POPULARITY
Categories
Será que nossa sociedade está tentando sentir cada vez menos? Neste episódio, eu e Felipe Savietto conversamos sobre a crescente medicalização do sofrimento psíquico e o que ela pode estar dizendo sobre nosso tempo. Vivemos uma era em que o mal-estar parece precisar de um nome — um diagnóstico — e, tão logo ele é nomeado, vem a expectativa de um remédio que silencie o sintoma. Felipe propôs uma imagem potente: estaríamos atravessando um tempo de “harmonização facial das emoções”. Uma época em que se espera que estejamos sempre bem, emocionalmente simétricos, com afetos contidos e esteticamente regulados. Mas o que acontece com a subjetividade quando o ideal é não sofrer, não oscilar, não angustiar? Num mundo em que a informação e a desinformação circulam com a mesma rapidez, cresce a tendência de autodiagnóstico. Os sintomas — muitas vezes expressões legítimas do inconsciente — são rapidamente classificados como transtornos. E, sem espaço para escuta ou elaboração, a resposta imediata passa a ser o apagamento do sentir, por meio da medicação. Não se trata aqui de negar o valor e a importância dos diagnósticos e dos psicofármacos quando bem indicados. A reflexão que propomos é outra: o que revela essa urgência em calar o sintoma? O que perdemos quando deixamos de interrogar o sofrimento e passamos a vê-lo apenas como algo a ser eliminado? Apresentação: Vanessa Gazetta e Felipe Savietto Edição e arte da vitrine : Anna HortaA Música de abertura/BG: Riddim - Text Me Records _ Jorge Hernandez Feed: http://onomedissoemundo.com/feed/podcast/ Instagram do Mundo Interno: @mundointernopsi — Booking — Reserve seu hotel pelo Booking.com. — Links — Mais sobre a vida emocional de quem vive fora no site Mundo Interno. Apoia.se do ONDEM Grupo do ONDEM no Facebook Você pode entrar em contato com a gente pelo Twitter, Instagram e Facebook. Para não perder nenhum episódio, assine o podcast no iTunes, no seu agregador de podcast preferido ou no Spotify. Para apoiar o ONDEM, acesse apoia.se/ondem e contribua com nosso projeto.
Un influenceur masculiniste, AD Laurent, dont la ministre à l'égalité Aurore Bergé a obtenu la suspension du compte. Une commission d'enquête sur les ravages de la plateforme auprès des adolescents. Et une sanction attendue de la Commission européenne. TikTok, le réseau social chinois, est dans le collimateur de nombreuses institutions en raison des dégâts qu'il cause sur la santé mentale des adolescents. Jeudi 15 mai, à l'Assemblée nationale, devant une commission d'enquête présidée par Arthur Delaporte, une mère a expliqué la manière dont son fils collégien était entré dans « une spirale mortifère ». Notamment en passant beaucoup trop de temps devant son écran par jour, alors que le risque d'anxiété triple chez les jeunes au-delà de quatre heures de réseaux sociaux par jour. Mais surtout, en consultant sur TikTok des contenus extrêmement dangereux comme des chansons exaltant les scarifications ou glorifiant le suicide. Certes, TikTok n'est pas le seul réseau social à diffuser ce type de contenus. Mais tandis qu'une loi en Chine empêche de rendre les mineurs dépendant aux réseaux sociaux, TikTok est pointé du doigt en Europe pour deux raisons. D'abord, la puissance addictive de son algorithme qui cible les profils et rend la fonction « pour toi » deux fois plus virale. Ensuite, sa consommation massive par les plus jeunes qui se laissent facilement happer par les incitations au scrolling. On voit de plus en plus des ados se désocialiser, s'enfermer dans leur bulle, pour regarder des contenus d'hypersexualisation, par exemple, chez les garçons ou anxiogène, tirant vers l'anorexie, chez les filles.Si la Commission européenne prépare une sanction contre TikTok, c'est à la fois pour son manque de transparence sur ses publicités, sur son ciblage, mais aussi pour son rôle dans la diffusion de contenus jugés dangereux pour la santé ou le débat public, comme on l'a vu lors élections en Roumanie.Emmanuel Macron s'est dit favorable mardi à une interdiction des réseaux sociaux aux moins de 15 ans. La ministre du Numérique Clara Chappaz s'est donnée trois mois pour mobiliser les autres pays européens afin d'interdire les plateformes avant 15 ans et les obliger à vérifier l'âge des utilisateurs. Car cette permissivité a un coût social et politique dont témoigne la série Adolescence de Netflix. En France, on voit des influenceurs comme AD Laurent. Au Royaume-Uni ou aux États-Unis, son équivalent s'appelle Andrew Tate, dit le « roi de la masculinité toxique ». Il est accusé de viols et a été banni des réseaux sociaux, mais ses contenus continuent de circuler sur TikTok via ses fans et il a été rétabli sur X par Elon Musk.À lire aussiProtection des données européennes: TikTok écope d'une amende de 530 millions
La bibliothèque nationale de Guinée connaît une nouvelle vie après des années de difficultés. Située à proximité du lycée de Donka, à Conakry, elle reste cependant méconnue, malgré l'intérêt des fonds qu'elle héberge. Elle dispose notamment d'une riche documentation concernant la période coloniale et la Première République de Sékou Touré. Visite guidée de la BNG, la plus ancienne institution de recherche et de documentation De notre correspondant à Conakry, Les escaliers de la bibliothèque montés, Syra Cissé, responsable de la documentation, ouvre la porte d'une grande pièce : « Nous sommes dans la deuxième salle de lecture, située au deuxième étage de la bibliothèque. Ici sont disposés les anciens journaux de l'indépendance. »Parmi les journaux rangés sur les étagères, ceux de la Première République : Horoya, le grand quotidien national du parti-État. Mais aussi des titres moins connus comme la Gine Ginè, qui signifie « femme guinéenne », « Giné » voulant dire « femme » en langue soussou : « La Gine Ginè, c'est le journal féminin de l'époque, qui paraissait quotidienne, qui parlait des femmes, des premières dames, des femmes de Guinée et d'ailleurs. »Parmi les archives de presse figurent également des titres plus anciens, datant des années 1950, comme Le Réveil, le journal du Rassemblement démocratique africain, le RDA, le grand parti de la décolonisation. Daouda Tamsir Niane, le directeur de la BNG, feuillète un numéro contenant un article de Sékou Touré, alors chef de la branche guinéenne du RDA.C'est l'ancienneté de la bibliothèque qui fait la qualité de ses fonds, explique le directeur : « La bibliothèque nationale est la plus ancienne institution de recherche et de documentation en République de Guinée. Elle existe depuis 1944, elle a été créée sous la colonisation. C'était l'antenne de l'Ifan, l'Institut français d'Afrique noire, devenu Institut fondamental d'Afrique Noire, basé à l'université de Dakar. »Numériser les documents de la BNGAprès une série de réformes, elle est devenue l'actuelle BNGDaouda Tamsir Niane veut en valoriser les fonds anciens : « À notre avis, aujourd'hui, les bibliothèques évoluent vers les médiathèques. De plus en plus de dématérialisation et de numérisation se font. Notre grand projet aujourd'hui, c'est de numériser les documents de la bibliothèque nationale. »Parmi les documents à numériser, l'important fonds de mémoires de fin d'études. Ils portent sur des sujets aussi divers que l'exploitation minière ou la grammaire de la langue maninka. Syra Cissé tire un volume d'une étagère : « Vous avez là un mémoire de fin d'études de la faculté des sciences sociales, qui a pour thème : "Amilcar Cabral, théoricien et praticien de lutte de libération nationale". » Ce mémoire a été soutenu en 1978, cinq ans après l'assassinat en plein Conakry du héros de l'indépendance de la Guinée-Bissau.Un autre grand combat mené par le directeur est de faire respecter le dépôt légal par les maisons d'édition guinéennes pour valoriser, aussi, le patrimoine contemporain.À lire aussiConakry, capitale mondiale du livre: quel avenir pour le numérique en Guinée?
Num mundo em que não só Ventura tem percalços de saúde, é certo: só o líder do Chega explora, "sem pudor", a própria condição. Ainda, o que é que mais mudou desde março? O almirante Gouveia e Melo.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Fr. Chase preaches Acts 13:14b-16, 26-39 or Num 27:12-23 Ps 100 Rev 7:9-17 John 10:22-30
Pastor Neil Bernard shares our "inspire" message, "Jesus: Lord of the Sabbath". Do you like some rules? What if we only follow the rules? Don't some rules need to be changed? Is life more important than a rule? What was the problem with the Pharisees? What is the greatest commandment? Passages: Matt 12: 1-14, Luke 6: 2, Ex 35: 3, Num 15: 32-36, 1Sam 21Date: 14.05.2025Please send prayer requests to prayer@bridgeman.org.au or on our website: www.bridgeman.org.au/prayer/To contact Bridgeman Baptist Community Church please email hello@bridgeman.org.auIf you would like to give at Bridgeman Baptist Community Church please go to www.bridgeman.org.au/giving/ Please view our Sermon List if you would like to order from our back catalogue, please email bridgemedia@bridgeman.org.au
A 21ª edição da Bienal de Dança de Lyon, de 6 a 28 de Setembro, vai contar com vários artistas lusófonos. Destaque para os portugueses Marco da Silva Ferreira e Tânia Carvalho, mas também para o moçambicano Ídio Chichava e a brasileira Lia Rodrigues, numa edição que vai ecoar com a temporada cruzada França-Brasil. “A dança fala português de uma forma muito forte”, admitiu à RFI Tiago Guedes, o director artístico da bienal, sublinhando também que a dança pode ser uma resposta colectiva de resistência e de ternura face a um mundo em crise. No programa desta 21ª edição da Bienal de Dança de Lyon sobressai uma linha de força lusófona. “Brasil Agora” é um dos pilares desta edição, com oito projectos de artistas brasileiros, no âmbito da temporada Cruzada França-Brasil. Destaque para Lia Rodrigues, Volmir Cordeiro e Davi Pontes & Wallace Ferreira, entre muitos outros.O português Marco da Silva Ferreira – artista associado da Maison de La Danse - apresenta F*ucking Future, em estreia mundial, e Fantasie Minor, que já tinha mostrado na última Bienal.No centenário do nascimento de Pierre Boulez, há também uma homenagem dançada a esta figura emblemática da musica contemporânea mundial, num espectáculo em estreia da portuguesa Tânia Carvalho (Tout n'est pas visible/Tout n'es pas audible).O coreógrafo moçambicano Ídio Chichava apresenta Vagabundus e M'POLO, este último numa curadoria do director da bienal moçambicana Kinani, Quito Tembe.Será que a dança fala português? “A dança fala português de uma forma muito forte”, responde Tiago Guedes, o director artístico da Bienal. Adança é, também,“um espelho da sociedade e um acto político em si”, sublinha Tiago Guedes, apontando a imagem do evento - braços que se se abraçam - como a resposta colectiva de resistência e de ternura a um mundo em crise.O programa tem 40 espectáculos, incluindo 24 criações e estreias. Há figuras emergentes e nomes bem conhecidos. Há espectáculos dentro e fora das salas, em espaços públicos e outros inesperados. O objectivo é reunir o público em torno da dança e mostrar esta arte como “um bem comum”.Há, ainda, uma parceria com o Centro Pompidou, em que as coreógrafas Eszter Salamon, Dorothée Munyaneza e Gisèle Vienne cruzam a dança, as artes visuais, a música e a literatura.A 21ª edição da Bienal de Dança de Lyon vai decorrer de 6 a 28 de Setembro na cidade francesa e prolonga-se até 17 de Outubro na região Auvergne-Rhône-Alpes.No dia em que apresentou a programação no Ministério da Cultura, em Paris, Tiago Guedes esteve à conversa com a RFI.RFI: Quais são as principais linhas de força desta edição?Tiago Guedes, Director artístico da Bienal de Dança de Lyon: “Esta edição faz-se de uma forma muito colaborativa. Essa é uma das forças desta bienal, num contexto mais duro para as artes em geral, é muito importante que as instituições, que os artistas, que os parceiros de programação criem esforços e criem forças para manter o nível destes grandes eventos. Desde logo, um grande foco que se chama ‘Brasil Agora!', com oito projectos de artistas brasileiros, feito no âmbito da temporada cruzada Brasil em França. É uma parte muito importante para a nossa programação, é uma espécie de actualização do que é a dança e a coreografia brasileira hoje em dia, com espectáculos de várias dimensões e artistas de várias gerações. Por exemplo, o espectáculo de abertura de Lia Rodrigues, uma das grandes coreógrafos brasileiras, mas também muitos jovens que vão apresentar o seu trabalho. Isto é uma parte muito importante da Bienal.”Como Volmir Cordeiro, que dançou para Lia Rodrigues também... “Volmir Cordeiro, que dançou com ela também, e outros artistas.Outro pilar importante da nossa programação é uma grande parceria com o Centro Pompidou. O Centro Pompidou estará em obras nos próximos cinco anos e, com alguns parceiros, nomeadamente connosco, decidiu imaginar um foco à volta de três coreógrafas mulheres: a húngara Eszter Salamon, a ruandesa Dorothée Munyaneza e a francesa Gisèle Vienne e, à volta do universo destas três mulheres coreógrafas, nós e o Centro Pompidou imaginámos projectos inéditos que vão ser apresentados durante a Bienal de Lyon. Gisèle Vienne, por exemplo, vai remontar a sua peça ‘Crowd' XXL nos Les Grandes Locos, que é um antigo armazém de montagem de comboios, um espaço gigante que nós temos em Lyon. Dorothée Munyaneza vai fazer uma ocupação da Villa Gillet, que é o centro literário de Lyon. A Esther Salomon, para além de um espectáculo, apresenta também uma instalação ao longo da Bienal. São verdadeiramente coreógrafas que partem do corpo para se conectar com outras disciplinas: artes visuais, música e literatura.”Há também criadores portugueses. Um deles é Marco da Silva Ferreira, que apresenta dois espectáculos, um que já esteve na última bienal. Porquê Marco da Silva Ferreira e como é que descreve o trabalho dele? “Há dois artistas portugueses, Marco da Silva Ferreira e Tânia Carvalho. O Marco é nosso artista associado à Bienal e à Maison de la Danse e representa novas criações durante a Bienal e espectáculos em repertório que nós voltamos a apresentar. De facto, a peça que ele apresentou há dois anos, ‘Fantasie Minor', com dois jovens bailarinos, foi um tal sucesso que nós vamos voltar a apresenta-la na região -não em Lyon porque já apresentámos em Lyon, mas como a Bienal tem um programa que se chama “Rebond”, vamos apresentar esta peça do Marco com cinco parceiros fora da área metropolitana de Lyon. Depois, há uma criação mundial muito aguardada. O Marco é um dos grandes coreógrafos da actualidade e a sua peça vai ser apresentada também no Les Grandes Locos. É uma peça com um formato especial quadrifrontal, um ringue que não tem boxeurs, mas bailarinos, onde o Marco vai trabalhar sobre as questões da masculinidade, fragilidade e poder que nós encontramos nos homens também. É uma peça muito aguardada pelo mundo coreográfico internacional. O Marco, de facto, tornou-se um coreógrafo muito aguardado e é um dos grandes nomes da coreografia mundial deste momento e nós estamos muito contentes e orgulhosos que este coreógrafo possa estrear na nossa Bienal.”A Bienal de Dança de Lyon, em parceria com o Festival de Outono, encomendou um espectáculo com a assinatura da coreógrafa portuguesa Tânia Carvalho. Este é um dos projetos principais do programa. Quer falar-nos sobre este projecto?“Sim, é um projecto muito importante. Desde logo, é uma encomenda da Bienal, não é um projecto que a Bienal coproduza, é verdadeiramente uma encomenda. Nós, no âmbito do centenário do nascimento de Pierre Boulez, achámos que seria muito interessante fazer um desafio a um coreógrafo, neste caso uma coreógrafa, para trabalhar a dois níveis, a nível artístico, mas também ao nível da transmissão. A Tânia gosta muito de trabalhar com jovens bailarinos e, neste caso, vai trabalhar com jovens bailarinos e jovens músicos; dois conservatórios: Conservatório Nacional de Lyon e Conservatório Nacional de Paris; duas áreas: dança e música; dois festivais: Bienal de Dança de Lyon e Festival de Outono de Paris; dois museus: Museu de Belas Artes em Lyon e Museu de Arte Moderna em Paris; uma coreógrafa, Tânia Carvalho, que trabalha desde o início numa relação muito forte com a música, ela própria é cantora e música. Achámos que seria muito interessante também devido ao seu universo coreográfico muito específico, muito expressionista, mas tecnicamente muito exigente, de trabalhar com estes jovens bailarinos que acabam a sua formação antes de serem bailarinos profissionais, numa deambulação em dois museus muito diferentes. Um museu mais dedicado à arte do século XIX e início do século XX e, depois em Paris, um museu mais dedicado à arte moderna e contemporânea, sendo que tanto os bailarinos e músicos de Lyon como de Paris vão estar nos dois lados. Os museus são diferentes, os festivais são diferentes, mas são 40 músicos e bailarinos que nos vão fazer visitar o museu de forma diferente também através das obras que são apresentadas e do universo sonoro de Pierre Boulez.É, de facto, uma produção que nós aguardamos e que tem um pouco o ADN da Bienal, que é um pouco esta questão de, por um lado, a criação - porque as criações são muito importantes para a Bienal, há 40 espectáculos, 24 criações mundiais ou criações francesas. Mas também esta relação com o ensino, com os jovens, a forma como a dança pode ser vista de uma forma muito menos elitista e abrir muito mais portas de entrada para o que nós defendemos.”Houve um coreógrafo que também já fez essa experiência de dançar num museu, no Museu de Orsay. Foi o coreógrafo moçambicano Ídio Chichava que vai estar também em destaque no programa da bienal. Depois de ele ter impressionado em Paris, com ‘Vagabundus' e depois outras peças, o que é que ele traz à bienal e porquê Ídio Chichava?“Ídio Chichava foi uma descoberta. Eu vi o seu espectáculo em contexto, em Maputo, onde ele trabalha com os seus bailarinos, onde ele faz um trabalho artístico, social, político, de militância, de força do corpo, o corpo também como um corpo contestatário. É uma peça muito política sobre o que é a sociedade moçambicana, sobre o que é ser bailarino hoje em dia e o que é este poder do corpo também como manifesto social e político.O Ídio é, de facto, uma grande descoberta. Ele foi laureado do Prémio SEDA [Salavisa European Dance Award] da Fundação Calouste Gulbenkian, do qual fazemos parte, ele e a Dorothée Munyaneza foram os primeiros laureados deste prémio que a Fundação Calouste Gulbenkian decidiu lançar em homenagem ao Jorge Salavisa que foi o primeiro director do Ballet Gulbenkian. A Bienal é parceira e apresenta estes dois coreógrafos. Vai ser um dos nossos espectáculos também de destaque, embora ele já tenha sido apresentado em França, mas nunca apresentou o seu trabalho em Lyon. E é um espectáculo muito, muito forte, que concilia um lado coreográfico muito interessante, mesmo um lado de retrato social, quase um espectáculo antropológico do que é hoje a sociedade moçambicana. É também, para mim, um dos grandes destaques desta Bienal.”Na última edição tinha prometido um fórum com curadores de vários cantos do mundo, incluindo o moçambicano Quito Tembe, director artístico da Plataforma de Dança Kinani de Moçambique. Este projecto como se concretiza agora? “Este projecto concretiza-se finalmente. Ou seja, ele iniciou-se na Bienal 2023 com o encontro dos curadores e dos artistas e durante estes dois anos eles foram-se encontrando e imaginando o que é que seria este fórum, que é a parte mais reflexiva da Bienal e tudo o que acontece à volta dos espectáculos, nomeadamente a parte mais de discussão e de reflexão do que é a dança fora de um contexto privilegiado do centro da Europa.Efectivamente, um artista aborígene australiano ou um artista brasileiro que viva num dos Estados mais pobres, como é, por exemplo, o Piauí, o seu trabalho de dança é muito diferente. Muitas das vezes, para poderem ser bailarinos e coreógrafos, têm mais dois ou três trabalhos complementares e a relação com o tempo é outra, a relação com o dinheiro é outra, a relação com as instituições é outra. Eu acho que é muito importante para a Bienal se inspirar de outras práticas, de outras formas também de fazer. Este fórum é constituído, de facto, por cinco curadores e artistas vindo de Taiwan, Austrália, Moçambique, Brasil e Estados Unidos, com cinco grandes temáticas e à volta dessas temáticas há uma data de actividades que se ligam a estas temáticas que vêm das pesquisas coreográficas destes cinco artistas. Por exemplo, a artista americana é enfermeira e coreógrafa e o seu trabalho é sobre o cuidado, o cuidado que se tem que ter com o corpo quando se é coreógrafo, mas quando se é enfermeiro também. Então, são mesmo outras formas de mostrar o que o corpo pode para além do que ele faz num palco.”Uma das linhas de força desta Bienal talvez seja a criação lusófona. A dança também fala português?“A dança fala português de uma forma muito, muito forte. Há artistas coreógrafos portugueses ou que estão em Portugal que são grandes nomes da dança. Podemos falar de dois grandes nomes da dança: Marlene Monteiro Freitas e Marco da Silva Ferreira. Marlene não vai estar na Bienal, mas está logo a seguir na temporada da Maison de la Danse. São mesmo artistas que contam. Quando se fala em dez grandes nomes de coreógrafos actuais, o Marco e a Marlene aparecem sempre...”A Marlene Monteiro Freitas que vai abrir o Festival de Avignon este ano… “Abre o Festival de Avignon exactamente com essa peça da qual somos co-produtores também e que apresentamos depois na Maison de la Danse. De facto, há um grande interesse pelo que se passa por Portugal e há uma grande particularidade que é: são artistas que são autores. O trabalho é muito, muito autoral, ou seja, não se parece com nada de outro. Muitas das vezes nós vemos filiações, nós vemos muitos artistas - e nada contra, há artistas excelentes, mas que tu percebes de onde é que eles vêm. Tu vês um trabalho da Marlene Monteiro Freitas e não se parece com nada, tu vês e dizes que é um trabalho da Marlene. Isso é muito interessante, é algo que distingue porque, para além de serem coreógrafos, são verdadeiramente autores. Autores com um universo completamente identificado e muito particular. Estes três - a Tânia, a Marlene e o Marco – assim o são e nós temos que ter muito orgulho desta nova geração de coreógrafos e de coreógrafas portuguesas.”Relativamente à filosofia e ao conceito desta Bienal, no editorial de apresentação do programa, o Tiago Guedes escreve que “a Bienal reafirma a importância do colectivo em diferentes locais, seja em palco, na rua ou em espaços inesperados”… Num mundo em crise e face aos abalos ecológicos, políticos, sociais, o que é que pode a dança nestes palcos políticos? “Desde logo, o que é que pode o corpo? O corpo neste momento está em perigo. Ele está em perigo nas guerras que estão às nossas portas. Ele está em perigo quando no Brasil são assassinados corpos trans, corpos não normativos - aliás, nós apresentamos Davi Pontes & Wallace Ferreira que falam exactamente nisso, um corpo em combate, o que é que pode ser uma coreografia quando um corpo tem que estar completamente em combate? Eu acho que uma Bienal quer mostrar toda a diversidade da dança e a dança é um espelho da nossa sociedade e é um acto político em si. Quando tu expões o corpo desta maneira, quando o corpo está em perigo em muitas geografias do nosso mundo, é muito importante, de facto, colectivamente, defender este posicionamento do corpo e estes olhares outros que os corpos podem fazer na nossa sociedade. É certo que, nesta edição, à imagem da imagem que escolhemos para a nossa Bienal, que são braços que se agarram uns aos outros, é esta ideia de estar juntos e como é que colectivamente os corpos podem ter mais força do que um corpo individual. É uma imagem ao mesmo tempo de resistência e uma imagem de ternura também. Isso é algo que é muito importante hoje em dia: como é que, em conjunto, nós podemos fazer face a uma sociedade que, a meu ver, está bem complicada a vários níveis e a arte, em si, não deve só ser uma fruição da beleza, ela deve sublinhar, por um lado, os males do mundo, mas como é que o corpo responde de uma forma mais sensível, de uma forma menos directa, e como é que nós podemos ter momentos de suspensão, mas que, por vezes, eles nos dão também uma visão do mundo bastante dura, mas os corpos podem responder de outra forma.”
O senador Cleitinho Azevedo (Republicanos-MG) tietou Virgínia Fonseca durante o depoimento da influenciadora à CPI das Bets. A sessão da comissão, transmitida ao vivo pela TV Senado, chegou a ser acompanhada por mais de 100 mil pessoas ao vivo. Num determinado momento, Cleitinho pediu que Virgínia gravasse um vídeo para a esposa e para a filha dele.José Inácio Pilar, Duda Teixeira e Ricardo Kertzman comentam:Papo Antagonista é o programa que explica e debate os principais acontecimentos do dia com análises críticas e aprofundadas sobre a política brasileira e seus bastidores. Apresentado por Felipe Moura Brasil, o programa traz contexto e opinião sobre os temas mais quentes da atualidade. Com foco em jornalismo, eleições e debate, é um espaço essencial para quem busca informação de qualidade. Ao vivo de segunda a sexta-feira às 18h. Não espere mais, assine agora e garanta 2 anos com 30% OFF - últimos dias. 2 anos de assinatura do combo O Antagonista e Crusoé com um super desconto de 30% adicional* utilizando o voucher 10A-PROMO30 Use o cupom 10A-PROMO30 e assine agora: papo-antagonista (https://bit.ly/promo-2anos-papo) (*) desconto de 30% aplicado sobre os valores promocionais vigentes do Combo anual | Promoções não cumulativas com outras campanhas vigentes. | **Promoção válida só até o dia 31/05
TEMPO DE REFLETIR 01398 – 13 de maio de 2025 I Coríntios 15:52 – Num momento, num abrir e fechar de olhos, ao ressoar da […]
Num país sem carteiros ao domicílio, Manuel Coelho contratou empresa para entregar boletins de voto aos portugueses. Nos Países Baixos, carteiros há, alertas para avisos de recepção é que não. Edição Isabel Gaspar Dias
Num mundo de tanta poluição de informações, o Papa pede diálogo. Leão XIV nos convida a limpar a comunicação de ideologia, ódio e agressividade. Não para agradar, mas para construir pontes. Falo mais no meu comentário de hoje.
Esta semana o tema não podia ser outro e não vamos fugir dele. Num domingo louco, a fase regular terminou e com ela chegam os balanços: a classificação final é justa? Para além disso, damos um toque na II Divisão e na sua quente luta pela subida e ainda no feminino, onde o Santa Luzia passou de quase castigado a quase finalista.
Sabbath School panel discussion and insight by 3ABN pastors and teachers. This podcast episode follows 2025 quarter 2, lesson 7 of the adult Bible study guide book. This quarter's book topic is “Allusions, Images, Symbols: How to Study Bible Prophecy”. and this week's Sabbath School lesson is titled “Foundations for Prophecy” Join us every week for a fresh and relevant study of the word of God. Reading: Isa. 6:6-8| Gen. 3:21-24 | Ezek. 1:4-14 | Rev. 4:1-11 | Num. 2:3-25 | Isa. 14:12-14. Memory Text: "Also I heard the voice of the Lord, saying: 'Whom shall I send, and who will go for Us?' Then I said, 'Here am I! Send me'" (Isaiah 6:8, NKJV). (May 10 - May 16) Sunday (Jill Morikone) - “Here I Am, Send Me”Monday (Daniel Perrin) - “The Two Cherubim” Tuesday (James Rafferty) - “Like Burning Coals of Fire”Wednesday (John Dinzey) - “God Among His People”Thursday (Shelley Quinn) - “The Fall of Lucifer” Want the Panelists' notes? You can sign up here: https://3abnsabbathschoolpanel.com/notes/ Questions or Comments? Email us at mail@3abn.org Donate: https://3abn.org/donate-quick.html
PODCAST - Avec la multiplication des fuites de données, de plus en plus de personnes sont sollicitées par des numéros avec un indicatif en +44. Derrière ces appels, se cachent en général des arnaques dites "à la tâche", qui peuvent coûter cher. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique comment fonctionne cette escroquerie bien rôdée, facilitée par les fuites de données massives observées ces derniers mois. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast et son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Num momento em que a Casa Branca anda por caminhos pouco católicos, pode ser um sinal. Leão XIV chega com o carimbo da continuidade do pontificado do Papa Francisco. A expectativa está elevada.See omnystudio.com/listener for privacy information.
책에 관한 걸쭉하고 상큼한 이야기 "책.걸.상"포앙키노스의 《두 번째 아이(Numéro deux)》는 영화 〈해리포터〉 오디션 당시, 최종 후보에 올랐던 두 소년 중 대니얼 래드클리프가 ‘조금 더 특별한 무언가' 덕분에 끝내 선택됐다는 실화에 영감을 얻어 집필한 작품이라고 하는데요.해리 포터가 될뻔했던, 선택받지 못한 아이가 겪었을 감정과 일화를 상상하며 쓴 이 작품은 실제와 허구를 넘나들며 쓴 책이라고 합니다.실제처럼 너무나 잘 쓴 '두 번째 아이'지금 바로 만나보시죠~
Grande nouvelle que je suis heureuse de partager avec vous aujourd'hui : mon livre "En Équilibre" est disponible en librairie ! Dans cet épisode, je vous emmène dans les coulisses de cette aventure d'écriture. Je vous raconte comment ce projet est né, comment je l'ai abordé concrètement, comme j'ai fait de la place pour transformer l'écriture d'une montagne en une succession de collines, et redécouvert le défi stimulant du travail profond, long, gratifiant.Au-delà du processus, je vous présente l'essence même de cet ouvrage : une exploration de ce que signifie réellement "préserver son équilibre vie pro-vie perso". Vous y découvrirez pourquoi cette expression mérite d'être questionnée, et les quatre besoins fondamentaux que j'ai identifiés au fil de mes années d'accompagnement. Ce livre, c'est aussi ma vision de l'équilibre comme une danse - non pas un état fixe, mais un mouvement perpétuel fait d'ancrages solides et d'appuis, une succession de déséquilibres rattrapés qui dessinent finalement une vie « bien vécue » - la vôtre.************************************************* Merci de faire une place aux Équilibristes dans votre vie. Si vous voulez soutenir le podcast, prenez quelques instants pour dire pourquoi vous l'appréciez sur votre plateforme d'écoute préférée, en laissant 5 ⭐et un commentaire. Merci pour votre soutien !Numéros d'Equilibristes est la lettre que j'envoie 2 fois par mois - c'est là que je partage ressources, observations et analyses, dont le point de départ est souvent le quotidien ou mon travail avec mes clients. C'est là aussi que j'annonce en avant-première tous les événements et opportunités de travailler ensemble. Vous pouvez vous abonner ici.Découvrez mon livre, En Équilibre, qui déconstruit le mythe de l'équilibre vie pro vie perso et explore 4 grands besoins derrière celui de préserver son équilibre de vie.Pour découvrir comment travailler ensemble, rendez-vous sur www.conscious-cultures.comPour écouter tous les épisodes, rendez-vous sur www.lesequilibristes.comConnectons-nous sur les réseaux : https://www.linkedin.com/in/sandra-fillaudeau-23947ba/ et https://www.instagram.com/les_equilibristes_podcast/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Satan promotes uncontrolled anger. Paul wrote, “Be angry, and yet do not sin; do not let the sun go down on your anger, and do not give the devil an opportunity” (Eph 4:26-27). By itself, anger is not sinful. Even God gets angry (Num 25:4; Deut 9:8, 20; Jer 4:8). Human anger is a natural response to an injustice, real or imagined. We get angry because we feel someone has wronged us, and the personal scales of justice need to be corrected. Ideally, this happens when the offender comes and apologizes and seeks forgiveness, or makes restitution for damage. However, we cannot always control other people's thoughts, words, or actions, but we can control how we respond. Paul tells us not to let anger last beyond the day. If we let anger fester, then by our choice we give the devil an opportunity to turn it into something greater, which can enslave us in bitterness. Solomon wrote, “He who is slow to anger is better than the mighty, and he who rules his spirit, than he who captures a city (Prov 16:32), and “A man's discretion makes him slow to anger, and it is his glory to overlook an offense” (Prov 19:11). James said, “everyone must be quick to hear, slow to speak and slow to anger; for the anger of man does achieve the righteousness of God” (Jam 1:19-20). Hoehner comments: “While believers may at times be legitimately angry (with righteous anger against sin; cf. John 2:13–16), they are not to sin. The way to prevent such sin is to “keep short accounts,” dealing with the anger before the sun goes down. The reason is that the devil would like to intensify a Christian's righteous anger against sin, causing it to become sin itself. This then gives the devil a foothold (lit., “a place”), an opportunity for leading that Christian into further sin. Then anger begins to control the believer rather than the believer controlling his anger.”[1] Satan uses suffering to pressure us to turn from God. Satan can, on occasion, afflict God's people with suffering (Job 1:1-2:10; Luke 13:16; Acts 10:38); but this is only done with the Lord's permission. Satan's use of suffering is intended to get us to turn away from God, who is the source of life, goodness, and strength. Job is the classic example of a believer who was attacked by Satan (Job 1:1-2:10). Though Job suffered greatly, he understood his life was in God's hands and he kept faith, saying, “Naked I came from my mother's womb, and naked I shall return there. The LORD gave and the LORD has taken away. Blessed be the name of the LORD” (Job 1:21). And on another occasion he said, “Though He slay me, I will hope in Him” (Job 13:15a). Jesus said to Peter, “Simon, Simon, behold, Satan has demanded permission to sift you like wheat” (Luke 22:31). Satan's request was granted. But the Lord also told Peter, “I have prayed for you, that your faith may not fail; and you, when once you have turned again, strengthen your brothers” (Luke 22:32). Peter did return to the Lord and was strengthened (John 21:15-17). The key for us as Christians is to trust in God's love and goodness when we face Satan's attacks against our flesh. This is a faith response not born of feelings or circumstances (Rom 5:3-5; Jam 1:2-4; 1 Pet 1:6; 4:12-13; cf. 1 Th 5:16-18). Satan masquerades as a messenger of light. Satan was created as a beautiful cherub (Ezek 28:12-14), and he retains all his outward attractiveness. Inwardly he is prideful (Ezek 28:15-17), and this is part of what makes him dangerous. Satan uses his outward appearance as a disguise to deceive others, and many of his messengers do the same. Paul wrote, “Satan disguises himself as an angel of light. Therefore, it is not surprising if his servants also disguise themselves as servants of righteousness, whose end will be according to their deeds” (2 Cor 11:14-15). The Pharisees were satanic deceivers. They referred to themselves as God's children, saying, “we have one father, God” (John 8:41b). But Jesus said of them, “You are of your father the devil, and you want to do the desires of your father” (John 8:44a). The Pharisees were very religious. They read the Scriptures, prayed, fasted, offered sacrifices, and spent much of their time at the temple. Jesus said they had “seated themselves in the chair of Moses” (Matt 23:2). This was because they coveted positions of power. Jesus said, they “tie up heavy burdens and lay them on men's shoulders” (Matt 23:4), they “do all their deeds to be noticed by men” (Matt 23:5), and they “love the place of honor at banquets and the chief seats in the synagogues, and respectful greetings in the market places, and being called Rabbi by men” (Matt 23:6-7). But Jesus also revealed their true identity as “hypocrites” (Matt 23:13-15), “blind guides” (Matt 23:16-19), and those who “neglect justice and mercy and faithfulness” (Matt 23:23). Outwardly they look attractive, “but inside they are full of robbery and self-indulgence” (Matt 23:25), and are “like whitewashed tombs which on the outside appear beautiful, but inside they are full of dead men's bones and all uncleanness” (Matt 23:27), and “outwardly appear righteous to men, but inwardly you are full of hypocrisy and lawlessness” (Matt 23:28). Jesus established policy for His disciples when He told them on a previous occasion, “Let them alone; they are blind guides of the blind. And if a blind man guides a blind man, both will fall into a pit” (Matt 15:14). He also warned them, “Watch out and beware of the leaven of the Pharisees and Sadducees” (Matt 16:6), by which His disciples understood leaven to refer to “the teaching of the Pharisees and Sadducees” (Matt 16:12b). Knowing God's Word helps us identify and avoid Satan's beautiful messengers, who outwardly appear righteous, but twist Scripture and promote false doctrines. Satan empowers his false prophets to perform miracles in order to deceive. When Moses was executing God's plagues upon Egypt, it is recorded that three times “the magicians of Egypt did the same with their secret arts” (Ex 7:10-11; 7:21-22; 8:6-7). Moses warned the Israelites who were about to enter the land that they should guard themselves against false prophets and dreamers of dreams who arise and give them a “sign or wonder”, and then seek to lead them away from God (Deut 13:1-4). Jesus warned of “false Christs and false prophets will arise and will show great signs and wonders, so as to mislead, if possible, even the elect” (Matt 24:24). And Paul spoke of the coming Antichrist, “whose coming is in accord with the activity of Satan, with all power and signs and false wonders, and with all the deception of wickedness for those who perish, because they did not receive the love of the truth so as to be saved” (2 Th 2:9-10). Those who know God's Word and live by it will guard themselves against the deceiving power of false miracle workers. Satan desires that we turn from God and His Word and live independently of Him. He promotes sinful pride, lies, uncontrolled anger, uses suffering to pressure God's people, masquerades as a messenger of light, and empowers false teachers to perform miracles in order to deceive. Knowledge of God's Word informs us about Satan's strategies, and the humble believer who lives by faith will be able to stand when he attacks. Satan's World-System Satan is permitted, for a time, to rule over the majority in this world. Three times Jesus referred to Satan as “the ruler of this world” (John 12:31; 14:30; 16:11). Other passages of Scripture call Satan “the god of this world” (2 Cor 4:4), and “the prince of the power of the air” (Eph 2:2), informing us “that the whole world lies in the power of the evil one” (1 John 5:19). Satan rules as a tyrant who has “weakened the nations” (Isa 14:12), and currently “deceives the whole world” (Rev 12:9). Furthermore, humanity is living in an “evil age” (Gal 1:4), under “the dominion of Satan” (Acts 26:18), whose sphere of influence is called “the domain of darkness” (Col 1:13). Though Satan has attacked some people directly, he mainly operates as commander of an unseen realm of demons, through a worldwide system of philosophies and values he's created, through unbelievers whom he energizes to do his will, and through the sinful inclinations of our fallen nature. The Bible recognizes Satan's world-system and warns us not to love it. John writes and tells the Christian, “Do not love the world nor the things in the world. If anyone loves the world, the love of the Father is not in him. For all that is in the world, the lust of the flesh and the lust of the eyes and the boastful pride of life, is not from the Father, but is from the world” (1 John 2:15-16). We live in a fallen world, and John's command is intended to warn us of real danger. First, John opens with the negative particle Μὴ Me, which is followed by the Geek verb ἀγαπάω agapao, which is in the imperative mood—the mood of command. The word ἀγαπάω agapao denotes desire or commitment to something or someone. Allen comments on love: “In its essence love is two things: a desire for something and a commitment to something … Whatever it is you desire and whatever you're committed to, that's where your time and resources will go. If you love football, that's where your time and resources will go. If you love hunting or fishing, that's where your time and resources will go. If you love your spouse, you desire to spend time with her and you are committed to her. Love is more than an emotional feeling. Love requires a commitment of time and resources.”[2] John then gives the object we are not to desire or be committed to, namely, the world (τὸν κόσμον). The Greek word κόσμος kosmos is used in Scripture to refer to: 1) the physical planet (Matt 13:35; Acts 17:24), 2) people who live in the world (John 3:16), and 3) the hostile system created and controlled by Satan that he uses to lure people away from God (1 John 2:15-16). It is this third meaning that John has in mind. Hence, the word κόσμος kosmos refers to “that which is hostile to God…lost in sin, wholly at odds with anything divine, ruined and depraved.”[3] Concerning, the word κόσμος kosmos, Allen writes: “Sometimes the word “world” is used to refer to the organized evil system with its principles and its practices, all under the authority of Satan, which includes all teachings, ideas, culture, attitudes, activities, etc., that are opposed to God. A fixation on the material over the spiritual, promotion of self over others, pleasure over principle—these are just a few descriptors of the world system John is talking about. The word “world” here means everything that opposes Christ and his work on earth. Jesus called Satan “the ruler of this world” (John 14:30; 16:11), and Paul called him “the god of this world” (2 Corinthians 4:4). In Luke 16:8 Jesus referred to all unsaved people as “the sons of this world.”[4] Dr. Steven R. Cook [1] Harold W. Hoehner, “Ephesians,” in The Bible Knowledge Commentary: An Exposition of the Scriptures, ed. J. F. Walvoord and R. B. Zuck, vol. 2 (Wheaton, IL: Victor Books, 1985), 637. [2] David L. Allen, 1–3 John: Fellowship in God's Family, ed. R. Kent Hughes, Preaching the Word (Wheaton, IL: Crossway, 2013), 96–97. [3] Walter Bauer, A Greek-English Lexicon of the New Testament and Other Early Christian Literature, p. 562. [4] David L. Allen, 1–3 John: Fellowship in God's Family, 96.
PODCAST - Vous l'avez peut-être remarqué si vous vous êtes connecté à Facebook, WhatsApp ou Instagram ces dernières semaines. Un petit cercle coloré s'affiche maintenant en haut de vos conversations. Ce nouveau symbole, c'est celui de Meta AI, l'intelligence artificielle lancée par le groupe Meta. Elle est en train d'arriver progressivement sur toutes les messageries du groupe en France. Si vous ne l'avez pas encore, ça ne devrait pas tarder : elle sera intégrée dans une prochaine mise à jour. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique à quoi sert Meta AI et comment limiter le périmètre des données que ce nouvel outil un peu envahissant est autorisé à exploiter. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast et son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Il faut interdire l'accès des jeunes de moins de 15 ans aux réseaux sociaux", c'est ce que réclame l'ancien Premier Ministre Gabriel Attal. La secrétaire d'État au Numérique Clara Chappaz a donné son feu vert à l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans. Elle est l'invitée de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 30 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
‘Já’ passaram 100 dias ou ‘só’ passaram 100 dias desde que Donald Trump regressou à presidência dos Estados Unidos? A resposta a esta pergunta pode variar consoante o grau de simpatia ou de tolerância que cada um tem pelo programa e pelo estilo do político radical e populista norte-americano. Para o bem ou para o mal, serão, ainda assim, poucos os que não assumem que as mudanças impostas pelo Presidente dos EUA na ordem mundial liberal que Washington (ainda) lidera estão a ter um grau de disrupção que não se via há quase 100 anos. Num programa especial do podcast Diplomatas (e do Fogo e Fúria, que pode ouvir aqui), gravado ao vivo no auditório do PÚBLICO, em Lisboa, a jornalista Teresa de Sousa e o investigador Carlos Gaspar analisaram os primeiros 100 dias da Administração Trump 2.0. A conversa tocou no seu impacto na relação transatlântica, na competição com a China, na guerra na Ucrânia, na “guerra comercial”, no Partido Republicano e no conflito declarado pela Casa Branca às universidades, aos tribunais e aos media dos EUA.See omnystudio.com/listener for privacy information.
"Il faut interdire l'accès des jeunes de moins de 15 ans aux réseaux sociaux", c'est ce que réclame l'ancien Premier Ministre Gabriel Attal. La secrétaire d'État au Numérique Clara Chappaz a donné son feu vert à l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans. Elle est l'invitée de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 30 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conseils Marketing - Des conseils concrets pour prospecter et fidéliser !
Comment augmenter sa résilience face à la crise ? Nos réponses avec l'IA, l'humain et l'adaptation ! Comment augmenter sa résilience face à la crise ? Dans un contexte économique incertain, quels leviers actionner pour sécuriser son business ? Avec - Nicolas Chagny - NS Pulse - Michaël Tartar - CEO de DIMM.UP ---- Les webinaires du Numerikissimo.fr - Les 12 défis du Numérique.--- Le Numerikissimo recense les acteurs clés du numérique en France, du freelance aux experts, en passant par les CEO. Découvrez l'annuaire et proposez votre profil sur numerikissimo.fr.
Most Christians are aware of the Trinity, but how would you explain it? Is being 3 in 1 really a possibility? Whats the best illustration out there to understand it?In today's episode, Pastor Derek and Pastor Jackie talk through a listener question about how to explain the Trinity. Whether you're new to the faith or have been around the block a few times, explaining the Trinity is a challenging feat. We look at Scriptures that explain how the Father, Son, and Holy Spirit are all one God, yet three distinct persons. Our hope is that as you listen, you gain a better understanding of the Trinity while also recognizing just how much greater God's mind is than ours!The 17:17 podcast is a ministry of Roseville Baptist Church (MN) that seeks to tackle cultural issues and societal questions from a biblical worldview so that listeners discover what the Bible has to say about the key issues they face on a daily basis. The 17:17 podcast seeks to teach the truth of God's Word in a way that is glorifying to God and easy to understand with the hope of furthering God's kingdom in Spirit and in Truth. Scriptures: Psa. 33:12; Psa. 117:1; Deut. 6:4; Gen. 1:26; Isa. 6:8; John 10:30; Matt. 3:16-17; Matt. 28:19; 2 Cor. 13:14; Isa. 6:1-3; Rev. 4:5-8; Num. 27:18; Gen. 1:1-2; John 14:16-17; Matt. 26:39; 1 Cor. 11:3; Mark 13:32; 1 Pet. 1:2; John 1:1; 1 John 5:20; Col. 2:9; Heb. 1:3; Acts 5:3-4.If you'd like access to our show notes, please visit www.rosevillebaptist.com/1717podcast to see them in Google Drive!Please listen, subscribe, rate, and review the podcast so that we can reach to larger audiences and share the truth of God's Word with them!Write in your own questions to be answered on the show at 1717pod@gmail.com. God bless!
Génesis 36:2,6-8; Salmos 137:7;Num 20:14-21;1 Reyes 11:14-16; 1 Cro 18:11-13;Isa 34:5;Jere 49:7-18;Eze 35:1-15;Joel3:19; Amos 1:11.“Escrituras tomadas de la Nueva Biblia de las Américas (NBLA), Copyright © 2005 por The Lockman Foundation. Usadas con permiso; todos los derechos reservados." www.NuevaBiblia.com
PODCAST - Plus la peine d'attendre pour changer votre carte d'identité. Depuis le 31 mars, vous pouvez demander à passer à la nouvelle version au format de carte bancaire, même si l'ancienne est encore valide. Jusqu'ici, un changement de carte n'était possible que si celle-ci était expirée, déclarée perdue ou volée ou si vous changiez d'état civil. Mais un nouveau motif de renouvellement a été ajouté par les autorités : le renouvellement pour identité numérique. L'objectif, c'est de pousser les Français à activer leur identité numérique à travers l'application France Identité. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique à quoi sert l'application France Identité et comment l'activer. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast et son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avril 2025 - Numéro 64 : ・Les nouvelles de l'équipe ・Les sujets d'actualité : Hausse du prix du riz, Aide financiere pour contrecarrer les taxes de Trump, Ouverture de l'expo d'Osaka, Fin des repas dans les Ryokan de Kyoto, etc. ・Les recommandations L'équipe Gaijin San : Vincent (@Vince_Tokyo), Nicolas (@Ryo_Saeba_3) et Amaury
Num modesto estúdio de 30 metros quadrados, mais 50 menos 50, reuniu-se o Eixo do Mal, com Clara Ferreira Alves e Luís Pedro Nunes; Daniel Oliveira e Pedro Marques Lopes. Trouxeram para a discussão o debate Montenegro/Ventura, tido por muitos como o principal e decisivo para as próximas eleições, a morte do Papa e as descomemorações do 25 de Abril.See omnystudio.com/listener for privacy information.
A ordem global mudou diante dos nossos olhos. Os EUA não serão mais os “pais” do mundo - e isso afeta a dinâmica geopolítica do planeta como um todo. Porém, não podemos descartar o impacto que a inteligência artificial e o desenvolvimento de tecnologias por parte das grandes companhias do setor. Cenário nebuloso, que não descarta a queda do dólar, mas também não será o fim do mundo. Com isso em mente, convidamos Artur Wichmann, apelidado carinhosamente de “professor” por suas visões elucidativas sobre a economia e o cenário, é o atual CIO da XP Inc. Num bate-papo livre, passamos por todos esses pontos, inclusive estressando o cenário ao seu limite. Não perca, aperta o play!
141:1-2 Cry for help141:1 O Lord, I call upon You; hasten to me- “The cryptic phraseology indicates urgency” Miller, 433. Call (Ps. 4:1, 3; 17:6; 88:9; 130:1) and hasten or come quickly is used in Pss. 22:19; 38:22; 40:13; 70:1, 5; 71:12.Give ear to my voice when I call to You!- Give ear is used in Ps. 55:1; 86:6; 143:1.141:2 May my prayer be counted as incense before You- “Incense and evening sacrifice come from the realm of formal worship” Longman, 458. “Incense symbolized the prayers of the saints (Rev. 5:8) and the priestly intercession accompanying their prayers on behalf of the people (Rev. 8:3-4; Exod. 30:10)” Miller, 433. “Incense is intended to present a sweet fragrance before the Lord, and so the psalmist wants his prayer similarly to please God” Longman, 458. The lifting up of my hands as the evening offering- Lifting up of hands was a common posture in prayer- Ex. 9:29; Ps. 28:2; 63:4; 134:2; I Tim. 2:8. The morning and evening offering are described in Ex. 29:38-42; 30:7-8; Num. 28:4-8. Because he mentions the evening sacrifice, BK, 893, calls this “an evening prayer for sanctification and protection.” A similar idea appears in Longman, 458.This shows that he knew that sacrifices were acceptable and longs for prayer to be just as acceptable. Portions of Scripture like Isaiah 1:10-15 are not anti-sacrifice. 141:3-7 Petition141:3 Set a guard, O LORD over my mouth- “The prayer for the worshiper himself builds on bodily images” Broyles, 492. There were guards who waited at the temple- I Chron. 15:18, 24; II Kings 11:4-8; II Chron. 23:1-7. “He needs this strong Ally to help him guard his tongue” Laymen, 697. “Pure prayer Godward must be controlled speech manward (James 3:10-12)” Laymen, 579. “Religious ritual and moral lifestyle were to be integrally connected in ancient Israel” Broyles, 492. His first request is not judgment on his enemies but a plea that God will keep him from sin- Longman, 458. “Speech is an indicator of one's relationship to the Lord (cf. 34:13; 39:1; Prov. 13:3; 21:23; James 3:1-12)” VanGemeren, 847. The malicious intention of the speaker's enemies seems to manifest itself in vicious speech. The special emphasis here is on the speaker's prayer that he not answer them in kind, that he keep his own speech from slander and invective” Alter, 487. Faithful and Christian at Vanity Fair prayed “Turn away mine eyes from beholding vanity” Kidner, 470. Keep watch over the door of my lips- “The psalmist desires not to sin in word (34:13; 39:1; Prov. 13:3; 18:21; 21:23)” Miller, 433. Speech can do much harm- Prov. 10:6; 12:6; 22:10.141:4 Do not incline my heart to any evil thing- Matt. 6:13 More fundamental than his speech is his heart and he prays his heart will be right with God. “He knows too the dominant pull of his heart toward involvement in evil” Laymen, 697. “Whereas the psalmist prayed in Psalm 140 for deliverance from ‘evil' (see vs. 1-2), here the prayer is that he be prevented from joining the wicked in their ‘evil' (v. 4)” McCann, 1244. “This is a remarkable expression of divine control over the mind; I Sam. 16:14; I Kings 22:21-23; Ps. 119:36” Allen, 270.With men who do iniquity – “He resolves to leave their circle with its lavish hospitality (cf. 23:5)” Laymen, 697. And do not let me eat of their delicacies- “To eat of their dainties could mean to eat of their delicacies attained through wickedness, or it could suggest the strong temptation to follow the ways of those who used a false hospitality to influence him for evil (cf. Prov. 23:6-8, 20-21; Hos. 7:1-7)” Miller, 433. Prov. 4:17.
This one's short — but it might just be the most important 3 minutes you listen to all week.If you're a nurse who's ever dreamed of doing work you love on your terms (think freedom, fulfillment, and more than just night shift differentials)… this is your sign.In today's quick pitch, I'm inviting you to join me for a free live masterclass where I'll show you exactly how nurses are turning their existing experience into profitable online businesses — coaching, consulting, mentoring, content creation, digital offers, you name it.Because here's the truth:
Jorge Mario Bergoglio foi o primeiro Papa latino-americano, o primeiro jesuíta a chegar ao topo da Igreja Católica e, a par do seu humanismo e progressismo, levou até ao Vaticano uma visão do mundo vinda das “periferias” – da fé, da sociedade e também das geográficas, do que hoje se chama de Sul Global. Poucos dias após a sua morte, aos 88 anos, Teresa de Sousa e Carlos Gaspar discutem o seu legado, o seu “exemplo”, os debates “impossíveis” que começou na Igreja, mas também o seu posicionamento controverso sobre a invasão russa da Ucrânia ou as relações com a República Popular da China. Num pontificado acompanhado pela ascensão dos populismos, da xenofobia, da extrema-direita e da guerra, qual é hoje a verdadeira influência do Papa e da Igreja Católica nas relações internacionais? “Francisco conseguiu, a nível mediático, [representar] a ideia de um ‘anti-Trump’”, diz Teresa de Sousa no episódio desta semana do podcast Diplomatas. “Ele era a figura que mais rebatia, pelo seu exemplo, a ideia dos autocratas e dos que se vêem a si próprios como homens fortes”, defende a jornalista. “Ele encarna muito a figura do anti-Trump, do homem bom, do homem que apela ao melhor das pessoas – quer sejam americanos, europeus ou latino-americanos –, quando Trump apela ao pior das pessoas.” Neste episódio, discutiu-se ainda a disponibilidade do Governo dos Estados Unidos para reconhecer a anexação russa da Crimeia, aceitar o congelamento da linha da frente na sua configuração actual e proibir a entrada da Ucrânia na NATO no futuro. O reconhecimento da anexação da península ucraniana pela Federação Russa, em 2014, seria “uma ruptura com o mais antigo dos princípios da diplomacia norte-americana, que vem dos tempos do isolacionismo, que é a de não tomar posição em relação a disputas territoriais”, sublinha Carlos Gaspar. “Do ponto de vista da diplomacia americana, é uma viragem importante. Nem sequer a China reconhece a anexação da Crimeia”, nota o investigador do IPRI-NOVA. “É uma concessão excessiva e difícil de explicar.”See omnystudio.com/listener for privacy information.
A lógica da vida moderna coloca o trabalho no centro de tudo. Gostemos disso ou não, a vida se organiza em torno da atividade profissional que exercemos para sobreviver. Mas, para muitos, o trabalho vai além disso, sendo também uma fonte de propósito.Mas e se estivermos caminhando para um futuro em que nenhum trabalho será feito por humanos? Num mundo onde produzir não é mais obrigação, o que ocupará o lugar desse elemento tão relevante da nossa experiência?No episódio de hoje, discutimos os impactos existenciais e sociais de uma sociedade onde a sobrevivência está resolvida. Debatemos questões como propósito, crise de identidade, mudanças culturais e o desafio de encontrar motivação num mundo hiperprodutivo, onde fazer nada pode virar a nova norma. Dá o play e vem com a gente!(Este episódio é uma continuação do papo iniciado no Tecnocast 375, de semana passada. Pois é, a gente se empolgou, gravamos quase 3 horas de conversa, aí já viu. Ouça o episódio anterior para entender melhor!)ParticipantesThiago MobilonJosué de Oliveira Ana MarquesEmerson AlecrimConta PJ da WiseUma pesquisa da Wise mostrou que 68% dos empreendedores brasileiros que ainda não oferecem serviços pra fora do país planejam começar nos próximos 12 meses. Só que pode não ser tão fácil...Quase um terço dessa galera hesita em dar esse passo porque sabe que os custos das transações de câmbio são altos. Mas a Wise pode te dar uma mão com isso: é só mudar pra Wise Empresas.É a primeira conta multimoedas do Brasil foi pensada especificamente para PJs e pequenos empreendedores. Com ela, você recebe em várias moedas do mundo todo de forma rápida e prática. Também dá pra converter outras moedas pro Real no momento mais vantajoso, com taxas de câmbio transparentes. Assim, você recebe dinheiro sem perder dinheiro.A Wise Empresas é o que falta pra sua carreira internacional decolar. Abra sua conta PJ e comece a usar. Mande seu recadoGrupos da Caixa Postal do Tecnocast: Telegram: t.me/caixapostaltecnocast WhatsApp: tbnet.me/caixapostaltecnocast Você pode mandar comentários (inclusive em áudio, vai que você aparece no Tecnocast?), dúvidas, críticas e sugestões. Participe!Se preferir, você pode se comunicar conosco pela Comunidade e através do e-mail tecnocast@tecnoblog.net.Entre também nos Canais do TB no WhatsApp Canal do Tecnoblog Canal do Achados do TB CréditosProdução: Josué de OliveiraEdição e sonorização: Ariel LiborioArte da capa: Vitor Pádua
Num feriado de preguiça, fizemos a roleta russa dos streamings e assistimos de Black Mirror a títulos totalmente aleatórios. Nesse ep, refletimos sobre tecnologia, morte do Papa e trouxemos diquinhas do que assistir.
On lui donne plusieurs surnoms : Bleu blanc rouge, Sainte Flanelle, Glorieux, Tricolore, Grand Club ou encore le CH, mais celui qu'on a longtemps entendu au Forum et maintenant au Centre Bell c'est : Habs. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Canadiens de Montréal, Cheryl Williams, 8 mai 2012 https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/canadiens-de-montreal#:~:text=Les%20lettres%20de%20l%27écusson,habitant%2C%20comme%20beaucoup%20le%20croient. Go Habs Go! Les Habitants, Plus qu'un surnom, une légende! Élisabeth Laflamme , Numéro 129, printemps 2003 https://www.erudit.org/fr/revues/qf/2003-n129-qf1189952/55765ac.pdf Habitants et le Québec, Mark Able, 11 juillet 2019 https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/habitants-et-le-quebec Why the Montreal Canadiens Are Called the Habs, Jamie Fitzpatrick, 08/14/24 https://www.liveabout.com/montreal-canadiens-called-the-habs-2778720 La petite histoire du hockey à Montréal, JP Karwacki, 5 août 2024 https://www.mtl.org/fr/experience/histoire-hockey-montreal Sophie-Laurence Lamontagne, L'habitant. Grandeur et misère d'un personnage méconnu. XVIIe - XXIe siècles, Québec, Septentrion, 2025. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #hockey #canada #canadiens #canadiensmtl
Conseils Marketing - Des conseils concrets pour prospecter et fidéliser !
"Eastward" (Ancient) of Eden?; Two creation accounts; How to get back to Tree of Life; Visions of Abraham; Euphrates = fruitfulness; "Help meet"; nun-gimel-dalet; What is woman?; Vessels of Holy Spirit; Gen 15:1; The word of God; "Vision" - biet-mem-chet-zayin-hey; Law of nature; Damascus; Eliezer = "helper"; Abraham's journey; Ur; God's prophecy to Abraham; Sons; Bondage opportunity; Righteousness; Giving purpose and value; Respecting the small things; Altars of stone and clay; "this land" = "erets"; aleph-resh-tzedek; freewill vs force; right to my body?; Charity alone; Turtledoves; Sophistry; Biblical "goat"; Red Heifer; Recognizing meaning; Driving away "fowls"; Moneychangers; Basics of who Abrahm was; Why Abraham?; Great darkness?; aleph-yod-mem-hey (horror); city?; gimel = cause/effect; sitting in darkness; v13: Bondage of Egypt; Satisfaction of righteousness; Virtue; Procreation a burden?; Selfishness; Revelation; Gathering in tens, hundreds and thousands; Giving to strengthen; Amorites = blood lickers; "President"; Where is love?; Are you a vulture? Amorite?; Abraham's altars; gimel-vav-zayin-lamad (turtledove); Welfare by forced giving; Lady Godiva; Gen 15:9 "Heifer"; Num 19:2 "Heifer" pey-resh-hey; Sacrifice; Doing what Christ/Moses/Abraham said to do; v18 - covenant for what land?; Living by faith; Covetous practices; Egypt (bondage) to Euphrates (fruitful); Kingdom of God AT HAND; Living by force; V19 List of names; Kenites - associated with Cane; Rolling back socialism; Weakened societies; Individual repentance; Spoiling; Giving your best; Division; Find fruitfulness.
Num 36:1 - Deut 1:46, Luke 5:29-6:11, Ps 66:1-20, Pr 11:24-26
Num 33:40-35:34, Luke 5:12-28, Ps 65:1-13, Pr 11:23
Num 32:1-33:39, Luke 4:31-5:11, Ps 64:1-10, Pr 11:22
Num 30:1-31:54, Luke 4:1-30, Ps 63:1-11, Pr 11:20-21
Num 30:1-31:54, Luke 4:1-30, Ps 63:1-11, Pr 11:20-21
Num 28:16-29:40, Luke 3:23-38, Ps 62:1-12, Pr 11:18-19
Num 28:16-29:40, Luke 3:23-38, Ps 62:1-12, Pr 11:18-19
Num 26:52-28:15, Luke 3:1-22, Ps 61:1-8, Pr 11:16-17
Num 26:1-51, Luke 2:36-52, Ps 60:1-12, Pr 11:15
Num 24:1-25:18, Luke 2:1-35, Ps 59:1-17, Pr 11:14
Num 22:21-23:30, Luke 1:57-80, Ps 58:1-11, Pr 11:12-13
Num 21:1-22:20, Luke 1:26-56, Ps 57:1-11, Pr 11:9-11