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L'Autriche a un nouveau chancelier et un gouvernement en ordre de marche depuis cette semaine et c'est la fin d'une crise politique sans précédent pour le petit pays alpin. Après cinq mois de négociations et de blocage, c'est un député quasiment inconnu du grand public qui a été désigné chancelier. Christian Stocker aura la rude tâche de conduire la coalition tripartite formée par les conservateurs, les socialistes et les libéraux. Avec une ambition : tenir à l'écart du pouvoir une extrême droite autrichienne en pleine ascension. Tout commence par les élections législatives de septembre en Autriche et le résultat historique du parti FPÖ (extrême-droite) qui arrive en première position avec 29% des voix. Pour lui barrer la route, les conservateurs de l'ÖVP tentent de monter une coalition avec les socialistes et les libéraux… sans y parvenir. Au bout de quatre mois de tractations, et en désespoir de cause, les conservateurs se tournent vers Christian Stocker qui est alors le secrétaire général de l'ÖVP. Cet ancien avocat de 64 ans est un homme politique discret dont très peu de monde avait jusqu'alors entendu parler.« Il a commencé sa carrière au niveau national assez tard puisqu'il a été élu député pour la première fois en 2019 », rappelle Andreas Eisl, chercheur à l'Institut Jacques Delors. « Avant cela, il a fait une carrière d'avocat, avec parallèlement un travail politique essentiellement au niveau local. » Maire adjoint de Wiener Neustadt, petite ville autrichienne d'environ 40 000 habitants, Christian Stocker n'a aucune expérience gouvernementale, et ne brille ni par son charisme ni par ses talents d'orateur. Sa seule particularité est d'apprécier la pêche à la ligne et le saxophone. « Si on le compare avec des personnages comme le conservateur Sebastian Kurz qui a été chancelier de 2017 à 2021, il n'a pas vraiment l'air d'être charismatique », pointe Andreas Eisl. « Je pense qu'au début ce n'était pas vraiment prévu qu'il devienne chancelier. » Chancelier « par défaut »Lui-même a été le premier surpris de se retrouver dans cette position. Christian Stocker raconte d'ailleurs qu'en janvier, lorsqu'il apprend qu'il va diriger les négociations pour tenter de devenir chancelier, il est à Vienne en jeans et en pull-over et qu'il doit donc demander en catastrophe à ce qu'on lui apporte un costume et une cravate ! L'ancien avocat est un candidat par défaut, « un pis-aller » peut-on lire dans la presse autrichienne. Dans un premier temps, il surprend et suscite même l'indignation en tentant de négocier avec l'extrême droite. Ces pourparlers n'aboutissent pas, mais il parvient ensuite à mettre d'accord les socialistes et les libéraux et réussit là où le chancelier sortant, Karl Nehammer, avait lamentablement échoué. Ses talents de négociateur et son sens du compromis ont sans doute joué un rôle, mais Christian Stocker a aussi largement bénéficié du contexte et notamment du contexte international. « D'abord, il n'était pas possible qu'il échoue à nouveau », décrypte Jérôme Segal, enseignant et chercheur franco-autrichien. « Le pays était en crise depuis 154 jours. Il n'y avait pas de gouvernement, c'était simplement une gestion des affaires courantes. Et les événements internationaux avec les premières décisions de Trump et la guerre en Ukraine rendaient vraiment nécessaire qu'un gouvernement soit nommé. »À lire aussiAutriche: trois partis annoncent un gouvernement pro-européen et sans l'extrême droiteL'extrême droite en embuscadeChristian Stocker parvient donc à un compromis avec les socialistes et les libéraux du parti Neos, chacun obtenant des concessions permettant de passer outre leurs divergences initiales. Les conservateurs engrangent des mesures fortes sur l'immigration – avec la suspension du regroupement familial, les socialistes obtiennent le plafonnement des loyers, et les libéraux une augmentation des cotisations de retraite. L'enjeu pour le nouveau chancelier sera de maintenir en vie ce « mariage à trois », cette coalition tripartite qui n'a jamais eu de précédent en Autriche. « Cette coalition va bénéficier forcément d'un état de grâce pendant les quelques semaines ou mois à venir et je pense que les Autrichiens vont vouloir juger sur pièce », estime Jérôme Segal. « Mais en embuscade se trouve déjà le FPÖ : ils ont obtenu 29% en septembre et les sondages actuels montrent qu'ils continuent de monter et qu'ils sont déjà au-dessus de 30%. Donc, il n'y aura aucun cadeau fait par l'extrême droite face à ce gouvernement de coalition. »L'extrême droite autrichienne réclame déjà, d'ailleurs, des élections anticipées, dénonce un « gouvernement de perdants » et se dit prête à revenir aux urnes dès que possible. Le FPÖ parie pour cela sur les questions budgétaires, défi majeur qui va se poser au nouveau chancelier. Car, pour continuer à gouverner, Christian Stocker va devoir ramener dans les clous européens un déficit qui frise les 4% du PIB. Et cela s'annonce d'autant plus périlleux que l'Autriche, comme l'Allemagne, traverse actuellement une période de récession. Avec son économie tournée vers l'exportation, le pays alpin peut s'inquiéter du risque de guerre commerciale apporté par le nouveau président américain. En attendant, l'extrême droite autrichienne portée par les sondages espère s'emparer dès le mois d'avril prochain de la mairie de Vienne… Une mairie tenue traditionnellement par les socialistes, mais qui semble à la portée, désormais, du parti d'extrême droite.
Fast wäre Christian Stocker Vizekanzler unter FPÖ-Chef Herbert Kickl geworden. Nun wird er wohl Regierungschef Österreichs erster Dreier-Koalition. Wer ist dieser Mann? Und wie wird er sein Amt anlegen? Das analysieren die profil-Journalist:innen Iris Bonavida und Max Miller.Moderation: Julian Kern
Die Knieschützen der demokratischen Mitte vor der Qual der Wahl.Ein Kommentar von Bodo Schickentanz. Warum die Koalitionsverhandlungen in Österreich zwischen der ÖVP und der als „Rechtsaußen“ geltenden FPÖ eine Vorschau auf deutsche Verhältnisse nach der Bundestagswahl 2025 sein könnten und worauf es in der Alpenrepublik derzeit politisch hinaus läuft: Qual oder (Neu)Wahl?Nach der Nationalratswahl in Österreich 2024 war die Aufregung groß, sogar über die austrischen Grenzen hinaus. Die als rechtsextrem eingestufte FPÖ ging aus der Wahl als stärkste Partei hervor, mit knapp 29%, gefolgt von der ÖVP, die mit etwas über 26% nur den zweiten Platz belegte. Die SPÖ kam auf 21%, die österreichischen Liberalen „Neos“ auf 9% und die Grünen bildeten das Schlusslicht mit 8%.Der österreichische Bundespräsident Alexander Van der Bellen überraschte dann mit einem Schritt, der vollkommen unüblich, eben nicht die stärkste Partei auswählte, die normaler Weise dann auch den Kanzler stellt, der wiederum vom Präsidenten einen Regierungsbildungsauftrag bekommt, was in diesem Fall die FPÖ mit Herbert Kickl gewesen wäre, sondern, Van der Bellen verkündete im Oktober 2024 vor der erstaunten Presse, dass er Karl Nehammer von der ÖVP zum Kanzler ernennen und zur Regierungsbildung beauftragt habe. Damit wurde die FPÖ ganz bewusst übergangen, was an sich schon mal „ein starkes Stück“ war, das für sich genommen eventuell gar nicht so schlimm geworden wäre, wenn nicht die Koalitionsgespräche zwischen den verbliebenen Parteien, die man zur „demokratischen Mitte“ zählt, schlussendlich krachend gescheitert wären, denn es bahnte sich eine Art „Ampel-Szenario“ an, was wir in Deutschland ja erst kürzlich hinter uns gelassen haben und die parteipolitischen Unterschiede waren auch bei unseren südlichen Nachbarn so unvereinbar, dass der einzig einigende Gedanke, eben eine FPÖ in der Regierung zu verhindern, nicht genug demokratischen Magnetismus entwickelte, das man zueinander fand.Die Erklärungsversuche der Verhandlungspartner legten nahe, dass man nicht etwa auf einen Eisberg aufgelaufen sei, sondern ÖVP, SPÖ und Neos sich gegenseitig so viele kleine Löcher in den Schiffsrumpf gebohrt hatten, dass der Kahn nicht mehr schwimmfähig war für eine gemeinsame Fahrt in der Länge einer Legislaturperiode.Und während man im Rest Europas bereits den Sieg der aufrechten Demokraten am feiern war, setzte nun wieder Schnappatmung ein, als Van der Bellen sich nun gezwungen sah, doch traditionsgemäß, die stärkste Fraktion und ihren Kanzlerkandidaten Herbert Kickel den Ritterschlag zur Regierungsbildung zu erteilen. Das für sich genommen wurde von den „Qualitätsmedien“ schon als „Rechtsabrutsch“ gewertet und in Erwartung einer Lawine, bemühte sich der ÖVP Bundesobmann Christian Stocker intensiv darum, von seinen glasklaren und wortgewaltigen Abgrenzungsfloskeln zurück zu rudern, die er noch vor der Wahl, genau wie unser Kanzler ins spe Friedrich Merz, in alle Mikrofone und Kameras abgegeben hatte. Daraufhin setzte sich ein sichtlich zufriedener und tatendurstiger Herbert Kickl in einer Pressekonferenz, auf dem FPÖ-YouTube-Kanal vor die Kamera und zeigte inhaltlich gefestigt Gesprächsbereitschaft mit der ÖVP...hier weiterlesen: https://apolut.net/das-osterreichische-koalitionsgespenst-von-bodo-schickentanz/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Fri, 31 Jan 2025 18:04:00 +0000 https://jungeanleger.podigee.io/1970-kapitalmarkt-stimme-at-daily-voice-31-365-an-andreas-babler 8a221e0aa589a1214b07d0a97ed496ce Episode 31/365 der kapitalmarkt-stimme.at daily voice auf audio-cd.at. Ich hatte mich in dieser Serie bereits an Karl Nehammer und Herbert Kickl gewandt. Heute an Andreas Babler und Anlass ist ein Tweet über Semperit-Erinnerungen, die ihn geprägt hätten. Mich haben Konsum-Erinnerungen geprägt und wir Privatpersonen, die an der Börse selbst vorsorgen (nicht spekulieren) entlasten den Staat und zahlen sogar doppelt ins System ein über die KESt. Ich würde gerne mal podcasten mit Andreas Babler. Unser Ziel: Kapitalmarkt is coming home. Täglich zwischen 19 und 20 Uhr. 2h Wiener Börse Silvesterparty mit Gunter Deuber / Wolfgang Matejka: https://audio-cd.at/page/podcast/6616 kapitalmarkt-stimme.at daily voice Playlist auf spotify: http://www.kapitalmarkt-stimme.at/spotify http://www.kapitalmarkt-stimme.at Musik: Steve Kalen: https://open.spotify.com/artist/6uemLvflstP1ZerGCdJ7YU Playlist 30x30 (min.) Finanzwissen pur: http://www.audio-cd.at/30x30 Bewertungen bei Apple (oder auch Spotify) machen mir Freude: http://www.audio-cd.at/apple http://www.audio-cd.at/spotify 1970 full no Christian Drastil Comm.
Nach wochenlangen Verhandlungen zwischen der ÖVP, der SPÖ und den Neos sind die Koalitionsgespräche doch gescheitert. Auch eine Zweierkoalition von ÖVP und SPÖ ist vom Tisch, Bundeskanzler und ÖVP-Chef Karl Nehammer nimmt in der Folge seinen Hut. Sein Nachfolger Christian Stocker macht daraufhin eine 180-Grad-Wende und führt nun doch Koalitionsgespräche mit der FPÖ unter Führung von Herbert Kickl. In dieser Folge von "Inside Austria" rekonstruieren wir, wie die innenpolitische Lage in Österreich so eskalieren konnte. Warum die Verhandlungen geplatzt sind – und wer im Hintergrund die Fäden zog. Und wir wollen wissen, ob der Weg für einen Kanzler Herbert Kickl endgültig frei ist.
In Österreich wurde die rechtspopulistische FPÖ nach den Wahlen im September 2024 stärkste Fraktion. Weil aber alle anderen Parteien fest versichert hatten, nicht mit den Rechtsradikalen um Parteichef Herbert Kickl zu koalieren, erging der Regierungsauftrag an den Chef der konservativen ÖVP und Bundeskanzler, Karl Nehammer. Sein Versuch mit der sozialdemokratischen SPÖ und den liberalen NEOS zusammenzukommen, ist dann aber vergangene Woche nach monatelangen Verhandlungen gescheitert. Nehammer trat zurück und sein Nachfolger als ÖVP-Chef erklärte sich nunmehr doch bereit, mit der FPÖ zu verhandeln. In der Folge erteilte der österreichische Bundespräsident Alexander van der Bellen den Auftrag zur Regierungsbildung an Herbert Kickl. Ein Mitregieren der FPÖ ist in Österreich keineswegs neu. Und obwohl beide Regierungen mit FPÖ-Beteiligung in der Vergangenheit krachend und voller Skandale gescheitert sind, hat das dem Zuspruch zu der Partei keinen Abbruch getan. Die Strategie, rechte Parteien zu "entzaubern", indem sie in Regierungsverantwortung kommen, hat offenbar nicht funktioniert. Wie konnte es so weit kommen? Wird Österreich nunmehr an der Seite Ungarn ein weiteres rechtes Anti-EU-Bollwerk innerhalb der Europäischen Union? Worin unterscheiden sich die FPÖ und die deutsche AfD? Und was kann die deutsche Parteienlandschaft aus der österreichischen Entwicklung lernen? Darüber spricht taz-Auslandsredakteur [Bernd Pickert](https://taz.de/!a3/) mit dem aus Wien zugeschalteten Österreich-Korrespondenten [Florian Bayer](https://taz.de/!a114704/), und Parlamentsredakteur*innen [Sabine am Orde](https://taz.de/!a29/) und [Gareth Joswig](https://taz.de/!a32395/).
Peter Hajek überDas Scheitern der Dreier-Koalition "Ich weiß nicht, wie viele in diesem Land seit Jahrzehnten lauthals nach Reformen schreien, nach großen Reformen. Dann gibt es eine junge, naive, pinke Truppe, die da hinein geht und tatsächlich so etwas fordert, wie die Bundesstaatsreform und plötzlich heißt es: „Na, des geht nicht.“Ob die Verhandlungen unprofessionell geführt wurden "Solche großen Verhandlungen werden in Unternehmen und Organisationen seit Jahrzehnten von externen Beratern betreut. Nur die Politik glaubt noch immer, dass sie nach den alten Mustern verfahren kann. Ich verstehe nicht, warum ich mir nicht jemanden hereinhole, der mir dabei hilft, eine Brücke zu schlagen, wenn ich es schon selbst nicht schaffe."Was für die ÖVP nun entscheidend ist "Wie weit sie ihr Ansehen in diesen Verhandlungen noch wahren kann. Wenn sie sich allzu sehr verbiegt, dann ist sie als Bundespartei hinüber.Ob sich Österreich vor Herbert Kickl fürchten muss "Fürchten ist prinzipiell ein ganz, ganz schlechter Ratgeber. Man muss bei Herbert Kickl und der freiheitlichen Partei aufmerksam sein, was ihre politischen Anleihen zum Beispiel bei einem System wie Orbàn sind. Ob es Blau-Türkis geben wird "Die Wahrscheinlichkeit ist sehr hoch, aber für ganz ausgemacht halte ist es nicht." Hier können Sie den Newsflix-Newsletter abonnieren.Behalten Sie hier all unsere Podcasts im Überblick.Zuschriften richten sie bitte an: c.nusser@newsflix.at
Nach dem Rücktritt von Karl Nehammer übernimmt FPÖ-Chef Herbert Kickl den Auftrag zur Regierungsbildung. In einer öffentlichen Erklärung betonte er die Bedeutung von Ehrlichkeit und Vertrauen in der Politik. Kickl will einen Neustart für Österreich – mit Fokus auf Transparenz und Optimismus. Doch die Verhandlungen mit der ÖVP stehen unter Vorbehalt.
#DTalk #DNEWS24 #Gernot Bauer #FPÖ #ÖVP #brandmauer Die Bildung einer "Koalition der Wahlverlierer" von ÖVP, SPÖ und Neos ist krachend gescheitert. Bundeskanzler und ÖVP-Chef Karl Nehammer ist zurückgetreten. Jetzt ist Herbert Kickl von Bundespräsident Alexander van der Bellen damit beauftragt, eine Regierung zu bilden. Die ÖVP ist bereit dazu. DTalk mit dem renommierten Profil-Journalisten Gernot Bauer.
Die in Teilen rechtsextreme FPÖ hat den Auftrag zur Regierungsbildung bekommen und wird mit der konservativen ÖVP verhandeln. Welche Themen werden dabei im Mittelpunkt stehen?
Kein Stein blieb in Österreich am Wochenende politisch auf dem anderen: Die „DreiKo“-Verhandlungen sind gescheitert, der scheidende Kanzler Karl Nehammer machte den Weg frei für den vormaligen ÖVP-Generalsekretär Christian Stocker. Eine unerwartete Wahl - wer ist der bullige Anwalt aus Wiener Neustadt? Und wie lange wird es nun bis zur blau-schwarzen Koalition dauern? Darüber sprechen profil-Innenpolitikredakteure Clemens Neuhold und Max Miller.
Nach dem Scheitern der Koalitionsverhandlungen zwischen ÖVP, SPÖ und Neos hat Bundespräsident Alexander Van der Bellen nun doch FPÖ-Chef Herbert Kickl den Regierungsbildungsauftrag erteilt. Dieser hat bereits die ÖVP zu Gesprächen eingeladen. Wie sicher ist es nun, dass Kickl Kanzler wird? Woran sind die Verhandlungen zwischen ÖVP, SPÖ und Neos tatsächlich gescheitert und wie geht es nach dem Rücktritt von Karl Nehammer mit der ÖVP weiter? Darüber spricht Studio KURIER Host Caroline Bartos mit Innenpolitik-Redakteur Michael Hammerl. Mehr zu diesen Themen hören Sie in unserem Innenpolitik-Podcast "Die Milchbar".Alles klar? “Studio KURIER” - überall wo es Podcasts gibt und auch auf Youtube als Video-Podcast.Abonniert unseren Podcast auf Apple Podcasts oder Spotify und hinterlasst uns eine Bewertung, wenn euch der Podcast gefällt. Mehr Podcasts gibt es auch unter kurier.at/podcasts. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ein Kommentar von Paul Clemente.Das war shakespearereif: Als habe man den Helden eines Königsdramas gezwungen, seinem Rivalen und Todfeind die Krone aufzusetzen. Und dabei noch gute Miene machen! So dürfte Österreichs grüner Bundespräsident Alexander von der Bellen sich gestern gefühlt haben. Sein Lächeln wirkte gequält, als er ans Rednerpult trat und Herbert Kickl mit der Regierungsbildung beauftragte. Auf wen hat er wohl mehr Wut geschoben? Auf Kickl? Auf die ignoranten Wähler? Oder auf seine Parteikollegen? Denen war nämlich innerhalb von drei Monaten nicht gelungen, sich erfolgreich gegen den bösen FPÖ-Chef zu verschwören. Trotzdem musste der Bundespräsident diese krachende Niederlage des rotgrünen Establishments zu einem Sieg umdeuten. Irgendwie! Und das ging so:Von der Bellen erklärte dem geneigten Publikum: Eine seiner wichtigsten Aufgaben bestehe darin, dem Land eine funktionsfähige Regierung zu bescheren. Dabei gebiete es der Respekt vor dem Wählervotum, dass der Bundespräsident die Mehrheit achtet, die sich im Nationalrat findet oder eben nicht. Das sei „der beruhigend klare Kern unserer Demokratie, festgelegt in der Bundesverfassung.“ Dem folgte eine Zusammenfassung der vergangenen drei Monate: ÖVP und der SPÖ hätten die Koalition mit der FPÖ strikt abgelehnt, stattdessen eine Ampelkoalition mit den NEOs geplant. ÖVP-Chef Karl Nehammer erhielt daraufhin den Auftrag zur Regierungsbildung. Leider wurde nichts daraus: Am Freitag stiegen die NEOS aus und Nehammer trat zurück. Danach geschah ein Wunder: Plötzlich war die ÖVP doch zur Koalition mit der FPÖ bereit. Damit schrumpfte die Verhinderungstaktik zum puren Aufschub. Immerhin ein Vierteljahr. Herbert Kickl selber spricht von „drei verlorenen Monaten.“Von der Bellen beschwor die Dringlichkeit seiner Entscheidung: Österreich befinde sich in einer Krise. Trotz steigender Arbeitslosigkeit verlange der Staatshaushalt eine Sanierung. Da stünden bald „unpopuläre Maßnahmen“ vor der Tür. Mit anderen Worten: Kürzungen im Sozialbereich. Zudem sei Österreich durch russische Angriffskrieger bedroht. Kurzum: Noch mehr Rauszögern ging einfach nicht. Also lud von der Bellen den Kickl in die Hofburg. Der ist über den Kurswechsel nur mäßig begeistert: Schließlich gehörte auch die ÖVP zu den „Architekten der Verlierer-Ampel und stehen nun vor den Trümmern ihrer Kickl-Verhinderungsstrategie“. Und was, wenn die neuen Verhandlungen ebenfalls scheitern? Das sollten FPÖ-Gegner sich besser nicht wünschen. Dann gäbe es nämlich Neuwahlen. Und jeder kann sich ausrechnen, welche Partei davon profitieren würde.Am Schluss wirbt von der Bellen um Verständnis. „Meine Damen und Herren, ich habe mir diesen Schritt nicht leicht gemacht.“ Aber keine Panik: Er, von der Bellen, werde darauf achten, "dass die Prinzipien und Regeln unserer Verfassung korrekt beachtet und eingehalten werden.“ So wie jahrelang in der Lockdown-Zeit und der beschlossenen Impfpflicht? Auch in Deutschland dürfte der Wahlsieg der FPÖ vielen als Super-GAU gelten. Denn: Was in Österreich ablief, könnte sich in Berlin wiederholen. Dort gibt es im Februar eine vorgezogene Bundestagswahl. Und wie in Österreich erklärten die Altparteien ihre Entschlossenheit, mit der AfD nicht zu koalieren. Wählervotum hin oder her. Da gibt der Einbruch beim FPÖ-Boykott doch ein schlechtes Vorbild, oder? Das Hipster-Magazin Die Zeit konstatierte: In Österreich habe man die Brandmauer „zermalmt“...hier weiterlesen: https://apolut.net/von-der-bellens-klarer-kern-von-paul-clemente/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Predlagatelji zakona o načinu evtanazije pravijo, da so zadnjo različico omilili in vnesli močne varovalke pred zlorabami, a stališča zagovornikov življenja do naravne smrti se s tem ne spreminjajo.Psiholog doktor Matej Tušak o tem, da vlada izgublja stik z realnostjo.Trenutna slika slovenskega gospodarstva: Selitve podjetij, dodatne obremenitev in nujni pozivi k ukrepanju.Razpis za nakup reševalnih helikopterjev je bil namenjen dopolnitvi policijske flote, sumijo v NSi in zahtevajo pojasnila.Davi močno streslo območje Tibeta, za zdaj potrjenih blizu sto smrtnih žrtev.Avstrijski kancler Karl Nehammer za petek napovedal odstop, severni sosedje Slovenije korak bliže koaliciji med Ljudsko stranko in Svobodnjaki.Kanadski premier Justin Trudeau /džastin trudo/ po skoraj desetih letih vodenja države zapušča svoj položaj.Papež Frančišek imenoval prvo prefektinjo - sestra Simona Brambilla bo vodila Dikasterij za redovnike.Novoletna skakalna turneja: Zlatega orla ujel Avstrijec Daniel Tschofenig, najboljši Slovenec v skupnem seštevku Anže Lanišek na 10. mestu.Vreme: Popoldne se bodo padavine razširile nad vso Slovenijo, jutri se bo prehodno delno razjasnilo.
Poté, co rezignoval rakouský kancléř Karl Nehammer, protože zkrachovala jednání o nové vládní koalici mezi lidovci, sociálními demokraty a liberální stranou NEOS, pověřil v pondělí prezident Alexander Van der Bellen sestavením vlády lídra Svobodné strany Rakouska (FPÖ) Herberta Kickla. Podle českého velvyslance v Rakousku Jiřího Šitlera se toto pověření dalo čekat, říká v pořadu Interview Plus.
Biden yönetimi, İsrail'e 8 milyar dolarlık silah satışı önerisini Kongre'ye bildirdi. Avusturya Cumhurbaşkanı Karl Nehammer, koalisyon görüşmelerinin başarısızlıkla sonuçlanmasının ardından istifa edeceğini açıkladı. Bu bölüm Amazon Türkiye hakkında reklam içermektedir. Amazon Prime, yeni yılda sizi ayrıcalıklar dünyasına davet ediyor. Prime ile Amazon.com.tr'deki indirim ve ayrıcalıklı hizmetlerden, Prime Video ve Prime Gaming gibi eğlence platformlarından ayda sadece 39 TL'ye faydalanmak için buradan üye olabilirsiniz.
Poté, co rezignoval rakouský kancléř Karl Nehammer, protože zkrachovala jednání o nové vládní koalici mezi lidovci, sociálními demokraty a liberální stranou NEOS, pověřil v pondělí prezident Alexander Van der Bellen sestavením vlády lídra Svobodné strany Rakouska (FPÖ) Herberta Kickla. Podle českého velvyslance v Rakousku Jiřího Šitlera se toto pověření dalo čekat, říká v pořadu Interview Plus.Všechny díly podcastu Interview Plus můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Nach dem Scheitern der Koalitionsgespräche und dem Rücktritt von Karl Nehammer als Regierungschef und ÖVP-Bundesobmann hat Altkanzler Sebastian Kurz eine Rückkehr ausgeschlossen. Die Konservativen müssten in dieser Lage Neuwahlen fürchten. Eine Regierung unter Führung der rechten FPÖ wird dadurch wahrscheinlicher.
Koalicijska pogajanja med avstrijskima ljudsko in socialdemokratsko stranko so zaradi razhajanj glede ključnih točk propadla. Kot je še sporočil avstrijski kancler Karl Nehammer, ljudska stranka ne more podpisati programa, ki je naravnan proti gospodarstvu, konkurenci in učinkovitosti. Ponovil je tudi, da ni pripravljen na pogovore s skrajno desnimi svobodnjaki. Del njegove stranke je namreč naklonjen takšnim pogajanjem. Drugi poudarki oddaje: - Izraelska opozicija vlado znova pozvala k sklenitvi dogovora o izpustitvi talcev. - Ukrajinski predsednik Zelenski: Rusija je v Kursku utrpela hude izgube. - Z letošnjim letom v novih stavbah prepovedana vgraditev plinskih kotlov.
- Thủ tướng Áo Karl Nehammer hôm qua tuyên bố sẽ từ chức trong vài ngày tới, sau khi không thể thành lập được chính phủ liên minh ôn hòa, loại bỏ phe cực hữu ra ngoài. Nhiệm vụ thành lập chính phủ sẽ được chuyển giao cho người khác hoặc Áo sẽ phải tiến hành cuộc bầu cử bất thường. Chủ đề : thủ tướng áo, từ chức
von Anna Wallner. Die Republik hat echte Chaostage hinter sich: Zuerst sind die Neos raus, dann platzen die Koalitionsgespräche komplett und Karl Nehammer wirft hin. Nun übernimmt Christian Stocker die ÖVP und will mit der FPÖ eine Koalition verhandeln, sogar Van der Bellen sagt: „Die Situation hat sich verändert“. Im Podcast mit Klaus Knittelfelder ordnen wir die außergewöhnlichen Ereignisse ein. Dass die FPÖ jetzt vielleicht den Kanzler stellt ist wohl die Schuld aller Parteien.
Sun, 05 Jan 2025 18:16:00 +0000 https://jungeanleger.podigee.io/1905-kapitalmarkt-stimme-at-daily-voice-5-365-wie-kann-man-karl-nehammer-zu-einem-aktionar-machen-reprise 2282db850f531530b4687732e07e09aa Episode 5/365 der kapitalmarkt-stimme.at daily voice auf audio-cd.at. Das folgende Thema wollten Wolfgang Matejka und ich natürlich vor dem Zuckerl-Zerfall spielen, ist sich nicht mehr ausgegangen. Aber die Frage, wie man Karl Nehammer zu einem Aktionär machen könnte, ist durchaus mit guten Argumenten beantwortbar, vgl. daily voice 1/365 von Heimo Scheuch und Christoph Boschan. Nun ist Nehammer zurückgetreten, er war kein Mann der Börse, hat jetzt aber neue Steuern im Privat- (Vermögens-, Erbschaftssteuer) und Corporate-Bereich (Bankensteuer) verhindert. In der Folge geht um ein Danke dafür, um Integrität, aber auch schwierige Übergewinnsteuern und Versäumnisse, schon ein Kapitalmarktbeauftragter wäre ein Zeichen gewesen. In dieser Reprise geht es zudem um eine gewisse Hoffnung, dass die Neos auch in der neuen Konstellation vielleicht nicht ganz raus sind. Würde es international leichter machen. Ziel: Kapitalmarkt`s coming home. Für alle, täglich zwischen 19 und 20 Uhr. daily voice 1 (Scheuch/Boschan): https://audio-cd.at/page/podcast/6620 2h Wiener Börse Silvesterparty mit Gunter Deuber / Wolfgang Matejka: https://audio-cd.at/page/podcast/6616 kapitalmarkt-stimme.at daily voice Playlist auf spotify: http://www.kapitalmarkt-stimme.at/spotify http://www.kapitalmarkt-stimme.at Musik: Steve Kalen: https://open.spotify.com/artist/6uemLvflstP1ZerGCdJ7YU Bewertungen bei Apple (oder auch Spotify) machen mir Freude: http://www.audio-cd.at/apple http://www.audio-cd.at/spotify 1905 full no Christian Drastil Comm. 3
Avstrijski kancler Karl Nehammer je napovedal, da bo v prihodnjih dneh odstopil s položaja. Kot je dejal, so koalicijski pogovori med ljudsko stranko in socialdemokrati propadli, potem ko se je iz pogajanj umaknila liberalna stranka Neos. Druge teme: - Gradbeni inšpektorat po Solkanu tudi v Renčah prepovedal uporabo objekta, v katerem bivajo ljudje z duševnimi ali telesnimi ovirami - Izrael kljub številnim opozorilom o splošnem pomanjkanju nadaljuje napade po Gazi - Nemški kancler Scholz kritiziral Muskovo podporo nemški skrajni desnici
Innenpolitisch dreht sich alles immer noch um die Regierungsfindung. Aber welche Themen haben die profil-Redakteurinnen und Redakteure 2024 begleitet und werden auch zukünftig eine Rolle spielen? Daniela Breščaković und Clemens Neuhold sprechen über ihre Geschichten des Jahres und plaudern auch aus dem Nähkästchen.Wird es die nächste Regierung mit zehn Jahren Verspätung schaffen, Integration und Migration in Österreich in den Griff zu bekommen? Welche Reaktionen gab es auf die Titelgeschichte, in der Daniela 25 ermordete Frauen porträtierte?
Seit mehreren Wochen ringen ÖVP, SPÖ und NEOS um eine Regierungskoalition - das wäre dann Österreichs erste Dreierkoalition, die "DreiKo". Immer wieder dringt aber an die Öffentlichkeit, dass es nicht gut um die Regierungsverhandlungen steht. Der Druck steigt auch dadurch, dass ÖVP und FPÖ seit der Nationalratswahl im September in zwei Landesregierungen zusammengefunden haben. Steht es um die Verhandlungen im Bund nun schlechter als zuvor? Innenpolitikredakteure Clemens Neuhold und Max Miller denken nicht, denn eine Landesregierung ist keine Bundesregierung. So wäre es im Bund keine Option, für die Budget-Konsolidierung einfach nach mehr Geld zu fragen. Neben der DreiKo-Premiere gibt es in dieser Folge von "Zur Frage der Nation" das Moderationsdebüt von profil-Redakteurin Franziska Schwarz.
Seit drei Wochen verhandeln ÖVP, SPÖ und Neos über eine Dreierkoalition. Außer den verschiedenen Ansichten, wie das Budgetloch gestopft werden soll, drang bisher kaum etwas nach außen. Sind sich die drei Parteien wirklich so einig? Oder täuscht der Eindruck? Und welche Konsequenzen hätte es für Karl Nehammer (ÖVP), Andreas Babler (SPÖ) und Beate Meinl-Reisinger, sollten sie keine Koalition zustande bringen? Das analysieren profil-Innenpolitikchefin Eva Linsinger und Clemens Neuhold.Moderation: Julian Kern
Rot und Pink dürfen sich startklar machen für die Oppositionsrolle. Der Swing State Steiermark beendet die hoffnungsvollen Wochen der verdrängten Hoffnungslosigkeit. Es folgt eine persönliche Erklärung von Karl Nehammer. Dann wird Kickl Kanzler. Tja.------------★ Live-Termine Mi, 27.11.24 - Graz / TheatercafeSo, 12.01.25 - Wien / NiedermairFr, 14.02.25 - Wien / Theater am AlsergrundFr, 21.02.25 - Wien / Glaubenskirche SimmeringDo, 27.03.25 - Wien / NiedermairMi, 23.04.25 - Wien / Theater am AlsergrundDo, 24.04.25 - Hard am Bodensee / Kammgarn*** Tickets hier------------★ Den Estragon Podcast unterstützen:Wenn DU & EINIGE ANDERE den Estragon Podcast finanziell am Leben erhalten, können ihn ALLE gratis hören. Ist doch super, oder?➞ Steady-Patenschaft (inkl. viele GOODIES!):https://steadyhq.com/de/franzalander/about➞ Überweisung (freier Betrag):Easybank Franz Alexander Stanzl AT10 1420 0200 1441 8033 BIC: BAWAATWW Zahlungsgrund: Podcast (plus bitte deine Email-Adresse, damit ich mich höflich bei dir bedanken kann)➞ Paypal (freier Betrag): Hier lang------------Quellen / Zitate:Die Tagespresse: FPÖ gewinnt Steiermark-Wahl trotz Finanzskandal, Meth-Labor, Kinderpornos, totem Zeugen, 1,8 Mio. Euro ungeklärter Geldflüsse, NS-Devotionalien, Falschaussagen, belastenden Tonbandaufnahmen und Penispumpe------------★ franzalander.at ★ Newsletter ★ Instagram ★ Facebook ★ TikTok ★ YouTube ★ Bluesky ------------Foto Sujet Podcast: Christof Wagner / Grafik FranzalanderFoto Sujet Episode: HENADZY (Adobe Stock 269977923), Facebook (Herbert Kickl) / Montage Lizenzfreie Musik:Big Band Opener (Adobe Stock 4591
Sendung vom 26.11.2024 Besuchen Sie uns gerne auf den anderen Plattformen:https://www.youtube.com/@oe24TV/featuredoe24.tvtiktok.com/@oe24atinstagram.com/oe24.at
Thema: Beginn der Koalitionsverhandlungen von ÖVP, SPÖ und NEOS
Thema: Beginn der Koalitionsverhandlungen von ÖVP, SPÖ und NEOS
von Anna Wallner. In Deutschland ist die Ampel geplatzt, in Österreich wird gerade sehr langsam an einer schwarz-rot-pinken Dreierkoalition gebastelt. Am Dienstag wollen ÖVP und SPÖ entscheiden, ob sie überhaupt in Gespräche mit den Neos gehen wollen. Dann werden Nehammer, Babler und Meinl-Reisinger abstecken, wie gut sie zusammen passen. Zu Gast in dieser Folge ist Elisabeth Hofer aus der Innenpolitikredaktion der "Presse".
Die Ampel in Deutschland ist zwar tot – doch Karl Nehammer bastelt in Österreich gerade an seiner ganz eigenen Variante der „Austro-Ampel“. Hinkt die Alpenrepublik also lediglich den Entwicklungen hinterher oder dient sie bereits als neues politisches Versuchslabor? Ungeachtet aller Spekulationen hält AUF1-Innenpolitik-Redakteur Philipp Huemer in seinem Kommentar fest: Der Sieg von Donald Trump und die Entwicklungen in der Bundesrepublik werden an Österreich nicht spurlos vorüberziehen.
Karoline Edtstadler von der ÖVP steht für die nächste Regierung nicht mehr als Ministerin zur Verfügung. Diese Nachricht vom Wochenende hat viele überrascht – und deutet auf interne Machtkämpfe und Unstimmigkeiten mit ÖVP-Chef Karl Nehammer hin. Warum es Edtstadler gereicht haben dürfte und welche Ambitionen sie nun hat, erklärt Katharina Mittelstaedt, leitende Redakteurin Innenpolitik beim STANDARD. Wir sprechen außerdem über den aktuellen Stand bei den Sondierungsgesprächen. Und darüber, warum Herbert Kickl von der FPÖ da zwar außen vor gelassen wird, gerade aber trotzdem ziemlich zufrieden sein dürfte.
Am Wochenende hat Kanzleramtsministerin Karoline Edtstadler (ÖVP) ihren Rückzug aus der ersten Reihe der Volkspartei verkündet. Was sagt ihr Abgang über den Zustand der ÖVP aus und was bedeutet er für die Sondierungsgespräche mit der SPÖ? Darüber sprechen profil-Innenpolitikchefin Eva Linsinger und Gernot Bauer.Moderation und Produktion: Julian Kern
Karl Nehammer soll eine Koalition auf die Beine stellen – diesen Auftrag hat der ÖVP-Chef von Bundespräsident Alexander Van der Bellen bekommen. Da Nehammer die FPÖ ausschließt, muss er sich mit der SPÖ und eventuell noch einer dritten Partei einigen. Wie stehen die Chancen auf eine Einigung? Wo liegen die Knackpunkte? Und bleibt bei einem Scheitern der Verhandlungen nur noch die Option Neuwahlen? Katharina Mittelstaedt, Leitende Redakteurin Innenpolitik, und Innenpolitik-Redakteur Jan Michael Marchart erklären, wie es weitergehen könnte.
Bundespräsident Alexander Van der Bellen hat Karl Nehammer mit der Regierungsbildung beauftragt. Eine Koalition mit der FPÖ steht nicht zur Debatte.
Bundespräsident Alexander Van der Bellen hat heute, Dienstag, ÖVP-Chef Karl Nehammer und nicht FPÖ-Chef Herbert Kickl mit der Regierungsbildung beauftragt. Er begründet seine Entscheidung damit, dass der FPÖ-Chef keinen Koalitionspartner findet. Was diese Entscheidung zu bedeuten hat und wie es jetzt weitergeht bespricht Studio KURIER Host Caroline Bartos mit Innenpolitik-Redakteur Christian Böhmer. Alles klar? “Studio KURIER” - überall wo es Podcasts gibt und auch auf Youtube als Video-Podcast. Mehr zur österreichischen Innenpolitik hört ihr in unserem neuen Innenpolitikpodcast "Die Milchbar". Abonniert unseren Podcast auf Apple Podcasts oder Spotify und hinterlasst uns eine Bewertung, wenn euch der Podcast gefällt. Mehr Podcasts gibt es auch unter kurier.at/podcasts Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'accordo tra Italia e Albania per i centri di rimpatrio avvia "un percorso coraggioso" in Europa. Lo ha detto il cancelliere austriaco Karl Nehammer al termine del Consiglio europeo che si è tenuto venerdì a Bruxelles. Non siamo favorevoli dice invece il premier di Madrid Pedro Sanchez: "sono formule che non affrontano nessuno dei problemi e ne creano di nuovi". Europa comunque tentata dal modello albanese, con la presidente Von der Leyen che dice: "Asilo sì, ma non necessariamente nell'Ue". A Europa Europa questa settimana parliamo anche delle fatiche del mercato dell'auto e del nuovo SpacePark che si è aperto alle porte di Torino.
Türkis und Blau sind in den Gesprächen über eine Regierungszusammenarbeit auf keinen grünen Zweig gekommen. ÖVP-Chef Karl Nehammer sagt noch immer, eine Koalition mit der FPÖ mit Herbert Kickl an der Spitze sei für ihn ausgeschlossen. Kickl will das nicht einfach hinnehmen – und versucht, einen Keil in die Volkspartei zu treiben. Welche Strategie verfolgt die FPÖ im Koalitionspoker? Und könnte Österreich vielleicht doch schneller eine neue Regierung bekommen, als viele Experten erwartet hätten? Petra Stuiber, stellvertretende Chefredakteurin beim STANDARD, weiß mehr.
Die rechtsradikale FPÖ hat die Nationalratswahl in Österreich gewonnen. Doch abgesehen von der konservativen ÖVP schließen alle Parteien eine Zusammenarbeit mit der FPÖ aus. Karl Nehammer, Chef der Volkspartei, zeigt sich zwar generell offen gegenüber einer Koalition mit den Freiheitlichen, nicht aber mit Herbert Kickl. Doch was wären die Alternativen zu einer rechts-konservativen Regierung? In dieser Folge von »Inside Austria« diskutieren wir mit Gerold Riedmann und Petra Stuiber aus der Chefredaktion des »Standard« über die Folgen der Nationalratswahl in Österreich. Warum war die FPÖ so stark und wie könnte eine zukünftige Regierung aussehen? Zur Interviewfolge mit Ingrid Brodnig geht es hier: https://www.spiegel.de/ausland/oesterreich-wahlkampf-im-netz-warum-gerade-die-fpoe-auf-wut-setzt-podcast-a-8f158353-8b10-4e44-aa9b-6abb26af3f96 In der Podcast-Serie Inside Austria rekonstruieren der SPIEGEL und der österreichische STANDARD gemeinsam Fälle, Skandale und politische Abgründe in Österreich. Wenn Ihnen unser Podcast gefällt, folgen Sie uns doch und lassen Sie uns ein paar Sterne da. Kritik, Feedback oder Themenideen gerne an insideaustria@spiegel.de oder an podcast@derstandard.at Einen Überblick über Themen und Entwicklungen in Österreich finden Sie auf derstandard.at und auf spiegel.de. +++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie bei SPIEGEL+. Jetzt für nur € 1,- für die ersten vier Wochen testen unter spiegel.de/abonnieren Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Österreich hat ein neues Parlament gewählt. Und obwohl Prognosen den Ausgang der Wahl schon lange vorhergesagt haben, löst der Erdrutschsieg der rechtspopulistischen bis rechtsradikalen FPÖ heftige Reaktionen aus. Mit 28,8 Prozent liegen die Freiheitlichen mehr als zwei Prozentpunkte vor der zweitplatzierte Volkspartei – in der man bis zuletzt auf ein Kopf-an-Kopf-Rennen gehofft hatte. Zum ersten Mal in der Geschichte der Zweiten Republik liegt bei einer Nationalratswahl eine Partei auf Platz eins, die ihre Wurzeln in einer Nachfolgeorganisation der NSDAP hat. In Österreich stehen nun schwierige Sondierungsgespräche an. Denn FPÖ-Chef Herbert Kickl will Bundeskanzler werden, aber abgesehen von der ÖVP möchte niemand mit den Freiheitlichen regieren, und ÖVP-Chef Karl Nehammer hat zumindest ausgeschlossen, mit Kickl zu koalieren. In Österreich sind nun alle Augen auf den Bundespräsidenten gerichtet, der traditionsgemäß den Regierungsbildungsauftrag an die stimmenstärkste Partei vergibt. Doch Alexander Van der Bellen lässt sich bislang Zeit und betont, dass eine neue Regierung das Vertrauen des Bundespräsidenten brauche – welches Kickl mutmaßlich nicht hat. Aber was kann der Bundespräsident gegen eine Partei ausrichten, die fast 30 Prozent der Wählerstimmen hinter sich hat? In dieser Folge von Inside Austria sprechen wir über das Wahlergebnis in Österreich. Wir fragen nach, wie der FPÖ dieser Erfolg gelingen konnte und was das Ergebnis für die Zukunft des Landes bedeutet. In dieser Folge zu hören: Gerold Riedmann (Chefredakteur DER STANARD), Petra Stuiber (stellvertretende Chefredakteurin DER STANDARD); Interview & Gestaltung: Margit Ehrenhöfer und Lucia Heisterkamp; Produktion: Christoph Neuwirth
„Wer Führung bestellt, der kriegt sie auch.“ Diesen Satz hat Olaf Scholz vor seiner Wahl zum Hamburger Bürgermeister gesagt. Nun wird er oft zitiert, weil viele Menschen – darunter auch Koalitionspartner – Führung von ihm vermissen. Wie vertragen sich Machtworte eines Einzelnen mit der Herrschaft des Volkes? Beobachten wir eine Personalisierung der Wahlkämpfe und gleichzeitig den Wunsch nach mehr Basisdemokratie? Über die Widersprüche von Demokratie und Führung und wie sich diese auflösen lassen, spricht Elisabeth Niejahr, Geschäftsführerin der Hertie-Stiftung.Trotz des Wahlsiegs der Partei von Herbert Kickl könnte die ÖVP mit Karl Nehammer weiterhin den Bundeskanzler stellen. Dieser könnte zusammen mit der SPÖ in einer Dreierkoalition entweder mit den liberalen NEOS oder den Grünen regieren. Eine Koalition mit der FPÖ hatten alle anderen Parteien vor der Wahl ausgeschlossen und blieben auch am Wahlabend dabei.Table.Briefings - For better informed decisions. Sie entscheiden besser, weil Sie besser informiert sind – das ist das Ziel von Table.Briefings. Wir verschaffen Ihnen mit jedem Professional Briefing, mit jeder Analyse und mit jedem Hintergrundstück einen Informationsvorsprung, am besten sogar einen Wettbewerbsvorteil. Table.Briefings bietet „Deep Journalism“, wir verbinden den Qualitätsanspruch von Leitmedien mit der Tiefenschärfe von Fachinformationen. Professional Briefings kostenlos kennenlernen: table.media/registrierung.Audio-Werbung Table.Today: jan.puhlman@table.media Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
von Anna Wallner. Vor der Wahl am 29. September sehen wir uns die wahlwerbenden Parteien genauer an. Diesmal geht es um die Kanzlerpartei ÖVP. Klaus Knittelfelder analysiert das Wahlprogramm („keine Überraschungen“) und die Taktik der ÖVP, es auf einen Zweikampf mit Kickl zu fokussieren. Er sagt: „Die FPÖ wird Kickl am Ende sicher nicht opfern“.
- Trong một động thái tìm kiếm sự ủng hộ từ cử tri, Thủ tướng Áo Karl Nehammer tuyên bố cam kết cắt giảm thuế cho những người lao động có thu nhập thấp và một số đối tượng có thu nhập cao trong bối cảnh ông tìm kiếm cơ hội tái đắc cử vị trí của mình vào tháng tới. Chủ đề : Thủ tướng, Áo, bầu cử --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/vov1tintuc/support
Thema: Terror-Anschlagspläne bei Taylor Swift-Konzert
Schnitzel, Blasmusik, Verbrennungsmotor: Das verbindet die Kanzlerpartei ÖVP mit Österreich, wenn man Aussagen von Karl Nehammer und entsprechende Social-Media-Kampagnen verfolgt. Aber die Frage, was das Leben in Österreich ausmacht und wie die Integration zugezogener Menschen funktionieren kann, geht weit über Marketing und markige Sprüche hinaus. Die Integrationsministerin Susanne Raab hat jetzt die "Grundwerte für eine heimische Leitkultur" vorgestellt, wie sie sagt. Im Podcast spricht Petra Stuiber aus der STANDARD-Chefredaktion darüber, was laut der Volkspartei nun zu Österreich dazugehört und was nicht. Und darüber, ob es bei der "Leitkultur-Debatte" um Integration geht oder eher um den nahenden Wahlkampf. **Hat Ihnen dieser Podcast gefallen?** Mit einem STANDARD-Abonnement können Sie unsere Arbeit unterstützen und mithelfen, Journalismus mit Haltung auch in Zukunft sicherzustellen. Alle Infos und Angebote gibt es hier: [abo.derstandard.at](https://abo.derstandard.at/?ref=Podcast&utm_source=derstandard&utm_medium=podcast&utm_campaign=podcast&utm_content=podcast)
Im fünften und letzten Teil der Ö3-Sommergespräche ist Karl Nehammer, Bundeskanzler und erstmals Spitzenkandidat der ÖVP bei einer Nationalratswahl, zu Gast bei Claudia Stöckl. Karl Nehammer bilanziert über seine Zeit als Regierungschef und verwettet die Boxhandschuhe, die er von Vitali Klitschko geschenkt bekommen hat. Sollte er mit der ÖVP nicht Platz 1 bei der Nationalratswahl machen, werden sie für einen guten Zweck gespendet. Der 51jährige beschreibt die Stimmung in der Koalition und die Diskussionen mit seinen Kindern zum Klimawandel und dem fehlenden Klimaschutzgesetz. Er spricht über seine Ehe, das Lesen als bestes Mittel zum Abschalten und ob er sein "Burger Video" gerne ungeschehen machen würde. (Dieser Beitrag begleitet "Das Ö3-Sommergespräch in Frühstück bei mir" vom 14.7.2024).
Vor zwei Wochen hat Europa ein neues EU-Parlament gewählt – und die FPÖ dabei erstmals eine bundesweite Wahl gewonnen.Eine Woche später hat die Zustimmung von Klimaschutzministerin Leonore Gewessler zum EU-Renaturierungsgesetz zu einem Krach innerhalb der Regierung geführt. Daraufhin folgte eine Anzeige wegen Amtsmissbrauchs der ÖVP gegen Gewessler, eine weitere grüne Regierungsbeteiligung erscheint aufgrund dieses „Vertrauensbruchs“, wie es Bundeskanzler Karl Nehammer (ÖVP) nennt, ausgeschlossen. Wem nützt dieser Konflikt und wem schadet er? Was bedeutet er für kommende Regierungskonstellationen? Und können wir bei der Nationalratswahl im Herbst ebenso mit einem Dreikampf rechnen, wie wir ihn im Ergebnis bei der EU Wahl gesehen haben?Darüber sprechen profil-Innenpolitikredakteurin Iris Bonavida und der Meinungsforscher Peter Hajek, der für das aktuelle profil-Magazin eine große Umfrage erstellt hat. Moderation: Julian Kern
Oggi è arrivato sul tavolo del Consiglio europeo il rapporto realizzato da Enrico Letta sul mercato unico nell'Ue: l'ex premier si è soffermato sul "disastro industriale" costituito dal sistema delle telecomunicazioni in Europa e sulla "vergogna" rappresentata dall'acquisto dall'estero del 78% delle armi. Dopo la presentazione del rapporto è iniziato il vertice durante il quale si è parlato i mercato dei capitali e debito comune. Dopo oltre tre ore di stallo, sulla parte relativa all''Unione del mercato dei capitali si cerca uno sblocco con una proposta franco-tedesca per convincere Irlanda, Lussemburgo, Cipro e Malta. La nuova ipotesi di mediazione punta a mettere d'accordo i 27 con l'idea di "migliorare la convergenza ed efficienza" della "supervisione" dei mercati dei capitali, invitando "la Commissione a lavorare alle condizioni per mettere in condizione le autorità europee" di esercitare effettivamente una supervisione dei capitali sistemici più rilevanti e gli attori dei mercati finanziari. Lo si apprende da fonti diplomatiche. Continua anche lo scontro sull'ipotesi di fare nuovo debito comune dopo il 2026 ma il cancelliere austriaco Karl Nehammer ha respinto l'idea. "La linea austriaca è molto chiara. Ma non solo in Austria, bensì in altri Stati cosiddetti frugali: condividere il debito significa sempre condividere insieme il peso degli interessi. Abbiamo dovuto farlo una volta a causa della pandemia. Stiamo ancora pagando alti interessi sul debito. Questo a sua volta limita la capacità di agire", ha detto al suo arrivo al vertice Ue. "Dobbiamo pensare diversamente. Dobbiamo rafforzare il mercato dei capitali nell'Unione europea: abbiamo bisogno di un accordo adesso", ha sottolineato. Intanto il professor Deaglio in un editoriale oggi su La Stampa spiega perché secondo lui "vanno ascoltate le dure verità di Draghi".Ne parliamo con Adriana Cerretelli, editorialista Sole 24 Ore Bruxelles, e Mario Deaglio, docente Economia Internazionale Università di Torino.Focus economia Vinitaly 2024, interviste ai produttori La 56esima edizione del Vinitaly si è svolta dal 14 al 17 aprile 2024 a Veronafiere. Presenti più di 4mila cantine, in rappresentanza di tutto il made in Italy enologico e da oltre 30 nazioni.In Italia la vendemmia del 2023 è stata la più leggera dal Dopoguerra: la produzione si è fermata a 38,3 milioni di ettolitri, con un calo del 23,2% sui volumi 2022. Nei mercati mondiali il vino ha frenato e ha perso 802 milioni nel 2023, mentre il nostro Paese ha registrato una flessione dell'1% dell'export. I consumi sono calati dell'8% dal 2019, in particolare i rossi. Ma il Prosecco ha trascinato la crescita degli spumanti. Per capire come sta andando il settore del vino e le prospettive per l'anno in corso, Sebastiano Barisoni e Andrea Ferro, durante Focus economia, hanno intervistato diversi produttori ed esperti.La liquidità del petrolio per l'intelligenza artificialeIeri Biagio Simonetta ha scritto che sia l'Arabia Saudita sia gli Emirati Arabi Uniti stanno lavorando per diventare una superpotenza nel mondo dell'intelligenza artificiale investendo la liquidità ottenuta dal petrolio. Questi Paesi stanno costruendo costosi data center nel deserto per supportare la GenAI (l'intelligenza artificiale generativa, che è in grado di generare testo, immagini, video, musica o altri media in risposta a delle richieste, dette prompt). I data center nel deserto arabo stanno crescendo a ritmo sostenuto, ma vanno incontro a difficoltà non secondarie: le temperature torride e il pericolo che minuscole particelle di sabbia possano introdursi nelle strutture. Al momento, i Paesi del Golfo sono indietro. Anche rispetto all'Europa. Secondo la società di ricerca DC Byte, alla fine del 2023 gli Emirati Arabi Uniti avevano 235 megawatt di capacità di data center e l'Arabia Saudita 123 megawatt. Il vantaggio emiratino è dovuto al fatto che il Paese ha iniziato a costruire data center molto prima, circa 20 anni fa all'interno del programma Dubai Internet City. Ciononostante, i data center nella regione sono pochi, rispetto ai 1.060 megawatt della sola Germania. Per colmare il divario, sauditi ed emiratini stanno lavorando, mettendo mano ai ricchi portafogli. I Paesi del Golfo puntano anche sul fronte dei chip, risultando - secondo il Financial Times - fra i clienti più assidui di Nvidia per i processori H100. Ma la fase programmatica va al di là dei data center. A luglio scorso, il primo ministro e principe ereditario dell'Arabia Saudita, Mohammed bin Salman, ha approvato la creazione del Centro internazionale per la ricerca e l'etica dell'intelligenza artificiale a Riad. Un primo passo verso un futuro che proprio bin Salman sembra aver progettato nel dettaglio, nel piano strategico Vision 2030. E adesso, secondo un rapporto di PwC, l'intelligenza artificiale contribuirà con 135 miliardi di dollari all'economia saudita nel 2030, rendendo il Regno il più grande beneficiario di tecnologia in Medio Oriente. Secondo il New York Times, il governo dell'Arabia Saudita prevede di creare un fondo di 40 miliardi interamente dedicato allo sviluppo dell'intelligenza artificiale. Ne parliamo con Biagio Simonetta, giornalista del Sole24Ore.
Bundeskanzler Karl Nehammer (ÖVP) präsentiert am Freitag seinen Plan für Österreich. Die Spannung hält sich allerdings in Grenzen – denn was Nehammer vorstellen wird, ist bereits bekannt. Seit Tagen werden die Ideen der Volkspartei Häppchenweise veröffentlicht. Und was sich dabei abzeichnet: Inhaltlich rückt die ÖVP verdächtig nahe an das Programm der Freiheitlichen heran. Eric Frey, leitender Redakteur beim STANDARD, spricht darüber, welche Strategie dahintersteckt und ob Karl Nehammer mit diesem Programm noch einmal Kanzler werden kann.