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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 19 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LECORNU ET LA QUADRATURE DU CERCLEArrivé à Matignon le 10 septembre, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a promis une inflexion sur la forme et sur le fond. Cinquième premier ministre de ce quinquennat, dépourvu de majorité absolue à l'Assemblée nationale, il va devoir affronter sans tarder les mêmes murs budgétaires et parlementaires que ses prédécesseurs. Il se trouve confronté à la délicate équation de trouver un compromis avec la gauche sans déplaire à la droite. La composition de la nouvelle équipe gouvernementale ne sera pas connue avant plusieurs semaines, puisque le chef de l'Etat a enjoint son Premier ministre de mener des discussions préalables avec les différentes formations politiques avant de bâtir son gouvernement.L'idée du Premier ministre de chercher un accord, sur le budget, mais également « sur deux ou trois textes forts », convient aux dirigeants de la droite. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a fait, en gage de bonne volonté, deux concessions : renoncer à l'« année blanche » – le gel des dépenses publiques – et à l'aide sociale unique, mais il ne transigera pas sur le « durcissement sur l'immigration » ou « l'assistanat ». Au-delà du « socle commun », Sébastien Lecornu devra obtenir au minimum une non-censure du Parti socialiste pour faire adopter le budget 2026. Le parti socialiste a défendu le 15 septembre à Matignon une position comprenant la suspension de la réforme des retraites, l'instauration de la taxe Zucman sur les grandes fortunes et la baisse du quantum d'économies à réaliser d'ici à 2029. À l'Élysée, on assure n'avoir fixé aucune ligne rouge au Normand. Pour ne fâcher personne, il a d'ores et déjà été acté qu'il ne procèdera à aucun débauchage au sein du Parti socialiste pour composer son gouvernement. À l'occasion de son interview le 13 septembre dans la presse régionale, pour amadouer les socialistes, Sébastien Lecornu s'est dit « prêt » à l'abandon de la suppression des deux jours fériés, à augmenter la fiscalité des plus riches, mais sans toucher à leur « patrimoine professionnel ». Quant à un aménagement de la réforme des retraites, il reste évasif, mais rejette un retour du « conclave ». Il ne renie pas la totalité de la copie budgétaire de M. Bayrou sur laquelle il devrait, en partie, se fonder. Mais il lui faudra peut-être aussi faire un geste sur le pouvoir d'achat et un autre sur les retraites, sans perdre le soutien des Républicains ou braquer le patronat, ni oublier la réduction du déficit ...Les Français n'accordent que 16% d'opinion favorables à Sébastien Lecornu, contre 40% d'opinions défavorables, selon le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par « La Tribune Dimanche » mais surtout ils le connaissent peu (argument avancé par 44% des personnes interrogées pour ne pas se prononcer). Le Premier ministre connaîtra bientôt sa première épreuve du feu parlementaire, puisque La France Insoumise a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure « dès le premier jour » de la session ordinaire, le 1er octobre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vanessa, comme chaque dimanche, vous nous emmenez en city break, cette fois-ci on part à Florence en Italie Pour emprunter un tunnel suspendu et secret : le Corridor de Vasari. Il a été entièrement restauré. Ce tunnel permettait aux Médicis de traverser la ville incognito en toute sécurité, du palais Pitti au Palazzo Vecchio. Vous pouvez désormais vous y promener sur 700 mètres de long au-dessus de l'Arno, le fleuve. Une manière originale de découvrir le centre historique. Cette visite s'effectue au sein des Galeries des Offices. Ce musée qui fait rêver le monde entier avec ses Giotto, Botticelli, Leonardo, Michelangelo. Il faut aussi aller au palais familial dans lequel il a vécu : la Casa Buonarroti. Des croquis, des dessins et des modèles en cire, en terre cuite, en bois et en plâtre pour des sculptures qui n'ont jamais été réalisées... Voici tout ce qu'il y a d'intéressant dans ce musée qui lui est dédié. Vous avez d'autres recommandations insolites à ne pas rater ? Le musée Galilée : l'un des plus importants musées d'histoire et de sciences au monde. Il y a même le télescope avec lequel il a découvert les montagnes lunaires et les satellites de Jupiter en 1609. Quant à mon 2ème lieu coup de cœur, pas besoin de télescope : c'est une librairie-cinéma dans un ancien palais : le Palazzo dello Strozzino, qui abritait un cinéma historique. Aujourd'hui, c'est un lieu de vie culturelle, le Cinema Palazzo : on vient regarder un film assis confortablement dans un siège en velours au balcon. Feuilleter et acheter des livres dans l'espace librairie au rez-de-chaussée ou faire une pause gourmande dans son café. Vous avez des bonnes petites adresses restaurants/hôtels ? Pour un apéritif au coucher du soleil face au Ponte Vecchio : le bar Picteau, juste au-dessus de l'Arno. Extraordinaire. La bonne petite osteria : la Tartuferia Mangiafoco. Si vous avez une passion pour la truffe, c'est pour vous. Quant à l'hôtel, le Gallery Hotel Art, une boutique-hôtel en mode galerie contemporaine à deux pas du Ponte Vecchio. Fiche pratique Les galeries des offices et le Corridor Vasari : Piazzale degli Uffizi 6 : www.uffizigalleriestickets.com. Billets à réserver en avance. La Casa Buonarroti située dans le palazzo à l'angle de la Via Ghibellina et de la Via Buonarroti Le musée Galilée : https://www.florence.fr/musee-galilee Le Cinema Palazzo / Giunti Odeon Piazza degli strozzi : www.giuntiodeon.com Le bar Picteau : https://www.lungarnocollection.com/fr/picteau-cocktail-bar/ Mangiafoco Osteria Tartufera : https://www.mangiafoco.com/ Gallery Hotel Art Viccolo dell'Oro 50123 Firenze + 39 055 27 263 : www.lungarnocollection.com La grenobloise Une garniture qui accompagne traditionnellement l'aile de raie. Ses origines sont assez inattendues : née à Grenoble il y a plusieurs siècles, cette sauce était destinée à masquer le goût un peu fort des poissons qui mettaient beaucoup de temps à arriver dans cette ville éloignée de la mer : pas de transport rapide réfrigéré à l'époque. La sauce est assez facile à réaliser : beurre noisette (le laisser se colorer mais pas le brûler) / des citrons pelés à vif et dont on prélève les segments / des croûtons de pain grillés ou poêlés / des capres / du poivre. Avec une aile de raie pochée dans un bouillon ou cuite lentement au four pour ne pas la dessécher. On peut aussi la servir avec d'autres poissons blancs : dos de cabillaud, bar, colin… Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis mardi, la Belgique célèbre les Journées nationales du sauna, organisées par l'association belge du sauna. L'occasion de mettre en avant une pratique ancestrale venue du Nord, inscrite depuis 2020 au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Présent depuis plus de 2000 ans, le sauna a évolué des fosses creusées dans la terre aux cabanes en bois, jusqu'à devenir un véritable art de vivre.Un rituel classique dure entre 10 et 15 minutes, suivi d'une immersion froide ou d'une douche glacée, puis d'un temps de repos. Les bienfaits sont multiples : réduction du stress, amélioration du sommeil, soulagement des tensions musculaires, meilleure circulation sanguine et élimination des toxines. Une parenthèse sans écrans ni distractions, où l'on se recentre sur l'essentiel.Mais le sauna sait aussi surprendre. En Lettonie, le Beer Spa de Riga propose un sauna parfumé à la bière, accompagné de gommages au houblon et de massages aux bouquets de bouleau. Dans le folklore local, le « Pirts » reste un rituel sacré mêlant chaleur, nature et purification. À Montréal, le Bota Bota, installé sur une péniche, permet de profiter du panorama urbain en se relaxant. Et aujourd'hui, certains constructeurs proposent même des cabanes flottantes privées.En Belgique, l'originalité prend la forme d'un sauna mobile, un tonneau sur remorque ou une tente chauffée au feu de bois, idéal pour un événement festif. Quant au Japon, il innove avec le « sabus », des bus réaménagés en saunas itinérants, où les boutons d'arrêt sont devenus diffuseurs de vapeur. Preuve que cette tradition millénaire continue d'inspirer partout dans le monde.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
On Mission Matters, Adam Torres speaks with Petra Bakosova, CEO of Hull Tactical, about her journey from futures trading to leading the firm's quantitative ETF strategies. Petra explains how the HTUS ETF leverages data-driven models to adjust S&P 500 exposure, why Hull prioritizes transparency, and the mission to democratize institutional-quality investing for everyday investors. Follow Adam on Instagram at https://www.instagram.com/askadamtorres/ for up to date information on book releases and tour schedule. Apply to be a guest on our podcast: https://missionmatters.lpages.co/podcastguest/ Visit our website: https://missionmatters.com/ More FREE content from Mission Matters here: https://linktr.ee/missionmattersmedia Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
On Mission Matters, Adam Torres speaks with Petra Bakosova, CEO of Hull Tactical, about her journey from futures trading to leading the firm's quantitative ETF strategies. Petra explains how the HTUS ETF leverages data-driven models to adjust S&P 500 exposure, why Hull prioritizes transparency, and the mission to democratize institutional-quality investing for everyday investors. Follow Adam on Instagram at https://www.instagram.com/askadamtorres/ for up to date information on book releases and tour schedule. Apply to be a guest on our podcast: https://missionmatters.lpages.co/podcastguest/ Visit our website: https://missionmatters.com/ More FREE content from Mission Matters here: https://linktr.ee/missionmattersmedia Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Akhil Khunger, VP Quantitative Analytics, Barclays, has more than ten years of experience in the field. Akhil develops statistical models to forecast balance sheets, revenue and probability of default. He has experience with time series modeling, statistical modeling, machine learning and building implementation frameworks using Python and other programming languages. Akhil, who has a master's in Financial Engineering from UC Berkeley and London School of Economics, has worked in CCAR and Bank of England stress testing and know the Basel III/IV framework, SR 11/7, SR 15-18, and SR 15-19. He also has experience managing junior model developers. In this episode: The worst year for modeling? Diving into models Working with big datasets Getting to the real reasons behind trends and data The power of stress testing What human judgement can bring to the table The AI component in forecasting
Entre 50 et 160 kilomètres au-dessus de nos têtes s'étend une région méconnue de l'atmosphère. Les scientifiques l'appellent l'ignorosphère, un surnom qui traduit bien l'état actuel de nos connaissances : presque rien. Cette zone, située entre la stratosphère et l'espace, reste l'un des grands angles morts de la recherche atmosphérique.Trop haute pour les avions, trop basse pour les satellitesPourquoi l'ignorosphère est-elle si mal connue ? Parce qu'elle occupe un territoire inaccessible. Les avions commerciaux plafonnent autour de 12 kilomètres d'altitude, les avions de chasse peuvent monter un peu plus haut, mais aucun ne peut atteindre durablement les 80 ou 100 kilomètres où commence cette zone. Quant aux satellites, ils évoluent beaucoup plus haut, à plusieurs centaines de kilomètres. Résultat : cette tranche de l'atmosphère est coincée entre deux mondes, trop éloignée pour nos moyens classiques d'exploration.Un rôle pourtant crucialCe n'est pas parce qu'elle est ignorée que cette zone est sans importance. L'ignorosphère influence directement les phénomènes météorologiques et climatiques à la surface de la Terre. C'est là que se forment certaines ondes atmosphériques qui transportent de l'énergie sur de longues distances. C'est aussi une région clef pour comprendre les interactions entre le rayonnement solaire et notre planète. Autrement dit, percer ses secrets pourrait améliorer nos modèles climatiques, affiner les prévisions météorologiques et mieux anticiper l'impact du Soleil sur nos systèmes de communication.Une découverte qui change la donneRécemment, des chercheurs de l'université Harvard ont proposé une idée révolutionnaire pour explorer l'ignorosphère. Ils ont mis au point des membranes ultra-légères capables de s'élever dans les airs grâce à une seule source d'énergie : la lumière du Soleil. Ces structures, parfois comparées à des voiles solaires miniatures, exploitent le flux lumineux pour générer une portance suffisante et atteindre des altitudes inaccessibles jusqu'ici.Vers une exploration inéditeSi cette technologie tient ses promesses, elle ouvrirait une voie totalement nouvelle. Ces membranes pourraient emporter des instruments de mesure, cartographier l'ignorosphère et enregistrer ses variations en temps réel. Contrairement aux fusées-sondes, qui offrent seulement des fenêtres d'observation de quelques minutes, elles permettraient un suivi continu. Ce serait une avancée majeure pour percer les mystères de cette zone restée dans l'ombre.Le chaînon manquant entre ciel et espaceEn somme, l'ignorosphère n'est pas seulement un vide entre deux altitudes : c'est un territoire scientifique encore vierge, mais essentiel. La possibilité de l'explorer grâce à la simple énergie solaire ouvre un champ d'investigation inédit. Peut-être découvrirons-nous que cette région recèle des dynamiques encore insoupçonnées, capables d'influencer le climat terrestre ou même nos technologies de communication.Longtemps inaccessible, l'ignorosphère pourrait bien devenir, grâce à la lumière du Soleil, le prochain grand terrain d'exploration de l'humanité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this week's ASEAN Speaks, our host Thilan kicks off with the latest tailwinds driving Southeast Asia's internet and telecom sectors.Hussaini, our TMT analyst, breaks down Sea Limited's Shopee momentum and AI-driven gaming push, then explains why he's bullish on Singapore Telecommunications and Indosat.Finally, Seng Yeow from our Quant team reviews Malaysia's 2Q earnings season, highlighting positive market sentiment and key portfolio rebalancing signals.Edited by Shaina and Sheryl
Pour la MASTERCLASS "FinTech les fondamentaux", c'est ici : https://finscale-masterclass.vhx.tv/Dans cet épisode, je reçois Roland Jais-Nielsen, fondateur de Hero, une FinTech qui s'attaque de front au problème structurel numéro 1 des petites entreprises : le besoin en fonds de roulement (BFR).Hero n'est pas une néobanque de plus : c'est une "suite BFR" conçue pour adresser les délais de paiement côté fournisseurs et côté clients. Avec des outils de financement ultra ciblés, une UX pensée pour les micros et TPE, et bientôt… une carte de crédit dédiée.Dans cet échange, Roland revient sur :Son move entrepreneurial entre Merci Handy et Hero ;Les angles morts laissés par les néobanques sur le cash flow ;Les choix forts pour construire un core banking propriétaire ;La conquête de plusieurs marchés européens dès le départ ;Les enjeux de régulation, d'agrément et de refinancement ;Et sa vision d'une finance digitale souveraine en Europe.Nous parlons de→ de factoring, de crédit court terme, d'UX produit,→ d'asset-backed lending, de fonds de dette,→ et de comment créer une infrastructure bancaire agile au service des “petits” – ceux que les banques traditionnelles peinent encore à adresser efficacement.***************************Je vous partage aujourd'hui le lancement de la Masterclass Finscale - une nouvelle étape pour accompagner celles et ceux qui naviguent dans les transformations en Cette Masterclass a UN SEUL objectifFournir une grille de lecture claire pour naviguer entre typologies de FinTechs, régulation, infrastructure et partenariats - disponible en ligne, en français et en anglais.Ce qu'on y retrouve :Les frictions entre institutions financières et FinTechsComment construire, acheter ou nouer un partenariat efficaceLes couches d'infrastructure : établissements de paiement, prestataires critiques, stacks techniquesL'exposition réglementaire et les stratégies de licences (AISP, PISP, EMI, RGPD, LCB-FT)Le coût réel de l'intégration : readiness API, fallback, responsabilités juridiquesLes modèles économiques FinTech (scalabilité, monétisation, impact réglementaire)Les signaux faibles souvent négligés par les investisseurs et les opérateursL'alignement juridique / tech / produit pour une résilience à long termeC'est ici.https://finscale-masterclass.vhx.tv/***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
C dans l'air du 11 septembre 2025 - Drones russes en Pologne : l'OTAN fait feuDans la nuit du 9 au 10 septembre, dix-neuf drones ont pénétré l'espace aérien polonais, un fait inédit pour un pays membre de l'Alliance atlantique. Des avions de chasse polonais et néerlandais ont été mobilisés et ont traqué les engins jusqu'au petit matin. Un avion-ravitailleur de l'OTAN, un avion-radar italien, ainsi qu'une batterie antiaérienne Patriot allemande ont également été déployés.Au moins trois de ces drones — des Shahed de conception iranienne, désormais produits en Russie — ont été abattus. Cette nuit a pris les allures d'un exercice grandeur nature de défense aérienne de l'OTAN… sauf que ce n'en était pas un. L'un des drones a été retrouvé à seulement 35 kilomètres de la frontière ukrainienne, un autre s'est écrasé à 130 kilomètres de Varsovie, et plusieurs ont percuté des habitations civiles.En Pologne, la population est sous le choc. Le Premier ministre, Donald Tusk, a dénoncé une « provocation » et mis en garde contre le risque d'un « conflit ouvert » avec la Russie. Il a aussitôt appelé à l'activation de l'article 4 du traité de l'Atlantique Nord, qui prévoit des consultations entre alliés en cas de menace pour l'un d'entre eux. Il a également demandé la convocation du Conseil de sécurité des Nations unies ce jeudi, afin de « porter l'attention du monde entier sur cette attaque sans précédent de drones russes ».De son côté, Moscou a nié toute intention hostile, affirmant ne pas avoir visé la Pologne. Le ministère russe de la Défense a dénoncé des « mythes » propagés par Varsovie pour justifier une escalade du conflit en Ukraine. Pourtant, 19 drones, ce n'est pas une erreur isolée. D'où l'hypothèse d'un test délibéré, destiné à jauger les capacités de réaction de l'Otan, des pays européens et des États-Unis.La réponse européenne a été immédiate. Outre la mobilisation de moyens aériens par plusieurs États membres, les représentants des cinq principales puissances européennes — Allemagne, France, Italie, Pologne et Royaume-Uni — se sont réunis mercredi à Londres pour condamner un acte « sans précédent ».Le Conseil de l'Atlantique Nord a modifié, jeudi, le format de sa réunion hebdomadaire, la tenant dans le cadre de l'article 4, comme le réclamait la Pologne. Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, s'est félicité de la rapidité de la réponse alliée face à cette « intrusion dangereuse, intentionnelle ou non », et a adressé un avertissement clair à Moscou : « Nous défendrons chaque centimètre du territoire de l'Otan. »Mais à Kiev, le président Volodymyr Zelensky a regretté le « manque d'action » des dirigeants occidentaux. Il a estimé que la Russie n'avait pas reçu de réponse ferme, qui aurait dû, selon lui, se traduire par des mesures concrètes.Quant à Donald Trump, il a réagi via son réseau Truth Social, dans un message énigmatique, au ton presque désinvolte : « Qu'est-ce qui se passe avec la Russie qui viole l'espace aérien polonais avec des drones ? C'est parti ! », a écrit le président américain.Alors, que s'est-il passé dans le ciel polonais ? Que révèle cette incursion de drones en Pologne ? Vladimir Poutine est-il en train de tester les limites de l'Otan ? Et quelle est la situation en Ukraine ?LES EXPERTS :- Marion Van Renterghem - Grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes- Gallagher Fenwick - Journaliste, spécialiste des Etats-Unis et des relations internationales- Alain Pirot - Journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Isabelle Lasserre - Correspondante diplomatique au Figaro
Cannabis has bipartisan support, but is it worthy of investment? Quant Strategist Emma Johnston covers how quant thinks about sector ETF MSOS (0:25). Buys becoming sells and vice versa (4:55). MSOS risks (8:18). US based stock picks (14:40). Is Green Thumb (GTBIF) a buy? (19:45)Show Notes:Have Cannabis Investors Been Early Or Wrong Or Both?Green Thumb Stands Alone. Billions In Debt Coming For MSOsCannacomparison portfolioAlpha PicksEpisode transcriptsFor full access to analyst ratings, stock and ETF quant scores, and dividend grades, subscribe to Seeking Alpha Premium at seekingalpha.com/subscriptions
Vous les avez sans doute déjà remarquées : ces colonnes cylindriques tournant devant les salons de barbier, ornées de spirales bleu, blanc et rouge. On les croise encore aux États-Unis, en Europe ou en Asie. Mais pourquoi ces couleurs ? Et surtout, que viennent faire le bleu, le blanc et le rouge sur une enseigne de coiffeur ?Une origine médiévaleL'histoire commence bien avant le simple rasage de barbe. Au Moyen Âge, les barbiers n'étaient pas seulement des coiffeurs : ils pratiquaient aussi de petits actes médicaux. On les appelait parfois les “barbiers-chirurgiens”. Ils saignaient les patients pour “purger” le corps, selon la théorie des humeurs, posaient des ventouses, arrachaient des dents ou recousaient des plaies. Bref, c'étaient de véritables praticiens polyvalents.Le symbole des couleursLes couleurs de l'enseigne rappellent directement ces pratiques. Le rouge représente le sang. Le blanc, les bandages utilisés pour comprimer et arrêter l'hémorragie. Quant au bleu, il symboliserait les veines, c'est-à-dire la circulation sanguine que l'on cherchait à contrôler avec les saignées.À l'origine, les barbiers accrochaient réellement des bandages ensanglantés à l'extérieur, enroulés autour d'un bâton, pour signaler leur activité. Avec le temps, cette image s'est stylisée en spirale colorée.Un objet codifiéDans certains pays, comme en Angleterre dès le XIVᵉ siècle, l'activité des barbiers-chirurgiens a été réglementée. Ils avaient même une enseigne officielle : un poteau surmonté d'un bassin, rappelant celui où l'on recueillait le sang. Le cylindre rayé, que l'on connaît aujourd'hui, est l'héritier direct de cette tradition.Pourquoi ces couleurs sont restéesMême après la séparation des métiers — les chirurgiens devenant des praticiens à part entière, et les barbiers se concentrant sur la coiffure et le rasage —, les enseignes ont gardé ce code visuel. Aux États-Unis, le bleu, blanc et rouge a parfois été interprété comme un clin d'œil patriotique aux couleurs du drapeau. Mais l'origine véritable reste médicale. En Europe, certaines enseignes n'affichent d'ailleurs que le rouge et le blanc.ConclusionL'enseigne de barbier est donc bien plus qu'un simple logo coloré. C'est un vestige d'un temps où se faire couper la barbe pouvait aller de pair avec… une petite saignée. Chaque spirale rouge, blanche et bleue raconte cette histoire insolite : celle des barbiers qui étaient aussi, autrefois, un peu médecins. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Topics CoveredSetting the global context: the $7 trillion daily FX market and its driversThe advantages of technical analysis in high-liquidity marketsRule-based systems and algos: strategies for 24/5 tradingKey FX trading approaches: trend, mean reversion, breakouts, session-based, and news-drivenDubai's financial rise: DIFC, regulation, and the time zone advantageThe role of the CMT Association and Women in Technical Analysis in shaping the future of financeUpcoming EventsSeptember 28 – CMT Riyadh Community Meeting: a premier forum for market professionals across Saudi Arabia and beyond.Register hereSeptember 30–October 2 – CMT Global Investment Summit in Dubai: an elite gathering of fund managers, strategists, and investors decoding cross-asset trends and innovations in global markets.Register hereWomen in TA dinnerVisit us at www.dantesoutlook.com
Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec le CEO et fondateur de Hero : Roland Jais-Nielsen***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
On pourrait penser qu'avec les moyens colossaux du IIIᵉ Reich et l'avance initiale de la science allemande, Hitler aurait pu mettre la main sur l'arme nucléaire. Pourtant, le projet n'a jamais abouti. Plusieurs raisons l'expliquent :1. Une science allemande affaiblie par le nazismeAvant 1933, l'Allemagne était une puissance scientifique majeure, avec des physiciens comme Einstein, Born ou Hahn. Mais l'arrivée au pouvoir des nazis bouleverse tout : les chercheurs juifs ou opposants fuient le pays. Résultat : une fuite des cerveaux vers les États-Unis et la Grande-Bretagne, qui vont nourrir plus tard le projet Manhattan.2. Une mauvaise orientation des recherchesLe régime nazi lance bien un programme nucléaire dès 1939, confié à Werner Heisenberg, grand physicien théorique. Mais l'équipe se disperse, les crédits sont insuffisants, et l'armée privilégie d'autres armes considérées comme plus efficaces à court terme (V2, chars, avions à réaction). Le nucléaire semble trop complexe, trop long à développer.3. Le problème de l'uranium et du plutoniumPour fabriquer une bombe, il faut soit de l'uranium 235 enrichi, soit du plutonium. L'Allemagne disposait de gisements d'uranium, notamment en Tchécoslovaquie, mais elle n'avait pas les capacités industrielles pour enrichir le minerai à grande échelle. Quant aux réacteurs expérimentaux, ils n'ont jamais atteint la masse critique nécessaire.4. Des erreurs stratégiques et théoriquesCertains historiens estiment qu'Heisenberg lui-même n'avait pas compris toutes les conditions nécessaires à la réaction en chaîne. Il pensait qu'il faudrait plusieurs tonnes d'uranium enrichi pour déclencher l'explosion, alors que quelques kilos suffisent. Cette erreur de calcul a contribué à faire croire que la bombe était hors de portée.5. Le poids du tempsEnfin, la guerre allait trop vite. Entre 1942 et 1944, l'Allemagne se bat sur plusieurs fronts et doit consacrer ses ressources à l'urgence militaire. Le projet nucléaire, très coûteux et incertain, passe au second plan. Pendant ce temps, les États-Unis, protégés par leur distance géographique et dotés de moyens financiers et industriels gigantesques, avancent à marche forcée vers Hiroshima et Nagasaki.ConclusionHitler n'a jamais eu la bombe atomique parce que son régime a affaibli la science allemande, négligé l'investissement massif nécessaire, commis des erreurs techniques… et surtout manqué de temps. L'Allemagne a préféré miser sur des armes “miracles” plus rapides à produire, comme les V2, mais sans comprendre que la véritable révolution militaire de la Seconde Guerre mondiale se jouait ailleurs : dans les laboratoires de Los Alamos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une semaine décisive qui s'annonce, avec, demain, le vote de confiance à l'Assemblée nationale, qui selon toute vraisemblance, verra le Premier ministre François Bayrou perdre la main. Mercredi, le 10 septembre, la journée de protestation « Bloquons tout ». Deux rendez-vous qui inquiètent les hebdomadaires. Le Nouvel Obs et Marianne, parlent même d'une « crise de régime ». « Après une réélection sans élan en 2022, des législatives sans majorité, une dissolution suicidaire en 2024 et une vraie défaite aux législatives qui ont suivi, voici Emmanuel Macron bientôt contraint de nommer son cinquième Premier ministre en trois ans », constate le Nouvel Obs. Il se demande si « cette crise inédite est le signe d'une Vème République à bout de souffle ou de l'échec d'une classe politique incapable d'inventer une autre pratique du pouvoir ». De son côté, Marianne s'interroge « sur le blocage total et la défiance généralisée qui posent la question de la survie du régime à court terme ». Procrastinations C'est dans cette atmosphère plutôt pessimiste que la presse tente d'envisager l'avenir. Pour ce qui est du prochain gouvernement, les socialistes, et particulièrement leur Premier secrétaire Olivier Faure, ont fait savoir qu'ils étaient intéressés. « Olivier Faure a vocation à revendiquer le pouvoir », estime François Hollande dimanche 7 septembre dans la Tribune Dimanche. Pas tendre avec son successeur, l'ancien président socialiste estime que « si le gouvernement de François Bayrou tombe demain, les procrastinations d'Emmanuel Macron ne peuvent plus avoir cours. Il doit nommer vite un Premier ministre et lui laisser la plus grande des latitudes pour assurer la présentation d'un budget dans les délais constitutionnels. Il ne peut être question de poursuivre la politique menée depuis 2017. » François Hollande ne va toutefois pas jusqu'à réclamer la démission du président : « Ayant occupé cette charge, sachant combien nos institutions doivent être respectées, je ne serai jamais de ceux qui appellent à la démission du président de la République ». Dette publique Quant à la situation économique, elle n'engage pas non plus à l'optimisme. L'Express, notamment, se désole de voir la France endettée jusqu'au cou. « Un médecin parlerait sans doute de déni. Ou de fuite en avant », nous dit l'hebdomadaire, « Il dresserait le diagnostic d'un patient incapable d'appréhender le réel. Le réel, c'est celui d'une société française, malade de sa dette publique et de ses déficits qui s'empilent méthodiquement depuis 1973, au gré des alternances politiques ». Le 8 septembre, poursuit l'Express, « François Bayrou va jouer son avenir politique, et surtout la crédibilité de la France, sur un chiffre : 44 milliards d'euros, la facture nécessaire pour commencer à infléchir la tendance et permettre enfin au pays de respecter les engagements pris à Bruxelles ». Et l'Express ironise sur ceux qui ne partagent pas ce point de vue, tel Olivier Faure. « Pour le patron du PS, le problème du déficit français ne serait pas celui d'une dépense publique obèse, mais de recettes faméliques en raison des cadeaux fiscaux accordés depuis 2017 » affirme l'Express, qui poursuit : « Pire, au cœur des revendications du nébuleux mouvement "Bloquons tout", cette phrase reprise par Jean-Luc Mélenchon (le leader de la France Insoumise) : "cette dette n'est pas la nôtre". » « Bloquons tout » Alors, précisément, ce mouvement qui appelle au blocage pour la journée de mercredi, est-il aussi nébuleux que l'affirme l'Express ? Pas vraiment si l'on en croit le Nouvel Obs, qui a fait la rencontre de celle qui, selon lui, a lancé le mouvement un soir de colère. Christelle 46 ans, ancienne « gilet jaune », habite dans le sud de la France, et selon le Nouvel Obs, elle veut rester anonyme. C'est elle qui, avec l'aide de ChatGPT, a écrit « cette lettre ouverte au peuple de France », dans laquelle elle s'exclame notamment : « Stop aux injustices, stop aux abus. Stop à ce système qui broie les humains pour nourrir les profits. Ce jour-là, nous ne sortirons pas : Pas de travail, pas d'école, pas d'achat. Pas de train, pas de métro… ». Une vidéo postée sur TikTok qui connaît un succès immédiat. « Le lendemain, raconte Christelle, je vois que la vidéo a fait plus de 300 000 vues, puis très vite 600 000. » Sur les réseaux sociaux, « on se dispute la paternité de l'appel », extrême droite et extrême gauche « s'étripent », nous dit le Nouvel Obs, qui cite également un sondage de la Fondation Jean Jaurès, selon lequel « 80 % des soutiens au mouvement se situent dans la gauche radicale ». Des soutiens auxquels le Parisien-Dimanche savonne la planche, évoquant « un caravansérail de revendications sans grande cohésion, parfois même contradictoires mais qui se retrouvent dans un même fond de sauce : le ras-le-bol. De quoi ? D'un peu tout, une exaspération toute française », estime le journal. On en saura sans doute plus, le 10 septembre !
U.S. Valuations: Deutsche Bank research shows that historically, high valuations have led to weaker 10-year returns, raising questions about long-term U.S. equity performanceAI and the Mag-7: The current rally is highly concentrated in mega-cap tech stocks, creating a potential disconnect between pricing and fundamentals.Global Equities & Currencies: State Street reports that the 9% year-to-date decline in the U.S. dollar has boosted international returns, with Europe benefiting mostSector Leadership in Europe: BlackRock highlights resilience in banks, aerospace & defense, luxury, and semiconductors, while remaining cautious on healthcareDiversification: AQR stresses the importance of liquid diversifiers, like trend-following strategies, in reducing risk and improving long-term returnsPortfolio Insights:Dantes Outlook Alpha Capture ETF Model Portfolio gained 2.33% in August, outperforming its benchmark by 30 bps.Key contributors: cyclical sectors, emerging markets, inflation beneficiaries (INFL), and Eurozone/U.S. bond exposure.Year-to-date results: Moderate +6.54%, Aggressive +32.67%, Conservative +9.45%Visit us at www.dantesoutlook.com to learn more.Email damanick@dantesoutlook.com to request a meeting.
« Un goût du thé amer », le second roman de l'écrivain Mohammed Alnaas, récemment traduit en français et édité chez « Le bruit du monde », revient à l'époque du slogan : « le pouvoir aux mains du peuple » et décrit une situation ubuesque et des querelles permanentes entre les habitants d'un village, Géhenne, dans la Libye des années 1990, du temps de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste de Mouammar Kadhafi. Quant au narrateur, dans cette fable moderne et audacieuse, il s'adresse à son lecteur tout en prenant un plaisir à se jouer de lui. Mohammed Alnaas joint par Houda Ibrahim. Vos romans s'attaquent à des sujets qui décrivent les spécificités de la société libyenne, une société restée longtemps fermée aux autres. L'écriture est-elle pour vous est un acte d'auscultation de cette société afin de la raconter, de l'exposer ? La société libyenne est restée méconnue des étrangers pendant un certain temps, et peut-être même est-elle restée méconnue d'elle-même. En dehors du sujet politique, il existe un manque de connaissances sur la Libye et le peuple libyen lui-même, que ce soit sous le régime de Mouammar Kadhafi ou même pendant la guerre civile qui a suivi la révolution de février 2011. L'enjeu ici, est que moi, en tant qu'individu, je me comprends mieux que je ne comprends la société libyenne, mais mon histoire personnelle est aussi l'histoire de la société, et en comprenant la société, je me comprends moi-même. Il est vrai que la société libyenne a ses spécificités, comme toutes les sociétés, mais l'idée est de toujours chercher, ce que cette spécificité a de commun avec les sociétés arabes, voire des sociétés de plus grande ampleur. Afin d'écrire sur l'être humain et son histoire, tout en écrivant sur le Libyen et en essayant de le comprendre. Dans votre second roman, Un goût de thé amer, à travers l'histoire d'un village, Géhenne, symbolisez-vous la guerre sans fin qui se déroule en Libye ainsi que le déchirement social ? Personnellement, je n'aime pas que le texte lui-même soit le reflet de la réalité. Le lecteur a certes le droit de percevoir ces intersections entre la réalité et le roman. Or, elles sont nombreuses. L'auteur pose les règles du jeu dès le début, indiquant que l'histoire n'est pas symbolique, mais vraie. Ce qui incite le lecteur à y croire. Il existe bel et bien des intersections entre les combats qui se déroulent dans le village de Géhenne et la guerre civile libyenne. Il semble que le point commun entre l'imaginaire et le réel réside dans une certaine absurdité de la scène elle-même. À lire aussiLa Libye lance le premier appel d'offres pétrolier depuis 17 ans La satire est-elle pour vous le meilleur moyen de raconter cette société ? J'ai débuté dans l'écriture par la satire. Il y a toujours une touche d'humour noir dans mes écrits, que ce soit dans mon précédant roman « Du pain sur la table de l'oncle Milad », ou dans ce roman même. Et auparavant aussi dans le recueil de nouvelles que j'avais écrit sur la guerre civile, la plupart de ces nouvelles avaient un ton dramatique ou sombre. Concernant ce projet, parfois, il n'y a pas de meilleure façon de décrire ce qui se passe, que la satire. Vous dédiez votre roman au fameux écrivain et penseur libyen Sadek alyhoum, quelle valeur représente-t-il pour vous ? Le roman est bien sûr dédié à El-Sadek, je le dédie également à d'autres auteurs et artistes satiriques qui m'ont personnellement influencé, comme Mohammed Al-Zawawi, le plus grand illustrateur de caricature libyen. Le roman lui-même a été initialement écrit dans le style de Mohammed Al-Zawawi, ainsi que celui de Mohammed Tamliya, l'écrivain satirique jordanien, et d'Ibrahim Hmaydan, l'écrivain satirique libyen. Tous ont influencé ma compréhension du rôle de la satire, de la comédie. Contrairement à beaucoup de Libyens qui admiraient les idées et les écrits critiques d'El-Sadek Al-Nayhoum, j'admirais moi sa satire, en particulier son recueil Histoires pour enfants. Il m'a profondément influencé par son style satirique et par sa façon de dessiner certains personnages libyens considérés comme stéréotypés. Ce stéréotype est déjà présent dans les dessins de Mohammed Al-Zawawi. Dans mon roman, un personnage comme Hajja Mabrouka, ressemble à ceux de Mohammed Al-Zawawi, d'El-Sadek Al-Nayhoum et même d'Ibrahim Hmaydan. Ces personnages ne sont pas nés de nulle part ; ils sont une sorte d'accumulation résultant de mes lectures et de mes observations sur la manière dont les Libyens qui m'ont précédé ont abordé la comédie. À lire aussiAu pays des hommes, un chef-d'œuvre de la littérature contemporaine Dans Un goût de thé amer, vous dénoncez également, un système économique installé par le régime Kadhafi et qui réduit en quelque sorte l'être humain à un être dépendant, sans aucune initiative, vous dénoncez cette volonté du pouvoir d'écraser l'être libyen ? Les politiques du régime Kadhafi ont transformé la Libye depuis la proclamation de l'Autorité populaire. Car le colonel souhaitait créer une nouvelle société. L'ironie est que l'objectif de cette nouvelle société était de susciter un esprit d'initiative en toutes choses. Dans toutes ses idées, par exemple, il affirme dans le Livre vert : « L'école est servie par ses élèves », ce qui signifie que l'école n'a pas besoin de personnel d'entretien ni d'employés, mais que ce sont les élèves qui s'en chargent… D'où le concept « des partenaires, et non pas d'employés ». Le régime repose fondamentalement sur l'initiative populaire pour prendre le pouvoir. Soit le peuple ne voulait pas prendre le pouvoir, soit Kadhafi n'a utilisé ces idées que pour accroître son emprise sur le peuple. L'ironie est que le peuple libyen a refusé de prendre l'initiative ou n'a pas trouvé le moyen de le faire. Le régime a véritablement influencé la formation de l'homme libyen. Toutes les politiques adoptées par le colonel Kadhafi et les fonctionnaires travaillant sous ses ordres ont conduit à la création d'une société déformée qui ne se connaît pas elle-même et qui est incapable de trouver des solutions aux problèmes auxquels elle est confrontée. La liberté d'expression en Libye est toujours entravée, même au niveau de la littérature, comment relevez-vous ce défi ? Aujourd'hui, les restrictions imposées aux écrivains libyens se multiplient. Elles sont sociales, religieuses, politiques et sécuritaires. Les restrictions se multiplient et sont pour la plupart inconnues. L'écrivain se retrouve à nager dans un puits dont il ignore le fond. Ceux qui aiment nager explorent eux-mêmes à ce moment-là les dangers, et je suis de ceux qui aiment nager. Nous explorons des idées en cours de route et je relis toujours la scène, mais c'est surtout pour des raisons de sécurité personnelle. Lorsque j'écris, je ne reconnais pas ces restrictions et je les ignore également lorsque je publie. Je ne les regarde pas.
Dans cet épisode de Finscale, j'accueille Pierre-Adrien Domon, CEO de Fund Channel, plateforme de distribution B2B de produits d'investissement (fonds, ETF, actifs privés).Nous revenons sur :L'émergence de l'open architecture au début des années 2000 et le rôle des plateformes dans la mutualisation des contrats, des flux et des rétrocessions pour simplifier la vie des banques et distributeurs.La donnée comme nouvel actif stratégique : données de référence (produits, contrats), données transactionnelles (ordres, règlements), et surtout la donnée d'usage, véritable source de market intelligence pour les sociétés de gestion.L'impact des ETF et de la digitalisation : rendre les produits plus accessibles, introduire les fractions de parts et améliorer l'expérience des investisseurs retail grâce aux technologies et à une meilleure UX.L'ouverture aux actifs privés : comment FundChannel travaille à démocratiser l'accès à ces produits pour le retail tout en garantissant transparence et cadre réglementaire.Les grandes innovations récentes : passage du rôle de simple prestataire de back-office à celui de partenaire stratégique, co-construisant avec les banques et asset managers des solutions d'échelle.La tokenisation : une étape clé à venir, notamment pour les fonds monétaires, afin de gagner en efficacité et réduire les coûts, tout en maintenant la confiance dans les tiers financiers.À écouter si vous voulez comprendre comment la donnée, la digitalisation et bientôt la tokenisation transforment la distribution des fonds.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
Barcelona Principles 2025: What PR Pros Need to Measure Now (Episode 310) Episode Summary In episode 310 of That Solo Life, hosts Karen Swim, APR, and Michelle Kane break down the latest update to the Barcelona Principles and what it means for independent PR and communications pros. They cover the shift toward outcomes that matter to the C-suite, the stronger alignment with AMEC's Integrated Evaluation Framework, the role of qualitative and quantitative data, and why leveling up in measurement and AI will separate thriving practitioners from the rest. You'll walk away with practical next steps, resources, and a nudge to price your expertise for the true value you deliver. Keywords: Barcelona Principles 2025, AMEC framework, PR measurement, qualitative and quantitative metrics, AI in PR, PR outcomes, stakeholder sentiment, media relations, solo PR pricing, communications strategy. Episode Highlights 00:00 – 00:24 | Welcome back to That Solo Life 01:39 – 02:41 | What's new in the Barcelona Principles (2025 update + AMEC alignment) 02:49 – 03:05 | AVEs aren't it: Why outcomes beat output every time 03:28 – 04:24 | The business case: Tie PR to revenue, cost reduction, and executive priorities 05:01 – 05:23 | Quant + qual: Why both matter for effective evaluation 05:36 – 06:11 | From “audience” to “stakeholders”: Measuring sentiment and behavior change 06:12 – 07:11 | Stop fearing data: You already synthesize information—now measure it 07:01 – 07:11 | Two skills that will set pros apart: Measurement and AI 08:01 – 09:24 | Using AMEC's resources to build a measurement-first practice 11:02 – 12:26 | Measure your time and value: Why low-fee retainers undermine real PR work 12:37 – 13:01 | Plan → act → measure: Strategy comes first 13:16 – 14:07 | Career fuel: Leveling up skills can reignite your passion for the work 14:09 – 14:30 | Parting encouragement and next steps Highlights and takeaways: The Barcelona Principles update emphasizes business outcomes, not vanity metrics. Tie PR to revenue, cost of sales, risk mitigation, and reputation impact. Blend quantitative data (traffic, conversions, assisted revenue) with qualitative insights (sentiment, message pull-through). Use AMEC's Integrated Evaluation Framework to plan from objectives to outcomes. Price for the strategic and labor-intensive nature of PR—measurement begins at planning. Invest in AI and analytics skills to future-proof your practice. Related Episodes & Additional Information Resources mentioned: PR News: Barcelona Principles 4.0: Reinventing PR Measurement for a New Era AMEC: Barcelona Principles AMEC: AMEC Integrated Evaluation Framework (plan, measure, and evaluate end-to-end) Solo PR Pro (training, community, and tools for independent practitioners) Related episodes to queue next: The Measurement Strategy You Need to Grow Note: Links are provided for educational purposes. Always adapt frameworks to your client's specific goals, audiences, and market conditions. Host & Show Info That Solo Life is a podcast created for public relations, communication, and marketing professionals who work as independent and small practitioners. Hosted by Karen Swim, APR, founder of Words For Hire and President of Solo PR, and Michelle Kane, Principal of Voice Matters, the show delivers expert insights, encouragement, and advice for solo PR pros navigating today's dynamic professional landscape. Join us again! If this episode helped you, subscribe, rate, and leave a review—it helps more solo pros find the show. Share this episode with a colleague who's rethinking their measurement approach. Visit Solo PR Pro to keep leveling up your practice.
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Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec le CEO de Fund Channel, Pierre-Adrien Domon.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
Arrancamos con cómo la política industrial está moviendo el mercado: subsidios, el rol del Estado en semis (Intel/Nvidia) y por qué “el mercado festeja” ciertos anuncios. Entramos en la frontera gris entre política y finanzas con el caso Nancy Pelosi y los “trackers” que siguen sus trades. De ahí pasamos a una startup que conecta data scientists con modelos de inversión (quant para todos) y, sobre todo, nos metemos a fondo en un playbook práctico para idear y validar productos de IA: de “prompt → acción”, gestión de catálogos para e-commerce, cómo definir tu ICP, hacer research que sirva y aterrizar todo en un memo accionable. Cambiamos de frente hacia educación y hábitos: caída de la lectura por placer, “dream schools” y la oportunidad de crear propuestas más rápidas y alineadas al mundo real. Cerramos con economía del tiempo y del lujo: brokers de entradas premium, concierges, el valor de evitar fricción y cómo cambia el mindset cuando optimizás por tiempo en vez de precio.Capítulos 00:00:00 — Mercado y política industrial: Intel/Nvidia, subsidios y por qué “el mercado celebra”.00:07:00 — Política y mercados: el caso Nancy Pelosi y los “Pelosi trackers”.00:10:00 — Quant para todos: plataforma que conecta modelos de inversión con capital.00:15:00 — Playbook IA (parte 1): frameworks personales para idear con IA.00:16:00 — Prompt → Acción: casos de uso y “text-to-action” aplicado.00:18:00 — IA en e-commerce: catálogo, reglas y automatización que sí mueven la aguja.00:20:00 — Definir ICP y problema: cómo elegir a quién venderle y qué duele en serio.00:22:00 — Research que sirve: fuentes, señales y cómo no comerse el marketing de vendors.00:26:00 — Las 5 vías para idear: recap de enfoques + cómo bajarlo a un proceso.00:28:00 — Del idea al memo: estructurar y priorizar antes de construir.00:30:00 — Educación y lectura: caída del hábito, brechas y “dream schools”.00:37:00 — Oportunidad en educación: velocidad vs. currículas tradicionales.00:39:00 — Valorar el tiempo: anécdotas de viajes, atajos y decisiones de costo/beneficio.00:41:00 — Brokers y precios “sin clearing”: entradas premium, slots y logística.00:42:00 — Concierges y lujo funcional: pagar por eliminar fricción.00:46:00 — Mindset & cierre: cambiar la cabeza para optimizar por tiempo; sponsors.__Links del episodio:Pelosi Tracker: https://x.com/PelosiTrackerNumer: https://numer.ai/LLMs: https://www.linkedin.com/posts/jason-salt_llm-investor-network-activity-7365802204437368832-jL2L/__Tenes alguna pregunta? Escribinos y seguinos en:Twitter: @CristobaPerdomo y @llopatinLinkedin: Lucas Lopatin y Cristobal Perdomo yVisitá:Indie BuildWollef
Rates & Fed Policy: Markets are overly optimistic on rate cuts; inflation remains sticky, keeping the Fed cautious (DeepMacro).Equity Positioning: Systematic funds are heavily tilted toward equities, with allocations at or near record highs (MenthorQ).China Equities: Narrowing gap between H-shares and A-shares signals opportunity; liquidity and household cash provide strong support (HSBC).Market Breadth: Short-term indicators are overbought, but long-term breadth remains healthy (Dantes Outlook).Fixed Income: Attractive yields unlikely to return to pre-pandemic lows; belly of the curve (5–6 year maturities) offers a balance of income and rate risk (Vanguard).Municipals & Credit: Municipal bonds and investment-grade credit stand out as high-quality, inexpensive options.Equities: Active managers struggle against the Magnificent Seven; indexing provides a strong foundation, while Industrials, Financials, and Healthcare offer selective momentum opportunities (Morningstar, Dantes Outlook).Takeaway: Stay disciplined, revisit bond allocations, and avoid overstretching for yield or risk.
Dans cet épisode, je reçois Cyprien Delmeule, cofondateur de Wealthcome, une start-up qui équipe déjà plus de 600 cabinets de gestion de patrimoine, groupements et banques privées.Nous parlons ensemble de :L'illusion initiale de "l'iPhone du wealth management"… et la réalité des arbitrages.La difficulté de garder un outil simple dans un marché fragmenté et ultra réglementé.Pourquoi la data est devenue la clé pour les CGP : consolider, exploiter, transformer en opportunités de conseil.Comment Welscome a choisi de prioriser (et parfois renoncer) pour rester pertinent.Le défi d'éduquer une profession où la moyenne d'âge est de 52 ans, souvent peu tech-friendly. C'est une discussion franche sur les défis techniques, humains et réglementaires de la modernisation du patrimoine.À découvrir pour comprendre comment la technologie redessine la relation entre CGP et clients.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
Pour ce dernier épisode de notre série boycott, retour quelques mois en arrière, en mars 2025, avec des appels qui se multiplient sur les réseaux sociaux pour ne plus acheter de produits américains. Cette initiative qui prend sa source au Canada et en Europe du Nord fait partie dans un mouvement plus large de protestation envers la politique commerciale et anti-immigration de Donald Trump. Un appel au boycott du « made in USA » et qui va devenir viral sur internet. Nous sommes début 2025, un peu plus d'un mois après le retour de Donald Trump au pouvoir. Les médias se font l'écho de vidéos postées sur les réseaux sociaux mettant en scène des consommateurs dans des supermarchés ou chez eux incitant à ne plus acheter américain. « La guerre est officiellement déclarée et si vous êtes Canadien, c'est le moment ou jamais d'acheter exclusivement des produits canadiens », déclare une femme. « Montrons-leur avec notre porte-monnaie, qu'on ne peut pas faire n'importe quoi avec le Canada », dit une autre femme. C'est d'abord au Canada que le mouvement prend de l'ampleur dès le mois de février 2025 : le pays est alors sous le coup des droits de douanes américains, mais surtout des menaces de Donald trump, qui veut faire du Canada le 51ᵉ État américain. Les politiciens canadiens s'en mêlent, et notamment Doug Ford, le Premier ministre de l'Ontario, qui ordonne au plus grand revendeur d'alcool d'État d'arrêter de vendre des marques américaines. « À partir d'aujourd'hui, LCBO, le plus grand acheteur de vins et spiritueux au monde va commencer à enlever les produits américains de ses rayons. » À lire aussiAu Canada, un boycott des États-Unis à l'échelle individuelle « C'est un énorme coup dur pour les producteurs américains, Chaque année, la régie de la province vend pour près d'un milliard de dollars canadiens de vins, bières, cidres, pétillants et spiritueux en provenance des États-Unis. » Une décision qui ne sera pas sans conséquences, les ventes d'alcools américains s'effondrent de 80 % au Canada dans les semaines qui suivent. Quant au secteur du tourisme américain, il perd 12,5 milliards de dollars en dépenses de visiteurs. Tiktokeuse en français L'Europe n'est pas en reste. En France, des milliers de personnes appellent au boycott des produits de consommation « made in USA », tels que Nike, Coca-Cola, Starbucks ou encore le constructeur automobile Tesla qui voit ses ventes s'effondrer, avec notamment 86 % d'immatriculation en moins en Suède en juillet. Les pays scandinaves sont, eux aussi, fers de lance dans le boycott des produits américains. Au Danemark, un groupe Facebook intitulé « Boycottez les produits des États-Unis » dépasse les 94 000 membres. À lire aussiL'appel au boycott des produits américains Que reste-t-il aujourd'hui de ces appels au boycott et ont-ils été suivis d'effets ? L'influenceuse d'Urbania, Maria Kounkou tente une réponse : « Si les effets économiques pour certains secteurs ou entreprises sont bien réels, le boycott des produits américains reste surtout une arme politique ».
Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec le EO et co fondateur de Wealthcome, Cyprien Delmeule.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
Une défense du titre semée d'embûches : le PSG a hérité notamment du Bayern et du Barça, jeudi à Monaco, lors du tirage au sort de la phase de ligue de la Ligue des champions. Le tirage ne pouvait pas être facile, par nature, mais le résultat n'en reste pas moins impressionnant pour les Parisiens : réceptions du Bayern Munich, de Tottenham, de Newcastle et de l'Atalanta Bergame, déplacement à Barcelone, à Leverkusen, au Sporting Portugal et à l'Athletic Bilbao. "C'est la plus grande compétition de clubs au monde, c'est normal que ce soit difficile", a réagi le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi, présent à Monaco. Le club "a oublié la saison dernière, aujourd'hui on ne pense qu'à cette saison, match par match". Les deux autres clubs de Ligue 1 en lice, Marseille et Monaco, ont aussi eu droit à une grosse opposition. L'OM affrontera Liverpool, l'Atalanta, l'Ajax et Newcastle au Vélodrome, et ira défier le Real Madrid, Bruges, le Sporting Portugal et l'Union Saint-Gilloise chez eux. Quant au club du Rocher, il recevra Manchester City, la Juventus, Tottenham et Galatasaray, et se déplacera aussi au Real Madrid, à Bruges, chez les Norvégiens méconnus de Bodo/Glimt et les Chypriotes de Pafos. La phase de ligue va par ailleurs comporter de nombreuses affiches prestigieuses, comme lors de la première édition de cette nouvelle formule la saison dernière : Real Madrid-Manchester City, Inter Milan-Liverpool, Arsenal-Bayern Munich, Real-Liverpool, Bayern-Chelsea...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Enjoy your summer with this “BEST OF 97% EFFECTIVE” EPISODE! Tune in this fall for new episodes and more great content. Learn more about Michael Wenderoth, Executive Coach: www.changwenderoth.comSHOW NOTES:Peter Belmi, Professor at the Darden School of Business at University of Virginia, studies power, social class and inequality. We discussed how the beliefs we hold about ourselves – many formed by our class background – can perpetuate social inequality. We look at how the world and organizations are not a fair place, but where we the power to do something about that.SHOW NOTESEmbrace new things: Peter on Filipino food and HamiltonPeter's research in one sentence and why he focuses on inequalityHow your social class can shape what you view as a “good person” – and how that impacts what you will and won't do in organizationsThe conundrum: Why people from working class backgrounds may make better leaders – but often don't get into those positionsThe reframe: how re-thinking behaviors that feel “icky” can benefit usMillion $ question: So… how should I show up at my meeting next week?Before you seek power, you need to first ask this critical question!Think about power in a different way to “keep yourself in the game”Ends vs means, and how to ensure you don't get lost in the journeyDoes power corrupt?The value of “structured introspection” with a coachThe biggest barrier people have with power“Give yourself a shot” – agency, when you should opt outLeading with vulnerability without having it get used against you - “Being situationally appropriate” and “Powering up and powering down”Do we have a real self? Why U.S students often push back on the idea of “playing roles”How one student “created something out of nothing” to land the job she wanted (power skills in action)Personal qualities, positioning yourself strategically and relationship managementHow to Get Promoted: “Your job is to find the right people and get them excited about you.”How a controversial fashion blogger will piss you off – but can teach you about crafting a path to power (Peter's Bryanboy case study)Meta-lesson: How being judgmental causes us to stop learning – and holds us back from building power BIO AND SHOW LINKS:Peter Belmi is the Scott C. Beardsley Associate Professor of Business Administration at the Darden School of Business. His scholarship on the psychology of inequality has received numerous awards, and he was named one of the "30 emerging thinkers with the potential to make lasting contributions to management theory and practice" (Thinkers50). In 2018, Peter was named by Poets & Quants as one of the "40 Best Business Professors Under 40" and received the University of Virginia's Mead-Colley Award, a distinction given to the professor who embodies the Jeffersonian vision of an ideal teacher. Peter's work is published in leading psychology and management journals, and also been featured by The New York Times, The Wall Street Journal, and across the popular press. Email: BelmiP [at] darden.virginia.eduPeter's profile: https://www.darden.virginia.edu/faculty-research/directory/peter-belmiPeter's research on social class and confidence: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31107052/Cited research: Kraus, Cote & Keltner on Social Class and Empathic Accuracy https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/0956797610387613Peter and Melissa Thomas-Hunt's exercise “Leading with Vulnerability” http://store.darden.virginia.edu/leading-with-vulnerabilityDeb Gruenfeld: “Power up, Power down” https://www.youtube.com/watch?v=-skBaZ9o5vgPeter's Bryanboy case study: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2974849Michael's Award-winning Book, Get Promoted: https://a.co/d/2oRmqF4Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Psychologists Off The Clock: A Psychology Podcast About The Science And Practice Of Living Well
Think about the times you've assumed someone's behavior revealed exactly what they were thinking. Nicholas Epley, our guest for this episode, explains this as correspondence bias and, through his book Mindwise, teaches us about the concept of correspondence bias and explains how we often believe that a person's actions correspond directly to their mental state. You'll hear about his research into social cognition and how it reveals that while humans are generally adept at reading others, we frequently overestimate our accuracy. The episode also covers practical experiments on how engaging with strangers can significantly boost our happiness, despite our fears and misconceptions, and the importance of curiosity in overcoming social anxieties and making positive first impressions. Listen and Learn: How our unique “sixth sense” of mind reading, our ability to understand, predict, and connect with others' invisible thoughts, shapes human connection and survivalWhy our ability to read other people's minds is far less accurate than we think, and what makes understanding others such a difficult challengeWhy we often overestimate how well we understand those closest to us, and how even long-term partners are not as accurate at reading each other's thoughts and feelings as they believeWhat drives our brains to form first impressions in an instant, how overconfidence shapes the way we read others, and why moment-to-moment cues like facial expressions play a bigger role in social interactions than we often realize?How can you make a great first impression without overthinking body language or tricks, simply by staying curious and genuinely interested in the person you're talking to?How correspondence bias makes us assume people's actions reflect their true thoughts and feelings, why this can lead to misjudgments, and how showing confidence, curiosity, or kindness can positively influence how others respond to youCan striking up a conversation with a stranger boost happiness more than staying to yourself, even though we usually expect the interaction to go badly?Resources: Mindwise: Why We Misunderstand What Others Think, Believe, Feel, and Want: https://bookshop.org/a/30734/9780307743565 Nicholas' website: https://www.nicholasepley.com/About Nicholas EpleyNicholas Epley is the John Templeton Keller Distinguished Service Professor of Behavior Science and Director of the Center for Decision Research at the University of Chicago Booth School of Business. He studies social cognition—how thinking people think about other thinking people—to understand why smart people so routinely misunderstand each other. He teaches an ethics and well-being course to MBA students called Designing a Good Life. His research has been featured by the New York Times, Wall Street Journal, CNN, Wired, and National Public Radio, among many others, and has been funded by the National Science Foundation and the Templeton Foundation. He has been awarded the 2008 Theoretical Innovation Award from the Society for Personality and Social Psychology, the 2011 Distinguished Scientific Award for Early Career Contribution to Psychology from the American Psychological Association, the 2015 Book Prize for the Promotion of Social and Personality Science, and the 2018 Career Trajectory Award from the Society for Experimental Social Psychology. Epley was named a "professor to watch" by the Financial Times, one of the "World's Best 40 under 40 Business School Professors" by Poets and Quants, and one of the 100 Most Influential in Business Ethics by Ethisphere. He is the author of Mindwise: How We Understand What Others Think, Believe, Feel, and Want, and of a forthcoming book to be published in the fall of 2026 tentatively titled, Dare to connectRelated Episodes413. Validate with Caroline Fleck393. Supercommunicators with Charles Duhigg374. Developing and Deepening Connections with Adam Dorsay360. The Laws of Connection with David Robson329. The Power of Curiosity with Scott ShigeokaSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Émission La Méridienne Une oreille attentive remarquera que les élus sélectionnés par Laurent Besse sont plutôt « de gauche » : à dire vrai, ce sont avant tout d’anciens étudiants de la filière « Car’ Soc' » de l’IUT. Quant aux structures proposées par Arnaud Loustalot, on y entend souvent parler d’émancipation, d’éducation populaire. Simple coïncidence ? Peut-être pas. […] L'article La Méridienne – Chante, danse, Educ’ Pop’ ! est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Cette semaine, je m'entretiens avec Valentine Baudouin (Regvantage) pour explorer la transformation de la finance, la gouvernance des startups et les innovations réglementaires.Nous abordons :La gouvernance des startups et scale-upsComment les boards évoluent d'outils purement stratégiques à de vrais contre-pouvoirs, et le rôle clé des administrateurs indépendants.Les pactes d'actionnairesPourquoi les clauses good/bad leaver suscitent tant d'incompréhension et comment bien anticiper leur impact dès les premiers tours de table.L'évolution de la régulationDe la crise Madoff à aujourd'hui : un virage post-2008 centré sur la protection de l'épargnant, puis une phase d'ouverture pour accompagner l'innovation.Les grandes tendances FinTechLa montée en maturité des fintechs, de la recherche d'agréments européens dès le lancement à une ambition européenne dès le Day One.La tokenisation des fondsPourquoi cette innovation pourrait simplifier la distribution transfrontalière et alléger les processus opérationnels dans la gestion d'actifs.Un échange sans langue de bois sur les mutations profondes de l'industrie financière et les leviers pour mieux articuler innovation, gouvernance et régulation.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
Scholars, journalists and even some politicians often warn about the lack of critical thinking in contemporary public and private life. Alex Edmans picks up that alarm and warns that we’re regularly exploited by those who would use our own sloppy thinking and unconscious biases to mislead us. Edmans is a professor of finance at London Business School. His research interests are in corporate finance, responsible business and behavioral finance. He serves in leadership roles for the American Finance Association, Western Finance Association, Financial Management Association, British Academy and the Academy of the Social Sciences. He has spoken at economic forums, testified in the United Kingdom Parliament and been interviewed by many major news networks. He has won 28 teaching awards, was featured in “Thinkers50 Radar” and was named professor of the year by Poets & Quants in 2021. His latest book, “May Contain Lies: How Stories, Statistics, and Studies Exploit our Biases- And What We Can Do About It,” was published in 2024. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Plusieurs dizaines de militaires arrêtés, dont deux généraux, pour tentative de déstabilisation : parmi les personnes appréhendées, un Français, un officier en poste à l'ambassade de France, accusé par les autorités maliennes d'appartenir à la DGSE, les services secrets extérieurs français. Jeune Afrique confirme. Il s'agit bien d'un officier traitant de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). « Deuxième secrétaire de l'ambassade de France, il est en poste au Mali depuis un an, précise le site panafricain. Ce lieutenant-colonel, décoré de l'ordre national du Mérite, présente près de 30 ans d'états de service dans l'armée de l'air, selon des données publiques. » Toutefois, tempère Jeune Afrique, « son profil n'est pas celui d'un agent "sous légende" (sous couverture). Il est bien accrédité auprès des autorités maliennes en tant qu'agent de la DGSE. Il est d'ailleurs l'un des référents qui échange régulièrement avec ses homologues du renseignement malien dans le cadre de la coopération sécuritaire entre les deux États. » Aucune preuve contre l'officier français En effet, précise le site panafricain, « malgré les tensions diplomatiques successives aux deux putschs de 2020 et de 2021, puis à l'expulsion de l'ambassadeur de France à Bamako Joël Meyer, début 2022, la France et le Mali ont conservé une étroite coopération dans le domaine de la sécurité, du renseignement et en particulier du contre-terrorisme. Le poste occupé par cet agent au sein de l'ambassade est au cœur de ce dispositif. (…) Quant aux accusations de conspiration et de tentative de déstabilisation portées à son encontre, poursuit Jeune Afrique, Paris les dément formellement et les juge "sans fondement". Pour l'heure, aucune preuve de sa participation à un complot militaire n'a été présentée au public ni aux autorités françaises. » Précision encore du site panafricain : l'officier français n'a pas été autorisé « à recevoir la visite d'un avocat ni celle d'un représentant de l'ambassade, empêchant la vérification de son état de santé, tandis que certaines informations font état d'actes de torture perpétrés sur les officiers maliens arrêtés. La France table sur le fait que son agent soit libéré rapidement afin que l'affaire n'envenime pas ses relations bilatérales avec Bamako. » À lire aussiMali : le Français arrêté par les autorités est l'objet d'« accusations sans fondement », affirme Paris La sale guerre de la France au Cameroun À lire également, cet éditorial du Monde à Paris qui revient sur les activités troubles de la France au Cameroun entre 1955 et 1970. Durant cette période, relate le journal, « Paris a mené au Cameroun une guerre contre les mouvements indépendantistes, puis d'opposition, qui a causé la mort de dizaine de milliers de personnes et aidé à l'implantation d'un régime autoritaire dévoué à la France. Le silence qui enveloppait cette "sale guerre" constituait à la fois une insulte aux victimes, une faille historique et un énorme non-dit dans les relations entre les deux pays. C'est pourquoi il convient de saluer, affirme Le Monde, la démarche d'Emmanuel Macron qui, dans une lettre adressée au président camerounais, Paul Biya, rendue publique le 12 août, a reconnu qu'une "guerre" avait été menée alors au Cameroun par “les autorités coloniales et l'armée française“ et déclaré qu'il "assum[ait] le rôle et la responsabilité de la France". Il a ainsi fallu de longues années pour que la réalité de cette terrible “pacification“ opérée à huis clos, largement documentée depuis longtemps par des écrivains, des journalistes et des historiens, fasse l'objet d'une reconnaissance officielle. » Et Le Monde de conclure ainsi : « à l'approche de la fin du règne de Paul Biya, qui, en dépit de ses 92 ans, va briguer un huitième mandat présidentiel en octobre, à l'heure où le besoin de vérité historique agite toute l'Afrique francophone, il est temps d'en finir avec les non-dits franco-camerounais. » Une reconnaissance tardive et incomplète ? Reste que le travail de mémoire et de réparation n'est pas encore achevé, tempère Afrik.com : « si l'Élysée promet de mettre sur pied un comité franco-camerounais pour assurer la continuité de la recherche historique sur la période coloniale, il faut noter que, bien que symboliquement forte, cette reconnaissance arrive tard et reste incomplète. Elle évoque les exactions sans détailler les responsabilités et n'ouvre pas encore, pour le moment, une voie vers des réparations concrètes. » À lire aussiAppels sur l'actualité : Macron reconnaît officiellement la guerre française au Cameroun
“Knowledge used to be power, but it no longer is power. What you do with that knowledge—that's the skill.” In this must-watch episode for test takers, GMAC Zach speaks at length with Sergey Kouk from Admit Master about a skills-based approach to GMAT preparation. They discuss the common misconceptions surrounding the GMAT, the importance of reasoning skills over mere knowledge, and how to effectively prepare for the test using strategies akin to learning to drive a car. Sergey shares insights on building confidence, the significance of practice, and section-by-section analysis. The conversation emphasizes that the GMAT is not just about memorizing formulas but about developing critical thinking and reasoning skills necessary for success in business school and beyond. About Our Guest: Sergey Kouk is a rocket scientist turned GMAT instructor, who achieved a score of 750 on the GMAT after just 2 weeks of studying. He credits his success to the amazing teachers and mentors, who taught him advanced reasoning skills early in his career. He is the Co-Founder and CEO of Admit Master, a test preparation and admissions consulting company headquartered in Toronto, Canada. Sergey holds 3 university degrees, including an MBA. When he is not teaching prep classes, he spends time snowboarding or sailing a boat with his family. Sergey brings to this podcast over 15 years of experience teaching the GMAT to thousands of business school candidates, as well as insights from other experienced GMAT instructors and MBA Admissions Consultants at Admit Master, to help you get a great GMAT score and gain admission to your dream business school. Contact Admit Master: https://admitmaster.com/ Register for the GMAT: mba.com/register Chapters: 01:17 Sergey's Journey into Test Prep 03:13 Misconceptions About the GMAT 04:57 Knowledge vs. Reasoning Skills 12:06 The Importance of Practice and Feedback 18:35 The Role of an Instructor 22:30 Breaking Down Higher Order Thinking Skills 26:43 Applying Reasoning Skills to the GMAT 29:32 Questions to Ask in the Quant Section 32:05 Understanding Problem-Solving Strategies 33:27 The Power of Elimination in Reasoning 34:55 Effective Questioning Techniques 37:05 The Importance of Strategy Over Formulas 38:11 Comparing Quantitative and Verbal Skills 42:39 Preparing for Verbal Section 47:53 Integrating Data Insights with Reasoning 50:00 Building Confidence for Test Success 52:40 Starting Your GMAT Journey 54:38 Achieving High Percentiles on the GMAT 56:00 The Student Journey with Admit Master
Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec la fondatrice de Regvantage : Valentine Baudouin. ***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.
On this Live Greatly podcast episode, Kristel Bauer sits down with Corinne Low PhD, Wharton economist, mother, and author of Having It All: What Data Tells Us About Women's Lives and Getting the Most Out of Yours. Kristel and Corinne discuss some key contributors feeding into frustrations and overwhelm in navigating work/life as well as insights into ambition, goals, fulfillment and work-life balance. Tune in now! Key Takeaways From This Episode: Some common frustrations working mothers are facing Reframing what work is really about Tips to redesign work and life to support more fulfillment Insights into ambition Research into what women are looking for in the workplace How women are looking for predictability and structure in the workplace ABOUT CORINNE LOW PH.D Corinne Low is an Associate Professor of Business Economics and Public Policy at the Wharton School of the University of Pennsylvania. Her research focuses on the economics of gender and discrimination and has been published in top journals such as the American Economic Review, Quarterly Journal of Economics, and Journal of Political Economy. She was named one of Poets and Quants 40 MBA Professors under 40 in 2024. Her first book, Having It All, is forthcoming with Flatiron in September 2025. Corinne and her work have also been featured by major popular media outlets, including Forbes, Vanity Fair, The LA Times, and NPR. Corinne is the co-creator of the Incentivized Resume Rating method for measuring hiring discrimination, and regularly speaks to and works with firms looking to improve their hiring and retention practices. She has spoken to and advised firms like Google, IFM Investors, Uber, Activision Blizzard, and Amazon Web Services, in addition to teaching in Wharton's Executive Education programs. She has given talks to top academic institutions like Harvard University, Stanford University, and Oxford, as well as to organizations like the New York Federal Reserve, Brookings, and the US Department of Labor. She received her Ph.D. in Economics from Columbia University, her B.S. in Economics and Public Policy from Duke University, and formerly worked for McKinsey and Company. Outside of work, she is the co-founder and volunteer executive director for Open Hearts Initiative, a New York City based non-profit that aims to combat the homelessness crisis through pro-housing neighborhood organizing. Connect with Corinne Order Having It All: What Data Tells Us About Women's Lives and Getting the Most Out of Yours Website: https://www.corinnelow.com/ Instagram: https://www.instagram.com/corinnelowphd/ Linkedin: https://www.linkedin.com/in/corinne-low-64a0741b4/ About the Host of the Live Greatly podcast, Kristel Bauer: Kristel Bauer is a corporate wellness and performance expert, keynote speaker and TEDx speaker supporting organizations and individuals on their journeys for more happiness and success. She is the author of Work-Life Tango: Finding Happiness, Harmony, and Peak Performance Wherever You Work (John Murray Business November 19, 2024). With Kristel's healthcare background, she provides data driven actionable strategies to leverage happiness and high-power habits to drive growth mindsets, peak performance, profitability, well-being and a culture of excellence. Kristel's keynotes provide insights to “Live Greatly” while promoting leadership development and team building. Kristel is the creator and host of her global top self-improvement podcast, Live Greatly. She is a contributing writer for Entrepreneur, and she is an influencer in the business and wellness space having been recognized as a Top 10 Social Media Influencer of 2021 in Forbes. As an Integrative Medicine Fellow & Physician Assistant having practiced clinically in Integrative Psychiatry, Kristel has a unique perspective into attaining a mindset for more happiness and success. Kristel has presented to groups from the American Gas Association, Bank of America, bp, Commercial Metals Company, General Mills, Northwestern University, Santander Bank and many more. Kristel has been featured in Forbes, Forest & Bluff Magazine, Authority Magazine & Podcast Magazine and she has appeared on ABC 7 Chicago, WGN Daytime Chicago, Fox 4's WDAF-TV's Great Day KC, and Ticker News. Kristel lives in the Fort Lauderdale, Florida area and she can be booked for speaking engagements worldwide. To Book Kristel as a speaker for your next event, click here. Website: www.livegreatly.co Follow Kristel Bauer on: Instagram: @livegreatly_co LinkedIn: Kristel Bauer Twitter: @livegreatly_co Facebook: @livegreatly.co Youtube: Live Greatly, Kristel Bauer To Watch Kristel Bauer's TEDx talk of Redefining Work/Life Balance in a COVID-19 World click here. Click HERE to check out Kristel's corporate wellness and leadership blog Click HERE to check out Kristel's Travel and Wellness Blog Disclaimer: The contents of this podcast are intended for informational and educational purposes only. Always seek the guidance of your physician for any recommendations specific to you or for any questions regarding your specific health, your sleep patterns changes to diet and exercise, or any medical conditions. Always consult your physician before starting any supplements or new lifestyle programs. All information, views and statements shared on the Live Greatly podcast are purely the opinions of the authors, and are not medical advice or treatment recommendations. They have not been evaluated by the food and drug administration. Opinions of guests are their own and Kristel Bauer & this podcast does not endorse or accept responsibility for statements made by guests. Neither Kristel Bauer nor this podcast takes responsibility for possible health consequences of a person or persons following the information in this educational content. Always consult your physician for recommendations specific to you.
Send us a textTribhuvan Bisen is a co-founder of Quant Insider. We learn about his journey from his education to working at Deutsche and then starting Quant Insider. We also discuss the quant job and education market in India and what it takes to be a quant.Quant Insider:https://quantinsider.io/https://www.linkedin.com/company/quant-insider/Tribhuvan Bisen:https://www.linkedin.com/in/tribhuvan-bisen/OVVO Labs is a proud sponsor of Talking Tuesday with Fancy Quant!www.OVVOLabs.comSupport the show
Send us a textMental math is one of the most misunderstood (and feared) parts of the case interview. In this live Case Math Masterclass, we show you how to turn it into a strength.You'll learn the 3 types of case math you'll encounter, the 4-step process to master each one, and how firms actually evaluate your quantitative skills. Plus, watch a live demonstration to see what excellent case math looks like in action.If you've ever worried that math could tank your interview performance, this episode will give you the confidence and playbook you need to dominate.Additional Resources:Black Belt: 8+ hours of expert coaching with an MBB consultantCase Prep Plan: A step-by-step guide to getting ready on any timelineScoring Guide: See how MBB interviewers score casesMath Drills: Free drills to speed up your mental math abilitiesPartner Links:Stax is hiring! See open roles and requirementsListen to the Market Outsiders podcast, the new daily show with the Management Consulted teamConnect With Management Consulted Schedule free 15min consultation with the MC Team. Watch the video version of the podcast on YouTube! Follow us on LinkedIn, Instagram, and TikTok for the latest updates and industry insights! Join an upcoming live event - case interviews demos, expert panels, and more. Email us (team@managementconsulted.com) with questions or feedback.
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C'est à la Une de nombreux sites d'information maliens ce matin. Onze photographies un peu floues, dont celle d'un homme blanc, photos dont on peut penser qu'elles ont été prises après l'arrestation de ce petit groupe accusé de conspiration. « Tentative de déstabilisation : des noms révélés à la télévision nationale », titre Sahel Tribune, qui ajoute : « Bamako brise le silence : des officiers, des civils et un ressortissant français sont arrêtés pour tentative de fragilisation de la Transition. Un coup de filet qui en dit autant sur la fermeté du pouvoir que sur le climat de défiance ambiant ». « Parmi les personnes arrêtées », précise Bamada.net, figure « un ressortissant français présenté comme agissant pour le compte d'un service de renseignement français. Il est accusé d'avoir mobilisé des responsables politiques, des acteurs de la société civile et des militaires, dont les généraux de brigade Abass Dembélé et Nema Sagara ». Notons d'ailleurs que Nema Sagara est la seule femme figurant sur les photographies publiées hier. Quant au gouvernement, précise le Journal du Mali, « il affirme que la situation est maîtrisée et que l'enquête se poursuit pour identifier d'éventuels complices ». Animaux brûlés vifs Dans l'actualité africaine également : des incendies monstres dans le nord du Maroc. « Un vaste incendie ravage actuellement la forêt d'Amelay, située dans la province de Chefchaouen », annonce Africanews. « De puissantes colonnes de fumée s'élèvent au-dessus de la région, tandis que les flammes dévorent des hectares de végétation, attisées par des vents violents et des températures caniculaires (…) les autorités ont ordonné l'évacuation des habitations les plus proches, par mesure de sécurité. Les habitants ont décrit des scènes de panique et des flammes d'une intensité sans précédent ». Des habitants dont l'hebdomadaire marocain Tel Quel publie des témoignages. Mohamed Darraz, un agriculteur de 32 ans raconte : « Notre vie a basculé. Le feu a tout emporté (…) Certains animaux ont été brûlés vifs dans leurs enclos. Nous avons essayé de nous entraider, mais face à un tel incendie et au vent, c'était presqu'impossible ». Hier soir, le feu était circonscrit selon les autorités marocaines. Mais la prudence reste de mise. Tel Quel rappelle que « le Maroc est frappé par une sécheresse persistante depuis 2018, et subit actuellement une intense vague de chaleur accompagnée par le chergui, vent chaud et sec venu du Sahara, qui complique les opérations de secours ». Nous nous sommes retrouvés à l'eau À la Une également, un nouveau naufrage de migrants au large de l'île de Lampedusa, en Italie. « 27 morts, des dizaines de disparus » titre Africanews qui raconte : « Le bateau, parti de Libye, a chaviré à environ 20 kilomètres, au sud-ouest de l'île sicilienne. Parmi les soixante survivants, figurent des mineurs originaires du Pakistan, d'Egypte, de Somalie et du Soudan ». « Les recherches se poursuivaient hier » ajoute Média 24. Le journal marocain cite le témoignage d'une Somalienne, « qui a perdu son fils et son mari ». Elle a expliqué au journal italien Il Corriere della Sera « qu'elle avait son fils dans ses bras et son mari à ses côtés. Je ne sais pas comment, nous nous sommes retrouvés à l'eau. Les vagues les ont emportés tous les deux ». Selon l'OIM, l'Organisation Internationale pour les Migrations, ce sont au total deux bateaux qui étaient parti de Tripoli, à l'aube, avec environ 95 personnes répartie sur deux embarcations. « Mais après que l'un des deux bateaux a pris l'eau, les passagers ont grimpé sur l'autre, qui a chaviré sous la surcharge », explique l'OIM. Selon le HCR, le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés, « plus de 700 personnes ont déjà perdu la vie cette année », en tentant de traverser la Méditerranée.
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Tema del dia Com fem la selecció dels temes? Quant de temps necessitem per preparar un episodi? I per fer-ne la postproducció i la publicació? Avui us expliquem com funciona la màquina darrere dels micros. Som-hi! Vols que t'informem quan s'obri la inscripció del pròxim Campus d'Estiu? Escriu-nos a info@easycatalan.org! Mira l'episodi amb públic que vam fer a la llibreria Ona (https://youtu.be/hXZrSnvJcrM?si=tFP_4UyaFjd-jSEi). Bonus El Joan respon algunes preguntes més difícils que ens van fer arribar els oients: - Com podem fer que el català sigui més popular? - Per què Catalunya no és independent? Transcripció Andreu: [0:15] Bon dia, Joan! Joan: [0:16] Bon dia! Andreu: [0:18] Què, com estàs? Joan: [0:20] Jo estic rebentat, avui, perquè ja saps que estem fent la reforma a casa, i aquest cap de setmana he estat amb una escarpa i un martell picant, picant, picant, i tinc unes butllofes… Andreu: [0:33] Què són, les butllofes? Joan: [0:34] Són aquestes com bombolles o no sé com dir-ho, no?, aquesta mena de coses que apareixen a la pell quan tens fregaments amb alguna cosa, no? Jo és que amb la maça, com que no hi estic acostumat, no l'agafava prou fort o (alguna cosa) i feia com una mena de (fregament), i se m'han fet dues butllofes. Andreu: [0:50] Sí, o quan estrenes sabates noves i se't fa una butllofa al turmell, un fregament a la pell. Joan: [0:58] Sí. Andreu: [0:58] Bé, doncs jo puc dir que una setmana llarga després del Campus ja estic recuperat. M'ha costat, eh?, per això, recuperar-me, perquè va ser molt intens. No només va ser intens el Campus en si, sinó les setmanes prèvies o, sobretot, l'última setmana abans, que vam estar fent tots els preparatius, acabant de preparar totes les activitats, tots els detalls, i clar… això, m'ha costat. Aquest dissabte passat vaig fer una migdiada d'aquestes curatives i ja estic bé. Joan: [1:33] Molt bé, molt bé, molt bé. I una pregunta, és que jo tinc curiositat, perquè aquest any, al Campus, tot el que eren les sessions de conversa les has preparat tu, no? Bàsicament. Que altres anys ho havia fet la Sílvia. Andreu: [1:46] Sí. Bé, el primer any ho va fer la Sílvia, el segon any ho vam fer a mitges, ella i jo, i aquest any ho he fet jo. Joan: [1:53] D'acord. Jo, del Campus només vaig fer una classe, perquè normalment les feu tu i la Sílvia, bé, classe, una sessió de conversa d'aquestes, i del material que vas preparar crec que no vam passar dels primers 15 minuts que tu havies previst. Tu vas aconseguir fer servir tot el material? Andreu: [2:09] Sí! Sí, sí, jo ho vaig gastar tot. Però clar, vaig fer-ho sabent quanta estona em dura a mi una activitat. No? Clar, els tempos eren segons la meva percepció, la meva manera de fer, però per a tu és diferent. I per a la Sílvia segur que també. Però bé, Joan, què, estàs content amb el Campus? Joan: [2:31] Sí, va anar molt bé, no? Vaja, no ho sé, un èxit d'assistència. Aquest any, quan vam fer aquell moment que fem ara ja, jo crec que ja és tradició, de fer una valoració amb els participants, hi havia molt poques crítiques. D'altres anys havia sigut potser més… Andreu: [2:47] És veritat. Sí, sí, fins i tot hi va haver un parell de persones que van dir… és a dir, posem en context els oients: al principi del Campus vam donar uns paperets als participants, un paper verd, un de blau i un de groc, i a cadascun hi havien d'escriure una cosa diferent, que eren els objectius que tenien respecte al Campus, els millors moments i propostes de millora. I això ho vam compartir l'últim dia, com dius, quan vam fer el taller de cuina i després el sopar. I hi va haver… crec que un parell de persones que van dir: "No canviaria res". No? Que no tenien cap proposta de millora. I llavors els hi vam dir: "D'acord, però llavors, si torneu l'any que ve i fem exactament el mateix, no us queixeu". Joan: [3:31] No sé si era per falta d'imaginació o perquè realment els va agradar molt. Andreu: [3:38] Des d'aquí, moltes gràcies a tots els que hi vau participar. Sé d'algunes persones que s'ho van estar pensant molt, algunes que no van poder, que volien, però no van poder venir. Llavors, bé, ara encara és aviat per anunciar el Campus del 2026, és molt aviat, però el que podem dir és que, per part nostra, hi ha la voluntat de fer-lo. Joan: [3:59] De fet, no sé si has anat a la web del Campus, però he posat un missatge que diu: "Si estàs pensant en participar al Campus de l'any que ve, segurament seran aquestes dates. Si vols, escriu-nos un missatge en aquest mail i t'apunto a una llista i t'avisarem". Andreu: [4:14] Exacte. O sigui, si voleu ser els primers a rebre informació, quan ja estigui… sigui oficial, que fem el Campus de l'any que ve, podeu escriure a info@easycatalan.org i llavors us mantindrem informats. Fes-te membre de la subscripció de pòdcast per accedir a les transcripcions completes, a la reproducció interactiva amb Transcript Player i a l'ajuda de vocabulari. (http://easycatalan.org/membership)
C'est un scandale qui couve, depuis des années, et qui éclate au plus mauvais moment pour le Danemark, confronté aux pressions de Donald Trump sur le territoire autonome du Groenland. Sur ces terres du grand Nord, les femmes inuites racontent désormais une oppression systématique. La stérilisation forcée de milliers d'entre elles entre 1966 et 1970, et une discrimination par le biais d'un test de parentalité qui aboutissait au placement de nombreux enfants par les services sociaux. (Rediffusion) En pleine crise diplomatique avec les États-Unis, le Danemark a finalement annoncé le 21 janvier 2025 la fin de ces tests tant décriés ! Quant à la parole, elle se libère... À Nuuk, Ottilia Ferey a pu recueillir le témoignage de ces femmes aux parcours brisés. La désinformation à Bruxelles 1 milliard 900 000 dollars, c'est le budget annuel consacré par la Russie à la propagande étrangère... C'est une des nombreuses informations mises à jour par une association qui met en lien des dizaines de chercheurs spécialisés dans la lutte contre les fausses informations. Le EU disinfolab a son siège à Bruxelles et notre correspondante Elena Louazon a pu leur rendre visite. Chasse à courre au Royaume-Uni C'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire. La chronique musique de Vincent Théval Avec le groupe anglais Tunng et leur titre Everything Else. Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
Que ce soit en France, au Japon, aux États-Unis... partout autour du globe, la question du métissage suscite le débat, voire déchaine les passions. Pourtant, nos sociétés sont de plus en plus cosmopolites. Au Brésil, par exemple, la population métisse est devenue majoritaire, selon les chiffres du dernier recensement publié en 2022. Quant au Québec, 5% des nouveau-nés avaient un parent natif du Canada et l'autre de l'étranger en 1980 ; cette statistique est passée à 12% en 2023, selon le bilan démographique du Québec. Avoir des origines multiples n'a donc plus rien d'exceptionnel, mais l'identité, l'appartenance n'en sont pas moins des sujets d'actualité. À la fois pour ceux qui demandent « tu viens d'où ? » et pour ceux à qui s'adresse la question. Le besoin de mettre son interlocuteur dans une case semble encore bien présent. Mais pourquoi s'intéresser aux origines de son voisin ? Par curiosité, pour comprendre la différence ou pour l'exclure ? Et comment vivre ses identités multiples quand on est métis ? Cette émission est une rediffusion du 7 avril 2025. Avec Maïka Sondarjee, professeure en Développement international et Mondialisation à l'Université d'Ottawa au Canada. Autrice de Tu viens d'où – réflexions sur le métissage et les frontières ? (Éditions Lux, 2025). En fin d'émission, ♦ un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot. Aujourd'hui, le portrait de Tisya Mukuna, le café à la mode kinoise. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Tisya Mukuna 32 ans, est née à Kinshasa. Elle a suivi l'essentiel de sa scolarité en France, entre la Normandie et Paris où elle a fait une école de commerce. Après un master en négociation des affaires en Chine, à Shanghai, elle a travaillé chez Microsoft, pour des agences de publicité ou encore une succursale de magasin bio. Il y a six ans, Tysia Mukuna décide de rentrer en République démocratique du Congo pour lancer sa marque de café, « La Kinoise ». Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée chez elle à l'automne 2024, dans son appartement de Kinshasa. ♦ un reportage de Tom Malki qui s'est rendu à l'exposition Game Story à Versailles en banlieue parisienne. L'exposition retrace 70 ans d'histoire du jeu vidéo. Une plongée dans l'histoire du jeu vidéo. L'exposition Game Story qui se tient jusqu'au 16 avril à Versailles, à l'ouest de Paris, vous propose de découvrir la plus grande collection de jeux vidéo et de consoles d'Europe et d'y jouer ! De quoi ravir les enfants, mais aussi les plus nostalgiques. Reportage de Tom Malki. Programmation musicale : ► Jëli – Amadeus feat. Waly B. Seck ► Ils me rient tous au nez – Theodora.
C dans l'air du 8 août 2025 - Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffeÉmission présentée par Salhia BrakhliaUn camouflet pour le gouvernement. Le Conseil constitutionnel a retoqué jeudi l'article 2 de la loi Duplomb, sur la réintroduction partielle de l'acétamipride, un néonicotinoïde réclamé par certaines filières agricoles, mais potentiellement dangereux pour l'environnement et la santé. L'institution, qui s'est appuyée sur l'article 1 de la Charte de l'environnement, souligne que ces produits ont des "incidences sur la biodiversité (…), ainsi que des conséquences sur la qualité de l'eau et des sols et induisent des risques pour la santé humaine". À droite et à l'extrême droite, on se désole de cette décision : "En se comportant comme un législateur alors qu'il n'en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis", a déclaré la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen. À gauche, on se félicite de cette censure, mais on espère que la loi sera carrément retirée après la pétition qui a récolté 2 millions de signatures : "Le président Macron devrait permettre une deuxième délibération pour qu'il y ait enfin un examen en Hémicycle et une réponse à la grande mobilisation populaire de cet été contre l'ensemble de la loi", insiste Aurélie Trouvé, la présidente LFI de la commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale. Quant au député Laurent Duplomb, il n'exclut pas un nouveau texte pour réintroduire le pesticide, en tenant compte des critères imposés par le Conseil constitutionnel.Cette petite victoire pour les défenseurs de l'environnement ne saurait cacher les nombreux reculs enregistrés ces derniers mois. Fin juin, le Réseau Action Climat a listé au moins 43 reculs sur les six derniers mois : suspension de MaPrimeRenov, soutien aux modes d'élevages industriels, coupe des aides sur les véhicules électriques et le vélo, reprise des travaux pour l'A69, la suppression des ZFE, ou encore des coupes budgétaires pour la transition écologique. Le camp présidentiel qui s'était engagé à faire de la transition écologique une de ses priorités a même participé à certains renoncements, à l'image des zones à faible émissions : "L'analyse des votes montre que, si ces reculs ont souvent été initiés par l'extrême droite ou la droite républicaine, le bloc central en a soutenu plusieurs ou a été trop divisé pour les contrer", analyse le Réseau Action Climat. Signe de ce relâchement, le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre a fortement ralenti l'année dernière, passant de 5,8 % en 2023 à 1,8 % en 2024.À Marseille, on pense les plaies après l'incendie, parti des Pennes-Mirabeau, qui a ravagé 750 hectares le 8 juillet. Un mois plus tard, les habitants du quartier de l'Estaque, où 90 maisons ont brûlé, se sont regroupés dans un collectif pour porter plainte contre X et réclamer des comptes à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ils estiment que les pompiers sont intervenus trop tard, et que le préfet n'aurait pas dû recommander le confinement aux habitants touchés par les flammes. "Quand [le préfet] a fait sa déclaration en disant qu'il a bien fait de confiner les gens, je me dis que si j'étais resté dans ma maison, j'aurais cramé", témoigne un membre du collectif auprès de Franceinfo.Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il censuré l'article 2 de la loi Duplomb ? Quel avenir pour ce texte controversé ? Comment expliquer les nombreux reculs sur l'environnement enregistrés cette année ? Et pourquoi des habitants de Marseille portent plainte après l'incendie des Pennes-Mirabeau ?LES EXPERTS :- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Bruno CAUTRÈS - Politologue - Chercheur au CNRS- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Antoine OBERDOORF - Journaliste politique - L'Opinion
C dans l'air du 5 août 2025 : Droits de douanes américains, Chine...l'Europe prise en étauÉmission présentée par Saliah BrakhliaLes nouveaux droits de douane de 15% entre les Etats-Unis et l'Europe entreront en vigueur jeudi. Mais déjà, plusieurs voix s'élèvent pour critiquer l'accord obtenu entre la Commission européenne et la Maison Blanche. Ancien ministre de l'Économie, Thierry Breton considère que cet accord est "déséquilibré", et qu'il a été imposé par Washington, alors même que l'Europe est le premier partenaire commercial des Etats-Unis. Ce week-end, l'ancien Premier ministre Michel Barnier a vivement critiqué Ursula Von Der Leyen, qualifiant la négociation d'"immense défaite". Parmi les secteurs les plus touchés, les produits pharmaceutiques (120 milliards d'euros d'exportation en 2024), et les vins et spiritueux (8 milliards) s'inquiètent de leur avenir. Le secteur du luxe devrait s'en sortir un peu mieux, en répercutant la hausse des droits de douane sur les prix. Quant à l'industrie aéronautique, elle a bénéficié d'une exemption de droits de douane.Autre victime de la guerre commerciale, l'industrie automobile est en berne : fin juillet, le groupe franco-italien Stellantis (Peugeot, Fiat, Chrysler…) a annoncé une perte de 2,3 milliards d'euros sur le premier semestre, notamment en raison d'une baisse des ventes de véhicules en Europe et aux Etats-Unis. En Allemagne, l'automobile est aussi en crise. Mercedes a annoncé fin juillet une chute de 69% de son bénéfice au deuxième trimestre, et Porsche de 91% par rapport à la même période en 2024. Le marché du véhicule haut de gamme allemand, qui se tournait avant tout vers la Chine, est confronté à un repli des consommateurs sur leur propre marché : ces derniers privilégient désormais les marques chinoises plus abordables et connectées, à l'image de la berline Xiaomi SU7, trois fois moins chère qu'une Porsche Taycan.Et les Chinois ne se contentent pas d'envahir le marché de l'automobile européen. Ils investissent également dans les autres secteurs clés. Fin mai, le groupe chinois Wanrun a ainsi repris Safra, le seul constructeur français d'autobus à hydrogène, qui avait été placé en redressement judiciaire depuis février. Le consortium chinois a repris pour 7 millions d'euros l'ensemble des activités du groupe ainsi que 120 salariés (sur 169). Ce rachat n'avait pas plu à tout le monde : "Au moment où le gouvernement en appelle à la souveraineté industrielle et veut renforcer les territoires d'industrie, (…) une nouvelle erreur se profile à Albi si le tribunal de commerce faisait le choix du groupe asiatique", avait pointé Jean-Louis Chauzy, le Président du Conseil Economique et social de Midi-Pyrénées. D'autant que l'offensive chinoise ne se limite pas à Safra : ces derniers mois, Vencorex, l'un des fleurons français de la chimie, et l'équipementier automobile GMD ont subi le même sort.L'Union européenne peut-elle espérer de nouvelles négociations sur les 15% de droits de douane imposés par les Etats-Unis ? Quels secteurs économiques vont être les plus touchés ? Comment expliquer les difficultés de l'industrie automobile européenne ? Et faut-il craindre les rachats d'entreprises françaises par les Chinois ?LES EXPERTS :- Éric ALBERT - Journaliste en charge des questions économiques et européennes - Le Monde- Sylvie MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors, auteure de "Géopolitique de l'économie"- Marc VIGNAUD - Journaliste économique - L'Opinion- François GEEROLF - Économiste - OFCE
What if index funds weren't as “passive” as you think? In this episode of the Rational Reminder, we are joined by Jim Rowley, Global Head of Investment Implementation Research, and Andy Mack, Head of US Equity Portfolio Management at Vanguard. These two experts offer a rare, behind-the-scenes look into what it really takes to run some of the world's largest index funds—and it's far from “set it and forget it.” From real-time trading decisions to managing $7 trillion globally, Jim and Andy walk us through how Vanguard implements index strategies with a precision that rivals any active manager. They challenge the traditional labels of passive versus active and show how thoughtful implementation, securities lending, FX execution, and IPO participation can add real value for investors—even in low-cost index products. Key Points From This Episode: (0:04) Why Vanguard's team was the ideal follow-up to Marco Sammon's index research (1:55) Why index funds aren't as simple as they seem: rebalancing, risk, and strategy (2:50) “Passive” is a misnomer: why index fund management involves active decisions (4:42) What excites Jim and Andy about index fund implementation (7:16) Risk-managed opportunities: how Vanguard adds value during secondary offerings (8:02) Debunking the active vs. passive label—think in terms of strategy characteristics (9:41) The subjective calls behind index construction and market definitions (12:00) The goal of a market-cap weighted index fund and how Vanguard tracks it (13:28) Why tracking error matters—and when it becomes a business risk (15:48) Indexing's advantage: predictable relative performance for portfolio construction (16:15) The real complexity of daily index fund trading and execution strategy (17:16) Vanguard's unique approach: PMs and traders are the same person in equities (18:52) The scale of VTI: how 24 global PMs manage trillions across time zones (20:48) Why Vanguard's culture treats every trade like it's client money (22:24) Andy's story of building Vanguard's FX desk and the hundreds of millions saved (24:04) Quant vs. human judgment in index implementation—why both matter (26:50) How fixed income index funds balance risk, liquidity, and security selection (27:46) Tools traders use to minimize price impact: algos, limits, and timing strategies (29:09) How index rebalancing impact has decreased thanks to market evolution (31:36) The hidden mechanics behind index inclusion/exclusion and price effects (33:40) Do index funds distort prices? Vanguard's view on elasticity and ownership (35:55) Stock dispersion and the case for continued price discovery (38:09) Why using passive funds doesn't mean being a passive investor (43:15) Jim's research: how “passive” funds are actively deployed by advisors (50:43) How Vanguard handles IPOs, buybacks, and market composition shifts (54:45) Active corporate action management: cash mergers, elections, and strategy (55:27) Responding to Marco Sammon's critiques on market timing and turnover (58:55) What would change if rebalancing were less frequent? (1:00:34) How securities lending and market advocacy add ongoing value (1:04:42) Should Vanguard launch a flexible, non-indexed total market fund? (1:06:26) Andy's biggest concern: system risks and rebalance day challenges (1:07:08) Jim's biggest concern: index funds aren't a free pass—investors still need discipline (1:08:03) Defining success: alignment with investors and living a balanced life Links From Today's Episode: Meet with PWL Capital: https://calendly.com/d/3vm-t2j-h3p Rational Reminder on iTunes — https://itunes.apple.com/ca/podcast/the-rational-reminder-podcast/id1426530582. Rational Reminder Website — https://rationalreminder.ca/ Rational Reminder on Instagram — https://www.instagram.com/rationalreminder/ Rational Reminder on X — https://x.com/RationalRemind Rational Reminder on TikTok — www.tiktok.com/@rationalreminder Rational Reminder on YouTube — https://www.youtube.com/channel/ Rational Reminder Email — info@rationalreminder.ca Benjamin Felix — https://pwlcapital.com/our-team/ Benjamin on X — https://x.com/benjaminwfelix Benjamin on LinkedIn — https://www.linkedin.com/in/benjaminwfelix/ Dan Bortolotti — https://pwlcapital.com/our-team/ Dan Bortolotti on LinkedIn — https://ca.linkedin.com/in/dan-bortolotti-8a482310 Editing and post-production work for this episode was provided by The Podcast Consultant (https://thepodcastconsultant.com).