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Après une vie de ruses, Iouri Andropov a été l'un des derniers dirigeants de l'URSS. Il voulait réformer la société mais pas le régime. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En mai 2014, un événement inédit a secoué le monde bancaire : BNP Paribas, première banque française, a accepté de payer une amende colossale de 8,97 milliards de dollars au gouvernement américain. Le motif ? La banque avait contourné les embargos imposés par les États-Unis à Cuba, l'Iran et le Soudan entre 2004 et 2012. Ces pays étaient considérés par Washington comme des États soutenant le terrorisme ou violant les droits humains.Quels faits étaient reprochés exactement ? BNP Paribas avait réalisé, via certaines filiales, des transactions en dollars pour le compte de clients liés à ces pays. Or, toute opération en dollars transitant à un moment donné par le système financier américain est soumise à la législation des États-Unis. Cela signifie que même une banque étrangère peut être poursuivie à partir du moment où elle utilise la monnaie américaine. C'est l'un des points clés de ce dossier.La banque a reconnu avoir non seulement effectué ces paiements, mais parfois mis en place des procédures visant à masquer l'identité des clients ou l'origine réelle des fonds pour éviter les contrôles américains. Sur le plan du droit américain, la sanction était donc légale : la banque avait violé les règles de l'Office of Foreign Assets Control (OFAC), qui encadre les embargos.Là où le dossier devient explosif, c'est sur le plan du droit international. Beaucoup d'experts et de gouvernements ont dénoncé une sanction « extraterritoriale ». Autrement dit, les États-Unis appliquent leurs lois à des entités étrangères, opérant hors de leur territoire, simplement parce qu'elles utilisent la monnaie américaine ou un serveur situé aux États-Unis. Pour nombre de juristes, cela revient à imposer au reste du monde la politique étrangère américaine.Les critiques soulignent que BNP Paribas n'a pas violé le droit français ni le droit international, et que les embargos américains n'engageaient que les États-Unis. Pourtant, Washington a considéré que l'utilisation du dollar suffisait à justifier son intervention. Ce type de sanction a depuis été utilisé contre de nombreuses entreprises européennes, provoquant un réel malaise diplomatique.L'affaire BNP a ainsi mis en lumière un rapport de force : les États-Unis disposent d'une arme économique puissante — le contrôle du dollar — qui leur permet d'étendre leur influence bien au-delà de leurs frontières. Elle a également relancé le débat sur la souveraineté européenne et la capacité du continent à protéger ses entreprises des pressions américaines.Une sanction financière, donc, mais aussi un choc géopolitique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:33 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Outre-Rhin aussi, le sujet enflamme le débat politique. Un conflit a opposé le chancelier Merz aux jeunes députés conservateurs, pourtant issus du même camp que lui. Ces dernières années, plusieurs projets ont avorté mais cette fois, le gouvernement n'a pas d'autre choix que de réformer. - réalisation : Sébastien Baer
Une vaste étude menée par l'équipe de l'Université de Cambridge a analysé les cerveaux de 3 802 individus âgés de 0 à 90 ans grâce à de l'IRM de diffusion, afin de cartographier comment les connexions neurales évoluent tout au long de la vie. Les chercheurs ont identifié quatre points de bascule – vers 9, 32, 66 et 83 ans – qui marquent des transitions entre cinq grandes phases d'organisation cérébrale. Chaque point correspond à un changement marqué dans la façon dont les régions du cerveau sont connectées et dans l'efficacité globale du réseau neuronal.9 ans correspond à la fin de l'enfance et au début de l'adolescence cérébrale. Depuis la naissance, le cerveau a produit un excès de connexions, puis a procédé à une élimination massive, appelée « poda synaptique ». En parallèle, la matière grise et la matière blanche continuent de croître, ce qui améliore l'épaisseur corticale et stabilise les plis du cortex. Cette période optimise les fonctions fondamentales : langage, mémoire, coordination, apprentissages de base. Le passage vers 9 ans reflète un basculement global : le cerveau quitte la phase d'enfance et entre dans une adolescence prolongée sur le plan neuronal.32 ans marque l'entrée dans la pleine maturité adulte. Entre 9 et 32 ans, les connexions se renforcent, la matière blanche se densifie et les échanges entre régions distantes deviennent plus rapides et plus efficaces. Le cerveau affine son organisation interne, ce qui correspond au pic des performances cognitives : raisonnement abstrait, mémoire de travail, rapidité intellectuelle, flexibilité mentale. Autour de 32 ans se produit le changement le plus marqué de toute la vie : le réseau neuronal se stabilise et atteint un plateau structurel, caractéristique du cerveau adulte pleinement mature.66 ans correspond au début du vieillissement cérébral. Après plusieurs décennies de relative stabilité, la connectivité globale commence à diminuer. La matière blanche, essentielle aux communications longue distance dans le cerveau, montre des signes de dégradation. La conséquence est un ralentissement progressif de la vitesse de traitement, une diminution de la flexibilité cognitive et parfois une réduction de la mémoire de travail. Néanmoins, certaines capacités – comme les savoirs accumulés ou l'intelligence cristallisée – restent relativement préservées.83 ans marque l'entrée dans la phase de vieillesse avancée. À cet âge, le cerveau connaît une nouvelle reconfiguration : les réseaux deviennent plus fragmentés et s'appuient davantage sur des connexions locales. La communication globale perd en efficacité, ce qui augmente la vulnérabilité aux fragilités cognitives et aux maladies neurodégénératives. Certaines zones plus robustes peuvent compenser partiellement, mais l'organisation générale du réseau est moins stable et moins intégrée.En résumé, cette étude montre que le cerveau ne vieillit pas de façon linéaire. Il traverse cinq grandes phases, avec des changements profonds à 9, 32, 66 et 83 ans. Ces âges clés correspondent à des réorganisations profondes : apprentissage fondamental, maturité cognitive, entrée dans le vieillissement et vieillesse avancée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Première partie d’une série de 3 épisodes sur le CES (Consumer Electronic Show) : le grand salon de la tech de Las Vegas qui se tient en janvier chaque année. On aborde les aspects moins médiatiques du CES, son histoire, son organisation, les différentes zones, et on se pose la question : pourquoi visiter le CES, notamment par rapport aux autres salons tech. Patreon YouTube Discord Participants Une émission présentée par Guillaume Vendé Avec Bruno Chanel
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L'image d'un Montaigne casanier est démentie par le voyage qu'il entreprend en 1580 dans la belle péninsule. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Antifasciste de la première heure, André Malraux est l'un des intellectuels français les plus en vue des années 1930. Quand la guerre civile espagnole éclate, il apporte un soutien indéfectible au camp républicain, et prend la tête de l'Escadrille España. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 décembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.LE NOUVEAU RAPPORT DE FORCE ENTRE LA CHINE ET L'EUROPEAu cours des douze derniers mois, l'Europe est devenue le premier excédent commercial de la Chine, devant les Etats-Unis. Il a atteint 310 milliards de dollars Depuis 2019, le surplus chinois vis-à-vis de l'Europe a presque doublé. Et tout porte à croire qu'avec les droits de douane de Trump, qui ferment en grande partie la porte du marché américain aux exportations de l'empire du Milieu, ce phénomène est appelé à s'amplifier et à durer. Cela traduit l'impressionnante montée en puissance de la Chine dans un grand nombre de technologies, notamment dans les industries vertes, sur lesquelles l'Europe se retrouve désormais, dans un renversement du rapport de force, en position de demandeur. Face à la Chine, sur le plan économique et commercial, l'Europe n'est plus naïve : elle filtre les investissements ; applique des droits de douane sur les biens bénéficiant de subventions à la production, comme les voitures électriques ; travaille à desserrer l'étau de sa dépendance en ressources de base, comme les terres rares et les aimants permanents ; elle prend des mesures commerciales fortes, comme les quotas qui s'appliqueront pour l'acier et l'inox au 1er janvier prochain. Elle se convertit à l'idée, très française, de préférence européenne notamment pour les achats publics. Début décembre, le commissaire Stéphane Séjourné a porté à Bruxelles un texte pour conditionner les investissements en Europe à des transferts de technologie. Ces mesures révèlent un changement de logiciel de la Commission européenne, dans un rapport de force de plus en plus tendu avec Pékin. La prise de conscience des vulnérabilités stratégiques européennes gagne des pays pour qui le libre-échange était auparavant l'alpha et l'oméga, comme l'Allemagne, les Pays-Bas ou les Scandinaves.Pour sa quatrième visite d'État en Chine depuis 2017, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron, qui était accompagné en 2023 par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a été bien seul face à Xi Jinping. Les Chinois sont aujourd'hui en position de force dans presque tous les domaines. Les contentieux entre la France et la Chine s'accumulent. L'Ukraine en est l'exemple le plus patent, à l'heure où Donald Trump cherche à précipiter un accord de paix, au risque de s'aligner sur les positions de Vladimir Poutine : bientôt quatre ans après l'invasion russe, Pékin n'a jamais faibli dans son soutien diplomatique et industriel à l'effort de guerre russe. Le numéro un chinois a opposé une fin de non-recevoir à la demande du chef de l'État français de faire pression sur la Russie. Le président français a également pressé son hôte sur le front économique, en quête d'un grand « rééquilibrage » avec là aussi une réponse fuyante de l'« usine du monde », qui déverse ses surcapacités industrielles aux quatre coins de la planète.LE BLOC CENTRAL S'EFFONDRE-T-IL ?Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est revenu mardi en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. Vendredi, les députés ont adopté son volet recettes pour 2026, par 166 voix pour et 140 contre. Paradoxalement, le gouvernement s'inquiète davantage des votes du bloc central (Renaissance, Modem, Horizons, et LR) que de ceux des oppositions. Or les députés du parti Horizons, présidé par Édouard Philippe, n'entendent pas voter pour ce texte qui « ne propose pas de réduction du déficit, repose sur de nouvelles mesures de fiscalité et ne propose pas de nouvelles mesures de réduction de dépenses », selon le patron du groupe à l'Assemblée Paul Christophe. Des gestes ont été faits, sur la Défense, ou le prix de l'électricité, mais ce coup de pression venant d'un parti qui compte trois ministres au sein du gouvernement Lecornu, est mal compris par ses partenaires. Une adoption du texte, le 9 décembre, serait un succès pour le Premier ministre, qui espère provoquer ensuite une dynamique favorable sur le projet de budget de l'État. Les incertitudes demeurent d'autant plus que l'amertume monte au sein du bloc central, après avoir dû concéder des mesures aux socialistes, dont la suspension de la réforme des retraites de 2023.À un an et demi du scrutin présidentiel, dans un bloc central affaibli par les divisions et avec l'impopularité du président sortant, aucun candidat « naturel » n'a pour l'heure émergé. Seul prétendant déclaré, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe s'efforce de s'imposer comme le candidat de la droite et du centre et exclut de passer par une primaire. Après son appel à la démission du président de la République, un sondage est venu, depuis, ébranler son camp. Selon le dernier baromètre Odoxa publié le 25 novembre, pour la première fois au second tour, face à Édouard Philippe, Jordan Bardella recueillerait 53% des voix. Quoi qu'il en soit de la fiabilité d'un sondage de deuxième tour dont les sondeurs eux-mêmes soulignent la fragilité, en avril dernier, Édouard Philippe était donné vainqueur de Jordan Bardella au second tour, avec 54% contre 46%. Cette baisse dans les sondages affecte tout le bloc central, soulignent les philippistes, alors que les discussions budgétaires au Parlement s'enlisent. L'affaiblissement de l'ancienne majorité présidentielle dans les sondages serait selon eux le résultat d'une « succession de mauvais choix » d'Emmanuel Macron, lequel aurait « contaminé » les prétendants issus de son camp. « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés », résume l'eurodéputée Nathalie Loiseau, membre d'Horizons. Le patron du parti macroniste Gabriel Attal se réjouit en privé, de talonner le Havrais dans les sondages et croit de plus en plus pouvoir incarner l'espace central, dans l'esprit du « en même temps » de 2017, que réfute Édouard Philippe.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:17 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Incarnation d'une musique urbaine touchant loin au-delà du public habituel du hip-hop, le rappeur marseillais - actuellement en tournée française - ne cesse de défendre des idéaux généreux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En promulguant l'édit de Thessalonique en 380, Théodose le Grand fait du christianisme une religion d'état. Ambroise, évêque de Milan, entend bien profiter de la circonstance et exercer son ascendant sur l'empereur. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Son nom est plus connu que sa personne : triste et digne destin que celui de la première épouse de François Ier, la reine Claude. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'expression française « noyer le poisson » signifie détourner l'attention, embrouiller volontairement une explication ou éviter de répondre franchement à une question. Mais l'image, elle, provient d'un geste très concret… et très ancien.À l'origine, l'expression appartient au monde de la pêche. Avant l'industrialisation, les poissons fraîchement pêchés étaient conservés vivants dans un seau ou une cuve d'eau. Lorsqu'un poissonnier voulait vendre un poisson abîmé, déjà mourant ou de mauvaise qualité, une petite astuce consistait à… le plonger dans beaucoup d'eau et le brasser. Le mouvement de l'eau donnait l'illusion d'un animal encore vif. En « noyant » littéralement le poisson sous un flot d'eau, on masquait sa faiblesse pour tromper l'acheteur.Très vite, cette image est devenue métaphorique : on « noie le poisson » quand on crée un flux d'informations, de paroles ou de détails pour dissimuler l'essentiel, comme l'eau qui dissimule l'état réel de l'animal.L'expression apparaît dans la langue au XVIIIᵉ siècle, période où la pêche fraîche est très présente dans les villes. Les dictionnaires du XIXᵉ siècle confirment déjà son sens figuré : « embarrasser une affaire au point de la rendre inextricable » ou « fatiguer un adversaire en l'empêchant d'y voir clair ».On y voit aussi un lien avec la rhétorique politique : lorsqu'un orateur répond par des détours, qu'il multiplie les digressions ou qu'il ajoute des détails superflus pour éviter une réponse directe, il « noie le poisson ».En somme : noyer le poisson, c'est noyer la vérité.Le mot « snob » apparaît en Angleterre à la fin du XVIIIᵉ siècle, mais son origine reste l'un de ces petits mystères linguistiques savoureux. L'explication la plus souvent citée renvoie aux universités britanniques, notamment Oxford et Cambridge. À l'époque, on inscrivait parfois les étudiants issus de familles modestes en notant à côté de leur nom l'abréviation s.nob., pour sine nobilitate, c'est-à-dire « sans noblesse ».Ces étudiants, exclus des privilèges aristocratiques, auraient parfois essayé d'imiter les attitudes, les goûts et les codes de la haute société pour paraître plus distingués. Peu à peu, « snob » aurait désigné quelqu'un qui singeaient les élites, qui voulait paraître plus important qu'il ne l'était réellement.Une autre explication, moins académique mais amusante, affirme que snob viendrait du vieux dialecte anglais snob, qui signifiait « cordonnier » ou « roturier ». Là encore, l'idée de quelqu'un de modeste cherchant à imiter les classes supérieures se retrouve.Dans tous les cas, au XIXᵉ siècle, le mot prend son sens moderne : une personne qui admire exagérément ce qu'elle croit supérieur, qui méprise ce qu'elle juge vulgaire, ou qui s'efforce d'adopter les comportements « à la mode ».Aujourd'hui, dire de quelqu'un qu'il est « snob », c'est dire qu'il préfère l'apparence au naturel, et la distinction au bon sens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Discuté depuis 2021, le projet danois de location de places de prison au Kosovo pour y envoyer des criminels condamnés, originaires de pays non membres de l'Union européenne, prend petit à petit forme. Contre 200 millions d'euros, l'un des pays les plus riches d'Europe veut envoyer 300 prisonniers vers l'un des plus pauvres. Le Danemark, qui avait soutenu l'intervention de l'Otan en 1999 et l'indépendance du Kosovo, voit dans ce projet une coopération gagnant-gagnant. Mais sur place, le sujet divise. Surtout que ce genre de projets se multiplient dans des pays des Balkans, toujours tenus à la porte de l'UE. De notre correspondant à Gjilan dans le sud du Kosovo, La route goudronnée s'arrête à quelques dizaines de mètres des miradors. Perchée sur une colline sans arbres, juste au-dessus d'un village et de sa mosquée, la prison de Gjilan surplombe la deuxième ville du Kosovo. Une fois passé les portiques et les grilles de sécurité, le bruit des clés des gardiens résonne dans des couloirs particulièrement propres. Selon l'accord ratifié en 2024 à une large majorité par le Parlement, les prisonniers kosovars qui font aujourd'hui les 100 pas dans la prison de Gjilan devraient laisser la place à des détenus condamnés par la justice danoise, à 2 000 kilomètres du Kosovo. À lire aussiDanemark: premier accord pour envoyer 300 détenus dans une prison du Kosovo « C'est un mauvais accord » « Ces transferts de prisonniers ne concerneront pas les personnes condamnées pour extrémisme, extrémisme religieux ou terrorisme. Ce seront principalement des personnes condamnées à des peines de 5 à 10 ans de prison et originaires de pays tiers. On espère que cette collaboration sera un succès et un modèle pour d'autres pays », précise Ismaïl Dibrani, directeur général du système pénitentiaire du Kosovo. Les premiers détenus en provenance de Copenhague ne sont annoncés que pour avril 2027. Mais déjà, de nombreux pays comme la France ou la Belgique auraient demandé à pouvoir eux aussi louer des places de prison au Kosovo. À quelques kilomètres de la prison, le projet danois n'anime pas vraiment les conversations du centre piéton de Gjilan. Zarife Asllani en veut au gouvernement kosovar d'avoir signé un tel accord. Pour cette psychologue sociale de 38 ans, « c'est un mauvais accord. Nous ne sommes pas contre ces prisonniers. Mais ces 200 millions d'euros, cela aurait été mieux de les investir autrement au Kosovo ». À lire aussiEnvoyer ses détenus dans des prisons étrangères: une idée en vogue en Scandinavie Un geste de reconnaissance envers les États-Unis Comme plusieurs pays membres de l'Otan, le Danemark a soutenu l'indépendance et la construction du nouvel État kosovar. Les autorités de Pristina présentent cet accord comme un moyen de rembourser une dette historique et de conforter ses soutiens diplomatiques. Originaire de Gjilan, l'activiste Donika Emini dénonce une dérive honteuse. « Ces accords transforment les Balkans en dépotoir des pays riches, qui font ici ce qu'ils ne peuvent pas faire chez eux. C'est vraiment très problématique et hypocrite. Par exemple, dans le cas du Danemark, qui est un pays qui est toujours au sommet des classements internationaux pour son respect des droits humains. » À la demande de Washington, le Premier ministre kosovar, Albin Kurti, a également accepté d'accueillir 50 ressortissants latino-américains expulsés des États-Unis. Un geste de reconnaissance éternelle envers le principal soutien du Kosovo, mais qui n'a pour l'instant pas dépassé l'effet d'annonce.
durée : 00:10:09 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Se revendiquant comme un groupe rock – et donc politique – la formation de Nicola Sirkis (actuellement en tournée) ne cesse d'évoquer l'actualité du moment et le rôle protecteur de l'art. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le journaliste français Patrick Chauvel est dans L'atelier des médias pour un grand entretien. De la guerre du Vietnam à celle menée actuellement par la Russie en Ukraine, il a couvert des dizaines de conflits. Avec Steven Jambot, il revient sur son parcours, l'évolution du métier de reporter de guerre, l'archivage de ses photos au Mémorial de Caen et sa démarche auprès de tous les publics pour raconter la guerre et ses effets. Patrick Chauvel, 76 ans, aime rappeler qu'il est issu d'une famille de « conteurs ». Il a très tôt choisi la voie du reportage, pour vivre les récits qui avaient bercé son enfance. Après un passage formateur à France-Soir, où il a notamment travaillé pour la rubrique Les potins de la commère, une altercation avec Roman Polanski lui a valu d'être renvoyé. Le patron du quotidien, Pierre Lazareff, lui offrit cependant l'argent nécessaire pour s'envoler vers le Vietnam où il arrive juste avant l'offensive du Têt, en 1968. Face au scepticisme de son père qui lui prédisait des difficultés financières et lui rappelait que « la reconnaissance c'est pour les photographes morts », Patrick Chauvel était arrivé à Saïgon muni d'un aller simple. L'évolution du métier et la peur de rater l'histoire Travaillant en argentique avec peu de pellicules, Chauvel a développé une précision extrême, loin de la « gâchette facile » du numérique actuel. L'envoi des films vers Paris était une épreuve logistique, nécessitant parfois de confier les précieux paquets à des passagers d'avion ou même d'utiliser un cheval pour atteindre un point de rapatriement (comme il l'a fait au Salvador). Ce reporter tout terrain a été blessé à de multiples reprises, des cicatrices pour autant d'« incidents de parcours ». Il cite d'ailleurs une phrase de Napoléon : « Se faire blesser ne prouve qu'une chose, c'est qu'on est maladroit ». Son angoisse principale n'est pas la blessure physique, mais de rater l'histoire en étant immobilisé, car « l'histoire qui est importante continue ». Au Vietnam, sa naïveté sur la guerre et ses enjeux s'est brisée lors d'une discussion avec un prisonnier nord-vietnamien francophone, qui lui a exposé l'idéologie de « l'ennemi ». Le rôle de « sentinelle » face au déni Pour Patrick Chauvel, son métier a une dimension essentielle de transmission, car il travaille pour la « mémoire collective » et les livres d'histoire. Son cheval de bataille est de forcer le public à savoir, d'où son titre de « rapporteur de guerre », qu'il a donné à un de ses livres et un documentaire. Concernant les œillères du grand public, il est catégorique : « On ne savait pas, c'est pas recevable du tout. Si vous voulez pas savoir, c'est que vous n'avez pas envie de savoir ». Il considère que les journalistes agissent comme des sentinelles, alertant sur les dangers environnants. Les conflits récents, notamment la guerre menée en Ukraine par la Russie de Vladimir Poutine, ont bouleversé l'approche des terrains où il a tant travaillé. En Ukraine se mélangent les combats de tranchées – rappelant la Première Guerre mondiale – et la « guerre des étoiles » menée par les drones. Ces derniers sont désormais responsables de 80 % des pertes sur le front, rappelle Patrick Chauvel, rendant l'accès aux premières lignes extrêmement difficile et dangereux, notamment pour les médias et leurs fixeurs. La transmission aux nouvelles générations Patrick Chauvel a fait don de son fonds gigantesque (480 000 photos, 1 000 heures de films) au Mémorial de Caen pour assurer la pérennité de son œuvre. Il voit dans cette transmission un rôle essentiel auprès des jeunes, notamment à travers des conférences dans les écoles, collèges et prisons. Le journaliste, décoré de la Légion d'honneur en 2025, appelle la jeune génération à ne pas tenir la paix pour acquise. « L'élément naturel de l'homme, c'est la guerre, c'est pas la paix. La paix, c'est un travail, c'est une éducation ». À ce titre, Patrick Chauvel a été sollicité par la Ligue de l'enseignement pour un projet itinérant intitulé « Décrypter la guerre, penser la paix », qui cherche encore des partenaires. Il résume ainsi son rôle et celui de ses confrères : « Les photos qui vont être dans les livres d'histoire sont les nôtres. Nos récits sont dans les livres d'histoire. Et donc il faut absolument qu'on transmette ça. On peut pas garder ça pour nous. » Son message aux aspirants reporters est de ne pas attendre d'être financés, mais d'aller sur le terrain et de s'y installer en optant pour un pseudonyme afin d'être moins exposés.
« Ma vie est un roman qui m'intéresse beaucoup », écrit Berlioz dans ses savoureux Mémoires. La parution du « Paris de Berlioz » de Christian Wasselin (collection « Le Paris des artistes » aux Editions Alexandrines) nous invite à attacher nos pas à ceux du compositeur en cheminant dans le Paris du XIXe siècle. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'occasion de la parution chez Perrin de l'album : « Nos rois et reines de France », retour sur la liaison plus diplomatique qu'amoureuse entre François Ier et sa seconde épouse, Eléonore de Habsbourg. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'occasion de la parution chez Perrin de l'album : « Nos rois et reines de France », retour sur la liaison plus diplomatique qu'amoureuse entre François Ier et sa seconde épouse, Eléonore de Habsbourg.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Host Tammy Haddad sits down with Gary Shapiro, CEO and vice chair of the Consumer Technology Association, and Kinsey Fabrizio, CTA president, for an exclusive preview of CES 2026. Shapiro and Fabrizio discuss what Washington should expect in Las Vegas — from global attendance and robotics to Eureka Park startups, AI-driven innovation, and breakthroughs in digital health. They explain why policymakers must walk the floor in person, how discovery drives collaboration, and which technologies could shift perception and policy.
Les étoiles massives sont des géantes du cosmos. Ces astres grandioses font au moins douze fois la masse du soleil. Leur surface atteint des températures très élevées, parfois plus de 100 000 degrés. Elles brillent de mille feux dans le ciel. Certaines sont des millions de fois plus lumineuses que le soleil. Le vent solaire n'est qu'une brise, en comparaison des tornades qu'elles créent. Ces géantes vivent souvent en couple, valsant l'une autour de l'autre avec une grâce céleste. Et quand elles fusionnent, c'est l'explosion ! Est-ce de leurs réactions que provient l'or de nos bijoux ? L'astrophysicienne Yaël Nazé nous livre certains de leurs mystères au micro d'Axelle Thiry. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Grèce, la situation dans les hôpitaux publics est jugée « misérable » par les professionnels de santé qui y travaillent. Le mois dernier, les médecins hospitaliers ont observé une grève de deux jours, suivie, fin novembre, d'une autre grève, de la part cette fois des infirmiers. Tous tirent la sonnette d'alarme sur un système public en ruines, qui ne s'est jamais relevé d'une décennie de crise économique. Pour les patients, le résultat, ce sont de longues heures d'attente sur place ou des mois pour obtenir un rendez-vous. En surplomb des décorations de Noël qui illuminent déjà la place Syntagma, au cœur d'Athènes, une tribune éphémère. C'est là, en face du Parlement, qu'infirmières et infirmiers se succèdent au micro en cette journée de grève. « Nous travaillons six jours par semaine au lieu de cinq », se lamente ainsi cette infirmière qui évoque une intensification « gigantesque » du travail à l'hôpital en raison du manque criant de personnel. Ces infirmiers se disent « épuisés » et appellent à la fois à des « recrutements massifs » et des augmentations de salaires. Toujours à Athènes, direction l'hôpital public d'Evangelismos, le plus grand du pays. À la tête du syndicat des employés, Giorgos Ferentinos est cardiologue-réanimateur. Pour lui, la situation des hôpitaux publics grecs ne cesse de se dégrader. Dans son seul hôpital, il y a plus de mille postes vacants. « Avant la pandémie, en Grèce, huit hôpitaux ont fermé en raison de la crise économique. Et, depuis, ces hôpitaux sont restés fermés. Résultat : les autres hôpitaux publics encore en fonctionnement font face à un volume de travail énorme. On estime actuellement qu'il manque plus de 6 000 médecins dans tout le pays. Un grand nombre de collègues médecins ont choisi de partir travailler soit à l'étranger, soit dans le secteur privé, justement à cause de la dégradation de nos conditions de travail : un rythme, à l'hôpital, de plus en plus intense avec, en parallèle, des salaires très bas. » Un système public à bout de souffle, poussé vers la privatisation Ici, faute de personnel, sept salles d'opération sont fermées et 35 lits de soins intensifs restent inutilisables. Et ceux qui en souffrent, ce sont les patients. Illustration avec cette trentenaire, hôtesse d'accueil au cœur d'Athènes. Pendant près de 10 ans – et jusqu'à son décès en 2023 –, elle a accompagné sa mère, atteinte d'un cancer du poumon, dans presque tous les hôpitaux publics de la région. « Quand ma mère a été hospitalisée, les infirmiers n'étaient tout simplement pas assez nombreux pour s'occuper des patients. Il fallait donc que nous assumions nous-mêmes en partie la responsabilité de la soigner. Même pour quelque chose d'aussi basique que demander à changer les draps, il fallait supplier, parce qu'ils n'en avaient pas. On devait aussi se charger de tout ce qui concernait l'hygiène, appeler les infirmières et attendre des heures, parce qu'elles étaient débordées. Et pour les médecins, c'était la même chose. » À l'agonie, le système hospitalier public grec, qui subsiste en partie grâce aux sacrifices du personnel soignant, se privatise progressivement. Depuis un an et demi, des interventions chirurgicales payantes l'après-midi et le soir permettent d'éviter les listes d'attente qui s'étalent sur des mois, voire des années. Un système de santé « public » où la priorité va dorénavant à ceux qui peuvent payer. À lire aussiGrèce: le Parlement grec adopte la possibilité d'une journée de travail de 13 heures
Bienvenue sur Sensées, le format audio de ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, je vous partage avec authenticité des conseils de leadership féminin, des expériences vécues et toute l'énergie dont vous avez besoin pour réussir avec confiance et sérénité.Cette semaine : Pourquoi la vie personnelle et professionnelle s'influencent : 7 situations où les femmes leaders ne peuvent pas cloisonner.Dans cet épisode de Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, explore un sujet auquel toutes les femmes leaders sont confrontées : la manière dont la vie personnelle et professionnelle s'entremêlent, parfois malgré nous. Car au-delà des injonctions à cloisonner, la réalité est simple : nous sommes un seul et même être, et ce que nous vivons dans notre intimité impacte notre façon de travailler. Apprendre à accueillir cette porosité plutôt qu'à la combattre est une étape cruciale pour préserver son énergie, son équilibre et son leadership.À travers sept situations réelles tirées de son expérience de coach, Jenny met en lumière comment la vie personnelle et professionnelle s'influencent profondément : la parentalité, la charge domestique, le couple, la santé, les transitions familiales, l'expatriation, la maladie, mais aussi les moments heureux comme un début de relation amoureuse. Ces exemples illustrent que vouloir cloisonner coûte bien plus d'énergie que d'accepter ce qui est. Car ce qui épuise les femmes leaders n'est pas seulement ce qu'elles vivent dans leur vie privée : c'est aussi la pression ajoutée de devoir “faire comme si de rien n'était” au travail.Ce que vous saurez faire après écoute :– Comprendre pourquoi il est illusoire de séparer strictement vie personnelle et professionnelle.– Identifier les zones de tension émotionnelle qui influencent votre performance au travail.– Reconnaître la surcharge mentale liée à la résistance, au contrôle et à la culpabilité.– Trouver une posture plus douce et plus durable pour avancer même en période de turbulence.– Apprendre à traverser les tempêtes sans perdre totalement votre énergie professionnelle.Cet épisode est une invitation à regarder avec honnêteté comment votre réalité intérieure influence vos journées et vos décisions. Plutôt que de chercher à cloisonner coûte que coûte, Jenny vous propose de développer une approche plus humaine, plus lucide et plus résiliente : accueillir ce qui se passe, ajuster votre niveau d'exigence, exprimer vos besoins lorsque c'est possible et accepter que l'équilibre n'est jamais figé.Après vingt ans de carrière en entreprise, d'expatriation, de direction, de reconversion et de parentalité, et après avoir accompagné des centaines de femmes, Jenny partage des clefs pragmatiques et profondes pour avancer avec clarté, sans s'effondrer ni se juger. Car la véritable question n'est pas “Comment cloisonner ?” mais : “Comment traverser la vie personnelle et professionnelle lorsque tout bouge en même temps ?”.Pour aller plus loin, découvrez le programme Sensées, conçu pour aider les femmes leaders à sortir du surmenage et à construire un leadership durable. Cliquez ici pour en savoir plus.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du congrès Pari(s) Santé Femmes qui se tient du 3 au 5 décembre à Paris, nous parlons de la santé des femmes. Contraception, infections, grossesse et accouchement, infertilité… Des médecins spécialisés en gynécologie-obstétrique répondent aux questions des auditrices. Le gynécologue et la sage-femme sont les interlocuteurs des femmes, sur de multiples questions de santé, pour la prise en charge de nombreuses affections. Cette fonction d'écoute, de conseil et de soins est l'une des composantes indispensables de la santé féminine aux différents âges de leur vie, en particulier à partir de la puberté. Des spécialistes à l'écoute des femmes En consultation, les interrogations et les plaintes peuvent concerner aussi bien l'origine de douleurs et la quête d'un soulagement, que le suivi d'une grossesse, un projet d'enfant et, toujours dans le cadre de la santé reproductive, les questions portant sur la contraception ou la fertilité… Ces professionnels de santé vont également prendre en charge des maladies et infections spécifiques, comme l'endométriose, des cancers féminins (comme celui du sein ou du col de l'utérus). Écoute et compétence, sans tabou De nombreuses femmes quittent la consultation de gynécologie sans avoir posé toutes les questions, faute de temps, parce que le doute arrive une fois franchie la porte du cabinet, parce que certains soignants ne donnent pas leur place à l'échange. Les freins peuvent aussi relever des craintes ou préjugés comme des tabous : quand il est question d'infections sexuellement transmissibles, de douleurs chroniques, de freins dans la vie sexuelle, de peurs alimentées par des fausses croyances qui circulent dans l'entourage… Prévention et dépistage Cette prise en charge en santé sexuelle et reproductive implique un effort d'écoute et de compréhension, qui intègre également un temps de prévention et de dépistage des violences basées sur le genre, pour que puissent s'exprimer, à côté des ressentis et des symptômes des patientes, les émotions, la détresse et les joies, tout comme les appréhensions qui peuvent accompagner la patiente lors de sa consultation… Avec : Pr Namory Keita, past Président immédiat de la SAGO (Société Africaine des Gynécologues-Obstétriciens). Consultant en matière de santé reproductive et mise en œuvre des programmes de lutte contre les cancers gynécologiques Dr Sylvie Epelboin, gynécologue obstétricienne, médecin de la Reproduction et coordinatrice du Centre d'Assistance médicale à la Procréation au sein de l'Hôpital Bichat à Paris. Programmation musicale : ► Singuila feat. Koffi Olomidé – La femme de quelqu'un ► Ao – Talvez.
À l'occasion du congrès Pari(s) Santé Femmes qui se tient du 3 au 5 décembre à Paris, nous parlons de la santé des femmes. Contraception, infections, grossesse et accouchement, infertilité… Des médecins spécialisés en gynécologie-obstétrique répondent aux questions des auditrices. Le gynécologue et la sage-femme sont les interlocuteurs des femmes, sur de multiples questions de santé, pour la prise en charge de nombreuses affections. Cette fonction d'écoute, de conseil et de soins est l'une des composantes indispensables de la santé féminine aux différents âges de leur vie, en particulier à partir de la puberté. Des spécialistes à l'écoute des femmes En consultation, les interrogations et les plaintes peuvent concerner aussi bien l'origine de douleurs et la quête d'un soulagement, que le suivi d'une grossesse, un projet d'enfant et, toujours dans le cadre de la santé reproductive, les questions portant sur la contraception ou la fertilité… Ces professionnels de santé vont également prendre en charge des maladies et infections spécifiques, comme l'endométriose, des cancers féminins (comme celui du sein ou du col de l'utérus). Écoute et compétence, sans tabou De nombreuses femmes quittent la consultation de gynécologie sans avoir posé toutes les questions, faute de temps, parce que le doute arrive une fois franchie la porte du cabinet, parce que certains soignants ne donnent pas leur place à l'échange. Les freins peuvent aussi relever des craintes ou préjugés comme des tabous : quand il est question d'infections sexuellement transmissibles, de douleurs chroniques, de freins dans la vie sexuelle, de peurs alimentées par des fausses croyances qui circulent dans l'entourage… Prévention et dépistage Cette prise en charge en santé sexuelle et reproductive implique un effort d'écoute et de compréhension, qui intègre également un temps de prévention et de dépistage des violences basées sur le genre, pour que puissent s'exprimer, à côté des ressentis et des symptômes des patientes, les émotions, la détresse et les joies, tout comme les appréhensions qui peuvent accompagner la patiente lors de sa consultation… Avec : Pr Namory Keita, past Président immédiat de la SAGO (Société Africaine des Gynécologues-Obstétriciens). Consultant en matière de santé reproductive et mise en œuvre des programmes de lutte contre les cancers gynécologiques Dr Sylvie Epelboin, gynécologue obstétricienne, médecin de la Reproduction et coordinatrice du Centre d'Assistance médicale à la Procréation au sein de l'Hôpital Bichat à Paris. Programmation musicale : ► Singuila feat. Koffi Olomidé – La femme de quelqu'un ► Ao – Talvez.
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Mme du Barry a été remise à la mode par Maïwenn ; mais la vérité, c'est qu'est n'est jamais passée de mode. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Realbotix (TSXV: XBOT | FSE: 76M0.F | OTC: XBOTF) has emerged as an early mover in commercial humanoid robotics, driven by its advanced technology and humanoid robot, Aria.In this interview, Co-Founder and CEO Andrew Kiguel discusses his outlook for the humanoid robotics market, Realbotix's competitive advantages, milestones achieved in 2025, and plans heading into 2026. From their debut at CES 2025 in Las Vegas to humanoid robot showcases in Dubai, Berlin, and New York City's Times Square, Realbotix has been expanding its global presence.Learn more about Realbotix: https://www.realbotix.ai/Watch the full YouTube interview here: https://youtu.be/Bkut4BLSxX8And follow us to stay updated: https://www.youtube.com/@GlobalOneMedia
À première vue, il meurt comme beaucoup d'hommes de son âge : à 83 ans, affaibli, dans son lit, à Paris, en mai 1778. Mais l'histoire est plus complexe. Sa mort est entourée de confusions, de récits contradictoires, d'enjeux religieux… et, plus récemment, d'une découverte scientifique qui rebat les cartes.D'abord, les circonstances immédiates. Voltaire revient à Paris après des années passées à Ferney. Il est accueilli comme une rockstar du siècle des Lumières : foule énorme au théâtre, visites incessantes, soirées mondaines… À tel point qu'il s'épuise. Il souffre de douleurs violentes, de troubles digestifs, de vomissements. Les médecins parlent alors de « faiblesse générale », de troubles pulmonaires, ou d'« obstruction des viscères ». On ne sait pas vraiment.À cela s'ajoute un élément politique et religieux : Voltaire est l'ennemi juré de l'intolérance religieuse. L'Église, qui l'a combattu toute sa vie, veut éviter le scandale d'une mort « impie ». Les récits divergent : selon certains prêtres, il aurait refusé les sacrements ; selon d'autres, il les aurait acceptés. Ces contradictions nourrissent immédiatement une légende noire. Pour certains, Voltaire meurt en blasphémateur ; pour d'autres, il garde son esprit critique jusqu'au bout. Cette bataille idéologique a longtemps pollué l'interprétation médicale.Ensuite, il y a un mystère anatomique. Son cœur a été prélevé, comme il était d'usage pour les grands hommes, puis conservé. Et c'est là que la science moderne entre en scène. Des analyses très récentes, réalisées sur ce cœur embaumé et conservé à la Bibliothèque nationale de France, révèlent la présence d'une protéine spécifique associée à certains types de tumeurs. Les chercheurs concluent qu'il souffrait probablement d'un cancer – très vraisemblablement un cancer de la vésicule biliaire, souvent déclenché par des crises répétées de calculs biliaires. Or Voltaire avait justement une longue histoire de douleurs abdominales et de coliques hépatiques.Ces données reshappent totalement les hypothèses anciennes. Voltaire ne serait donc pas mort d'un « épuisement général », ni d'une pneumonie, ni d'un malaise cardiaque, comme on l'a longtemps écrit, mais d'un cancer avancé, ignoré des médecins du XVIIIᵉ siècle.Enfin, la controverse vient aussi du traitement de son corps. Refusé de sépulture chrétienne à Paris, on l'inhume en urgence à l'abbaye de Scellières, presque clandestinement. Des rumeurs circulent même sur l'enlèvement de sa dépouille. Tout cela a amplifié le mythe.En résumé : la mort de Voltaire est controversée parce qu'elle mêle politique, religion, incertitudes médicales… et aujourd'hui révélations scientifiques. Une mort à l'image de sa vie : disputée, débattue, passionnément commentée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans toute l'histoire du prix Nobel, deux hommes seulement ont pris la décision — libre, assumée, publique — de refuser l'une des distinctions les plus prestigieuses au monde : Jean-Paul Sartre en 1964 et Lê Duc Tho en 1973. Deux refus très différents, mais qui disent chacun quelque chose d'essentiel sur leur époque et sur leurs convictions.Le premier à franchir ce pas radical est Jean-Paul Sartre, philosophe et écrivain français, figure majeure de l'existentialisme. En 1964, l'Académie suédoise lui décerne le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre. La réaction de Sartre est immédiate : il refuse le prix. Non par modestie, mais par principe. Sartre a toujours refusé les distinctions officielles, estimant que l'écrivain doit rester libre, non récupéré par le pouvoir, les institutions ou la notoriété. Pour lui, accepter un prix comme le Nobel reviendrait à « devenir une institution », ce qui contredisait son engagement politique et intellectuel.Il avait d'ailleurs prévenu l'Académie, avant même l'annonce, qu'il ne souhaitait pas être nommé. Cela ne change rien : il est proclamé lauréat malgré lui. Sartre refuse alors publiquement, dans un geste retentissant. Ce refus est souvent perçu comme l'expression ultime d'une cohérence : l'écrivain engagé qui refuse d'être couronné. Ce geste, unique dans l'histoire de la littérature, marque durablement la réputation du philosophe, admiré ou critiqué pour son intransigeance.Neuf ans plus tard, c'est au tour de Lê Duc Tho, dirigeant vietnamien et négociateur lors des Accords de Paris, de refuser le prix Nobel de la paix. Le prix lui est attribué conjointement avec l'Américain Henry Kissinger pour les négociations qui auraient dû mettre fin à la guerre du Vietnam. Mais pour Lê Duc Tho, il n'y a pas de paix à célébrer. Les hostilités se poursuivent, les bombardements aussi. Refuser le Nobel devient alors un acte politique : il déclare ne pouvoir accepter un prix de la paix tant que la paix n'est pas réellement obtenue.Contrairement à Sartre, son refus n'est pas motivé par un principe personnel, mais par une analyse de la situation géopolitique. Son geste est moins philosophique que stratégique, mais tout aussi historique. Il reste le seul lauréat de la paix à avoir décliné le prix.Ces deux refus, rares et spectaculaires, rappellent que le prix Nobel, pourtant considéré comme l'une des plus hautes distinctions humaines, peut devenir un terrain d'expression politique ou morale. Sartre par conviction, Lê Duc Tho par cohérence historique : deux gestes, deux époques, deux refus qui ont marqué l'histoire du prix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je suis très heureuse de vous proposer cet épisode hors-série sur ls angles morts RH, né d'une conversation que j'ai eue en juin dernier avec plusieurs DRH pour préparer la nouvelle saison du podcast.Comme toujours, mon objectif est d'aller chercher des sujets que l'on n'aborde pas ailleurs et d'éviter de répéter ce qui existe déjà.J'ai donc voulu comprendre avec eux quels étaient les angles morts RH, ces points qui traversent les organisations sans être véritablement nommés.J'ai souhaité partager plus largement ces échanges, les prolonger et en faire un débat ouvert.Dans cet épisode, nous mettons en lumière ces angles morts RH, non pas pour en dresser la liste, mais pour comprendre ce qu'ils disent des organisations aujourd'hui.Nous avons été accueillis chez Chateauform, dans la maison des Jardins de Saint-Dominique, avec toute la chaleur qui fait partie de leur culture.Ce cadre a permis d'installer un climat propice à un échange simple et direct. Ce choix n'était pas anodin : j'ai un lien particulier avec Chateauform, depuis mes débuts professionnels. Ce sont des lieux propices aux conversations qui comptent, des conversations sincères et profondes, exactement ce que je voulais installer ce jour-là.J'ai eu la joie et l'honneur de recevoir pour cet épisode inédit :• Magali Charlin Gaudin, responsable des richesses humaines, talents et cultures – Chateauform• Claire Gathier-Caillaud, DRH – Safran Electronics & Defense• Jean-Yves Chameyrat, DRH – STEFEnsemble, ils mettent en mots ce qui circule réellement dans les équipes : des sujets du quotidien, parfois isolés, qui dessinent pourtant des lignes de fond dans le travail des collaborateurs, des managers et des RH.Ils évoquent notamment :• des signaux faibles liés à la santé au travail, difficiles à catégoriser ;• la charge portée par les managers face à des situations nouvelles ;• la contrainte du temps, entre rythme opérationnel et disponibilité ;• la circulation des responsabilités et la question de “qui fait quoi” ;• le rôle du collectif et des relais internes ;• des décisions qui engagent plusieurs prismes (talent, entreprise, planète).Ces angles morts révèlent aussi une dynamique plus large :un cadre de fonctionnement sous tension, des responsabilités qui se déplacent, des situations qui débordent les repères habituels, et un manque de temps qui fragilise la capacité à réguler.Cet échange apporte un éclairage différent sur la transformation du management, les dynamiques de confiance et le défi RH dans l'accompagnement des équipes.Un épisode utile pour comprendre ce qui se joue réellement dans les organisations.Bonne écoute!
[SPONSORISÉ] En 1777, Benjamin Franklin, ambassadeur des États-Unis, arrive à Paris avec un objectif en tête : convaincre la France de soutenir les colonies américaines insurgées contre les colonies anglaises. La tâche devrait être facile. C'est l'occasion rêvée pour ce pays de prendre sa revanche sur son ennemi historique. Pourtant, il se heurte à un Louis XVI hésitant. Franklin met alors en place un réseau d'informateurs et de diplomates chargés de suivre les rumeurs et décisions venues de Londres. Ces informations lui permettent d'affiner ses discours et de préparer sa stratégie de négociation. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'un traître se cache parmi ses collaborateurs : Edward B. Bancroft.Edward Bancroft n'a pas de convictions politiques particulières. En revanche, il ne peut se résoudre à l'idée de voir l'Angleterre s'engluer dans un conflit qui lui causerait de lourdes pertes. Il ne s'était jamais prédestiné à l'espionnage, mais le contexte politique de son époque en a décidé autrement. Le voilà désormais agent double. Informateur pour Benjamin Franklin du mercredi au dimanche et agent du renseignement britannique les mardis soirs. Un emploi du temps bien particulier pour celui qui se prédestinait à être scientifique.Secrets d'agents • Histoires Vraies est une production Minuit.
Comme chaque premier jeudi du mois, nous consacrons notre émission à la sexualité. Ce mois-ci, la sexologue de l'émission, Noëlle Cayarcy, répond à toutes les questions que se posent les auditeurs sur les douleurs pendant les rapports sexuels. Objectif : identifier l'origine pour trouver le soulagement et retrouver confiance. Comment oser en parler à son partenaire, comme à un.e soignant.e ? La douleur au cours des rapports sexuels peut être multifactorielle. Dyspareunie chez la femme, algie sexuelle chez l'homme, cette douleur peut être physique, psychologique ou mixte… Dans tous les cas, elle n'est jamais normale, ni imaginaire et ne doit pas être banalisée. Il faut la considérer comme un signal à écouter, interpréter et prendre en compte. Ne pas taire sa douleur sexuelle La douleur, symptôme ou signal d'alerte, peut en effet freiner, gêner ou faire obstacle aux relations intimes. Il est essentiel d'en parler, que l'on soit en couple ou non : décrire la nature de la sensation et la localiser, identifier les conditions ou même les positions au cours desquelles les douleurs ou la gêne se font sentir. De multiples causes physiques ou non Les douleurs au cours de la sexualité sont multiples dans leurs manifestations comme dans leurs explications : douleurs d'origine physique, associées à une affection ou un trouble, des changements physiologiques et hormonaux, des actes médicaux, douleurs cicatricielles... Ces causes sont variées et appelleront des diagnostics et des réponses très différentes : endométriose, ménopause, sécheresse vaginale, suite de chirurgies, douleurs lors de l'érection, douleurs associées à l'utilisation d'accessoires inappropriés. Soulagement et patience Certaines douleurs sexuelles vont être réactionnelles, après un événement pénible ou traumatique, sans d'ailleurs que la personne ne soit forcément consciente du lien entre l'épreuve et sa manifestation douloureuse. Le soulagement peut prendre du temps. Certaines situations peuvent donc nécessiter de la patience, et dans tous les cas, de la bienveillance de la part du professionnel de santé, comme du partenaire de confiance, à qui l'on confie cette plainte. Avec : Noëlle Cayarcy, sage-femme, sexologue, oncosexologue, membre de l'Association inter-disciplinaire post-universitaire de sexologie, directeur de projets en prévention de santé, experte à la Haute Autorité de santé et présidente de la Communauté pluriprofessionnelle de santé de Paris XVIe. Programmation musicale : ► Bruno Mars, Anderson Paak, Thundercat – After last night ► Mightyyout, Davido – I Know
Le téléthon 2025 a lieu les 5 et 6 décembre. Ces deux jours de récolte financent depuis 1987 la recherche sur les maladies génétiques qui ne cesse de progresser. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Myriam Chauvot reviennent sur les enjeux de cette édition 2025, qui pourrait constituer un tournant.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Myriam Chauvot (journaliste au service Industries des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Clara Grouzis. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Eric Piermont/AFP. Sons : INA, France 2, AFM Téléthon, «La chanson du Telethon, L'appel du coeur».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme chaque premier jeudi du mois, nous consacrons notre émission à la sexualité. Ce mois-ci, la sexologue de l'émission, Noëlle Cayarcy, répond à toutes les questions que se posent les auditeurs sur les douleurs pendant les rapports sexuels. Objectif : identifier l'origine pour trouver le soulagement et retrouver confiance. Comment oser en parler à son partenaire, comme à un.e soignant.e ? La douleur au cours des rapports sexuels peut être multifactorielle. Dyspareunie chez la femme, algie sexuelle chez l'homme, cette douleur peut être physique, psychologique ou mixte… Dans tous les cas, elle n'est jamais normale, ni imaginaire et ne doit pas être banalisée. Il faut la considérer comme un signal à écouter, interpréter et prendre en compte. Ne pas taire sa douleur sexuelle La douleur, symptôme ou signal d'alerte, peut en effet freiner, gêner ou faire obstacle aux relations intimes. Il est essentiel d'en parler, que l'on soit en couple ou non : décrire la nature de la sensation et la localiser, identifier les conditions ou même les positions au cours desquelles les douleurs ou la gêne se font sentir. De multiples causes physiques ou non Les douleurs au cours de la sexualité sont multiples dans leurs manifestations comme dans leurs explications : douleurs d'origine physique, associées à une affection ou un trouble, des changements physiologiques et hormonaux, des actes médicaux, douleurs cicatricielles... Ces causes sont variées et appelleront des diagnostics et des réponses très différentes : endométriose, ménopause, sécheresse vaginale, suite de chirurgies, douleurs lors de l'érection, douleurs associées à l'utilisation d'accessoires inappropriés. Soulagement et patience Certaines douleurs sexuelles vont être réactionnelles, après un événement pénible ou traumatique, sans d'ailleurs que la personne ne soit forcément consciente du lien entre l'épreuve et sa manifestation douloureuse. Le soulagement peut prendre du temps. Certaines situations peuvent donc nécessiter de la patience, et dans tous les cas, de la bienveillance de la part du professionnel de santé, comme du partenaire de confiance, à qui l'on confie cette plainte. Avec : Noëlle Cayarcy, sage-femme, sexologue, oncosexologue, membre de l'Association inter-disciplinaire post-universitaire de sexologie, directeur de projets en prévention de santé, experte à la Haute Autorité de santé et présidente de la Communauté pluriprofessionnelle de santé de Paris XVIe. Programmation musicale : ► Bruno Mars, Anderson Paak, Thundercat – After last night ► Mightyyout, Davido – I Know
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Profitant de sa grande popularité, Joséphine Baker, pendant la Seconde Guerre mondiale, n'aura cessé de renseigner les uns, de remonter le moral des autres.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Profitant de sa grande popularité, Joséphine Baker, pendant la Seconde Guerre mondiale, n'aura cessé de renseigner les uns, de remonter le moral des autres.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au fort de la Révolution, le marquis de La Fayette, croyant échapper à la tourmente parisienne, se jette dans la gueule du loup autrichien… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode of TechMagic, hosts Cathy Hackl and Lee Kebler explore how the future of AI is being shaped through hardware innovation happening around the world. They break down breakthroughs in autonomous vehicles, humanoid robots, and spatial computing, highlighting why hardware ownership now determines who controls data, training models, and long-term AI power. Cathy shares insights from her travels across Saudi Arabia and Qatar, while the hosts examine China's accelerating hardware ecosystem, Gen Alpha's rejection of “AI slop,” and the shift toward vision-action models. It's a fast, global look at where AI is really advancing, and why it matters.Come for the tech and stay for the magic!Key Discussion Topics: [00:00] Intro[00:23] Saudi Arabia and Qatar are booming in tech and entertainment.[00:04:00] Formula One tech highlights the Abu Dhabi Championship showdown.[00:07:13] Autonomous racing vs. human drivers shows motorsports' future.[00:10:23] NVIDIA's AlphaMoor offers open-source vision-language models.[00:14:23] Women often prefer autonomous vehicles to human drivers.[00:20:44] Owning hardware means owning data: the AI supremacy principle.[00:22:19] Global hardware innovations from Alibaba, Huawei, and ByteDance are under the radar.[00:26:51] "Human-authored" labels reveal widespread AI fatigue.[00:30:05] Gen Alpha rejects AI content, demanding authentic creations.[00:33:55] Copyright issues arise when sampling AI-generated music.[00:37:03] Cathy's Middle East speaking tour and CES 2025 lineup updates.[00:39:33] Holiday spending is shifting to experiences over products.[00:42:14] Book picks: the future of storytelling and understanding people.[00:44:49] Gaming culture highlights: Dungeon Crawler Carl, FNAF 2, and Stranger Things.[00:46:34] Key takeaways: physical AI, hardware ownership, and authentic human connection. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:37:31 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Ces dernières semaines plusieurs sondages ont fait polémiques. L'heure est à la réflexion. Comment sont fabriqués les sondages ? En avons-nous de trop ? Sont-ils tous de qualité ? Quels usages politiques et médiatiques en sont faits ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:32 - Le Grand reportage de France Inter - Face au narcotrafic, les élus de Fontaine, dans l'agglomération de Grenoble, ont décidé d'occuper le terrain, pour faire fuir les dealers et redonner confiance aux habitants. Une opération qui porte ses fruits, au moins à court terme. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Join The Full Nerd gang as they talk about the latest PC building news. In this episode the gang talks about Adam's recent trip to Intel's performance testing lab, Black Friday deals for PC parts, how generative AI is hitting game developers and much more. And of course we answer your questions live! Links: - Cheap Black Friday build: https://www.pcworld.com/article/2992089/i-crafted-the-cheapest-black-friday-gaming-pc-build-again-its-brutal-this-year.html - CES 2026 expectations: https://videocardz.com/newz/what-to-expect-from-amd-nvidia-and-intel-at-ces-2026 - 9850X3D leaks: https://www.pcgamer.com/hardware/processors/amd-has-just-launched-the-ryzen-7-9850x3d-with-zero-fanfare-and-i-think-i-understand-why/ - Intel 1% GPU marketshare: https://www.pcworld.com/article/2996364/intel-storms-back-to-power-1-percent-of-pc-graphics-cards.html Join the PC related discussions and ask us questions on Discord: https://discord.gg/WWnEzTDhw Follow the crew on X and Bluesky: @AdamPMurray @BradChacos @MorphingBall @WillSmith ============= Read PCWorld! Website: http://www.pcworld.com Newsletter: http://www.pcworld.com/newsletters/signup =============
En 1962, Kennedy informe de Gaulle qu'une taupe du KGB a infiltré la Défense française et trahit l'OTAN. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il fut un protecteur, un allié, peut-être plus. Entre Letizia Bonaparte et le comte de Marbeuf, l'histoire laisse planer un trouble qui ne s'est jamais tout à fait dissipé.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre les ombres de Pierre le Grand et de Catherine II, se déploie un règne inattendu et flamboyant mais pourtant oublié : celui d'Élisabeth Petrovna, impératrice de Russie.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre les ombres de Pierre le Grand et de Catherine II, se déploie un règne inattendu et flamboyant mais pourtant oublié : celui d'Élisabeth Petrovna, impératrice de Russie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.