrepreneur avec Hado Sport ! Alexandre nous explique pourquoi l'Intelligence Emotionnelle est un pouvoir de super héro de la vente. Il nous explique comment préparer ses rdv en s'intéressant aux gens pour ce qu'ils sont, pour comprendre leurs inspirations, leurs envies, leurs soucis, leurs valeurs : pourquoi et comment. Cette préparation permet ensuite de se synchroniser en utilisant les émotions : faire de la découverte une discussion, un échange pour obtenir les pains liés de la désynchronisation entre les valeurs de l'entreprise, la fonction de son interlocuteur et ses propres valeurs. Il explique ensuite comment s'adapter en rdv: savoir comment se comporter ou avec qui et faire un rdv selon la teinte principale de son interlocuteur (DISC) Il aborde enfin la reformulation avec l'Intelligence émotionnelle ainsi que le cycle de vente. Alexandre en fin d'entretien nous conseille ses lectures: L'art de la guerre, Dune, Reinventing Organisation Ses routines qui lui permettent d'être performant: Échanger et écouter le plus possible : faire une synthèse écrite à chaque fois de ses rdv. Pouvoir interrompre son flux de pensée pour s'endormir à volonté.
La SSII, ses joies et surtout ses contraintes
"Je n’avais pas de chômage. Je me suis donnée 3 mois pour gagner ma vie."Laetitia est fondatrice de Cadre Noir. Elle fait de la recherche et du marketing sur le sujet du Futur du Travail. Après avoir été commerciale en SSII puis professeure pendant 10 ans, elle se lance en 2015 en tant qu'indépendante sur ce sujet qui la passionne.Sans avoir pu bénéficier du chômage au départ, elle a réussit à se forger une légitimité pour vivre aujourd'hui de son activité et renouer avec son besoin de sens. Elle te dit comment elle a fait :1- Cibler le sujet qu’on souhaite traiter avant la compétence qu’on peut offrir (02:45)2- Construire sa légitimité en créant du contenu (05:55) 3- Renforcer peu à peu ses valeurs en faisant des missions engagées plus que alimentaires (08:37)4- Apprendre à combiner le long terme et le court terme (10:33)Son conseil pour gagner du temps : Arrêter de se poser la question de sa légitimité, c’est se donner sa legitimité. Son conseil pour gagner de l’énergie : Alterner les temps de deep work et les journées de rencontres.La question qu’elle se pose en ce moment : Comment embarquer d’autres personnes pour leur permettre aussi de trouver du sens dans leur métier ?----Le projet de Laetitia : Laetitia a fondé Cadre Noir, une société de recherche & marketing sur le futur du travail. Elle a commencé par écrire pour Welcome to The Jungle, Malt et Switch Collective. Elle sort bientôt 2 livres : sur l'évolution du travail du 20e au 21e siècle & sur les innovations en matière de ressources humaines.La réalisatrice de ce podcast : Antonella est facilitatrice de développement personnel. Elle anime des ateliers collectifs de développement personnel, en se basant sur des supports inspirants. DevCo, c'est le club de lecture nouvelle génération, sur du développement personnel. www.facebook.com/DevCollectif/Vécus est le 1er podcast collaboratif fait par et pour les acteurs de changement. Une création de Ticket for Change. Pour ne rien rater de l'actualité de Vécus : www.ticketforchange.org/vecusPour t'abonner à notre Newsletter, c'est par ici : bit.ly/Newsletter_Vécus Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Comment peut ton juger la valeurs d'un développeur ? Un commercial dans une SSII, une RH, un recruteur, comment peut-il juger la valeur d'un développeur ? Ce ne sont pas des personnes techniques qui t'attribuent une valeur. Du coup elles se basent sur quelques lignes sur ton CV. Diplômes, expériences et Certifications. On en parle dans le podcast du jour. Me poser une question : https://frenchmike.typeform.com/to/Bv93b1
Quand j’étais étudiant j'avais fait un peu d’intérim. Les missions déprimantes que l'on m'avait imposées m'ont fait détester cela. Mauvaise première expérience avec le monde du travail. Plus tard après mes études, j'ai trouvé un CDI dans une SSII. Je te donne mon avis sur les SSII (ESN) et leurs avenir dans ce Podcast
Stéphane a un drôle de parcours, c’est dans le secteur financier qu’il démarre sa carrière pour être contrôleur de gestion. Là il gravit les échelons et teste sa vision du monde face aux attentes de sa direction. C’est Vincent Aveline, le fondateur de Devolis, qui viendra le challenger en lui proposant un poste à total contre emploi : devenir responsable commercial d’une SSII (aussi appelée ESN désormais). Si son poste l’amène déjà a devoir vendre à des clients, Stéphane doute de sa compétence pour un travail très différent et dans un environnement qu’il connait peu. Finalement, rassuré par ses proches, il se lance et change de carrière… Avec succès. C’est un management tout en proximité qu’évoque avec nous Stéphane, la nécessité d’avoir une culture d’entreprise forte particulièrement quand les consultants passent autant de temps chez les clients. On y parle aussi de ces métiers de développeurs, Data Scientist, etc. qui sont en tension et comment une entreprise de province comme Devolis parvient à dénicher et garder des talents qui trouveraient facilement des postes en région parisienne. Le secret ? Être honnête et leur donner des responsabilités. Nous espérons que vous aurez autant de plaisir à regarder cet épisode que nous en avons eu à le tourner.Créé en 2007, DEVOLIS propose un ensemble de services, allant du support technique ou fonctionnel, jusqu’à la réalisation de logiciels ou d’applications mobiles en mode forfait ou agile, en passant par l’exécution de contrats de Tierce Maintenance Applicative (TMA). Partenaire Microsoft certifié GOLD, ils interviennent dans les domaines du Cloud, de la data et des agents conversationnels (chatbot)
Stéphane a un drôle de parcours, c’est dans le secteur financier qu’il démarre sa carrière pour être contrôleur de gestion. Là il gravit les échelons et teste sa vision du monde face aux attentes de sa direction. C’est Vincent Aveline, le fondateur de Devolis, qui viendra le challenger en lui proposant un poste à total contre emploi : devenir responsable commercial d’une SSII (aussi appelée ESN désormais). Si son poste l’amène déjà a devoir vendre à des clients, Stéphane doute de sa compétence pour un travail très différent et dans un environnement qu’il connait peu. Finalement, rassuré par ses proches, il se lance et change de carrière… Avec succès. C’est un management tout en proximité qu’évoque avec nous Stéphane, la nécessité d’avoir une culture d’entreprise forte particulièrement quand les consultants passent autant de temps chez les clients. On y parle aussi de ces métiers de développeurs, Data Scientist, etc. qui sont en tension et comment une entreprise de province comme Devolis parvient à dénicher et garder des talents qui trouveraient facilement des postes en région parisienne. Le secret ? Être honnête et leur donner des responsabilités. Nous espérons que vous aurez autant de plaisir à regarder cet épisode que nous en avons eu à le tourner.Créé en 2007, DEVOLIS propose un ensemble de services, allant du support technique ou fonctionnel, jusqu’à la réalisation de logiciels ou d’applications mobiles en mode forfait ou agile, en passant par l’exécution de contrats de Tierce Maintenance Applicative (TMA). Partenaire Microsoft certifié GOLD, ils interviennent dans les domaines du Cloud, de la data et des agents conversationnels (chatbot)
Dans cet épisode, Ludwine et Emmanuel discutent des différences et des similarités entre le développeur Européen et le développeur en Asie (perception, matériel, technos, communautés, diversité etc). On voyage au Népal, en Malaisie, à Singapour, au Cambodge, en Indonésie et à Myanmar (Birmanie). Enregistré le 27 avril 2016 Téléchargement de l’épisode LesCastCodeurs-Episode–146.mp3 Interview Ta vie, ton oeuvre Compte twitter Le Bon coin Meetup Ladies Of Code Paris Twitter Ladies Of Code Le blog Tech Beyond Borders pour raconter l’aventure en FR/EN Une partie ‘carnet de voyage’ pour la découverte des différents pays Une partie dédiée à mes rencontres tech ‘Tech Beyond Borders’ Pourquoi ce voyage Pourquoi avec un angle tech ? Quels pays visités ? Il y avait quoi dans ton sac ? Un développeur au… Est-ce que la notion de développeur est vue différemment selon les pays. Popularité Niveau de vie C’est comment être développeur en Malaisie ?, la version fr sur devmag L’écosystème tech à Singapour avec Aryn lead tech Rojina dev Node.js et Angular à Katmandou La technologie Les différences de technos, matos, soft, Bande passante, électricité. Les grandes technologies (Java, DB,…) Les sujets technologiques Big data (Hadoop, Spark) Apps natives, applis web progressive, a l’ancienne? L’éducation Quelles formations ? Initiative numérique ? Aidée par le gouvernement ? Leapfrog Academy institut de formation à la programmation à Katmandou Passerelles Numériques, ONG numérique au Cambodge L’emploi Les marchés de l’emploi (niveau de vie) Embauche directe ou via société ? Des différences de méthodes ou approches par rapport à ce que l’on connait en France ? Des structures SSII comme en France, ou plutot indep comme en Angleterre ? 9h–18h ? Le gouvernement et les nouvelles technos (percée numérique / informatique) Benoît Pitet nous parle de volontariat en informatique au Cambodge et de l’écosystème tech L’entrepreneuriat La diversité Quels sont les types et ratios de population. Les femmes dans la tech, aussi peu qu’en France ? Rencontre avec Jellene dev Ruby et organisatrice de RailsGirls KL en Malaisie Rencontre avec Binita, étudiante en informatique et fondatrice de Women in STEM Nepal “Digital nomad” nomad list Become a digital nomad L’espace de coworking à Ubud sur l’île de Bali, Indonésie. Les structures Les groupes utilisateurs sont développés ? Les communautés : leur orga, façon de communiquer, les sujets abordés. Nhasala nous présente la communauté Yantra mélangeant sciences, tech et art, et la communauté ‘Women Leader in Nepal’ Startup Weekend en Asie Nous contacter Contactez-nous via twitter https://twitter.com/lescastcodeurs sur le groupe Google https://groups.google.com/group/lescastcodeurs ou sur le site web https://lescastcodeurs.com/ Flattr-ez nous (dons) sur https://lescastcodeurs.com/ En savoir plus sur le sponsoring? sponsors@lescastcodeurs.com
Nelinpeli tuuttaa eetteriin kerrankin alle kolmituntisen jakson, mutta älkää antako minuuttimittarin hämätä: liitoksistaan repeilevässä jaksossa tarjoillaan niin kiinteä täyslaidallinen painavinta peliasiaa, että herkemmät korvakanavat eivät toivu höykytyksestä! Erikoisvieraana intergalaktinen superninja Jenni "Jepugate" Ahlapuro.
Enregistre le 22 mars 2010 http://java-freelance.fr/ http://www.touilleur-express.fr/ http://twitter.com/nmartignole http://www.antoniogoncalves.org http://twitter.com/agoncal http://emmanuelbernard.com/ http://blog.emmanuelbernard.com/ http://twitter.com/emmanuelbernard Lien generaliste Forum + recherche de missions http://www.freelance-info.fr/ Calculatrices estimations de revenues : http://java-freelance.fr/calculatrice http://odeheurles.com/2008/07/calculs-detailles-eurl-optimisation/ http://www.entrepriseindividuelle.info/Calc_CharSoc.php Blogs de freelances http://www.freelanceinformatique.com/ Pour tout ce qui est CAE et SCOP http://fr.wikipedia.org/wiki/Coop%C3%A9ratives_d%27activit%C3%A9_et_d%27emploi http://fr.wikipedia.org/wiki/Scop http://www.portparallele.com Nous contacter Contactez-nous via twitter http://twitter.com/lescastcodeurs sur le groupe Google http://groups.google.com/group/lescastcodeurs ou sur le site web http://lescastcodeurs.com/
Enregistre le 22 mars 2010 Dans cette interview, trois independants partagent leurs experiences et cassent du sucre sur les SSII. Mais comme il y a beaucoup a dire, on a separe l'interview en deux parties. http://java-freelance.fr/ http://www.touilleur-express.fr/ http://twitter.com/nmartignole http://www.antoniogoncalves.org http://twitter.com/agoncal http://emmanuelbernard.com/ http://blog.emmanuelbernard.com/ http://twitter.com/emmanuelbernard Questions des auditeurs pour l'épisode 20: - sur le groupe google lescastcodeurs http://groups.google.com/group/lescastcodeurs - sur twitter http://twitter.com/lescastcodeurs - en audio par email a commentaire@lescastcodeurs.com