POPULARITY
Categories
Invités : - Agnès Pannier Runacher, Ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France - Frédéric Encel, docteur en géopolitique Chroniqueurs : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Eliott Mamane journaliste - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Ophélie Roque, professeur de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Schickt uns eine Nachricht In dieser Episode sprechen wir mit Johanna Langhof von der MaLisa Stiftung über eine alarmierende Erkenntnis: Klimawandel und Biodiversitätsverlust – zwei der drängendsten Krisen unserer Zeit – spielen im deutschen Fernsehen eine verschwindend geringe Rolle. Gerade einmal 1,8 % der Sendezeit beschäftigen sich mit dem Klimawandel, Biodiversität kommt sogar nur auf 0,2 %. Warum ist das so? Und was bedeutet das für die öffentliche Wahrnehmung, insbesondere mit Blick auf Landwirtschaft und nachhaltige Ernährung?Johanna Langhof, Projektleiterin für Klima und Biodiversität bei der MaLisa Stiftung, gibt Einblicke in die Hintergründe der Studie und erklärt, warum mediale Sichtbarkeit so entscheidend ist, wenn es um gesellschaftliche Transformation geht. Wir sprechen darüber, wie ökologische Themen auch in Unterhaltungsformaten erzählt werden könnten, ohne dabei belehrend zu wirken. Es geht um neue Narrative, glaubwürdige Vorbilder, emotionale Identifikation und die Rolle von Film, Fernsehen und Social Media im Alltag der Menschen.Dabei werfen wir auch einen Blick auf landwirtschaftliche Praxis: Warum ist das Bild von Landwirt*innen in der Berichterstattung oft so verzerrt? Und wie kann es gelingen, die Realität – inklusive Herausforderungen, Innovationen und Lösungen – konstruktiv und sichtbar zu machen? Diese Folge markiert zugleich den Auftakt zu unserer Jubiläumsreihe: FiBL Focus nähert sich der 100. Folge – ein schöner Anlass, um neue Perspektiven zu öffnen. Und wie immer gilt: Wenn euch die Folge gefallen hat, teilt sie gern mit anderen und folgt uns auf Instagram unter @fibl_focus.Bei Fragen, Anregungen oder Kritik meldet euch bei uns. Schreibt uns eine E-Mail oder schreibt uns Kommentare auf Youtube oder Instagram Bis zum nächsten Mal, wir freuen uns auf euch, euer FiBL-Focus-Team.Diese Folge haben wir online aufgenommen, die Tonqualität entspricht daher leider nicht ganz unserem gewohnten Standard aus unserem FiBL Focus Studio.Länge 27 Min. und 42 Sek. Gast: Johanna Langhof (MaLisa Stiftung)Moderation Gespräch: Anke Beermann, FiBLWeiterführende Informationen: Studie zu Klimawandel und Biodiversität im Fernsehen: Repräsentation und Zuschauerwünsche — MaLisa StiftungÜber die MaLisa Stiftung: Für Gleichstellung, Klima- und Artenschutz Bild: Johanna Langhof (MaLisa Stiftung), Copyright: Diane von Schoen E-Mailpodcast@fibl.orgInstagram@fibl_focusWebsitewww.fibl.orgFiBL Focus ist der Podcastkanal des FiBL Schweiz, einem der weltweit grössten Forschungsinstitute für biologischen Landbau.
Invités : - Agnès Pannier Runacher, Ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France - Frédéric Encel, docteur en géopolitique Chroniqueurs : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Eliott Mamane journaliste - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Ophélie Roque, professeur de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Agnès Pannier Runacher, Ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France - Frédéric Encel, docteur en géopolitique Chroniqueurs : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Eliott Mamane journaliste - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Ophélie Roque, professeur de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Agnès Pannier Runacher, Ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France - Frédéric Encel, docteur en géopolitique Chroniqueurs : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Eliott Mamane journaliste - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Ophélie Roque, professeur de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Agnès Pannier Runacher, Ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France - Frédéric Encel, docteur en géopolitique Chroniqueurs : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia - Eliott Mamane journaliste - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Ophélie Roque, professeur de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que faire de notre corps après la mort ? L'incinérer ou l'enterrer (comme les déchets ménagers au passage) est un dernier hold up fait au Vivant. Il existe pourtant une 3e voie, saine et utile, de redevenir vraiment poussière : le compostage humain.En clair, au 21e siècle, à l'heure de la science triomphante et de chat GPT, nous avons (toujours) peur d'être mangés par des petits vers (!) Pour faire avancer ce schmilblick jusqu'alors tabou, un collectif s'est organisé en France (Humo Sapiens, pour une mort régénérative).___
Motorisierte Rasenmäher töten oft einen Großteil der Insekten im Garten. Andreas Kriesi von der Umwelt Arena gibt praktische Tipps, wie Sie trotz gepflegtem Rasen Lebensräume für Tiere erhalten und die Artenvielfalt fördern können.
Cette série propose l'intégralité de l'interview de Marc Mortelmans, le créateur de BSG, publiée dans le numéro d'août 2025 du magazine Terre sauvage. Elle est menée par Liliane Roudière, qui est aussi la cofondatrice du média féministe Causette (2009-2024).Celui ou celle qui a la ref des 4 titres de cette série gagne un resto ou un livre au choix;)Ces titres reprennent les vertus symbolisées dans chaque griffe du collier de Rahan, le "fils des âges farouches" :1- Générosité2- Courage3- Tenacité4- Loyauté5- Sagesse6- IngénositéNB : Ce personnage a été créé en 1969 par Roger Lecureux et André Chéret, dans le premier numéro de Pif Gadget. Pour les puristes, le collier de ce Tarzan blond avait 5 griffes jusqu'à l'album "Les Fils de Rahan" en 2002. L'ingéniosité s'est ajoutée depuis._______
Nos deux copains spécialistes des reptiles, Corentin Foucher et David Leduc nous parlent des "morphes" des serpents. les motifs et les couleurs d'une même espèce varient parfois énormément, au point de paraître d'espèces différentes !_______ Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes.___
Plongée sur les traces des plus extraordinaires habitants du grand bleu : méduses bioluminescentes, pieuvres caméléons, poissons mous des abysses... Pourquoi et comment toutes les formes de vie possibles et imaginables coexistent à toutes les profondeurs dans l'océan ? (Rediffusion du 17/03/25). Retrouvons-nous pour une plongée dans le sillage des extraordinaires créatures qui peuplent les océans : méduses bioluminescentes, poulpes caméléon, requins lutins, poissons lanternes ou poissons mous des abysses... Pourquoi et comment toutes les formes de vie possibles et imaginables coexistent à toutes les échelles et à toutes les profondeurs dans l'océan ? Source de toutes formes de vie sur terre... Avec Catherine Vadon, océanographe pour l'ouvrage Océans Insolites - Voyage au coeur de phénomènes naturels extraordinaires, paru aux Éditions Quae. Musiques diffusées pendant l'émission Eto - Naturo Issa Dakuyo - Mami Wata.
Plongée sur les traces des plus extraordinaires habitants du grand bleu : méduses bioluminescentes, pieuvres caméléons, poissons mous des abysses... Pourquoi et comment toutes les formes de vie possibles et imaginables coexistent à toutes les profondeurs dans l'océan ? (Rediffusion du 17/03/25). Retrouvons-nous pour une plongée dans le sillage des extraordinaires créatures qui peuplent les océans : méduses bioluminescentes, poulpes caméléon, requins lutins, poissons lanternes ou poissons mous des abysses... Pourquoi et comment toutes les formes de vie possibles et imaginables coexistent à toutes les échelles et à toutes les profondeurs dans l'océan ? Source de toutes formes de vie sur terre... Avec Catherine Vadon, océanographe pour l'ouvrage Océans Insolites - Voyage au coeur de phénomènes naturels extraordinaires, paru aux Éditions Quae. Musiques diffusées pendant l'émission Eto - Naturo Issa Dakuyo - Mami Wata.
Que faire de notre corps après la mort ? L'incinérer ou l'enterrer (comme les déchets ménagers au passage) est un dernier hold up fait au Vivant. Il existe pourtant une 3e voie, saine et utile, de redevenir vraiment poussière : le compostage humain.En clair, au 21e siècle, à l'heure de la science triomphante et de chat GPT, nous avons (toujours) peur d'être mangés par des petits vers (!) Pour faire avancer ce schmilblick jusqu'alors tabou, un collectif s'est organisé en France (Humo Sapiens, pour une mort régénérative).___
Vers une gouvernance partagée de la biodiversité mauricienne by TOPFM MAURITIUS
Thomas kommt aus Stockholm zurück - quasi direkt vom Flughafen ins Podcaststudio - und berichtet Hazel von seiner Stockholm-Reise, die gleichzeitig eine Vorbereitungsreise für Hazels erste abendfüllende englischsprachige Comedy-Show war. 00:00:00 Thomas in Stockholm 00:07:37 Popkultur in Schweden & wieso sind schwedische Leute schön? 00:14:54 Sommer in Schweden, Biodiversität & Ordnung 00:21:15 Vasa-Museum 00:27:26 Donnschtig-Jass & Hazels Trendfrisur 00:32:25 Mitbringsel & Unterhosen 00:41:43 Schwedisch lernen 00:49:46 Vegan essen in Stockholm 00:54:00 Hazels Auftritte in Schweden & weitere Mitbringsel 01:02:05 Taylor Tomlinson & Fotografiska 01:06:52 Austern-Testing Zeitstempel können variieren. Tickets für Hazels erste internationale Show in Stockholm am 27.08. https://biljett.scalateatern.se/sv/buyingflow/tickets/25048/106287#tixsp The science of why Swedish people are the sexiest https://www.thesun.co.uk/world-cup-2018/6693439/sweden-tall-blonde-attractive/ Petra Mede IG https://www.instagram.com/thepetramede Japan implementiert „duales Preis-System“ für Touristen https://www.ndtraveltours.com/japan-to-implement-dual-pricing-for-tourists-by-july-2025/ Thomas meint den schwedischen Musikproduzenten „Max Martin“ Donnschtig Jass https://www.srf.ch/sendungen/donnschtig-jass Boulevardfrisur über Hazels Trendfrisur https://www.blick.ch/people-tv/schweiz/comedy-star-hat-neu-trendfrisur-so-sieht-hazel-brugger-nicht-mehr-aus-id21083296.html Buch „Eat Your Greens“ https://gestalten.com/products/eat-your-greens?srsltid=AfmBOooilr4YaMKPJR3EjZWgN9Wkg5KXoxMgY31fKPIr4yVYA5xzyDyE Buch „Goon with the Spoon“ https://www.amazon.de/Untitled-Snoop-Cookbook-2-Dogg/dp/1797213717 Hiltl vegetarisches Restaurant Zürich https://hiltl.ch Hammerby IF https://de.wikipedia.org/wiki/Hammarby_IF Taylor Tomlinson https://www.instagram.com/taylortomlinson/ Thomas empfiehlt: Pizzeria Omnipollos Hatt https://www.instagram.com/omnipolloshatt/ Scalateatern https://www.instagram.com/scalateatern/ Vasa-Museum https://de.wikipedia.org/wiki/Vasa-Museum Saluhall https://ostermalmshallen.se Hilda Hilda Manufaktur https://www.hildahilda.se/de Björn Borg https://www.bjornborg.com/de/ Hermans https://www.instagram.com/hermans_givepeasachance/ Billie Eilish im Hermans https://www.instagram.com/p/DIuOiRbuDuJ/ Happy Atelier https://www.instagram.com/happy.atelier/ Fotografiska https://stockholm.fotografiska.com/en/exhibitions/anton-corbijn J Lindeberg https://www.jlindeberg.com/de-de Mini Rodini https://www.instagram.com/mini_rodini/ Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/hoererlebnis Du möchtest Werbung in diesem Podcast schalten? Dann erfahre hier mehr über die Werbemöglichkeiten bei Seven.One Audio: https://www.seven.one/portfolio/sevenone-audio
Dans cet épisode, l'ami Olivier Swift nous parle de l'extraordinaire parade nuptiale de la Barge à queue noire, une sacrée voltigeuse ... difficile à suivre pour un bioacousticien.Olivier parle aussi du Râle des genêts (Crex crex) ou Roi caille; Ce rallidé migrateur niche au sol. Il établit son nid à la mi-mai dans les prairies de fauche en Europe. Sa nidification dure deux mois. à l'automne, il migre dans le sud de l'Afrique.Autrefois commune, l'espèce est en fort déclin, victime de la disparition de son habitat et de l'intensification agricole entraînant une fauche des prés précoce fatale aux jeunes voire aux adultes eux-mêmes._______Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes.___
Les Poissons-Papillons sont des “butineurs” des récifs (130 espèces). Ils doivent leur nom à leurs extraordinaires livrées qui rappellent celles des plus beaux papillons et au fait qu'ils "butinent" leur nourriture dans les récifs coralliens. Ils sont le plus souvent rayés en blanc, noir et jaune. La plupart d'entre eux arborent un masque noir de zorro sur les yeux. La robe des juvéniles est souvent très différente de celle des adultes. Nous en verrons bientôt l'utilité.Leur museau tubulaire est doté de petites dents. Leur nom de famille vient d'ailleurs de là : chaetodontidae signifie “dents en forme de mini-poils” en grec. Souvent leur corps porte une grosse tache sombre, un ocelle, qui évoque un œil, ce qui peut effrayer d'éventuels prédateurs. Ces poissons sont inféodés aux récifs tropicaux. Ils se nourrissent de petits invertébrés, de plancton et parfois de corail et d'autres cnidaires, comme les anémones de mer. De nombreuses espèces de Poissons-Papillons sont considérées comme des bioindicateurs de l'état de santé des coraux. Leurs déjections contiennent des microalgues vivantes... que les jeunes coraux récupèrent comme colocs afin de vivre en symbiose.Ces déjections pourraient remédier au blanchiment du corail, phénomène provoqué par le réchauffement climatique. Ce "bleeching" tue le corail et menace à court terme les 3/4 des récifs coralliens de la planète... qui abritent 1/4 des espèces sous-marines connues. Des captures de Poissons-Papillons, dont les ancêtre sont arrivés depuis la mer Rouge via le canal de Suez, ont parfois lieu en Méditerranée, mais demeurent rares (cas de migration “lessepsienne”, du nom de l'ingénieur du canal de Suez). Ces poissons sublimes sont très appréciés dans les aquariums d'eau de mer… mais difficiles à nourrir, car leur alimentation est très spécialisée.___
Le plus vieil arbre au monde, et l'un des plus grands êtres vivants de la planète, pousse aux États-Unis. Un peuplier faux-tremble qui se développe depuis 80 000 ans par reproduction végétative. (1ʳᵉ diffusion le 1/12/2024) Un grondement, des craquements… C'est un son qu'on n'avait jamais entendu : les vibrations des racines et des millions de feuilles d'un arbre, enregistrées par l'artiste américain Jeff Rice, grâce à un micro posé dans la terre, sur une racine. Et ce n'est pas n'importe quel arbre : Pando, le nom qu'on a donné à un peuplier faux-tremble qui pousse dans l'Utah, aux États-Unis. Un arbre qui est aussi une forêt. Une colonie de clones Plus de 40 000 troncs émergent sur 43 hectares, tous issus d'un seul arbre, grâce à la reproduction végétative, quand l'arbre produit ses propres clones par drageonnage. « La plante peut émettre, à partir des racines, des prolongations qui émergent du sol et font une nouvelle plante, tout à fait similaire aux précédentes, puisque c'est le même patrimoine génétique, explique André-Jean Guérin, le coauteur d'un livre dont Pando est le narrateur, Des forêts, des arbres et des hommes (éditions EDP sciences). C'est comme cela qu'un individu comme Pando peut arriver à démultiplier le nombre de ses représentants, en quelque sorte. Chacun des arbres, en réalité, ne vit pas forcément très longtemps, 100 ou 150 ans maximum. Mais au total, cette colonie dure, paraît-il, depuis 80 000 ans. » À lire aussiCOP16: ce que la biodiversité (r)apporte à l'humanité Menacé par les cervidés Pando est ainsi le plus vieil arbre au monde. Mais pas forcément immortel, menacé par l'affluence des touristes, qui piétinent le sol et empêchent l'émergence de nouveaux drageons. Menacé surtout par des prédateurs. « Les grands mammifères herbivores sauvages boulottent les jeunes troncs de Pando, parce que les grands prédateurs carnivores ont été écartés de sa proximité. Lorsque Pando était plus jeune, il y avait encore des tigres à dents de sabre, un redoutable prédateur carnivore qui faisait fuir les cerfs, les rennes et les autres animaux qui pouvaient s'en prendre aux jeunes pousses de Pando, raconte André-Jean Guérin. Aujourd'hui, ils n'y sont plus, donc les avis autorisés qui ont étudié Pando considèrent qu'il est plutôt sous la menace et plutôt dans une phase de fin de vie. Mais ça peut durer encore des milliers d'années, bien plus que nous ! » Contrairement, à nous, humains, Pando n'a besoin de personne pour se reproduire.
Que faire de notre corps après la mort ? L'incinérer ou l'enterrer (comme les déchets ménagers au passage) est un dernier hold up fait au Vivant. Il existe pourtant une 3e voie, saine et utile, de redevenir vraiment poussière : le compostage humain.En clair, au 21e siècle, à l'heure de la science triomphante et de chat GPT, nous avons (toujours) peur d'être mangés par des petits vers (!) Pour faire avancer ce schmilblick jusqu'alors tabou, un collectif s'est organisé en France (Humo Sapiens, pour une mort régénérative).___
Leise, kaum sichtbar und doch wieder da – der Luchs kehrt zurück nach Deutschland. Einst wurde er hier systematisch ausgerottet, doch nun streift die geheimnisvolle Katze wieder durch deutsche Wälder. In dieser Folge von Living Planet – Der WWF Podcast widmen wir uns der Rückkehr der Luchse nach Deutschland. WWF-Experte Dr. Max Boxleitner gibt uns einen aktuellen Einblick, wie es um den Luchs in Deutschland steht und welche Rolle seine Wiederansiedlung für die Biodiversität spielt. Er erklärt uns die Lebensweise der Luchse, von der Fortpflanzung bis zu ihrer Rolle im Ökosystem. Wir beleuchten die Ursachen der Ausrottung des Luchses in Deutschland und erfahren, warum das Wildtier über lange Zeit aus unseren Wäldern verschwunden war. Doch nun kehrt der Luchs in seine Heimat zurück: Dr. Max Boxleitner nimmt uns mit auf die aufregende Reise der Luchsauswilderung in Deutschland. Erfahre, wie Luchse jetzt wieder angesiedelt werden, welche Herausforderungen dabei zu meistern sind und welche Erfolge bereits erzielt wurden, um diesen scheuen Tieren wieder einen festen Platz in der deutschen Natur zu gewähren.
Que faire de notre corps après la mort ? L'incinérer ou l'enterrer (comme les déchets ménagers au passage) est un dernier hold up fait au Vivant. Il existe pourtant une 3e voie, saine et utile, de redevenir vraiment poussière : le compostage humain.♻️Ce procédé, légalisé dans certains états étatsuniens, se heurte aux tabous. Mais 6 Français sur 10 souhaitent en tous cas que leur mort soit “régénérative”.
Trockene Sommer, kaum noch Frost, Stürme und Starkregen prägen in den letzten 20 Jahren unser Klima. Welche Auswirkungen hat das auf die Pflanzen in unseren grünen Oasen? Und welche Rolle spielen Wildpflanzen? Wie wir Hoffnung für eine nachhaltiger aufgestellten Planeten pflanzen können, verrät uns NABU-Expertin Marja Rottleb-Schega. Sie geht mit uns raus auf die Wiese oder auf den Balkon und gibt viele Tipps,was wir alle mit einfachen Mitteln für die Biodiversität tun können, selbst auf dem heimischen Fensterbrett. Die Folge sprießt nur so vor lauter Ideen. Wer mehr über Kraterbeete und Kräuterrasen wissen möchte, hat eine spannende halbe Stunde vor sich. In dieser Folge sprechen wir darüber: ✨ wie man kleine Ökosysteme schafft, die resilient gegen Wetter und Schädlinge sind und gute Laune machen. ✨ welche Wildpflanzen besonders geeignet sind. ✨ wie man Schädlingen begegnet. ✨ warum sich dranbleiben lohnt, auch wenn Nachbarn, Vermieter oder die eigene Familie vielleicht nicht immer auf der grünen Welle mitschwimmen. Hier findest du mehr über den NABU und seine Gartentipps
Il y a un an, Paris vibrait au rythme des Jeux olympiques et paralympiques. Aujourd'hui, il est désormais possible de se baigner dans la Seine, et ce, depuis le 5 juillet dernier. La qualité de l'eau du fleuve est en bien meilleur état qu'il y a 50 ans. Depuis une dizaine d'années, de nombreuses espèces y sont revenues, comme la moule d'eau douce alors qu'elle avait disparu. Une biodiversité surveillée de près à Bougival, où se trouve la station de mesure du programme MeSeine. Par Ellissar Mokadim « Ne vous inquiétez pas, on ne va pas couler. » Depuis un ponton sur la berge, on accède à une cabane flottant sur la Seine. De ce laboratoire à ciel ouvert, des techniciens analysent la vie du fleuve et recensent les espèces de poissons. Selon Sabrina Guérin, directrice Innovation du Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne, la biodiversité progresse nettement depuis plusieurs décennies. « Dans les années 1970, on en comptait que 3-4 espèces alors qu'aujourd'hui, c'est multiplié par 10. On en compte 36 espèces de poissons différentes. » Le système d'assainissement a été modernisé depuis 50 ans, bien avant les Jeux olympiques. Cela a permis de recréer un milieu favorable pour les poissons. Accroché à une poulie, un dispositif acoustique permet d'approfondir les connaissances des écosystèmes. Cet outil sort tout juste de l'eau. « Donc, vous avez ici le micro qui permet d'écouter sous l'eau. Cette nouvelle manière de suivre la qualité de l'eau non pas en termes de composition, en termes d'activité. » Ce micro peut même enregistrer le chant des poissons comme celui du gardon. Chaque son capté correspond à une espèce. Le paysage sonore de la Seine est constitué de chevaines, et de goujons : mais pas seulement, le technicien Robin Richoux a déjà eu quelques surprises. « C'est vrai que l'on a été surpris à quel point on pouvait entendre autre chose que les poissons. On entend aussi énormément les macro-invertébrés, des espèces qui sont en quantités énormes dans nos rivières. » Le retour de ces poissons sensibles à la pollution témoigne de la diminution des toxines dans l'eau : comme le phosphore et les bactéries fécales. C'était l'un des objectifs fixés pour les Jeux olympiques. Mais il reste encore à éliminer les microplastiques et les pesticides, rappelle Vincent Rocher, directeur Délégué Innovation Stratégie Environnement du SIAAP. « Aujourd'hui, on va devoir traiter les micropolluants sur nos usines de traitement. » Des travaux ont été menés par les collectivités, notamment : sur les mauvais branchements des habitations et des péniches dans la Seine. Les industries contrôlent davantage leurs rejets. Mais pour l'écologue Vincent Vignon, la pollution agricole doit aussi s'améliorer : « C'est nettement plus de la moitié du bassin versant de la Seine qui est agricole. Ce sont des phosphates, des nitrates, des trucs qui tuent des insectes ou des plantes, donc ce n'est pas formidable ». L'expert rappelle aussi la nécessité de renaturer les berges avec la création de zones humides ou la plantation d'arbres pour améliorer l'état écologique de la Seine. Les efforts réalisés pour l'assainir dans le cadre des Jeux olympiques ont permis le retour de certaines espèces. Mais des progrès restent à faire pour que le fleuve devienne un habitat durable pour la faune et la flore.
Emission du mercredi 30 juillet 2025 sur le Jardin Partagé des Roses destiné aux femmes qui ont vaincu la maladie en post-traitement pour jardiner mais surtout se rencontrer, échanger sur leurs expériences, partager leur appétit de vivre et s'apaiser. Lieu: Nonnenholzweg, au cœur du quartier maraîcher de Colmar. Mail: lejardinpartagedesroses@gmail.com Don sur HelloAsso : https://www.helloasso.com/associations/le-jardin-partage-des-roses Comment se reconstruire après un cancer ? Comment tisser du lien, se sentir moins seule, partager son expérience ou s'apaiser ? Toutes les réponses dans ce Mini Mag sur le Jardin Partagé des Roses, nouvelle association avec une Présidente et une Vice-présidente dynamiques qui vous accueillera avec plaisir ! Invitées : Cécile WEISS, Présidente du Jardin Partagé des Roses Catherine DOMINE, Vice-présidente du Jardin Partagé des Roses Diffusion: Mercredi 30 juillet 2025 de 12H à 12H30 sur RDL 103.5 FM Ecoutez la radio qui fait la différence sur www.rdl68.fr
Comment se mettre dans la tête d'une araignée ? Elles nous font peur et nous fascinent, habitent nos mythes et nos maisons, mais qui sont vraiment les araignées ? Suivez le fil pour découvrir leur monde minuscule, mais aussi leurs impressionnantes capacités cognitives et même leur vie sociale encore plus riche que leurs toiles. (Rediffusion du 16/12/24). Faisons enfin connaissance avec des bestioles aussi mal aimées que méconnues, qui habitent nos mythes et nos maisons dans lesquelles elles tissent leurs toiles : j'ai nommé les araignées, mais qui sont-elles vraiment ? Il est temps de tordre le coup à nos peurs et à nos préjugés pour porter un autre regard sur les quelque 52 000 espèces d'araignées décrites à ce jour (plus de 99% d'entre elles sont totalement inoffensives pour les humains et 100% indispensable à la biodiversité). Saviez-vous que ces ingénieuses et redoutables prédatrices d'insectes, tisseuses du fil de soie le plus fin et le plus robuste au monde ont des capacités cognitives surprenantes, et même une vie sociale ? Avec Raphaël Jeanson, éthologue, directeur adjoint du Centre de recherche sur la cognition animale à Toulouse. Pour son ouvrage Dans la tête d'une araignée, paru chez HumenSciences.
Laurent Charbonnier est cinéaste animalier. Il a réalisé les images de la plupart des films produits par Jacques Perrin et Nicolas Vanier.Au FIFO 2022, Laurent Charbonnier, premier lauréat de la première édition de 1985 (pour un film sur la Camargue), est venu animer une masterclass à propos de son film Le Chêne, co-réalisé avec Michel Seydoux.Marc a pu le rencontrer en compagnie de deux de ses amis et proches collaborateurs, deux autres professionnels installés comme lui en Loir-et-Cher : Martine Todisco et Philippe Barbeau. Martine et Philippe sont chefs opérateurs du son spécialisés en cinéma animalier. Philippe Barbeau a reçu, en 1997, le César du meilleur son pour Microcosmos : Le Peuple de l'herbe. et avait été nominé dans la même catégorie en 2011 pour Océans.Dans cette interview, Laurent évoque ses meilleurs souvenirs de tournage. En 2007 : il tourne près de 70 épisodes des Animaux amoureux, avec Jean-Pierre Bailly. Laurent a surtout été le chef opérateur de Jacques Perrin sur l'ensemble de ses films : Le Peuple migrateur, Océans et Les saisons. Il a aussi tourné pour Nicolas Vanier, Loup et Le Dernier Trappeur.Laurent a commencé à filmer en 1978 à 20 ans, atterré de constater la méconnaissance des gens concernant la nature, l'environnement, pourtant si proche d'eux. Ça vous rappellerait pas un certain podcast qui gratouille sous le gravillon ?Jacques Perrin s'est éteint jeudi 21 avril 2022 à l'âge de 80 ans. Ces 2 épisodes avec laurent Charbonnier lui sont dédiés._______Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.___
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
Forschende haben sich zusammengetan, um die Zusammenhänge zu verifizieren und Lösungsansätze aus dieser Polykrise zu zeigen. Kristin Kielon hat mit ihnen darüber gesprochen
Auch was wir im Alltag nicht sehr zu schätzen wissen, kann eine sehr wichtige Rolle spielen. Wir haben Judith Reise, Biodiversitäts- und Klimaschutzexpertin am Öko-Institut, gefragt, was Mücken mit unserer Schokolade zu tun haben.
Dans beaucoup d'endroits en France, beaucoup de poteaux routiers et/ou téléphoniques ne sont pas bouchés.Tous les oiseaux ou petits mammifères qui rentrent dedans ne peuvent plus ressortir. Ils meurent après des jours d'agonie.Didier Duchesne, administrateur de la FCPN, a pris le problème à bras le corps._______Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité pour la 38 e édition, fin octobre 2022. ___
Dur dur pour les oiseaux qui nidifient sur des îlots proches de la surface de l'eau. Une crue et tout fout le camp ... comme le raconte Adrien de la LPO Anjou._______Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité cette année, pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes.___
Et voici le tout dernier épisode Feel Good de la saison.Jeane vous propose un épisode estival dans lequel elle ouvre sa trousse de toilette éco-responsable, partage ses coups de cœur beauté, ses dernières lectures et ses découvertes engagées.Ressources utiles : Crème de jour Mimétique : https://c3po.link/QqfhUY2PSXContour des yeux Oden : https://c3po.link/Q9uNfUWnpgSérums Endro : https://lescotonsderomane.com/products/serums-bio-endroProtections périodiques Natracare (certifiées B Corp)Ouvrage Déployer sa vie comme un albatros, Déborah Pardo : https://bit.ly/3TG3Ek4Ouvrage de Et si on rentrait au bled en train ? de Nassira El Moaddem : https://bit.ly/40fnM04Roman Gracier la bête de Gabrielle Massiat : https://bit.ly/3UbqNL9Newsletter Ici la Terre par The Conversation
Die Aach im Oberthurgau ist ein Beispiel für die Herausforderungen unserer Zeit. Es geht um Natur, Schutz und Nutzung. Mitten drin sind zwei Tiere, die im Thurgau einmal fast ausgestorben waren: Der Biber und die Seeforelle. Weitere Themen: · Heute Nachmittag brannte auf der A13 zwischen Hinterrhein und Nufenen ein kleiner Autotransporter. Da die für den San-Bernardino-Tunnel zuständige Feuerwehr ausrückte, musste der Tunnel für rund 45 Minuten gesperrt werden. · Im Kanton Thurgau gibt es immer weniger Landwirtschaftsbetriebe. Der kantonale Landwirtschaftsverband warnt vor den Folgen. Beim kantonalen Amt heisst es, diese Entwicklung sei agrarpolitisch zum Teil gewollt. · Eine Serie der Regionaljournale: Heute geht es um die Sicherheit in der Chemieindustrie. Der Brand der Schweizerhalle hat nach fast 40 Jahren sicherheitstechnisch viel verändert.
Tierkadaver sind Hotspots biologischer Artenvielfalt und Lebensgrundlage für eine Vielzahl von Organismen – von Bakterien, Insekten und Pilze bis hin zu großen Räubern. Das ist das Ergebnis eines gemeinsamen Forschungsprojekts der deutschen Nationalparks, das seit zwei Jahren läuft. Auch im Nationalpark Schwarzwald werden gezielt tote Rehe und Hirsche ausgelegt. Christine Langer im Gespräch mit Dr. Jörn Buse, Sachbereichsleiter für Biodiversität und wirbellose Tiere im Nationalpark Schwarzwald.
Fecke, Britta www.deutschlandfunk.de, Forschung aktuell
La caravane du Tour de France est un temps médiatique fort pour un participant comme le zoo de Beauval qui la rejoint pour la première fois avec un objectif d'éducation sur la biodiversité. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée Anaïs Maury reviennent sur le rôle de préservation de Beauval.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Anaïs Maury (directrice communication, marketing et commercial du Zoo de Beauval). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photos : ZooParc de Beauval. Sons : Fun Rally 58, National Geographic, France tv sport, Lnplusmusic « Sport Sports Rock Music », TF1, Zoobeauval. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fecke, Britta www.deutschlandfunk.de, Forschung aktuell
Die Gartenberaterin Sonja Komar zeigt ihre Vielfalt-Farm im burgenländischen Loretto. Im vierten Teil der Serie spricht sie die Biodiversitätswiese an. Gestaltung: Rosemarie Burgstaller- eine Eigenproduktion des ORF, gesendet in Ö1 am 3.7.2025
Immer weiter haben wir Menschen uns in die Natur hineingedrängt. Über Jahrhunderte haben wir Tiere und Pflanzen - nicht nur ein Stück weit - aus ihrem Lebensraum hinausgedrängt. Aber erstaunlicherweise: Dort, wo wir uns zurückziehen, kommt die Natur zurück. Bäume wachsen, wilde Blumen blühen und Tiere werden wieder heimisch. Zum Beispiel auf dem ehemaligen Gelände eines Flughafens oder dort, wo vor Jahrzehnten noch die innerdeutsche Grenze verlief. Was ist damit gewonnen - auch für uns Menschen? Geht da noch mehr? An welche Grenzen stößt Renaturierung? Zum Beispiel in Wald und Feld, wo Menschen auf ihrem Besitz Forst- und Landwirtschaft betreiben? Ist es also wirklich so leicht, unsere Natur zu retten? Oder ist ein bloßes Zurückholen oder Zurückkehren-lassen der Natur nicht mehr als ein Tropfen auf den heißen Stein? In einem Wort: Sollen wir mehr Natur, mehr Renaturierung wagen? Hören wir dazu Franzisca Haffner von der Frankfurter Senckenberg-Gesellschaft für Naturforschung, Carl Anton Fürst zu Waldeck und Pyrmont, Präsident des Hessischen Waldbesitzerverbands und Kathrin Meyer vom Museum Sinclair-Haus für Kunst und Natur in Bad Homburg. Podcast-Tipp: SWR Kultur - Das Wissen Biodiversität in Städten - Ungeahnte Vielfalt in Parks und Mauerritzen Allein in Berlin gibt es über 20.000 Tier- und Pflanzenarten. Doch zunehmende Versiegelung bedroht die Vielfalt. Tierfreundliche Architektur und mehr ökologisches Bewusstsein könnten sie bewahren. https://www.ardaudiothek.de/episode/urn:ard:episode:8643e69ac8befd79/
L'été est là ! Alors que 84 départements sont en alerte canicule et que les vacances scolaires approchent à grand pas, je vous propose d'écouter ou de réécouter cet épisode qui porte sur le soleil, ses dégâts et les crèmes solaires qui peuvent nous protéger.L'exposition aux rayons (UV) reste l'un des principaux facteurs de risque de cancers de la peau, notamment le mélanome. “Avec les UV, le vrai danger, c'est de ne pas se protéger” telle est la campagne lancée par la FEBEA, la Fédération des Entreprises de la Beauté.
Cent soixante-quinze Etats réunis pendant cinq jours mais pour quel bilan ? L'UNOC, la troisième Conférence des Nations unies sur l'océan, s'est achevée sur le vieux port de Nice, vendredi 13 juin. Coorganisée par la France et le Costa Rica, elle s'est conclue par une déclaration des Etats participants, qui y ont réaffirmé un « engagement ferme en faveur de la conservation et de l'utilisation durable de l'océan ».A la différence d'une Conférence des parties (COP), un accord n'était pas forcément attendu à l'issue de l'Unoc. Des pays ont choisi de nouer des alliances sur des causes allant de l'interdiction de l'exploitation minière des fonds marins à un appel pour un océan plus silencieux.Pourtant, est-ce à la hauteur de l'urgence climatique alors que 30 % de l'océan devra être protégé d'ici à 2030 ? Quelles conséquences, le réchauffement climatique fait-il aujourd'hui courir aux mers du monde ? Enfin, quelles solutions pourraient être envisagées pour permettre à tous les usages marins de co-exister sans dégrader la biodiversité ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Léa Sanchez, journaliste au service Planète du Monde, décortique les enjeux derrière cette conférence.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait du discours d'introduction de l'Unoc prononcé par Emmanuel Macron le 9 juin 2025 à Nice.Cet épisode a été diffusé le 19 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Wohooo! Wir haben wieder ein Jubiläum zu feiern! Kaum zu glauben, aber mit unserem tierisch!-Podcast sind wir nun schon in 100 Folgen in die wilde Welt der Tiere gereist. Wir haben den Kaiserpinguin und das Okapi abgefeiert, die evolutiven Konzepte von Graufußtölpel und Hammerkopf infrage gestellt und über Bodenorganismen und Tiefseelebewesen gestaunt. Wir waren in den Nationalparks dieser Erde und in den entlegenen, wilden Winkeln der Natur unterwegs. Wir haben euch mit zu unseren Forschungsprojekten genommen. Es war eine tolle Zeit, und gefühlt kommen zu jedem Thema, das wir behandelt haben, drei neue hinzu. Seid also unbesorgt – wenn es nach uns geht, geht es noch mindestens 100 Folgen weiter. Heute feiern wir euch! Unsere wunderbare Community! Ihr habt uns zum Jubiläum auf Instagram und Spotify viele Fragen und Themenwünsche geschickt. Wir haben uns einen tollen Gast, oder besser gesagt Quizmaster, eingeladen: Erik Lorenz vom Weltwach-Podcast wird uns in dieser Folge eure Nachrichten präsentieren! Erik hat vor über zwei Jahren gemeinsam mit uns den tierisch!-Podcast aus der Taufe gehoben. Das Weltwach-Team betreut uns immer noch hervorragend, weshalb wir mit ihm unseren Dankesreigen starten: Erik, Miriam und Janna von Weltwach: Danke!!! Es macht so großen Spaß, mit euch zu arbeiten! Außerdem geht ein riesiges Dankeschön an unsere Unterstützer: den Förderverein Boddenlandschaft e. V., die Biodiversity Foundation und alle, die uns auf Steady unterstützen. Danke!!!Hinterlasst uns als Geschenk zu dieser Folge gerne eine Bewertung oder ein Abonnement in eurer Podcast-App! Und falls ihr es noch nicht getan habt, hört gerne in den tollen Weltwach-Podcast rein.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord. Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix. Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.
C dans l'air l'invitée du 13 juin 2025 avec Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche.Ce vendredi s'achève la troisième Conférence des Nations Unies sur l'Océan (UNOC 3), co-organisée par la France et le Costa Rica à Nice, en présence d'une soixantaine de chefs d'Etat. L'occasion pour Agnès Pannier-Runacher de dresser le bilan de ce sommet crucial pour ces écosystèmes marins qui recouvrent 70% de notre planète, apportent 50 % de nos besoins en oxygène et absorbent 90 % de l'excès de chaleur généré par les activités humaines.L'une des grandes avancées de cette conférence, permise par la France est le Traité sur la haute mer, dont l'objectif est de protéger ressources marines et la biodiversité dans les eaux internationales. Emmanuel Macron a garanti qu'il « rentrera en vigueur le 1er janvier 2026 ».Une avancée qui tranche avec de nombreux reculs sur le plan national : suspension de MaPrimRenov, suppression des ZFE, remise en cause du zéro artificialisation nette... Ce matin, le ministre de l'Industrie Marc Ferracci a même questionné la date d'interdiction de vente de voitures thermiques neuves en Europe.Autant d'arbitrages à réaliser dans un cadre budgétaire contraint. Agnès Pannier-Runacher,ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, reviendra sur autant d'enjeux pour l'avenir de notre planète.
En Irlande, les oiseaux disparaissent. Ce constat est le même sur tout le continent européenoù le nombre d'oiseaux a baissé d'un quart en quarante ans, selon une étude dirigée par le CNRS.Mais en Irlande, un homme a décidé de documenter cette disparition. Son objectif est simple : Sean Ronayne veut ouvrir les yeux, ou plutôt les oreilles, à ses compatriotes, sur ce phénomène engendré par l'activité humaine.Les oreilles, car le trentenaire enregistre les chants de toutes les espèces d'oiseaux de son île. Il y est presque et sa démarche l'a rendu célèbre.Réalisation : Maxime MametInvité : Peter Murphy, correspondant de l'AFP à DublinCrédit extrait conférence : The Conference / Media EvolutionSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode a été réalisé en co-création avec la Fondation Yves Rocher, merci à eux de soutenir le podcast ! Jacques Rocher a grandi à La Gacilly, petit village breton situé dans le Morbihan. En 1991, aux côtés de son père Yves Rocher, il fonde la Fondation Yves Rocher pour agir concrètement en faveur de la nature. Trente-cinq ans plus tard, cette fondation, désormais reconnue d'utilité publique, est devenue un acteur majeur de la préservation de la biodiversité. Chaque année, la Fondation Yves Rocher soutient et permet le développement d'une multitude de projets engagés à travers le monde. Dans cet épisode, Jacques revient sur son parcours et les rencontres qui ont marqué sa vie : Wangari Maathai, Sadguru, le chef Raoni… Il nous parle du sommet de la Terre de 1992 à Rio, de ses séjours en forêt amazonienne mais aussi des actions locales menées en Bretagne, en Inde ou au Togo. Ensemble, nous explorons les grands programmes de la Fondation : Plant for Life, Terre de Femmes ou encore le Festival Photo La Gacilly, devenu un rendez-vous incontournable entre art, écologie et sensibilisation.Au fil de la conversation, Jacques nous partage sa vision de l'engagement : rester dans l'action, tisser des liens sincères avec celles et ceux qui œuvrent sur le terrain et transmettre toujours. Il nous rappelle que planter un arbre, c'est plus qu'un geste symbolique : c'est un acte de foi en l'avenir, un héritage pour les générations futures. Un immense merci à la Fondation Yves Rocher pour leur confiance dans la réalisation de cet épisode.
Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70 % de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. La lourde embarcation, poussée, tirée, glisse sur cette plage. Les cris des pêcheurs en plein effort percent le grondement des vagues. Les pirogues qui partent et reviennent ont cousu ensemble, au fil des siècles, l'histoire de la communauté Lébou et l'océan. L'océan est tellement au cœur de la vie Lébou qu'une confrérie soufie, tournée vers les flots, est née ici : les Layènes.Yoff. Une commune de Dakar, Sénégal. Le vendredi, un haut-parleur diffuse dans les rues, à 100 mètres de la plage, la prière du vendredi. Face à l'océan, Seydina Diop, un érudit layène, évoque l'histoire du fondateur de la confrérie, Seydina Limamou Laye (1843-1909). Et son lien avec la mer. « C'est, explique-t-il, comme si l'océan avait signé un pacte avec Seydina Limamou Laye et sa famille. Tôt après la prière du matin, il s'est dirigé vers la mer en compagnie de ceux qui priaient derrière lui. Arrivé à la mer, il lui intime l'ordre de reculer. Et la mer recule comme une natte sur plusieurs dizaines de mètres. Il a dit, "j'espère que ça suffit ici pour installer ma maison ici". Et s'adressant à ses compagnons : "Vous, vous ne me connaissez pas, mais la mer me connaît, connaît ma dimension et respectera mes ordres". » Depuis l'époque du fondateur, les vagues ont épargné le sanctuaire Layène. Mais Seydina Diop en convient, ailleurs dans le pays, l'océan n'est plus tout à fait le même. « C'est comme si effectivement la mer était en colère. Cette côte va passer par le village de Kayar, une zone poissonneuse, et les gens sont très inquiets. Vous continuez à Thiaroye c'est la même situation, vous continuez à Mbao c'est la même situation. Donc pourquoi ? »De plus en plus loin pour trouver du poissonKayar, aux eaux réputées poissonneuses… Le quai de pêche est bondé de monde, mais la localité, située à une soixantaine de kilomètres de Dakar, se nourrit de plus en plus difficilement de l'océan. Les sécheuses de poisson se plaignent d'attendre de plus en plus longtemps l'arrivée de la matière première : « Comme vous le voyez, nous sommes assises ici à discuter, explique l'une d'elles, Khoudia Touré, installée sous un parasol. Cela veut dire qu'il n'y a pas de poissons ; il arrive parfois que nous passons des journées entières sans aucune activité parce qu'il n'y a pas de poisson, alors que c'est notre matière première et qu'on a des commandes à honorer. Quand les pêcheurs partent en mer, ils restent plusieurs jours d'affilée, car il n'y plus rien. »À lire aussiDix choses à savoir sur la surpêche, fléau des océans au fil des sièclesLes conséquences se font également sentir au Ghana, à Tema, le plus gros marché de pêche artisanale du pays. Une femme, vendeuse depuis 28 ans, regrette les bacs de poisson qu'elle vendait par le passé : « Quand j'ai commencé à travailler, dit-elle, les revenus étaient bons, mais aujourd'hui ce n'est plus le cas. On ne reçoit plus beaucoup de poissons. Quand on recevait beaucoup de poissons, nous avions de l'argent pour mettre nos enfants à l'école. Maintenant, vu que les pêcheurs n'en ramènent plus, nous n'avons plus grand-chose à vendre. Nous n'avons plus d'argent, nous sommes fatigués. »Même chose en Sierra Leone. Tombo, à une cinquantaine de la capitale, Freetown, était autrefois un port de pêche prospère. La ville est aujourd'hui en déclin. Les pêcheurs y sont de plus en plus nombreux, les poissons de plus en plus rares, et les conditions de travail de plus en plus difficiles. « Nous avons beaucoup de soucis aujourd'hui, confie Chernor Bah, le capitaine du port de Tombo. Mais surtout, il n'y a plus de poisson et nous avons du mal à survivre. Maintenant, pour trouver du poisson, on est obligé de brûler beaucoup d'essence. On part tôt le matin, mais ce n'est pas avant 10 heures ou 11 heures qu'on arrive à trouver un endroit avec du poisson... Autrefois, on dépensait peut-être 20 litres, 30 litres d'essence pour aller attraper du poisson... C'était possible de faire des affaires. Mais aujourd'hui, il faut peut-être utiliser 100 litres... 150 litres de carburant pour arriver au même résultat. » La raréfaction du poisson menace, selon certaines études, la sécurité alimentaire de la Sierra Leone. Les produits de la mer représentent en effet 80 % des apports en protéines dans le pays.Toute la région est concernée par l'épuisement de la ressource. Boulbinet est l'un des principaux ports de pêche artisanale de Conakry, la capitale guinéenne. Les prises sont versées à même le sol, sur des bâches tendues sur la digue. Les pêcheurs guinéens doivent, eux aussi, aller de plus en plus loin. Prendre de plus en plus de risques pour trouver le poisson. « Vous savez que cette pêche-là, ça représente un danger, indique Abdoulaye Camara, membre de l'Union des pêcheurs artisanaux, parce que, vous savez, la mer a sa façon de faire. Même le temps où il n'y a pas de pluie, la mer peut s'agiter elle-même. Au fur et à mesure que l'embarcation va très loin, c'est là qu'elle se retrouve en danger. Parce que la mer, c'est la mer. Cette méthode d'aller pêcher loin, c'est pas parce qu'ils veulent aller loin, mais le poisson est un peu éloigné maintenant. »Soumah Seny, alias « Tozo », a une cinquantaine d'années. Il est responsable de l'association des doradiers de Boulbinet. Avec la chute des prises, il explique que de nombreux pêcheurs connaissent une situation financière difficile : « Si vous sortez faire quatre à cinq, six jours, sixième jour vous rentrez. Si vous enlevez la dépense, tu peux te retrouver avec 50 000 dans ta main. Ça permet difficilement de pourvoir aux dépenses de la maison ! Les pêcheurs ne gagnent pas beaucoup d'argent. On peut faire un an sans acheter de viande, parce qu'on n'a pas d'argent pour en acheter. Le prix d'un sac de riz, quand tu reviens de la mer, des fois, tu ne peux même pas gagner ça. » À lire aussiConférence de l'ONU sur l'océan 2025 : l'Afrique particulièrement concernée par ses enjeuxEffondrement de la ressourceCette raréfaction de la ressource, constatée en mer par les pêcheurs, a été documentée par des recherches de l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement. « On a étudié un peu les quantités débarquées dans chaque pays au fil des années, explique Timothée Brochiet, chercheur à l'IRD. On s'est rendus compte que pour le Sénégal, les quantités maximales qui ont été débarquées étaient tombées en 2011. Et on s'est rendus compte qu'à partir de 2019, on tombe en dessous de 10 % de cette quantité-là. Et selon une définition qui a été donnée en halieutique, on peut parler d'un stock "écroulé" quand, après quatre années d'affilée, les quantités débarquées sont inférieures à 10 % du maximum. » La situation est à ce point alarmante qu'une mobilisation se met en place pour propager la voix des communautés menacées.Ce jour-là, à Ngor au Sénégal, il s'agit de faire entendre le cœur de l'océan aux jeunes générations, grâce à un enregistrement sous-marin, réalisé avec un hydrophone. Fabrice Monteiro, photographe engagé, participe ce jour-là à l'animation. « Ça m'évoque le pouls de la planète, qu'on partage tous un monde commun et que même sous l'eau, il y a toute une vie, il y a des échanges, il y a des tas de choses auxquelles on pense pas parce qu'on nous a expliqué qu'on pouvait disposer de tout et que finalement la vie comptait pour très peu si ce n'est la nôtre. » Pour cet artiste, l'humanité doit « changer de logiciel ». Et le photographe dit vouloir utiliser ses images pour participer à cette conversation.Comment expliquer ces difficultés croissantes à trouver du poisson ? Les pêcheurs artisanaux mettent régulièrement en cause la pêche industrielle. Une critique partagée par le chercheur sierra-léonais Salieu Kabba Sankho : « Quand nous avons commencé la lutte contre la pêche illégale, de nombreux navires sont venus s'enregistrer. Mais cela a fait augmenter de manière conséquente le nombre de bateaux de pêche industriels. Ces navires achètent un permis qui correspond à la taille du bateau, pas au nombre de poissons qu'ils pêchent. Cela va peut-être couter 15 ou 20 000 euros par an, pour un permis qui permet de pêcher 365 jours sur une année et autant de poissons que vous pouvez en attraper. C'est comme un chèque en blanc pour les industriels. Il y a un gros risque de surpêche et d'effondrement des réserves de poissons. »À lire aussiConférence sur l'Océan : « L'Afrique s'attend à » avoir « plus de poids dans la discussion », dit Foga AgbetossouTrop de bateaux de pêche ?Mais le problème semble aller au-delà de la pêche industrielle : trop de bateaux cherchent désormais à puiser les ressources de l'océan. Cette surexploitation a conduit à une véritable bataille du poisson entre pêcheurs industriels et artisanaux, mais aussi entre pêcheurs artisanaux de nationalités différentes. « Les pêcheurs industriels, comme les pêcheurs artisanaux, sont coresponsables de la baisse des réserves de poissons, indique Thomas Turay, le président d'un syndicat de pêcheurs sierra-léonais qui essaie de promouvoir des pratiques plus respectueuses de l'océan. Il y a vingt ans, ici même, dans ce bureau, on avait 75 000 pêcheurs enregistrés et maintenant, on compte 150 000 personnes qui dépendent de la pêche... Il y a beaucoup de chômage, donc les gens viennent ici pour devenir pêcheurs. La fermeture des mines a aussi joué un rôle. Avant, on voyait des "mango fish", c'est-à-dire des espèces de poissons qui apparaissaient au début de la saison des mangues, qui précède la saison des pluies. Mais aujourd'hui, on ne voit plus ça. C'est quand il pleut seulement qu'on comprend que c'est le début de la saison des pluies. »Dans ce contexte de compétition, les règles sont de moins en moins respectées. « Il y a le problème des chalutiers, poursuit Thomas Turay, qui viennent pêcher jusque dans la Zone d'exclusion côtière, qui nous est réservée, plutôt que d'aller au large, dans la Zone économique exclusive où ils sont autorisés à pêcher. Et puis, il y a des braconniers ! Et notre marine n'est pas équipée pour surveiller la mer pendant toute une journée. Donc, dès que la marine s'en va, les braconniers viennent depuis la Guinée ou le Sénégal. À cela s'ajoute la corruption. Des étrangers viennent et enregistrent leurs bateaux comme s'ils étaient des Sierra-Léonais. Ils paient une commission, c'est tout. »À cette compétition pour la ressource s'ajoute le dérèglement climatique, qui provoque le réchauffement des océans. Ces changements de températures provoquent la migration de certaines espèces vers des eaux plus froides. Le chercheur ghanéen John Kusimi, professeur associé de géographie physique au département de géographie et développement des ressources à l'Université du Ghana, a travaillé sur le phénomène. « Au cours des dernières décennies, indique-t-il, la température à la surface de la mer dans le golfe de Guinée a augmenté de 0,2 à 0,4 degré Celsius. Cette augmentation de la température a poussé les petits poissons pélagiques, ceux que pêchent les pêcheurs artisanaux, à migrer des eaux tropicales vers des mers plus tempérées, où l'eau est plus froide. Cela a également eu pour effet de pousser ces poissons, qui ont le sang-froid, à plonger dans les profondeurs des mers tropicales pour réguler leur chaleur corporelle, les rendant souvent inaccessibles aux pêcheurs traditionnels. Donc tout cela, en ajoutant d'autres facteurs humains, a provoqué un déclin de 60 à 80 % de la population de poissons pélagiques depuis les années 90 jusqu'à aujourd'hui. »Un phénomène chimique menace également la biodiversité de l'océan : son acidification, le fait que sa composition chimique devienne de plus en plus acide. Les premières mesures ont été faites au large des côtes californiennes, mais le professeur Malick Diouf, de biologie animale à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, craint que le phénomène n'en vienne à se répandre : « S'il y a acidité, ça veut dire que tous ceux qui ont une coquille calcaire ont leur vie qui va être hypothéquée, parce que le calcaire est attaqué par l'acide. Et si on regarde les animaux qui ont un test calcaire, aussi bien unicellulaires que pluricellulaires, il y en a des masses. On va vers une perte drastique de la biodiversité. »À écouter aussiSommet des océans à Nice : l'acidification de l'eau menace la biodiversité marineMieux contrôler qui pêche quoiQue faire face à l'effondrement en cours et aux menaces futures ? Depuis ses bureaux de Dakar, l'ONG Greenpeace appelle les autorités à mieux contrôler qui pêche quoi… Le Dr Aliou Ba est responsable de la campagne « Océans » pour Greenpeace Afrique. « La majeure partie de nos pêcheries sont en situation d'accès libre. L'accès libre conduit à la surpêche, à la surexploitation des ressources. Donc, pour parer à cela, il faudrait que l'on contrôle la capacité de pêche dans ces pêcheries, mais aussi accentuer la surveillance pour baisser vraiment ce qu'on appelle la pêche INLA. » Greenpeace essaie aussi d'obtenir une régulation des usines de farine de poisson qui sont à terre et qui sont en concurrence avec le marché local.Reprendre le contrôle ? Les gouvernements de la région disent qu'ils ne cherchent pas autre chose. Le ministère des Ressources maritimes et de la Pêche sierra-léonais est installé au Youyi building, le grand immeuble gouvernemental de la capitale, Freetown. Sheku Sei reçoit à la sortie d'un entretien avec la ministre. Il est responsable de l'aquaculture et de la pêche artisanale au ministère : « Nous avons en tant que pays commencé à mettre en place un système de "saison fermée", durant laquelle les pêcheurs artisanaux ne peuvent plus aller en mer – et au mois d'avril, nous faisons la même chose pour la pêche industrielle. L'idée, c'est qu'il y ait une période de repos biologique pour que les poissons puissent grossir et que la population cesse de décliner, comme ça, on aura plus de poissons dans nos eaux et on pourra produire plus de nourriture. Car un des objectifs, c'est de garantir la sécurité alimentaire et la nutrition. Donc, la fermeture saisonnière de la pêche, les aires marines protégées, mais aussi, nous aimerions avoir plus de fonds pour opérer des patrouilles de surveillance de nos côtes. Donc, nous allons prendre des contacts pendant la conférence de Nice. Nous allons aussi voir si l'on peut améliorer notre système de surveillance à distance, le moderniser, pour pouvoir suivre les opérations des navires en mer, sans avoir à nous déplacer. »À écouter aussiPourquoi les forêts de mangrove sont importantes pour la biodiversité ? Certaines solutions dorment également aux portes de l'océan, dans ces zones charnière que constituent les mangroves. Malmenées par les exploitants miniers, surexploitées par les communautés locales, elles sont pourtant essentielles. En Guinée, des associations s'activent pour les défendre, comme Guinée écologie. Aboubacar Soumah, l'un de ses cadres, guide le visiteur sur un débarcadère de Dubreka. Ici, les communautés pratiquent la pêche artisanale, mais également la riziculture, et elles mènent des activités de reboisement de la mangrove.Aboubacar Soumah longe la digue d'une aire de riziculture abandonnée. À gauche, des terres en friche. À droite, les terres en cours de restauration. Les jeunes pousses de mangrove pointent déjà vers le ciel et le militant écologiste espère que, d'ici à quelques années, cet espace redeviendra propice pour la reproduction des poissons. À marée basse, l'eau s'engouffre dans un petit chenal. Quand la marée monte, l'océan inonde la mangrove et emmène avec lui les poissons, qui y trouvent un milieu favorable pour se reproduire. « Restaurer la mangrove, dit Aboubacar Soumah, ça a beaucoup d'avantages. C'est un espace vital pour les poissons juvéniles. C'est dans ces milieux, dans les zones de mangrove, les zones ombragées, que les gros poissons viennent pondre les œufs. C'est dans cet espace aussi que les juvéniles grandissent jusqu'à atteindre un certain stade de maturité avant de migrer en mer. »Les mangroves grouillent encore de vie, de crabes et d'insectes, dans des sols riches de nutriments et de minéraux charriés depuis l'amont, un écosystème fixé par les racines des palétuviers. Les mangroves sont de véritables incubateurs de vie marine. Leur restauration, explique Aboubacar Soumah, est indispensable pour protéger l'avenir des communautés de pêcheurs.À écouter aussiEn Gambie, des pêcheurs dans une mauvaise passe
Au nord du Mexique, dans l'État de Sonora, la petite baie de Kino est ouverte sur la mer de Cortés. La région abrite une importante biodiversité et faune marine, mais l'équilibre a été bouleversé ces dernières décennies par la surpêche et des mauvaises pratiques. Alors, depuis quelques années, la petite communauté d'environ 10 000 habitants s'organise. Les pêcheurs, celles et ceux qui vivent de la mer tentent de prendre en main eux-mêmes au mieux la gestion de leurs ressources. De notre envoyée spéciale de retour de la baie de Kino« Là, il faut malaxer. » À marée basse, les femmes remuent les limons pour déterrer et compter les palourdes : « Regarde, il y en a de toutes les tailles. Ça nous fait plaisir de voir cela. Avant, quand on venait, il n'y en avait pas une seule. » De jeunes coquillages élevés en laboratoire ont été semées quelques mois plus tôt dans l'estuaire par une coopérative de femmes : « La palourde grandit et donc on peut la récolter en toute saison. »Ce jour-là, Felice Campo et Delfina Mendoza ne les ramassent pas. Puisque les quantités extraites dépassent la capacité de l'animal à se reproduire, elles préfèrent repeupler : « On a vu que des pêcheurs venaient et sortaient des palourdes. C'est pour cela que je dis que le bénéfice est pour toute la communauté. »À Kino, une dizaine d'associations civiles s'investit dans la préservation de l'écosystème de la baie. La surpêche de la part de certains locaux est souvent pointée du doigt pour expliquer la disparition des espèces. Mais pour Edgar Magdaleno, professeur au Prescott collège, elle ne doit pas servir à faire oublier la responsabilité des grands intérêts privés. Notamment l'élevage de crevettes, très présent dans la région, qui domine la production nationale. « Le secteur a dévasté l'estuaire et la lagune. Et il y a aussi tous ces grands bateaux de pêche aux crevettes et à la sardine qui viennent ici dans le golfe. Ils utilisent des chaluts et détruisent les fonds marins. Pour une seule espèce, ils en détruisent quarante et cela affectent toute l'activité de subsistance de nos pêcheurs. On est une communauté abandonnée par les autorités. »À lire aussiAvant la conférence onusienne sur l'Océan, des scientifiques publient 10 recommandations pour le préserverProtéger les ressourcesSans contrôle et face à l'impuissance des institutions mexicaines, les habitants de Kino s'organisent entre eux pour protéger leurs ressources. Un peu plus au nord, une coopérative s'est vu confier 25 hectares de bas fond. Daniel Torre explique qu'en échange de sa protection, il a le droit de plonger pour pêcher des pétoncles géants : « On fait du monitoring sous-marin pour surveiller les quantités de biomasse à l'intérieur de la zone. »À l'aide d'un tube alimenté en air par un compresseur, il descend à une douzaine de mètres profondeur. Depuis plus de 20 ans. Il est issu de la troisième génération de plongeurs dans sa famille et n'imagine pas faire autre chose : « huit personnes sur dix vivent de la pêche ici. Si une espèce s'effondre, on trouvera des alternatives. Que ce soit la raie manta, le requin, le crabe ou bien les bulots. Il s'agit de pouvoir nourrir sa famille. Mais j'espère qu'avec ce qu'on fait là, les futures générations pourront continuer à pêcher comme nous. »À lire aussiPourquoi faut-il combattre la pêche illégale?
Anche in inverno il giardino resta uno spazio vivo, ricco di piccoli equilibri da rispettare. Il garden designer Carlo Gabriele invita a evitare pesticidi, favorire la biodiversità e creare aree selvatiche controllate.