Characteristic style of cooking practices and traditions
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Dans cette deuxième partie de l'entretien, Éric Guérin revient sur les années les plus dures de sa formation.Celles où l'on tient plus par instinct que par certitude.Celles où la cuisine se vit comme un combat quotidien.Il raconte sans filtre son passage à la Tour d'Argent, la violence d'un système, la peur permanente, la fatigue extrême, la pression psychologique, les corps qui lâchent et les esprits qui vacillent.Il parle de ce que cette époque a produit : des blessures, des paradoxes, mais aussi une construction intérieure, une résistance, un caractère forgé dans l'excès.On entend aussi les moments de rupture : le départ, la dépression, le sentiment d'échec, puis les mains tendues, les chefs qui replacent, les maisons qui réparent autrement.Le Taillevent, le Jules Verne, l'apprentissage d'un autre rapport au travail, au collectif, au temps, à l'image.Cette partie est celle des choix contraints, des bifurcations, de la survie avant la projection.Elle éclaire ce qui, plus tard, donnera naissance à une cuisine profondément marquée par le besoin de liberté, de territoire et d'équilibre.Un récit brut, parfois inconfortable, mais essentiel pour comprendre l'homme, le chef, et la manière dont certaines trajectoires se construisent autant contre que grâce à ce qu'elles traversent.Pour découvrir l'univers d'Éric Guérin, c'est par ici !
durée : 00:58:27 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - De la naissance de la diététique dans l'Antiquité grecque à la science nutritionnelle contemporaine, les liens entre alimentation et santé ont beaucoup évolué. L'alimentation joue un rôle central dans la santé et peut être abordée de façon médicale, scientifique, sociale, religieuse ou genrée. - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Bruno Laurioux Professeur émérite à l'université de Tours, président de l'Institut européen d'histoire et des cultures de l'alimentation
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous ! 1️⃣ Présentation de l'invité : Dans cet épisode, nous avons l'honneur de recevoir Christophe Hay, un chef d'exception qui se définit comme un paysan cuisinier. Cuisinier de l'année en 2021, il est détenteur de deux étoiles Michelin au restaurant de son hôtel, Fleur de Loire. Originaire d'une famille avec des racines agricoles et bouchères, Christophe a bâti sa carrière en alliant passion pour la gastronomie et respect de l'environnement. Fleur de Loire, situé dans l'ancien hospice de Blois, est plus qu'un hôtel pour Christophe ; c'est une maison de famille, une grande bâtisse où tout est pensé pour le bien-être des convives. Ce projet, qui a vu le jour grâce à une opportunité inattendue, représente aujourd'hui la concrétisation d'un rêve et l'expression d'une vision de l'accueil, de l'art culinaire et de l'hospitalité. Christophe nous parle de sa cuisine, une alchimie entre les produits de la Loire, une approche végétale et des techniques culinaires raffinées. Son engagement pour la durabilité se reflète dans chaque aspect de Fleur de Loire, de la gestion des déchets à l'utilisation de produits locaux pour les soins et l'entretien. Avec une équipe jeune et dynamique, il poursuit un objectif clair : offrir une expérience inoubliable tout en respectant l'environnement et en valorisant le patrimoine local. 2️⃣ Notes et références : Le Rendez-Vous des Pêcheurs Lycée hôtelier de Blois Eric Reithler Monsieur Paul Bocuse Groupe BSignature Château de Chambord Enodis - Martin Pouret - Huiles Guénard - Malvaux - Werner & Mertz Caroline Tissier Spa Sisley Paris Le livre : Paul Bocuse, le feu sacré 3️⃣ Pour contacter l'invité : Le site internet Fleur de Loire ou via l'Instagram de @christophehaychef 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : LoungeUp Découvrez LoungeUp : www.loungeup.com / contact@loungeup.com / +33 (0)1 84 16 82 20 Bénéficiez de -10% sur la première année d'abonnement, ainsi que -20% sur le paramétrage de la solution (réservé aux nouveaux clients, pour tout abonnement débutant avant juillet 2024) Pour découvrir la solution en live, demandez une démonstration en ligne ici Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:01:00 - Christophe Hay 00:02:01 - Projet Fleur de Loire 00:04:19 - L'évolution de carrière 00:06:20 - L'esprit entrepreneurial 00:08:52 - L'influence de Paul Bocuse 00:11:31 - Le concept d'écoresponsabilité 00:16:47 - Recrutement et management 00:23:50 - Vision de l'avenir 00:32:00 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette première partie, Éric Guérin entre directement dans le vif du sujet.Le chef de La Mare aux Oiseaux, installé depuis plus de trente ans en Brière, pose un regard d'homme d'expérience sur l'époque que traverse aujourd'hui la gastronomie.Il raconte un basculement profond : le retour à la terre après le Covid, l'émergence d'un maillage de producteurs locaux, la fin des cartes figées et la remise en question des certitudes. Chez lui, il n'y a plus de menu écrit à l'avance, mais une cuisine qui se construit au jour le jour, en fonction de ce que la nature, les pêcheurs et les paysans rendent possible.Éric Guérin détaille aussi la transformation de son organisation : un lien constant avec les producteurs, un travail de terrain assumé, une cuisine pensée comme un écosystème vivant où l'on ne demande plus “ce qu'il faut”, mais “ce qu'il y a”.Une approche qui redonne du sens au geste, au produit, et à la relation humaine.Il parle enfin de transmission, de sincérité, de responsabilité, et de ce rôle qu'il revendique désormais : celui d'un maillon engagé d'un territoire qu'il défend et qu'il veut rendre visible, sans folklore ni discours attendu.Un premier chapitre dense et incarné, qui dit beaucoup de la philosophie d'un chef pour qui la cuisine commence bien avant l'assiette.
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Cette semaine, au Podcast Pas Ordinaire, on reçoit Cedric Paquet, VP Brand du Shaker Cuisine & Mixologie et multi-franchisé, qui nous partage son parcours brut, humain et inspirant. De son enfance à Vanier jusqu'à la gestion d’un réseau de 22 restaurants, Cedric dévoile les coulisses de l’industrie, le développement personnel, la résilience, la séparation, la paternité… et la solitude derrière le succès.Un épisode rempli de vraies leçons d’entrepreneuriat et d’humanité. Bonne écoute. ❤️________________________Merci à nos commanditaires de l'Épisode :
Le sommet ordinaire de la CEDEAO s'est refermé ce dimanche à Abuja. Hasard du calendrier, ce sommet se tenait une semaine après la tentative de coup d'état au Bénin et moins d'un mois après celui de Guinée-Bissau menacée de sanctions ciblées. Ils demandent la mise en place d'une transition courte et inclusive à Bissau. Ils ne prononcent pas de sanctions dans l'immédiat en revanche des sanctions pourraient cibler toutes personnes empêchant la mise en place des mesures préconisés par la CEDEAO.
Dans cet épisode, je vous emmène à Gambais, en pleine vallée de Chevreuse, à la rencontre de Cybele Idelot.Un lieu en pleine nature, un potager, le feu, la table… et une cuisine qui se pense avant tout comme un lien entre les gens, la terre et le temps.Cybele raconte un parcours hors des sentiers classiques.Une enfance passée au nord de San Francisco, entre une grand-mère attachée aux rituels de la table et une mère curieuse, attentive aux produits et au vivant. Un environnement où le respect du produit, le plaisir de recevoir et l'idée même de repas comme moment collectif sont des évidences bien avant de devenir un métier.La cuisine arrive plus tard, sans école, sans plan préétabli, portée par l'élan et le plaisir.Saint-Barth, New York, les Hamptons, la cuisine privée, l'événementiel, la vie de freelance — intense, libre, mais aussi précaire. Un parcours fait de mouvements, de rencontres, d'amour et d'un besoin constant de rester stimulée.Puis vient le retour en France.Avant même d'avoir des murs, Cybele crée des tables éphémères, des dîners presque clandestins, où des inconnus se retrouvent autour d'une même table. La cuisine comme prétexte à la rencontre, à l'échange, au partage.À l'origine du lieu tel qu'il existe aujourd'hui, il y a un geste simple : chercher un lopin de terre pour faire un potager.De cette intention naît une maison, un restaurant, quelques chambres, et un projet de vie où le rapport au vivant impose humilité, adaptation et apprentissage permanent.Un épisode sur le temps long, le choix du lieu, la transmission, et cette idée qui traverse tout l'échange : faire de la cuisine un acte profondément humain, ancré dans le réel, et jamais figé.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
durée : 00:04:05 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque samedi, dans CLAP !, Laurie Cholewa donne la parole aux critiques, qui commentent les sorties de la semaine. Les auditeurs ont également rendez-vous avec le journal des sorties, et les chiffres du box-office.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:32 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:29:32 - Les saveurs du Pays Basque Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pizza, pâtes, risotto, tiramisu... Ce sont de grands classiques de la cuisine italienne. Depuis, cette semaine, elle est inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. C'était déjà le cas pour la pizza napolitaine, plus spécifiquement pour le café expresso. Mais cette fois-ci, c'est une inscription plus large qui englobe toute la cuisine italienne. Daniele Zappalà, journaliste italien et correspondant à Paris du quotidien Avvenire a publié récemment Cuisines cousines : Dans la casserole du soft power européen, aux éditions l'Harmattan, est l'invité international de ce samedi 13 décembre À lire aussiLa cuisine italienne entre au patrimoine immatériel de l'Unesco, suscitant fierté et craintes
Immigration and Customs Enforcement (ICE) released a Ukrainian immigrant who was arrested last week after her green card interview.Viktoriia Bulavina said she was held for days inside a federal building in downtown San Diego, where ICE officers put her and other women in shackles and chains.We talk about Bulvina's story and the broader picture of immigration enforcement in San Diego.Then, we sit down with local food journalists to recap culinary trends from the year and restaurants on their radar for the holiday season.Guests:Kori Suzuki, South Bay and Imperial Valley reporter, KPBSJackie Bryant, lifestyle journalist and co-host of the Happy Half Hour podcastHelen Hwang, food and travel journalist
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, je reçois Antony Giordano, fondateur du concept Père & Fish, une enseigne de street-food marine née d'une histoire familiale vieille de cinq générations.Ce que j'ai découvert derrière ses posts LinkedIn — à la fois francs, modernes et terriblement incarnés — c'est un parcours entrepreneurial profondément ancré dans un héritage :la poissonnerie du père, les recettes de sa mère, la cuisine méditerranéenne qui réunit, et l'envie, dès l'enfance, de « faire plaisir aux gens » en cuisinant avec ce qu'il avait sous la main.Dans cet épisode, Anthony raconte :comment ses racines ont façonné son idée de la food et du commerce ;comment une simple recette de fish-burger est devenue un concept ;comment il a dû affronter un incendie, des retards de travaux, des réajustements de carte, et le défi de démocratiser le poisson ;comment il a construit, pas à pas, une marque qui raconte vraiment qui il est ;pourquoi la communication — notamment sur LinkedIn — n'est pas chez lui un outil, mais une extension naturelle de son histoire.Un échange sur l'identité, la transmission, les virages entrepreneuriaux, et la manière dont une success-story peut naître dans la fidélité la plus totale à ses origines.Pour retrouver tout l'univers de Père&Fish, c'est par ici !Et promis il va la partager sa recette ;)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le bonus du format CHEFS D'ENTREPRISE-SChaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent leurs conseils concrets (enfin surtout Adrien ;) pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à se lancer sereinement.Dans cet épisode, Adrien répond à une question cruciale : quelles autorisations faut-il obtenir avant d'ouvrir un restaurant ?
durée : 00:02:47 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - De bons petits plats et pas mal d'humour pour réchauffer les relations entre la France et l'Algérie. C'est le grand défi de ce premier film, "La Petite Cuisine de Mehdi", comédie feel good sur le thème de la famille et de la double culture, avec Hiam Abbas en fausse daronne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :Son nom vous est peut-être inconnu, mais son visage coiffé d'un chapeau, vous l'avez forcément vu passer sur les réseaux !Thomas Yung est un hôtelier, devenu spécialiste de la e-réputation et enseignant Maître de conférences à l'ESTHUA.Nous partageons tous deux la passion du métier, mais également celle de l'innovation et de la transmission.Et, pour ne rien gâcher, Thomas était la recommandation d'invité de Sylvia Harrault !Nous sommes entrés dans une nouvelle ère technologique, souvent angoissante, mais selon Thomas, follement excitante. Si l'e-réputation est devenue une pierre angulaire de toute stratégie digitale, l'arrivée de l'Intelligence Artificielle (IA) est en train de modifier profondément les règles du jeu.Pour décrypter ce tsunami technologique et comprendre comment l'IA peut devenir le copilote de votre stratégie d'image en ligne, Thomas nous partage son expérience, qui remonte aux prémices de Tripadvisor.Il nous offre une perspective unique sur la manière dont l'IA transforme nos métiers.Après cet épisode, vous allez adopter la "promptologie" et mettre la technologie au service de votre excellence humaine. "Ne cessez jamais d'être curieux, ne cessez jamais de vous former."2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:02:00 - Le choix stratégique des canaux d'e-réputation 00:10:00 - La stratégie en 5 axes pour la gestion des avis en ligne 00:15:00 - Le débat des étoiles : classement officiel vs. notation client 00:22:00 - Le parcours de Thomas Yung 00:32:00 - L'intelligence artificielle : copilote et "promptologie" 00:43:00 - Angelia, l'automatisation de qualité, et l'agilité 00:51:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode du hors-série Le Noël des CHEFS, on part à la rencontre d'une pâtissière dont le nom s'est imposé comme une évidence, mais dont l'histoire dit avant tout une chose : derrière la douceur de ses créations, il y a une force de travail et une énergie qui forcent l'admiration.Dans cet échange, Nina Métayer remonte le fil de ce qui l'a construite :les souvenirs d'enfance, les odeurs, les gestes, les moments simples qui ont fait naître chez elle cette émotion très précise qu'elle cherche encore aujourd'hui à transmettre.Et quand elle parle de Noël, tout s'éclaire : cette période compte pour elle plus que n'importe quelle autre. C'est son sommet, son carburant, le moment où l'on crée des souvenirs — et où il n'y a pas le droit à l'à-peu-près.Elle raconte comment s'organise cette période hors norme :le rythme, l'anticipation, les nuits sans sommeil, la précision nécessaire pour orchestrer une production colossale qui doit pourtant rester délicate, poétique, immédiatement évocatrice.Et derrière la technique, elle raconte surtout les valeurs qui guident son travail : la joie, la bienveillance, le besoin de fédérer une équipe, l'envie que chacun trouve du sens dans ce qu'il fait.L'entretien dessine ainsi une trajectoire faite d'intuition, d'engagement et d'exigence.Une manière d'aborder la pâtisserie comme un lien, un langage, un espace où l'organisation ne tue pas la magie, mais la rend possible.Un épisode lumineux, généreux, et profondément incarné, qui montre comment Nina Méteyer transforme ce qui l'a touchée enfant en un univers qui illumine les fêtes de fin d'année pour des milliers de personnes.Pour retrouver l'univers de Nina Métayer c'est par ici !Pour retrouver les produits HORL qui soutient cet épisode hors série c'est par ici !
Rencontre avec Farah Keram, à l'occasion de la parution de son livre magnifique, Cuisines d'Afrique du Nord, 48 recettes et récits intimes culinaires, accompagnée de la photographe Nina Medioni, aux éditions Flammarion.Saisonnalité sacrée, résilience, rituels culinaires : les cuisines d'Afrique du Nord sont un patrimoine vivant, tissé d'histoires intimes et collectives. La journaliste Farah Keram nous entraîne au cœur des traditions culinaires transmises par les femmes de sa famille, entre l'Algérie, la Tunisie et les diasporas en France.De cette immersion sont nées 48 recettes (harira, boulettes mtewem, karentika, tchekchouka, msemen…), mais aussi un récit sensible et sociologique, nourri d'un travail de terrain et d'entretiens avec des experts. La cuisine y devient un langage, une manière de dire la transmission, les silences, la double culture et le rôle central des femmes dans la préservation des savoirs. Car quel meilleur médium que la cuisine pour raconter, relier et perpétuer les mémoires ?Crédit photo : Nina MedioniSaison #6 : Univers graphique : Mirion Malle | Habillage sonore : Pierre-Antoine Naline, accompagné de la chorale Dònas d'Òlt d'après le chant La Rota composé par Nadèta Carita | À la conversation et à la réalisation : Soazic Courbet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A la Une de la presse, ce jeudi 11 décembre 2025, la situation humanitaire catastrophique à Gaza, frappée depuis hier par la tempête Byron, et les et violences sans précédent commises par Israël en Cisjordanie. L'entrée du caftan marocain et de la cuisine italienne au patrimoine immatériel de l'humanité. Une consécration, mais aussi une occasion unique d'asticoter le voisin.
Que seraient nos vies sans les couleurs ? Leurs rôles dans le Vivant sont souvent mé- ou inconnus du grand public. Pourtant, elles sont un des langages, une des conditions sina qua non du Vivant… Il était tant que BSG consacre aux couleurs une grande saga inédite.Invité : Frédéric Archaux, biologiste et chercheur, auteur de Toutes les couleurs de la nature (Quae, 2025)._______
Dans cette troisième et dernière partie, Cybèle Idelot revient sur le cœur vivant de son projet : le lieu tel qu'il existe aujourd'hui, avec ses équilibres fragiles, ses contraintes et ses apprentissages permanents.Elle parle du potager comme d'une école quotidienne, du rapport au vivant et à l'incertitude, de la nécessité d'accepter de perdre pour comprendre. Une cuisine qui se construit au rythme des saisons, sans jamais chercher à figer les choses, et qui oblige à revoir sans cesse sa manière de travailler.Cybele évoque aussi la transmission : non pas comme un discours ou une méthode, mais comme une attention portée aux équipes, aux clients, aux gestes qui se répètent et se comprennent avec le temps. Faire en sorte que chacun reparte avec autre chose qu'un souvenir de repas — une sensation, une ouverture, une manière différente de regarder le monde de la cuisine.Cette dernière partie est celle du présent, mais aussi de la projection : comment continuer à avancer sans trahir l'esprit du lieu, comment rester en mouvement sans perdre le sens, comment laisser la place à l'émotion sans renoncer à l'exigence?Un final qui éclaire l'ensemble du parcours de Cybèle Idelot, et donne à entendre une cuisine pensée comme un acte vivant, humble et profondément humain.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
CHER BON! accueille des vigneronnes et vignerons qui envoient du lourd : les irréductibles de Lantignié, au cœur du Beaujolais !Il y a peu, l'asso Vignerons et Terroirs Lantignié (VTL) débarquait à INSTED (Lyon 3) pour faire goûter au public lyonnais ce que leur village a dans le ventre.Dans cette première table ronde, rencontre avec Anastasia, Cédric et Mathieu : trois vignerons surmotivés, amoureux de leurs vignes et bien décidés à faire briller leurs vins… et surtout leurs terroirs.
5 fruits et légumes par jour, c´est bon pour la santé oui ! Mais de saison c´est encore mieux ! Raisin, épinard, pêche de vigne… chaque semaine dans sa chronique alimentation-diététique, Solène Rigoulet fait découvrir aux auditeurs de LYON 1ère les qualités gustatives et nutritionnelles des fruits et légumes que nous réserve la saison. Et grâce aux conseils et astuces de ses invités experts, vous saurez comment les choisir et les conserver ! Diffusion tous les mercredis à 09h50 et les samedis à 12h10 sur LYON 1ère. En partenariat avec Le Marché de Gros Lyon-Corbas Le Marché de Gros Lyon-Corbas, plateforme d'achat du commerce de détail indépendant, a remplacé en 2009 l'ancien Marché Gare de Perrache. C'est le 1er Marché de Gros français privé spécialisé en fruits et légumes frais. Il commercialise chaque année 305 000 tonnes de marchandises et approvisionne plus de 2 300 clients répartis sur 51 départements majoritairement en Auvergne-Rhône-Alpes. 25 grossistes et 60 producteurs passionnés œuvrent chaque jour pour satisfaire les besoins des clients sur un site de 12 hectares. Le Marché de Gros Lyon-Corbas organise des visites pour les particuliers tous les 1er jeudis de chaque mois !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a quelque chose qui mijote d'emblée dans La petite cuisine de Mehdi. Pas tant l'intrigue autour d'un jeune cuisinier qui s'empêtre dans ses mensonges pour cacher sa famille à sa petite amie que la question de la crise d'identité des nouvelles générations de français issus de l'immigration maghrébine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
CHER BON! accueille des vigneronnes et vignerons qui envoient du lourd : les irréductibles de Lantignié, au cœur du Beaujolais !Il y a peu, l'asso Vignerons et Terroirs de Lantignié (VTL) débarquait à INSTED (Lyon 3) pour faire goûter au public lyonnais ce que leur village a dans le ventre.Pour cette deuxième table ronde, Cosima, Maxime, Frédéric et Alain, quatre personnalités, quatre parcours, une même énergie : celle de défendre leur village, leurs vins et leurs engagements environnementaux. Discussions cash, visions croisées, engagement total : ça parle vrai, ça parle vigne, ça parle avenir.
Et voici un nouvel épisode "10 questions", les épisodes du Chantier dans lesquels je pose seulement 10 questions-clés à un expert sur un sujet qui vous intéressera forcément si vous vous lancez dans des travaux !Et aujourd'hui on parle de dressing, de bibliothèque, de meuble de salle de bains, de cuisine, de bureau... bref, de mobilier et d'aménagement sur mesure, avec Christine de Schmidt, une marque que vous connaissez tous, un grand nom de l'aménagement sur mesure en France !J'ai voulu en savoir plus sur l'histoire de Schmidt, sur la façon dont ils imaginent et conçoivent du mobilier pour toutes les pièces de la maison, sur leur gamme de solutions d'aménagement, de couleurs et de finitions, sur leurs certifications ISO, PEFC et BCORP, et j'ai bien sûr demandé à Christine ses meilleurs conseils de pro pour connaître les avantages du sur mesure par rapport au mobilier classique, et pour bien faire ses choix afin de ne pas se tromper pour son aménagement intérieur ! Bonne écoute !*****NOTES DE L'ÉPISODE******Un projet d'aménagement sur mesure ? Vous pouvez bénéficier, grâce au podcast, de -15% sur l'eshop de Schmidt www.shop.schmidt/ jusqu'au 28 février 2026 avec le code LECHANTIER15 !- Suivre Schmidt sur Instagram : @schmidt_officiel- Suivre Le Chantier sur Instagram : @lechantierpodcastLes vidéos dont parle Christine dans l'épisode :- Sur le bois : youtube.com/watch?si=M2Uh-cgukamDZiIZ&v=GEtwhWqOSW8&feature=youtu.be- Sur les tests qualité :https://www.youtube.com/watch?v=kuC3EF2Yueshttps://www.youtube.com/watch?v=wV00hmQUtyk- Si vous aimez ce podcast, vous pouvez laisser 5 étoiles ⭐⭐⭐⭐⭐ et votre avis en quelques mots sur Apple Podcasts ou Spotify, ça m'aide énormément !Production & montage : Anne PontyÉpisode diffusé le : 9 décembre 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après les années américaines et cette liberté totale du freelance, cette deuxième partie marque un vrai basculement.Cybèle Idelot raconte le moment où il faut choisir : continuer à circuler, ou s'ancrer.On parle ici d'une décennie à New York, d'événementiel pour de grandes maisons, de dîners privés jusqu'à mille convives, d'un nom qui circule dans un cercle très précis — mais aussi de la précarité du freelance, du téléphone qui ne sonne pas toujours, de l'insécurité permanente.Et puis il y a la rencontre, le couple, la question du “où vivre”, et cette décision progressive : s'établir en France.Cette partie raconte surtout la naissance d'un projet, avant même l'ouverture d'un restaurant.Le choix de Boulogne-Billancourt, le pari d'un territoire, les obstacles administratifs, l'attente interminable… et cette idée folle mais vitale : créer des tables éphémères, presque clandestines, pour faire exister la cuisine avant les murs.Des appartements, des lieux insolites, douze convives qui ne se connaissent pas, dix services, une grande table, et une cuisine pensée comme un moment de rencontre.On découvre ici ce qui fonde profondément son rapport au métier : le partage, la réactivité, la nécessité du mouvement, et cette capacité à transformer un contretemps en terrain d'expérimentation.Un chapitre charnière, celui où l'intuition devient projet, et où la cuisine cesse d'être seulement un savoir-faire pour devenir un lieu de vie.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
Quand un cuisinier s'emmêle les cuillères... Un premier long métrage, en salles à partir du mercredi 10 décembre en France, raconte les tiraillements de Mehdi, jeune Français d'origine algérienne, qui cache à sa mère sa liaison avec Léa et sa passion pour la gastronomie française. Aussi, quand sa copine insiste pour rencontrer sa mère, le jeune homme va trouver la pire des solutions. Amine Adjina, réalisateur de La petite cuisine de Mehdi, est notre Invité culture. À lire aussiIl était une fois l'Histoire de France avec Amine Adjina À réécouter aussiL'autre et soi-même, la vérité révélée
«La petite cuisine de Mehdi» d'Amine Adjina, c'est l'histoire d'un jeune chef cuisinier, Mehdi, d'origine algérienne à Lyon, haut-lieu de la gastronomie française traditionnelle. Avec sa compagne, Léa, ils veulent racheter le restaurant où ils travaillent mais avant, la jeune femme veut rencontrer la famille de Mehdi. Cependant, Mehdi, incarné par Younès Boucif, n'assume pas tout à fait ses origines et il va jusqu'à employer les services d'une fausse mère incarnée à l'écran par Hiam Abbass. Hiam Abbass, comédienne, Younès Boucif, musicien et comédien et Amine Adjina, réalisateur, étaient les invités de Nathalie Amar. Le film «La petite cuisine de Mehdi» sera sur les écrans de cinéma dès le 10 décembre 2025. ► Reportage Isaure Hiace vous entraîne en Autriche avec l'exposition au musée d'art juif de Vienne qui interroge aussi les stéréotypes sur l'identité : «Juifs blancs, Juifs noirs». ► Playlist du jour - Tif - Hinata. - Younès Boucif et Tif - Harraga.
«La petite cuisine de Mehdi» d'Amine Adjina, c'est l'histoire d'un jeune chef cuisinier, Mehdi, d'origine algérienne à Lyon, haut-lieu de la gastronomie française traditionnelle. Avec sa compagne, Léa, ils veulent racheter le restaurant où ils travaillent mais avant, la jeune femme veut rencontrer la famille de Mehdi. Cependant, Mehdi, incarné par Younès Boucif, n'assume pas tout à fait ses origines et il va jusqu'à employer les services d'une fausse mère incarnée à l'écran par Hiam Abbass. Hiam Abbass, comédienne, Younès Boucif, musicien et comédien et Amine Adjina, réalisateur, étaient les invités de Nathalie Amar. Le film «La petite cuisine de Mehdi» sera sur les écrans de cinéma dès le 10 décembre 2025. ► Reportage Isaure Hiace vous entraîne en Autriche avec l'exposition au musée d'art juif de Vienne qui interroge aussi les stéréotypes sur l'identité : «Juifs blancs, Juifs noirs». ► Playlist du jour - Tif - Hinata. - Younès Boucif et Tif - Harraga.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !Cette semaine, je vous parle d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur : le parcours collaborateur, plus précisément l'onboarding ! L'onboarding est une étape cruciale dans l'intégration des nouveaux collaborateurs. Il est essentiel de ne pas rater cette phase, car selon Workelo (2021), un onboarding raté peut coûter jusqu'à 7000 euros à une entreprise. De plus, l'INSEE (2022) révèle que 45% des démissions surviennent durant la première année de contrat. À l'inverse, un bon processus d'onboarding pourrait augmenter la rétention de 82%. Une des meilleures pratiques, pour réussir l'intégration des nouveaux venus, est de soigner leur "pre-boarding", une phase préparatoire souvent négligée. Je vous partage quelques stratégies innovantes et gagnantes comme l'envoi de kits de bienvenue ou l'assignation d'un "buddy" pour faciliter l'intégration. Quelques épisodes cités en référence : La Symétrie des Attentions, avec Jean-Jacques Gressier Les étapes du parcours collaborateur, avec Brice Duthion Comment utiliser les NFT et les Métavers dans l'hôtellerie-restauration ? Comment manager la génération Z en hôtellerie-restauration ? Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:01:49 - Onboarding raté et réussi 00:04:44 - Le pre-boarding 00:09:04 - Le premier jour du collaborateur 00:17:18 - Le processus d'onboarding Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette première partie, Cybèle Idelot remonte le fil de son histoire, là où tout commence vraiment :au nord de San Francisco, dans un environnement où la cuisine est indissociable du produit, du respect du vivant et du rituel de la table.Elle raconte une enfance marquée par deux figures fondatrices :une grand-mère attachée aux codes, aux tables dressées comme des cérémonies,et une mère voyageuse, curieuse, végétarienne avant l'heure, ouverte aux cuisines du monde.Entre ces deux pôles se construit un rapport instinctif à la cuisine, sans projet professionnel clair, mais avec une évidence : celle de recevoir, de rassembler, de nourrir les autres.Formée à l'art, attirée par l'architecture intérieure, Cybele ne pense pas devenir cheffe.La cuisine s'impose pourtant, progressivement, par le geste et par le plaisir.Sans école, sans peur, avec cette énergie qu'elle revendique, très américaine finalement : décider et se lancer !De la France à Saint-Barth, des cuisines privées à des univers ultra-exigeants, elle fait ses premières armes en autodidacte, apprend à anticiper, à écouter, à s'adapter, et découvre dans l'intimité du métier une manière très personnelle de penser la cuisine.Une première partie fondatrice, où se dessinent déjà les lignes fortes de son approche :le produit avant tout, l'empathie, l'attention aux personnes, et cette relation directe, presque instinctive, entre la terre, la table et celles et ceux qui s'y retrouvent.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
Dans cet épisode de CHEFS, je vous propose une rencontre rare, vibrante, avec un chef dont la cuisine dit tout de sa trajectoire : Giuliano Sperandio, aujourd'hui à la tête du Taillevent.Un chef discret, presque silencieux dans les médias, mais dont la parole — quand elle se pose — raconte une vie entière. Dans cet épisode, on remonte le fil :L'enfance heurtée, les premiers repères, l'appétit démesuré qui devient une forme d'ancrage.L'Italie, les rites familiaux, la nourriture comme refuge et comme langage.La bascule : quitter son pays adolescent, reconstruire ailleurs, trouver dans la cuisine une possibilité, un métier, une identité.Les grandes maisons, l'arrivée en France, les cuisines exigeantes, le travail sous pression, la construction du chef qu'il est devenu.Le Taillevent, enfin : ce lieu chargé d'histoire où il déploie aujourd'hui sa voix, sa sensibilité et une liberté culinaire rare.Giuliano raconte avec une authenticité désarmante le chemin parcouru, ses failles, son exigence, ses fulgurances, son rapport à la création, au plaisir, au vrai.C'est un échange profond, parfois brut, toujours humain — une conversation qui révèle l'homme derrière le chef, et le feu derrière sa grande cuisine!Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Kian Koala and Kiera Koala learn to work together as they climb the highest eucalyptus tree in the animal sanctuary.
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le format bonus du podcast CHEFS.Chaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent leurs conseils concrets pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à se lancer sereinement.Dans cet épisode, une question essentielle : ai-je le droit de vendre ce que je veux, quand je veux ?Adrien rappelle que la restauration est un secteur très encadré, où les autorisations dépendent du type d'offre, des horaires d'ouverture et du lieu d'implantation.Il explique :Les formations obligatoires :HACCP pour la sécurité alimentaire.Permis d'exploitation pour servir de l'alcool.PVBAN pour la vente d'alcool de nuit.Les démarches administratives clés : déclaration en mairie, conformité du bail, affichages légaux.Les risques en cas de manquement : fermeture administrative, sanctions financières, voire perte de licence.
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, on plonge dans le parcours d'un entrepreneur qui a bâti une des maisons familiales les plus remarquables du paysage français : Bertrand Jallerat, l'homme derrière le Grand Monarque à Chartres.Né dans une famille d'hôteliers-restaurateurs, élevé entre le travail, le pensionnat et les premières émotions vécues dans le hall d'un hôtel, Bertrand se forme très tôt — à quatorze ans — dans les cuisines et les salles où il apprend les bases du métier.Puis Lausanne, l'école, et surtout un tournant décisif : son entrée chez Paul Bocuse, qui deviendra pour lui bien plus qu'un modèle de cuisine, un mentor de l'hospitalité. Une véritable école de vie et de management, où il observe au quotidien comment on fait tenir un groupe, des équipes, des brasseries, des voyages, un univers.Paris, ensuite avec une adresse mythique de la gastronomie Le Petit Riche: la cadence, la salle qui déborde, les décisions prises à l'instinct, l'intuition commerciale… et la rencontre avec celle qui deviendra son épouse et sa partenaire dans tous les futurs projets...La suite, c'est un chemin entrepreneurial fait de paris audacieux :— ouvrir une brasserie sans apport,— transformer le Grand Monarque sans jamais le trahir,— créer un spa dans une ville où personne n'y croyait,— faire grandir des équipes sur deux décennies,— et imaginer aujourd'hui l'aboutissement du Monarque, comme un retour à la source après avoir bâti un véritable écosystème.Un épisode sur la vision, sur la transmission, sur la manière de créer des lieux qui accueillent, et sur un mantra que tout hotelier, aubergiste, chef et restaurateur pourrait se répéter au quotiden: "notre matière, c'est l'humain".Un parcours de bâtisseur, incarné, raconté avec simplicité, pudeur, et une précision qui dit beaucoup de la manière dont il dirige.Pour découvrir la villa Edmond à Bièvres, à deux pas de Paris c'est par ici !
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :Quand on pense à un hôtel, on imagine souvent un accueil chaleureux, un service soigné, une expérience mémorable.Mais avant tout cela, il y a l'espace.Des volumes, des circulations, des matériaux, des meubles. Autant d'éléments qui traduisent une intention : celle de faire vivre l'accueil.C'est le métier de Thierry Grillot, dirigeant de LBC, une entreprise fondée en 1983 par son frère et aujourd'hui intégrée au groupe Korus.Historiquement tournée vers le tertiaire, LBC s'impose désormais dans l'hôtellerie-restauration avec des projets d'envergure que nous allons découvrir aujourd'hui.Dans cet épisode, on parle d'espaces qui racontent une histoire, d'hôtels qui se transforment, et d'une entreprise qui conjugue design, RSE et hospitalité.2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.Cet épisode est produit en partenariat avec LBC. Un grand merci aux équipes pour leur collaboration et leur professionnalisme.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - L'aménagement au service de l'expérience client et de la fidélisation00:08:00 - Rentabilité des espaces et hybridation des usages00:16:00 - Histoire, ADN humaniste et croissance de LBC/Korus dans l'hospitalité00:24:00 - Innovation RSE et le leasing circulaire00:29:00 - Perspectives d'avenir, IA et Génération Z00:35:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Obésité, diabète de type 2, maladies cardio-vasculaires, dépression… La nocivité des aliments ultratransformés pour la santé ne fait plus de doute pour la communauté scientifique. En cause : leur composition (émulsifiants, colorants, édulcorants – des substances ajoutées pour modifier texture, saveur ou conservation) et les procédés industriels utilisés pour les fabriquer.Pourtant, ces produits truffés d'additifs prennent de plus en plus de place dans nos réfrigérateurs et sur nos étagères. Ils représentent un tiers de l'alimentation adulte en France. Leur succès s'explique par leur praticité : prix abordable, longue durée de conservation, préparation rapide.Selon les scientifiques, il est urgent de mettre en place des politiques publiques ambitieuses pour freiner leur progression dans nos régimes alimentaires. Telle est la conclusion d'une série d'articles publiés, mercredi 19 novembre, dans la revue The Lancet.Quels sont les aliments considérés comme ultratransformés ? Comment les reconnaître ? Les pouvoirs publics prévoient-ils d'encadrer davantage leur commercialisation ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Iris Deroeux, journaliste au service « Décodeurs » du Monde, répond à toutes ces questions.Un épisode d'Audrey Travère, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'un reportage sur l'évolution des habitudes alimentaires des Français, diffusé en 1973 (archive INA).Cet épisode a été publié le 4 décembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deuxième épisode de notre hors-série “Le Noël des Chefs”, où l'on explore les souvenirs, les gestes et les premières émotions qui naissent autour de la table pendant les fêtes.Dans cet épisode, place à une voix rare, sensible et précise : Jade Genin, chocolatière et fondatrice de sa maison éponyme.Fille de Jacques Genin, figure majeure du chocolat et de la pâtisserie française, Jade raconte un parcours fait de questionnement, de détours en apparence et de retours assumés — un chemin où l'héritage est un ingrédient de base mais où l'on apprend à tracer sa propre ligne.Elle se livre sur son enfance, sur l'atelier, sur la rigueur et la beauté du geste observées dès son plus jeune âge.Elle raconte aussi ce rapport particulier à Noël : la magie du chocolat, les sensations, les images qui reviennent, les premières créations qu'elle ne montrait qu'à demi, la pression qu'elle s'est longtemps imposée… et ce moment où l'on s'autorise enfin à trouver son style, sa forme, sa liberté.Un échange personnel, élégant, profondément humain, où l'on comprend comment une matière peut devenir un langage, et comment une artisane trouve sa place entre transmission et affirmation.
Dans cette troisième et dernière partie de notre échange avec Giuliano Sperandio, on entre dans ce qui fait la matière la plus intime de son parcours :les virages, les départs, les remises à zéro, les moments où l'on se demande si l'on est encore en phase avec soi-même — et ce besoin vital qu'il a toujours eu de se retrouver.On suit Giuliano dans une période dense :son arrivée à La Bigarrade, la fulgurance des deux étoiles, puis le doute.Le sentiment de ne pas être aligné malgré les succès, cette impression d'être applaudi mais “pas connecté”.C'est là qu'il quitte tout, retourne sur une plage d'Imperia servir des glaces et cuisiner comme un pêcheur… juste pour vérifier s'il a vraiment le niveau, sans artifice, sans critique, devant ceux qui l'ont connu enfant.Et puis vient Le Clarence, une aventure de liberté totale avec Christophe Pelé — liberté tellement vaste qu'elle virte à l'excès et provoque l'envie de retrouver un cadre, un terrain de jeu plus net.Arrive alors l'appel du Taillevent.Un rendez-vous à armes égales, un papier qu'il rédige seul dans sa chambre en plein Covid où il raconte “le Taillevent passé, présent et celui qu'il souhaite dessiner”.Et il obtient la maison.Dans cette partie, il raconte comment il a remis de la vie dans cette institution,Comment l'élégance peut enlacer l'agilité,Comment on bâtit une maison qui sourit, en rendant chacun libre d'être lui-même.Et puis il y a la vie privée, les choix difficiles, les ruptures qui se fondent dans la continuité... C'est un final d'une grande sincérité, un chef qui se raconte sans filtre, avec ses forces, ses doutes, ses lignes de fuite et cette façon très personnelle de remettre du vivant partout où il passe!Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Dans cette deuxième partie, on retrouve Giuliano Sperandio au moment où sa vie bascule vraiment dans le métier.C'est un chapitre fait de voyages, d'apprentissages parfois rudes, de rencontres fondatrices et de décisions parfois impulsives — mais toujours guidées par une boussole intérieure très claire : vivre sa vie, pas celle que les autres attendent.On le suit du concours européen au Luxembourg — qu'il gagne presque malgré lui — à Monaco, puis Rome, où il découvre ce qui deviendra sa cuisine : les condiments, les cuissons, les jus, ces « petites touches qui font briller le palais ».On le découvre observateur obsessionnel, mémoriel sur les gestes et les attitudes, mais totalement imperméable à l'idée de reproduire un plat qu'il n'a pas compris.Et puis il y a ces virages qui disent tout de son tempérament :New York et ses cuisines chaotiques, la Suisse, la Grèce avec Nobu, puis ce besoin presque organique d'apprendre les bases françaises, à Paris, quitte à mettre son couple dans la balance.Ce chapitre, c'est le moment où Giuliano se construit un langage : chercher, absorber, décoder, comprendre — et ne jamais faire semblant.Une trajectoire faite « d'envies » plutôt que de plans, de liberté cadrée et d'intuition.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité : Diplômé depuis 2017, Thomas Hostache a fondé, son associé Bertrand Chaput, le studio Hoch. Implantée entre Paris et Aix-en-Provence, cette agence d'architecture s'occupe de projets hôteliers d'envergure, orientés vers le développement durable. Avec une troisième branche dédiée à l'architecture d'intérieur, Thomas et son équipe sont capables de mener des projets de A à Z, se spécialisant notamment dans la rénovation plutôt que dans la construction neuve, une démarche qui s'est transformée en conviction pour préserver l'environnement et valoriser le patrimoine. Nous plongeons avec lui dans l'univers de l'architecture hôtelière et restauration, où Thomas explique les défis spécifiques de ces projets, de la conception à la réalisation. Il aborde l'importance de la réversibilité des bâtiments, la réutilisation de matériaux et la création d'espaces qui servent aussi bien les clients que le personnel. L'approche de Thomas est une véritable leçon sur l'importance de l'architecture dans l'expérience hôtelière, montrant que la beauté d'un lieu est indissociable de sa fonctionnalité et de son impact environnemental. 2️⃣ Notes et références : Le studio archi Hoch Edgar Suites Le Grand Mazarin Canal Architecture Épisode 56 - Créer Okko Hotels, avec Solenne Ojea-Devys Épisode 69 - Projets FF&E et OS&E, avec Sébastien Romiszvili Épisode 42 - Transformer une grange en lieu d'accueil, avec Edouard Daehn, fondateur du Barn Hotel Le livre Le Style Anthropocène de Philippe Rahm 3️⃣ Pour contacter l'invité : par mail : thomas@hoch-studio.com ou via l'Instagram de @Hoch surtout pas sur linkedin ! 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:04:42 - Thomas Hostache 00:07:57 - Spécialisation en rénovation 00:10:00 - Les projets hôteliers 00:21:36 - Mise en œuvre d'un projet 00:27:59 - Rénovation vs. construction neuve 00:33:45 - Bilan carbone 00:39:00 - Les besoins des collaborateurs 00:42:25 - L'idée de bâtiments réversibles 00:47:45 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chef du Taillevent, à Paris depuis 2021, Giuliano Sperandio est aujourd'hui un profil singulier de la haute cuisine française.Longtemps dans l'ombre de Christophe Pelé, il assoit désormais son univers avec une vivacité et une liberté remarquables — une main fine, précise, inspirée, une agilité qui fait vibrer les murs d'une institution historique.Dans ce premier chapitre consacré à Giuliano Sperandio, on remonte à l'origine de tout.Loin du prestige du Taillevent, loin de la vivacité créative qu'on lui connaît aujourd'hui, il y a un enfant de Ligurie — un petit village de 75 âmes, beaucoup de silence, une tristesse très tôt installée, mais aussi une immense bienveillance. Giuliano raconte sans détour cette enfance marquée par l'absence, la dépression, la nourriture comme refuge et cette première image fondatrice : un petit garçon enfermé dans les toilettes de l'école, qui face à une araignée, écrit sur un bout de papier comme une échapattoire qu'il veut être glacier.On découvre aussi la table de ses grands-parents, seul lieu joyeux, généreux, où les pâtes, les viandes, les desserts rythmaient les week-ends.On parle des difficultés de l'adolescence, de son entrée à l'école hôtelière, du premier stage dans un hôtel réputé “dur”, des carottes qu'on doit éplucher comme on ferait une introspection, de la violence de certains gestes en cuisine, et de la manière dont le jeune Giuliano tente de se construire malgré tout.Cette première partie est un récit puissant, brut, d'une grande sensibilité.Et pour comprendre l'homme et le chef qu'il est devenu, il faut commencer là : dans un village de Ligurie, avec un enfant triste et lumineux à la fois, avec cette force singulière qu'il a de transformer les éprevues et les cicatrices en énergie.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
durée : 00:28:57 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Les séries font de la gastronomie un terrain d'émotions et de luttes. À l'occasion des Rencontres du Havre consacrées cette année au thème “séries et cuisine”, Carole Desbarats et Marine Bidaud reviennent avec nous sur ce qui mijote vraiment derrière ces fictions. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Carole Desbarats Directrice artistique des rencontres nationales du Havre sur les séries.; Marine Bidaud Consultante, conceptrice de la série Bistronomia sur France TV
Show us some loveGobble Gobble *inserts all the turkey noises here*Heyyyy what's going on everyone?! As you are spending time with your loves ones, cooking your dishes, drinking a little extra and stuffing your faces this weekend, your favorite podcast is back with this year's Thanksgiving extravaganza episode! We start things off as most year, trying to figure out who's cooking what and how many stops do you have plugged into your GPS. In true fashion of our AI conversations, what would you do if someone told you the Declaration of Independence was our first robot written document? Were you a Campbell's soup fan growing up? Well, you might change your stance after you hear their exec dragging them through the mud. For the men, did you know how much "data" you actually exert when you "do the due"? There plenty more where that came from, so as we wish you and yours the Happiest of Thanksgivings, we hope you give the gift of gab so they can tune in and listen too.Support the show
Mes chers camarades, bien le bonjour !Ça y est, on arrive au 10e et dernier épisode de la série Cuisine Historique ! Et pour cette fois, on s'attaque à un plat de la Seconde Guerre mondiale : que manger quand le pays est sous occupation, en contexte de restriction ? C'est ce qu'on vous propose de découvrir aujourd'hui avec Fabian, avec les Bitoks à la Russe… Et ne vous y trompez pas, c'est excellent ! Bonne écoute et bon appétit !➤ La série Cuisine Historique a pu être réalisée grâce au soutien du CNC Talent : https://www.cnc.fr/professionnels/aides-et-financements/creation-numerique/fonds-daide-aux-createurs-video-sur-internet-cnc-talent_190814➤ Pour en savoir encore plus sur l'histoire de l'alimentation, suivez les travaux de Fabian :➜ Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100015340651981➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/fabian.mullers/➜ Via le collectif Cuisine Historique : https://www.facebook.com/CollectifCuisineHistorique➜ Et sur le site de La Muse : https://mondemedieval.fr/
durée : 00:53:26 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Ce lac italien n'est pas qu'une région touristique, on explore la passionnante cuisine lacustre, paysanne et alpine avec des recettes et des reportages. - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dirty Work Hour 2: Copes and D-Pop bring on two chefs from the Mauna Kea hotel to talk about the high-end cuisine offered at the resort. The guys review the Warriors' six-game road trip, including the 110-96 loss in Miami without Stephen Curry, Jimmy Butler and Draymond Green. They end the hour talking about Jonathan Kuminga's place in the Warriors' rotation and if they feel like Kuminga is a scapegoat.See omnystudio.com/listener for privacy information.