POPULARITY
Categories
Nombreux sont ceux pour qui l'absence de Richard Cœur-de-Lion, parti guerroyer en Terre sainte, était une aubaine. Et pour qui son retour serait une catastrophe… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il aura été le dernier des grands peintres français de l'Ancien Régime – et cependant, rien d'officiel, rien de pompeux dans l'art de monsieur Fragonard, « Frago » pour les intimes auquel nous rendons visite dans son atelier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ces derniers jours, la démocratie n'a pas bonne presse au Gondwana... Rediffusion du 22 février 2024.
Bienvenue dans cette nouvelle Pépite Papa PhD ! Dans cet excerpt de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur reconnu, il parle de comment communiquer efficacement la science, même face à la pseudoscience et aux sujets polarisants. On a parlé de l'importance de l'empathie, de la nuance et de surmonter la peur de prendre la parole publiquement. Le message à retenir : 95% des gens sont prêts à entendre la vérité, alors ose partager tes connaissances et prends ta place dans la discussion scientifique. À très vite pour une nouvelle dose d'inspiration ! Olivier Bernard est un communicateur scientifique passionné par le partage du savoir et l'engagement du milieu académique dans la société. Après avoir constaté que la diffusion des connaissances demeure peu valorisée dans le monde universitaire, il s'est donné pour mission d'encourager ses collègues, en particulier les jeunes chercheurs, à prendre la parole dans l'espace public, malgré leurs doutes et les craintes face aux sujets polarisants. Lui-même a développé ses compétences en communication en acceptant toutes les occasions de s'exprimer dans des émissions, des chroniques ou des podcasts, convaincu que l'aisance s'acquiert par l'expérience. Aujourd'hui, il milite pour que la vulgarisation scientifique soit reconnue, et inspire les universitaires à surmonter leurs hésitations pour participer activement au dialogue public. Points à retenir : Osez prendre la parole : Même lorsque vous débutez, chaque voix compte. Dire « oui » aux invitations à des podcasts, chroniques ou émissions permet de gagner de l'aisance et de la légitimité en communication. Privilégiez l'empathie et la nuance : Faire preuve de compréhension envers les personnes possédant des croyances erronées ouvre la voie à des échanges constructifs, plutôt qu'à la confrontation. Gardez en tête l'impact positif : 95% du public apprécie l'accès à une information claire et vraie, même si une minorité bruyante résiste. Ne laissez pas cette minorité freiner votre envie de partager la science ! Pourquoi écouter cet épisode ? Ces conseils sont précieux, surtout quand il s'agit de débattre autour de la pseudoscience ou du climat, sujets si importants et pourtant si souvent controversés. Envoie-nous tes commentaires : Vous souhaitez réagir à cet épisode ou proposer un(e) invité(e) pour une prochaine entrevue ? Rien de plus simple : rendez-vous sur speakpipe.com/papaphd pour enregistrer un court message vocal. Nous avons hâte de vous entendre ! Passe à l'écoute : Ne manque pas cet épisode captivant et suis “Au-delà de la thèse avec Papa PhD” sur ton application préférée pour ne jamais rater une occasion d'apprendre davantage sur la réalité du marché du travail après le doctorat. Écoute cette pépite maintenant et laisse-toi inspirer par le parcours de Manon! Liens de l'épisode Olivier Bernard | Site Web Olivier Bernard | Instagram Transcription de l'épisode David Mendes: Salut. Dans cette nouvelle pépite papa PHD, je t'apporte une partie de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur scientifique reconnu pour son combat contre la pseudoscience. On discute de l'importance de la communication, de l'humour pour rendre la science accessible et surtout de l'impact qu'on peut avoir même quand ça semble difficile. Le message, osez communiquer, soyez nuancé et rappelez-vous, la majorité des gens sont prêts à entendre la vérité. Bonne écoute. Bienvenue sur au-delà de la thèse avec papa PHT. Ton inspiration hebdomadaire pour le développement de carrière après le doctorat. Avec moi, David Mendes. David Mendes: J'aimerais quand même un peu maintenant apporter un un peu de de ton expérience et faire le parallèle avec des jeunes chercheurs qui sont maintenant en train de faire leur doctorat ou leur maîtrise et qui ont un peu ce désir de, par exemple, combattre la pseudo science en lien avec le climat. Ce que j'aimerais, ce serait de poser la question de comment est-ce que tu te positionnes en tant que jeune chercheur dans ce type de conversation souvent qui sont polémiques et et c'est quoi des bons principes pour des fois dans des conversations qui peuvent avoir l'air un peu perdues déjà au départ de quand même avoir des résultats positifs et de pas juste se frustrer ou ou se fâcher. C'est quoi des des bons principes pour être dans une conversation avec quelqu'un que tu sais qui est comme un sceptique ou ou qui a une pseudo croyant une croyance, une fausse croyance très enracinée. Est-ce que tu en as appris au cours de ces années Olivier Bernard: Oui, j'ai tellement de choses à dire là-dessus. Je vais essayer de je vais essayer de résumer tout ça puis en particulier parce que là tu me poses la question par rapport à des jeunes chercheurs chercheuses des gens qui seraient au doctorat ou au post-doctorat par exemple ou même des des jeunes chercheurs qui sont demandés mais j'ai envie de commencer ça. Bon premièrement on le sait là le le les gens du milieu académique ça fait partie de la mission académique de diffuser le savoir donc c'est pas très valorisé malheureusement c'est pas ça qui donne des de t'investir sur la place publique, de participer à des podcasts, ce n'est pas ça qui fait que tu as des demandes de que tu as plus de subventions et plus de bourses malheureusement, mais on le sait que ça fait partie de la mission académique de le faire. Moi, je le sens quand je parle à des gens du milieu académique, des universitaires, je sens un désir il y a beaucoup de gens qui aimeraient ça pouvoir parler et il rencontre certaines barrières la première étant je sais pas comment faire je suis peut-être pas assez bon je suis peut-être pas assez bonne ça j'adresse ça rapidement moi il faut que je convainque souvent les gens que oui ils sont assez bons il faut souvent là que je me batte avec les gens là en disant comme oui non regarde je te dis que tu es capable go donc des fois les gens ont besoin de vaincre cette espèce de résistance là puis la faire aussi c'est que si on cessait pas on deviendra jamais bon c'est devenir un bon communicateur une bonne communicatrice exprimée bien c'est quelque chose qu'on développe par l'expérience donc si vous avez des invitations à des podcasts vous avez des invitations à des émissions à faire des chroniques des télé radio sur le web dites oui à tout moi c'est ça que j'ai fait personnellement au début je disais oui à tout qui était dans mon champ de compétences puis c'est comme ça que j'ai développé une certaine aisance deuxième chose c'est sûr qu'aujourd'hui ça fait un peu peur de parler de certains sujets sur la place publique il y a beaucoup de sujets qui sont polarisants qui sont délicats et puis ça je comprends complètement je comprends complètement des universitaires de dire ça j'ai pas envie de m'embarquer là-dedans moi il y a des gens que je contacte puis qui me disent j'aimerais vraiment ça pouvoir faire une entrevue avec toi là-dessus mais j'ai peur des conséquences que ça va avoir sur j'ai peur des qui est du backlash des choses comme ça. David Mendes: Est-ce qu'il va apparaître dans ma boîte courriel tout à coup Olivier Bernard: Ouais. Ben moi il y a déjà un chercheur qui m'a dit que un de ses collègues s'était fait crever ses pneus de voiture quand il y avait parlé d'un sujet en particulier sur lequel je lui demandais de parler il m'a dit je vais le faire mais je te dirais je te cacherai pas que j'ai peur tu sais je pense qu'en ce moment c'est un nouveau phénomène mais je pense qu'il faut pas non plus comment dire il faut il faut quand même s'investir il faut ceci puis il y a moyen puis je le dis là moi ça fait 10 ans que je fais ça j'ai dit des choses vraiment là que maintenant je leur dirais pas les choses de la même façon parce que je me rends compte que ça a fâché des gens que c'était pas la bonne manière de m'y prendre garde un moment donné là il y a moyen de le faire il y a moyen de se positionner sur des sujets qui sont délicats on peut le faire d'une manière nuancée je pense que la clé parce que tu me demandais comment le faire je pense que la clé là c'est que il faut l'aborder avec beaucoup d'empathie puis de compréhension pour l'autre c'est à dire que moi puis moi j'ai encore une fois j'ai commencé comme ça en 2012 là j'étais vraiment comme telle croyance c'est faux pour telle raison puis les gens qui croient ça ben ils devraient pas croire à ça c'est pas une bonne façon de faire c'est on le voit dans la recherche là d'y aller par une méthode qui est confrontationnelle ça marche pas donc je pense qu'au départ il faut aborder la question sous l'angle de et moi là cette croyance là imperistante dans l'espace public ça m'intéresse je me demande pourquoi les gens croient à ça je comprends aussi pourquoi les gens croient ça je pense que c'est normal c'est quand j'ai lu j'ai lu ça c'est normal d'avoir des doutes normal d'être inquiet aussi d'avoir des inquiétudes de dire aussi qu'il y a un fond de vérité souvent c'est rare qu'il y a des croyances qui ont complètement fausses puis qu'il y a absolument rien de vrai il y a souvent des choses vraies puis après à travers ça il y a des choses qui sont peut-être un peu exagérées donc de le présenter plus sous cet angle là plutôt que d'arriver juste en disant c'est faux pour la raison suivante moi personnellement quand j'ai vu des gens faire ça quand moi je l'ai fait généralement ça se passe bien c'est ça la réalité c'est quatre-vingt-quinze pour 100 des gens sont toujours très heureux d'avoir accès à la bonne information puis je pense que le 5 de gens qui sont toujours très mécontents si on a tendance à mettre beaucoup de focus là-dessus ou d'avoir peur ou tout ça je pense pas que c'est la bonne approche David Mendes: et 95 c'est déjà très bon en effet Olivier Bernard: C'est un chiffre approximatif, là. J'utilise souvent ce chiffre-là 95/5, là. Quatre-vingt-quinze pourcent des gens sont contents mais le 5 pourcent qui sont pas contents, ils font quatre-vingt-quinze pour 100 du bruit là. David Mendes: Ah oui c'est ça c'est ça Olivier Bernard: Mais ça, il faut il faut toujours se ramener à la plupart des gens sont très contents en ce moment qu'on puisse parler de ça. David Mendes: Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de la saison 6 d'au-delà de la thèse avec papa PHP. Tu as une question sur cette entrevue Tu veux laisser un commentaire sur le balado Tu veux recommander quelqu'un pour une autre entrevue Rends-toi sur speak pipe point com slash papa phd et laisse-moi un message vocal. Clique sur le gros bouton enregistrer et laisse-moi un message de jusqu'à quatre-vingt-dix secondes. Je les écoute tous et je les considère tous pour passer sur des épisodes à venir. Encore une fois c'est speak pipe point com slash papa PHD. Bien d'entendre ta voix. Merci Olivier ! Si cette pépite Papa PhD avec Olivier Bernard t'a plu, fais-lui en part en cliquant sur le lien ci-dessous et en lui laissant un message sur LinkedIn : Clique ici pour le remercier sur Twitter ! Clique ici pour partager avec David le principal message que tu retiens de cet épisode ! Si tu trouves de la valeur dans le contenu que je t'apporte chaque semaine, clique sur l'un des boutons ci-dessous et renvoie-moi l'ascenceur Don sur PayPal Deviens supporter sur Patreon ! Ou paye-moi un café Tu aimeras aussi ces épisodes : Pépite Papa PhD – La clé de l'entreperneuriat étudiant avec Manon Fantino : PapaPhD.com/pepite-001-entrepreneuriat-etudiant/ Erika Dupont – Le parcours doctoral est-il au service des jeunes chercheur·e·s ? Rémi Quirion – Projeter les jeunes chercheur.e.s dans des carrières d'avenir : PapaPhD.com/203 ComSciCon Québec – Assia Asrir – Valoriser son doctorat pour réussir sa transition vers le privé
Peut-on apprendre à lire, écrire ou parler grâce à l'intelligence artificielle ? Des enseignants et formatrices partagent leur expérience avec les outils numériques éducatifs. A l'occasion du XVIe congrès mondial de la Fédération internationale des professeurs de français, nous vous proposons une émission enregistrée à Besançon où est rassemblée pendant la communauté mondiale des professeurs de français. Les outils numériques et l'intelligence artificielle sont de plus en plus présents dans le quotidien des enseignants. Mais comment les professeurs de français s'en servent-ils réellement ? Ces technologies peuvent-elles aider à mieux enseigner, à gagner du temps, à stimuler la créativité des élèves ? Ou risquent-elles de remplacer des aspects essentiels du métier, comme la relation humaine ou le plaisir de lire et d'écrire ? L'IA peut-elle enrichir l'enseignement du français ? Et comment accompagner les enseignants dans cette transition numérique ? Avec : • Viviane YOUX, professeure de français et formatrice, présidente du comité d'organisation de Besançon2025 - XVIe congrès mondial de la Fédération internationale des professeurs de français • Deborah GROS, enseignante-formatrice de français langue étrangère, réalisatrice radiophonique et chargée de projets pédagogiques au service Langue française de RFI. Présentatrice du podcast En cours, le rendez-vous des profs de FLE • Christelle MIGNOT, Directrice académique de l'Alliance française de Lima, Pérou. • Agatha TUMWINE, professeure à l'Université de Makerere, dans le Département des Langues européennes et orientales, et présidente de l'association des professeurs de français en Ouganda. • Srunika KANNAN, professeure de français à l'Université de Chennai en Inde. Programmation musicale : ► The Wandering - Patrick Watson & MARO ► Settle Down - AYLØ
Ces derniers jours, la démocratie n'a pas bonne presse au Gondwana... Rediffusion du 22 février 2024.
Peut-on apprendre à lire, écrire ou parler grâce à l'intelligence artificielle ? Des enseignants et formatrices partagent leur expérience avec les outils numériques éducatifs. A l'occasion du XVIe congrès mondial de la Fédération internationale des professeurs de français, nous vous proposons une émission enregistrée à Besançon où est rassemblée pendant la communauté mondiale des professeurs de français. Les outils numériques et l'intelligence artificielle sont de plus en plus présents dans le quotidien des enseignants. Mais comment les professeurs de français s'en servent-ils réellement ? Ces technologies peuvent-elles aider à mieux enseigner, à gagner du temps, à stimuler la créativité des élèves ? Ou risquent-elles de remplacer des aspects essentiels du métier, comme la relation humaine ou le plaisir de lire et d'écrire ? L'IA peut-elle enrichir l'enseignement du français ? Et comment accompagner les enseignants dans cette transition numérique ? Avec : • Viviane YOUX, professeure de français et formatrice, présidente du comité d'organisation de Besançon2025 - XVIe congrès mondial de la Fédération internationale des professeurs de français • Deborah GROS, enseignante-formatrice de français langue étrangère, réalisatrice radiophonique et chargée de projets pédagogiques au service Langue française de RFI. Présentatrice du podcast En cours, le rendez-vous des profs de FLE • Christelle MIGNOT, Directrice académique de l'Alliance française de Lima, Pérou. • Agatha TUMWINE, professeure à l'Université de Makerere, dans le Département des Langues européennes et orientales, et présidente de l'association des professeurs de français en Ouganda. • Srunika KANNAN, professeure de français à l'Université de Chennai en Inde. Programmation musicale : ► The Wandering - Patrick Watson & MARO ► Settle Down - AYLØ
Et si les histoires d'amour les plus anciennes étaient aussi les plus folles ? Cet été, À la folie, pas du tout explore les liaisons mythologiques, de la Grèce antique à Rome, entre dieux capricieux, mortels éperdus et destins brisés. Ces récits fondateurs révèlent des passions brûlantes, parfois cruelles, souvent dérangeantes. À écouter au soleil… ou à l'ombre des tragédies. L'Hindouisme est une des plus anciennes religions du monde encore largement pratiquée aujourd'hui., et compte 300 millions de dieux et de déesses et ses concepts sont très différents de nos mythologies occidentales. Les trois dieux les plus importants sont : Brahma, le créateur, Vishnou, le conservateur, et Shiva, le destructeur. C'est à l'histoire de Shiva que nous allons nous intéresser dans cet épisode. A son histoire d'amour avec Parvati, et à leur fils, Ganesh, un des dieux les plus vénérés en Inde. Un podcast Bababam Originals Ecrit et raconté par Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Alors que le Mossad a été salué pour ses infiltrations en Iran, c'est désormais Israël qui se trouve exposé. Un réseau d'espions liés à Téhéran a été démantelé sur son territoire. Une découverte pouvant raviver les tensions encore vives et fragiles. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si la couleur de demain venait des plantes ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux nous invite à imaginer l'avenir de la teinture végétale et des plantes tinctoriales à l'horizon 2050. Avec une prise de conscience collective croissante, il est essentiel de s'engager vers des pratiques plus durables et innovantes. À travers des discussions enrichissantes, nous découvrons cinq futurs potentiels pour la teinture végétale qui pourraient transformer notre rapport à la couleur. Au programme, la biologie et les couleurs intelligentes, la couleur soin, la circularité et la durabilité, ainsi que la transparence et la traçabilité des couleurs. Emilie Roulland, notre intervenante passionnée, partage des exemples concrets de projets innovants, comme l'utilisation de déchets pour créer des teintures circulaires et des soins pour la peau. Ces initiatives illustrent parfaitement comment les colorants végétaux peuvent s'inscrire dans une démarche d'économie circulaire. Nous abordons également les impacts des changements climatiques sur les plantes tinctoriales et l'importance de développer des pratiques agricoles régénératives. Comment l'agriculture tinctoriale peut-elle évoluer pour préserver nos précieuses fibres naturelles et pigments végétaux ? Écoutez Emilie partager ses réflexions et ses expériences sur ces questions cruciales. Ensemble, nous explorons un monde où l'indigo, la garance et d'autres nuances de couleur végétale prennent une place centrale dans notre quotidien. La fin de l'épisode se veut optimiste, soulignant que de nombreuses initiatives existent déjà, prouvant que l'avenir de la teinture végétale est non seulement possible, mais prometteur. Ne manquez pas cette opportunité d'en apprendre davantage sur les biotechnologies et les savoir-faire ancestraux qui s'allient à l'innovation pour redéfinir notre approche de la couleur. Pour aller plus loin, découvrez des liens utiles sur les projets mentionnés dans l'épisode et rejoignez la conversation autour de l'ArtEcoVert. Pour une écoute inspirante et enrichissante, plongez dans cet épisode et laissez-vous emporter par la magie des teintures végétales et des plantes tinctoriales ! Belle écoute,PaulineArtEcoVert informe et inspire celles et ceux qui veulent repenser la couleur autrement, et les accompagne dans leur transition vers une couleur plus durable — avec des témoignages concrets le jeudi
Nicolas Baverez et Anne de Guigné reviennent sur les réactions politiques au plan budgétaire de François Bayrou. Son projet d' « année blanche » pour économiser 44 milliards d'euros suscite des débats, mais également une cohésion au sein du parti LR. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si cette suppression n'est pas la mesure majeure du plan budgétaire de François Bayrou, elle est la plus concrète et symbolique. En touchant à des droits acquis, elle masque d'autres mesures moins visibles mais tout aussi, voire plus, importantes. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Manon Tissidre est la coordinatrice du Réseau Centres de Soins Faune Sauvage (25 des 100 centres français).Quelques chiffres plutôt qu'un long discours :Environ 100 000 animaux de 800 espèces différentes sont traités chaque année, avec une augmentation de 20% par an.92 % des animaux blessés rapportés arrivent pour des causes anthropiques.En moyenne 50% des animaux rapportés peuvent être relâchés, les autres meurent ou sont euthanasiés.Le coût moyen d'un animal en soin est de 0,83 € / jour / animal, contre 100 € / jour chez un vétérinaire et 1300 à 3000 € dans un hôpital humain. Ces 0,83 € sont 4 fois inférieurs aux besoins réels minimum.En tout en France, il y a moins de 150 personnes salariées pour s'occuper de la faune sauvage en détresse. Plus de 80% des effectifs des centres sont bénévoles.Manon et Aurélien partagent quelques dessins/vannes/mèmes parmi les plus drôles.___
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Racheté en 2021, le groupe Lapeyre traverse une période difficile. Son nouveau dirigeant mise sur la fidélisation des clients pour relancer la croissance et inverser la tendance. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La France compte 11 jours fériés dans son calendrier, mais François Bayrou propose d'en supprimer deux afin de réaliser des économies. Un débat récurrent qui continue d'agiter l'opinion publique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pékin multiplie les manœuvres militaires en mer de Chine, alimentant les craintes d'une invasion de Taïwan. Sur place, l'île se prépare à se défendre, dans un contexte de reconnaissance internationale fragile et d'alliances incertaines. Un bras de fer géopolitique à haut risque, sous l'œil attentif des Etats-Unis. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Though we've long been huge fans of single-case research designs—what behavior analyst isn't?—and hold peer-reviewed research papers as one of our favorite genres of non-fiction, is it possible that not every research paper is…on the level? Sadly, for many coplex reasons, not every research paper you read is without risk for following questionable research practices. To help our field put a stop to this, Dr. Matthew Tincani has some ideas on how we can do better by looking at a number of open science practices. This week, Dr. Tincani called out the best and brightest to has out what needs to be fixed (and how we can do it) and is ready to share what might be next for identifying (and stopping) questionable research practices. This episode is available for 1.0 LEARNING CEU. Articles discussed this episode: Tincani, M., Gilroy, S.P., & Dowdy, A. (2024). Extensions of open science for applied behavior analysis: Preregistration for single-case experimental designs. Journal of Applied Behavior Analysis. doi: 10.1002/jaba.2909 Tincani, M., Travers, J., Dowdy, A., Slocum, T.A.,& Dietrich, R. (2025). Questionable and improved research practices in single-case experimental design: Initial investigation and findings. Perspectives on Behavior Science. doi: 10.1007/s40614-025-00441-9 If you're interested in ordering CEs for listening to this episode, click here to go to the store page. You'll need to enter your name, BCBA #, and the two episode secret code words to complete the purchase. Email us at abainsidetrack@gmail.com for further assistance.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parmi les conséquences de la Révolution française, la moins spectaculaire ne fut pas la chute de la Sérénissime République de Venise, après 1100 ans d'indépendance et de grandeur… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. (Rediffusion) 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle. La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. » Bâtiments en ruines En ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen. Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. » Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmes La Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. » Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. » Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnels Aux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann. À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. » Transmettre la mémoire Face aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. » La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. » Transmettre, un poids ou un défi ? Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ». À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. » Ginette Kolinka, passeuse de mémoire Quelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée. Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
Tout le monde a entendu parler de l'écriture Braille. Ces petits points en relief qu'on trouve sur les boutons d'ascenseur, les boîtes de médicaments, ou sur les poignées de portes d'hôtel. Mais peu de gens savent d'où ça vient. Et surtout, qui a eu l'idée brillante de rendre l'écriture lisible sans les yeux ? Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:06:30 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous explorons le nouveau paysage des musiques populaires en France. Aujourd'hui, une artiste ayant sorti son premier album en 2023 et déjà accablée de succès, de prix et même d'une décoration officielle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
In this episode of AwesomeCast, co-hosts Michael Sorg and Dave Podnar dive into the latest tech trends, gadgets, and geek culture from Pittsburgh and beyond. Sorg shares a hands-on review of the Backbone USB-C mobile game controller, and Dave unveils a jaw-dropping 115-inch Hisense Mini-LED TV that costs as much as a car. We explore tech headlines including the consolidation of ChromeOS and Android, Google's AI-powered NotebookLM, and how Xbox is pushing console-less gaming with Fire TV bundles. Plus, hear from Intern John about Picklesburgh adventures and travel plans, and enjoy a rapid-fire roundup in Chachi's Video Game Minute, featuring a major shakeup on Steam and FBI action on ROM sites.
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
Après trois jours de violences et de tirs dans la ville druze de Soueïda, les autorités syriennes annoncent un cessez-le-feu. La situation reste pourtant confuse. Depuis dimanche, plus de 300 personnes ont été tuées selon l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme. Ces heurts ont mis en lumière la difficulté pour le nouveau gouvernement syrien d'asseoir son autorité sur l'ensemble du pays.
Sean is CEO of the new Destination Media and GSTV. He was recruited to lead the next generation of growth following a joint venture announcement that combined the assets and operations of Verifone's media division with the former Gas Station TV, owned by Detroit-based Rockbridge Growth Equity and Falcon Investment Advisors. The combined business now operates under the GSTV brand and deliver 3.3 billion brand safe 1-to-1 annual impressions from over 29,000+ locations in all 50 states.Sean previously served as EVP – Strategy & Partnerships at Clear Channel Outdoor, Americas. While at CCO he led all strategic revenue activity with leading agency and brand partners and pioneered new product and partnership approaches to OOH, DOOH and integrated media campaigns. He's been continually focused on driving business results by understanding the evolution of media, the consumer journey and behavioral insights by using data, technology and the power of content to drive brand and consumer engagement. While at Clear Channel he also led industry sales and marketing initiatives across verticals, integrated sales partnerships, industry events such as Cannes Lions, CES, ANA events and so on and he has been a featured speaker and writer. He also led global client outreach & strategy which created first-to-market global client and agency partnerships across technology, fashion, beverages and more as well leading global agency holding companies.Prior to his last role, Sean held a variety of executive sales and marketing positions across North American regions. He began his career at a private-equity backed media company which ultimately grew to a 9-figure IPO and subsequent acquisition and consolidation of an industry sector. Working for both small and large organizations and public and private ownership, he has a broad point-of-view of managing organizational change, integration, business growth strategy, team strategy development and collaborative leadership and vision.
Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022, près de 200 milliards d'euros d'actifs russes sont gelés en Europe. S'ils produisent toujours des intérêts, leur gestion suscite aujourd'hui de vives inquiétudes, notamment de la part de la direction d'Euroclear, géant européen du dépôt de titres. En cause : le risque juridique et financier d'une mauvaise utilisation de ces fonds. Décryptage. Depuis février 2022, l'Union européenne a gelé environ 200 milliards d'euros d'avoirs appartenant à la Banque centrale de Russie et à plusieurs entités ou individus russes. Ces fonds sont principalement logés chez Euroclear, à Bruxelles. Bien que la Russie ne puisse pas y accéder, ces actifs continuent de générer des intérêts : en 2023, ils ont rapporté plus de 4 milliards d'euros. L'Union européenne refuse pour l'instant de toucher au capital lui-même, considéré comme appartenant encore à la Russie. Cependant, les intérêts produits sont en partie utilisés pour soutenir financièrement l'Ukraine. Bruxelles envisage désormais d'aller plus loin en investissant ces liquidités dans des placements financiers susceptibles de générer davantage de revenus. À lire aussiUE: validation d'une utilisation des avoirs russes gelés pour l'Ukraine L'avertissement d'Euroclear : prudence extrême Cette possibilité d'investissement soulève de sérieuses inquiétudes. La directrice générale d'Euroclear, Valérie Urbain, a récemment tiré la sonnette d'alarme : selon elle, investir ces avoirs dans des produits financiers plus risqués reviendrait à « ouvrir la boîte de Pandore ». Le principal problème est juridique : c'est que les avoirs restent russes. Utiliser le capital, même indirectement, pourrait être perçu comme une forme d'expropriation. Et si ces investissements venaient à mal tourner, Euroclear, en tant que dépositaire, pourrait être tenue de rembourser la Russie sans avoir les fonds disponibles. Un risque systémique pour l'Europe Au-delà du cas russe, ce débat soulève une question plus large sur la sécurité juridique des capitaux étrangers détenus en Europe. Une décision précipitée ou risquée pourrait saper la confiance des investisseurs internationaux et faire grimper le coût de la dette pour les pays européens. C'est précisément ce que redoute Euroclear : que l'Europe, en exploitant ces avoirs russes, déclenche une crise de confiance majeure sur les marchés mondiaux. Le sujet sera d'ailleurs au cœur des discussions à Bruxelles dans les semaines à venir, lors d'un nouveau round de négociations mené par la Commission européenne. À lire aussiL'UE annonce un prêt de 35 milliards d'euros à l'Ukraine financé par les avoirs gelés russes
Dans un article du journal Libération, l'historienne Laure Murat alerte sur les dérives de la réécriture d'œuvres jugées offensantes. Face aux contenus racistes, antisémites ou sexistes du passé, elle prône non pas une « purification » de ces derniers, mais une meilleure contextualisation. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si les histoires d'amour les plus anciennes étaient aussi les plus folles ? Cet été, À la folie, pas du tout explore les liaisons mythologiques, de la Grèce antique à Rome, entre dieux capricieux, mortels éperdus et destins brisés. Ces récits fondateurs révèlent des passions brûlantes, parfois cruelles, souvent dérangeantes. À écouter au soleil… ou à l'ombre des tragédies. Le mythe d'Isis et Osiris est un des récits les plus importants de l'Egypte Ancienne. Pendant plus de trois millénaires, le culte Osirien a perduré, jusqu'à la conquête de l'Egypte par l'Empire Romain et l'avènement du christianisme. Cette histoire incroyable nous parvient des hiéroglyphes des pyramides et de quelques auteurs grecs, comme Plutarque dans son traité Sur Isis et Osiris. C'est une histoire qui a plusieurs versions, nous avons choisi de vous raconter la plus répandue, mais libre à vous d'aller chercher l'interprétation du mythe qui vous plaira le plus. Un podcast Bababam Originals Ecrit et raconté par Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
In this episode of AwesomeCast, co-hosts Michael Sorg and Dave Podnar dive into the latest tech trends, gadgets, and geek culture from Pittsburgh and beyond. Sorg shares a hands-on review of the Backbone USB-C mobile game controller, and Dave unveils a jaw-dropping 115-inch Hisense Mini-LED TV that costs as much as a car. We explore tech headlines including the consolidation of ChromeOS and Android, Google's AI-powered NotebookLM, and how Xbox is pushing console-less gaming with Fire TV bundles. Plus, hear from Intern John about Picklesburgh adventures and travel plans, and enjoy a rapid-fire roundup in Chachi's Video Game Minute, featuring a major shakeup on Steam and FBI action on ROM sites.
Christophe Barbier et Géraldine Woessner réagissent à la stratégie du Premier ministre pour réduire le déficit public, avec un objectif d'économies de 44 milliards d'euros. L'idée d'une « année blanche » et la suppression de deux jours fériés provoquent de vives réactions dans la classe politique et l'opinion publique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 16/07/2025 Le duo Terrenoire, composé des frères Raphaël et Théo Herrerias, puise son nom dans leur ville d'origine de Saint-Étienne, symbole du passé charbonnier. Révélés en 2022 aux Victoires de la Musique, ils ont, depuis, enchaîné 120 concerts avant de faire une pause pour concevoir leur deuxième album, “Protégé.e”. Ce disque intime et engagé aborde l'amour, la maladie, la mort et l'écologie, avec cette volonté constante qui leur est propre de créer du lien. Fidèles à une démarche artistique ancrée dans le social, les deux frères multiplient les échanges avec leur public lors de leurs tournées. Lundi 14 juillet, Donald Trump a lancé un nouvel ultimatum : il donne 50 jours à Vladimir Poutine pour conclure un cessez-le-feu en Ukraine. Faute de quoi la Russie serait frappée par une hausse de 100 % des droits de douane et Kiev bénéficierait d'un soutien militaire renforcé. Mais la crédibilité de Trump interroge, tant ses positions sur l'Ukraine ont été fluctuantes. Quant aux sanctions commerciales, leur impact reste limité : les importations russes aux États-Unis sont passées de 29 à 2 milliards de dollars depuis 2022. Le délai de 50 jours, critiqué par l'UE, pourrait permettre à la Russie de poursuivre son offensive estivale, alors que les frappes sur les civils ukrainiens s'intensifient. Ces annonces américaines peuvent-elles réellement freiner Poutine, ou l'Ukraine risque-t-elle de perdre du terrain, voire la guerre ?Enfin, Théophile Cossa nous parle de la nouvelle application pour vérifier en ligne l'âge des internautes et Marjorie Adelson nous emmène à Portofino, commune la plus riche d'Italie, qui a décidé d'interdire la mendicité. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 16/07/2025 Lundi 14 juillet, Donald Trump a lancé un nouvel ultimatum : il donne 50 jours à Vladimir Poutine pour conclure un cessez-le-feu en Ukraine. Faute de quoi la Russie serait frappée par une hausse de 100% des droits de douane et Kiev bénéficierait d'un soutien militaire renforcé. Ces annonces américaines peuvent-elles réellement freiner Poutine ?On en débat avec Muriel Domenach,ancienne ambassadrice de France auprès de l'OTAN (2019-2024), Florian Louis, historien des relations internationales, et Régis Genté, correspondant de RFI dans l'ancien espace soviétique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Send us a textBrought to you by our friends at BLACKOUT COFFEE!! (Promo code KINGHAP saves 20%) https://www.blackoutcoffee.com/?p=Hy85hLyRLHigh energy morning show live from The Fantasy Sports Network! DURING THE “DEAD ZONE” … King Hap smashes headlines, UFC, PACMAN's RETURN, NBA news and MLB Fantasy! All during one of the only days of the year with NO PRO SPORTS! As always great chats with all the VIPS!!!Enjoy a Listen & a Coffee with a couple hundred friends talking sports to start you day off right!!!This episode was recorded live on the network infront of Happy Hour V.I.P.sIf you want to be part of the live tapingsfollow us on Twitchhttps://m.twitch.tv/thehappyhourscorwww.TheHappyHourSocialClub.comAS ALWAYSThe Happy Hour is brought to you by the official Top Shelf Alcohol of the Happy Hour!CLEARWATER DISTILLERY https://shop.clearwaterdistilling.com/PROMO CODE KINGHAPSAVES 10% and free shipping over $100OLD SCHOOL LABSAmazing Supplements made for Amazing people!TRY OATMEAL CREAM PIE PROTEIN! Save 15% site wide with promo code Kinghaphttps://shop.oldschoollabs.com/KINGHAP
En 1774, le roi montre les signes d'une grande fatigue physique et morale : il faut dire qu'il est sujet depuis toujours à des accès de neurasthénie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'une des figures les plus atypiques du XVIIe siècle fut sans conteste l'aventurier Jean-Baptiste Tavernier, qui parcourut le monde à la recherche de pierres précieuses. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:17 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Les interdits alimentaires évoquent souvent la religion, mais des régimes non religieux, comme le végétarisme, émergent aussi. Ces choix questionnent nos habitudes : pourquoi tout ce qui est comestible n'est-il pas consommé ? Et pourquoi considère-t-on certains aliments comme comestibles ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Olivier Assouly Enseignant à l'ESAD Reims et à l'ESDMAA; Florence Burgat Philosophe, directrice de recherche à l'ENS
Les combats s'intensifient à nouveau au Soudan. Les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont pris d'assaut plusieurs villages dans la province de Kordofan, au centre du pays. Un groupe d'avocats pro-démocratie les accuse d'avoir mené des raids meurtriers faisant près de 300 morts, dont des enfants et des femmes enceintes. Ces attaques surviennent alors que les combats entre paramilitaires et l'armée se poursuivent également dans l'ouest du pays.
[PARTENAIRE] Mieux consommer, sans se compliquer la vie, c'est possible ! Greenweez, ce sont +180 000 produits bio et engagés livrés chez vous, sans abonnement. Testez l'appli ou leur sur greenweez.com
durée : 00:41:14 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Ce mardi 15 juillet, François Bayrou a présenté les grandes lignes du budget 2026. Réduction des dépenses sociales, suppression de jours fériés, lutte contre la fraude sociale et fiscale… Ces réformes réussiront-elles à convaincre les autres groupes parlementaires pour échapper à la censure ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:11 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous explorons le nouveau paysage des musiques populaires en France. Aujourd'hui, une artiste qui circule entre plusieurs idiomes dansants avec une inventivité sans complexe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
Plus d'une tonne de cocaïne, répartie dans 49 sacs, a été trouvée ce dimanche, par des agents de la police nationale. C'est l'une des saisies les plus importantes de ces 30 dernières années, précise le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Haïti est une plaque tournante du trafic de drogue dans la région, complète Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Cette situation est due à l'expansion des gangs armés, mais pas seulement. Un réseau international «structuré composé d'anciens militaires, de membres de la police, de parlementaires et de chefs d'entreprises, actif en Haïti et aux États-Unis, s'est formé, depuis les années 1980», explique Gotson Pierre. Ces trafiquants utilisent notamment le commerce de l'anguille pour blanchir leurs revenus. «Les multiples saisies de drogue sur les côtes nord et sud d'Haïti montrent que c'est une organisation bien rodée», ajoute le journaliste d'Alterpresse. Le Premier ministre haïtien est aux États-Unis La situation en Haïti est au cœur du voyage d'Alix Didier Fils-Aimé aux États-Unis. Le Premier ministre, qui n'a rencontré aucun responsable américain de premier plan, sera de retour le 17 juillet. Les États-Unis tirent la sonnette d'alarme. Ils estiment que la crise sécuritaire haïtienne constitue une menace directe pour la sécurité régionale et nationale du pays. Ce déplacement suscite, par ailleurs, des tensions internes. L'agenda d'Alix Didier Fils-Aimé n'a pas été communiqué à tous les membres du gouvernement, précise Gotson Pierre. À trois semaines de la fin de la présidence de Fritz Alphonse Jean, «échéance hautement symbolique dans le calendrier de la transition» selon le directeur d'Alterpresse, le CPT est à nouveau dans la tourmente. Donald Trump peut poursuivre le démantèlement du ministère de l'Éducation La Cour suprême a validé les licenciements ordonnés par le président américain et comme il s'agit d'une procédure d'urgence, elle n'a pas motivé sa décision, précise le Washington Post. On ne sait pas non plus qui a voté pour ou contre. Mais les trois juges progressistes de la Cour (sur un total de 9) ont fait savoir leur opposition, raconte le journal. Dans un communiqué, ils ont dénoncé une «décision indéfendable». «Quand le pouvoir exécutif annonce son intention de violer la loi, puis met cette promesse à exécution, le devoir du pouvoir judiciaire est de faire barrage à cette illégalité, pas de la faciliter», peut-on lire. Ces trois juges estiment que la Cour suprême a accru les prérogatives du président. Comme le rapporte le New York Times, selon eux, seul le Congrès, qui a créé ce ministère il y a environ un demi-siècle, a le pouvoir de le supprimer. La décision de Donald Trump n'a jamais été soumise à l'approbation des parlementaires, précise le quotidien. Le pouvoir de l'exécutif se trouve ainsi renforcé, et le ministère de l'Éducation est lui affaibli, juge le New York Times. Comme le raconte le quotidien, en marge de cette bataille judiciaire, des employés ont déjà été renvoyés : ceux qui avaient un contrat précaire. L'administration a également offert à certains de partir en retraite anticipée. Enfin, en mars, Donald Trump a ordonné des licenciements massifs et bien que la justice ait suspendu cette décision, très peu de fonctionnaires ont été réintégrés. Résultat, le ministère de l'Éducation qui comptait 4.000 employés au début de l'année, ne fonctionne aujourd'hui qu'avec la moitié de ces effectifs, explique le New York Times. À quoi sert le ministère de l'Éducation américain ? Si l'éducation est surtout gérée par les autorités locales aux États-Unis, le ministère de l'Éducation joue quand même un rôle important dans certains domaines. «Il est responsable de la gestion du programme fédéral de prêts aux étudiants qui s'élève à 1,6 milliard de dollars, des subventions aux écoles primaires et secondaires, des tests de réussite et des réglementations sur les droits civiques dans les écoles», détaille le Washington Post. Autant de missions que le ministère n'a plus vraiment les moyens d'accomplir, juge le New York Times pour qui «ces efforts pour abolir ce ministère font partie d'un agenda plus large des conservateurs qui veulent que plus d'argent aille aux écoles privées et à l'enseignement à la maison.» La grande loi budgétaire voulue par Donald Trump et approuvée récemment prévoit d'ailleurs d'importants crédits d'impôt pour l'enseignement privé, souligne le quotidien. Le ministère de l'Éducation continue de jouer un rôle en ce qui concerne les droits civiques. Là encore, Donald Trump s'en sert pour son agenda politique, raconte le New York Times. Le président l'utilise pour obliger les établissements scolaires à faire machine arrière en matière de lutte contre les discriminations. Finies par exemple, les équipes de sport composées d'étudiants transgenres ou les toilettes ouvertes à tous les élèves. En revanche, pour ce qui est de l'accès à l'école des enfants handicapés, cela n'intéresse pas Donald Trump, pointe le quotidien qui relève qu'il s'agit pourtant d'un droit civique. Le Mexique voit rouge au sujet des tomates Les droits de douane de 17% sur les tomates importées de ce pays, décidés hier par Donald Trump, provoque des remous. «Aucun pays ne peut nous remplacer», mettent en garde les producteurs mexicains de tomates, dans les colonnes du quotidien argentin Infobae. 90% des tomates mangées aux États-Unis, viennent du Mexique, précise El Financiero. Un fruit difficile à transporter car il contient beaucoup d'eau, précise un expert au journal Milenio. Les États-Unis ne peuvent donc pas se passer du Mexique, se rassurent les fermiers mexicains, indique Infobae. Ils rappellent qu'en 2019, les États-Unis avaient déjà suspendu l'accord de libre-échange qui lie les deux voisins, avant de faire marche arrière 4 mois plus tard. «La raison va prévaloir» cette fois, encore estiment-ils. L'Argentine déclassifie des archives nazies Le président Javier Milei a décidé de rendre public des archives liées à l'accueil de nazis après la Seconde Guerre mondiale. Alors que l'Europe peinait à se relever, l'Argentine, elle, était en plein boom économique. Pour soutenir cette croissance, le président Juan Perón a fait venir des milliers d'Européens. Les conditions d'accueil étaient généreuses, et les contrôles d'identité quasiment inexistants. Environ 12.000 nazis ont ainsi trouvé refuge en Argentine sous la présidence de Perón. «Ils menaient une vie discrète, sous un faux nom, parce qu'ils savaient qu'ils étaient recherchés», raconte l'historien Julio Mutti interrogé par Achim Lippold. «Plus tard, un décret d'amnistie du gouvernement péroniste leur a permis de reprendre leur vrai nom sans trop d'explications. Ils n'avaient pas de rôle social notable. Leur impact sur la société argentine de l'époque était très limité.» Il faut attendre le retour de la démocratie pour que la vérité émerge et que les archives soient déclassifiées sur décision du président Carlos Menem, en 1992. Grâce à ces documents, «nous savons désormais clairement qui est venu, où ils ont vécu, comment ils sont arrivés, sous quel nom, comment ils se sont cachés — tout cela est connu et a déjà été publié. Ce qui, en revanche, reste obscur, c'est l'origine des ressources financières ayant permis leur fuite. Pour une opération de cette ampleur, il a fallu de l'argent. Ce n'était ni simple, ni bon marché», explique Ariel Gelblung, directeur du Centre Simon Wiesenthal à Buenos Aires. Pour approfondir les recherches sur ces financements, le Centre Wiesenthal s'est tourné directement vers Javier Milei, en février 2025. Le président a accepté de leur faciliter l'accès à toutes les archives et «depuis, chaque fois que nous avons une requête, les services nous transmettent les documents. Il y a une directive en ce sens», poursuit Ariel Gelblung. Le gouvernement argentin a également commencé à mettre les documents en ligne. Mais les experts ne s'attendent pas à faire des découvertes majeures. Comme l'explique Julio Mutti, «90% de ce qu'il y avait à découvrir l'a déjà été (...) Le seul élément vraiment nouveau, ce sont des procès-verbaux de l'entreprise publique « Fabricaciones Militares ». Il y avait un projet de faire venir des techniciens étrangers, qui a bien eu lieu. On estime qu'environ 300 techniciens sont venus, dont des Polonais et d'autres pays qui étaient en guerre avec l'Allemagne nazie. Mais il y avait aussi des Allemands. Le problème, c'est qu'on ne sait pas encore si certains d'entre eux étaient des criminels de guerre ou des membres du parti nazi.» Selon le directeur du Centre Wiesenthal, Ariel Gelblung, les résultats des recherches menées par son équipe seront publiés au printemps 2026, le temps d'examiner tous les nouveaux documents disponibles, soit environ 38 kilomètres d'archives. Le journal de la 1ère En Martinique, la gendarmerie reçoit des renforts.
La vie de Louis Aragon, poète, génie littéraire, journaliste et militant acharné, va suivre tous les rebondissements du XXe siècle, pour le meilleur et pour le pire. Son parcours passionné suscita aussi bien l'admiration que de vives polémiques. Franck Ferrand vous raconte. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant 60 ans, les circonstances précises de la disparition du grand écrivain Saint-Exupéry sont restées un mystère. Au début de ce siècle, l'exploration de l'épave de son avion a permis de relancer l'enquête… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 4 juillet dernier, l'influenceuse Soraya Riffy a été victime d'un home-jacking chez elle à Marseille. La jeune femme de 30 ans, suivie par un million d'abonnés sur Instagram, a expliqué avoir été ligotée, frappée et menacée par plusieurs agresseurs dans son appartement, qui lui ont dérobé une montre Rolex, un bracelet Cartier et des sacs de luxe de contrefaçon.Les home-jackings, ces vols commis en présence des occupants d'une maison ou d'un appartement, sont parfois très violents, car commis par de jeunes malfaiteurs inexpérimentés. Ces cambriolages touchent de plus en plus de personnes, y compris des particuliers qui ne sont pas dans la lumière. Code source décrypte ce fléau qui prend de l'ampleur avec deux journalistes du Parisien : Damien Delseny, chef du service police-justice et Victoire Haffreingue-Moulart, journaliste à la cellule police-justice Ile-de-FranceÉcoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a eu 350 ans, Vatel, le grand organisateur des fêtes du XVIIe siècle, se donnait la mort pour n'avoir pu satisfaire le roi…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.