Podcasts about azf

durée : 00:03:46 - Le journal de 6h30 FB Occitanie - TotalEnergies poursuit ses travaux de démantèlement et de réhabilitation de l'ancien site de l'usine chimique AZF à Toulouse. Des travaux débutés en août 2024 et qui doivent s'achever avant l'été.

durée : 00:03:59 - Le journal de 8h30 FB Occitanie

Pour cette transmission, Amplitudes se plonge dans la première année du IIIème millénaire, c'est-à-dire 2001. Pour beaucoup, ça rappellera probablement et surtout les terribles attentats du World Trade Center et du Pentagone, ou l'explosion de l'usine AZF de Toulouse. Moi, j'avais que dix ans et je crois que Thomas était même pas encore né, donc je me souviens plutôt de la sortie de la Game Boy Advance et de Harry Potter au cinéma, chacun son truc. Mais y avait aussi plein de bonne musique au tournant du siècle dernier, avec l'âge d'or de l'IDM et l'apparition de l'ambient glitché comme jaja. Entre autres. Saut dans le temps pour cet épisode donc, et on vous invite au voyage. Bonne écoute. Tracklist : Gridlock - Voiceless (Trace, 2001) Fennesz - Before I Leave (Endless Summer, 2001) Bogdan Raczynski - MyLoveILove 6 (MyLoveILove, 2001) Jan Jelinek - Rock in the Video Age (Loop-Finding-Jazz-Records, 2001) Ulver - Darling Didn't We Kill You? (Silencing the Singing, 2001) Masakatsu Takagi - Fround (Pia, 2001) Shpongle - Once Upon the Sea of Blissful Awareness (Tales of the Inexpressible, 2001) Calibre - Vice (Musique Concrete, 2001) Xploding Plastix - Behind the Eightball (Amateur Girlfriends Go Proskirt Agents, 2001) Monolake - Indigo (Cinemascope, 2001) Röyksopp - A Higher Place (Melody A.M., 2001) Markus Guentner - Untitled 7 (In Moll, 2001) Photo : Opening of 2001: A Space Odyssey (Remake), SumoSebi (2023)

(Premier épisode) À partir du mois de décembre 2003, de mystérieux maîtres chanteurs jouent avec les nerfs du ministère de l'Intérieur.Dans des courriers anonymes à la fois inquiétants et déroutants, adressés alors à Nicolas Sarkozy, un groupe baptisé « AZF » menace de poser des bombes sur les voies de la SNCF. Ces terroristes revendiqués réclament plusieurs millions de dollars et de francs sous peine de provoquer un drame ferroviaire. Après la découverte d'un engin explosif à l'endroit indiqué par les malfaiteurs, les policiers se disent qu'ils ont affaire à des personnes déterminées.Alors que l'information n'a pas fuité dans la presse, la place Beauvau tente de négocier en toute discrétion, en communiquant avec le groupe par petites annonces interposées dans le journal Libération.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Clara-Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

(Deuxième et dernier épisode) À partir du mois de décembre 2003, de mystérieux maîtres chanteurs jouent avec les nerfs du ministère de l'Intérieur.Dans des courriers anonymes à la fois inquiétants et déroutants, adressés alors à Nicolas Sarkozy, un groupe baptisé « AZF » menace de poser des bombes sur les voies de la SNCF. Ces terroristes revendiqués réclament plusieurs millions de dollars et de francs sous peine de provoquer un drame ferroviaire. Après la découverte d'un engin explosif à l'endroit indiqué par les malfaiteurs, les policiers se disent qu'ils ont affaire à des personnes déterminées.Alors que l'information n'a pas fuité dans la presse, la place Beauvau tente de négocier en toute discrétion, en communiquant avec le groupe par petites annonces interposées dans le journal Libération.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Clara-Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

durée : 00:55:17 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Certains s'en souviennent peut-être, c'était en 2004. Pendant plusieurs mois, un groupe terroriste menaçait l'Etat de faire exploser des bombes sur le réseau SNCF. - réalisé par : Frédéric Milano

Mediator, affaire Kerviel, AZF, affaire Tapie-Crédit Lyonnais, procès Cahuzac, affaire Carlos Ghosn, …De plus en plus de procès défraient la chronique et peuvent susciter une couverture médiatique défavorable avant même que le verdict soit rendu. Face à cet emballement, comment protéger la réputation des accusés ? Comment conjuguer le temps long de la justice avec le rythme des médias et réseaux sociaux ? Quels risques à communiquer en marge d'un procès ? Guillaume Didier, Président France de Forward Global, partage son expérience en matière de communication judiciaire et ses conseils en la matière. Bonne écoute !__ Pour poursuivre les discussions, me faire part de vos retours ou de vos commentaires, RDV sur LinkedIn

SAISON 2 - ÉPISODE 1 - MINIMA GESTÉPour ce nouvel épisode de La Queenterview j'ai décidé d'inviter une des drags qui a fait le plus parler d'elle cette année : Minima Gesté.Elle a porté la flamme olympique le 14 juillet dernier, comme une récompense pour ses engagements. Cette icône du drag parisien est au bingo, ce que les chevaux sont au tiercé.Toulouse, AZF, crush, imprimante, colle à perruque nonobstant, Meurte-et-Moselle.C'est parti pour la saison 2 de @laqueenterview.podcastRéférences de l'épisode :Jeu de société : BiovivaPremiers Secours - Vous pouvez vous formez aux gestes de premiers secours de plein de manière différente, grâce à votre employeur. Mais il y'a aussi des formations dispensées par les mairies, mais aussi par la Croix Rouge, les casernes de pompier.Artistes cité-es pendant l'épisode :Diamanda Callas @diamanda.callasAngelica Stratrice @angelica_stratriceClémence Tru @thetrueclemencetruGigi là Bas dans le Noir @gigilabasdanslenoirGigitattoos @gigitattoosLes Pailettes @paillettesqueershowSidragtion @sidragtionSidaction @sidactionEnza Fragola @enzafragolaEmily Tante @emily_tanteAmsterdam's Begging BabesRecommendations de MinimaJouez à Pokemon !Livre : 4% - Matthias Chaillot @mathiaschaillot éditions @editionsgouttedorRemerciements :Mia pour les questions.

Sperm need to do so much more than just swim to make a pregnancy! Join Dr. Carrie Bedient from The Fertility Center of Las Vegas, Dr. Abby Eblen from Nashville Fertility Center and Dr. Susan Hudson from Texas Fertility Center for another episode of Fertility Docs Uncensored as they answer YOUR questions about sperm and male factor testing. The docs cover a wide variety of male factor infertility as they discuss potential causes for low sperm counts like AZF microdeletions and testosterone use. They review alternatives for collecting sperm for use in treatment as well as additional testing to consider. This very informative and entertaining episode covers a wide range of male factor and sperm-related topics, so join the docs to be entertained as you listen and learn. Have questions about infertility?  Visit FertilityDocsUncensored.com to ask our docs. Selected questions will be answered anonymously in future episodes.Today's episode is brought to you by Path Fertility 

Le 16 février dernier, la justice a condamné un ancien chef d'entreprise et son ex-employée à 5 et 3 ans de prison dans l'affaire de la fausse cellule terroriste AZF. En 2004, ce groupe avait menacé de faire exploser des bombes le long de la voie ferrée, et réclamé plusieurs millions d'euros de rançon. L'histoire commence en décembre 2003, quand une lettre arrive à l'Elysée : un groupe qui se présente sous le nom de « AZF » prévient qu'il va bientôt passer à l'action. AZF envoie d'autres lettres au début de l'année 2004, dans lesquelles il affirme avoir posé des bombes artisanales sur le réseau de chemin de fer, et exige une rançon pour ne pas les faire exploser. Les autorités prennent l'affaire au sérieux, et tentent d'entrer en contact avec la cellule terroriste via les petites annonces du journal Libération. Pour Code source, Timothée Boutry et Clara Seren-Rosso, journalistes au service police justice du Parisien, reviennent sur l'affaire AZF.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de Catastrophes - Histoires Vraies et de milliers d'autres histoires sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Crimes - Histoires Vraies, Espions - Histoires Vraies ou encore Paranormal - Histoires Vraies.

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Avec Christian Pizzocaro. Cet ancien pompier désormais âgé de 74 ans a vécu de près la plus grande catastrophe industrielle française : l'explosion survenue sur le site de l'usine AZF le 21 septembre 2001 à Toulouse, un incident qui a fait 31 morts et plus de 20.000 blessés. A l'époque, lui est confié le poste de responsable des opérations de secours à la dernière minute, alors que rien n'est prêt pour affronter un tel événement.

À 46 ans, elle s'apprête, le 21 juin, à prendre la tête du premier syndicat de France. En tant que secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon succèdera à Laurent Berger qui passe la main après plus de dix ans en première ligne. Le choix de la continuité. Son arrivée à la tête de la CFDT n'est pas une surprise : elle était la numéro deux de Laurent Berger depuis le congrès de Rennes en 2018. À l'époque, elle est élue par les adhérents avec 97,97% des suffrages. C'est à peine moins que les 99% qu'elle avait obtenu quatre ans plus tôt lorsque, à 37 ans, elle était devenue secrétaire nationale en charge des questions industrielles. Elle est alors la mieux élue des dix membres de l'instance dirigeante de la CFDT.Marylise Léon connaît bien l'industrie. Elle est titulaire d'un DESS « Qualité chimique et biologique des atmosphères », l'équivalent d'un master. Après ses études, elle rejoint un cabinet de conseil où elle travaille sur les questions de sécurité environnementale en entreprise. Une période au tout début des années 2000, marquée par l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001. L'événement met au cœur des débats la question de la sécurité, notamment environnementale, des sites industriels. Deux ans plus tard, consciente de ses lacunes, la fédération chimie-énergie de la CFDT lui demande de former les militants sur ces questions.Sensibilisée très tôt aux questions d'environnementUn parcours qui la sensibilise aux questions d'environnement et de transition climatique quand celles-ci n'étaient pas encore à la mode. « Si on veut changer l'économie, la mettre au service de l'écologie et de la lutte contre les injustices sociales, ça ne peut pas être "fromage ou dessert", expliquait-elle en 2020. Ce qui veut dire qu'on va être confronté à des dilemmes : lorsque vous avez des secteurs entiers carbonés qui doivent aller vers une transition écologique, il va y avoir des enjeux en termes d'emploi et de travail. » La solution, veut-elle croire, c'est « la qualité du dialogue social » pour « associer les gens aux décisions qui les concernent ». Sa philosophie. En 2015, en amont de la COP21, la conférence de l'ONU sur le climat qui se déroule à Paris, elle publie même un article académique détaillant une « approche syndicale du Développement durable ».Marylise Léon prendra la tête du premier syndicat de France le jour du solstice d'été. Comme le symbole d'une page qui se tourne après un hiver et un printemps social bouillants. Une période que Laurent Berger a résumée d'une formule quasi oxymorique : « Une défaite productive. » D'un côté, les syndicats sortent vaincus : la réforme des retraites est passée, sans vote à l'Assemblée nationale, dans la douleur, mais elle a été adoptée et à partir de septembre, elle va s'appliquer. De l'autre, cela fait longtemps que les syndicats n'avaient pas été aussi populaires, ils engrangent à nouveau des adhésions et surtout, ils ont réussi à bâtir une intersyndicale solide. Et c'est en partie grâce au travail de Marylise Léon. Construire l'intersyndicale sans coup fourré« Marylise a été en responsabilité pour conduire l'intersyndicale contre la réforme des retraites pour la CFDT et moi, j'avais ce rôle pour la CGT », explique Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT. Toutes les deux se connaissent donc très bien. « Nous avons des relations de confiance, très amicales. Elle avait la détermination de construire l'intersyndicale de manière franche et sans coup fourré. » Même son de cloche chez Benoît Teste, secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) : « On connaît très bien Marylise, elle a fait la preuve d'une grande ouverture d'esprit. C'est quelqu'un qui est prêt à discuter autant que Laurent Berger. Je ne doute pas qu'on aura avec elle la même capacité à travailler sur ce qui nous unit. »L'échec de la mobilisation à faire reculer le gouvernement va-t-il créer des brèches dans l'intersyndicale ? On a pu entendre, notamment dans les manifestations ou au sein des fédérations, certains et certaines regretter que l'intersyndicale n'ait pas fait le choix de durcir le mouvement. Début mars, quand les responsables syndicaux appellent à « mettre la France à l'arrêt », Marylise Léon temporisait aussitôt : « L'idée n'est pas de bloquer la France mais de bloquer cette réforme. » Les mauvaises langues en ont déduit que c'est la CFDT qui freinait des quatre fers.Critique balayée par Catherine Perret : « Il n'y avait pas de divergence majeure sur la stratégie des luttes, assure-t-elle aujourd'hui. Le 7 mars, l'ensemble des 13 organisations, toute l'intersyndicale a appelé à la grève. De mémoire de syndicaliste, ce n'était jamais arrivé. Mais force est de constater qu'on n'a pas réussi à mettre le pays à l'arrêt. » Dans ces conditions, impossible selon elle de « passer un cap supplémentaire ». L'arrivée de Marylise Léon à la tête de la CFDT, tous ceux à qui nous avons parlé en sont convaincus, est au contraire le gage de la continuité, y compris dans le dialogue intersyndical.Une succession préparée de longue dateLaurent Berger la prépare à sa succession depuis longtemps. C'est en tout cas l'impression qu'a eu François Rebsamen. En 2014, il était le ministre du Travail de François Hollande. À ce titre, l'ex-socialiste a souvent rencontré les syndicats, notamment pour les négociations sur la rénovation du dialogue social entre le Medef et les représentants des salariés. Il se souvient que Marylise Léon accompagnait presque toujours Laurent Berger, et il a eu l'impression d'assister à un début de transmission. « C'est une femme précise dans ses propositions, sincère et qui cherche toujours des solutions », se souvient l'actuel maire de Dijon.« Malheureusement à l'époque, je ne veux pas dire du mal, mais on avait un responsable du patronat, Pierre Gattaz, qui était particulièrement difficile à bouger. Mais avec opiniâtreté elle est tout de même parvenue à obtenir des avancées. Au prix de compromis, mais c'est ça le sens de la négociation et c'est bien l'esprit de la CFDT. » Laurent Berger, lui-même est « serein » au moment de passer la main. Il l'a dit à RFI lors de la dernière grande manifestation contre la réforme des retraites, le 6 juin 2023. « C'est une grande militante, une responsable aguerrie, elle a de l'expérience : elle est prête, assure-t-il. C'est la vie d'une organisation démocratique normale de passer la main de façon apaisée. Moi je suis très fier que la CFDT soit capable de le faire et d'avoir demain une secrétaire générale. »Plus de 20 ans après Nicole Notat, une femme à la tête de la CFDTPour la CFDT, ça n'est pas une première : de 1992 à 2002, Nicole Notat avait dirigé le syndicat, accompagnant aussi son virage « réformiste ». « Nous étions un peu précurseurs, rappelle Evelyne Rescanières, secrétaire générale de la Fédération CFDT Santé Sociaux. Aujourd'hui, nous avons un peu plus de femmes que d'hommes adhérents, donc c'est un juste retour des choses. » Elle n'est pas non plus inquiète de voir Laurent Berger passer la main. « Marylise est dans le paysage depuis longtemps, elle est bien identifiée des adhérents, elle a un bon contact avec les militants et les structures. On se doutait que ça allait se passer comme ça et c'est plutôt rassurant de pouvoir organiser une transition sereine dans un contexte social compliqué. »Son arrivée, après celle - plus agitée - de Sophie Binet à la tête de la CGT, va aussi contribuer à dépoussiérer un peu une intersyndicale encore trop masculine. « Je n'étais pas très fier d'être sur des photos où il y avait beaucoup d'hommes et peu de femmes, reconnaît au micro de RFI Benoît Teste de la FSU. C'est une très bonne chose que l'intersyndicale se féminise et qu'on puisse donner une image un peu plus normale de ce qu'est la société et le syndicalisme. »« Les syndicats sont sortis de leurs grottes préhistoriques », s'amusait elle-même Marylise Léon. Et si « le combat syndical n'est pas un sprint mais une course de fond », pour reprendre une formule de Laurent Berger, il n'y a pas de quoi l'effrayer : la course à pied, elle connaît. Sur internet, on trouve encore la trace de ses performances passées. En 2018, par exemple, elle a couru le semi-marathon de Paris en 2 heures, 5 minutes et 24 secondes. Dans quelques jours, commence pour elle une course de plus longue haleine encore.

À 46 ans, elle s'apprête, le 21 juin, à prendre la tête du premier syndicat de France. En tant que secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon succèdera à Laurent Berger qui passe la main après plus de dix ans en première ligne. Le choix de la continuité. Son arrivée à la tête de la CFDT n'est pas une surprise : elle était la numéro deux de Laurent Berger depuis le congrès de Rennes en 2018. À l'époque, elle est élue par les adhérents avec 97,97% des suffrages. C'est à peine moins que les 99% qu'elle avait obtenu quatre ans plus tôt lorsque, à 37 ans, elle était devenue secrétaire nationale en charge des questions industrielles. Elle est alors la mieux élue des dix membres de l'instance dirigeante de la CFDT.Marylise Léon connaît bien l'industrie. Elle est titulaire d'un DESS « Qualité chimique et biologique des atmosphères », l'équivalent d'un master. Après ses études, elle rejoint un cabinet de conseil où elle travaille sur les questions de sécurité environnementale en entreprise. Une période au tout début des années 2000, marquée par l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001. L'événement met au cœur des débats la question de la sécurité, notamment environnementale, des sites industriels. Deux ans plus tard, consciente de ses lacunes, la fédération chimie-énergie de la CFDT lui demande de former les militants sur ces questions.Sensibilisée très tôt aux questions d'environnementUn parcours qui la sensibilise aux questions d'environnement et de transition climatique quand celles-ci n'étaient pas encore à la mode. « Si on veut changer l'économie, la mettre au service de l'écologie et de la lutte contre les injustices sociales, ça ne peut pas être "fromage ou dessert", expliquait-elle en 2020. Ce qui veut dire qu'on va être confronté à des dilemmes : lorsque vous avez des secteurs entiers carbonés qui doivent aller vers une transition écologique, il va y avoir des enjeux en termes d'emploi et de travail. » La solution, veut-elle croire, c'est « la qualité du dialogue social » pour « associer les gens aux décisions qui les concernent ». Sa philosophie. En 2015, en amont de la COP21, la conférence de l'ONU sur le climat qui se déroule à Paris, elle publie même un article académique détaillant une « approche syndicale du Développement durable ».Marylise Léon prendra la tête du premier syndicat de France le jour du solstice d'été. Comme le symbole d'une page qui se tourne après un hiver et un printemps social bouillants. Une période que Laurent Berger a résumée d'une formule quasi oxymorique : « Une défaite productive. » D'un côté, les syndicats sortent vaincus : la réforme des retraites est passée, sans vote à l'Assemblée nationale, dans la douleur, mais elle a été adoptée et à partir de septembre, elle va s'appliquer. De l'autre, cela fait longtemps que les syndicats n'avaient pas été aussi populaires, ils engrangent à nouveau des adhésions et surtout, ils ont réussi à bâtir une intersyndicale solide. Et c'est en partie grâce au travail de Marylise Léon. Construire l'intersyndicale sans coup fourré« Marylise a été en responsabilité pour conduire l'intersyndicale contre la réforme des retraites pour la CFDT et moi, j'avais ce rôle pour la CGT », explique Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT. Toutes les deux se connaissent donc très bien. « Nous avons des relations de confiance, très amicales. Elle avait la détermination de construire l'intersyndicale de manière franche et sans coup fourré. » Même son de cloche chez Benoît Teste, secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) : « On connaît très bien Marylise, elle a fait la preuve d'une grande ouverture d'esprit. C'est quelqu'un qui est prêt à discuter autant que Laurent Berger. Je ne doute pas qu'on aura avec elle la même capacité à travailler sur ce qui nous unit. »L'échec de la mobilisation à faire reculer le gouvernement va-t-il créer des brèches dans l'intersyndicale ? On a pu entendre, notamment dans les manifestations ou au sein des fédérations, certains et certaines regretter que l'intersyndicale n'ait pas fait le choix de durcir le mouvement. Début mars, quand les responsables syndicaux appellent à « mettre la France à l'arrêt », Marylise Léon temporisait aussitôt : « L'idée n'est pas de bloquer la France mais de bloquer cette réforme. » Les mauvaises langues en ont déduit que c'est la CFDT qui freinait des quatre fers.Critique balayée par Catherine Perret : « Il n'y avait pas de divergence majeure sur la stratégie des luttes, assure-t-elle aujourd'hui. Le 7 mars, l'ensemble des 13 organisations, toute l'intersyndicale a appelé à la grève. De mémoire de syndicaliste, ce n'était jamais arrivé. Mais force est de constater qu'on n'a pas réussi à mettre le pays à l'arrêt. » Dans ces conditions, impossible selon elle de « passer un cap supplémentaire ». L'arrivée de Marylise Léon à la tête de la CFDT, tous ceux à qui nous avons parlé en sont convaincus, est au contraire le gage de la continuité, y compris dans le dialogue intersyndical.Une succession préparée de longue dateLaurent Berger la prépare à sa succession depuis longtemps. C'est en tout cas l'impression qu'a eu François Rebsamen. En 2014, il était le ministre du Travail de François Hollande. À ce titre, l'ex-socialiste a souvent rencontré les syndicats, notamment pour les négociations sur la rénovation du dialogue social entre le Medef et les représentants des salariés. Il se souvient que Marylise Léon accompagnait presque toujours Laurent Berger, et il a eu l'impression d'assister à un début de transmission. « C'est une femme précise dans ses propositions, sincère et qui cherche toujours des solutions », se souvient l'actuel maire de Dijon.« Malheureusement à l'époque, je ne veux pas dire du mal, mais on avait un responsable du patronat, Pierre Gattaz, qui était particulièrement difficile à bouger. Mais avec opiniâtreté elle est tout de même parvenue à obtenir des avancées. Au prix de compromis, mais c'est ça le sens de la négociation et c'est bien l'esprit de la CFDT. » Laurent Berger, lui-même est « serein » au moment de passer la main. Il l'a dit à RFI lors de la dernière grande manifestation contre la réforme des retraites, le 6 juin 2023. « C'est une grande militante, une responsable aguerrie, elle a de l'expérience : elle est prête, assure-t-il. C'est la vie d'une organisation démocratique normale de passer la main de façon apaisée. Moi je suis très fier que la CFDT soit capable de le faire et d'avoir demain une secrétaire générale. »Plus de 20 ans après Nicole Notat, une femme à la tête de la CFDTPour la CFDT, ça n'est pas une première : de 1992 à 2002, Nicole Notat avait dirigé le syndicat, accompagnant aussi son virage « réformiste ». « Nous étions un peu précurseurs, rappelle Evelyne Rescanières, secrétaire générale de la Fédération CFDT Santé Sociaux. Aujourd'hui, nous avons un peu plus de femmes que d'hommes adhérents, donc c'est un juste retour des choses. » Elle n'est pas non plus inquiète de voir Laurent Berger passer la main. « Marylise est dans le paysage depuis longtemps, elle est bien identifiée des adhérents, elle a un bon contact avec les militants et les structures. On se doutait que ça allait se passer comme ça et c'est plutôt rassurant de pouvoir organiser une transition sereine dans un contexte social compliqué. »Son arrivée, après celle - plus agitée - de Sophie Binet à la tête de la CGT, va aussi contribuer à dépoussiérer un peu une intersyndicale encore trop masculine. « Je n'étais pas très fier d'être sur des photos où il y avait beaucoup d'hommes et peu de femmes, reconnaît au micro de RFI Benoît Teste de la FSU. C'est une très bonne chose que l'intersyndicale se féminise et qu'on puisse donner une image un peu plus normale de ce qu'est la société et le syndicalisme. »« Les syndicats sont sortis de leurs grottes préhistoriques », s'amusait elle-même Marylise Léon. Et si « le combat syndical n'est pas un sprint mais une course de fond », pour reprendre une formule de Laurent Berger, il n'y a pas de quoi l'effrayer : la course à pied, elle connaît. Sur internet, on trouve encore la trace de ses performances passées. En 2018, par exemple, elle a couru le semi-marathon de Paris en 2 heures, 5 minutes et 24 secondes. Dans quelques jours, commence pour elle une course de plus longue haleine encore.

durée : 00:55:17 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Certains s'en souviennent peut-être, c'était en 2004. Pendant plusieurs mois, un groupe terroriste menaçait l'Etat de faire exploser des bombes sur le réseau SNCF.

Elektrische Flugzeuge mit FAA Zulassung, Die Firma Boeing und der Erwerb von BZF I und II, sowie des AZF auf der Aero uvm., das sind heute unsere Themen in dieser Folge.

Link to bioRxiv paper: http://biorxiv.org/cgi/content/short/2022.12.12.520033v1?rss=1 Authors: Wu, Y., Huang, J., Ding, N., Lu, M., Wang, F. Abstract: Non-obstructive azoospermia is the most serious cause of male infertility. The testis has a special immunological environment, but the relationship between immune cells in the testicular microenvironment is still unclear. Therefore, it is urgent to identify the interaction mechanism and molecular determinants of immune cells in the testicular microenvironment. To further elucidate the etiology of azoospermia and provide a reference for the treatment of azoospermia. The GSE145467 and GSE9210 datasets were analyzed by Limma package, and then the differential genes were analyzed by enrichment analysis and protein-protein interaction analysis. In addition, we combined single-cell analysis(scRNA) to identify immune cell types and verified the expression of Hub genes in these immune cells. Finally, CellChat was used for cell-to-cell communication analysis. We found the distribution of immune cells in the microenvironment of Y chromosome AZF region microdeletions (AZFa_Del), idiopathic NOA (iNOA), and Klinefelter syndrome (KS) was significantly different from that of normal adults, especially monocytes/macrophages. In normal subjects, monocytes/macrophages mainly played the role of the signal source, while in patients with azoospermia, monocytes/macrophages mainly received signals from other immune cells. Monocytes/macrophages in AZFa_Del, iNOA, and KS communicated with other immune cells mainly through MDK-LRP1, PTN-NCL, and MDK-NCL ligand-receptor pairs respectively. Our research provides new ideas for the pathogenesis and treatment of azoospermia. Copy rights belong to original authors. Visit the link for more info Podcast created by Paper Player, LLC

A la rentrée 2022, les sujets liés à l'énergie sont devenus prioritaires à cause de la crise énergétique à venir. Pour tenter de pallier cette situation, une solution est évoquée par les États. Il s'agit du gaz naturel liquéfié. D'un côté, la crise de l'énergie qui annonce un hiver froid et difficile pour les Français. De l'autre, la guerre en Ukraine, rendant impossible l'acheminement de gaz russe puisque la Russie est soumise à des sanctions de l'Union européenne. Et évidemment, ces deux sujets sont liés ! Rappelons que la Russie a toujours été la principale source d'énergie pour l'Europe. En plus d'une crise géopolitique, l'Europe connaît désormais une crise énergétique marquée par l'augmentation du prix du gaz. Quelle est la particularité de ce gaz ? Où trouve-t-on principalement du gaz naturel liquéfié ? Et comment stocker ce gaz ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce que la précarité énergétique ? Qu'est-ce que la famine climatique ? Qu'est-ce que AZF ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Ce mercredi après-midi, des explosions ont été entendues dans une usine à Bergerac, en Dordogne. Les employés ont été évacués, plusieurs ont été blessés. L'incident a eu lieu dans une poudrerie qui produit des explosifs pour munitions.Elle est classé Seveso seuil haut, mais que signifie ce classement ? On pose la question à Yves Pulici, journaliste BFMTV. 

En 2022, EDF se prépare à sa renationalisation. Pour faire face à la crise énergétique, l'Etat qui était alors propriétaire du géant de l'énergie à 83,9 %, a fait le choix de porter sa part à 100 % et devrait débourser plus de 8 milliards d'euros pour réaliser cette opération. Qu'est-ce que la précarité énergétique ? En 2021, au moins 12 millions de Français sont concernés par la précarité énergétique, selon le Médiateur national de l'énergie. L'organisme estime qu'un ménage français sur cinq vit dans une passoire thermique ou bien ne peut pas se chauffer normalement. Symbole de l'importance de ce sujet, en novembre 2021 a eu lieu la première Journée contre la précarité énergétique. La précarité énergétique caractérise les ménages n'ayant pas accès à l'énergie nécessaire dans leur lieu d'habitation principal pour recourir à des besoins primaires, c'est-à-dire chauffer son logement, avoir de l'eau chaude et suffisamment d'électricité. Cette précarité énergétique est-elle plus importante qu'avant ? Comment est prise en compte cette problématique par l'État ? Et que font les fournisseurs d'énergie pour lutter contre cette précarité ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce qu'une zone à faibles émissions ? Qu'est-ce que AZF ? Qu'est-ce que la famine climatique ? Si vous souhaitez écouter les épisodes sans interruption, rendez-vous sur la chaîne Bababam+ d'Apple Podcasts : https://apple.co/3NQHV3I Abonnement Maintenant Vous Savez : https://apple.co/3x8liRx Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les Femmes s'emparent d'ELAB, ça reprend ! Après une saison 2021-2022 bien chargée, notre programme spécial FEELAB continue à mettre en lumière la scène féminine et non-binaire. Ce soir, c'est la Rennaise Digé M0m0 qui lance les festivités d'été !DIGÉ M0M0 : Digé M0m0 fait ses premières armes en tant que DJ vers 2017, quand elle commence à mixer aux soirées de son école, les beaux arts de Nice. C'est là qu'elle organise sa première soirée, dans un squat artistique. Dans le cadre de ses études, elle passe par Bruxelles et Athènes où elle aura de nouveau des occasions de jouer. À son retour en France, elle devient résidente pour Radio Tikka (Marseille), puis se met à la production. Installée à Rennes depuis un an, elle a pu faire quelques dates depuis, elle est aussi devenue résidente de radio Vacarme (Bruxelles). Vous pourrez la voir au bar l'Été indien à Rennes le 20 juillet prochain.LE SET  : "En général, je joue les dernières découvertes qui m'ont satisfaites. Je fais une composition progressive en fonction de mon humeur. Pour les styles ici, il y a pas mal de break, de gabber, d'acid et de trance. Je mets pas mal l'accent sur la jeune création, mais ça m'arrive de mettre des sons qui me rendent nostalgique des année fin 90/2000/2010."DES MODÈLES D'ARTISTES FEMMES ?"Pour moi il y a Sophie, je débute mon set avec elle, et Azo. Sophie était pour moi l'une des productrices les plus impressionnantes par la diversités de ses propositions et la richesse des sonorités qu'elle proposait. Et Azo, je l'écoute beaucoup en ce moment, elle a vraiment sa signature musicale. Ensuite, il y a Grimes qui me hante par son univers total, elle sait se renouveler et j'ai l'impression que son monde est inépuisable tant visuellement que musicalement. Et après dur de ne pas en citer d'autres :VTSS et ses dernières sortie musicales qui valent le detour, Honey Dijon qui a une technique de mix qui m'épate, AZF qui m'a mis une claque quand je l'ai découverte dans un hangar fraîchement arrivée à Bruxelles, Sentimental Rave, DJ Mell G, Ascendant Vierge, Sedef adasi et Safia Ben Swartz. Désolée j'arrivais plus à m'arrêter !!!< LES FEMMES S'EMPARENT D'ELAB >Été 2020. Passées une centaine d'émissions sur C Lab, il a bien fallu se rendre à l'évidence : les femmes manquent cruellement à nos micros. Sur les 35 émissions réalisées l'année dernière, seulement quatre DJs femmes... Un constat qui fait mal à la scène bretonne, pourtant super-active et fière de l'être.Aussi, afin de commencer à notre niveau, local et associatif, à contrer cette tendance structurelle de manque de visibilité des artistes femmes et personnes non-binaires, qui se reflète bien malgré nous dans notre programmation, nous avons décidé de lancer un programme spécial de podcasts diffusés sur nos ondes et notre compte SoundCloud. L'objectif est de découvrir des artistes, qu'i.elles soient débutantes, émergentes ou déjà confirmées, bretonnes, françaises ou d'ailleurs. De porter l'attention sur une scène féminine trop souvent invisibilisée.Remercions spécialement le webzine PWFM qui nous confie gracieusement pour illustrer ce programme le logo de sa branche féministe, Provocative Women For Music. On ne pouvait pas rêver meilleur visuel que celui conçu par Théo Baize, alias Hello Hello Theo, pour imager notre volonté commune de rendre visible ce qui est trop souvent tu ou ignoré dans une culture phallo-centrée : le talent féminin. Un grand merci à elleux, on vous invite à aller découvrir leur nombreux projets visant à fédérer les femmes de la musique électronique.BONNE ÉMISSION

Es ist März und die Flugsaison fängt wieder an! Endlich!Seitdem ich fliege, nehme ich mir jedes Jahr vor, nicht in die Winterpause zu gehen. Hat doch, wie ich aus Hessen weiß, das Fliegen im Winter magische Momente. Ruhige Luft, keine Turbulenzen. Eben nur das wenige Tageslicht. Und das Risiko, dank großer eingeschneiter Flächen schnell die Orientierung zu verlieren. Wobei das in 2022 Geschichte ist, neben dem Blick nach draußen unterstützt mindestens ein GPS mit Karte auf dem Tablet oder sogar fest im Flieger verbaut. Und trotzdem: Seitdem ich in Hessen meine fliegerischen Zelte abgebaut habe, war ich im Winter nicht mehr in der Luft. Ja, wenn der Weg zum Airport weiter ist, sind die wenigen hellen Stunden plötzlich wertvoll - und nicht nur für das Thema Fliegen. Und wenn mal alles passt, kommt das Wetter in die Quere oder ein plötzlicher erneuter Wintereinbruch mit Eis und Schnee. Also: Aussitzen bis Anfang April und dann einfach frei fliegen? Kann man machen, sollte aber nicht alles sein! Final Approach EDDF 25L-R Winter 2007 / Bild-/Quelle: privat Fliegen sieht deshalb so einfach aus, weil man sich als Pilot seiner Verantwortung bewusst ist und deshalb, ob vorgeschrieben oder nicht, im Training bleibt. Somit ist man möglichen Pannen und sich einschleichenden Fehlern einen Schritt voraus und vermeidet deren Entstehung schon an der Wurzel. Dazu gehört ein, vielleicht eigenartig anmutendes Winterprogramm: Bevor Simulationen und die notwendige Hardware eher unbezahlbar waren, saß man in seinem Sessel im warmen Wohnzimmer und hat eine typische Situation im Geiste durchgespielt: Stehe vor Halle B, erbitte rollen. Und schon hat man sich geistig-virtuell auf den Weg gemacht. Dann der Abflug: Klappen gesetzt wie vom Verein vorgesehen, korrekte Geschwindigkeit für den Lift-Off? Platzrunde grob im Kopf? Bei der Landung die Geduld zum Ausschweben mitgebracht oder, bei kurzer Piste, ein Ranschleppen an den Pistenanfang oder eine perfekte Punktladung durchgeführt? Auch übt man den Stall, also den Strömungsabriss. Horn pfeift, Steuerhorn nach vorne, Gas rein, Abfangen. Und das bei möglich wenig Höhenverlust. Steilkurven, mit Nase auf Höhe des Horizonts und Ausleiten per Kompass. Rechts rum, links rum. 45 Grad, 60 Grad. Und, mein Liebling, das Quer- und Seitenruder über Kreuz legen und mit rasanter Geschwindigkeit Höhe abbauen - nichts geht über Slippen. Dann noch zwei Notsituationen: Im Flug bleibt der Motor stehen. Jetzt heißt es, die Geschwindigkeit für bestes Gleiten im Kopf zu haben und die Maschine umgehend auf diese zu trimmen. Und ein passendes Landefeld zu finden. Im Winter, mit Schnee und teils Nebel über Wiesenflächen oder auch kleinen Waldstücken, eine echte Herausforderung. Dann der Klassiker: beim Start, kurz nach dem Abheben, irgendwo zwischen 500 und 800 Fuß: Motorausfall. Wenden fällt aus, zu langsam, zu tief. Also, was tun? Wo ist die Lücke im Wald, wo die rettende Wiese? Dieses mentale Training ist Gold wert. Noch besser natürlich die passende Ausstattung und ein realistischer Simulator. Realistisch bezieht sich hier dann auf die Flugeigenschaften und die zugrunde liegende Physik, weniger auf die Hochglanz-Texturen von Boden und Städten! Und dann geht es, meist im März, wenn sich das Frühjahr deutlich am Horizont zeigt, mit Fluglehrer zum Freiflug. Als ich meinen Flugschein gemacht habe, war das meistens noch freiwillig und ich hatte gelegentlich auch Diskussionen, ob es wirklich nötig ist. Mittlerweile ist es bei vielen Vereinen Voraussetzungen, um überhaupt noch an einen Schlüssel einer Maschine zu kommen. Das Programm, die Dauer und auch der Inhalt sind unterschiedlich, gibt es hierfür zur Abwechslung keine EU-weite Vorschrift oder eine deutsche Verschlimmbesserung in einer Verordnung. Schön, da sich hier meist die ersten Fehler einschleichen, ist ein gemeinsamer Check am Flieger. Unter den Flügeln checken, ob die Mutter fixiert ist. Bei den Landeklappen, die man hierzu mindestens auf Stufe 1 oder 10 Grad schieben muss, prüfen, ob der tragende Metallring sich locker bewegen lässt und auch hier die Mutter sitzt. Am Körper der Maschine auch oben und unten prüfen, ob Antennen und GPS festsitzen. Wenn vorhanden, nicht vergessen, die hintere Lucke für das Gepäckfach abschließen. Ich weiß, hier kommt ein typischer Effekt der Luftfahrt: Steht in einigen Cessna-Handbüchern klar, dass das Fach zu verschließen ist, bürgert sich die Meinung ein, sie offenzulassen. Im Falle eines Crashs oder bei einem brennenden Flugzeug könnte durch die offene Klappe durch einen Helfer oder Retter schnell eingestiegen werden. Davon ausgehend, dass nicht jeder mein Eigengewicht und die damit entstehenden Ausbeulungen an diversen Körperstellen bedient, würde ich durch die kleine Klappe alleine durch meine Körpergröße nicht durchklettern, erst recht nicht, wenn die Maschine brennt. Nichts gegen Helden und Helfen, aber wenn der Flieger brennt, ist Eigenschutz erstes Gebot! Aber, zurück zum Ursprung: bei Unklarheit Handbuch befragen und stoisch umsetzen! Am Höhen- und Seitenruder nicht vergessen, mit ein wenig Kraft auch den Seilzug und die Vernietung prüfen. Keine Sorge, einzelne Adern, die eingeknickt sind oder bereits gerissen sind, sind nicht gleich die Stilllegung des Fliegers - jede einzelne Ader muss die volle Zugkraft bieten bzw. aushalten! Daher wird die Sichtung hier gerne vergessen. Und dann die Eigenheiten kennen: Verstell-Prop? Dieselmaschine? Vielleicht sogar Einfahrfahrwerk? Wo kann ich den Stand von Kühlflüssigkeiten ersehen, muss es blau, grün oder gelb sein? Ist die Maschine IFR-tauglich und hat eine Enteisungsanlage, was muss ich, selbst wenn ich nicht nach Instrumentenflugregeln fliegen darf und daher nicht durch Wolken fliegen darf über die Anwendung, Prüfung oder eben der Nutzung wissen? Bin ich noch fit im Funk? Habe ich das letzte NfL dazu studiert? Da auch in Deutschland wohl beginnend im Jahr 2022 die Flugleiterpflicht an "kleinen Plätzen" ein Ende findet, wie setze ich einen Blindruf ab? Was gilt für meinen Flugplatz? Und ist es endlich das Jahr, in dem ich mit Englisch im Funk durchgehend beginne? Kenne ich die wichtigen Sprechgruppen hierzu, wie oft hört man plötzliches Gestammel, weil die Sprechgruppe fehlt und nun die seit 20 Jahren nicht mehr benötigten Englischkenntnisse die Situation retten sollen... Was hat sich auf meinem Flugfeld getan? Magnetismus sorgt, je nach Lage, dafür, dass sich alle zehn Jahre mal die Ausrichtung der Bahn ändert. Wer dann immer noch auf der 27 startet und landet, sorgt für Verwirrung, bei Fremden im An-/Abflug und auch bei weiteren Fliegern in der Platzrunde, die die Professionalität vermissen. Wenn du lange Pause gemacht hast, solltest du mit deinem Fluglehrer vereinbaren, die Platzrunden und die diversen Landeübungen zuerst zu machen. Das kann, je nachdem, was an Wissen und Augenmaß noch da ist, auch mal zehn Landungen dauern - und dann ist der Flugtag für heute auch schon vorbei! Sonst geht es raus. Gerade halten, kein Sinken, ins korrekte Pedal steigen. VOR auf Kurs anpeilen und mit möglichst wenig Abweichung anfliegen. Nochmal zurecht finden: ist das vor mir Stadt X? War hier nicht ein FFH-Gebiet, bin ich schon über 2.200 ft oder wohin weiche ich aus? Dann kommen Abfangen, Stall und Steilkurven. Gängige Standardverfahren, die aber an sich Anwendung finden, wenn etwas nicht rund läuft oder sich ein Notfall anbahnt. Da müssen Handgriffe sitzen, Ein- und Ausleiten passen und ein Vollkreis korrekt nach 360 Grad enden. Apropos: wann läuft der Whiskey-Kompass nach oder vor? Wie war das mit Ost-West und was macht er auf Süd-Nord-Kurs? Kenne ich die Toleranzen meiner Geräte? Der Höhenmesser arbeitet korrekt bei bis zu 300 Fuß Abweichung, sowohl nach oben als auch nach unten. Ist es daher clever, sich bis auf 50 Fuß an die Grenze einer Kontrollzone ranzuhängen? Wie war das gleich wieder mit Merksätzen? Im Winter sind alle Berge höher? Vom Hoch ins tief gehts schief? Und wenn du Nachtflug oder Alpeneinweisung hast, hast du das noch drauf? Und nicht vergessen: Wenn dein Fluglehrer total von dir und deiner Leistung begeistert ist, lass dich nicht unter drei Platzrunden verhandeln - dann hast du die 90-Tage-Regelung - hey, was war das gleich wieder? - gleich mit abgedeckt und kannst ab sofort Passagiere legal mitnehmen. Nicht vergessen: für NVFR ist mindestens eine Landung bei Nacht, mit all ihren Komplikationen, von einem offenen Platz über Flugplan, und BZF I oder AZF und dem Heimflug zu einem idealerweise offenen und nicht schon unter teurer PPR arbeitenden Flugplatz hilfreich. Und es gilt dann, oder leider auch nur, für 90 Tage, wenn du Passagiere in die Nacht fliegen willst. Wenn das alles sitzt, kommt noch ein weiterer Block: Was will ich dieses Jahr lernen? Steige ich von einer Cessna, dem klassischen Hoch-, nein, korrekterweise Schulterdecker auf einen Tiefdecker um? Greife ich NVFR an, um für mögliche Streckenflüge, die auch mal unerwartet in die Nacht gehen könnten, auf der sicheren Seite bin? Oder gleich den Schritt weiter, Instrumentenflugausbildung? Oder eben endlich ein englisches Sprechflugzeugnis? Ihr seht schon, da steckt Aufwand drin. Und hier darf nicht geschludert oder mit "kannste doch noch" abgekürzt werden. Der alte Spruch, wenn was schief geht, kann man oben nicht rechts ran fahren, sollte ein Spruch bleiben und nicht in der Praxis, dann auch noch ohne Fluglehrer oder ohne Übung, ausprobiert werden. Dann wünsche ich euch einen guten Start ins neue Fliegerjahr - und vergesst nicht: Das GPS braucht neue Karte, zur Sicherheit sollte auch die ICAO-Karte der DFS auf Papier als Backup mit ins Cockpit. Und auch der Blick darauf, was sich wo geändert hat, sollte vor dem Abflug bereits passiert sein. Mein Freiflug für die Saison 2022 ist noch in der Terminfindung, ich gucke also neidisch auf jeden VFRler, der über mir bereits seit einer oder zwei Wochen in der Luft ist. Ich wünsche euch viele schöne Flüge, blue skies and happy landings! PodCast abonnieren: | direkt | iTunes | Spotify | Google | amazon | STOLZ PRODUZIERT UND AUFGENOMMEN MIT Ultraschall5 Folge direkt herunterladen

Qu'est-ce que le fart au fluor ? Mercredi 10 novembre 2021, dans son enquête Peur sur la glisse, l'Equipe Explore a révélé l'extrême dangerosité pour la santé d'un produit utilisé pour le fartage des skis, par les professionnels mais également par les amateurs. Il s'agit du fart au fluor, diminutif de composants perfluorés, aussi connus sous le sigle PFAS. Appliqués au skis, il permet certes d'accroître considérablement la vitesse de la glisse mais dont les composants présentent un double danger. Mais quels sont les dangers du fart au fluor ? Comment a-t-il réussi à se propager autant dans le monde du ski ? Et que font les autorités publiques face à ces alertes ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Zineb Soulaimani. A écouter aussi : Qu'est-ce que la solastalgie ? Qu'est-ce que le principe de précaution ? Qu'est-ce que AZF ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Qu'est-ce que SOS Racisme ? Vous en avez sûrement entendu parler si vous avez suivi le premier meeting donné par le candidat à l'élection présidentielle Éric Zemmour le dimanche 5 décembre 2021 à Villepinte en région parisienne. L'association SOS Racisme a profité du rassemblement politique pour mener une action pacifiste et dénoncer le discours de haine du candidat. Les 15 militants et militantes ont attendu que le polémiste s'exprime pour dévoiler leurs tee-shirts marqués du message : "non au racisme"... avant d'être tabassés par des partisans d'extrême-droite puis, pour certains, traînés par terre jusqu'à la sortie. Mais quelle est la mission de cette association ? Et qui en est à l'origine ? Et comment l'association SOS Racisme a-t-elle évolué ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. A écouter aussi : Qu'est-ce qu'être Woke ? Qu'est ce que le Bourgeois Gaze ? Qu'est-ce que AZF ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Qu'est-ce que la précarité énergétique ? Merci d'avoir posé la question !   En 2021, au moins 12 millions de Français sont concernés par la précarité énergétique, selon le Médiateur national de l'énergie. L'organisme estime qu'un ménage français sur cinq vit dans une passoire thermique ou bien ne peut pas se chauffer normalement.  Symbole de l'importance de ce sujet, en novembre 2021 a eu lieu la première Journée contre la précarité énergétique. La précarité énergétique caractérise les ménages n'ayant pas accès à l'énergie nécessaire dans leur lieu d'habitation principal pour recourir à des besoins primaires, c'est-à-dire chauffer son logement, avoir de l'eau chaude et suffisamment d'électricité. Cette précarité énergétique est-elle plus importante qu'avant ? Comment est prise en compte cette problématique par l'État ? Et que font les fournisseurs d'énergie pour lutter contre cette précarité ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce qu'une zone à faibles émissions ? Qu'est-ce que AZF ? Qu'est-ce que la famine climatique ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Salut à toutes et à tous ! Cette semaine, c'est la fin de cycle, on parle de l'année 2001. Au programme : - Télé : La fin du Juste Prix (1'11) - Musique : Kylie Minogue - Fever (55'35) - Société : L'explosion de l'usine AZF (1h43'14) - Cinéma : Ocean's Eleven (2h06'24) Vous pouvez retrouver Bi-Bop sur Twitter et sur Insta : @3615Bibop. On vous propose des images et vidéos en complément des sujets traités dans la semaine. N'hésitez pas à réagir, nous faire vos retours sur l'émission et proposer un sujet que vous aimeriez entendre dans Bi-Bop. Vous pouvez aussi lâcher une bonne note et des gentils commentaires sur vos applis de podcast. On a également lancé l'opération #DeLargentPourLesTortues si vous avez envie de nous soutenir, et de nous aider à mettre en place des petits projets comme des jeux concours, on a un Patreon  ! Un énorme merci à tous ceux qui nous ont déjà aidé ! On espère que vous passerez un bon moment ! Bonne écoute !   

In dieser Folge ist Birger Hansen zu Gast und stellt uns das Audi Zentrum Flensburg (AZF) etwas genauer vor. Birger ist für die Betreuung der NORA Kunden im Außendienst zuständig. Wir sprechen über das große Teiledienst-Team beim AZF, die eigene Logistik und das gut sortierte Lager für die VAG Marken. Wer noch weitere Fragen zum AZF hat oder gerne ein persönliches Gespräch mit Birger wünscht, meldet sich am besten per Email an: Birger.Hansen@azf-gruppe.de Intro by: Blue Sky Blues by Kara Square (c) copyright 2019 Licensed under a Creative Commons Attribution (3.0) license. http://dig.ccmixter.org/files/mindmapthat/60675 Ft: Admiral Bob

durée : 00:53:18 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - 21 septembre 2001, 10 jours seulement après les attentats du 11 septembre à New-York, une explosion dévaste le sud-est de Toulouse et ses environs, la détonation est entendue à plus de 40km, la déflagration, énorme, est comparable à un séisme de 3,2 sur l'échelle de Richter.

10h17 à Toulouse, le 21 septembre 2001, l'usine d'engrais chimiques AZF explosait, dans une déflagration équivalente à 200 tonnes de dynamite. Il s'agit de la plus grande catastrophe industrielle depuis la Seconde Guerre mondiale. 31 victimes y ont perdu la vie ce jour-là, et des milliers de blessés vivent encore avec la cicatrice de cet instant. Un drame qui porte la signature du nitrate d'ammonium, la même substance qui a causé l'explosion du port de Beyrouth en 2020. Malgré les nombreuses catastrophes dont il est à l'origine, les mesures de sécurité n'ont pas suivies, et un nouveau drame reste possible, on vous explique !

Qu'est-ce que AZF ? Merci d'avoir posé la question ! C'était il y a vingt ans presque jour pour jour. L'usine AZF en région toulousaine explosait, faisant 31 morts et 2500 blessés. AZF c'est le sigle de Azote Fertilisants. Le site était destiné à la production d'engrais. C'est un des hangars du complexe qui a explosé et l'événement constitue l'un des pires accidents de l'histoire de l'industrie française. Mais était-ce un attentat ou un accident ? Que s'est-il vraiment passé ? Et y a-t-il eu un procès ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. A écouter aussi : Qu'est-ce que la chloroquine ? Qu'est-ce que l'affaire du Levothyrox ? Qu'est-ce que le nitrate d'ammonium ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

- Le président américain Biden prononce son premier discours à l'Assemblée générale des Nations Unies - Les élections canadiennes de 2021 n'étaient-elles qu'une répétition inutile du scénario de 2019 ? - Les Néerlandais sont toujours les plus grands, mais ils rapetissent - Quelles sont les villes les plus sûres du monde en 2021 ? - Journées du Patrimoine de 2021 - Commémoration de l'explosion de l'usine AZF

durée : 00:37:31 - Le téléphone sonne - En 2001, l'explosion de l'usine toulousaine AZF causait 31 morts et 2 500 blessés. En 2019, un incendie se produit dans un site de stockage de l'usine Lubrizol à Rouen sans faire de blessés ni morts. A-t-on appris à maîtriser les risques industriels? La prévention est-elle suffisante?

L'explosion de l'usine AZF : un accident, une négligence ou un crime ?

durée : 00:58:16 - Le 13 / 14 - par : Bruno DUVIC - 20 ans après la catastrophe d'AZF qui a causé la mort de 31 personnes et fait des milliers de blessés, Bruno Duvic reçoit l'ancien président de l'association des sinistrés du 21 septembre Frédéric Arrou et Julien Corbière rédacteur en chef de France Bleu Occitanie.

durée : 00:54:32 - Interclass' - par : Eric Valmir - Le fait doit l'emporter à la croyance. Et les enquêtes de terrain doivent contredire les idées toutes faites. Les lycéens de seconde de Gallieni à Toulouse l'ont expérimenté, parfois avec difficulté. Il en faut des recoupements pour venir à bout d'un scepticisme

Night Flying Qualification: VFR geht auch nach Sonnenuntergang...Es gibt verschiedene Wege, an einen Flugschein zu kommen: Drachenflug, Trike, Ultralight oder eben die "Echo-Klasse" - aber alle eint in der "Standardausführung" ein kleines Manko: mit Einbruch der Dunkelheit (plus-minus) ist eben Schluss. Das lässt sich, für alle, die "höher" hinaus wollen, durch IFR und ATPL lösen - aber "for the rest of us" sind die Wintermonate die entscheidende Jahreszeit: nun heißt es, die frühe Dunkelheit kostengünstig für die Nachtflugausbildung zu nutzen - wenn ein Flugplatz mit Befeuerung und entsprechenden Öffnungszeiten in der Nähe ist! https://youtu.be/s5xiyMh30Qc Die reguläre Sichtflug-Ausbildung (VFR-Flug, visual flight rules) hat zwei gravierende Einschränkungen: schlechtes Wetter und Dunkelheit. Wetter ist in der (Hobby-)Fliegerei immer ein großes Hindernis und auch mit "Upgrades" nicht immer ganz zu umgehen bzw. schlichtweg nicht zu bezahlen. Zumindest aber für Letzteres lässt sich durch eine Zusatzqualifikation schnell und einfach ein "Upgrade" der bestehenden Privatpilotenlizenz (PPL) herbeiführen - und ein einmaliges Flugerlebnis genießen! https://youtu.be/1OW6hq4KC6U Aber nun schön der Reihe nach: Die PPL, die Privatpilotenlizenz, wird in unserer Region normalerweise für Maschinen bis zu einem Abfluggewicht von 2 Tonnen, einem Propeller vorne mittig und Reifen unten, zwischen Bahn und Flugzeugrumpf, erstellt. Mit dieser darf, auch wenn die neuen EU-Regelungen namens SERA (Standardized European Rules of the Air), die das Verkehrsministerium (BMVI) in Deutschland nach wie vor eisern mit der überflüssigen Luftverkehrs-Ordnung (LuftVO) eigens und in Teilen abweichend regeln will, in einem Zeitfenster von - in unserer Gegend - ca. 35-40 Minuten vor Sonnenaufgang und bis maximal ca. 40 Minuten nach Sonnenuntergang legal geflogen werden. Natürlich, wie der Name schon vermuten lässt, hat die klassische Sichtflugausbildung das Manko, dass ich nur fliegen darf, wenn ich sehen kann, wohin. Nebel, dichter Schnee und heftiger Regen sowie Wolkendurchflüge, um schnell und oberflächlich nur einige zu nennen, schließen ein Fliegen in der jeweiligen Region bzw. durch die genannten "optischen Hindernisse", aus. Und, klar, die Nacht fällt ebenfalls unter ausgeschlossene Zeiten. Wobei... nicht ganz, dann hier lässt sich mit einer Zusatzausbildung einiges ändern, mit wenig Aufwand, im Vergleich zu der nächsthöheren Stufe, dem Instrumentenflug (IFR - wobei für IFR-Ausbildung die NFQ eine Voraussetzung ist!). Wer schon immer mit dem Gedanken an eine NFQ, Night Flying Qualification, schwanger gegangen ist, hat das beste Zeitfenster für günstiges Fliegen bereits verpasst: nach Beginn der Winterzeit, rund um November/Dezember, wenn es ab gefühlt 16 Uhr Ortszeit bereits dunkel wird, ist die Zeit, wo an den entsprechend ausgestatteten Flughäfen plötzlich die Landelichter angehen. Sind die Gebühren für Nutzung und auch Landung noch im Normaltarif, rentiert sich das Rundendrehen am meisten. https://youtu.be/PhzUp6Odtrg Nun aber der Reihe nach: Die VFR-Nachtflugberechtigung bzw. NFQ erhält, wer innerhalb der Nachtstunden mindestens fünf Flugstunden mit Fluglehrer nachweisen kann. Im Rahmen dieser Flugstunden ist ein Streckenflug von mindestens 50 Kilometer zu einem weiteren Flughafen erforderlich, als auch fünf "full stop landings", die ohne Fluglehrer an Board realisiert werden müssen. Full stop bedeutet, dass nicht, wie bei üblichen Platzrunden, angeflogen, aufgesetzt und sofort wieder gestartet wird, sondern das Flugzeug landet, stoppt und dann zum Abflugpunkt auf der Piste zurückrollt und erneut startet. Hört sich alles trivial an, wer aber seine Homebase an einem Flugplatz ohne Nachtbetrieb und entsprechender Befeuerung der Bahn und Vorfeldflächen hat, kennt die Probleme: der Flieger muss tagsüber zu einem entsprechenden Platz überführt werden, wenn sich kein zweiter Mitstreiter findet, muss ein Taxi gebucht werden. Dann muss man abends wieder dorthin, fliegen, nach Hause - und den Flieger am nächsten Tag in der Früh wieder zur HomeBase bringen, damit alle bestehenden Buchungen von Fliegerkameradinnen und -kameraden durchgeführt werden können. Teuer und zeitlastig. Aber...! Nur weil Du an einem Flugplatz bist, der dies alles bietet, muss der wiederum, meist preislich, nicht die beste Wahl sein! Ich habe meinen ersten Anlauf zur NFQ, den ich damals in Hessen nicht fertigstellen konnte, an meinem Heimatplatz Egelsbach (EDFE) gemacht. Streckenflug nach Karlsruhe Baden-Baden, Platzrunden in Egelsbach. Allerdings musste man hierzu die damalige AIP VFR genau studieren: EDFE hatte nach, wenn ich mich recht entsinne, 19-21 Uhr lokal PPR im Winter, die man sich teuer mit etlichen Euros erkaufen musste. Es galt damals abzuwägen: raus fliegen, in der Region auf die Finsternis warten, Platzrunden drehen und im Idealfall gleich die finalen fünf Landungen fliegen (Anmerkung: eher illusorisch, bei Nacht sieht die ganze Welt ganz anders aus und Landungen eben auch!) und wieder ab nach Hause, bevor das PPR-Fenster verfällt und es wirklich unsagbar teuer wird... mit möglichen Plätzen im Umkreis war es schnell ausgerechnet: Platzrunden in Egelsbach und aus. Beim ersten Flug haben wir nach ersten Platzrunden gleich mal den Streckenflug nach EDSB (Karlsruhe BB,) geflogen. Damals, es war 2013, musste noch auf den Radar-Frequenzen zwischen Air France und Lufthansa im Ländereck gefunkt werden und kurzfristig mit Reims, eher unverständlich, der Abflugflughafen - trotz aufgegebenen Flugplan - geklärt werden. Vergesst die Details, es war eine unvergessene Zeit... aber, kurz gesagt: ich bin mit den Ladungen nicht fertig geworden, daher die Fertigstellung aufgeschoben... und das so lange, bis SERA dem Ganzen nun eine "Fertigstellungsfrist" von sechs Monaten ins Gesetz geschrieben hat... 2013 - 2021... das muss man nicht rechnen, um festzustellen, dass sechs Monate hier nicht zum Tragen kommen. Dafür war es dieses Jahr im Februar mit drei Terminen "schnell" erledigt: während Eis und Schnee schon wieder tobten und wir drei von drei Maschinen fast wegen zugeeisten Reifenschuhen fast absagen mussten, klappt letzter Ersatzflieger mit hohem Heizungsaufwand und durch viele Fliegerkameradinnen und -kameraden - und so flogen wir abends nach Leipzig, zwei nette Anflüge (siehe auch die Videos hier im Blog) und ab nach Hause. Damit war ein wichtiger Punkt erledigt: der Streckenflug. Für die Platzrunden bietet sich in Berlins Süden Oehna an. So viele dicke begeisterte Daumen kann ich gar nicht heben, wie der Service die beiden Abende war. Noch dazu: ich war an beiden Abenden der einzige! Und trotzdem: ich konnte in Ruhe meine Platzrunden üben (erster Abend) und ein paar Tage später meine fünf full-stop-landings hinter mich bringen. Nachtflugausbildung: aus der Cirrus über Leipzig, MDR-Tower deutlich sichtbar / Bild-Quelle: privatAuch neu war die Regelung, dass nicht der Fluglehrer nach Rückkehr und Abschluss sowie Dokumentation der erfüllten Anforderungen handschriftlich in die Lizenz die Berechtigung einträgt, sondern, dass diese an die Landesluftfahrtbehörde geschickt wird und gegen Kostennote eine neue Lizenz mit der Post kommt... wenn einem das LUBB nicht im ersten Anlauf die falsche Lizenz zuschickt... wer weiß, wer meine so fälschlicherweise in der Post hatte... Kurzum: VFR-N ist eine anspruchsvolle aber machbare und sinnvolle Ergänzung zur PPL! Flugplan bei Nacht ist, alleine schon aus Sicherheitsaspekten, obligatorisch. Auch übt man das Ausfüllen einfach viel zu selten. Funken geht nun auch ohne AZF, reine BFZ-Sprechgruppen reichen. In der Theorie käme man auch mit deutsch durch, aber lasst euch auf das Experiment, mal wieder die englischen BZF-Sprechgruppen auszupacken, gerne ein. Ich hatte das Problem, dass ich nach Abflug und Wechsel auf Arrival den Lotsen so gut wie gar nicht verstanden hatte... somit habe ich in einer der wichtigsten Phasen den Luftdruck nicht verstanden und auch das Zurücklesen mehrfach durch Wiederholung des Lotsen "erraten", aber immer noch nicht "verstanden", geschweige denn schriftlich auf dem Kniebrett fixiert! Nur gut, dass das Wetter stabil war und der Kollege aus München im Anschluss ein wenig stimmstärker war - und ich trotzdem wieder nur Bullshit zurück gelesen habe... lag wohl eindeutig an mir und nicht an der Lautstärke. Aber sonst war es super - mal sehen, wie der Vorsatz, mehr englisch zu funken, sich über das Jahr nun so bewährt... Sonst hat sich wenig geändert. Der Streckenflug ist eine tolle Erfahrung, in "totaler" Finsternis und mit fast absoluter Ruhe eine Nachtstreckenflugerfahrung zu gewinnen. Es ist ein majestätischer Moment - und mancher könnte es als "das wahre Fliegen" bezeichnen - zurecht! Landen ist ein spannendes Thema. Trotz sämtlicher Kippschalter auf "on" und voller "Christbaumbeleuchtung", die klassische Referenz aus den Augenwinkeln fehlt... aber: dafür übt man es ja. Nicht entmutigen lassen, weiter machen. Eine kleine Hilfe ist, einen zweiten Höhenmesser auf Flugplatzhöhe zu stellen statt QNH, um somit neben dem Blick nach vorne immer mal wieder die "wahre" Höhe über Boden abgleichen zu können. Für den "Solo-Prüfungsflug" der Landungen empfehle ich euch: erste Runde mit Fluglehrer. Alles aussprechen, jede Bewegung, jeden Hebel, jedes Flap-Setting, jede Ruderbewegung, jede Windkorrektur. Stress könnt ihr in dieser dunklen Situation nicht brauchen. Und Licht? Einfach durchgehend brennen lassen, es ist und bleibt dunkel draussen! Und dann, wie beim ersten Mal: Fluglehrer aussteigen lassen und los! Es ist schneller vorbei, als gedacht, dann geht es nach Hause, Schulterklopfen - und das fliegerische Paperwork... Ich freue mich, da wir dank unserer Regierung, die wirklich alles verschlafen und maximal möglich ignoriert hat, auf den kommenden Herbst (ja, ja, ich weiß... ich freue mich auch endlich auf Sommer, Sonne und Hitze!), wenn die Nächte wieder spät nachmittags beginnen. Dann mache ich mich gleich mal wieder auf nach Leipzig... und dann mal sehen...! Kleines Wort zur Mahnung: Die einmal erworbene NFQ verfällt nicht, will aber regelmäßig durch Training wieder aufgefrischt werden. Nachtflieger geben mir hier recht, wer es noch nicht gemacht hat, glaube mir: die Nächte sind verdammt dunkel, selbst über einer Großstadt oder in direkter Nähe eines internationalen Airports! Also: Wenn es soweit ist, ruhig mal auf drei, vier Runden mit Fluglehrer los gehen - der Sicherheitsgewinn und das stetige Auffrischen ist mehr wert, als die Euro, die das Training kostet! Und ja: nachts fliegen ist ruhiges fliegen, ist majestetisches fliegen. Also, lasst es drauf ankommen! Und ja, mit der Berechtigung dürfen auch Passagiere mitgenommen werden - wenn denn die erforderliche Anzahl an Landung(en) IN DER NACHT in den letzten 90 Tagen "proficient" gehalten wurde! Wer also mit dem Gedanken spielt, mit den Nachtflug anzufangen - markiert euch das Ende Oktober rot im Kalender! Blue Skies and Happy Landings! PodCast abonnieren: | direkt | iTunes | Spotify | Google | amazon | Folge direkt herunterladen

Thistalking about AZF activity and live interviewed by WES as Host partner with Galih for this episode.

Hour #1 Guests: Jacqueline Carrizosa - an Extreme Athlete and Navy Veteran who competes in multi-disciplined shooting matches, is a Hollywood technical advisor, is involved in Stunt Work, and competes in dirt bike off-road races. She is also featured in a special Veteran's Day Project called "The Lionhearted Film" that will be playing in the Smithsonian, and the artwork will be forever hung in the Chicago's Veterans Art Museum. We are proud that she is also one of our staff members at AZF, and she will be here with us today to talk about the importance of Veteran’s Day. Zeke Stout – is a certified firearms specialist. He has served as an executive at one of the largest firearms, technology, and gunsmithing schools in the country. In that role, he was certified as a higher education professional in leadership, an Armorer in several platforms, including the 1911, and Penn arms grenade launcher. And Zeke is a celebrity judge for the competition series, “Master of Arms” on the Discovery Channel. Dianna Muller – is a retired police officer, Captain of Team Benelli 3-Gun, Co-host of Shooting Gallery on the Outdoor Channel, organizer of the DC Project, and has recently appeared on the cover of Time Magazine's “Guns In America” issue.

Monument 158 borrows enigmatic Rinse France resident AZF. AZF shows off a precise knowledge of techno with deviceful transitions and solid development. Structure without ever sacrificing style. Keep up with mnmt.no for more details https://www.facebook.com/djazf/

C'est gentil de t'inquiéter pour moi^^Mais comme il a survécu à AZF, ça devrait le faire, oui...

Theme: The Matter of Facts Hour #2 Guests: - Judd Bickel – is the Team Leader of AZFirearms – the Biggest Little Gun Shop in Arizona – he just recently trekked the annual SHOT Show – the biggest buying opportunity of the year - and we wanted to have him on to tell us about what new awesomeness is coming to AZF. - Dr John R Lott - the nation's preeminent expert on guns and the author of a number of books including "More Guns, Less Crime" and his latest "The War On Guns: Arming Yourself Against Gun Control Lies". John’s work gives those of us who are protecting our 2A Rights a solid foundation of sound research. Responsibly Armed Citizen Report Dan’s Calm-mentary

Theme: Guns and Candy Hour #2 Guests: - Dr Kelli Ward - former Arizona State Senator Kelli Ward and currently running for US AZ Senate Seat against the incumbent John McCain. - Lara Smith - the Vice President of the California chapter of the Liberal Gun Club, a national organization which seeks to ensure an educated, liberal voice in debates on gun control and the Second Amendment. - Jason Wasser – Army National Guardsman and owner of Show-cool-atul or more simply XO Confections. Jason will be helping us with an “After Hours” event that brings two west valley Chambers Of Commerce together on Thurs, July 21, 2016 at AZF & POG Responsibly Armed Citizen Report Dan’s Tip Of The Week

Les cheminots pas rassurés AZF puissance mille Le train Castor de déchets nucléaires a donc traversé la France 'en toute sécurité'. Pourtant, un des conducteurs et d'autres cheminots ne sont pas franchement rassurés par Areva et la SNCF. Des mesures indépendantes montrent selon eux que le transport radioactif comporte des risques non maîtrisés. Enregistrements : 25, 28 & 29 novembre 11 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Jérôme Thorel

Autour de l'affaire AZF, enquête sur les menaces téléphoniques Mon gros loup, ne prenons pas de risques Le chantage terroriste du groupe AZF a mis toutes les polices de France sur les dents. Ce genre de cas est-il fréquent ? Comment distinguer les canulars téléphoniques des véritables menaces ? Comment communiquer avec les terroristes ? Enquête façon film noir. Enregistrements : 24 juin 04 - Mix : Christophe Rault - Reportage & réalisation : Léo Pajon