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Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Soit le niveau le plus bas, depuis celui de François Hollande en 2016.
Vous avez déjà entendu votre petite voix dire de tout arrêter ? C'est dans ces moments-là qu'on sait qu'on est pas sur le bon chemin, et qu'il faut vite changer de direction. Qu'il s'agisse d'un job, d'une relation, d'une amitié, d'une situation... pour avancer, il faut parfois abandonner, et y'a aucun mal à ça ! Episode complémentaire : Votre ego n'est jamais trop gros Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Un jeune de moins de 35 ans sur dix a déjà consommé du protoxyde d'azote, selon une étude de l'Ipsos pour la sécurité sous-routière. Elle pointe une montée en puissance de cette drogue, appelé "gaz hilarant" et se trouvent sous la forme de petites bonbonnes qui s'aspirent et qui provoquent une sorte d'euphorie et de perte de contrôle. C'est peut-être ce qui a provoqué la mort de Matisse, 19 ans, à Lille dans la nuit du samedi 1 novembre, renversée par un chauffard. Des petites bonbonnes de ce gaz ont été retrouvées à l'intérieur du véhicule. Laetitia, la maman de Matisse, a témoigné au micro de RTL. "Plus entendre sa voix, plus voir ses pitreries. Donc c'est ça qui va être dur. Je voyais l'accident sans l'avoir vécu. Je me suis imaginée ce que lui a pu ressentir, le choc de la voiture", a-t-elle raconté. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
SOLENOÏDE, émission de 'musiques imaginogènes' diffusée sur 30 radios dans le monde
Solénoïde (03.11.2025) - Cette semaine dans "Solénoïde – Grande Boucle 64", on traverse l'Hexagone en diagonale de Nantes à Paris, en passant par Saint-Brieuc, Saumur et Toulouse. Six projets made in France qui pédalent hors des sentiers battus : électro-rock, ambient, pop artisanale et autres échappées belles. Au peloton : Arnaud Fournier, Raoul Sinier, Humans By Billions, DownTao, Cervantes et arrivée en panache avec GLOYW. Soit 50 minutes de musiques imaginogènes pour grimpeurs de l'oreille et sprinteurs de curiosité.
Samedi 1er novembre marque un an depuis le début d'intenses manifestations en Serbie, contre la corruption et le régime d'Aleksandar Vučić, déclenchées après l'effondrement mortel d'un auvent en gare de Novi Sad. Des dizaines de milliers de personnes se recueillent dans tout le pays, dont une large partie demande de nouvelles élections libres. Est-ce que cet accident a changé le pays ? François Lafond, ancien expert technique français auprès du gouvernement serbe et auteur de la note La Serbie et les défis à l'Occident, pour l'Institut Montaigne, est l'Invité international de la mi-journée de RFI. À lire aussiSerbie: des milliers d'étudiants en route vers Novi Sad pour commémorer le drame un an après À lire aussiSerbie: un an après, la tragédie de Novi Sad a profondément transformé le pays
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce jeudi, il revient sur la visite du Prince de Galles au Vatican à la veille de la Toussaint. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Danemark enverra bientôt quelque 300 prisonniers, dans des cellules au Kosovo. Soit à quelque 2 000 kilomètres plus au sud. L'accord qui a pour but de désengorger les prisons surpeuplées rapportera 200 millions d'euros au petit pays des Balkans, soit quatre fois le budget du ministère de la Justice. Pour Pristina, il s'agit d'un juste retour des choses, car le Danemark a soutenu son indépendance face à la Serbie. Mais les critiques ne manquent pas, face à une externalisation de plus qui ne s'embarrasse guère de considérations morales. Reportage à Gjilan signé Louis Seiller. Les Roumains viennent d'inaugurer la plus grande cathédrale orthodoxe du monde Après plus de dix ans de travaux, l'hyperbole est de mise... la cathédrale du Salut de la nation se veut un symbole du pouvoir de l'Église. Mais elle a coûté 270 millions d'euros dont une grande partie d'argent public. Ce qui soulève beaucoup de critiques en pleine période d'austérité alors que le système de santé et l'éducation sont sous dotés. À Bucarest, notre correspondante Marine Leduc a assisté à l'inauguration. L'endoctrinement patriotique russe à hauteur d'enfant C'est tout l'objet du documentaire Mr Nobody against Putin nommé pour les oscars. Il a été tourné par le vidéaste officiel d'une école de province en Russie, aujourd'hui exilé à Prague où il a pu obtenir le statut de réfugiés. Images édifiantes qu'a pu regarder pour nous notre correspondant Alexis Rosenzweig. La chronique musique de Vincent Théval Miguel Araújo : Quem?
Cours vidéo de 13 minutes donné par Rav Ariel GAY.
Le Danemark enverra bientôt quelque 300 prisonniers, dans des cellules au Kosovo. Soit à quelque 2 000 kilomètres plus au sud. L'accord qui a pour but de désengorger les prisons surpeuplées rapportera 200 millions d'euros au petit pays des Balkans, soit quatre fois le budget du ministère de la Justice. Pour Pristina, il s'agit d'un juste retour des choses, car le Danemark a soutenu son indépendance face à la Serbie. Mais les critiques ne manquent pas, face à une externalisation de plus qui ne s'embarrasse guère de considérations morales. Reportage à Gjilan signé Louis Seiller. Les Roumains viennent d'inaugurer la plus grande cathédrale orthodoxe du monde Après plus de dix ans de travaux, l'hyperbole est de mise... la cathédrale du Salut de la nation se veut un symbole du pouvoir de l'Église. Mais elle a coûté 270 millions d'euros dont une grande partie d'argent public. Ce qui soulève beaucoup de critiques en pleine période d'austérité alors que le système de santé et l'éducation sont sous dotés. À Bucarest, notre correspondante Marine Leduc a assisté à l'inauguration. L'endoctrinement patriotique russe à hauteur d'enfant C'est tout l'objet du documentaire Mr Nobody against Putin nommé pour les oscars. Il a été tourné par le vidéaste officiel d'une école de province en Russie, aujourd'hui exilé à Prague où il a pu obtenir le statut de réfugiés. Images édifiantes qu'a pu regarder pour nous notre correspondant Alexis Rosenzweig. La chronique musique de Vincent Théval Miguel Araújo : Quem?
Qu'est-ce qu'un ennemi? Au-delà de notre appel à aimer nos ennemis selon l'Évangile, est-ce possible d'offrir cet amour sans exception? Comment pouvons-nous déterminer qui sont ces ennemis dans notre monde polarisé? Dans cet épisode, Joan et Stéphane réfléchissent sur la notion d'ennemis et essaient de comprendre pourquoi nous réagissons si fortement envers certaines personnes. Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Chris Henry, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, doit-on aimer tous nos ennemis? Bonjour Stéphane. Bonjour Joan. Bonjour à toutes les personnes qui sont à l'écoute. Parfois nos ennemis sont plus proches que l'on croit [Joan] J'aime bien le fait qu'on ose aborder cette thématique des ennemis et de l'amour des ennemis, parce que je pense que c'est vraiment une thématique un peu taboue, dans le sens où on est toujours capable de faire de grandes déclarations quand on prêche ou bien dans nos prières. Et puis, il y a un peu concrètement, qu'est-ce que ça veut dire dans notre vie? Et ça me fait penser à une petite anecdote. J'avais sur Facebook un de mes contacts, un pasteur, qui n'est pas Suisse, qui vient d'ailleurs, donc pas l'un de mes collègues actuels, ni d'ailleurs des années passées, avec qui régulièrement on débattait, on n'était vraiment pas d'accord sur la question de l'égalité des droits pour le mariage. Ça m'a occupé un certain nombre d'années, comme vous aurez fini, auditrice, auditeur, par le comprendre. En fait, il en venait à être un petit peu obsessionnel à mon sujet, c'est-à-dire qu'il allait commenter partout, même sur des trucs qui ne concernaient pas le sujet. Il s'intéressait un peu à tout ce que je faisais en annexe, par exemple professionnellement, en dehors de cette question. Il aimait bien un petit peu me faire sentir qu'il me surveillait. Puis je racontais ça à une copine qui m'a dit : « Écoute, avec des ennemis comme ça, pas besoin d'amis! Si tu n'es pas bien, tu fais un malaise, il sera mieux que tes amis où tu te trouves! » L'obligation d'aimer nos ennemis [Stéphane] C'est vrai que c'est un enjeu difficile. Même lorsqu'on a discuté de ce thème-là, on a eu une conversation par messagerie parce que c'était de bien définir la question. Parce qu'au début, la question était « faut-il aimer tous nos ennemis? » Moi, j'ai amené « Doit-on aimer tous nos ennemis? » Et c'était plus qu'une question de jouer sur les mots, parce que pour moi, il faut... c'est une invitation, c'est un rêve, par exemple. Il faut que je perde 15 kilos. Bon, oui, ce serait bien, mais fort probablement, ça n'arrivera pas. Doit-on? Là, il y a une obligation. Là, il y a quelque chose de plus sérieux. On doit prendre telle médication lorsqu'on est malade? Ben oui, là, il faut. Cette question « doit-on », est-ce une obligation dans tous les cas? Parce que ça va, comme tu as dit, au-delà des bonnes intentions. Jésus nous a dit qu'il faut aimer nos ennemis. Oui, bon, c'est bien. On entend ça le dimanche matin. Mais lorsqu'on est justement confronté à cette réalité-là, ouf! Là, c'est difficile et ça nous emmène dans des zones très inconfortables. Nos ennemis sont-ils déterminés par nos relations? [Joan] Il m'est arrivé autre chose sur les médias sociaux, il y a aussi un paquet d'années. Maintenant, je suis beaucoup moins sur Facebook. Enfin, je n'y suis plus, pour ainsi dire. Et puis Instagram, je fais comme tout le monde, je partage quelques photos, limite de chatons mignons. J'ai eu ma période plus politisée. Là, maintenant, j'ai une période plus pastorale, disons presque de rue, en tout cas de proximité. Et c'est OK, il y a plusieurs saisons dans la vie. Et un jour, j'ai eu un désaccord super fort avec un ami Facebook, qui en plus était un peu un compagnon de lutte, un collègue, un pasteur, aussi pas en Suisse, puisqu'à ce moment-là, je n'exerçais pas en Suisse. Et en fait, il avait affiché mon père, c'est-à-dire qu'il était allé regarder qui avait liké le profil de tel ou tel homme politique. Et il se trouve que mon père, pour des raisons qui lui appartiennent, avait suivi je ne sais quel homme politique un peu controversé de ce moment-là, la grande famille gauchiste, et il avait fait une capture d'écran, ce collègue, et il avait affiché mon père et d'autres. Il avait écrit « Les amis de mes amis sont-ils mes amis? Car là, ce sont mes ennemis. Du coup, si mon ami est ami avec mes ennemis, deviennent-ils mes amis ou mon ami devient-il un ennemi? » Et là, ça pose plein de questions, c'est-à-dire est-ce que mon amitié se base sur ce que toi tu aimes et tu préfères seulement, sur tes goûts, sur tes choix politiques ou de follower quelqu'un sur des médias sociaux. Ça pose des questions assez profondes. Sur quoi est-ce que je base mon amitié ? Et du coup, sur quoi est-ce que je base mon inimitié aussi ? Et du coup, ça pose la question de qui est mon ennemi ? Et ça, ce sont des questions qu'on n'ose pas trop souvent se poser. Et pourtant, c'est des questions qui intéressent Jésus. Les ennemis à l'époque de Charlie Kirk [Stéphane] C'est vrai que c'est une bonne question. Qu'est-ce qu'un ennemi? Tout le monde le sait (toi, moi, les gens de notre écoute), on vit dans un monde tellement polarisé. Tu es d'accord avec moi, tu es mon ami. Tu as un désaccord avec moi, tu es un ennemi. J'ai l'impression qu'on jette ça un peu à la légère, dans le sens où on ne réfléchit pas avant de déclarer quelqu'un notre ennemi, mais en même temps, c'est très lourd de dire que cette personne est un ennemi. On aborde ce sujet-là dans un moment très stressant en Amérique du Nord, probablement dans le reste du monde, parce qu'aux États-Unis il y a eu l'assassinat de Charlie Kirk il n'y a pas si longtemps (au moment où ce qu'on enregistre). Et on voit là les appels de la classe politique à l'élimination de l'opposition. Les mots sont chargés, c'est exacerbé. Il y a quelques jours, un animateur de talk-show assez célèbre a perdu son émission, du jour au lendemain, à cause des pressions politiques, parce qu'il avait fait un commentaire un peu limite, mais rien vraiment de très grave. Et c'est ça. Soit on rentre dans le rang, on est les bonnes personnes, si on ne rentre pas dans le rang, on est dans la case de l'ennemi, on est dans ce qu'il faut abolir, ce qu'il faut éliminer, on n'a aucune valeur intéressante. C'est très difficile et c'est très stressant parce qu'on peut décider de dire : « bon moi j'y vais au minimum, je ne m'exprime pas, en tout cas pas en public ». Mais lorsqu'on a un peu de courage, lorsqu'on a un peu de conviction, lorsqu'on veut changer les choses, on se met un peu la tête sur le billot, on ne sait jamais comment ça va revirer la décision d'un, la décision de l'autre. Donc toute cette notion d'ennemi est tellement chargée dans le monde dans lequel on vit aujourd'hui. L'importance d'être en désaccord de Paul Ricoeur [Joan] Je pense aux modalités pour être de bons ennemis. J'ai réfléchi à ça. Je me suis dit en fait, on nous enseigne souvent à être de bons amis depuis qu'on est petit. Fais-toi des amis. Traite bien tes amis. Elle, c'est ton amie. Lui, c'est ton ami. On est de meilleurs amis. On parle des besties maintenant. Mais je me dis, il y a peut-être des modalités pour être de bons ennemis. Puis, je me suis un peu tournée vers Paul Ricoeur. Alors voilà, Paul Ricoeur, je suis comme tout le monde. Moi, je lis des extraits, je lis des résumés, j'écoute des podcasts. Je lis rarement ses bouquins de A à Z. Je rassure tout le monde. Ça reste une écriture fine, nuancée, et parfois on en a besoin. Paul Ricoeur rappelle souvent, c'est que dans la question du dialogue, il y a la question de l'interprétation. Et souvent, nos conflits sont liés à des interprétations de textes, de symboles, de l'autre. C'est pour ça qu'il prend une distance, Ricoeur, en disant que ces conflits doivent être traités par l'herméneutique, c'est-à-dire justement par l'interprétation, mais consciente, la médiation, la traduction, la compréhension. La meilleure façon d'avoir de bons ennemis, d'entretenir quand même de bons rapports avec ses ennemis, c'est d'éviter l'imposition. L'imposition en disant à l'autre : « mais non, tu devrais penser ça ». C'est vrai que c'est un petit peu quelque chose qui me frappe dans ces temps de polarisation, en ces temps où il y a un génocide qui est documenté en direct. Maintenant, l'ONU a déclaré que quatre des cinq critères sont réunis pour déclarer un génocide. Je trouve que quand il y a des outils d'analyse, c'est important de les prendre en compte et de les respecter. Ce génocide est documenté en direct. Il y a d'autres génocides en cours. Il y a le Soudan… On va faire la liste, on va être déprimés. Celui-ci est documenté en direct, et on a l'impression qu'on peut agir nous aussi en direct, puisque finalement, c'est documenté en direct. Mais en fait, non. En fait, on ne peut pas faire grand-chose. Souvent les conflits nous échappent à nous en tant qu'individus. Si le gouvernement de certains pays n'a pas bougé avant, c'est sûrement pour des raisons qui nous échappent aussi. Et comme ce conflit est documenté en direct, on demande aux gens, on leur impose maintenant lorsqu'il y a des tables rondes, lorsqu'il y a des débats, de faire un statement, de faire une déclaration sur Gaza. Ça va tout à fait à l'encontre de tout ce que nous offre Paul Ricoeur comme outil d'analyse pour être des bons ennemis, pour être en désaccord. Ce qu'il propose, Ricoeur, c'est de laisser une place à l'autre, de le reconnaître comme un humain inhumain qui a peut-être tort et qui pense peut-être des choses qui ne sont pas correctes, mais qui a néanmoins le droit, lui aussi, de ne pas être réduit à une caricature. Ce n'est pas parce qu'un tel ou une telle chef d'orchestre je ne sais où ne fait pas une déclaration sur le génocide de Gaza, que c'est foncièrement quelqu'un de génocidaire. C'est peut-être quelqu'un qui est paumé, qui ne sait pas trop quoi dire, qui a peur pour sa famille ailleurs, pour des raisons politiques. On n'a pas accès aux vies intérieures des gens, on n'a pas les détails sur leur vie. Et donc, quand on réduit l'autre à une caricature, à un monstre, à une abstraction, comme certains l'ont fait avec Kirk, certains ont dit que c'était juste un horrible monstre. Là, c'est pareil, on déshumanise et ce n'est pas OK. Et ce que nous dit Paul Ricoeur, c'est qu'il faut maintenir l'idée qu'il existe une part commune de dignité, de vulnérabilité. Et un jour, j'avais lu un texte trop beau sur trucs et astuces pour faire du dialogue interreligieux. Alors, il y avait des trucs sérieux. Il y en a un autre que je vais garder toute ma vie qui est « Portez les bébés des uns des autres ». Prenez dans les bras les bébés des uns des autres. À partir du moment où tu as apporté le bébé de je ne sais qui, tel imam, tel rabbin, telle rabbine, tu n'auras plus jamais le même rapport avec cette personne parce que tu auras apporté ce qu'il ou elle a de plus précieux au monde et tu te seras émerveillé sur la création. Et puis, Paul Ricoeur rappelle aussi que l'ennemi d'aujourd'hui peut être l'allié ou le voisin de demain. Et ça, c'est une donnée qui, je trouve, est importante à garder dans notre vie parce que les autres changent et puis moi aussi. Un jour, peut-être quelqu'un avec qui je suis en profond désaccord maintenant et moi, on va être d'un seul coup aligné sur une cause supérieure. Et c'est important que je garde ça en tête. La difficulté de dialoguer avec ses ennemis [Stéphane] Sur l'idée de porter le bébé, ça me fait penser... Lorsqu'il y a eu les négociations entre l'Irlande du Nord et la Grande-Bretagne pour essayer de trouver un cessez-de-feu, un des négociateurs est arrivé à la table, première rencontre, et la première chose qu'il a faite, il a sorti les photos de ses petits-enfants. Et c'est la première chose qu'il a faite, là. Il se présente, sort la photo de ses petits-enfants et commence à parler de ça. Et là, la discussion est partie sur leurs petits-enfants. Ils ont comme créé un lien que non, on n'est pas des monstres, on a des familles, on est des êtres humains, on peut se parler. Et cet appel au dialogue, oui, c'est très bon. Mais je rencontre un problème lorsque je suis confronté à des gens radicalisés. Comment peut-on discuter avec quelqu'un qui est convaincu qu'il, elle ou iel a raison à 100%? Je pense à la pandémie. Il y a des gens qui affirmaient dur comme fer que les vaccins, c'était pour injecter quelque chose dans notre sang, pour faire la promotion du G5. Il y a des gens qui croient dur comme fer que la terre est plate, et on peut présenter tous les faits à cette personne-là, non, il n'y a rien qui va changer. À la limite, lorsqu'on a une conversation au café comme ça, bon, ce n'est pas trop pire, mais comme tu as dit, devant des régimes fascistes, devant des situations radicalisation. Oui, essayer de dialoguer, c'est bien. C'est encouragé. Mais qu'est-ce qu'on fait quand l'autre ne veut pas vraiment dialoguer, veut imposer, comme tu as dit, sa vision, sa façon de faire? Là, ça devient difficile d'aimer son ennemi. Les ennemis comme miroir de notre personne [Joan] Oui, c'est vrai. Mais en même temps, pourquoi est-ce que c'est si difficile d'aimer son prochain comme ennemi? C'est aussi parce que l'ennemi, c'est un peu mon miroir. C'est un petit peu qui je suis quand je suis bornée, quand je ne veux pas écouter, quand j'ai une idée à arrêter. L'ennemi, ça me renvoie aussi l'image de moi-même qui ait des ennemis. C'est hyper rare de ne pas avoir quelqu'un qui est notre ennemi, même si on n'est pas trop au courant. Moi, je suis féministe, alors je sais que pas mal de gens que je ne connais pas n'aiment pas ce que je représente. Puis je suis une femme pasteure, donc là aussi, j'ai des ennemis. Je ne me suis même pas levée le matin qu'il y a déjà des gens qui ne sont pas contents que j'existe. Et donc ça, je me dis, finalement, souvent, un adversaire, quelqu'un avec qui on n'est vraiment pas d'accord nous renvoie à nos propres contradictions, à nos injustices, à nos fragilités. Par exemple, moi, en tant que féministe, c'est vrai que quand j'entends des discours des trad wives, qui disent que pour respecter et la Bible et une construction saine de la société, c'est important que les femmes restent à la maison pour s'occuper de leurs enfants. Dans un sens, c'est vrai, elles ont un peu raison. Enfin, je veux dire, tout est tellement plus simple quand il y a des femmes qui s'occupent de plein de choses. Pourquoi les Églises ont tourné si bien jusqu'à maintenant et elles sont en chute libre maintenant? C'est parce qu'il y a beaucoup moins de femmes à la maison qui s'occupent des autres. Donc d'un côté, oui, elles ont raison, les femmes. On est particulièrement bonnes pour le care, pour le tissage communautaire, pour donner du temps, pour prendre soin des uns, des unes, des autres. Et donc d'un côté, elles m'énervent. Elles m'énervent parce qu'elles disent des trucs qui sont vrais. Mais ce n'est pas parce qu'elles disent des trucs qui sont vrais que ce qu'elles proposent comme projet de société, je suis OK avec. Qu'est-ce que le conflit avec cet ennemi m'apprend sur moi, sur ma communauté, sur mes valeurs et sur mes ambivalences, sur mes frustrations? C'est aussi ça un peu l'aimer. En fait, voilà. Pour moi, aimer mon ennemi, c'est aussi avoir cette espèce de retour critique sur moi-même. Qu'est-ce que l'autre provoque en moi? Et qu'est-ce que je peux apprendre de ça? La parabole du Bon Samaritain [Stéphane] C'est vrai que ça peut être très confrontant lorsqu'une personne qu'on n'aime pas, qu'on n'ait à peu près rien en commun, semble défendre le même point de vue que nous. Ça me fait un peu penser à la parabole du Samaritain, parce qu'il y a quelqu'un qui est blessé. Une première personne passe, la deuxième personne passe, la troisième, celle qui fait la bonne chose, n'est pas nécessairement l'amie des Juifs, n'est pas considérée nécessairement comme une bonne personne. Aujourd'hui, on le traiterait d'ennemi. Peut-être, à cette époque-là, c'était ceux qu'on n'aime pas trop; qu'on tolère. Et c'est la personne qui fait la bonne chose, qui sauve la personne en danger. Je pense que Jésus avait ce message. Oui, c'est bien! Il faut aimer tout le monde, il y a le message de la Bible, tout le monde est écrit à l'image de Dieu, oui, oui. Mais je pense que Jésus amène aussi cette notion de « Hey, les amis, soyez attentifs parce que c'est peut-être vos ennemis qui vont être plus proches du royaume que vous pensez. » Il y a quelque chose de très provocateur là-dedans que j'aime bien. Oui, on peut être d'accord et en désaccord en même temps. C'est d'essayer de faire la part des choses, de pas nécessairement mettre toute notre attention sur ce qu'on n'aime pas, mais d'essayer de voir ça, ce n'est pas pour moi; ça a de la valeur, ou en tout cas, je m'y retrouve. Qu'est-ce qu'aimer une personne? [Joan] Et finalement, on revient à cette idée d'aimer. Parce que là, les ennemis, on a un petit peu vu qui étaient nos bons ennemis, qui étaient nos ennemis tout court. Qu'est-ce que les ennemis provoquent parfois en nous? Puis cette notion d'aimer, ça recouvre quoi, aimer quelqu'un? Je sais bien que c'est l'affaire de toute une vie, de comprendre ce que c'est qu'aimer. Mais moi, il se trouve que dans ma définition d'aimer quelqu'un, il n'y a pas être d'accord avec la personne. En fait, moi, je suis souvent en désaccord avec mon mari, je suis souvent en désaccord avec mes filles, je suis souvent en désaccord avec mes parents. D'ailleurs, pour leur plus grand malheur, j'ai remarqué que mes parents, souvent, c'était les plus malheureux dans cette affaire. Je ne suis souvent pas d'accord avec les gens, mais ça ne m'empêche pas du tout de les aimer. Et c'est là que ça se complique, dans la société actuelle qu'on est en train de ne pas réussir à éviter, c'est qu'on est trop polarisé. Donc quand tu n'es pas d'accord avec quelqu'un, ça voudrait dire que tu ne l'aimes pas. Et moi, c'est tout à fait l'inverse en fait. Et j'apprécie, des fois j'en ai marre si on vient sur mon Facebook m'allumer à longueur de journée en me disant que je dis n'importe quoi. Bon, des fois j'en ai un peu marre. Mais globalement, moi j'apprécie d'avoir des avis qui sont différents du mien. La notion d'amour inconditionnel [Stéphane] Très bonne question. Qu'est-ce qu'aimer? Qu'est-ce que ça veut dire? J'avais une paroissienne avant que notre fils rentre dans notre vie. C'était imminent. Elle m'a dit : « Tu vas voir Stéphane, ta compréhension de l'amour inconditionnel de Dieu va changer quand tu auras ton enfant dans tes bras. » C'est vrai, il y a un amour inconditionnel pour cet enfant. Et j'en parlais avec deux Français et j'ai dit ça. Et là, ils ont eu une réaction épidermique. « Oh là là! Non, mais c'est vrai! Non, tu ne peux pas dire ça! Tout n'est pas permis! Il faut punir! Blablabla! » Malheureusement, ils ne m'ont jamais laissé la place pour continuer à répondre. Aimer, c'est mettre des balises. Aimer, c'est enseigner des limites, enseigner qu'il y a des conséquences à nos gestes, à nos mots. Aimer, c'est outiller une personne pour bien se conduire dans une société. Et aimer inconditionnellement, c'est de mettre des conséquences. Parfois, c'est de punir, pas nécessairement pour être méchant, mais pour dire que c'est dangereux et qu'il ne faut pas que tu le fasses. S'il faut qu'il y ait une conséquence et que tu es privé de sortie, si c'est ça que ça prend pour que tu apprennes, c'est important. À travers tout ça, ce n'est pas parce que je, un peu comme tu disais, je me fritte un peu avec mon fils parce que, encore une fois, il a oublié son ordinateur à la maison, il faut que j'aille prendre mon ordinateur, le reconduire à l'école, puis ça fait trois fois cette semaine que c'est arrivé, puis ça me tombe sur les nerfs. Je ne l'aime pas moins. Ça n'affecte pas cet amour que j'ai pour mon fils. Je dis fils, mais il y a plein d'autres exemples. Donc, aimer, ce n'est pas nécessairement un peu comme on a dit, être toujours d'accord, que c'est toujours gambader dans le champ, heureux, main dans la main. C'est reconnaître qu'il y a cet amour-là. Parfois, c'est plus facile. Parfois, c'est plus difficile. Mais qu'au-delà des gestes, au-delà des mots, il y a un lien fort qu'on a réussi à développer et aimer son ennemi, c'est peut-être aller au-delà du mot, peut-être aller au-delà du geste de reconnaître qu'il y a quand même un être humain derrière ça. Humaniser l'autre [Joan] Moi, je comprends cette aimer nos ennemis comme humaniser les toujours et encore. C'est vrai qu'on dit toujours que pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même. Ça, c'est clair. Et finalement, pour aimer les autres, il faut s'humaniser soi-même. Alors, s'humaniser les uns les autres. Puis ça rejoint un peu le Ubuntu est-africain, cette idée de je suis parce que tu es, je suis parce que tu es, ben c'est ça. En quelque sorte, on est ennemis sur des lignes idéologiques, mais on s'aime en tant qu'humain. C'est très, très compliqué de différencier les deux. Les évangéliques aiment beaucoup dire qu'ils détestent le péché, mais pas le pécheur. Moi, ça ne me parle pas. Voilà, parce que détester d'abord, c'est trop fort. Je déteste par mes ennemis. Je crois que je n'arriverai pas à dire ça pour beaucoup de personnes, puis même d'une façon générale, je ne crois pas que j'arriverai à le tenir sur la durée. C'est un sentiment très fort, détester, qui prend beaucoup d'énergie et je peux comprendre qu'il puisse faire tenir debout des gens. Ce n'est pas ce type d'énergie dont j'ai besoin, en tout cas pas dans ma situation de vie. Et du coup, je me dis, aimer mes ennemis, c'est aussi leur prêter ce bénéfice du doute qu'ils ou elles ont quelque chose à m'enseigner et qu'avec il ou elle, un jour peut-être, j'aurai quelque chose à vivre. Laisser cette porte ouverte sur le futur, sur cette espérance de ce que notre relation pourrait devenir. Ça va même plus loin. C'est presque comme si je disais j'aime notre relation pour ce qu'elle peut devenir. Est-ce que Jésus serait d'accord avec ça, Stéphane? Le message radical de Jésus [Stéphane] Je pense que Jésus nous appelle à quelque chose d'assez radical. Souvent, on perçoit aimer son ennemi comme quelqu'un qui ne veut pas faire d'histoire, on est un peu une carpette, on se met à plat ventre, on ne veut pas faire de vague, on va aimer tout le monde. Mais Jésus n'était pas un monsieur gentil. Jésus était un provocateur. Il disait, aimer ses ennemis, ça commence par soi. Tu l'as très bien dit tout au long de cet épisode. Et ça prend une force incroyable, ça prend une conviction incroyable de dire, peu importe ce que tu vas faire, peu importe ce que tu vas dire, je vais t'offrir de l'amour quand même. Pas nécessairement parce que je suis obligé, pas parce que je suis naïf, parce que, comme on a dit, je reconnais que tu es un être humain. Je reconnais qu'on est tous et toutes dans le même bateau, cette humanité collective. D'avoir cette force, ça peut être presque déconcertant… de pouvoir dire, oui, cette personne-là, je vais prier pour elle. Cette personne-là fait des choses horribles, mais je reconnais qu'il y a peut-être une possibilité de changement. Je reconnais qu'il y a peut-être une possibilité d'illumination. Je reconnais que c'est un être humain qui mérite quand même un minimum de dignité. C'est un message fort, c'est un message presque à contre-courant, je pourrais dire. Surtout, comme on dit, dans le climat polarisé dans lequel on est. Peu importe qui est cette personne, je crois qu'il y a une once de bonté quelque part. Peut-être qu'elle s'est perdue. Peut-être que les circonstances font que je ne les vois pas. Mais il y a encore de l'espoir dans cette personne-là. Mais ça, ça vient de nous. Ce n'est pas à l'autre de nous convaincre. C'est nous de croire que l'être humain en face de nous, peu importe qu'il y ait un potentiel de bonté dans cette personne-là, ça part de nous. Conclusion [Joan] Là, dis donc, tu es en train de nous faire un boulevard pour le prochain épisode, qui sera sur la thématique du pardon, parce que voilà, on est dans notre quatrième saison, donc on commence à faire des résonances d'un épisode à l'autre. Alors, merci beaucoup, Stéphane, d'avoir fait cette introduction boulevard pour l'épisode de la semaine prochaine. [Stéphane] Merci, Joan, et on continue à travailler très fort pour être là, pour être pertinent pour vous. C'est un peu pour nous, mais c'est aussi pour vous. Donc, si vous avez des questions, si vous voulez nous faire des suggestions, n'hésitez pas, questiondecroire@gmail.com. Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire, qui nous permet de faire ce podcast et de le diffuser sur plein de plateformes. D'ailleurs, peu importe la plateforme que vous écoutez, n'oubliez pas de faire un like, de partager, de laisser un commentaire, laissez une évaluation, c'est toujours très bon. Merci beaucoup, tous et toutes, et merci, Joan pour la conversation. À la semaine prochaine!
Aujourd'hui, Antoine Diers, Fatima Aït Bounoua et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invité : Arthur Delaporte, député PS du Calvados et membre de la Commission des affaires économiques Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque vendredi, samedi et dimanche, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Akaa, la grande foire d'art contemporain africain se tient à Paris durant tout le week-end. Akaa fête cette année ses dix ans dans un marché de l'art plutôt morose en raison de la crise économique, mais le nouveau directeur artistique d'Akaa, le Franco-Sénégalais Sitor Senghor entend professionnaliser encore davantage le secteur, et ramener les collectionneurs dans les travées de la foire. À lire aussiLa foire AKAA fête ses dix ans et célèbre la création africaine À lire aussiAKAA 2025: Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon
S'entraîner sur tapis est une pratique très répandue et vous permet de rester au chaud et en sécurité. Le tapis de running a des bénéfices mais aussi des inconvénients. Donc je pense qu'il faut savoir en descendre pour aller courir dehors. Notamment pour préparer une course.Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Le Programme FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Rejoindre le Hamsters Running Club : https://km42.soulier.xyz/hrcTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/383Cet épisode est sponsorisé par Nutripure :Vous bénéficiez de 10% de réduction sur votre première commande avec le code HAMSTERS. Ou en cliquant sur le lien suivant : https://go.soulier.xyz/NutripureKm42Dans ces épisodes les bases de l'entraînement, je vous propose de décrypter certains termes et stratégies qui peuvent vous paraitre étrange quand vous débutez ou que vous voulez progresser. Forcément en cette saison vous allez voir beaucoup plus de personnes courir sur tapis roulant. Soit en salle soit chez elles. Car c'est un outil qui se généralise. Mais pour autant faut-il faire toutes ses séances dessus ?Dans cet épisode :les avantages du tapis : sécurité, conditions climatiques, éclairage, organisationpourquoi c'est intéressant après un retour de blessurepourquoi certaines personnes aiment faire du fractionné sur tapisles inconvénients du tapispourquoi il faut savoir en descendre surtout pour préparer une courseune alternance intéressante entre tapis et course en extérieurpourquoi régler la pente de votre tapis sur 1%et pourquoi vos tendons d'Achille vous remercieront de ne pas dépasser les 3% d'inclinaisonNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
C'est le titre affiché à la Une de la Nouvelle Tribune, qui précise que la Cour constitutionnelle avait été saisie « par le député Abdel Kamel Ouassagari et plusieurs autres élus du parti Les Démocrates, contre l'ordonnance du tribunal de première instance de Cotonou, ayant annulé le parrainage de Michel Sodjinou. ». Les Démocrates, principal parti d'opposition, se voit ainsi privé, dans l'état actuel des choses, de participation à l'élection présidentielle, qui aura lieu l'année prochaine. « La Cour constitutionnelle, précise le journal béninois la Nation, a considéré que le litige en cause, ne relevait pas de la Constitution, mais du droit commun. » Ce qui, nous explique la Nouvelle Tribune, constitue « un précédent : désormais, tous les différends internes liés aux parrainages ne relèvent pas nécessairement du contentieux électoral ». C'est jeudi, également, « que la Céna, la commission électorale, a publié la liste provisoire des candidats », relate de son côté Banouto. « Sur les cinq duos de candidats ayant déposé leur dossier de candidature, explique le site d'information béninois, seuls deux duos sont provisoirement validés. » Soit celui de la majorité présidentielle et celui du parti d'opposition FCBE. L'attente au Cameroun Le Cameroun attend toujours les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre, qui devraient être connus lundi prochain. Et la tension est palpable sur le terrain. Le Journal du Cameroun explique ainsi que les habitants de la population de l'Adamaoua, « ont pris le relais des manifestations qui secouent les deux autres régions septentrionales du pays depuis quelques jours ». « À moto comme à pied, précise le Journal du Cameroun, des groupes de personnes se déplacent en scandant le nom d'Issa Tchiroma Bakari », soit le candidat de l'opposition qui s'était déclaré vainqueur, prenant tout le monde de court. « Certains parents ont retenu les enfants à la maison, tandis que d'autres ont encouragé les leurs à aller à l'école, relate encore le Journal du Cameroun. Les responsables d'établissements scolaires n'avaient pas suspendu les cours, en raison du fait que rien ne présageait des tensions ». Issa Tchiroma serait lui-même inquiet, selon Actu Cameroun : « Je reçois des informations qu'un assaut musclé se prépare contre moi, a-t-il déclaré. Tout ça pour Tchiroma ? Allez-vous lancer un assaut contre tout le peuple camerounais ? », a-t-il demandé sur les réseaux sociaux. Disparition inquiétante Enfin, Afrik.com s'interroge sur un probable nouveau naufrage en Méditerranée. « La disparition en mer de 44 migrants partis de Dakhla : l'inquiétude grandit face au silence des autorités, annonce Afrik.com. Quarante-quatre personnes, dont des femmes et des enfants, sont portées disparues depuis près d'un mois, ils avaient quitté la côte sud du Maroc, dans l'espoir de rejoindre les îles Canaries », ajoute le site d'information panafricain. « Les familles, désespérées, interpellent les autorités marocaines et espagnoles. Elles appellent à lancer une opération de recherche urgente ». Dans la pirogue, se trouvaient 27 marocains, dont trois femmes et deux enfants. Il y avait également « 17 ressortissants d'Afrique subsaharienne ». Plusieurs associations de défense des migrants sollicitent « l'intervention du Conseil National des Droits de l'homme, du Croissant Rouge marocain et de la Croix-Rouge internationale. » Et Afrik.com d'ajouter : « Selon l'Organisation Internationale pour les Migrations (OMI), la route des Canaries est un couloir mortel vers l'Europe », plus de 2 000 personnes ont disparu sur cette route depuis 2020.
C'est le titre affiché à la Une de la Nouvelle Tribune, qui précise que la Cour constitutionnelle avait été saisie « par le député Abdel Kamel Ouassagari et plusieurs autres élus du parti Les Démocrates, contre l'ordonnance du tribunal de première instance de Cotonou, ayant annulé le parrainage de Michel Sodjinou. ». Les Démocrates, principal parti d'opposition, se voit ainsi privé, dans l'état actuel des choses, de participation à l'élection présidentielle, qui aura lieu l'année prochaine. « La Cour constitutionnelle, précise le journal béninois la Nation, a considéré que le litige en cause, ne relevait pas de la Constitution, mais du droit commun. » Ce qui, nous explique la Nouvelle Tribune, constitue « un précédent : désormais, tous les différends internes liés aux parrainages ne relèvent pas nécessairement du contentieux électoral ». C'est jeudi, également, « que la Céna, la commission électorale, a publié la liste provisoire des candidats », relate de son côté Banouto. « Sur les cinq duos de candidats ayant déposé leur dossier de candidature, explique le site d'information béninois, seuls deux duos sont provisoirement validés. » Soit celui de la majorité présidentielle et celui du parti d'opposition FCBE. L'attente au Cameroun Le Cameroun attend toujours les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre, qui devraient être connus lundi prochain. Et la tension est palpable sur le terrain. Le Journal du Cameroun explique ainsi que les habitants de la population de l'Adamaoua, « ont pris le relais des manifestations qui secouent les deux autres régions septentrionales du pays depuis quelques jours ». « À moto comme à pied, précise le Journal du Cameroun, des groupes de personnes se déplacent en scandant le nom d'Issa Tchiroma Bakari », soit le candidat de l'opposition qui s'était déclaré vainqueur, prenant tout le monde de court. « Certains parents ont retenu les enfants à la maison, tandis que d'autres ont encouragé les leurs à aller à l'école, relate encore le Journal du Cameroun. Les responsables d'établissements scolaires n'avaient pas suspendu les cours, en raison du fait que rien ne présageait des tensions ». Issa Tchiroma serait lui-même inquiet, selon Actu Cameroun : « Je reçois des informations qu'un assaut musclé se prépare contre moi, a-t-il déclaré. Tout ça pour Tchiroma ? Allez-vous lancer un assaut contre tout le peuple camerounais ? », a-t-il demandé sur les réseaux sociaux. Disparition inquiétante Enfin, Afrik.com s'interroge sur un probable nouveau naufrage en Méditerranée. « La disparition en mer de 44 migrants partis de Dakhla : l'inquiétude grandit face au silence des autorités, annonce Afrik.com. Quarante-quatre personnes, dont des femmes et des enfants, sont portées disparues depuis près d'un mois, ils avaient quitté la côte sud du Maroc, dans l'espoir de rejoindre les îles Canaries », ajoute le site d'information panafricain. « Les familles, désespérées, interpellent les autorités marocaines et espagnoles. Elles appellent à lancer une opération de recherche urgente ». Dans la pirogue, se trouvaient 27 marocains, dont trois femmes et deux enfants. Il y avait également « 17 ressortissants d'Afrique subsaharienne ». Plusieurs associations de défense des migrants sollicitent « l'intervention du Conseil National des Droits de l'homme, du Croissant Rouge marocain et de la Croix-Rouge internationale. » Et Afrik.com d'ajouter : « Selon l'Organisation Internationale pour les Migrations (OMI), la route des Canaries est un couloir mortel vers l'Europe », plus de 2 000 personnes ont disparu sur cette route depuis 2020.
durée : 01:27:30 - En pistes ! du mercredi 22 octobre 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Que vous préfériez le printemps ou l'hiver, vous découvrirez ce matin le nouvel enregistrement de l'oratorio "Les Saisons" de Joseph Haydn, par le chef Jordi Savall. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:27:30 - En pistes ! du mercredi 22 octobre 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Que vous préfériez le printemps ou l'hiver, vous découvrirez ce matin le nouvel enregistrement de l'oratorio "Les Saisons" de Joseph Haydn, par le chef Jordi Savall. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'administration Trump intensifie ses efforts diplomatiques pour consolider la première phase du fragile cessez-le-feu à Gaza et aborder les sujets sensibles des phases à venir, comme l'administration et la reconstruction de ce territoire ravagé par deux ans de guerre. En visite à Jérusalem, le vice-président américain J.D. Vance reconnaît qu'il sera très difficile de désarmer le Hamas et de reconstruire le territoire palestinien. Entretien avec Amélie Férey, chercheuse à l'Institut français des relations internationales, responsable du Laboratoire de recherche sur la défense et auteure du livre Les Mots, armes d'une nouvelle guerre (éditions Le Robert).
Vous l'avez sûrement remarqué : la course à pied est plus tendance que jamais. On croise de plus en plus de coureurs, seuls ou en groupe… En 2025, 12,4 millions de Français déclarent courir, selon un Observatoire de l'Union Sport & Cycle. Ils n'étaient que 6,6 millions en 2000. Soit… près du double. Mais alors que les femmes représentent aujourd'hui 48 % des coureurs en France, elles pratiquent ce sport encore trop souvent avec des chaussures inadaptées à leur morphologie et à leur pratique. Résultat : inconfort, blessures, performances limitées. Pourquoi ces chaussures ne sont-elles pas conçues pour elles ? Aucune marque ne propose de modèle pensé pour les femmes ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Pourquoi les objets du quotidien ne sont-ils pas pensés pour les femmes ? Sexisme : comment internet creuse-t-il les inégalités hommes femmes ? Pourquoi considère-t-on les femmes comme une minorité, alors qu'elles sont plus nombreuses sur Terre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:28:59 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Plus de 20 ans déjà que la recette "Kaamelott" fonctionne et continue d'enthousiasmer ses spectateurs ; quatre ans après la sortie du premier volet sur grand écran, Alexandre Astier et sa troupe de chevaliers reviennent pour un deuxième volet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Alexandre Astier Auteur, scénariste, metteur en scène, réalisateur, acteur
Le mercredi 17 septembre, une petite fille de 3 ans est rentrée seule chez elle depuis son centre de loisirs de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, où elle avait passé la journée. Soit un trajet de vingt minutes de marche. Elle aurait échappé à la surveillance des animateurs à la sortie. Depuis plusieurs mois, les cas de négligence, de maltraitance et les affaires d'abus sexuels impliquant des animateurs périscolaires se sont multipliés. En France, la loi permet qu'une équipe d'animateurs soit composée de 20% de personnes non qualifiées, et depuis plusieurs mois, le recrutement des animateurs est remis en cause. Cet épisode de Code Source revient sur les défaillances de recrutement et les abus dans le périscolaire avec Victoire Haffreingue-Moulart, journaliste au pôle fait-divers et Vincent Mongaillard, journaliste au pôle reportage du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux, et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Pierre Rondeau, économiste. Et Élise Goldfarb, entrepreneure. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Ottawa investira 25 millions $ sur deux ans pour soutenir l’abattage rituel judaïque et islamique ainsi que la production de viande casher et halal. Une décision qui ravive le débat sur la place du religieux dans l’espace public. Des membres du Rassemblement pour la laïcité s’inquiètent de la multiplication des menus halal imposés dans certaines garderies et écoles du Québec, sans consultation des parents. Entrevue avec Fatima Aboubakr, membre du Rassemblement pour la laïcité et directrice d’une garderie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
durée : 00:03:04 - Le journal de 7h30 FB Occitanie - Une infirmière libérale a subi une agression sexuelle d'une grande violence chez un patient à Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne). Et ce drame n'est pas un cas isolé. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
10 ans après Trudeau. La peur de la souveraineté. Le bordel sur nos routes. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cette semaine, je reçois Laureen, fondatrice de HappyCherisKids. Enseignante, maman de trois enfants et passionnée de découvertes, elle a fait du voyage un véritable outil éducatif. Pour elle, chaque destination est l'occasion d'ouvrir un peu plus les horizons de ses enfants, de nourrir leur curiosité et de leur donner confiance en eux.Laureen nous partage sa vision du voyage en famille : pourquoi c'est bien plus qu'une parenthèse dépaysante, comment les enfants grandissent à travers les rencontres et les découvertes, et de quelle manière le voyage peut transformer le quotidien une fois de retour à la maison. Elle revient aussi sur ses expériences marquantes : le choc culturel au Maroc, l'émerveillement en Thaïlande, la richesse historique de Londres, mais aussi et surtout son amour pour l'Ile Maurice.Elle nous livre ses adresses coup de cœur pour vivre l'île autrement, entre plages fréquentées par les locaux et expériences hors des sentiers battus.On parle aussi organisation, équilibre entre rythme d'adulte et rythme d'enfant, astuces pratiques pour voyager sereinement, mais surtout de cette conviction profonde : le voyage n'est pas réservé aux grands aventuriers ou aux tours du monde. Même un court séjour peut être une aventure formatrice, tant qu'on y met de l'ouverture et de l'envie.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Laureen : éduquer par le voyage et vivre l'île Maurice autrement" sur votre plateforme de podcasts préférée.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Margaux Serrano, commissaire-priseur spécialisée dans l'expertise et la vente aux enchères d'objets d'art, d'antiquités, de bijoux et de mobilier de prestige - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
‼️A quelques jours du départ de sa prochaine transat Café l'or ⛵️entre le Havre et La Martinique, j'ai eu la chance d'accueillir au micro de #Belletrace le capitaine Crochet, Damien Seguin
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
How often do you say, “I don't have time?” This is a common excuse we hear from property management business owners and their teams. The truth is, we all have the same amount of time. In this episode of the #DoorGrowShow, property management growth experts Jason and Sarah Hull discuss the myth of not having enough time and the true issue: having the wrong priorities. You'll Learn [01:28] Time: The Biggest Excuse for Staying Stagnant [06:02] You Don't Make Money on Bad Clients [10:20] Building Trust with Clients Without Overcommunicating [19:35] Finding the Bottleneck in Your Business Quotables “Don't optimize for the wrong things. You have to make sure you're optimizing for the right things.” “We all have the same amount of time every day.” “The issue is not time. The issue is priorities.” Resources DoorGrow and Scale Mastermind DoorGrow Academy DoorGrow on YouTube DoorGrowClub DoorGrowLive Transcript Jason Hull (00:00) most of you listening have some properties and some owners in your portfolio that are losing you money. Your operational cost on them is higher than you being able to pull profit on them. All right, we are Jason and Sarah Hull, the owners of DoorGrow, the world's leading and most comprehensive coaching and consulting firm for long-term residential property management entrepreneurs. For over a decade and a half, we've brought innovative strategies and optimization to the property management industry. At DoorGrow, we have spoken to thousands of property management business owners, coached, consulted, and cleaned up hundreds of businesses. helping them add doors, improve pricing, increase profit, simplify operations, and build and replace teams. At DoorGrow, we believe that good property managers can change the world and that property management is the ultimate high trust gateway to real estate deals, relationships, and residual income. At DoorGrow, we are on a mission to transform property management, business owners, and their businesses. We want to transform the industry, eliminate the BS, build awareness, change perception, expand the market, and help the best property management entrepreneurs win. Now, let's get into the show. All right, so what are we chatting about today? Sarah? Time. Time. Time. Why are we chatting about time? And this is where most people mess it up because it's so precious here's the little captain's face It's precious. Okay, Captain for those listening is a little dog that we have. It's one of our dogs. Okay, so the reason we're talking about time is because time is one of the biggest excuses that we get. Are you working and growing your business? I just don't have time. Or have you been making the calls that you need to make to get your business growing? I don't have time. I'm so busy. I'm so overwhelmed. And so it's everybody is out of time. Nobody has time. Nobody's so busy. There's a meme that it's old, but it's like classic. Ain't nobody got time for that. Ain't nobody got time for that? Yes, you do. So time, time is an issue. Why is time an issue? We all have the same amount of time every day. We get a whole new 24 hours the next day, every day. The issue isn't time. And we've talked about this, think, before, but the issue is not time. The issue is priorities. You're prioritizing the wrong things. And one of the things we've noticed with clients. We just recently wrote for our clients a time optimization playbook for property managers. It's got some brilliant stuff in it. A lot of it from her brain, some of it from my brain, and it's really good. But one of things we've noticed, Elon Musk has these principles for how he goes and optimizes businesses. He's made businesses way more efficient. When he came into Twitter and rebranded it to X he cleaned house, thousands of wasteful employees that were just bloat and not really contributing to code, not really updating it. One of his key principles is don't optimize for the wrong things. You have to make sure you're optimizing for the right things. And a lot of people are optimizing when they should have been cutting stuff out first. So they didn't ask the question, should we even be doing this thing at all? And most property managers we find are optimizing for the wrong thing. They are optimizing for how do I take every phone call from every tenant and how do I take every phone call from every owner and how do I please everybody and do all this stuff that I have to do instead of what? Instead of saying, should I even be talking to these people at all? Your owners don't really want to talk to you. They really would love if they could just trust you to do your job and do it well and not have to talk to you. Like that's really what owners want. When they feel anxious because they don't trust you because you aren't doing a good job or you've set incorrect boundaries or you haven't made them feel safe from the beginning or you onboarded them poorly, they now feel anxious. They want to talk to you all the time because why? They now believe they need to manage the manager. They're trying to manage you. How ridiculous is that? They hire you to manage their property and then they manage you to manage the property. They just traded their job for another job instead of offloading it to you. so we need to optimize for the right things. And so we need to start questioning things. And so some of the things we'll have people do is we'll have them audit their time by doing a time study. And ours is a little bit different. It focuses on identifying the five currencies of time, energy, focus, cash, and effort, which is a framework I got from one of my mentors, Alex Charfen. And so the idea of the time study showcases all of these. It shows all of these. Sarah's, used to say it didn't show cash, but Sarah was like, you should add cash. And so now it has the money piece in it too. just said. You're trading your time. Right. And this is thing I to my clients all the time. I say, if your time was worth, let's just call it a low amount like $50 an hour, you just traded $50 an hour for $13 an hour. It was not a good trade. Yeah. Of course it wasn't. Not a good trade at all. were you doing those things? Instead of using $50 an hour time to do $50 or $100 or $1,000 an hour work, you're using $50 an hour time. to do $13 an hour work, you have to just look at the things that you're doing and place a dollar sign next to them and then kind of compare that with what your pay rate is and what you want your pay rate to be, not just what it currently is. So I just said, just put a dollar sign next to them. And we did. We updated it. So you might be thinking, how do I deal with all my tenants and all my clients? And maybe you should be asking Should I even have all of these tenants, properties, and clients? After all, a lot of our clients, when they first come to us, are not making money on every property. They're losing money on some of the properties. They're losing money on some of the owners that they're dealing with. If you actually ran a P &L, a profit and loss statement on every individual owner, every individual unit that you manage, some of them in your business are losing you money. Would you manage for free? Would you do it for free? People came to you, hey, could you do this? You won't make any money, but I'd like you to manage this anyway. I'll pay you nothing. You would probably say no to that, right? If they came to you and said, hey, I would like you to manage this and you will actually lose money, but it benefits me. Would you do it? You're like, Jason, that's stupid. But right now, most of you listening have some properties and some owners in your portfolio that are losing you money. Your operational cost on them is higher than you being able to pull profit on them. And so it's the 80-20 principle. 20 % of your properties and 20 % of your owners probably cost you 80 % of your operational costs, right? They're eating it up. So one of the principles we share recently, we've been sharing at some of our Jumpstart sessions because we onboard clients in person. We have them come out to our Jumpstart sessions is this idea of, well, do you remember? The Hamburglar. Do remember the Hamburglar? The sneaky, shady guy with the bands and over his like this little thing around his eyes and he's sneaking around stealing burgers, right? Well, there is a burglar sneaking around your business and you can't even see him. He's invisible. And he is the interruption burglar. He's just sneaking around stealing money and time throughout your business all day long. the interruption burglar. One interruption costs between, depending on the studies, you look at 18 minutes to maybe up to 26 minutes of productivity and your team members and you are getting interrupted constantly throughout the day. And then they have to like reset their mind, get back into the flow, get back to what they were doing. But if they're just dealing with interruptions all day long, you are losing probably half the amount of labor that you should be getting. This is why Sarah was able to run her business so efficiently when she was a property manager and why some of her clients have just as many doors as her, but they have a whole team. A huge team. Yeah. They have a whole bunch of people. Between me and my assistant. And they're not making much money. I didn't even have one full-time equivalent. And you were working maybe 20 hours a week. You had 60 to 90 % profit margin. And these were C-class difficult properties, right? But Sarah optimizes. She optimizes for the right things. I hate wasting my time. Yeah, she values her time. biggest pet peeve out of everything in the world is wasting my time. So Sarah values her time. One thing Sarah did not give out, Sarah did not give out this magical check that all of you tend to give out to all of your clients and your tenants. This is this big, giant, glowing golden check that says, steal all of my profits, call me anytime. And you give this to tenants, every tenant and owner, you give them this blank check to steal all of your profitability. I had a client come to me once with 600 units and he was making zero dollars in his business. How is that possible? That's exactly what I asked him. said, there's a previous podcast episode, you can check it out. It's with Preston Brown. I think he was out in New Mexico and he had 250 units that probably they shouldn't been in his portfolio out of the 600. He fired them. It's almost half. Then he fired half of his staff. Now you think, oh, maybe his workload, his got kind of half. No, it went down dramatically like 80-20 rule. Like he had way more profitability available. He was making a lot of money then. He had a healthy business. So It's not just about doors. It's about profit. It's about optimizing for the right things. There's no point going and getting more doors if your pricing is terrible, if your time is messy, if you don't have priorities set correctly. Okay, so what else do we run into with clients with time that we'd like to share here with the audience? I think the biggest thing that they tell themselves is just, I'm so busy. Yeah. piece of the business they're focused in, they always just say, my God, like I'm just so busy and I can never get everything done. That seems to be the thing that we hear again and again and again. I mean, we even had, he's a former client, but he had asked me several times. We were actually helping him implement his daily huddles after he hired a new team because he completed an acquisition. And he said, okay, what we're gonna track on the daily huddles. He wanted a 98 or 97 % call answer rate. Optimizing for the wrong things. And I went, okay, I won't say his name, but I said, that's the worst idea I've ever heard. And he's like, no, it's really important that we answer the phone every time that it rings or almost every time that it rings. Because if we don't answer the phone, then people won't trust us because they can't get ahold of us. And then that shatters everything that I'm trying to do and everything that I'm trying to build. And I think the big misconception is that those two things go hand in hand. For people to trust me, I must always be available. For people to trust me, I must be at their beck and call. For people to trust me, I must get back to them immediately. Okay, well some are freaking out right now. Some are going, I don't believe what Sarah's saying. Because the number one reason in most studies why people supposedly, why they leave property management companies is a lack of communication or poor communication. Correct. But I think that's a red herring. You can over communicate, and we've had clients do this too. So you can over communicate. You can tell your clients every little single thing that you are doing in whichever method or manner you feel like is appropriate. So you can call them, you can text them, you can send them emails, you can have your system automatically send them notifications. You can do whatever, but you can tell them, we did this today, and we did that today, and we did this many showings, and we got this many leads, and we're working on this many applications, and this 10 a call, and we did this, and this, this, this, this, this. Can we agree that that is excellent communication? Sure. Do you think that doing that though makes somebody more likely to trust you? I would argue that it doesn't. I would argue that it makes them less likely to trust you. And the reason is because you're inviting them to babysit you. You're inviting them to be a watchdog. You're inviting them to question you and want to micromanage and monitor. And go, ⁓ what is Jason doing today? What did Jason do on my property today? How many of my tenants did Jason talk to you today? ⁓ What about how many showings did Jason do today and then if all of a sudden? Well, why wasn't there a showing at my property today Jason? I don't understand now. It seems like he's not doing anything, right? So you're you're training people the wrong way by over Communicating with them and you are teaching them to not trust you because they are inherently Question you So I love this because the idea in these surveys and a lot of people at NARPM and people in property management have said, communication is key. We answer the phone, which is cool. Answer the phone. You still don't need to optimize for reducing the phone calls. How do we eliminate as many as possible? And so I think it's a red herring. I think it's a false idea that communication is the number one reason because there's something that comes before communication. and that is you set bad expectations, you set poor boundaries, that leads to anxiety in the tenants and the owners, and then communication becomes this crazy thing that they need more of instead of being able to trust you. The lack of trust is the real problem. It's not communication. There's plenty of investors out there that have good property managers that do not want to talk to them ever. I just had Dustin Heiner on a previous episode of our podcast. Very savvy investor. Every investor listening to this should probably listen to that guy, a really good friend of ours. He goes and finds a property manager first before he finds a property and he says, I will even pay them a little bit more if I have to because I don't want to ever have to talk to them. I don't want to have to deal with the property. I want to be able to trust them to do job so I can just live my life. He wants it to be passive. He's a good investor. You're creating bad investors and you're making them anxious by not setting healthy boundaries and setting expectations and making sure that they can trust you. And so they trust you less and less over time because they're anxious. And then what happens? Then they have to and call more and more and they have to babysit more and more. And then they have to watch over your shoulder and then they want more reports and then they want more communication. then it's this constant. And then you have to hire more people. Now they need more. And now that they've had more, now that they're more anxious and they trust you even less, now they want more of that. And you're just getting in this cycle that's eventually going to be the death of you and your team and perhaps your entire business. It gets worse because yeah, you have to build out this whole team of people you don't even need. You hire a bunch of extra people and these people are not, like if you're hiring that many people, you can't afford to pay them all super well. So you're not getting the most amazing people. And these are the frontline people that are dealing with your tenants and owners. And then they're frustrated with them because they don't have all the answers and they don't sound confident and competent. And so then they want to talk to you. And so you're getting escalations constantly. And so now you're having to talk with them even more to calm down the anxiety because Susie at the front desk had no clue what they were talking about. And then all of a sudden you have this whole team that's not capable of running the business without you. So now everything is still coming to you, but you're paying everybody to do things and it doesn't matter because they do things, they fail, people aren't satisfied and they still go, yeah, but I'm still putting out all the fires all day. You're right, you are. And that's because of how you are training people. And you know you have the wrong team if one of your key questions is, why won't my team just think for themselves? If you constantly are asking that question, why won't they just think for themselves? It's because you. have bad leadership. You've set it up incorrectly and you have not created the right team. You've built the wrong team around the wrong person. You're showing up as the wrong person. You're over involved and you have not been able to create, but you created the wrong environment. And that started with picking, know, setting up the game incorrectly with tenants and owners and not setting good boundaries and not setting good expectations. And it doesn't even mean that you have bad clients. No. It doesn't mean you have bad clients. You're making them bad. bad properties, doesn't even mean that you have bad tenants, it just means that you're training them to treat you that way. And you're allowing them to treat you that way. And then you're wondering why it's so hard to manage them and why everyone goes, Sarah, how is it possible that you ran 260 units and you were part time? I just don't understand how it's possible. And most people wouldn't understand how it's possible because they're making so many mistakes. with their time and throughout their entire day, that almost the entire day, I would be willing to bet that about 80 % or more of the average property manager's day is bullshit. Yeah. Complete bullshit. So that's why when you're spending most of your day doing stupid things, yeah, no wonder why I can outwork you. And it's not even hard to do. It's just hard when you're trying to do everything. And it's hard when you're not training your team, your clients, your tenants. They're all like puppies. You just, have to train all of them. If you want a dog that's going to go to the bathroom outside, you've got to train it. If you want an owner that's going to trust you and not question you and not consistently bother you and wonder what's happening on my property today, you've got to train them to do that. And some of them may have come to you with those intentions. And then because of how your system is set up, you broke that. And now they're just used to, okay, well, they're gonna tell me every day or every once a week. Now I'm gonna get on a phone call once a week. Here's our weekly call. Here's my weekly email. Yeah. There's several other things related at a time. One that I'll... related to what Sarah's talking about is if your goals are too low, like your goal right now is a shitty goal, like your goal is survival, or how do I just deal with all this time? That's an awful goal. That goal yields really terrible results. That's not a goal that's going to get you to think differently. It's not a goal that's going to get you to innovate or find a better path or to be able to grow and scale dramatically faster. That's a really low level goal. And so it doesn't raise the floor high enough. And so you're dealing with all this low level garbage in your business. And that relates to priorities. Time is not, everybody has the same amount of time. It's not about time. It's about prioritization, as we mentioned at the beginning. And so you are intentionally filling your, uses a golf ball analogy. Do you want to share that? No. No. Okay. Well, I'll just, but basically you're filling up, you're filling up your day with all of the riff raff and the little stuff instead of prioritizing the main thing. And so I'll share this. You need to figure out what your biggest bottleneck is. Anything other than that, there's only one bottleneck in your business. There's always one. It's one at a time. That's your biggest constraint is the bottleneck. And you have to always focus on what is the bottleneck that I need to be dealing with right now. I recently heard Alex Hermosy talk about this and there's lots of different leaks and lots of different constraints in the business, but You need to figure out where is the biggest bottleneck. That's the priority. You need to prioritize the right things. Right now you're prioritizing the wrong things. Go back, find a previous episode where I talk about the six core functions of business. That will help reveal to you which of those six is the priority. And then you can figure out where's the bottleneck inside of that area of the business, that constraint. These are like six children you need to feed and take care of. And I guarantee you've got your fat healthy favorite. You keep shoving. food down its throat, and then you've got the other kids that are starving, emaciated, sitting in the corner that you're neglecting. And that means you're not prioritizing the right thing in the business. You're being a bad steward over your own business. And so you've got to make intelligent decisions based on where's the constraint, where's the bottleneck. And that's how you should prioritize your time. And the rest has to fit elsewhere. And you need to set boundaries for your own time because you're not productive. as often as you're working if you're working a ridiculous amount of hours. Some of your hours are probably a tenth as productive as some of your early morning hours where you're sharp and you're working on things effectively. And so it's not about more time. It's about prioritizing and it's about being more productive and more effective. Some say working smarter instead of harder. And so if you would like to do that, reach out to Sudorgo. We can help you with that. little bit more about bottlenecks and speaking of bottlenecks, a lot of property managers they end up telling us that maintenance is probably I would say arguably the biggest bottleneck in their entire business because everyone seems to struggle with maintenance and unfortunately it is part of being property manager but it's definitely the most time-consuming yeah What if you could cut that workload by up to 85 % and even some of our clients have gotten up to 95 % automation for their maintenance coordination? that's exactly what Vendoroo has achieved because they've leveraged cutting edge AI technology to handle nearly all of your maintenance tasks. That's right. From initiating work orders and troubleshooting to coordinating with vendors and reporting, the AI doesn't just automate, it becomes your ideal employee. It learns your preferences and executes tasks flawlessly, never needing a day off and not quitting. This frees you up to focus on the critical tasks that really move the needle for your business, whether that's refining your operations, expanding your portfolio, or even just taking a well-deserved break because we all need one of those. Over half the room at last year's DoorGrow Live conference signed up with Vendoroo right then and there. One year later, they're not just satisfied. They're raving about how Vendoroo has transformed their business. Don't let maintenance drag you down. Step up your property management game with Vendoroo. You can visit vendero.ai slash door grow. That's vendero.ai slash door grow today to make this the last maintenance hire that you're ever going to need. All right. There's the word from the sponsor. Okay, so yeah, there's a lot of different time hacks that we could get into. You know, we help coach clients on this all the time. It's always this constant excuse, oh, I don't have time to work on growing my business. If your business isn't growing, it's dying. And if you're just burning yourself out on the hamster wheel, thinking you're making progress, but you're not, and there's no focus on growth, that's a really stressful drain. That's a really terrible goal. That's a survival goal. We've got to get you dreaming bigger. We've got to get you seeing bigger. We've got to get you prioritizing better. We've got to get you eliminating a lot of stuff that you're prioritizing and that you're optimizing for that doesn't even need to exist. There's a lot of work in your business right now that doesn't even need to exist. It's just being created because of bad boundaries and bad set up. If you'd like some help with this, reach out to us at DoorGrow. Anything else you want to add about time? I would say time is not something that you feel like you have a plethora of as a property manager. Then that tells me there are some shifts that you can make, relatively simple shifts that you can make in your business. I will admit I was bored as a property manager. Yeah. Running. 260 C-class properties, I was part-time. I was bored. That's why I'm here at DoorGrow That's how I convinced her. I was like, you got some time? Come help us optimize things Most property managers don't say that they're bored throughout the day and don't go, geez, what am I going to do for the next eight hours? I have no idea what to do. If you would like to figure out how you can run your business in only a few hours a week, that's definitely something I can help you with and it's super fun for me. I like helping people optimize their time because I know that I can make you a lot more money. And that's exciting for me. I like making people more money. So if that's something that you're struggling with, and if you feel like, hey, I would really love to learn how I can be a part-time property manager, making a lot of money and not pulling my hair out, not hitting my life, then contact us. We can chat with you. our sales team would be very happy to answer any questions that you might have. this is one of the biggest things that we can do for you here at DoorGrow is clean up your time and then you get to use that time to make more money, yeah. To make more money. Perfect. So if you feel stuck, stagnant, you want to take things to the next level, visit us at doorgrow.com. Also join our free Facebook community. You can get to that by going to doorgrowclub.com. We only let in business owners and property management companies. 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durée : 00:53:44 - Et je remets le son - par : Matthieu Conquet - Le duo Stromae et Paul Kalkbrenner nous sert de titre pour une émission pleine de nouveautés : Belin, Isha et Limsa, Clipse, Yasmine Hamdan... On parle aussi des sorties de Salif Keïta et de la réédition de l'album indispensable de Brigitte Fontaine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec Fouad Hassoun, Sr Ludgar Rahme, directrice de l'école Notre Dame du Rosaire à Abdine, et Vanessa
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Alors que le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu mène d'ultimes négociations jusqu'à mercredi soir à la demande d'Emmanuel Macron, le PS réclame un Premier ministre issu de la gauche et LFI tente de convoquer ce mardi matin une réunion des composantes fondatrices de la Nupes et du NFP. Manuel Bompard, coordinateur national de LFI, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 07 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Nous sommes aujourd'hui le vendredi 26 septembre.Je me mets en présence... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Scarborough Fair de Traditional interprété par Healing Muses - Dolce Musica - A contemplative journey © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes ; O digne es tu de Communauté du Chemin Neuf interprété par Communauté du Chemin Neuf - Ateliers du Chemin Neuf - CD10 © Communauté du Chemin Neuf.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Doctors often use euphemisms to dance around the 'C' word. But for oncologist Dr Ranjana Srivastava, how you talk to someone with cancer goes beyond "shadows, lumps and lesions". It's all about compassion and clarity, even when honesty is difficult.Ranjana Srivastava was a young doctor in regional Australia, accompanying her consultant on his late night rounds when she heard a patient say something that stopped Ranjana in her tracks.It was in that moment that she finally knew what her speciality was going to be: oncology. Ranjana now works in Melbourne as an oncologist and an author.She often writes about the need for clarity and compassion in doctor-patient conversations, to deliver good news, bad news and everything that falls between.Ranjana had her own experience of being at the receiving end of devastating news when she was pregnant with twins.Ranjana has carried the lesson she received from her own doctor forward, into her work as an oncologist, where bearing witness to the attitudes of her patients has changed the way she sees the world and has helped put her own life in perspective.Further informationRanjana's latest book, Every Word Matters, is published by Simon & Schuster.She has published seven books about cancer and end of life care, including A Better Death, Tell Me the Truth, Dying for a Chat, So It's Cancer: Now What, and After Cancer: A Guide to Living Well.Ranjana also writes a regular column for The Guardian.In 2017, Ranjana was awarded an Order of Australia medal for her work as an oncologist and in improving doctor-patient communication.This episode of Conversations was produced by Meggie Morris. Executive producer is Nicola Harrison.It explores cancer, oncology, the big C, cancerland, breast cancer, bowel cancer, how to survive cancer, incurable cancer, end of life care, palliative care, honest doctors, refusing treatment, chemotherapy, radiation, how to be honest with patients, doctor patient relationship, geriatric oncology, India, migration, motherhood, late term miscarriage, pregnancy, writing, books, origin story, journalism.To binge even more great episodes of the Conversations podcast with Richard Fidler and Sarah Kanowski go the ABC listen app (Australia) or wherever you get your podcasts. There you'll find hundreds of the best thought-provoking interviews with authors, writers, artists, politicians, psychologists, musicians, and celebrities.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.