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- Allô la terre ! - Gilles Clément, le Jardinier planétaire - Sous les pavés, la vie !
En 2000, alors que l'ENS LSH (alors ENS de Fontenay-Saint-Cloud) déménage à Lyon, naît le projet de créer un jardin dans l'enceinte de l’École. Très vite, le nom de Gilles Clément s'impose : paysagiste, biologiste, écrivain, mais surtout jardinier, il est l'auteur du Jardin planétaire, du Tiers paysage ou encore du Jardin en mouvement – […]
durée : 01:00:05 - Gilles Clément, paysagiste, botaniste - par : Priscille Lafitte - Le paysagiste et botaniste Gilles Clément élabore des jardins avec le souci d'écouter et d'interroger plutôt que d'imposer - c'est le principe du "jardin en mouvement". Avec des oreilles curieuses et attentives, nous écoutons Ravel, Debussy, Bach et Couperin nous parler, eux aussi, du "vivant". - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 00:32:17 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Monique Mosser cosigne avec Gilles Clément "Inventer le jardin, de l'Antiquité à nos jours", un beau livre inspiré par les très riches collections de la BNF : enluminures, dessins, estampes, affiches, tous soigneusement choisis. - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:32:17 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Monique Mosser cosigne avec Gilles Clément "Inventer le jardin, de l'Antiquité à nos jours", un beau livre inspiré par les très riches collections de la BNF : enluminures, dessins, estampes, affiches, tous soigneusement choisis. - réalisé par : Jérôme BOULET
C'est que le début : l'affaire Sanija Ameti // Les loups du Mont Tendre // Wisconsin : Campagne américaine // Les précisions de Gilles Clémençon dans la capitale du Wisconsin // Mon job derrière les barreaux
durée : 00:36:45 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - Au coeur d'une vallée, pénétrons le domaine de Crozant où Gilles Clément s'est installé en 1977, et où il aime tant jardiner - invités : Gilles Clément - Gilles Clément : Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain - réalisé par : Juliette GOUX
Le goût de la terre avec Gilles ClémentJardinier, paysagiste, enseignant, écrivain... Gilles Clément, né en 1943, mène un combat incessant pour la nature et la protection de la diversité. Il porte la conviction qu'il faut cesser de vouloir maîtriser la nature à tout prix et respecter le comportement des espèces. Il a installé à Crozant dans la Creuse en 1977, sa maison « autonome » comme il le raconte dans l'épisode, mais aussi son laboratoire de jardinier. Il défend la dynamique du monde vivant et une intervention humaine limitée, peu ou pas de pesticides ou engrais.De formation ingénieur horticole et paysagiste (Institut national d'horticulture et du paysage à Angers), il regrette, en effet, qu'on lui ait appris avant tout « à tuer ». Sa conviction est qu'au lieu de cantonner les plantes dans un lieu précis afin d'organiser une création, le jardinier peut et doit faire plus confiance à la nature et accepter de lui laisser le « champ libre » ; les plantes trouvent naturellement les lieux qui leur conviennent le mieux.Il s'est fait connaître notamment par la réalisation du parc André-Citroën à Paris en collaboration avec Allain Provost, paysagiste, Patrick Berger et Jean-Paul Viguier architectes, inauguré en 1992 et l'exposition sur Le Jardin planétaire dont il a été commissaire en 1999 à la Grande halle de la Villette mais aussi avec ses nombreux écrits, œuvre à la fois théorique et littéraire.Gilles Clément a, en effet, développé plusieurs concepts dont il nous parle dans cet épisode notamment le « jardin en mouvement » « faire le plus possible avec, le moins possible contre » et le « jardin planétaire » : envisager la planète comme un brassage, un jardin sans mur mais néanmoins fini : les espèces et les gènes doivent circuler.La perte de connaissance du monde vivant l'inquiète particulièrement et il continue à s'investir inlassablement auprès des jeunes notamment pour transmettre son message et son goût de la nature et le respect des espèces.
J'accueille Dorothée Moisan journaliste, autrice et conférencière. Après une carrière à l'Agence France-Presse, Dorothée s'est spécialisée dans les questions climatiques et environnementales considérant que c'était la seule actualité à traiter compte tenu des enjeux. Dorothée a écrit plusieurs ouvrages dont Les Plastiqueurs en 2021 et Les Ecoptimistes – Remèdes à l'éco-anxiété en février 2023 aux éditions du Seuil. C'est sur France Info que j'ai découvert Dorothée venue présentée son nouveaux livre « Les Ecoptimistes ». On y découvre le portraits de 9 français inspirants qui refusent de céder à l'éco-anxiété. hyperconscients de la crise écologique, ils parviennent pourtant à dépasser leur éco-anxiété et à garder la pêche. Parmi eux l'humoriste Guillaume Meurice, la maire Léonore Moncond'huy ou encore le jardinier Gilles Clément, la glaciologue Heidi Devestre, la facilitatrice de transition Anne de Béthencourt, l'ingénieur Corentin de Chatelperron, l'écologue Franck Courchamp, le père de famille Guillermo Fernandez et l'étudiante Louise Arrivé. Dorothée nous raconte leurs fabuleuses recettes de survie ! J'ai tout de suite eu l'envie d'inviter Dorothée pour qu'elle nous partage cela pour nous inspirer et devenir, nous aussi, des Ecoptimistes
Mise au Point - C'est que le début: Les liaisons dangereuses de l'ambassadeur Jean-Daniel Ruch // La grande crise de la presse romande // La faillite d'une société si verte qui avait tout pour plaire // Faillite de ShareWood: Les précisions de Gilles Clémençon // Stations de ski fantômes
Invité : Gilles Clément est un jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain engagé qui a voyagé dans le monde entier. Il a fait de son « jardin en mouvement » dans la Creuse, dans le centre de la France, un manifeste qui se résume par « faire le plus possible avec la biodiversité, le moins possible contre ». Ami des mauvaises herbes, il se bat pour les friches, la libre circulation des espèces et contre la marchandisation du vivant. Zoom sur les zones humides : bien qu'elles ne couvrent qu'environ 6% de la surface terrestre, 40% de toutes les espèces végétales et animales vivent ou se reproduisent dans les zones humides. Mais elles disparaissent trois fois plus vite que les forêts ! Reportage en Albanie où les écologistes se mobilisent contre la construction d'un aéroport international dans la vallée de la Vjosa, à Narta, par Louis Seiller.
Invité : Gilles Clément est un jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain engagé qui a voyagé dans le monde entier. Il a fait de son « jardin en mouvement » dans la Creuse, dans le centre de la France, un manifeste qui se résume par « faire le plus possible avec la biodiversité, le moins possible contre ». Ami des mauvaises herbes, il se bat pour les friches, la libre circulation des espèces et contre la marchandisation du vivant. Zoom sur les zones humides : bien qu'elles ne couvrent qu'environ 6% de la surface terrestre, 40% de toutes les espèces végétales et animales vivent ou se reproduisent dans les zones humides. Mais elles disparaissent trois fois plus vite que les forêts ! Reportage en Albanie où les écologistes se mobilisent contre la construction d'un aéroport international dans la vallée de la Vjosa, à Narta, par Louis Seiller.
durée : 00:41:54 - L'Invité(e) des Matins d'été - par : Quentin Lafay - À l'occasion des "Rendez-Vous Nature 2023" qui se déroulent jusqu'au 27 août 2023, les Matins d'été reçoivent Gilles Clément, artiste jardinier, et Frédéric Achille et Justine Gautier des jardins botaniques du Muséum d'Histoire naturelle de Paris. - invités : Gilles Clément Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain; Frédéric Achille Chargé de conservation des collections végétales au Muséum national d'histoire naturelle; Justine Gautier Chargée de diffusion vers les publics du Muséum d'Histoire naturelle
durée : 02:01:14 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - - invités : Karim Emile Bitar Professeur à l'Ecole normale supérieure de Lyon et à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, spécialiste du Proche et Moyen-Orient.; Gilles Clément Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain; Frédéric Achille Chargé de conservation des collections végétales au Muséum national d'histoire naturelle; Justine Gautier Chargée de diffusion vers les publics du Muséum d'Histoire naturelle; Marielle Macé Directrice adjointe du CRAL (Centre de recherches sur les arts et le langage CNRS-EHESS), spécialiste de littérature française moderne
Sun, 30 Jul 2023 12:50:07 +0000 https://ddcast.podigee.io/155-viviane-stappmanns e1f82a3857bc38d4fc16fb3626737600 Viviane Stappmanns ist Kuratorin am Vitra Design Museum in Weil am Rhein. Viviane studierte zunächst Journalistik und Interior Design am Royal Melbourne Institute of Technology (RMIT) in Melbourne, Australien und arbeitet danach in der Redaktion des »(inside) Australian Design Review«. Von 2002 bis 2009 war sie als Dozentin für Theorie und Geschichte der Gestaltung an der RMIT School of Architecture and Urban Design in Melbourne tätig. Daneben verantwortete sie zahlreiche publizistische und kuratorische Projekte, im Rahmen des von ihr mitgegründeten Verlags Alphabet Press, darunter die Reihe »The Design Guides« (2006–2012), und das Audio Design Museum (2010/2011). Regelmäßig unterrichtet sie Workshops und Seminare zum Thema Kuratieren, besonders im Hinblick auf soziale und ökologische Nachhaltigkeit in Kunst und Design. Von 2020 bis 2022 war sie Gastprofessorin an der Staatlichen Hochschule für Gestaltung Karlsruhe. Zuletzt kuratierte Viviane die Wanderausstellung "Garden Futures - Designing with Nature", eine Koproduktion mit Het Nieuwe Instituut, Rotterdam. Die Ausstellung läuft im Vitra Design Museum in Weil am Rhein bis zum 3. Oktober 2023. Auf ihrer internationalen Tournee reist sie unter anderem in das Design Museum Helsinki und das V&A Dundee in Schottland. Weitere Projekte sind die Ausstellung „Here We Are - Women in Design 1900 – Today“, die ab 4. Oktober 2023 im Design Museum Barcelona zu sehen sein wird, sowie zahlreiche Ausstellung mit zeitgenössischen KünstlerInnen und DesignerInnen in der Vitra Design Museum Gallery. Links zu Viviane Stappmanns und der Ausstellung Garden Futures: Die Kooperationspartner der Ausstellung Garden Futures: www.design-museum.de https://nieuweinstituut.nl/en Den Katalog ansehen (und bestellen) kann man hier: https://shop.design-museum.de/en/products/garden-futures-designing-with-nature Ein Essay zum „Planetary Garden“ von Gilles Clément. https://www.architectural-review.com/essays/in-practice/in-practice-gilles-clement-on-the-planetary-garden Ein toller Film zur Arbeit des äthiopischen „Forest Conservationsists Dr. Dr. Alemayehu Wassiehttps://emergencemagazine.org/feature/the-church-forests-of-ethiopia/ Der Tokachi Millenium Forest. https://danpearsonstudio.com/tokachi-millennium-forest/ Literaturempfehlungen von Viviane Stappmanns: CLĖMENT, Gilles (2010): Manifest der Dritten Landschaft. Merve Verlag: Berlin [frz. Original: Manifeste du Tiers paysage, Sujet-objet ed., Paris 2004] MCHARG, Ian (1969): Design with Nature. New York: Natural History Press OLONETZKY, Nadine (2017): Inspirationen. Eine Zeitreise durch die Gartengeschichte. Basel: Birkhäuser STUART-SMITH, Sue (2020): The Well-Gardened Mind – The Restorative Power of Nature. New York: Scribner WALL KIMMERER, Robin (2013): Braiding Sweetgrass: Indigenous Wisdom, Scientific Knowledge, and the Teachings of Plants. Minneapolis: Milkweek Editions 155 full no Deutscher Designer Club
Séductrices, épineuses ou carnivores: orchidées roses ou mandragores ont souvent le beau rôle au cinéma. Des polars à la science-fiction, que nous racontent ces belles plantes ? Pourquoi les fleurs sauvages et vagabondes ont-elles mauvaise réputation ? Jusqu'où nous poussent les plantes ? Portons un autre regard sur les plantes vertes ou à fleurs, avec ou sans épines, exotiques ou familières qu'on les trouve fraîches comme une rose ou qu'on les appelle mauvaises herbes... Sans elles, sans toutes ces vagabondes, point de vivant sur terre : et si c'était elles les vraies stars de la planète ? Et si c'étaient elles qui nous cultivaient, au moins autant que nous les cultivons ?Avec- Le jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain Gilles Clément pour son livre Éloge des vagabondes, herbes, arbres et fleurs à la conquête du monde paru chez Robert Laffont. - Katia Astafieff, biologiste de formation, directrice adjointe des Jardins Botaniques du Grand Nancy et de l'Université de Lorraine pour Les plantes font leur cinéma, paru chez Dunod.
Alors que les bienfaits du jardinage sur la santé ne sont plus à démontrer, célébrons le printemps avec Gilles Clément, ingénieur agronome, jardinier paysagiste, botaniste, entomologiste, créateur du concept du « jardin en mouvement ».Cet auteur de nombreux ouvrages, dont Éloge des vagabondes - Herbes, arbres et fleurs à la conquête du monde aux éditions Robert Laffont, évoque pour nous les plantes « vagabondes ». Appelées mauvaises herbes ou fleurs sauvages, elles sont trop souvent bannies des cultures. Gilles Clément, lui, défend ces plantes venues d'ailleurs, comme la rhubarbe du Tibet, le pavot de Californie, l'armoise de Sibérie ou la grande berce du Caucase, mais aussi le fenouil ou le cocotier…Une question, un commentaire? Ecrivez-nous à audio@20minutes.fr
In French in this CDA S3#1 (Monday online), "The landscape in perspective", an interview of Nicolas Deshais-Fernandez, landscaper and botanist, founder and president of Atelier NDF - In English in CDA S3#2 (Wednesday online), "Mutation of Fréfossé Domain, France ", the place of Arsène Lupin's enigma by Atelier NDF.En français dans le CDA S3#1 (lundi en ligne), "Le paysage en perspective", une interview de Nicolas Deshais-Fernandez, paysagiste et botaniste, fondateur et dirigeant de l'Atelier NDF – En anglais dans CDA S3#2 (Mercredi en ligne), "La mue du domaine de Fréfossé ", le lieu de l'énigme d'Arsène Lupin par l'Atelier NDF.___Nicolas Deshais-Fernandez est Paysagiste Concepteur DPLG et Botaniste. Après avoir collaboré avec le ‘grand' Gilles Clément et Coloco, il crée son propre atelier, l'Atelier NDF, en 2017. Durant ses quatre premières années d'existence, l'atelier se distingue sur des appels à projets emblématiques.Nous sommes heureux de lancer notre Saison 3 sur le sujet du paysage avec Nicolas Deshais-Fernandez, paysagiste représentant la nouvelle génération, à l'heure de la publication du nouveau rapport du GIEC. C'est la première fois que nous consacrons un épisode entier au paysage, il était temps ! Dans ce Com d'Archi S3#1, Nicolas Deshais-Fernandez parle de ses études et le début de sa carrière comme il est d'usage dans notre programme, puis en évoquant le travail de son Atelier, ses projets, il nous reconnecte véritablement avec nos racines, celles du monde végétal qu'il met avec talent en vibration avec l'architecture.Portrait teaser © Nicolas Deshais-FernandezIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est que le début: Sergio Ermotti, le retour // Les boîtes à trésor qui rendent accro dans les jeux vidéo // "Lootboxes": Les précisions de Gilles Clémençon // Recherche désespérément vétérinaire de campagne
durée : 02:29:28 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Olga et Sasha Kurovska, deux soeurs ukrainiennes, l'une à Paris et l'autre à Kyiv, sont les invitées du 7h50 pour leur journal de guerre. Olivier Véran, porte parole du gouvernement, est l'invité du 8h20. Gilles Clément, paysagiste publiant "Eloge des vagabondes" (R. Laffont) est l'invité du 9h10.
Subscribe Apple | Google | Spotify | Stitcher | iHeart Support The Daily Gardener Buy Me A Coffee Connect for FREE! The Friday Newsletter | Daily Gardener Community Historical Events Today is Garlic Lovers Day Garlic, or stinking rose, is a member of the lily family. Onions, leeks, and shallots are also in the family. All alliums are reactive to the amount of daylight they receive, so a great way to think about the garlic life cycle is that it matures during the longest days in the summer. This is why Autumn is garlic-planting time in most areas, and many gardeners wait until after the fall equinox in the back half of September. (This year's autumnal equinox is Thursday, September 22, 2022). By planting garlic in the fall, your garlic gets a headstart on the growing season, which means that when spring arrives, your little garlic shoots will be one of the first plants to greet you in the April rain. Garlic has antibiotic properties and helps reduce blood pressure and cholesterol. Herbalists recommend garlic as a remedy for colds. And Gilroy, California, is known as the World's Garlic Capital. Most of us know and love garlic as a culinary staple - a must-have ingredient for most savory dishes. Alice May Brock, American artist, author, and former restaurateur, once wrote, Tomatoes and oregano make it Italian; wine and tarragon make it French. Sour cream makes it Russian; lemon and cinnamon make it Greek. Soy sauce makes it Chinese; garlic makes it good. And Anthony Bourdain, in Kitchen Confidential: Adventures in the Culinary Underbelly, wrote: Garlic is divine. Few food items can taste so many distinct ways, handled correctly. Misuse of garlic is a crime...Please, treat your garlic with respect...Avoid at all costs that vile spew you see rotting in oil in screwtop jars. Too lazy to peel fresh? You don't deserve to eat garlic. 1794 Birth of Charles Wilkins Short, American botanist and doctor. A Kentuckian, Charles wrote a flora of Kentucky in 1833. He had one of the largest, most valued private herbariums with 15,000 plant samples, and his massive garden covered several acres. Charles was honored in the naming of many plants, including the Oconee bell named the Shortia galacifolia. The location of the plant became a mystery during the 1800s. In 1863, Charles Short died, and at the time, the Shortia plant still could not be found. But finally, in May of 1877, a North Carolina teenager named George Hyams sent an unknown specimen to Harvard's top plant expert, the knowledgeable Asa Gray, who could be heard crying 'Eureka' when he finally saw the Shortia specimen. Two years later, Asa and his wife, along with his dear friend, the botanist John Redfield, the director of the Arnold Arboretum Charles Sprague Sargent, and the botanist William Canby got to see the Shortia in the wild in the spot where George Hyams knew it was growing. The scientists all stood around the little patch of earth where the Shortia grew in oblivion, and the long search to find the Shortia, named for Charles Wilkins Short, was over. 1799 Death of the English botanist geologist, physician, and chemist William Withering. William was a doctor and the first person to study Digitalis - most commonly known as Foxglove. The story goes that one day, he noticed a person suffering from what was then called dropsy, an old word for a person suffering from congestive heart failure. William observed that the patient in question showed remarkable improvement after taking an herbal remedy that included Digitalis or Foxglove. Today William gets the credit for discovering the power of Digitalis because after he studied the various ingredients of this remedy, he determined that Digitalis was the key ingredient to addressing heart issues. In 1785, William published his famous work, An Account of the Foxglove and Some of its Medical Uses. Foxgloves are a beautiful plant often seen in ornamental or cottage gardens. Foxgloves produce beautiful tall flower spikes, and each spike can contain 20 to 80 purple to pink tubular blossoms that are whitish on the inside. Foxgloves are toxic, and eating any part of the plant can result in severe poisoning. And this is important to know because when Foxglove first emerges from the ground, it can be confused for Comfrey or Plantain. Since both of those plants are used as edible plants by many people - it's important to distinguish them and remember where you're planting Foxglove in your garden. Foxglove is actually in the Plantain family. Before flowering, Foxglove can also be confused with Great mullein (Verbascum thapsus). In addition to the Foxglove common name, Digitalis has many adorable common names, including Fairy Fingers, Fairy Thimbles, Rabbits Flower, and Scotch Mercury. And there are many delightful stories about the Foxglove. One foxglove origin story says that fairies gave blossoms to a Fox who needed to put the flowers on his toes to muffle the sound of his feet as he hunted for prey. This would account for the little markings inside the flowers. Another fun fact about the Foxglove is that it's a cousin to another beloved cottage garden flower: the Snapdragon or Antirrhinum majus ("ant-er-EYE-num MAY-jus"). The toxicity of the Foxglove is a common concern. But, the gardener and garden writer, Katharine S. White, still enjoyed them in her gardens. She wrote, At a very early age, I remember, I was to recognize what plants are to be avoided completely. At a very early age, I remember I was taught how to recognize and stay away from deadly nightshade, poison ivy, and poison sumac. (I was, just as early, taught the delights of chewing tender young checkerberry leaves and sassafras root.) To me, it would be ridiculous, though, not to grow monkshood, foxglove, hellebore, larkspur, autumn crocus, poppies, lilies of the valley, buttercups, and many other flowers now present in my borders just because they have some poison in them. So Foxglove is in good company when it comes to toxic plants. And when the botanical illustrator Walter Crane painted the Foxglove, he did not draw it alone - he drew a Foxglove family. Walter loved personifying flowers, and of his Foxgloves, he wrote, The Foxgloves are a happy group, comprised of cousins and brothers and sisters. Finally, the English author and poet Meta Orred wrote a sweet little verse called In Memoriam - a poem for a deceased friend - that included the Foxglove. Meta wrote, Her lips, like foxgloves pink and pale, Went sighing like an autumn gale; Yet, when the sunlight passèd by, They opened out with half a sigh.. Her eyelids fell, and not in vain- The stars had found their heav'n again; The days come round, the days go by- They see no more earth's agony. So lay her back to take her rest, ' Our darling,' for we loved her best Her small hands crossed upon her breast, Her quiet feet unto the west. 1858 Birth of Jean-André Soulié ("Jahn-Ahn-Dray Soo-lee-aye"), French Roman Catholic missionary herbalist, healer, and botanist. Like many of the first plant collectors, Jean-André was a Catholic missionary working for the Paris Foreign Missions - an organization that sent millions of plant and animal specimens back to the National Museum of Natural History in Paris for scientific study. Jean-André alone collected over seven thousand specimens of dried plants and seeds during his twenty years in Asia, where he had become so fluent in the different Chinese dialects that he could pass as a local. Plant collecting in China was a dangerous task. Collectors encountered not only tricky terrain but also political upheaval. The Opium Wars and the ongoing dispute with Tibet increased distrust and hostility toward foreigners. In 1905, in retaliation for an invasion of Tibet by a British explorer named Francis Younghusband, Jean-André was a victim of the "lama revolt" and was abducted by Tibetan monks. He was kidnapped in the field while packing his plant specimens. Jean-André was tortured for over two weeks before finally being shot dead by his captors. The church Jean-André helped to build was destroyed during the revolution. However, it was rebuilt in a new location and still stands today - in a community where Catholics and Tibetan Buddhists live peacefully. Jean-André Soulié is remembered for discovering the Rosa soulieana and the butterfly bush (Buddleja davidii). He also has a Rhododendron, a Lily, and Primula named in his honor. 1860 Birth of Rosamund Marriott Watson, English poet, nature writer, and critic. Known as Rose to her family and friends, Rosamund wrote under the pseudonyms Graham R. Tomson and Rushworth (or R.) Armytage. Rosamund was a prolific gardener and garden writer. Her writings were put together and published in The Heart of a Garden (1906) which began with this verse from one of her original poems: I dreamed the peach-trees blossomed once again, dreamed the birds were calling in the dew, Sun-rays fell round me like a golden rain, And all was well with us and life was new. The Heart of a Garden was organized by seasons. In the early fall chapter called The Breath of Autumn, Rosamund wrote, But one should not SO much as breathe the name of frost as yet; it is in a sense a tempting of Providence, and late summer has many good days in store for us still. The swallows skim, now low, now high, above the rose garden, the sun-dial has daily but a few less shining hours to number, bats flit busily in the dim blue dusk, and roses are in bloom. It is far too early even to dream of frost. Grow That Garden Library™ Book Recommendation Creating a Garden Retreat by Virginia Johnson 0914 This book came out in 2022, and the subtitle is An Artist's Guide to Planting an Outdoor Sanctuary. And I want you to key in on that word artist because Virginia is an artist, and here's what Workman, the publisher, wrote about Virginia's book: Through ethereal illustrations, textile designer and artist Virginia Johnson takes the reader on her own garden journey, from blank slate to dreamscape. Over the years, she has transformed a small, narrow city lot into a garden that is personal, carefree, wild, and welcoming. It all began with a fence to allow her children to play freely... [Virginia] explains her process with ease and clarity, bringing her ideas to life through words and illustrations so that readers can be encouraged and empowered to start their own garden journeys. This book is organized into clear chapters: trees and shrubs, vines, flowers, seasons, edibles, and more. What I like best about this book is that it feels like I am reading Virginia's garden journal. It's so friendly. From the handwriting font to the beautiful sketches, this is truly an artist putting together a garden book. And so, the art in this book - the watercolors - is just gorgeous. They're breezy. They're casual. And they accompany every single page and they make this book such a joy to read. The other thing that I love about what Virginia did with this book is she personalizes everything. She doesn't just talk about a plant. She talks about the plant and her family, and her life. Let me give you an example. Here, she's talking about her trees and shrubs, and she has this little section on Magnolia with beautiful watercolors of Magnolia. I think these are the prettiest trees on the planet, but would they be too big for my garden? The classic saucer magnolia grows to 30 feet high and wide, but the magnolias in the US National Arboretum's "girls" series grow only 15 feet high. It being mid-May, they were in flower and quite irresistible. I love the teacup shape of their blossoms. I love their architectural profile, too: multistemmed, with graceful, outreaching branches. chose the deep-magenta-blooming 'Ann' to remind me of my grandmother. See what I mean? Virginia's talking about the Magnolia; she shares this great tip about the smaller, more compact Magnolias available. And then, she personalized the Magnolia by telling us which one she picked and her emotional connection to that plant. Another aspect that I like about Virginia's book is that you can tell that she is cultured - that she has done some living. She's a traveler, a reader, and yes, she is a romantic. (You can tell by the flowers she picks for her garden). I wanted to share another little snippet, and this one is from a little section where she talks about vines. Vines have always had romantic associations for me. Trailing vines, climbing vines: the words themselves are lyrical and promise not just growth but a plant that wants to wriggle away like a child, to explore and attempt daring feats, scaling walls and structures and houses all while showing off. Trail, trail went Mrs. Wilcox's dresses through the garden in E. M. Forster's novel Howards End. Trailing vines are their own kind of loveliness, less about exploring than falling gracefully over the side of an urn or doorframe. And they're so fun to paint; you have to get the feeling of them,get inside them, capture their abundance and movement. Virginia is also practical and thrifty, and that's a beautiful counterpoint to her artistic and evocative side. Virginia shares: As a beginner gardener and a pragmatist, I spend my energy on perennial plants, not annuals. Who wants to plant a bunch of things that won't come up again next year? Of course, I do buy a few annuals, but only for pots. I know that they will look pretty and add color and that at the end of the year, they'll have completed their lives. But because I wanted a garden that would come up by itself, without my having to replant every spring, I researched mainly perennials. I also wanted blooms staggered throughout the growing season, so I took into account what was already in place: pear blossoms and lilacs in May, climbing hydrangeas in July and August. The peonies and roses would flower in June, but at different times, while the hollyhocks would peak in July and August. It would all be a leap of faith. Well, leap, she did. Virginia is one of us. She is a gardener through and through. This book contains many wonderful relatable moments and delightful little snippets that make you laugh, smile, and nod in agreement. I want to share one final little excerpt. And this is where she's talking about dining Alfresco. And I thought this was great because, hopefully, we will have a few more opportunities to eat outside with family and friends before fall gives away winter. Here's Virginia Johnson on dining Alfresco. On a vacation in Greece, during a long drive through the mountains, our kids were ravenous, but the nearest village was closed for afternoon siesta. Where to eat? My husband approached a taverna, explaining our situation in halting Greek. The cook fired up the stove and soon emerged with a steaming frittata, which my picky kids gobbled up. Ever since then, the frittata has become a family staple. Eggs, potatoes, salt, and a sprinkling of rosemary from our garden: that's it. We re-create the memorable meal and enjoy it in our own backyard, wearing our straw hats and imagining we're back in that Greek village. Well, this book is 192 pages of beautiful memories like that, and it's all built around the garden and being a gardener. You can get a copy of Creating a Garden Retreat by Virginia Johnson and support the show using the Amazon link in today's show notes for around $14. Botanic Spark 1943 Birth of Gilles Clément ("Jeel Clee-mon"), French gardener, agronomist, garden designer, botanist, entomologist, and writer. Gilles started experimenting in his garden at La Vallée ("La Val-lay"). There Gilles lives in a simple hut home that he built using native materials sourced on the property. During his long career, Gilles devised many landscaping concepts, including the garden movement (Jardin en Mouvement), the global garden (Jardin planétaire), and the third landscape (tiers paysage). To Gilles, the term garden movement was inspired by the physical movement of plants in the garden. For example, in the garden, a gardener must decide whether to allow the plants to spread or to control them. The global garden reflects that gardens are inextricably part of life on the planet, and they are confined by the limits of their environment. Today, garden environments are experiencing radical changes as the earth confronts climate change. As the earth goes, so go our gardens. While many gardeners still think of gardens as enclosed spaces - often fenced off from their surroundings, Gilles says that, The "planetary garden" is a means of considering ecology as the integration of humanity - the gardeners - into its smallest spaces. Ecology itself destroys the notion of the 'enclosed' garden. Birds, ants, and mushrooms recognize no boundaries between territory that is policed and space that is wild. Ecology's primary concern is nature in its entirety, and not the garden in particular. The enclosure was always an illusion; a garden is bound to be a planetary index. Finally, Gilles's concept of a third landscape borrows its name from an Abbé Sieyès term - the "third estate," - a term coined during the French Revolution to identify people who weren't part of nobility or clergy. To Gilles, the third landscape represents the low places, the ordinary places - everyday places that are forgotten, derided, ignored, or abandoned by man. These misfits or orphaned areas lie outside agroforestry or land management. Third Landscapes are made up of edges and odd-shaped parcels. They can be abandoned sites or neglected spaces along the margins of daily life - think of highway shoulders, riverbanks, fallow areas, wastelands, etc. Gilles sees the third landscape as unembraced treasure - offering unique biological riches and limitless potential for reinvention. As for the garden, Gilles once wrote, [A garden] is territory where everything is intermingled: flowers, fruit, vegetables. I define the garden as the only territory where man and nature meet, in which dreaming is allowed. It is in this space that man can be in a utopia that is the happiness of his dreams. Thanks for listening to The Daily Gardener And remember: For a happy, healthy life, garden every day.
Est-ce vraiment pertinent de planter des oliviers à Lille ? Que signifie être au service de la nature lorsque l'on conçoit un jardin ? Dans la continuité de la pensée de Gilles Clément, Nicolas Deshais-Fernandez, fondateur de l'Atelier NDF, s'inscrit dans cette nouvelle génération de paysagiste qui croit au jardin naturaliste et qui met en lumière une nouvelle palette végétale, spontanée, sauvage, libre, frugale, fertile et locale. Penser un jardin cela doit être tout autre chose que concevoir une palette végétale horticole grandement standardisée aujourd'hui. Retrouver l'histoire d'un territoire dans un jardin, comme meilleur moyen de découvrir la beauté de la nature. Une discussion à bâtons rompus pour comprendre tout ce qui se trâme dès qu'il est question du sort d'un arbre dans un projet d'architecture !
“Graines, l'exposition !“Petit précipité subjectif d'une histoire des grainesau Centquatre, Parisdu 18 juin au 4 septembre 2022Interview de Thierry Ardouin,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 juin 2022, durée 25'48.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat : Direction artistique : José-Manuel Gonçalvès et Nathalie Chapuis (Atelier EXB)Conseil scientifique : Gilles Clément et Emmanuelle BoufféAvec Thierry Ardouin, Duy Anh Nhan Duc, Fabrice Hyber, Jade TangSauvages ou cultivées, merveilles de forme et de couleur, les graines possèdent une morphologie à la fois nécessaire et bizarre qui suscite étonnement et contemplation. Symboles de vie, de croissance, de diversité, de culture aussi, les graines racontent la grande histoire des hommes.Semences d'arbres, de céréales, de fleurs, de fruits et de légumes circulent à travers le monde, sont acclimatées, accueillies d'un territoire à l'autre : les graines questionnent notre aptitude à imaginer demain.C'est l'histoire de ces « grandes voyageuses » qui est au coeur de l'exposition Graines, à travers des oeuvres photographiques et plastiques, mais aussi des vitrines qui permettent au public de découvrir des graines issues notamment des collections du Muséum national d'Histoire naturelle.Mêlant les dimensions artistique, pédagogique et écologique, cette exposition rassemble des oeuvres de Thierry Ardouin, Duy Anh Nhan Duc, Fabrice Hyber et Jade Tang.L'exposition :José-Manuel Gonçalvès, directeur du CENTQUATRE-PARIS, et Nathalie Chapuis, éditrice de l'Atelier EXB, ont conçu une exposition qui s'empare des questions autour du vivant et s'inscrit dans les problématiques écologiques actuelles. De la domestication à la commercialisation, les graines parlent de l'évolution de nos pratiques tant sociales que culturelles. Elles racontent la grande histoire des hommes : leur diffusion, acclimatation, réglementation font écho à la mondialisation, croissance des productions et acculturations de nos sociétés. L'histoire de ces «grandes voyageuses» est au coeur de cette exposition qui mêle dimensions artistiques, pédagogiques et écologiques. Graines, l'exposition ! rassemble des oeuvres inédites des artistes suivants :. Thierry Ardouin présente des portraits de graines issues notamment des collections Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Comment amener les jeunes scolarisés dans des établissements Réseaux d'éducation prioritaire à côtoyer le monde de la culture et de la création ? Depuis 11 ans, le Paris Mozart orchestra, créé par la cheffe d'orchestre Claire Gibault, vient à eux à travers le programme Orchestre au bahut. Après plusieurs ateliers au cours de l'année scolaire, la présence de l'orchestre au sein du collège signe l'aboutissement d'un long processus, où l'exigence, la curiosité et la joie des enfants sont autant de terreaux fertiles à la création. Rencontre, au collège Marais de Villiers de Montreuil, avec Claire Gibault, cheffe d'orchestre, fondatrice du Paris Mozart Orchestra et du concours international de cheffes d'orchestre La Maestra, en présence d'Alexandra Grimal, musicienne et compositrice du mélologue Un jardin en mouvement inspiré du livre éponyme de Gilles Clément, de Jairo Coronado Vargas, professeur de musique, du contrebassiste Stanislas Kuchinski, sans oublier les élèves de la classe de cinquième May-Britt Moser, du nom de la neuroscientifique norvégienne. Cet épisode est écrit et présenté par Léa Minod et réalisé par Guillaume Girault. Un podcast de la Fondation Daniel et Nina Carasso, produit par wave.audio. Production exécutive : Isabelle Duriez.
1.Pour sa saison 2021, consacrée au Chaos, la Société libre d'Émulation et sa section architecture ont organisé des conférences/rencontres avec diverses personnalités. Le thème du chaos a réuni la pratique de la philosophe Vinciane Despret et du paysagiste Gilles Clément. Un joyeux chaos, car il s'agit d'un chaos créateur. En lien avec Gaïa, bien entendu, mais aussi avec ses habitants : insectes, animaux et humains. Une proposition de Christine Van Acker. 2. Fabrice Kada a visité le centre aquatique de Marcinelle en compagnie de l'architecte Julien Dailly (Reservoir A). Le projet a remporté le Grand Prix d'Architecture de Wallonie dans la catégorie "Ouvrage d'art ou espace architecturé". 3.Le CIVA présente jusqu'au 27 mars le travail intrigant et exigeant d'un architecte trop méconnu : Lode Janssens. L'exposition est centrée sur la ‘maison ballon' qu'il a construite et expérimentée à Humbeek, entre 1973 et 1982. Une tentative éphémère et sans concession d'harmonisation avec la nature. Et si l'architecture pouvait nous aider à répondre à la question : qu'est-ce que cela veut dire Vivre ? interroge Yves Robic. Avec le soutien de la Cellule Architecture de la FWB
1.Pour sa saison 2021, consacrée au Chaos, la Société libre d'Émulation et sa section architecture ont organisé des conférences/rencontres avec diverses personnalités. Le thème du chaos a réuni la pratique de la philosophe Vinciane Despret et du paysagiste Gilles Clément. Un joyeux chaos, car il s'agit d'un chaos créateur. En lien avec Gaïa, bien entendu, mais aussi avec ses habitants : insectes, animaux et humains. Une proposition de Christine Van Acker. 2. Fabrice Kada a visité le centre aquatique de Marcinelle en compagnie de l'architecte Julien Dailly (Reservoir A). Le projet a remporté le Grand Prix d'Architecture de Wallonie dans la catégorie "Ouvrage d'art ou espace architecturé". 3.Le CIVA présente jusqu'au 27 mars le travail intrigant et exigeant d'un architecte trop méconnu : Lode Janssens. L'exposition est centrée sur la ‘maison ballon' qu'il a construite et expérimentée à Humbeek, entre 1973 et 1982. Une tentative éphémère et sans concession d'harmonisation avec la nature. Et si l'architecture pouvait nous aider à répondre à la question : qu'est-ce que cela veut dire Vivre ? interroge Yves Robic. Avec le soutien de la Cellule Architecture de la FWB
Amb el record molt present del mestre Oriol Bohigas, que ens va deixar el 30 de novembre passat, ens inspiren conceptes freq
Christian Vancau utilise des objets de rebuts qu'il manipule et surligne de peinture. Après une psychanalyse, et pendant 35 ans, la peinture permettra à cet homme qui se dit 'misanthrope', 'peau rouge qui refuse de suivre une file indienne', de survivre psychologiquement. La Fondation Vancau se donne pour mission de protéger des œuvres d'artistes menacées de disparition ou d'éparpillement et de constituer un centre de documentation sur l'art contemporain. Le thème du chaos a réuni la pratique de la philosophe Vinciane Despret et du paysagiste Gilles Clément. Un joyeux chaos, car il s'agit d'un chaos créateur. En lien avec Gaïa, bien entendu, mais aussi avec ses habitants : insectes, animaux et humains. Une rencontre proposée par La Société libre d'émulation et sa section architecture.
Est-ce vraiment pertinent de planter des oliviers à Lille ? Que signifie être au service de la nature lorsque l'on conçoit un jardin ? Dans la continuité de la pensée de Gilles Clément, Nicolas Deshais-Fernandez, fondateur de l'Atelier NDF, s'inscrit dans cette nouvelle génération de paysagiste qui croit au jardin naturaliste et qui met en lumière une nouvelle palette végétale, spontanée, sauvage, libre, frugale, fertile et locale. Penser un jardin cela doit être tout autre chose que concevoir une palette végétale horticole grandement standardisée aujourd'hui. Retrouver l'histoire d'un territoire dans un jardin, comme meilleur moyen de découvrir la beauté de la nature. Une discussion à bâtons rompus pour comprendre tout ce qui se trâme dès qu'il est question du sort d'un arbre dans un projet d'architecture !
En ce début de la saison 5 du podcast, j'ai voulu faire le point sur les dernières actualités forte en émotion, notamment faire un retour sur l'immense succès de l'exposition FRUGAL, présentée par l'Association pour un design soutenable, qui a accueilli plus de 17 000 personnes à l'Hôtel de Coulanges durant 11 jours. Ce succès a permis de réaliser à quel point, chacun dans nos domaines respectifs et à notre échelle, nous étions prêts à faire autrement afin de davantage respecter ce bien commun, notre planète ! Ce constat qui est plus qu'enthousiasmant aujourd'hui. Cet épisode est aussi l'occasion pour Hélène d'annoncer le lancement d'une nouvelle série de podcast qui sera diffusée une fois par mois : Où est le bon ? D'anciens invités qui ont d'ailleurs ouvert la voie à des discussions sur le bon : Gilles Clément, Damien Roger, Lucile Viaud, Francis Hallé... aujourd'hui Hélène souhaite mener ses échanges plus loin et aller rencontrer celles et ceux qui oeuvrent pour un monde "au goût meilleurs", comme ledit très justement la chef Nadia Sammut. Derrière le goût de notre assiette, il y a un terroir, un producteur, une philosophie agricole, une histoire. Les produits que nous mangeons, mais aussi les lieux où nous les achetons et où nous les cuisinons ont un effet direct sur le monde agricole, notre environnement et aussi notre bien être. Si nous avons vocation à manger beaucoup mieux demain qu'aujourd'hui, à quoi cela va-t-il ressembler ? c'est ce que nous découvrirons avec ces invités !
durée : 01:48:00 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Jardiner pour lui n'est pas dominer, imposer son pouvoir, c'est l'inverse. C'est composer avec le vivant, c'est aller dans le sens des énergies en place, surtout pas contre.
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Jacques Munier - Réalisation Doria Zénine - réalisation : Virginie Mourthé
In French in this CDA S3#1 (Monday online), "The landscape in perspective", an interview of Nicolas Deshais-Fernandez, landscaper and botanist, founder and president of Atelier NDF - In English in CDA S3#2 (Wednesday online), "Mutation of Fréfossé Domain, France ", the place of Arsène Lupin's enigma by Atelier NDF.En français dans le CDA S3#1 (lundi en ligne), "Le paysage en perspective", une interview de Nicolas Deshais-Fernandez, paysagiste et botaniste, fondateur et dirigeant de l'Atelier NDF – En anglais dans CDA S3#2 (Mercredi en ligne), "La mue du domaine de Fréfossé ", le lieu de l'énigme d'Arsène Lupin par l'Atelier NDF.___Nicolas Deshais-Fernandez est Paysagiste Concepteur DPLG et Botaniste. Après avoir collaboré avec le ‘grand' Gilles Clément et Coloco, il crée son propre atelier, l'Atelier NDF, en 2017. Durant ses quatre premières années d'existence, l'atelier se distingue sur des appels à projets emblématiques.Nous sommes heureux de lancer notre Saison 3 sur le sujet du paysage avec Nicolas Deshais-Fernandez, paysagiste représentant la nouvelle génération, à l'heure de la publication du nouveau rapport du GIEC. C'est la première fois que nous consacrons un épisode entier au paysage, il était temps ! Dans ce Com d'Archi S3#1, Nicolas Deshais-Fernandez parle de ses études et le début de sa carrière comme il est d'usage dans notre programme, puis en évoquant le travail de son Atelier, ses projets, il nous reconnecte véritablement avec nos racines, celles du monde végétal qu'il met avec talent, en vibration avec l'architecture.Portrait teaser © Nicolas Deshais-FernandezIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans le Var, au pied du massif des Maures, et face aux îles d'Hyères, le Domaine du Rayol est un espace naturel protégé, propriété du Conservatoire du littoral. C'est là que Gilles Clément y a conçu "Le Jardin des Méditerranées", une invitation au voyage à travers les paysages méditerranéens du monde. Reportage de Valentina Mustafa, en compagnie du guide Lenny Basso.
What is the true task of the architect? In this episode we talk to Peter Lynch about what the role of architecture really is. Can we create spaces that are more hospitable to both humans and other living beings? How can we truly get to know places – and the mysteries hidden beneath them? What is architecture's hidden spiritual dimension, and what does it take to create spaces more beautiful than we could have imagined? Peter Lynch is an architect, and recently a guest professor at KTH School of Architecture in Stockholm. He has founded and directed architecture offices in New York, Detroit, Shenzhen, and Beijing, and has decades of experience of teaching architecture students in the United States and Sweden. Find him at https://buildingculture.se READING LIST & LINKS: Peter Lynch's website, with three lectures that touch on many of the topics of the episode: https://buildingculture.se/three-lectures-on-landscape/ A further description of Peter's Timescape Gardens project in Norrköping: https://buildingculture.se/timescape-garden/ Dancer Anna Asplind's website: annaasplind.se Giorgio Agamben, The Coming Community (1990) Gilles Clément (gardener/landscape designer), essays on his website http://www.gillesclement.com/index.php Christophe Girot, "Four Trace Concepts in Landscape Architecture" in James Corner ed., Recovering Landscape (1999) Francois Jullien, Living Off Landscape (2014) Stanislaus Fung, "Movement and Stillness in Ming Writings on Gardens" in Michel Conan, ed., Landscape Design and the Experience of Motion (2003) Martin Buber, Between Man and Man (1947) Find more information and all episodes at: forestofthought.com Support us on Patreon: patreon.com/forestofthought Share and subscribe. We're available on most podcast apps, including: Spotify: https://open.spotify.com/show/2ue3XA6IQQLC05FQMINuy1 Apple Podcasts: https://podcasts.apple.com/…/podcast/forest-of…/id1508610729 Links to all platforms: https://anchor.fm/forestofthought Our theme music is by Christian Holtsteen at stoneproduction.no. Keywords: philosophy, ideas, Peter Lynch, architecture, Giorgio Agamben, landscapes, singularity, landscape architecture, Japanese gardens
Cette semaine dans La Grande Librairie, contes et utopies enchantent la langue française avec deux romanciers, mais aussi un jardinier paysagiste et un rappeur ! Les invités de François Busnel : Daniel Pennac jongle avec l'autobiographie (en donnant la parole à son frère décédé) et l'éloge de la littérature (en donnant vie à Bartleby le scribe d'Herman Melville) dans une pièce de théâtre inédite, Bartleby mon frère (Gallimard) ; Susie Morgenstern déroule le fil de son existence, l'histoire d'une petite fille juive née dans la même ville que Philip Roth et Paul Auster, et qui s'imposera grâce à la langue française comme une star de la littérature jeunesse : Mes 18 exils (L'Iconoclaste) ; Gilles Clément imagine dans un conte drôle et poétique un édifice en perpétuelle transformation, une oeuvre changeante au gré des saisons. Notre-Dame-des-Plantes (Bayard) est une ode à la vie et à la nature ; Oxmo Puccino propose un conte, Les réveilleurs de soleil (Lattès / La Grenade) : quand une petite fille de 13 ans affronte l'urgence écologique ;
durée : 00:55:07 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - En juin 2019, dans le cadre de la première Biennale d’architecture et de paysage d’Ile-de-France, à la question d'une personne du public sur ce qu’il pensait du chantier de reconstruction de Notre-Dame, Gilles Clément répondit « Puisque la lumière est enfin entrée dans ce lieu, il n’y a qu’à en faire un jardin !"
Chaque semaine, Antoine Droux vous emmène dans les coulisses des rédactions web, radio et TV de l'actualité RTS. Il est question ce samedi de la couverture du procès Giroud par la RTS, alors que la RTS fait partie des plaignants. Un exercice délicat dont témoigne Gilles Clémençon, journaliste RTS qui a passé la semaine au Palais de justice à Genève.
Dans le cadre du cycle Visiteurs du soir, le Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ) de la BnF propose des rencontres avec des professionnels du livre et de l'enfance. Auteurs, illustrateurs, éditeurs ou chercheurs viennent présenter leurs projets et partager leurs expériences.Créés en 2006, les Éditions Cambourakis se sont dotées d’un domaine jeunesse en 2012. La maison devient éditeur associé au sein d’Actes Sud en 2013. La production éditoriale en littérature pour la jeunesse a la même diversité qu’en littérature générale, avec des albums coréens (de Han-Min Kim par exemple), suédois avec Eva Lindström, norvégiens avec ceux de Kenneth Steven ou encore italiens avec Annamaria Gozzi. En 2017, Un Grand jardin de Gilles Clément et Vincent Gravé reçoit le Bologna Ragazzi Award catégorie « Books & Seeds » à la Foire internationale du livre jeunesse de Bologne. A cette date débute une série de rééditions et traductions d’histoires inédites des Moomins, les personnages emblématiques de l’univers fictionnel créé par la grande artiste finlandaise Tove Jansson, qui constituent l’un des trésors du patrimoine de la littérature enfantine du XXe siècle.Marine Planche anime cette rencontre avec les Éditions Cambourakis. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Ospite di questo episodio di Life in the Garden è Marta Prosello, giardiniera, garden designer, laureata in Architettura del Paesaggio. Collaboratrice del marketplace Yougardener per il quale scrive articoli periodicamente. Trovate un suo progetto di terrazza nel numero di marzo di Gardenia da poco in edicola. Valeria Degliantoni legge un passo di Giacomo Leopardi, tratto dalle "Operette Morali" e uno di Gilles Clément tratto da "Piccola pedagogia dell'erba. Riflessioni sul giardino planetario", brani entrambi scelti direttamente da Marta. La trovate su Instagram @martaprosello e sul suo sito www.martaprosello.com. Buon ascolto! Condividete e commentate su Instagram @enricodella23 su Facebook alla pagina "Life in the Garden" e alla mia pagina "Enrico Della".
Invités en 2012 au Pavillon de l'Arsenal, Gilles Clément échange avec Pablo Georgieff, Nicolas Bonnenfant et Miguel Georgieff du collectif Coloco autour de la question de faire et (re)faire et de cultiver ensemble l'espace public. Gilles Clément, jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain, dont les nombreux écrits marquent le paysagisme français, fonde sa pensée sur l'observation de la nature en mouvement où les espèces et les gènes circulent. Coloco, collectif créé en 1999, réunit paysagistes, urbanistes, botanistes, jardiniers, artistes dans ce qu'ils définissent « un atelier des paysages contemporains ». Leur démarche est une « invitation à l'oeuvre », ils souhaitent que les paysages soient des milieux accueillants pour la diversité biologique et culturelle.
Emanuele Coccia invite Frédérique Aït-Touati, Alexandra Arènes & Axelle Grégoire Dans son dernier livre Emanuele Coccia décrivait le système de métamorphose perpétuelle dans lequel l'être humain s'inscrit. Dans la lignée de cette réflexion, et sous l'égide du beau titre de Jacques Tassin, Écologie du sensible, Emanuele Coccia invite des écrivains, penseurs, scientifiques, poètes, artistes qui ont fait de l'écriture un moyen de faire éclore des paysages du possible. Le pari de ces rencontres est que la nouvelle écologie devra partir d'une nouvelle manière d'écrire et de décrire le monde. Après une première séance « tutélaire », avec Gilles Clément et Jacques Tassin, Emanuele Coccia invite les autrices de Terra Forma, un livre-expérience dans lequel il est proposé de repenser la cartographie, en modifiant les points de vue et le vocabulaire traditionnel. Résultat d'une collaboration entre deux architectes dont la pratique se trouve à la croisée des questions de paysage et de stratégie territoriale et une historienne des sciences, il ouvre la voie à un nouvel imaginaire géographique et se faisant politique. À lire – Alexandra Arènes, Axelle Grégoire et Frédérique Aït-Touati, Terra Forma, éd. B42, 2019.
La riserva naturale Salina dei Monaci è un gioiello di archeologia industriale a sud di Taranto, questo luogo, ci racconta lo storico dell'arte Roberto Lacarbonara, è una sorta di specchio del manifesto del terzo paesaggio di Gilles Cl...
Rencontre avec Alain Damasio et Gilles ClémentUn nouveau cycle de rencontres explore les questions écologiques portées par la littérature, dans le prolongement du Prix du roman d’écologie décerné depuis 2018. Des écrivains et des philosophes y évoquent l’inspiration écologique et la littérature engagée, ou encore l’histoire des liens entre littérature et écologie, depuis la tradition américaine de la wilderness jusqu’aux écritures contemporaines.Catastrophes, machines folles, déflagrations nucléaires, robots… Comment aborder la science fiction à l’heure où l’on parle d’« effondrement »? Cette nouvelle rencontre s’intéresse aux questions écologiques dans la littérature de science fiction, laquelle explore volontiers les scénarios de destruction de l’humanité. Rencontre avec Alain Damasion et Gilles Clément, animée par Vincent Piveteau, enregistrée le 4 février 2021 à la BnF I François-Mitterrand Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Il était temps, dans Vieille Branche, de recevoir un jardinier ! Marie Misset a rencontré Gilles Clément dans son appartement-atelier en plein coeur de Paris, où le paysagiste fait escale lorsqu'il vient donner cours en Île-de-France.Evidemment, le jardin et la nature sont les thèmes centraux de cet épisode, car finalement, tout s'y relie : la politique, l'écologie, la résistance à un monde capitaliste, mais aussi l'amitié et la transmission.Ensemble, Gilles Clément et Marie Misset discutent de son enfance, de son jardin en Creuse, de ce que ses étudiants lui apportent et du "tiers-paysage", concept inventé par le jardinier, qui visibilise la nature sauvage, vierge ou redevenue vierge, qu'il faut défendre.Vieille Branche est une production de Nouvelles Écoutes, en partenariat avec Radio Nova.Animée par Marie Misset.Production et Réalisation : Marine RautMixage : Laurie Galligani
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Jacques Munier - Réalisation Doria Zénine - réalisation : Virginie Mourthé
« ÉCRIRE LE SENSIBLE, UNE ÉCOLOGIE » #1 Emanuele Coccia invite Jacques Tassin & Gilles Clément Dans son dernier livre Emanuele Coccia décrivait le système de métamorphose perpétuelle dans lequel l'être humain s'inscrit. Dans la lignée de cette réflexion, et sous l'égide du beau titre de Jacques Tassin, Écologie du sensible, Emanuele Coccia invite des écrivains, penseurs, scientifiques, poètes, artistes qui ont fait de l'écriture un moyen de faire éclore des paysages du possible. Le pari de ces rencontres est que la nouvelle écologie devra partir d'une nouvelle manière d'écrire et de décrire le monde. À lire – Emanuele Coccia, Métamorphoses, Rivages, 2020. Gilles Clément, L'Effaceur, éd. Sens & Tonka, 2020.
Dans ce nouveau format d’épisode hors-série, Jeane décrypte un thème à la recherche d’alternatives écolos ! Volontairement intitulée « Au secours ! Je ne suis pas écolo » cette rubrique se veut déculpabilisante et positive . Cette semaine, on s’intéresse aux obsèques. Liens utiles pour suivre l’épisode : Crémation vs inhumation : l'enquête de Novethic L'étude menée par Services funéraires : à télécharger en pdf Les conseils de Le Monde pour des funérailles écologiques : à lire ici Comment rester vert jusqu'au bout : l'article de Consoglobe Un ouvrage entièrement consacré au sujet et préfacé par Gilles Clément : l'acheter Cercueils écologiques : commercialisés en France La capsule inventée par deux italiens : Capsula Mundi Le procédé d'humusation : https://www.humusation.org/ Hors-série consacré au numérique : À écouter ici Soutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/twitter.com/BasilicPodcast?lang=frfacebook.com/Basilicpodcast/ Production : Jeane Clesse Musique : Benjamin Porraz Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à laisser plein d’étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m’aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs.
Con Simone, Carlo e Nicola in questa puntata abbiamo parlato di bellezza della natura, conoscenza del territorio, osservazione e vasi ------------------------------------- Se volete restare in contatto con noi potete farlo così... Federica Ramacciotti sito: www.federicaramacciotti.com instagram: federicaramacciotti.atelier Amari Lab instagram: amarilab_wooddesign ------------------------------------- I libri di cui abbiamo parlato sono Elogio delle vagabonde di Gilles Clément e Flora ferroviaria di Ernesto Schick, Fabio Pusterla e Graziano Papa(come sempre, non vi metto il link ma vi suggerisco di andare dal vostro libraio)
Bonjour à tous,Aujourd'hui, je vous emmène à Mouans Sartoux, dans les Alpes Maritimes, à la rencontre de Pierre Aschieri, le maire de la commune, qui va nous parler de la genèse du modèle Mouansois, des réalisations concrètes qui y ont vu le jour et des projets d'avenir qui y germent.Mouans-Sartoux, fait figure d'exception dans le paysage français, car elle fournit depuis 2012 des repas 100% bio et locaux à ses 3 écoles et à ses 3 crèches dont près de 90% des légumes sont issus de sa régie agricole municipale.Je me suis demandée comment cette commune de la Côte d'Azur, où la tension immobilière est très forte, est parvenue à cet objectif ambitieux d'autonomie alimentaire ?Mouans-Sartoux est devenue un haut lieu de la transition écologique, un point de rdv incontournable pour les acteurs de la transition avec ses engagements, ses réalisations concrètes et son festival du Livre qui rayonne à l'international.J'ai voulu découvrir l'esprit de ce lieu, les motivations qui sous tendent ces réalisations exemplaires pour les partager avec vous. Au cours de cette riche conversation, nous avons parlé d'autonomie alimentaire, de cantine bio, de la nécessaire transversalité de l‘écologie, de l'importance de la préservation des espaces naturels, du lien entre santé et alimentation, de famille zéro déchet, d'économie circulaire, de solidarité en temps de crise, et de l'importance de l'humilité face à la complexité de la Nature. Je vous souhaite une bonne écoute !
We discuss: The importance of time and space for artistic reflection and investigation, There artist residency program, How they choose there residency participants, How to write your residency application, Programs for families to be part of the residency, The evolution of the residency programs, The creation of flexible long term residencies, Changes to the residency in response to the covid-19 pandemic People + places mentioned: Camargo Core Program 2021-2022 - Webinar - https://youtu.be/hf25ZZERbwU Sustainable Arts Foundation - https://www.sustainableartsfoundation.org/residencygrantees/ Gilles Clément - http://www.gillesclement.com Carlyle Brown - https://carlylebrownandcompany.org/ Nicolas Floc'h - http://www.nicolasfloch.net/ https://www.camargofoundation.org/ Hosted by Matthew Dols http://www.matthewdols.com
We discuss: The importance of time and space for artistic reflection and investigation, There artist residency program, How they choose there residency participants, How to write your residency application, Programs for families to be part of the residency, The evolution of the residency programs, The creation of flexible long term residencies, Changes to the residency in response to the covid-19 pandemic People + places mentioned: Camargo Core Program 2021-2022 - Webinar - https://youtu.be/hf25ZZERbwU Sustainable Arts Foundation - https://www.sustainableartsfoundation.org/residencygrantees/ Gilles Clément - http://www.gillesclement.com Carlyle Brown - https://carlylebrownandcompany.org/ Nicolas Floc'h - http://www.nicolasfloch.net/ https://www.camargofoundation.org/ Hosted by Matthew Dols http://www.matthewdols.com
durée : 00:22:27 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l'auteur de bande-dessinée Simon Hureau pour " L' Oasis " paru aux éditions Dargaud - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Simon Hureau Auteur de bande-dessinée; Gilles Clément Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain
durée : 00:22:27 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec l'auteur de bande-dessinée Simon Hureau pour " L' Oasis " paru aux éditions Dargaud - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Simon Hureau Auteur de bande-dessinée; Gilles Clément Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain
Un épisode solo un peu différent pour vous parler de mon engagement pour la transition écologique et surtout du soutien à la nouvelle garde de designers « faiseur » qui ont une démarche respectueuse du vivant et des territoires, loin du greenwashing, à l’occasion de l’exposition Demain plus beau que je présenterai à l’espace Commines du 3 au 8 septembre prochain. Lorsqu'on y réfléchie, notre monde est remplie d’objets. Tout ce que l’on achète a été dessiné et pensé par des personnes. Aujourd’hui, qui sont ceux qui proposent des choses qui ont plus de sens ? Faire de beaux objets aujourd’hui qu’est ce que cela signifie ? Qu’est ce que ca implique ? Qu’est ce qui existe ? C’est exactement ce que vous découvrirez avec l’exposition ! Un sélection resserrée d’objets et de pièces réalisées par des designers qui sortent des sentiers battus, qui font bouger les lignes, qui ont l’esprit de pionniers, qui explorent, qui prennent des risques et surtout qui croisent les disciplines. Des designers qui questionnent autant la matière que la manière de produire, qui sont touchés par un design paysager, un design simple. Ils défendent l’utilisation de ressources locales et le retour à des circuits courts, davantage en lien avec les ateliers, les artisans, les filières traditionnelles et les savoir-faire. L’objectif de cette exposition est de changer notre regard et de montrer que c’est possible d’avoir des objets et du mobilier qui ont été réalisés dans cette quête de sens, qui ont des impacts limités pour notre planète mais qui sont beau.. et que le mobilier responsables, ce n’est pas que du mobilier en palette ou en bois flotté. Je ne vous en dis pas plus et vous souhaite une très bonne écoute ! Cet épisode a été réalisé grâce à la complicité de Plendi by Vinci Construction. >> Venez découvrir le #beau sur Instagram @ouestlebeau >> ici l’épisode de Francois Champsaur #54 >> ici l’épisode de Gilles Clément #59 >> Ici l’épisode de l'astronaute Jean-François Clervoy #65 >>ici le contact de Frédéric Imbert, designer et architecte d’intérieur, en charge de la scénographie de l’exposition @f_imbertstudio >>pour être informés de toutes les infos sur l’exposition, inscrivez vous à la #newsletter sur le site : www.ouestlebeau.com Pour me contacter : helene@ouestlebeau.com >> CREDITS Où est le beau ? est un Podcast créé et réalisé par Hélène Aguilar Edition et montage : Paco Del Rosso Identité graphique : Catherine Sofia
Dans cet épisode on va passer un moment au jardin, mais pas dans n'importe quel jardin ! Je vous emmène à la rencontre de Damien Roger, un jeune architecte paysagiste, passionné de botanique. Son travail a donné lieu à des projets de jardins, de parcs, de friches industrielles, de scénographies et même des projets d’expositions. Moi j’ai découvert son travail l’été dernier à la Design Parade de Toulon. Comme beaucoup de paysagiste, Damien a été très inspiré par Gilles Clément, que j’avais d’ailleurs reçu dans ce podcast, c’était l’épisode 59. Et dans notre discussion avec Damien on parle de ce qu’il tire aujourd’hui de tous ces enseignements et surtout de ce qu’il a appris en expérimentant dans son propre jardin. Il nous explique comment il travaille avec le vivant, en quoi ce métier est en fait à la frontière de très nombreuses disciplines On évoque aussi la question de la gestion des jardins et des projets auxquels il donne naissance. Imaginer un jardin c’est très particulier car ce n’est pas qqch de figé, le jardin évolue tous les jours, il faut l’accompagner et évoluer avec lui. Il nous explique en détail comment il fait tout ça et ce que lui ont appris ses différentes expériences. Je ne vous en dis pas plus, cet épisode est passionnant ! Cet épisode a été réalisé grâce à la complicité de Plendi by Vinci Construction. >> voir les photos sur mon compte Instagram @ouestlebeau >> compte instagram de Damien Roger >> site internet de l’agence de Damien Roger : http://paludes.org/ >> Inscrivez-vous à la NEWSLETTER pour recevoir le beau tous les vendredis dans votre boite mail Pour participer à la #newsletter, envoyez-moi vos travaux pour un DEMAIN PLUS BEAU par email helene@ouestlebeau.com >> CREDITS Où est le beau ? est un Podcast créé et réalisé par Hélène Aguilar Edition et montage : Paco Del Rosso Identité graphique : Catherine Sofia
durée : 00:58:50 - Profession philosophe (38/62) : Emanuele Coccia, philosophe de la métamorphose - Adolescent, Emanuele Coccia n'a pas appris le grec et le latin mais la botanique. Bouleversé par Nietzsche, il découvre la philo et un amour sans fin de la connaissance. Sous l'égide du philosophe Lamarck, il se passionne pour la métaphysique du mélange : toute forme de vie est un étrange bricolage. Première diffusion de cette émission le 30/08/2019, et première diffusion du Journal de la philo de Géraldine Mosna-Savoye, en fin d'émission, le 24/01/2020, à réécouter ici : * **Les Chemins de la philosophie du vendredi vous emmènent chaque semaine à la rencontre de ceux qui ont fait de la philosophie leur métier. ** La philosophie est-elle une vocation ? Comment viennent les idées ? Comment se fabrique un concept ? À quoi ressemble l'atelier du philosophe ? Et quel rôle le philosophe doit-il jouer dans la cité ? L'invité du jour : Emanuele Coccia, philosophe, maître de conférences à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) Espèces en métamorphose Jean-Baptiste Lamarck est l'un des premiers à avoir pensé la vie des espèces comme une vie qui passe de forme à forme, toute espèce est capable de se métamorphoser. Ce qui est beau chez Lamarck et le différencie de Darwin c'est qu'il y a une lecture morale de la transformation des espèces et des êtres. Toute forme animale est le résultat d'une volonté, d'un investissement moral, toute forme de vie serait la traduction physique et morphologique d'un ethos, ce qui fait de sa vision de la nature quelque chose d'extraordinaire. Darwin et Lamarck nous ont dit que toute espèce est un bricolage, des formes de vie en travaux qui ne correspondent pas à une substance. Aujourd'hui, on a tendance à rigidifier les espèces, on a oublié que toute espèce naturelle c'est un bricolage éphémère en perpétuelle métamorphose à partir de formes qui nous ont précédés. Emanuele Coccia La philosophie, la voie de la passion Ma mère, dans un acte de féminisme inconscient mais noble, a envoyé ma sour dans le lycée catholique privé local, où on apprenait le grec et le latin, mais elle désirait que mon frère jumeau et moi, nous apprenions un métier. Je me suis retrouvé dans un lycée agricole à la campagne où j'ai appris, au lieu du grec et du latin, la botanique, l'entomologie. Cette expérience a compté pour moi parce que je me suis toujours considéré comme quelqu'un qui n'appartenait pas à la communauté des savants, mais comme d'un autre côté j'ai appris plus tard le grec et le latin en autodidacte, mon rapport au savoir que je voulais vraiment acquérir est passé par un désir personnel. Emanuele Coccia Sons diffusés : Chanson du début d'émission : Irène Drésel, Veil Coup de fil à Gilles Clément, jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain Archive du philosophe Giorgio Agamben, émission À voix nue, France Culture, 14/01/1998 Chanson de Plastikman, Konception Extrait du film Quand je serai dictateur, de Yaël André, 2013 Extrait de journal TV sur l'Amazonie, LCI, 23/08/2019 Chanson de Robert Miles, Children
durée : 00:59:00 - Les Masterclasses - par : Arnaud Laporte - Le jardinier, paysagiste, botaniste, biologiste et écrivain Gilles Clément revient sur les principaux concepts résultant de ses recherches et des réalisations associées, tels que le "Jardin en Mouvement", le "Jardin planétaire" et le "Tiers-Paysage". - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Gilles Clément paysagiste
durée : 00:59:00 - Les Masterclasses - par : Arnaud Laporte - Le jardinier, paysagiste, botaniste, biologiste et écrivain Gilles Clément revient sur les principaux concepts résultant de ses recherches et des réalisations associées, tels que le "Jardin en Mouvement", le "Jardin planétaire" et le "Tiers-Paysage". - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Gilles Clément paysagiste
Vous savez que j’aime quand mes invités ne rentrent pas dans une seule case.. Cette semaine on ne pouvait pas faire mieux ! Je reçois Gilles Clément. Pour moi il est l’un des témoins éclairés de notre époque, de notre civilisation. Pour celles et ceux qui ne le connaîtraient pas encore, Gilles Clément a signé de très nombreux jardins en France - dont les jardins du musée du quai Branly à Paris ou encore l'espace naturel protégé du Domaine du Rayol et beaucoup d’autres jardins un peu partout dans le monde. Gilles Clément a également écrit de nombreux ouvrages sur les concepts qu'il a élaboré et qu’il définit d'ailleurs dans cet épisode, comme le jardin en mouvement, le tiers paysage et le jardin planétaire. Dans cette discussion, il nous explique pourquoi il faut faire davantage confiance à la nature et en quoi il est tant bénéfique de lui laisser le champ libre ! Il nous raconte ce qu’il a compris en observant la nature, son jardin. Gilles Clément nous parle également avec beaucoup de poésie du jardinage, qu’il voit presque comme une thérapie. Mettre les mains dans la terre, voir les plantes pousser, écouter le chant des jardins.. tous ces actes que nous avons un peu oublié et pourtant si positifs ! Il termine par nous donner une très belle définition du beau. Cet épisode a été enregistré à distance, j’espère qu’il raisonnera en vous et vous fera du bien. Inscrivez-vous à la NEWSLETTER pour recevoir le beau ainsi que les propositions du CHALLENGE de la "QUARANTAINE CREATIVE » dans votre boite mail PARTICIPEZ À L’APPEL DU BEAU : Ouvert à TOUT LE MONDE, passionnés, étudiants, autodidactes, artistes, designers, artisans d’art, céramistes, architectes, architectes d’intérieur, photographes, fleuristes, paysagistes, chefs.. n'hésitez pas !
Nouvelle monographie sur la sculpture de Christian Lapie, Les Métamorphes invite à penser le paysage, l’œuvre et l'activité humaine d'un seul tenant. L’ouvrage, richement illustré, revient sur la dimension planétaire de cette œuvre-monde, entre l’universalité d’un langage plastique et la vocation à susciter l’appréciation singulière des communautés et des individus. Telles que qualifiées par Patrick Chamoiseau, écrivain martiniquais auteur de Texaco( prix Goncourt 1992) ou de l’Eloge de la créolité, ces sculptures sont les «métamorphes» qui rassemblent et rappellent «les mémoires, toutes les mémoires». Gilles Clément, connu pour ses actions portant la responsabilité humaine comme acteur de la biodiversité, apporte également son éclairage personnel. Les textes et entretiens de Philippe Piguet, critique d’art et directeur artistique de la foire Drawing Now, de Dominique Truco, directrice artistique de la Biennale de Melle, ou encore Paul-Louis Rinuy, professeur d’histoire et de théorie de l’art contemporain à l’Université Paris 8, participent à l’exploration des multiples dimensions du travail mené par Christian Lapie. http://www.artabsolument.com/fr/product/index/detail/1666/Christian-Lapie-Les-Metamorphes.html Contributions de Christian Lapie, Patrick Chamoiseau, Gilles Clément, Julia Beauquel,Philippe Piguet, Paul-Louis Rinuy, Dominique Truco, Tom Laurent. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/self-sound/message
Durée : 7:02 - Elle fut pendant longtemps une carrière de granit, puis a accueilli une brasserie. Ces dernières décennies elle était devenue une véritable friche urbaine. La carrière Miséry a fait l'objet d'une profonde métamorphose pour devenir un "jardin extraordinaire" qui ouvre ses portes au public ce week-end. Un projet critiqué par le collectif PUMA. C'était un lieu qui leur était cher et qui leur a été comme volé. Du moins c'est le ressenti de ce groupement d'habitants de bas Chantenay. Habitués à la vie sauvage et clandestine de la carrière Miséry, ils déplorent un projet de réhabilitation sans concertation et qui a entraîné une destruction quasi-complète de ce que la nature avait créé au fil du temps. En effet, c'est le célèbre jardinier Gilles Clément lui-même qui avait qualifié cette carrière d'unique en Europe. Dans ce contexte, le collectif PUMA a écrit un livre à plusieurs mains, Carrière Miséry, destruction de la ville sauvage, publié en mai dernier aux éditions A la Criée.
Durée : 7:02 - Elle fut pendant longtemps une carrière de granit, puis a accueilli une brasserie. Ces dernières décennies elle était devenue une véritable friche urbaine. La carrière Miséry a fait l'objet d'une profonde métamorphose pour devenir un "jardin extraordinaire" qui ouvre ses portes au public ce week-end. Un projet critiqué par le collectif PUMA. C'était un lieu qui leur était cher et qui leur a été comme volé. Du moins c'est le ressenti de ce groupement d'habitants de bas Chantenay. Habitués à la vie sauvage et clandestine de la carrière Miséry, ils déplorent un projet de réhabilitation sans concertation et qui a entraîné une destruction quasi-complète de ce que la nature avait créé au fil du temps. En effet, c'est le célèbre jardinier Gilles Clément lui-même qui avait qualifié cette carrière d'unique en Europe. Dans ce contexte, le collectif PUMA a écrit un livre à plusieurs mains, Carrière Miséry, destruction de la ville sauvage, publié en mai dernier aux éditions A la Criée.
Deux heures et demi suffisent pour rejoindre la ville fortifiée depuis Barcelone. Son architecture médiévale mêlée à sa douceur de vivre, sans oublier le vin des vignobles de la Cité de Carcassonne, précise Gilles Clémente, directeur de l’office de tourisme de Carcassonne, en font une destination idéale. Interview par Joséphine Pelois.
Jean-Baptiste Vidalou a écrit “Etre forêts, habiter des territoires en lutte”, livre publié aux Editions de la Découverte. Mardi 13 novembre dernier, il était invité à rencontrer le public du Trianon Transatlantique à l’occasion du premier des trois Cafés Curieux de la Saison que j'ai le plaisir d'animer. Mais avant cette rencontre, la salle n'était qu'à nous deux, pour une conversation sur le thème des luttes territoriales, en 2050... Nous parlons donc de forêts, de la notion « d’habiter », de guerre, de conflit d’idées, de collapsologie, de réseaux et de leur fragilité, de destitution, des gilets jaunes aussi (d’ailleurs je précise que cet épisode a été enregistré le 13 novembre dernier. A l’époque, l’Acte 1 du mouvement des gilets jaunes n’était pas encore survenu), notre discussion évoque également des récits nouveaux à écrire, de faire sécession, d’être ingouvernables, … Chose promise... voici la liste des recommandations lectures que nous avions concoctée et partagée avec le public en fin de soirée. “A nos amis“ – Le comité invisible – Editions La Fabrique “La zone du dehors“ – Alain Damasio – Editions La Volte “Se défendre“ – Elsa Dorlin – Zones Editions “Le monde des grands projets et ses ennemis“ – Serge Quadruppani – Editions La Découverte “L’occupation du monde“ – Sylvain Piron – Zones sensibles “Fugitif, où cours-tu?“ – Dénètem Touam Bona – Editions PUF “Manifeste du tiers paysage“ – Gilles Clément – Editions Sens & Tonka “Fragmenter le monde“ – Josep Rafanell i Orra – Editions Divergences Jean-Baptiste a également évoqué Constellations du collectif Mauvaise troupe. ---------- Abonnez-vous au podcast, écoutez-le sur AUSHA, ITUNES où je vous invite à laisser des étoiles et des avis, ça compte énormément pour qu'il se fasse plus largement connaître ! Vous pouvez également retrouver #2050LePodcast sur SPOTIFY & DEEZER. Evidemment, dans votre téléphone grâce à votre application préférée. Suivez aussi la PAGE FACEBOOK, c'est plutôt pratique pour interagir. Bref, partout, réagissez sur les réseaux sociaux avec la mention #2050LePodcast. Tous les épisodes sont également ici sous la forme d’un ABECEDAIRE bigrement pratique!
© D.R. 10 novembre 2018 Rencontre animée par Arnaud Wassmer. Dans un roman à l'inventivité et au rythme époustouflants, Gilles Clément tire la sonnette d'alarme : à vouloir maîtriser le vivant, l'homme oublie qu'il en est dépendant. Le jardinier visionnaire nous régale (et nous inquiète) en créant un monde loufoque, qui pourrait bien être notre avenir pas si lointain. Botaniste, paysagiste, Gilles Clément a notamment écrit Le jardin en mouvement, Le jardin planétaire et Manifeste du Tiers-Paysage. Son roman Le grand B.A.L. a été publié chez Actes Sud.
Entretien avec Gilles Clément Gilles Clément est paysagiste et jardinier. Penser avec Gilles Clément, c'est le faire à partir du jardin. Un jardin planétaire et en mouvement permanent. sommaire : la finitude – nous héritons d'une eau déjà bu – penser la relation – le mot nature – le mot environnement – le mot immersion – l'illusion de la maîtrise – la durabilité – le capitalisme – l'économie de la non dépense – l'endettement – la différence entre Lamarck et Darwin – l'alternative ambiante – autonomie & connexion – le mot décroissance – les déchets – buen vivir – les savoirs faire – les ZAD – les usurpateurs – le bonheur – le jardin – le jardin planétaire – le jardin en mouvement – il n'y a pas de catastrophes naturelles – le tiers paysage. Entretien et réalisation > Emmanuel Moreira pour Radio Grenouille
Guerre de religions, cataclysmes climatiques, désastre démographique et mort des démocraties... On a discuté avec le paysagiste et botaniste Gilles Clément qui signe un roman complètement loufoque et dystopique : Le grand B.A.L.
La création de jardins s’inscrit au rang des arts majeurs, comme on le sait depuis toujours en Chine et au Japon. « Le jardin, c'est la plus petite parcelle du monde et puis c'est la totalité du monde » (Michel Foucault, 1967). Lieu d’harmonie avec la création (en grec, « jardin » se dit « paradis »), le jardin est un lieu d’immersion de l’être et d’expression éclatante de toutes les « flaveurs » (mélange du goût et de l’odeur), donnant l’occasion à des paysagistes créateurs « de transformer le chaos en cosmos ». Il s’agit de « faire de chaque lieu le plus bel endroit du monde » (Pascal Cribier). Depuis quelques décennies, on observe une inventivité contemporaine exceptionnelle et un renouveau de l’engouement du public pour les jardins, à la faveur de plusieurs phénomènes : une conscience environnementale qui ne fait que s’accroître et une génération féconde de créateurs paysagistes ayant émergé après 1945 (René Pechère, Russell Page, Roberto Burle-Marx, Louis Benech, Piet Oudolf, Fernando Caruncho, Gilles Clément, Patrick Blanc…). Jardins écologiques, jardins solidaires, jardins de création utilisant de nouvelles matières et de nouveaux végétaux : l’art des jardins est en plein bouillonnement créatif, avec certains parallèles avec la mode, notamment son caractère éphémère (un jardin se détruit très rapidement…). Chantal Colleu-Dumond dirige le Domaine et le Festival international des Jardins de Chaumont-sur-Loire depuis 2007.
Gilles Clément est ingénieur horticole, paysagiste, écrivain et jardinier. Il enseigne à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage à Versailles. Il est le créateur du parc André-Citroën et du jardin du musée du Quai Branly à Paris. Hormis son activité de créateur de parcs, jardins, espaces publics et privés, Gilles Clément poursuit des travaux théoriques et pratiques selon trois axes de recherche : le Jardin en Mouvement, le Jardin Planétaire et le Tiers-Paysage.
Conversation entre Bernard Stiegler et Gilles Clément organisée par Livre au centre au Domaine de Georges Sand à Nohant et animée par Georges Buisson, administrateur du domaine.