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Il a transformé trois semaines de prison en best-seller, une lourde condamnation en bruyante indignation et un interminable feuilleton judiciaire en efficace opération de communication. Nicolas Sarkozy revient.Prophète pour les uns, traître pour les autres, il fait aujourd'hui exploser un tabou à droite : l'alliance avec le Rassemblement national.L'ancien président tend aujourd'hui la main à Jordan Bardella… pendant que celui-ci, à Londres, choisit d'honorer la mémoire du général de Gaulle et son esprit de résistance.Alors, Nicolas Sarkozy agit-il en éclaireur… ou en fossoyeur de sa propre famille politique ? Cette ouverture vers le RN marque-t-elle une rupture tactique, ou une bascule idéologique durable à droite ? Ouvre-t-elle la voie à une victoire du RN en 2027 ?Virginie TISSERANT Docteure en histoire politique contemporaine, chercheuse associée au laboratoire Telemme-CNRSPauline DE SAINT REMY Directrice adjointe de la rédaction de PoliticoCamille PASCAL Historien, écrivain, haut fonctionnaire, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et Jean Castex, auteur de « La reine du labyrinthe / La vérité sur l'affaire du Collier» aux éditions Robert Laffont (29.08.24)Baptiste ROGER-LACAN Historien, chargé de recherches à la Fondation Napoléon, enseignant à l'Institut catholique de Paris et à Sciences Po, directeur de l'ouvrage "Nouvelle histoire de l'extrême droite. France 1780-2025" aux éditions du Seuil (10.10.25)Thierry PECH Directeur général de Terra Nova, co-auteur de « Marine Le Pen Présidente. Dystopie politique. 2026-2029» aux éditions Les Petits matins (16.01.25)
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 décembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LA SÉCURITÉ SOCIALE A 80 ANSNé en 1945 dans l'élan du Conseil national de la Résistance, l'État-providence français avait une ambition fondatrice : protéger chacun contre les grands risques de la vie. Il commence par la création de la Sécurité sociale et du régime de retraite par répartition, à une époque où 5 actifs soutenaient un retraité (contre 1,7 aujourd'hui). Les décennies suivantes ont vu un élargissement progressif du socle, au-delà de la seule logique assurantielle. Quatre-vingts ans plus tard, la Sécurité sociale n'a pas perdu l'amour des Français, ni, à leurs yeux, son attribut le plus précieux : l'universalité. Près de 80 % la considèrent comme la meilleure au monde et 85 % jugent impératif de maintenir une couverture universelle, sans distinction de revenus, selon un sondage Ifop de mars 2025. Mais elle traverse aujourd'hui une nouvelle crise grave. Le déficit record de l'assurance-maladie prévu cette année - 23 milliards en 2025 (contre 17,2 milliards en 2024) - interroge sur la capacité du système à perdurer. Et la pression démographique menace de le faire dériver encore plus, tandis que le vieillissement démographique déséquilibre autant le système de santé que celui des retraites en déficit elles de 6,6 milliards d'euros pour cette année. Un vieillissement à prendre d'autant plus en compte que les dépenses de santé augmentent exponentiellement avec l'âge. D'après la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, en 2021, la dépense annuelle moyenne a été de 1.114 euros pour les moins de 20 ans, 1.632 euros pour les 21-40 ans, 2.717 euros pour les 41-60 ans, 4.498 euros pour les 61-70 ans, 6.291 euros pour les 71-80 ans et 8.529 euros pour les plus de 80 ans. De fait, les plus de 60 ans concentrent plus de 50 % de la dépense totale, alors qu'ils représentent 28 % de la population.Dans un rapport publié le 3 novembre, la Cour des comptes a mis en garde contre les effets budgétaires du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité. « Premier poste de dépenses de la protection sociale, les pensions de vieillesse et de survie représentaient en effet 353 milliards d'euros en 2023, soit 13,4 % du PIB »,signale le rapport. La Cour souligne que le poids de la démographie sur les finances publiques va aller croissant, et invite à repenser « la vision collective » du vieillissement et de l'âge du départ à la retraite. Pour mémoire, au début des années 1980, la dette ne finançait qu'1 % de la dépense sociale ; elle en finance désormais 10 %.Mardi, à une courte majorité - 247 voix contre 234 (et 93 abstentions) - les députés ont validé le Projet de loi de financement de la sécurité sociale. Il prévoit notamment la suspension de la réforme des retraites, la hausse de la CSG sur les revenus du patrimoine et la hausse de 3 % des dépenses de santé. Résultat : malgré les concessions accordées aux oppositions, le déficit de la Sécurité sociale devrait rester sous les 20Mds€ en 2026. Après un passage par le Sénat, le texte devrait revenir au Palais-Bourbon mardi prochain pour un ultime vote.L'AFRIQUE : DE JUNTE EN JUNTEEn cinq ans, le Sahel a complètement changé. Les coups d'État militaires d'abord présentés comme des réponses temporaires à la crise sécuritaire, semblent installer durablement des régimes autoritaires. Au-delà du rejet commun de la présence française, ces nouveaux pouvoirs militaires peinent à formuler un véritable projet et surtout à endiguer une vague djihadiste de plus en plus meurtrière. La région est désormais secouée par des crises répétées qui ignorent les frontières nationales. Cette vague de coups d'État et de prises de pouvoir militaires a créé un paysage politique instable dans plusieurs régions. En novembre 2025, sept pays étaient dirigés par des juntes militaires, chacuneavec sa propre trajectoire, sa justification et ses tensions politiques propres.Au Mali, le retour à un régime militaire a commencé par deux coups d'État en moins d'un an, le premier en août 2020, suivi d'un autre en mai 2021. Le Burkina Faso a connu deux coups d'État militaires en 2022. L'ordre politique du Niger s'est effondré en juillet 2023. En mars 2025, la junte a adopté une charte de transition fixant un délai de cinq ans pour le retour à un régime constitutionnel. La Guinée a basculé dans un régime militaire en septembre 2021. La junte s'était initialement engagée à une transition structurée, mais le calendrier a été sans cesse repoussé. Au Soudan l'armée a pris le contrôle en octobre 2021, faisant dérailler un fragile accord de partage du pouvoir entre civils et militaires. En avril 2023, le pays a sombré dans une guerre civile brutale entre les forces armées soudanaises et les forces paramilitaires de soutien rapide. En octobre 2025, Madagascar a rejoint la liste des pays africains sous régime militaire. En Guinée-Bissau, le coup d'État qui a renversé le 26 novembre le président sortant Umaro Sissoco Embalo et suspendu les élections en cours est le dixième putsch en Afrique depuis 2020. Ce pays lusophone côtier d'Afrique de l'Ouest situé entre le Sénégal et la Guinée (Conakry), avait déjà connu quatre coups d'État et une kyrielle de tentatives de putsch depuis son indépendance du Portugal en 1974. La junte promet une transition d'un an. Les Bissau-Guinéens n'y croient plus vraiment. Dans un pays où chaque cycle électoral finit dans les casernes, la démocratie semble condamnée à ne jamais dépasser le stade de l'intention. Le Bénin, longtemps considéré comme une exception démocratique et qui n'avait plus connu de tels soubresauts depuis 1972, vient de rejoindre le club des pays touché par l'épidémie de putschs. Dimanche dernier, il s'en est fallu de peu que le pays ne rejoigne la longue liste des pays africains ayant connu un coup d'État militaire ces cinq dernières années. Le coup d'État a été mis en échec.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Miguel Ángel González Suárez te presenta el Informativo de Primera Hora en 'El Remate', el programa matinal de La Diez Capital Radio que arranca tu día con: Las noticias más relevantes de Canarias, España y el mundo, analizadas con rigor y claridad. La Aemet advierte: la borrasca Emilia trae un temporal de viento, oleaje y precipitaciones intensas a Canarias. Comenzará este viernes y tendrá su punto álgido el sábado. Hoy hace un año: La FIFA otorga a Marruecos, Portugal y España la celebración del Mundial de fútbol 2030. El Estadio de Gran Canaria podrá acoger partidos hasta cuartos de final del Mundial 2030 … y hoy hace 365 días: El Parlamento canario rechaza las propuestas del PSOE y NC para implantar un impuesto turístico …y hoy hace un año: El Parlamento rechaza la planta de gas en el Puerto de la Luz con el apoyo de PSOE y NC y la abstención del Gobierno. Hoy se cumplen 1.399 días del cruel ataque e invasión de Rusia a Ucrania. 3 años y 289 días. Hoy es viernes 12 diciembre de 2025. Día Internacional de la Cobertura Sanitaria Universal. El 12 de diciembre se celebra el Día Internacional de la Cobertura Sanitaria Universal, proclamado por la ONU en 2017. Previamente, en diciembre de 2012 la Asamblea General de las Naciones Unidas había aprobado una resolución para incentivar a los países a tomar medidas orientadas a avanzar hacia la cobertura sanitaria universal, un panorama en el que todas las personas deberían tener acceso a una sanidad de calidad y asequible. La celebración del Día Internacional de la Cobertura Sanitaria Universal tiene como objetivo concienciar sobre la importancia de que exista una cobertura sanitaria universal, así como sistemas de salud sólidos y autosuficientes. 1901.- Marconi envía el primer mensaje por telegrafía sin hilos que cruzó el Atlántico, desde Gran Bretaña hasta Terranova. 1903: El Congreso en España aprueba el proyecto de ley que establece el descanso dominical. Tal día como hoy, 12 de diciembre de 1913, se recupera la Mona Lisa dos años después del robo del cuadro en el Museo del Louvre en París. La obra fue hallada en la habitación de hotel del camarero italiano Vincenzo Peruggia. 1914: Se publica la primera edición, compuesta por 63 capítulos, de la narración lírica «Platero y yo». 1924: El autogiro de Juan de la Cierva realiza sus primeras pruebas, en un trayecto desde Cuatro Vientos a Getafe. 1956.-Entrega a Juan Ramón Jiménez el Nobel de Literatura. 1975: Carlos Arias Navarro es nombrado presidente del Gobierno. Años más tarde, el 12 de diciembre de 1980, el magnate petrolero estadounidense Armand Hammer paga 5,126,000 dólares en una subasta en Londres por un cuaderno que contiene escritos de alrededor de 1508 del legendario artista Leonardo da Vinci. Cuando volvió a subastarse en 1994, Bill Gates compró el Manuscrito por 30.8 millones. 2011: La Casa del Rey anuncia que, Iñaki Urdangarín, duque de Palma dejará de participar en actividades oficiales. 2015: En Arabia Saudita pueden votar las mujeres y ser candidatas por primera vez. 2019.- Boris Johnson, del partido conservador, gana las elecciones en Reino Unido con mayoría absoluta. Santos Crescencio y Justino; santa Amonaria y Nuestra Señora de Guadalupe. María Corina Machado reclama desde Oslo apoyo frente al "régimen" de Maduro: "Sólo le queda la represión y el terror" Trump eleva la tensión tras confiscar un petrolero frente a las costas de Venezuela. El donante danés: 197 hijos en 14 países en un mercado descontrolado. La UCO detiene a Antxon Alonso, socio de Cerdán en Servinabar y realiza varios registros vinculados a Leire Díez. La tasa de gripe se duplica en una semana y supera ya los niveles del año pasado. Coalición Canaria ejecuta el perdón de 3,5 millones de ayudas cobradas irregularmente por plataneros palmeros. Los grupos que apoyan al Gobierno: CC, PP, ASG y AHI, más Vox, aprueban la ‘in voce’ a la enmienda 116 del proyecto de Ley de Presupuestos para 2026; el PSOE, causante del problema en el Ejecutivo anterior, vota a favor de la enmienda y se abstiene en la ‘in voce’, que solo rechaza NC. Llega a El Hierro un cayuco con más de 200 personas, entre ellas 55 menores. Salvamento Marítimo rescató la embarcación cuando se encontraban a 900 metros de la costa herreña. Un 12 de diciembre de 1915 nace Frank Sinatra en Hoboken, Nueva Jersey (Estados Unidos). Formidable vocalista, singular e inimitable, se le conocía como La Voz, falleció en 1998.
Laurence Allen is Co-Founder & CEO of Terranova.
Felipe Kato é o autor de República Popular de Terranova – volume 1 e conta tudo sobre sua obra. Além disso, é advogado e Pós-graduando em Direito Tributário. Inspirações, início e desafios, tudo sobre a estreia na literatura com República Popular de Terranova, uma saga que mescla ficção científica, humor e distopia para traçar críticas à realidade.
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
durée : 00:02:19 - Le brief éco - Dans un rapport, le think tank Terra Nova suggère d'augmenter les impôts, en particulier ceux acquittés par l'ensemble des citoyens, comme la TVA, afin de réduire la dette. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Welcome back to the Magician On Duty Journey Series! On this edition we welcome LUXUS (@luxnewman) Magician On Duty proudly unveils a new chapter in its acclaimed Journey Series, this time guided by the enigmatic sound explorer known as LUXUS — an artist whose world blends shadow, structure, and shimmering inner light. LUXUS approaches music the way a sculptor approaches form: with precision, intention, and an ever-evolving identity. His artistic vision is shaped by duality — a faceted exterior of discipline and design, and a glowing creative core that's beginning to radiate outward with renewed strength. In his hands, sound becomes a mirror of transformation: fragmented yet refined, restrained yet bursting with potential, always hinting at a deeper essence beneath the surface. This episode reflects that vision with remarkable clarity. Moving through noir-infused electronica, hypnotic slow-burn grooves, and propulsive late-night energy, LUXUS curates a journey that feels like watching a new self assemble in real time. The mix opens in an atmospheric haze with Pye Corner Audio's “Ganzfeld Effect,” a dimensional shimmer that sets the tone for perception to shift. From there, illusion and identity weave together through pieces like Markus Gibb & San Carol's “Illusion” and Marco Darko's “One Night Stand,” each track adding another facet to the mask — sharp, reflective, and meticulously crafted. As the journey deepens, the golden light at Luxus' center begins to break through. Pavel Petrov's “Faith,” Lefty D's “Strange Days,” and Everyone But None's “3 AM” move with the pulse of inner awakening — subtle, glowing, and alive. Floral motifs of growth and renewal appear in selections like Andino's “Swirlz” and Moe Turk's “Deep Is Dope (Deep Lo Remix),” echoing the sense of something blooming just beneath the surface. Midway, the mix steps into its transformative phase. Tracks such as Terranova & Alican's “Cosmocode,” Jonathan Kaspar's “Muster,” and Audio Junkies' “Aspects of Rhythm” reveal a more assertive stride — a consolidation of ideas, a tightening of vision, a coalescing identity. The energy becomes bolder, more magnetic, yet still wrapped in the elegance of a luxurious exterior. The episode concludes with a powerful ascent. Edgier cuts like Sexual Purity's “Convulsion” and Ghost Cop's “A Shot in the Dark (Houses of Heaven Remix)” break apart the last remnants of confinement, making space for the final act: a moment of cinematic release with 2WEI & Ali Christenhusz's “Ave Maria,” a closing that feels both sacred and cathartic — the unveiling of the inner light at last. Through this carefully woven narrative, Luxus presents more than a DJ mix. He offers a portrait of metamorphosis — a soundscape where structure meets spirit, elegance meets emotion, and identity reveals itself piece by piece. This Journey Series episode marks a moment of breakthrough for an artist stepping into a new era of self-expression, aesthetic clarity, and conceptual strength. Step inside the mask. Follow the golden glow. Experience LUXUS. Follow LUXUS here: https://soundcloud.com/luxnewman https://www.instagram.com/_________luxus_________
The team awakens from their rest and heads back into the arena in search of more crystals... Come hang out with us live Mondays and Fridays @ 7pm CST on Twitch for the Commonstream! Follow the channel and turn notifications on so you don't miss it or any other random streams through the week! Join us on Discord to keep up with all the Common things and join the chatter with us and our active community! We have channels for D&D, gaming, Magic: The Gathering, general nerdery, and much more! Follow us! Discord - discord.gg/QneG9ZkYHf YouTube - The Commoners Twitch - twitch.tv/commonersofdnd Facebook/Instagram - @thecommonersofficial X - @commonersofdnd TikTok - @commonersofdnd
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.REDRESSEMENT ITALIEN, DÉCLIN FRANÇAIS : UN PARALLÈLE EN TROMPE-L'ŒILAlors que la France s'enfonce dans la dette, l'Italie redresse ses dépenses publiques. Le 2 octobre, le gouvernement d' « union des droites » de Giorgia Meloni a approuvé les dernières prévisions financières pour fin 2025 : le déficit serait ramené autour de 3% du PIB, ouvrant la porte à une sortie de la procédure pour déficit excessif engagée par la Commission européenne. L'Italie est devenue la quatrième puissance exportatrice mondiale se classant derrière l'Allemagne, elle devance désormais la Corée du Sud. En 2014, elle était classée au septième rang.Ces résultats ne doivent pas occulter une dette italienne restée à des niveaux très préoccupants (140% du PIB). De plus, le redressement financier de l'Italie est facilité par les effets du plan de relance européen décidé durant la crise sanitaire de 2020-2022, particulièrement généreux pour Rome (avec 194 milliards d'euros perçus, le pays est le premier bénéficiaire du dispositif). Une dette souveraine qui n'a pas empêché le 19 septembre l'agence de notation Fitch d'en relever la note à BBB+, quelques jours après avoir abaissé celle de la France à A+, donnant l'impression que les courbes, entre les deux pays, étaient destinées à se croiser, le redressement italien ne faisant que mettre en lumière, par contraste, l'affaiblissement des positions de la France.L'économie italienne conserve de grandes fragilités structurelles, notamment une productivité atone, une croissance en berne et une crise démographique qui ne cesse de s'aggraver, notamment par le départ à l'étranger des Italiens diplômés. Le pays connait une productivité du travail faible, estimée par l'OCDE à 65,60 € par heure en 2024, soit beaucoup moins que la France (90,86€). Deuxième puissance manufacturière d'Europe, l'Italie arrive seulement quatorzième dans le classement des pays membres les plus innovants en 2025, selon la Commission, tandis que le climat social se détériore. Le recul du chômage de 7,8% en 2022 à 6% en 2024 cache une augmentation du nombre de travailleurs pauvres et un temps partiel contraint qui frappe d'abord les femmes. Dans ces circonstances, le nombre de familles en situation de pauvreté absolue se maintient au-dessus de 8 millions, quand le taux de population à risque de pauvreté est de 23,1% en 2024. De plus, une étude d'octobre 2024 menée par plusieurs universités analysant les données de la Banque centrale européenne a mis en évidence le caractère profondément inégalitaire du système fiscal italien. Les principaux avantages fiscaux y seraient ainsi concentrés entre les mains des 7% des plus riches, dont le taux moyen d'imposition se révèle inférieur à celui des classes moyennes moins favorisées.En dépit de ces faiblesses, 39% des Italiens, selon le baromètre publié en février 2025 par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, déclarent faire confiance à la politique, contre 26% des Français. L'Italie, il est vrai, connait depuis trois ans, contrairement à la France, une stabilité gouvernementale inédite.LE PLAN DE PAIX DE TRUMP POUR L'UKRAINELe 18 novembre, un plan de paix en Ukraine, détaillé en 28 points a sidéré les Ukrainiens et les Européens, tant cette esquisse inacceptable à leurs yeux était alignée sur les positions russes. Il stipule notamment que la Crimée (annexée par la Russie en 2014) ainsi que Louhansk et Donetsk seront « reconnues comme russes de facto, y compris par les Etats-Unis ». Il évoque aussi la création d'une « zone tampon démilitarisée » et neutre dans la partie de l'oblast de Donetsk contrôlée par l'Ukraine, qui serait « internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie », mais où les forces russes n'entreraient pas. Il y est énoncé encore que l'Ukraine devrait renoncer à son projet d'adhérer à l'OTAN et réduire à 600.000 soldats ses forces armées. Il ouvre la voie à une amnistie générale, y compris pour les crimes de guerre dont est accusé le dirigeant russe, Vladimir Poutine, ainsi qu'à une levée progressive des sanctions occidentales, voire à un retour de la Russie dans le G8.Les négociations entreprises dimanche à Genève, entre les conseillers à la sécurité nationale américains, ukrainiens et européens, ont permis de remodeler le plan Trump et de le nettoyer de ses aspects les plus problématiques. Sur les 28 points initiaux, il n'en restait plus que 19 lundi. Certains paragraphes ont été tout simplement rayés, comme la suggestion de réintégrer la Russie dans le G8, ou d'offrir la possibilité pour les Etats-Unis d'utiliser les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans des pays européens, afin de financer l'effort de reconstruction. Les mentions concernant directement les intérêts européens, comme les sanctions, la perspective que l'Ukraine adhère à l'Union européenne ou qu'elle n'intègre jamais l'OTAN ont été remises à plus tard. Ce nouveau plan en 19 points n'est pas définitif. Divers ajustements et précisions doivent encore être négociées dans les coulisses, avant d'être soumis à la Russie. Mais la copie paraît désormais acceptable à la fois aux Ukrainiens, aux Américains et aux Européens. Il n'est plus question pour Kyiv de renoncer aux territoires conquis par la Russie, ni d'établir une zone tampon sur son sol mais de proposer un armistice sur la ligne de front actuelle qui serait gelée. Il n'est plus envisagé de réduire par deux la taille de l'armée ukrainienne. « Beaucoup de choses justes ont été prises en compte » à Genève, a observé Volodymyr Zelensky, lundi, indiquant qu'il négociera lui-même avec Donald Trump les points les plus sensibles laissés de côté, lors d'une rencontre dont la date est incertaine. En écho, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que « les combats cesseront » quand l'armée ukrainienne « quittera les territoires qu'elle occupe » (= les régions revendiquées par Moscou) et qu'il ne peut pas y avoir d'accord de paix car le gouvernement ukrainien n'est pas légitime.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This week's Practical Horseman Podcast episode, sponsored by USRider, is with five-star eventer Sydney Elliott. She spoke with us in mid-November as the competition season was winding down after her CCI4*-L win with QC Diamantaire at The Event at TerraNova in Myakka City, Florida.To give you a little more background on Sydney, she first competed at the five-star level at the Kentucky Three-Day Event with Cisko A in two thousand sixteen. Two years later, the pair made their U.S. team debut at the Great Meadow International Nations Cup, helping the U.S. to a third-place finish. With her partner of nearly 10 years, QC Diamantaire, also known as Q, Sydney tallied numerous Nations Cup appearances, including earning team silver in Aachen, Germany in two thousand twenty-one and in Boekelo, the Netherlands that same year. In two thousand twenty-three, Sydney and QC Diamantaire competed in the Pan American Games in Santiago, Chile, collecting the silver medal as part of the U.S. team. Last year, they were the traveling reserve pair for the Paris two thousand twenty-four Olympic Games. Since then, the duo has continued to have strong competition results. In addition to her success on the international stage, Sydney runs Elliott Eventing, a training business, based in Benton, Louisiana, and Hoffman, North Carolina.In our discussion, Sydney talks about what she enjoys about working with horses, her training philosophy, how she handles her show nerves and more.About This Episode's Sponsor, USRiderThis Black Friday, give yourself the gift of peace of mind with USRider—the roadside assistance program designed specifically for horse owners. Whether you're hauling to a show, trail ride, or simply heading home, USRider is there for you and your horses with 24/7 nationwide coverage. And right now is the perfect time to join. For a limited time, new members can save 20% on any USRider membership during our Black Friday promotion with code BFUSR25. Just go to USRider.org and enter code BFUSR25. Don't miss your chance to protect yourself, your passengers, and your horses with the only plan built for life on the road with horses. Visit USRider.org today and ride with confidence this Black Friday!
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Trip Tucker gets… pregnant?! We break down Star Trek: Enterprise S1E5 “Unexpected”—from Xyrillian “holodeck” tech and cultural consent questions to Klingon chaos and the show's early-era exploration vibes. We also swap con stories (hi, LeVar!), talk why this ep is actually funny AND dark, and preview next week's “Terra Nova” (directed by LeVar Burton).
In this TreknoPod rewatch, Shoff & Captain Linda tackle Star Trek: Enterprise S1E6 “Terra Nova.” Is it unfairly hated—or a true low point? We dig into the ethics, first-contact fails, Archer vs. T'Pol's tactics, Phlox's best moments, and that infamous “we forgot we're human” plot hole.We also chat Voyager parallels (“Friendship One”), LeVar Burton's direction, Denobulans, Mayweather's fanboy moment, and tease next week's “The Andorian Incident.”Timestamps below. If you enjoy Trek deep dives + laughs, hit subscribe and join the mission!
Episode 132! Joining us in the studio for this week's episode is Beth Azor. Beth is the founder and owner of Azor Advisory Services, a commercial real estate advisory and investment firm based in South Florida. Known by her brand, “The Canvassing Queen™" with over 36 years of experience, she owns and manages 5 shopping centers in Florida, and travels the country consulting with and training associates in the commercial real estate industry. She is the author of multiple books, including: “Don't Say No For The Prospect: How I Went From A Sales Rookie to a Retail Leasing Rockstar to a Shopping Center Owner With More Than $79 Million in Assets!!" And, her book “The Retail Leasing Playbook” Before becoming an entrepreneur, Beth was the President of Terranova, Florida's largest 3rd party asset manager, making an incredible income, while working incredible hours and traveling extensively. Despite her best efforts to manage it all, she was missing too many of her two young boys' activities and, despite the doubters saying she was nuts, decided to walk away from it all to start her own business and take her boys along for the ride.Tune in to hear Beth share her perspective on what it takes to design your own successful life and lean into what's most important. Enjoy!==============================================================================Connect with Beth here:Website: https://www.bethazor.com/LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/bethazor/Instagram: https://www.instagram.com/bethazor/Thanks for listening! Eric Sardina Executive Life Coaching As a business and life coach, I help individuals work towards authentic lives of meaning and purpose. I also work with organizations to optimize their teams and individual contributors. Interested in working with me or learning more? Connect with me below: Website: https://www.ericsardina.com - book a free, 15-minute strategy session. https://calendly.com/ericsardina/8-session-authentically-you-discovery-call-website-linkFollow me on: Instagram: @theericsardina Facebook: Eric SardinaLinkedIn: https://www.linkedin.com/in/ericsardina/ YouTube: https://www.youtube.com/@EricSardina Affiliate: LMNT hydration drink mix: get a free sample pack with your first order by using this link: http://elementallabs.refr.cc/ericsardina
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 novembre 2025.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT LE TERRORISME A TRANSFORMÉ LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DEPUIS DIX ANS ? Voilà bientôt dix ans qu'un commando terroriste a semé la terreur dans les rues de Paris, le 13 novembre 2015, assassinant 130 personnes et en blessant plusieurs centaines d'autres. Trois rescapés se sont depuis donné la mort, succombant à leurs blessures psychiques. Ces attentats ont profondément impacté la société française. Les médias jouent un rôle central lors de tels événements. Difficile d'informer avec précision dans un climat de peur et d'incertitude après un attentat. Le 9 janvier 2015 notamment, des chaînes d'information en continu ont divulgué la présence d'otages cachés dans la chambre froide de l'Hypercacher de Vincennes, mettant leur vie en danger. Les médias servent de caisse de résonance aux terroristes, qui, pour la plupart sont avides de spectacle. Face à la sidération après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hypercacher, la société française s'est immédiatement massivement mobilisée comme en témoigne la grande manifestation du 11 janvier 2015. La vie quotidienne a été transformée, bouleversée par les dispositifs de surveillance, de prévention et de lutte antiterroriste. Le terrorisme provoque également des effets perturbateurs comme la montée de sentiments xénophobes, antimusulmans ou antisémites et leurs réponses politiques. Il a induit des progrès considérables de la recherche, en particulier, depuis 2015, sur la question des traumatismes. Il impacte les procédures judiciaires. En France, depuis 2019, le nombre de procès criminels pour terrorisme a été multiplié par sept : la raison principale en est non seulement la création d'un parquet national antiterroriste, mais aussi la volonté de donner réparation à toutes les victimes et leur offrir la possibilité de s'exprimer dans le lieu symbolique d'une cour de justice.Procureur de la République de Paris en charge de la lutte contre le terrorisme entre 2011 et 2018, François Molins a vécu les événements les plus dramatiques qui se sont succédé pendant cette période, des attentats de Mohamed Merah en 2012, au 13 novembre 2015, en passant par le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo. Insistant sur le fait qu'il a fallu trouver une juste mesure entre le durcissement de la réponse et le respect des libertés et droits fondamentaux, François Molins considère que « dans l'ensemble, la France y est parvenue » : L'état d'urgence décrété au lendemain du 13 Novembre a duré un peu moins de deux ans, jusqu'au 1er novembre 2017. Il a rassuré les gens et permis une amplification de la lutte - assignations à résidence, perquisitions, interdictions de séjour, fermeture de mosquées radicalisées -, toujours sous le contrôle de la justice administrative et du Parlement. Mais le risque de dérive est réel, met en garde François Mollins. En octobre 2025, cinq actes terroristes d'inspiration djihadiste ont été réalisés ou projetés, dans quatre pays européens, rappelle l'ancien procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Ces faits, insiste-t-il, doivent nous alerter sur la persistance d'une menace qui prend des formes nouvelles.LA GUERRE AU SOUDAN Au Soudan, le 26 octobre la ville d'El-Facher, capitale de la province du Darfour du Nord est tombée aux mains des Forces de soutien rapide (FSR) qui assiégeaient la ville depuis plus de dix-huit mois. C'était le dernier bastion, au Darfour, des Forces armées soudanaises (FAS). La guerre au Soudan a commencé en avril 2023 lorsque les tensions autour du projet d'intégration des FSR à l'armée régulière ont éclaté en un conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé de 12 à 13 millions de personnes. Deux acteurs qui s'étaient partagé le pouvoir après la chute du dictateur Omar el-Béchir, renversé en 2019 s'affrontent : l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhane ; et les FSR, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti. En début d'année, l'armée soudanaise et ses supplétifs miliciens ont reconquis la capitale, Khartoum, ainsi que la région agricole de la Jézira, le long du Nil. Depuis, ils contrôlent toute la moitié orientale du Soudan. A l'ouest, en revanche, les RSF dominent. Le noyau dur des hommes de Hemetti est composé d'anciens combattants arabes jenjawids employés, à l'époque d'El-Béchir, pour effectuer les sales besognes du régime et écraser les mouvements rebelles du Darfour. Ils sont eux-mêmes originaires de cette région, grande comme la France métropolitaine.Situé à la lisière de la partie subsaharienne de l'Afrique et du Moyen-Orient, le Soudan concentre une multitude de richesses et d'avantages géostratégiques suscitant toutes sortes de convoitises et d'ingérences : d'immenses terres arables, les eaux du Nil, des mines d'or, du pétrole, l'accès à la mer Rouge face à l'Arabie saoudite, des frontières avec huit pays africains. Soutenues par une partie des Émirats arabes unis, les FSR contrôlent les mines d'or du Darfour, les circuits de contrebande vers la Libye et la Centrafrique, et finance une armée privée plus riche que l'État soudanais, tandis que les FAS ont bénéficié de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs. Tous nient toute implication.Les réactions internationales demeurent d'une discrétion gênée. Lundi, toutefois, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale a averti que les atrocités commises par les FRS à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ». Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme mentionne des « massacres massifs de civils et de combattants désarmés ». La région, déjà extrêmement affaiblie depuis les massacres de Geneina en 2023, s'enfonce dans un nouveau cycle de violences entre communautés, où vengeance et désordre remplacent toute stratégie politique. Le pays s'est disloqué en zones d'influence : le Darfour aux mains des FSR, le Nord et l'Est sous commandement militaire, le Sud livré au chaos. L'État soudanais, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, se délite à nouveau.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Instead of building seawalls or dikes, Terranova has developed a new way to raise cities to protect them from sea-level rise. In addition, Chris Sacca's venture firm Lowercarbon Capital is raising a second fund to back nuclear fusion energy hopefuls, the VC said at the SOSV Climate Tech Summit on Thursday, as reported by Bloomberg. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Named one of Canada's Top 100 Most Powerful Women and a 40 Under 40 awardee, Dr.JulieWilson is a nationally recognized physician-entrepreneur and the Founder & CEO of Terra Nova Medical Clinics—British Columbia's largest and fastest-growing physician-led clinic network—and I'd love to propose her as a guest on [podcast name].While many clinics shut down during the pandemic, Julie leaned in—scaling Terra Nova from one location serving 25,000 patients to seven thriving clinics that now care for over 50,000. She did it by building a culture where practitioners thrive, leadership is nurtured at every level, and operational excellence is fused with compassion. Terra Nova's impact has earned recognition like Best Workplace in Healthcare, Best Workplaces Managed by Women (2024), Outstanding Workplace of the Year (2022), and nominations for the Business Leadership Award, the Small BC Business Impact Award, and the People's Choice Award.Julie is still a full-time practicing doctor—while mentoring international medical graduates, shaping healthcare policy, and challenging outdated systems with a modern model of connected, tech-forward, people-first care. She's redefining leadership in one of the toughest industries to scale and proving that purpose, profit, and people can all grow together.
Shellvester finds his way back to the group just in time to descend further into the dungeon! Come hang out with us LIVE Mondays and Fridays @ 7pm CST on Twitch for the Commonstream! Follow the channel and turn notifications on so you don't miss it or any other random streams through the week! Join us on Discord to keep up with all the Common things and join the chatter with us and our active community! We have channels for D&D, gaming, Magic: The Gathering, general nerdery, and much more! Follow us! Discord - discord.gg/QneG9ZkYHf YouTube - The Commoners Twitch - twitch.tv/commonersofdnd Facebook/Instagram - @thecommonersofficial X - @commonersofdnd TikTok - @commonersofdnd
Track List: 1. Memories - Deco (BE), Terranova (feat. Nuzu Deep) 2. See You Again (Extended) - Keinemusik, Sevdaliza, Adam Port, Rampa 3. People (Silvva & Moish Bootleg) - Libianca 4. RMD (Anton Khabbaz & Dylan Lee Remix) - Ruger, Bnxn 5. Same Dream (Original Mix) - Caiiro, Biishop, Von Boch 6. Amapiano - Paso Doble 7. Sensa (Manoo Remix) - Lilya Mandre, Zac Martel, Tommy Kimpton 8. Slow - Tebra 9. Nasty (Extented Mix) - Demayä
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 octobre 2025.Avec cette semaine :- Nicolas Baverez, essayiste et avocat.- David Djaïz, entrepreneur et essayiste.- Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.- Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE VOL DU LOUVRE ET LA PROTECTION DU PATRIMOINEAu musée du Louvre, dimanche dernier, une série de bijoux datant du XIXe siècle ont été dérobés en quelques minutes par plusieurs malfaiteurs dans la galerie d'Apollon. Huit pièces manquent à l'appel. Le butin a été estimé à 88 millions d'euros par la conservatrice du musée, a annoncé mardi la procureure de Paris. La couronne de l'impératrice Eugénie, d'abord volée, a été retrouvée près du site, vraisemblablement égarée par les voleurs dans leur fuite. Très fréquenté, le musée a accueilli 8,7 millions de visiteurs en 2024. Il s'étend sur 73.000 mètres carrés et contient environ 35.000 œuvres issues de collections du monde entier. Le dernier vol recensé au Louvre a eu lieu en 1998 : une toile de Camille Corot, volée en pleine journée et jamais retrouvée.Lors de son audition mercredi au Sénat, la présidente du musée Laurence des Cars a indiqué qu'aucune caméra ne couvrait le balcon de la galerie d'Apollon, où sont passés les braqueurs, mais a réfuté tout « retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation, contestant les observations de la Cour des comptes. Elle a confirmé avoir présenté sa démission, « refusée » par la ministre de la culture, et a notamment souhaité solliciter le ministère de l'intérieur pour étudier la possibilité d'installer un commissariat de police au sein du musée.Alors que le Louvre a rouvert ses portes mercredi matin, The Economist rappelle, étude scientifique à l'appui, que le vol d'œuvres dans les grands musées est presque une routine : on en recense 40 dans le monde depuis 1990 (majoritairement en Europe)… plus d'un par an. Dans quasiment un cas sur cinq, la valeur des objets dérobés dépasse les 100 millions d'euros avec un record à 450 millions d'euros pour le Van Gogh Museum d'Amsterdam en 1991. Moins d'une fois sur deux les œuvres volées ont finalement été récupérées.La portée symbolique de ce cambriolage n'est pas sans rappeler, pour Le Figaro, celui de l'incendie de Notre-Dame de Paris, en 2019, ou du vol de La Joconde en 1911. L'incendie de Notre-Dame avait mis en lumière la vulnérabilité d'autres édifices religieux. Un plan « sécurité » avait été lancé en 2020 pour les 87 cathédrales dépendant de l'État qui ont renforcé depuis leurs dispositifs de sécurité par des formations aux secours, des caméras thermiques, des porte coupe-feu… Selon la Direction nationale du renseignement territorial, 401 faits antichrétiens ont été recensés entre janvier et juin 2025, soit + 13 % par rapport à la même période en 2024. Une hausse significative qui intervient après deux ans de baisse. Mais pour l'Observatoire du patrimoine religieux, association indépendante qui effectue une veille en temps réel, ces chiffres sont « sous-estimés, parce qu'il n'y a pas toujours des plaintes ». Selon son vice-président, il y aurait aujourd'hui « trois à cinq fois plus de vandalisme touchant les édifices catholiques qu'il y a dix ans ».LE MOUVEMENT NO KINGSDe Washington à San Francisco, en passant par New York, Tampa ou Los Angeles, samedi 18 octobre dans 2.700 villes, près de sept millions d'Américains ont manifesté pacifiquement, contre Donald Trump et son usage autoritaire du pouvoir. Un mouvement lancé par un collectif de 300 associations regroupées derrière le slogan « No Kings » « pas de rois ». Ce collectif d'associations de défense des libertés civiles, dont certaines sont proches du Parti démocrate annonce la couleur sur la page d'accueil du site Internet qui coordonne les manifestations : « Pas de trônes, pas de couronnes, pas de rois : le pouvoir appartient au peuple. » Le mouvement qui dit vouloir s'opposer aux « abus de pouvoir », déplore « l'envoi d'agents militarisés » dans des villes démocrates et les « cadeaux aux milliardaires ». Il entend « défendre la démocratie » face à « la dictature ». Dans les cortèges, les manifestants qui revendiquent la défense des valeurs américaines, ont concentré leurs critiques sur les attaques contre la liberté de la presse, le droit de vote des minorités ou la séparation des pouvoirs. Le déploiement de la garde nationale dans plusieurs villes américaines, ainsi que les rafles opérées par la nouvelle police anti-immigration nourrissent l'indignation. Cette deuxième contestation d'ampleur, a été trois fois plus suivie qu'un événement similaire à la mi-juin.Né de la société civile, ce mouvement a reçu le soutien public de plusieurs personnalités politiques. Il a notamment été relayé par l'ancienne candidate démocrate Kamala Harris. Dans les cortèges, on a pu voir le leader de l'aile gauche démocrate Bernie Sanders, ou le sénateur de New York Chuck Schumer. Le mouvement a été également soutenu par des artistes comme Robert De Niro. Cette nouvelle journée de mobilisation survient par ailleurs en pleine paralysie budgétaire de l'État fédéral et alors que Donald Trump a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour, selon lui, lutter contre l'immigration illégale et la criminalité. La droite a fustigé un mouvement de « haine de l'Amérique », tandis que plusieurs membres de l'administration Trump ont accusé les manifestants d'être des « extrémistes ». Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a ainsi jugé que le mouvement était animé par « des partisans du Hamas et des antifas ». Un qualificatif qui pourrait ouvrir la voie à des poursuites, le président Donald Trump ayant récemment signé un décret qui classe le mouvement « antifa » comme étant une « organisation terroriste ». À ses yeux, ce mouvement serait une « entreprise militarisée et anarchiste qui appelle explicitement au renversement du gouvernement des États-Unis ». En réponse à ces manifestations, Donald Trump a publié sur les réseaux sociaux, depuis sa résidence de Mar-a-Lago en Floride, une vidéo réalisée grâce à l'intelligence artificielle. On y voit le président américain aux commandes d'un avion, la tête coiffée d'une couronne, en train de bombarder les cortèges de manifestants avec des excréments.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 17 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.QU'ATTENDENT LES FRANÇAIS DES HOMMES POLITIQUES ?Après la nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon le 10 octobre, 56 % Français ne souhaitaient pas que l'une des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national soit votée, selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par Elabe pour BFMTV, publiée mercredi. Ils ont été exaucés, avec le rejet des deux motions de censure jeudi matin. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, a annoncé dans sa déclaration de politique générale qu'il proposerait au Parlement la suspension de la réforme de 2023 sur les retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Selon le sondage Elabe, 67 % des Français sont pour cette suspension et 29 % s'y disent même « très favorables » et 38% « plutôt favorables ». 33 % des Français sont contre cette suspension, dont 13 % de Français qui se disent « très opposés » à cette annonce du chef du gouvernement. Toutefois, 64 % des Français sont mécontents de la composition du gouvernement et 51 % des personnes interrogées sont même favorables à une dissolution et à de nouvelles élections législatives.Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2027, Jordan Bardella et Marine Le Pen se maintiennent en tête des personnalités suscitant le plus de satisfaction si elles remportaient l'élection présidentielle (33 % dans les deux cas), selon le baromètre politique Ipsos bva-CESI École d'ingénieurs pour La Tribune Dimanche. Pour la première fois, la troisième place du podium est occupée par une personnalité du même bord : Marion Maréchal, avec 24 % des Français qui seraient satisfaits. Cette progression de Marion Maréchal dans le classement s'explique par une baisse importante pour les autres personnalités, situées à droite et au centre, comme Bruno Retailleau qui enregistre une forte baisse (20 %, -7 points en un mois). Au centre, on observe aussi des baisses importantes pour Edouard Philippe (22 %, -3 points), Gabriel Attal (19 %, -5 points) et Gérald Darmanin (19 %, -5 points). Le pouvoir d'achat demeure la première préoccupation des Français (50 %, -1 point), devant l'avenir du système social, cité par 44 %. La préoccupation pour l'avenir du système social progresse de 3 points en un mois et de 9 points depuis juillet. 88 % des Français sont pessimistes sur la situation économique du pays et 67 % sur leur propre situation économique. Ils ont notamment le sentiment que la situation du pouvoir d'achat va se détériorer (78 %), tout comme celle du niveau de la dette publique (77 %) ou encore du niveau de la fiscalité (70 %).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE CHAMBOULE-TOUT FRANÇAISQuatre gouvernements en treize mois, un président affaibli, une Assemblée fragmentée : la France semble prise dans un tourbillon sans fin. La présentation, dimanche soir, par Sébastien Lecornu d'une équipe « resserrée » de 18 membres, dans laquelle les traces de la rupture annoncée n'étaient pas très apparentes a été vivement critiquée à droite comme à gauche. Lundi, en quelques heures, les Français ont assisté à la démission d'un Premier ministre, Sébastien Lecornu, nommé vingt-sept jours plus tôt, puis, en fin d'après-midi, à la désignation par le président de la République du même Sébastien Lecornu pour une mission de quarante-huit heures ayant pour but de « définir une plateforme d'action et de stabilité »., soit précisément ce que Le Premier ministre démissionnaire n'avait pas réussi à faire. M. Lecornu a accepté tout en faisant savoir qu'il ne redeviendrait pas chef du gouvernement, même dans le cas, très hypothétique, d'une réussite des discussions.Estimant qu'il existe « une majorité absolue » de députés opposés à la dissolution, Sébastien Lecornu a affirmé mercredi sur France 2 que les conditions étaient réunies pour que le président nomme un nouveau premier ministre « dans les 48 heures ». La première option pour le président de la République est donc de nommer un nouveau Premier ministre. En cas d'échec, un deuxième scénario serait une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale et un retour aux urnes. Le troisième scénario est celui d'une démission du président de la République. Une demande exprimée par l'extrême-droite, LFI, mais aussi, après l'adoption d'un budget par l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.La situation est inédite, puisque les passations de pouvoir n'ont pas eu lieu entre les deux gouvernements démissionnaires. Dans ces cas-là, le décret publié au Journal officiel fait foi. Il a été publié dimanche soir, les ministres démissionnaires sont donc bien ceux qui ont été nommés le 5 octobre. Cette équipe devra gérer les « affaires courantes ». Aucun texte n'indique ce que peut faire, ou pas, un gouvernement démissionnaire, mais ses prérogatives sont limitées. Il s'agit de faire face aux urgences, d'assurer le fonctionnement minimal de l'État ainsi que sa continuité. Ce gouvernement peut mettre en application des lois déjà votées mais pas déposer de nouveaux projets de loi. Généralement, le Conseil des ministres ne se réunit pas en période démissionnaire.Si l'incertitude politique ne se traduit pas, à ce stade, par une crise économique aiguë, elle a toutefois déjà provoqué deux cassures dont les effets se feront sentir sur le long terme : le déclassement de la France sur les marchés, et la panne des investissements.LE MOUVEMENT GENZ AU MAROC (ET AU MADAGASCAR, AU NÉPAL …)Le Maroc est le théâtre depuis le 27 septembre de rassemblements quotidiens de jeunes protestataires − parfois mineurs − réclamant de meilleurs services d'éducation et de santé. Début octobre, des débordements violents à proximité d'Agadir ont causé la mort de trois manifestants. Face à une fièvre contestataire comme le Maroc n'en avait pas connu depuis la révolte du Rif en 2016-2017, le gouvernement semble pris de court. Parmi les jeunes urbains de 15-24 ans, la moitié est sans emploi et un quart a déserté l'école. Des marches spontanées avaient déjà eu lieu, début juillet, dans le Haut-Atlas pour l'accès à l'eau, poussant le roi Mohammed VI à manifester son refus d'un « Maroc à deux vitesses », lors de son discours du trône le 29 juillet.Le mouvement actuel est spontané, sans tête d'affiche et assez flou sur le plan des revendications. Il n'a pas de plateforme ni de programme politique, mais défend des grands thèmes sociaux. Né d'une indignation générale face à la mort de huit femmes à la mi-septembre dans un hôpital d'Agadir après des accouchements par césarienne, il s'est structuré une dizaine de jours plus tard sur le réseau social Discord sous la bannière d'un collectif GenZ 212. Une déclinaison locale (212 est l'indicatif téléphonique du Maroc) d'une génération Z − née entre 1997 et 2012 − qui a déjà fait vaciller le pouvoir au Sri Lanka, au Bangladesh et au Népal, et enfiévré plus récemment Madagascar. Connexion numérique, aspiration à la dignité et rejet de la vieille politique : la jeunesse marocaine se met au diapason d'un soulèvement transnational. Les jeunes Marocains se gardent toutefois bien de franchir une ligne rouge : la sacralité de l'institution royale. Si nombre d'entre eux réclament la démission du chef de gouvernement Aziz Akhannouch, un homme d'affaires richissime, symbole d'une oligarchie conquérante, nul n'appelle à la fin de la monarchie, malgré l'acuité des doléances sociales.Déjà électrique, le climat social n'a cessé de se tendre, à mesure que les prestigieux projets lancés dans la perspective de la Coupe d'Afrique des nations de football, qui s'ouvre fin décembre, et de la Coupe du monde de 2030 − que le Maroc coorganisera avec l'Espagne et le Portugal −détournaient les financements des priorités sanitaires et éducatives. Le régime espérait désamorcer le ressentiment populaire dans le patriotisme sportif : il s'est trompé. « Des écoles et des hôpitaux, plutôt que des stades ! », clame en substance la jeunesse soulevée. La GenZ 212 braque une lumière crue sur l'envers de la vitrine scintillante d'un Maroc « émergent ». Le coup est rude pour l'image que le royaume aime à projeter de lui-même à l'étranger. Le roi Mohammed VI doit faire un discours d'ouverture de la session parlementaire, ce vendredi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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David Gower, CEO and Chairman of Emerita Resources (TSX.V: EMO) (OTCQB: EMOTF), joins us to review the news out to the market on September 19th that announced the granting of exploration permits for the San Antonio and Terranova claims, adjacent to and expanding the footprint of their wholly owned polymetallic Iberian West Project (IBW), located in southern Spain. These 2 new properties add an additional 181 hectares to Emerita's wholly owned Iberian Pyrite Belt holdings, taking the Company's total mineral property holdings in the IBW area to 8,144 hectares. The IBW Project hosts three Volcanogenic Massive Sulphide (VMS) deposits, which comprise NI 43-101 compliant mineral resource estimates from the La Romanera, La Infanta and El Cura deposits. The San Antonio license is located southwest of the Company's large claim referred to as the Ontario license and is directly along the geological trend of the IBW Project's La Romanera deposit. For future reference, these claims, along with those formerly referred to as “Ontario” will be treated as a single exploration project area and referred to as the “San Antonio Project”. The Terranova license also occurs along this mineralized trend along strike of La Romanera and extends the Company's mineral property close to the border of Portugal. There are several historic small-scale mines on the Terranova license that were mined up to the mid-20th century; including the Vuelta Falsa Mine and the Trimpancho Mine. Exploration can commence immediately in these newly permitted areas and the Company is developing plans for exploration work on these claims along with the larger San Antonio project. The company also announced in that same press release from September 19th that Emerita has entered into a letter of intent (“LOI”) with Western Metallica Resources Corp. to acquire 100% ownership of the Nueva Celti Copper Project located 75 km northeast of the city of Seville in the province of Andalusia, Spain; with historic mining operations and situated in the Ossa Morena geological massif. We discuss all the derisking work going on in the background at the IBW Project, building toward the Pre-Feasibility Study (PFS) for late Q4 of this year, or Q1 of next year, as well as an update on the key environmental permits anticipated to come in over the next couple months. We wrap up with David summarizing that the Third Section of the Provincial Court of Seville has completed the hearings for the criminal trial on the alleged crimes committed during the process of awarding the Aznalcóllar tender. The hearings commenced on March 3, 2025 and were completed on July 15, 2025. The Trial judges, Angel Márquez Romero (President of the Court), Luis G. de Oro-Pulido Sanz and Carmen Pilar Caracuel Raya, will now prepare their rulings on the criminal allegations. The company is still awaiting further clarity on whether Emerita Resources will be awarded the high-grade polymetallic Aznalcóllar Project later this year, as the only other qualified bidder at the time. If you have any follow up questions for David regarding Emerita Resources, then email those in to us at either Fleck@kereport.com or Shad@kereport.com. Click here to follow the latest news from Emerita Resources For more market commentary & interview summaries, subscribe to our Substacks: The KE Report: https://kereport.substack.com/ Shad's resource market commentary: https://excelsiorprosperity.substack.com/ Investment disclaimer: This content is for informational and educational purposes only and does not constitute investment advice, an offer, or a solicitation to buy or sell any security. Investing in equities and commodities involves risk, including the possible loss of principal. Do your own research and consult a licensed financial advisor before making any investment decisions. Guests and hosts may own shares in companies mentioned.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 19 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LECORNU ET LA QUADRATURE DU CERCLEArrivé à Matignon le 10 septembre, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a promis une inflexion sur la forme et sur le fond. Cinquième premier ministre de ce quinquennat, dépourvu de majorité absolue à l'Assemblée nationale, il va devoir affronter sans tarder les mêmes murs budgétaires et parlementaires que ses prédécesseurs. Il se trouve confronté à la délicate équation de trouver un compromis avec la gauche sans déplaire à la droite. La composition de la nouvelle équipe gouvernementale ne sera pas connue avant plusieurs semaines, puisque le chef de l'Etat a enjoint son Premier ministre de mener des discussions préalables avec les différentes formations politiques avant de bâtir son gouvernement.L'idée du Premier ministre de chercher un accord, sur le budget, mais également « sur deux ou trois textes forts », convient aux dirigeants de la droite. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a fait, en gage de bonne volonté, deux concessions : renoncer à l'« année blanche » – le gel des dépenses publiques – et à l'aide sociale unique, mais il ne transigera pas sur le « durcissement sur l'immigration » ou « l'assistanat ». Au-delà du « socle commun », Sébastien Lecornu devra obtenir au minimum une non-censure du Parti socialiste pour faire adopter le budget 2026. Le parti socialiste a défendu le 15 septembre à Matignon une position comprenant la suspension de la réforme des retraites, l'instauration de la taxe Zucman sur les grandes fortunes et la baisse du quantum d'économies à réaliser d'ici à 2029. À l'Élysée, on assure n'avoir fixé aucune ligne rouge au Normand. Pour ne fâcher personne, il a d'ores et déjà été acté qu'il ne procèdera à aucun débauchage au sein du Parti socialiste pour composer son gouvernement. À l'occasion de son interview le 13 septembre dans la presse régionale, pour amadouer les socialistes, Sébastien Lecornu s'est dit « prêt » à l'abandon de la suppression des deux jours fériés, à augmenter la fiscalité des plus riches, mais sans toucher à leur « patrimoine professionnel ». Quant à un aménagement de la réforme des retraites, il reste évasif, mais rejette un retour du « conclave ». Il ne renie pas la totalité de la copie budgétaire de M. Bayrou sur laquelle il devrait, en partie, se fonder. Mais il lui faudra peut-être aussi faire un geste sur le pouvoir d'achat et un autre sur les retraites, sans perdre le soutien des Républicains ou braquer le patronat, ni oublier la réduction du déficit ...Les Français n'accordent que 16% d'opinion favorables à Sébastien Lecornu, contre 40% d'opinions défavorables, selon le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par « La Tribune Dimanche » mais surtout ils le connaissent peu (argument avancé par 44% des personnes interrogées pour ne pas se prononcer). Le Premier ministre connaîtra bientôt sa première épreuve du feu parlementaire, puisque La France Insoumise a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure « dès le premier jour » de la session ordinaire, le 1er octobre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Where Y'Eat: Terranova's Meats Revives a Family Tradition 100 Years in the Making
durée : 00:38:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - 26 % des Français déclarent avoir confiance dans les politiques, c'est 13 points de moins que l'Italie et 21 points de moins que l'Allemagne d'après le dernier baromètre du CEVIPOF dévoilé en février 2025. - invités : Camille Pascal Écrivain et haut fonctionnaire, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et Jean Castex; Thierry Pech Directeur général de Terra Nova
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
President Xi Jinping says China will 'never be intimidated' at a display of military might in Beijing where he was joined by the leaders of Russia and North Korea. The parade was held to mark the anniversary of the victory over Japan in the Second World War. President Trump accused the three leaders of conspiring against the US. Also, the number of people killed in Sunday's earthquake in Afghanistan rises to 1,400, and the wreck of Captain Scott's polar ship, Terra Nova, has been filmed in detail on the sea floor for the first time. The Global News Podcast brings you the breaking news you need to hear, as it happens. Listen for the latest headlines and current affairs from around the world. Politics, economics, climate, business, technology, health – we cover it all with expert analysis and insight. Get the news that matters, delivered twice a day on weekdays and daily at weekends, plus special bonus episodes reacting to urgent breaking stories. Follow or subscribe now and never miss a moment. Get in touch: globalpodcast@bbc.co.uk
Dr. Julie Wilson is a physician-entrepreneur on a mission to rebuild primary care from the inside out — not just for patients, but for the doctors who serve them. As the Founder and CEO of Terra Nova Medical Clinics, she's leading the largest and fastest-growing physician-led network in British Columbia, bringing a modern, collaborative, and tech-forward model of healthcare to a system that's long been stuck in the past. Frustrated by the outdated setups she saw across BC — single-doc offices, paper records, no cross-coverage — Julie built her first clinic in 2015 with a bold vision: integrated teams, cloud-based systems, and a structure that puts both providers and patients first. While many clinics shut their doors during the pandemic, she doubled down, scaling Terra Nova from one location serving 25,000 patients to a thriving network of seven clinics serving over 50,000. Her approach blends medical excellence with compassion, ethical leadership, fair pay, career progression, and continuity of care — creating a blueprint for how primary care should work. Named to Canada's Top 100 Most Powerful Women and 40 Under 40, she's also a healthcare advocate working to fix Canada's physician shortage by mentoring international medical grads and influencing policy through her role with Doctors of BC. Some of the topics we discussed were: What helps Dr. Wilson overcome obstacles she encounters on her journey and keep goingHow Dr. Wilson makes the time to run an interconnected network of clinicsThree pieces of advice Dr. Wilson would give to her past self when she was still in medical school based on her current experienceHow Dr. Wilson went from having one single family clinic to expanding to a network of clinicsWhat Dr. Wilson would recommend physicians on their journey to starting a practice and to expanding their practicesDr. Wilson's 5 best tips for physicians on this journeyHow to make everyone on your staff happy with their working environmentHow to make your staff feel appreciatedHow to create flexibility for your staff in their schedules And more! Learn more about me or schedule a FREE coaching call:https://www.joyfulsuccessliving.com/ Join the Voices of Women Physicians Facebook Group:https://www.facebook.com/groups/190596326343825/ Connect with Dr. Wilson: Dr. Julie Wilson:https://www.linkedin.com/in/julie-wilson-4a25b4214/ Terra Nova Medical Clinics:https://www.linkedin.com/company/terra-nova-medical-clinics/ Email:drwilson@terranovamedical.ca Website:www.terranovamedical.ca
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 30 juin 2023.Avec cette semaine :Julien Damon, sociologue, enseignant à Sciences Po et à HEC.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Émission originellement diffusée le 16 juillet 2023.LES COMMODITES URBAINESJulien Damon, vous êtes sociologue, enseignant à Sciences Po et à HEC. Vous venez de publier, aux Presses de SciencesPo, un essai intitulé « Toilettes publiques » où vous réhabilitez dans le débat public, avec science et humour, ces lieux auxquels nous consacrons en moyenne 6 mois de notre vie.Alors que les toilettes publiques se raréfient dans les villes et qu'une partie d'entre elles sont devenus payantes, vous défendez l'idée d'un « droit aux toilettes » qui garantisse à tous l'accès à des commodités gratuites, propres et sécurisées. Cette question est essentielle pour les sans-abris, mais elle concerne plus largement chacun des usagers de la ville, habitué ou de passage, lors ses mobilités quotidiennes. Pour relever ce défi, vous proposez notamment de rémunérer les bars, cafés, restaurants et fast-foods mettant à disposition leurs toilettes gratuitement et de façon indifférenciée, sur le modèle de l'Allemagne ou du Royaume-Uni.Le « droit aux toilettes » suppose par ailleurs de garantir un accès égal aux commodités pour les hommes et pour les femmes, qui y passent en moyenne une minute de plus. Il implique également de considérer l'offre sanitaire de l'ensemble des espaces collectifs, comme les entreprises ou les écoles, alors qu'un sondage de l'IFOP en date d'avril 2022 indique que 55% des employés jugent les toilettes de leurs entreprises sales et que 45% d'entre eux les trouvent trop peu éloignées du reste des locaux.A l'échelle internationale, le sujet est porté par l'ONU qui a fait de l'accès à l'eau et à l'assainissement un droit de l'homme en 2010. Des progrès notables en matière d'installations sanitaires ont été observés depuis 20 ans, tirés notamment par les « plans toilette » de la Chine et de l'Inde. Ainsi, si environ un tiers de l'humanité ne disposait d'aucun assainissement basique en 2015, la proportion est descendue à un humain sur cinq en 2020. Ces investissements sont particulièrement rentables car ils diminuent les frais de santé, limitent les hospitalisations, réduisent le nombre de jours non travaillés, améliorent les capacités des enfants à l'école et la productivité des travailleurs. Mais d'importantes lacunes persistent dans certaines régions et plombent les perspectives de développement économique et social. A titre d'exemple, plus de la moitié des établissements en Afrique subsaharienne ne disposent d'aucune installation sanitaire. Cette carence pénalise particulièrement les filles et compte parmi les raisons de leur sous-scolarisation persistante.Il ne s'agit pourtant pas seulement d'augmenter l'offre de toilettes publiques, mais aussi de repenser son modèle : au XXIème siècle, la croissance mondiale des toilettes doit être « durable ». Le modèle occidental, fondé sur les toilettes à chasses connectés à des réseaux centralisés d'assainissement, est très gourmand en eau. L'ensemble des Français destinent à cet usage l'équivalent de 500.000 piscines olympiques chaque année. De nombreux modèles plus écologiques ont été proposés, le plus souvent décentralisés, fondés sur le recyclage des eaux plutôt que sur leur évacuation. Des urinoirs secs, les « uritrottoirs », ont même été installés à Paris à l'été 2018 ; mais l'expérience s'est rapidement soldée par un échec, qui montre la force des habitudes en la matière et l'ampleur des travaux à accomplir.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dustin takes the helm for an all new side campaign! Go check out Tiger Skull RPG! Get started for free at patreon.com/tigerskullrpg for monthly content! All kinds of 3D printable tabletop goodness and so much more! Come hang out with us live Mondays and Fridays @ 7pm CST on Twitch for the Commonstream! Follow the channel and turn notifications on so you don't miss it or any other random streams through the week! Join us on Discord to keep up with all the Common things and join the chatter with us and our active community! We have channels for D&D, gaming, Magic: The Gathering, general nerdery, and much more! Follow us! Discord - discord.gg/QneG9ZkYHf YouTube - The Commoners Twitch - twitch.tv/commonersofdnd Facebook/Instagram - @thecommonersofficial X - @commonersofdnd TikTok - @commonersofdnd
Dr. Julie Wilson is a physician-entrepreneur on a mission to rebuild primary care from the inside out — not just for patients, but for the doctors who serve them. As the Founder and CEO of Terra Nova Medical Clinics, she's leading the largest and fastest-growing physician-led network in British Columbia, bringing a modern, collaborative, and tech-forward model of healthcare to a system that's long been stuck in the past. Frustrated by the outdated setups she saw across BC — single-doc offices, paper records, no cross-coverage — Julie built her first clinic in 2015 with a bold vision: integrated teams, cloud-based systems, and a structure that puts both providers and patients first. While many clinics shut their doors during the pandemic, she doubled down, scaling Terra Nova from one location serving 25,000 patients to a thriving network of seven clinics serving over 50,000. Her approach blends medical excellence with compassion, ethical leadership, fair pay, career progression, and continuity of care — creating a blueprint for how primary care should work. Named to Canada's Top 100 Most Powerful Women and 40 Under 40, she's also a healthcare advocate working to fix Canada's physician shortage by mentoring international medical grads and influencing policy through her role with Doctors of BC. Some of the topics we discussed were: The future of physician-led clinics and how they're changing primary care deliveryCreating a connected and inclusive network of clinics that function as one organizationDelivering better clinic outcomes, more access, and career progression for staffThe operational and cultural/human challenges of scaling a multi-site medical businessHow technology and leadership intersect to improve healthcare outcomes How Dr. Wilson went from running a single family clinic to leading a multi-site medical businessHow Dr. Wilson got into the business world with building her own clinicDr. Wilson's process of starting her own clinicHow Dr. Wilson moved from her building first clinic to having multipleLessons learned and mistakes to avoid in building a network of clinicsRecommendations for people who are just starting their own clinicThe unique structure of Dr. Wilson's clinic model that makes it stand out from the restHow to foster a working environment with great teamworkHow to find good people who want to help you help your community And more!Learn more about me or schedule a FREE coaching call:https://www.joyfulsuccessliving.com/Join the Voices of Women Physicians Facebook Group:https://www.facebook.com/groups/190596326343825/Connect with Dr. Wilson: Dr. Julie Wilson:https://www.linkedin.com/in/julie-wilson-4a25b4214/Terra Nova Medical Clinics:https://www.linkedin.com/company/terra-nova-medical-clinics/
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 avril 2023.Avec cette semaine :Cyrille Coutansais, directeur de recherche au Centre d'Etudes Stratégiques de la Marine (CESM), rédacteur en chef de la revue Etudes Marines et enseignant à Sciences Po en économie maritime.Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Émission originellement diffusée le 21 mai 2023.LA MERCyrille Coutansais, vous êtes directeur de recherche au Centre d'Etudes Stratégiques de la Marine (CESM), rédacteur en chef de la revue Etudes Marines et enseignant à Sciences Po en économie maritime.Vous avez récemment publié l'Empire des Mers aux Editions CNRS, ouvrage dans lequel vous retracez l'histoire maritime de la France depuis le 12ème siècle. Vous y peignez une relation complexe et contrariée, marquée par le sous-investissement maritime de la France qui l'empêche d'embrasser le destin que lui promettait sa large façade maritime, ouverte sur trois mers et un océan. Vous analysez également la transformation contemporaine des enjeux de la maîtrise des mers, qui placent selon vous notre pays à un nouveau carrefour de son destin maritime.Le premier enjeu est celui de la défense, dans le contexte d'un réarmement naval particulièrement frappant dans la région Asie Pacifique et la Méditerranée depuis les années 2000. Au cours des 20 dernières années, les marines de la région Indopacifique ont augmenté de 140 %, dans le sillage de la montée en puissance spectaculaire de la marine chinoise. Ces évolutions traduisent le remodèlement des équilibres géopolitiques, la marine chinoise étant désormais comparable à celle des Etats Unis tant en termes de quantité que dans le développement de nouvelles armes comme les drones, les missiles hypervéloces ou les armes lasers. En France, la discussion de la Loi de Programmation Militaire traduit une volonté de réaffirmer l'appartenance de notre pays au club restreint des grandes puissances navales, 10 pays (dont la France) totalisant à ce jour 84% des forces navales mondiales. Au-delà des défis de la puissance, la marine est un acteur clé dans le maintien de la sécurité aux frontières maritimes, notamment en matière de flux migratoires et commerciaux.La maîtrise des mers est également un levier fondamental de la puissance économique. Les routes maritimes concentrent 90% du commerce mondial de marchandise (en volume) et le secteur de la pêche, pilier de la sécurité alimentaire, est un vecteur central d'emploi local et non délocalisable. Les pêcheurs français ont récemment manifesté leur colère contre le plan de protection de la biodiversité marine de la Commission européenne, qui interdit le chalutage de fond dans les aires marines protégées et qui se serait traduit, selon les représentants du secteur, par la destruction d'un tiers de la flotte française. Au grand dam des militants du climat, ils ont réussi à faire plier Bruxelles qui s'est engagé à ne pas imposer cette interdiction avant 2030.La protection de l'environnement occupe pourtant une place de plus en plus centrale dans la gestion des ressources marines. L'Océan absorbe le quart du CO2 émis par les activités humaines et joue un rôle majeur dans l'atténuation du changement climatique. Les fonds marins sont le refuge d'une biodiversité riche, menacée par la pollution des eaux et les pratiques prédatrices de pêche. Le traité sur la Haute-Mer, adopté le 4 mars dernier au siège des Nations unies, se veut le reflet de ces préoccupations. Fréquemment décrit comme une étape « historique » dans la protection des océans, il instaure pour la première fois des aires marines protégées dans les eaux internationales, qui ne relèvent pas des juridictions nationales. Il devrait ainsi permettre de respecter l'objectif « 30 pour 30 » de la COP 15, qui vise à protéger au moins 30% des océans de la planète d'ici à 2030.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In 1910, a group of British men set off on an expedition – they wanted to be the first people to reach the South Pole. Over a hundred years later, in the journals and letters that survived, a writer discovered a love story. For more, check out Allegra Rosenberg's article, “From Antarctica with Love.” Say hello on Facebook and Instagram. Follow the show and review us on Apple Podcasts. Want to listen to This is Love ad-free? Sign up for Criminal Plus – you'll get to listen to This is Love, Criminal, and Phoebe Reads a Mystery without any ads. Plus, you'll get behind-the-scenes bonus episodes of Criminal and other exclusive benefits. Learn more and sign up here. We also make Criminal and Phoebe Reads a Mystery. Artwork by Julienne Alexander. Check out our online shop. Episode transcripts are posted on our website. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices