Podcasts about Le Monde

French daily newspaper

  • 644PODCASTS
  • 1,764EPISODES
  • 33mAVG DURATION
  • 1DAILY NEW EPISODE
  • Aug 9, 2021LATEST
Le Monde

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about Le Monde

Show all podcasts related to le monde

Latest podcast episodes about Le Monde

Front Row
Phil Wang, Shape Open exhibiton, All Bound Together, Lost manuscripts of Louis-Ferdinand Céline

Front Row

Play Episode Listen Later Aug 9, 2021 28:21


Phil Wang joins us to discuss his stand-up show, Philly Philly Wang Wang that he filmed at the London Palladium over the pandemic. Exploring race, romance, politics, and his mixed British-Malaysian heritage, he talks about his addiction to making people laugh, as well as explaining why he doesn't fear getting cancelled. Shape Open have created an online exhibition featuring the work of 24 disabled and nondisabled artists working across Europe and North America, and has disability as its theme, and particularly the experience of the individuals during lockdown. One of the artists, Abigail Palmer, discusses the exhibition All Bound Together and the work she's made for it. Nearly 20,000 pages of lost manuscripts by French writer Louis-Ferdinand Céline have emerged, causing controversy - and a lawsuit. Céline was one of France's most important 20th century literary figures. He was also a virulent anti-Semite, described by Le Monde as “one of the Nazis' most famous French friends”. The whereabouts and provenance of the papers, combined with Céline's reputation, are creating a storm in the French literary world, six decades after his death. Damian Catani's biography of Céline is about to be published and he talks to Samira Ahmed about the significance of the manuscripts and the qualities of the writing. Presenter: Samira Ahmed Production Co-ordinator Fiona Anderson Studio Manager: Gayl Gordon Producer: Julian May

C dans l'air
CROISSANCE, DETTE : QUI GAGNE ? QUI PAIE ? - 05/08/21

C dans l'air

Play Episode Listen Later Aug 5, 2021 65:55


CROISSANCE, DETTE : QUI GAGNE ? QUI PAIE ? - 05/08/21 Invités : PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance CHRISTINE KERDELLANT Directrice de la rédaction - « L'Usine Nouvelle » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste – « L'Opinion » ERWAN BENEZET Journaliste – « Le Parisien » C'est un record auquel on ne s'attendait pas en pleine crise sanitaire. En dépit des inquiétudes liées à la propagation du variant Delta, le CAC 40 s'est hissé hier à son plus haut niveau depuis septembre 2000, et n'est plus qu'à 2,5% de son record historique. Résultat d'une saison de haut vol pour les grands groupes français, notamment dans le secteur du luxe avec les chiffres olympiques de Hermès, Kering, L'Oréal et LVMH, tout comme ceux de certaines banques comme la Société Générale, aujourd'hui un des principaux moteurs du CAC 40. Côté chômage, les chiffres sont là aussi encourageants, avec une diminution de 1,3% du nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A. Selon les chiffres du ministère du Travail, 50 600 chômeurs de moins figureraient sur les listes de Pôle emploi. Portés par l'assouplissement des restrictions sanitaires, ces bons chiffres restent à nuancer, notamment au vu de la hausse de 4% du nombre de personnes en activité partielle (catégorie B). Ces signes de rebond économique se heurtent aussi à la fin du « quoi qu'il en coûte ». Alors que le journal Le Monde révèle que plus de 50 millions d'euros ont été perdus dans des fraudes au chômage partiel, Bruno Le Maire a assuré que le gouvernement continuerait à aider les entreprises pénalisées par le pass sanitaire, mais qu'il s'agirait à présent « d'aides ciblées ». Pendant ce temps, la saison estivale bat son plein et certains secteurs souffrent de manque de main d'oeuvre. Dans la restauration et l'hôtellerie, certains établissement se voient même obliger de refuser certaines réservations, alors que les retards de chantier se multiplient dans le bâtiment, faute de recrutements. Si le phénomène s'est empiré avec la crise sanitaire, le Covid n'explique pas tout et la nécessité d'une revalorisation de ces métiers semble urgente. Enfin à Revin, dans les Ardennes, l'abandon d'un projet d'implantation d'une usine des Cycles Mercier est une douche froide pour ce territoire désindustrialisé. Près de 6 millions d'euros devaient y être injectés par l'Etat mais la société mère portant le projet « y investirait les fonds issus de fraudes et de leur blanchiment », explique Bercy. La déception est grande auprès des habitants qui manifestent leur colère dans cette vallée sinistrée. Alors, les bons chiffres de la bourse sont-il un trompe-l'oeil en pleine crise sanitaire ? La fin du « quoi qu'il en coûte » va t-elle être synonyme de faillites pour beaucoup d'entreprises ? Comment faire face à la pénurie de main d'oeuvre dans certains secteurs ? Comment la vallée de la Meuse peut sortir de son marasme économique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro - Pascal Hendrick - Benoît Lemoine - Jean-François Verzele - Jacques Wehrlin PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : - INTERNET : francetv.fr - FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 - TWITTER : https://twitter.com/cdanslair - INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Le pass sanitaire est peut-être une mauvaise idée, Macron, JO, Nabilla...5 actus de la semaine

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Aug 2, 2021 15:40


En moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité de la semaine. Rapide, facile, accessible.Sources :EMMANUEL MACRON EN POLYNÉSIE : 20 Minutes, Le Monde, Le ParisienTUNISIE : Le Monde, France 24, RFIPASS SANITAIRE : Le Monde, France Info, Le MondeJO DE TOKYO : Ouest France, France Info, RFINABILLA : Le Monde, France Info,

Le grand podcast de voyage
Voyages, voyages

Le grand podcast de voyage

Play Episode Listen Later Jul 29, 2021 42:45


durée : 00:42:45 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - Ils font le tour du monde, explorent, observent, admirent parfois avant de mettre ces expériences toujours singulières à l'écrit. Table ronde autour de deux écrivains voyageurs, les reporters Julien Blanc-Gras et Bruno Philip. - réalisation : Thomas Beau, Somaya Dabbech - invités : Bruno Philip Journaliste; écrivain, correspondant du journal Le Monde en Asie du Sud-Est; Julien Blanc-Gras écrivain français et journaliste reporter

France Culture physique
Voyages, voyages

France Culture physique

Play Episode Listen Later Jul 29, 2021 42:45


durée : 00:42:45 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - Ils font le tour du monde, explorent, observent, admirent parfois avant de mettre ces expériences toujours singulières à l'écrit. Table ronde autour de deux écrivains voyageurs, les reporters Julien Blanc-Gras et Bruno Philip. - réalisation : Thomas Beau, Somaya Dabbech - invités : Bruno Philip Journaliste; écrivain, correspondant du journal Le Monde en Asie du Sud-Est; Julien Blanc-Gras écrivain français et journaliste reporter

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une: sourires et accolade en Côte d'Ivoire

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 28, 2021 4:06


Ca y est ! « La rencontre tant attendue des Ivoiriens vient d'avoir lieu », nous dit L'Infodrome. « Après 10 années d'inimitié […] une rencontre historique », « Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo main dans la main au palais présidentiel d'Abidjan », lit-on sur le site internet. Et voit-on également, car les photos des deux hommes sont évidemment partout. « Un grand moment », pour L'Intelligent d'Abidjan. « Ouattara et Gbagbo tout sourire, comme souvent avant les 3.000 morts de la crise postélectorale de 2010-2011 », rappelle L'Intelligent. « Comme de bons vieux amis », titre L'Avenir. Oui, c'étaient des « retrouvailles chaleureuses » confirme Soir Info. En somme, de « belles retrouvailles », résume L'Inter. Pour L'Intelligent d'Abidjan, elles marquent plus largement le « soulagement » et l'« espoir d'un apaisement durable ». Mais, cela, tout de même note le journal, « sur fond d'interrogations et de prudence ». C'est vrai, c'est « un grand pas de franchi, mais le plus dur commence », estime aussi Le Nouveau Réveil. L'importance des premiers mots Lors de ces rencontres, les premiers mots sont toujours importants. L'Intelligent fait justement quelques indiscrétions, en livrant ce que « Ouattara et Gbagbo se sont dit au moment des accolades ». Eh bien, en descendant de sa voiture, « Laurent Gbagbo a voulu retirer son masque de protection pour saluer le Président de la République, apprend-on, mais celui-ci lui a lancé gentiment, avec un large sourire "Non, non ! Garde le masque, pour qu'on donne l'exemple" ». Tout un symbole. Après cela, « ils se sont aussitôt jetés dans les bras l'un de l'autre », écrit L'Intelligent et « alors qu'ils étaient encore enlacés », le président Ouattara a dit comme il était heureux de retrouver Laurent Gbagbo. L'ancien président, lui a retourné la politesse et s'est excusé pour son retard de 20 minutes. L'importance des mots suivants Et les mots qui suivent ont également toute leur importance. Sur le fond, lors de leur entretien, « l'ex-président » Laurent Gbagbo a invité son « ex-rival » à « libérer les prisonniers politiques », rapporte L'Infodrome. Oui, L'Infodrome écrit désormais « ex-rival », voilà un autre symbole. Avec cette rencontre au sommet, L'Inter le note également, « Ouattara et Ggagbo rétablissent la confiance ». Il est donc loin le temps où les deux hommes politiques se « regardaient en chien de faïence », « la guerre est un vieux souvenir », estime le journal indépendant. Le souvenir des victimes et des proches Or, les souvenirs des victimes et leurs proches, eux, sont toujours là. Certains donnent de la voix pour le rappeler. Issiaky Diaby, notamment, « a rué dans les brancards », souligne L'Inter. C'est le président du collectif des victimes en Côte d'Ivoire, et il a préféré tenir une cérémonie de recueillement au cimetière municipal de Williamsville, dans la commune d'Adjamé. Il voit cette rencontre au sommet comme un « épiphénomène », dit-il à L'Inter. « La réconciliation ne peut pas se résumer à la rencontre de deux citoyens », affirme-t-il. Issiaka Diaby souhaite que la question de l'indemnisation des victimes « soit de mise ». Le sort des victimes de cette crise interpelle d'ailleurs jusqu'au Sénégal. Là-bas, Walf estime que si les « deux vieux caïmans de la politique ivoirienne ont montré qu'ils ont fumé le calumet de la paix, la mort de trois mille Ivoiriens due à leur duel politique passe alors par pertes et profits. Laurent Gbagbo a été acquitté par la Cpi, après avoir croupi 10 ans en prison, de même que son ancien ministre, Charles Blé Goudé. Dans le camp du pouvoir, aucune poursuite judiciaire n'a été intentée contre un proche du président Alassane Ouattara. Donc, au finish, il n'y a aucun coupable désigné de cette crise de 2010-2011. Comme si tout était normal aux yeux de Ouattara et Gbagbo, déplore le journal sénégalais, alors que des familles de victimes pleurent toujours. » Conclusion de Walf : C'est donc visiblement cela aussi « le prix de la réconciliation », à savoir « le sacrifice » ! Les opposants togolais ciblés par Pegasus A lire dans la presse française. C'est Le Monde, membre du consortium de médias internationaux à l'origine des révélations sur le logiciel israélien qui nous le dit ce mercredi matin. Le journal consacre sa Une à la situation tunisienne et au « coup de force risqué de Kaïs Saïed », mais il révèle également en effet qu'au Togo, « les opposant sont surveillés comme des criminels ». À l'image d'un professeur en médecine rencontré par Le Monde et qui n'a pourtant rien, dit le quotidien, « du dangereux terroriste sahélien ni du mafieux international ». Au total, ce sont ainsi « plus de 300 numéros togolais qui apparaissent dans la liste des cibles potentielles du logiciel espion ». Parmi ces numéros, également « ceux de journalistes et de militants des droits de l'homme », affirme Le Monde qui souligne aussi la proximité entre Lomé et l'État israélien. Le Togo n'est pas le seul pays concerné et si Le Monde pointe le régime de Lomé, il pointe par ailleurs dans son édito le « laisser-faire coupable d'Israël ».

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: les larmes de la victoire

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 28, 2021 3:52


Venues de Tokyo jusqu'à Paris, les larmes inondent nos kiosques ce matin mais de celles que l'on aime voir : des larmes de joie. Celles de Clarisse Agbégnénou, en Une de Libération comme en Une de L'Equipe évidemment. Le Figaro préfère quant à lui nous montrer le sourire qui a suivi, et la médaille. « Agbégnénou, enfin sur l'Olympe », affiche pour sa part L'Humanité. « Quelle classe Clarisse ! », s'exclame Le Parisien, « elle l'attendait tant ce titre olympique », nous dit le journal. Et ce mardi 27 juillet, la judokate française de 28 ans « a obtenu sa revanche avec brio, face à la judokate slovène qui l'avait privée d'or à Rio », il y a cinq ans. Elle devient donc la nouvelle championne Olympique des -63kg, la dernière médaille qui manquait à son palmarès, souligne L'Équipe. Un message personnel de L'Équipe « Entre Clarisse Agbégnénou et L'Équipe, il y a toujours eu beaucoup d'amour, mais il fut parfois un peu vache », ironise d'emblée l'édito. Le quotidien sportif nous apprend que la judokate en voulait à la rédaction pour n'avoir pas consacré de Une à son cinquième titre mondial, décroché le mois dernier à Budapest. « Que faut-il que je fasse de plus pour qu'une de mes victoires soit en Une de votre journal ? », s'agaçait alors la sportive. Eh bien, « la réponse était simple », lui dit aujourd'hui L'Équipe. Ce qu'il fallait faire, c'est « ça » : « Triompher le jour J, comme judo, parachever un palmarès déjà éblouissant, passer de plus grande judoka de l'histoire à légende du sport français ». Voilà la réponse de L'Équipe, pas si simple finalement mais quant au bilan, ce n'est pas David Douillet qui dira le contraire. Interrogé par Le Parisien, l'ancien judoka, légende lui-aussi, affirme que Clarisse est « aujourd'hui la Marianne de la France ». « Elle n'a pas fait plaisir qu'à ses amis et ses proches, elle a fait plaisir à un pays tout entier » affirme-t-il. Une anecdote, qui fera sûrement plaisir à nombre de nos auditeurs également. Savez-vous ce qui motive la championne avant ses combats ? On l'a vue, hier, « casque sur les oreilles à côté des tatamis », alors Libération lui a posé la question. Elle écoute de l'Afro trap, répond Clarisse Agbégnénou. On sait que la championne est d'origine togolaise, alors l'Afro trap, voilà visiblement sa clé du succès. Et peut-être quelques heures d'entrainement au passage. La parité hommes-femmes enfin respectée Plus largement, cette victoire de la judokate est aussi l'occasion de noter que les JO accordent enfin une vraie place aux femmes. « Les femmes en forme Olympique ». À lire dans Libération encore : « Elles étaient 22 à Paris en 1900. Elles sont 5176 à Tokyo » cette année, « presque la moitié du contingent total des athlètes ». Oui ces jeux, ce sont « les premiers à accueillir quasiment autant de femmes que d'hommes », observe Libé, et « les nouvelles disciplines comportent toutes un programme féminin ». Polémique sur la sexualisation des tenues Or il reste tout de même du pain sur la planche, Libé le voit bien tout comme Le Monde : des polémiques sexistes demeurent, notamment sur les tenues genrées. La tenue des sportives, est-ce « un tissu de sexisme ? », s'interroge alors Le Monde. Le journal relaie le combat des gymnastes allemandes qui ont choisi de se produire « dans une combinaison intégrale plutôt que le justaucorps traditionnel ». Et avec elles, nous dit Le Monde, « de plus en plus de sportives se mobilisent ainsi contre la sexualisation de leur corps ». Sexualisation renforcée par « l'essor du sport-spectacle », explique le journal avec un exemple parlant à l'appui : « Une étude sur la manière de filmer le beach-volley aux JO de 2004 avait évalué à 37% la part des plans centrés sur la poitrine ou sur les fesses ». C'est plus d'un plan sur 3 ! Et si vous tentez d'échapper aux tenues sexy, ça peut parfois déboucher sur une amende infligée par les fédérations. Non, ça suffit, s'exclame la gymnaste allemande Elisabeth Seitz, toujours dans Le Monde « chaque femme, chaque personne devrait décider de ce qu'elle porte ». Cette année, les gymnastes allemandes ne sont pas parvenues à se qualifier pour la finale du concours olympique, espérons qu'à l'avenir elle gagne au moins ce combat-là.

Wohlstand für Alle
Ep. 103: Ist eine Welt ohne Wachstum möglich?

Wohlstand für Alle

Play Episode Listen Later Jul 28, 2021 28:21


Die neusten extremen Wetterereignisse haben noch einmal verdeutlicht, wie wichtig der Kampf gegen den menschengemachten Klimawandel ist. Lange Zeit agierte die Politik zu zögerlich und viele Bürger ignorierten die Gefahren. Zugleich aber gibt es mit den Postwachstums- bzw. Degrowth-Anhängern eine Strömung aus Denkern und Aktivisten, die ein anderes Wirtschaften einfordert. Die Rede ist häufig von Überkonsum und Überflussgesellschaft, gefordert wird eine Abkehr vom Wirtschaftswachstum, auch wird das Bruttoinlandsprodukt als Maßstab für wirtschaftlichen Erfolg kritisiert. Können wir uns tatsächlich vom #Wirtschaftswachstum lösen? Und wäre es überhaupt wünschenswert? Der Ökonom Branko #Milanović meldet erhebliche Zweifel an, seine These: Die Welt ist einfach zu arm, um jetzt vom Wachstum abzulassen. Auf den ersten Blick scheint das wenig einleuchtend zu sein. Sofort haben wir Bilder vor Augen von Superreichen, die mit Privatjets zum Shoppen nach New York fliegen, oder wir denken an die luxuriösen Kreuzfahrtschiffe, die immer beliebter werden und große Umweltschäden anrichten. Das aber sind eher spezielle Auswüchse, konzentriert man sich auf das Alltägliche, auf die europäischen Bürger mit einem mittleren #Einkommen und setzt dieses in Beziehungen zum globalen Medianeinkommen, sieht die Welt plötzlich anders aus. Eine Politik des radikalen Verzichts würde uns alle hart treffen. In der neuen Folge von „Wohlstand für Alle“ sprechen Ole Nymoen und Wolfgang M. Schmitt über die Grenzen des Wachstums und über die Grenzen der Wachstumskritik. Literatur: Karl Marx: Das Kapital, Bd. 1, MEW 23, Dietz. Branko Milanović: "Die Degrowth-Illusion", in: Makronom, online verfügbar unter: https://makronom.de/die-degrowth-illusion-24137 Branko Milanović: "Die Degrowth-Illusion, Teil II", in: Makronom, online verfügbar unter: https://makronom.de/die-degrowth-illusion-2-24156 Branko Milanović: Die ungleiche Welt. Migration, das Eine Prozent und die Zukunft der Mittelschicht, Suhrkamp. Leigh Philips: Austerity Ecology & the Collapse-Porn Addicts: A Defence of Growth, Progress, Industry and Stuff, Zero Books. Leigh Phillips: "Postwachstum als Illusion", in: Le Monde diplomatique, online verfügbar unter: https://monde-diplomatique.de/artikel/!5735453 Matthias Schmelzer/Andrea Vetter: Degrowth/Postwachstum zur Einführung, Junius. Ihr könnt uns unterstützen - herzlichen Dank! Paypal: https://www.paypal.me/oleundwolfgang Wolfgang M. Schmitt, Ole Nymoen Betreff: Wohlstand fuer Alle IBAN: DE67 5745 0120 0130 7996 12 BIC: MALADE51NWD Twitter: Ole: twitter.com/nymoen_ole Wolfgang: twitter.com/SchmittJunior Die gesamte WfA-Literaturliste: https://wohlstand-fuer-alle.netlify.app

Le Monde est un Village
Le Monde est un Village - Asie(s) - 28/07/2021

Le Monde est un Village

Play Episode Listen Later Jul 27, 2021 57:07


Tout un univers à découvrir, avec ses rythmes et sonorités multiples et fascinant.e.s... De la Corée au Pakistan, en passant par la Chine ou le Vietnam, Le Monde est un Village ouvre sa programmation à des artistes asiatiques ou passionnés par l'Asie. Présentation : Didier MELON

Les derniers podcasts de la RTBF.be
Le Monde est un Village - Asie(s)

Les derniers podcasts de la RTBF.be

Play Episode Listen Later Jul 27, 2021 57:07


Tout un univers à découvrir, avec ses rythmes et sonorités multiples et fascinant.e.s... De la Corée au Pakistan, en passant par la Chine ou le Vietnam, Le Monde est un Village ouvre sa programmation à des artistes asiatiques ou passionnés par l'Asie. Présentation : Didier MELON

Musiq'3
L'île paradisiaque - Sur l'île paradisiaque du cinéaste Eugène Green (rediffusion) - 27/07/2021

Musiq'3

Play Episode Listen Later Jul 27, 2021 55:07


D'origine américaine, Eugène Green entretient un certain mystère sur les premières années de sa vie. Il débute sa carrière artistique comme peintre puis se dirige vers le théâtre à la fin des années 70. Il fonde la compagnie dramatique du Théâtre de la Sapience et entame un travail de longue haleine : redonner au théâtre baroque ses lettres de noblesse.Artiste protéiforme, à la fois dramaturge, écrivain et poète, Eugène Green se lance dans le cinéma en 2001, avec la réalisation de Toutes les nuits, oeuvre stylisée aux accents bressoniens, récompensée du Prix Louis-Delluc du Meilleur premier film. Après Le Monde vivant, fantaisie médiévale présentée à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2003, ce cinéaste hors mode élargit sa famille de comédiens en faisant appel à Natacha Régnier et Denis Podalydès pour Le Pont des arts.

Les derniers podcasts de la RTBF.be
L'île paradisiaque - Sur l'île paradisiaque du cinéaste Eugène Green (rediffusion)

Les derniers podcasts de la RTBF.be

Play Episode Listen Later Jul 27, 2021 55:07


D'origine américaine, Eugène Green entretient un certain mystère sur les premières années de sa vie. Il débute sa carrière artistique comme peintre puis se dirige vers le théâtre à la fin des années 70. Il fonde la compagnie dramatique du Théâtre de la Sapience et entame un travail de longue haleine : redonner au théâtre baroque ses lettres de noblesse.Artiste protéiforme, à la fois dramaturge, écrivain et poète, Eugène Green se lance dans le cinéma en 2001, avec la réalisation de Toutes les nuits, oeuvre stylisée aux accents bressoniens, récompensée du Prix Louis-Delluc du Meilleur premier film. Après Le Monde vivant, fantaisie médiévale présentée à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2003, ce cinéaste hors mode élargit sa famille de comédiens en faisant appel à Natacha Régnier et Denis Podalydès pour Le Pont des arts.

En Perspectiva
Entrevista Matías Rodríguez y Mauricio Papaleo - 50 mil teléfonos espiados mediante Pegasus

En Perspectiva

Play Episode Listen Later Jul 26, 2021 53:40


Un nuevo caso de espionaje electrónico encendió alarmas -la semana pasada- sobre riesgos a los que estamos expuestos al poner en internet y en el teléfono celular buena parte de nuestra información personal. En el centro del escándalo está la empresa NSO, de origen israelí, que desarrolla y vende el software Pegasus, que es capaz de tomar el control de celulares inteligentes de forma remota. Según la compañía, Pegasus se utiliza únicamente para combatir el terrorismo y el crimen organizado y se vende solo a Estados. Sin embargo, una investigación realizada por un consorcio de 17 medios de comunicación (que incluye, entre otros, a los diarios The Guardian, Le Monde y The Washington Post) obtuvo una lista de 50.000 números telefónicos pertenecientes a periodistas, activistas de organizaciones sociales y hasta jefes de Estado, entre ellos el presidente francés Emanuelle Macron, que desde 2016 en adelante han figurado como objetivos a vigilar mediante Pegasus por gobiernos o agencias estatales que compraron esa tecnología. A partir del caso, varios líderes mundiales, entre ellos la canciller alemana Angela Merkel, pidieron una mayor regulación sobre las empresas privadas que venden herramientas de ciberseguridad. En Israel, el gobierno comenzó a investigar a la compañía NSO e incluso analiza suspender la exportación de su producto Pegasus. ¿Qué implicancias tiene este caso? Hoy En Perspectiva conversamos con Matías Rodríguez, abogado y especialista en Derecho de Alta Tecnología y en Gestión de Telecomunicaciones; y con Mauricio Papaleo, ingeniero en computación, Director de Seguridad Informática de la Agencia Agencia de Gobierno Electrónico y Sociedad de la Información y del Conocimiento (Agesic).

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: Ça passe pour le passe sanitaire !

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 26, 2021 4:01


« Le pass sanitaire s'impose dans la douleur », titrent Les Échos. Il « s'impose malgré les réticences », précise la Une du Figaro. « Après une semaine de débats d'une grande intensité, peut-on lire, députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire ont adopté le projet de loi amendé par Les Républicains. » Le Figaro parle d'un « suspens jusqu'au bout », et « d'échanges très vifs » dimanche encore entre les sept sénateurs et les sept députés de la Commission, mais le texte instaurant le passe sanitaire a donc finalement été définitivement adopté. « Au Conseil constitutionnel de jouer désormais son rôle de juge de paix », conclut Le Figaro. Des manifestants de plus en plus nombreux N'en déplaise aux manifestants, pourtant de plus en plus nombreux : « Plus de 160 000 personnes ont défilé samedi dans toute la France ». « C'est beaucoup, nous dit Libération, un tiers de plus que le samedi précédent. Et ce qui frappe Libé comme les autres journaux, c'est l'aspect « hétéroclite » des cortèges. « Des antivax purs et durs, complotistes ou extrémistes, souvent les deux. Des anti-pass raisonnables mais soucieux de préserver une liberté à leurs yeux trop malmenée. Et aussi des gilets jaunes radicalement anti-Macron » C'est certain, cette mobilisation est déjà « furieusement protestataire » mais elle est surtout « protéiforme », nous dit également La Croix : « Les défilés comptent à l'évidence nombre de personnes de bonne foi […], analyse le quotidien catholique, mais ils drainent aussi un pur concentré de mécontentements dans une solution mêlant complotisme et manie de la persécution. » Une mobilisation qui affiche des dérives Une mobilisation furieusement protestataire mais aussi, parfois, furieusement limite. Il y a des travers et des dérives. « Comme la semaine dernière, on a encore vu samedi, des références aussi absurdes que honteuses à la traque des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale », déplore La Croix. « Comme l'Italie – où l'on a manifesté aussi samedi, la France serait devenue "une dictature", voire un régime nazi. On a même entraperçu, s'étonne La Croix, une pancarte suggérant que plutôt d'adopter le pass sanitaire, il vaudrait mieux demander l'asile politique en Corée du Nord ». Rien que ça ! Alors, « chiche », ironise le journal. Des travers à éviter également pour le gouvernement C'est l'édito du Figaro qui met en garde. « Le gouvernement a beau jeu de renvoyer les protestataires dans le camp des complotistes et des simples d'esprit. Il a tôt fait de jeter les réticences des anti-passe dans la grande soupe des antivax et il joue désormais de toutes les cordes sensibles », arguant d'un « retour à la vie normale » avec ce passe. « Soit, poursuit Le Figaro, mais il est inutile cependant d'habiller ce pass de vertus qu'il ne possède pas. Nul ne voit venir ce nouvel avatar du coronavirus de gaieté de cœur. Le pass sanitaire n'est évidemment pas "la vie normale", estime encore Le Figaro, mais plutôt, à nouveau cet impensable d'hier devenu raison d'aujourd'hui. » Et pendant ce temps, la vaccination… « Si 160 000 Français ont défilé samedi, pointe Libération, ils étaient, le même jour, deux fois plus nombreux à se déplacer pour recevoir leur première dose. Le cap des 40 millions de primo-vaccinés sera franchi ce lundi », développe Libération. Mais il reste du pain sur la planche et L'Humanité, qui s'inquiète aujourd'hui de la quatrième vague provoquée par le variant Delta et d'une possible saturation des hôpitaux en août, rappelle également que « l'accélération de la vaccination ne dépend pas que de la bonne volonté des citoyens ». L'Humanité renvoie alors vers une étude « passionnante » publiée ce lundi par Le Monde. Une étude qui « révèle sans surprise l'ampleur des inégalités vaccinales » sur le territoire national, « morcelé » comme d'habitude entre « centres urbains au-dessus de la moyenne » et « périphéries ». « Sans parler bien évidemment du gouffre qui sépare les quartiers populaires et les communes riches de nos métropoles ». En somme, Le Monde et L'Humanité dressent une fois de plus le portrait d'une France « malade de ses fractures sociales ». Et pendant ce temps, les banques européennes... Elles veulent « tourner la page de la crise sanitaire », nous disent Les Échos, avec ici en revanche « comme un air de retour à la normale ». Eh oui, on n'est pas tous logés à la même enseigne. « À partir du quatrième semestre, le secteur bancaire pourra reprendre sans contraintes ses versements de dividendes », rapporte le journal économique. « Alors que l'économie paraît déjà moins gênée par la crise sanitaire que l'an dernier », les banques de la zone euro commencent cette semaine à publier leurs résultats trimestriels et seront dont « très attendues », expliquent Les Échos… Deutsche Bank mercredi, BNP Paribas et Unicrédit en fin de semaine. On a vraiment hâte !

Fil de Science
Cyberguerre : la France sous attaque chinoise (TechPod #2)

Fil de Science

Play Episode Listen Later Jul 26, 2021 5:02


Bienvenue dans TechPod, la nouvelle verticale de Fil de Science dédiée aux technologies et à la mobilité. Cette semaine, nous parlerons Pegasus, cyberattaque chinoise, espionnage sur Facebook, Hyperloop et implant cérébral. Bonne écoute, et bon week-end !

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: pas de nouvelles restrictions liées au Covid en France mais des inconnues pour l'été

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 22, 2021 3:42


« Variants, vaccination, pass sanitaire : les inconnues du mois d'août », affiche la Une du Figaro. « Le nombre de cas double tous les cinq jours et la quatrième vague est bien là [mais] sera-t-elle moins rude que les précédentes ? », s'interroge le quotidien avant de répondre : « Tout dépendra de l'efficacité des mesures et du succès de la campagne vaccinale. » Une campagne que le gouvernement veut encore accélérer  « L'objectif est relevé à 50 millions de primo-vaccinés fin août », écrivent Les Échos. « Cinq millions de nouveaux rendez-vous en vue pour réduire les délais », le journal économique parle de « coup d'accélérateur ». « Castex met le turbo », confirme Le Parisien. Les journaux reviennent évidemment ce jeudi matin sur l'exercice de communication du Premier ministre mercredi, invité du 13h de TF1. « Le petit point carotte de Jean Castex », ironise Libération. « Le Premier ministre a agité la menace d'un confinement en cas de situation épidémique dégradée, manière de pousser les Français à se faire vacciner, analyse Libé. Alors qu'à l'Assemblée, l'opposition se raidit contre l'examen au pas de charge du pass sanitaire », souligne le journal. Un passe qui vaut « environ 300 euros » Sur le marché noir, il y a déjà « des combines ». Libération a rencontré des jeunes « attablés dans une crêperie de banlieue parisienne ». Ils sont contre le « pass sanitaire » et « réfléchissent aux moyens de se procurer un QR code trafiqué sans se faire piquer », lit-on. Et en effet, il en coûtera « environ 300 euros », précise le gérant de l'établissement également interrogé par Libération. Dans son entourage dit-il, la majorité des gens qui ont le passe ne sont pas vaccinés, ils ont trouvé une combine « soit ils ont dans amis dans le milieu médical soit, comme nous, ils ont payé ». Aussi rassurant que l'affaire d'espionnage Pegasus Alors que Le Monde et le consortium international de médias poursuivent leurs révélations, le reste de la presse y revient largement encore ce matin. Libé, Le Figaro, L'Humanité, La Croix… Tous y consacrent leurs éditos et La Croix tire « deux leçons ». La première sur « le peu de méfiance » que nous inspirent nos smartphones : « Apparus il y a à peine quinze ans, écrit le quotidien catholique, ces téléphones intelligents se sont généralisés à une vitesse inouïe, sans laisser le temps aux usagers d'apprendre à s'en servir intelligemment ». Pas bête ! Et la deuxième leçon pour La Croix, est que « ce type d'espionnage n'est plus l'apanage des grandes puissances étatiques. Un logiciel comme Pegasus le met à la portée de bien d'autres acteurs ». Le journal mesure alors « le risque de manipulation auxquels de telles technologies nous exposent ». « Avec ce logiciel israélien, enfonce Le Figaro, plus personne ne peut se croire à l'abri. Un roi, trois présidents – dont Emmanuel Macron – et dix premiers ministres ont été ciblés », rappelle le journal. Réclamer une réponse à ce nouveau scandale Pour Le Figaro, « c'est le moment de réagir », car « les armes silencieuses de la cyberguerre deviennent potentiellement aussi dévastatrices que la bombe atomique », estime-t-il. Ces armes peuvent « paralyser les réseaux d'électricité, d'eau, de transport, rançonner les entreprises et même les hôpitaux », ou bien encore, comme ici, « écouter les dirigeants et les généraux ». Oui, une « guerre silencieuse », c'est bien ça, nous dit L'Humanité, qui nous également à invite à « tendre l'oreille », puisque « s'il fait moins de bruit que les bombes, ce business pulvérise lui aussi des existences, laisse des corps sans vie sur un champ de bataille invisible ; il envoie les opposants, des avocats, des journalistes et des militants des droits humains en prison. » L'Humanité comme Le Figaro relaient donc l'idée d'un moratoire international sur ces nouvelles armes, soutenu par les experts. Or, un moratoire finalement, déplore Le Figaro, cela « souligne [déjà] en creux l'absence de parade » possible face à ce phénomène. Oui, nous voilà rassurés là-aussi.

Invité Afrique
Invité Afrique - Driss Aït Youssef: «Jamais un pays allié n'a espionné la France ainsi»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 21, 2021 3:50


Depuis les révélations du projet Pegasus, le Maroc dément être un client de la société israélienne NSO qui commercialise ce logiciel espion. Un regroupement de médias internationaux dévoile depuis dimanche, par épisodes, les conclusions des enquêtes menées sur la base d'une liste de 50 000 numéros potentiellement ciblés par le logiciel à travers la planète. Selon le journal français Le Monde, le numéro de téléphone du président Emmanuel Macron aurait été ciblé par un service de sécurité marocain, de même que les numéros d'autres responsables politiques français. Selon la cellule d'investigation de Radio France, un numéro du roi Mohammed VI figure aussi sur la liste. Driss Aït Youssef, président de l'Institut Léonard de Vinci, organe de formation notamment sur des questions de cybersécurité, répond aux questions d'Amélie Tulet.

Podcasty Radia Wnet / Warszawa 87,8 FM | Kraków 95,2 FM | Wrocław 96,8 FM / Białystok 103,9 FM
Zbigniew Stefanik - korespondent polskich mediów we Francji/ Kurier W Samo Południe/21.07.2021

Podcasty Radia Wnet / Warszawa 87,8 FM | Kraków 95,2 FM | Wrocław 96,8 FM / Białystok 103,9 FM

Play Episode Listen Later Jul 21, 2021 10:26


Korespondent Radia Wnet we Francji omawia ustalenia dziennika "Le Monde", według których jedną z ofiar szpiegowania za pośrednictwem oprogramowania Pegasus był Emmanuel Marcon. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radiownet/message

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: Emmanuel Macron a-t-il été espionné?

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 21, 2021 3:49


  La peur des grandes oreilles est partout dans les kiosques ce matin. « Macron, dans la ligne de mire du Maroc », titre Libération. « Un téléphone de Macron dans le viseur du Maroc », précise la Une de L'Humanité. Tous les journaux reprennent évidemment les nouvelles révélations du Monde et du consortium international de médias qui ont enquêté sur le logiciel Pegasus. Le Parisien Aujourd'hui en France y consacre également sa Une, montrant Emmanuel Macron un téléphone à l'oreille, un autre dans la main. Mais naturellement, la légende ne dit pas s'il s'agit d'un des téléphones qui a été potentiellement espionné. Le président et son gouvernement visés Le Parisien nous explique que « le président et l'ensemble de son gouvernement de 2019 auraient été visés par le logiciel israélien Pegasus. Le commanditaire serait le Maroc ». « La démocratie attaquée », déplore l'édito du Parisien. Il n'y a aucun moyen pour les médias de savoir si le téléphone présidentiel a bel et bien été infecté par Pegasus – un ancien haut responsable du renseignement français dit d'ailleurs au Parisien qu'il sera « très difficile d'avoir des preuves » –, mais le numéro d'Emmanuel Macron est bien « un numéro de plus dans une liste qui en compte 50 000 », confirme Libération. Le quotidien souligne que, de toute façon, ces technologies de surveillance sont elles-mêmes « trop peu surveillées » et que « depuis des années, des ONG réclament un contrôle plus strict ». Certains proches du roi marocain concernés Les Français ne sont pas les seuls concernés. Le Maroc serait ici le commanditaire, or, les révélations du Monde nous apprennent que ce cyberespionnage « s'étend jusqu'à la famille et à l'entourage du roi Mohammed VI ». « Les numéros de plusieurs personnes clés de l'entourage royal ont en effet été entrés dans l'outil, excluant la possibilité qu'il s'agisse d'incidents isolés », développe Le Monde. Hicham Alaoui, cousin du roi en personne, prince déchu et critique régulier du régime marocain, visé lui aussi par Pegasus, témoigne auprès du Monde. Pour lui, l'espionnage côté marocain relèverait « de phénomènes de cour » et serait une conséquence des pleins pouvoirs accordés à la DGST marocaine, la Direction générale de la surveillance du territoire. Inquiétude réelle à l'Élysée En tout cas, l'affaire suscite désormais une inquiétude réelle à l'Élysée. D'autant qu'Emmanuel Macron est « un président accro à ses portables », souligne Le Parisien, et les inquiétudes dépassent largement le cas du Maroc. « Peur sur la présidentielle », souligne le quotidien, « l'hypothèse d'un espionnage du téléphone d'Emmanuel Macron conforte les craintes des États-majors sur la possible manipulation dans la campagne présidentielle de 2022 ». Encore plus quand, à l'Élysée, « personne n'a oublié les Macron Leaks » : quelques heures avant le scrutin de 2017, « s'étaient répandus sur la toile des notes internes de la campagne d'Emmanuel Macron, des factures, des éléments de comptabilité et des photos... ». Un piratage qui avait pour origine « des hackeurs liés au renseignement russe », nous rappelle Le Parisien. Le journal rappelle par la même occasion que les trois précédents locataires du palais de l'Élysée, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande avaient déjà été écoutés, cette fois par le renseignement américain. L'inquiétude de l'Union L'inquiétude de l'Union européenne se lit également dans la presse ce matin. « Justice, médias, corruption : Bruxelles tance la Pologne et la Hongrie », affiche Le Figaro. La Hongrie, justement où Viktor Orbán « est accusé de traquer des citoyens » grâce à Pegasus. « Une dictature [qui pousse] à l'intérieur de l'Union, telle une tumeur », écrit Le Figaro en reprenant les mots de l'eurodéputé belge Guy Verhofstadt. Inquiétude, car dans son rapport annuel sur l'État de droit dans l'UE, la Commission européenne a justement pointé hier Budapest et Varsovie, s'inquiétant de « dérives systémiques » et de « tendances népotiques », observe Le Figaro. Et « au-delà des valeurs dont l'UE se réclame, l'objectif est aussi de garantir un bon usage des fonds européens », nous dit-on. L'argent, c'est donc toujours là que le bât blesse finalement. L'Europe et son « inhumanité » La Croix nous interpelle une fois de plus sur le sort des migrants. « Au moins 1 146 personnes ont péri » en Méditerranée au cours du premier semestre. C'est bien plus que par rapport aux années précédentes constate le quotidien catholique et « ce drame, pour une large part, tient au fait que l'Europe a restreint les possibilités de sauvetage en mer », déplore-t-il. Alors, La Croix nous interroge à juste titre : « Peut-on accepter une telle inhumanité aux portes du continent qui se conçoit comme une référence dans le domaine des droits de l'homme ? » Mais qu'on se rassure, le principal est sauf. La Une du Figaro nous apprend pour sa part que le tourisme « repart » en Europe. « En ordre dispersé », mais il repart tout de même. Youpi !

Journal de l'Afrique
« Projet Pegasus » : Emmanuel Macron dans le viseur des services marocains

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 20, 2021 13:36


Emmanuel Macron, le président français, a peut-être été espionné par le Maroc à travers le logiciel Pegasus. Ces soupçons ont été révélés dans un article du journal Le Monde ce mardi. Le téléphone de l'ex-Premier ministre, Edouard Philippe, aurait aussi été ciblé.

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: Pegasus, après les révélations, l'indignation…

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 20, 2021 4:26


« Quand la dérive devient la norme ». C'est le titre de l'édito du Monde aujourd'hui, le journal qui fait partie du consortium des 17 médias ayant révélé le scandale du logiciel espion Pegasus. « Et depuis des années, déplore-t-il, des réponses invariablement lénifiantes sont opposées aux nombreuses inquiétudes sur les dérives potentiellement liberticides de l'industrie de la surveillance numérique ». Oui, « depuis des années, poursuit Le Monde, les doutes sont balayés au nom de l'intérêt supérieur des sécurités nationales et de la lutte contre le terrorisme ou le crime organisé ». Or « cette négation de l'évidence sera désormais beaucoup plus compliquée », estime le quotidien. Pour lui, les révélations sur Pegasus « prouvent de manière incontestable qu'en matière de cybersurveillance, l'abus est la règle et non l'exception ». Un secret de polichinelle en haut lieu… D'autant que c'était, semble-t-il, un secret de polichinelle en haut lieu. « Qui dans les chancelleries européennes peut prétendre qu'il ne savait pas ? », interrogation de L'Humanité. Le quotidien souligne que cette « vaste opération menée par plusieurs États […] est connue depuis quatre années maintenant », « des régimes qui piétinent allègrement les droits humains en ont bénéficié pour écraser » de nombreuses voix. Et « ce silence devient complicité », regrette encore L'Humanité qui pose une autre question : « Pourquoi aucune explication n'a été demandée ni au pays hôte du logiciel, ni aux États qui en font usage contre leur population ? ». Une délicate question de diplomatie Mais la question est forcément délicate, il s'agit de diplomatie. Le Figaro pointe justement les « tensions diplomatiques » qui pourraient en découler. Le journal nous explique aussi que « l'entreprise NSO suscite des commentaires embarrassés en Israël ». « Ici, on dit de ceux qui travaillent pour NSO qu'ils vendent leur âme », témoigne un ancien collaborateur de la société. En tout cas, ce qui est certain pour Libération, c'est que « Benjamin Netanyahou a fait de l'espionnage israélien une arme politique, brouillant ainsi la frontière entre renseignement militaire et privé ». Libé pointe la proximité entre le groupe NSO et l'unité 8200 des renseignements israéliens, « l'un des services de renseignements les plus avancés et les plus secrets au monde ». « Sur 700 salariés, NSO emploie plus de 200 informaticiens issus de l'Unité 8200 », lit-on. « Et ce qui les a convaincus d'accepter l'offre de NSO, malgré leur contrat avec 8200, c'est l'assurance de leurs supérieurs que NSO bénéficie d'une carte blanche totale pour ses activités », affirme Libé. « Il ne pouvait de toute façon en être autrement : même après leur démobilisation, ces hackers restent militaires de réserve dans leur ancienne unité pour au moins dix ans, explique le journal, et enfreindre une clause de leur contrat avec Tsahal pourrait donc mener à leur arrestation et jugement devant un tribunal militaire ». Mais rien de tout cela n'est arrivé, analyse encore Libé, et pour cause : « le Premier ministre israélien durant toute cette période, Benyamin Netanyahou, a trouvé en NSO Group un allié de premier choix [...] pour bâtir sa coalition anti-iranienne. » « Et si on écoutait Britney Spears » Beaucoup de bruit et de commentaires donc autour de Pegasus… Et si on prenait un peu de recul ? Et si on écoutait plutôt Britney Spears ? On s'est beaucoup trop moqué de cette pauvre Britney Spears. Aujourd'hui, il ne s'agit pas d'écouter « Gimme More », « Ooops !... I dit it again », ou « Baby One More Time », les tubes de la chanteuse, mais il s'agit d'écouter la parole de Britney Spears. Invitation lancée par Libération encore... qui publie un dossier complet. « Privée d'autonomie depuis treize ans, la star américaine espère reprendre le contrôle de sa carrière et de ses biens, en partie gérés par son père. Après des années de silence, elle multiplie les prises de paroles explicites, racontant son calvaire », explique Libé. « C'est une lumière au bout de la tutelle », écrit le journal… Une affaire qui pourrait « changer la face du star system » « Elle s'inscrit dans un mouvement plus large ». Il y a aujourd'hui le #FreeBritney sur les réseaux, « mais il pourrait tout aussi bien être #MeToo ». Oui, « cette affaire signe la fin des chanteuses objets », pour Libération, elle met à mal sérieusement le patriarcat qui a dominé le monde de la musique. « Cette machine à tubes qui a aussi eu tendance à accentuer les schémas de domination en coulisses ». Machine à laquelle « aucune de ses descendantes de Taylor Swift à Billie Ellish ou Dua Lipa n'appartient déjà plus ». C'est tant mieux !

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une: Maroc et Pegasus, circulez il n'y a rien à voir!

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 20, 2021 4:13


Le Maroc est incriminé dans l'enquête sur le logiciel espion Pegasus. Hier lundi, nous nous étonnions de l'absence du sujet dans de nombreux de médias marocains, eh bien qu'on se rassure ! Le 360 a rectifié le tir et démarré, depuis, une véritable entreprise de démolition : « Espionnage : Le Maroc encore une fois au cœur d'un feuilleton qui relève de la science-fiction », lit-on sur le site internet. C'est certain, les 17 médias internationaux qui publient l'enquête dont Le Monde, The Guardian et The Washington Post apprécieront probablement. Le consortium de 17 médias tourné en ridicule Le 360 les cite d'ailleurs, mais pour les tourner en ridicule, pour mieux mépriser le travail accompli avec l'équipe de Forbidden Stories et Amnesty International : cette affaire Pegasus, « c'est supposé être le feuilleton de l'été. Une période habituellement calme côté actualités chaudes, et que les journaux affrontent en sortant du frigo des sujets magazines. » estime Le 360. Et pour lui, « cette deuxième moitié du mois de juillet sera donc animée par une série d'articles combinant sensationnalisme et espionnage de masse, avec des victimes sélectionnées parmi les journalistes, les décideurs et les politiques ». Le 360 rappelle ensuite que « les Marocains ont déjà fait connaissance avec ce logiciel » lors d'une première salve par le même consortium de 17 journaux, en juillet 2020. À l'époque, souligne Le 360, Amnesty International avait affirmé que le téléphone du journaliste Omar Radi était infecté par Pegasus. Pourtant « le feuilleton de l'été dernier n'a pas suscité de ferveur chez les lecteurs parce qu'il n'était corroboré par aucune preuve », assène Le 360. Le site tente ensuite méthodiquement de démonter, point par point, les observations de cette enquête. Il parle plus largement de « tissus de balivernes ». Il rappelle que le royaume chérifien a réclamé des preuves. En 1932, le journaliste Paul Nizan appelait cela « des chiens de garde », me semble-t-il. Omar Radi condamné Et Omar Radi, justement, n'en fait visiblement pas partie. « Omar Radi condamné à six ans de prison ferme », affiche le site de TelQuel. Le journaliste et militant des droits de l'homme a été reconnu coupable dans une double affaire d'espionnage, apprend-on. Condamné aux côtés de son confrère et ami, Imad Stitou, qui écope quant à lui d'une peine d'un an de prison dont six mois avec sursis. Condamnés, souligne TelQuel, « dix jours après un autre journaliste, l'ex-rédacteur en chef du quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum, Soulaimane Raissouni », condamné à cinq ans de prison ferme pour « attentat à la pudeur avec violence et séquestration ». Hier, TelQuel n'avait pas eu le temps de traiter l'affaire Pegasus. Aujourd'hui, le magazine publie également l'interview du journaliste espagnol Ignacio Cembrero, ancien correspondant du journal El País au Maroc, qui aurait été espionné lui aussi. « J'avais vu, il y a quelques jours, témoigne-t-il, des extraits d'une conversation que j'ai eue uniquement sur WhatsApp dans un journal en français très secondaire au Maroc. Donc c'était en quelque sorte une confirmation », déclare t-il. Le Desk de son côté, dont le directeur a été ciblé par l'espionnage, souligne que la liste des personnes concernées s'est précisée hier justement. Et au Rwanda, second pays africain incriminé par cette enquête ? Toujours pas de trace de cette enquête dans les médias anglophones sur internet. The New Times notamment, n'en fait toujours pas mention. Oui, circulez, il n'y à rien à voir ! En RDC, les derniers hommages au cardinal Laurent Monsengwo… Les obsèques du cardinal Laurent Monsengwo, archevêque émérite de Kinshasa, auront lieu ce mardi, nous dit Le Nouvel Observateur. « Une messe d'actions de grâce sera célébrée à l'esplanade du Palais du Peuple. Plusieurs personnalités du monde politique, diplomatique, universitaire et de différentes confessions religieuses seront présentes à cette cérémonie eucharistique », lit-on. Le Nouvel Observateur croit savoir qu'il y aura notamment « le président congolais Denis Sassou-Nguesso, les archevêques de Kigali, l'archevêque du Congo-Brazzaville, ou bien encore l'archevêque de Luanda ». « Après cette cérémonie, précise Le Nouvel Observateur, la dépouille mortelle du cardinal Laurent Monsengwo sera ensuite inhumée dans le lieu où reposent déjà les cardinaux Joseph-Albert Malula et Frédéric Etsou, dans une salle bien aménagée à cet effet, au sein de Notre Dame de Fatima ». Radio Okapi souligne que le cardinal sera également décoré, à titre posthume, par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi. Actualité.cd nous apprend pour sa part que le président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso N'Kodia Pwanga, a effectué une visite d'inspection des travaux d'aménagement du site du Palais du Peuple. Il se dit satisfait et estime que tout « sera prêt ». Tant mieux, Actualité.cd prévient : ces hommages officiels sont « attendus de la nation toute entière ».

Joaquín López-Dóriga
Las noticias de la tarde: 19 de julio

Joaquín López-Dóriga

Play Episode Listen Later Jul 19, 2021 3:53


Tijuana es el municipio más violento del país con 749 homicidios dolosos entre enero y mayo de 2021; Le Monde advierte de una ‘mafiocracia' en el país tras las elecciones del 6 de junio de 2021; revelan que México encabeza la lista de espionaje a través de Pegasus con más de 15 mil números y más

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À La Une: les révélations sur le logiciel Pegasus

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 19, 2021 4:07


Pegasus est un logiciel espion qui permet tout simplement de connaître le contenu d'un téléphone. Messages, e-mails, photos… Tout le contenu ! Un logiciel conçu par la société israélienne NSO Group et vendu exclusivement aux États. Révélations portées par un consortium de 17 grands médias internationaux coordonnés par l'équipe de Forbidden Stories. Le Monde, le journal français en fait notamment partie et il parle d'une dizaine d'États au total qui auraient utilisé Pegasus, dont deux sur le continent africain. Le Maroc et le Rwanda, où « ce sont avant tout, peut-on lire, des journalistes, des opposants, des avocats, des défenseurs des droits de l'homme qui sont les principales cibles de ce logiciel ». Le Maroc et le Rwanda, pour mémoire, respectivement 136e et 156e au dernier classement sur la liberté de la presse. Que dit la presse aujourd'hui dans ces deux pays ? S'il est intéressant d'observer ce que nous dit la presse, il est aussi parfois intéressant, parfois, d'observer ce qu'elle ne dit pas.  Au Rwanda, The New Times nous parle bien d'internet ce matin mais pour nous expliquer que les Rwandais « réclament un internet plus fiable », parce que « la majorité se tourne vers le travail à distance, en raison de la restriction des déplacements dans certaines parties du pays ». Et si vous cherchez le mot Pegasus sur le site du journal, un seul article date de 2016. Après une enquête de Citizen Lab, il mettait en garde contre ce qui est présenté comme un malware, un logiciel malveillant pouvant affecter tous les téléphones. Le journal affirmait alors qu'aucune plateforme « n'est vraiment sécurisée » mais à l'époque on ignorait la nature réelle de Pegasus et que seuls les États pouvaient s'en servir. Rien d'autre disponible sur le sujet ce matin dans les médias rwandais. La presse marocaine peu diserte ? Alors sur internet également, aucune trace de ces révélations sur le site de Tel Quel. Un article datant de quelques jours nous apprend en revanche que le Royaume chérifien a signé la semaine dernière un accord de coopération en matière de cyber sécurité avec Israël. Aucune trace de Pegasus non plus sur le site du 360, autre media marocain. Pas plus que sur le site d'Al Bayane ou du journal Aujourd'hui Le Maroc. Un seul média nous en parle ce matin dans le royaume, c'est Le Desk, souvent présenté comme la tête de file du journalisme indépendant dans le pays et qui a évidemment été ciblé par l'espionnage, apprend-on. Le directeur du Desk, Ali Amar, a été ciblé, tout comme Fatima Zahra Lqadiri qui a fondé le média à ses côtés. Mais également le journaliste Taoufik Bouachrine poursuit l'article, le fondateur d'Akhbar al Yaoum, journal critique qui a fermé cette année... L'ancien correspondant de l'agence France Presse lui aussi a été espionné, Omar Brouksy, ainsi que Hamid El Mahdaoui, créateur du site Badil.info. Le Desk se rappelle également que c'est autour de l'affaire Omar Radi, autre journaliste, qu'Amnesty International avait révélé l'utilisation de Pegasus par les autorités marocaines. Rabat aurait également espionné des journalistes français. Les autorités marocaines justement ont réagi : en gros, elles déclarent ne pas savoir de quoi nous parlons. En Guinée, le débat sur les migrations illégales relancée… Elle s'appelait Sadigatou Barry. « Plus connue sous le nom de Nourdine, nous dit le site culturel Gnakrylive, elle a perdu la vie il y a de cela quelques jours dans la Méditerranée alors qu'elle tentait de rejoindre l'Occident ».  Nourdine était actrice, membre de la troupe « Missal Diama » et son décès intervient après celui d'un autre acteur, précise Le Djely, à savoir Elhadj Kana Bah Tangan de la troupe Djikè Bonata 2017. Et voilà donc « deux acteurs qui tentaient de rallier l'Europe et qui ne réaliseront jamais leurs rêves car ils sont morts », écrit Le Djely. Le milieu artistique est frappé nous dit l'article qui donne la parole l'humoriste Mamadou Thug, également président de l'Association des troupes artistiques de Guinée (ATAG). Il souligne que « l'immigration irrégulière est illégale et qu'elle a endeuillé des milliers de familles africaines et guinéennes ». « Nourdine partait à la recherche du bonheur », affirme Mamadou Thug et encore et toujours, pour lui, États et partenaires publics comme privés doivent faire comprendre à la jeunesse que « oui, c'est possible de vivre heureux et épanoui en Afrique ». Nous lui laisserons les mots de la fin.

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: souriez, vous êtes surveillés

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 19, 2021 2:47


« Comment la Société israélienne NSO Group a révolutionné l'espionnage » Révélations à lire sur le site du Monde. Le journal fait partie des 17 médias internationaux qui ont levé le voile sur le logiciel Pegasus, avec l'équipe de Forbidden Stories et Amnesty International. On en parle évidemment sur RFI, comme la plupart des médias. Affaire sortie trop tard, en revanche, pour la retrouver dans les versions papiers des journaux ce matin dans les kiosques, mais elle inonde naturellement les sites internet. Celui du Monde en premier lieu. Un logiciel capable de tout connaître Et ce qui surprend d'abord, ce sont les capacités du logiciel. Un logiciel exclusivement vendu aux États par NSO Group donc, une société « qui s'est imposée en dix ans comme le leader de la surveillance téléphonique. Et les scandales de violation des droits de l'homme qui éclatent depuis plusieurs années ne freinent pas son ascension », souligne Le Monde. Son outil fait peur tant il semble efficace. « Vu de l'extérieur, explique le journal, le téléphone semble parfaitement normal. Les notifications éclairent l'écran, tandis que les échanges s'empilent dans les applications de messagerie. Les appels sont parfaitement audibles, la navigation sur Internet est fluide et l'appareil photo fonctionne. Rien, développe Le Monde, ne permet de deviner qu'un logiciel espion ultrasophistiqué est en train, subrepticement, de s'introduire dans le téléphone pour en prendre le contrôle ». Et pourtant, il peut connaitre tout le contenu d'un smartphone : appels, messages – même sur les messageries cryptées –, e-mails, photos, absolument tout… Un « annuaire ahurissant » de cibles potentielles Et à peu près sur qui l'on veut finalement... Sur qui les gouvernements clients de NSO ont envie d'enquêter du moins. Une dizaine d'États en feraient usage à en croire les révélations, Le Monde et les autres ont ainsi pu consulter plus de 50 000 numéros de téléphone « sélectionnés comme des cibles potentielles de ce programme malveillant ». Le Mexique fut le premier client de NSO au début des années 2010. Là-Bas, sur la liste de numéros, figure celui du journaliste Cecilio Pineda Birto, abattu quelques semaines après son apparition sur ce document. L'Arabie Saoudite, aurait espionné au moins deux proches du journaliste Jamal Kashoggi, avant qu'il ne soit assassiné dans le consulat de son pays à Istanbul. Le Maroc, client également, aurait espionné des journalistes du royaume tout comme des journalistes français, à l'image d'Edwy Plenel de Mediapart. La Hongrie de Viktor Orbán est elle aussi cliente, ou bien encore l'Inde de Narendra Modi, et le Kazakhstan, pays autoritaire d'Asie Centrale. Des cibles potentielles aux profils surprenants Et on le voit, les cibles potentielles ont donc de quoi surprendre elles aussi. « Ce ne sont pas les membres de groupes terroristes ou d'organisations criminelles qui dominent », s'étonne Le Monde. « C'est un annuaire ahurissant, observe-t-il, dans lequel on trouve un chef d'État et deux chefs de gouvernement européens ; des hommes et des femmes aux plus hauts échelons du pouvoir d'une ex-République soviétique ; des dizaines de députés de l'opposition d'un pays africain ; des princes et des princesses, des chefs d'entreprise, quelques milliardaires, des ambassadeurs, des généraux. Et puis, aussi et surtout, déplore enfin Le Monde, des centaines de journalistes, d'avocats, de militants des droits de l'homme, tous issus de cinquante pays. Les inondations en Allemagne Autre sujet à la Une des journaux français.« L'Allemagne meurtrie par des inondations surréalistes », titre la version papier du Figaro. Un bilan « terrifiant » de 157 morts, lit-on (le bilan est d'ailleurs passé à 160 morts après impression). Surréaliste, terrifiant, Le Figaro reprend ici les mots de la chancelière Angela Merkel, lors de son déplacement hier dans une zone de Rhénanie-Palatinat particulièrement touchée. Sur place, Angela Merkel « a appelé à accélérer les mesures de lutte contre le changement climatique », et voilà que « le climat revient dans la campagne électorale allemande » analysent Les Échos. « Les experts politiques avaient prévenu qu'un nouvel épisode de sécheresse pourrait rebattre les cartes de la succession de la chancelière, ce sont finalement des inondations d'une violence sans précédent [...] qui devraient jouer ce rôle à dix semaines des élections fédérales ».  « Les candidats sont sous pression », note le quotidien économique. Pourtant, les sinistrés ne comptent pas forcément sur eux, nous apprend Libération. Libé nous emmène dans le village de Schuld, très touché, « à la rencontre des rescapés ». « À la fin on devra se débrouiller tout seuls », témoigne l'un d'eux. Pour l'heure il s'appuie comme les autres « sur l'aide des bénévoles ». Oui, c'est le « temps de la solidarité », confirme Le Parisien Aujourd'hui en France : « Les volontaires ont afflué par centaines pour aider au nettoyage. »

TIME TO SHIFT
#16 Convention citoyenne, démocratie participative et climat

TIME TO SHIFT

Play Episode Listen Later Jul 18, 2021 21:25


Ce mois-ci, TIME TO SHIFT s'intéresse à la Convention Citoyenne pour le Climat. Non pas à son résultat, et à la transposition ou non, des 149 propositions dans la loi. Nous faisons le point sur le processus qui a réuni pendant 9 mois 150 citoyens tirés au sort dans la population française et qui a abouti à des propositions proches de celles formulées par les experts du climat et de la transition bas carbone. Comment des Français issus de tous bords politiques, de tous milieux sociaux-culturels et socio-professionnels ont-ils conclu, collectivement, sans ambiguïté, à l'urgence d'agir et de prendre des mesures contraignantes immédiates ? Merci à Agny Kpata, participante à la Convention Citoyenne pour le Climat, qui nous a accordé du temps pour cet épisode. Pour aller plus loin, retrouvez la plupart de nos sources ci-dessous et rendez-vous dans toute la France sur la Tournée des Tiers-Lieux, une série d'évènements pour faire vivre la Convention Citoyenne sur les territoires. www.latourneedestierslieux.fr/ Nos sources ; - "Convention Citoyenne pour le Climat : un exercice pour la démocratie, Émission sur France Culture, décembre 2020 - bit.ly/3ipMFzc - Vidéo du Réveilleur, "La Convention Citoyenne pour le Climat, utile ?" - www.youtube.com/watch?v=yuopYkpmvCo - Tribune de Cyril Dion, Le Monde, mars 2021 - bit.ly/3imA8wy - La Convention citoyenne, « un premier pas très important pour la démocratie participative », in Ouest france, juin 2020 - bit.ly/3rjIXv3 - « La convention citoyenne pour le climat est profondément monarchique », entretien avec A. Gossement, in Reporterre, février 2020 - reporterre.net/La-convention-cit…ement-monarchique - Valérie Masson Delmotte, « Nous devons mieux anticiper les risques sévères », in CNRS le journal, mars 2020 - bit.ly/36KkhCI - Convention citoyenne pour le climat : la démocratie participative vue de l'intérieur, in The conversation, juin 2020 - bit.ly/3xSIdzx - "The crisis of democracy and the science of deliberation", collectif, in Science, mars 2020 - bit.ly/3hKLPOw - "Les gilets jaunes et la crise de la démocratie représentative », in Le Débat, Gérard Grunberg, février 2019 - bit.ly/3hJ7gPT - Helen Landmore dans "CCC: peut-on réconcilier les citoyens avec leurs institutions? la grande table idées, France culture, juin 2020 - bit.ly/3esqR4Q Extraits sonores : - Podcast Comprendre le monde, de Pascal Boniface S4#28 - Jean-Marc Jancovici - "Peut-on encore sauver le climat ? » - www.youtube.com/watch?v=Lga17P7WOGM - Conférence de presse d'Emmanuel Macron à l'Elysée en avril 2019, Le Parisien - www.youtube.com/watch?v=lIeqixrO-Oc&t=1159s - Conférence de Gaël Giraud à HEC le 15 janvier 2021 - www.youtube.com/watch?v=Xy5on9uFjVg&t=327s

Atelier des médias
Atelier des médias - Covid-19: information scientifique et théories complotistes

Atelier des médias

Play Episode Listen Later Jul 17, 2021 54:41


Le Festival international de journalisme de Couthures-sur-Garonne s'est tenu début juillet. L'atelier des médias vous propose des entretiens réalisés sur place avec un chercheur et un journaliste scientifique. Ils sont revenus sur l'infodémie qui a accompagné la pandémie de coronavirus. Après Epic et Usbek & Rica la semaine dernière, deux nouveaux mooks sont à l'honneur cette semaine au début de L'atelier des médias : Far Ouest, dont le premier numéro est paru en avril 2021, mais qui est au départ un média en ligne local et indépendant. Par des longs formats, Far Ouest questionne le monde et raconte notre époque depuis le sud-ouest de la France. Flo Laval, directeur de la publication, et la rédactrice en chef Clémence Postis expliquent son concept Pays, paru en mars 2021 après une campagne qui a permis de réunir quelque 200 abonnés. Chaque numéro dresse le portrait d'un territoire français. Manon Boquen, cofondatrice de Pays, précise les ambitions de sa revue, notamment en matière d'enquête La deuxième partie de l'émission se déroule à Couthures-sur-Garonne, au bord du fleuve du même nom, dans le sud-ouest de la France. C'est un petit village dans lequel 350 habitants vivent à l'année. Mais chaque été depuis cinq ans, des centaines de personnes s'y retrouvent pour le Festival international de journalisme, organisé par le groupe du journal Le Monde. L'ambition de ce festival est de permettre aux journalistes de discuter de leur métier et de leurs enquêtes avec le public. Cette année, il a notamment été question du traitement journalistique de la pandémie de Covid-19. Pour L'atelier des médias, Pauline Linard-Cazanave y a réalisé des entretiens avec certains des intervenants : Yves Sciama, journaliste indépendant, vice-président de l'Association des journalistes scientifiques. Julien Giry, chercheur en sciences politiques à l'unversité de Tours, explique en quoi la pandémie de coronavirus a eu un effet accélérateur sur les théories complotistes.

Histoires de Succès
Rediff☀️- Maïa Mazaurette, prêtresse du sexe cool (avant que ça soit cool)

Histoires de Succès

Play Episode Listen Later Jul 15, 2021 88:00


REDIFF ESTIVALE - Cet été, je vous propose des épisodes que j'ai envie de réécouter durant mes congés (ça m'arrive de réécouter PARFOIS mes épisodes, oui, j'y retrouve à la réécoute quelques mois plus tard des choses que je n'avais pas captées sur le moment...). RDV fin août / début septembre pour la rentrée d'Histoires de Succès !

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: 14-Juillet, le retour du défilé

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 14, 2021 3:51


« On n'est pas là pour se faire engueuler, on est là pour voir le défilé », comme le chantait Boris Vian. Eh bien qu'on se rassure ! Cette année, il sera possible de se faire engueuler. « Les Champs-Élysées renouent avec le défilé », affiche Le Figaro. Pas sûr en revanche que l'on se fasse piétiner comme le veut la suite de la chanson. En effet, « si le défilé militaire aura bien lieu, contrairement à l'année dernière où il avait été annulé, seules 10 000 personnes pourront y assister », souligne Le Monde. Avec « pass » sanitaire et obligation de porter un masque, « un dispositif similaire est mis en place pour le feu d'artifice ». Un défilé comme d'habitude porteur de symboles Le Figaro passe le menu à la loupe. Cinq mille hommes mobilisés, 73 avions ainsi que… Mc Fly et Carlito, les deux youtubeurs ! « Ils sont prêts à décoller », nous dit Le Parisien. Après avoir gagné un pari contre Emmanuel Macron et après avoir rencontré le président à l'Élysée, MacFly et Carlito « se préparent à participer au défilé aérien de la Patrouille de France », explique le journal. Rien que ça. Et pour être prêts, « l'armée de l'air les a accueillis la semaine dernière pour un vol d'entraînement », précise Le Figaro. « Tout s'est bien passé », affirme l'armée mais elle tente de « dédramatiser la gadgétisation des symboles », note le journal. Un mélange des genres qui peut déranger Or, tout le monde n'apprécie pas ce mélange des genres, à commencer par Le Figaro justement. « Le vocabulaire guerrier plaît aux communicants et autres conseillers qui nourrissent le verbe de nos dirigeants », déplore son édito. « Rien de tel que l'emploi des mots mobilisation, offensive ou stratégie pour donner de la force à un discours sur la relance économique, le maintien de l'ordre ou la politique sanitaire », estime l'auteur. « Reste que la guerre n'est pas seulement un mot puisé dans le sac à métaphores si cher aux plumes des politiques, non elle forme régulièrement le quotidien des dizaines de milliers de militaires », lit-on. « Hier la Libye, la République Centrafricaine, la Syrie, écrit Le Figaro, et aujourd'hui le Sahel, où depuis 2013, la France est engagée dans un conflit inextricable qui demande en effet une stratégie : non pas un quelconque plan de communication ». Et comme le défilé du 14 juillet est « toujours un reflet des engagements en cours », relève encore Le Figaro, c'est justement un détachement de Takuba qui descendra les champs en première ligne. 73 hommes issus de cette force spéciale européenne qui doit prendre le relais de l'opération Barkhane. Dernier défilé pour un militaire bien connu Et un militaire fera son dernier défilé aujourd'hui. Pas n'importe lequel, c'est le général François Lecointre, « le chef d'état-major des armées qui quitte ses fonctions », nous explique Le Parisien. Emmanuel Macron lui a « rendu hommage », ils inaugureront le défilé ensemble mercredi matin et il passera donc les troupes en revue pour la dernière fois. Le général Lecointre livre également sa dernière interview au Journal Le Monde. Il revient d'ailleurs sur la transformation de Barkhane récemment annoncée et, quant à la suite, pour lui, l'une des inconnues encore, c'est précisément « quelle sera la montée en puissance de Takuba » (qui compte aujourd'hui 600 hommes) mais dont on sait qu'elle peine à convaincre les partenaires européens. L'autre inconnue, c'est selon lui : « Quelles vont être les réponses des États du golfe de Guinée », sollicités pour aider leurs voisins.  Et quand Le Monde demande « à quels types de missions les effectifs sortis de Barkhane vont être réaffectés ? ». Eh bien, « il y a une dégradation continue du monde, nous le constatons tous », répond le général Lecointre. « En Ukraine, en mer Noire, en Méditerranée orientale ». Il fait la liste. « En Irak, en Syrie, avec une résurgence de Daech ». En Iran, au Mozambique, au Liban, dans les Balkans. Tableau sombre dressé par le général François Lecointre, mais il est selon lui difficile de dire « ce qui sera considéré par nos responsables politiques comme justifiant un engagement militaire ». Le chef d'état-major français nous dit ici qu'il a « quelques idées » mais qu'il se « gardera bien de les donner pour n'influencer personne ». C'est une sage décision.

Live at America's Town Hall
Freedom of Speech in France and America

Live at America's Town Hall

Play Episode Listen Later Jul 14, 2021 55:21


Earlier this summer, we partnered with The Cultural Services of the French Embassy on a pair of programs comparing the freedoms of religion and speech in France and in the United States, and how those freedoms are protected in the two countries. In this program, a panel of experts from both countries explores how freedom of speech and press as guaranteed by the French Declaration of the Rights of Man and of the Citizen differs from freedom of speech and press in America under the First Amendment of the Constitution—as well as how laws and courts in both countries protect those rights and address issues over controversial speech. National Constitution Center President and CEO Jeffrey Rosen was joined by Marc-Olivier Bherer, staff editor and reporter for the French daily Le Monde and Nieman Fellow at Harvard in the 2021 class; Suzanne Nossel, CEO of PEN America and author of Dare to Speak: Defending Free Speech for All; Geoffrey Stone, professor at the University of Chicago Law School; and Hélène Tigroudja, law professor at Aix-Marseille University in France and a member of the United Nations Human Rights Committee. This panel was streamed live on June 1, 2021. Check out another program from our partnership with the French embassy, “Religious Liberty in France and America,” and more programs on free speech in our Media Library at constitutioncenter.org/constitution. Additional resources and transcript available at constitutioncenter.org/interactive-constitution/media-library. Questions or comments about the show? Email us at podcast@constitutioncenter.org.

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: impératifs sanitaires et visées électorales

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 13, 2021 4:13


« Vaccination : la grande offensive de Macron », affichent Les Échos, « Macron veut vacciner la France » confirme Le Parisien Aujourd'hui en France… Difficile d'y échapper ce mardi matin, son visage, son nom sont dans tous les kiosques, dans tous les smartphones. Et pour cause, nous dit Le Figaro « lors d'une allocution solennelle, hier soir, Emmanuel Macron a annoncé l'obligation vaccinale pour les soignants et l'extension du pass sanitaire, dès le mois d'août », ainsi que la fin de la gratuité pour les tests PCR. C'est « un traitement de choc » selon Libération. Le mot d'ordre est clair pour Le Figaro, à savoir : « mobilisation immédiate ! » pour l'été. Le discours décortiqué Et évidemment, les journaux décortiquent l'exercice en lui-même, l'allocution. « Bien sûr, on est saisi d'un sentiment de déjà vu », observe d'emblée l'édito de La Croix mais une fois passée la lassitude naturelle face à la persistance de l'épidémie, pour le quotidien catholique cette huitième allocution d'Emmanuel Macron « présente au moins deux nouveautés ». À commencer par le fait qu'aujourd'hui, on a les moyens de faire face collectivement, contrairement à la première prise de parole il y a 18 mois, lorsqu'on manquait de tout, masques, gel... Et surtout, aujourd'hui, on a le vaccin. La Croix comme Le Figaro notent donc que dorénavant, la sortie de crise repose autant – si ce n'est plus – sur nous Français, que sur les politiques publiques. Emmanuel Macron l'a d'ailleurs pointé en faisant « le choix de la confiance » estime La Croix. La deuxième nouveauté lors de cette allocution, toujours pour La Croix, c'est que « derrière le président, commence à poindre le candidat : en témoigne, la volonté de remettre sur la table la réforme systémique des retraites ». Et c'est bien ça, justement qui a dérangé Libération. « Le président en a profité pour prononcer un discours de pré-campagne… décalé dans le contexte sanitaire ».  Pour Libération, en effet, le président a « fustigé les paresseux, chanté les louanges de l'industrialisation et vanté sa réforme des retraites, appelant les Français à se projeter dans l'avenir ». Un avenir « décrit dans des termes presque caricaturaux de droite libérale » d'après Libé. En somme ce qui est clair finalement pour le journal, c'est que « les emmerdes ne font que commencer ». Et l'été peut déjà s'annoncer compliqué : pénurie de médecins en vue C'est Le Monde qui y revient aujourd'hui… « Tout indique que le pays manquera de médecins cet été » et « la pénurie frappe déjà certains des 630 services des urgences, contraints par endroits d'adapter les horaires de travail, voire de fermer partiellement » apprend-on. Dans les services de maternité également, l'inquiétude augmente : « certains hôpitaux, notamment en Île-de-France, ont dû fermer des lits pour l'été ». Et maintenant, « Que vont faire les femmes qui doivent accoucher si toutes les salles de naissance sont pleines ? » Interrogation et désolation de la présidente du conseil national de l'ordre des sages-femmes, toujours dans Le Monde, « désespoir carrément du côté des généralistes (...) Trouver un remplaçant durant les congés a viré au casse-tête, lit-on et, dans certaines zones, des médecins ont renoncé ». Ils ont tout simplement « fermé leur cabinet ». Il est aussi des souffrances invisibles, desquelles on parle très peu... Trop peu, et c'est Libération qui les met en lumière ce matin. Le journal livre un dossier sur les orphelins de féminicides. On parle de plus en plus des féminicides, et c'est tant mieux, mais beaucoup moins de ceux qu'ils laissent derrière, les enfants. Comment guérir, comment « panser un impensé ». Libération nous présente Antoine, 22 ans, « soudé à vie au meurtre de sa mère ». Il avait 14 ans lorsque son beau-père a poignardé sa mère en 2013 et, depuis lors, nous raconte Libé, « le jeune homme se construit sans souvenirs d'enfance, tous effacés de sa mémoire avec le choc ». Libé raconte aussi le suivi psychiatrique de l'époque, bancal et mis en place uniquement grâce à l'intervention d'une amie de la famille, un mois après le drame. Une réalité aujourd'hui dénoncée dans une pétition signée par près de 27 000 personnes, une initiative de l'Union nationale des familles de féminicides, qui réclame la création d'un statut et une meilleure prise en charge de ces enfants : « Actuellement, précise Libé, seuls les orphelins dont les parents ont été victimes de guerre ou du terrorisme peuvent obtenir une protection plus étendue de l'Etat, ce qu'on appelle les "pupilles de la nation". Les autres enfants, sont confiés à l'Aide sociale à l'enfance, sous le statut de pupilles de l'État. Un système dont on connaît pourtant les failles et manques de moyens », déplore Libération.

Plus
Dnešní Plus: Francie zavádí povinné očkování zdravotníků, píše Le Monde

Plus

Play Episode Listen Later Jul 13, 2021 4:21


Povinně očkovaný zdravotnický personál a kontrola covid pasů – tak na rostoucí počty nakažených reaguje francouzský prezident Emmanuel Macron, píše deník Le Monde. Očkování bylo ve Francii zatím dobrovolné. S nově oznámenými restrikcemi ho ale budou muset podstoupit všichni zdravotníci. Ti, kteří se nenaočkují do 15. září, nebudou moci dál pracovat ve zdravotnictví. Novinku oznámil ministr zdravotnictví Olivier Véran.

L'heure du crime
L'INTÉGRALE - L'énigme du vol MH370 : accident ou crime d'Etat ?

L'heure du crime

Play Episode Listen Later Jul 12, 2021 44:54


Le 7 mars 2014 au soir, à l'aéroport international de Kuala Lumpur, en Malaisie, 239 passagers embarquent à bord du vol MH370 à destination de Pékin. A 00h40, le Boeing 777-200 décolle. Les conditions de vol sont excellentes. Les échanges dans le cockpit sont détendus. A 1h19, le commandant de bord adresse à la radio le message classique : "Good night Malaysan 370". A 1h20, cinq secondes après avoir passé une balise face à la pointe du Vietnam, toute communication est soudainement interrompue. Silence total en provenance du Boeing de la Malaysian. Aucun message de détresse n'a été adressé par l'avion, l'équipage n'a fait état d'aucun détournement. Les tours de contrôles du Vietnam et de la Malaisie cherchent en vain une trace de l'appareil. Invités : Florence de Changy, journaliste correspondante du journal Le Monde en Asie auteur du livre « Vol MH 370 la disparition » aux Arènes et Ghyslain Wattrelos qui a perdu sa femme et deux de ses enfants dans ce crash.

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une: le décès du Cardinal Monsengwo

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 12, 2021 4:15


« Le Cardinal Laurent Monsengwo est mort en France », titre sobrement le site de Radio Okapi. L'Archevêque émérite de Kinshasa est décédé ce dimanche 11 juillet à l'âge de 81 ans. « Le prélat catholique était gravement malade et son état de santé se dégradait à Kinshasa. Il avait été évacué lundi dernier vers la France pour recevoir des soins appropriés », précise Radio Okapi. « L'Église congolaise est en deuil », écrit Vatican News. On peut y lire l'interview et l'hommage du successeur de Laurent Monsengwo, le cardinal Fridolin Ambongo. Il salue l'engagement d'un « homme de Dieu qui croyait en l'homme, en la valeur de la personne humaine » et qui a mené toute sa vie un « combat pour un monde plus juste, un monde plus fraternel ». Un homme d'église, mais aussi une voix écoutée sur la scène politique C'est un « prince de l'Église qui disparaît », estime le magazine Enjeux africains. Mais « sous la soutane, peut-on lire, se cachait indiscutablement le costume d'un véritable homme politique ». Pour Enjeux africains, Laurent Monsengwo « avait l'avantage d'être à lui seul un contre-pouvoir, une voix qui porte », et « il n'a jamais eu sa langue dans sa poche ». « N'a t-il pas traité les kabilistes de médiocres ? », se rappelle le magazine et, plus récemment, « n'a-t-il pas reproché à l'actuel président d'avoir "pactisé" avec son prédécesseur, au détriment des intérêts de la population ? » Pour Enjeux africains, c'est certain : « Ses homélies étaient attendues par les fidèles mais le pouvoir les appréhendait. » Le défunt cardinal « va manquer aux uns et aux autres », conclut l'article. Au Mali, des commémorations et un désir de justice « Le Comité stratégique du M5-RFP se rappelle ! », affiche MaliWeb. « Les 10, 11, 12 juillet 2020, il y a un an de cela, explique le site internet, le monde entier a constaté avec une grande stupéfaction la répression sanglante » contre les manifestants pacifistes à Bamako. Elle avait fait « plusieurs morts et de nombreux blessés » et « ces personnes ont donné leur sang pour le changement », écrit MaliWeb, en citant « le devoir de mémoire » évoqué par le M5-RFP, le mouvement qui a contribué à pousser Ibrahim Boubacar Keita vers la sortie. Malijet revient de son côté sur la sortie de l'influent Imam Mahmoud Dicko. Il a réclamé justice pour les victimes ce dimanche, lors d'un discours devant sa mosquée du quartier Badalabougou de Bamako, là où des forces de l'ordre étaient intervenues contre un rassemblement de fidèles. Une justice qui sera indispensable, analyse MaliWeb. Le site voit d'un bon œil d'ailleurs le début des poursuites contre les auteurs et complices présumés de la tuerie lors de ces manifestations, et pour lui, aucun doute : « Pour poser les jalons de la refondation de l'État malien, il faudra, à coup sûr, que les gouvernants donnent un signal fort en œuvrant à mettre fin à l'impunité. » Le Sahel, et la situation sécuritaire dans la presse française « La périlleuse réorganisation de l'opération Barkhane », une analyse à lire dans le journal Le Monde, alors que « le président Emmanuel Macron a présenté vendredi les lignes du plan de retrait partiel des quelques 5 100 soldats français ». Retrait partiel qui devrait démarrer « dès les prochaines semaines » et Le Monde nous livre ce lundi un reportage au Burkina Faso. Sur place « des communes entières sont encerclées par des dijhadistes qui menacent les habitants et coupent les populations du reste du pays », comme à Madjoari, dans l'Est, au cœur du parc d'Arly, à 400 kilomètres de la capitale Ouagadougou. Des centaines de personnes tentent simplement d'y survivre. « Désespoir des populations, armée fissurée, gouvernance apathique : c'est un cocktail explosif », nous dit un politologue. Et voilà ce qui rend donc périlleuse aujourd'hui cette réorganisation de Barkhane pour Le Monde.  Au Mali voisin, toujours dans Le Monde, on apprend - ou l'on trouve confirmation - que le refus de négocier avec les jihadistes contrarie le pouvoir de Bamako et l'opinion locale. « Si nous, Maliens, voulons négocier, c'est notre choix », témoigne un habitant du cercle de Koro. De toute façon, les solutions sont à trouver ailleurs que sur le seul terrain militaire, et ce n'est autre que le Général Didier Castres qui l'affirme ce lundi dans Libération. Lui qui était le patron des opérations de l'armée française pendant les premières années de Serval puis Barkhane, il est catégorique : Tous seuls sur le terrain, « les militaires ne règlent rien ».

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: les vaccins, une affaire de riches

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 12, 2021 4:09


C'est Le Monde qui nous alerte en Une : « Vaccination : les risques de la Fracture Nord-Sud ». On a déjà évoqué l'inégale répartition des doses entre pays pauvres et pays riches, mais les chiffres relayés ce lundi 12 juillet par Le Monde donnent à voir cette réalité et elle fait froid dans le dos. À l'échelle mondiale, « sur les 3,3 milliards de doses déjà administrées, seul 1% l'a été dans les pays les plus pauvres ». Il y a bien le dispositif Covax de l'OMS, « qui vise à garantir l'accès aux vaccins des pays pauvres » justement mais, jusqu'à présent, il a « fourni 100 millions de doses à 135 territoires participants ». Résultat, la fracture est immense à en croire le bilan de l'université d'Oxford repris par Le Monde. « Si plus de la moitié de la population a déjà reçu au moins une dose aux États-Unis ou dans l'Union européenne », par exemple, en face, « à peine plus de 30% des habitants d'Amérique du Sud ont pu en bénéficier ». « L'Afrique est la moins bien lotie : moins de 2% de la population est (partiellement) immunisée ». Avec Covax, le continent a reçu « seulement » 70 millions de doses, pour une population d'1,3 milliard d'habitants. Et cela alors qu'une chercheuse du CNRS nous prévient, toujours dans les colonnes du Monde : toute cette crise sanitaire, « ce ne sera pas fini tant que ce ne sera pas fini partout ». La menace des variants D'autant que la menace des variants plane, semble-t-il, plus que jamais. Chez nous du moins se profile « un été à l'ombre des variants », nous dit la Une de La Croix. Quand « la saison touristique a plutôt bien démarré [en France], professionnels et estivants s'interrogent sur de possibles restrictions sanitaires », explique le quotidien catholique. Face à la menace d'une quatrième vague, pour l'heure, les vacanciers « retiennent leur souffle », en attendant l'allocution d'Emmanuel Macron prévue ce lundi soir. « Vaccin, pass sanitaire : Macron à l'heure des choix », titre Le Figaro. Le Chef de l'État doit s'exprimer « solennellement » ce soir, après un conseil de défense dans la matinée, et Emmanuel Macron est « à la recherche d'équilibre » estime Le Figaro, entre réforme et lutte sanitaire. « Covid, Réformes », c'est « l'heure des choix pour Macron », confirment Les Échos en reprenant les mêmes mots. Oui, le variant Delta, c'est bien « un obstacle dans la dernière ligne droite du président », analyse également L'Humanité. À moins d'un an de la présidentielle, ce soir « il devait fixer le cap de la fin de son quinquennat mais le chef de l'État est [finalement] attendu sur la situation pandémique ». De quoi le contraindre à un nouvel exercice de « en même temps » qui lui est cher. La riposte aux variants Quand les laboratoires organisent justement « la riposte aux variants », interview exclusive des fondateurs de BioNTech à lire dans Les Échos. Uğur Şahin et Özlem Türeci l'assurent : leur vaccin à ARN messager « présente une activité neutralisante contre tous ». En d'autres termes, il protégerait contre les variants. Seulement, les anticorps produits après injection du vaccin diminuent avec le temps, reconnaissent les scientifiques. Mais ils se veulent rassurants : « Nous pouvons disposer d'un nouveau vaccin dans les 100 jours si cela est vraiment nécessaire », affirment-il. Et en attendant, toujours dans Les Échos, ils préconisent déjà une troisième injection de leur version actuelle, sans préciser de délais dans lesquels elle devrait être administrée. La frite, belge ou française ? La France n'a pas trouvé de vaccin, mais elle a peut-être inventé la frite ! La frite que l'on mange. Et ne le dîtes surtout pas à nos voisins belges. « Il était une fois la frite », série d'été en sept volets à découvrir toute cette semaine dans Le Parisien Aujourd'hui en France. Pour démarrer, le quotidien nous raconte ce lundi « le jour où les Belges ont cru l'avoir inventée ». Tout ça à cause de Jo Gérard, très sérieux historien bruxellois qui a affirmé en 1984 avoir retrouvé l'origine de la frite auprès des pécheurs de Namur au XVIIe siècle. Or, c'est une « légende culinaire », nous dit un chercheur français ! En somme, « une fake news avant l'heure », même si elle est largement reprise dans le plat pays. En tout cas, ils n'en démordent pas, la porte-parole de l'office du Tourisme de Namur l'assure : s'il s'agit d'une légende, « ce qui est sûr, c'est que les meilleures frites sont à Namur ». Nouvelle bataille d'experts en vue.

Mark Leonard's World in 30 Minutes
The EU and France in the Sahel

Mark Leonard's World in 30 Minutes

Play Episode Listen Later Jul 9, 2021 35:55


In June this year, French President Emmanuel Macron announced the end of Operation Barkhane – a military offensive launched in 2013 against Islamist militants in the Sahel. France has determined, he said, it could no longer maintain a “constant presence” in West Africa. In this week's episode, host Mark Leonard discusses European interests in the region and what might change after France's Africa policy shift, together with Emanuela Del Re, former Italian deputy foreign minister and the new EU special representative for the Sahel; Sylvie Kauffmann, editorial director, lead writer, and columnist for Le Monde; as well as ECFR's Andrew Lebovich. What does the end of Operation Barkhane in its current form mean for the Sahel? What could further European and international engagement in the region look like? This podcast was recorded on 7 July 2021. Further reading: • “After Barkhane: What France's military drawdown means for the Sahel” by Andrew Lebovich: https://t.co/xxZ11TiM24 Bookshelf • ”La Guerre de vingt ans. Djihadisme et contre-terrorisme au XXIe siècle” by Marc Hecker & Elie Tenenbaum • “Jihadists of North Africa and the Sahel” by Alexander Thurston • “Être etudiant au Mali: chroniques d'une vie d'étudiant” by Boubacar Sangaré • “Moral Letters to Lucilius“ by Seneca •“From Empires to NGOs in the West African Sahel. The Road to Nongovernmentality” by Gregory Mann • “Half of a Yellow Sun” by Chimamanda Ngozi Adichie • “L'Islâm in Europa: riflessioni di un imâm italiano “ by Yahya Sergio Yahe Pallavicini

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: une possible vague migratoire en provenance d'Afghanistan

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 9, 2021 4:22


Avec le départ précipité des troupes américaines, décidé par Joe Biden, après vingt années de présence, la dégradation rapide de la situation pourrait pousser de nombreux Afghans à l'exil. Et l'Europe s'y prépare, secrètement : « L'Europe redoute une vague afghane », lance le quotidien L'Opinion, journal dans lequel un responsable européen proche du dossier prédit une « vraisemblable vague migratoire massive », soulignant que « les Allemands sont tétanisés ». Selon L'Opinion, la Commission européenne cherche à « provisionner plusieurs centaines de millions d'euros pour faire face » dans l'urgence à une possible crise dans les prochains mois. La Turquie pourrait alors se trouver aux avant-postes de cette vague migratoire. « Nous ne ferons pas de chantage avec l'UE sur cette question », assure les officiels turcs, qui estiment toutefois que leur pays « ne doit pas garder toute la misère du monde » pour le compte des Européens, rapporte L'Opinion. Lequel journal rappelle que « les Afghans sont les premiers demandeurs d'asile en France. Devant les Ivoiriens, les Guinéens et les Pakistanais ». En France, 7 Français sur 10 sont opposés à une hausse de l'âge de départ à la retraite  Selon un sondage Elabe pour Les Échos, Radio Classique et l'Institut Montaigne, « seuls 20% des Français [y] sont disposés », remarque le quotidien économique, et plus de 6 Français sur 10 plaident pour « une hausse des impôts » des plus riches pour en assurer le financement, contre 38% qui y sont opposés. Interrogées sur les régimes spéciaux de retraite, 65% des personnes sondées sont favorables à « la suppression des 42 régimes existants dont les régimes spéciaux ».  Politique : l'idée d'une élection primaire pour désigner le ou la candidat(e) de la droite à la prochaine présidentielle divise les Français  Selon un sondage Odoxa pour Le Figaro, 53% des Français sont opposés à l'organisation d'une primaire de la droite, contre 47% qui y sont favorables. Au sein même des sympathisants de droite, 49% se disent également opposés à la primaire, contre 51% qui y sont favorables, indique Le Figaro. Globalement, sept Français sur dix craignent que la primaire soit « facteur de division ». Des candidats à la candidature à droite, il en est un, en tout cas, qui ne se lancera pas dans la course, c'est François Baroin. Et cette fois-ci, c'est définitivement « non ». L'information avait déjà fuité dans le quotidien L'Opinion, mais ce matin, le journal Le Parisien la confirme, signalant que cet ancien ministre de Jacques Chirac « a appelé mercredi plusieurs dirigeants de LR, dont Bruno Retailleau et Brice Hortefeux, pour leur officialiser définitivement qu'il ne serait pas candidat ». Comme le formule Le Parisien, « la pression était devenue trop forte pour François Baroin ».  Au sein de la radio Europe 1 en crise, les candidats au départ sont plus nombreux que prévus Alors que les préoccupations liées à une supposée reprise en main de cette station par Vincent Bolloré ont atteint le plus haut sommet ce l'État. Selon le quotidien Le Monde, « 76 salariés, dont 36 journalistes radio, ont déposé un dossier pour partir » d'Europe 1 dans le cadre d'une rupture conventionnelle collective et dont la période de volontariat s'achevait mardi 13 juillet. C'est plus que prévu, et c'est ce qui conduit Le Monde à anticiper un « grand exode » à Europe 1, étant rappelé la récente grève « de protestation contre la mainmise de Vincent Bolloré, premier actionnaire de Lagardère, maison mère d'Europe 1 », énonce ce quotidien du soir.  Lequel journal signale que Vincent Bolloré « a rencontré, il y a quelques semaines, Emmanuel Macron ». Selon « une des connaissances » de Vincent Bolloré citée par Le Monde, cette rencontre « ne se serait pas bien passée. (…) L'industriel aurait peu apprécié certains propos du chef de l'État, échaudé par la tonalité conservatrice de CNews et de la reprise en main des médias de Lagardère », ajoute ce journal.  Foot : on prend le même et on recommence Le sélectionneur Didier Deschamps est reconduit à la tête de l'équipe de France. Ainsi en a décidé le président de la fédération française de football. Et c'est « en trois minutes » que la question de la reconduction de Didier Deschamps à la tête de l'équipe de France de foot « a été réglée », dit Noël Le Graët au Figaro. C'est la fin d'un « vrai-faux suspense », formule ce journal, en évoquant ce « mariage qui dure » entre le président de la fédération française de football et le sélectionneur des Bleus. 

Les Nuits de France Culture
Christophe Tarkos : "Quand on rêve on ne voit pas les images qui défilent"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 9, 2021 54:59


durée : 00:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Hommage à Christophe Tarkos" un numéro des "Mardis littéraires" de Pascale Casanova, diffusé la pemière fois le 28 décembre 2004 sur France Culture."Sur la tête de Christophe Tarkos, il faut accumuler les adjectifs, sans craindre les contradictions : sauvage, grave, raffiné et loufoque, maniaque, contrôlé et dépressif, délirant, sensé, matérialiste et mystique" c'est ce qu'a écrit de lui Patrick Kéchichian dans Le Monde. * Le poète Christophe Tarkos est mort à quarante-et-un ans en novembre 2004. "Ma maladie est de parler, et le guérissement de ma maladie est de parler" lisait-on dans Anachronisme, son dernier livre paru en 2001, alors que la tumeur, qui devait l'emporter, lui rongeait déjà le cerveau. Quelques semaines après sa disparition, "Les mardis littéraires" rendaient hommage à Christophe Tarkos. On y retrouvait sa voix et ses mots dans des émissions de 1999 et 2000, alors que les écrivains, Katalin Molnar et Philippe Beck, évoquaient au micro de Pascale Casanova l'ami et le poète, dont les ouvres sont disponibles chez les éditeurs P.O.L. et Al Dante. Dans une archive de 1999 Christophe Tarkos différenciait le rêve et la pensée : Penser n'est pas rêver. Penser c'est un défilement d'images, rêver est un défilement d'images et regarder la télévision est un défilement d'images mais pourtant il y a une différence entre penser et rêver. C'est à dire que quand on pense on a un défilement d'images mais on voit les images. Tandis que quand on rêve il y a un défilement d'images et pourtant on ne voit pas les images. Donc il y a une différence entre regarder la télévision-qui est comme penser- c'est à dire des images qui défilent et rêver qui est un peu différent. Quand on rêve on ne voit pas les images qui défilent. "Hommage à Christophe Tarkos" un numéro des "Mardis littéraires" de Pascale Casanova, diffusé la première fois le 28 décembre 2004 sur France Culture. Production : Pascale Casanova Réalisation : Daniel Finot Les mardis littéraires - Hommage à Christophe Tarkos 1ère diffusion : 28/12/2004 - réalisation : Virginie Mourthé

What Can You Tell Me About Software?
"Biology's Image Detective" - Fraud In Science

What Can You Tell Me About Software?

Play Episode Listen Later Jul 8, 2021 42:35


Elisabeth Bik, PhD, is a science integrity consultant who specializes in finding image duplications in scientific papers. After receiving her PhD in Microbiology at Utrecht University in The Netherlands, she worked 15 years at the Stanford University School of Medicine on the microbiomes of humans and marine mammals. From 2016-2019, she worked at two microbiome startup companies. In March 2019, she left her job to become a science integrity volunteer and occasional consultant. She can often be found discussing science papers on Twitter at @MicrobiomDigest, writing for her blog ScienceIntegrityDigest or searching the biomedical literature for inappropriately duplicated or manipulated photographic images and plagiarized text. She has reported over 4,000 papers for issues with image duplication or other concerns. Her work has been featured in Nature, Science, Wall Street Journal, New York Times, Washington Post, Le Monde, and The Times (UK). In April 2021 she was awarded the Peter Wildy Prize by the UK Microbiology Society for her contributions in science communication.Twitter: @MicrobiomDigestNew Yorker Article - https://www.newyorker.com/science/elements/how-a-sharp-eyed-scientist-became-biologys-image-detectiveFavorite Study - "Host lifestyle affects human microbiota on daily timescales" by Lawrence David - https://genomebiology.biomedcentral.com/track/pdf/10.1186/gb-2014-15-7-r89.pdfIf you would like to support Dr. Bik's work, consider becoming a patron at: https://www.patreon.com/elisabethbikTimestamps:00:51 - Biology's image detective01:59 - The scope of fraud in science03:37 - What is motivating scientists to commit fraud?04:46 - Dr. Bik's early work with plagiarism 08:54 - Incentive structures that lead to fraud in science12:09 - Peer review and the role of editors at science journals/newspapers14:44 - How can we change the system?16:07 - How can non-PhD's approach reading scientific papers?18:27 - Are pre-publication sites good for science?21:14 - Hydroxychloroquine24:49 - Ongoing cases against Dr. Bik30:12 - Public perception of scientific integrity35:24 - Algorithmic fraud detector38:43 - Dr. Bik's ultimate mission 40:40 - Dr. Bik's favorite paperHosts:Vasanth Thiruvadi - @NextVasanthFaraz Abidi - @fzfromcupertinoIntro Music: "Pain is the Essence" remix by @AdiSoundsGood on Twitter 

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: le président haïtien assassiné

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 8, 2021 4:31


Effroi et stupeur dans la presse ce jeudi matin 8 juillet. Le président Jovenel Moïse a été assassiné dans sa résidence privée dans la nuit de mardi à mercredi par un commando de mercenaires. « Haïti poursuit sa descente aux enfers », soupire Le Figaro. Cet assassinat ne fait « que confirmer la situation dramatique de la nation la plus pauvre d'Amérique, poursuit le journal. Les bandes armées se partagent le pays depuis des mois, rançonnant la population et se livrant à des actes de barbarie effrayants. La classe politique, dont le président Jovenel Moïse, est accusée, au mieux d'être sous la coupe de ces bandes armées, au pire de les diriger et de les utiliser pour asseoir son pouvoir. » Interrogé par Le Figaro, Julien Boudon, professeur de droit public à l'université de Paris-Saclay et consultant pour la rédaction de la nouvelle Constitution haïtienne, affirme : « Haïti n'est pas une dictature mais une anarchie aujourd'hui. Et cette anarchie profite à certains qui ne veulent pas que les choses changent. La situation du pays est si dramatique qu'il faut une intervention internationale pour rétablir l'État de droit car le pouvoir est totalement affaibli face aux bandes armées. » La dérive maffieuse d'un État En effet, complète, dans Libération, Frédéric Thomas, chargé d'étude au Centre tricontinental, basé à Louvain-la-Neuve, en Belgique, « cet assassinat est le marqueur d'un pourrissement de la situation, de l'effondrement des institutions étatiques, de la dérive mafieuse d'un État et de la montée en puissance des gangs armés. Depuis début janvier, il y a eu une recrudescence des affrontements en plein centre de Port-au-Prince, avec plus de 10 000 personnes déplacées. Récemment, plusieurs journalistes et une militante féministe ont été assassinés. Jamais la police n'est intervenue, ces gangs ont pris possession de différents commissariats. Les forces de l'ordre ne contrôlent rien, par manque de moyens et de volonté politique. Qu'une bande armée vise le sommet de l'Etat montre à la fois la faillite des institutions et l'étendue du pouvoir de ces gangs. » « Le sang ne suffit pas » Et puis toujours dans Libération, à lire cette tribune du poète et dramaturge haïtien, Jean D'Amérique. En voici un extrait : « Être haïtien, c'est naître dans le sang, grandir dans le sang – ou souvent ne pas avoir le temps de grandir – et finir dans une flaque de sang. Être haïtien, c'est attendre sa balle. C'est attendre la balle qui vous dévorera le souffle, où que vous soyez dans le pays. Être haïtien, c'est presser le pas vers l'au-delà. Être haïtien, c'est pleurer, c'est crier. Mais depuis le temps que ça saigne. Mais depuis le temps que ça pleure. Depuis le temps que ça crie… Il faut croire que le sang ne suffit pas. » Edgar Morin : un siècle d'expérience humaine À la Une également, les 100 ans d'Edgar Morin. On reste avec Libération qui décrit ainsi le sociologue et philosophe : « Auteur de plus de 60 livres, Edgar Morin est un intellectuel populaire qui rejette le simplisme, un anthropologue de la mort qui adore la vie, un sociologue qui avoue ses erreurs, un enfant espiègle qui doit bien composer avec la vieillesse. » À l'occasion de ses 100 ans donc, Edgar Morin publie dans Le Monde une longue réflexion sur notre époque actuelle : « Nous vivons en 2021 une étape nouvelle de la phase extraordinaire de l'aventure humaine, écrit-il, où culmine le paradoxe de la toute-puissance et de la toute-faiblesse humaine. L'infirmité ne vient pas seulement de la fragilité humaine (le malheur, la mort, l'inattendu) mais aussi des effets destructeurs de la toute-puissance scientifique-technique-économique, elle-même animée par la démesure accrue de la volonté de puissance et de la volonté de profit. Cette pensée humaine capable de créer les plus formidables machines est incapable de créer la moindre libellule. » Le vaccin et la liberté ! Enfin, la 4e vague de l'épidémie de Covid-19 se précise en France. « Le rebond épidémique observé dans certaines régions inquiète en prévision de l'été et surtout de la rentrée », affirme Le Parisien. Le quotidien estime que l'une des armes les plus efficaces contre le virus serait l'obligation de produire le passe sanitaire dans tous les lieux publics. Et puis, martèle Le Figaro, « les citoyens, c'est leur intérêt, doivent, en masse et sans tarder, aller se faire vacciner. La ligne à suivre tient en deux mots : le vaccin et la liberté. »

Musiq'3
L'île paradisiaque - Sur l'Île Paradisiaque de la soprano Alice Foccroulle - 08/07/2021

Musiq'3

Play Episode Listen Later Jul 8, 2021 55:31


La soprano Alice Foccroulle est née à Bruxelles en 1985. Elle manifeste très tôt un vif intérêt pour la musique et plus particulièrement pour le chant. C'est ainsi qu'elle intègre le Chœur d'enfants du Théâtre Royal de la Monnaie. Elle commence à étudier le chant auprès de Susanna Eken et après avoir étudié deux ans l'Histoire de l'Art et la musicologie à l'Université Libre de Bruxelles, elle obtient son diplôme à la Musikhochschule de Cologne auprès de Joseph Protschka et de Christoph Prégardien. Son intérêt pour la musique baroque la conduit à collaborer en ensemble ou en soliste avec des ensembles spécialisés, tels que Collegium Vocale Gent (Philippe Herreweghe), Pygmalion (Raphaël Pichon), InAlto (Lambert Colson), La Fenice (Jean Tubéry), Utopia ou encore B'Rock. Alice Foccroulle se produit également en récital avec le claveciniste Pierre Gallon, le cornettiste Lambert Colson, l'organiste Bernard Foccroulle ou encore la luthiste Sofie Vanden Eynde. Alice Foccroulle est aussi très attirée par la musique contemporaine et à ce titre elle participe notamment à la création mondiale de l'opéra de Kris Defoort House of the sleeping beauties à la Monnaie sous la direction de Patrick Davin et dans une mise en scène de Guy Cassiers (CD Fuga Libera, 2009). En septembre 2017 elle crée E vidi quattro stelle de Bernard Foccroulle avec l'ensemble InAlto à Bozar, œuvre qui fait en 2019 l'objet d'un enregistrement pour Outhere. Avec l'ensemble InAlto elle enregistre un disque consacré à J.H. Schein sorti en janvier 2015 pour le label Ramée. En 2016, leur enregistrement Schütz and his legacy (Passacaille) est applaudi par la critique internationale, recevant entre autres le Choc Classica et le Diapason d'Or de l'Année. Le disque est également dans la sélection des meilleurs enregistrements de l'année dans les journaux Le Monde et Libération. En 2019 l'ensemble InAlto sort Teatro Spirituale (Ricercar), un disque consacré à la musique romaine du début du XVIIème siècle qui reçoit un nouveau Diapason d'Or. Plusieurs enregistrements discographiques sont à paraitre en 2021, notamment un disque autour de la musique de Correa de Arrauxo avec InAlto pour Ricercar et un enregistrement des Lieder de Joseph Haydn avec le claveciniste Pierre Gallon pour le label Passacaille. Parallèlement à son activité de musicienne, Alice Foccroulle animera une émission autour de la musique ancienne sur Musiq3 (RTBF) à partir du mois de septembre 2021.

Police Off The Cuff
#JonathanAlpeyrie war photographer taken hostage in 2013 by Syrian rebels for 81 days and lives to tell his story, the book is #TheShatteredLens

Police Off The Cuff

Play Episode Listen Later Jul 3, 2021 57:38


#JonathanAlpeyrie #PoliceOfftheCuff #Photographer Jonathan Alpeyrie war photographer taken hostage by Syrian Rebels. Born in Paris in 1979, Jonathan Alpeyrie moved to the United States in 1993. He graduated from the Lycée Français de New York in 1998 and went on to study medieval history at the University of Chicago, from which he graduated in 2003. Alpeyrie began his photography career shooting for local Chicago newspapers during his undergraduate years. He shot his first photo essay in 2001 while traveling through the South Caucasus. After graduating, he went to the Congo to work on various essays, which led to a contributor contract with Getty Images in early 2004. In 2009, Jonathan became a photographer for Polaris images and SIPA press as well. Alpeyrie's career has brought him to over 25 countries and cover 13 conflict zone assignments, in the Middle East and North Africa, the South Caucasus, Europe, North America and Central Asia. A future photography book about WWII is in the works. In 2013, whilst on assignment in Syria, Alpeyrie was kidnapped by rebel forces for 81 days. Alpeyrie was bound, blindfolded, and beaten by his captors. Over the course of his captivity, Alpeyrie kept his spirits up and strove to find the humanity in his captors. He took part in their activities, taught them how to swim, prayed with them, and tried learning their language and culture. He also discovered a dormant faith within himself, one that strengthened him throughout the ordeal. Alpeyrie's 2014 Anastasia Photo exhibition Capture featured the images he shot on three trips to Syria prior to his abduction. In 2017, Simon & Schuster published his memoir The Shattered Lens. Alpeyrie has worked as a freelancer for various publications and websites, such as the Sunday Times, Le Figaro magazine, ELLE, American Photo, Glamour, Aftenposten, Le Monde, BBC, and today he is a photographer for Polaris Images, with whom he signed in February 2010. Alpeyrie's work has been published in magazines such as Paris Match, Aftenposten, Times (Europe), Newsweek, Wine Spectator, Boston Globe, Glamour, BBC, VSD, Le Monde, Newsweek, Popular Photography, Vanity Fair, La Stampa, CNN, Bild Zeit, ELLE magazine, Der Speigel, Le Figaro, Marie Claire, The Guardian, Bild, and The Atlantic. Check out our website: https://policeoffthecuff.comWatch all our interviews: https://www.youtube.com/c/policeoffthecuff?sub_confirmation=1Support POC on Patreon: https://www.patreon.com/policeoffthecuffListen to our Podcast: https://anchor.fm/otcpod1Stay updated on Facebook: https://www.facebook.com/Policeoffthecuff-312794509230136/Follow our Instagram: https://www.instagram.com/policeoffthecuff/ This video may contain copyrighted material the use of which has not been specifically authorized by the copyright owner. This material is being made available within this transformative or derivative work for the purpose of education, commentary and criticism, and is believed to be "fair use" in accordance with Title 17 U.S.C. Section 107. --- Support this podcast: https://anchor.fm/otcpod1/support

Le sept neuf
Annick Cojean - Gilles Dorronsoro - Éric Cheysson

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jul 2, 2021 120:07


durée : 02:00:07 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Annick Cojean, grand reporter au journal Le Monde, Gilles Dorronsoro, spécialiste de l'Afghanistan, professeur à Paris 1, auteur de Le Gouvernement transnational de l'Afghanistan (Karthala), et Éric Cheysson, chirurgien, président de La Chaîne de l'Espoir, sont les invités du 7/9. - invités : Annick Cojean, Gilles DORRONSORO, Éric Cheysson - Annick Cojean : Grand reporter au Monde, Gilles Dorronsoro : Professeur de sciences politiques à l'Université de Paris 1-Panthéon-Sorbonne et spécialiste de l'Afghanistan., Éric Cheysson : chirurgien, président de l'association humanitaire La Chaîne de l'Espoir

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Vaccination obligatoire en débat, Britney Spears enfermée...Actus du jour

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jul 1, 2021 8:14


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.Sources :VACCINATION OBLIGATOIRE : BFM TV, Le Monde, Huffington postPERQUISITION MINISTÈRE DE LA JUSTICE : France InfoENQUÊTE OUÏGHOURS : 20 MinutesRAVE PARTY REDON : Mediapart, Ouest France BRITNEY SPEARS : 20 MinutesÉcriture : Blanche Vathonne - Benjamin Aleberteau - Hugo Travers Montage : Léo Henry See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Le variant delta pousse au reconfinement dans le monde, résultats des élections… Actus du jour

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jun 28, 2021 9:43


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.Sources :RÉGIONALES : Franceinfo, Le Monde, Le Monde, France 3VARIANT DELTA : 20 Minutes, Les Échos, BFMTVFAMINE MADAGASCAR : France 24DÉMISSION MINISTRE DE LA SANTÉ BRITANNIQUE : FranceinfoÉcriture : Blanche Vathonne - Benjamin Aleberteau - Léah Boukobza - Hugo TraversMontage : Camille Paulet See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Le monde devant soi
Euro 2021, jeu de ballon, enjeux d'influence

Le monde devant soi

Play Episode Listen Later Jun 25, 2021 27:00


Rarement compétition n'a été aussi politique que cet Euro 2021. Polémiques franco-françaises sur le cas Benzema à l'occasion de son retour en bleu, débat sur un geste symbolique contre le racisme, irruption d'un militant écologiste avant le coup d'envoi de France-Allemagne et passe d'armes autour de l'illumination du stade de Munich aux couleurs du rainbow flag, symbole LGBT+. Un développement important par sa résonance au niveau européen: Munich a voulu marquer le coup lors du match opposant l'Allemagne à la Hongrie, pour dénoncer une loi votée à Budapest interdisant «la promotion chez les moins de 18 ans de l'homosexualité, le changement de sexe ou une alternative au sexe de naissance». Ce texte, inspiré de celui en vigueur en Russie, amalgame homosexualité et pédophilie. L'UEFA a interdit à l'Allemagne de pavoiser son stade aux couleurs LGBT+ et s'en est expliquée dans un communiqué difficilement compréhensible évoquant la neutralité politique de l'organisation. Et le 24 juin, en marge d'un Conseil européen, dix-sept chefs d'État de l'UE ont pris la parole dans une lettre pour rappeler leur attachement aux droits des LGBT+ et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré user de tous les moyens à sa disposition pour faire plier Viktor Orbán. Sans la mise en lumière de cette question lors du match Allemagne-Hongrie, l'Union européenne aurait-elle été si prompte à réagir? Pourquoi l'UEFA est-elle si frileuse sur les questions politiques? Existe-t-il ce qu'on pourrait appeler une diplomatie du football? Quels sont les matchs sur lesquels il y a un enjeu géopolitique majeur? Comment faut-il analyser la multiplication des investissements du Qatar et de la Chine dans les clubs européens? Donne-t-on trop peu la parole aux joueurs et trop aux politiques? Réponses dans Le Monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales. Si vous aimez Le Monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Réalisation et montage: Aurélie Rodrigues

Tom Talks
Johnny Kanavas, Racecar Driver | Tom Talks 14

Tom Talks

Play Episode Listen Later Jun 24, 2021 61:11


Today on Tom Talks, Chief Driving Instructor at Porsche Experience Center and racecar driver, Johnny Kanavas stops by the studio. First off, Johnny talks about how he got into driving, chasing the dream of becoming a racecar driver and the ups and downs of his career. Next, Tom and Johnny talk about the similarities of comedy and racecar driving careers, basics of Formula 1 driving and working at the Porsche Experience Center of LA. After that, Johnny reminisces about working on the movie, Ford v. Ferrari, driving at Le Monde and doing a 24 hour race. Last, Tom and Johnny talk about the differences of driving on a track versus driving normally, advancing speeds in new cars and their favorite Porsche models.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Planète transformée dans 30 ans, couleurs LGBTQ+ interdites à Munich, Twitter payant … Actus du jour

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jun 23, 2021 7:36


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.Sources :DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE : France Bleu, Le Monde, Le TempsSTADE DE MUNICH LGBTQ+ : Nouvel ObsAFFAIRE MILA : France InterAUTOROUTE MONTÉNÉGRO : La DépêcheTWITTER SUPER FOLLOW : 20 MinutesÉcriture : Blanche Vathonne - Benjamin Aleberteau - Hugo Travers Montage : Camille Paulet See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Covid de retour à la rentrée, réouverture des boîtes de nuit, abstention record... Actus du jour

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Jun 21, 2021 8:52


On continue avec un 2e sujet, on va parler des paris sportifs, qui sont de + en + répandus avec l'Euro de football, et qui inquiètent Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.Sources :ÉLECTIONS RÉGIONALES : Le Parisien, Le Monde, BFMTV4E VAGUE : LCI, Le Figaro, Le HuffPostBOÎTES DE NUIT : BFMTV, BFMTVÉcriture : Blanche Vathonne - Benjamin Aleberteau - Agathe Boussard - Hugo Travers Montage : Camille Paulet See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

She's a Woman with Miz Cracker
Diana Zeynib Alhindawi: Picturing Humanity

She's a Woman with Miz Cracker

Play Episode Listen Later Jun 14, 2021 48:52


Diana Zeyneb Alhindawi uses photography to explore the human condition across various political and cultural contexts. Based out of Brooklyn, USA, Diana works internationally in areas experiencing conflict, social unrest or humanitarian emergencies. Her photography has been published and showcased by media outlets like the New York Times newspaper and Magazine, The Sunday Times Magazine, The Wall Street Journal, Al Jazeera America, Le Monde, and many more. In 2014, she was named one of Lens Culture's Top 50 Emerging Talents for 2014. In 2015, she received the ICRC Humanitarian Visa d'Or Award for her coverage of groundbreaking news in the Congo. In 2018, she was named one of PDN's 30 New and Emerging Photographers to Watch For.  You can listen and subscribe to us on your favorite podcast platform https://bit.ly/ShesAWomanPodcast If you wanna support the show, and get all the episodes ad free go to https://shesawoman.supercast.tech/. If you like the show, telling a friend about it would be helpful! You can text, email, Tweet, or send this link to a friend: https://bit.ly/ShesAWomanPodcast. Thanks to our sponsors:  We have a special deal for our audience: Save $15 off your first visit with a board-certified dermatologist at apostrophe.com/MIZ when you use our code: MIZ. This code is only available to our listeners. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices