Podcasts about Cuba

Escucha los mejores casos de la serie de comedia radiofónica cubana LaTremenda Corte, que fue transmitida por décadas en México en las distintasestaciones de Grupo Radio Centro.

El año 2025 va a terminar como empezó, con un contexto geopolítico extremadamente voluble, crispado y amenazado por las guerras que continúan en Ucrania, Oriente Próximo, Sudán, Yemen… Conflictos que lejos de acabar, van a va a más porque la Inteligencia Artificial ha irrumpido de lleno en los conflictos armados. El poder de las máquinas está desatando una cascada de dilemas éticos y legales que nos planteamos hoy en Punto de Fuga con el catedrático de Filosofía del Derecho de la Universidad de Oviedo, Roger Campioni. En este capítulo también analizamos el último éxodo cubano, a través de los ojos del cineasta cubano, Rolando Díaz que nos hablará de su película 'Adiós, Cuba', una historia que narra el empeño de una directora de teatro en montar una obra basándose en diálogos con mujeres y hombres que sufrieron en primera persona esa huida.

Dès le lancement de son « opération militaire spéciale » (SVO) contre l'Ukraine, le 24 février 2022, le Kremlin, qui dispose de l'un des plus vastes arsenaux nucléaires au monde, a adopté des mesures de dissuasion agressives et une rhétorique résolument menaçante. Décryptage d'un possible emploi de l'arme nucléaire par Moscou, avec Dimitri Minic, chercheur à l'Institut français des Relations internationales (Ifri). [Rediffusion] RFI : Dès les premiers jours de la guerre, Moscou adopte une rhétorique nucléaire agressive. Quelle est sa stratégie ? Dimitri Minic : Le 24 février 2022, sa stratégie, c'est de prendre Kiev en quelques heures et au pire quelques jours, et de soumettre politiquement l'Ukraine. Quand Vladimir Poutine fait son discours sur l'opération militaire spéciale le 24 février, qui annonce son déclenchement, il fait une allusion à un emploi possible de l'arme nucléaire, face à ceux qui voudraient s'impliquer directement dans ce conflit pour aider l'Ukraine. Ce qui, au fond, a permis à la Russie d'éviter effectivement une escalade de la guerre locale en guerre régionale, impliquant d'autres pays, d'autres puissances, mais qui n'a pas suffi non seulement à dissuader effectivement l'Ukraine de résister, mais surtout qui n'a pas permis d'éviter le début d'un flux d'aide militaire à l'Ukraine. Et par ailleurs, ces menaces nucléaires russes n'ont pas permis d'empêcher l'instauration de sanctions économiques très importantes de l'Occident contre la Russie. Donc, c'est un succès relatif de la stratégie nucléaire russe, mais qui, en réalité, ne permet pas à la Russie d'isoler l'Ukraine de l'Occident, ce qui était son principal objectif. Mais il y a quand même une véritable inquiétude qui plane en Occident, puisque le nucléaire tactique fait partie de l'arsenal russe. Le nucléaire a été étendu à la guerre conventionnelle, en quelque sorte ? Oui, absolument. En fait, à la chute de l'Union soviétique, les élites militaires russes héritent d'une doctrine de non-emploi en premier. Et progressivement, elles se rendent compte que la théorie de la dissuasion et ses mécanismes étaient peu développés par rapport à ce qui existait en Occident. Dans les années 90, vous avez une grande période d'élaboration conceptuelle, de théorisation qui conduit l'armée russe, au plan théorique et doctrinal, à effectivement étendre la dissuasion nucléaire aux guerres conventionnelles de toute ampleur, locales, régionales et à grande échelle. Il y a un emploi possible de l'arme nucléaire, un emploi démonstratif, limité, censé mettre fin aux combats dans des conditions favorables à la Russie. On aurait pu se dire, puisque l'opération militaire spéciale est un échec pour la Russie, il est possible que ces concepts soient appliqués. Mais en réalité, cette doctrine exigerait des conditions qui ne sont pas du tout réunies dans la guerre en Ukraine. Pour que Moscou prenne des mesures de dissuasion nucléaire très claires, il faudrait par exemple un transfert des têtes nucléaires depuis les entrepôts centraux vers les unités, vers les bases. Un transfert démonstratif médiatisé qui montrerait que la Russie commence à penser sérieusement à employer l'arme nucléaire ou un essai nucléaire réel, ou d'autres types de mesures qui montreraient qu'elle a vraiment la volonté de le faire. Mais il faudrait qu'elle se trouve dans des conditions extrêmement graves. Il faudrait qu'elle soit en passe de perdre de manière irrémédiable face à un ennemi conventionnel, aidé par des États d'ailleurs dotés de l'arme nucléaire, qui non seulement aient envie de conquérir des territoires russes ou bien aient envie de changer le régime russe. À lire aussiRussie: Vladimir Poutine annonce une révision de la doctrine nucléaire et menace les Occidentaux On le voit au début de la guerre, les Américains vont sonder les Russes afin de savoir dans quelles conditions ils pourraient utiliser l'arme nucléaire. Absolument. Et à l'époque, Valeri Guerassimov répond qu'il y a trois conditions : l'utilisation d'armes de destruction massive contre la Russie, une volonté, une tentative de changer le régime, une déstabilisation profonde du régime provoqué par un État étranger. Et la troisième condition serait des pertes catastrophiques sur le champ de bataille. Et c'est intéressant parce que, à l'époque, à l'automne 2022, la Russie subit des pertes et surtout des revers militaires importants en Ukraine, dans le Donbass. Valeri Guerassimov, à ce moment-là, en évoquant ces trois conditions, abuse de son interlocuteur parce qu'il est évident que la Russie aurait pu compenser ses pertes assez rapidement et qu'elle a de telles réserves matérielles et humaines qu'il est très peu probable qu'elle recourt au nucléaire dans ce type de conditions loin d'être inacceptable ou en tout cas catastrophique pour elle. Vous identifiez trois failles théoriques et pratiques révélées par cette guerre en Ukraine de la doctrine nucléaire russe. Et l'une d'elles, c'est la limite de la dissuasion stratégique conventionnelle, avec les fameux missiles Kalibr,  Kinjal, dont l'usage n'a pas produit l'effet escompté… Non, non, ça n'a pas fonctionné. Effectivement, la Russie débute la guerre en Ukraine avec une conception de la dissuasion qui est une conception très agressive, offensive, mais surtout inter-domaines. C'est à dire que la Russie ne conçoit pas la dissuasion comme quelque chose d'exclusivement nucléaire. La dissuasion russe concerne à la fois les domaines non militaires et subversifs, le domaine conventionnel, donc les forces conventionnelles et les armes conventionnelles et les forces nucléaires. Donc, la Russie n'a pas une vision exclusivement défensive de la dissuasion. Car, pour le dire rapidement, la Russie ne conçoit sa sécurité qu'à travers l'insécurité de ses voisins. Donc, cette situation stratégique échoue effectivement à trois niveaux. C'est d'abord l'échec du concept de contournement, pour permettre à l'État russe de gagner une guerre avant la guerre. En fait, il n'était pas question de déclencher une guerre à grande échelle, de longue durée et très meurtrière, mais plutôt de soumettre l'ennemi sans combat, ou en tout cas sans combat de grande ampleur. C'est aussi un échec des moyens et des méthodes psychologiques ou informationnelles, comme disent les Russes, puisqu'ils pensaient les Ukrainiens et les élites ukrainiennes complètement soumises, rendues apathiques par la Russie et ses manœuvres. Ça n'a pas été le cas. Ils pensaient que les Occidentaux avaient été anesthésiés par cette pratique psychologique ou informationnelle, qui vise non seulement à modifier la psyché des individus et des sociétés, mais en fait à transformer les individus et la société. Et donc surtout, ce que j'observe dans cette étude, c'est que la phase conventionnelle, a subi un échec important. Pourquoi : parce que les élites militaires russes et les élites politiques russes ont surestimé pendant 35 ans l'efficacité de ces moyens conventionnels. Parmi ces moyens conventionnels, effectivement, on a d'abord les forces générales, les exercices, les déploiements de forces aux frontières. Bon, ça n'a pas produit l'effet désiré. Ça n'a pas forcé l'Ukraine à capituler. Mais surtout, les armes modernes duales, donc, qui peuvent être à la fois équipées soit d'une tête nucléaire, soit d'une tête conventionnelle. Ces armes, le Kinjal, le Kalibr, l'Iskander, ont été utilisées sur le champ de bataille. On se rappelle le Kinjal, une arme hypersonique utilisée à un moment qui était censé être décisif pour la Russie, puisque c'était le moment des premières négociations entre l'Ukraine et la Russie en mars 2022, au moment où les Ukrainiens sont très réticents à accepter un accord très favorable à la Russie. Et la Russie emploie dans l'intervalle, au moment de ces discussions ultimes, le Kinjal sur le champ de bataille. C'était sa première utilisation opérationnelle, puis un deuxième deux jours plus tard, avant de se retirer du nord et de l'est de l'Ukraine. L'utilisation de ces missiles conventionnels confirmait en fait des vulnérabilités qui étaient identifiées par les militaires russes depuis les années 90 ! Il faut bien comprendre que la défense antimissile présente en Ukraine, d'origine occidentale notamment, a été efficace et a plutôt montré la surestimation que les élites militaires, russes et politiques russes avaient de l'efficacité de l'emploi de ces missiles contre des cibles stratégiques comme des bases aériennes, etc. Non seulement en termes d'ampleur, de nombre indispensable pour détruire une cible stratégique, mais en plus la vulnérabilité des vecteurs. On voit bien que la Russie a fait face à un ISR, c'est à dire un renseignement occidental qui a été puissant et efficace. Cette double vulnérabilité, à la fois la difficulté à détruire des cibles stratégiques avec ces missiles modernes et en même temps la difficulté à protéger leur plateforme de lancement, ça tend à remettre en question, même partiellement, cette stratégie de frappes nucléaires limitées dont je parlais tout à l'heure, avec un missile unique. Donc, on voit bien que d'un point de vue technique, c'est un affaiblissement. Et les excès rhétoriques de Dmitri Medvedev (vice-président du Conseil de Sécurité de Russie au discours violemment anti-occidental, NDLR), de Ramzan Kadyrov (président de la République de Tchétchénie, un proche de Vladimir Poutine, NDLR) également, ont abîmé la dissuasion nucléaire russe ? À force de crier au loup et à menacer d'hiver nucléaire, l'Occident, ça ne prend plus ? Absolument. Parce que la Russie, dès qu'elle entre dans le conflit, produit une rhétorique nucléaire extrêmement agressive, mais dans les faits, les mesures qu'elle prend concrètement pour accompagner cette rhétorique nucléaire sont très modérées. Donc, vous avez un décalage très fort entre ce que la Russie dit, et ce que la Russie fait vraiment. Ça n'est pas une nouveauté en Russie. Sur quoi s'appuie cette pratique, ce décalage ? Il est dû à une culture stratégique, c'est à dire que la Russie considère que l'Occident est faible, lâche et déliquescent et qu'il est sensible aux menaces, qu'il a peur du nucléaire et qu'il cédera en réalité. Ils estiment qu'une frappe nucléaire unique, démonstrative, limitée sur le théâtre, obligera, forcera finalement les Occidentaux à rentrer chez eux et à demander pardon. Ils ne sont pas vraiment revenus de ça. Effectivement, ce décalage au bout d'un moment pose un problème. Vous ne pouvez pas hurler dans tous les médias que vous avez au moins dix lignes rouges et ne rien faire. Des officiers supérieurs généraux de l'armée russe ont expliqué en 2023-2024, ils ont eu un mot que je trouve très drôle, « Les lignes rouges russes ont rougi de honte », ajoutant « Les Occidentaux nous ont devancés de 8 à 10 pas dans l'escalade et nous, on les regarde ». Dans l'armée russe, il y a une forme d'incompréhension de l'attitude de la Russie. C'est à dire qu'ils sont tous d'accord pour maintenir cette rhétorique agressive, mais ils veulent qu'elle soit accompagnée de mesures pratiques, concrètes. Donc ce décalage a affaibli la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe et ça a conduit les Occidentaux à poursuivre leur aide à l'Ukraine et même à l'intensifier. Aujourd'hui, la dissuasion nucléaire russe commence à s'adapter en entreprenant des actions beaucoup plus concrètes. On a évidemment la décision de transférer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie. On a beaucoup d'autres actions de ce type. Il y a aussi la publication de la nouvelle doctrine nucléaire russe en novembre 2024, qui est une mesure de dissuasion en réalité. Il faut bien le comprendre, ça aussi. RFI : Et quel est le nouveau message adressé à l'Ouest, à l'Europe et à l'OTAN ? C'est de faire des démonstrations de force sérieuses. Un général russe important propose de rejouer le scénario cubain (crise des missiles de Cuba 1962, NDLR). Donc il y a une volonté de faire une démonstration claire de la force militaire nucléaire. Et à chaque fois qu'une ligne rouge est franchie, d'avoir une réponse nucléaire ou conventionnelle. Les militaires russes pensent aussi que les réponses conventionnelles doivent être beaucoup plus violentes, beaucoup plus fortes. Et cette dissuasion conventionnelle, en fait, ils en ont fait la démonstration avec le tir de missiles balistiques à portée intermédiaire. Ce tir d'Orechnik (Le 9M729-Orechnik, littéralement « noisetier », est un missile balistique russe à portée intermédiaire, NDLR) fait suite à la publication de la nouvelle doctrine nucléaire, qui elle-même s'inscrit dans ce que la Russie perçoit en 2024 comme une logique d'escalade continue. C'est aussi une réponse au discours d'Emmanuel Macron sur de possibles troupes au sol en Ukraine. Et n'oubliez pas, le plus important, en 2024 commence la levée de toutes les interdictions de l'administration Biden sur l'utilisation par l'Ukraine d'armes de fabrication américaine, non seulement à la frontière russe, mais en fait progressivement sur tout le territoire russe. Puis une autre séquence s'ouvre puisque Donald Trump arrive au pouvoir. À lire aussiRoyaume-Uni: les bonnes intentions envers l'Ukraine lors de la «coalition des volontaires» RFI : Qu'est-ce que change l'arrivée de Donald Trump pour la dissuasion nucléaire russe ? On a l'impression d'avoir changé de monde parce qu'avec l'ancienne administration, vous aviez une escalade très maîtrisée à laquelle la Russie a eu beaucoup de mal à répondre parce que tout est venu de façon séquencée. Envisager l'utilisation de l'arme nucléaire en cas de menace à l'existence même de l'État russe, ça devenait complètement obsolète pour ses officiers supérieurs et généraux. Parce que cette doctrine nous montre aussi que la Russie a peur que ses tentatives d'agression contre ses voisins suscitent l'aide de pays dotés d'armes nucléaires. En fait, elle a peur que le scénario ukrainien se reproduise. Et donc cette nouvelle doctrine est censée couvrir ces scénarios aussi. Elle élargit les conditions d'emploi et elle abaisse le seuil déclaré d'emploi de l'arme nucléaire. RFI : L'élection de Donald Trump a-t-elle permis de faire baisser la tension ? Plus tôt. Ça très clairement, c'est à dire que Trump et son indifférence relative à l'Ukraine et à l'Europe y participe, la collusion idéologique qui existe entre la Russie et les États-Unis aujourd'hui, le peu d'intérêt qu'il a pour l'Otan et l'Europe orientale le permette. Ce qui ne veut pas dire que la rhétorique agressive de la Russie s'arrête. Au contraire, on voit bien que la rhétorique nucléaire agressive de la Russie se déclenche dès que le président américain envisage sérieusement, en tout cas rhétoriquement, de fournir des armes offensives et à longue portée à l'Ukraine. Ce qui s'éloigne, c'est la perspective d'un emploi. Il était déjà très faible depuis le début de la guerre en Ukraine. Avec l'élection de Donald Trump, il est encore plus faible. Donc autant dire, très peu probable. En revanche, les ambiguïtés de Washington, les hésitations de l'Europe à l'égard de la défense du continent, à l'égard de la défense de l'Ukraine, alimentent l'agressivité de la Russie. Et donc ça augmente la probabilité d'actions déstabilisatrices conventionnelles russes. À lire aussiLa pérennisation de l'aide à l'Ukraine au menu d'un nouveau sommet européen à Bruxelles

En este episodio de Pelota Cubana USA presentamos una entrevista de archivo realizada en 2021 con Raúl Valdés, donde el lanzador repasa las etapas clave de su carrera dentro y fuera del béisbol cubano.Valdés analiza:• Su experiencia en las Series Nacionales• La salida de Cuba como punto de quiebre• El proceso de firma en MLB• La construcción de una carrera profesional• El béisbol invernal como espacio de estabilidad y continuidadUn episodio que aporta contexto y memoria sobre una generación de peloteros que encontró fuera de Cuba el camino que no pudo recorrer dentro.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche a entraîné une diminution du nombre de Canadiens se rendant en vacances en Floride. Les raisons sont nombreuses : l'opposition à ses valeurs, l'augmentation des droits de douane, mais également son hostilité manifeste envers le Canada. Donald Trump ayant argué que le Canada devrait devenir un État américain. De quoi toucher la Floride, qui voit d'habitude chaque année des Canadiens affluer à la saison hivernale pour échapper au froid et pour profiter du soleil, surnommés les « snowbirds » (les oiseaux migrateurs, en français). Le long du rivage, dans la ville balnéaire de Fort Lauderdale en Floride, les touristes se promènent et profitent de la plage. De l'autre côté de la rue, les hôtels de luxe sont alignés pour offrir une vue imprenable sur l'océan Atlantique. Des conditions de séjour a priori idéales et prisées par les voyageurs. Pourtant l'hôtel The Atlantic a vu récemment son taux d'occupation baisser de 4,9 %. Une chute directement imputée au marché canadien, selon la directrice des ventes, Amy Faulkner. « Même si une baisse de 4,9 % ne semble pas beaucoup, elle l'est pour notre hôtel. C'est d'autant plus important pour nous car, quand les Canadiens voyagent ici restent pour une longue durée. Ils peuvent rester jusqu'à six mois, donc cela touche réellement notre hôtel », déplore-t-elle. Cette diminution du tourisme s'ajoute à un contexte économique déjà difficile aux États-Unis, explique-t-elle. « Je le ressens un peu comme l'année du Covid. Pas aussi difficile que le covid, mais l'année a été très dure », soupire-t-elle. Les hôteliers font les comptes Son collègue Don Ciarlillo, courtier dans l'immobilier, affirme qu'il est néanmoins trop tôt pour connaître les conséquences dans le secteur immobilier, dans lequel les Canadiens investissaient également. « Je ne l'ai pas vu du côté de l'immobilier. Je préfère regarder comment va la saison. Je regarderai à la fin du mois d'avril, vers début mai. Quand la saison touristique de l'hiver se calmera, on aura les chiffres », temporise-t-il. À l'entrée du Motel de Richard, le néon indique qu'il reste des chambres disponibles, tandis qu'une fleur de lys souhaite la bienvenue aux touristes québécois. Le propriétaire Richard Clavet dit percevoir un changement depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pour un second mandat. « L'année passée, l'hiver avait bien commencé. Trump est arrivé au pouvoir en janvier et là les politiques se sont mises en place. Ce qui fait qu'en février, on a commencé à noter une baisse pour mars. Puis la baisse, elle était quand même forte pour mars et avril. Je peux pas dire de chiffres exacts, mais ça avait été assez important », détaille-t-il. Certains ont ouvertement justifié ces annulations à cause de la personnalité politique de Donald Trump. Tel ce client prêt à perdre 1 000 dollars déjà payés, se souvient Richard Clavet : « Il a tout simplement traité Trump de dictateur et a choisi de prendre ses vacances à Cuba plutôt qu'ici. Alors, moi je lui ai dit : "Tu salueras de notre part les dictateurs de Cuba." » À lire aussiL'économie mondiale retient son souffle : rétrospective de l'année 2025

Escucha los mejores casos de la serie de comedia radiofónica cubana LaTremenda Corte, que fue transmitida por décadas en México en las distintasestaciones de Grupo Radio Centro.

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche a entraîné une diminution du nombre de Canadiens se rendant en vacances en Floride. Les raisons sont nombreuses : l'opposition à ses valeurs, l'augmentation des droits de douane, mais également son hostilité manifeste envers le Canada. Donald Trump ayant argué que le Canada devrait devenir un État américain. De quoi toucher la Floride, qui voit d'habitude chaque année des Canadiens affluer à la saison hivernale pour échapper au froid et pour profiter du soleil, surnommés les « snowbirds » (les oiseaux migrateurs, en français). Le long du rivage, dans la ville balnéaire de Fort Lauderdale en Floride, les touristes se promènent et profitent de la plage. De l'autre côté de la rue, les hôtels de luxe sont alignés pour offrir une vue imprenable sur l'océan Atlantique. Des conditions de séjour a priori idéales et prisées par les voyageurs. Pourtant l'hôtel The Atlantic a vu récemment son taux d'occupation baisser de 4,9 %. Une chute directement imputée au marché canadien, selon la directrice des ventes, Amy Faulkner. « Même si une baisse de 4,9 % ne semble pas beaucoup, elle l'est pour notre hôtel. C'est d'autant plus important pour nous car, quand les Canadiens voyagent ici restent pour une longue durée. Ils peuvent rester jusqu'à six mois, donc cela touche réellement notre hôtel », déplore-t-elle. Cette diminution du tourisme s'ajoute à un contexte économique déjà difficile aux États-Unis, explique-t-elle. « Je le ressens un peu comme l'année du Covid. Pas aussi difficile que le covid, mais l'année a été très dure », soupire-t-elle. Les hôteliers font les comptes Son collègue Don Ciarlillo, courtier dans l'immobilier, affirme qu'il est néanmoins trop tôt pour connaître les conséquences dans le secteur immobilier, dans lequel les Canadiens investissaient également. « Je ne l'ai pas vu du côté de l'immobilier. Je préfère regarder comment va la saison. Je regarderai à la fin du mois d'avril, vers début mai. Quand la saison touristique de l'hiver se calmera, on aura les chiffres », temporise-t-il. À l'entrée du Motel de Richard, le néon indique qu'il reste des chambres disponibles, tandis qu'une fleur de lys souhaite la bienvenue aux touristes québécois. Le propriétaire Richard Clavet dit percevoir un changement depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pour un second mandat. « L'année passée, l'hiver avait bien commencé. Trump est arrivé au pouvoir en janvier et là les politiques se sont mises en place. Ce qui fait qu'en février, on a commencé à noter une baisse pour mars. Puis la baisse, elle était quand même forte pour mars et avril. Je peux pas dire de chiffres exacts, mais ça avait été assez important », détaille-t-il. Certains ont ouvertement justifié ces annulations à cause de la personnalité politique de Donald Trump. Tel ce client prêt à perdre 1 000 dollars déjà payés, se souvient Richard Clavet : « Il a tout simplement traité Trump de dictateur et a choisi de prendre ses vacances à Cuba plutôt qu'ici. Alors, moi je lui ai dit : "Tu salueras de notre part les dictateurs de Cuba." » À lire aussiL'économie mondiale retient son souffle : rétrospective de l'année 2025

In this episode of The President's Daily Brief: Cuba teeters on the edge of collapse, as a U.S. oil blockade targeting Venezuela cuts off critical fuel supplies to the island, triggering widespread blackouts, shortages, and a growing wave of Cubans fleeing the country. I'll have the details. The Trump administration orders nearly thirty U.S. ambassadors home, creating major gaps in the diplomatic corps—even as the White House pushes an aggressive diplomacy-first approach abroad. Instability grows inside Syria, with gun battles erupting in Aleppo while negotiations continue over folding Kurdish forces into the regime's control. And in today's Back of the Brief: Kim Jong Un cuts the ribbon on a luxury seaside resort, pitching high-end tourism in one of the most isolated countries on earth. To listen to the show ad-free, become a premium member of The President's Daily Brief by visiting https://PDBPremium.com. Please remember to subscribe if you enjoyed this episode of The President's Daily Brief. YouTube: youtube.com/@presidentsdailybrief Birch Gold: Text PDB to 989898 and get your free info kit on gold Stash Financial: Don't Let your money sit around. Go to https://get.stash.com/PDB to see how you can receive $25 towards your first stock purchase. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

El Niño que nació en Belén no quedó en el pesebre: es el Rey resucitado que gobierna hoy y llama a Su pueblo a vivir bajo Su autoridad y Su presencia.

En este episodio recuperamos una entrevista realizada en 2020 con Enrique Díaz, el hombre récord de la pelota cubana, una figura clave para entender una época completa del béisbol en la Isla.Durante la conversación, Díaz repasa: • Su carrera con Industriales• La etapa con los Metropolitanos• Las vivencias con los equipos Cuba• El significado real de vestir esas camisetas• El histórico juego frente a los Orioles de Baltimore• Cómo se vivía el béisbol cubano en su época desde adentroUna entrevista con valor histórico, memoria y contexto, que vuelve a cobrar fuerza en un momento donde se debate el pasado, el presente y el futuro del béisbol cubano.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

En esta segunda parte de la entrevista con Roenis Elías, el lanzador cubano profundiza en su participación en el Clásico Mundial de Béisbol 2023 y revela detalles que ayudan a entender las decisiones y tensiones que se vivieron dentro del equipo Cuba.Elías aborda:• El ambiente interno durante el torneo• Decisiones que marcaron su experiencia• El manejo del pitcheo y la planificación• Los motivos por los que no volvería a lanzar por CubaUn episodio revelador que aporta contexto y testimonios desde adentro de uno de los momentos más debatidos del béisbol cubano reciente.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

Hey listeners, picture this: it's been a whirlwind week in the courts for President Donald Trump, with the Supreme Court dropping bombshells that could reshape his administration's bold moves. Just three days ago, on December 23, 2025, the nation's highest court issued a key ruling in Trump v. Illinois, tackling whether President Trump could federalize the Illinois National Guard and even pull in Texas troops to safeguard federal property in Chicago amid escalating violence. According to the Supreme Court's opinion, Trump activated 300 Illinois Guard members on October 4, followed by Texas forces the next day, citing riots where protesters hurled tear gas canisters at officers, tried grabbing firearms, and blasted bullhorns to cause hearing damage. Justice Alito's dissent slammed the lower District Court in Rhode Island for dismissing the government's unrefuted evidence of chaos, arguing it justified the President's call under federal law. While a majority granted the stay with some reasoning, Kavanaugh concurred, but Alito and Thomas pushed back hard, calling out the eleventh-hour shifts in opponents' arguments. This shadow docket decision, tracked by the Brennan Center, marks one of 25 emergency rulings since Trump took office on January 20, 2025—20 leaning his way, often with minimal explanation.But that's not all from the past few days. Fast-forward to the New York hush money saga: a fresh decision in People v. Donald J. Trump from the Manhattan court, penned by Judge Juan Merchan, shut down Trump's post-election bid to dismiss his 34 felony counts of falsifying business records. Remember, a jury convicted him unanimously back in May 2024 for scheming to hide payments to Stormy Daniels, aiming to boost his presidential run through unlawful means. Trump requested delays himself—pushing sentencing past the election to November 26, 2024, then begging for a stay and dismissal after winning. The court wasn't buying it, noting Trump consented to those adjournments without opposition from prosecutors. Merchan emphasized the premeditated deception that eroded public trust, rejecting claims the case evaporates with his presidency, citing the Supreme Court's Trump v. United States immunity ruling but insisting justice demands accountability.Meanwhile, the Supreme Court's shadow docket has been a Trump turbo-boost all year. Brennan Center reports victories like Trump v. Boyle in July, greenlighting firings at the Consumer Product Safety Commission; McMahon v. New York upholding Education Department workforce cuts; and immigration wins such as Noem v. Doe, allowing mass parole revocations for half a million from Cuba, Haiti, Nicaragua, and Venezuela. Even on LGBTQ+ fronts, November's ruling backed the State Department's passport gender policies. Not every call went his way—A.A.R.P. v. Trump lost on Venezuelan removals under the Alien Enemies Act—but the pattern's clear: 20 partial wins, with liberals like Sotomayor, Kagan, and Jackson dissenting repeatedly.Lawfare's litigation tracker highlights nonstop challenges, from SNAP benefit suspensions sparking suits by nonprofits and cities, to DOGE transparency fights where CREW got blocked from records. As of now, two more applications simmer. These battles in places like the First Circuit, DC Circuit, and beyond show Trump's team firing on all cylinders, testing presidential power's edges.Thanks for tuning in, listeners—come back next week for more. This has been a Quiet Please production, and for more, check out Quiet Please Dot A I.Some great Deals https://amzn.to/49SJ3QsFor more check out http://www.quietplease.aiThis content was created in partnership and with the help of Artificial Intelligence AI

In this special festive episode of “How Do You Say That?!” sponsored by britishvoiceover.co.uk, Katy Maw and Phil Rowe join Sam and Mark for a right-old Christmas knees-up. As it's Boxing Day - there are four boxes stuffed with seasonal audio goodies! Of course, there are also four scripts, full of festive goodness... and some wildcards too!This episode is also entirely on video - only the second one we've done this way, so you can watch it on YouTube as well: https://youtu.be/WVclGe-xKaEGet involved! Have you got a Wildcard suggestion that we should try or an idea for the show? Send it to us via Mark or Sam's social media or email it directly to podcast@britishvoiceover.co.ukScript 1Cassandra made a great start in secondary school this year. Better than we could have hoped for. Her number one sport continues to be water polo. She also joined the school concert band and jazz band. She has made a lot of friends and is popular in her year.Jacqui manages to train as a surgeon while fitting in diving trips to Thailand, Cayman, Cuba and the Red Sea. We've told you about Tori's sporting prowess, and at number 5 in the world, she is not doing badly! The boys have a hamster.Script 2It was snowing. It was always snowing at Christmas. December, in my memory, is white as Lapland, although there were no reindeers. But there were cats. Patient, cold and callous, our hands wrapped in socks, we waited to snowball the cats. Sleek and long as jaguars and horrible-whiskered, spitting and snarling, they would slide and sidle over the white back-garden walls, and the lynx-eyed hunters, Jim and I, fur-capped and moccasined trappers from Hudson Bay, off Mumbles Road, would hurl our deadly snowballs at the green of their eyes.Script 311 a.m. Office. Oh my God. Daniel Cleaver just sent me a message. Message Jones: You appear to have forgotten your skirt. As I think is made perfectly clear in your contract of employment, staff are expected to be fully dressed at all times. CleaveHah! Undeniably flirtatious. Have never messaged Daniel Cleaver before but brilliant thing about messaging system is you can be really quite cheeky and informal, even to your boss. Also can spend ages practising. This is what I sent:Script 4The finger pointed from the grave to him, and back again."No, Spirit! Oh no, no!"The finger still was there."Spirit!" he cried, tight clutching at its robe, "hear me!I am not the man I was. I will not be the man I must have been but for this intercourse. Why show me this, if I am past all hope!"For the first time the hand appeared to shake.We'd love your feedback - and if you listen on Apple Podcasts or Spotify, hit the follow button today!**Listen to all of our podcasts here - you can also watch on YouTube, or say to your smart speaker "Play How Do You Say That?!"About our guests: Katy Maw has been voicing for about a quarter of a century after becoming a classically trained actor in London. She works daily, predominantly on corporate & commercial scripts & has voiced literally thousands of local & National radio ads over the years and she works across all other mediums of voicing, like e-learning and...

La Navidad nos lleva más allá de la emoción y la tradición para confrontarnos con una verdad histórica y transformadora: Dios cumplió exactamente lo que prometió. En este episodio celebramos el nacimiento de Cristo contemplando cómo el Rey Pastor anunciado por los profetas llegó en humildad para traer salvación, paz y esperanza real.

En este episodio de Pelota Cubana USA volvemos a compartir una entrevista con Yadir Drake, realizada meses atrás, que marcó un antes y un después por su franqueza y su impacto dentro del béisbol cubano. Drake explicó por qué cerró definitivamente la puerta al equipo Cuba y cómo su experiencia confirma un modelo donde el atleta es útil solo mientras conviene. Un episodio que vuelve a cobrar fuerza como parte de lo más significativo del año y que ayuda a entender por qué cada vez más peloteros toman la misma decisión.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

Este 24 de diciembre, 73 personas fueron remitidas al “Torito” Tragedia en Iztapalapa, incendio deja dos mujeres fallecidas  Cuba pasa la Navidad con apagones que afectarán al 60 % del paísMás información en nuestro Podcast

VOV1 - Hôm nay (25/12), Báo Thế giới và Việt Nam, Cơ quan truyền thông của Bộ Ngoại giao phối hợp với Đại sứ quán Việt Nam tại Cuba và Đại sứ quán Cuba tại Việt Nam tổ chức Lễ ra mắt Đặc san “Việt Nam - Cuba: 65 năm chung nhịp đập hữu nghị”.

By 1816, Frederic Tudor had spent a decade shipping New England ice to Cuba—with little to show for it. Setbacks and vanished profits nearly ruined him, and a gamble on shipping tropical fruit had left him barely solvent. Then a chance conversation sparked a bold new idea: expand the ice trade into the American South. Tudor rushed to South Carolina, only to clash with state officials who refused to grant him a monopoly on trade – a tactic he'd come to rely on. Their refusal forced him to rethink everything, and revise his strategy. But just as he began to find success, a series of catastrophes threatened his health, and events were set in motion that would transform the Ice King's future forever.Be the first to know about Wondery's newest podcasts, curated recommendations, and more! Sign up now at https://wondery.fm/wonderynewsletterListen to American History Tellers on the Wondery App or wherever you get your podcasts. Experience all episodes ad-free and be the first to binge the newest season. Unlock exclusive early access by joining Wondery+ in the Wondery App, Apple Podcasts or Spotify. Start your free trial today by visiting wondery.com/links/american-history-tellers/ now.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Cuando la vida nos obliga a esperar, ¿qué está haciendo Dios en medio de ese silencio? En este episodio descubrimos, a través del libro de Miqueas, cómo la espera puede convertirse en el taller donde Dios forma un pueblo humilde, perseverante y lleno de esperanza en Cristo.

En este episodio presentamos la primera parte de una entrevista exclusiva con Noel Tortoló, un testimonio crudo y directo que expone una de las historias más duras y silenciadas del béisbol cubano reciente.Tortoló nos habla de:• Su experiencia con el equipo Habaneros• La relación con Higinio Vélez• El ajuste de cuentas que terminó con su encarcelamiento• Seis meses preso sin delito alguno• Cuatro meses en 100 y Aldabó y dos en Villa Marista• La confiscación de todos sus bienes• La censura del documental en Cuba y su estreno en MiamiDurante la conversación, Noel Tortoló deja declaraciones que estremecen:“Yo soy la víctima. Por principios y valores, esa gente no debió haber hecho eso.”“Aquí lo que hubo fue un ajuste de cuentas.”“Ellos sabían el problema en que me estaban metiendo.”“Me tiraron a matar.”“Nunca me voy a arrepentir de lo que hice.”Una entrevista fuerte, incómoda y necesaria, que expone cómo el béisbol y el poder se cruzan en Cuba, con consecuencias humanas devastadoras.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

VIDEO - https://youtu.be/oKPSkG-Z2Dw Fidel Castro transformó su imagen en los años 70 para seducir al exilio cubano y abrir un canal con EE.UU. El Diálogo del 78 fue mucho más que una reunión: fue estrategia pura. En plena Guerra Fría, mientras el mundo miraba hacia otra parte, el régimen castrista comenzó una operación política cuidadosamente calculada. Con el apoyo indirecto de Jimmy Carter y la mediación del banquero exiliado Bernardo Benes, Cuba lanzó una campaña para legitimar su imagen internacional sin ceder poder real. Este episodio, conocido como el Diálogo del 78, marcó un punto de inflexión: por primera vez, el régimen comunista abría la puerta —controladamente— al exilio que había llamado “gusano” por décadas. Desde los primeros encuentros secretos en Panamá, hasta los viajes encubiertos de Benes a La Habana y su histórico cara a cara con Fidel Castro, esta historia es un thriller político con consecuencias reales: liberación de presos políticos, reencuentros familiares, pero también amenazas, traiciones y una fractura irreparable en el exilio cubano. Este video es la primera parte de una serie documental que desvela los verdaderos hilos del poder detrás del “gesto humanitario” del castrismo. ¿Fue Benes un héroe, un peón o un traidor? Tú decides.VIDEOS RELACIONADOS:Parte I: https://youtu.be/oKPSkG-Z2DwParte II: https://youtu.be/gE6djnsIPA4

En América Latina diciembre suele ser un tiempo de luces, procesiones y banquetes familiares navideños. Sin embargo, no todos los latinos viven la Navidad de la misma manera, en algunos países esta celebración ha sido resignificada, limitada o incluso prohibida en ciertos momentos de su historia.

Joven habla de las dificultades para acceder a los alimentos en Cuba y pide: "un cambio de sistema". #cuba #cubahabla #navidadesencuba

Un banco cooperativo en Alemania canceló todas las cuentas del Partido Comunista Alemán (DKP) tras realizar preguntas clave sobre donaciones destinadas a “proyectos de solidaridad” con Cuba y director de escuela y amigo de Fidel en Cuba, señalado como represor por sus alumnos, vive en los EEUU

As I write this, it's Christmas Eve. While many of us are moving through a season of comfort and predictability, I keep returning to what I saw walking through the streets of Cuba. Not in headlines or statistics, but at street level. Neighbourhoods without running water. Electricity that fails often enough to be expected. Roads and sidewalks eroded into improvisation rather than repair. Infrastructure that no longer supports daily life, but merely endures alongside it. What struck me most were the small, improvised economies operating inside people's homes. Corner shops carved out of living rooms and front windows. Shelves mostly empty. A few scattered items; soap, canned goods, a bottle or two; offered more as possibility than supply. These were not businesses in the conventional sense, but acts of persistence. People selling what little they could source, not to grow, but to survive. In contrast, government stores stood rigid and bare. Long lines formed early, people waiting patiently for whatever might arrive. No certainty, no choice; just endurance. Elderly men and women stood apart, looking through windows rather than lining up, watching quietly, as if calculating whether the effort was worth the return. There was no anger in their posture. Just fatigue. A lifetime lived long enough to recognize scarcity as permanent rather than temporary. And yet, the streets were not chaotic. Homes were occupied. Communities functioned. People greeted one another. Children played. There was dignity in how life continued despite the absence of systems meant to sustain it. Pride, not in conditions, but in endurance. A refusal to surrender daily routines, even when the state no longer reliably provides the basics those routines depend on. That contrast stayed with me. Material failure on one side; social cohesion on the other. Institutions visibly broken, yet communities holding themselves together through habit, restraint, and mutual recognition. As we sit surrounded by abundance and choice, Cuba offers a sobering reminder; collapse does not always look like disorder. Sometimes it looks like people quietly adapting, carrying on, and preserving dignity in circumstances that leave very little room for it. Cuba's Economic Landscape The Cuban economy rests on three pillars, each one cracked. State control dictates production and distribution, yet delivers neither predictably. Tourism brings foreign currency when it comes; when it doesn't, entire sectors go dormant. Remittances from family abroad keep individual households afloat but cannot repair what the state has allowed to deteriorate. I watched this play out in Holguín. Hotels near the beaches sat half-empty, their lobbies staffed but waiting. Tour buses passed through neighborhoods where residents had no meaningful contact with the tourist economy happening beside them. The money flows in narrow channels, reaching some while bypassing most, and when global disruptions close those channels entirely, there is no backup system. The pandemic proved this. When travel stopped, so did the pretense of economic diversification. Jobs vanished. Services contracted. The state stepped in where it could, but its capacity had already been stretched thin by decades of deferred maintenance and misallocated resources. Families with relatives in Miami or Madrid survived on wire transfers; families without them made do with less. The government has acknowledged the brittleness, at least partially. Small private businesses now operate legally in food service and retail; spaces that would have been unthinkable a generation ago. Joint ventures with foreign companies receive official encouragement. On paper, these reforms signal openness. On the ground, they operate within boundaries so narrow that growth remains theoretical rather than realized. Because the fundamental problem persists: there is not enough of anything. Goods arrive sporadically. Industrial output continues its decline. Foreign investors cal...

Gaza, vivere sotto la “Linea Gialla”.Turchia: capo militare libico e altre sette persone muoiono in un incidente aereo.Yemen, il più grande scambio di prigionieri dall'inizio della guerra.Iran, appello ONU contro l'esecuzione di Zahra Tabari.Venezuela, reato il sequestro delle petroliere.Bangladesh, nuove minacce alla stampa libera.Cuba, Natale al buio.Questo e molto altro nel notiziario di Radio Bullets a cura di Barbara Schiavulli Introduzione: Le buone notizie dell'ambiente nel 2025

A.M. Edition for Dec. 23. Cuba was already suffering from food shortages and blackouts. Now the U.S. oil blockade of Venezuela means the Communist island also faces the loss of cheap oil from Nicolás Maduro. The Journal's South America bureau chief Juan Forero explains. Plus, the U.S. bans new China-made drones from DJI and Autel Robotics, sparking outrage among pilots. And think you know business etiquette? Take our quiz and find out. Daniel Bach hosts. Sign up for the WSJ's free What's News newsletter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

-Foreign relations expert Gordon Chang joins guest host Mary Walter via the Newsmax hotline to break down China's instability, Venezuela's unraveling, Cuba's energy crisis, and why authoritarian regimes eventually crack. -Former federal prosecutor Doug Burns breaks down the latest Epstein-file fallout, DOJ credibility issues, and whether anyone in Washington will ever face consequences. He bluntly states that statutes of limitation may protect some players, but former CIA Director John Brennan remains vulnerable, especially over alleged lies tied to the Steele dossier. Today's podcast is sponsored by : BEAM DREAM POWDER - Refreshing sleep now 40% off with promo code NEWSMAX at http://shopbeam.com/newsmax BIRCH GOLD - Protect and grow your retirement savings with gold. Text ROB to 98 98 98 for your FREE information kit!WEBROOT - Live a better digital life with Webroot Total Protection. Rob Carson Show listeners get 60% off at http://webroot.com/Newsmax  To call in and speak with Rob Carson live on the show, dial 1-800-922-6680 between the hours of 12 Noon and 3:00 pm Eastern Time Monday through Friday…E-mail Rob Carson at : RobCarsonShow@gmail.com Musical parodies provided by Jim Gossett (http://patreon.com/JimGossettComedy) Listen to Newsmax LIVE and see our entire podcast lineup at http://Newsmax.com/Listen Make the switch to NEWSMAX today! Get your 15 day free trial of NEWSMAX+ at http://NewsmaxPlus.com Looking for NEWSMAX caps, tees, mugs & more? Check out the Newsmax merchandise shop at : http://nws.mx/shop Follow NEWSMAX on Social Media:  -Facebook: http://nws.mx/FB  -X/Twitter: http://nws.mx/twitter -Instagram: http://nws.mx/IG -YouTube: https://youtube.com/NewsmaxTV -Rumble: https://rumble.com/c/NewsmaxTV -TRUTH Social: https://truthsocial.com/@NEWSMAX -GETTR: https://gettr.com/user/newsmax -Threads: http://threads.net/@NEWSMAX  -Telegram: http://t.me/newsmax  -BlueSky: https://bsky.app/profile/newsmax.com -Parler: http://app.parler.com/newsmax Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

In the past 11 months, the Trump administration has stripped more than 1.6 million people of legal status. NPR's Ximena Bustillo shares more about the largest removal of deportation protections from legal migrants in U.S. history.Then, CBS held a story alleging abuse at a detention center in El Salvador from air. Now, it's online. NPR media correspondent David Folkenflik details what we've learned. And, the U.S.'s interception of oil carriers from Venezuela is deepening an economic crisis in Cuba, which relies on Venezuelan oil. The Wall Street Journal's Juan Forero explains the impact.Learn more about sponsor message choices: podcastchoices.com/adchoicesNPR Privacy Policy

America's new National Security Strategy reflects a fundamental change in U.S. policy. It prioritizes America maintaining its preeminence in the Western Hemisphere, while avoiding military competition with China as well as European conflicts. At the same time the White House has taken pen to paper on its new policy, military pressure on Venezuela is ramping up as the Trump administration sanctions oil tankers in the region. This week on Talking Geopolitics, GPF Chairman George Friedman joins host Christian Smith to discuss these escalations and what it all has to do with Cuba. And for more analysis, go to https://geopoliticalfutures.com/gpf-newsletter/ to get access to our free newsletter as well as our NEW special report: Reviving NATO's Eastern Line, by GPF Senior Analyst Antonia Colibasanu. This report is available for a limited time.

In this episode of Explaining History, Nick explores the emergence of the "New Left" in 1960s America—a movement born from the failure of Cold War liberalism to deliver on its promises.Drawing on Kim McQuaid's The Anxious Years, we delve into the deep disillusionment that fuelled student radicalism. Why did young activists view "vital centre" liberals like JFK and LBJ not as allies, but as "closet right-wingers" trapped in an imperialist mindset? We examine the "bipartisan banality" of the era, where fear of being labelled "soft on communism" drove Democrats to escalate wars in Vietnam and Cuba, often with more ferocity than their Republican counterparts.From the devastating psychological blow of the Tet Offensive to the collapse of trust in the "foreign policy establishment," we uncover why 1968 became the year the liberal consensus shattered.Plus: Big announcements about our upcoming live masterclasses for history students in January and February 2026!Key Topics:The New Left: How the SDS and student radicals challenged the "Old Left" and the liberal establishment.Cold War Liberalism: Why Democrats felt compelled to "out-hawk" the Republicans.The Credibility Gap: How the Tet Offensive exposed the lies of the war managers.The "Deep State": The origins of the term and the critique of an unelected power elite.Books Mentioned:The Anxious Years: America in the Vietnam-Watergate Era by Kim McQuaidThe Great Fear by David CauteExplaining History helps you understand the 20th Century through critical conversations and expert interviews. We connect the past to the present. If you enjoy the show, please subscribe and share.▸ Support the Show & Get Exclusive ContentBecome a Patron: patreon.com/explaininghistory▸ Join the Community & Continue the ConversationFacebook Group: facebook.com/groups/ExplainingHistoryPodcastSubstack: theexplaininghistorypodcast.substack.com▸ Read Articles & Go DeeperWebsite: explaininghistory.org Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Donald Trump anunció la semana pasada un “bloqueo total y completo” a todos los petroleros sancionados que se dirijan o salgan de Venezuela. Esto supone algo realmente serio que multiplica la presión sobre el régimen de Nicolás Maduro. Venezuela depende por entero de las ventas de ese petróleo en el mercado internacional. En el caso de que fallen las exportaciones las expectativas para Maduro y el chavismo serían muy negativas y comprometerían su continuidad en el poder. Trump anunció en bloqueo en una publicación de Truth Social en la que adelantaba que Venezuela está “completamente rodeada por la mayor armada jamás reunida en Sudamérica” al tiempo que amenazaba con incrementar la presencia militar hasta que el régimen devuelva el petróleo, las tierras y los activos robados a EEUU. Con esto se refería a las nacionalizaciones de empresas estadounidenses. El anuncio ha venido acompañado de la incautación de petroleros en alta mar que salían o navegaban hacia Venezuela, lo que ha provocado que muchos buques hayan dado media vuelta. Esto ha reducido de forma notable el tráfico marítimo en los puertos venezolanos. Desde hace tiempo el Gobierno chavista se sirve de una flota “fantasma” iraní y rusa para evadir las sanciones. Aunque un bloqueo total sería un acto de guerra, este es parcial ya que excluye a los buques de la compañía Chevron, que disponen de una licencia recién renovada por la Casa Blanca. El impacto es devastador para Venezuela, pero también para Cuba, el principal aliado de la Venezuela bolivariana desde hace un cuarto de siglo. Desde que Hugo Chávez llegó al poder el país recibe petróleo regalado a cambio de médicos y, sobre todo, inteligencia cubana que es muy útil para el régimen. El suministro a Cuba ha pasado de unos 100.000 barriles diarios en 2008 a unos 27.000 en estos momentos. Si se interrumpiese por completo agravaría la crisis económica cubana, la peor desde que Fidel Castro se hizo con el poder en 1959, peor incluso que el periodo especial tras la caída de la Unión Soviética. La situación en Cuba es de extrema gravedad. La economía se ha contraído un 20% en los últimos años, la inflación supera el 450%, aproximadamente el 90% de la población vive en pobreza extrema y un 70% de los cubanos no se puede permitir comer a diario. Hay apagones de hasta 18 horas seguidas, escasez de agua potable, se acumula la basura por las calles y se están propagando enfermedades infecciosas en un país cuyo sistema sanitario colapsó hace tiempo. Como consecuencia de todo lo anterior, desde 2020 casi 3 millones de cubanos (una cuarta parte de la población de la isla, muchos de ellos con titulación superior) han emigrado a EEUU, Europa y varios países de Hispanoamérica. Se está produciendo un vaciamiento demográfico no muy distinto al de los países que atraviesan una guerra. Las reservas de divisas del Gobierno están en mínimos y se reponen con dificultad ya que el turismo, una de sus principales fuentes, está gripado. Si la ofensiva contra Venezuela continúa Trump podría cobrarse dos pájaros de un tiro: en Caracas a Nicolás Maduro y en La Habana a Miguel Díaz-Canel. En ambos casos han decidido resistir sobre la espalda de su propia población. Pero eso no puede durar eternamente. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:59 Cuba cerca del colapso 35:32 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 37:36 Inconvenientes del vehículo eléctrico 46:09 Antisionismo judío 51:23 El cupón de la ONCE · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #cuba #venezuela Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

In this episode of One Decision In Brief, hosts Christina Ruffini and Sir Richard Dearlove, former head of MI6, dive into a very controversial and perplexing mystery, Havana Syndrome. The hosts break down a range of surveillance devices possibly used in Havana, Cuba, against U.S diplomats and embassy staffers, and explore whether foreign rivals like Russia, China, or Cuba could be responsible. Sir Richard speaks on his intelligence experience, providing real-world examples of Cold War espionage, including Soviet listening devices hidden in embassy walls, and how the accidental use of a laser beam allowed for the interception of private conversations. They examine how advanced eavesdropping tools and listening devices might unintentionally harm U.S. officials and whether the government has done enough to investigate cases or support those affected with long-term trauma.  Episode produced by Situation Room Studios. Original music composed and produced by Leo Sidran. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Un Rey nacido en lo pequeño que revela una grandeza eterna: en este episodio exploramos la promesa navideña de Miqueas y descubrimos por qué el Rey Pastor que nace en Belén es la paz que nuestros corazones anhelan.  

¿Debe México mantener solidaridad con Cuba y Venezuela o alinearse con EU?: mesaEnlace para apoyar vía Patreon:https://www.patreon.com/julioastilleroEnlace para hacer donaciones vía PayPal:https://www.paypal.me/julioastilleroCuenta para hacer transferencias a cuenta BBVA a nombre de Julio Hernández López: 1539408017CLABE: 012 320 01539408017 2Tienda:https://julioastillerotienda.com/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Al critico estado técnico de las plantas generadoras de electricidad en Cuba, se suma la falta de petróleo, los envíos desde Venezuela han disminuido significativamente al igual que desde México, donde cada día son más quienes se cuestionan la transparencia de este convenio.

Desde La Habana cubana dice que espera "que acabe de haber un cambio".

Miami-Dade le cierra el negocio a empresas vinculadas con la dictadura cubana. El recaudador de impuestos del Condado de Miami-Dade, Dariel Fernández, explica por qué su oficina revocó licencias a empresas acusadas de participar en comercio ilegal con el régimen cubano. ¿Se acabó usar a Estados Unidos para financiar dictaduras? Detalles, nombres y lo que viene ahora.

Hoy, el régimen de Cuba compró más de 8 mil millones de dólares en alimentos a Estados Unidos desde 2001, tema comentado por Amado Gil y José Luis Ramos, en Tertulia con los periodistas Alejandro Tur Valladares y Omar López Montenegro. También, revocan en Miami licencias a agencias que comercian con Cuba.

The US Coast Guard pursued a third vessel off Venezuela's coast this weekend. The US oil blockade on Venezuela is also sending shockwaves through Cuba. Also, President Donald Trump has appointed a US envoy for Greenland, a Danish territory that he believes the US should own. And, an NGO in France exposes holiday food scams just in time for Christmas. Plus, David Munyua becomes the first darts player from Kenya to make it to the World Championships. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices

A covert convoy of ships carries Soviet missiles across the Atlantic, while American U-2 planes spy over Cuba and the sea routes. And as the ships arrive, Khrushchev writes to Kennedy about the divided city of Berlin. It's a distraction tactic. But the American spy planes photograph an alarming development. Hosts Nina Khrushcheva and Max Kennedy, relatives of the superpower leaders, tell the personal and political history of the Cuban Missile Crisis.

"Money is one of my languages, real estate is a dialect, and the islands are one of my tongues."Are you dreaming of waking up to the sound of the ocean, or perhaps you're looking for a strategic investment that pays for itself while you're back in the States? In this episode of Exit Strategies Radio Show, host Corwyn J. Melette sits down with Kathy Colon, the Founder and CEO of Nova Lux DR Properties.Kathy bridges the gap between public health expertise and luxury Caribbean real estate. She shares how her boutique firm specializes in "wellness-focused" properties and why the Dominican Republic is currently the "crown jewel" of Caribbean investment. Whether you are planning for retirement, seeking a vacation home, or looking for high-yield short-term rental opportunities, this episode provides the roadmap to making the island life a reality.Key Takeaways:03:26 The Nova Lux Difference: Kathy explains her unique approach to real estate, focusing on health, wellness, longevity, and "aging in place" criteria for every property she vets.04:37 Geography 101: A quick breakdown of the Dominican Republic's location in the Caribbean and why its size and proximity to Puerto Rico and Cuba make it a central hub.07:45 The "Wellness Checklist": Why Kathy uses a strict public health lens to select properties and how it protects investors looking for long-term value.09:23 Navigating the Buying Process: From vetting communities to handling the "daunting" legal aspects, Kathy describes how her boutique firm curates a list tailored to your lifestyle (golf, beach, or mountains).12:05 The Power of Pre-Construction: How international buyers can benefit from 15-year tax exemptions (CONFOTUR) and see immediate equity growth of 30-40% by the time a project is completed.13:51 Stress-Free Transactions: Why you don't have to worry about currency exchange (transactions are in USD) and how to navigate financing with international banks like Scotiabank.16:11 Hands-Off Investing: A look at the "Rental Pool" model where major brands like Wyndham manage maintenance and cleaning while you collect a return on investment (ROI).22:41 The Next "Big Thing" in the DR: Kathy reveals why Cap Cana is the best-kept secret and where celebrities like Alex Rodriguez are putting their money.The Legacy Building Moment:Kathy shares that Nova Lux was born from caring for a loved one, redefining real estate as a tool for longevity and generational living—choosing homes that support families aging in place and building a legacy that lasts.Connect with Kathy:Website: www.novaluxdrproperties.comInstagram: @novaluxdrpropertiesEmail: Kathy@novaluxdrproperties.comPhone: 917-419-9090Connect with Corwyn:Contact Number: 843-619-3005Instagram:⁠ https://www.instagram.com/exitstrategiesradioshow/⁠FB Page:⁠ https://www.facebook.com/exitstrategiessc/⁠Youtube:⁠ https://www.youtube.com/channel/UCxoSuynJd5c4qQ_eDXLJaZA⁠Website:⁠ https://www.exitstrategiesradioshow.com⁠Linkedin:⁠ https://www.linkedin.com/in/cmelette/⁠Shoutout to our Sponsor: Country Boy HomesDo you remember your grandma's front porch? You know that spot where stories were told, kisses were stolen, and sweet tea was always being sipped. Now imagine giving your family a place to make those same memories, but in a brand new, energy-efficient, and home that was built just for you. At Country Boy Homes, we help folks just like you find that forever feeling.Whether it's your first home, your next home, or your, we're done with rent forever, like,  seriously home, we specialize in affordable, durable, manufactured, and modular homes, the kind that make room for muddy boots, big dreams, and second helpings. Come see what coming home really feels like. Call 843-574-8979 today.Country Boy Homes, Built to Last, Priced for You.

Monday, December 22 , 2025 - The Tara Show HOUR 1 1st - The timing of this breaking now is interesting about Fulton County elections 2nd - The Epstein files release are going exactly as I told you 3rd - China is legit trying to figure out how to end the U.S. 4th - 2 Chinese Bio weapons labs caught operation on our soil with out licences HOUR 2 5th - 600k Illegal immigrants have been deported in 2025 6th - A time will come when a Blue Activist will kill a lawman and will be acquitted 7th - Democrats will do anything to get Jesus out and Muslims in 8th - Cuba has been a big security concern for America HOUR 3 9th - Larry Kudlow forecasting 5 percent growth for next year 10th - It's a cycle Democrats claim violent criminals are better on street 11th - Diane Mitchell on WORD Talk line about House Dist 21 race 12th - Proof that George W. Bush has lost his mind, Urging Americans to keep the Afghans HOUR 4 13th- Joe Biden let in 18k Terrorists who were on active warrants and watch lists 14th- They wouldn't let us vet the Afghans properly coming in the U.S. 15th- 318k votes in violation of the law because the zero tapes weren't signed 16th- Kevin Bass written about the 9B of Medicaid fraud in Minnesota

600k Illegal immigrants have been deported in 2025, A time will come when a Blue Activist will kill a lawman and will be acquitted, Democrats will do anything to get Jesus out and Muslims in, Cuba has been a big security concern for America

Got a question? Let us know!Made for Mondays | The Christmas PlaylistLight That Can't Be ManufacturedThis week on Made for Mondays, Heather is joined by Jamey, Tyler, and Doug as they lean into the heart of Christmas week and unpack Sunday's message about real joy and real light—the kind that doesn't come from a playlist, a purchase, or pretending everything is fine.After some weekend catch-up and reflections from Revelation 10–15, Psalms 145–157, and Proverbs 30, the conversation turns toward a timely and honest question:✨ What's the difference between manufactured cheer and received joy?As Christmas approaches, the group reflects on the ways we often try to produce joy—through nostalgia, noise, shopping, control, or even religious performance—when what we actually need is to receive joy as the fruit of abiding in Jesus. Jamey shares how Christmas music can sometimes feel like it's trying to convince our souls everything is wonderful, even when life feels dark.The discussion explores:• Chasing a mood vs. staying close to Jesus How do we tell when we're chasing a feeling instead of abiding in Christ? The group shares honest “litmus tests” that reveal when joy has become something we're forcing rather than receiving.• Darkness and light Jamey unpacks the idea that darkness isn't a thing—it's the absence of light. Spiritually, that shifts the battle. Instead of staring at darkness, we're invited to step toward the Light. What does that look like practically? The team offers simple, doable steps—like intentional prayer, confession, community, or a single act of obedience—that help move us closer to Jesus when gloom starts creeping back in.• Shining brighter in real life Rooted in Matthew 5, the BIG IDEA comes into focus: In a world getting darker, we need to shine brighter. Not performative faith—but quiet faithfulness. Reconciliation. Costly generosity. Staying at the table with people we disagree with. The group shares real-life examples of what that kind of light looks like when it shows up in everyday moments.• Light beyond our walls The conversation connects to The Gift and Believers' partners in Cuba, highlighting how faithful believers there are shining the Light of Jesus in powerful, practical ways—and why it's such a gift to be part of what God is doing through them.• Community in the dark seasons Jamey revisits a story from one of his darkest seasons, where isolation played a central role. Doug and Tyler reflect on how deeply they relate—and why community isn't optional for spiritual health. The group also points ahead to Steps and the importance of getting connected to a small group in the New Year.Join Us This Week

En este episodio descubrimos por qué el camino hacia la Navidad no comienza con consuelo, sino con confrontación, y cómo Miqueas 1–3 despierta en nosotros un anhelo verdadero por la restauración que solo Cristo puede traer.  

En este episodio presentamos una entrevista con Ernesto Noris, lanzador cubano que terminó enfrentando a Cuba en el Clásico Mundial de Béisbol representando a Brasil, una historia que incomoda a muchos pero refleja una realidad cada vez más común.Durante la conversación hablamos de:• Sus inicios en el béisbol cubano• El paso por la Serie Nacional• Las razones que lo llevaron a salir de Cuba• El proceso que lo llevó a representar a Brasil• La experiencia de lanzar contra Cuba en el Clásico Mundial• Su visión del torneo y del béisbol internacional• Lo que significa competir al máximo nivel fuera del sistema cubanoUn episodio polémico y necesario que vuelve a poner sobre la mesa una pregunta clave:¿por qué tantos peloteros terminan representando a otros países para poder jugar un Clásico Mundial?Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

En este episodio de Pelota Cubana USA debatimos el silencio de la Federación Cubana de Béisbol con varios jugadores cubanos que hoy militan en MLB, a pocos meses del Clásico Mundial de Béisbol. Analizamos si existe una estrategia clara, por qué algunos peloteros no reciben llamadas, y cómo estas decisiones pueden afectar la credibilidad y competitividad del equipo Cuba en el escenario internacional. Un análisis directo y sin concesiones sobre un tema que sigue generando más dudas que respuestas.Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/pelota-cubana--3596768/support.Pelota Cubana USA: Donde hablamos del béisbol cubano como es, no como quieren que lo cuenten.

David Blanco is a master cigar blender and the heir to a cigar legacy dating back to 1886 — a legacy his family lost when they fled Cuba during the communist takeover. In this episode, David joins Bryce to share how his family rebuilt in America and how he revived their cigar business against overwhelming odds. They break down the craft behind premium cigars, why they’re nothing like cigarettes, and how cigars uniquely create community by slowing people down and bringing people together. The conversation also touches on David’s military service, the fight against government overreach, and the story behind the We Are All Charlie cigar — created to honor Charlie Kirk and the values of God, family, and country. Ready to JOIN THE FIGHT? Join Bryce’s email list for opportunities to join the discussion, get exclusive interviews, and MUCH MORE: Bryceeddy.com For daily episodes, news, and conservative discussions like this, SUBSCRIBE to The Bryce Eddy Show:https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-bryce-eddy-show/id1635204267 Instagram:https://www.instagram.com/thebryceeddyshow/ X:https://x.com/Bryceeddy1 ---------------------------------- Offers

Repasamos un año de música con una selección de algunas de las últimas novedades discográficas que vieron luz recientemente en España, Argentina y Cuba.Escuchar audio