Czech lawyer and businessman
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Après la décision de l'Arcom, confirmée par le Conseil d'État mercredi 19 février, le retrait de leur fréquence TNT devrait acter la disparition prochaine des chaines de télévision C8 et NRJ12. Les espoirs de C8 et de NRJ12 se sont évanouis mercredi 19 février. Le Conseil d'État a rendu sa décision, défavorable, entraînant le retrait de leur fréquence TNT et donc la prochaine fin de leur diffusion, prévue le 28 février au soir, 20 ans après leur lancement. Une décision rare, mais pas sans précédent. C'est arrivé par deux fois en France, en 1987 avec la chaîne musicale TV6 et en 1992 avec l'arrêt de la Cinq. Le Conseil d'État a bien pesé les arguments de l'Arcom et des plaignants, les groupes Canal+ et NRJ. Et a donné raison au régulateur.Pour C8, la fréquence lui est retirée principalement à cause des manquements répétés de son animateur vedette Cyril Hanouna dans son émission Touche pas à mon poste, qui ont amené la chaîne à cumuler 7,6 millions d'euros d'amendes. Jeudi 20 février, ses insultes proférées en direct envers le député LFI Louis Boyard lui ont même valu 4 000 euros d'amende. Un incident déjà sanctionné par l'Arcom, le régulateur des médias, d'une amende de 3,5 millions d'euros, au nom de la non-maîtrise répétée de l'antenne. Mais ce n'est pas le seul facteur. La chaîne du milliardaire français Vincent Bolloré n'a jamais atteint l'équilibre et n'a donc pas fait la preuve de sa pérennité financière. NRJ12, une chaîne estimée « sans viabilité »C'est également le cas de l'autre chaîne plaignante, NRJ12, qui n'a pas su convaincre le régulateur quant à sa viabilité. Pour rappel, celle-ci n'a eu qu'un seul exercice bénéficiaire en 20 ans et ses audiences n'ont jamais vraiment réussi à décoller. Après avoir diffusé des émissions de téléréalité comme les Anges ou Allo Nabila, elle a parié sur les magazines de divertissement ou les séries américaines.Or l'Arcom lui a reproché l'omniprésence des rediffusions ou du téléachat à l'antenne, au détriment de ses obligations contractuelles. Elle paye ainsi un manque d'investissements dans les programmes. L'Arcom a préféré mettre fin à cette chaîne alors qu'il reste de la place sur la TNT, même en comptant les deux nouvelles attendues pour juin et septembre : T18, la chaîne de Daniel Kretinsky, et Ouest France TV sur le canal 19. Un avenir incertain pour Cyril HanounaLe sort de l'animateur vedette du groupe Canal+, largement décrié pour ses fresques répétées, reste inconnu. Le groupe M6 semble prêt à le recruter pour sa chaîne W9 et Fun Radio. À condition que celui-ci se limite au strict divertissement, peut-être saupoudré d'un peu de fait divers ou de politique, mais surtout sans attaques ad hominem.Seulement, selon Le Parisien, c'est de nouveau le groupe Canal+ qui tient la corde. Cela permettrait à Hanouna de faire la même émission sur la chaîne CStar et de rester sur Europe1. « Vincent, c'est ma famille », aurait dit l'animateur à propos de Vincent Bolloré. En tout cas, du RN aux Républicains, Laurent Wauquiez ou Bruno Retailleau, le soutien à Hanouna ou à C8 est très marqué à droite et à l'extrême droite.À écouter aussiDébat du jour: fallait-il déprogrammer les chaînes C8 et NRJ12 ?
Le renouvellement des fréquences : check. La numérotation des chaînes : check. Que reste-t-il ? Ah ben, à quoi vont ressembler les nouvelles chaînes ? Et bien l'équipe de J+7 revient dans cet épisode truculent sur les premières annonces concernant T18, la nouvelle chaîne de CMI : tchèque. On y revient en détail dans l'Actu, avec les dernières nouvelles de l'Arcom, le Bayrou-lement de tambour de la holding, l'Alliance des radios privées, H2O qui coule, le casting de DALS (et celui de Mask Singer), The Cerveau-lent, le banc des remplaçants de l'Equipe, et Tik Tok qui fait devenir toc toc (j'ai 80 ans). Et dans le Vu & Entendu … Voilà. Et puis pêle-mêle : l'appli Radeau France, le projet de programme de maths du cycle 3, Marie-Laure Hongrie, T18 c'est réel, “Bastien dit les termes chacal” votre nouvelle chronique, Meuhnumental, HUMOUR de Paul de Saint-Sernin, Guillaume J'entends, David Larramène-moins, le Ficello de bite, Joe Bytedance, Mister bise et 45-46-47-45 ! Au sommaire : 0:00 - Introduction 6:19 - Vu & Entendu 6:40 - L'Actu 2:24:33 - Conclu Les recos : Le blousque de Bastien - Le 10km médias Last Week Tonight - TikTok Ban Articles évoqués dans l'épisode : Le Figaro - «T18 ne fera pas de la télévision de seconde zone» : la future chaîne TNT de Daniel Kretinsky dévoile ses ambitions Bluesky - Flowering11 - Logo T18 X - BenjiMédias - Convention CMITV Le Figaro - Réforme de l'audiovisuel public: la fin de la malédiction ? Le Monde - Sibyle Veil : « Radio France déjoue tous les pronostics » La Tribune - Audiences, budget, nouvelle numérotation : les vérités de Delphine Ernotte, PDG de France Télévisions Puremédias - Stéphane Sitbon-Gomez : “Les Jeux olympiques de Paris 2024 ont récompensé la dynamique de long terme de France 2” Puremédias - Stéphane Sitbon-Gomez annonce travailler à “une grille de France 4 plus lisible avec des rendez-vous plus affirmés” pour l'arrivée de la chaîne sur le canal 4 de la TNT Radio France - Pastilles sonores 50 ans Le Figaro - Les radios privées font front commun face à la concurrence des géants du numérique L'Informé - La société de production de Cyril Hanouna tombe dans le rouge Puremédias - “Danse avec les stars” : Nouveautés, candidats, jury, date de diffusion, durée de la compétition… Tout ce qu'il faut savoir sur la saison 14 du show de TF1 Le Parisien - « The Cerveau » : l'influenceuse Melanight accuse M 6 d'avoir volé son idée d'émission de téléréalité Libération - Le directeur de la rédaction de «l'Equipe» écarté, celui de «Gala» pressenti à sa place Le Parisien - Révolution en vue ? Les audiences des plateformes de streaming pourraient être publiées dès cette année Le Monde - La folle journée de TikTok aux Etats-Unis, bloqué puis rétabli Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
On the last AJ Bell Money & Markets podcast of 2024, Dan Coatsworth and Danni Hewson discuss what markets are now thinking about the trajectory for interest rate cuts in 2025 after the Federal Reserve's latest comments. [03:47] In the UK, inflation has been creeping back up and there are warnings of a potential recession as private sector hiring falls at its fastest rate in four years following the Budget. With rates expected to be higher for longer that's good news for savers. [11:52] Dan looks back at the winners and losers of 2024 on the market including some names that might come as a surprise. [14:00] There might be big changes ahead in the automotive sector after reports that car giants Honda and Nissan could be considering a merger. Danni considers why this might happen. [20:19] The long running saga of whether Royal Mail owner International Distributions Services would be taken over by Czech billionaire Daniel Kretinsky is now close to the end point, as Dan explains. [24:16] UK households are reeling after the water watchdog gave the go-ahead for bill rises which will average out at an extra £31 a year. [26:06] Jean Roche from the Schroder UK Midcap Fund joins us on the episode of the podcast. She talks through the potential opportunity for those FTSE 250 companies in the new year and why the investment trust's policy is to ditch mid-caps if they succeed in climbing into the FTSE 100. [33:39]
From the BBC World Service: The $4.5 billion takeover of the 500-year-old British institution by Daniel Kretinsky’s EP Group has been given the go-ahead. We dig in to the latest. Plus, German Chancellor Olaf Scholz faces a crucial vote of confidence today; the collapse of his coalition government has left policymaking in Europe's largest economy at a standstill. And there's a crisis at one of Sweden's most successful green tech start-ups.
From the BBC World Service: The $4.5 billion takeover of the 500-year-old British institution by Daniel Kretinsky’s EP Group has been given the go-ahead. We dig in to the latest. Plus, German Chancellor Olaf Scholz faces a crucial vote of confidence today; the collapse of his coalition government has left policymaking in Europe's largest economy at a standstill. And there's a crisis at one of Sweden's most successful green tech start-ups.
Sean Farrington talks the future of Royal Mail, after the BBC learned that its takeover by Czech billionaire Daniel Kretinsky will be approved on Monday.
Royal Mail has been cleared to be taken into foreign ownership for the first time in its 508-year history.Czech billionaire Daniel Kretinsky was given the green light by ministers to buy Royal Mail's parent company International Distributions Services in a £3.6 billion deal, likely to be signed early next year.What will it mean for Britain's postal service and the price of sending a letter?In part two, planning consent has been approved for the Square Mile building known as 1 Undershaft, which will rise to 1,008ft - nearly 310 metres - and equal the height of the Shard across the river at London Bridge. We're joined by The London Standard's business editor Jonathan Prynn. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
In case you missed it, the government has just approved the sale of a majority stake in Royal Mail to Czech billionaire Daniel Kretinsky's EP Group. This means that one of the UK's most historic institutions will now be predominantly owned by a foreign national. Many were surprised by this news, with some mistakenly believing this marks the start of Royal Mail's privatisation. However, the truth is that this process began years ago.A Brief History of PrivatisationRoyal Mail was privatised in stages between 2013 and 2015, spearheaded by Vince Cable and the Liberal Democrats during the coalition government. It's worth noting that the Lib Dems, often perceived as a moderate or progressive party, lean quite heavily towards free-market economics, similar to the Conservatives. This sale was a continuation of their economic philosophy, and now we're seeing the consequences of that decision unfold.The recent government deliberations weren't about whether Royal Mail should be privatised—they consider that ship as long since sailed—but whether foreign companies or individuals should be allowed to own what remains a vital part of the UK's infrastructure.The Problem with Privatising a Natural MonopolyRoyal Mail is what economists refer to as a “natural monopoly.” Simply put, it's nearly impossible for another company to replicate its reach and infrastructure, especially when it comes to letters. While parcels are a more competitive market, the universal postal service—a commitment to deliver letters anywhere in the UK for the same price—is a unique obligation.The government has ensured that this universal service requirement will remain for at least five years under the new ownership. But after that? Who knows?I want to be very clear about what I believe about this and similar sell-offs: vital infrastructure like Royal Mail, healthcare, and public transport should not be privately owned. The argument that privatisation makes services more efficient simply doesn't hold up. Has Royal Mail become better since it was privatised in 2013? Has it become cheaper? The answer to both questions is a resounding “no.” By every objective measure, the service has deteriorated.Infrastructure Shouldn't Be About ProfitNatural monopolies like Royal Mail should exist to serve the public, not to generate profit. Expecting services that are essential to daily life to turn a profit is nonsensical. Do we expect pavements in our towns or schools to be profitable? No, because they're fundamental to a functioning society. I say ‘we' because I think this is what the vast majority of the public believe, but unfortunately we are seeing this push form all the big parties for schools to be ‘profitable' via ‘academisation'. It shows how dangerous this thinking is - it can lead to real problems, where everything is about money rather than public good.Royal Mail plays a critical role in the economy, enabling businesses to send letters and parcels at a consistent cost, regardless of the recipient's location. Without this universal pricing, businesses would face chaos—imagine having to get a bespoke quote for every letter you wanted to send!This consistency is something a private company, driven by the need for profit, struggles to maintain. It's not commercially viable to offer uniform pricing for deliveries to both central London and remote parts of Scotland, but it is vital for the country as a whole.Labour's Missed OpportunityYou might think that a Labour government, theoretically more sympathetic to public ownership, would have stepped in to address this. But today's Labour isn't the party of the 1970s; it's not committed to left-wing policies in the way many assume and hope for. In fact, the decision to allow this sale reflects a broader ideological consensus across most of the political spectrum: an embrace of privatisation and market forces, even for services that should remain public.This isn't a problem exclusive to the Conservatives or Reform. The Liberal Democrats initiated the privatisation, and Labour, despite being nominally on the left, hasn't challenged the broader trend.A Green Party PerspectiveThe Green Party remains one of the few political voices advocating for public ownership of vital services. Whether it's water, transport, or the postal service, the Greens argue that these essential elements of our infrastructure should be run for the public, not for profit.As a Green, I've been saying this for years: the UK needs to rethink its approach to public services. Universal services like Royal Mail aren't just businesses—they're the backbone of our society. Allowing them to be sold off to the highest bidder, whether they're British or foreign, erodes that foundation.The Future of Royal MailSo, where does this leave us? For the next five years, the universal service obligation will remain. But after that, there are no guarantees. Will we still be able to post a letter for the same price to anywhere in the UK? It seems unlikely.Royal Mail's infrastructure is unmatched, and no competitor is likely to replicate it, particularly for letters. The further we drift towards a fully privatised, profit-driven model, the more we risk losing the basic, dependable service we've taken for granted.What Can Be Done?If you're frustrated by this, the solution is simple: stop voting tactically. Vote for what you believe in. Vote for what this country truly needs. Poll after poll shows that a large majority of the public believe that public services should be publicly owned and yet they often fail to connect that with how they vote.The Greens are one of the few parties standing firm on the principle that public services should be run by the public, for the public.The sale of Royal Mail is just one example of how we're chipping away at the fabric of our society. Bit by bit, vital services are being handed over to private interests, often to the detriment of the public. This ideology isn't about efficiency—it's about profit. And it's an ideology shared by parties across the political spectrum.If we want to see real change, we need to demand it—from all parties, not just one. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit domtristram.substack.com
durée : 00:58:46 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Mardi 3 septembre dernier, la première réaction nucléaire a eu lieu à l'EPR de Flamanville, après 17 ans d'un chantier qui semblait éternellement retardé. Du nucléaire au secteur maritime, comment la péninsule du Cotentin est-elle devenue un centre industriel ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Laurent Davezies Economiste et ancien professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM); Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"; Jean-Charles Risbec ancien responsable à la politique industrielle au comité régional de la centrale syndicale CGT Normandie
L'Arcom, le régulateur des médias, à tranché dans le processus de renouvellement des fréquences TNT : C8 et NRJ12 vont perdre leurs fréquences, et c'est Ouest-France et Daniel Kretinsky qui rentreront parmi les chaînes de la TNT. Edouard Reis Carona, directeur du pôle audiovisuel de Ouest-France est l'invité de RTL Bonsoir. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Sébastien Rouxel du 24 juillet 2024.
L'Arcom, le régulateur des médias, à tranché dans le processus de renouvellement des fréquences TNT : C8 et NRJ12 vont perdre leurs fréquences, et c'est Ouest-France et Daniel Kretinsky qui rentreront parmi les chaînes de la TNT. Edouard Reis Carona, directeur du pôle audiovisuel de Ouest-France est l'invité de RTL Bonsoir. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Sébastien Rouxel du 24 juillet 2024.
À l'hebdomadaire Marianne, les journalistes sont vent debout contre un projet de rachat du titre de presse par un riche entrepreneur, Pierre-Édouard Stérin, dont des liens forts avec l'extrême droite ont été révélés. C'est dans Le Monde que les journalistes de Marianne ont appris que Pierre-Édouard Stérin, un milliardaire catholique anti-IVG de 50 ans, avait une très grande proximité avec le Rassemblement national.Son bras droit, François Durvye, patron de son fonds d'investissement Otium, a conseillé le parti d'extrême droite pour son programme économique. Un autre lieutenant de Pierre-Édouard Stérin, Alban du Rostu, qui dirige son fonds philanthropique Bien commun, a proposé ses services pour les investitures. Enfin, et c'est une révélation du magazine Challenges, Pierre-Édouard Stérin et François Durvye ont racheté en novembre pour 2,5 millions d'euros la propriété familiale des Le Pen à Rueil-Malmaison, où vit encore Jean-Marie Le Pen.Suite à ces informations, les journalistes ont décidé à l'unanimité de faire grève le vendredi 28 juin. La grève a été levée au soir, les journalistes maintiennent toutefois la pression.La société des rédacteurs fait volte-faceDans un précédent communiqué en date du 21 juin, approuvé par plus de 60% des journalistes, les garanties d'indépendance, comme un droit de véto sur la nomination du directeur de la rédaction ou un représentant au conseil d'administration, semblaient alors suffisantes.Le 21 juin, la rédaction de Marianne avait pourtant déjà connaissance de l'affaire de l'achat de la maison des Le Pen à Rueil-Malmaison ou la participation de Pierre-Édouard Stérin à la production du film du Puy du Fou Vaincre ou Mourir, avec Studio Canal, contrôlé par Bolloré. Mais avec l'article du Monde, dixit la Société des rédacteurs : « ce qui apparaissait comme un engagement idéologique individuel se révèle être une entreprise partisane ».Le vendeur, Daniel Kretinsky, a décidé vendredi 28 juin de suspendre ses négociations Les négociations pour le rachat de Marianne ont été suspendues en accord avec Pierre-Édouard Stérin, et ce, jusqu'au 21 juillet où les parties statueront. Mais Denis Olivennes, le patron de CMI qui représente Marianne, n'a pas l'air d'opposer une digue républicaine à ce rachat. Il y a bien une proposition alternative de l'entrepreneur Jean-Martial Lefranc, mais elle ne dépassait pas hier 5 millions d'euros, ce qui semblait insuffisant. Daniel Kretinsky avait décidé de mettre en vente Marianne après avoir estimé qu'il ne se retrouvait pas dans la ligne éditoriale critique vis-à-vis de l'Union européenne et du libéralisme.Les journalistes de l'hebdomadaire craignent de vivre une situation déjà connue à iTélé devenue CNews, Europe 1 ou au Journal du dimanche, quand la quasi-totalité de la rédaction avait fui suite à la reprise par Bolloré et une orientation de ces médias à l'extrême droite. À lire aussiVincent Bolloré et son empire médiatique, un tremplin pour l'extrême droite en France?
Un nouveau rebondissement dans le sauvetage d'Atos. Et une nouvelle déconvenue : le consortium formé par David Layani avec sa société OnePoint pour reprendre le géant français de l'informatique a jeté l'éponge. Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky est à nouveau candidat. Un sauvetage comme un feuilleton, avec son lot de coup de théâtre, et de fausses joies pour les 100 000 salariés du groupe. La saga pourrait virer au drame pour ce fleuron déchu du CAC 40 : sans solution viable avant la fin de l'été, ce sera le dépôt de bilan. Plombé par une dette proche des 5 milliards d'euros, avec une valeur boursière qui s'est effondrée, ce champion tricolore des services informatiques ne fait guère envie parmi les industriels. Airbus, fortement pressenti, s'est avancé deux fois pour finalement abandonner.À lire aussiAtos: l'État à la manœuvre pour sauver le groupe françaisLe mur de la detteC'est alors que l'offre du petit poucet, David Layani, actionnaire minoritaire avec sa société OnePoint, est enfin prise au sérieux. OnePoint qui ne pèse que 500 millions d'euros, forme un attelage avec deux fonds. Mais une fois encore, le sauvetage échoue. Cette semaine, ses associés ont voulu revoir les conditions financières de la reprise. Le seul industriel qui regarde encore le dossier avec constance, c'est bien Daniel Kretinsky, spécialisé dans la sauvegarde des monuments en péril comme Casino en France ou la poste au Royaume-Uni.Une option rejetée par les créanciers comme par les actionnairesC'est la troisième fois qu'il soumet un projet. Jamais assez généreux aux yeux de ses interlocuteurs. La première fois, il a le soutien du dirigeant du groupe, mais on l'accuse de faire main basse sur les activités les plus prometteuses à peu de frais. La deuxième fois, son prix est jugé trop bas par les créanciers. Cette fois encore, les créanciers balaient sa candidature, ils ont déjà proposé une offre alternative à Atos. Ils se disent prêts à restructurer la dette et à assurer les besoins urgents en financement en se passant d'un industriel à leurs côtés. Ce n'est pas la première fois qu'une entreprise est reprise par ses créanciers. Encore faut-il trouver un capitaine et définir un cap pour remettre à flot une entreprise qui prend l'eau depuis plusieurs années. Sans parvenir à susciter un réel intérêt de la part de la classe politique.Les activités stratégiques reprises par l'ÉtatSous la pression des militaires, relayés par les sénateurs, l'État a fini par se mobiliser pour mettre à l'abri les activités stratégiques, notamment les supercalculateurs indispensables pour la simulation des essais nucléaires. L'opération à 700 millions d'euros devait être bouclée hier. Dans la tourmente de la dissolution et d'une campagne des législatives hyper polarisée, le sujet parait aujourd'hui remisé au second plan. L'entreprise se concentre sur l'autre priorité du moment : les Jeux Olympiques. Atos est le partenaire informatique des Jeux depuis plus de vingt ans, le grand responsable de tous les maillons numériques de l'évènement, de la cybersécurité à la transmission des résultats. À partir du 26 juillet, quel que soit le sort de la société, elle sera le maître des horloges de la grande fête du sport célébrée à Paris.À lire aussiPlus que trois candidats pour la reprise d'Atos, le géant français de l'informatique en difficulté
The FTSE 100 is continuing to hold higher this morning as confidence returns following a big tech rebound in the US. Overnight, the chipmaker Nvidia surged after a three-day slump, helping push the Nasdaq higher and settling investor nervousness following a potential market wobble. In the UK, AO World, the white goods retailer, saw its profits surge more than 185% after it benefited from a streamlining operation which saw many of its least profitable ventures axed. Two of Britain's oldest investment trusts, Alliance and Witan, unveiled that the two would be merging, giving it a portfolio of £5 billion. In Europe, Volkswagen unveiled a US$5 billion investment into EV maker Rivian as part of a joint venture which will see the German automaker receive technology from the US start-up. Finally, Daniel Kretinsky, the Czech billionaire attempting to buy Royal Mail, has asked workers at the postal service to sell their stakes to him as he looks to make the shareholder approval process easier. #proactiveinvestors #marketreport #ftse #ftse100 #footsie #nasdaq #nvidia #alliancewitan #volkswagen #rivian #danielkretinsky #royalmail #invest #investing #investment #investor #stockmarket #stocks #stock #stockmarketnews
C'est le flamboyant patron de One Point, David Layani, qui l'a emporté face à Daniel Kretinsky dans la reprise des actifs d'Atos. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités nous font découvrir l'homme et son projet pour le fleuron informatique français.Retrouver l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2024. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Anne Drif, Florian Dèbes et Isabelle Couet (journalistes à la rédaction des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Romain Beurrier/REA. Sons : Good Morning Business, « La cité de la peur » (1994), « The Big Bang Theory » (2007), « Fort Boyard », Onepoint, BFM Business, « Retour vers le futur 2 » (1989). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Malgré un léger sursaut en début de matinée, le CAC 40 creuse ses pertes. L'incertitude politique en France avec l'annonce d'élections anticipées pèse sur les marchés qui s'interrogent notamment sur la teneur des orientations économiques et fiscales en cas de changement majeur à la tête du pays. Le CAC 40 termine la séance sur une baisse de 1,33% vers les 7789 points dans un volume d'échanges de 2,8 milliards d'euros à la clôture. Le climat politique actuel continue également d'avoir un impact sur les taux longs si bien que l'écart entre le taux auquel la France emprunte sur les marchés à dix ans et celui auquel emprunte nos voisins allemands est au plus haut depuis 2020. Pour rappel, cet écart aussi appelé spread est un indicateur qui mesure la confiance des investisseurs dans la capacité du pays à honorer sa dette.Au chapitre des valeurs, ce sont toujours les bancaires qui continuent de souffrir. Société Générale recule encore de 5,02%. Crédit Agricole de 3,9%. BNP Paribas de 3,89%. La foncière commerciale Unibail-Rodamco-Westfield se replie aussi de 4,10%. Quelques sursauts sont à noter du côté de l'indice avec Edenred, Danone et Carrefour qui est numéro 1 sur l'indice : +1,17%. Des valeurs qui font figure de refuge auprès des investisseurs. Sur le SBF 120, les groupes audiovisuels sont mis sous pression alors que le Rassemblement national entend privatiser l'audiovisuel public s'il accédait au pouvoir. Voilà qui pénalise fortement TF1 qui verrait ses recettes publicitaires fortement mises à mal avec un tel scénario. Le titre baisse de presque 7%. De son côté, Atos n'en finit plus de sombrer près l'annonce de la poursuite des négociations pour sa restructuration financière avec le consortium mené par OnePoint. Le conseil d'administration d'Atos a en effet préféré cette offre à celle du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Enfin, on termine avec les marchés US. Wall Street a débuté la séance en territoire négatif. Les investisseurs optent pour la prudence à la veille de la décision de la Fed sur les taux. Voilà c'est tout pour ce soir mais n'oubliez pas toute l'actualité économique et financière est sur Boursorama.
C'est une entame de mois boursier timide pour le CAC 40 qui termine cette journée sur une progression toute symbolique de 0,06% vers le 7.998 points et un petit volume de 2,6 milliards d'euros échangés. La détente sur les rendements obligataires allège un peu l'ambiance mais les regards sont fixés en direction de la BCE et de la réunion de jeudi. L'institution devrait procéder à une première baisse de taux alors que l'inflation a bien reflué sur le Vieux continent.La situation est contrastée sur les marchés américains avec, en fin d'après-midi, un Dow Jones en repli de 0,6% mais un Nasdaq en progrès de 0,4%. La folie GameStop reprend, avec une progression de près de 25% après que "Roaring Kitty" Keith Gill , l'influenceur boursier à l'origine de la frénésie commerciale de 2021, est retourné sur Reddit avec un message montrant un pari de 116 millions de dollars sur le distributeur de jeux vidéo en difficulté. Autre valeur en vue : Structure Therapeutics. La biotech grimpe de 64% après avoir publié des résultats encourageants portant sur son candidat-médicament oral contre l'obésité.Valeurs en hausseToujours volatil, Emeis signe une troisième séance de progression et domine le SBF 120.Belle séance aussi pour les équipementiers automobiles à l'image d'Opmobility et Forvia.Carrefour finit en tête du CAC 40 avec Teleperformance, Publicis Groupe et Orange.Enfin sur le SRD, la biotech Genfit poursuit son envolée et grimpe désormais de près de 60% en un mois.Valeurs en baisseC'est une nouvelle séance de forte correction pour Atos. Le groupe a reçu deux offres "révisées" de restructuration financière. L'une d'EPEI, du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, allié au fonds Attestor, l'autre de Onepoint, premier actionnaire de l'entreprise avec environ 11% du capital, dans un consortium comptant également la société d'investissement de l'homme d'affaires Walter Butler, l'entreprise Econocom, et un groupe de "certains créanciers" d'Atos. "La mise en œuvre des propositions entraînera dans tous les cas de figure une dilution massive des actionnaires actuels d'Atos", a prévenu le groupe informatique français, ce qui explique la réaction boursière du jourSoitec, ID Logistics et Viridien reculent également.Sur le CAC 40, c'est TotalEnergies qui manquait de carburant. Le groupe multiénergies est pénalisé par la glissade marquée du Brent qui repasse sous les 80 dollars le baril, à moins de 78,50 dollars.Société Générale (NDLR : maison mère de Boursorama), Dassault Systèmes et L'Oréal complètent le groupe des plus forts replisLG (redaction@boursorama.fr)
Your morning briefing, the business news you need in just 15 minutes.On today's podcast: (1) Donald Trump was found guilty in the first criminal trial of a former US president in the nation's history, a verdict that could reshape the political landscape five months before Election Day.(2) President Joe Biden will allow Ukraine to launch US-provided munitions against military targets inside a limited area of Russia, overcoming concern that any such move could provoke a wider war with the West.(3) US officials have slowed the issuing of licenses to chipmakers such as Nvidia Corp. and Advanced Micro Devices Inc. for large-scale AI accelerator shipments to the Middle East, according to people familiar with the matter, while officials conduct a national security review of AI development in the region.(4) Czech billionaire Daniel Kretinsky, who plans to purchase the company that owns UK's Royal Mail, says the British postal service needs new investment to be competitive. (5) Just hours after South African President Cyril Ramaphosa confidently predicted that the ruling party would easily retain its three-decade stranglehold on politics, it was increasingly clear that voters had other ideas — sending the country into uncharted terrain. See omnystudio.com/listener for privacy information.
A centuries-old British institution is set to be sold to a foreign firm. Royal Mail's parent company has accepted a £3.6 billion takeover offer by Czech billionaire Daniel Kretinsky's EP group. Privatised about a decade ago, the postal service that dates back to Tudor times has struggled in the era of emails. Meanwhile, the world's biggest mining firm BHP has walked away from a $49 billion plan to take over British rival Anglo American, after the latter rejected a request to extend talks.
Tout ça pour Saint(oul) ? Qui sera en ordre de Bataill(on) pour le renouvellement des fréquences ? Un dossier se ferme, un nouveau s'ouvre, mais tout ça reste particulièrement explosif. Normal quand on parle de TNT. Mais dans le Vu & Entendu, on parle de l'humour Banal avec Terminal et de l'humour Canal avec Broute 24. On débriefe aussi, avec notre répondeur, le retour du Gorafi & la nouvelle nouveauté d'NRJ12. Et dans l'actu, #JeNAiPasVuBrigitteBoucher à la tête de LCP, les droits du Foot avec la Rumeur's Ligue et l'Euro, ainsi que le sale quart d'heure de 20 minutes. Et pêle-mêle : la compote en auteur, Terminul, Aurélien Saintouleux, Cantal+, Broute 24 & Froute 3, Djibril M6ssé, 13h Smaïn et des sudoku. Au sommaire : 00:00 - Intro 07:31 - Les audiences 07:51 - Vu & Entendu 52:16 - L'Actu 2:03:45 - Conclu Évoqué dans l'épisode : Dailymotion - Les droits du football (Made In Groland) Sources : Assemblée Nationale - Rapport de la commission d'enquête Le Monde - Commission d'enquête sur la TNT : une flopée de propositions pour davantage de contrôles Le Parisien - Sanctions plus rapides, contrôles renforcés… Ce que contient le rapport sur les chaînes de la TNT Libération - «L'Express», Le Média, Daniel Kretinsky, «Ouest-France»… Qui sont les nouveaux candidats aux fréquences TNT ? X - Satellifacts - L'Express + Youtube - Audition à la présidence de LCP X - Emmanuel Kessler - Communiqué X - Brigitte Boucher RMC Sport - France Télévisions à la conquête des droits télévisés de la Ligue 1 ? RMC Sport - Droits TV: quel avenir pour Prime Vidéo en France ? Le Parisien - Affaire Guillaume Meurice : l'humoriste de France Inter ne connaîtra probablement pas sa sanction ce jeudi Actu.fr - “Ça a été une claque pour tout le monde” : 20 Minutes, dernier journal papier gratuit de Paris, va disparaître Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
Despite being at the head of a fossil fuel empire at a time when the union is traversing a green transition, Daniel Kretinsky has managed to stay off the radar. That was until the Czech billionaire started acquiring media through Europe, magazines such as Elle, Le Monde, Marianne, Czech tabloid Blesk and Czech News Center. Paris correspondent Théo Bourgery-Gonse joined us in the studio to discuss Kretinsky's far-reaching influence.
Was kann Daniel Kretinsky? Der Investor bei ThyssenKrupp. Das neue Klimaschutzgesetz - nach vorne gerichtet oder eine Mogelpackung. Wir kommentieren. Auszeichnungen. In Marl werden heute abend die Grimme Preise verliehen. Von Katrin Schmick.
Las bolsas europeas avanzan el viernes. Todo apunta a que van a terminar la semana al alza. Eso en un momento en que los inversores aplauden los buenos resultados de Microsoft y Alphabet. Las acciones de los bancos europeos suben a máximos de casi nueve años. Su sectorial del STOXX 600 se revaloriza un 1,1%. Ha sumado un 16,8% este año, frente a una subida del 5,6% en el índice general. En valores individuales vuela el de Thyssenkrupp. Gana un 8% después de que la empresa alemana dijera que venderá una participación del 20% en su negocio siderúrgico al grupo energético controlado por el multimillonario checo Daniel Kretinsky. Premio reciben también las acciones de Amundi. La mayor gestora de fondos de Europa registra ingresos por encima de lo esperado gracias a la evolución de su negocio en Asia. Para contrarrestar el optimismo, Airbus registra un beneficio operativo y un flujo de caja menores de lo esperado en el primer trimestre, ya que contrató a más personal para prepararse para el aumento de la demanda. Pierde más de un 2%. Esta hora hacemos balance de la semana en los mercados con Antonio Castelo, de Ibroker.
C dans l'air du 24 avril 2024 - SNCF, aéroport : le jackpot des grèves ? Opération détricotage. Après de longs mois de crise, le groupe Casino, passé fin mars sous le contrôle du triumvirat emmené par l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky, a annoncé la suppression de 1300 postes dans l'Hexagone. Un coup dur pour les syndicats et les salariés de la plus ancienne enseigne française, née à Saint-Etienne en 1898 mais qui depuis plusieurs années est dans le rouge. Endetté à hauteur de 6 milliards d'euros, le groupe a dû céder près de 300 magasins à la concurrence. Il cherche encore des repreneurs pour une vingtaine d'hypermarchés et supermarchés, et s'il n'y parvient pas d'ici septembre, près de 2000 emplois supplémentaires pourraient être supprimés. "C'est une hécatombe sociale qui est en train de s'organiser" et "on est impuissant" face à cela, a réagi ce mercredi Jean Pastor, porte-parole de l'intersyndicale et délégué CGT du groupe Casino. Autre géant français et même inquiétude chez les salariés, cette fois chez Sanofi. Le groupe pharmaceutique vient d'annoncer la suppression de 1 200 postes dans le monde, dont 330 en France dans le département de la recherche et du développement car il entend concentrer ses efforts de recherche dans l'immunologie et "arrêter certains projets de recherche en oncologie". "Une forme de révolte s'organise en intersyndicale", a indiqué lundi le coordinateur CFDT au sein de Sanofi. "On n'acceptera aucun départ contraint", a-t-il avertit. Les syndicats rappellent qu'il s'agit du quatrième plan de sauvegarde de l'emploi du groupe en dix et que les effectifs en recherche et développement ont diminué de moitié dans le pays sur la même période, passant de 6 000 à 3 000. Ces annonces surviennent sur fond de croissance en berne, de hausse du chômage, de craintes sur le déficit public et de coup de rabot sur les dépenses de l'Etat. Prenant acte de l'échec des négociations sur le Pacte de la vie au travail, le gouvernement a indiqué ces derniers jours vouloir passer par un "décret de carence" pour instaurer de nouvelles règles d'indemnisation encore moins favorables aux chômeurs dès le 1er juillet. Pour rappel, depuis février 2023, les durées d'indemnisation ont été réduites de 25 % pour les nouveaux allocataires. Cette réforme avait fait suite à une autre, lancée en 2019 et pleinement entrée en vigueur fin 2021, qui avait déjà durci les conditions d'indemnisation des demandeurs d'emploi, notamment ceux qui alternent périodes de travail et d'inactivité. Les syndicats avaient appelé mi-mars le gouvernement à renoncer à une nouvelle réforme, estimant qu'il fallait "cesser la stigmatisation populiste des chômeurs". Actuellement, 2,6 millions de chômeurs sont indemnisés, sur 6,1 demandeurs d'emploi toutes catégories confondues, selon France Travail, l'organisme qui a succédé à Pôle emploi en janvier. Parallèlement, un autre accord conclu entre la direction de la SNCF et les syndicats sur les fins de carrière dans l'entreprise suscite de nombreuses réactions dans la classe politique. A droite, les Républicains dénoncent un accord qui "détricote consciencieusement les acquis de la réforme des retraites". Finalement, explique David Lisnard, "le texte reculant l'âge légal de départ à 64 ans, censé rétablir les comptes, voit ses effets annulés à la SNCF". "Au moment où l'on demande de faire des efforts d'assainissement des comptes publics, cet accord enfonce un peu plus la SNCF, et in fine les contribuables et usagers du train, dans le déficit de la dette", affirme le maire de Cannes David Lisnard. Alors que contient l'accord signé à la SNCF sur les fins de carrière ? Que se passe-t-il chez Casino et Sanofi ? Plus largement, pourquoi les plans sociaux sont-ils repartis de l'avant en France ? Quelle est la situation sur le front de l'emploi ? Pourquoi le gouvernement veut-il mener une nouvelle réforme de l'assurance chômage ? Enfin en quoi consiste le plan de simplification administrative voulu par l'exécutif ? LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction- Les Echos - Martial YOU - Rédacteur en chef du service Économie-Social - RTL - Gilles DANSART - Journaliste spécialiste des transports et des questions de mobilité, rédacteur en chef du site Mobilettre - Nathalie SAINT-CRICQ -Éditorialiste politique - France Télévisions, autrice de L'Ombre d'un traître DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Atos, le fleuron français de l'informatique, a publié ce mardi matin son plan de refinancement pour échapper à la faillite. Sur cette base, le groupe a maintenant bon espoir de convaincre de nouveaux repreneurs, si possible tricolores. Atos dit avoir besoin de 1,2 milliard d'euros dans l'immédiat. Les banques et l'État ont donné leur accord de principe pour une première enveloppe intermédiaire de 450 millions d'euros. En échange, l'État aura un droit de regard en devenant actionnaire du groupe. Car le sort de l'entreprise est devenu un enjeu de politique nationale. Depuis que des sénateurs se sont mobilisés pour empêcher l'arrivée d'un repreneur étranger, le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Il a fini par renoncer.Mais dans la foulée, Airbus, pressenti pour jouer les sauveurs, a décliné à son tour. Cette double déconvenue survenue il y a quelques semaines a aggravé la crise qui couve depuis trois ans, depuis que ses soutiens financiers ont sifflé la fin de sa course folle aux acquisitions. En 2024, la mariée n'est pas très appétissante, avec un gros passif, une dette de 4,5 milliards d'euros dont les trois quarts sont à rembourser avant 2025. Et des actifs, essentiellement les services informatiques, en perte de vitesse.Pépites stratégiquesAtos dispose tout de même de quelques pépites stratégiques pour l'État français. Cela justifie l'intervention de la puissance publique. Atos fournit par exemple les supercalculateurs indispensables pour la simulation des essais nucléaires. C'est aussi Atos qui assure la cybersécurité des Jeux olympiques de Paris 2024. Il assure aussi la sécurité informatique d'une partie des services fiscaux, de la Sécurité sociale, de certains réacteurs nucléaires d'EDF.L'étoile de la multinationale est bien pâle sur la scène mondiale, mais en France, elle joue un rôle de premier plan. C'est pourquoi Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, s'est engagé à trouver une solution nationale pour sauver le soldat Atos. Et la solution passe peut-être par un poids plume du secteur numérique, la société de conseil Onepoint. L'entreprise française dirigée par David Layani est devenue le premier actionnaire du groupe à la fin 2023.Une reconfiguration encore incertaineSes offres de service ont longtemps été snobées par les dirigeants d'Atos. Mais elle apparait aujourd'hui comme le meilleur des plans B. Surtout depuis qu'elle a obtenu le soutien du fonds de Walter Butler spécialisé dans la reprise des entreprises en péril. L'information annoncée pendant le week-end a revigoré les investisseurs. Ce lundi 8 avril, l'action Atos a rebondi de 20% à la Bourse de Paris.On parle aussi de l'arrivée éventuelle d'OVH, la licorne française du big data. Dassault aviation ou le groupe de défense Thalès pourraient être sollicités. Enfin, le Tchèque Daniel Kretinsky n'a pas dit son dernier mot. Le suspense reste donc entier sur la configuration future du groupe. Son avenir dépend aussi de la négociation avec les créanciers. Pour eux, la pilule est amère. Atos souhaite diviser sa dette par deux en échange d'une montée au capital.À lire aussiAtos, le géant du numérique français regarde vers l'Afrique
Qui est Daniel Kretinsky, l'homme qui rachète tout ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Pour cette dernière séance de la semaine et du premier trimestre, l'indice parisien termine sur les chapeaux de roue en atteignant un record historique en séance à 8 253 points. Mais finalement, recule en seconde partie de journée vers son point d'équilibre et termine sur une toute petite hausse de 0,01% à 8 205 points, avec des volumes d'échanges de 3,70 milliards d'euros.Du côté des valeurs, Eurofins Scientific se distingue en enregistrant une troisième séance consécutive de hausse, avec une progression de 2,89%. Juste derrière on retrouve les valeurs bancaires dont Société Générale qui augmente de 2,33%.Legrand est également dans le haut du tableau, bien aidé par la décision de Morgan Stanley d'élever sa recommandation sur le titre à 'surpondérer', fixant un objectif de cours à 110 euros.En revanche, de l'autre côté, Carrefour se repli de 1,34%, le constructeur automobile Stellantis est également dans le rouge, tout comme STMicroelectronics et Vinci.Sur le SBF 120, VusionGroup se démarque avec une augmentation de 11,06%. Le groupe a annoncé hier soir des résultats annuels pour l'année 2023 dépassant les attentes, malgré un contexte économique qualifié de 'défavorable' pour le commerce et la consommation.Dans le même registre, Trigano progresse de 9,99%. Le groupe voit son chiffre d'affaires au cours du premier semestre croître de 18,4%, atteignant près de 1,91 milliard d'euros, porté par des ventes de camping-cars toujours en plein essor.En revanche, le spécialiste de la production de semi-conducteurs, Soitec, perd 20,58% après avoir dévoilé ses prévisions pour l'exercice 2024-2025. Ces dernières se sont avérées très décevantes, repoussant une fois de plus la reprise attendue du marché.Puis dans son sillage on observe Orpea en recul de 9,30% avec le titre revenant sur le seuil des 10€.Autre fait marquant, le titre Casino s'effondre de 63,44% au lendemain de sa reprise en main par Daniel Kretinsky.Et enfin de l'autre côté de l'Atlantique, les inscriptions hebdomadaires au chômage sont en baisse par rapport aux prévisions et aux chiffres précédents. De plus, l'économie américaine a affiché une progression plus forte que prévu au quatrième trimestre, avec un PIB augmentant de 3,4% en rythme annualisé, dépassant la première estimation de 3,2%.A Wall Street, les indices sont au ralenti à la clôture parisienne, le Dow Jones prend 0,05% et le Nasdaq cède 0,12%.Antoine MORISSE (redaction@boursorama.fr)
On parlait de parcours en dents de scie hier, et bien c'est encore le cas aujourd'hui avec un CAC 40 qui a zigzagué toute la journée pour finir par ne pas choisir et finir presque à l'équilibre, à +0,08% vers les 7.954 points et 2,7 milliards d'euros échangés. Des volumes moins fournis qu'en fin de semaine dernière.Outre-Atlantique, la seconde estimation de la croissance américaine au 4e trimestre 2023 a été légèrement abaissée de 3,3% à 3,2%. Les marchés eux se replient avec un Dow Jones à -0,46% à 18h et un Nasdaq à -0,25%. A noter qu'Ebay grimpe de 8% après avoir présenté des résultats et des objectifs meilleurs qu'anticipé.Valeurs en hausseCoface a assuré aujourd'hui sur le SBF 120 ! L'assureur-crédit a annoncé un résultat opérationnel 2023 à 362,9 millions d'euros, en hausse de 1,6% à périmètre et changes courants. Son résultat net part du groupe est, lui, stable à 240,5 millions.Derrière, Interparfums était aussi en odeur de sainteté pour les investisseurs, grâce aussi, à de bons chiffres annuels, meilleurs que prévu : un résultat opérationnel courant de plus de 160 millions d'euros, en hausse de 16% et une marge opérationnelle courante de 20,1% sur l'exercice, contre 19,6% en 2022. L'entreprise prévoit de verser à ses actionnaires un dividende de 1,15 euro par action, en augmentation de 20%, ainsi qu'une nouvelle attribution gratuite d'actions, pour la 25e année consécutive, à raison d'une action attribuée pour dix détenues.Atos aussi s'apprécie alors qu'il a annoncé ce à quoi tout le monde s'attendait un petit peu : la fin des négociations exclusives entamées avec la société EPEI, propriété du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, pour la cession de sa branche Tech Foundations.Sur le CAC 40, c'est Airbus qui prenait de l'altitude. Le géant européen de l'aviation qui a annoncé un partenariat avec la compagnie aéronautique LCI dans le domaine des hélicoptères.Enfin sur le SRD, c'est la biotech OSE Immuno qui s'envole suite à la signature d'un partenariat stratégique avec le groupe biopharmaceutique américain AbbVie.Valeurs en baisse
durée : 00:02:40 - Le brief éco - Peu connu du grand public, Atos est un groupe de services informatiques important dans le paysage industriel français. En grandes difficultés financières, il pourrait être racheté par l'entreprenant milliardaire Daniel Kretinsky, à moins que le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, ne s'implique.
Le groupe Atos entame une course contre la montre pour éviter la faillite. L'action s'est effondrée lundi de près de 30% alors que les négociations pour une reprise des activités d'infogérance par l'homme d'affaire thèque Daniel Kretinsky patinent. Pour la première fois depuis des mois, le ministre de l'Economie est sorti de son silence sur le sujet. Il affirme au journal Les Echos que l'Etat "utilisera tous les moyens à sa disposition pour préserver les activités stratégiques" du groupe.
Ce sera finalement une baisse qui viendra achever cette semaine. Alors que le CAC 40 avait plutôt bien commencé la journée, il finit en repli de 0,4% vers les 7.372 points et 2,7 milliards d'euros échangés seulement. Quatre séances dans le rouge sur cinq sur la semaine donc et un indice qui cède 1,25% sur la semaine.Aux Etats-Unis, c'est la hausse qui l'emporte alors que les marchés sont portés par les grosses capitaiisations. A 17h45, le Dow Jones est à -x% et le Nasdaq à -x%.Valeurs en hausseDécidément, Teleperformance reste très entouré en ce moment. Aujourd'hui, le titre du spécialiste des centres d'appels grimpe de x. Il faut dire que Stifel a relevé sa recommandation sur l'action de "conserver" à "achat" avec un objectif de cours relevé de 170 à 200 euros. Le bureau d'études estime que 2024 devrait marquer une inflexion après les difficultés rencontrées l'an dernier et s'attend à une amélioration graduelle de la croissance du chiffre d'affaires, avec le maintien d'une "solide" performance en termes de marges bénéficiaires.Argan arrive ensuite. La foncière, spécialisée dans le développement et la location d'entrepôts 'premium', a fait état hier soir de revenus locatifs en hausse de 11% à 184 millions d'euros l'an dernier, à comparer avec un objectif établi à 182 millions.Elior et Axa sont aussi bien orientés et Crédit Agricole bénéficie d'une recommandation favorable de Morgan Stanley, passé de "sous-pondérer" à "pondération en ligne". Il relève son objectif de cours de 13,50 à 15,50 euros.Valeurs en baisseUne nouvelle fois, Atos ferme la marche du SBF 120. S&P Global Ratings a abaissé sa note de crédit de "BB-" à "B-", soulignant que la situation du groupe de services numériques s'est détériorée sur le front des liquidités et qu'aucun n'accord n'a encore été trouvé avec ses banques pour refinancer sa dette. S&P déplore également l'incertitude grandissante entourant les négociations en vue d'une cession des activités historiques d'infogérance d'Atos à l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky.Les équipementiers auto sont aussi le pied sur le frein à l'image de Forvia , Valeo et de Plastic Omnium. Ce dernier a d'ailleurs annoncé aujourd'hui la nomination d'Olivier Dabi au poste de directeur financier à compter du 1er février prochain.Sur le CAC 40, Carrefour et Alstom sont en queue de peloton, signant chaucun leur 4e séance de repli.Enfin sur SRD, Lisi finit à -10%. Peugeot Invest a cédé 4,08% du petit équipementier aéronautique à un prix unitaire de 21 euros, soit une décote de 12% par rapport au cours de clôture de jeudi
C'est un indice parisien aussi chagrin que le temps sur la capitale qui signe une nouvelle séance de repli : -x% vers les xx points. Pêle-mêle, les inviestteurs ont été déçus par la croissance chinoise (+5,2% tout de même en 2023), l'inflation est remontée à 4% au Royaume-Uni et les banques centrales n'ont pas l'air décidées à baisser les taux aussi vite que les marchés l'espèrent. La BCE semble indiquer que ce sera à l'automne prochain alors que beaucoup d'observateurs tablaient sur fin juin, début juillet.Bref, ca consolide sur le marché français et ca consolide sur le marché américain puisqu'à 17h45, le Dow Jones recule de x% et le Nasdaq de x. A noter, la baisse de tension de Tesla alors que le constructeur automobile américain a baissé le prix de certains de ses modèles dans plusieurs pays européens dont la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, la Norvège ainsi qu'en Chine.Valeurs en hausseA contre-courant du marché, Atos signe un rebond technique. Pour rappel, la situation du groupe qui fait face à des échéances bancaires proches reste tendue alors que, dans le même temps, la cession de sa division infogérance à l'homme d'affaires Daniel Kretinsky semble compromise.Derrière, on retrouve Euroapi, Scor et Orange. Attention il y a une petite erreur sur le site Boursorama sur la variation de Vusiongroup, nouveau nom de SES Imagotag, ce n'est pas la bonne fiche action qui remonte dans les palmarès on est en train de le corrigerSur le SRD, c'est OVH qui se distingue. Le groupe a présenté ses perspecrtives stratégiques : il prévoit de générer une croissance organique annuelle moyenne pondérée de 11% à 13% et une marge de bénéfice de base ajustée (EBITDA) de près de 39% en 2026.Valeurs en baisse
Dans cet épisode, 4 actualités sont décodées. La première concerne Atos, qui a réussi à modifier son accord avec le milliardaire Daniel Kretinsky et négocie maintenant la vente de ses activités de cybersécurité à Airbus. La deuxième actualité porte sur BYD, le grand rival chinois de Tesla est passé devant le constructeur américain au quatrième trimestre sur le nombre de véhicules livrés, symbole de la montée en puissance des sociétés chinoises dans l'électrique. Sans oublier : un article dans un journal du Parti communiste chinois appelle les régulateurs à mettre fin aux vagues de répressions contre les grandes entreprises technologiques, et Nvidia lance une nouvelle puce bridée en Chine.Les épisodes de Signaux faibles sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:36:06 - Secrets d'info - par : Jacques Monin, Cellule investigation de Radio France - Alors que l'année s'achève, Secrets d'info s'intéresse à la liberté d'informer à travers deux événements : la garde à vue d'Ariane Lavrilleux pour compromission du secret défense, et l'évolution du paysage médiatique français autour de Patrick Drahi et du tchèque Daniel Kretinsky. - invités : Ariane Lavrilleux, Antoine Champagne, Jérôme Lefilliâtre - Ariane Lavrilleux : journaliste indépendante, spécialiste du Moyen-Orient, membre du collectif Presse Papiers, Antoine Champagne : Journaliste, rédacteur en chef du site Reflets.info, Jérôme Lefilliâtre : Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky" - réalisé par : Christophe IMBERT
Selon Reuters, le futur repreneur de Casino, le milliardaire Daniel Kretinsky souhaiterait se séparer des super et hypermarchés. Pas assez rentables. Et ce n'est peut-être pas une mauvaise stratégie. Ecoutez L'éco & You du 30 novembre 2023 avec Martial You.
Le CAC 40 a voisiné son seuil d'équilibre une bonne partie de la séance avant de céder en fin de séance pour clôturer à -0,37% vers les 7.265 points et 2,2 milliards d'euros échangés. Un indice qui hésite désormais sur la direction à suivre après avoir regagné plus de 5% en un mois et aligné trois séances de hausse en fin de semaine dernière.C'est d'ailleurs un peu la même ambiance de l'autre côté de l'Atlantique, au sortir d'une semaine réduite à Wall Street. A 17h45, le Dow Jones recule de 0,2% et le Nasdaq est proche de son point d'équilibre, autour de 12.265 points.Dans l'actualité, un grand nombre de responsables de la Fed doivent s'exprimer cette semaine et les investisseurs attendent également la publication du "Livre beige" ainsi que l'indice PCE des prix à la consommation pour octobre.Valeurs en hausseLes foncières sont à nouveau à l'honneur, à l'image d'Argan ou Gecina sur le SBF 120 ou d'Unibail-Rodamco-Westfield.X-Fab Silicon se distingue également. Elior a toujours faim de hausse : +57% sur 1 mois et +1,42% aujourd'hui. C'est Deutsche Bank qui se ressert. Le bureau d'analyse de la banque allemande est passé de "conserver" à "acheter" avec un objectif de cours fixé à 3,40 euros.Sur le CAC 40 en plus de URW, Orange, Engie et L'Oréal grimpent également tout comme Sanofi. Le groupe pharmaceutique veut demander l'autorisation aux Etats-Unis d'utiliser le Dupixent, son anti-inflammatoire le plus vendu, dans le traitement de la BPCO. A l'appui de cette demande, un deuxième essai de phase 3 a montré que le médicament réduisait les exacerbations de la maladie de 34%.Valeurs en baisseToujours très animé le cours d'Orpea s'inscrit en baisse de 12%Début de semaine compliqué pour Atos. Selon BFM TV, le groupe de services informatiques a entamé des négociations pour revoir les termes de son accord avec Daniel Kretinsky pour la vente de ses activités historiques. Ce dernier ne sera finalement pas actionnaire d'Eviden, la branche dédiée notamment à la cybersécurité et aux supercalculateurs. Atos aurait en effet finalement renoncé à une telle option face au refus de certains élus et de fonctionnaires du ministère des Armées compte tenu du caractère souverain de ces activités.Euroapi et SES Imagotag sont également sous pression.Sur le CAC 40 Thales et LVMH signent les plus forts replis. LVMH qui recule désormais de 15% sur six mois.Les banques sont aussi sous pression à l'image de BNP Paribas ou Société Générale
durée : 00:05:45 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Marianne, Fnac-Darty, Métro, Editis, mais aussi la centrale à charbon de Saint-Avold, des centrales au lignite en Allemagne... et demain sans doute Casino et Atos. Galvanisé par ses profits dans les énergies fossiles, Daniel Kretinsky accélère ses investissements en France. - invités : Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"
Qui possède Le Monde ? Depuis le rachat en 2010 du journal par trois actionnaires privés, Xavier Niel, Matthieu Pigasse et Pierre Bergé, aujourd'hui décédé, le capital du journal est possédé par des industriels qui avaient jusqu'à récemment la liberté de revendre leurs parts à d'autres acteurs économiques.Mais à la suite de l'entrée au capital de Daniel Kretinsky qui avait racheté des parts du journal à Matthieu Pigasse, une forte mobilisation de notre collectif et de notre lectorat a permis d'obtenir des garanties qui permettront à l'avenir aux rédactions du Groupe Le Monde de se prémunir contre toute arrivée au capital d'un nouvel actionnaire non-désiré.Les parts de NJJ Presse, holding de Xavier Niel, seront peu à peu versées à un Fonds pour l'indépendance de la presse, les rendant incessibles. Et toute nouvelle arrivée notable au capital doit désormais être validée par le Pôle d'indépendance, qui rassemble les actionnaires historiques du journal tels que la Société des rédacteurs ou la Société des lecteurs du Monde.Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Raphaëlle Bacqué, présidente de la Société des rédacteurs du Monde, explique la structure de l'actionnariat du journal et les garanties qu'elle a obtenues pour protéger son indépendance éditoriale.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
Le Président vient d'être démis. 4 directeurs généraux en 3 ans. Un cours de bourse qui s'est effondré. Une vente de l'activité historique au milliardaire Daniel Kretinsky repoussée à 2024... Pourquoi l'ancien fleuron de l'économie et de la bourse Atos est-il à ce point en difficulté ?
Terror-Videos im Netz - wie Eltern Kinder vor Gewalt im Netz schützen können | Zum Verwechseln ähnlich: gefälschte Werbung mit Promis durch KI | Tschechischer Investor auf Einkaufstour - Daniel Kretinskys Medienimperium | Marketing auf Social Media: Detmold und die StadtinfluencerinnenKöster, Bettinawww.deutschlandfunk.de, @mediasresDirekter Link zur Audiodatei
Avec un investissement de 200 millions d'euros, Xavier Niel, le patron de Free entend s'insérer dans un marché jusqu'ici dominé par les grandes entreprises américaines. Portrait d'un milliardaire autodidacte aux ambitions marquées. Xavier Niel se lance à la conquête de l'intelligence artificielle. Huitième fortune française selon le magazine économique Forbes, le patron de Free a investi 200 millions d'euros. Il veut devenir le champion européen de l'intelligence artificielle. Il vient effectuer le plus gros investissement jamais réalisé en Europe dans le domaine.Avec ces 200 millions d'euros, le patron d'Iliad - la maison mère de Free - ne peut pas espérer rivaliser avec les acteurs américains du secteur. Microsoft a déjà investi plusieurs milliards de dollars tout comme Meta et Google.Un homme d'affaires philanthropeMais, il va se doter d'un supercalculateur, miser sur des start-up et monter un laboratoire de recherche à Paris. Passionné de nouvelles technologies, Xavier Niel met donc les moyens pour faire une belle entrée dans la course à l'intelligence artificielle, selon Mehdi Triki responsable des relations publiques et institutionnelles chez France IA.L'objectif de Xavier Niel est donc de proposer des services aux entreprises qui souhaitent développer leurs applications dans le domaine de l'intelligence artificielle.Le milliardaire veut mettre en place une alternative à des services aujourd'hui majoritairement proposés par des entreprises américaines. Plus qu'un grand patron français, son ambition c'est de devenir un patron de stature internationale.Co-auteur de la biographie Xavier Niel, la voie du pirate sortie en 2016 aux éditions First, Emmanuel Paquette, journaliste pour le site d'investigation économique l'Informé, l'affirme : « Xavier Niel considère qu'aujourd'hui, pour faire bouger le monde, il vaut mieux être journaliste qu'homme politique. » Une conviction qui l'a notamment poussé à fonder l'Ecole 42 en 2013.Il s'agit d'une école orientée sur l'apprentissage du code informatique, gratuite et sans condition de diplôme. Elle compte 49 campus à travers 28 pays, en Europe, Asie, Amérique du Sud et en Afrique. L'école 42 est présente au Maroc, en Angola et à Madagascar. Le recrutement des futurs élèves du campus d'Antananarivo est en cours pour une ouverture de l'école prévue en début d'année prochaine.Actionnaire du groupe Le MondeIl a récemment racheté les parts du Tchèque Daniel Kretinsky pour près de 50 millions d'euros, selon le Financial Times. Des parts que le milliardaire s'est empressé de reverser au Fonds pour l'indépendance de la presse. Une manière d'investir intelligemment dans son image. Xavier Niel, c'est aussi l'homme qui a rendu internet accessible à tous les Français en forçant ses concurrents à baisser leurs prix pour se caler sur les offres de Free.Solveig Godeluck a cosigné la biographie de Xavier Niel avec Emmanuel Paquette, elle est à présent correspondante du journal Les Échos aux États-Unis. « Il s'est forgé une image de Robin des Bois, à raison. Ensuite, il est entré dans l'establishment et aujourd'hui, il peut s'acheter des beaux costumes, des œuvres d'art et il a ses entrées à l'Élysée. »Des débuts dans le Minitel rose et les sex-shopsAujourd'hui, Free est le quatrième opérateur de téléphonie mobile français et le deuxième dans l'Internet via la fibre avec un chiffre d'affaires de plus de sept milliards et demi d'euros l'an dernier.Mais Xavier Niel n'a pas commencé en 2003 avec la première Freebox. Dans les années 1980, il se lance dans le Minitel Rose et investit dans des sex-shops. Des débuts qui lui ont valu deux ans de prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour recel d'abus de biens sociaux. Un passé dont il n'aime pas parler, pas plus que de sa vie privée et notamment de son mariage avec Delphine Arnault, la fille du PDG de LVMH.Après la sortie de leur livre, les journalistes Solveig Godeluck et Emmanuel Paquette ont reçu des pressions de la part de Xavier Niel. « Il était mécontent et a menacé de nous faire un procès », avoue Emmanuel Paquette. Une procédure finalement abandonnée.À lire aussiIntelligence artificielle: la concurrence entre les géants du web s'intensifie
Avec un investissement de 200 millions d'euros, Xavier Niel, le patron de Free entend s'insérer dans un marché jusqu'ici dominé par les grandes entreprises américaines. Portrait d'un milliardaire autodidacte aux ambitions marquées. Xavier Niel se lance à la conquête de l'intelligence artificielle. Huitième fortune française selon le magazine économique Forbes, le patron de Free a investi 200 millions d'euros. Il veut devenir le champion européen de l'intelligence artificielle. Il vient effectuer le plus gros investissement jamais réalisé en Europe dans le domaine.Avec ces 200 millions d'euros, le patron d'Iliad - la maison mère de Free - ne peut pas espérer rivaliser avec les acteurs américains du secteur. Microsoft a déjà investi plusieurs milliards de dollars tout comme Meta et Google.Un homme d'affaires philanthropeMais, il va se doter d'un supercalculateur, miser sur des start-up et monter un laboratoire de recherche à Paris. Passionné de nouvelles technologies, Xavier Niel met donc les moyens pour faire une belle entrée dans la course à l'intelligence artificielle, selon Mehdi Triki responsable des relations publiques et institutionnelles chez France IA.L'objectif de Xavier Niel est donc de proposer des services aux entreprises qui souhaitent développer leurs applications dans le domaine de l'intelligence artificielle.Le milliardaire veut mettre en place une alternative à des services aujourd'hui majoritairement proposés par des entreprises américaines. Plus qu'un grand patron français, son ambition c'est de devenir un patron de stature internationale.Co-auteur de la biographie Xavier Niel, la voie du pirate sortie en 2016 aux éditions First, Emmanuel Paquette, journaliste pour le site d'investigation économique l'Informé, l'affirme : « Xavier Niel considère qu'aujourd'hui, pour faire bouger le monde, il vaut mieux être journaliste qu'homme politique. » Une conviction qui l'a notamment poussé à fonder l'Ecole 42 en 2013.Il s'agit d'une école orientée sur l'apprentissage du code informatique, gratuite et sans condition de diplôme. Elle compte 49 campus à travers 28 pays, en Europe, Asie, Amérique du Sud et en Afrique. L'école 42 est présente au Maroc, en Angola et à Madagascar. Le recrutement des futurs élèves du campus d'Antananarivo est en cours pour une ouverture de l'école prévue en début d'année prochaine.Actionnaire du groupe Le MondeIl a récemment racheté les parts du Tchèque Daniel Kretinsky pour près de 50 millions d'euros, selon le Financial Times. Des parts que le milliardaire s'est empressé de reverser au Fonds pour l'indépendance de la presse. Une manière d'investir intelligemment dans son image. Xavier Niel, c'est aussi l'homme qui a rendu internet accessible à tous les Français en forçant ses concurrents à baisser leurs prix pour se caler sur les offres de Free.Solveig Godeluck a cosigné la biographie de Xavier Niel avec Emmanuel Paquette, elle est à présent correspondante du journal Les Échos aux États-Unis. « Il s'est forgé une image de Robin des Bois, à raison. Ensuite, il est entré dans l'establishment et aujourd'hui, il peut s'acheter des beaux costumes, des œuvres d'art et il a ses entrées à l'Élysée. »Des débuts dans le Minitel rose et les sex-shopsAujourd'hui, Free est le quatrième opérateur de téléphonie mobile français et le deuxième dans l'Internet via la fibre avec un chiffre d'affaires de plus de sept milliards et demi d'euros l'an dernier.Mais Xavier Niel n'a pas commencé en 2003 avec la première Freebox. Dans les années 1980, il se lance dans le Minitel Rose et investit dans des sex-shops. Des débuts qui lui ont valu deux ans de prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour recel d'abus de biens sociaux. Un passé dont il n'aime pas parler, pas plus que de sa vie privée et notamment de son mariage avec Delphine Arnault, la fille du PDG de LVMH.Après la sortie de leur livre, les journalistes Solveig Godeluck et Emmanuel Paquette ont reçu des pressions de la part de Xavier Niel. « Il était mécontent et a menacé de nous faire un procès », avoue Emmanuel Paquette. Une procédure finalement abandonnée.À lire aussiIntelligence artificielle: la concurrence entre les géants du web s'intensifie
Chaque lundi, La Loupe prend le temps de décortiquer la Une de L'Express. Du titre à l'illustration, en passant par les coulisses des interviews, on vous raconte tout sur l'écriture du grand dossier du magazine. Cette semaine, nos grands reporters Emilie Lanez et Béatrice Mathieu dressent le portrait du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, quelques jours après la revente de ses parts dans le groupe Le Monde.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisÉcriture et montage : Mathias PenguillyRéalisation : Jules Krot Crédits : Europe 1, France 24, France Inter, RTL Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Crédits image : Anne-Laure Chapelain Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La dernière séance du mois ne devrait pas empêcher septembre 2023 d'être un mauvais millésime. Les marchés actions ont un peu rebondi hier à la faveur de nouvelles légèrement porteuses. Ils attendent désormais impatiemment les résultats et les prévisions des entreprises à l'issue du 3e trimestre. Mais il faudra en passer par une nouvelle batterie de statistiques, une divagation personnelle sur Daniel Kretinsky et quelques amuse-gueules matinaux.
durée : 00:08:13 - L'Invité(e) des Matins d'été - par : Julie Gacon - En 1974, les habitants de la commune de Flamanville apprennent qu'ils sont concernés par un projet de centrale nucléaire. Entre risque sanitaire, enjeu paysager et atout économique, Jérôme Lefilliâtre raconte cet épisode marquant pour la région et revient sur l'histoire du nucléaire en France. - invités : Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"
durée : 02:00:07 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon - - invités : Maïté Rivollat Post-doctorante en archéo-génétique à l'Université de Gand (Belgique); Solène Denis Archéologue; Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"
durée : 00:43:05 - Le Temps du débat d'été - par : Mattéo Caranta - L'entrée de l'homme d'affaires Daniel Kretinsky dans le groupe Atos provoque l'inquiétude des parlementaires et de certains actionnaires. La souveraineté stratégique française est-elle en danger ? - invités : Cédric Perrin Sénateur LR du Territoire de Belfort ; Alexandre Papaemmanuel Auditeur de l'IHEDN (Institut des Hautes études de défense nationale) et enseignant à Sciences Po Paris; Olivier Pinaud Journaliste Télécoms au Monde
Cette semaine, c'est une spécialiste du podcast qui se raconte au micro de 40 Nuances de Sista. Journaliste et autrice, Charlotte Pudlowski a co-fondé avec son amie Mélissa Bounoua le studio de podcasts natifs Louie Media, après avoir découvert le format aux Etats-Unis lors de ses études. Passée par Arte, L'Obs et 20 minutes, et ancienne rédactrice en chef de Slate.fr, elle a eu un besoin viscéral, à un moment de sa vie, de trouver une autre manière de raconter des histoires et de faire ressentir le monde. Ses obsessions : le rapport au langage, à la parole, au silence. Et le désir ardent de porter à la connaissance du public des sujets variés, intimes, intelligents, complexes mais accessibles. Les podcasts “Entre”, “Ou peut être une nuit” et “Émotions” font partie des exemples les plus marquants.Choix éditoriaux exigeants et risqués, difficultés de management, évolution du marché, développement auprès de marques et entreprises clientes, intelligence artificielle, Charlotte Pudlowski, qui voulait petite “vivre une vie intense”, nous emmène dans son univers teinté d'art, de littérature et de photographie. À cette occasion, elle prouve qu'on n'est pas obligé de venir du sérail habituel pour être une entrepreneure accomplie.Le studio qui compte plus d'un million d'écoutes mensuelles vient de se doter de nouveaux moyens pour continuer de faire entendre des voix. Charlotte Pudlowski revient sur le choix d'accueillir à son capital le groupe CMI (Marianne, Usbek et Rica, Elle ou Télé7Jours…), du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, pour continuer de faire grandir Louie Media.Côté “Sista”, Charlotte Pudlowski a choisi son amie Rebecca Amsellem, créatrice de la newsletter “Les Glorieuses”, qui parle de féminisme par le prisme des arts, avec laquelle elle a déjà co-produit un podcast intitulé La Méthode.Dans cet épisode, on cite Mélissa Bounoua, Olivier Fleurot, Camille Kouchner, Blissim, Katia Sanerot, Les Rencontres d'Arles, Annie Leibovitz, Hélène Cixous.À vos écouteurs
Le milliardaire français Marc Ladreit de Lacharrière a fait alliance avec un autre milliardaire, le Tchèque Daniel Kretínsky et ils sont en passe de racheter le Groupe Casino. Cet homme de 48 ans, discret francophile, est à la tête d'une fortune estimée à 9,4 milliards de dollars. Un empire fondé sur l'énergie, la presse, l'industrie culturelle et la grande distribution. Retour sur les multiples acquisitions de l'homme d'affaires, à travers les yeux de celles et ceux qui travaillent pour lui. Il a mis ses premiers œufs dans le panier du transport de gaz russe il y a plusieurs années. Aujourd'hui, Daniel Kretínsky possède le cinquième énergéticien d'Europe : EPH. Sa filiale française s'appelle GazelEnergie. Six parcs éoliens, deux centrales solaires – deux au gaz et deux à charbon – qu'il rachète en 2019 à l'Allemand Uniper, en perte de vitesse. À sa tête, il y place Jean-Michel Mazalerat, une vieille connaissance rencontrée en République tchèque il y a 20 ans. « C'était un jeune juriste qui avait assez tôt identifié que certaines choses allaient bouger dans l'énergie. Il y avait donc des actifs qui étaient vendus à la casse. C'est quelqu'un qui avait un bel avenir. Il fait partie de ces gens qui ont vécu le communisme des années 60, 70 et 80. Pour eux, la France c'était l'exemple d'un pays libre, moderne et européen. Ça les a fait rêver et pour beaucoup, ils en sont tombés amoureux. »Un investissement sur un marché risquéSon arrivée sur le marché français a de quoi poser question. Le gouvernement vient en effet de confirmer l'arrêt progressif des centrales à charbon d'ici à 2022. Jean-Pierre Damm, délégué syndical Force ouvrière, travaille sur le site de la centrale de Saint-Avold depuis 50 ans. L'arrivée du milliardaire tchèque est une surprise.« Nous savions en France, et en Europe – et donc Daniel Kretínsky devait le savoir – que les centrales à charbon n'avaient plus d'avenir. Mais quand un patron achète quelque chose, quand il investit, c'est qu'il sait qu'il va gagner de l'argent. »Guerre en Ukraine ou retard dans le calendrier de transformation des usines ? Cette centrale de l'est de la France est relancée en 2022 pour satisfaire les besoins en électricité du pays. Une aubaine pour le nouvel actionnaire majoritaire, qu'il n'a pas manqué de redistribuer, reconnait Jean-Pierre : « Aujourd'hui, les salariés ont des primes qui sont assez conséquentes. Daniel Kretínsky gagne beaucoup d'argent, certes, mais je reconnais qu'il a partagé le bénéfice comme jamais quelqu'un ne l'a partagé sur le site ». Le salarié attend toutefois qu'il mette ses projets à l'œuvre, car l'avenir du site est toujours aussi incertain. Un empire médiatique eurocentréDaniel Kretínsky est aussi à la tête d'un empire médiatique qui grossit. À travers le groupe Czech Media Invest (CMI), il rachète plusieurs titres de presse français comme Elle, Télé 7 jours, ou encore Marianne. C'est d'ailleurs dans cet hebdomadaire d'actualité qu'il commet son premier faux-pas. En 2022, en pleine élection présidentielle française, il est accusé d'ingérence par les rédacteurs. Il serait « intervenu directement » pour modifier la Une du magazine, afin d'édulcorer un titre jugé trop sévère envers Emmanuel Macron. En 2018, il s'offre aussi des parts du journal Le Monde, premier quotidien national en termes de tirage. Son entrée au capital pose questions. Sur le plateau de Canal+ l'année suivante, il explique que son investissement est une démarche citoyenne : « Je suis tout simplement que la presse est absolument fondamentale aujourd'hui pour protéger les grandes valeurs de notre société, pour protéger la démocratie libérale en Europe. »L'industrie culturelle dans sa ligne de mireOn le retrouve également au capital de la Fnac dont il détient un quart des actions. Sa présence chez le premier vendeur de livres en France pourrait poser problèmes à l'avenir. Daniel Křetínský a signé plus tôt dans l'année un accord avec Vivendi pour lui racheter Editis (deuxième groupe d'éditions en France avec une cinquantaine de maisons). Vicent Bolloré doit impérativement s'en séparer puisqu'il convoite Hachette, le premier groupe d'édition du pays. La Commission européenne le lui a imposé pour éviter le monopole de ces gros acteurs du marché. Du côté de Kretínsky, Bruxelles pourrait au même titre lui demander de renoncer à Editis pour éviter une hyperconcentration et des échanges d'informations entre distributeurs et éditeurs. Un acquéreur solide pour CasinoSon dossier du moment est surtout le rachat du groupe Casino dans lequel on retrouve les magasins Monoprix, Franprix, ou encore la plateforme Cdiscount. Avec son associé Marc Ladreit de Lacharrière, autre milliardaire mais français, ils sont les derniers en lice. À eux seuls, ils détenaient déjà 12% des actifs du groupe. Pour en obtenir 100%, ils proposent d'injecter 1,1 milliard d'euros pour relancer les enseignes, en sécurisant les emplois et en développant de nouveaux magasins. Alida Melizi, déléguée syndicale Force Ouvrière, accueille la proposition de manière favorable. « De notre côté, il nous parait solide, car il en a la capacité financière. On a eu des échanges avec des collaborateurs proches de Daniel Kretinsky et ils nous ont assuré qu'il y aurait des investissements sur des embauches, sur de la rénovation. En tout cas, on est face à quelqu'un qui tient à avoir Casino et qui fait les démarches nécessaires dans ce sens-là. »Un amoureux du ballon rondGrand amateur de football, la galaxie Kretínsky compte aussi le club le plus titré de République tchèque, l'AC Sparta Prague, qu'il acquiert en 2004. Depuis, il s'est aussi offert une part du club anglais West Ham. Selon le journal L'Équipe, une clause lui permettrait même de prendre le contrôle du club à moyen-terme. Son nom a également circulé plus tôt dans l'année au sujet d'une éventuelle reprise de l'ASSE, le club de Saint-Étienne, en difficulté financière. Une rumeur fondée principalement sur une coïncidence : le partenaire historique des Verts n'est autre que Casino.
Le milliardaire français Marc Ladreit de Lacharrière a fait alliance avec un autre milliardaire, le Tchèque Daniel Kretínsky et ils sont en passe de racheter le Groupe Casino. Cet homme de 48 ans, discret francophile, est à la tête d'une fortune estimée à 9,4 milliards de dollars. Un empire fondé sur l'énergie, la presse, l'industrie culturelle et la grande distribution. Retour sur les multiples acquisitions de l'homme d'affaires, à travers les yeux de celles et ceux qui travaillent pour lui. Il a mis ses premiers œufs dans le panier du transport de gaz russe il y a plusieurs années. Aujourd'hui, Daniel Kretínsky possède le cinquième énergéticien d'Europe : EPH. Sa filiale française s'appelle GazelEnergie. Six parcs éoliens, deux centrales solaires – deux au gaz et deux à charbon – qu'il rachète en 2019 à l'Allemand Uniper, en perte de vitesse. À sa tête, il y place Jean-Michel Mazalerat, une vieille connaissance rencontrée en République tchèque il y a 20 ans. « C'était un jeune juriste qui avait assez tôt identifié que certaines choses allaient bouger dans l'énergie. Il y avait donc des actifs qui étaient vendus à la casse. C'est quelqu'un qui avait un bel avenir. Il fait partie de ces gens qui ont vécu le communisme des années 60, 70 et 80. Pour eux, la France c'était l'exemple d'un pays libre, moderne et européen. Ça les a fait rêver et pour beaucoup, ils en sont tombés amoureux. »Un investissement sur un marché risquéSon arrivée sur le marché français a de quoi poser question. Le gouvernement vient en effet de confirmer l'arrêt progressif des centrales à charbon d'ici à 2022. Jean-Pierre Damm, délégué syndical Force ouvrière, travaille sur le site de la centrale de Saint-Avold depuis 50 ans. L'arrivée du milliardaire tchèque est une surprise.« Nous savions en France, et en Europe – et donc Daniel Kretínsky devait le savoir – que les centrales à charbon n'avaient plus d'avenir. Mais quand un patron achète quelque chose, quand il investit, c'est qu'il sait qu'il va gagner de l'argent. »Guerre en Ukraine ou retard dans le calendrier de transformation des usines ? Cette centrale de l'est de la France est relancée en 2022 pour satisfaire les besoins en électricité du pays. Une aubaine pour le nouvel actionnaire majoritaire, qu'il n'a pas manqué de redistribuer, reconnait Jean-Pierre : « Aujourd'hui, les salariés ont des primes qui sont assez conséquentes. Daniel Kretínsky gagne beaucoup d'argent, certes, mais je reconnais qu'il a partagé le bénéfice comme jamais quelqu'un ne l'a partagé sur le site ». Le salarié attend toutefois qu'il mette ses projets à l'œuvre, car l'avenir du site est toujours aussi incertain. Un empire médiatique eurocentréDaniel Kretínsky est aussi à la tête d'un empire médiatique qui grossit. À travers le groupe Czech Media Invest (CMI), il rachète plusieurs titres de presse français comme Elle, Télé 7 jours, ou encore Marianne. C'est d'ailleurs dans cet hebdomadaire d'actualité qu'il commet son premier faux-pas. En 2022, en pleine élection présidentielle française, il est accusé d'ingérence par les rédacteurs. Il serait « intervenu directement » pour modifier la Une du magazine, afin d'édulcorer un titre jugé trop sévère envers Emmanuel Macron. En 2018, il s'offre aussi des parts du journal Le Monde, premier quotidien national en termes de tirage. Son entrée au capital pose questions. Sur le plateau de Canal+ l'année suivante, il explique que son investissement est une démarche citoyenne : « Je suis tout simplement que la presse est absolument fondamentale aujourd'hui pour protéger les grandes valeurs de notre société, pour protéger la démocratie libérale en Europe. »L'industrie culturelle dans sa ligne de mireOn le retrouve également au capital de la Fnac dont il détient un quart des actions. Sa présence chez le premier vendeur de livres en France pourrait poser problèmes à l'avenir. Daniel Křetínský a signé plus tôt dans l'année un accord avec Vivendi pour lui racheter Editis (deuxième groupe d'éditions en France avec une cinquantaine de maisons). Vicent Bolloré doit impérativement s'en séparer puisqu'il convoite Hachette, le premier groupe d'édition du pays. La Commission européenne le lui a imposé pour éviter le monopole de ces gros acteurs du marché. Du côté de Kretínsky, Bruxelles pourrait au même titre lui demander de renoncer à Editis pour éviter une hyperconcentration et des échanges d'informations entre distributeurs et éditeurs. Un acquéreur solide pour CasinoSon dossier du moment est surtout le rachat du groupe Casino dans lequel on retrouve les magasins Monoprix, Franprix, ou encore la plateforme Cdiscount. Avec son associé Marc Ladreit de Lacharrière, autre milliardaire mais français, ils sont les derniers en lice. À eux seuls, ils détenaient déjà 12% des actifs du groupe. Pour en obtenir 100%, ils proposent d'injecter 1,1 milliard d'euros pour relancer les enseignes, en sécurisant les emplois et en développant de nouveaux magasins. Alida Melizi, déléguée syndicale Force Ouvrière, accueille la proposition de manière favorable. « De notre côté, il nous parait solide, car il en a la capacité financière. On a eu des échanges avec des collaborateurs proches de Daniel Kretinsky et ils nous ont assuré qu'il y aurait des investissements sur des embauches, sur de la rénovation. En tout cas, on est face à quelqu'un qui tient à avoir Casino et qui fait les démarches nécessaires dans ce sens-là. »Un amoureux du ballon rondGrand amateur de football, la galaxie Kretínsky compte aussi le club le plus titré de République tchèque, l'AC Sparta Prague, qu'il acquiert en 2004. Depuis, il s'est aussi offert une part du club anglais West Ham. Selon le journal L'Équipe, une clause lui permettrait même de prendre le contrôle du club à moyen-terme. Son nom a également circulé plus tôt dans l'année au sujet d'une éventuelle reprise de l'ASSE, le club de Saint-Étienne, en difficulté financière. Une rumeur fondée principalement sur une coïncidence : le partenaire historique des Verts n'est autre que Casino.
Enquanto o futuro do poderoso Grupo Casino está em jogo na França, no Brasil a expectativa é para onde vai o Grupo Pão de Açúcar (GPA), tirado das mãos do empresário Abílio Diniz há 11 anos, quando foi adquirido pela gigante francesa do varejo. A negociação mobiliza potenciais compradores no Brasil e no exterior, incluindo concorrentes e o próprio Diniz. Lúcia Müzell, da RFIAfundado em dívidas, o Casino começou a se desfazer de ativos espalhados pelo mundo desde 2014, mas a crise gerada pela pandemia e em especial na América Latina só piorou o quadro, que o contexto inflacionário e de juros na Europa terminou de sepultar. No fim de junho, a companhia anunciou a intenção de vender as suas parcelas no GPA, do qual é acionista controlador, com 40,9% dos papéis. Em todo o Brasil, são quase mil lojas em jogo – é o segundo maior pilar do grupo francês no mundo.Em março, a companhia já se desfez de 12% do seu capital da rede Assaí, com a qual levantou € 600 milhões para conseguir respirar até o fim do ano, em conjunto com medidas de emergência negociadas com os credores e o governo francês. Na América Latina, o Casino ainda tem forte presença na rede colombiana Éxito – que também será cedido, como parte do plano de reestruturação da gigante do varejo.“Estamos todos empolgados com essa mudança. A gente tem visto todos os agentes envolvidos nessa cadeia de valor muito atentos e querendo no mínimo analisar a oportunidade – seja outras redes, fundos de investimentos ou de mercado de alimentação dentro do lar”, observa Eduardo Yamashita, COO da consultoria especializada em varejo Gouvêa Ecosystem. "Essa operação do Casino está menos conectada com a operação brasileira e mais com os negócios internacionais do grupo. É por isso que a gente tem visto essa quantidade de interessados no ativo GPA, que é realmente único.”Revanche de Diniz?Na época da venda do Grupo Pão de Açúcar, a família Diniz enfrentou uma longa batalha para evitar a aquisição pelo CEO e acionista majoritário do Casino, Jean-Charles Naouri – que acabou vencendo a disputa. Abílio levou anos para superar a perda do controle da rede varejista fundada pelo seu pai, Valentim, no fim dos anos 1940. Desde então, uniu-se à rival francesa Carrefour, da qual é vice-presidente do conselho de administração no Brasil e um dos principais acionistas no grupo global.O mercado especula se teria chegado a hora da revanche do empresário brasileiro face a Naouri – pessoalmente ou via Carrefour. "Essa história é icônica e o Abílio e a família falam abertamente sobre esse tema nos livros que já foram escritos. Foi um capítulo importantíssimo na história do varejo brasileiro”, destaca Yamashita.O analista salienta que "obviamente o Abílio e o seu family office são grandes candidatos” para retomar o GPA, assim como o Carrefour – mas estão longe de serem os únicos. "Fundos de investimentos nacionais e internacionais estão com um apetite muito grande. A negociação de um bloco tão relevante de um varejista com uma presença tão grande, principalmente no sudeste, que já consolidado e é o maior mercado do Brasil, com marcas próprias e os avanços tecnológicos que eles fizeram, são ativos que chamam muita atenção”, insiste.Jean-Charles Naouri, um 'tubarão' devorado pela própria ganânciaO empresário francês foi apelidado de “lobo”, “tubarão” ou “predador”, depois de consolidar o método de entrar aos poucos no capital de empresas familiares em apuros, mas sempre com opção de compra futura – que na maioria dos casos, se tornava fatal, como no Grupo Pão de Açúcar. Era o auge da expansão fulminante do Casino por mercados emergentes, sob o comando de Naouri.“Toda a vez que entra um player como o Casino, relevante globalmente, o mercado brasileiro amadurece muito. Isso aconteceu em todos os episódios, de uma maneira geral, e não só no segmento alimentar”, relembra Yamashita. "Foi assim com a entrada do WalMart no Brasil – que depois saiu, mas isso faz com que o mercado no Brasil elevasse a barra. Hoje o varejo no Brasil tem o nível de sofisticação e desenvolvimento muito simular aos grandes mercados globais, como o norte-americano, europeu e até mesmo asiático”, constata.A fama de Naouri de 'gênio das finanças', porém, caiu por terra depois que os balanços do Casino se anunciavam cada vez mais deficitários – seriam € 6,5 bilhões em dívidas. No último fim de semana, os três bilionários reunidos na holding 3F – Xavier Niel, Matthieu Pigasse et Moez-Alexandre Zouari – decidiram não reapresentar a proposta de resgate do grupo porque “a situação financeira [do Casino] está mais deteriorada do que o previsto”, e num contexto em que as previsões de receitas não param de ser revistas para baixo.A ironia do destino é que um estrangeiro, o tcheco Daniel Kretinsky – apoiado pelo francês Marc Ladreit de Lacharrière e o fundo de investimentos britânico Attestor – representa a única oferta sobre a mesa para salvar o Casino do buraco, com um aporte de € 1,2 bilhão. Kretinsky atualmente é o segundo maior acionista do Grupo Casino e já advertiu que, se o negócio for fechado até o fim do mês, como previsto, não haverá demissões na empresa – à exceção de Naouri.O jornal Le Monde antecipa que o poderoso CEO "deve deixar o mundo do varejo como entrou: sozinho e sem fortuna, depois de protagonizar uma fábula darwinista em que devorou a todos até ser ele próprio devorado”. Nos próximos dias, ele deve deixar para trás um império com 200 mil funcionários no mundo, dos quais a maioria estão na América do Sul e um quarto na França, espalhados por supermercados como Monoprix, Franprix, Géant e Spar.
Présents dans l'énergie, actionnaire de plusieurs grands médias, propriétaire de la deuxième maison d'édition de France et poids lourd de la grande distribution, l'homme d'affaires tchèque est dans tous les gros dossiers industriels de ces derniers mois.
Wall Street's top banks slash FY Chinese GDP with both Hong Kong and mainland shares underperforming and the property sector shedding value. U.S. equities are in the green at the start of a busy week of earnings, with major banks' earnings in the spotlight. Microsoft's deal for Activision Blizzard is closer to completion after Berkshire Hathaway reveals it has offloaded 70 per cent of its stock in the game maker. Russia crashes the Ukraine grain deal blaming the West for not upholding its side of the bargain. Ukrainian President Volodomyr Zelenskyy slams the move, saying extortion will not be tolerated. And in retail news, the board of beleaguered French supermarket Casino approves rescue talks with Czech billionaire Daniel Kretinsky. See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Présents dans l'énergie, actionnaire de plusieurs grands médias, propriétaire de la deuxième maison d'édition de France et poids lourd de la grande distribution, l'homme d'affaires tchèque est dans tous les gros dossiers industriels de ces derniers mois.
En attendant les chiffres de l'infation et les banques centrales plus tard dans la semaine, le CAC 40 débute du bon pied, progressant de +0,52% vers les 7.250 points. Bon tout cela se fait encore dans des volumes réduits : 2,76 milliards d'euros échangés, il faudra s'en contenter...Même attente plutôt sereine sur les marchés américains avec un Dow Jones en progression de 0,12% à 17h45 et un Nasdaq qui gagne 0,6%. A noter la batterie de Tesla qui semble sans limite alors que l'action du constructeur de véhicule électrique est en train d'aligner une 12e séance de progression.Valeurs en hausseNouvel épisode du feuilletion Casino. Selon le quotidien Les Echos, Auchan suivrait de près le dossier du distributeur. Une rencontre se serait tenue entre le group et le trio Zouari-Niel-Pigasse ainsi que le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Avec ce dernier, Auchan serait prêt à discuter d'un projet industriel uniquement dans le cas où son opération réussirait. Si Casino prend 10,3%, Rallye explose littéralement de plus de 122% à la clôture.Un peu plus loin derrière sur le SBF 120, on retrouve Nexans : Bank Of America a relevé son opinion sur le titre du fabricant de câbles de "sous-pondérer" à "acheter" et un objectif de cours rehaussé de 65 à 100 euros. La banque américaine pointe notamment "l'exposition directe de Nexans aux dépenses croissantes en infrastructures de réseaux et à l'éolien offshore qui représente environ 50% de son excédent brut d'exploitation".Voltalia et Solutions 30 sont également bien orientéesSur le CAC 40, c'est Teleperformance qui fait la course en tête.Valeurs en baisseSES est en orbite basse aujourd'hui. Le fournisseur de communications satellites SES est pénalisé par l'an départ de son directeur général Steve Collar à la fin du mois.L'intérim sera assuré par le directeur technique de l'entreprise, Ruy Punto.Altarea aussi se replie. Le groupe immobilier détachait aujourd'hui un acompte sur dividende de 5 euros.Les parapétrolières et pétrolières TotalEnergies ou encore CGG se replient dans le sillage du brut qui perd plus de 3% à un peu plus de 72,50 dollars le baril... malgré les annonces récentes de l'Opep+.Sur le CAC 40, en plus de TotalEnergies, on retrouve Vivendi et Orange parmi les replis les plus marqués.
Cette semaine, c'est une spécialiste du podcast qui se raconte au micro de 40 Nuances de Sista. Journaliste et autrice, Charlotte Pudlowski a co-fondé avec son amie Mélissa Bounoua le studio de podcasts natifs Louie Media, après avoir découvert le format aux Etats-Unis lors de ses études. Passée par Arte, L'Obs et 20 minutes, et ancienne rédactrice en chef de Slate.fr, elle a eu un besoin viscéral, à un moment de sa vie, de trouver une autre manière de raconter des histoires et de faire ressentir le monde. Ses obsessions : le rapport au langage, à la parole, au silence. Et le désir ardent de porter à la connaissance du public des sujets variés, intimes, intelligents, complexes mais accessibles. Les podcasts “Entre”, “Ou peut être une nuit” et “Émotions” font partie des exemples les plus marquants.Choix éditoriaux exigeants et risqués, difficultés de management, évolution du marché, développement auprès de marques et entreprises clientes, intelligence artificielle, Charlotte Pudlowski, qui voulait petite “vivre une vie intense”, nous emmène dans son univers teinté d'art, de littérature et de photographie. À cette occasion, elle prouve qu'on n'est pas obligé de venir du sérail habituel pour être une entrepreneure accomplie.Le studio qui compte plus d'un million d'écoutes mensuelles vient de se doter de nouveaux moyens pour continuer de faire entendre des voix. Charlotte Pudlowski revient sur le choix d'accueillir à son capital le groupe CMI (Marianne, Usbek et Rica, Elle ou Télé7Jours…), du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, pour continuer de faire grandir Louie Media.Côté “Sista”, Charlotte Pudlowski a choisi son amie Rebecca Amsellem, créatrice de la newsletter “Les Glorieuses”, qui parle de féminisme par le prisme des arts, avec laquelle elle a déjà co-produit un podcast intitulé La Méthode.Dans cet épisode, on cite Mélissa Bounoua, Olivier Fleurot, Camille Kouchner, Blissim, Katia Sanerot, Les Rencontres d'Arles, Annie Leibovitz, Hélène Cixous.À vos écouteurs
Après un repli symbolique hier, le CAC 40 s'inscrit un peu plus nettement dans le rouge aujourd'hui terminant la séance à -0,56% vers les 7.532 points et 3,4 milliards d'euros échangés alors que les publication d'entreprises s'intensifient et que les bancaires connaissent une nouvel épisode de tension.La cause est à chercher outre-Atlantique avec les difficultés de First Republic qui chute de 29%. La banque américaine régionale a annoncé une fonte de 41% de ses dépôts entre fin 2022 et fin mars 2023. Un chiffre qui aurait pu être encore plus lourd si onze grandes banques n'avaient pas déposé 30 milliards de dollars de fonds mi-mars. Fisrt Republic, dont les dépôts se sont stabilisés depuis début avril, prévoit d'importantes mesures d'économies pour renforcer sa situation financière.Ca plus des résultats mitigés comme ceux d'UPS ou de General Motors et on a des indices américains qui se replient à 17h45 : -0,4% pour le Dow Jones -1% pour le Nasdaq. Après la clôture, on surveillera avec attention les publications d'Alphabet et Microsoft.Valeurs en hausseSolutions 30 repart de l'avant après six séances de correction.Casino rebondit profitant de l'offre surprise de Daniel Kretinsky pour renflouer le groupe de distribution via une augmentation de capital de 1,1 milliard d'euros. Sur le CAC 40, Alstom mène le train des hausses devant Sanofi et Schneider Electric.Valeurs en baisseOrpea reste sous pression, hier le titre avait sèchement reculé après le refus du conseil d'administration du spécialiste de la dépendance de convoquer une assemblée générale.Sartorius Stedim, Eutelsat et OVH Cloud sont également à la peinePénalisées par First Republic et la division par deux du bénéfice d'UBS au premier trimestre, ce sont les bancaires qui reculent le plus nettement sur le CAC 40 à l'image de Société Générale, BNP Paribas ou encore Crédit Agricole.Veolia (-1,44%), lui, n'a pas profité du relèvement de recommandation de JP Morgan passé de "sous-pondérer" à "neutre" avec un objectif de cours rehaussé de 22,50 à 29 euros.Sur le SRD, c'est Nanobiotix qui chute lourdement : -32%. La biotech a creusé sa perte à 57 millions d'euros en 2022. Surtout, elle disposait de 41,4 millions d'euros de trésorerie au 31 décembre 2022 contre 83,9 millions un anauparavant. Elle affiche une visbilité financière jusqu'au 3e trimestre 2023...
Tech, mode, sport, musique... Ils ont fondé un empire. Nous suivons leur actu. Pour suivre le podcast Choses à savoir - Actu: Apple Podcasts: https://podcasts.apple.com/us/podcast/choses-%C3%A0-savoir-actu/id1668258253 Deezer: https://www.deezer.com/fr/show/5657137 Spotify: https://open.spotify.com/show/3jGBHbZGDe8U51nLDXAbco Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Homme d'affaires tchèque ayant fait ses armes dans le charbon, Daniel Kretinsky déploie en France depuis cinq ans une boulimie d'acquisitions. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités font le portrait de celui qui monte irrésistiblement dans les médias.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en avril 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Marina Alcaraz, Nicolas Richaud (journalistes au service Tech Medias des « Echos ») et Véronique Le Billon (correspondante des « Echos » à New York). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : AFP. Sons : BFM TV, Hammers Chat, Djadja & Dinaz « J'veux plus » (2018), « Popcorn », « Les trois frères » (1995). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Vincent Bolloré, qui veut racheter Hachette à Lagardère, va céder Editis à Daniel Kretinsky, par ailleurs principal actionnaire de la Fnac, premier libraire de France. Preuve que l'économie du livre est toujours plus concentrée entre les mains de quelques-uns. Un article de Mathias Thépot publié lundi 3 avril 2023, lu par Jeremy Zylberberg.
Deux grands patrons européens affichent de grandes ambitions dans les médias : Rodolphe Saadé, de CMA CGM, et Daniel Kretinsky qui vient de signer un accord d'exclusivité avec Vivendi pour négocier le rachat d'Editis. C'est un signe qui ne trompe pas. Rodolphe Saadé et Daniel Kretinsky ont eu droit chacun, cette semaine, à leur portrait dans Les Échos ou Le Figaro. Des portraits où Xavier Niel est cité, avec des mots qui valent adoubement. Niel voit dans le Tchèque Daniel Kretinsky, 47 ans, un homme jeune qui n'est pas prêt à jouer « le pigeon de service », un compliment pour lui. Et à propos du Franco-Libanais Rodolphe Saadé, 53 ans, « je l'apprécie, c'est quelqu'un de clair, droit, on peut évoquer tous les sujets », dit le fondateur de Free, actionnaire du Monde et nouveau parrain du capitalisme français. Il n'en disait pas autant l'an dernier lorsqu'il disputait au patron de CMA-CGM le contrôle du quotidien La Provence. Saadé l'avait alors emporté dans sa bataille judiciaire pour contrôler le journal en proposant quatre fois le prix de son rival.Aujourd'hui, cinquième fortune en France, Saadé a fait tripler le chiffre d'affaires de CMA-CGM en cinq ans, à 75 milliards de dollars, après l'explosion des prix du transport maritime. Ce n'est plus un boss que l'on chagrine, mais que l'on courtise. Le gouvernement ne s'en prive pas, et ce, alors que son groupe enregistre de superprofits que certains veulent taxer. Car Saadé affiche des ambitions dans les médias. L'an dernier, il a cherché à racheter M6 avec Stéphane Courbit et Marc Ladreit de Lacharrière. Et il regardera le dossier dès que Bertelsmann voudra de nouveau s'en dessaisir. Après tout, il possède déjà 9% du capital de la chaîne, il est actionnaire du groupe de production de Stéphane Courbit (FL Entertainment), et – tiens – il vient de s'entendre avec Xavier Niel pour investir 40 millions d'euros dans le média en ligne Brut. Est-ce que cette entente s'arrêtera quand Saadé repartira à la conquête de M6 que convoite Niel ? C'est toute la question.De son côté, Daniel Kretinsky, coactionnaire passif du groupe Le Monde, propriétaire de Marianne, de Elle, de Télé 7 Jours ou de Franc-Tireur, possède 8% du groupe TF1. Pour cet industriel de l'énergie qui a fait fortune en pariant sur les centrales à charbon en fin de vie, l'investissement dans les médias entend compenser son lourd bilan carbone. Il est en passe de racheter Editis, le numéro 2 de l'édition en France, que Vivendi doit revendre pour ne garder que Hachette. Avec des maisons aussi célèbres que Nathan, Bordas, Julliard, Plon ou Robert Laffont, Daniel Kretinsky va porter son empire de papier près du milliard d'euros de chiffre d'affaires. Et l'édition est peut-être mieux que la presse en termes d'influence. Il n'est pas un journaliste, un politique qui ne songe pas à publier un livre…
durée : 00:07:24 - Info médias - Le patron du quotidien de gauch, Denis Olivennes, répond aux inquiétudes face au prêt accordé par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky.
Nous parlons de la manipulation de l'information autour des migrants postés à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie. C'est une nouvelle forme d'intoxication médiatique. Comme le remarque Franc-Tireur, le nouvel hebdo créé cette semaine par le groupe CMI de Daniel Kretinsky, il y a une « triple instrumentalisation géopolitique » à travers ces 2 000 migrants qu'on a fait venir à la frontière polono-biélorusse. Celle du dictateur Loukachenko d'abord, qui en organisant la venue de ces migrants espère infléchir l'Union européenne dans sa politique de sanctions envers son régime. Celle de Poutine ensuite qui laisse faire son allié en espérant souffler sur les braises des nationalismes et diviser l'Europe afin d'alléger les sanctions instaurées contre la Russie après l'annexion de la Crimée en 2014. Celle de la Pologne enfin qui fait vibrer la corde populiste du « péril russe » et de « l'invasion étrangère ». Mais cette instrumentalisation est aussi une manipulation médiatique en plusieurs actes. Acte 1, on l'a dit, Loukachenko parque ces migrants, des Kurdes d'Irak pour la plupart, à la frontière. Acte 2, la presse internationale est écartée pour laisser aux Russes et aux Biélorusses le monopole des images. Acte 3, l'image d'un migrant coupant des arbres à la hache pour franchir les fils de fer barbelés arrive sur les plateaux de télé sur le registre de « l'invasion migratoire ». Le député européen Stéphane Séjourné a rappelé sur France Info qu'« on connaissait l'ingérence via les réseaux sociaux, les tweets, les fake news, mais qu'on ne connaissait pas du tout l'ingérence et la manipulation des opinions publiques via un plateau de télé organisé à la frontière avec des images qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux et les chaînes ». Plutôt que de dénoncer un trafic d'êtres humains mettant en danger la vie d'autrui comme en témoigne la mort d'un bébé, des médias sont tombés dans le piège de Loukachenko en se demandant comme sur CNews s'il fallait répondre à cette « agression » ou à cet « acte de guerre » en tirant sur les migrants. Focaliser le débat sur la question de « l'invasion migratoire » et non plus sur l'asile, c'est ce que veulent ceux qui entendent affaiblir nos démocraties en nous divisant. Alors que faire ? Vendredi, dans une table ronde réunie à la BNF à l'occasion du Prix Albert Londres, quelques conseils ont été donnés par Tristan Waleckx, de France 2 : « L'investigation est le meilleur moyen de lutter contre les fake news et de ramener de la confiance envers les journalistes », a-t-il dit. De l'enquête donc et du reportage, ou de l'exploitation de données sensibles par un collectif de médias comme dans Pegasus ou le Congo Hold-up. Tout plutôt que du commentaire incendiaire et bon marché sur un plateau télé.
Well for the first time in what seems months, the We Are West Ham boys have something negative to talk about. After 150 ticket-less West Ham supporters stormed the turnstiles at the Hammers' last Europa League away game at GENK, Uefa have fined the club and banned away fans from their next European fixture - Rapid Vienna away. That has left the 1,700 ticket holders plus hundreds more Hammers fans planning to head to Austria for the celebration out of pocket to the tune of hundreds of pounds on money spent on flights and hotel. West Ham have criticised Uefa for the timing of the announcement and decided not to appeal having seen evidence. Will Pugh and James Jones are directly affected having booked flights and accommodation and the lads do not hold back when giving their opinion on the parties concerned. Having not had a chance to discuss last week, the chaps give their thoughts on Daniel Kretinsky's £180million investment into the club. The lads also make their Betway charity bets ahead of West Ham's visit to Molineux on Saturday. And Dan from the Wolves 77 club pod joins the lads to chat about the game as eighth-placed Wolves go into the game in middling form. Will and James look back at West Ham Women's 2-2 draw against Reading when the girls threw away a lead AGAIN! All that before some final thoughts and the usual dollop of banter and peeks behind the curtain. Thanks so much for listening - last week's pod made our top three most listened which is superb. You can follow the podcast here: Twitter: @We Are_West Ham. Facebook: We Are West Ham podcast. Instagram: @WeAreWestHamPod The lads can be found @WilliamPugh_ and @ByJamesJones. WATCH the show and subscribe to We Are West Ham's YouTube channel HERE. And you can support the podcast or buy the lads a beer HERE at buymeacoffee/com/wearewestham. Do SUBSCRIBE, RATE, SHARE and REVIEW the pod and tell your friends about us. #COYI #WHUFC #WAWH #WEAREWESTHAM
Ander Iturralde da la bienvenida a Cecilia Lagos, Borja García y Rafa Pastrana para hablar de la actualidad futbolística en este parón de selecciones, con la victoria de Inglaterra por 5-0 sobre Albania y el hat-trick perfecto de Harry Kane; la agónica ronda final que se presenta para Holanda, Turquía y Noruega por dos puestos para poder llegar todavía al Mundial; cómo España acabó superando a Suecia para garantizarse su proio puesto; una explicación al borde de ser desastrosa pero finalmente decente de cómo funcionan los Play-Offs de repesca; el estado del fútbol femenino; el nuevo episodio en la loca situación del PSG femenino; la confirmación de Steven Gerrard en el Aston Villa; Dean Smith al Norwich; el Newcastle queriendo gastar mucho dinero; Daniel Kretinsky comprando acciones del West Ham; el fenómeno de los documentales sobre clubes de fútbol; respondemos a las preguntas de la audiencia y mucho más.¡SUSCRÍBETE A LA NEWSLETTER DE CECILIA! https://www.getrevue.co/profile/cecilialagos¡SUSCRÍBETE A ALINEACIÓN INDEBIDA EN PATREON DESDE 1.00€/1.00$! https://www.patreon.com/alineacionindebida¡SÚSCRÍBETE A ALINEACIÓN INDEBIDA DONDE SEA QUE NOS ESCUCHES!¿Quieres cobertura futbolística de calidad? Necesitamos tu apoyo.Sugiérenos nombres para la newsletter de Cecilia en los comentarios de iVoox, en nuestro Discord privado, en email o en Twitter.Sigue a Ander en Twitter: https://twitter.com/andershoffmanSigue a Cecilia en Twitter: https://twitter.com/CeciliaLagosSigue a Borja en Twitter: https://twitter.com/forestliveSigue a Rafa en Twitter: https://twitter.com/RafaPastrana7Sigue al programa en Instagram: instagram.com/podcastindebidoEscucha el podcast de Diego Blomkvist sobre sus movidas: https://open.spotify.com/show/5cgfeRaBzA7PDNaHRtnibsEscucha el podcast de Cristian Colás, Lorenzo Manchado y Borja García sobre sus movidas: https://open.spotify.com/show/6qhIIb9wYWuT5uIEeTlexRContacto: anderpodcast@gmail.com // alineacionindebidapodcast@gmail.com Our GDPR privacy policy was updated on August 8, 2022. Visit acast.com/privacy for more information.
Can West Ham repeat what Leicester City did in 2016? Sam , Roshane and George discuss our chances, reflect on a week in which the whole football world went West Ham mad and look ahead to a January transfer window funded by Daniel Kretinsky. PLUS! Sam takes his trousers off.
Kevin and Kieran look at the money behind Czech businessman Daniel Kretinsky's purchase of a 27% stake in West Ham, and find out why a motion has been submitted to the upcoming Bayern Munich AGM to force the club to end its sponsorship deal with Qatar Airways. Follow Kevin on Twitter - @kevinhunterday Follow Kieran on Twitter - @KieranMaguire Follow The Price of Football on Twitter - @pof_pod Support The Price of Football on Patreon: https://www.patreon.com/priceoffootball Check out the Price of Football merchandise store: https://the-price-of-football.backstreetmerch.com/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le gouvernement s’apprête à octroyer une nouvelle aide pour ceux qu’à l’occasion de cette crise sanitaire du coronavirus, on a appelé les travailleurs de la « deuxième ligne ». Selon les quotidiens Les Échos et Le Parisien, l’annonce en sera faite lundi. Ce jour-là, le Premier ministre Jean Castex pourrait annoncer « un geste » en faveur des « travailleurs de la deuxième ligne » lors du sommet social à Matignon, signale le quotidien économique français. Les « travailleurs de la deuxième ligne » ? Ils ou elles sont quatre millions, ces aides à domicile, vendeurs, bouchers, boulangers, gardiens, salariés des transports ou du bâtiment… ceux qui étaient « sur le pont, sur site », pendant les deux confinements, explique Le Parisien. Ce journal annonce aussi que « le gouvernement réfléchit à un coup de pouce financier (…) dont les contours, notamment une exonération de charge et une défiscalisation – pour le rendre incitatif —, restent encore à arrêter ». Justement, quel sera le montant de cette aide ? À la primature française, on se borne à indiquer au Parisien que,« si elle est versée, ce sera à la discrétion de l'employeur ». Comme le signale ce quotidien, « la forme, soit une prime soit autre chose », « sera actée d'ici ce week-end ». Plan de sauvetage voté par le Congrès américain Aux États-Unis, après l’avoir fait adopter par le Congrès, le nouveau président Joe Biden a promulgué hier un plan de sauvetage par le Congrès de plus de 1900 milliards de dollars de dépenses publiques, en soutien, notamment, aux ménages les plus modestes, durement affectés par la crise du coronavirus. Cité par Courrier International, le Washington Post a fait les comptes. Ce quotidien américain cherchant à vérifier si ce plan est « plus généreux qu’ailleurs », notant ainsi qu’en ordre de grandeur, le plan Biden est d’un montant « légèrement inférieur au PIB de l’Italie et supérieur au PIB du Brésil ». Ce qui est d’autant plus « considérable » que ce programme de relance n’est pas le premier aux États-Unis, signale ce journal, car en décembre 2020, le Congrès américain « avait déjà adopté un programme d’aides de 900 milliards de dollars, qui avait complété un plan de relance de 2 200 milliards de dollars, autorisé pendant la dernière année de mandat de Donald Trump ». De son côté, le quotidien économique français Les Échos estime que Joe Biden « se positionne comme l’héritier de Franklin Roosevelt, le bâtisseur du New Deal après la Grande Dépression ». Mais attention, prévient le quotidien Le Monde, si ce plan de soutien représente un « succès politique », c’est aussi un « risque économique ». Au Sénégal, l’opposition appelle ses partisans à reprendre la rue demain Le mouvement de défense de la démocratie « laissera des traces durables » au Sénégal, où il apparaît comme un « message sévère pour le président Macky Sall », admet Le Figaro. L’opposant Ousamne Sonko est qualifié par ce quotidien de « politique adroit », qui n’a pas « manqué le coche » pour renforcer son « aura » et qui entend à présent « profiter » de la situation pour « imposer » un nouveau « rapport de forces » avec le pouvoir. Le Figaro souligne aussi que l’opposant numéro un à Macky Sall a insisté pour que le président s’engage dès maintenant à « ne pas briguer de troisième mandat ». Mais au-delà du « cas » Sonko qui a servi de « catalyseur », ce journal dépeint certes une « colère » qui couvait depuis longtemps; une colère « née de la misère mais pas seulement. Les critiques envers la gouvernance de Macky Sall et les soupçons de "dérive autoritaire" y ont aussi leur rôle », complète ce journal. Le groupe de radio et de télévision M6 sont à vendre Les principaux médias français ont déposé des offres de rachat. L’actionnaire principal de M6, RTL Group, envisageant de s’en séparer, le journal Les Échos révèle que, parmi les prétendants au rachat du groupe M6 -qui comprend aussi RTL, Gulli, 6ter ou W9-, figurent Vivendi, TF1, Xavier Niel ou encore l'entrepreneur tchèque Daniel Kretinsky, qui possède notamment les magazines Marianne et Elle. C’est le retour des grandes manœuvres dans l’audiovisuel en France.
On les appelle les MNA, les mineurs non accompagnés. En grande majorité, des garçons migrants de 16 ou 17 ans qui ont vécu l’enfer dans l’espoir de pouvoir s’installer en Europe. Ils seraient 160 000 à avoir tenté leur chance sur le continent depuis 2015. Voilà pour les chiffres officiels qui ne prennent pas en compte tous ceux passés à la clandestinité. Car à 18 ans, les mineurs deviennent jeunes adultes. Et tous les systèmes de protection disparaissent. C’est pour éviter ce grand saut dans le vide, que l’Italie et la région de Naples ont mis en place des programmes d’accompagnement. Parmi les meilleurs d’Europe. C’est le reportage de Cécile Debarge. En Bosnie Herzégovine aussi, les candidats à l’intégration sont légion. Coincés à la frontière de l’Union européenne au nord-ouest du pays. Dans la région de Bihac, une association d’enseignants s’est mobilisée pour venir en aide et scolariser les plus jeunes. Les explications de Simon Rico. Et en Grèce, c’est la musique qui aide ces enfants à se relever, à s’évader aussi, et pourquoi pas aussi mieux connaître la société grecque ; cours de violon d’alto, solfège chorale et orchestre sont proposés gratuitement par l’ONG Sistema. Reportage à Athènes signé Joël Bronner. Petr Kellner, l’autre milliardaire tchèqueNotre portrait est aujourd’hui celui d’un milliardaire, un des hommes les plus riches de Tchéquie, mais aussi du monde. Petr Kellner est aussi très lié au grand patron des médias Daniel Kretinsky, actionnaire entre autres du Monde en France. Son portrait depuis Prague avec Alexis Rosenzweig. Sur les ruines de la RDAComprendre l’ex-RDA en allant se promener sur ses ruines. C’est l’idée de l’historien Nicolas Offenstadt qui a joué aux aventuriers de l’arche perdue, et en a tiré un livre Urbex RDA, paru chez Albin Michel. Alors qu’on s’apprête à célébrer, ce week-end, les 30 ans de la chute du mur de Berlin, il a raconté à Juliette Rengeval en quoi consistait cet Urbex ! (Rediffusion du 4 novembre 2019)
Malgré les sombres perspectives de l’économie mondiale, la Bourse de New York semble prête à renouer avec l’euphorie qui l’a portée pendant les dix dernières années. Comment expliquer ce décalage entre Wall Street et l’économie réelle ? C’est vrai que le prodigieux rebond de Wall Street observé la semaine dernière avait quelque chose d’irréel. La Bourse américaine a quasiment effacé ses pertes du mois de mars. Sans se soucier du chiffre du chômage américain publié vendredi : il y a eu 20 millions de nouvelles inscriptions en quelques semaines, effaçant ainsi des années de patiente reconstruction du marché de l’emploi. Au début de la pandémie, la Bourse a été entièrement suspendue à l’évolution de la maladie, piquant du nez chaque fois qu’une information confirmait la progression du virus. Maintenant que la pandémie commence à baisser en intensité, la Bourse semble retrouver son optimisme naturel. En fait, il faut regarder les indices américains à la loupe pour voir que cette euphorie est très relative. Les Google, Apple, Facebook Amazon et Microsoft, devenus très utiles pendant le confinement, ont fortement progressé. En revanche, certains secteurs sortent essorés du confinement, le secteur de l’industrie pétrolière par exemple, reste orienté à la baisse. La bonne santé des géants du Net est trompeuse ? C’est la thèse des réalistes qui rappellent que ces sociétés représentent 20% de la valeur des 500 premières entreprises cotées. Le moindre mouvement de leurs actions influence donc fortement la tendance de la Bourse. Les visionnaires expliquent au contraire que les pétroliers ne pèsent plus que 3%, qu’ils appartiennent à l’économie du passé, qu’il faut regarder du côté des nouveaux poids lourds de la Bourse pour prédire l’avenir. Toutes ces analyses sous-tendent les stratégies des investisseurs qui espèrent faire les meilleurs placements grâce à cette crise. Pour cela, ils se pressent d’acheter pendant que les prix sont bas. Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, présent en France dans le capital du quotidien Le Monde, a racheté des parts des grands magasins Macy's, il en possède au moins 5%. Aujourd'hui, ces chasseurs à l'affût peuvent même se précipiter, par crainte de rater la bonne affaire et ils contribuent ainsi à faire remonter le marché, peut-être trop vite. D’autres secousses et mauvaises surprises sont à craindre ? Une deuxième vague de contagion peut se produire, c’est ce que rappellent tous les épidémiologistes. Et puis, si le coronavirus recule, nul ne sait encore quelle forme prendra la reprise économique, quelle sera son allure. Les analystes dissertent sur la courbe de la reprise en U, en V ou en L. C’est le plus mauvais scenario, avec une consommation qui ne se relève pas ou très peu. À cause de la peur du lendemain, et du chômage qui sera la conséquence la plus lourde des faillites d’entreprise. Étant donné le niveau d’endettement record des sociétés, beaucoup d’entre-elles vont disparaître. Le pire de la crise économique est encore devant nous. Cette perspective est connue des traders, mais ne les affole pas plus que ça car ils ont pour le moment le puissant soutien de la Réserve fédérale. La banque centrale américaine s’est engagée dans un vaste programme de rachat de la dette des entreprises, y compris des plus mal en point. Ce programme démarre aujourd’hui. Voilà de quoi entretenir l’insouciance des marchés mais aussi de quoi alimenter de nouvelles bulles financières. EN BREF Les patrons européens exigent une relance européenne de l'économie. Dans une tribune commune publiée aujourd'hui les représentants des organisations patronales italiennes, allemandes et françaises réclament une relance massive sur le long terme, sur au moins 5 ans, et d'un montant équivalent à 5% du PIB. D'après eux la réponse à la crise doit être européenne, pilotée par Bruxelles, et pas seulement nationale.
Dans Mister K, petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky aux éditions du Seuil, 300 pages sont consacrées à un homme d'affaires inconnu en France il y a deux ans. Un milliardaire tchèque qui a créé la surprise et des remous en décidant d'investir dans les médias français, et plus particulièrement le journal « Le Monde ». L'auteur de l'ouvrage est Jérôme Lefilliâtre, journaliste en charge de la rubrique médias au journal « Libération ».
Chaque dimanche, Bernard Poirette reçoit une personnalité pour évoquer l'actualité culturelle. Aujourd'hui, Jérôme Lefilliâtre, pour son livre “Mister K, petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky” (Seuil).
durée : 01:34:13 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Les séries françaises et européennes tentent de se faire une place face aux méga productions américaines. Mais pour quels contenus ? Et comment s'organiser ? Existe-t-il une géopolitique des séries ? Nous recevons Laurence Herszberg, directrice générale du festival Séries Manias, pour en parler. - réalisation : Véronique Vila, Lionel Quantin - invités : Laurence Herszberg Ancienne directrice générale du Forum des images, elle dirige actuellement le festival international Séries Mania; Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"; Michael Moreau Journaliste, auteur de "Les plumes du pouvoir"; Emmanuel Paquette Journaliste à l'Express, spécialisé nouvelles technologies et médias
durée : 00:26:47 - L'actualité des industries culturelles et du numérique - par : Frédéric Martel, Zoé Sfez - CULTURE | Cartographie d’une politique culturelle au bord du gouffre. MÉDIAS | Jérôme Lefilliâtre a enquêté sur le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky qui a fait son entrée au sein du capital du journal Le Monde en 2018. ÉDUCATION | Coronavirus : quels outils pour étudier à distance ? - invités : Laurence Herszberg Ancienne directrice générale du Forum des images, elle dirige actuellement le festival international Séries Mania; Jérôme Lefilliâtre Journaliste à Libération, auteur de "Mister K. Petites et grandes affaires de Daniel Kretinsky"; Michael Moreau Journaliste, auteur de "Les plumes du pouvoir"; Emmanuel Paquette Journaliste à l'Express, spécialisé nouvelles technologies et médias
Milliardaire tchèque de 44 ans, Daniel Kretinsky est entré avec fracas sur les marchés européens de l’énergie, de la distribution, et aujourd’hui des médias. Il est d’ailleurs devenu l’un des actionnaires du journal Le Monde en 2018. Qui est Daniel Kretinsky ? Comment a-t-il construit sa fortune, et quelles sont ses ambitions futures ?Thomas Rozec reçoit Jérôme Lefilliâtre, journaliste à Libération et auteur de « Mister K » (éd. du Seuil, 2020).CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en mars 2020 dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Mathieu Thévenon. Chargée de production et d’édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Centrales à charbon, médias, grande distribution... L'homme d'affaires tchèque investit tous azimuts sans qu'on comprenne toujours sa stratégie. Ni le personnage.L'Express propose à ses abonnés d'écouter l'intégralité du magazine la veille de sa parution en kiosque le jeudi : tout l'hebdo en version audio, cinq heures d'écoute, à partir de l'application, même en mode non connecté. Pour accéder à l'intégralité de L'Express audio, téléchargez l'application de L'Express et abonnez-vous, le premier mois est gratuit. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Actionnaire contesté au journal Le monde, le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, 44 ans, multiplie les acquisitions en France. C'est notre Portrait d'Aujourd'hui l'éco. Daniel Kretinsky cinquième fortune dans son pays est un industriel surdoué. Cet homme réputé discret a fait fortune dans le domaine de l’énergie. Voilà ce qu’il dit de lui-même dans une rare interview sur Canal + l’année dernière. « Je suis par éducation juriste. Je viens d’une famille tchèque absolument normale et mon métier d’aujourd’hui c’est vraiment entrepreneur. Je ne vis pas la vie d’un riche au sens d’avoir dix voitures, trois chauffeurs, des fêtes jour et nuit ; ce n’est pas mon style. Bien sûr si vous comptez la valeur des sociétés que je possède, ce sont des milliards d’euros. » Un investisseur européen Daniel Kretinsky possède aujourd’hui la principale compagnie d’électricité tchèque et le club de foot le Sparta Prague. Il a investi également en Europe. En France, il est monté au capital de Casino, le grand distributeur (propriétaire de Monoprix et de Franprix). C’est un des plus importants propriétaires de la presse française, avec l’achat de parts dans Le Monde, Elle, Marianne… Sa stratégie est bien rodée. Jean-Baptiste Naudet, journaliste pour Le Nouvel Observateur a enquêté sur lui. « C’est quelqu’un qui rachète des choses que personne ne veut. Il a racheté des centrales à charbon en France, mais il en a racheté en Angleterre, en Italie, en Allemagne, des choses dont personne ne veut parce que ce n’est pas politiquement correct, tout le monde essaye de s’en débarrasser. Il les rachète et il les retape. Dans la presse il a fait un peu près la même chose. Tout en pensant qu’on aura toujours besoin de la presse, on aura toujours besoin d’énergie et ça marche. Il gagnait mille euros par mois et là il en a trois milliards et demi, il est assez doué oui ! » Pourquoi Daniel Kretinsky a-t-il investi en France tout particulièrement ? « C’est quelqu’un de francophone, sa mère était francophone, qui a fait ses études de droits à Dijon, qui passe ses vacances en France, poursuit Jean-Baptiste Naudet. Quand il dit qu’il est francophile, amoureux de la France c’est vrai. Après tout a commencé avec le groupe Lagardère qui était vendeur, qui avait des radios à l’Est dont il voulait se débarrasser. Kretinsky a dit : je vais les acheter. Lagardère a dit : on a aussi ça à vendre, ça a commencé comme ça. C’est à la fois son centre d’intérêt personnel et des opportunités d’affaires. » Les investissements de Daniel Kretinsky dans les médias très critiqués Notamment le rachat des actifs de Matthieu Pigasse, un des actionnaires du journal Le Monde. Kretinsky détient de fait un quart du capital. Ses détracteurs craignent pour l’indépendance du journal. L’année dernière, les services français ont même enquêté pour s’assurer que Daniel Kretinsky ne défendait pas des intérêts russes. Il s’est expliqué sur Canal +. « Je suis tout simplement convaincu que la presse est absolument fondamentale aujourd’hui pour protéger la démocratie libérale en Europe. Sincèrement pour moi qui suis francophile, qui suis très attaché aux valeurs européennes, aussi avec une expérience historique parce que je suis né dans un système totalitaire gouverné par les communistes, sous le patronat soviétique, dire que je suis un agent russe ce n’est pas professionnel, c’est un mensonge ; il n’y a aucune raison pour pouvoir le dire, et cela me touche personnellement. Cet élément de la réaction française m’a déçu. » Déçu mais pas démotivé. Daniel Kretinsky compte bien continuer à investir et à embaucher. Ses entreprises emploient plus de 30 000 personnes dans le monde.
Les titres du flash de 12h20:- L’Arabie saoudite « en crise » à la suite du meurtre de Jamal Khashoggi, a déclaré le ministre saoudien de l’Energie. Il s’exprimait au forum économique à Riyad, un « Davos du désert » boycotté par des multinationales. Le président turc Erdogan a annoncé révéler aujourd’hui « toute la vérité » sur le meurtre du journaliste début octobre.- Christophe Castaner, nouveau ministre de l’Intérieur, annoncé sur le camp de Grande-Synthe dans le Nord. 1.800 personnes étaient en cours d'évacuation ce matin.- Direction l’Ecosse, Glasgow. Plus de 8.000 employés municipaux, dont une majorité de femmes, en grève aujourd’hui et demain. Elles demandent à être payées autant que les hommes.- Médias : Matthieu Pigasse aurait négocié cet été la vente de l’intégralité de ses parts dans le groupe Le Monde au magnat Daniel Kretinsky, rapporte Libération. Mais, sous la pression de proches, le banquier d’affaires aurait rétropédalé et vendu qu’une minorité de sa participation.- Santé: Le baclofène officiellement autorisé dans le traitement de l'alcoolisme, sous conditions, a annoncé l’Agence du médicament. Une longue route pour ce décontractant musculaire utilisé contre l'alcoolodépendance. - La plus vieille épave « intacte » au monde a été découverte au fond de la mer Noire, a annoncé une expédition scientifique anglo-bulgare. Il s’agit d’un bateau de commerce grec remontant à l'an 400 avant JC. Anne-Laetitia BéraudPour accéder aux précédents flashs de « Minute Papillon ! » sur votre smartphone, c’est par ici :- Vous êtes sur iOS- Vous êtes sur Android- Dans l’onglet « 20 Minutes Podcast » sur la page d’entrée de notre site.Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits – Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.