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This episode is a conversation with distinguished Zambian writer and activist Ba Mulenga Kapwepwe, who was recently invited to Emory University's Institute of African Studies to discuss her latest novel, Perfect Marriage. In this conversation facilitated by Dr. Bamba Ndiaye, Kapwepwe dissects the complexities of Bemba society, ritual practices, and social relationships in a gripping narrative that does not shy away from the scientificity of African cultures and rites often construed as pure folklore. To purchase the book click HERE. Novel's synopsys: "Dr Bwalya Katanshi and Dr Musonda Katongo are Zambian academics working in America. After meeting and falling in love, they decide to tie the knot. Neuroscientist Bwalya returns to Zambia ahead of Musonda, a mechanical engineer, to finalise their wedding arrangements. But the harmony is shattered when Musonda arrives. He is less than enthusiastic about embracing tradition and especially travelling to the village for their marriage rites and ceremonies. This reluctance strains their relationship and creates tension between the lovers, their future in-laws, and the entire village, jeopardizing the couple's future happiness.Rich with captivating depictions of Zambia's natural and cultural heritage, Perfect Marriage offers profound lessons and insights into the interconnectedness of human beings with their environment, with God, and with love-all shown through the lens of Bemba beliefs and practices." https://www.amazon.com/Perfect-Marriage-Mulenga-Kapwepwe/dp/9982990624
Traemos la crónica del recién terminado Mundial Montréal, con algunas de las propuestas más interesantes que pudimos ver allí en directo. También disfrutamos con nuevos discos que presentamos en esta edición. Suenan aires de Luisiana, persas, andinos, canadienses, de los pueblos indígenas de Norteamérica, mexicanos, andaluces, gallegos, vascos, finlandeses, escoceses, polacos y de la música de los gitanos de los Balcanes. We bring the chronicle of the recently concluded Mundial Montréal, featuring some of the most interesting proposals we experienced live. We also enjoy new albums presented in this edition. The sounds span from Louisiana, Persian, Andean, Canadian, Indigenous North American, Mexican, Andalusian, Galician, Basque, Finnish, Scottish, Polish, and the music of the Roma from the Balkans. – Benoît LeBlanc – Patat-la kwit – Mô kouzin mô kouzinn – Le Winston Band – Lâche la patate – Winston Express – Nimkii & The Niniis – Wiingashk – LFS5 – Duo Perse-Inca – Chupuro – Échos des montagnes / Echoes of the mountains – Chapulines – Bemba y tablao – Bululú – Fandila – La tierra girando – La fuerza de la costumbre – Carmela, Came López – Regina. O ramo [+ Pandeireteiras de Toutón] – Vinde todas – Markku Lepistö – Euskadi Express [+ Xabi Aburruzaga] – Duos – Simon Thacker & Justyna Jablonska – Ibrahim [+ Masha Natanson]- Songs of the Roma – Tamar Ilana & Ventanas – Azadi – Azadi – (Markku Lepistö – Balkan breakfast [+ Leija Lautamaja] – Duos) 📸 Simon Thacker & Justyna Jablonska
Fin 2023, le Congo-Brazzaville a subi les pires inondations de son histoire récente. Les cours d'eau sont sortis de leur lit dans des proportions inédites, provoquant des dégâts considérables : 1,79 million de personnes ont été affectées, un Congolais sur 12 a eu besoin d'une assistance humanitaire. La Likouala, département le plus éloigné de la capitale, fut aussi le plus touché. Les envoyés spéciaux de RFI s'y sont rendus en septembre 2024 avec une équipe de l'Unicef. Pour rejoindre les rives de l'Oubangui dans le département de la Likouala, au départ de Brazzaville, il faut d'abord rouler sur 800 km jusqu'à Ouesso, à la frontière camerounaise, traverser la rivière Sangha sur le bac, puis emprunter durant six heures une route carrossable de latérite rouge à travers la forêt équatoriale.De Bétou, certains villages sont atteignables par la route. Pour d'autres, c'est la pirogue, comme Ikpengbele, où lors des précédentes inondations, l'eau a tout envahi. « On pouvait sillonner le village en pirogue, raconte Bongo Abdoulaye, son chef. On n'avait pas connu de telles inondations ici depuis 1953. Nos parents ont perdu leur bétail à l'époque. Nous, on a grandi sans connaître ce genre de catastrophe. Puis en 2019, on a connu des grandes inondations et depuis, chaque année, 2020, 2021, 2022, 2023, nous subissons les inondations. Et vu le niveau actuel [en septembre 2024, NDLR] nous sommes sûrs que nous allons encore être inondés cette année. »La dernière fois, les eaux de l'Oubangui ont mis plus d'un mois et demi à se retirer. Durant plusieurs semaines, beaucoup d'habitants n'ont eu d'autre choix que de se réfugier en forêt, comme Jean-Faustin Massimo, ses deux épouses et leurs onze enfants : « On y a passé un mois et vingt jours. Nous avons construit des petites bicoques dans les collines. C'était très douloureux, on n'avait pas de lit, pas de bâches. On était sous la pluie, avec les moustiques, les serpents, les nuisibles, les scorpions... Les enfants dormaient sous la belle étoile, et nous n'avions rien pour les couvrir. »43 000 élèves privés d'école dans tout le CongoDes enfants privés d'école pendant des semaines. Selon l'Unicef, la scolarité de plus de 43 000 élèves a été interrompue dans tout le Congo pendant les inondations l'an dernier.Sur le plan sanitaire, près de 480 000 habitants dans tout le Congo ont eu besoin d'une aide immédiate pour avoir accès à de l'eau potable, comme dans le quartier Ca mètre de Bétou où la montée des eaux a rendu inutilisable le puits devant lequel se trouve le Dr Hermann Didi Ngossaki, responsable santé à l'Unicef Congo. « Il y a eu de la boue, des matières fécales, des débris qui sont entrés dedans, détaille-t-il. Le temps de réhabiliter, il a fallu distribuer des pastilles de chlore et montrer comment potabiliser l'eau pour éviter au maximum les maladies. »Depuis, le puits a été curé, surélevé. Georges Nikoué, en est désormais le président du comité de gestion. Il se dit marqué par le souvenir de l'eau arrivée au niveau de sa hanche dans sa maison : « J'ai perdu des documents précieux, des livres que m'avaient transmis mon père. » Pour autant, il n'envisage pas de s'installer ailleurs : « C'est là où moi je suis né. Je veux rester. Il faut qu'on lutte contre ces inondations, en canalisant la ville ou le quartier. »Inquiétude à l'approche d'une nouvelle saison des pluiesDans les eaux de l'Oubangui, encore calmes en cette matinée de septembre, des habitants se lavent et font leur lessive. Marème Bemba, animatrice de l'ONG EEA (Eau et assainissement pour l'Afrique) observe pourtant la scène avec inquiétude. « Vous voyez la femme-là ? Elle a l'eau jusqu'à mi-cuisses. Alors qu'il y a trois mois encore, là où elle est, il n'y avait pas d'eau », souligne-t-elle.Un peu plus loin, des bateliers chargent un navire de transport de marchandises sous le regard du chef du port de Bétou : « Malheureusement, on n'a pas d'échelle d'étiage pour mesurer le niveau de l'eau, ici. Il n'y en a qu'au niveau d'Impfondo [chef-lieu du département de la Likouala, NDLR]. » Un autre habitant, commerçant connu localement sous le nom de Koumerou, est catégorique : « Nous sommes nés à Bétou, nous avons grandi ici. Chaque matin, on voit comment l'eau monte. L'eau est déjà trop haute. Quand les pluies vont arriver, ça va recommencer. Nous serons inondés. » Pour lui, l'aide apportée par les autorités et les ONG l'an passé est insuffisante : « On nous apporte le riz, les éponges, mais cela ne nous protège pas. Nous avons besoin d'engins, pour construire des canaux, des dérivations. »Une prise de conscience à l'échelle nationaleCe que les habitants observent à l'œil nu au bord de l'Oubangui, Alain Loumouamou le confirme. Chef du bureau études, recherches et applications à la direction de la météorologie du Congo, il revient du 19è forum de prévisions climatiques d'Afrique centrale organisée en septembre à Douala, au Cameroun. Il plaide pour la mise en place d'un système d'alerte précoce dans tout le pays : « Il faut qu'il y ait des instruments météo qu'il faut installer dans les départements comme des pluviomètres, un système de bornage, des balises pour vérifier la montée des eaux. Dans le département de la Likouala, il est prévu pour octobre, novembre, décembre, des conditions de précipitations au-dessus de la normale saisonnière. Il est probable de vivre les mêmes scénarios que l'année 2023. Avec l'augmentation de la température aujourd'hui liée au changement climatique, nous ne serons jamais épargnés par ces phénomènes naturels. »Une prise de conscience accélérée par l'ampleur des inondations de l'an dernier. Dans la Likouala, les autorités locales encouragent les habitants à s'éloigner des rives.Les acteurs humanitaires se préparent aussi pour ne pas être pris de court. Au niveau gouvernemental, à Brazzaville, Marie-Cécile Mboukou Kimbatsa, ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l'Action humanitaire, parle d'une réflexion à mener à plus long terme. « Nous ne pouvons plus nous projeter dans la résilience, nous nous projetons dans l'adaptation, assure-t-elle. Il faut réfléchir sur l'habitat, sur le type de pratiques agricoles que nous allons mettre en place dans ces zones-là puisque les populations ne veulent pas se déplacer. Il faut que nous puissions mettre en place des infrastructures sanitaires, d'éducation pérennes et que nous puissions canaliser les eaux pour permettre d'assécher les zones d'habitation. Mais tout cela nécessite de très gros investissements. Ce ne sont pas des investissements qu'un État puisse supporter seul. »Faute de solutions à court terme, la résignation des plus modestesRetour dans la Likouala. À Boyélé-Port, à deux heures et demie de route au sud de Bétou, le chef de village Sylvestre Doli se prépare à appeler les habitants à évacuer. « Le réchauffement climatique, nous en entendons parler. Nous ne comprenons pas profondément ce que c'est. Mais nous constatons qu'au moment où il devrait faire moins chaud, il fait plus chaud. Au moment où il ne devrait pas pleuvoir, il pleut abondamment et nous, nous perdons des cultures. Nous subissons, mais nous n'avons pas la solution », résume-t-il.Plusieurs habitants de la Likouala racontent que depuis les inondations de fin 2023, les enfants se mettent à pleurer quand la pluie tombe. Léonie Niamazongo, 62 ans, se dit elle-même très marquée par la crue de l'an dernier, mais résignée. « La dernière fois, quand l'eau est montée et qu'on a dû partir, on s'est d'abord débrouillé avec les tubercules de manioc qu'il nous restait, puis nous avons utilisé nos économies pour faire manger les enfants, raconte-t-elle. Et puis, au bout d'un moment, il n'y avait presque plus rien. J'ai huit enfants et vingt petits-enfants. Depuis les inondations de l'an dernier, j'ai mal au ventre, je me sens tendue. Quand je vois les eaux remonter, mon cœur bat très vite. »
Su reinado en las victrolas coincidió con los últimos años 50s. Más de seis décadas después Blanca Rosa Gil continúa siendo una de las voces más hermosas y distintivas del bolero cubano. Sus primeros singles, producidos por la etiqueta Panart hacia 1957 cristalizaron una creciente popularidad ganada, a puro aplauso, en la pista del "Ali Bar" el famoso local regenteado por Alipio García, ubicado en la periferia citadina. Para 1960 redoblaba sus éxitos en radio y televisión mientras que sus grabaciones producidas por el sello Modiner asentaban ese estilo tan suyo, entre sentimental y tanguero, acentuado por los arreglos de los pianistas Severino Ramos y Joaquín Mendivel, a cargo también de las conducciones orquestales. Los ecos de los éxitos de "La muñequita que canta" son parte indisoluble de las memorias de una nación que, negándose a desvanecerse del todo, persiste en la nostalgia de más de una generación de cubanos, dentro y fuera de la isla. Eliades Ochoa: de Songo la Maya para el mundo. Su temprano vínculo con un instrumento como el tres lo llevó inevitablemente al mundo del son, la guajira, el bolero y la canción trovadoresca. Su trasiego por el Quinteto "Oriental", el Septeto Típico y el Cuarteto "Patria", así como su similitud vocal con el mítico Guillermo Portabales, han definido su huella en la música popular de los últimos treinta años. Hoy repasamos algunas de las grabaciones de Eliades Ochoa con el Cuarteto "Patria". Sin dudas el empuje comercial del proyecto "Buena Vista Social Club" fue decisivo para que su carrera fuese bien reconocida dentro y fuera de la isla. En su voz la obra del genial Antonio Fernández (Ñico Saquito). José Antonio Méndez: "el King", "el Ronco", a pesar de tener "pegados" en las victrolas de los primerísimos años 50s varios temas de su autoría, decidió probar fortuna en tierras aztecas como lo hicieron otros artistas y músicos cubanos que le antecedieron. José Antonio, con su habitual humildad, creyó que el representante de la RCA Víctor mexicana Mariano Rivera Conde "lo estaba vacilando" cuando le propuso grabar varios discos con arreglos y respaldo orquestales del tremendo melodista, pianista y compositor Mario Ruiz Armengol. El sorpresivo éxito que tuvieron estas grabaciones fuera de Cuba validó el estilo interpretativo del King. La calidez de su voz y la sencillez con que "ponía" los temas en el escenario con su guitarra le aseguraron, desde entonces, la fidelidad del público mexicano. Entre sus trabajos discográficos de los primeros años 60 sobresale una producción en complicidad con los pianistas Frank Emilio Flynn, Rafael Somavilla y el violinista urugüayo Federico Britos. En los minutos finales algunas de las voces entrañables de la radio cubana. Los ecos de los veteranos estudios habaneros, aquellos importantes escenarios del éter donde artistas y agrupaciones ofrecieron su arte en directo. Desde los estudios de la CMQ de Monte y Prado: Gerardo Pedroso, una de las voces olvidadas del danzón. El 21 de agosto de 1948 le acompañó la Orquesta Gris a cargo del maestro Armando Valdés Torres. Así cantó la guaracha de José Claro Fumero: "Bemba colorá". Los tiempos de gloria de la música popular cubana. Gerardo Pedroso regresa como bolerista. "Mira que eres linda", otro clásico cubano original del maestro Julio Brito. Sonidos que nos recuerdan la importantísima plaza artística que fue La Habana. Seguimos viaje ahora a los estudios del guajiro Amado Trinidad Velazco, el mayor competidor de CMQ. En julio de 1947 en RHC Cadena Azul, bajo el influjo del llamado danzón de nuevo ritmo, la Orquesta Unión interpretaba "Las cosas de Vega", combinación de la pieza de Orestes López con un fragmento de la suite "Cascanueces". La última parada es en los estudios de la Radio Cadena Suaritos ubicados en la calle 25 del Vedado habanero. María Teresa Vera y Lorenzo Hierrezuelo cubrieron infinidad de horas en las míticas audiciones del gran Laureano Suárez.
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur les difficultés de la liste de la majorité française dans leur campagne pour les éléctions européennes, l'avenir politique de Chogel Maïga au Mali et la mutation du ministre congolais Jean-Pierre Bemba de la Défense aux Transports. Football : quel rôle pour Kylian Mbappé au Real Madrid ? L'attaquant parisien Kylian Mbappé va enfin rejoindre les Merengue pour les cinq prochaines saisons. Pourquoi le club voulait à tout prix ce joueur après les trois tentatives avortées ? Quelle plus-value peut-il apporter au Real alors que le club madrilène vient de gagner sa 15è Ligue des Champions ? Avec Christophe Diremszian, journaliste au service des sports de RFI.Élections européennes : la liste présidentielle à la peine En France, à quatre jours du scrutin, la liste du Rassemblement national menée par Jordan Bardella est toujours en tête dans les intentions de vote. Comment expliquer que la liste présidentielle n'arrive pas à rassembler davantage ? Faut-il l'imputer au choix de Valérie Hayer comme tête de liste ? Avec Pierrick Bonno, journaliste au service politique de RFI.Mali : Choguel Maïga sur la sellette ?Le M5 RFP, la formation politique restée fidèle au Premier ministre Choguel Maïga, a publié un mémorandum critiquant la gestion de la transition par les militaires. Quelles conséquences ce texte peut-il avoir sur l'avenir politique de Choguel Maïga ? Ce dernier a-t-il réagi ? Avec Kaourou Magassa, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : Jean-Pierre Bemba remplacé à la Défense Ministre de la Défense dans le précédent gouvernement, Jean-Pierre Bemba a été muté aux Transports. Comment expliquer que Bemba ait perdu du terrain au sein de la majorité ? La nomination d'un nouveau ministre de la Défense est-elle le signe d'un changement de stratégie dans l'Est du pays ? Avec Christian Moleka, analyste politique et président de la Dynamique des politologues de la RDC.
O Balada Musical homenageia nesta edição a rainha da percussão, a americana Sheila E. A artista lançou neste mês o sensacional álbum "Bailar", em homenagem às estrelas da salsa. Frequentemente lembrada como a "musa rítmica" de Prince, Sheila E. está na estrada há 50 anos, performando junto a ícones do jazz e R&B como George Duke e Marvin Gaye. Em 1985, a percussionista ficou conhecida em todo o planeta ao participar da célebre gravação da faixa "We are the World", composta por Michael Jackson e Lionel Richie para o projeto "USA for Africa", dentro da campanha e arrecadação de fundos para o combate à fome no continente africano.Ao longo das décadas, Sheila E. se impôs como uma das maiores percussionistas da latin music. Após uma pausa de cinco anos, "Bailar", seu nono álbum, acaba de sair do forno e homenageia grandes estrelas, como o americano Tito Puente e a cubana Celia Cruz. Entre as dez faixas, está uma original releitura de "Bemba Colorá" - célebre hino antirracismo dos anos 1960 - interpretado no disco por Sheila E. em parceria com Gloria Estefan e Mimy Succar.O Balada Musical pode ser ouvido no Spotify e no Deezer. Confira também as playlists mensais da Programação Musical RFI no YouTube, Deezer e Spotify!
Hey Mix(ed)tape Listeners! In track 2 of Were You Listening? we analyze the song Bemba Colorá by José Claro Fúmero in the incredible voice of Celia Cruz.If you're a salsa dancer, you've probably danced or performed to this song at some point. We certainly have. But have you stopped to think about its meaning? This is exactly what our friend and former guest Lauren Wilmore, a dancer and the owner of Made By Lala did. And she asked us. This episode is our answer to her inquiry regarding this very famous song. In Bemba Colorá, José Claro Fúmero writes, and Celia sings, about the worthlessness of a Black man due to the fact that he has a bemba colorá. Now, what is a bemba colorá or what does it imply? We'll have to dig a little. Were we listening? We hope this track helps to add value to your listening and awareness in your dancing!Find all of our Were You Listening? episodes here.For more info and resources check our website here and our YouTube channel here.Contact us at: themixedtapepodcast@gmail.comIf you like the music we use check our playlists here.Host/Director of Series: Andrés Hincapié, PhDProducer: Melissa Villodas, PhDGraphic Content Creator: Susan Mykalcio
¡Hola queridos oyentes de Mix(ed)tape ! En el track 2 de Were You Listening? analizamos la canción Bemba Colorá de José Claro Fúmero en la increíble voz de Celia Cruz.Si eres una persona que baila y disfruta de la salsa, probablemente hayas bailado esta canción socialmente o en una coreografía. Nosotros seguro lo hemos hecho. Pero, ¿te detuviste alguna vez a pensar sobre el significado de esta canción? Esto es exactamente lo que hizo nuestra amiga e invitada Lauren Wilmore, quien es también una bailadora y la fundadora de Made By Lala. Y nos lo preguntó. Este episodio es nuestra respuesta a su pregunta sobre esta famosa canción.En Bemba Colorá, José Claro Fúmero escribe, y Celia canta, sobre la insignificancia de un hombre negro, debido al hecho de tener la bemba colorá. Ahora, ¿qué es una bemba colorá? ¿qué es lo que implica? Para eso tendremos que indagar un poco.¿Estábamos escuchando? Encuentra todos los episodios de la serie aquí.Para más información sobre nuestras fuentes échale un vistazo a nuestro sitio web aquí y a nuestro canal de Youtube aquí.Contáctanos en: themixedtapepodcast@gmail.comSi te gustó la música que utilizamos, encuéntrala en nuestros playlists aquí.Host/Director de la serie: Andrés Hincapié, PhDProductora: Melissa Villodas, PhDCreadora de contenido gráfico: Susan Mykalcio
« Au Congo, la dynamique de la campagne électorale, elle est du côté de Félix Tshisekedi », affirme sur RFI son porte-parole, Erik Nyindu. « La dynamique en faveur de l'opposant Moïse Katumbi, ce n'est qu'un leurre ». Que fera le président-candidat Tshisekedi pour les salaires des fonctionnaires civils et militaires s'il est élu pour un deuxième mandat ? Cinq jours avant la présidentielle de mercredi prochain, son porte-parole répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Erik Nyindu, quelle est la réalisation dont le président Tshisekedi peut être le plus fier depuis son arrivée au pouvoir ? Erik Nyindu : C'est la mise en place d'une disposition de la Constitution qui est la gratuité de l'enseignement primaire. C'était dans la Constitution de 2006, mais aucun des pouvoirs en place, jusqu'à présent, n'avait osé le faire, n'avait eu le courage de le faire. C'est ça la particularité du président Tshisekedi, c'est qu'il a eu le courage et la volonté politique de le faire, il a mis ça en place. Il y a près de cinq millions de jeunes enfants qui ont repris le chemin de l'école, qui n'auraient pas pu le faire autrement parce que leurs parents n'avaient pas les moyens de payer des études. C'est quelque chose de très important, ça donne un bagage à ces enfants pour pouvoir avancer et se débrouiller dans la vie.Plusieurs candidats de l'opposition affirment que cette gratuité est factice, car les enseignants sont tellement mal payés qu'ils sont obligés de rançonner les parents d'élèves…Ce n'est pas vrai. Ça, c'est un discours de l'opposition qui veut s'opposer à tout. Cette mesure a été une mesure difficile à mettre en place, elle se concrétise de plus en plus et sur toute l'étendue du pays. Il y a des mesures d'accompagnement. Notamment, il y a eu une mécanisation de plus de 100 000 professeurs, donc ça veut dire que leur salaire a été payé de façon bancarisée. On a augmenté aussi le salaire des professeurs, qui atteint aujourd'hui entre 300 et 400 dollars le mois. Et puis, surtout, la construction d'écoles : près de 7 000 écoles sont en chantier, dont près de 80% sont déjà construites, et ça permettra aux enfants de pouvoir y accéder dès la rentrée scolaire de 2024.L'un des problèmes, actuellement, dans votre pays, c'est l'inflation : + 22% en un an, dit le FMI. Comment comptez-vous arrêter la chute du franc congolais par rapport au dollar ?D'abord, il faut dire que ce problème d'inflation est un problème mondial, donc le Congo subit, comme le reste du monde, l'inflation. Une inflation qui, au Congo, est moins forte que celle de plusieurs autres pays africains. Le président, dans son projet politique pour le second mandat - si les Congolais lui font confiance pour le réélire -, a justement décidé de réduire l'impact de l'envolée des prix, notamment les prix des denrées de première nécessité, notamment le carburant, les produits alimentaires. Et aussi, par rapport au taux de change, en accentuant l'efficacité de la dépense publique : mieux dépenser, moins de dépenses de l'État et de meilleures dépenses qui sont bien ciblées, en espérant aussi que la conjoncture mondiale va s'améliorer.Félix Tshisekedi dit vouloir faire du Congo l'Allemagne de l'Afrique, mais dans un pays comme le vôtre où seulement, selon la Banque mondiale, 20% de la population a accès à l'électricité, est-ce que cela ne risque pas d'être un slogan sans lendemain ?Non, ce n'est pas un slogan. Qu'est-ce que c'est, l'Allemagne aujourd'hui ? C'est le moteur de l'économie européenne, un grand pays qui, surtout, a une tradition industrielle. Eh bien, c'est ce qu'on veut faire du Congo, un pays industriel, et pour pouvoir faire des usines, des manufactures, qui vont pouvoir employer la jeunesse congolaise, eh bien vous avez raison, il faut de l'énergie. Alors, il faut comprendre que durant le mandat du président Tshisekedi, on est passés, en 2020, de 12 460 gigawatts produits dans le pays à, en 2022, 15 287 gigawatts, c'est-à-dire une augmentation. On a eu une situation qui était catastrophique à l'arrivée du président Tshisekedi et on travaille là-dessus. Et, notamment, on a mis en place l'ARE, l'Agence de régulation de l'électricité, qui permet justement d'assainir ce secteur. Cette libéralisation va donner toute son efficacité, notamment avec des projets qu'on appelle off-grid, c'est-à-dire des projets hors réseau, des petites centrales hydro-électriques dans les territoires, des petites centrales photovoltaïques dans les territoires, qui vont permettre d'éclairer le Congo et de fournir de l'électricité pour l'industrialisation du pays.Pour redresser la situation militaire dans l'Est du pays, il faut remotiver les militaires, il faut augmenter leur solde - cent dollars par mois, ça ne suffit pas -, disent plusieurs candidats de l'opposition. Qu'est-ce que vous en pensez ? Je pense qu'il faut voir ce problème de façon globale. Ce n'est pas simplement une question de solde. D'abord, je voudrais dire une chose, aucun président, de toute l'histoire du Congo, n'a autant investi dans l'armée congolaise. À son arrivée, le président trouve une armée faite de bric et de broc, pratiquement en décomposition. Qu'est-ce qu'il fait ? Il lance une réforme, il augmente le budget global de la défense, qui passe à 10,4% dans le budget 2023, tout en sachant que, globalement, on augmentait le budget du pays - on est passés de 4 milliards en 2019 à 16 milliards en 2023. Il fallait le faire et c'est le président Tshisekedi qui a permis de le faire. Donc à partir de là, une loi de programmation militaire a été votée cette année, elle est en train d'être mise en application, cela permet justement d'augmenter encore plus la solde des militaires, d'améliorer le social des militaires. Deux grands hôpitaux, par exemple, à Kinshasa, l'hôpital du camp Tshatshi et l'hôpital du camp Kokolo, ont été rénovés, modernisés, ce qui permet aux militaires et à leur famille de se faire soigner là-bas gratuitement, ce qui permet de redonner de la dignité à nos soldats. Dernière mesure, la loi sur la réserve armée, qui permet à près de 40 000 jeunes Congolais, qui ont répondu à l'appel de la patrie, d'être formés aujourd'hui et d'accompagner, justement, l'armée dans son rôle de défense de la patrie.Dans l'opposition, plusieurs candidats pointent la très forte disparité entre les députés congolais, qui gagnent quelque 25 000 dollars par mois, et les nombreux fonctionnaires civils et militaires, qui ne gagneraient qu'entre 80 et 100 dollars par mois. Ils crient à l'injustice. Qu'est-ce que vous répondez ? Tout ce que je dis, c'est que dans le projet du président, il y a une mesure d'harmonisation des salaires de la fonction publique, notamment parce qu'il veut augmenter le pouvoir d'achat des Congolais. Pour ce qui est du salaire des députés, c'est quelque chose qui sera décidé au sein du Parlement. Si, effectivement, il faut baisser le salaire des députés, ça sera décidé ainsi et ce sera fait. Mais le poujadisme, le populisme, qui consistent à pointer du doigt le salaire des députés sans voir le reste, si on peut dire, de l'équation, c'est un discours populiste d'une opposition qui n'a pas d'idées.Pour mieux dénoncer le soutien du Rwanda aux rebelles du M23, le président Tshisekedi n'hésite pas à comparer le président Kagame à Hitler. Est-ce que ce n'est pas une comparaison excessive ? Ce sont des propos qui sont conformes à la réalité. Hitler en son temps, vous le savez très bien, a eu des visées expansionnistes qui ont conduit à une guerre mondiale. Monsieur Kagame a des visées expansionnistes sur le Congo qui peuvent conduire à une guerre mondiale africaine, et c'est pour cela que l'on dit que le président Kagame a une mauvaise politique, et on appelle la communauté internationale à le sanctionner pour que la paix revienne au sein de l'Afrique centrale.Il y a un mois, sur RFI et France 24, Félix Tshisekedi a déclaré : « Je n'ai pas peur de l'opposition, qu'elle soit unie ou pas », mais le ralliement de quatre candidats à Moïse Katumbi, l'affluence aux meetings de ce dernier, est-ce que ce ne sont pas autant d'indices qui montrent qu'il y a dans l'opposition une dynamique pour le candidat Katumbi ? Je crois qu'il y a un leurre, un leurre, d'ailleurs, qui est un piège pour les médias, et vous êtes tombé dans ce piège, monsieur Boisbouvier. D'abord, un, l'affluence aux meetings de Katumbi, c'est une affluence feinte, ils trafiquent leurs images. La réelle affluence se trouve aux meetings du candidat numéro 20, Félix Tshisekedi. Regardez, renseignez-vous et vous verrez que la population vient nombreuse, même au Katanga, là où certains prétendaient que c'était un fief de Katumbi. Le président a fait le plein, on n'avait jamais vu ça. Ça, c'est une première chose. La deuxième chose, le ralliement. C'est quelque chose qui avait déjà été préparé depuis longtemps, donc ils sont en train de feuilletonner ce ralliement pour pouvoir créer une sorte de faux buzz dans les médias, et en fait, ce sont des ralliements d'individus, ce sont des stratégies individuelles, de Sesanga, de Matata, de Diongo. Alors que, dans notre camp, les soutiens du président Félix Tshisekedi sont de véritables ténors politiques : il a monsieur Bemba, il a monsieur Kamerhe, il a monsieur Bahati, il a monsieur Mboso, il a la jeune génération avec le Premier ministre Sama Lukonde, et là, ce sont des partis politiques, des mouvements reconnus comme ayant une véritable assise dans le pays qui ont désigné Tshisekedi comme le candidat. Donc, Tshisekedi est un candidat indépendant, mais soutenu par les militants de l'UDPS, du MLC, de l'AFDC, de l'UNC et d'autres partis qui le soutiennent. Vous le voyez, la dynamique est différente. Nous, c'est une dynamique collective, qui porte un candidat, alors que chez Katumbi, ce sont des ralliements individuels qui ne donneront rien en fin de course.En vue de l'élection de ce mercredi 20 décembre, beaucoup d'opposants n'ont pas confiance dans la neutralité de la Céni, la Commission électorale. Ils encouragent leurs partisans à rester devant chacun des bureaux de vote, jusqu'à l'affichage des résultats. Qu'est-ce que vous en pensez ? (Rires) Je pense que c'est une bonne chose, mais nous, nous ferons la même chose. Je pense que la vigilance populaire est une bonne chose et nous ferons la même chose chez nous. Le président a donné le mot d'ordre à ses militants, à ses électeurs, de rester devant les bureaux de vote. Nous devons surveiller ça parce que nous savons qu'il y a une stratégie, qui a déjà commencé de la part de l'opposition, de dénoncer les résultats, quels que soient ces résultats. Sachant qu'ils vont certainement perdre cette élection, ils commencent déjà à préparer un discours de contestation pour pouvoir créer l'instabilité dans le pays. Nous refusons ça, parce que la démocratie congolaise, c'est quelque chose de fragile, c'est quelque chose de précieux, à laquelle nous tenons. Mais d'un autre côté, je dirais qu'il faut faire confiance à la Céni. La Céni est une instance indépendante, avec à sa tête Denis Kadima qui est l'un des experts mondialement connus de la gestion des processus électoraux. Il n'est pas seul. Il a une équipe de professionnels. Il y a des représentants de l'opposition au sein de la Céni. Il y aura aussi une vingtaine de missions d'observation. Donc, de ce point de vue, ce seront des élections sous surveillance, des élections transparentes, justes et crédibles.
Matthew Grollnek left California nearly 20 years ago, joined the Peace Corps, and a few months later found himself in rural Zambia sitting around a fire trying to speak Bemba with the locals he now called his neighbors. Fast forward to today and he's built an incredible life for himself in Africa, currently working as the Future of Work lead at the Mastercard Foundation, traveling the world often with his wife and two children, and taking the occasional weekend trip to the Kenyan coastline and the incredible national parks that surround his home in Nairobi. In this episode we explore Kenya and Zambia specifically, but more generally we focus on subjects ranging from traveling with a family to immigrating to Africa, and the evolution of several nearby countries that are emerging as top travel destinations. Connect and learn more about Matthew's work at: - LinkedIn profile: https://www.linkedin.com/in/matthewgrollnek/ - Twitter profile: https://twitter.com/MatthewGrollnek We also reference the following leading voices on travel in Africa: - Tayo Aina: https://www.youtube.com/@TayoAinaFilms - Tayo Rockson: https://www.youtube.com/@TayoRockson - Wey'hee Barkson: https://www.instagram.com/wehyeeba/ This episode was brought to you by Lexidy, the team of lawyers and advisors I trust for all my visa, tax, and property challenges in Spain, Greece, Italy, France & Portugal. Use the code "AboutAbroad2023" to receive 10% of your first service, and learn more at https://bit.ly/45Y7ols If you're enjoying the podcast, please consider taking 2 minutes to leave a short review at: RateThisPodcast.com/aboutabroad
En RDC, plusieurs poids lourds de la scène politique ont fait leur entrée au gouvernement. Jean-Pierre Bemba, ex-chef de guerre, a été nommé ministre de la Défense et Vital Kamerhe, condamné à 20 ans de prison pour détournement de fonds avant d'être acquitté, a décroché le portefeuille de l'Économie. À neuf mois de la présidentielle, que vous inspirent ces nominations ? Vos réactions nous intéressent. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
Miongoni mwa yale utakayosikia, ni hatua ya rais wa DRC Felix Tshisekedi kumteua Jean Pierre Bemba kuwa Waziri mpya wa Ulinzi na Vital Kamerhe kuwa Waziri wa Uchumi, maandamano ya upinzani nchini Kenya na makabiliano ya waandamanaji na polisi nchini Ufaransa kupinga mageuzi ya mfumo wa pensheni.
Le Nord-Kivu demeure la province enregistrant le plus grand nombre de violations et atteintes aux droits humains avec 246 violations soit 66%, d'après les statistiques du mois de janvier publiées cette semaine par le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme (BCNUDH). Il est suivi de l'Ituri (66 cas soit 18%). Dans cette province, les attentes sont nombreuses sur la nomination de Jean-Pierre Bemba comme ministre de La Défense. « Jean-Pierre Bemba est parmi ceux qui ont dirigé la rébellion dans ce pays. Ils ont été présents même dans l'Est de la RDC. On suppose qu'ils connaissent l'Est et le mode opératoire des groupes armés. C'est peut-être la raison pour laquelle le chef de l'Etat lui a fait confiance », a expliqué à ACTUALITE.CD Dieudonné Lossa, coordonnateur de la société civile de l'Ituri. Et d'ajouter : « Tout ce qui nous intéresse, c'est d'avoir la paix dans l'Est. Nous souhaitons que la personne qui est nommée à la tête de ce ministère soit à la hauteur de ce qui lui est demandé. La nomination doit permettre la stabilisation des provinces de l'Est ». Il espère que le gouvernement donnera les moyens qu'il faut à Jean-Pierre Bemba. « La bonne volonté du gouvernement fera en sorte que Bemba fasse quelque chose. Si le gouvernement n'est pas disposé à arrêter nos souffrances, nos malheurs, même la personne la plus forte ne fera rien ». Vous pouvez l'écouter ici.
Greetings Village! #DailyAfricanProverbs takes us to #Bemba The Proverb says: "A child is like an axe, even if it hurts you, you still carry it on your shoulder." African Proverbs are a source of profound wisdom, especially today's proverb from Bemba. This proverb speaks to the importance of resilience and perseverance in parenting. It emphasizes that parents will always love their children unconditionally, no matter what. By passing down their strength to their children, parents can help ensure that they have the abilities needed to face any challenge they may encounter. Become a stronger parent by teaching your child how to persevere and never give up in the face of difficulty – just like an axe rides comfortably on its bearer's shoulder! Join us on #AFIAPodcast to listen to our latest episode at 6 am PST/5 pm EAT Share your thoughts on this proverb in the comments below. SUBSCRIBE to get Daily African Proverbs and their meaning in your life https://rb.gy/jdavpn
Greetings Village! #DailyAfricanProverbs takes us to #Bemba The Proverb says: "A child is like an axe, even if it hurts you, you still carry it on your shoulder." African Proverbs are a source of profound wisdom, especially today's proverb from Bemba. This proverb speaks to the importance of resilience and perseverance in parenting. It emphasizes that parents will always love their children unconditionally, no matter what. By passing down their strength to their children, parents can help ensure that they have the abilities needed to face any challenge they may encounter. Become a stronger parent by teaching your child how to persevere and never give up in the face of difficulty – just like an axe rides comfortably on its bearer's shoulder! Join us on #AFIAPodcast to listen to our latest episode at 6 am PST/5 pm EAT Share your thoughts on this proverb in the comments below. SUBSCRIBE to get Daily African Proverbs and their meaning in your life https://rb.gy/jdavpn Book Your Next Adventure: https://onevibeexperience.com/10-day-kenya/#book-now My New Book: Get your copy of Rooted In Love and dive deep into the world of love, and self-discovery. https://store.bookbaby.com/book/rooted-in-love RESOURCES: 1. Descript: Get the perfect production setup with Descript - the audio and video editing experts that make sure your content looks top-notch. https://www.descript.com/?lmref=877QnQ 2. Hostwinds: Get your web hosting sorted with HostWinds – the Webhosting experts that make sure you don't have to worry about your website. https://www.hostwinds.com/12980.html 3. Ecamm: Get the perfect streaming setup with Ecamm Live - the live streaming experts that make sure your show looks polished and professional. https://www.ecamm.com/mac/ecammlive/?fp_ref=simon80 ******************************
In this episode of the podcast, we catch up with Matthew Boyd and JB Norcott. Matthew and JB are second year students in the Executive MBA Class of 2023, and they are also Co-Presidents of the Black Executive MBA (BEMBA) student organization. We talk with Matthew and JB about their backgrounds, their decision to pursue an MBA, what led them to Darden and their plans for BEMBA in the year ahead.
Dedicamos el jazzensor al jazz latino o jazz afrocubano y contamos, para ello, con tres discos de reciente publicación. Todos los artistas que nos visitan hoy son cubanos, hijos y herederos de una rica tradición musical que, al parecer, anda decayendo en la isla pues, por sus calles, el sonido que ahora mismo se escucha y se baila es el del regaeton. En primer lugar os traemos a dos pesos pesados del jazz afrocubano. Chucho Valdés y Paquito D'Rivera han publicado, este 2022, un trabajo titulado "I Missed You Too!" (¡Yo también te extrañé!), que supone el reencuentro musical y personal de ambos. El siguiente disco se titula “Influenciado” y es el cuarto disco de Alexey León, un joven saxofonista, flautista y compositor ruso-cubano afincado en Valencia. El álbum es un homenaje a la tradición jazz afrocubana y a los pioneros del jazz latino. El tercer y ultimo disco es “Viento Y Tiempo: Live At The Blue Note Tokyo” grabado por Gonzalo Rubalcaba y Aymée Nuviola. Materializa un proyecto acariciado por largo tiempo por los dos protagonistas, ya que se conocen desde su adolescencia, cuando asistían al mismo Conservatorio. Play List: Chucho Valdés, Paquito D'Rivera - "I Missed You Too!" - Pac-Man - I Missed You Too! - El Majá De Vento - Mambo Influenciado Alexey Leon - "Influenciado" - Influenciado - Dat Dere - De la Habana a Moscu - Noche de Carnaval Gonzalo Rubalcaba & Aymee Nuviola - "Viento Y Tiempo_Live at Blue Note Tokyo" - Rumba callejera - Bemba colorá - Lágrimas negras
Barbara Casini ('Milagres dos peixes', 'Biromes y servilletas', 'Hurry', 'La maza'), Gonzalo Rubalcaba & Aymée Nuviola ('Dos gardenias', 'Bemba colorá', 'Bésame mucho'), Gonzalo Rubalcaba & Anna Maria Jopek ('Twe usta klamia', 'Nie wierze ci') y Paul Winter Consort ('Icarus'). Escuchar audio
BWJ 027: In this episode I speak with Farida Bemba Nabourema, we chat about: The history of Togo. Monetary imperialism. French post-colonial influence. Her family history. The brutality of the military regime in Togo. Her work as a political activist. Being in exile. Bitcoin as a viable alternative to the CFA. Bitcoin adoption rates. Emphasising education. You can contact Farida on twitter @Farida_N If you enjoyed this episode, please rate, subscribe, and share with your friends! Thank you, Best, Jake +++ Support the show: Fountain (stream sats) here. Join fountain with my referral code here. +++ Full episode library: Amazon here. Fountain here. Google here. Itunes here. Spotify here. +++ Get in touch: Twitter: @bitcoinwithjake Twitter: @jakeeswoodhouse
Gonzalo Rubalcaba y Aymée Nuviola 'Live in Marciac' ('Bemba colorá', 'Bésame mucho'), Marina de la Riva 'Raíces compartidas' ('Bésame mucho', 'Ai, ai, ai, ai, ai', 'La gloria eres tú'), Benji Kaplan 'Something here inside' ('The song is you', 'Smoke gets in your eyes'), Tico de Moraes 'Jazz Brasil' ('Doce presença', 'Lembra de mim') y Barcelona Clarinet Players 'Fantasías barcelónicas' ('Wapango' -con Paquito D´Rivera-). Escuchar audio
Tico de Moraes ('Sem noção', 'Doce presença', 'Lembra de mim'), Benji Kaplan ('The song is you', 'Smoke gets in your eyes', 'So in love'), Marina de la Riva ('Bésame mucho', 'Ai, ai, ai, ai, ai', 'La gloria eres tú', 'Como fue') y Gonzalo Rubalcaba & Aymée Nuviola ('Bemba colorá', 'El manisero'). Escuchar audio
15.06.22 Pt 2 - Bemba is a language in Mutale's country, and she teaches Gareth and Simphiwe how to say a few words, and tells us about the beautiful land of Zambia. South Africa's very own Chuck Norris, as seen on the hit TV series Devilsdorp, Ben Booysen joins the team to talk about his new book, and the realities of being in the SA police force.
Tribal identities continue to play a role in social and political rifts in many parts of the world, even erupting into outright conflict. In the southern African nation of Zambia, a younger generation now attempts to bridge the gap between different tribes. But long-held stereotypes make it difficult for Zambians to discard their tribal identity entirely. Zambian journalist and radio host Angel Bwalya Kasabo introduces us to two Zambian families who come from different tribes–the Tonga and Bemba–that have intermarried. These Zambian families have crossed not only tribal borders, but their own borders of prejudice. Their experiences can bring understanding about how to break through tension and misunderstanding between families in a polarized society.
Welcome back to Queerability!Today, we are honoured to have a living LGBTQ+ legend and activist, Father Bernard Lynch.For seven years Bernard studied philosophy and theology in preparation for ordination to priesthood at the African Missions College twenty-six miles from Belfast. This happened during the inception of the troubles in Northern Ireland. After ordination I worked with the Bemba people for two years in North Central Zambia before going to the U.S.A.Bernard has an interdisciplinary doctorate in counselling psychology and theology from Fordham University and New York Theological Seminary. For fifteen successive years, Bernard was Theological Consultant to the Board of Directors of Dignity New York - an organization for Lesbian, Gay, Transgendered and Bisexual Catholics and their friends - and founded the AIDS/HIV Ministry of Dignity New York in 1982, which continues its work to the present day. For over ten years, he was a member of the Mayor of New York's voluntary Task Force on HIV/AIDS, and was the only Roman Catholic priest to testify before the City Council for the successful passage of Civil Rights legislation for the LGBT community in 1986. Bernard continued my work with HIV/AIDS in London until 2011. Presently I am available on an advisory capacity for HIV/AIDS work. He have been profiled three times on Channel Four. In February 1993, his book, 'A Priest on Trial' was published by Bloomsbury Press. Since then he has published articles on Spirituality and Sexuality in different magazines, as well as participating in TV and Radio programmes on similar subjects. Bernard, have been interviewed many times by Sky News and the BBC. He participated in Protest the Pope (You Tube Father Bernard Lynch). His book 'If It Wasn't Love, Sex, Death and God' was published by Circle Books in 2012. Zeinab Badawi interviewed him for HARDTALK for the BBC World Service. He continue to work as priest and psychotherapist especially in areas of social justice and oppression. For ten years, he was chair of Camden LGBT Forum. In 2015, Bernard became the first representative of the Irish LGBT community to City Hall for the London Saint Patrick's Day Parade.He participated in the Irish Marriage Referendum by augmenting the 'Take the Boat to Vote' in London. He also participated in organising the victory party to celebrate a world first in LGBT equality by the Irish people on May 22nd 2015.January 2017 brought the culmination of a Life Dream when Bernard married his husband Billy Desmond on the Wild Atlantic Coast near where Bernard was born. The occasion was honoured by the President of Ireland giving us a private audience. New York City Council honoured my Life Work by presenting me with a Proclamation on January 27th the day of our wedding.This is part one of a two part series.In this episode we discuss:HIVNew York gay scene leading up to HIVReligion and the LGBTQ+ communityThis is an Across Rainbows production, an LGBTQ+ organisation determined to redefine Queer Identity.Please check out our website and follow us on Instagram, to interact with us directly and to find out more to get involved.Thank you to our producer Steven Bamidele, please check out his Spotify and support his awesome work!Support the show (https://www.buymeacoffee.com/Acrossrainbows)
Ni épica, ni lírica, ni ópera. Pura lengüetería. Interrumpimos la programación para sintonizar Radio Bemba, de Iván Collazo, alias Yván Y. Vienen, antipoeta, impoeta, imprudente. ___ La periodista y escritora Rosa Vanessa Otero busca destacar lo mejor de la poesía en Puerto Rico y sus exponentes mediante la discusión de temas literarios, entrevistas y declamaciones poéticas de forma creativa, todos los miércoles a las 3:00pm a través de Radio Universidad de Puerto Rico en el 89.7 FM en San Juan, el 88.3 FM en Mayagüez y radiouniversidad.pr.
Dans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de discuter avec Bemba sur cette question : Demna Gvasalia est-il en train de tuer Balenciaga ? Avec le retour des collections Haute Couture, le directeur artistique attire l'attention de tous les journalistes de mode. Réputé pour avoir créer une ambiance streetwear chez Balenciaga, son travail au sein de la maison divise l'opinion publique. Arrivé en 2015, Demna rompt avec les codes classiques de la maison. Coup de génie ou supercherie ? J'en discute donc avec Bemba. Passionné par la mode depuis son enfance, il nous partage sa vision et son opinion sur le travail de Demna chez Balenciaga. Je vous invite donc à écouter le neuvième épisode de ce podcast : Demna Gvasalia est-il en train de tuer Balenciaga ? Pour rejoindre Bemba: sur Instagram ://www.instagram.com/itsallaboutbe/ Sur Twitter https://twitter.com/itsallaboutbe_ sur Tik Tok https://vm.tiktok.com/ZMRuEJ5Fe/ Pour rejoindre Têtes de Mode sur les réseaux sociaux : https://www.instagram.com/tetesdemode/ https://twitter.com/ModeTetes https://vm.tiktok.com/ZMebHuY4E/
In this episode of the podcast, we catch up with the newly elected co-Presidents of the Black Executive MBA (BEMBA) student organization, Rex Minnis (Class of 2022) and Jemuir Rivers (Class of 2022). Minnis and Rivers reflect on their decisions to pursue an MBA, how they balanced work, life and school during their first year in the Executive MBA program and what BEMBA has planned for the months ahead. They also share their advice for prospective students seeking to learn more about the student organization.
Ala la timinna xa dii ñaa meŋ, siñaa sabaa, a naata xuma Kayiŋni yeŋ, fo a se a fakiloo yelema a yeŋ, bari woo bee to, Kayiŋni xi i baŋ a to.
Welcome to Season 3 of Field Notes! Field Notes episodes will now be released monthly. This season will feature one insider linguist each month. If you would like to hear more Field Notes content, you can now support Field Notes on Patreon! This special first episode features Professor Nancy Kula studied phonology for her PhD at the University of Leiden. She has an MA in Linguistics from SOAS, University of London, and a BA in Education with African Languages and Linguistics from the University of Zambia. Following her PhD, she held a post-doctoral position in Leiden and at SOAS for three years and now works at the University of Essex since 2007. She has worked on many topics in phonology including tone and intonation and theoretically works on element theory. She is also interested in Language Policy as it applies to education in multilingual contexts and is currently running a project covering Botswana, Tanzania and Zambia. She has published in international linguistics journals, has edited a number of volumes and serves on international editorial boards. Things mentioned in this episode: Nancy's profile at The Uni of Essex Bemba language Bantu language family Nancy on Twitter @nancyckula & @bringing_in Nancy's work on ResearchGate & academia.edu Field Notes Episode 5 with Khairunnisa on Insider Researcher Language Documentation on Sasak Field Notes Episode 11 with Alex Garcia on Monolingual Fieldwork in The Philippines
African Myths of Origin, The Bemba of Zambia. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app Support this podcast: https://anchor.fm/phines-jackson-jr7/support
In this Episode we see Tippu Tip and the Arab traders, after exhausting the Elephant herds in today's Tanzania, journey West across Lake Tanganyika into the Eastern Congo. Ever in need of more ivory they were drawn all the way to the Lualaba River. They met the the Tabwe, the Lunda, the Warua, the Bemba and perhaps documented the first ever written description of the Luba heartland. These peoples were connected by pan-continental trade routes at the end of the 19th Century. Through trickery, alliances and ultimately firepower however they became subdued by Tip and his forces. The Arab traders became the rulers of vast swathes of land, with little interest beyond resources. But still the odd European travelers kept coming ...
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Covid-19 : les nouvelles mutations diminuent-elles l'efficacité des vaccins ?(Simon Rozé) RDC : absence d'accord entre Tshisekedi, Bemba et Katumbi (Patient Ligodi) Mali : ce que l'on sait de l'attaque du village de Bounti (Franck Alexandre) Corée du Nord : message envoyé à Joe Biden (Juliette Morillot) Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'oubliez pas de nous communiquer votre numéro de téléphone (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : Facebook : RFI appels sur l’actualité Twitter : @AppelsActu
Depuis une dizaine d’années, les assurances agricoles dites indicielles se développent en Afrique, pour le plus grand bénéfice des paysans. Au Mali, une jeune société, OKO, entame sa deuxième campagne d’assurance avec un modèle entièrement basé sur le numérique : images satellites et paiement mobile. Dramane Traoré est producteur de maïs dans la région de Koulikoro. Il est aussi secrétaire général de Bemba, une coopérative de 500 agriculteurs. L’an dernier, 180 d’entre eux ont testé, pour la première fois de leur existence, l’assurance agricole : « L’an passé, j’ai assuré un hectare, mais cette année, je vais aller jusqu’à deux. » Dramane Traoré a souscrit une assurance contre la sécheresse et les inondations, auprès de l’assureur OKO, nouveau venu sur le marché. Bien lui en a pris, car quelques mois plus tard, une partie de sa récolte a été détruite par les graves inondations qui ont frappé le Sahel en 2020 : « Après l’hivernage, OKO a appelé tous ses membres (ses assurés, ndlr). Moi-même j’ai reçu 55 000 francs CFA pour mon hectare. Et quand l’écho s’est répandu dans la zone, les gens ont commencé à adhérer à l’idée d’assurer leurs champs. » Depuis l’an dernier, OKO, jeune start-up franco-malienne, propose donc dans cinq régions du Mali une assurance agricole aux producteurs de maïs. Elle coûte 10 euros l’hectare, et garantit en cas de sinistre des remboursements pouvant aller jusqu’à 300 euros l’hectare. OKO est ce que l’on appelle un assureur indiciel, c’est-à-dire que l’évaluation des conditions climatiques se fait par image satellite, ce qui diminue considérablement les coûts. « Si par exemple, nous observons que sur la période de germination, il y a eu moins de 90 mm de pluie cumulée, on sait que la germination ne va pas avoir fonctionné et que les agriculteurs vont avoir besoin d’être compensés. Donc, c’est sur la base de cette information obtenue par satellite que nous déclenchons le sinistre », explique Simon Schwall, directeur général d’OKO. ► À écouter aussi : L'émergence des assurances agricoles en Afrique de l'Ouest Ce n’est donc pas l’assuré qui déclare un sinistre, mais l’assureur qui intervient directement sur la base de ses données satellitaires, ce qui peut laisser place à de possibles contestations, reconnaît Simon Schwall : « Ce que l’on fait, c’est que l’on explique très clairement que les sinistres vont être évalués au niveau d’une commune, et que tous les agriculteurs de la commune recevront la même compensation. Et que les observations sur leur champ spécifiquement ne sont pas possibles. Une fois que ces limites sont bien comprises par les agriculteurs, nous réduisons largement le risque de contestation. » Après les producteurs de maïs, OKO propose cette année des assurances aux producteurs de mil, sorgho et sésame. Il étudie aussi la possibilité d’étendre la gamme de sinistres aux dégâts causés par les criquets.
The Bemba language (aka ChiBemba) is a Bantu language spoken primarily in north-eastern Zambia. Mapalo, who was born in Lusaka looks forward to going back to Zambia after 13 years and brushes up on her Bemba.
La Gossa Sorda presenta el seu segon disc, Garrotades, en El Musicari d'Amàlia Garrigós a Ràdio Nou el 6 de maig de 2006. Interpreten en acústic els temes Borinot del disc Garrotades i Ràdio Bemba de l'àlbum, Vigila (2003).
si te gustan los juego sy estar al dia del gaming... sigue a Habla Gamer --- Send in a voice message: https://anchor.fm/enlacasapr/message Support this podcast: https://anchor.fm/enlacasapr/support
In this episode of the podcast, we catch up with the co-Presidents of our Black Executive MBA (BEMBA) student organization, Michael Long and Aja Sae-Kung. Michael and Aja are both second year students in our Executive MBA Class of 2021, and we recently connected with them via Zoom to talk about how things are going as the Executive MBA program pivots in response to COVID-19 and what BEMBA has been up to over the past few months.
We translate and comment the song "Bemba colorá" interpreted by la reina de la salsa, Celia Cruz. This is a classic example of festive salsa music hiding deeper meaning in plain sight.
I want you out of my lifeI want you back here tonightI'm tryna cut you, no knifeI wanna slice you and dice youMy argue possessiveIt got you preciseCan you not turn off the TV?I'm watchin' a fightI flood the garageBlue diamond, no sharkYour Barbie life dollIs Nicki MinajYou don't need a key to driveYour car on the chargerI just wanna see the side (yeah)The one that's unbotheredAnd I don't want you to never go outside (outside)I promise if they play, my nigga slidin' (slidin')I'm fuckin' her, and the tour bus still ridin' (ridin')Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah
In 'Voices from the Roots', Indigenous storytellers will take you to Kenya, Zambia, Colombia, Ecuador, Mexico, Kyrgyzstan, Uganda and many other countries, to meet their communities, to visit their houses, to listen to their dreams and personal achievements. Today we will listen to the story of Njavwa Thresa Bwalya, an indigenous Zambian girl from the Bemba tribe from the Northern part of Zambia. Her strength, determination and faith, led her to escape from a critical family situation in extreme poverty and to being the first graduated woman in her community. Thresa is a food scientist, a SFYN activist and a programme Officer at Zambia Alliance of Women. Thresa’s story is particularly inspiring and listening to it will make you reflect on your current situation and the infinite possibilities you have in front of you.
Quiero conectar contigo compartiendo experiencias, entrevistas, ideas, casos y cosas que pasan en nuestro diario vivir. Resaltando todo lo positivo que podemos encontrar en esta maravillosa, perfecta?! Imperfecta?! vida! En Bemba Roja Podcast encontrarás de manera práctica y jocosa brillo, y muchas sonrisas a tú día.
Pour ce troisième épisode, Si j'étais maire vous emmène à la rencontre de Dounia, Lena, Bemba et Florian. Elèves de CM1 et CM2, à l'école Tony-Lainé de Poitiers, ils expliquent ce qu'ils feraient pour leur commune s'ils étaient élus lors des prochaines élections municipales. Et vous, que feriez-vous si vous étiez maire ? Si j'étais maire est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse réalisé par Laurent Gaudens, en collaboration avec le rectorat de l'académie de Poitiers. Musique: Cloudkicker "Intro to woum" https://www.auboutdufil.com https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.fr Ce podcast est également disponible sur : Apple Podcasts, Google Podcasts, Deezer, Spotify, Podcasts Addict etc.
"When you're HIV positive, it doesn't mean that it's the end of the world. It doesn't mean that God has abandoned you." - Anonymous Girl Zambia Bemba Language and English translation [English Translation] "Hello world. I know you're all wondering who I am and I wish I could reveal myself, but I don't feel like I should. But what is more important is for you to listen to what I have for you. I'm a girl living a positive life. I was born in the year 2000 on the 14th of July. It's really funny, it's weird, it's strange, it's... it's a miracle. I was actually born HIV positive, but by that time, I never knew anything, my parents never knew anything. I grew up, I was still healthy, nothing was wrong with me and I thought all was well with me. In the year 2017, that was in September, I decided to go for an HIV test. And unfortunately, I was found positive. It really hurt me a lot. Like, I cried uncontrollably. People tried to encourage me, but it was just so hard for me to accept. I felt like the world turned its back on me. And of course, it did. And I thought that God had left me. I almost committed suicide. I almost wanted to die. But by the grace of God, I didn't. Because with the support that I received from different types of people; I'm grateful for those people. It was a really sad moment for me, like, even when I started taking the medicine, it wasn't easy. It would do a lot of sudden things to me. But, listen to this: my word of encouragement is that, if you know that you haven't gone for an HIV test, or if there's anyone out there living a positive life, just listen to this: it's not the end of the world. There's something, there's something beautiful, there's something greater that is coming ahead of you. Just because you're HIV positive, doesn't mean that... no, you... you're all alone. People are out there willing to support you. You are surrounded by so many loved people, when you're HIV positive it doesn't mean that it's the end of the world. It doesn't mean that God has abandoned you. It means something, yea, I know it hurts. It hurts to be living a positive life because the only thing you think about, you think about the negative things, but I want you to start thinking positive because it's not the end of the world. Just as in for me, yea, even after I discovered that I was HIV positive, once I started taking the medicince, I used to feel real sick, I used to get sick often, here and there and sick, here and there and sick. But, when I just came to finally accept that I'm HIV positive, I got all... all was well with me, and right now I'm feeling fine, I'm still schooling. And by the grace of God, this year I'm completing, I'm finishing school, but with my status, because I know that my status can take me back, so I want to encourage you that whether you're HIV positive or not, just being HIV positive, let it not hinder you from achieving your goals, let it not hinder you from achieving your dreams. Look at me. From 2000 until 2017, that's when I came to realize that I was HIV positive. So, I thank God that I'm still alive and that I'm living and that I know that I will achieve my dreams and achieve my goals. Same with you, so don't worry, don't stress your mind, just keep on, just keep on taking care of yourself, just keep on following the procedure of the medicine, just drink the medicine, do regular exercises. You are going to live a full life. You are going to live a successful life and nothing, nothing will ever go wrong in your life. I hope you have gotten something from what I've just said." [Credits] This testimony was recorded in 2019 by the speaker with assistance by Ba Cecilia. Music by Adam Greenberg, Peace Corps Zambia volunteer. Anonymous Girl, thank you for sharing.
"There are still many who are scared to come to the clinic. They are stigmatizing themselves. I hope if they see me and I can speak to them, this might give them encouragement." - Nyambe Zambia Bemba language and English translation [English Translation] "One of my close friends was unwell with an STI (sexually transmitted infection). Our Clinical Officer here in Kapiri advised him to go for VCT (voluntary counseling and testing). I didn't want him to be on his own so I offered to go with him for support. We both had the test done, he tested HIV negative and I tested HIV positive. The news came as a huge blow to me, it was the last thing I was expecting, he was the one who was ill not me. I'm married with two young daughters and after I first found out the news I couldn't tell my wife. I realized if I wanted to protect her I had to use condoms. Though I tried I couldn't sleep with her, I lost my sex drive and avoided her. My counselor encouraged me to open up to her. I did and I went with her for VCT, she also tested HIV positive. For one month she was not herself but slowly she began to accept her status. I'd already been involved in the local NZP+ group and she joined me. She helped mobilize a support group on her own and now has become a very strong member of NZP+, also doing psycho-social counseling. I feel we have become a stronger family now I know I can handle the fact I am HIV positive – my wife is more than able to. My CD4 count was very low, though I have never been ill, and I went onto ARV drugs at the recommendation of the clinic. I have had no serious side effects from the drugs and my sex drive has returned. I'm not sure whether this is because I feel psychologically ok again or because I'm on the ARV drugs. I now feel it's important for me to support others locally who are living with HIV. There are still many woh are scared to come to the clinic. They are stigmatising themselves. I hope if they see me and I can speak to them this might give them encouragement. Coming together with others who are in the same situation as yourself really helps to build your confidence, you have time to ask questions and find out more about what living with HIV involves." [Credits] This testimony was granted in 2005 to the Positive Living Handbook (page 16) and recorded in 2019 by Zambia Peace Corps Volunteer Adam Greenberg, Rural Aquaculture Promotion Extension Agent. Translation assistance by counterpart Ba Silver. Music by Adam Greenberg. Nyambe, thank you for sharing.
"Some children have lost both parents, some one; they need to be helped. But we're asking the government to include us in development, so that we will be working together." - Rosemary Bemba language and English translation [English Translation] My name is Rosemary. When I first felt sick, it was 2013 and I went to Mungwi Baptist Clinic. When I reached Mungwi, I visited the clinic officer who tested me and found that I'm HIV positive. Then I came back from Mungwi and went straight to the Malole Clinic where Madam Marjorie attended to me. She started me on treatment on the 13th of March, 2013. I have received medicine in Malole from that time until now, 2019. We have an organization in my village that I am active in, we encourage other people within the community, those who fear being open, to be open. So I started encouraging people in the community because they are not open. From that time, I was accompanied by Mary Chileshe. We make sure that we also encourage other people who are already sick. That's how we continue encouraging other members. I'm also a member of Home Based Care, so it's easier for me to work in my village. We've continued that program from 2013 up to now, in 2019. We go around the village to make sure that we're with people. We started working with Clara on malnutrition because some children are not looking healthy. Then Clara went back to America and from there, we continued with Rebecca and the same program. After working together with Rebecca, then Sam came. Now he teaches us fish farming. But people are still feeling shy because of stigma. Some people are not attending the meetings because they are fearful. So we have continued with Home Based Care in the village. Today, Adam visited to help us learn more about fish farming which can help us, showing us how to care for fish. We are going to harvest in May or June. After harvesting our fish, we're going to continue, but we're asking the government to include us in development so that we will be working together. We need the government to make sure they're supporting us so that we can continue, because some of the children - their parents have died, so they are orphans. So they need to help. Some children have lost both parents, some one. They need to be helped. Mrs. Mary has continued to help us by collecting reports and taking them to Mrs. Chewe at the clinic and she supports those in the community who have fear. [Credits] This testimony was recorded in 2019 by Zambia Peace Corps Volunteer Adam Greenberg, Rural Aquaculture Promotion Extension Agent. Translation assistance by counterpart Ba Silver. English recording by RAP PCV Maggie Ruppel. Thanks also to CHIP PCV Sam Rudloff. Music by Adam Greenberg. Thank you, Rosemary.
"They can concentrate on doing good things because they're also human beings; they can do things to lead normal lives." - Mary Zambia Bemba language and English Translation [English Translation] My name is Mary Chileshe in the village of Mumena. I was elected in this village to look after people who have different diseases. We have formed a support group to support one another so we know how to care for ourselves when we are sick and so that they know how to care for their lives. Some people are failing to care for their lives because of small problems. Some have fear. Some have a short thinking mind. The support group is helping those who have problems so that they can make progress and concentrate on having a good life. If they reduce thinking about the problems in their lives, they can concentrate on doing good things because they're also human beings; they can do things to lead normal lives. People who are positive can live as long as or even longer than those who are not sick, so long as they reduce beer drinking and smoking. Aids can kill, diarrhea can kill, and cholera can kill. I am the caregiver in this area and I'm encouraging people with HIV to live positively. As a support group, we are here for support and to make sure they are encouraged to be open, to reduce stigma. This group is very open, even to help those who are not open." [Credits] This testimony was recorded in 2019 by Zambia Peace Corps Volunteer Adam Greenberg, Rural Aquaculture Promotion Extension Agent. Translation assistance by counterpart Ba Silver. English recording by RAP PCV Maggie Ruppel. Thanks also to CHIP PCV Sam Rudloff. Music by Adam Greenberg. Mary, thank you for sharing.
"This way we can show others what living positively is all about." - Binwell Zambia Bemba Language and English Translation [English Translation] "Our football team is about 16 members including women. Through playing football we get to mingle together and feel alive. And exercise is good for the group. We have started to play other support groups - and as we get better, we're winning! I think taking part in sport helps you to be open about your status. It encourages you to get out and be active. This way we can show others what living positively is all about." [Credits] This testimony was granted in 2005 to the Positive Living Handbook (page 33) and recorded in 2019 by Zambia Peace Corps Volunteer Adam Greenberg, Rural Aquaculture Promotion Extension Agent. Translation assistance by counterpart Ba Silver. Music by Adam Greenberg. Binwell, thank you for sharing.
"Alcohol was a way for me to escape." - Leyford Zambia Bemba Language and English Translation [English Translation] "Way back before I came to know my status I used to be a heavy drinker of alcohol. I started to experience health problems in 1987. I still continued drinking beer (Mosi & Castle) and smoking. Whenever I drank I used to have problems - headache and fever, especially at night. The problem became more serious especially after I was found with TB in 1993. The doctor advised me to cut down on smoking and drinking while I was on treatment. But it was not easy, the first step I took was to try to stop smoking. After 8 months of TB treatment I recovered fully but still I used to drink some beer, all my friends were beer drinkers. Most of the time I was with them I found myself going back to my old ways. In 1995 I had a TB relapse and this time it was severe. You can say you won't go back to drink but your friends will influence you. You can tell them your health will not allow you to drink. They will respond that this is rubbish, that drinking has nothing to do with your health. In my situation everything was not okay, we had hunger at home and I was ill. There was ittle money and it had to go for food and medicine and you found yourself drinking it off with friends. It was just last year, 2004, after the death of my wife that I started to see some symptoms. Body pains continuously. I used to go to the clinic but was just being given panadol. This time every time I drank I fell very sick - I was experiencing night sweat and fever, flu and abdominal pains. It was not until my wife died that I took an HIV test. I knew it all along but I just wasn't ready to face the truth. After the test the doctor advised me to minimize drinking and smoking. To work on my diet. I decided to stop both there and then. From this time my flu and night sweat has disappeared. There are no longer illnesses I can't account for. It was only when I knew my status that I finally decided to give up alcohol. I knew if I did drink I could die. I knew how dangerous it was. Never again - I'll never go back." [Credits] This testimony was granted in 2005 to the Positive Living Handbook (page 37) and recorded in 2018 as a test of this new podcast by Zambia Peace Corps Volunteer Adam Greenberg, Rural Aquaculture Promotion Extension Agent. Translation assistance by counterpart Ba Chileshe. Music by Adam Greenberg. Leyford, thank you for sharing your story.
In december zijn er eindelijk weer verkiezingen in Congo, nadat ze al een paar keer waren opgeschort. Oud-rebellenleider Jean-Pierre Bemba, twee maanden geleden door het Internationaal Strafhof in Den Haag nog vrijgesproken van oorlogsmisdaden, maakt zijn comeback. Hoe opmerkelijk dat is, vertellen politicoloog Kiza Magendane en VRT-journalist Peter Verlinden. Nathan Rutjes zet een punt achter zijn voetbalcarrière. Hij gaat aan de slag als trainer en als maatschappelijk werker. Daarnaast een gesprek over openluchtbaden. Die zaten de afgelopen weken stampvol door het prachtige weer. Fotograaf Henk Sloos kent ze allemaal.
In december zijn er eindelijk weer verkiezingen in Congo, nadat ze al een paar keer waren opgeschort. Oud-rebellenleider Jean-Pierre Bemba, twee maanden geleden door het Internationaal Strafhof in Den Haag nog vrijgesproken van oorlogsmisdaden, maakt zijn comeback. Hoe opmerkelijk dat is, vertellen politicoloog Kiza Magendane en VRT-journalist Peter Verlinden. Nathan Rutjes zet een punt achter zijn voetbalcarrière. Hij gaat aan de slag als trainer en als maatschappelijk werker. Daarnaast een gesprek over openluchtbaden. Die zaten de afgelopen weken stampvol door het prachtige weer. Fotograaf Henk Sloos kent ze allemaal.
L’opposition et le pouvoir ont signé le 31 décembre 2016 un compromis pour la gestion du pays. Trouvé sous l’égide de l’Église catholique, cet accord est censé apporter un répit à la crise. Mais ce n'est le cas. Aujourd'hui, tout oppose les Congolais. A commencer par une troisième candidature du président Joseph Kabila et la machine à voter. L'option choisie par la Commission électorale.
ZASA Magazine — It’s a different sound. It was the first time I had ever heard anything like it, some sounds do come close to it but there’s no denying it’s unique. A mixture of jazz, hip hop, RnB and soul held together with poetry that seemed more like meditation – but - you’ll have to listen for yourself because I don’t even think I’m doing this description justice. This prompted me to click through to her website and pages. I was intrigued and at first, didn’t even know she was Zambian until I heard Bemba in one of her songs. What made it even more interesting was that she’s based in Germany. I played her music for a friend and got the same reaction – intrigue (with a whole lot of questions). That’s when I knew we had to hear her story and bring her to you. We reached out and about a month or so later she announced tour dates for South Africa and Zambia – our chance had manifested. We met in a rustic coffee shop in the arty section of Johannesburg, Maboneng Precinct. She had just come off the Cape Town leg of her tour and was kicking off the Johannesburg leg the same day. She will be performing in Lusaka in the 4th week of July before heading off to her home village, Senga Hills near Kasama for a much-needed break. Edition download page (free) -zasamag.com/2018/07/18/issue-34…2018-free-download/
Zambia is landlocked in Africa with a unique federation of tribes and languages, many neighbors, and probably a very interesting future. Ben tells of his time with the Peace Corps in Zambia, learning Bemba and living in Lalaland.A show by podcastnik.com — visit the site for all projects and news.☞ Check out our new show, Past Access! (YouTube Link) ☜Twitter @Travis J Dow | @Meet_Judith | @GermanyPodcast | @Podcastnik | Now in Arabic! — Facebook Podcastnik Page | History of Germany Page | Arabic Page — Instagram @podcastnikPodcastnik YouTube | Podcastnik Audio Podcast ★ Support: PayPal | Patreon | Podcastnik Shop ★Music by Antti Luode See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
El CIDEM organiza un concurso que tiene como objetivos: impulsar el espíritu emprendedor, crear proyectos con impacto social y generar nuevas oportunidades para toda la comunidad. Los nueve proyectos que llegaron a la última instancia son: SUMMAS, Servicio Universitario de Música, Movimiento, Arte y Salud; Klink; C3D; Experiencia OK; Géminis Electronics TubePreamp; Bemba; Sistemas Modulares Núcleo; Conciencia sonora y Oír – Enseñándole música al mundo. Escuchá las expectativas de Marcela Ricosta, coordinadora del Gabinete E!, acá.
El CIDEM organiza un concurso que tiene como objetivos: impulsar el espíritu emprendedor, crear proyectos con impacto social y generar nuevas oportunidades para toda la comunidad. Los nueve proyectos que llegaron a la última instancia son: SUMMAS, Servicio Universitario de Música, Movimiento, Arte y Salud; Klink; C3D; Experiencia OK; Géminis Electronics TubePreamp; Bemba; Sistemas Modulares Núcleo; Conciencia sonora y Oír – Enseñándole música al mundo. Escuchá las expectativas de Marcela Ricosta, coordinadora del Gabinete E!, acá.
Shaka On ICC - BEMBA by ShakaExtraTime
Después de mucho tiempo, vuelvo con este episodio especial, un homenaje a la vida, a la donación de órganos y la música que me acompaña.! Espero que lo disfruten y compártanlo.! #DalePlay #MúsicaMestizaStyle hppt://facebook.com/bembacolora
in onda anche la puntata di aprile... buon ascolto! Buongiorno a tutti e bentornati sulle frequenze di parole in viaggio. Ci eravamo lasciati il mese scorso parlando di tolleranza e di amicizia e in modo particolare ci eravamo soffermati sulla necessità di saper osservare per coltivare al meglio l’amicizia. Osservare è una parola un po’ particolare, perché nasconde dentro un concetto che a prima vista non è per nulla legato all’azione del guardare, del vedere. Osservare deriva dal latino ob servo, gli antichi latini avevano già diviso il concetto di guardare da quello di osservare. Osservare significa proprio porsi nell’atteggiamento del servo che sa controllare il padrone, che cerca di intravedere i bisogni della persona che gli sta davanti, per poterlo servire e assecondare. Il servo compie tutto questo in piena fedeltà, non è lo schiavo che era costretto a farlo, che era costretto di fronte alla scelta tra la vita e la morte; il servo viveva in una condizione diversa, il servo viveva la sua vita in funzione del padrone. E l’amico alla fine è semplicemente un servo che non ha padrone ma che decide di vivere la sua vita verso l’altro, verso la persona che ha davanti. L’amico come l’innamorato decide che la vita va condivisa con quella dell’altro, decide che non esiste l’amore se non l’esistenza di due persone che sentono di voler camminare insieme, non c’è costrizione, non c’è obbligo, non c’è aspettativa, non c’è nulla se non le semplici vite che vivono insieme… d’altra parte, come dicono Gazzè Fabi e Silvestri, L'amore non ha casa, non ha un'orbita terrestre, non risponde ai più banali meccanismi tra le forze E se non esiste l’amore, se non esiste una casa, se non esiste nulla al di fuori del legame, dell’invisibile forza che unisce due persone, come può un uomo ad essere sicuro, a capire se questa è la strada da intraprendere? Beh, non c’è risposta, se non lasciarsi andare a un idea di fiducia nella propria scelta. Fiducia nel senso di aver fede, di credere che effettivamente c’è una forza che ti sta trascinando. E penso che quasi tutti noi quando abbiamo fiducia in qualcosa in un certo senso portiamo anche una dose di speranza, speriamo cioè che la nostra scelta sia quella giusta, fiducia alimentata anche da una nostra speranza. E se è vero che nella nostra lingua questi due concetti sono stati tenuti separati, due differenti parole per indicare fiducia da una parte e speranza dall’altra, è altrettanto vero che esistono lingue in cui i due concetti sono espressi da un’unica parola. Sto parlando ad esempio della lingua Bemba in Zambia, in cui la parola Cicetekelo ha esattamente questi due significati. Partendo dal contesto in cui è usato questo termine, è abbastanza evidente che avere fiducia nel prossimo, significa anche sperare che questa persona possa davvero aiutarci, proprio perché quello che può succedere non è prevedibile. E anche l’iconologia, l’utilizza delle immagini per raffigurare alcuni concetti, Speranza è spesso rappresentata da una donna che tiene in mano un fiore, talvolta un giglio o comunque in ogni caso un fiore. La scelta del fiore ricade proprio per sottolineare come spesso quando il nostro sguardo incrocia un fiore, nella mente già ci si aspetta che quel fiore prima o poi diventerà un frutto, noi speriamo che avvenga questa trasformazione. E non a caso il colore della donna Speranza è il verde, per rendere più facile questa trasformazione, perchè attraverso la presenza della natura attorno a quel fiore sarà molto più semplice svilupparsi in un coloratissimo frutto. E con questa immagine vi saluto e non mi resta che augurarvi un mese ricco di fiducia e speranza verso il prossimo a voi più vicino! in ordine di esecuzione abbiamo ascoltato L’amore non esiste di Gazzè, Fabi e Silvestri wind of change dei Scorpions tutte le riproduzioni musicali coperte da diritto d’autore sono state eseguite per fini didattici e senza scopo di lucro, secondo la legge 633 del 1941
Bemba veroordeeld; The Presidential Podcast; Nicaragua: terugkeer van de Contra's
1-Il presidente degli Stati Uniti nel palazzo della Revolucion. Storico incontro Barack Obama – Raul Castro. ..( Alfredo Somoza ) ..2-Transizione con o senza Assad: a Ginevra i negoziati sulla crisi siriana affrontano il tema ..( Emanuele Valenti ) ..3-Attentati di Parigi: con il mandato di arresto europeo quasi automatica l'estradizione di Salah Abdeslam verso la Francia. ..3-In Centrafrica utilizzò lo stupro come arma da guerra: la corte dell'Aja incrimina l'ex vice presidente del Congo Jean Pierre Bemba. ( Raffaele Masto ) ..4-” l'odio non è un opinione”: in occasione della giornata mondiale contro il razzismo pubblicata la prima ricerca su giornalismo e migranti. ( Alessandra giannoni del Cospe ) ..5-Fiction: “ 22 novembre 1963 ” la serie tv tratta dal libro di Stephen King. ( Massimo Alberti )
1-Il presidente degli Stati Uniti nel palazzo della Revolucion. Storico incontro Barack Obama – Raul Castro. ..( Alfredo Somoza ) ..2-Transizione con o senza Assad: a Ginevra i negoziati sulla crisi siriana affrontano il tema ..( Emanuele Valenti ) ..3-Attentati di Parigi: con il mandato di arresto europeo quasi automatica l'estradizione di Salah Abdeslam verso la Francia. ..3-In Centrafrica utilizzò lo stupro come arma da guerra: la corte dell'Aja incrimina l'ex vice presidente del Congo Jean Pierre Bemba. ( Raffaele Masto ) ..4-” l'odio non è un opinione”: in occasione della giornata mondiale contro il razzismo pubblicata la prima ricerca su giornalismo e migranti. ( Alessandra giannoni del Cospe ) ..5-Fiction: “ 22 novembre 1963 ” la serie tv tratta dal libro di Stephen King. ( Massimo Alberti )
David Gordon (Bowdoin, History) on his recent book Invisible Agents: Spirits in a Central African History. Gordon explores how and why spirits and discourses about spirits inspired social movements and influenced historical change, from precolonial Bemba chieftaincies and 1930s Watchtower millenarianism to the postcolonial state’s humanism and Pentecostalism under Kaunda and Chiluba, respectively. Gordon closes […]
David Gordon (Bowdoin, History) on his recent book Invisible Agents: Spirits in a Central African History. Gordon explores how and why spirits and discourses about spirits inspired social movements and influenced historical change, from precolonial Bemba chieftaincies and 1930s Watchtower millenarianism to the postcolonial state’s humanism and Pentecostalism under Kaunda and Chiluba, respectively. Gordon closes […]
Nuevo episodio del podcast Bemba Colorá, cargado de música de Colombia y el mundo.! Mezclas y fusiones, reggae, rock, ska, salsa, cumbia y mas.! Espero les guste y lo compartan con sus contactos.! http://Facebook.com/bembacolora Pablo G.
Aqui empieza una nueva temporada de BembaColorá cargada de música de todas partes con el sello de la música mestiza, fusiones y raices de todo el mundo.! Escuchenlo, compartanlo y gocenlo.! Pablo G.
Al estilo de la música mestiza se mueve este programa, y en este episodio música de todo el mundo, fusiones, reggae, ska, salsa, afrocolombianidad y mucho mas.! Disfrutalo y Compartelo.! http://facebook.com/bembacolora Pablo G.
Aqui esta el nuevo episodio de BembaColorá, con un especial sobre la Cumbia.! Cumbia tradicional colombiana y su evolución en Colombia y america latina, ya que es una influencia y una fuerza en todo el continente, es una sola identidad para muchas culturas a traves de distintas formas de interpretarla pero con la misma bas; La Cumbia.! Disfrutenlo, Compartanlo.!
Tercera entrega de BembaColorá, música tradicional y fusión de esta música, canciones como El Pescador, Mas que Nada, Naranjo en Flor y muchas mas.! Disfrutenlo y Compartanlo.!
Primer programa de este podcast, cargado de música fusion, se encontraran con Amparanoia, Sidestepper, Gotan Project, y otros mas.! Disfrútenlo.! Compartanlo.! Pablo G.
Aqui una muestra de lo que se viene en este podcast, BembaColorá, un podcast de música, distintos generos, mas culturales.! Simplemente quiero mostrarles algo de la música que yo escucho y que se contagien.! Disfrútenlo y pronto los episodios con buena música.!! Saludos.! Pablo G.