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Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
“Are you nuts ?” Si vous baragouinez l'anglais, vous savez que cela signifie que vous êtes un peu foufou… En Français, “À la noix” est une expression péjorative, désignant un objet de qualité médiocre ou de peu de valeur. En Gascogne, lorsqu'un jeune homme demandait la main d'une jeune fille, il était invité à partager le repas familial : si, à la fin, on lui présentait des noix, cela signifiait que sa demande était rejetée. “Coquille de noix”, plus poétiquement, désigne un tout petit bateau bien fragile face aux éléments.Une noix désigne aussi une quantité de la taille d'une noix, comme “une noix de beurre”. La noix, et le noyer, sont l'objet de nombreuses superstitions populaires. Dormir ou se coucher sous un noyer reste fortement déconseillé (les racines du noyer sécrétant un composé toxique pour les autres plantes, la juglone, qui donne mal à la tête si on reste trop longtemps sous le noyer). Le symbolisme de la noix est particulier. La forme étrange de son fruit n'est pas sans rappeler celle du cerveau avec les hémisphères droit et gauche parfaitement symétriques et nettement dessinés. Cette forme figure la double polarité de l'être humain, féminin/masculin représentée par les hémisphères droit et gauche. La noix symbolise l'harmonie de ces deux composantes. Sa coquille faite de deux parties semblables s'ouvre comme un coquillage bivalve. C'est le seul fruit sec à posséder cette particularité.___
L'idée paraît contre-intuitive : comment imaginer de la glace au cœur brûlant d'une planète géante comme Jupiter ou Neptune, où les températures atteignent plusieurs milliers de degrés ? Et pourtant, les scientifiques ont découvert qu'une forme particulière de glace pourrait bel et bien exister dans ces profondeurs extrêmes.Voyons pourquoi.Tout repose sur la physique de l'eau et sur un concept clé : le rôle de la pression.Nous avons l'habitude de penser que la glace se forme quand la température descend en dessous de 0 °C. Mais c'est vrai uniquement à pression atmosphérique normale. Dès que la pression augmente, le comportement de l'eau change radicalement.Dans l'intérieur des planètes géantes, la pression est colossale : plusieurs millions, voire des centaines de millions de fois la pression terrestre. Par exemple, dans le manteau de Neptune ou dans les couches profondes d'Uranus, on atteint facilement des pressions de l'ordre de 500 GPa (gigapascals), soit plus de 5 millions d'atmosphères.Or, à ces pressions, l'eau adopte des phases exotiques de glace, appelées glace VII, glace X, ou même des phases dites "superioniques", qui n'ont rien à voir avec la glace que nous connaissons.Prenons la glace superionique, récemment étudiée par des équipes comme celle du laboratoire Livermore en Californie :Dans cette phase, les atomes d'oxygène forment une structure cristalline fixe, rigide comme un solide. Mais les protons d'hydrogène, eux, restent mobiles, circulant à l'intérieur de ce réseau.Résultat : une "glace" qui est à la fois solide dans sa structure et partiellement fluide dans son comportement électrique — un état totalement inédit !Cette glace peut exister à des températures de plusieurs milliers de degrés Kelvin (jusqu'à 5 000 K), tant que la pression est suffisante.C'est ce qui explique pourquoi, même sous une chaleur intense, l'eau compressée en profondeur dans une planète peut rester sous forme de glace.Ces phases de glace ont des implications majeures :Elles pourraient influencer le champ magnétique des planètes.Elles jouent un rôle dans la convection interne.Elles expliquent partiellement les anomalies de densité observées par les sondes spatiales.Ainsi, dans l'univers des planètes géantes, la glace n'est pas forcément froide : elle est le produit d'un équilibre entre température et pression extrêmes.Un merveilleux exemple de la diversité des états de la matière dans le cosmos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Au programme de l'émission du 26 mars : avec Jean-Michel Billioud, auteur ; et avec Delphine Beccaria, libraire (rediffusion) Du TAC au TAC - interview de Jean-Michel Billioud - c'est vers 06 mn ✔️Après nous avoir présenté son livre Quand on arrive en France. Histoire de l'immigration il y a deux semaines, Jean-Michel Billioud, auteur de plus de 200 livres jeunesse, des albums, mais surtout des ouvrages documentaires pour enfants et ados, répond cette fois aux questions de notre interview Du TAC au TAC : avec des questions, toujours les mêmes ou presque, et leurs réponses pour entrer dans le petit monde de fabrication d'un livre, ici plus particulièrement de documentaires.
durée : 00:58:30 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Jeanne Coppey - L'OTAN naît en 1949 dans le prolongement du second conflit mondial et se trouve bientôt au cœur des rapports de force de la guerre froide. Noyau dur de la sécurité du bloc de l'Ouest, l'Alliance atlantique rassemble mais suscite aussi des oppositions en Europe. - réalisation : Thomas Beau - invités : François Doppler-Speranza maître de conférences en histoire et culture des États-Unis à l'Université de Lorraine; Jenny Raflik-Grenouilleau professeure d'histoire des relations internationales contemporaines à Nantes Université
Maître de conférences à Sciences Po Paris, Frédéric Encel publie « La Guerre mondiale n'aura pas lieu », aux éditions Odile Jacob (sortie le 26 mars) Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'Antichambre, Vincent Damphousse, Karell Emard et Norman Flynn discutent de l'actualité des Canadiens.
L'hiver est arrivé avec ses températures fraîches, mais aussi avec ses fruits de saison ! Quoi de mieux que de manger quelques litchis pour s'évader ? Ne jetez surtout pas son noyau et profitez-en pour le faire germer afin d'avoir une nouvelle plante d'intérieur !
Durant le mois de décembre, François Turrian nous explique les bons réflexes à adopter en matière de nourrissage. Il dresse aussi le portrait de quelques oiseaux à observer dans nos jardins en hiver. Si vous avez des questions spécifiques à propos des oiseaux, participez à notre émission le 12 janvier. Vous pouvez nous adresser vos questions à cotejardin@rts.ch
Que signifie revenir à l'intérieur de soi ? En quoi notre personnalité se distingue-t-elle de notre être ? Comment le vivant en soi peut-il nous aider à traverser ce qui est ?Pour en parler, j'ai le plaisir de recevoir, Audrey Fella, historienne de formation et essayiste. Ses recherches portent sur les femmes et le sacré, la mystique chrétienne et laïque, le chamanisme au féminin, et de nombreuses figures comme Hildegarde de Bingen ou Christiane Singer. Elle s'intéresse ainsi aux diverses voies et expressions de la spiritualité féminine, et à la manière dont celle-ci peut participer à la quête de sens de ses contemporains, femmes et hommes.À ce titre, elle a dirigé et co-écrit Les Femmes mystiques. Histoire et dictionnaire (Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2013). Elle est également l'auteur de plusieurs livres dont Hildegarde de Bingen – Corps et âme en Dieu (Points, 2015), Femmes chamanes – Rencontres initiatiques (Mama éditions, 2020), Christiane Singer, une vie sur le fil de la merveille (Albin Michel, 2022) et Portraits d'âmes – Entretiens avec Carolyn Carlson, Irina Brook et Camille (Seuil, 2024), pour ne citer qu'eux.Depuis quelques années, elle anime également des ateliers d'écriture de soi et des séminaires autour de la spiritualité féminine.Dans son ouvrage "Dire oui à sa fécondité spirituelle" paru aux éditions l'Originel, Audrey y partage son expérience du pouvoir des rencontres à cœur ouvert, qui peuvent nous guider vers notre identité véritable.Vous pouvez retrouver Audrey Fella : Site : www.audreyfella.comInstagram : https://www.instagram.com/audrey_fella/Episode recommandé : - Vivre à l'instant présent et le savourer avec Laurent Gounelle Bonne écoute ! ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Si vous avez apprécié cet épisode, et que vous souhaitez soutenir gratuitement le podcast, n'hésitez pas laisser 5 étoiles et un commentaire sur Apple podcast
Une question scientifique, trois fois par semaine ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Comme dans Les balades du week-end, Vanessa Zha débute ses chroniques en nous faisant voyager et en donnant de bons plans pour l'été. Marion Sauveur fait quant à elle un focus chaque jour sur un produit.
Pierre-Édouard Deldique reçoit dans Idées, sous le thème de l'olympisme, 2 invitées : Anne Dujin, la rédactrice en chef de la revue partenaire de l'émission qui consacre son dossier de juin 2024 aux Jeux Olympiques sous le titre. « L'olympisme est-il hors-jeu ? ». Et Marianne Amar, historienne. Responsable du département de la recherche au Musée national de l'histoire de l'immigration. Dans la seconde partie, Anne Dujin, qui est poète, parle de son dernier recueil en dates : « Noyau manquant » chez Gallimard.
Pierre-Édouard Deldique reçoit dans Idées, sous le thème de l'olympisme, 2 invitées : Anne Dujin, la rédactrice en chef de la revue partenaire de l'émission qui consacre son dossier de juin 2024 aux Jeux Olympiques sous le titre. « L'olympisme est-il hors-jeu ? ». Et Marianne Amar, historienne. Responsable du département de la recherche au Musée national de l'histoire de l'immigration. Dans la seconde partie, Anne Dujin, qui est poète, parle de son dernier recueil en dates : « Noyau manquant » chez Gallimard.
durée : 00:02:31 - Après avoir mangé une pêche est-ce qu'on peut faire pousser le noyau et espérer avoir un arbre avec ?
L'Irlande, l'Espagne et la Norvège ont annoncé leur intention de reconnaître un État de Palestine. Furieux, Israël a rappelé plusieurs de ses ambassadeurs. Le Premier ministre irlandais espère convaincre d'autres pays européens de faire de même, mais les Vingt-Sept sont divisés. Qu'est-ce que cette décision pourrait changer sur la scène internationale ? L'analyse de Jean-Paul Chagnollaud, président de l'Iremmo et professeur émérite des universités. Il est co-auteur de Le rendez-vous manqué des peuples - De l'échec des révolutions populaires aux dérives populistes, aux éditions Autrement. RFI : Cela fait plus de sept mois maintenant que la guerre dure à Gaza. Pourquoi faire cette annonce maintenant ?Jean-Paul Chagnollaud : Je crois que ce sont des pays qui réfléchissaient déjà depuis longtemps à cette possibilité de reconnaître l'État de Palestine. Ce sont des pays qui ont toujours été en pointe sur cette question du conflit israélo-palestinien. Il faut se souvenir que la Norvège était quand même le pays qui a joué un rôle important au moment des accords d'Oslo, que l'Espagne a [aussi] joué un rôle important dans ces mêmes accords, en organisant avant la conférence de Madrid. L'Irlande a toujours été dans cette voie-là. Donc c'est une vieille histoire.Je pense que ce qui vient de se passer depuis six mois, sept mois, a simplement rappelé l'urgence de penser à un règlement politique global pour en finir avec ces guerres et ces tragédies. Et je crois que c'est ça l'élément déclencheur. Et ça a beaucoup sensibilisé les opinions publiques et un certain nombre de gouvernements sensibles, eux aussi, à leur opinion publique.Je crois que c'est l'idée que, comme ils l'ont d'ailleurs exprimé au moment de cette reconnaissance, il faut sortir de cet enchaînement de violence et de guerres, de guerres sans fin. Et donc le seul moyen, c'est un règlement politique, et la seule solution d'un règlement politique, c'est évidemment une solution à deux États.Et si on parle en ces termes, ça veut dire qu'il faut commencer par dire les choses très simplement : Israël a des besoins de sécurité, mais est un État constitué et reconnu. Il faut que les Palestiniens aient aussi le leur. Je crois que c'est ça la logique de leur démarche qui a été évidemment précipitée par les drames que l'on voit à Gaza depuis maintenant sept mois.Avec ce message de la Norvège, par exemple, ce mercredi matin, qui dit vouloir encourager les modérés des deux côtés. Les positions sont quand même assez différentes au sein de l'Union européenne. Le ministre français des Affaires étrangères a réagi tout à l'heure en expliquant que la question n'était pas taboue, mais que ce n'était pas le bon moment pour,ce que le Quai d'Orsay appelle un « outil diplomatique ». Vous pensez que Paris viendra un moment à cette reconnaissance ?Il faut rappeler que le Sénat et l'Assemblée nationale en France, il y a dix ans exactement, ont demandé au gouvernement de reconnaître l'État de Palestine. On a un peu oublié ces deux résolutions, mais il faut les rappeler quand même.Et donc ça fait dix ans que ce sujet est sur la table en réalité. Ce n'est pas simplement que ce n'est pas tabou, c'est un débat qui a été très souvent évoqué et puis abandonné ces dernières années, en tout cas ces deux, trois dernières années, parce qu'on pensait que la question palestinienne était finalement, quelque part, marginalisée et passée pour profits et pertes. Et puis le 7 octobre a réveillé tout ça, évidemment. Et tout ce qui s'est ensuivi par la suite a fait qu'on se rend bien compte de l'urgence du règlement politique.La France, là-dessus, a une position très claire en termes de perspectives. Elle est aussi sur l'idée d'une solution à deux États, mais elle reste très timorée, très hésitante sur le moment de la décision de le faire. Donc, on n'arrête pas d'avoir ces déclarations en demi-teintes, mais qui ne sont pas très efficaces, à moins qu'ils ne préparent une initiative plus forte pour faire en sorte que la reconnaissance de l'État de Palestine puisse être au fond un premier pas vers un processus de négociation.Mais on n'en est pas là et le danger de dire « on le fera le moment venu », c'est que ce moment venu n'arrive jamais. Donc, je crois qu'à un moment donné, il faut prendre ses responsabilités. Et c'est un peu dommage que la France n'ait pas saisie cette occasion de ces pays du cœur de l'Europe de l'Ouest de faire cette démarche qui permettait de poser clairement les problèmes et montrer que la seule perspective était celle d'un règlement politique, un règlement de paix, sur la base des résolutions des Nations unies, ni plus ni moins.D'autant que ces pays ne cachent pas leur intention d'en convaincre d'autres de les suivre, de se rallier à cette position de reconnaître un État palestinien. Là, on parle bien de position nationale. Le seul vrai instrument de reconnaissance, en fait, ce sont les Nations unies. Et si on a vu que les soutiens étaient plus nombreux pour la Palestine lors des derniers votes sur la question, ça ne change pas. Qu'est-ce qui bloque à l'ONU ?À l'ONU, on l'a vu très clairement - et d'ailleurs, ça montre aussi une contradiction de la politique française - il y a eu une résolution au Conseil de sécurité des Nations unies qui demandait l'admission de la Palestine comme État à part entière aux Nations unies, ce qui aurait été un moment très important. La France a voté ce texte, la Grande-Bretagne s'est abstenue et on a eu, comme c'est le cas dans ces situations-là, un veto des États-Unis. Donc ce qui bloque, ce sont clairement les États-Unis. Ce sont eux qui, à la fois, prétendent qu'il faut un « après » cette guerre et qu'il faut réfléchir à un règlement politique et qui, en même temps, bloquent les initiatives aussi importantes que celles dont je viens de parler.Et la France est un peu dans une contradiction lorsqu'elle vote pour l'admission de l'État de Palestine aux Nations unies et en même temps tergiverse sur la question de la reconnaissance de cet État, par nous-mêmes. Et qu'est-ce que ça change, une reconnaissance ? Qu'est-ce que ça a comme conséquence au niveau international pour les Palestiniens ?Prenons les choses à l'envers : si vous prenez la géopolitique mondiale, où sont les États qui n'ont pas reconnu l'État de Palestine ? On peut résumer les choses en disant que c'est l'Ouest, c'est l'Occident, et en particulier l'Europe de l'Ouest et les États-Unis. Même le Canada est en train de réfléchir à son tour. Donc pour les Palestiniens, ça veut dire que là où est le noyau dur du refus, il est en train de se fissurer. Au cœur de l'Europe de l'Ouest, il y a des États qui franchissent le pas. Et pour les Palestiniens, c'est très important en termes de rapport de force sur le plan diplomatique.Si vous prenez l'Asie, l'Amérique latine, l'Afrique, il y a de très larges majorités en faveur de la reconnaissance de la Palestine depuis longtemps. Donc, il reste ce bloc de l'Europe de l'Ouest. Et finalement, dans l'Europe de l'Ouest aujourd'hui, il y a cette fissure : il y a les trois États dont on vient de parler, la Slovénie n'en est pas loin, Malte [aussi], la Suède, dont on ne parle pas, l'a fait en 2014... tous les États qui étaient autrefois des pays socialistes avant d'entrer dans l'Union européenne ont aussi reconnu l'État de Palestine.Finalement, il reste les Pays-Bas, la Belgique aussi est prête à le faire... il y a vraiment une vraie fissure au sein des Européens de l'Ouest surtout. Pour les Palestiniens, c'est effectivement une victoire. L'OLP parle de victoire historique, c'est peut-être un peu excessif, mais en tout cas, c'est vrai que pour eux, c'est très important de voir qu'une bonne partie de l'Occident reconnaît ce qui est au fond une chose assez élémentaire, leur droit à avoir un État, comme l'affirment depuis si longtemps les résolutions des Nations unies.Avec une question de positionnement politique palestinien aussi qui se joue ?Je crois que les Palestiniens n'ont pas d'autres cartes aujourd'hui, compte tenu des contradictions malheureuses qui, elles, sont très lourdes entre le Hamas et le Fatah. C'est vrai qu'ils ont une carte à jouer, c'est la diplomatie, ce qu'ils font depuis longtemps. Ils l'ont fait aux Nations unies, ils l'ont fait de manière bilatérale et puis ils l'ont fait aussi à la Cour pénale internationale, avec le résultat que l'on sait puisqu'ils ont déposé des plaintes. Ces plaintes ont abouti. Donc, ils sont de plus en plus forts sur le plan diplomatique et ça pose évidemment des problèmes majeurs pour Israël.À lire aussiL'Espagne, l'Irlande et la Norvège vont reconnaître un État palestinien
[Saison 3] Utiliser le cours noyau pour faciliter la mise en œuvre de la différenciation au lycéeDans sa classe à Dijon, Michael, professeur d'histoire géographie en lycée propose à ses élèves une séance d'approfondissement durant laquelle ils auront le choix entre plusieurs activités selon les sujets et compétences qu'ils ont envie de travailler.En prenant le temps de travailler individuellement avec chacun d'entre eux, l'enseignant leur apporte à la fois les clés de la pensée critique et celle d'un apprentissage réussi.Retrouve les ressources d'EtrePROF et les informations en suivant les liens :Blog de Mickael sur l'approche géopolitique : http://tinyurl.com/blog-geopolitiqueSite internet du cours noyau de Mickael : http://tinyurl.com/cours-noyau-de-mickaelBoîte à outils - Différencier avec le numérique d'EtrePROF : http://tinyurl.com/differencier-avec-le-numerique Une série audio animée par Nathalie Dreyfus, enregistrée par Yannis Do Couto, réalisée et mixée par Benjamin Macé, et produite par Lacmé Production.
Trois questions scientifiques par semaine !
Savez-vous quelle est la prochaine menace qui va peser sur le Multivers de Magic: The Gathering ? On a peut-être un début de réponse avec ce nouvel épisode de notre série dédiée au lore de MTG : Fait ou Fiction. On continue de retracer le mythe d'Ixalan, ponctué par une période sombre où d'étranges envahisseurs ont débarqué dans le Noyau... Avant de remonter le fil jusqu'à l'époque actuelle !
Connaissez-vous les origines du monde d'Ixalan ? Plongez jusqu'au Noyau dans sa superbe mythologie, comprenez ses dieux et sa terrible Histoire dans la première partie de ce Fait ou Fiction très immersif !
Composé d'un alliage de fer et de nickel, le noyau interne de la Terre, épais d'environ 35 kilomètres, affecte la forme d'une boule, d'un rayon d'environ 1.220 kilomètres. Malgré les températures très élevées qui y règnent, ce noyau interne, du fait des très fortes pressions qui s'exercent sur lui, est bien composé, contrairement au noyau externe, d'éléments solides.Des études précédentes ont déjà révélé le comportement particulier de cette partie centrale de notre planète. Tout comme la Terre, son noyau interne, qu'on appelle parfois "graine", tourne sur lui-même. Mais, comme l'ont montré ces études, il ne tourne pas à la même vitesse que les autres composantes de la Terre, comme le manteau ou le noyau externe, composé de métaux en fusion animés de mouvements rapides.De nouvelles recherches viennent confirmer la singularité du noyau interne. En effet, les chercheurs ont constaté que ce noyau se mettait à osciller autour de son axe de rotation, un peu à la manière d'une toupie.Et il le ferait par périodes, selon un cycle d'environ 8 ans et demi.Ces recherches ont également mis en évidence un léger décalage dans l'alignement des axes de rotation du manteau et du noyau interne de la Terre. On croyait plutôt, jusque là, à un alignement de ces deux axes de rotation.L'oscillation périodique de la "graine" dont nous avons parlé est sans doute due, selon les scientifiques, à ce léger décalage dans le mouvement du manteau et du noyau interne. Un phénomène qui explique sans doute aussi les légères différences de densité à l'intérieur même du noyau interne. Il serait notamment plus dense dans sa partie nord-ouest.Ces découvertes permettront d'en apprendre davantage sur ce cœur solide de notre planète et sur la manière dont il fonctionne. Il serait ainsi possible de mieux comprendre les liens qui unissent sans doute le comportement du noyau interne et certains phénomènes, comme les variations du champ magnétique terrestre et le déclenchement des tremblements de terre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Composé d'un alliage de fer et de nickel, le noyau interne de la Terre, épais d'environ 35 kilomètres, affecte la forme d'une boule, d'un rayon d'environ 1.220 kilomètres. Malgré les températures très élevées qui y règnent, ce noyau interne, du fait des très fortes pressions qui s'exercent sur lui, est bien composé, contrairement au noyau externe, d'éléments solides. Des études précédentes ont déjà révélé le comportement particulier de cette partie centrale de notre planète. Tout comme la Terre, son noyau interne, qu'on appelle parfois "graine", tourne sur lui-même. Mais, comme l'ont montré ces études, il ne tourne pas à la même vitesse que les autres composantes de la Terre, comme le manteau ou le noyau externe, composé de métaux en fusion animés de mouvements rapides. De nouvelles recherches viennent confirmer la singularité du noyau interne. En effet, les chercheurs ont constaté que ce noyau se mettait à osciller autour de son axe de rotation, un peu à la manière d'une toupie. Et il le ferait par périodes, selon un cycle d'environ 8 ans et demi. Ces recherches ont également mis en évidence un léger décalage dans l'alignement des axes de rotation du manteau et du noyau interne de la Terre. On croyait plutôt, jusque là, à un alignement de ces deux axes de rotation. L'oscillation périodique de la "graine" dont nous avons parlé est sans doute due, selon les scientifiques, à ce léger décalage dans le mouvement du manteau et du noyau interne. Un phénomène qui explique sans doute aussi les légères différences de densité à l'intérieur même du noyau interne. Il serait notamment plus dense dans sa partie nord-ouest. Ces découvertes permettront d'en apprendre davantage sur ce cœur solide de notre planète et sur la manière dont il fonctionne. Il serait ainsi possible de mieux comprendre les liens qui unissent sans doute le comportement du noyau interne et certains phénomènes, comme les variations du champ magnétique terrestre et le déclenchement des tremblements de terre. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'anomalie de la structure interne de Mars a enfin été élucidée ! Deux études distinctes publiées dans la revue scientifique britannique Nature, le 25 octobre 2023, ont révélé que le noyau de la planète rouge était en réalité beaucoup plus petit que ce que les chercheurs avaient précédemment envisagé. En septembre 2021, une météorite s'est écrasée sur la planète Mars. Cet événement a fourni au sismomètre de nouvelles données qui ont poussé les scientifiques à revoir leurs connaissances sur la planète. Ils ont découvert que le noyau de Mars est en vérité constitué d'une fine couche de roche qui l'entoure, son rayon ne mesure plus que 1650 kilomètres. Qu'est-ce que le noyau d'une planète ? Comment s'en sont-ils aperçus ? Qu'est-ce que cela change ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Qu'est-ce que la galaxie du Tourbillon ? Pourquoi voit-on moins d'étoiles dans le ciel ? Est-on menacé par l'astéroïde City Killer ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les données sismiques martiennnes enregistrées suite à l'impact d'une grosse météorite en septembre a permis à deux équipes de chercheurs de déterminer la structure interne de Mars. Surprise : le noyau de la planète rouge est plus petit que ce que l'on pensait et il existe une couche de roche en fusion entre le noyau et le manteau rocheux, qu'on ne connaissait pas. Cela permet de mieux comprendre l'histoire de la formation de Mars. Les deux articles sont publiés dans Nature.https://www.ca-se-passe-la-haut.fr/2023/10/le-noyau-de-mars-entoure-par-une-couche.html Sources Geophysical evidence for an enriched molten silicate layer above Mars's coreHenri Samuel et al.Nature volume 622, pages712–717 (25 october 2023)https://doi.org/10.1038/s41586-023-06601-8 Evidence for a liquid silicate layer atop the Martian coreAmir Khan et al.Nature volume 622, pages718–723 (25 october 2023)https://doi.org/10.1038/s41586-023-06586-4
Est-ce que c'est vrai qu'il y a de la lave sous nos pieds ?Au vue des incroyables éruptions volcaniques que nous pouvons vivre, il semble que les continents flottent sur du magma en fusion. Mais est-ce que la composition de la Terre est aussi facile à décrire ? Melissa vous en dit plus, dans Science ou Fiction.
Episode 197 de Super Ciné Battle, le podcast où nous établissons le classement ultime du cinéma. Nous prenons vos listes que vous nous adressez pour les classer, du meilleur au pire afin d'obtenir LA liste ultime. Toujours dans les années 60 mais on va délaisser les Kaijus pour s'attaquer à quelques gros morceaux de la décennie. France, Italie, USA, c'est un véritable tour du monde qui est au programme. En plus, nos joyeux marbreurs se permettent un petit détour vers l'actualité des salles de ciné, comme une sorte de paradoxe temporel ! On attend vos listes de TROIS fims des années 60 à supercinebattle (at) gmail (point) com. N'hésitez pas à nous renvoyer vos anciennes mises à jour ou d'autres encore. Soyez originaux, soyez bons, changez rien. Les recommandations (vers 1h42) Stéphane : Le jeu de société It's a Wonderful World Daniel : Le livre Les Naufragés du Wager de David Grann Montage : SB Plus que jamais, un immense merci à tous ceux qui nous soutiennent sur Patreon !
Manger des fruits n'est pas sans danger. Disons qu'il ne faut pas avaler le noyau... D'une part, pour ne pas s'étouffer, mais aussi parce que celui-ci comporte... du cyanure ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Une équipe d'astrophysiciens français vient de révéler la structure interne de la Lune, qui était encore très mal connue. Ils démontrent l'existence d'un noyau solide et offrent une explication à la présence de matériaux riches en fer à la surface de la Lune. Ils publient leur étude dans Nature.
L'étude des ondes provoquées par les séismes a permis aux scientifiques de préciser, dès les années 1930, la composition du noyau, la partie centrale de notre planète. En réalité, ce noyau est lui-même composé de deux parties, le noyau interne et le noyau externe. La partie la plus centrale, le noyau interne, est solide. Elle est surtout composée de fer, à hauteur de 80 %, et, pour le reste, de nickel. Le noyau interne est entouré d'un noyau externe, toujours composé, en majorité, de fer et de nickel, mais, cette fois-ci, à l'état liquide. Ainsi constitué, le noyau interne tourne par rapport au manteau, cette zone située entre la croûte et le noyau externe. Cette rotation est liée à la fois au champ magnétique terrestre, produit lui-même par les mouvements du noyau externe, et à l'influence du manteau. Or l'étude des ondes sismiques suggère que ce mouvement de rotation du noyau interne n'est pas toujours semblable. Il semble parfois s'accélérer, on parle alors de super-rotation, ou ralentir, dans des périodes qualifiées de sous-rotation. Pour certains scientifiques, cette rotation serait réglée selon un mode alternatif. La sous-rotation succéderait ainsi à la super-rotation, et vice versa. Chaque état durerait plusieurs décennies. Certaines analyses portent à croire que le noyau interne de la Terre aurait tourné plus vite, par rapport au manteau, surtout depuis 1971. Puis un changement majeur aurait eu lieu en 2009. Cette année-là, en effet, la rotation du noyau interne se serait ralentie. On aurait donc pu passer, dès cette époque, d'une super-rotation à un nouvel état de sous-rotation. Il est à noter que tous les scientifiques ne sont pas d'accord avec cette hypothèse. Certains pensent en effet que les modifications de vitesse de propagation des ondes sismiques, sur lesquelles se basent les scientifiques tenants d'une rotation rapide du noyau interne, ne seraient pas dues à ces mouvements du noyau interne mais à des changements physiques qui s'y produiraient. Il sera sans doute nécessaire, pour trancher le débat, de recueillir des données plus nombreuses, notamment sur le comportement des ondes sismiques. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'étude des ondes provoquées par les séismes a permis aux scientifiques de préciser, dès les années 1930, la composition du noyau, la partie centrale de notre planète.En réalité, ce noyau est lui-même composé de deux parties, le noyau interne et le noyau externe. La partie la plus centrale, le noyau interne, est solide. Elle est surtout composée de fer, à hauteur de 80 %, et, pour le reste, de nickel.Le noyau interne est entouré d'un noyau externe, toujours composé, en majorité, de fer et de nickel, mais, cette fois-ci, à l'état liquide.Ainsi constitué, le noyau interne tourne par rapport au manteau, cette zone située entre la croûte et le noyau externe. Cette rotation est liée à la fois au champ magnétique terrestre, produit lui-même par les mouvements du noyau externe, et à l'influence du manteau.Or l'étude des ondes sismiques suggère que ce mouvement de rotation du noyau interne n'est pas toujours semblable. Il semble parfois s'accélérer, on parle alors de super-rotation, ou ralentir, dans des périodes qualifiées de sous-rotation.Pour certains scientifiques, cette rotation serait réglée selon un mode alternatif. La sous-rotation succéderait ainsi à la super-rotation, et vice versa. Chaque état durerait plusieurs décennies.Certaines analyses portent à croire que le noyau interne de la Terre aurait tourné plus vite, par rapport au manteau, surtout depuis 1971. Puis un changement majeur aurait eu lieu en 2009.Cette année-là, en effet, la rotation du noyau interne se serait ralentie. On aurait donc pu passer, dès cette époque, d'une super-rotation à un nouvel état de sous-rotation.Il est à noter que tous les scientifiques ne sont pas d'accord avec cette hypothèse. Certains pensent en effet que les modifications de vitesse de propagation des ondes sismiques, sur lesquelles se basent les scientifiques tenants d'une rotation rapide du noyau interne, ne seraient pas dues à ces mouvements du noyau interne mais à des changements physiques qui s'y produiraient.Il sera sans doute nécessaire, pour trancher le débat, de recueillir des données plus nombreuses, notamment sur le comportement des ondes sismiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous l'avez peut-être lu ou entendu ces derniers jours, une étude chinoise récente aurait dit que le noyau terrestre aurait carrément cessé de tourner et pourrait même être parti dans l'autre sens. Ce n'est pas le cas. Alors qu'en est-il? Avec Baptiste Zapirain et Charles TrahanPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour cette semaine du 23 janvier : le noyau interne de la Terre, Terminator 2 dans la vraie vie, l'horloge de l'apocalypse, un voyage vers Mars en 45 jours et un médicament contre le vieillissement. Bonne écoute et bon week-end !
Deux chercheurs de l'Université nationale d'Australie ont analysé les données sismiques martiennes transmises par l'atterrisseur Mars Insight et parviennent à en déduire la taille du noyau de la planète rouge : 3624 km de diamètre, pour une planète qui fait 6779 km de diamètre. Leur étude est publiée dans Nature Astronomy.
Si j'avais su au moment de la création de Vision(s), en 2019, que j'inviterais un jour à mon micro Harry Gruyaert, membre de l'agence Magnum, pionnier européen de la photographie couleur, je ne l'aurais jamais cru. Et pourtant me voici face à lui, pour mon plus grand plaisir. « Tu sais, je ne suis pas très verbal… », c'est l'une des premières phrases qu'il a prononcée après avoir passé la porte de son studio situé en plein Marais, à Paris. Au premier abord, Harry semble un peu méfiant. Ne connaissant pas l'univers du podcast, le faire participer n'a pas été une mince affaire. À 81 ans, le photographe belge ne fait pas confiance à tout le monde. Je le comprends assez vite ; au bout du troisième ou quatrième rendez-vous, il commence déjà à se détendre. Finalement, je reste avec lui un peu plus de quatre heures. Il me montre son nouveau livre Between Worlds, publié chez EXB, certains tirages accrochés au mur ou empilés sur la table, ses films appelés A Sense of Place, imaginés avec sa galerie Fifty one. Il m'accorde beaucoup de temps, un temps pourtant précieux pour ce photographe compulsif. En repartant, j'ai le sourire aux lèvres. Je le vois passer à côté de moi à toute vitesse, en vélo. Un instant suspendu.
Dans cet episode nous allons au coeur du systeme d'exploitation linux pour comprendre sa composition, comment il marche et comment faire l'administration. Invites Seydina Issa PATE (Auditeur IT) linkedIn Programme Q1 : Avant d'entrer dans le vif du sujet pouvez-vous nous rappeler ce qu'aient un système d'exploitation et son utilité dans nos Pcs ? Q2 : C'est quoi linux, pouvez-vous nous parler un peu de son histoire et ces principales caractéristiques ? (multitache, multi-utilisateur) Q3 : Pourquoi les différentes versions de linux et qu'est-ce qu'elles ont en commun ? Q4 : Pouvez-vous nous parler du noyau de linux et à quoi sert-il ? quel est son rôle ? Est-il accessible à tout le monde ? Q5 : Dans la partie hardware de nos ordinateurs nous distinguons plusieurs ressources matérielles telles que les E / S (réseau, stockage, graphiques et divers périphériques d'interface utilisateur, etc.), la mémoire et le processeur. Comment le noyau fait la gestion de tout ça pour assurer le démarrage du système et son bon fonctionnement ? Q6 : C'est quoi l'administration des systèmes linux et en quoi consiste-t-elle ? Q7 : Quelle est l'utilité du CLI et des commandes linux dans ce processus d'administration du system ? Q8 : En fonction des cas d'usages, Ya-il des distributions de linux plus adaptées que d'autres ? pourquoi ? comment faire un bon choix ? Q9 : Comment faire pour avoir les sources du noyau de linux ? que faut -il pour être contributeur et ou développer sa propre distribution ? Q10 : Quels sont les conseils que vous donnez à toutes les personnes qui s'intéressent à l'administration l'linux ? (tips et astuces) Q11 : votre mot de la fin ? Sponsors : - Yobbalema • Vidéo Présentation : https://www.youtube.com/watch?v=CQWl026rbaM • Play Store : Passager:https:bit.ly/39NJFqL Conducteur:http://bit.ly/2W7lHTv • Apple Store : Passager:https://apple.co/38LTrsr Conducteur:https://apple.co/39MTQMq •Site: https://www.yobbalema.sn/ •Whatsapp:+221 76 335 14 91 - Raq Taq • Site web : https://www.raq-taq.com/ • Play Store : https://bit.ly/3vve2gY • Apple Store : https://apple.co/38JOrqP
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. C'est à l'agence de photographes VU', au mois de septembre 2021, que je rencontre Denis Dailleux pour la première fois. Je viens d'y commencer un stage, la photographie est nouvelle pour moi. Et je ne le sais pas encore, mais je m'apprête à découvrir l'univers incroyablement tendre, subtil, atemporel, de ce photographe qui aime les gens et sublime les corps. Lors de nos rendez-vous de travail à l'agence VU', il me confie son histoire, ses voyages, ses doutes, et son rapport intime, quasi viscéral, à la photographie. Il parle longuement, doucement, digresse souvent, et moi j'écris. Une relation d'écoute et de bienveillance mutuelle se tisse progressivement. Pour ce podcast, c'est à peu près le même exercice, devenu assez naturel entre nous. Il me reçoit chez lui un soir de printemps, dans sa jolie maison de Pierrefitte-sur-Seine. Timide et généreux, il y cultive les fleurs comme il photographie les gens : avec délicatesse, humilité et exigence. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. De loin, je le regarde parler. Le crâne complètement rasé, une longue barbe touffue et un corps longiligne. Il arbore un sourire franc. La première fois que je rencontre Louis Canadas, c'est lors de la signature de son nouveau livre Tour, publié aux éditions Secondes. Je suis cependant avec attention le travail de ce photographe depuis quelques années. Quand on parcourt son site ou son Instagram, on a un aperçu de son intrigant travail. Ce qui frappe en premier ? Je ne pourrais pas dire. Peut-être son username « supercomportement », les couleurs surnaturelles de ses photos, ses compositions, souvent penchées, complexes. Tiens, Michel Drucker moulé en tenue de vélo. Un peu plus bas, un marathon nudiste. On scrolle, on scrolle. Encore plus bas, Jean Claude Van Damme, l'air nostalgique, avec une lumière dorée, très bling bling. Louis Canadas semble laisser court à son imagination débordante. Le bon sens et les codes qui pourraient créer une « bonne photographie » semblent peu l'intéresser. Ça tombe bien, moi non plus. Remplissez vos gourdes, enfilez un short, ça va être sportif. Bonne écoute. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. La première chose qui m'a frappé quand j'ai vu les photos de Cha Gonzalez, c'est la lumière. Une maîtrise de la lumière, dans des lieux pourtant souvent très sombres, que je n'avais vue nulle part ailleurs. Et puis vient l'aspect pictural. On pourrait croire que toutes ses photos ont été soigneusement composées et mises en scène : les mouvements, les gestes, les regards. Pourtant, la plupart de ses images ont été prises sur le vif, à la manière d'un photographe de rue. Cette pratique photographique qui a été son « premier amour » – après la peinture et le dessin. Elle déclenche toujours au bon moment, celui qui nous fait ressentir en tant que spectateur des émotions profondes, parfois insoupçonnées. J'étais donc très content de pouvoir enregistrer ce podcast. Entre deux reportages pour Libération, le rendez-vous est donné à Paris, dans le 11ème arrondissement. Laissez-vous embarquer dans l'univers de Cha Gonzalez, accompagné par le son techno du producteur et DJ, Sina XX. Excellente écoute ! ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. En 2019, je me rends en Normandie à l'occasion du Prix Bayeux, pour enregistrer un podcast sur la photographie de guerre avec Edouard Elias et Sandra Calligaro. À cette occasion, je rencontre Adrien Vautier, lui-même photoreporter. Boule à Z, de nombreux tatouages, un débit de parole élevé, toujours bien entouré, la plupart du temps de ses collègues photographes rencontrés sur le terrain. En discutant avec lui, je décèle tout de suite une grande sensibilité. On se retrouve finalement quelques années plus tard pour enregistrer ce podcast et parler de son fascinant parcours. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le photographe d'une trentaine d'années maîtrise l'art du storytelling, et c'est assez rare pour le souligner. Le podcast est long dans sa durée mais s'écoute très facilement. On vous laisse plonger dans ce Vision numéro 33 à votre rythme, bonne écoute. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. Chaque année, l'agence Magnum Photos vote pour intégrer à sa prestigieuse liste de photographes de nouvelles recrues. La Libanaise Myriam Boulos (ainsi que le Français William Keo) ont été sélectionnés comme nominés à l'issue de la 74e assemblée générale. C'est ainsi que j'ai découvert le travail de cette talentueuse photographe. Rendez-vous à Paris pour un entretien un peu plus court que d'habitude mais riche en contenu et en musique. L'habillage sonore est signé Habibi Funk, label de réédition basé à Berlin, dédié à la musique du monde arabe. Une petite voix timide mais affirmée, Myriam Boulos introduit son univers en nous décrivant une photo très simple mais touchante : une toute petite fleur jaune qui semble léviter à l'intérieur d'une main élégante, celle de sa grand-mère. Bonne écoute. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Vivez l'expérience l'expérience Creative Cloud : http://urlr.me/xtDGT
Cas très rare dans Vision(s) : dans ce podcast sous le format Épisode, nous évoquons une actualité chaude, l'élection présidentielle. À travers le prisme de la photographie, bien entendu. Pour ce faire, j'ai le grand plaisir de m'entretenir avec Agnès Dherbeys et Stéphane Lagoutte, deux photographes membres de l'agence Myop, spécialisée dans la photographie documentaire et le photo-reportage. Rendez-vous à Bastille dans notre petit studio d'enregistrement pour un échange qui, je l'espère, sera aussi intéressant pour moi que pour vous. Agnès Dherbeys est née en Corée du Sud en 1976 et grandit en France. Photographe au parcours empirique, elle fait des études en journalisme puis rencontre un photographe et s'installe en Thaïlande. Elle apprend sur le terrain et se retrouve très rapidement à couvrir une actualité chaude et, comme elle l'explique dans le podcast, « l'histoire qui se déroule sous ses yeux ». Une bonne école pour la suite de sa carrière. Né en 1974, Stéphane Lagoutte fait des études en arts plastiques puis se lance dans une carrière de photographe, principalement d'actualité, couvrant des sujets de société. Après quelques années, il revient à une photo plus plasticienne et documentaire, qui interroge le médium, en parallèle d'une carrière de photographe de presse. Les deux photographes ont couvert les élections présidentielles actuelles. C'était déjà le cas de Stéphane, qui avait, en 2016, eu un parti pris photographique fort en couvrant les élections au flash, avec une lumière très directe, en réalisant des portraits qui font penser parfois à du Bruce Gilden. « Mais avec moins cette volonté de faire ressortir la matière de manière excessive », selon lui. Cela permettait au spectateur de voir de façon très crue les expressions du visage, parfois les défauts, les traces, la fatigue. Agnès, quant à elle, s'intéresse aux détails, aux expressions, souvent des grimaces, avec une post-production et un format particulier, souvent vertical. Dans ce podcast, je pose plusieurs questions. En voici quelques-unes. Comment photographier la présidentielle ? Comment déclencher quand on travaille pour un organe de presse impliqué politiquement, que ce soit à gauche ou à droite ? La neutralité journalistique existe-elle encore ? Comment être singulier et s'éloigner parfois de la photographie reportage « classique » ? Nous évoquons également, entre autres, la notion de temps en photographie de presse, le poids des images et leur partage, parfois à tort, sur les réseaux sociaux, le rapport au portrait officiel de campagne, un projet collectif appelé Politique, Paillettes sorti en 2017… Excellente écoute. Politique Paillettes est disponible dans son intégralité et gratuitement : https://online.flippingbook.com/view/858169289/
Quels sont les besoins des Texans à la Draft ? Qui peuvent-ils sélectionner ?C'est l'heure de leur pastille preview !Bonne écoute ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode…#JusticePourAlicia. Un prof à bout de nerfs. Que feriez-vous si la peur n'était pas un facteur dans votre vie? N'oubliez pas, «Il faut manger l'épis de maïs tant qu'on a des dents.» Posez-nous vos questions ; “Question pour une yaya” sur : Instagram @lesyayaspodcast Facebook @lesyayaspodcast Gmail lesyayaspodcast@gmail.com
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. Pour ce podcast, j'ai rendez-vous en plein Marais, dans le 3ème arrondissement de Paris. Grégoire Eloy, gagnant du Prix Niepce 2021, m'accueille d'une voix douce et posée, un œil porté sur l'ouvrier qui termine les travaux dans la cour extérieure. Nous prenons le temps de discuter. Grégoire semble être un vrai passionné, au vu de la grande bibliothèque remplie de livres photos qui longe l'escalier. « Ça, c'est la rangée des livres scandinaves, là il y a les livres japonais. Les français sont là. Tiens, il manque un livre. » Quel bonheur de se retrouver avec un photographe qui transmet un tel enthousiasme ! Nous commençons l'enregistrement. Sa fille, qui rentre de l'école, se place dans l'escalier « pour capter le wifi » et aussi sûrement, pour écouter son père. Le chat familial, très craintif, fait des allers-retours à pas feutrés. Une heure de discussion captivante. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Vivez l'expérience l'expérience Creative Cloud : http://urlr.me/xtDGT
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. « Nous sommes transfuges à notre classe de la même façon que les esclaves marrons l'étaient en échappant à l'esclavage et en devenant des hommes et des femmes libres, c'est-à-dire que c'est pour nous une nécessité absolue, et comme pour eux et pour elles, notre survie exige de contribuer de toutes nos forces à la destruction de la classe et cela ne peut s'accomplir que par la destruction de l'hétérosexualité comme système social basé sur l'oppression et l'appropriation des femmes par les hommes... ». Le 30ème sous notre format Vision commence avec la lecture d'un extrait de La pensée Straight de Monica Wittig. Le ton est donné. J'ai rendez-vous dans le 12ème arrondissement avec Nicola Lo Calzo, « photographe, artiste queer et enseignant-chercheur », comme l'indique sa biographie. L'appartement de Nicola se situe dans l'un des derniers étages d'un grand immeuble, qui surplombe tout Paris. Une magnifique lumière douce entre dans la pièce du salon en cette matinée d'automne. Une odeur de café se propage. Comme tout Italien qui se respecte, Nicola fait lui aussi du très bon café. Des yeux vifs, un débit de parole très rapide. Il me présente tout d'abord ses différents livres, publiés principalement aux éditions Kehrer et André Frère. Ses propos m'intéressent et me captivent presque instantanément. ☄️ Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
Extrait d'Un amour de Swann, Marcel Proust Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chaque vision est singulière, porteuse de sens et de changement. Le but de ce format est de rassembler de nombreux artistes et que chacun nous délivre sa vision et son expérience de la photographie. Le podcast se lance sous fond de musique de propagande à la gloire de Mao Zedong. Patrick Wack, notre invité, nous décrit d'une voix calme et posée sa rencontre tout à fait singulière avec un pèlerin habillé en uniforme de garde rouge dans les montagnes du Tibet. Un ghetto-blaster autour du cou, il pose fièrement. On s'imagine nous aussi au milieu des montagnes, entendant cette mélodie et ce chant assonant. Fermons les yeux et plongeons-nous dans le décor. Nous vous souhaitons une très belle écoute. ☄️Ce podcast a été propulsé par Adobe France. Essayez gratuitement Lightroom pendant 7 jours : http://urlr.me/HbxDw
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This concept from animal ethology can go a long way about explaining human aggression. For more such musings delve in to the Indigenous Ability blog. --- Support this podcast: https://anchor.fm/mark-hatmaker/support