Podcast appearances and mentions of georg friedrich haendel

Que fêtent les Juifs au moment de Pessah ? Pourquoi mangent-ils du pain sans levain et des herbes amères ? Quel est le lien entre la fête juive de "Pâque" et la fête chrétienne de "Pâques" ?Réponse avec Coldplay, Whitney Houston & Mariah Carey, Georg Friedrich Haendel et Andy Williams !Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:03:48 - La Sarabande d'Haendel : l'originale et la contrebande - par : Max Dozolme - A l'occasion du 340e anniversaire de Georg Friedrich Haendel, Max Dozolme se plonge dans la Sarabande de Haendel et ses reprises plus ou moins heureuses, au cinéma comme dans le rap !

durée : 00:27:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, du théâtre : "Une maison de poupée" d'Henrik Ibsen dans une mise en scène d'Yngvild Aspeli et Paola Rizza et "Orlando", opéra en trois actes de Georg Friedrich Haendel mis en scène par Jeanne Desoubeaux. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Zoé Sfez Productrice de La Série musicale sur France Culture; Marie Sorbier Rédactrice en chef de I/O et productrice du "Point Culture" sur France Culture

*Rediffusion de l'émission du 03/04/18* Béatrice évoque Georg Friedrich Haendel (1685-1759), compositeur qui marque l'apogée de la musique baroque.

Welkom in het programma Klassiekuur, waar wij u zullen vergasten met gezangen van Claudio Monteverdi in het teken van Johannes de Doper. Andere barokke toondichters in deze uitzending zijn: Georg Friedrich Haendel met een 3-delig ‘Concerto Grosso’ en Antonio Vivaldi met een 3-delig vioolconcerto. Tussenin hoort u nog anoniem werk, een traditional en werk van […]

durée : 01:28:22 - En pistes ! du mardi 18 juin 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Ce sont les compositeurs choisis par Emilie et Rodolphe ce matin : Francis Poulenc, Franz Schubert, Arcangelo Corelli, Georg Friedrich Haendel, Maurice Ravel, Claude Gervaise, Didier Lupi Second, Ottorino Respighi et Giuseppe Verdi. En pistes !

durée : 01:28:25 - En pistes ! du lundi 03 juin 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Emilie et Rodolphe ont sélectionné quelques unes de leurs œuvre pour vous ce matin : Jean Françaix, Paul Taffanel, Claude Debussy, Jean-Sébastien Bach, Franz Schubert, Edward Elgar, Georg Friedrich Haendel, mais également Aram Khatchatourian, Richard Strauss et Rezső Kókai. En pistes !

Feuilleton "Tu t'appelles comment ?" de Valentine Jongen, qui décline un prénom en musique à travers le temps et les styles. Dans cet épisode : Georges. Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 11h30 à 13h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

durée : 01:27:42 - En pistes ! du vendredi 26 avril 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Emilie et Rodolphe vous proposent de clôturer la semaine en compagnie de Sergueï Rachmaninov, Georg Friedrich Haendel, Dmitri Chostakovitch, Johannes Brahms, Melchior Neusidler, Hans Judenkönig et Joseph Haydn. En pistes !

durée : 00:58:53 - Une heure, un compositeur : Georg Friedrich Haendel - par : Aurélie Moreau - La vie de Haendel est celle d'un conquérant. Il compose à toute vitesse, comme en témoignent les manuscrits de ses partitions, écrits d'un seul jet et sans ratures. Son énergie exclut la banalité, et c'est probablement ce qui lui a valu l'admiration de Mozart et de Beethoven.

durée : 01:28:58 - En pistes ! du jeudi 14 mars 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - En ce jeudi matin, Emilie et Rodolphe vous proposent d'entendre les œuvres de Florence Price, Attilio Ariosti, Georg Friedrich Haendel, Francis Poulenc, mais également celles d'Alessandro Stradella, Erich Wolfgang Korngold et Antonín Dvořák. En pistes !

durée : 00:13:06 - Le Disque classique du jour du vendredi 16 février 2024 - L'ensemble Arcangelo, dirigé par Jonathan Cohen, nous propose sa version de Theodora, un oratorio en trois actes composé en 1749 par Georg Friedrich Haendel

durée : 01:28:41 - En pistes ! du vendredi 16 février 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Emilie et Rodolphe vous proposent de terminer la semaine aux côtés de Georg Friedrich Haendel, Florence Price, Philip Glass, Franz Schubert, mais également Matthew Locke, Georges Enesco et Joseph Haydn. En pistes !

durée : 01:28:23 - En pistes ! du lundi 05 février 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au programme de ce lundi matin aux côtés d'Emilie et Rodolphe : les œuvres de Benjamin Britten, Joseph Haydn, Edvard Grieg, Marin Marais, ou encore Charles Gounod, Franz Schubert et Georg Friedrich Haendel. En pistes !

durée : 01:27:16 - En pistes ! du lundi 29 janvier 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Emilie et Rodolphe vous ont concocté un programme pétillant pour débuter cette semaine : George Gershwin, Ludwig van Beethoven, Georg Friedrich Haendel, César Franck, Carl Philipp Emanuel Bach et Monsieur Ravet sont à l'honneur ce matin. En Pistes !

Hoy vamos a acercarnos a tres de los más grandes maestros del Barroco. Georg Friedrich Haendel, Johann Sebastian Bach y Antonio Vivaldi. Un maestro italiano que terminó sus días en Viena, y dos maestros alemanes pero que se empaparon del estilo italiano para enriquecer toda su manera de componer.En cualquier caso, tres maestros, tres genios de la música, Bach, Haendel y Vivaldi que llenaron con su obra un periodo de varias décadas y cuya música podríamos sin duda elegir si hubiera que retirarse con la compañía de tan solo tres grandes maestros.Escuchar audio

durée : 01:27:52 - En pistes ! du jeudi 07 décembre 2023 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - En ce jeudi matin, Emilie et Rodolphe vous ont concocté un programme qui met en lumière les œuvres de Reynaldo Hahn, Piotr Ilitch Tchaïkowsky, Luigi Cherubini, mais aussi Georg Friedrich Haendel, sans oublier le compositeur hongrois Béla Bartok. En pistes!

Dit is een uitzending die de H.H. Harten van Jezus en Maria muzikaal verrijkt en waarin de andere muziek ons “hartelijk” opvrolijkt, u van harte gegund. Voor muziek van “hart tot Hart” voorzien vandaag: de Benedictines of Mary Queen of Apostles, Claudio Monteverdi, Joseph Haydn, Silvius Leopold Weiss en Georg Friedrich Haendel.

L'œil est l'organe de la vision, sens qui permet de capter la lumière pour l'analyser et interagir avec l'environnement. C'est une des parties du corps les plus sensibles. D'ailleurs, généralement, la vue baisse avec le temps, c'est un processus naturel qui se manifeste avec l'apparition de la presbytie vers 40 ans. Lorsque l'on est concerné par ce problème, on se rend chez un ophtalmologue, mais attention, pas n'importe quel ophtalmo. Jean-Sébastien Bach et Georg Friedrich Haendel par exemple, ne vous auraient pas recommandé John Taylor en leur temps… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Deuxième épisode consacré aux Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet : La légende de l'homme à la cervelle d'or ! Une histoire mélancolique qui parlera à tous les rêveurs qui n'ont d'autre choix que de sacrifier leur richesse aux implacables nécessités de la vie. Le tout sur un Menuet de Georg Friedrich Haendel. Un grand merci aux personnes qui me suivent et m'encouragent ! N'hésitez pas à découvrir du contenu inédit sur ma page Tipeee : https://fr.tipeee.com/les-contes-du-soir/ Les Contes du soir est à écouter sur les principales plateformes de podcast : iTunes : http://apple.co/36pTf4B Spotify : http://spoti.fi/3kY5k4T Deezer : http://bit.ly/2LK3PLz Et à suivre sur les réseaux sociaux : YouTube : https://bit.ly/325dUau Instagram https://bit.ly/3n3DrKz Facebook : https://bit.ly/31cOyHJ

durée : 00:17:56 - Disques de légende du mercredi 28 septembre 2022 - Jules César en Egypte de Georg Friedrich Haendel dirigé par René Jacobs

In deze uitzending brengen wij u muziek uit heel uiteenlopende stijlen, van gregoriaans tot 20°eeuws en alle stijlen daartussen en toondichters van dienst zijn: Marco Frisina, Johann Sebastian Bach, Georg Friedrich Haendel, Felix Mendelssohn, Claudio Monteverdi, Joseph Haydn en Enrique Granados. Diversiteit is dus verzekerd.

In de galerij der componisten hoort u vandaag werk van: Franz Schubert, Johann Georg Pisendel, Georg Friedrich Haendel, Ludwig van Beethoven en Wolfgang Amadeus Mozart, naast nog een anonieme meester in Gregoriaanse zang. Religieus vocaal naast profaan instrumentaal, het brengt een mooi kleurenpalet.

In deze uitzending krijgt u heel divers luistermateriaal uit de concertzaal, de kerk, de opera en de filmwereld; met op de muzikale dis werken van Michael Lorenc, Giovanni Paisiello, Georg Friedrich Haendel, Piëtro Mascagni, Francesco Manfredini, Frank Pourcell, Ciarân Brennan en Mike Batt in een bonte afwisseling van religieuze vocale, concertante instrumentale, filmische en operamuziek. Sommige componisten zal u ontdekken, anderen zijn u al vertrouwd.

durée : 01:58:15 - Été Classique Matin du lundi 18 juillet 2022 - par : Aurélie Moreau - Mais aussi au programme Wolfgang Amadeus Mozart, Georg Friedrich Haendel, Richard Wagner, Ludwing van Beethoven.... - réalisé par : Catherine Prin-Le Gall

durée : 00:26:52 - La Grande Table culture - par : Chloë Cambreling - Le contre-ténor Philippe Jaroussky s'apprête à tourner le dos au public en passant du côté de l'orchestre : pour la première fois, il dirigera une représentation de "Jules César" de Georg Friedrich Haendel, au Théâtre des Champs-Elysées, du 11 au 22 mai 2022. - invités : Philippe Jaroussky Chanteur lyrique, contreténor

durée : 00:26:52 - La Grande Table culture - par : Chloë Cambreling - Le contre-ténor Philippe Jaroussky s'apprête à tourner le dos au public en passant du côté de l'orchestre : pour la première fois, il dirigera une représentation de "Jules César" de Georg Friedrich Haendel, au Théâtre des Champs-Elysées, du 11 au 22 mai 2022. - invités : Philippe Jaroussky Chanteur lyrique, contreténor

durée : 00:26:52 - La Grande Table culture - par : Chloë Cambreling - Le contre-ténor Philippe Jaroussky s'apprête à tourner le dos au public en passant du côté de l'orchestre : pour la première fois, il dirigera une représentation de "Jules César" de Georg Friedrich Haendel, au Théâtre des Champs-Elysées, du 11 au 22 mai 2022. - invités : Philippe Jaroussky Chanteur lyrique, contreténor

Nouvelle diffusion de la rencontre avec cette artiste qui s'est produite tout récemment à notre Festival Musiq3. C'était le 7 octobre dernier à Tourines La Grosse. Un concert qui a été enregistré par Musiq3, et que vous pouvez par ailleurs réécouter. L'entretien qui est à suivre a quant à lui été réalisé en mars dernier. Eva Zaïcik est née en France, en 1987. Alors qu'elle est encore une enfant, Eva se retrouve dans la chorale de sa ville natale de Maisons-Alfort, en banlieue parisienne. Elle se souvient particulièrement y avoir un jour chanté la Passion selon Matthieu de J-S.Bach. Une expérience qui la marquera durablement : " J'étais si petite, que je peux à peine me souvenir si j'ai vraiment chanté ", nous confiera la chanteuse, " Mais me retrouver baignée dans cette musique de Bach m'a transcendée, et presqu'illuminée ! " Après un moment sans musique, c'est adolescente qu'elle renouera avec la voix, en devenant la chanteuse du groupe de rock de son lycée. " Je ne lisais pas une note de musique à l'époque ", nous racontera Eva, " Mais je me souviens qu'un jour, après un concert, la mère du batteur (ndlr. : qui est devenu son mari) m'a dit que j'avais une jolie voix et que je devrais la travailler... ". Elle rejoint ensuite l'école de Musique pour commencer à "étudier" la musique de manière plus formelle. Après des études secondaires scientifiques, Eva Zaïcik entreprend des études de médecine. Un rêve qui était aussi celui de toute sa famille. C'est que du côté de sa maman, à peu près tout le monde est médecin ! Mais après une année de médecine très intense, sans chanter, Eva décide d'abandonner cette voie : " J'ai fait mon coming-out lyrique à ce moment-là, tant la musique me manquait. J'ai pris conscience qu'elle était essentielle à mon équilibre. " C'est donc relativement tard, vers 19, 20 ans que la mezzo-soprano se lance dans des études professionnelles. Un parcours qui commencera par la Maîtrise de Notre-Dame de Paris, et qui se terminera par le prestigieux Conservatoire national supérieur de Musique de Paris, une institution où elle avait par ailleurs longtemps hésité à s'inscrire. "Je n'ai jamais rêvé d'être là où je suis ! " nous dira Eva Zaïcik, " Chaque jour je me demande, comment est-ce arrivé ! ". Le talent et le travail exceptionnels de la chanteuse lui permettront de commencer à travailler professionnellement très rapidement. En 2017, c'est à l'éminent "Jardin des voix" de William Christie qu'elle est admise, et en 2018, elle irradie le Concours Reine Elisabeth en remportant le 2e Prix. La même année 2018, Eva Zaïcik est également élue "Révélation lyrique" aux "Victoires de la Musique" ! Aujourd'hui, Eva Zaïcik évolue essentiellement dans le monde de la Musique baroque. Elle y est devenue l'une des voix les plus recherchées, pour son timbre extrêmement chaleureux, sa souplesse dans tous les registres, mais aussi son style et son goût exquis dans ce répertoire, où jamais l'information et l'élégance ne peuvent faire défaut. Ces deux dernières années, elle s'est particulièrement illustrée et consacrée à travailler avec l'ensemble " Le Consort ", fondé et dirigé par le claveciniste français, Justin Taylor, un ami du Conservatoire de Paris. Avec cet ensemble, Eva Zaïcik a déjà enregistré deux disques parus chez ALPHA : le 1er en 2019 : "Venez chère ombre", consacré à des cantates françaises. Le 2e opus du "Consort" "Royal Haendel" paraît en ce moment, toujours chez ALPHA. Il s'intéresse à la naissance de l'Académie royale de Londres, en 1719. Une académie dont Georg Friedrich Haendel fut nommé Directeur musical. Une époque où l'on souhaitait promouvoir la musique italienne au Royaume-Uni. Un disque lumineux, dans lequel l'élément le plus royal est sans nul doute la voix d'Eva Zaïcik : on y ressent à tout instant sa joie à chanter, à s'exprimer avec sincérité et simplicité. C'est une bouffée de bonheur et de beauté, magnifiée par la délicatesse de l'ensemble "Le Consort",...

Nouvelle diffusion de la rencontre avec cette artiste qui s'est produite tout récemment à notre Festival Musiq3. C'était le 7 octobre dernier à Tourines La Grosse. Un concert qui a été enregistré par Musiq3, et que vous pouvez par ailleurs réécouter. L'entretien qui est à suivre a quant à lui été réalisé en mars dernier. Eva Zaïcik est née en France, en 1987. Alors qu'elle est encore une enfant, Eva se retrouve dans la chorale de sa ville natale de Maisons-Alfort, en banlieue parisienne. Elle se souvient particulièrement y avoir un jour chanté la Passion selon Matthieu de J-S.Bach. Une expérience qui la marquera durablement : " J'étais si petite, que je peux à peine me souvenir si j'ai vraiment chanté ", nous confiera la chanteuse, " Mais me retrouver baignée dans cette musique de Bach m'a transcendée, et presqu'illuminée ! " Après un moment sans musique, c'est adolescente qu'elle renouera avec la voix, en devenant la chanteuse du groupe de rock de son lycée. " Je ne lisais pas une note de musique à l'époque ", nous racontera Eva, " Mais je me souviens qu'un jour, après un concert, la mère du batteur (ndlr. : qui est devenu son mari) m'a dit que j'avais une jolie voix et que je devrais la travailler... ". Elle rejoint ensuite l'école de Musique pour commencer à "étudier" la musique de manière plus formelle. Après des études secondaires scientifiques, Eva Zaïcik entreprend des études de médecine. Un rêve qui était aussi celui de toute sa famille. C'est que du côté de sa maman, à peu près tout le monde est médecin ! Mais après une année de médecine très intense, sans chanter, Eva décide d'abandonner cette voie : " J'ai fait mon coming-out lyrique à ce moment-là, tant la musique me manquait. J'ai pris conscience qu'elle était essentielle à mon équilibre. " C'est donc relativement tard, vers 19, 20 ans que la mezzo-soprano se lance dans des études professionnelles. Un parcours qui commencera par la Maîtrise de Notre-Dame de Paris, et qui se terminera par le prestigieux Conservatoire national supérieur de Musique de Paris, une institution où elle avait par ailleurs longtemps hésité à s'inscrire. "Je n'ai jamais rêvé d'être là où je suis ! " nous dira Eva Zaïcik, " Chaque jour je me demande, comment est-ce arrivé ! ". Le talent et le travail exceptionnels de la chanteuse lui permettront de commencer à travailler professionnellement très rapidement. En 2017, c'est à l'éminent "Jardin des voix" de William Christie qu'elle est admise, et en 2018, elle irradie le Concours Reine Elisabeth en remportant le 2e Prix. La même année 2018, Eva Zaïcik est également élue "Révélation lyrique" aux "Victoires de la Musique" ! Aujourd'hui, Eva Zaïcik évolue essentiellement dans le monde de la Musique baroque. Elle y est devenue l'une des voix les plus recherchées, pour son timbre extrêmement chaleureux, sa souplesse dans tous les registres, mais aussi son style et son goût exquis dans ce répertoire, où jamais l'information et l'élégance ne peuvent faire défaut. Ces deux dernières années, elle s'est particulièrement illustrée et consacrée à travailler avec l'ensemble " Le Consort ", fondé et dirigé par le claveciniste français, Justin Taylor, un ami du Conservatoire de Paris. Avec cet ensemble, Eva Zaïcik a déjà enregistré deux disques parus chez ALPHA : le 1er en 2019 : "Venez chère ombre", consacré à des cantates françaises. Le 2e opus du "Consort" "Royal Haendel" paraît en ce moment, toujours chez ALPHA. Il s'intéresse à la naissance de l'Académie royale de Londres, en 1719. Une académie dont Georg Friedrich Haendel fut nommé Directeur musical. Une époque où l'on souhaitait promouvoir la musique italienne au Royaume-Uni. Un disque lumineux, dans lequel l'élément le plus royal est sans nul doute la voix d'Eva Zaïcik : on y ressent à tout instant sa joie à chanter, à s'exprimer avec sincérité et simplicité. C'est une bouffée de bonheur et de beauté, magnifiée par la délicatesse de l'ensemble "Le Consort",...

durée : 01:59:08 - Les Concertos de Carl Philipp Emanuel Bach - par : Corinne Schneider - Une programmation toute nouvelle avec le pianiste de jazz Iiro Rantala, Lionel Meunier et les Vox Luminis, Augustin Hadelin et le duo Roe&Anderson ; le Dixit Dominus HWV 232 de Georg Friedrich Haendel et les Concertos de Carl Philipp Emanuel Bach (émission n° 162 première diffusion le 25 avril 2021) - réalisé par : Céline Parfenoff

durée : 00:04:45 - Le zoom de la rédaction - Richard Place, correspondant de France Inter au Royaume Uni, nous emmène dans une maison du centre de Londres où ont vécu deux génies : Georg Friedrich Haendel et Jimi Hendrix. Colocataires à plus de 200 ans d'écart. - invités : Richard PLACE - Richard Place : Journaliste, correspondant de Radio France au Royaume-Uni

durée : 00:05:46 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Cet oratorio de Georg Friedrich Haendel sonnera en différents lieux dans les semaines à venir. D'abord au Festival de Saint-Denis, jeudi prochain avec La Chapelle Harmonique sous la direction de Valentin Tournet. Puis le 26 juin aux Rencontres Musicales d'Evian avec Christophe Rousset à la tête des Talents lyriques.

Obwohl die internationale Situation es der Sinfonía por el Perú aktuell nicht ermöglicht, in die Schweiz zu kommen, kann Maestro Flórez Gstaad Menuhin Festival und seinen Gästen ein weiteres aussergewöhnliches Opernprogramm präsentieren. Nach einem Fest italienischer Duette mit Olga Peretyatko im Jahr 2018 ist der peruanische Tenor mit einem neuen Opernfeuerwerk und grossem Orchester zurück im Festival-Zelt Gstaad. Einmal mehr steht Italien mit den Meistern des transalpinen Kreises des 19. Jahrhunderts im Rampenlicht, von Rossini bis Puccini und über Donizetti zu Verdi; aber auch Streifzüge in die französische Welt mit Gounod werden unternommen. Um diesen Abend unvergesslich zu machen, kann der Startenor auf die Unterstützung des amerikanischen Dirigenten Christopher Franklin (mit dem er zuletzt in den grössten Sälen der Welt auftrat) und dem Musikkollegium Winterthur setzen, einem der ältesten Orchesterinstitutionen Europas, gegründet 1629.

Ihre Majestät, die Queen, ihre Diamanten, ihre Corgis und nicht zu vergessen ihre Geheimagenten! Könnte es einen besseren Abschluss für ein Festival geben als eine grosse Soirée der englischen Filmmusik, bei der das City Light Symphony Orchestra hauptsächlich die Melodien aus der Welt des unverwüstlichen 007 anstimmt? Das Ensemble wird von dem in der Schweiz lebenden englischen Dirigenten Kevin Griffiths geleitet, der dem Publikum in der Region durch seine langjährige Arbeit als Leiter des Gstaad Festival Amateur Orchestra wohlbekannt ist. Und er wird die Geigerin und neues Familienmitglied der exklusiven «Menuhin's Heritage Artists», Bomsori Kim, auf der Bühne begrüssen, um die schönsten Themen aus Der Duft von Lavendel [Ladies in Lavender] erklingen zu lassen, einem Film aus dem Jahr 2004, der die Geschichte eines virtuosen Geigers (exzellent verkörpert von Daniel Brühl) erzählt, der die Aufmerksamkeit von mehr als nur einer Frau erregt!

Es ist immer ein grosses Ereignis, wenn Valery Gergiev die Bühne betritt. Vor allem dann, wenn er sein Orchester des Mariinski-Theaters St. Petersburg durch Meisterwerke der russischen Orchesterkunst wie die «Romeo und Julia»-Ballettmusik von Prokofjew führt. Zusätzlich wird einer der neuen Menuhin's Heritage Artists, Alexandre Kantorow, die Tasten für das 2. Klavierkonzert von Prokofjew zum Klingen bringen. Der junge Pianist, Sohn des Geigers und Dirigenten Jean-Jacques Kantorow, ist eine wahre Offenbarung. Als erster Franzose gewann er 2019 den renommierten Tschaikowsky-Wettbewerb in Moskau und erhielt im darauffolgenden Jahr für seine Einspielung des «Ägyptischen Konzerts» von Saint-Saëns, seinem Lieblingskomponisten (neben Brahms), den Victoire de la Musique.

Die «Schottische» und das Violinkonzert von Sibelius! Ein zweiter Abend mit Valery Gergiev und seinem Orchester des Mariinsky-Theaters St. Petersburg. Mit Alexandra Conunova und ihrer kraftvollen und zugleich warmen Spielweise wird eine Idealbesetzung an der Violine im Konzert von Sibelius mitwirken. Die gebürtige Moldawierin, die in der Schweiz lebt und zum ersten Schülerjahrgang von Renaud Capuçon an der Haute Ecole de Musique de Lausanne gehörte, schaffte 2012 ihren künstlerischen Durchbruch mit dem Gewinn des ersten Preises beim Joseph Joachim Violinwettbewerb Hannover, der drei Jahre später durch einen dritten Preis beim Tschaikowsky-Wettbewerb in Moskau untermauert wurde.

Es ist eines der Hauptwerke des italienischen Belcanto: Gstaad Menuhin Festival ist stolz darauf, seinem Publikum mit einer von Domingo Hindoyan speziell für diesen Anlass getroffenen Auswahl ausladender Arien, Chören und Orchesterzwischenspielen alle Facetten aus Vincenzo Bellinis «I puritani» zu präsentieren. Die Zürcher Sing-Akademie und das Orchestre de la Suisse Romande führen mit einer erstklassigen Besetzung durch den Abend, bei dem die musikalische Vielseitigkeit der letzten Oper Bellinis im Mittelpunkt steht. Damit bietet sich die Gelegenheit, die zwangsläufig oberflächliche Bekanntschaft mit einem solchen Werk, das aus einer Handvoll grossartiger, durch die legendären Interpretationen unter anderem von Maria Callas und Joan Sutherland unveränderlicher Arien besteht, zu vertiefen und in das Innerste des gefeierten Kleinods Bellinis einzutauchen, das in Paris zu Beginn des Jahres 1835 und damit nur wenige Monate vor seinem viel zu frühen Tod mit 33 Jahren uraufgeführt wurde. Bellinis Belcanto-Kunst legt mehr Sorgfalt auf die Details der Instrumentation, weniger auf die solistische «Überschall»-Gesangstradition. So ist Elvira der «Prototyp der romantischen Heldin, die wegen eines seelischen Schocks den Verstand verliert» (Alain Perroux). Ihre sanften Melodien sind es, die Frédéric Chopin später das Klavier als singendes Instrument begreifen lassen …

Ohne die 12 Cellisten der Berliner Philharmoniker wäre das namhafteste Orchester der Welt schlicht zum Schweigen verurteilt! 1972 machen sie sich zu einem neuen Abenteuer auf: einem Ensemble, das heute zu den ältesten und symbolträchtigsten Formationen gehört, die aus dem deutschen Klangkörper hervorgegangen sind. Ihr Markenzeichen ist eine Musik frei von Komplexen, die zum Grossteil aus Arrangements besteht, sowie eine lockere Haltung, die sich von der steifen Atmosphäre der grossen Konzertsäle abhebt – der natürliche Swing der Bässe!

Für sein zweites Konzert am Dirigierpult des Gstaad Festival Orchestra – das er zum dritten Mal im Rahmen der Gstaad Conducting Academy leitet – widmet sich Jaap van Zweden der Sinfonie Nr. 4 von Brahms und dem Cellokonzert von Elgar, einem musikalischen Leckerbissen, dem keine Geringere als Sol Gabetta mit ihrem Spiel die nötige Intensität verleiht. Vielleicht waren Sie dabei, als die Cellistin bereits 2013 an der Seite von Andris Nelsons und des City of Birmingham Symphony Orchestra das von Jacqueline du Pré zu neuen Höhen geführte Werk im Festival-Zelt Gstaad erklingen liess. Seitdem hat ihr Spiel zweifellos an Tiefe gewonnen: Eine wesentliche Dimension, um den Dämmerschein der Partitur wiederzugeben, die im Sommer 1919 geschrieben wurde, als Elgar de facto seit 1914 nichts mehr komponiert hatte und sein Geist durch den Kriegswahnsinn ausgedörrt war.

Schon immer übte London mit seinen zahlreichen Bühnen, seinem anspruchsvollen Publikum und seinen generösen Institutionen (darunter die Royal Philharmonic Society) eine besondere Anziehungskraft auf Kunstschaffende aus. Einen aussergewöhnlichen Einblick in diese Welt bietet dieser musikalische Abend, an dem Khatia Buniatishvili (mit Tschaikowsky), Jaap van Zweden und das Gstaad Festival Orchestra das Festival-Zelt Gstaad zum Klingen bringen. Die Sinfonie Nr. 7 ist das erste Werk, mit dessen Komposition Dvořák beauftragt wurde. Unter tosendem Applaus am 22. April 1885 in der St. James's Hall uraufgeführt, stellt sie den tschechischen Komponisten vor die heikle Frage, ob er seiner natürlichen Neigung folgen und sein Herz und seine mährischen Wurzeln sprechen lassen oder sich stärker der (für ihn neuen) Notwendigkeit zuwenden soll, ein an die Regeln der «westlichen» Romantik gewöhntes Publikum anzusprechen, wie insbesondere sein Mentor Johannes Brahms sie verkörpert. Mit seinem Talent und seinem ihn charakterisierenden Grossmut trifft der grosse Meister auf Anhieb ins Schwarze!

Seit nunmehr fast zwanzig Jahren beehrt sie das Saanenland Sommer für Sommer mit ihren Besuchen. Hélène Grimaud bittet uns an diesem Abend zu einem musikalischen Tête-à-Tête in die Kirche Saanen. Sie wartet auf mit einem Programm, das dem Phänomen der Erinnerung gewidmet ist und das 2018 für ihr vorletztes Album «Memory» bei der Deutschen Grammophon gestaltet wurde; eine äusserst subtile Reise zwischen Reflexion und purer Emotion, in deren Verlauf sich die Klänge von Debussy und Satie mit jenen von Chopin verflechten, aus denen sie zum Teil hervorgegangen sind; hier werden Kulturtraditionen fassbar als eine Form der Erinnerung, ohne die Musik gänzlich unmöglich wäre.

Freuen Sie sich auf einen Abend der musikalischen Hochgenüsse! Haydn zeichnet in seiner Sinfonie «mit dem Paukenschlag» ein musikalisches Bild des «historischen» London. Dagegen hat einer der bekanntesten zeitgenössischen Komponisten Grossbritanniens, Thomas Adès, im Auftrag des Festivals und anderer Musikinstitutionen ein Werk für Streicher mit dem Titel «Shanty – Over the Sea», geschaffen, das auf die Lieder Bezug nimmt, die seit jeher von den Seeleuten der Handelsschiffe angestimmt werden, um sich bei der Arbeit zu motivieren, und das dem extravaganten Treiben in der britischen Hauptstadt ein musikalisches Denkmal setzt. Zur Krönung des Abends wird Hélène Grimaud in Begleitung des Kammerorchester Basel mit dem 20. Klavierkonzert in d-Moll das dank seiner vollkommenen Romanze und der verträumten, gleichsam über dem unerbittlichen Lauf der Zeit schwebenden Melodie, vielleicht schönste Konzert Mozarts anstimmen.

Sie ist eine lebende Klavierlegende. Maria João Pires, die abwechselnd in ihrem Heimatland Portugal und ihrer Wahlheimat, der Schweiz, lebt, reist nach Saanen mit Schubert, Debussy und Beethovens letzter Klaviersonate, der unergründlichen Sonate op. 111. Bereits als Fünfjährige debütierte sie 1949 mit Werken von Mozart. Die u. a. bei Karl Engel ausgebildete Pianistin hat sich in den letzten Jahrzehnten auch durch ihr intensives Engagement für den musikalischen Nachwuchs hervorgetan, sowohl in dem von ihr gegründeten Belgais-Centre for the Study of Arts in Portugal, als auch in der Chapelle Musicale Reine Elisabeth in Brüssel.

Robert Schumann erspürte in diesem Trio op. 100 von Franz Schubert «himmlische Längen» – und es stimmt, dass darin etwas Ewiges, Schwebendes anklingt, insbesondere im zweiten Satz, Andante con moto, und seinem eindringlichen, vom Klavier in Staccato gehämmerten Mollthema, das 1975 durch Stanley Kubricks Film «Barry Lyndon» einem breiten Publikum bekannt wurde. Wussten Sie, dass Schubert das Thema dem schwedischen Volkslied «Se solen sjunker» («Sieh' die Sonne untergehen») entlehnt hat? Eine Aufforderung, der wir gerne folgen, vor allem, wenn uns die Himmelserscheinung wie hier von drei aussergewöhnlichen «Magiern» gedeutet wird: der Geigerin Isabelle Faust, der Cellistin Sol Gabetta und dem Pianisten Bertrand Chamayou.

Das Duo Sol Gabetta und Bertrand Chamayou ist in den letzten Jahren überall umjubelt worden; hier präsentieren die beiden nun ein für diese London-Ausgabe unentbehrliches Werk, nämlich Benjamin Brittens erhabene Cellosonate, zu welcher der Komponist durch das leidenschaftliche Spiel von Mstislaw Rostropowitsch inspiriert wurde. Ergänzt wird das Programm durch César Francks Sonate, die ursprünglich für Violine geschrieben wurde, sich aber aufgrund ihrer warmen Klangfarben auch hervorragend für das Cello eignet.

Somptueuse soirée en perspective! Avec d'un côté la Londres «historique» incarnée par la Symphonie «du roulement de timbales» de Haydn. De l'autre la Londres décomplexée représentée par Thomas Adès, le plus célèbre compositeur britannique actuel, à qui le Festival, en compagnie d'autres institutions musicales, a passé commande d'une œuvre pour cordes baptisée «Shanty – Over the Sea», référence aux chants entonnés depuis des temps immémoriaux par les marins des vaisseaux marchands pour se donner du cœur à l'ouvrage. Et au milieu Hélène Grimaud, qui en compagnie du Kammerorchester Basel a choisi de ciseler peut-être le plus beau concerto écrit par Mozart, le vingtième en ré mineur, avec sa sublime Romance et sa mélodie rêveuse comme suspendue au-dessus du cours inexorable du temps.

Avec ses nombreuses scènes, son public très gourmand et ses généreuses institutions (à l'image de la Royal Philharmonic Society), Londres a en tout temps été un pôle d'attraction pour les créateurs. Animée par Khatia Buniatishvili (dans Tchaïkovski), Jaap van Zweden et le Gstaad Festival Orchestra, cette soirée en offre une magnifique vitrine. La Septième symphonie est la première œuvre commandée à Dvořák. Créée sous un tonnerre d'applaudissements le 22 avril 1885 au St James's Hall, elle pose la délicate question au compositeur tchèque de savoir où mettre le juste curseur entre son inclination naturelle à laisser parler son cœur et ses racines moraves et la nécessité (nouvelle pour lui) de plaire à un public habitué aux codes du romantisme «occidental», incarné en particulier par son mentor Johannes Brahms. Avec le talent et la générosité qui le caractérisent, le grand Antonín met dans le mille… du premier coup!

Cela fait presque vingt ans qu'elle offre régulièrement sa musique l'été au Saanenland. Après le répertoire concertant l'avant-veille, Hélène Grimaud nous donne rendez-vous en «tête-à-tête» à l'église de Saanen. Dans un programme autour de la «mémoire», construit en 2018 à l'occasion de son avant-dernier album Deutsche Grammophon: un voyage extrêmement subtile, entre réflexion et émotion pure, au fil duquel les notes de Debussy et de Satie s'entrelacent avec celles de Chopin qui les ont en partie engendrées, dans ce rapport essentiel qu'est l'héritage – la mémoire – sans lequel la musique n'existerait tout simplement pas.

C'est une légende vivante du piano. L'artiste portugaise (qui adore la Suisse où elle partage sa vie avec son pays d'origine) fait le voyage de Saanen avec Schubert, Debussy et l'ultime sonate de Beethoven: l'inclassable opus 111. Maria João Pires a fait ses premiers pas sur scène en 1949, à l'âge de cinq ans, dans un récital Mozart. Formée entre autres par Karl Engel, elle s'est distinguée ces dernières décennies par son engagement marqué en faveur de la relève, au sein du Centre Belgais qu'elle a créé au Portugal, ainsi que de la Chapelle musicale Reine Elisabeth de Bruxelles.

L'«Ecossaise» et le Concerto pour violon de Sibelius: une seconde soirée dans les étoiles pour Valery Gergiev et son orchestre du Mariinski de Saint-Pétersbourg. Avec le concours d'une violoniste idéale dans ce répertoire, au jeu puissant et chaleureux à la fois: Alexandra Conunova. Moldave de naissance installée en Suisse, ayant fait partie de la première volée d'élèves de Renaud Capuçon à la Haute école de musique de Lausanne, la jeune artiste perce en 2012 en remportant le premier prix du Concours Joseph Joachim de Hanovre, confirmé trois ans plus tard par un 3e prix au Concours Tchaïkovski de Moscou.Assurez-vous ici la meilleure place pour une soirée inoubliable à Gstaad: [https://www.gstaadmenuhinfestival.ch/fr/programme-and-location/programme-2021](https://www.gstaadmenuhinfestival.ch/fr/programme-and-location/programme-2021)

La présence de Valery Gergiev sur le podium est toujours un événement. Surtout lorsqu'il conduit ses troupes du Mariinski de Saint-Pétersbourg dans des chefs-d'œuvre de l'art orchestral russe comme la musique de ballet pour «Roméo et Juliette» de Prokofiev. En sus: le Deuxième concerto pour piano du même Prokofiev sous les doigts d'un des nouveaux Menuhin's Heritage Artists, Alexandre Kantorow. Fils du violoniste et chef d'orchestre Jean-Jacques Kantorow, le jeune pianiste fait figure de véritable révélation. Premier Français à remporter le prestigieux Concours Tchaïkovski de Moscou en 2019, il reçoit l'année suivante une Victoire de la musique pour son enregistrement de «L'Egyptien» de Saint-Saëns, son compositeur fétiche (avec Brahms).

Sans eux, le plus prestigieux orchestre de la planète est tout simplement condamné au silence! Les 12 Violoncellistes de l'Orchestre philharmonique de Berlin se lancent dans l'aventure en 1972: ils sont l'un des plus anciens et des plus emblématiques ensembles issus des rangs de la phalange allemande. Leur fonds de commerce: une musique décomplexée, issue en grande partie d'arrangements, et une attitude décontractée qui tranche avec l'atmosphère compassée des grandes salles de concerts – le swing naturel des basses!

Pour son second concert à la tête du Gstaad Festival Orchestra – qu'il dirige également pour la troisième année dans le cadre de la Gstaad Conducting Academy –, Jaap van Zweden a rendez-vous avec la Quatrième de Brahms et le sublime Concerto d'Elgar, porté par une soliste au jeu d'une intensité idéale: Sol Gabetta. Vous étiez peut-être présent lorsque la violoncelliste faisait résonner, sous la même Tente de Gstaad en 2013 aux côtés d'Andris Nelsons et de l'Orchestre de Birmingham, l'œuvre magnifiée par Jacqueline du Pré. Elle aura sans doute, dans l'intervalle, gagné en profondeur: une dimension essentielle pour parvenir à rendre le caractère crépusculaire de la partition, écrite durant l'été 1919 alors qu'Elgar n'avait pratiquement rien composé depuis 1914, l'esprit asséché par le déferlement de la folie guerrière.

Sa Très Gracieuse Majesté, ses diamants, ses corgis… et ses agents secrets! Comment imaginer plus belle fin de Festival qu'une grande soirée de musiques de films anglais, animée par le City Light Symphony Orchestra et dominée par l'inoxydable 007? La phalange est dirigée par un chef anglais basé en Suisse, Kevin Griffiths, bien connu du public de la région pour son travail de longue date à la tête du Gstaad Festival Amateur Orchestra. Et elle accueillera sur le devant de la scène la violoniste Bomsori Kim, nouvelle venue dans la famille très exclusive des «Menuhin's Heritage Artists», pour faire résonner les plus beaux thèmes de «Ladies in Lavender» («Les Dames de Cornouailles»), un film de 2004 contant l'histoire d'un violoniste virtuose (incarné par l'excellent Daniel Brühl) focalisant l'attention… de plusieurs femmes!

Encore des amis fidèles de la manifestation! Pour leur rencontre au sommet, les «indomptables» Patricia Kopatchinskaja et Fazil Say ont choisi Schubert, Brahms et la trop rare Sonate pour violon de Janáček. «J'ai écrit cette sonate en 1914 alors que nous attendions les Russes en Moravie», confie le musicien. Des Russes qu'il porte dans son cœur et dont l'âme et la culture se retrouvent jusque dans sa musique, à l'image des citations qu'il y fait de son propre opéra «Katja Kabanova», contant justement une histoire… russe.

La situation internationale rendant impossible la venue en Suisse de la Sinfonía por el Perú, Maestro Flórez a eu la générosité de proposer au Gstaad Menuhin Festival et à ses hôtes un autre programme lyrique d'exception. Après un festival de duos italiens avec Olga Peretyatko en 2018, le merveilleux ténor péruvien est de retour sous la Tente de Gstaad dans un nouveau feu d'artifice lyrique avec grand orchestre. Là encore, l'Italie est à l'honneur avec les maîtres de la scène transalpine du 19e siècle, de Rossini à Puccini en passant par Donizetti et Verdi, mais également des incursions dans l'univers français, incarnées par l'inoxydable Gounod. Pour rendre cette soirée inoubliable, le chanteur-étoile peut compter sur une escorte de luxe composée du chef américain Christopher Franklin (avec lequel il s'est produit récemment dans les plus grandes salles de la planète) et du Musikkollegium Winterthur, l'une des plus anciennes institutions orchestrales d'Europe, fondée en 1629.

Sol Gabetta – Bertrand Chamayou: un tandem qui a fait des miracles ces dernières années et qui se présente ici avec un incontournable de cette édition londonienne, la sublime Sonate de Britten, inspirée par le jeu flamboyant de Rostropovitch. Pour compléter le programme: la Sonate de Franck, écrite à l'origine pour le violon, mais dont les couleurs chaleureuses se marient particulièrement bien au jeu du violoncelle.

Robert Schumann y voyait des «himmlische Längen» – des «longueurs célestes» – et c'est vrai qu'il y a quelque chose d'atemporel, de suspendu, dans ce Trio op. 100 de Schubert, en particulier dans son Andante con moto central et son rythme lancinant en mineur martelé par le piano, entré dans l'imaginaire populaire en 1975 grâce au film «Barry Lyndon» de Stanley Kubrick. Saviez-vous d'ailleurs que le thème en question est emprunté par Schubert à une chanson traditionnelle suédoise, «Se solen sjunker» – «Regarde le soleil se coucher»? Une injonction que l'on suivra bien volontiers, surtout si la direction de l'astre nous est indiquée comme ici par trois «mages» d'exception: la violoniste Isabelle Faust, la violoncelliste Sol Gabetta et le pianiste Bertrand Chamayou.

«When I'm 64»: Nigel Kennedy ne pouvait trouver titre plus approprié à sa tournée estivale 2021, lui qui a vu le jour à Brighton le 28 décembre 1956, il y a de cela… soixante-quatre ans! Joli paradoxe: il s'agit de l'une des premières chansons écrites par Paul McCartney, sur le piano familial du 20 Forthlin Road alors que le Beatle n'avait que quinze ou seize ans; il expliquera plus tard qu'en plus de la sonorité «claquante» du mot «sixty-four», il avait voulu offrir à travers elle… un prélude à la retraite à son père! Kennedy, dont on ne saurait oublier tout ce qu'il doit à Yehudi Menuhin, vient ici en «ami de la famille»: cordes sèches ou électrifiées, on ne compte plus les concerts de «légende» qu'il a inscrit en lettres d'or dans la mémoire du Festival.

God save the King… et God save Haendel, le plus anglais des compositeurs allemands! Formé en Italie (d'où il rapporte une maîtrise non seulement de l'opera seria mais également de l'oratorio), le Hanovrien, exact contemporain de Jean-Sébastien Bach, traverse la Manche en 1711 et s'y sent immédiatement chez lui. Outre les brillants et très cuivrés «Coronation Anthems» (dont les amateurs de football connaissent par cœur le plus célèbre des quatre, «Zadock the Priest»), Hervé Niquet et son Concert Spirituel proposent l'écoute d'une autre page grandiose de Haendel: un «Te Deum» composé en 1743 pour célébrer la victoire des Britanniques et des Hanovriens (!) sur les Français lors de la bataille de Dettingen, en Bavière, dans le cadre de la guerre de Succession d'Autriche. Une belle preuve d'humilité de la part des musiciens… tricolores!

Lauréate du Concours Menuhin en 1995, à l'âge de douze ans, elle avait beaucoup impressionné le maître et remporté le Concours Eurovision des jeunes musiciens l'année suivante. Julia Fischer est aujourd'hui l'une des violonistes les plus en vue de la planète. Après avoir illuminé le Gstaad Menuhin Festival en 2012 avec une carte blanche mémorable, elle est de retour dans des montagnes qu'elle connaît bien – puisqu'elle se rendait enfant chaque été à La Lenk pour suivre les cours donnés par son professeur Ana Chumachenco – en compagnie d'un orchestre avec lequel elle collabore de longue date, l'Academy of St Martin in the Fields de Londres, dans un programme Mozart-Mendelssohn que n'aurait pas renié Menuhin. Et comme l'illustre violoniste, elle a choisi de prendre personnellement les choses en main en dirigeant l'ensemble de son propre archet.

God save the King ... und God save Händel, den englischsten aller deutschen Komponisten! Der im selben Jahr wie Johann Sebastian Bach geborene Hannoveraner, der seine Ausbildung in Italien erhielt und von dort nicht nur als Meister der Opera seria, sondern auch des Oratoriums zurückkehrte, überquerte 1711 den Ärmelkanal und fühlte sich dort sofort heimisch. Neben den brillanten und volltönenden «Coronation Anthems» bzw. «Krönungshymnen» (vier Chorwerke, deren berühmtestes, «Zadok the Priest», die meisten Fussballfans wohl auswendig kennen dürften) bringen Hervé Niquet und sein Ensemble «Le Concert Spirituel» ein weiteres grandioses Werk Händels zu Gehör, das «Dettinger Te Deum», das der Meister 1743 komponierte, und zwar anlässlich des im österreichischen Erbfolgekriegs errungenen Sieges der Engländer und Hannoveraner (!) in der Schlacht von Dettingen in Bayern über die Franzosen. Was wohl als eindeutiger Beweis für die Bescheidenheit der Musiker gewertet werden dürfte – kommen sie doch selbst aus Frankreich!

«When I'm 64»: Einen besseren Titel für seine Sommertournee 2021 hätte sich Nigel Kennedy, der am 28. Dezember 1956 und damit vor genau 64 Jahren das Licht der Welt erblickte, nicht ausdenken können! Und ein schönes Paradox, handelt es sich doch um einen der ersten Songs, den Paul McCartney im zarten Alter von 15 oder 16 Jahren auf dem Klavier der Familie in der Forthlin Road 20 komponierte. Wie er später einmal erklärte, habe ihm zum einen der «schnalzende» Klang des Wortes «sixty-four» gefallen, zum anderen wollte er seinem Vater mit dem Song eine Ouvertüre für den Eintritt in das Rentenalter schenken. Kennedy, der Yehudi Menuhin bekanntermassen viel zu verdanken hat, kommt zu uns als «Freund der Familie»: Seine unzähligen «legendären» Konzerte mit klassischer oder E-Geige haben sich in goldenen Lettern in das Gedächtnis des Festivals eingebrannt.

C'est l'un des opéras emblématiques du bel canto italien: le Gstaad Menuhin Festival est fier de pouvoir offrir à son public une large sélection d'airs, de chœurs et d'intermèdes orchestraux d'«I puritani» de Vincenzo Bellini, sélectionnés tout spécialement par le chef Domingo Hindoyan. Animée par la Zürcher Sing-Akademie et l'Orchestre de la Suisse Romande, et portée par une distribution de premier plan, cette soirée qui place la musique au centre est l'occasion de dépasser la connaissance forcément superficielle d'une telle œuvre basée sur une poignée de grands airs, figés qui plus est dans des interprétations de légende comme celles de Maria Callas ou de Joan Sutherland, pour plonger au cœur de l'ultime joyau de Bellini, offert à Paris puis au monde début 1835, quelques mois seulement avant d'être emporté à l'âge bien trop précoce de 33 ans. Un opéra qui soigne davantage que dans les précédents les détails de l'orchestration et requiert des solistes littéralement «supersoniques», à l'instar d'Elvira, «prototype de l'héroïne romantique frappée de folie suite à un choc affectif» (Alain Perroux) et dont les mélodies si justes guideront Frédéric Chopin dans sa quête d'un piano qui «chante»…

1995 gewann sie im Alter von zwölf Jahren den Menuhin-Wettbewerb, machte einen grossen Eindruck auf den Meister und gewann im darauffolgenden Jahr den Eurovisionswettbewerb für junge Instrumentalisten. Heute ist Julia Fischer eine der bekanntesten Geigerinnen der Welt. Nachdem sie beim Gstaad Menuhin Festival 2012 mit einem unvergesslichen Carte blanche-Konzert einen musikalischen Glanzpunkt gesetzt hat, ist sie nun zurück in den Bergen – die sie gut kennt, da sie als Kind jeden Sommer nach Lenk kam, um an den Kursen ihrer Lehrerin Ana Chumachenco teilzunehmen – in Begleitung eines Orchesters, mit dem sie seit langer Zeit zusammenarbeitet, der Londoner Academy of St Martin in the Fields, und zwar mit einem Mozart-Mendelssohn-Programm, das auch Menuhin gefallen würde. Und als herausragende Geigerin nimmt sie die Sache gleich selbst in die Hand und führt neben dem Geigenbogen auch das gesamte Ensemble.

Au menu des actualités, deux concerts disponibles en ligne :"Splendeurs vénitiennes" - Le Concert Spirituel - Hervé Niquet"La voix intérieure" - Pygmalion - Raphaël PichonQuelques clefs d'écoute autour de la Gavotte variée de Jean-Philippe Rameau (issue de la suite en la)Et une rencontre avec Florence Bolton, co-directrice de l'ensemble La Rêveuse !Extraits musicaux :- Laetatus sum, Antonio Vivaldi - le Concert Spirituel - Hervé Niquet- Symphonie Inachevée (1er mouvement), Franz Schubert - Wiener Philharmoniker - Philippe Jordan- Wiegendlied op. 78 n°4, Robert Schumann - Julia Varady, Dietrich Fischer-Dieskau, Christoph Eschenbach- Gavotte avec ses six doubles, Jean-Philippe Rameau - Sir Trevor Pinnock- Sonate n°4, Archangelo Corelli/Johann Christian Schickhart - La Rêveuse - Florence Bolton/Benjamin Perrot- Spera si mio caro bene, de Admetto, Georg Friedrich Haendel, La Rêveuse - Florence Bolton/Benjamin Perrot Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Eva Zaïcik est née en France, en 1987 Alors qu'elle est encore une enfant, Eva se retrouve dans la chorale de son village. Elle se souvient particulièrement y avoir un jour chanté la Passion selon Matthieu de J-S.Bach. Une expérience qui la marquera durablement : " J'étais si petite, que je peux à peine me souvenir si j'ai vraiment chanté ", nous confiera la chanteuse, " Mais me retrouver baigné de cette musique de Bach m'a transcendée, et presqu'illuminée ! " Après un moment sans musique, c'est adolescente qu'elle renouera avec la voix, en devenant la chanteuse du groupe de rock de son lycée. " Je ne lisais pas une note de musique à l'époque ", nous racontera Eva, " Mais je me souviens qu'un jour, après un concert, la mère du batteur (ndlr. : qui est devenu son mari) m'a dit que j'avais une jolie voix et que je devrais la travailler... ". Elle rejoindra ensuite l'école de Musique pour commencer à "étudier" la musique de manière plus formelle. Après des études secondaires scientifiques, Eva Zaïcik entreprend ensuite des études de médecine. Un rêve qui était aussi celui de toute sa famille. C'est que chez les "Zaïcik", à peu près tout le monde est médecin ! Mais après une année de médecine très intense, sans chanter, Eva décide d'abandonner cette voie : " J'ai fait mon coming-out lyrique à ce moment-là, tant la musique me manquait. J'ai pris conscience qu'elle était essentielle à mon équilibre. " C'est donc relativement tard, vers 19, 20 ans que la mezzo-soprano se lance dans des études professionnelles. Un parcours qui commencera par la Maîtrise de Notre-Dame de Paris, et qui se terminera par le prestigieux Conservatoire national supérieur de Musique de Paris, une institution où elle avait par ailleurs longtemps hésité à s'inscrire. "Je n'ai jamais rêvé d'être là où je suis ! " nous dira Eva Zaïcik, " Chaque jour je me demande, comment est-ce arrivé ! ". Le talent et le travail exceptionnels de la chanteuse lui permettront de commencer à travailler professionnellement très rapidement. En 2017, c'est à l'éminent "Jardin des voix" de William Christie qu'elle est admise, et en 2018, elle irradie le Concours Reine Elisabeth en remportant le 2e Prix. La même année 2018, Eva Zaïcik est également élue "Révélation lyrique" aux "Victoires de la Musique" ! Aujourd'hui, Eva Zaïcik évolue essentiellement dans le monde de la Musique baroque. Elle y est devenue l'une des voix les plus recherchées, pour son timbre extrêmement chaleureux, sa souplesse dans tous les registres, mais aussi son style et son goût exquis dans ce répertoire, où jamais l'information et l'élégance ne peuvent faire défaut. Ces deux dernières années, elle s'est particulièrement illustrée et consacrée à travailler avec l'ensemble " Le Consort ", fondé et dirigé par le claveciniste français, Justin Taylor, un ami du Conservatoire de Paris. Avec cet ensemble, Eva Zaïcik a déjà enregistré deux disques parus chez ALPHA : le 1er en 2019 : "Venez chère ombre", consacré à des cantates françaises. Le 2e opus du "Consort" "Royal Haendel" paraît en ce moment, toujours chez ALPHA. Il s'intéresse à la naissance de l'Académie royale de Londres, en 1719. Une académie dont Georg Friedrich Haendel fut nommé Directeur musical. Une époque où l'on souhaitait promouvoir la musique italienne au Royaume-Uni. Un disque lumineux, dans lequel l'élément le plus royal est sans nul doute la voix d'Eva Zaïcik : on y ressent à tout instant sa joie à chanter, à s'exprimer avec sincérité et simplicité. C'est une bouffée de bonheur et de beauté, magnifiée par la délicatesse de l'ensemble "Le Consort", emmené par un Justin Taylor très inspiré, préparé, et informé. A tout moment, chaque musicien sait où il va, et pourquoi il est là. "Royal Haendel" est un cadeau, c'est un prélude royal à un printemps imminent. Eva Zaïcik : une artiste et une femme rayonnante, bien dans sa peau, généreuse et inspirée ! Bonne écoute ! Réalisation et présentation : Laurent...

Pour cette nouvelle émission, l’équipe s’intéresse à Georg Friedrich Haendel. Compositeur baroque qui a posé les bases de la musique […] L'article Georg Friedrich Haendel | Artmony est apparu en premier sur Fréquence Orange.

Théâtre : – Je suis Fassbinder au théâtre de l'étincelle – Trois minutes de temps additionnel au théâtre Am Stram Gram Musique : – Vox Office, une spectacle musical a capella de la Compagnie Voxset à découvrir le 2 octobre 2020 à la Salle des Fêtes de Troinex. – L'Orchestre de Chambre de Genève au Studio Ernest-Ansermet ce samedi 3 octobre – Oratorio de Georg Friedrich Haendel au Grand Théâtre de Genève

Antecedentes de su existencia desde Mesopotamia; su extraordinario y voluptuoso nacimiento en el mar. Diosa griega del amor, la lujuria, la atracción física y el sexo. Culto a la más sensual de las diosas y curiosas formas de adoración; peregrinajes con final feliz y otras lindezas. Sólo una diosa puede ser cortejada con música y sublime voz de la película "Farinelli". La música es: https://www.youtube.com/watch?v=645ayYMgTcE Carlo Broschi (Farinelli) - Lascia ch'io pianga dal Rinaldo di Georg Friedrich Haendel. Musicalización de la cápsula: EVA ALCÁNTAR. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app --- Send in a voice message: https://anchor.fm/nora-reyes-costilla/message

En clave de Dios (LXXIX): 'Dixit Dominus' (Handel). En este programa escuchamos íntegro el 'Dixit Dominus' HWV 232, una de las primeras obras religiosas de un joven Georg Friedrich Haendel de tan sólo 22 años, durante su estancia en Roma bajo la protección del cardenal Colonna. La obra fue estrenada aparentemente el 16 de julio de 1707 en la Iglesia de Santa María di Montesanto.